Module 1. Connaissances de base

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Module 1. Connaissances de base"

Transcription

1 MASTERE SPECIALISE TUNNELS et OUVRAGES SOUTERRAINS De la conception à l exploitation Module. Connaissances de base.2. Comportement mécanique des sols Denis BRANQUE ENTPE

2 CONNAISSANCES DE BASES: Comportement mécanique des sols CONTENU. Définition géotechnique des sols 2. Identification physique des sols. Déformations et contraintes dans les sols (rappels de MMC) 4. Hydraulique des sols 5. Consolidation et tassement des sols 6. Résistance au cisaillement des sols INSA Lyon ENTPE MS TUNNELS ET OUVRAGES SOUTERRAINS

3 Résistance au cisaillement d un Sol Modes de rupture possibles d un élément de sol Compression isotrope Rupture impossible Traction limite atteinte Situation rare Contrainte Limite de cisaillement atteinte Rupture par glissement Situation courante pour les sols

4 Résistance au cisaillement d un Sol: Conséquences 2/0/20 4

5 Résistance au cisaillement d un Sol La résistance au cisaillement f d un sol est la contrainte maximale de cisaillement que le sol peut supporter sans entrer en rupture par glissement suivant une surface de discontinuité. Stable < f La stabilité d un massif de sol dépend de sa résistance au cisaillement n 5 5

6 Critère de rupture de Mohr Coulomb f f f n c tan c = cohésion n n (Critère à 2 paramètres) = angle de frottement 6 6

7 Conditions drainée et non drainée Non drainé f c tan Valve fermée (Comportement à court (Comportement à long terme des sols fins terme des sols fins saturés: u>0) saturés: u=0) n Drainé Valve ouverte c u c u (contrainte totale) (contrainte effective) Paramètres intrinsèques 7 7

8 Essais expérimentaux au laboratoire Essai triaxial Le plus couramment employé (mesure de déformabilité et de résistance) Principe: On impose l état de contrainte (déviatorique) et on observe l apparition des plans de rupture. Les états de contrainte et de déformation sont supposés homogènes. p cellule F (kpa) déviateur q= rmation volumique v défor ,05 0,05 0,5 Déviateur de contrainte / déformation axiale sable Hostun (sec) = 50kPa 0 0,02 0,04 0,06 0,08 0, 0,2 0,4 0,6 déformations axiales: contractance 0 0 0,02 0,04 0,06 0,08 0, 0,2 0,4 0,6 0, 0,2 sable Hostun (sec) = 50kPa dilatance Variation de volume/ déformation axiale u w 0,25 déformation axiale 8 8

9 Essais expérimentaux au laboratoire Boitede Casagrande Capteur de déplacement (h) Piston mobile Demi boite inférieure sol P Demi boite supérieure Capteur de force horizontale Capteur de déplacement (l) Plan de rupture P= n.a(l) Principe: On impose le plan de rupture et on mesure l état de contrainte sur ce plan de rupture. Contrainte de cisaillement pas homogène Essai moins cher que les triaxiaux (une considération qui a son importance) Moins couramment employé que les essais triaxiaux Force horizontale mesurée F=.A(l) (l) Sens de déplacement max max2 max c n n2 n Bâti de boite de cisaillement n 9 9

10 Critère de résistance au cisaillement en fonction des contraintes principales (essai triaxial) A c cot D 2 B 2 K p 2c K p Cercle de Mohr correspondant à la rupture (cercle de plus grand diamètre pour un donné) n 45 2 Plan de rupture n sin 2 2 f cos sin Kp tan BD AB c cot 2 2 j sin 2 cos c sin sin K K a (Coeff de butée) Rm: toutes les contraintes sont effectives. On a omis le pour simplifier l écriture. 0 0

11 Interprétation graphique des essais triaxiaux c essais, demi-cercles rechercher la meilleure ligne tangente n

12 Méthode d interprétation alternative 2 tan. Tracer les points expérimentaux dans le plan (( + )/2,( )/2) 2. Faire passer la meilleure droite (moindre carré..). Déterminer la pente de la droite et l intercept à l origine a. a Rm: c est plus facile de déterminer 2 la meilleure droite qui passe par sin tan c a cos quelques points expérimentaux qu une droite qui doit être tangente à quelques q demi-cercles. 2

13 Types d essais triaxiaux Les essais sont classés suivant qu ils soient : consolidé ou non (avant chargement axial) drainé ou non (pendant chargement axial) Les types d essais triaxiaux les plus courants sont:. Unconsolidated-Undrained test (UU) 2. Consolidated-Undrained test (CU). Consolidated-Drained test (CD)

14 Essai Consolidé ou non-consolidé (caractérise la ere phase de l essai triaxial) F Consolidation : Principe: après avoir été prélevé in situ, l échantillon placé en cellule l triaxiale i est soumis à une pression isotrope 0 avec le circuit de drainage ouvert, ceci jusqu à dissipation des surpressions interstitielles Objectifs: retrouver le même niveau de contrainte in situ pour être plus représentatif du comportement réel mesurer lors du processus les propriétés de consolidation du sol (perméabilité, coefficient de consolidation) Remarque: le processus de consolidation peut prendre plusieurs semaines pour une éprouvette d argile (temps de consolidation proportionnel au carré de la ½ hauteur de l échantillon): 2 H. Tv rappel: t c v p cellule 0 ' 0 ' 0 bâtiment sol roche Robinets de drainage ouverts 4

15 Condition drainée ou non drainée (caractérise la 2 nd phase de l essai triaxial) Non drainée : In situ, cette condition s applique à court terme s il y a peu de dissipation des surpressions d eau; celle ci augmente pendant l application de la charge extérieure ex: construction rapide d un ouvrage sur une argile peu perméable (tout est relatif!) ; sable fin lors d un séisme ou chargement dû à une explosion Drainée : In situ, cette conditions s applique dans des situations où les surpressions d eau restent quasi-nulles. Par exemple: - construction lente d un immeuble (i.e. le chargement est lent ) sur un sol relativement t perméable (sables, gravier, i.e. la dissipation i des surpressions est rapide ) - conditions à long terme dans le cas des sols fins dès lors que les surpressions interstitielles se sont dissipées. Remarque: par les essais en laboratoire, on cherche à caractériser le comportement d un sol tel qu il doit se manifester dans la situation réelle. Les conditions d essais doivent donc être les plus proches possibles de celles in situ! Pour certains ouvrages, les deux conditions peuvent être à considérer (stabilité en phase chantier (court terme), stabilité en service (long terme). 5

16 Condition drainée ou non drainée Conditions d un essai d écrasement drainés à l appareil triaxial: - Les robinets de drainage de l échantillon sont ouverts, le drainage de l échantillon s effectue par ses faces supérieures et inférieures. - Pour les sables: vitesse de déformation axiale de l ordre de 0.5mm/mn. -Pour les argiles: vitesse de déformation axiale de 0.5m/mn à 2m/mn - L interprétation de l essai se fait directement en contrainte effective puisque ici = (u=0) p cellule F Robinets de drainage ouverts 6

17 Condition drainée ou non drainée Conditions d un essai d écrasement non drainé à l appareil triaxial: - Les robinets de drainage de l échantillon (haut et bas) sont fermés; les variations volumique de l échantillon sont donc empêchées (V=0). - Pour les sables: vitesse de déformation axiale de l ordre de 0.5mm/mn. - Pour les argiles: vitesse de déformation axiale de 2m/mn à 20m/mn afin de maintenir la pression interstitielle uniforme dans l échantillon p cellule x - Lors de l écrasement, une mesure des pressions interstitielles (u) est généralement réalisée. - L interprétation des essais se fait d abord en contraintes totales F x Mesure de pression interstitielle (cercle de Mohr en contraintes totales). La mesure de la pression interstitielle réalisée en cours d essai permet d en déduire les cercles de Mohr en contraintes effectives ( ' u ). 7

18 =0 Essai Consolidated Drained (CD) = o =0 Echantillon avant l essai ( la contrainte in situ est relâchée après son prélèvement du site) Application d une pression isotrope sur l échantillon, avec drainage. = o Essai adapté au matériau granulaire (sable, gravier) Consolidation de l échantillon jusqu à une contrainte isotrope = = 0, avec drainage dans cette phase. Ensuite, avec le drainage ouvert, une charge axiale est appliquée à une vitesse de déformation axiale constante jusqu à la rupture. Cet essai mesure les paramètres (c, = o + ) déterminant la résistance de cisaillement effective (drainée) Augmenter la contrainte axiale = o jusqu à la rupture, avecdrainage. (c, ) sont des paramètres u=0 = = intrinsèques du squelette granulaire 8

19 - Résistance au cisaillement et déformation de sables Essais drainés (u=0) ou sable sec = 0 ) (a) Déviateur des contraintes vs def.axiale v = 0 ) (b) Def. Volumique vs def.axiale = 0 ) (c) Indice des vides vs def.axiale (d) Cont. de cisaillement vs cont. normale max = max, : Caractéristiques de l assemblage de grains (le sol) angle de frottement maximum = angle de frottement résiduel d v d Dilatance : est un aspect très important! Sable lâche: toujours contractant, croissant Sable dense: contractant puis dilatant, pic de Nécessité de Modéles avancé (Camclay..) e crit dépend de p (la contrainte effective moyenne) 9

20 =0 Essai Unconsolidated Undrained (UU) u=0 =0 =0 u= o =0 =0 = o =0 = o + Echantillon avant l essai ( la contrainte in situ est relâchée après son prélèvement du site) Application d une pression isotrope sur l échantillon. Aucun drainage. A la fin de cette phase, quelle que = o soit la valeur de 0, les échantillons sont soumis au même état t de contrainte effective ( =-u 0 ).. Leur s états volumiques sont donc identiques. = o Augmenter la contrainte axiale jusqu à la rupture. Aucun drainage. u= o f )>0 = + u = o + = +u o Aucun drainage tout au long de l essai. Un état de contrainte isotrope est établie = = o au début (drainage fermé), puis une charge axiale est appliquée à une vitesse rapide jusqu à la rupture (drainage fermé). Cet essai mesure la résistance de cisaillement non drainée c u du matériau 20

21 Résistance au cisaillement non drainé des argiles c u Unique cercle de Mohr des contraintes effectives u () Cercles de Mohr à la rupture Enveloppe de rupture u = 0 c u (2) = () o = (2) o = () o Cercles de Mohr en contrainte totale issus des essais UU Dans l hypothèse où les échantillons sont tous identiques: Il existe en fait un seul cercle de Mohr en contrainte effective car l état des contraintes effectives ne varie pas durant un essai UU. Les différentes éprouvettes ont le même état volumique initiale (quelle que soit 0 )car 0 est imposé drainage fermé. u= o f )>0 = + u = o + = +u o ' ' f c u n R 2 C (* Rc= résistance à la compression simple obtenue pour = o =0 ) 2

22 Résistance au cisaillement non drainée des argiles Ligne pointillée montre l envelope de rupture réelle qui s écarte légèrement de la théorie. n 22

23 Essai Consolidated Undrained (CU) Intérêts de l essai () La cohésion non drainée C u d un dun sol fin est fonction de son état de consolidation (C u augmente lorsque sa contrainte de préconsolidation c augmente). En faisant varier la contrainte t de consolidation isotrope o l lors de l essai CU, il est alors possible d étudier l évolution de C u en fonction de l état de consolidation du matériau. Il convient alors de distinguer deux cas: -matériau au normalement e consolidé (NC) : o > c - matériau surconsolidé (OC): o < c (2) En mesurant les pressions interstitielles dans l échantillon au cours de l essai CU, on peut en déduire la courbe intrinsèque du matériau définie par les caractéristiques à long terme du matériau: c et. 2

24 =0 Essai Consolidated Undrained (CU) u=0 =0 =0 u=0 = o = o = o =0 = o = o + = o Echantillon avant l essai ( la contrainte in situ est relâchée après son prélèvement du site) Application d une pression isotrope sur l échantillon, avec drainage ouvert. Augmenter la contrainte axiale jusqu à la rupture. Aucun drainage. u=f( ) = + u = o + = + u = o Consolidation de l échantillon jusqu à une contrainte isotrope =, avec drainage dans cette phase. Ensuite, on ferme le drainage, puis une charge axiale est appliquée à une vitesse rapide jusqu à la rupture. Cet essai mesure la résistance de cisaillement non drainée c u 24

25 Essai Consolidated Undrained (CU) Sol normalement consolidé : o > c Sol l surconsolidé (OC): o < c c' nc =0 v u () v c oc >0 Cercles de Mohr des contraintes effectives nc Cercles de Mohr à la rupture lors des essais CU u () u (2) >0 = () o = (2) o n c Cercles de Mohr en contrainte totale issus des essais CU Cercles de Mohr des contraintes effectives Cercle de Mohr à la rupture lors d essai CU oc u (2) oc < nc = () o c Cercles de Mohr en contrainte totale issus des essais CU n 25

26 Essai Consolidated Undrained (CU) Evolution de la cohésion non drainée (C u ) en fonction de la contrainte de consolidation o Domaine OC c u () c u (2) c = (2) = () o o c u () Domaine NC c u (4) = o () = o (4) Cercles de Mohr à la rupture lors des essais CU Dans le domaine surconsolidé (OC), C u est indépendante de la pression de consolidation isotrope 0. Pente cu =c u / Dans le domaine normalement consolidé (NC), C u augmente avec la pression de consolidation isotrope 0 selon la relation: c u ( ' 0 ' 0 ) c u ( ' 0 ) cu. ' 0 n Dans la pratique, il peut être intéressant de consolider le sol sous une charge supérieure à sa contrainte de préconsolidation afin d augmenter sa résistance au cisaillement 26

27 Résistance au cisaillement drainée / non drainée des argiles Non drainé Drainé V Non drainé V = 0 u 0 Drainé u = 0 V 0 Normalement consolidé (NC): Variation du déviateur de contrainte et du volume monotone Surconsolidé (OC): Variation non monotone (existence de pic) Aux imprécisions expérimentales près, les valeurs de c et déduites des essais CU avec mesure de u sont égales à celles déduites des essais CD!!! 27

28 Exemple d application Résistance non drainée d une argile Une argile saturé normalement consolidée de masse volumique =2000kg/m g a pour caractéristiques de résistance au cisaillement: c = 5kPa, =25, cu =0.2 La nappe est au niveau du terrain naturel. La cohésion non drainée de l argile à 5m de profondeur vaut 40kPa. Tracer les cercles de Mohr en contraintes totales et en contraintes effectives pour une éprouvette prélevée à 20m de profondeur et consolidée sous la contrainte effective verticale en place. 28

29 Exemple d application Résistance non drainée d une argile (solution) L argile est normalement consolidée. A 5 m de profondeur, les contraintes verticales totale et effective sont égale à: A 20m de profondeur, on a: v =.g.z=2000 x0 x 5 (Pa) = 00kPa u= w.g.z=000 x0 x 5 (Pa) = 50kPa v = v -u = 50 kpa v =.g.z=2000 x 0 x 20 (Pa) = 400kPa u= w.g.z=000 x 0 x 20 (Pa) = 200kPa v = v -u = 200 kpa Par conséquent, entre les profondeurs 5m et 20m; la contrainte verticale effective, égale à la contrainte de consolidation de l essai CU a augmenté de 50 kpa. La cohésion non drainée de l argile à 20m de profonteur est donc égale à: c c u( z20m) u ( z20 m ) c u( z5m).( ' cu v( z20m) ' kPa v( zm) ) 29

30 Exemple d application Résistance non drainée d une argile (solution) L état des contraintes totales correspondant à l essai CU réalisé sur cette éprouvette située à 20 m de profondeur est donc le suivant: ' 2c 0 v( z20m) u 200kPa kPa Cela permet de tracer le cercle de Mohr en contraintes totales. Celui en contraintes effectives a le même diamètre mais est tangent au critère de Mohr Coulomb. C u= 70kPa (kpa) Critère de Mohr Coulomb: c =5kPa, f = n (kpa) Cercle de contraintes effectives Cercle de contraintes totales 0

Mécanique des sols I. Chapitre I Propriétés physiques des sols. Chapitre II Hydraulique des sols. Chapitre III Déformations des sols

Mécanique des sols I. Chapitre I Propriétés physiques des sols. Chapitre II Hydraulique des sols. Chapitre III Déformations des sols Mécanique des sols I Chapitre I Propriétés physiques des sols Chapitre II Hydraulique des sols Chapitre III Déformations des sols Chapitre IV Résistance au cisaillement des sols Chapitre III Déformations

Plus en détail

Consolidation des argiles. CUI Yu-Jun ENPC-CERMES, INSTITUT NAVIER

Consolidation des argiles. CUI Yu-Jun ENPC-CERMES, INSTITUT NAVIER Consolidation des argiles CUI Yu-Jun ENPC-CERMES, INSTITUT NAVIER Plan Introduction Argiles Phénomène de consolidation Essais de consolidation Equation de la consolidation Degré de consolidation et facteur

Plus en détail

Déformabilité des sols. Tassements. Consolidation

Déformabilité des sols. Tassements. Consolidation Déformabilité des sols. Tassements. Consolidation par Jean-Pierre MAGNAN Ingénieur en chef des Ponts et Chaussées Directeur technique au Laboratoire Central des Ponts et Chaussées, Paris Professeur de

Plus en détail

LES VASES DE LA LOIRE : MODELISATION DE L EFFET DE LA CONSOLIDATION SUR DES INFRASTRUCTURES EXISTANTES

LES VASES DE LA LOIRE : MODELISATION DE L EFFET DE LA CONSOLIDATION SUR DES INFRASTRUCTURES EXISTANTES LES VASES DE LA LOIRE : MODELISATION DE L EFFET DE LA CONSOLIDATION SUR DES INFRASTRUCTURES EXISTANTES THE SILTS FROM THE LOIRE RIVER: MODELLING OF CONSOLIDATION EFFECTS ON EXISTING INFRASTRUCTURE Sébastien

Plus en détail

EPFL 2010. TP n 3 Essai oedomètrique. Moncef Radi Sehaqui Hamza - Nguyen Ha-Phong - Ilias Nafaï Weil Florian

EPFL 2010. TP n 3 Essai oedomètrique. Moncef Radi Sehaqui Hamza - Nguyen Ha-Phong - Ilias Nafaï Weil Florian 1 EPFL 2010 Moncef Radi Sehaqui Hamza - Nguyen Ha-Phong - Ilia Nafaï Weil Florian 11 Table de matière Ø Introduction 3 Ø Objectif 3 Ø Déroulement de l eai 4 Ø Exécution de deux palier de charge 6 Ø Calcul

Plus en détail

ANNEXE J POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS SELON UN CHARGEMENT CYCLIQUE ET STATIQUE

ANNEXE J POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS SELON UN CHARGEMENT CYCLIQUE ET STATIQUE 562 ANNEXE J POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS SELON UN CHARGEMENT CYCLIQUE ET STATIQUE 563 TABLE DES MATIÈRES ANNEXE J... 562 POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS

Plus en détail

ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE

ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE ANALYSIS OF THE EFFICIENCY OF GEOGRIDS TO PREVENT A LOCAL COLLAPSE OF A ROAD Céline BOURDEAU et Daniel BILLAUX Itasca

Plus en détail

Etude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau

Etude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau Etude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau Gilbert LE BRAS (IUT de st nazaire, Dépt. Génie Civil) Alain ALEXIS (GeM) 1/42 Introduction Domaine

Plus en détail

Chapitre 2 Le problème de l unicité des solutions

Chapitre 2 Le problème de l unicité des solutions Université Joseph Fourier UE MAT 127 Mathématiques année 2011-2012 Chapitre 2 Le problème de l unicité des solutions Ce que nous verrons dans ce chapitre : un exemple d équation différentielle y = f(y)

Plus en détail

MESURES DE FAIBLES PERMÉABILITÉS (in-situ et en laboratoire) liées aux projets de décharges: Principales techniques de mesure, normalisation

MESURES DE FAIBLES PERMÉABILITÉS (in-situ et en laboratoire) liées aux projets de décharges: Principales techniques de mesure, normalisation COMITÉ FRANÇAIS DE MÉCANIQUE DES SOLS Journée «HYDRAULIQUE» du 23-01-2002 MESURES DE FAIBLES PERMÉABILITÉS (in-situ et en laboratoire) liées aux projets de décharges: Principales techniques de mesure,

Plus en détail

LE PENETROMETRE STATIQUE Essais CPT & CPTU

LE PENETROMETRE STATIQUE Essais CPT & CPTU LE PENETROMETRE STATIQUE Essais CPT & CPTU Mesures Interprétations - Appliations Doument rédigé par des ingénieurs géotehniiens de GINGER CEBTP sous la diretion de : Mihel KHATIB Comité de releture : Claude-Jaques

Plus en détail

Chapitre 6. Fonction réelle d une variable réelle

Chapitre 6. Fonction réelle d une variable réelle Chapitre 6 Fonction réelle d une variable réelle 6. Généralités et plan d étude Une application de I dans R est une correspondance entre les éléments de I et ceu de R telle que tout élément de I admette

Plus en détail

G.P. DNS02 Septembre 2012. Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3. Réfraction

G.P. DNS02 Septembre 2012. Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3. Réfraction DNS Sujet Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3 Réfraction I. Préliminaires 1. Rappeler la valeur et l'unité de la perméabilité magnétique du vide µ 0. Donner

Plus en détail

Essais de charge sur plaque

Essais de charge sur plaque Page No.: 1 L essai de charge sur plaque est exécuté entre autres dans des galeries d exploration ou dans des puits, mais il peut aussi être exécuté à la surface en appliquant un poids mort ou en chargeant

Plus en détail

Corrigé Exercice 1 : BRIDE HYDRAULIQUE AVEC HYPOTHÈSE PROBLÈME PLAN.

Corrigé Exercice 1 : BRIDE HYDRAULIQUE AVEC HYPOTHÈSE PROBLÈME PLAN. TD 6 corrigé - PFS Résolution analytique (Loi entrée-sortie statique) Page 1/1 Corrigé Exercice 1 : BRIDE HYDRAULIQUE AVEC HYPOTHÈSE PROBLÈME PLAN. Question : Réaliser le graphe de structure, puis compléter

Plus en détail

Chapitre 7. Circuits Magnétiques et Inductance. 7.1 Introduction. 7.1.1 Production d un champ magnétique

Chapitre 7. Circuits Magnétiques et Inductance. 7.1 Introduction. 7.1.1 Production d un champ magnétique Chapitre 7 Circuits Magnétiques et Inductance 7.1 Introduction 7.1.1 Production d un champ magnétique Si on considère un conducteur cylindrique droit dans lequel circule un courant I (figure 7.1). Ce courant

Plus en détail

Fiche Technique d Évaluation sismique : Construction basse en Maçonnerie Non-armée, Chaînée, ou de Remplissage en Haïti

Fiche Technique d Évaluation sismique : Construction basse en Maçonnerie Non-armée, Chaînée, ou de Remplissage en Haïti .0 RISQUES GEOLOGIQUES DU SITE NOTES. LIQUÉFACTION : On ne doit pas trouver de sols granulaires liquéfiables, lâches, saturés, ou qui pourraient compromettre la performance sismique du bâtiment, dans des

Plus en détail

UTILISATION DES SÉDIMENTS VALORISÉS : exemple de la plate-forme expérimentale SOLINDUS pour le pré-traitement des produits de dragage

UTILISATION DES SÉDIMENTS VALORISÉS : exemple de la plate-forme expérimentale SOLINDUS pour le pré-traitement des produits de dragage UTILISATION DES SÉDIMENTS VALORISÉS : exemple de la plate-forme expérimentale SOLINDUS pour le pré-traitement des produits de dragage Dr H. Bréquel, Responsable département Recherche 1 1 /20 CONTEXTE ET

Plus en détail

Chapitre XIV BASES PHYSIQUES QUANTITATIVES DES LOIS DE COMPORTEMENT MÉCANIQUE. par S. CANTOURNET 1 ELASTICITÉ

Chapitre XIV BASES PHYSIQUES QUANTITATIVES DES LOIS DE COMPORTEMENT MÉCANIQUE. par S. CANTOURNET 1 ELASTICITÉ Chapitre XIV BASES PHYSIQUES QUANTITATIVES DES LOIS DE COMPORTEMENT MÉCANIQUE par S. CANTOURNET 1 ELASTICITÉ Les propriétés mécaniques des métaux et alliages sont d un grand intérêt puisqu elles conditionnent

Plus en détail

Limites finies en un point

Limites finies en un point 8 Limites finies en un point Pour ce chapitre, sauf précision contraire, I désigne une partie non vide de R et f une fonction définie sur I et à valeurs réelles ou complees. Là encore, les fonctions usuelles,

Plus en détail

Processus de rupture dans les roches fragiles : déformations, variations de perméabilité et émission acoustique

Processus de rupture dans les roches fragiles : déformations, variations de perméabilité et émission acoustique Processus de rupture dans les roches fragiles : déformations, variations de perméabilité et émission acoustique Mokhfi Takarli Laboratoire de Génie Civil et Génie Mécanique - INSA de Rennes - 20 Avenue

Plus en détail

Étude d'un appareillage de compactage statique et de mesure de la perméabilité des sols fins argileux

Étude d'un appareillage de compactage statique et de mesure de la perméabilité des sols fins argileux Étude d'un appareillage de compactage statique et de mesure de la perméabilité des sols fins argileux Belkacem MOUSSAI Docteur Laboratoire de géotechnique Gérard DIDIER Docteur-Ingénieur Maître de conférences

Plus en détail

I - PUISSANCE D UN POINT PAR RAPPORT A UN CERCLE CERCLES ORTHOGONAUX POLES ET POLAIRES

I - PUISSANCE D UN POINT PAR RAPPORT A UN CERCLE CERCLES ORTHOGONAUX POLES ET POLAIRES I - PUISSANCE D UN POINT PAR RAPPORT A UN CERCLE CERCLES ORTHOGONAUX POLES ET POLAIRES Théorème - Définition Soit un cercle (O,R) et un point. Une droite passant par coupe le cercle en deux points A et

Plus en détail

Exprimer ce coefficient de proportionnalité sous forme de pourcentage : 3,5 %

Exprimer ce coefficient de proportionnalité sous forme de pourcentage : 3,5 % 23 CALCUL DE L INTÉRÊT Tau d intérêt Paul et Rémi ont reçu pour Noël, respectivement, 20 et 80. Ils placent cet argent dans une banque, au même tau. Au bout d une année, ce placement leur rapportera une

Plus en détail

Développements limités, équivalents et calculs de limites

Développements limités, équivalents et calculs de limites Développements ités, équivalents et calculs de ites Eercice. Déterminer le développement ité en 0 à l ordre n des fonctions suivantes :. f() e (+) 3 n. g() sin() +ln(+) n 3 3. h() e sh() n 4. i() sin(

Plus en détail

SECTION GÉOTECHNIQUE DÉPARTEMENT DE GÉNIE CIVIL UNIVERSITÉ DE SHERBROOKE

SECTION GÉOTECHNIQUE DÉPARTEMENT DE GÉNIE CIVIL UNIVERSITÉ DE SHERBROOKE ANALYSE DYNAMIQUE DES PENTES ARGILEUSES ET DES REMBLAIS CONSTRUITS SUR DES DÉPÔTS D ARGILE SECTION GÉOTECHNIQUE DÉPARTEMENT DE GÉNIE CIVIL UNIVERSITÉ DE SHERBROOKE ANALYSE DYNAMIQUE DES PENTES ARGILEUSES

Plus en détail

PROBLEME(12) Première partie : Peinture des murs et du plafond.

PROBLEME(12) Première partie : Peinture des murs et du plafond. PROBLEME(12) Une entreprise doit rénover un local. Ce local a la forme d'un parallélépipède rectangle. La longueur est 6,40m, la largeur est 5,20m et la hauteur est 2,80m. Il comporte une porte de 2m de

Plus en détail

Chapitre 3. Les distributions à deux variables

Chapitre 3. Les distributions à deux variables Chapitre 3. Les distributions à deux variables Jean-François Coeurjolly http://www-ljk.imag.fr/membres/jean-francois.coeurjolly/ Laboratoire Jean Kuntzmann (LJK), Grenoble University 1 Distributions conditionnelles

Plus en détail

Surveillance et Detection des Anomalies. Diagnostic d une digue: rappel méthodologique

Surveillance et Detection des Anomalies. Diagnostic d une digue: rappel méthodologique Surveillance et Detection des Anomalies Diagnostic d une digue: rappel méthodologique issu de l expérience d EDF Jean-Paul BLAIS Service Géologie - Géotechnique EDF 1 La méthodologie utilisée par EDF,

Plus en détail

Chapitre 1 Régime transitoire dans les systèmes physiques

Chapitre 1 Régime transitoire dans les systèmes physiques Chapitre 1 Régime transitoire dans les systèmes physiques Savoir-faire théoriques (T) : Écrire l équation différentielle associée à un système physique ; Faire apparaître la constante de temps ; Tracer

Plus en détail

Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique

Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Rémy BOUET- DRA/PHDS/EDIS remy.bouet@ineris.fr //--12-05-2009 1 La modélisation : Les principes Modélisation en trois étapes : Caractériser

Plus en détail

Voyez la réponse à cette question dans ce chapitre. www.hometownroofingcontractors.com/blog/9-reasons-diy-rednecks-should-never-fix-their-own-roof

Voyez la réponse à cette question dans ce chapitre. www.hometownroofingcontractors.com/blog/9-reasons-diy-rednecks-should-never-fix-their-own-roof Une échelle est appuyée sur un mur. S il n y a que la friction statique avec le sol, quel est l angle minimum possible entre le sol et l échelle pour que l échelle ne glisse pas et tombe au sol? www.hometownroofingcontractors.com/blog/9-reasons-diy-rednecks-should-never-fix-their-own-roof

Plus en détail

1 Définition. 2 Systèmes matériels et solides. 3 Les actions mécaniques. Le système matériel : Il peut être un ensemble.un sous-ensemble..

1 Définition. 2 Systèmes matériels et solides. 3 Les actions mécaniques. Le système matériel : Il peut être un ensemble.un sous-ensemble.. 1 Définition GÉNÉRALITÉS Statique 1 2 Systèmes matériels et solides Le système matériel : Il peut être un ensemble.un sous-ensemble..une pièce mais aussi un liquide ou un gaz Le solide : Il est supposé

Plus en détail

ELASTICITE DE LA DEMANDE Calcul de l'elasticite & Applications Plan du cours I. L'elasticite de la demande & ses determinants II. Calcul de l'elasticite & pente de la courbe de demande III. Applications

Plus en détail

SSNL126 - Flambement élastoplastique d'une poutre droite. Deux modélisations permettent de tester le critère de flambement en élastoplasticité :

SSNL126 - Flambement élastoplastique d'une poutre droite. Deux modélisations permettent de tester le critère de flambement en élastoplasticité : Titre : SSNL16 - Flambement élastoplastique d'une poutre [...] Date : 15/1/011 Page : 1/6 Responsable : Nicolas GREFFET Clé : V6.0.16 Révision : 8101 SSNL16 - Flambement élastoplastique d'une poutre droite

Plus en détail

Cours de résistance des matériaux

Cours de résistance des matériaux ENSM-SE RDM - CPMI 2011-2012 1 Cycle Préparatoire Médecin-Ingénieur 2011-2012 Cours de résistance des matériau Pierre Badel Ecole des Mines Saint Etienne Première notions de mécanique des solides déformables

Plus en détail

Fonctions de plusieurs variables

Fonctions de plusieurs variables Module : Analyse 03 Chapitre 00 : Fonctions de plusieurs variables Généralités et Rappels des notions topologiques dans : Qu est- ce que?: Mathématiquement, n étant un entier non nul, on définit comme

Plus en détail

DISQUE DUR. Figure 1 Disque dur ouvert

DISQUE DUR. Figure 1 Disque dur ouvert DISQUE DUR Le sujet est composé de 8 pages et d une feuille format A3 de dessins de détails, la réponse à toutes les questions sera rédigée sur les feuilles de réponses jointes au sujet. Toutes les questions

Plus en détail

Union générale des étudiants de Tunisie Bureau de l institut Préparatoire Aux Etudes D'ingénieurs De Tunis. Modèle de compte-rendu de TP.

Union générale des étudiants de Tunisie Bureau de l institut Préparatoire Aux Etudes D'ingénieurs De Tunis. Modèle de compte-rendu de TP. Union générale des étudiants de Tunisie Modèle de compte-rendu de TP Dipôle RC Ce document a été publié pour l unique but d aider les étudiants, il est donc strictement interdit de l utiliser intégralement

Plus en détail

TRAVAUX PRATIQUES SCIENTIFIQUES SUR SYSTÈME

TRAVAUX PRATIQUES SCIENTIFIQUES SUR SYSTÈME Baccalauréat Professionnel SYSTÈMES ÉLECTRONIQUES NUMÉRIQUES Champ professionnel : Alarme Sécurité Incendie SOUS - EPREUVE E12 TRAVAUX PRATIQUES SCIENTIFIQUES SUR SYSTÈME Durée 3 heures coefficient 2 Note

Plus en détail

«Silva Cell Investir dans l infrastructure verte»

«Silva Cell Investir dans l infrastructure verte» «Silva Cell Investir dans l infrastructure verte» Silva Cell Module d enracinement pour arbres Application : - Le module Silva Cell crée un espace souterrain permettant l enracinement des arbres en ville.

Plus en détail

PROGRAMME D HABILETÉS EN FAUTEUIL ROULANT (WSP-F)

PROGRAMME D HABILETÉS EN FAUTEUIL ROULANT (WSP-F) PROGRAMME D HABILETÉS EN FAUTEUIL ROULANT (WSP-F) LIGNES DIRECTRICES POUR LE PARCOURS À OBSTACLES VERSION 4.1 CANADIENNE-FRANÇAISE Les activités d entraînement et d évaluation du WSP-F 4.1 peuvent se dérouler

Plus en détail

AC AB. A B C x 1. x + 1. d où. Avec un calcul vu au lycée, on démontre que cette solution admet deux solutions dont une seule nous intéresse : x =

AC AB. A B C x 1. x + 1. d où. Avec un calcul vu au lycée, on démontre que cette solution admet deux solutions dont une seule nous intéresse : x = LE NOMBRE D OR Présentation et calcul du nombre d or Euclide avait trouvé un moyen de partager en deu un segment selon en «etrême et moyenne raison» Soit un segment [AB]. Le partage d Euclide consiste

Plus en détail

TOUT CE QU IL FAUT SAVOIR POUR LE BREVET

TOUT CE QU IL FAUT SAVOIR POUR LE BREVET TOUT E QU IL FUT SVOIR POUR LE REVET NUMERIQUE / FONTIONS eci n est qu un rappel de tout ce qu il faut savoir en maths pour le brevet. I- Opérations sur les nombres et les fractions : Les priorités par

Plus en détail

10ème Congrès Français d'acoustique Lyon, 12-16 Avril 2010

10ème Congrès Français d'acoustique Lyon, 12-16 Avril 2010 1ème Congrès Français d'acoustique Lyon, 12-16 Avril 21 Identification du dommage par EA de stratifiés composites chargés en statique et cyclique M. Kharoubi 1, L. Fatmi 1, A. El Mahi 2, R. EL Guerjouma

Plus en détail

Projet de parc éolien en mer au large de Courseulles-sur-Mer

Projet de parc éolien en mer au large de Courseulles-sur-Mer ÉOLIENNES OFFSHORE DU CALVADOS avril 2013 Projet de parc éolien en mer au large de Courseulles-sur-Mer Synthèse d étude relative à la protection des câbles Sommaire 1. CONTEXTE ET OBJECTIF DE L ETUDE...

Plus en détail

Le théorème de Thalès et sa réciproque

Le théorème de Thalès et sa réciproque Le théorème de Thalès et sa réciproque I) Agrandissement et Réduction d une figure 1) Définition : Lorsque toutes les longueurs d une figure F sont multipliées par un même nombre k on obtient une autre

Plus en détail

ESSAIS DE CHARGEMENT DYNAMIQUES ET STATIQUES POUR FONDATIONS PROFONDES A L INES

ESSAIS DE CHARGEMENT DYNAMIQUES ET STATIQUES POUR FONDATIONS PROFONDES A L INES ESSAIS DE CHAGEMENT DYNAMIQUES ET STATIQUES POU FONDATIONS POFONDES A L INES Dynamic load testing and static compression test on fondation pile at the INES Jérôme GIPPON 1, aphaël DE TOUY 2 1 FANKI FONDATION

Plus en détail

Bac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures)

Bac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures) Bac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures) Eercice 1 (5 points) pour les candidats n ayant pas choisi la spécialité MATH Le tableau suivant donne l évolution du chiffre

Plus en détail

Activités numériques [13 Points]

Activités numériques [13 Points] N du candidat L emploi de la calculatrice est autorisé. Le soin, la qualité de la présentation entrent pour 2 points dans l appréciation des copies. Les résultats seront soulignés. La correction est disponible

Plus en détail

TP 3 diffusion à travers une membrane

TP 3 diffusion à travers une membrane TP 3 diffusion à travers une membrane CONSIGNES DE SÉCURITÉ Ce TP nécessite la manipulation de liquides pouvant tacher les vêtements. Le port de la blouse est fortement conseillé. Les essuie tout en papier

Plus en détail

MISAPOR verre cellulaire

MISAPOR verre cellulaire MISAPOR verre cellulaire Remblai allégé pour ouvrage en génie civile 2015-03 Suisse: Allemagne: France: MISAPOR AG Löserstrasse 2 CH-7302 Landquart Téléphone +41 81 300 08 08 Fax +41 81 300 08 09 info@misapor.ch

Plus en détail

Conception parasismique des diaphragmes de toit selon la norme CSA-S16

Conception parasismique des diaphragmes de toit selon la norme CSA-S16 Conception parasismique des diaphragmes de toit selon la norme CSA-S16 Robert Tremblay École Polytechnique, Montréal, Canada SCGC - Québec Québec, 16 Avril 2009 Plan 1. Information générale 2. Exemple

Plus en détail

1 Mise en application

1 Mise en application Université Paris 7 - Denis Diderot 2013-2014 TD : Corrigé TD1 - partie 2 1 Mise en application Exercice 1 corrigé Exercice 2 corrigé - Vibration d une goutte La fréquence de vibration d une goutte d eau

Plus en détail

LA MESURE DE PRESSION PRINCIPE DE BASE

LA MESURE DE PRESSION PRINCIPE DE BASE Page 1 / 6 LA MESURE DE PRESSION PRINCIPE DE BASE 1) Qu est-ce qu un sensor de pression? Tout type de sensor est composé de 2 éléments distincts : Un corps d épreuve soumit au Paramètre Physique φ à mesurer

Plus en détail

Chafa Azzedine - Faculté de Physique U.S.T.H.B 1

Chafa Azzedine - Faculté de Physique U.S.T.H.B 1 Chafa Azzedine - Faculté de Physique U.S.T.H.B 1 Définition: La cinématique est une branche de la mécanique qui étudie les mouements des corps dans l espace en fonction du temps indépendamment des causes

Plus en détail

LES LOIS PHYSIQUES APPLIQUÉES AUX DEUX-ROUES : 1. LA FORCE DE GUIDAGE

LES LOIS PHYSIQUES APPLIQUÉES AUX DEUX-ROUES : 1. LA FORCE DE GUIDAGE LES LOIS PHYSIQUES APPLIQUÉES AUX DEUX-ROUES : 1. LA FORCE DE GUIDAGE 2. L EFFET GYROSCOPIQUE Les lois physiques qui régissent le mouvement des véhicules terrestres sont des lois universelles qui s appliquent

Plus en détail

Compte rendu de LA37 B, TP numéro 1. Evolution de la température et du degrée d'hydratation

Compte rendu de LA37 B, TP numéro 1. Evolution de la température et du degrée d'hydratation 4 6 8 2 4 8 22 26 3 34 38 42 46 5 54 58 62 66 7 74 78 83 89 96 8 44 Bertin Morgan Compte rendu de LA37 B, TP numéro. Les essais effectués par le laboratoire des ponts et chaussés nous ont fournis la température

Plus en détail

TP 7 : oscillateur de torsion

TP 7 : oscillateur de torsion TP 7 : oscillateur de torsion Objectif : étude des oscillations libres et forcées d un pendule de torsion 1 Principe général 1.1 Définition Un pendule de torsion est constitué par un fil large (métallique)

Plus en détail

Formation appliquée aux missions d'expertises sinistres PLAN DE FORMATION

Formation appliquée aux missions d'expertises sinistres PLAN DE FORMATION mail: d2geo@yahoo.fr Page 1/6 PLAN DE FORMATION Formation réalisée en deux partie distinctes Durée totale de la formation 2 jours Présentation Cette première partie est enseignée en trois modules: a) Notions

Plus en détail

Opérations de base sur ImageJ

Opérations de base sur ImageJ Opérations de base sur ImageJ TPs d hydrodynamique de l ESPCI, J. Bico, M. Reyssat, M. Fermigier ImageJ est un logiciel libre, qui fonctionne aussi bien sous plate-forme Windows, Mac ou Linux. Initialement

Plus en détail

Mesure d angles et trigonométrie

Mesure d angles et trigonométrie Thierry Ciblac Mesure d angles et trigonométrie Mesure de l angle de deux axes (ou de deux demi-droites) de même origine. - Mesures en degrés : Divisons un cercle en 360 parties égales définissant ainsi

Plus en détail

Cours de Résistance des Matériaux (RDM)

Cours de Résistance des Matériaux (RDM) Solides déformables Cours de Résistance des Matériau (RDM) Structure du toit de la Fondation Louis Vuitton Paris, architecte F.Gehry Contenu 1 POSITIONNEMENT DE CE COURS... 2 2 INTRODUCTION... 3 2.1 DEFINITION

Plus en détail

6 ème. Rallye mathématique de la Sarthe 2013/2014. 1 ère épreuve de qualification : Problèmes Jeudi 21 novembre 2013

6 ème. Rallye mathématique de la Sarthe 2013/2014. 1 ère épreuve de qualification : Problèmes Jeudi 21 novembre 2013 Retrouver tous les sujets, les corrigés, les annales, les finales sur le site du rallye : http://sarthe.cijm.org I Stéphane, Eric et Christophe sont 3 garçons avec des chevelures différentes. Stéphane

Plus en détail

Caractéristiques des ondes

Caractéristiques des ondes Caractéristiques des ondes Chapitre Activités 1 Ondes progressives à une dimension (p 38) A Analyse qualitative d une onde b Fin de la Début de la 1 L onde est progressive puisque la perturbation se déplace

Plus en détail

Soutènements avec armature Utilisation de pneumatiques usagés

Soutènements avec armature Utilisation de pneumatiques usagés Soutènements avec armature Utilisation de pneumatiques usagés NGUYEN THANH LONG Ingénieur civil des Ponts et Chaussées Section Géologie et matériaux Laboratoire central des Ponts et Chaussées Philippe

Plus en détail

Chapitre 3. Quelques fonctions usuelles. 1 Fonctions logarithme et exponentielle. 1.1 La fonction logarithme

Chapitre 3. Quelques fonctions usuelles. 1 Fonctions logarithme et exponentielle. 1.1 La fonction logarithme Chapitre 3 Quelques fonctions usuelles 1 Fonctions logarithme et eponentielle 1.1 La fonction logarithme Définition 1.1 La fonction 7! 1/ est continue sur ]0, +1[. Elle admet donc des primitives sur cet

Plus en détail

Exercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part

Exercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part Eercices Alternatifs Une fonction continue mais dérivable nulle part c 22 Frédéric Le Rou (copyleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: applications-continues-non-derivables/. Version

Plus en détail

Le point de vue du contrôleur technique

Le point de vue du contrôleur technique Le point de vue du contrôleur technique mars 2010 P-E Thévenin Contrôle technique en zone sismique le contrôle technique missions et finalité contrôle technique obligatoire les attestations PS de contrôle

Plus en détail

SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION)

SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Terminale S CHIMIE TP n 2b (correction) 1 SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Objectifs : Déterminer l évolution de la vitesse de réaction par une méthode physique. Relier l absorbance

Plus en détail

Développements limités. Notion de développement limité

Développements limités. Notion de développement limité MT12 - ch2 Page 1/8 Développements limités Dans tout ce chapitre, I désigne un intervalle de R non vide et non réduit à un point. I Notion de développement limité Dans tout ce paragraphe, a désigne un

Plus en détail

Bureau : 238 Tel : 04 76 82 58 90 Email : dominique.muller@upmf-grenoble.fr

Bureau : 238 Tel : 04 76 82 58 90 Email : dominique.muller@upmf-grenoble.fr Dominique Muller Laboratoire Inter-universitaire de Psychologie Bureau : 238 Tel : 04 76 82 58 90 Email : dominique.muller@upmf-grenoble.fr Supports de cours : webcom.upmf-grenoble.fr/lip/perso/dmuller/m2r/acm/

Plus en détail

HISTORIQUE DU MOTEUR DIESEL

HISTORIQUE DU MOTEUR DIESEL HISTORIQUE DU MOTEUR DIESEL Mr DIESEL et son œuvre De parents allemands, Rodolphe Diesel est né le 18 mars 1858 il fit ses premières études en France, puis en Allemagne à Augsbourg où il passe avec succès

Plus en détail

Contribution à la conception par la simulation en électronique de puissance : application à l onduleur basse tension

Contribution à la conception par la simulation en électronique de puissance : application à l onduleur basse tension Contribution à la conception par la simulation en électronique de puissance : application à l onduleur basse tension Cyril BUTTAY CEGELY VALEO 30 novembre 2004 Cyril BUTTAY Contribution à la conception

Plus en détail

Continuité et dérivabilité d une fonction

Continuité et dérivabilité d une fonction DERNIÈRE IMPRESSIN LE 7 novembre 014 à 10:3 Continuité et dérivabilité d une fonction Table des matières 1 Continuité d une fonction 1.1 Limite finie en un point.......................... 1. Continuité

Plus en détail

Cours 9. Régimes du transistor MOS

Cours 9. Régimes du transistor MOS Cours 9. Régimes du transistor MOS Par Dimitri galayko Unité d enseignement Élec-info pour master ACSI à l UPMC Octobre-décembre 005 Dans ce document le transistor MOS est traité comme un composant électronique.

Plus en détail

Les sols, terreau fertile pour l EDD Fiche activité 3 Que contient un sol?

Les sols, terreau fertile pour l EDD Fiche activité 3 Que contient un sol? Les sols, terreau fertile pour l EDD Fiche activité 3 Que contient un sol? Introduction La vie végétale et animale, telle que nous la connaissons, n'existerait pas sans la terre fertile qui forme à la

Plus en détail

Oscillations libres des systèmes à deux degrés de liberté

Oscillations libres des systèmes à deux degrés de liberté Chapitre 4 Oscillations libres des systèmes à deux degrés de liberté 4.1 Introduction Les systèmes qui nécessitent deux coordonnées indépendantes pour spécifier leurs positions sont appelés systèmes à

Plus en détail

FONCTIONS DE PLUSIEURS VARIABLES (Outils Mathématiques 4)

FONCTIONS DE PLUSIEURS VARIABLES (Outils Mathématiques 4) FONCTIONS DE PLUSIEURS VARIABLES (Outils Mathématiques 4) Bernard Le Stum Université de Rennes 1 Version du 13 mars 2009 Table des matières 1 Fonctions partielles, courbes de niveau 1 2 Limites et continuité

Plus en détail

Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER. Laure Delaporte ConstruirAcier. Jérémy Trouart Union des Métalliers

Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER. Laure Delaporte ConstruirAcier. Jérémy Trouart Union des Métalliers Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER Laure Delaporte ConstruirAcier Jérémy Trouart Union des Métalliers Jean-Marc SCHAFFNER des Ateliers SCHAFFNER chef de file du GT4 Jérémy TROUART de l Union des Métalliers

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE SUR LA FERTILISATION DE LA PASTEQUE

FICHE TECHNIQUE SUR LA FERTILISATION DE LA PASTEQUE FICHE TECHNIQUE SUR LA FERTILISATION DE LA PASTEQUE 2 I- JUSTIFICATION La consommation de la pastèque est en nette expansion en réponse à une forte demande nationale et régionale ; Cependant la production

Plus en détail

LES FONDATIONS SUPERFICIELLES POUR L INDUSTRIE OFFSHORE DU PÉTROLE ET DU GAZ

LES FONDATIONS SUPERFICIELLES POUR L INDUSTRIE OFFSHORE DU PÉTROLE ET DU GAZ FONDSUP 23 ol. 2. Magnan (ed.) 24, Presses de l ENPC/LCPC, Paris LES FONDATIONS SUPERFICIELLES POUR L INDUSTRIE OFFSORE DU PÉTROLE ET DU GAZ SALLOW FOUNDATIONS FOR TE OFFSORE OIL AND GAS INDUSTRY Alain

Plus en détail

Exemples d utilisation de G2D à l oral de Centrale

Exemples d utilisation de G2D à l oral de Centrale Exemples d utilisation de G2D à l oral de Centrale 1 Table des matières Page 1 : Binaire liquide-vapeur isotherme et isobare Page 2 : Page 3 : Page 4 : Page 5 : Page 6 : intéressant facile facile sauf

Plus en détail

Image d un intervalle par une fonction continue

Image d un intervalle par une fonction continue DOCUMENT 27 Image d un intervalle par une fonction continue La continuité d une fonction en un point est une propriété locale : une fonction est continue en un point x 0 si et seulement si sa restriction

Plus en détail

Chapitre 2 : Caractéristiques du mouvement d un solide

Chapitre 2 : Caractéristiques du mouvement d un solide Chapitre 2 : Caractéristiques du mouvement d un solide I Rappels : Référentiel : Le mouvement d un corps est décris par rapport à un corps de référence et dépend du choix de ce corps. Ce corps de référence

Plus en détail

Guilhem MOLLON. Polytech Grenoble Département Géotechnique, Troisième année Edition 1, 2012-2013 V1.10

Guilhem MOLLON. Polytech Grenoble Département Géotechnique, Troisième année Edition 1, 2012-2013 V1.10 INTRODUCTION A LA MECANIQUE DES MILIEUX CONTINUS PARTIE 2 Guilhem MOLLON Polytech Grenoble Département Géotechnique, Troisième année Edition 1, 212-213 V1.1 Table des matières Table des matières 2 Avertissement

Plus en détail

Calcul intégral élémentaire en plusieurs variables

Calcul intégral élémentaire en plusieurs variables Calcul intégral élémentaire en plusieurs variables PC*2 2 septembre 2009 Avant-propos À part le théorème de Fubini qui sera démontré dans le cours sur les intégrales à paramètres et qui ne semble pas explicitement

Plus en détail

Chapitre 2 Caractéristiques des ondes

Chapitre 2 Caractéristiques des ondes Chapitre Caractéristiques des ondes Manuel pages 31 à 50 Choix pédagogiques Le cours de ce chapitre débute par l étude de la propagation des ondes progressives. La description de ce phénomène est illustrée

Plus en détail

Les techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales. Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel

Les techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales. Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel Les techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel Plan de présentation Présentation Saint Dizier environnement Les techniques alternatives La maîtrise

Plus en détail

Comparaison de fonctions Développements limités. Chapitre 10

Comparaison de fonctions Développements limités. Chapitre 10 PCSI - 4/5 www.ericreynaud.fr Chapitre Points importants 3 Questions de cours 6 Eercices corrigés Plan du cours 4 Eercices types 7 Devoir maison 5 Eercices Chap Et s il ne fallait retenir que si points?

Plus en détail

Exo7. Limites de fonctions. 1 Théorie. 2 Calculs

Exo7. Limites de fonctions. 1 Théorie. 2 Calculs Eo7 Limites de fonctions Théorie Eercice Montrer que toute fonction périodique et non constante n admet pas de ite en + Montrer que toute fonction croissante et majorée admet une ite finie en + Indication

Plus en détail

DÉVERSEMENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYMÉTRIQUE SOUMISE À DES MOMENTS D EXTRÉMITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE

DÉVERSEMENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYMÉTRIQUE SOUMISE À DES MOMENTS D EXTRÉMITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE Revue Construction étallique Référence DÉVERSEENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYÉTRIQUE SOUISE À DES OENTS D EXTRÉITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE par Y. GALÉA 1 1. INTRODUCTION Que ce

Plus en détail

ConSolidation de talus en béton

ConSolidation de talus en béton données techniques ConSolidation de talus en béton SolutionS par passion 4 Consolidation de talus en béton 4 Introduction 5 Sols meubles et sols rocheux 5 Types de sols 5 Talus naturels / Glissements

Plus en détail

Dérivation : Résumé de cours et méthodes

Dérivation : Résumé de cours et méthodes Dérivation : Résumé de cours et métodes Nombre dérivé - Fonction dérivée : DÉFINITION (a + ) (a) Etant donné est une onction déinie sur un intervalle I contenant le réel a, est dérivable en a si tend vers

Plus en détail

DURÉE DU JOUR EN FONCTION DE LA DATE ET DE LA LATITUDE

DURÉE DU JOUR EN FONCTION DE LA DATE ET DE LA LATITUDE DURÉE DU JUR E FCTI DE LA DATE ET DE LA LATITUDE ous allons nous intéresser à la durée du jour, prise ici dans le sens de période d éclairement par le Soleil dans une journée de 4 h, en un lieu donné de

Plus en détail

Chapitre 3 Les régimes de fonctionnement de quelques circuits linéaires

Chapitre 3 Les régimes de fonctionnement de quelques circuits linéaires Chapitre 3 Les régimes de fonctionnement de quelques circuits linéaires 25 Lechapitreprécédent avait pour objet l étude decircuitsrésistifsalimentéspar dessourcesde tension ou de courant continues. Par

Plus en détail

Module d Electricité. 2 ème partie : Electrostatique. Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere

Module d Electricité. 2 ème partie : Electrostatique. Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere Module d Electricité 2 ème partie : Electrostatique Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere 1 Introduction Principaux constituants de la matière : - protons : charge

Plus en détail

Principe d assemblage Structure modulaire CAPENA bassin rectangulaire avec escalier Hauteur panneaux 1,2 ou 1,5 mètres Montage sur pieds

Principe d assemblage Structure modulaire CAPENA bassin rectangulaire avec escalier Hauteur panneaux 1,2 ou 1,5 mètres Montage sur pieds Principe d assemblage Structure modulaire CAPENA bassin rectangulaire avec escalier Hauteur panneaux 1,2 ou 1,5 mètres Montage sur pieds CAPENA GmbH - PISCINES - Gruber Strasse 6-85551 KIRCHHEIM Allemagne

Plus en détail

Initiation à la Mécanique des Fluides. Mr. Zoubir HAMIDI

Initiation à la Mécanique des Fluides. Mr. Zoubir HAMIDI Initiation à la Mécanique des Fluides Mr. Zoubir HAMIDI Chapitre I : Introduction à la mécanique des fluides 1 Introduction La mécanique des fluides(mdf) a pour objet l étude du comportement des fluides

Plus en détail

Vis à billes de précision à filets rectifiés

Vis à billes de précision à filets rectifiés sommaire Calculs : - Capacités de charges / Durée de vie - Vitesse et charges moyennes 26 - Rendement / Puissance motrice - Vitesse critique / Flambage 27 - Précharge / Rigidité 28 Exemples de calcul 29

Plus en détail