TRAVAUX DIRIGÉS: GESTION DES RESSOURCES NATURELLES

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1 1 2 DÉPARTEMENT DE GÉOGRAPHIE. TRAVAUX DIRIGÉS: GESTION DES RESSOURCES NATURELLES ASSURÉS PAR : BRAHIM JAZIRI, THÈMES D ÉTUDE 2 thèmes d étude: I- La gestion des ressources en eau II- La gestion des ressources forestières 1

2 3 4 ENJEU MAJEUR DU DÉVELOPPEMENT DURABLE EN TUNISIE PLAN TD 1- Les ressources en eau en Tunisie TD 2- Les institutions de la gestion de l eau en Tunisie : du national au local TD 3- La mobilisation des eaux de surface en Tunisie 2

3 5 6 TD 1- LES RESSOURCES EN EAU EN TUNISIE Les apports hydriques en Tunisie sont fournis par: Les eaux de surface Les eaux souterraines POTENTIEL EN EAU Le potentiel en eau de la Tunisie est modeste. Ce potentiel est inégalement réparti dans les régions. 75% des ressources en eau sont renouvelables. 3

4 7 8 POTENTIEL EN EAU Les eaux de surfaces et les eaux souterraines sont estimés à 4840 Mm 3 : - Eaux de surface: 2700 Mm 3 - Eaux souterraines: 2140 Mm 3 : 740Mm 3 proviennent des nappes phréatiques 1400 Mm 3 des nappes profondes LES PLUIES Situation géographique: sur la rive sud de la Méditerranée 400 Climat méditerranéen 400 Caractéristique : pluies hivernales et sécheresse estivale. Les quantités de pluies sont modestes La moyenne du territoire est de 200mm/an 4

5 9 10 LES PLUIES L isohyète 400mm/an sépare une Tunisie tellienne humide au Nord, et le reste du pays plus secs. Les totaux annuels ne dépassent pas 50mm/an dans l extrême sud Irrégularité temporelle et une mauvaise distribution spatiale LE RÉSEAU HYDROGRAPHIQUE Le réseau hydrographique tunisien est formé de cours d eau caractérisés par: des longueurs modestes. un régime d écoulement saisonnier. une irrégularité des écoulements. La Medjerda est le cours d eau le plus important en Tunisie. Ce fleuve est long de 600km dont 484 km en Tunisie. 5

6 11 12 Source de données :Direction Générale des Ressources en Eaux, Les 3 systèmes du Tell ( Extrême Nord-Ichkeul-Medjerda) détiennent 72,6% des apports hydriques alors qu ils ne représentent que le 1/3 du pays. La Tunisie reçoit en moyenne 36 Milliards de m 3 /an d eau de pluie. Ce volume est inégalement répartit: dans l espace: le Nord humide (1590 mm/an à Aïn Draham au nord-ouest) et le Sud sec (90 mm/an à Kébili au sud-ouest) dans le temps: variabilité d une année à une autre. Il peut être égal à 11 Milliards de m 3 en année sèche comme il peut atteindre 90 Milliards de m 3 en année humide 6

7 13 14 Pluie annuelle régionale du Nord-Est de la Tunisie ( ) Source des données brutes : Direction Générale des Ressources en Eau. LES NAPPES PHRÉATIQUES Les nappes phréatiques sont celles situées à une profondeur inférieure à 50 m ( code de l eau, 1975) La Tunisie compte 215 entités dont 40% sont localisés au Nord, 44% au Centre et 26% au Sud. Les nappes phréatiques représentent 16% du potentiel hydrique global du pays. 7

8 15 16 LES NAPPES PHRÉATIQUES Le volume total des ressources exploitables est évalué à 746,7 Mm 3 alors que le volume exploité est de 777,8 Mm 3 soit un taux d exploitation global de 106% une surexploitation surtout celles situées au Centre 111%. 12 nappes seulement présentent une salinité inférieure 1,5g/litre. LES NAPPES PROFONDES Les nappes phréatiques sont celles situées à une profondeur supérieure à 50 m ( code de l eau, 1975) La Tunisie compte 280 entités dont 21% sont localisés au Nord, 23% au Centre et 56% au Sud. Elles représentent 28% du potentiel hydrique global du pays. Le volume total des ressources est évalué à 1411,5 Mm 3 dont 43% sont non renouvelables. 8

9 17 18 LES NAPPES PROFONDES Les principales nappes: Nappe du Continental Intercalaire s étend sur km² (Grand Erg Oriental). Sa profondeur varie de 1 à 2,5 km. Nappe du Complexe Terminal s étale sur km². en Tunisie on la trouve dans les aquifères du Jerid et de Nefzaoua. Sa profondeur varie de 100 à 600 m. La nappe de la Jeffera (entre Gabès et Zarzis) alimentée essentiellement par la nappe du Continental Intercalaire. Sa profondeur varie de 100 à 300 m. Source d'eau chaude à Tozeur 9

10 19 20 La variabilité spatio-temporelle des ressources hydrique oblige la Tunisie à adopter une stratégie spécifique de la gestion des ressources en eau. Cette gestion consiste à gérer l abondance et la pénurie en eau. La stratégie repose sur création des réserves pendant les années humides pour faire face au manque de l eau au cours des années sèches. Cette gestion repose sur la complémentarité entre les eaux de surface et les nappes souterraines. 10

11 21 22 TD 2- LA GESTION DE EAU EN TUNISIE La gestion de l eau est définit selon: L offre et la demande Une stratégie selon les objectifs 1- L ÉTAT DE LA DEMANDE EN EAU La demande en eau dépend de: Besoins Développement socioéconomique Demande en eau Population Taux d urbanisation Accroissement démographique 11

12 ,3 2,5 Évolution de la population et de son taux d accroissement en Tunisie depuis l indépendance 2, ,5 % , , , , , * 2030* 2040* 0 Population Taux d'accroiseement moyen annuel * Estimations Sources des donnés brutes: INS, 2016 La Tunisie compte aujourd hui 10,9 millions d habitants. En 1956 elle était 3,8 millions et elle sera 13,4 millions en ,3 2,5 Évolution de la population et de son taux d accroissement en Tunisie depuis l indépendance 2, ,5 % , , , , , * 2030* 2040* 0 Population Taux d'accroiseement moyen annuel * Estimations Sources des donnés brutes: INS, 2016 Elle a connu une croissance démographique importante au cours des années 60, 70 et 80 mais cette croissance est de plus en plus maîtrisée. 12

13 ,0 % Évolution du taux d urbanisation en Tunisie 70,0 60,0 61,0 64,9 67,7 50,0 40,0 30,0 40,1 47,5 52,8 20,0 10,0 0, La population urbaine a connu une croissance générale de 40,1% en 1966 à 67,7% en 2014 mais avec rythme variable. L augmentation de la population et du taux d urbanisation engendrent une augmentation de la demande globale en eau mais la maîtrise de la croissance démographique permet une meilleure gestion de la demande en eau. Le développement socio-économique que connaît la Tunisie peut donner lieu à une croissance de la demande en eau par tête d habitant Litres / hab / jour Litres / hab / jour 13

14 27 28 Les fondements d une gestion des ressources en eau nécessitent: Un appareil institutionnel et juridique Une stratégie claire Un système de mise en œuvre Un système de contrôle Les fondements d une gestion des ressources en eau nécessitent: Un appareil institutionnel et juridique Il englobe l ensemble des sociétés, des administrations et officiers considérés comme les organes chargés d assurer la gestion. L appareil juridique regroupe la législation (textes de lois, code des eaux) nécessaires pour garantir une bonne gestion. 14

15 29 30 Les fondements d une gestion des ressources en eau nécessitent: Une stratégie claire Elle définie avec des objectifs clairs à atteindre à cour, moyen et long termes pour la mobilisation des ressources et la planification des temps de réalisation. Les fondements d une gestion des ressources en eau nécessitent: Un système de mise en œuvre Il applique les stratégies et la réalisation des plans élaborés par les différents appareil de l Etat. 15

16 31 32 Les fondements d une gestion des ressources en eau nécessitent: Un système de contrôle Son rôle se résume dans le suivi et le contrôle de l arbitrage des ressources en eau. TD2: LES INSTITUTIONS DE LA GESTION DE L EAU EN TUNISIE : DU NATIONAL AU LOCAL 16

17 L histoire de la politique hydraulique en Tunisie Décret beylicale du 28 septembre 1885: Instauration de la domanialité publique des ressources en eau Création de la première association d usagers de l eau d irrigation ou «syndicat d arrosage» dans la région Sud ( Zarzis, les Oasis du Djérid) à partir de 1923 Le cadre juridique des associations s est renforcé progressivement dans le temps, les associations syndicales des propriétaires des oasis sont apparues. Ces dispositions se sont étendues ensuite à d autres formes de gestion communautaire de l eau comme les associations spéciales d intérêt hydraulique, Cette gestion communautaire s est confiée aux associations d usagers de l eau du domaine de l Etat (les Associations d Intérêt Collectif AIC) Avant l indépendance, la gestion des ressources hydriques était participative Après l indépendance, La création des Offices de mise en valeur agricole (OMIVA) chargés de gérer les périmètres publics irrigués Les Commissariats régionaux au développement agricole (CRDA) étant chargés de la réalisation et de la maintenance des aménagements hydrauliques Le gouvernement a mis au point le cadre législatif sous la forme de lois et règles dans le «Code des Eaux». Il organise l utilisation de l eau en Tunisie Jusqu à 1990, La maîtrise de l eau est gérée par l Etat susceptible d assurer l arbitrage, mobiliser les ressources nécessaires et utiliser des techniques plus avancées. Gestion centralisée 1990 Pour décentraliser la gestion des périmètres irrigués et contribuer au passage d une gestion de l offre à une gestion de la demande, les 13 offices (OMIVA) ont été dissous et la gestion confiée à des groupements d intérêt collectif (G.I.C.) 1998 et 2004 La Stratégie nationale d économie de l eau a été lancée afin d améliorer l efficience des réseaux collectifs d irrigation et de promouvoir des techniques d irrigation économes en eau. À partir de 1990, retour à Gestion participative de l eau en Tunisie par la création des Groupements de Développement Agricole 17

18 35 36 L organisation du système d'institutions pour la gestion de l'eau en Tunisie s effectue selon diverses échelles. Au niveau national, Le ministère de l agriculture et des ressources hydriques se place au sommet des institutions du domaine public hydraulique. Ce ministère joue le rôle d'arbitre entre les différents usages sectoriels de l'eau. Il planifie les grandes stratégies nationales futures en matière de la gestion des ressources hydriques. 18

19 37 38 Au niveau national, La gestion des barrages est confiée à la Direction Générale des Barrages et des Grands Travaux Hydrauliques (DGBGTH). Dans le réseau d organismes, le Comité National de l Eau joue le rôle de coordinateur entre administration et usagers. Au niveau régional, Les CRDA, à travers différentes directions (eaux, sols, CES, génie rural ) veillent au suivi des ressources hydriques et de la réalisation des projets régionaux d'irrigation et l'alimentation en eau potable. Le secrétariat d Etat à la ressource hydraulique se voue à la coordination et la supervision des activités de développement de l eau. 19

20 39 40 Au niveau local, À partir de 1990, ce sont les Groupements d Intérêt Hydraulique (GIH) ou Groupements d Intérêt Collectif (GIC) que la gestion est confiée. (elle était confiés aux Offices de mise en valeur agricole (OMIVA)) En 2004, les groupements d intérêt collectif créés couvrent plus de ha (67 % des périmètres publics irrigués). Cependant, seulement 25% des groupements est capable d assurer une bonne gestion. 20

21 41 42 Les organismes publics autonomes Les organismes publics autonomes s engagent à distribuer l eau suivant le principe de priorités régionales et sectorielles (secteurs considérés stratégiques comme l irrigation, l eau potable, le tourisme, l industrie ) Le SECADENORD est chargé de l exploitation des infrastructures de transfert tel que le canal Medjerda et des adductions du Nord. 21

22 43 44 La SONEDE est chargée de l exploitation et de la distribution de l eau potable pour les villes et agglomération de plus 2500 habitants Nombre d'abonnés à la SONEDE Nombre d'abonnés Source: 22

23 Volume d eau produit et distribué par la SONEDE 646, , ,8 345,5 331,5 478, , Volume d'eau produit (en Mm³) Volume d'eau distribué (en Mm³) Source: Taux de desserte en eau selon le milieu Taux de desserte en milieu urbain (en %) Taux de desserte en milieu rural (en %) Source: 23

24 47 48 ONAS Organisme public autonome est sous la tutelle du ministère de l environnement. L ONAS assure un traitement des eaux usées L ONAS dispose de son propre réseau de raccordement aux usagers ou aux divers réseaux publics. Le volume d eau traitée est passé de 6 millions m 3 par an en 1975 à 241,7 millions m 3 par an en 2015 avec une amplitude régressive entre le volume d eau distribuée et le volume d eau traitée. Ces eaux usées traitées constituent une ressource alternative utilisée actuellement à concurrence de 20 % en agriculture irriguée. 24

25 Volume d'eau traitée dans les stations d épuration en Mm

26 51 52 L alimentation en eau potable (AEP) - La politique d'alimentation en eau potable en Tunisie se fonde sur le principe d'équité sociale et inter-régionale. - Cette politique vise à réduire les écarts entre populations citadines et rurales d une part et entre régions en situation de pénurie et d'excédent hydrique d autre part. - A la base de l ossature de la gestion de l eau, on trouve les usagers de l eau. Les ruraux non branchés à la SONEDE sont approvisionnés en eaux par la Direction Générale du Génie Rural (DGGR). TD 3: LA MOBILISATION DES EAUX DE SURFACE EN TUNISIE 26

27 53 54 LES BARRAGES L Etat tunisien a hérité trois barrages de l époque coloniale : barrage Mellègue, barrage beni Metir et barrage el Kebir sur l oued Miliane localisé à 70 kilomètres au Sud-Est de Tunis. Ce dernier a été mis en eau en 1928 pour l'alimentation en eau potable de la capitale. Il est aujourd hui totalement colmaté. Barrage El Kebir sur l oued Miliane localisé à 70 km au Sud-Est de Tunis. Il a été mis en eau en 1928 pour l'alimentation en eau potable de la capitale. Il est aujourd hui totalement colmaté. 27

28 d-maps.com Les grands barrages sont édifiés surtout dans le Nord du pays. Les barrages tunisiens se caractérisent par leur interconnexion. Ceci permet le transfert, par gravité, de l eau des barrages situés à l amont vers les barrages situés à l aval. Le transfert est assuré par des cours d eau naturels ou rectifiés ou bien par des canaux en béton. Les barrages situés en aval forment le «terminus» du réseau. L eau ainsi captée sera destinée pour les secteurs de consommation d eau potable ou industrielle autrement dit les agglomérations. Une bonne partie de cette eau est destinée aux périmètres irrigués qui atteindront hectares en Zone de production (les châteaux d eau) Zone de consommation (villes et périmètres irrigués) 100 km 60 mi 28

29 57 58 En 2016, On compte 36 grands barrages répartis dans les Mogods, le Tell, la Dorsale et le Cap Bon. Ce chiffre va s accroître après l achèvement des barrages situés surtout dans le système de l Extrême Nord. Il existe aussi plus de 200 barrages collinaires et 1000 Les barrages en Tunisie lacs collinaires. Le barrage Sidi Salem, construit en 1981 sur le cours principal de la Medjerda, est le barrage le plus important de la Tunisie avec une capacité de stockage qui dépasse 762 millions m 3. Viennent ensuite les barrages édifiés sur le système Extrême Nord qui avec 4 grands barrages stockent 411 millions m 3. Capacité de stockage des barrages tunisiens en millions de m3 29

30 59 60 LE TRANSFERT DE L EAU Le transfert de l eau sur de longues distances n est pas nouveau en Tunisie. Des aqueducs existaient depuis l antiquité. Cela témoigne d un savoir-faire ancestral face à la pénurie d eau. Canal en Béton (canal Medjerda-Cap Bon Cours d eau rectifié (sejnane) 30

31 61 62 Au total, des centaines de kilomètres de conduite, sous forme de cours d eau, des conduites pour l eau potable ou à usage mixte eau potable et agriculture, forment le réseau de transfert des eaux en Tunisie. RÉSEAU DE TRANSFERT On reconnait 2 grandes conduites de transfert inter-régionaux: Un sous-système de transfert Ouest-Est: Il s organisa autour du barrage Sidi Salem et du barrage de déviation de Laroussia et du canal Medjerda Cap Bon. Il assure une quantité de 163 millions de m 3 (en 1997) vers les périmètres irrigués de la basse Medjerda et le cap bon (72,6 mm3) et les villes du Grand Tunis, Cap Bon, Sahel et Sfax (90,4 m 3 ) 31

32 63 64 Barrage de déviation de Laroussia Canal Medjerda Cap Bon. RÉSEAU DE TRANSFERT On reconnait 2 grandes conduites de transfert inter-régionaux: Un sous-système de transfert Nord-Sud: Il s organisa autour du barrage Sejnane et Joumine et l aval au système de transfert Medjerda. Le barrage de Sejnane joue le rôle de collecteur et de transit des ressources hydriques provenant des barrages ziatine, sidi barrak, gamgoum. Le transfert interrégional est assuré par le canal Joumine et la Conduite Ichkeul Medjerda qui atteignent la station de Béli au Cap bon 32

33 65 66 Canaux de transfert Barrage Sejnane Barrage Sibi Barrak, Béja Crédit photo: Brahim Jaziri,

34 67 68 Barrage Bni Metir, Jendouba Crédit photo: Wikipédia Barrage sibi Salem, Béja Crédit photo: Atlas des Paysages de la Tunisie,

35 69 70 Barrage Nebeur, El Kef Crédit photo: Atlas des Paysages de la Tunisie, CONCLUSION Malgré les efforts de l Etat dans la gestion de l eau, la Tunisie est en situation de stress hydrique selon les normes de la banque mondiale avec moins de 500 m 3 /hab/an. La demande ne cesse de s accroître avec une stagnation des ressources. La stratégie nationale dans les années futures consiste à chercher des ressources non conventionnelles. Certains paramètres doivent être pris en compte. Une gestion rationnelle des ressources est fortement exigée. Elle consiste à maîtriser la consommation par la sensibilisation des utilisateurs de façon directe ou par mass médias. 35

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