Travaux dirigés Objectif logements : une opération politique parachutée confrontée à des stratégies d acteurs divergentes
|
|
- Raymond Léger
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 BESCHI Sébastien BRENAS Anne-Cécile CALLY Sanjay CROZE Christine OREGLIA Chloé VERBEKE Eric Session de décembre : habitat et logement social Travaux dirigés Objectif logements : une opération politique parachutée confrontée à des stratégies d acteurs divergentes Master 2 Urbanisme et projet urbain
2 Introduction L opération « logements» lancée en octobre 2008 par le gouvernement s inscrit dans un contexte très particulier : celui de la crise financière, économique et immobilière mondiale. Cette opération s inscrit dans la volonté de relancer la croissance économique et ainsi de faire face à la crise par la relance de l activité du Bâtiment et des Travaux Publics (BTP), levier principal de l activité économique. Face au contexte immobilier, l opération « logements» consiste à proposer aux bailleurs sociaux le rachat d autant de logement en Vente en l Etat Futur d Achèvement (VEFA) non commercialisés par les promoteurs privés. Christine BOUTIN, ministre du logement et de la ville, prévoit une enveloppe de 80 millions d euros pour financer ces opérations locatives sociales. Cette opération suppose un montage foncier et financier complexe et atypique, un partenariat accru entre bailleurs, collectivités territoriales, Etat et promoteurs. Par ailleurs, elle nécessite une forte négociation entre bailleurs et promoteurs autour des questions de l offre de produits, localisation et de financements. 1. Le partenariat, une clé de réussite pour l opération La volonté de l Etat de favoriser les opérations mixtes entraine un dialogue nécessaire entre les bailleurs sociaux, promoteurs constructeurs et élus locaux. Cela implique, notamment, pour les bailleurs et les promoteurs, des contraintes. D une part, le dialogue entre ces derniers fait ressortir des intérêts contradictoires, une nécessité de trouver des terrains d entente, et freine ainsi l avancée des opérations. Pour exemple, la connotation négative dont souffre une partie du logement social implique des risques de non commercialisation des logements privés. D autre part, les bailleurs sociaux se positionnent plus favorablement pour les opérations non mixtes (regroupement des logements) pour une plus grande facilité de gestion. Par ailleurs, dans le contexte actuel, les bailleurs sociaux et les acteurs publics (Etat, collectivités) se retrouvent en position de force vis-à-vis des promoteurs dans le processus de vente des logements. Ils ont donc plus de poids dans la négociation du prix du logement. 2
3 Enfin, la transformation de programmes privés en logements locatifs sociaux induit une négociation entre promoteurs, bailleurs et élus locaux, pour garantir une cohérence et une équité territoriale. L intervention de l élu contraint de surcroit les mises en vente de certaines opérations. Pour exemple, une collectivité déjà pourvue des 20% de logements sociaux imposés par la loi SRU ne souhaite pas forcément développer une offre supplémentaire en logement social sur son territoire. Ou encore, la Communauté Urbaine de Lille recommande aux bailleurs de respecter une certaines répartition dans les modalités de rachat (1/3 de PLUS ou PLAI, 1/3 de PLS et 1/3 de PSLA ou accession). 2. Une offre unique pour deux marchés? Habituellement, les bailleurs sociaux sont soucieux de la qualité technique des logements construits, et ce pour deux raisons principales. D un coté le prêt nécessaire à la construction d une opération court en moyenne sur 35 ans, de même que la gestion et l entretien de son bâtiment sur plusieurs dizaines d années. Le bailleur a donc un objectif de durabilité de son opération afin qu elle ne génère pas de coûts supplémentaires. D un autre coté, les aides à la pierre débloquées par l Etat sont conditionnées par un respect de normes techniques et environnementales. Du point de vue du promoteur privé, celui-ci n étant ni concerné par la gestion à long terme d une opération, ni par les contraintes diverses liées aux subventions d Etat, il n apporte habituellement pas la même attention à la qualité de son produit qu un bailleur. Selon Pierre CARLIE, président du directoire du groupe Logement Français «Les bailleurs [ ] écarteront [les logements] de piètre qualité, notamment au regard de la performance énergétique» Le promoteur devra donc intégrer ces exigences de qualité pour satisfaire les attentes du bailleur et conclure la vente ; ce qui n est pas sans incidence sur le respect de son budget prévisionnel. De plus, les promoteurs auraient tendance à proposer aux bailleurs la vente des programmes les plus difficiles à commercialiser et les moins qualitatifs (en terme de localisation, finition ). De fait, les bailleurs se retrouveraient face à l offre la moins attractive du parc privé. 3
4 Enfin, du point de vue de la typologie des logements, les besoins sont différents selon le statut du parc : logements de plus grande superficie dans le parc social que dans le parc privé (nécessaire à l accueil de familles plus nombreuses). D après l article «L objectif gouvernemental de vendre logements à un prix décoté sera difficile à atteindre» du Monde paru le 19/11/08 : «Les bailleurs n ont guère d appétence pour les petits appartements». Par conséquent, les bailleurs sociaux sont demandeurs de typologies spécifiques, en inadéquation avec celles proposées dans le parc privé. Dans le cadre du plan « logements», l offre proposée par les promoteurs correspondant peu à la demande des bailleurs. Dans l éventualité où un promoteur modifierait son programme, cela impacterait son budget prévisionnel de construction. 3. La localisation, une question essentielle pour les bailleurs et les collectivités La logique de localisation d une opération de logements dépend de son statut (privé ou social). Ainsi le passage d un logement privé à un statut social génère une inadéquation avec cette logique de localisation. Pour exemple, dans le cas de Rennes, une opération initialement privée pouvait avoir pour but de rétablir un certain équilibre dans les quartiers déjà largement pourvus en logements sociaux. Le changement de statut, lors du transfert promoteur-bailleur, produit l effet inverse : il va à l encontre de la mixité sociale. Très souvent, les promoteurs cherchent à vendre des logements dispersés : reliquats des invendus. Ceux-ci n intéressent pas les bailleurs puisqu ils sont à la recherche de logements regroupés afin de gérer plus aisément leur parc. 4. Le financement, au cœur des débats entre bailleurs et promoteurs 4.1. Décote Les prix de rachat sont au centre des négociations entre les bailleurs et les promoteurs. Pour acheter les logements, l Etat consent une diminution de la TVA de 19,6% à 5,5%. Les bailleurs réclament également un effort de la part des promoteurs (diminution du 4
5 prix de vente de 35%) car ils estiment «rendre service» aux promoteurs en leur rachetant des logements non vendus du fait de la baisse du nombre de transactions. La vente des logements en masse permet de faire des économies sur les frais commerciaux (économies d échelle) et donc permet au promoteur de consentir une décote indépendamment des prix du marché. Cependant, face à cette position, les promoteurs proposent deux types d arguments. D une part, selon eux, une telle décote n est pas envisageable au regard des prix de l immobilier qui ne semblent pas diminuer pour l instant. Si il y avait un fléchissement du marché, les promoteurs préféraient vendre directement aux acquéreurs privés (l acheteur privé n étant pas dans un processus de négociation, au contraire du bailleur). D autre part, les promoteurs sont certes prêts à accepter une décote mais dans la limite de ce qu ils jugent acceptable pour maintenir leur équilibre financier, soit 20%. En effet, «Guy NAFILYAN (PDG de Kaufman & Broad) a déjà prévenu qu il n irai guère au delà d une remise de 20%» (article «L objectif gouvernemental de vendre logements à un prix décoté sera difficile à atteindre» du Monde du 19/11/08). Cela étant, aujourd hui, la décote sera certainement moins importante qu envisagée du fait du peu d offre de logements privé proposés par les promoteurs (loi de l offre et de la demande) L opération logements : une opération qui monopolise l argent des bailleurs Les bailleurs achèteront des logements dont la localisation est déjà définie par les promoteurs. Ainsi, dans les territoires où ces derniers ne possèdent pas de bien à la vente, les bailleurs ne seront pas forcément en mesure de répondre à l offre sociale. En effet, les lignes budgétaires accordées à la construction du logement social seront consommées en partie par le rachat dans le cadre de l opération « logements». Avec cette opération, la marge de manœuvre des bailleurs est réduite Financement et type de logement social Les promoteurs préfèrent vendre en Prêt Locatif Social (PLS) afin de garantir une moindre diminution des prix de vente. Quant aux bailleurs, ils préfèrent acheter en Prêt 5
6 Locatif Aidé d Intégration (PLAI) ou Prêt Locatif à Usage Social (PLUS) car ils bénéficieront de subventions plus importantes et d un meilleur retour sur investissement. 5. Montage foncier Lors d une VEFA, les bailleurs préfèrent acheter un terrain où le permis de construire est déjà obtenu. D après l article «L opération logements a du mal à passer» du Figaro du 24/11/08 : «[c est] un moyen pour [les organismes HLM] de gagner du temps, les permis de construire de ces logements ayant déjà été obtenus». En effet, un bailleur préfèrera investir dans une opération pour laquelle le permis de construire est déjà obtenu. Ainsi, il n aura pas à investir en temps et en argent dans des études techniques, ni dans le dépôt du permis de construire. Le promoteur se trouve en position de force dans les discussions car cela permet de faire gagner du temps aux bailleurs. Le permis de construire étant déjà déposé, les constructions seront réalisées plus rapidement. Conclusion La conversion de logements privés en logements sociaux ne sera pas forcément possible car les logements proposés par les promoteurs ne sont pas forcément adaptés aux besoins des bailleurs. Par ailleurs, les promoteurs souhaitent conserver une position de force dans la négociation face aux bailleurs et n ont pas intérêt à dévoiler leur situation difficile. L opération « logements» s avère donc complexe et risque de mobiliser beaucoup d énergie et de moyen pour au maximum logements. Dérisoire par rapport aux logements à construire en France tous les ans! 6
7 7
FICHE RECAPITULATIVE SUR LE DISPOSITIF DU PASS-FONCIER,
FICHE RECAPITULATIVE SUR LE DISPOSITIF DU PASS-FONCIER, SON EVOLUTION ET DE LA «MAISON POUR 15 EUROS PAR JOUR» Synthèse Le Pass-foncier est un dispositif social d accompagnement des politiques locales
Plus en détailLes mesures pour relancer la construction de logements
Les mesures pour relancer la construction de logements Janvier 2015 Le logement est devenu, pour la plupart des Français, cher et difficilement accessible. Le secteur de la construction traverse une grave
Plus en détailMINISTERE DU LOGEMENT ET LA VILLE
MINISTERE DU LOGEMENT ET LA VILLE PROJET DE LOI DE FINANCES INITIALE POUR 2008 Assemblée Nationale Commission des finances, de l'économie générale et du plan MISSION VILLE ET LOGEMENT PROGRAMME «DEVELOPPEMENT
Plus en détailIngénierie et action foncière. Janvier 2014
ANJOU PORTAGE FONCIER Ingénierie et action foncière dans la Politique Départementale de l Habitat Janvier 2014 Les outils d action foncière et td d urbanisme durable du PDH Une phase d étude préalable
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE. Sylvia Pinel présente 20 actions pour améliorer la mixité sociale dans le logement. Paris, le 15 avril 2015
DOSSIER DE PRESSE Sylvia Pinel présente 20 actions pour améliorer la mixité sociale dans le logement Paris, le 15 avril 2015 Contact presse Service de presse du ministère du Logement, de l Égalité des
Plus en détailPROJET DE CHARTE DE LA VENTE HLM AUX LOCATAIRES 11/10/2010
PROJET DE CHARTE DE LA VENTE HLM AUX LOCATAIRES 11/10/2010 Les enjeux de l accession sociale PREAMBULE DANS LE CADRE DES ORIENTATIONS DEFINIES PAR LE PROTOCOLE D ACCORD D NATIONAL INTERPROFESSIONNEL ET
Plus en détailCONVENTION DE PORTAGE FONCIER VILLE DE SAINT-BRIEUC / SAINT-BRIEUC AGGLOMERATION OPERATION RUE DU GOELO NOTE DE SYNTHESE. Mesdames, Messieurs,
Ville de SAINT-BRIEUC ------------------------------- Conseil Municipal ---------------------- Séance du 29 septembre 2009 ----------------- Rapporteur : Mme DIOURON ----------------- N 10 CONVENTION DE
Plus en détailLa mutualisation du stationnement
La mutualisation du stationnement Eric GANTELET, Président SARECO SARECO est un bureau d études spécialisé sur les questions de stationnement qui conseille les collectivités territoriales depuis la définition
Plus en détailLe CILG Partenaire de votre projet PASS-FONCIER. Réunion d Information DDE 33 PASS-FONCIER
Le CILG Partenaire de votre projet PASS-FONCIER En BAIL A CONSTRUCTION Instauré en 2007, afin de contribuer au développement de l accession sociale à la propriété, le PASS-FONCIER vient d être revu par
Plus en détailXXVème séminaire de formation des directeurs de coopératives d Hlm. Cahier 4. La sécurisation Hlm
XXVème séminaire de formation des directeurs de coopératives d Hlm Cahier 4 La sécurisation Hlm La sécurisation Hlm en bref Extrait du «guide de la sécurisation Hlm», A.RE.COOP., mars 2008 FONCTIONNEMENT
Plus en détailUNE ACCESSION SOCIALE À LA PROPRIÉTÉ SÉCURISÉE
CHIFFRES CLÉS DU LOGEMENT SOCIAL ÉDITION NATIONALE SEPTEMBRE 2011 UNE ACCESSION SOCIALE À LA PROPRIÉTÉ SÉCURISÉE En 2010, les opérateurs Hlm ont également vendu 16 000 logements destinés à des accédants,
Plus en détailL immobilier dans une Région se construit par la connaissance de ses marchés et par la reconnaissance de la fiabilité de ses acteurs.
L immobilier dans une Région se construit par la connaissance de ses marchés et par la reconnaissance de la fiabilité de ses acteurs. Nous concevons l immobilier dans le sens de la durée, car la réussite
Plus en détailLe PSLA (Prêt Social Locatif Accession) est un dispositif d accession sociale à la propriété.
LE PSLA Le PSLA (Prêt Social Locatif Accession) est un dispositif d accession sociale à la propriété. Le processus d accession se déroule en deux phases : Une phase locative qui dure de 6 mois à 2 ans
Plus en détailde formation des prix
Le mécanisme m de formation des prix 1 URBANiS 24 janvier 2011 DEUX MARCHES FONCIERS URBAINS Zone AU «stricte» le droit des sols n est pas défini, il est négocié Zone AU indicée et zone U le droit des
Plus en détailLes parcs de logements et leur occupation. dans l Aire Urbaine de Lille et sa zone d influence. Situation 2005 et évolution 1999-2005
Les parcs de logements et leur occupation dans l Aire Urbaine de Lille et sa zone d influence Situation 2005 et évolution 1999-2005 Décembre 2008 Le territoire d étude 2 Agence de développement et d urbanisme
Plus en détailConférence de Presse Les Chiffres Clés de l immobilier d entreprise et du logement. 28 janvier 2010
Conférence de Presse Les Chiffres Clés de l immobilier d entreprise et du logement 28 janvier 2010 1 Conférence de Presse Les Chiffres Clés de l immobilier d entreprise et du logement UNE ANNEE CONTRASTEE
Plus en détailMarché de l occasion et exigences de rénovation énergétique. Rencontre de l Observatoire 21 mai 2015
Marché de l occasion et exigences de rénovation énergétique Rencontre de l Observatoire 21 mai 2015 Logements neufs / logements d occasion 7 700 logements d occasion vendus en 2013 dans l aire urbaine
Plus en détailIntervenant : Séverin Poutrel, BURGEAP
Capacités d accueil, aménagements commerciaux, mutabilité foncière : des outils concrets pour construire un SCOT intégrant les vulnérabilités énergétiques et climatique Intervenant : Séverin Poutrel, BURGEAP
Plus en détailIMMOBILIER D ENTREPRISE
La transformation de bureaux en logements : un premier bilan PAR BRIGITTE JOUSSELLIN 1 Entre 1994 et 1998, plus de 500 000 m 2 de surfaces d activités ont été transformées en logements, permettant de résorber
Plus en détail8 Certifications Minergie
8 Chapitre 8 Être Minergie, est-ce aussi être «autrement»? Pour de nombreux acteurs du marché immobilier, un label de durabilité devrait s accompagner d une appréciation de la valeur de leur immeuble,
Plus en détailÉTABLISSEMENT PUBLIC FONCIER DE LA VENDÉE. L expertise foncière au service. de vos projets
ÉTABLISSEMENT PUBLIC FONCIER DE LA VENDÉE L expertise foncière au service de vos projets Mot du Président Alain LEBOEUF Président de l EPF de la Vendée Les données démographiques nous le rappellent chaque
Plus en détailMontage d une opération immobilière, l exemple d une opération de construction et vente en VEFA à Ivry-sur Seine(94)
Larrain Francisca Quercy Cécile Velez Vanessa Dossier de promotion immobilière- M. Atkins Montage d une opération immobilière, l exemple d une opération de construction et vente en VEFA à Ivry-sur Seine(94)
Plus en détailGuide Prêt Locatif Social (PLS)
Investir dans un logement destiné à la location. Qu est-ceque c est? Le prêt locatif social (PLS) s adresse à tout investisseur qui achète un logement pour le louer. Le PLS est destiné à financer des appartements
Plus en détailL immobilier d entreprise artisanale
e s c a L immobilier d entreprise artisanale n l B e E n j e u x L i v r S t r a t é g i P r o p o s i t i o n s Ile-de-France Rhône-Alpes Le Livre Blanc de l immobilier d entreprise artisanale Pourquoi?
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA VILLE Arrêté du 29 juin 2011 portant approbation des modifications du règlement général de l Agence nationale pour la rénovation urbaine NOR
Plus en détailResponsable d agence
Responsable d agence La filière certifications de l afpols l école L afpols conçoit et met en œuvre depuis plus de 20 ans des cycles de formations qualifiantes pour répondre aux besoins de professionnaliser
Plus en détailDOSSIER de CANDIDATURE «Habitat Participatif»
Appel à manifestation d intérêt «Habitat participatif» 2014 Date limite de dépôt du dossier de candidature le 15 avril 2014 DOSSIER de CANDIDATURE «Habitat Participatif» Sommaire Comment répondre à l appel
Plus en détailMISSIONS SOCIALES/ACCESSION À LA PROPRIÉTÉ
MISSIONS SOCIALES/ACCESSION À LA PROPRIÉTÉ ACCESSION À LA PROPRIÉTÉ Depuis la création du Crédit Immobilier de France en 1908, les SACI devenues SACICAP en 2008 ont pour vocation de faciliter l accession
Plus en détailL EPF NORMANDIE. re Industriel et Commercial. Cet EPF d Etat d
L EPF NORMANDIE L Etablissement public foncier de Normandie est Etablissement Public à Caractère re Industriel et Commercial. Cet EPF d Etat d a été crée e en 1968. Il exerce ses missions dans le cadre
Plus en détailINNOVATION ET HABITAT PARTICIPATIF :
INNOVATION ET HABITAT PARTICIPATIF : Complément au chapitre VII «Valorisation du Patrimoine Régional et Projets Innovants» du cadre d intervention régional sur l habitat et le logement, adopté par délibération
Plus en détailSéance du Conseil Municipal du 27/06/2013
Direction Générale Développement / Direction du Développement urbain Question n 182 Direction de l'urbanisme REF : DU2013027 Signataire : SM/NL Séance du Conseil Municipal du 27/06/2013 RAPPORTEUR : Jean-Yves
Plus en détailL ANALYSE DU «PARC SOCIAL DE FAIT» PARISIEN EN 2003 : UNE ANALYSE TERRITORIALISÉE DES PROFILS D OCCUPATION DES PARCS ET DES QUARTIERS
ATELIER PARISIEN D URBANISME - 17, BD MORLAND 75004 PARIS TÉL : 01 42 71 28 14 FAX : 01 42 76 24 05 http://www.apur.org Observatoire de l'habitat de Paris L ANALYSE DU «PARC SOCIAL DE FAIT» PARISIEN EN
Plus en détailLe Prêt Social de Location Accession PSLA
Le Prêt Social de Location Accession PSLA LES OBJECTIFS Favoriser l accession sociale à la propriété Faciliter le parcours résidentiel Permettre aux ménages à revenus modestes de devenir propriétaires
Plus en détailConsultation d acquéreurs en vue de la réalisation du programme de la Z.A.C. des Bergères ILOT DE LA ROTONDE - LOT N 19
Consultation d acquéreurs en vue de la réalisation du programme de la Z.A.C. des Bergères ILOT DE LA ROTONDE - LOT N 19 Eco-quartier des Bergères - Cahier des Charges de la consultation d acquéreurs ILOT
Plus en détailNous présentons ici les caractéristiques communes aux deux dispositifs puis leurs spécificités à jour au 1 er septembre 2009.
Le Pass foncier Introduction Conçu par les partenaires sociaux du 1% logement et mis en place par une convention signée entre l UESL et l Etat en décembre 2006, le Pass foncier 1 est un mécanisme destiné
Plus en détailPoints de vigilance. Marc PILLON, Conseiller technique 14/02/201 3. Journée patrimoine immobilier
Points de vigilance Marc PILLON, Conseiller technique 14/02/201 3 Journée patrimoine immobilier 1 Sommaire Différentes modalités d acquisition Rappels réglementaires Cessations d activité et fermetures
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE. L ETABLISSEMENT PUBLIC FONCIER D ILE-DE-FRANCE à ATHIS-MONS. La qualité sociale et environnementale
. DOSSIER DE PRESSE L ETABLISSEMENT PUBLIC FONCIER D ILE-DE-FRANCE à ATHIS-MONS La qualité sociale et environnementale Un nouveau programme de 200 logements avec EXPANSIEL Contact EPF Ile-de-France Christophe
Plus en détailBaromètre de la gestion immobilière des villes Pour une stratégie de création de valeur
Baromètre de la gestion immobilière des villes Pour une stratégie de création de valeur 2015 Répartition géographique des villes participantes sur le territoire français Martinique Editorial Une enquête
Plus en détailGarantie locative et abus des propriétaires
Recht/Droit Garantie locative et abus des propriétaires La garantie locative, encore communément appelée «caution», est destinée en principe à protéger le propriétaire vis-à-vis d un locataire qui ne respecterait
Plus en détailL engagement de la Chambre FNAIM Paris Ile de France dans le Grand Paris
L engagement de la Chambre FNAIM Paris Ile de France dans le Grand Paris La loi sur le Grand Paris, ainsi que les décisions récentes prises par les pouvoirs publics (Etat, Région), devraient permettre
Plus en détailLes aides moyennes publiques en faveur du logement social pour l acquisition amélioration (AA) 1
Les aides moyennes publiques en faveur du logement social pour l acquisition amélioration (AA) 1 Ce document est un outil qui permet de déterminer les aides en faveur du logement social, qu il s agisse
Plus en détailSelon la charte de l expertise en évaluation immobilière, 3 ème édition Juin 2006, la valeur vénale est :
COMPAGNIE NATIONALE DES EXPERTS IMMOBILIERS * 1 Alain MANZON Expert Immobilier-Consultant JANVIER 2013 N d agrément - 1004 - Diplômé de l Enseignement Supérieur RD559 Beauvallon Guerre vieille 83310 GRIMAUD
Plus en détailL accession sécurisée au service de votre politique de l habitat
L accession sécurisée au service de votre politique de l habitat L accession sécurisée, des solutions pour les villes L habitat : une priorité des collectivités franciliennes La pénurie de logements est
Plus en détailRésultats annuels 2014 23 janvier 2015
Sommaire Points clés Résultats financiers 2014 Marché et perspectives 2 Points clés Résultats 2014 en ligne avec les objectifs annoncés «chiffre d affaires sensiblement comparable à celui de 2013 et marge
Plus en détailDELIBERATION N 12-1478 29 OCTOBRE 2012
DELIBERATION N 12-1478 29 OCTOBRE 2012 FONCIER Interventions foncières stratégiques Dispositif régional en sortie de portage de l'etablissement Public Foncier Provence-Alpes-Côte d'azur (EPF PACA) Affectation
Plus en détailRéforme de la politique de la ville. Rencontre territoriale (Auvergne, Bourgogne, Rhône-Alpes) Lyon - 8 juillet 2014
Réforme de la politique de la ville Rencontre territoriale (Auvergne, Bourgogne, Rhône-Alpes) Lyon - 8 juillet 2014 Restitution de l atelier n 3 : Intitulé : Les communes et agglomérations concernées par
Plus en détailHABITATS PARTICIPATIFS
HABITATS PARTICIPATIFS habitats participatifs et coopératifs : de quoi parle t-on? CAUE 92-31.03.15 1. LES COOPERATIVES D HLM Un peu d histoire Une des trois familles composant le mouvement Hlm, issue
Plus en détailLa mutualisation du stationnement
» La mutualisation du stationnement Est-ce souhaitable? Est-ce possible? Comment faire? 26 novembre 2014 PREDIM - Mobilité multimodale intelligente -Mutualiser pour progresser mieux - Est-ce N 1 Est-ce
Plus en détailDes solutions pour les seniors à revenus insuffisants
Des solutions pour les seniors à revenus insuffisants IStock - FredFroese Source de croissance de d opportunités, le vieillissement de la population française constitue cependant un défi pour notre pays.
Plus en détailDES MÉTIERS POUR CONSTRUIRE SON AVENIR
DES MÉTIERS POUR CONSTRUIRE SON AVENIR OBSERVATOIRE PROSPECTIF DES MÉTIERS ET DES QUALIFICATIONS DE LA BRANCHE PROFESSIONNELLE DE LA PROMOTION CONSTRUCTION OBSERVATOIRE PROSPECTIF DES MÉTIERS ET DES QUALIFICATIONS
Plus en détailEtude du marché immobilier d habitation Etude complémentaire Plan local d urbanisme de la commune de Figeac (46)
Etude du marché immobilier d habitation Etude complémentaire Plan local d urbanisme de la commune de Figeac (46) Janvier 2010 Sommaire Preambule 2 I. Contexte et méthodologie 3 II. Définitions 4 Partie
Plus en détailBANQUE POPULAIRE GESTION PRIVÉE SCPI SCELLIER BBC FRUCTIRESIDENCE BBC. BANQUE & ASSURANCE www.banquepopulaire.fr
BANQUE POPULAIRE GESTION PRIVÉE SCPI SCELLIER BBC FRUCTIRESIDENCE BBC BANQUE & ASSURANCE www.banquepopulaire.fr Avertissement - Facteurs de risques Lorsque vous investissez dans une SCPI de type «Scellier
Plus en détailLe nouveau programme national de renouvellement urbain. CRDSU septembre 2014
Le nouveau programme national de renouvellement urbain CRDSU septembre 2014 Un nouveau programme de renouvellement urbain! Un projet à l échelle de l agglomération, un projet intégré : le contrat de ville!
Plus en détailMarielle de Sarnez, candidate à la mairie de Paris Conférence de presse - Lundi 21 octobre 2013. Plan Marshall pour le logement
Marielle de Sarnez, candidate à la mairie de Paris Conférence de presse - Lundi 21 octobre 2013 Plan Marshall pour le logement De tous les grands dossiers de Paris, celui du logement est le plus crucial.
Plus en détailLes EPFL sont des établissements publics dont la mission est d assister les collectivités
Fiche B2 juin 2013 CETE Nord Picardie Connaître les acteurs du foncier Les établissements publics fonciers locaux (EPFL) Laurent Mignaux/METL-MEDDE Les EPFL sont des établissements publics dont la mission
Plus en détailDossier de presse. vendredi 19 septembre 2014
Dossier de presse vendredi 19 septembre 2014 - Les chiffres nationaux et locaux (source Orpi) (P2/3) -Les résultats de l enquête Ipsos/Orpi «Qui tient les rênes du marché immobilier?» p4/5 - Les propositions
Plus en détailPOUR UN RENOUVEAU DU PARC IMMOBILIER DES ANNEES 50-70 De la requalification classique au portage immobilier
BREST 28 et 29 NOVEMBRE 2013 POUR UN RENOUVEAU DU PARC IMMOBILIER DES ANNEES 50-70 De la requalification classique au portage immobilier Présentation de la SPLA SOREQA SPLA à vocation métropolitaine crée
Plus en détailwww.u-bordeaux3.fr Master professionnel Urbanisme : stratégie, projets, maîtrise d ouvrage (USPMO)
www.u-bordeaux3.fr Master professionnel Urbanisme : stratégie, projets, maîtrise d ouvrage (USPMO) Former des urbanistes Le master Urbanisme : stratégie, projets, maîtrise d ouvrage (USPMO) s appuie sur
Plus en détailPOINT D INFORMATION SUR LE FINANCEMENT DU LOGEMENT AU 13 DECEMBRE 2012
POINT D INFORMATION SUR LE FINANCEMENT DU LOGEMENT AU 13 DECEMBRE 2012 Philippe BOUCHARDEAU Nelly ARGOUD Adjoint de direction Adil 26 Stagiaire Elève avocate Adil 26 1 Rappels sur L ADIL 26 Les trois missions
Plus en détailPoint de situation au 5 juillet 2011 Information aux habitants 19 h30 Conseil municipal 21 h 30
Point de situation au 5 juillet 2011 Information aux habitants 19 h30 Conseil municipal 21 h 30 1 Bref rappel de l historique avant mars 2008 Les actions réalis alisées par l é équipe municipale depuis
Plus en détailLFP Opportunité Immo RISQUES ASSOCIES
LFP Opportunité Immo RISQUES ASSOCIES Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de votre patrimoine. La durée de placement
Plus en détailLES ÉVÉNEMENTS INTERNATIONAUX MONTRÉALAIS Programme de soutien de Tourisme Montréal
Orlando G. Cerocchi LES ÉVÉNEMENTS INTERNATIONAUX MONTRÉALAIS Programme de soutien de Tourisme Montréal :: INTRODUCTION :: OBJECTIF DU PROGRAMME :: FESTIVALS ET ÉVÉNEMENTS TOURISTIQUES ADMISSIBLES :: CHAMPS
Plus en détailL OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS. Juin 2014
L OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS Juin 2014 Contacts BVA : Céline BRACQ Directrice BVA Opinion Lilas BRISAC Chargée d études 01 71 16 88 00
Plus en détailImmeuble Ile-de-France 3 Place de la Pyramide - La Défense 9 92067 Paris - La Défense Cedex. Promoteur certifié ISO 9001
Immeuble Ile-de-France 3 Place de la Pyramide - La Défense 9 92067 Paris - La Défense Cedex Promoteur certifié ISO 9001 SOGEPROM - SA au capital de 54 450 000. Siège social : Immeuble Ile de France 3,
Plus en détailLA TRANSFORMATION DE BUREAUX EN LOGEMENTS
LA TRANSFORMATION DE BUREAUX EN LOGEMENTS A PARIS Par : Pierre MOREL, Président de SOVEICO Membre Titulaire IFEI Antoine HINFRAY Avocat Associé de la SCP FORESTIER & HINFRAY Docteur d Etat en droit Membre
Plus en détailCONVENTION DE PARTENARIAT ENTRE L AMF ET RTE
CONVENTION DE PARTENARIAT ENTRE L AMF ET RTE CONVENTION DE PARTENARIAT ENTRE L ASSOCIATION DES MAIRES DE FRANCE ET RTE Entre L Association des Maires de France, sise 41 quai d Orsay, 75343 Paris cedex
Plus en détailBaromètre Union des Maisons Françaises
Baromètre Union des Maisons Françaises Juillet 2010 vague 8 2, rue de Choiseul CS 70215 75086 Paris Cedex 02 Tél. : (33) 01 44 94 40 00 Fax : (33) 01 44 94 40 01 www.csa.eu SA au capital de 1 571 600 Siren
Plus en détailPROJET DE DELIBERATION EXPOSE DES MOTIFS
Direction de l'urbanisme Sous-Direction de l Action Foncière 2014 DU 1005 Aménagement 2-6, rue Gerty Archimède (12 e ). Réalisation d un programme de bureaux et d un équipement public sportif. Cession
Plus en détailATELIER PARISIEN D URBANISME. Le parc de bureaux parisien et son potentiel de transformation
ATELIER PARISIEN D URBANISME Le parc de bureaux parisien et son potentiel de transformation AVRIL 2015 Directrice de la publication : Dominique Alba Étude réalisée par : François Mohrt Sous la direction
Plus en détailL analyse des marchés immobiliers par Crédit Foncier Immobilier sur les 9 premiers mois de 2013
Paris, le 15 octobre 2013 COMMUNIQUE DE PRESSE L analyse des marchés immobiliers par Crédit Foncier Immobilier sur les 9 premiers mois de 2013 Un marché immobilier résidentiel caractérisé par une baisse
Plus en détailDOSSIER 1 : Mesurer l'efficacité d'une campagne d'e-mailing. 1.1 Justifier le recours à un prestataire extérieur pour réaliser la campagne d emailing.
SESSION 2 BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR NÉGOCIATION ET RELATION CLIENT Corrigé E5 : MANAGEMENT ET GESTION D ACTIVITÉS COMMERCIALES VOCALISIS INFORMATIQUE Version 7 mai 2 DOSSIER : Mesurer l'efficacité
Plus en détailAssemblée générale - 26 mars 2008 - Paris. Un outil de portage au service des copropriétés
Assemblée générale - 26 mars 2008 - Paris Un outil de portage au service des copropriétés Coprocoop : Présentation Une volonté politique : créée à l initiative du monde Hlm et du monde associatif et de
Plus en détailN O R D - P A S D E C A L A I S
NORD-PAS DE CALAIS NORD-PAS DE CALAIS Ensemble pour une éco-rénovation responsable de notre habitat Avant-propos Dans une région où le poids du parc de logements anciens publics et privés prédomine, l
Plus en détailGuide du futur. propriétaire. Le groupe SNI vous donne les clés
Guide du futur propriétaire Le groupe SNI vous donne les clés Devenir propriétaire un acte fort Devenir propriétaire, aménager et personnaliser votre lieu de vie, vous constituer un patrimoine transmissible
Plus en détailFONDS DU LOGEMENT DE LA REGION DE BRUXELLES-CAPITALE MEMORANDUM
FONDS DU LOGEMENT DE LA REGION DE BRUXELLES-CAPITALE MEMORANDUM Madame, Monsieur, La problématique de l accès au logement se renforce considérablement au niveau régional. Le Fonds du Logement collabore
Plus en détailPremier banquier de l immobilier
Premier banquier de l immobilier 2 e groupe bancaire en France 2e banque des particuliers 2e banque principale 2e pour les crédits immobiliers 2e pour l'épargne 1ère banque des PME 2e banque des professionnels
Plus en détailInauguration de la première opération de logements locatifs à loyers maîtrisés à Paris
Inauguration de la première opération de logements locatifs à loyers maîtrisés à Paris Livraison de 107 logements locatifs à loyers maîtrisés et de commerces sur la ZAC Clichy Batignolles (avenue de Clichy)
Plus en détailLes réformes se poursuivent en faveur d une économie française plus compétitive et d un appui renforcé aux entreprises à l export
Les réformes se poursuivent en faveur d une économie française plus compétitive et d un appui renforcé aux entreprises à l export Depuis 2012, un ensemble d actions est engagé au service du renforcement
Plus en détailFoncia. Votre référence habitat. Le groupe FONCIA
Foncia. Votre référence habitat Le groupe FONCIA Foncia. Votre référence habitat Le groupe Foncia allie la proximité avec le client et la force d un grand groupe expérimenté et performant. Photo DR Foncia,
Plus en détailLes métiers de l immobilier. une publication Orientations
Les métiers de l immobilier une publication Orientations Edito Vous suivez l actualité? Vous n êtes donc pas sans savoir que la crise économique actuelle provoque une baisse des transactions immobilières
Plus en détailEuropimmo LFP. SCPI d entreprise, immobilier européen AVERTISSEMENT
LFP Europimmo SCPI d entreprise, immobilier européen AVERTISSEMENT Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de votre patrimoine.
Plus en détailProgramme Local. de l Habitat BILAN SYNTHETIQUE
Programme Local de l Habitat 8 BILAN SYNTHETIQUE sommaire INTRODUCTION 8 8 9 5 Introduction Rappel des objectifs annuels du PLH I) Améliorer l attractivité résidentielle du territoire et relever le défi
Plus en détailLes aides financières au logement Septembre 2010
Les aides financières au logement Septembre 2010 Ministère de l'écologie, de l'énergie, du Développement durable et de la Mer en charge des Technologies vertes et des Négociations sur le Climat www.developpement-durable.gouv.fr
Plus en détailque se posent les maires
Hlm questions Comment réintégrer les quartiers Hlm à la ville? que se posent les maires Guide pratique à l usage des collectivités locales Comment les Hlm peuvent-ils améliorer l image de ma commune? SOMMAIRE
Plus en détailIMMOBILIER D ENTREPRISE ET IMMOBILIER D HABITATION
MANUEL 2010 IMMOBILIER D ENTREPRISE ET IMMOBILIER D HABITATION ACTUALITE VEILLE JURIDIQUE CONFERENCES FORMATIONS EN INTER FORMATIONS EN INTRA Former, c est rendre vos opérateurs plus efficaces en leur
Plus en détailLANCEMENT DE FINANTOIT, UN OUTIL PRIVE D INVESTISSEMENT SOLIDAIRE POUR LE FINANCEMENT DU LOGEMENT TRES SOCIAL
COMMUNIQUE DE PRESSE Paris, le 27 février 2007 LANCEMENT DE FINANTOIT, UN OUTIL PRIVE D INVESTISSEMENT SOLIDAIRE POUR LE FINANCEMENT DU LOGEMENT TRES SOCIAL FINANTOIT est le premier outil d investissement
Plus en détailMASTER 2 MENTION DROIT DU PATRIMOINE, PARCOURS DROIT IMMOBILIER
MASTER 2 MENTION DROIT DU PATRIMOINE, PARCOURS DROIT IMMOBILIER RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine ministériel : Droit, Economie, Gestion Mention : DROIT PRIVÉ, SCIENCES CRIMINELLES
Plus en détailUne augmentation des prix du foncier et de l immobilier mais un secteur encore attractif
Deuxième rencontre de l observatoire de l habitat Drôme des Collines Jeudi 16 octobre 2008 à Margès Une demi-journée annuelle sur l habitat, consacrée aux personnes âgées. Le 16 octobre s est tenue la
Plus en détailMission d Information et d Evaluation sur la politique immobilière de la Collectivité parisienne
SYNTHESE DU RAPPORT Créée par le Conseil de Paris lors de sa séance des 24 et 25 septembre 2012 et installée le 3 octobre 2012, la Mission d Information et d Evaluation (MIE) consacrée à «La politique
Plus en détailLes Marges de Manœuvre Financières des Collectivités s Locales
1 Les Marges de Manœuvre Financières des Collectivités s Locales Gilles TESTUD, ECOFINANCE Frédéric ric DUPUIS, DEXIA CL Réunions avec les élus du Territoire de Belfort 07 juin 2012 Sommaire 2 1. Introduction
Plus en détailTAXES & PARTICIPATIONS : quelques outils à la disposition des communes
TAXES & PARTICIPATIONS : quelques outils à la disposition des communes La loi n 2000-1028 du 13 décembre 2000 relative à la solidarité et au renouvellement urbain, dite «loi SRU», avait instauré une participation
Plus en détailLE PARADOXE DUFLOT. ATELIER PRESSE Daniel Znaty Directeur immobilier
LE PARADOXE DUFLOT Un dispositif incitatif, une perception négative des Français patrimoniaux, un décollage lent des résultats au rendez-vous pour l UFF ATELIER PRESSE Daniel Znaty Directeur immobilier
Plus en détailMardi 22 février 2011 Méridien Président Dakar Sénégal - 1
Journée de la Finance Mardi 22 février 2011 Méridien Président Dakar Sénégal - 1 L Assurance & L Investissement Immobilier Mamadou Bocar SY Directeur Général Banque de l Habitat du Sénégal Journée de la
Plus en détailImplantation économique, foncier et immobilier d entreprise
Septembre 2014 Implantation économique, foncier et immobilier d entreprise Quelles sont les attentes des entreprises en Loire-Atlantique? Afin de mieux cerner globalement la demande des entreprises de
Plus en détailSarl TAQUET. Des produits et services pour les acteurs de l immobilier.
VS-150113 Sarl TAQUET 11 rue Paul Vaillant Couturier - BP22 59198 HASPRES - France +33 (0)3 27 411 125 www.sarltaquet.fr - info@sarltaquet.fr Des produits et services pour les acteurs de l immobilier.
Plus en détailCAHIER DES CHARGES DE L APPEL A PROJETS REGIONAL «INNOVATION» SESSION PLENIERE DES 19 ET 20 JUIN 2014
CAHIER DES CHARGES DE L APPEL A PROJETS REGIONAL «INNOVATION» I.Contexte : Convaincue de l intérêt stratégique de l innovation pour le renforcement de la compétitivité des entreprises, la a lancé un appel
Plus en détailIV- La formation sur le territoire de la MDEF
IV- La formation sur le territoire de la MDEF IV- La formation sur le territoire de la A- L offre de formations initiales BTP IV- La formation sur le territoire de la A- L offre de formations initiales
Plus en détailCANDIDATURE AUX FONCTIONS DE DIRECTEUR GENERAL DE L ENSAM
CANDIDATURE AUX FONCTIONS DE DIRECTEUR GENERAL DE L ENSAM 1 ère partie Déclaration d intention JEAN-PAUL HAUTIER ADMINISTRATEUR PROVISOIRE ET DIRECTEUR DE LA RECHERCHE DE L ENSAM DIRECTEUR ES QUALITE DE
Plus en détailLe Président, Bordeaux, le 15 septembre 2011
Le Président, Bordeaux, le 15 septembre 2011 Références à rappeler : CM/JPR/RODII/064 036 931 Monsieur le Directeur, Par lettre du 21 janvier 2011, vous avez été informé que la chambre régionale des comptes
Plus en détail