Rapport de stage Bac Pro CGEA Systèmes d élevage
|
|
- Lucienne Dussault
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Rapport de stage Bac Pro CGEA Systèmes d élevage Diagnostics de l exploitation Dans cette partie, vous devez réaliser un diagnostic, c est-à-dire que vous devez expliquer ce qui est bien et ce qui ne l est pas dans différents domaines : aspect technique, environnemental, organisation du travail, ressources monétaires et gestion financière. Pour cela, vous reprenez les atouts et les contraintes les plus significatives que vous avez mis en évidence dans ce rapport et dans votre dossier technique. Dans chaque diagnostic, vous vous aiderez du diagnostic de durabilité du RAD-CIVAM. Ce diagnostic doit se présenter sous forme d un texte! Pas de tableau synthétique! Après une reprise des certains éléments de votre analyse de votre rapport, vous présentez le tableau de durabilité CIVAM. Vous concluez par un commentaire avec des propositions ou des pistes d amélioration. A - Durabilité économique Indicateur Résultats Points - Efficacité économique EBE / Produit brut - Dépendance fourragère Achats aliments / Charges d alimentation 3- Taux de spécialisation Produit atelier / Produit brut (hors prime) 4- Contraintes structurelles Charges structure / Produit brut (hors ammort) 5- Sensibilité aux aides Primes / EBE 6- Dépendance financière Annuités / EBE Total des points sur 30 (6x5) : Critères Indicateurs Efficacité économique EBE / Produit brut Dépendance fourragère Achats / Charges d alimentation 3 Taux de spécialisation Produit atelier / Produit brut 4 Contraintes structurelles Charges struct. / Produit brut 5 Sensibilité aux aides Primes / EBE 6 Dépendance financière Annuités / EBE (hors prime) (hors ammort) 0 < 0 % > 95 % > 80 % > 75 % > 85 % > 60 % 0 à 5 % 90 à 95 % 75 à 80 % 68 à 75 % 70 à 85 % 50 à 60 % 5 à 30 % 85 à 90 % 70 à 75 % 6 à 68 % 55 à 70 % 40 à 50 % 3 30 à 35 % 80 à 85 % 65 à 70 % 56 à 6 % 40 à 55 % 30 à 40 % 4 35 à 40 % 75 à 80 % 60 à 65 % 50 à 6 % 5 à 40 % 0 à 30 % 5 > 40 % < 75 % < 60 % < 50 % < 40 % < 0 %
2 B - Durabilité sociale Indicateur Résultats Points Occupation du territoire SAU / actifs / 5 Qualité de vie Estimation de la qualité de vie. / 0 Viabilité socio-écon Revenu disponible/ actif en % de Smic / 5 Transmissibilité Capital d exploitation/actif / 5 Multi-activité Place des activités non directement liées à la production agricole / 5 Total des points sur 30 : er critère : Occupation du territoire SAU / actifs > à 40 ha 0 De 40 à 35 ha De 35 à 30 ha De 30 à 5 ha 3 De 5 à 0 ha 4 < à 0 ha 5 Exprime la répartition des moyens de production sur le territoire. ème critère : Qualité de vie La note a indiqué dans le tableur est la somme des deux sous-indicateurs ci-dessous (note sur 0) Qualité de vie (travail et privée) Points Ce critère subjectif est en auto-évaluation. En effet, la notion de qualité de vie n est pas la même pour tout le monde. L agriculteur s attribue une note en précisant des mots clés associés à la qualité de vie. Par qualité de vie, on peut considérer le nombre et la fréquence des vacances, les conditions et le temps de travail, la situation géographique de la ferme, le stress Si plusieurs actifs, estimer une moyenne. Qualité de vie Continuité de se former (lecture professionnelle, formation, groupe d échanges) 0 à 3 Disponibilité au travail 0 à 3 Participation à la vie professionnelle agricole (CUMA, OPA, syndicats de promotion, de défense) 0 à 3 Possibilité de travailler en entraide 0 à 3 Accueil de public sur la ferme 0 à 3 Participation à la vie sociale de votre territoire 0 à 3 Total des points (5 points maximum) 0 à 3 Moyenne sur 5 = Total / 3 A chaque question, il est possible d attribuer 0,, ou 3 points en fonction de l importance pour l agriculteur
3 3 ème critère : Viabilité socio-économique Traduit l efficacité économique d une heure de travail Revenu < à 0,4 SMIC 0 comparée au SMIC. Faire attention aux comparaisons disponible / 0,4 à 0,8 SMIC hâtives actif en % du 0,8 à, SMIC Néanmoins, ce critère a le mérite de poser la question SMIC, à,6 SMIC 3 du temps de travail qui n est pas toujours prise en,6 à SMIC 4 compte > SMIC 5 Revenu disponible = EBE - annuités long et moyen terme. 4 ème critère : Transmissibilité Capital d exploitation (hors foncier) par actif > à 90 K 0 60 K à 90K 30 K à 60 K 00 K à 30 K 3 70 K à 00 K 4 < à 70 K 5 Traduit l évaluation du montant de la reprise pour un éventuel repreneur. 5 ème critère : Multi-activité Indicateurs Valorisation et entretien du patrimoine bâti Production à la ferme et transformation Accueil touristique Vente directe Ouverte au territoire : accueil de scolaires, de groupes agricoles, portes ouvertes Total des points Points Traduit la place des activités qui ne sont pas directement liées à la production agricole. Faire le total des points pour obtenir la note sur 5 avec si oui = point et si non = 0 point. 3
4 C - Durabilité environnementale Précisez la situation environnementale de l exploitation : Situation de l exploitation : Zone vulnérable Zone Natura 000 Périmètre de captage d eau Ruisseaux, rivière ou fleuve, pisciculture, lieux de baignade Proximité lotissement, villas, MAE : Mesures Agri-Environnementales signées sur l exploitation Régime de l exploitation : Règlement sanitaire départemental (R.S.D) Installation classée à déclaration ou à autorisation Aidez-vous du tableau des Principales bonnes et mauvaises pratiques agricoles (document joint). Evaluer et garder les principales pratiques existantes sur l exploitation et indiquer les risques sur l environnement. Intégrer maintenant les critères de durabilité : Indicateur Résultats Points - Bilan des minéraux Unités N / ha de SAU - Linéaire de haies Linéaire de haies / ha SAU 3- Biodiversité Analyse des pratiques 4- Gestion des sols % sol nu et gestion de l assolement 5- Ecoulements et pollution Ecoulements et pression de pesticides 6- Dépendance énergétique Consommation énergétique / SAU Total des points sur 30 : er critère : Bilan des minéraux ou apparent S aider du document de calcul du bilan Traduit l importance globale des excédents d azote par un bilan > 00 0 Unités entre les entrées et les sorties. 80 à 00 Bilan des minéraux = entrées (engrais organiques et minéraux, d azote par 60 à 80 concentrés, achats d animaux, fixation par légumineuses, ha de SAU 40 à 60 3 fourrages grossiers) - sorties (produits laitiers, viandes ou 0 à 40 4 cultures, fourrages grossiers, engrais organiques). < 0 5 Il faut ajouter au résultat 0 N liés aux dépôts atmosphériques. ème critère : Linéaire de haies Linéaire de haies en mètres par ha de SAU < à 0 m 0 0 m à 40 m 40 m à 60 m 60 m à 80 m 3 80 m à 00 m 4 > à 00 m 5 Traduit la place occupée par les haies sur la ferme ou maillage bocager. Dans le calcul du linéaire, intégrer les haies en limites de propriété, mais diviser leur longueur par deux. Pour les bosquets calculer le périmètre. 4
5 3 ème critère : Biodiversité Barème Présence de bandes interculturales Création de talus Désherbage mécanique des haies Analyse des Utilisation d essences locales ou rares ou en voie de disparition pratiques Pas de culture d OGM sur la Préservation des zones humides biodiversité Présence de races animales locales menacées Présence d espèces végétales anciennes dans l assolement Fauche tardive des jachères et/ou des bandes inter culturales Pas d ensemble (îlot) de cultures supérieur à 6 ha Somme sur 5 Points A chaque question, OUI = 0,5 NON = 0 4 ème critère : Gestion des sols Ce critère se calcule en faisant la somme des sous-indicateurs ci-dessous. Traduit l importance du lessivage et de l érosion. > à 0 % 0 Enlever un point si labour supérieur à 5 cm de profondeur % de 5 % à 0 % 0,5 sauf pour les terres argileuses > à 35% d argile. surface en 0 % à 5 % Si une culture annuelle revient plus de années consécutives sol nu / 5 % à 0 %,5 sur la même parcelle, enlever point au résultat SAU 0 % à 5% Un sol nu après ensilage de maïs est à considérer comme sol 0 %,5 nu. % de la même culture dans la surface assolée (hors PN) > à 30 % 0 5 % à 30 % 0,5 0 % à 5 % 5 % à 0 %,5 0 % à 5% < à 0 %,5 Ce critère permet de mieux appréhender la gestion culturale de l exploitation (surface assolée = SAU - prairies naturelles) Rajouter point si au moins 50 % des prairies contiennent des légumineuses. Si le système est en tout herbe, mettre 5 points. 5 ème critère : Gestion des écoulements et Pression polluante Ce critère se calcule en faisant la somme des sous-indicateurs ci-dessous. Indicateurs Points Traduit l importance accordée à la Abreuvement direct au ruisseau gestion des écoulements (déjections Analyse et Ecoulement des jus (ensilage, lisier, animales, laiteries, produits phytos) présence des fumier) et aux pratiques respectueuses de écoulements Ecoulement des eaux vertes et blanches l environnement. Parcelles «parking» ou de nuit Absence de local «phyto» aux normes A chaque question, OUI = 0 et NON = 0,5 Surface traitée / SAU hors prairies naturelles > ou = à 0 0,75 à 0,5 0,5 à 0,75 0,5 à 0,5,5 0 à 0,5 0,5 Traduit un degré de pollution induit par la quantité de pesticides épandus sur la ferme (insecticide, fongicide, herbicide) : - ha traité n fois = n ha ; ha traité à ½ dose = /n ha, - Un traitement avec types de produits mélangés compte pour traitements, - Si utilisation de semences traitées ou de traitements localisés sur le rang, compter ½ ha la surface traitée. 5
6 6 ème critère : Dépendance énergétique Ce critère permet d évaluer les consommations d énergie fossile, directe (fioul, gaz, électricité) et indirecte (alimentation, plastiques, engrais). Nature de l'intrant énergie dépensée énergie dépensée Nature de l'intrant par unité par unité Fioul = cuve + CUMA + ETA,4 EQF/litre Concentrés - farine 0, EQF/kg Electricité 0,7 EQF/kWh Concentrés - granulés 0,0 EQF/kg Engrais azoté,47 EQF/U Poudre de lait, EQF/kg Tourteau de soja 0,6 EQF/kg Bâches ou enrubannage,7 EQF/kg Tourteau de colza ou tournesol 0,0 EQF/kg Indicateur Barème de notation Points Total EQF/ha > à 600 EQF 0 SAU 500 à 600 EQF 400 à 500 EQF 300 à 400 EQF 3 00 à 300 EQF 4 < à 00 EQF 5 Traduit la dépendance de la ferme par rapport aux énergies fossiles. 6
7 D - Diagnostic Technique Pour cela, vous reprenez les points forts et points faibles les plus significatifs que vous avez mis en évidence dans ce rapport. En 0-5 lignes, expliquer les principaux points forts / points faibles ou atouts / contraintes de l exploitation. Classez les en 3 domaines successifs : Diagnostic naturel, socio-éco, historique et capital - Climat, sol, amont aval. - Historique de l exploitation. - Foncier. - Bâtiments, installation, matériel et condition de travail. Diagnostic du système végétal - Valorisation, chargement et niveau de charges SFP. - Autonomie fourragère / achats. - Rendements et qualités des fourrages. - Entretien, protection. Diagnostic du système animal - Alimentation du troupeau. - Sélection du troupeau. - Prophylaxie sanitaire du troupeau. - Reproduction du troupeau. - Résultats techniques du troupeau. - Commercialisation des produits. - Prix de vente des produits. - Marge brute et son commentaire. En fonction de sa propre exigence et de ses critères, mettre une note d appréciation personnelle sur ce dossier technique. Utiliser une grille de notation personnelle. A titre d exemple : Naturel / 0 + Végétal / 0 + Animal / 0 Naturel / 5 + Végétal / 0 + Animal / 5 Naturel / 7 + Végétal / 8 + Animal / 5 Au final, la note doit être sur 30 points E - Diagnostic Global Economie Il est réalisé sous forme d un texte de 0-5 lignes, accompagné d un petit diagramme en étoile à 4 branches : économie, social, environnement et technique On compare tous les diagnostics aux finalités et objectifs Technique que s est fixée l exploitation (et qui apparaissent dans le schéma de fonctionnement) Les finalités : sont-elles atteintes? Oui ou non, pourquoi ou grâce à quoi? Les objectifs : sont-ils atteints? Environnement On fait le point sur l avenir de cette exploitation : souhaits et projets de l éleveur. Vont-ils résoudre les problèmes soulevés? On cite les limites d évolution du système actuel : capacité à emprunter, main d œuvre, incertitude PAC, prix, contraintes environnementales, motivation Social 7
DIAGNOSTIC DE DURABILITE du Réseau Agriculture Durable
DIAGNOSTIC DE DURABILITE du Réseau Agriculture Durable Guide de l utilisateur 2010 Si vous êtes amenés à utiliser cet outil, merci d indiquer votre source. Réseau agriculture durable - Inpact Bretagne
Plus en détailRÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU RAD Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010
Les essentiels du Réseau agriculture durable RÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010 Réseau d information comptable agricole du Ministère de l Agriculture,
Plus en détailConventions de calcul pour la réalisation des cas types en agriculture biologique
Conventions de calcul pour la réalisation des cas types en agriculture biologique Conjoncture retenue pour la construction des cas-types Prix de la viande bovine Conjoncture 1 er trimestre 2012 Prix des
Plus en détailSystèmes bovins laitiers en Poitou-Charentes
R E F E R E N C E S Systèmes bovins laitiers en Poitou-Charentes Avril 2008 Les cas-types... mode d emploi R E F E R E N C E S Vous avez dit cas-type? Un cas-type est une exploitation représentative d'un
Plus en détailEn zones herbagères, un système spécialisé lait, tout herbe
Cas type HL 1 En zones herbagères, un système spécialisé lait, tout herbe Rouen Évreux Amiens Beauvais Arras Lille Laon Culture à faible densité d'élevage Herbagère à forte densité d'élevage Mixte à moyenne
Plus en détail«L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas»
Énergie «L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas» La première fonction de l agriculture est la valorisation de l énergie solaire en énergie alimentaire par la photosynthèse.
Plus en détailCAPRINS LAITIERS + BOVINS VIANDE ENSILAGE DE MAÏS
CLBV AQMP02 CAPRINS LAITIERS + BOVINS VIANDE ENSILAGE DE MAÏS 2 UMO sur 39 ha avec 200 chèvres produisant 160 000 litres de lait et engraissement de 40 génisses Ce système se rencontre principalement dans
Plus en détailPLAN DEVELOPPEMENT EXPLOITATION - DESCRIPTION DE L EXPLOITATION REPRISE - 1 Caractéristiques globales LES FACTEURS DE PRODUCTION Productions SAU FONCIER Mécanisé (en %) Irrigué (O/N) Autres Observations
Plus en détailDAIRYMAN aux Pays-Bas
DAIRYMAN aux Pays-Bas Frans Aarts, Wageningen-UR 15 October 2013 Le secteur laitiers Néerlandais: Une place importante Une production intensive 65% des surfaces agricoles dédiées à la production laitière
Plus en détailEPREUVE ECRITE D ADMISSIBILITE
CONCOURS DE RECRUTEMENT DE PROFESSEURS DE LYCEE PROFESSIONNELS AGRICOLE (PLPA) SESSION 2011 Concours : INTERNE Section : Sciences économiques et sociales et gestion Option A : Sciences économiques et sociales
Plus en détailTrajectoires laitières
Trajectoires laitières Yannick PECHUZAL Lot Conseil Elevage 13 mars 2014 Cantal 2100 producteurs de lait 1000 élevages mixtes 420 ML 5 AOP fromagères Filière Collecte : 360 Ml 60% SODIAAL et assimilés
Plus en détailL assurance récoltes en France
P A C I F I C A - A S S U R A N C E S D O M M A G E S L assurance récoltes en France Colloque FARM - Pluriagri du 18 décembre 2012 Thierry LANGRENEY Directeur général de Pacifica L assurance, un outil
Plus en détailIndicateurs de résultats en Agriculture Durable
Indicateurs de résultats en Agriculture Durable Formation «Mesures et indicateurs en agriculture durable» - 5 mars et 19 mai 2008- FNCIVAM Indicateurs clés socio-économiques Les indicateurs connus sont
Plus en détailTCS, strip-till et semis direct
Témoignage dethierry Lesvigne Polyculture Elevage Bovin Lait La Bernaudie 24 480 ALLES- SUR-DORDOGNE Depuis 2008, Thierry Lesvigne a choisi repenser l ensemble de son système agronomique et a arrêté définitivement
Plus en détailPAC. ce qui change. vraiment
PAC 2014 2020 ce qui change vraiment Dotée d un budget préservé de l ordre de 9,1 milliards par an, la nouvelle pac entrera pleinement en application en 2015 et sera le cadre commun de l agriculture européenne
Plus en détail4. Verdissement, une PAC plus verte
4. Verdissement, une PAC plus verte Aides Couplées JA Verdissement Paiement redistributif DPB Trois obligations à respecter : 1. Diversification des assolements 2. Maintien des prairies permanentes 3.
Plus en détailles cinq étapes pour calculer les jours d avance
À retenir l expérience, acquise grâce à ces outils, permet également une bonne évaluation de la ressource disponible. une fois les mesures réalisées, la quantité d herbe disponible pour le lot se calcule
Plus en détailLa couverture des risques agricoles
PACIFICA - ASSURANCES DOMMAGES La couverture des risques agricoles Patrick Degiovanni Directeur Général Adjoint Page 1 Marrakech, Jeudi 28 octobre 2010 Sommaire Le contexte Les risques du métier en Agriculture
Plus en détailPOURQUOI VISIOLYS? SOMMAIRE VOUS PROPOSE : Un monde qui bouge COMPRENDRE. Analyses et adaptations SE REPÉRER SE PROJETER ET CHOISIR
POURQUOI VISIOLYS? EXPERTISE STRATÉGIE ÉCONOMIE Visiolys est né de la volonté commune des deux entreprises de conseil en élevage Clasel et Eilyps de se projeter dans un monde en pleine mutation, de permettre
Plus en détailLa vie du sol : «Les racines de la fertilité de vos cultures»
Donner à la nature les moyens d exprimer son potentiel! La vie du sol : «Les racines de la fertilité de vos cultures» BIO3G : 3 rue Basse Madeleine - BP 22-22230 MERDRIGNAC Tél : 02 96 67 41 41 - Fax :
Plus en détailProduire avec de l'herbe Du sol à l'animal
GUIDE PRATIQUE DE L'ÉLEVEUR Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal avril 2011 BRETAGNE PAYS DE LA LOIRE SOMMAIRE Paroles d éleveurs 4 Quelle place donner à l herbe Le choix d un système fourrager 8
Plus en détailNOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis
TITRE NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis Selon le règlement NOP de l USDA 205.406(a), un opérateur certifié doit transmettre chaque année à son
Plus en détailACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie
ACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie Capacité d adaptation des systèmes en Agriculture Biologique aux épisodes de sécheresse AUTONOMIE ALIMENTAIRE Maître d œuvre : Chambres d Agriculture
Plus en détailDéfinition des variables présentées dans le RICA
Les termes en gras italique sont définis par ailleurs dans le lexique. Les termes en italique désignent des variables explicitement recueillies dans le Rica. A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V
Plus en détailL intérêt technico-économique. avec simulations à l'appui
L intérêt technico-économique Titre de du l'engraissement diaporama des mâles avec simulations à l'appui Christèle PINEAU Institut de l'elevage Christele.Pineau@idele.fr Matthieu COUFFIGNAL ARVALIS, Institut
Plus en détailTechniques agronomiques innovantes de la conduite du maïs fourrage
Techniques agronomiques innovantes de la conduite du maïs fourrage Romain LEGERE- Arvalis(station de la Jaillière Collaboration Bruno Couilleau-CA44 (Ferme de Derval) Techniques agronomiques innovantes
Plus en détailEnjeux environnementaux prioritaires des forêts de Poitou-Charentes
Annexe 3 Enjeux environnementaux prioritaires des forêts de Poitou-Charentes Cette annexe présente les enjeux environnementaux ayant été définis comme prioritaires en Poitou-Charentes. Une série de cartes
Plus en détailPLAN D'ENTREPRISE - PCAE
Modèle document national Version du 17/03/2015 PLAN D'ENTREPRISE - PCAE Cadre réservé à l'administration Date de dépôt du dossier : / / 1. RENSEIGNEMENTS SUR LE CANDIDAT Identification Nom / Prénom : -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Plus en détail25/02/2013. Le SIBV de la Seiche. Commission Professionnelle Agricole (CPA) Réunion n 1 22 février 2013 Piré-sur-Seiche
Le SIBV de la Seiche Commission Professionnelle Agricole (CPA) Réunion n 1 22 février 2013 Piré-sur-Seiche 1 PROGRAMME D ACTIONS Collectivités Particuliers Gestion des eaux pluviales Actions Industriels,
Plus en détailEnvironnement, économie, société : le maïs sur tous les fronts
Environnement, économie, société : le maïs sur tous les fronts Millions t 3 000 2 500 2 000 1 500 1 000 La demande en grains va augmenter avec la population 500 MAÏS : +76% 0 2000 2010 2015 2020 2030 RIZ
Plus en détailMise au point de systèmes de culture innovants par un réseau d agriculteurs et production de ressources pour le conseil 1
Innovations Agronomiques 20 (2012), 79-100 Mise au point de systèmes de culture innovants par un réseau d agriculteurs et production de ressources pour le conseil 1 Petit M.-S. 1, Reau R. 2, Dumas M. 2,
Plus en détailUn expérience pluridisciplinaire de l intensification écologique en Agriculture Familiale
Le développement du semis-direct sous couverture végétale pour les agriculteurs des exploitations familiales des biomes Cerrados (2005-2009) et Amazonia (2008-2013) Un expérience pluridisciplinaire de
Plus en détailDECiDE, un outil pour évaluer les émissions de gaz à effet de serre (GES) et les consommations énergétiques des exploitations agricoles wallonnes
DECiDE, un outil pour évaluer les émissions de gaz à effet de serre (GES) et les consommations énergétiques des exploitations agricoles wallonnes 14 ème journée d étude des productions porcines et avicoles,
Plus en détailElevage de chevaux de trait Comtois spécialisé en circuit de vente directe Vente de poulains finis 8 à 12 mois
RÉFÉrences - Réseau Économique de la Filière Équine Haute-Loire Elevage de chevaux de trait Comtois spécialisé en circuit de vente directe Vente de poulains finis 8 à 12 mois Cet élevage de trait Comtois
Plus en détailMesures Agro-Environnementales
02 Mesures Agro-Environnementales LES DISPOSITIFS MAE Dispositif A C est le dispositif national de la Prime Herbagère Agro-Environnementale (PHAE 2). Dispositif B : C est le dispositif de la Mesure Agro
Plus en détailDIRECTIVE NITRATES ZONE VULNERABLE 4ème Programme d Actions
DIRECTIVE NITRATES ZONE VULNERABLE 4ème Programme d Actions Novembre 2010 CHAMBRE D AGRICULTURE 47 4ème Programme d Actions ZONE VULNERABLE Quelle zone? 93 communes 2466 exploitations 94425 ha 4ème Programme
Plus en détailRENTABILITÉ ÉCONOMIQUE MODÈLES DE CALCUL
Faits et chiffres de l aviculture CH 2.6 RENTABILITÉ ÉCONOMIQUE MODÈLES DE CALCUL 1. Généralités sur les coûts de production et la rentabilité économique Les modèles de calcul en annexe sont à interpréter
Plus en détailLes échanges parcellaires On a tous à y gagner. Guide pratique à l usage des agriculteurs, des propriétaires et des collectivités - Mai 2012
Les échanges parcellaires On a tous à y gagner Guide pratique à l usage des agriculteurs, des propriétaires et des collectivités - Mai 2012 Sommaire 1 - REGROUPER LE PARCELLAIRE, QUEL INTERÊT? 1.1 Le pâturage...
Plus en détailMerci de retourner ce document complété par courrier, fax ou mail (Joindre un plan de situation des bâtiments)
15, rue Gustave Eiffel, ZI Jarny-Giraumont 54800 JARNY Votre référence / Intervenant: N : Diagnostic MENAO N : Notre référence / Intervenant: M. / Mme : M. / Mme : Téléphone : Téléphone : 03 82 20 39 70
Plus en détailLA CHARTE REGIONALE D ACCES AUX AIDES AGRICOLES
LA CHARTE REGIONALE D ACCES AUX AIDES AGRICOLES Version A Aide sollicitée auprès du Conseil Régional de Picardie au titre de (cocher l aide sollicitée) : o L investissement en agriculture biologique o
Plus en détailRéforme de la PAC 2015. Réunion d information Septembre 2014
Réforme de la PAC 2015 Réunion d information Septembre 2014 DE NOMBREUX DEFIS POUR LA PAC : LES PROPOS DE D. CIOLOS Juillet 2010 Le contexte : -> fin de la programmation 2007-2013 -> contexte de crise
Plus en détailMoyens de production. Engrais
Engrais Moyens de production Lors de la campagne 2012-2013, les tonnages d engrais livrés diminuent de près de 17% en et représentent à peine plus de 1% des livraisons françaises. Cette évolution est principalement
Plus en détailLA DYNAMIQUE DES TROUPEAUX LAITIERS FRANÇAIS À L APPROCHE DE LA FIN DES QUOTAS
> Les synthèses de FranceAgriMer février 2013 numéro LAIT / 1 LA DYNAMIQUE DES TROUPEAUX LAITIERS FRANÇAIS À L APPROCHE DE LA FIN DES QUOTAS 12 12 rue rue Henri Henri Rol-Tanguy / TSA / TSA 20002 20002
Plus en détailLes systèmes équins du Grand Ouest
Les systèmes s du Grand Ouest Repères techniques et économiques 0 SOMMAIRE SOMMAIRE... PRÉSENTATION... 3 LE DISPOSITIF RÉFÉRENCES ET DE RÉSEAU ÉQUIN... 3 CONTEXTE 0 ET CONJONCTURE... 3 TYPOLOGIE NATIONALE
Plus en détailmon maïs fourrage, (GNIS) rassemble toutes les parties prenantes de la filière semences française, soit 72 entreprises de sélection,
Ma vache, mon maïs fourrage, et moi 50 ans de progrès! Depuis maintenant 50 ans, le maïs fourrage a bénéficié avec succès du progrès génétique et de l innovation variétale. Il a su s inscrire durablement
Plus en détailANAIS LE LOGICIEL DE GESTION PRÉVISIONNELLE DE L ENTREPRISE AGRICOLE ET RURALE. Laboratoire Informatique de l ENITA de Bordeaux Tél.
LE LOGICIEL DE GESTION PRÉVISIONNELLE DE L ENTREPRISE AGRICOLE ET RURALE Laboratoire Informatique de l ENITA de Bordeaux Tél. 05 57 35 07 95 PHILOSOPHIE DU LOGICIEL - CONCEPTS DE BASE ET MECANISMES 1.
Plus en détailSorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses
Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses Sorgho grain sucrier Itinéraire cultural Type de sol et préparation avant semis Le sorgho grain sucrier est relativement peu exigeant par rapport au
Plus en détail2. Identification de l'organisme de formation : Adresse BP 7
Comité VIVEA sollicité : D042 Réf. interne : D042/2010/1012 - Attention dossier non encore envoyé à Vivea 1. Titre de l'action de formation : certiphyto 2. Identification de l'organisme de formation :
Plus en détailFICHE TECHNIQUE SUR LA FERTILISATION DE LA PASTEQUE
FICHE TECHNIQUE SUR LA FERTILISATION DE LA PASTEQUE 2 I- JUSTIFICATION La consommation de la pastèque est en nette expansion en réponse à une forte demande nationale et régionale ; Cependant la production
Plus en détailBesoins de recherche et de transfert en agriculture biologique Horizon 2016
Besoins de recherche et de transfert en agriculture biologique Horizon 2016 Comité agriculture biologique du Centre de référence en agriculture et agroalimentaire du Québec (CAAQ) Octobre 2012 mise à jour
Plus en détailLe séchage en grange du foin à l énergie solaire PAR MICHEL CARRIER AGR. CLUB LAIT BIO VALACTA
Le séchage en grange du foin à l énergie solaire PAR MICHEL CARRIER AGR. CLUB LAIT BIO VALACTA Séchage du foin en grange Séchage en grange Technique originaire des zones de montagnes Suisse Autriche Jura
Plus en détailUNE MEILLEURE CONNAISSANCE
CONCEVOIR ET GÉRER DES AMAS DE FUMIER SOLIDE AU CHAMP UNE MEILLEURE CONNAISSANCE pour un meilleur environnement En 2002, le Règlement sur les exploitations agricoles (REA) prévoyait l échéance des dispositions
Plus en détailAnnexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation 2014 2020
Annexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation 2014 2020 CADRE REGLEMENTAIRE : FEADER, PROGRAMME DE DEVELOPPEMENT RURAL 2014 2020, REGION LIMOUSIN Cette annexe
Plus en détailL INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE ET LES ELEVAGES
L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE ET LES ELEVAGES L élevage, comme l agriculture dans son ensemble, a connu d importantes mutations depuis le début du XXème siècle. De structures familiales, ce secteur est passé
Plus en détailRECUEIL DES ACTES ADMINISTRATIFS
PREFET DE L YONNE RECUEIL DES ACTES ADMINISTRATIFS spécial n 10/2013 du 10 juin 2013 Adresse de la préfecture : 1, Place de la Préfecture - CS 80119-89016 Auxerre cedex tél. standard 03.86.72.79.89 Adresse
Plus en détailBilan Carbone des interventions viticoles
Chambre d agriculture de Vaucluse Bilan Carbone des interventions viticoles Silvère DEVEZE Chambre d Agriculture de Vaucluse Tél : 04.90.23.65.65 fax : 04.90.23.65.40 email : accueil@vaucluse.chambagri.fr
Plus en détailLes réformes de la PAC
www.supagro.fr Les réformes de la PAC Sophie Thoyer thoyer@supagro.inra.fr Centre international d études supérieures en sciences agronomiques La PAC d aujourd hui (2006 2014) En 2014, comment sont attribuées
Plus en détailEn adaptant les apports azotés aux besoins des cultures, les risques de retrouver des nitrates dans l eau sont limités.
cultures. Par exemple, des producteurs biologiques installent des bandes de phacélie en bordure de parcelles de blé ou de choux pour favoriser les auxiliaires aphidiphages (qui consomment des pucerons)
Plus en détailRevenu agricole 2013 : une année délicate pour les productions céréalières
Agreste Champagne-Ardenne n 4 - Juillet 2015 Réseau d information comptable agricole En 2013, le Résultat Courant Avant Impôt (RCAI) moyen des exploitations agricoles champardennaises couvertes par le
Plus en détailLE TRAVAIL EN ÉLEVAGE BOVIN LAIT, BOVIN VIANDE ET OVIN VIANDE
RÉSEAUX D ÉLEVAGE POUR LE CONSEIL ET LA PROSPECTIVE COLLECTION RÉFÉRENCES LE TRAVAIL EN ÉLEVAGE BOVIN LAIT, BOVIN VIANDE ET OVIN VIANDE DES RÉFÉRENCES POUR LE CONSEIL NORD-PAS-DE-CALAIS, PICARDIE ET NORMANDIE
Plus en détailun environnement économique et politique
Vision d un économiste sur le risque agricole et sa gestion un sol un climat un environnement économique et politique Jean Cordier Professeur Agrocampus Ouest Séminaire GIS GC HP2E Prise en compte du risque
Plus en détailDes territoires laitiers contrastés
Agreste Primeur 308 Numéro 308 - décembre 203 Les exploitations laitières bovines en France métropolitaine Télécharger les données au format tableur Des territoires laitiers contrastés 77 000 exploitations
Plus en détailCaisse Nationale de Mutualité Agricole
Séminaire national sur la vulgarisation, l appui-conseil et les bonnes pratiques agricoles Le rôle des Assurances Agricole dans le développement de la politique du renouveau Agricole et Rural Présentation
Plus en détailValérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015
Valérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015 Mise en contexte Résultats des essais du CETAB+ Méthodologie; Biomasse et facteurs de variation; Rendements en maïs et corrélations avec l azote apporté;
Plus en détailMarc VARCHAVSKY Conseil National CER FRANCE Olivier BOUCHONNEAU Président de CER FRANCE 49
Impact de la variabilité des prix des produits agricoles et des intrants sur les exploitations en France Marc VARCHAVSKY Conseil National CER FRANCE Olivier BOUCHONNEAU Président de CER FRANCE 49 Colloque
Plus en détailLes compensations écologiques sur la ligne à grande vitesse Sud Europe Atlantique
Les compensations écologiques sur la ligne à grande vitesse Sud Europe Atlantique Conception, rédaction, réalisation : Parménion/RFF - Crédit photos : Biotope, CREN Poitou-Charentes, Ecosphère, RFF Impression
Plus en détailMINISTERE DE L'AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORÊT (articles L361-1à 21 et D361-1 à R361-37 du Code rural)
MINISTERE DE L'AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORÊT (articles L3611à 21 et D3611 à R36137 du Code rural) DEMANDE D INDEMNISATION DES PERTES PROCEDURE DES CALAMITES AGRICOLES PERTES DE RECOLTE
Plus en détailLa méthanisation en Poitou- Charentes - Enjeux et perspectives
Les dossiers de l AREC La méthanisation en Poitou- Charentes - Enjeux et perspectives Définition La méthanisation est un procédé biologique permettant de valoriser la matière organique, notamment les sous-produits
Plus en détailLes 5 à 7 du SYRPA. Photographie et évolution de la population agricole professionnelle française
Les 5 à 7 du SYRPA Photographie et évolution de la population Quels enseignements en tirer pour vos actions de communication? Christophe SEMONT 1. Hyltel en quelques mots 2. Les concepts du recensement
Plus en détailContexte : Objectif : Expérimentation :
Estimation de la valeur fertilisante de digestats issus de la biométhanisation. Résultat de 3 années d expérimentation en culture de maïs (2009 à 2011). (JFr. Oost 1, Marc De Toffoli 2 ) 1 Centre pilote
Plus en détailCoûts des pratiques viticoles dans le Sud-Ouest en fonction de la typologie de production. Damien AMELINE, CER France Midi-Pyrénées
Coûts des pratiques viticoles dans le Sud-Ouest en fonction de la typologie de production Damien AMELINE, CER France Midi-Pyrénées 10 Damien décembre Ameline 2010 (CER France Toulouse Midi-Pyrénées) Compétitivité
Plus en détailCalcul de la marge brute en production laitière
Mode d emploi : Calcul de la marge brute en production laitière Calculez la marge brute en production laitière sur votre exploitation et comparez-la avec celle d autres exploitations du même type. Utilisation
Plus en détailR y o aume aume du du Maroc Mar Mai 2009
Royaume du Maroc PLAN MAROC VERT Mai 2009 ENJEUX Enjeux économiques Contribue pour 19 % du PIB national 15% production 4% Agro industrie Rôle capital dans la stabilité macro économique Enjeux sociaux Emploie
Plus en détailSELLE Masse d'eau AR51
SELLE Masse d'eau AR51 Présentation Générale : Superficie : 720 m² exutoire : Somme canalisée à Amiens longueur des cours d'eaux principaux : 63,27 km Population du bassin Versant 2006 : 28 211 hab Évolution
Plus en détailEPLEFPA "LES SARDIERES" 79 AVENUE DE JASSERON 01 000 BOURG EN BRESSE Tel : 04.74.45.50.80
Maître d'ouvrage : EPLEFPA "LES SARDIERES" 79 AVENUE DE JASSERON 01 000 BOURG EN BRESSE Tel : 04.74.45.50.80 Objet : Récupération des eaux pluviales pour le jardin partagé des Sardières CAHIER DES CHARGES
Plus en détailCHAPITRE III - LES CONSOMMATIONS INTERMÉDIAIRES
CHAPITRE III - LES CONSOMMATIONS INTERMÉDIAIRES 1. Présentation générale... 91 2. Les consommations intermédiaires hors TVA... 91 3. Les consommations intermédiaires hors TVA déductible... 102 4. Sources
Plus en détailRENTABILITÉ ÉCONOMIQUE MODÈLES DE CALCUL
2. Économie avicole, calculations 2.6 RENTABILITÉ ÉCONOMIQUE MODÈLES DE CALCUL 1. Généralités sur les coûts de production et la rentabilité économique Les modèles de calcul en annexe sont à interpréter
Plus en détailN abandonnons pas notre héritage commun.
N abandonnons pas notre héritage commun. Chaque semaine, 200 fermes disparaissent en France. Disparition des surfaces agricoles, spéculation foncière : nous pouvons agir. Grâce à vous, Terre de liens acquiert
Plus en détailDétail des cultures de l'exploitation en 2007
République et Canton de Genève Département des finances Administration fiscale cantonale Formulaire annexe à la déclaration 2007 servant à déterminer le revenu et la fortune professionnels de l'agriculture
Plus en détailFiche Technique. Filière Maraichage. Mais doux. Septembre 2008
Fiche Technique Production Peu Développée en Languedoc-Roussillon Filière Maraichage Mais doux Septembre 2008 Rédigée par : Julien GARCIA Chambre Régionale d Agriculture du Languedoc-Roussillon Potentiel
Plus en détailUne nouvelle écologie des parcs et des jardins
Une nouvelle écologie des parcs et des jardins Une nouvelle écologie des parcs et des jardins Patrimoine vert bordelais et politique de développement et de gestion Ecologie : grands principes et applications
Plus en détailLe miscanthus : opportunités énergétiques à la ferme. Laurent Somer, ValBiom asbl Sankt Vith / Saint-Vith 13 juin 2014
Le miscanthus : opportunités énergétiques à la ferme Laurent Somer, ValBiom asbl Sankt Vith / Saint-Vith 13 juin 2014 Plan de l exposé Pourquoi du miscanthus? Chaudières polycombustibles : aspects techniques
Plus en détailFin des quotas laitiers, contractualisation et stratégies productives : enseignements d une modélisation bioéconomique
INRA Prod. Anim., 2012, 25 (1), 67-76 Fin des quotas laitiers, contractualisation et stratégies productives : enseignements d une modélisation bioéconomique B. LELYON 1, V. CHATELLIER 2, K. DANIEL 2,3
Plus en détailARRETE N 2015-DDTM-SEA-0006
PRÉFET DU GARD Direction Départementale des Territoires et de la Mer Fait à Nîmes, le 22 juillet 2015 Service Economie Agricole Unité Agro-Ecologie Affaire suivie par : Virginie PLANTIER 04 66 62.64.53
Plus en détailPREFECTURE DE LA MANCHE - DDTM 50
PREFECTURE DE LA MANCHE - DDTM 50 Réalisation d un Schéma de Développement Durable de la Vallée de la Sélune Atelier 2 : ÉCONOMIE / AGRICULTURE ETHEIS Conseil 2 avenue du 6 Juin 14000 Caen Tél. 02.31.47.08.80
Plus en détailComment aménager un stockage de solution azotée?
EXPLOITATIONS AGRICOLES Comment aménager un stockage de solution azotée? Guide pratique destination des techniciens et des agriculteurs lorrains Que dit la réglementation : Dans lel Code Rural et le Code
Plus en détailLa Bio pour quoi faire? Une vision du monde de la Bio et quelques perspectives
La Bio pour quoi faire? Une vision du monde de la Bio et quelques perspectives Juin 2012 Lionel FRANCOIS Sommaire La Bio, pourquoi? La Bio c est quoi? La situation de la Bio Les acteurs du Bio Le paysan
Plus en détailCONFÉRENCE. Grande culture biologique et semis direct. Les essais Rodale. Conférence présentée au cégep de Victoriaville, le 28 février 2013
Club CDA CONFÉRENCE Grande culture biologique et semis direct Les essais Rodale Conférence présentée au cégep de Victoriaville, le 28 février 2013 Projet 12-INNO2-04 Jeff Moyer1, Denis La France 2, Fin
Plus en détailMINISTERE DE LA REGION WALLONNE
MINISTERE DE LA REGION WALLONNE Direction générale des Ressources naturelles et de l Environnement Direction générale de l Aménagement du Territoire, du Logement et du Patrimoine Décret du 11 mars 1999
Plus en détailOUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneux et autres végétaux indésirables Sous-mesure :
OUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneu et autres végétau indésirables Sous-mesure : 10.1 Paiements au titre d'engagements agroenvironnementau et climatiques
Plus en détailQuestionnaire à destination des élèves avant leur départ en stage
Questionnaire à destination des élèves avant leur départ en stage LE STAGE EN ENTREPRISE 1) Vous allez effectuer un stage en entreprise. Vous trouvez cela : Très bien Bien Pas bien Pas bien du tout 2)
Plus en détailDEMANDE DE SUBVENTION 2012 PLAN DE MODERNISATION DES BATIMENTS D ELEVAGE (121 A)
Mise à jour 01 décembre 2011 DEMANDE DE SUBVENTION 2012 PLAN DE MODERNISATION DES BATIMENTS D ELEVAGE (121 A) Cette demande d aide une fois complétée constitue, avec les justificatifs joints par vos soins,
Plus en détailPour la mise en place d une licence de conseil stratégique au service de l agroécologie
Conférence de presse Arvalis, Cetiom, InVivo AgroSolutions Paris, le 25 octobre 2013 Pour la mise en place d une licence de conseil stratégique au service de l agroécologie 1- Pourquoi un partenariat?
Plus en détailCompte rendu de la réunion de la cellule de crise Grêle intempéries
Communiqué de Presse vendredi 9 août 2013 Compte rendu de la réunion de la cellule de crise Grêle intempéries L'ensemble des organisations professionnelles agricoles, le Conseil général et les services
Plus en détailCOMPTE RENDU. Journée semis direct dans le Béarn
COMPTE RENDU Journée semis direct dans le Béarn 26/07/12 1. L exploitation de Christophe Cassoulong Lieux: Lalonquette Elevage: 60 mères blondes d Aquitaine Cultures: 67ha : 2/3 Prairie 1/3 Cultures Maïs
Plus en détailPrésentation et proposition d engagement. Conseil Municipal de Courtry 13/06/2013
COMMUNAUTE D AGGLOMERATION MARNE ET CHANTEREINE AGENDA 21 - DEVELOPPEMENT DURABLE PLAN CLIMAT ENERGIE TERRITORIAL Présentation et proposition d engagement Conseil Municipal de Courtry 13/06/2013 DE QUOI
Plus en détailFiche Technique. sur l itinéraire de fertilization de la Pomme de terre. (Solanum tuberosum L.) au Cameroon
Fiche Technique sur l itinéraire de fertilization de la Pomme de terre (Solanum tuberosum L.) au Cameroon I. JUSTIFICATION La pomme de terre est une culture importante qui participe à la sécurité alimentaire
Plus en détailOrganisation des bâtiments dans les grands troupeaux 5 exemples d organisation spatiale en Europe
Organisation des bâtiments dans les grands troupeaux 5 exemples d organisation spatiale en Europe Avril 2009 FICHES TECHNIQUES Auteur : Jacques CHARLERY Pôle Herbivores Chambres d agriculture de Bretagne
Plus en détailune belle entreprise pour la Somme
Janvier 2013 L Agriculture, une belle entreprise pour la Somme La Ferme Somme en quelques chiffres L agriculture, une belle entreprise pour la Somme 1 2 L agriculture, une belle entreprise pour la Somme
Plus en détailSemis direct: de l essai à la pratique
Travail du sol - Semis direct 2.4.3 Semis direct: de l essai à la pratique Expériences acquises dans un système de semis direct en continu A. Chervet 1, L. Gubler 1, P. Hofer 1, C. Maurer-Troxler 1, M.
Plus en détail