Importance des concentrations in-situ et de la spéciation solide dans l étude de la mobilité des éléments traces

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Importance des concentrations in-situ et de la spéciation solide dans l étude de la mobilité des éléments traces"

Transcription

1 Importance des concentrations in-situ et de la spéciation solide dans l étude de la mobilité des éléments traces Travaux de Cécile Grosbois (Université de Tours) en collaboration avec Alexandra Courtin-Nomade (Université de Limoges), les étudiants en thèse : A. Bossy, J. Gautier, J. Kierzcak

2 Notion de la (bio)disponibilité (Bio)disponible Spéciation chimique Sorption/Désorption M M Spéciation solide Précipitation/Dissolution Complexation/Dissociation M M Non (Bio)disponible M M M M

3 Comparaison des concentrations totales Effet de la granulométrie (Horowitz, 1991) Surface spécifique (m²/g) Exemple de sédiments sur la Loire (Grosbois et al, 2011) ppm [As] [Pb] [Zn] [Hg] Sédiment total Fraction <63 µm

4 Concentrations totales et transferts vers le milieu

5 Transferts solide / eau: Thèse A. Bossy (2010) Crédits photos : D. Jezequel, LGE, Paris 7

6 Etude des transferts solide eaux Solution lixiviante Horizon de sol / sédiment Analyses des lixiviats Thèse d A. Bossy (2010), Univ. Limoges

7 Teneurs en arsenic dissous dans le milieu aqueux AsT-As(III) (µg.l -1 ) FeT-Fe(II) (mg.l -1 ) AsT-As(III) (µg.l -1 ) FeT-Fe(II) (mg.l -1 ) 20 0,5 Tests de 0 relargage des sédiments 0,0vers les eaux temps (heure) temps (heure) 140 4,0 AsT biotique eaux de surface As(III) biotique AsT abiotique As(III) abiotique temps (heure) AsT biotique As(III) biotique 400 AsT abiotique As(III) abiotique AsT biotique O2 As(III) biotique O2 eaux souterraines 3,5 3,0 2,5 2,0 1,5 1,0 0,5 0,0 1,6 1,4 eaux de surface Sédiments + eaux de surface avec ou sans bactéries authigènes temps (heure) Sous atmosphère d azote eaux souterraines FeT biotique FeT abiotique FeT biotique O ,2 1,0 0,8 0,6 0,4 50 0, temps (heure) Thèse A. Bossy, Univ. Limoges 0,0 Sédiments + eaux souterraines avec ou sans bactéries authigènes temps (heure)

8 Spéciation solide : - Caractérisation chimique - Caractérisation in-situ

9 Spéciation solide Spéciation définie opérationnellement : extractions sélectives et séquentielles Audry et al (2010) modifié d après Tessier (1979) Fraction F1 Echangeable 10 ml NaOAc 1 M ph = 5 5h à 25 C Carbonates Fraction F2 Fe/Mn oxydes 12.5 ml ascorbate ph = 8 24h à 25 C Fraction F3 MO / sulfures 8 ml H 2 O 2 30% + NaOH 30 min à 25 C + 5 ml NH 4 OAc 1 M + 20 ml H2O 24h à 25 C Fraction R Résiduelle attaque totale comme pour le sédiment initial (HCl, HNO 3, HF)

10 Spéciation solide Spéciation définie opérationnellement : extractions sélectives et séquentielles F1 : fraction adsorbée F2 : fraction associée aux carbonates F3 : fraction réductible R : fraction résiduelle TM : concentration totale Audry et al, 2010

11 Extractions séquentielles : les limites de l analyse Thèse de J. Kierczak (2007), Univ. Limoges Spéciation solide du Ni et du Cr dans un site minier et industriel à usage agricole F1 exchangeable F2 carbonates F3 easily reductible F4 moderately reductible F5 sulfidic/organic F6 residual Nickel Chromium Fractions F1 & F2 < 5 % of Ni > 90 % of Cr in residual fraction

12 Observations des résidus solides aprés extraction Résidue aprés fraction F4 (modérément réductible) Cr-magnetite avant aprés Thèse de J. Kierczak, 2007

13 Résidue aprés fraction F5 Analyses aux RX Formation d un nouvel phase : l oxalate Mg hydraté(glushinskite MgC 2 O 4 2H 2 O)

14 Techniques d observations in-situ Caractérisation minéralogique Diffraction des rayons X (bulk) et µdrx (grain) RAMAN Caractérisation chimique MEB et microsonde µpixe Spéciation élémentaire à l échelle micrométrique XANES EXAFS

15 Observations in-situ

16 Spéciation solide : phases porteuses et leur stabilité au cours du transport Concentration totale en As dans cet échantillon (<63µm) : 752 mg/kg Repérage au MEB *100 *200 Analyse microsonde ( µ 3 points) 43.7 wt% FeO 3.5 wt% MnO 2.3 wt% SiO wt%al 2 O wt % As S = 61 à 65 % *800 Image MEB en BSE de MES Spectre eds acquis au MEB (semi-quantitatif)

17 Observations et quantifications in-situ Exemple des phases porteuses d arsenic dans les sédiments : Les arsénopyrites et pyrites arséniées Analyse chimique in-situ %pds S 18.9 Fe 35.3 As 45.9 Minéral concentré en arsenic mais pas peu biodisponible

18 Observations et quantifications in-situ En bordure wt% Fe wt% O wt % As S = 51 to 55 % Au centre wt% Fe wt% S wt % As S = 93 to 95 % SEM image in a bed sediment thin section Grosbois et al, 2007

19 SE BSE Courtin et al, 2003 Altération d'arsénopyrite As, Fe O S Asp 500 µm As Fe

20 Principales phases porteuses de l arsenic dans les sédiments de fond et M.E.S. Les oxyhydroxydes de fer et de manganèse + les arsénates Relargage des ET en fonction - de la nature des porteurs minéralogiques - de leur stabilité - des variations de débit, ph et Eh, I Arsenic plus biodisponible

21 [As] = 6.55 wt% [As] = 6.55 wt% [As] = 2480 ppm [As] = 2490 ppm

22 Les phases secondaires sont beaucoup plus destabilisables vis-à-vis de l altération, dissolution et activités bactériennes

23 Principales phases porteuses de l arsenic dans les M.E.S. Les aggrégats organo-argileux Image MEB

24 BSE Si Al Fe Mn K Ti more less

25 + #41-2 and 5 10 µm #1 and 2 + #3 5 #1 #2 #3 #4 #5 Si Al Fe Mn As S K Ca Ti Na Mg P Total abundant - abundant goethite chlorite muscovite Grosbois et al, 2011

26 Na+K+2Ca Clays Low flow High flow Si (Mg+Mn+Fe)/ Muscovite 50 Illite Phlogopite 60 Muscovite Illite Phlogopite 60 Beidellite Montmorillonite Beidellite 20 Montmorillonite Kaolinite Chlorite Kaolinite Chlorite Fe-rich clays Beidellite Montmorillonite Muscovite Illite Phlogopite Kaolinite Chlorite Beidellite Montmorillonite Muscovite 60 Illite Phlogopite Kaolinite Chlorite Grosbois et al, 2011

27 Spéciation élémentaire Le XANES et l EXAFS XANES : X ray Adsorption Near Edge Structure : degré d oxydation des atomes dans les minéraux EXAFS : Extended X-ray Absorption Fine structure : nature des plus proches voisins distances interatomiques déconvolution des % des phases minéralogiques Spectre XANES d une Fh2line (6.55 wt% As) Gautier et al Eup. J. Min.

28 Paramètres influençant le comportement des ET dans la fraction solide -Nature des phases porteuses Fe oxyhydroxydes MO Argiles Mn oxydes Carbonates Sulfures -Types de liaison ET - phases Sorption Capacité de concentration des ET Granulométrie fine Amorphes ou peu organisés Grande S s Grande capacité d échange cationique Surface de charge négative Coprécipitation (phases secondaires en mil. sursaturé) Echange cationique / complexation Incorporation dans structure cristalline

29 Importance des concentrations in-situ et de la spéciation solide dans l étude de la mobilité des éléments traces -Minéralogie de la phase porteuse -Sa représentativité dans l échantillon -Sa stabilité au cours du transport solide -La nature de la liaison ET-minéral

30

31 Le Microscope Electronique à Balayage : imagerie et analyses semi-quantitatives 3w.materiaux.ecam.fr

Mesures in situ et sur site

Mesures in situ et sur site Mesures in situ et sur site Avantages de la mesure in-situ pas de perturbation du milieu pas d échantillonnage (prélèvement, conditionnement, stockage) mesure en temps réel Senseurs chimiques Biocapteurs

Plus en détail

ACCREDITATION CERTIFICATE. N 1-1663 rév. 5. Satisfait aux exigences de la norme NF EN ISO/CEI 17025 : 2005 Fulfils the requirements of the standard

ACCREDITATION CERTIFICATE. N 1-1663 rév. 5. Satisfait aux exigences de la norme NF EN ISO/CEI 17025 : 2005 Fulfils the requirements of the standard Convention N 2393 Section Laboratoires ATTESTATION D ACCREDITATION ACCREDITATION CERTIFICATE N 1-1663 rév. 5 Le Comité Français d'accréditation (Cofrac) atteste que : The French Committee for Accreditation

Plus en détail

Application à l astrophysique ACTIVITE

Application à l astrophysique ACTIVITE Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.

Plus en détail

Les impacts de l'ac.vité extrac.ve

Les impacts de l'ac.vité extrac.ve Les impacts de l'ac.vité extrac.ve (B. Higman, 2015) Des environnements ar.ficialisés que l'on doit comprendre et maîtriser Bassin de résidus miniers, Tilden mine, WI (B.I.F.): silice à héma.te Tilden

Plus en détail

4. Conditionnement et conservation de l échantillon

4. Conditionnement et conservation de l échantillon 1. Objet S-II-3V1 DOSAGE DU MERCURE DANS LES EXTRAITS D EAU RÉGALE Description du dosage du mercure par spectrométrie d absorption atomique de vapeur froide ou par spectrométrie de fluorescence atomique

Plus en détail

RÔLES DE LA MICROSTRUCTURE ET DE LA COMPOSITION MINERALOGIQUE DE SOLS ARGILEUX DU BASSIN DE PARIS SUR LEUR SENSIBILITE AU RETRAIT - GONFLEMENT

RÔLES DE LA MICROSTRUCTURE ET DE LA COMPOSITION MINERALOGIQUE DE SOLS ARGILEUX DU BASSIN DE PARIS SUR LEUR SENSIBILITE AU RETRAIT - GONFLEMENT RÔLES DE LA MICROSTRUCTURE ET DE LA COMPOSITION MINERALOGIQUE DE SOLS ARGILEUX DU BASSIN DE PARIS SUR LEUR SENSIBILITE AU RETRAIT - GONFLEMENT ROLES OF MICROSTRUCTURE AND MINERALOGICAL COMPOSITION OF CLAY

Plus en détail

Commission juridique et technique

Commission juridique et technique Autorité internationale des fonds marins ISBA/9/LTC/3 Commission juridique et technique Distr. limitée 29 avril 2003 Français Original: anglais Neuvième session Kingston, Jamaïque 28 juillet-8 août 2003

Plus en détail

Détermination des métaux : méthode par spectrométrie de masse à source ionisante au plasma d argon

Détermination des métaux : méthode par spectrométrie de masse à source ionisante au plasma d argon Centre d'expertise en analyse environnementale du Québec MA. 200 Mét. 1.2 Détermination des métaux : méthode par spectrométrie de masse à source ionisante au plasma d argon 2014-05-09 (révision 5) Comment

Plus en détail

Développement du processus d extraction de l or Rapport de capacités

Développement du processus d extraction de l or Rapport de capacités Développement du processus d extraction de l or Rapport de capacités BONNES SOLUTIONS BON PARTENAIRE Aperçu de la Société Australian Laboratory Services (ALS) a débuté à Brisbane sous le nom d»australian

Plus en détail

Décrets, arrêtés, circulaires

Décrets, arrêtés, circulaires Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SOLIDARITÉS Arrêté du 11 janvier 2007 relatif aux limites et références de qualité des eaux brutes et des eaux destinées à la

Plus en détail

Viandes, poissons et crustacés

Viandes, poissons et crustacés 4C la Tannerie BP 30 055 St Julien-lès-Metz F - 57072 METZ Cedex 3 url : www.techlab.fr e-mail : techlab@techlab.fr Tél. 03 87 75 54 29 Fax 03 87 36 23 90 Viandes, poissons et crustacés Caractéristiques

Plus en détail

GRILLE TARIFAIRE 2014. Service Exceptionnel. Expertise en Analyse.

GRILLE TARIFAIRE 2014. Service Exceptionnel. Expertise en Analyse. GRILLE TARIFAIRE 2014 Service Exceptionnel. Expertise en Analyse. .COM Bienvenue chez Accurassay La version 2014 de notre Grille Tarifaire vous fournit une mise à jour de l étendue de nos services et de

Plus en détail

BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1

BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 I. L ATOME NOTIONS EÉLEÉMENTAIRES DE CIMIE Les atomes sont des «petits grains de matière» qui constituent la matière. L atome est un système complexe que l on

Plus en détail

EXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points)

EXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points) Bac S 2015 Antilles Guyane http://labolycee.org EXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points) La benzocaïne (4-aminobenzoate d éthyle) est utilisée en médecine comme anesthésique local

Plus en détail

Du zinc dans les rejets miniers

Du zinc dans les rejets miniers Confidentiel non publié Institut National Polytechnique de Lorraine École Nationale Supérieure de Géologie Rue du Doyen Marcel Roubault B.P. 40 54501 Vandœuvre-lès-Nancy Du zinc dans les rejets miniers

Plus en détail

THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE

THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules

Plus en détail

Rappels sur les couples oxydantsréducteurs

Rappels sur les couples oxydantsréducteurs CHAPITRE 1 TRANSFORMATIONS LENTES ET RAPIDES 1 Rappels sur les couples oxydantsréducteurs 1. Oxydants et réducteurs Un réducteur est une espèce chimique capable de céder au moins un électron Demi-équation

Plus en détail

Consolidation des argiles. CUI Yu-Jun ENPC-CERMES, INSTITUT NAVIER

Consolidation des argiles. CUI Yu-Jun ENPC-CERMES, INSTITUT NAVIER Consolidation des argiles CUI Yu-Jun ENPC-CERMES, INSTITUT NAVIER Plan Introduction Argiles Phénomène de consolidation Essais de consolidation Equation de la consolidation Degré de consolidation et facteur

Plus en détail

Le ph, c est c compliqué! Gilbert Bilodeau, agr., M.Sc.

Le ph, c est c compliqué! Gilbert Bilodeau, agr., M.Sc. Le ph, c est c pas compliqué! Gilbert Bilodeau, agr., M.Sc. Conseiller en serriculture Des réponses r aux questions C est quoi et pourquoi c est c important? Conséquences d un d débalancementd? Comment

Plus en détail

Monitoring de surface de sites de stockage de CO 2 SENTINELLE. (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) Réf. : ANR-07-PCO2-007

Monitoring de surface de sites de stockage de CO 2 SENTINELLE. (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) Réf. : ANR-07-PCO2-007 Monitoring de surface de sites de stockage de CO 2 (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) SENTINELLE Réf. : ANR-07-PCO2-007 Ph. de DONATO (INPL-CNRS) (Coordonnateur) PARTENAIRES Durée : 3 ans + 7 mois

Plus en détail

LABORATOIRES DE CHIMIE Techniques de dosage

LABORATOIRES DE CHIMIE Techniques de dosage LABORATOIRES DE CHIMIE Techniques de dosage Un dosage (ou titrage) a pour but de déterminer la concentration molaire d une espèce (molécule ou ion) en solution (généralement aqueuse). Un réactif de concentration

Plus en détail

T4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur?

T4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur? T4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur? Pour ce module, sont proposés et présentés des phases de recherche documentaire, de

Plus en détail

Analyse critique des méthodologies pour la détermination et l application de normes de qualité environnementale pour les métaux

Analyse critique des méthodologies pour la détermination et l application de normes de qualité environnementale pour les métaux Analyse critique des méthodologies pour la détermination et l application de normes de qualité environnementale pour les métaux Rapport de synthèse Ministère de l Ecologie et du Développement Durable Direction

Plus en détail

Introduction. Henri Poincaré

Introduction. Henri Poincaré Introduction «On fait la science avec des faits comme une maison avec des pierres, mais une accumulation de faits n est pas plus une science qu un tas de pierres n est une maison.» Henri Poincaré Après

Plus en détail

UTILISATION DES SÉDIMENTS VALORISÉS : exemple de la plate-forme expérimentale SOLINDUS pour le pré-traitement des produits de dragage

UTILISATION DES SÉDIMENTS VALORISÉS : exemple de la plate-forme expérimentale SOLINDUS pour le pré-traitement des produits de dragage UTILISATION DES SÉDIMENTS VALORISÉS : exemple de la plate-forme expérimentale SOLINDUS pour le pré-traitement des produits de dragage Dr H. Bréquel, Responsable département Recherche 1 1 /20 CONTEXTE ET

Plus en détail

TP N 3 La composition chimique du vivant

TP N 3 La composition chimique du vivant Thème 1 : La Terre dans l'univers, la vie et l'évolution du vivant : une planète habitée Chapitre II : La nature du vivant TP N 3 La composition chimique du vivant Les conditions qui règnent sur terre

Plus en détail

REACTIONS D OXYDATION ET DE REDUCTION

REACTIONS D OXYDATION ET DE REDUCTION CHIMIE 2 e OS - 2008/2009 : Cours et exercices -19- CHAPITRE 5 : REACTIONS D OXYDATION ET DE REDUCTION Chacun d entre nous a déjà observé l apparition de rouille sur un objet en fer, ou de «vert-degris»

Plus en détail

ECO-PROFIL Production Stratifié HPL mince fabriqué par Polyrey

ECO-PROFIL Production Stratifié HPL mince fabriqué par Polyrey ECO-PROFIL Production Stratifié HPL mince fabriqué par Polyrey Août 2009 modifié Avril 2013 1 : Feuille décor imprimée ou teintée dans la masse, imprégnée de résine mélamine 2 : Surface de protection imprégnée

Plus en détail

La réalisation d essais en réacteur pilote en vue d une demande d homologation de digestat

La réalisation d essais en réacteur pilote en vue d une demande d homologation de digestat La réalisation d essais en réacteur pilote en vue d une demande d homologation de digestat M CORDELIER, JF. LASCOURREGES, C. PEYRELASSE, C.LAGNET, P.POUECH 4 ième Journées Industrielles Méthanisation 4

Plus en détail

M1 - MP057. Microscopie Électronique en Transmission Diffraction Imagerie

M1 - MP057. Microscopie Électronique en Transmission Diffraction Imagerie M1 - MP057 Microscopie Électronique en Transmission Diffraction Imagerie Nicolas Menguy Institut de Minéralogie et Physique des Milieux Condensés Plan Le microscope électronique en transmission : - colonne,

Plus en détail

LA MESURE DE MASSE POUR LA DÉTERMINATION DE PÉRIODES RADIOACTIVES

LA MESURE DE MASSE POUR LA DÉTERMINATION DE PÉRIODES RADIOACTIVES LA EURE DE AE POUR LA DÉTERINATION DE PÉRIODE RADIOACTIVE CEA ACLAY, DEN/DAN/DPC ervice d Études Analytiques et de Réactivité des urfaces Laboratoire de développement Analytique Nucléaire Isotopique et

Plus en détail

De la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I)

De la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I) De la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I) Collaboration: - Laboratoire de Radiotoxicologie et Oncologie (L. Sabatier) CEA, DSV - Laboratoire de Génotoxicité et Modulation de l Expression

Plus en détail

Mobilité et biodisponibilité des Éléments Trace Métalliques (ETM) du Sol : Approches physicochimiques

Mobilité et biodisponibilité des Éléments Trace Métalliques (ETM) du Sol : Approches physicochimiques Mobilité et biodisponibilité des Éléments Trace Métalliques (ETM) du Sol : Approches physicochimiques Période : février 2010 à août 2010 AgroParisTech Chimie Analytique Paris Mots clés : Biodisponibilité,

Plus en détail

Utilisation historique de nanomatériaux en pneus et possibilités de nouveaux développements

Utilisation historique de nanomatériaux en pneus et possibilités de nouveaux développements Utilisation historique de nanomatériaux en pneus et possibilités de nouveaux développements 7 juin 2012 Francis Peters Bien qu il n y ait pas de nano particules dans les usines qui produisent les mélanges

Plus en détail

Les techniques expérimentales. IV - Les techniques d analyse

Les techniques expérimentales. IV - Les techniques d analyse Les techniques expérimentales IV - Les techniques d analyse 1 réactions chimiques Analyse chimique élémentaire interactions physiques méthodes chimiques méthodes physiques en volume (globale) localisée

Plus en détail

10 en agronomie. Domaine. Les engrais minéraux. Livret d autoformation ~ corrigés. technologique et professionnel

10 en agronomie. Domaine. Les engrais minéraux. Livret d autoformation ~ corrigés. technologique et professionnel 10 en agronomie Les engrais minéraux Livret d autoformation ~ corrigés 8 Domaine technologique et professionnel Collection dirigée par Madeleine ASDRUBAL Ingénieur d agronomie ENESAD Département des Sciences

Plus en détail

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices : Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur

Plus en détail

Pour améliorer la qualité Objectif esthétique pour l eau potable 1 mg/l

Pour améliorer la qualité Objectif esthétique pour l eau potable 1 mg/l Dans une goutte d eau Cuivre Le cuivre (Cu) est présent à l état naturel dans la roche, le sol, les plantes, les animaux, l eau, les sédiments et l air. Le cuivre est souvent présent sous forme de minéraux,

Plus en détail

Contexte : Objectif : Expérimentation :

Contexte : Objectif : Expérimentation : Estimation de la valeur fertilisante de digestats issus de la biométhanisation. Résultat de 3 années d expérimentation en culture de maïs (2009 à 2011). (JFr. Oost 1, Marc De Toffoli 2 ) 1 Centre pilote

Plus en détail

Préparations avant peinture. Solutions sans CrVI. Michel JANNIER (expert)

Préparations avant peinture. Solutions sans CrVI. Michel JANNIER (expert) Les rendez-vous technologiques «Les traitements de surface des alliages légers» Préparations avant peinture. Solutions sans CrVI. Michel JANNIER (expert) 1 Préparation avant peinture Les traitements avant

Plus en détail

For the benefit of business and people. 1 - Présentation du projet de la ZAC. 7 - Suivi environnemental et programme d intervention

For the benefit of business and people. 1 - Présentation du projet de la ZAC. 7 - Suivi environnemental et programme d intervention Ancien site des Ferronneries du Midi Future ZAC Ponts Jumeaux Projet de dépollution 15 décembre 2004 For the benefit of business and people 1 - Présentation du projet de la ZAC 2 - Rappel de l historique

Plus en détail

Caractérisations des nanomatériaux par microscopies électroniques

Caractérisations des nanomatériaux par microscopies électroniques GDR Verres GDR 3338 Caractérisations des nanomatériaux par microscopies électroniques Nicolas Menguy Institut de Minéralogie et Physique des Milieux Condensés Plan Partie 1 - Le microscope électronique

Plus en détail

Dosage des métaux lourds (As, Cd, Cr, Cu, Ni, Pb, Zn et Hg) dans les sols par ICP-MS

Dosage des métaux lourds (As, Cd, Cr, Cu, Ni, Pb, Zn et Hg) dans les sols par ICP-MS Dosage des métaux lourds (As, Cd, Cr, Cu, Ni, Pb, Zn et Hg) dans les sols par ICP-MS Analysis of heavy metals (As, Cd, Cr, Cu, Ni, Pb, Zn et Hg) in soils by ICP-MS Nicolas ALSAC Eurofins Environnement

Plus en détail

Demande chimique en oxygène

Demande chimique en oxygène Table des matières Introduction Réactifs DCO Azote et phosphore HI 83214 HI 83099 HI 839800 HI 3898 Page J3 J5 J6 J7 J8 J10 J11 J1 Tableau comparatif Paramètre Photomètre Photomètre Thermo-réacteur Trousse

Plus en détail

PMI-MASTER Smart. PMI portatif. Le premier spectromètre par émission optique ARC / SPARK réellement portable

PMI-MASTER Smart. PMI portatif. Le premier spectromètre par émission optique ARC / SPARK réellement portable PMI portatif PMIP Le premier spectromètre par émission optique ARC / SPARK réellement portable ORTABI Trois possibilités de transport...... pour répondre à vos besoins Portabilité et commodité Grâce à

Plus en détail

Chapitre 4 - Spectroscopie rotationnelle

Chapitre 4 - Spectroscopie rotationnelle Chapitre 4 - Spectroscopie rotationnelle 5.1 Classification Déterminer à quelle catégorie (sphérique, symétrique, asymétrique) appartiennent ces molécules : a) CH 4, b) CH 3 F, c) CH 3 D, d) SF 6, e) HCN,

Plus en détail

33-Dosage des composés phénoliques

33-Dosage des composés phénoliques 33-Dosage des composés phénoliques Attention : cette manip a été utilisée et mise au point pour un diplôme (Kayumba A., 2001) et n a plus été utilisée depuis au sein du labo. I. Principes Les composés

Plus en détail

TECHNIQUES: Principes de la chromatographie

TECHNIQUES: Principes de la chromatographie TECHNIQUES: Principes de la chromatographie 1 Définition La chromatographie est une méthode physique de séparation basée sur les différentes affinités d un ou plusieurs composés à l égard de deux phases

Plus en détail

Utilisation des Pneus Usagés Non Réutilisables (PUNR) dans les ouvrages de stockage d'eaux pluviales : Impacts environnementaux

Utilisation des Pneus Usagés Non Réutilisables (PUNR) dans les ouvrages de stockage d'eaux pluviales : Impacts environnementaux département Aménagement et Développement Durables Réseau Scientifique et Technique Utilisation des Pneus Usagés Non Réutilisables (PUNR) dans les ouvrages de stockage d'eaux pluviales : Impacts environnementaux

Plus en détail

Plate forme de modélisation en vue de la prédiction de la durée de vie des bétons vis-à-vis de la pénétration d agents agressifs

Plate forme de modélisation en vue de la prédiction de la durée de vie des bétons vis-à-vis de la pénétration d agents agressifs Plate forme de modélisation en vue de la prédiction de la durée de vie des bétons vis-à-vis de la pénétration d agents agressifs Phase d'initiation de la corrosion vis-à-vis de la - pénétration d'agents

Plus en détail

Résonance Magnétique Nucléaire : RMN

Résonance Magnétique Nucléaire : RMN 21 Résonance Magnétique Nucléaire : RMN Salle de TP de Génie Analytique Ce document résume les principaux aspects de la RMN nécessaires à la réalisation des TP de Génie Analytique de 2ème année d IUT de

Plus en détail

ICP ICP-MS AAS GC Chromatographie ionique REACTIFS ET ACIDES DE HAUTE PURETE MATERIAUX de REFERENCE (CRM)

ICP ICP-MS AAS GC Chromatographie ionique REACTIFS ET ACIDES DE HAUTE PURETE MATERIAUX de REFERENCE (CRM) SOLUTIONS ETALONS PRIMAIRES CERTIFIEES (CRM) ICP ICP-MS AAS GC Chromatographie ionique REACTIFS ET ACIDES DE HAUTE PURETE MATERIAUX de REFERENCE (CRM) Pour plus d'information, contacter le : 02 35 07 60

Plus en détail

Principe et élaboration de poudre par atomisation gazeuse, granulométrie et traçabilité pour la fabrication additive.

Principe et élaboration de poudre par atomisation gazeuse, granulométrie et traçabilité pour la fabrication additive. Principe et élaboration de poudre par atomisation gazeuse, granulométrie et traçabilité pour la fabrication additive. Lucas DEMBINSKI Christian CODDET, Cécile LANGLADE Université de Technologie de Belfort-Montbéliard

Plus en détail

Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique

Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Elisabeth Vangioni Institut d Astrophysique de Paris Fleurance, 8 Août 2005 Une calculatrice, une règle et du papier quadrillé sont nécessaires au bon fonctionnement

Plus en détail

Les sols, terreau fertile pour l EDD Fiche activité 3 Que contient un sol?

Les sols, terreau fertile pour l EDD Fiche activité 3 Que contient un sol? Les sols, terreau fertile pour l EDD Fiche activité 3 Que contient un sol? Introduction La vie végétale et animale, telle que nous la connaissons, n'existerait pas sans la terre fertile qui forme à la

Plus en détail

Potentiel de valorisation d un déchet en filière métallurgique

Potentiel de valorisation d un déchet en filière métallurgique Potentiel de valorisation d un déchet en filière métallurgique CRM: Centre de Recherches Métallurgiques ASBL établie en Belgique Créée en 1948 par l industrie sidérurgique belge Certifiée ISO 17025 et

Plus en détail

Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN

Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Objectifs : Exploiter un spectre infrarouge pour déterminer des groupes caractéristiques Relier un spectre

Plus en détail

La plate-forme Caractérisation CIM PACA

La plate-forme Caractérisation CIM PACA La plate-forme Caractérisation CIM PACA Un partenaire de choix pour la caractérisation chimique de vos matériaux Partenaires: Qui sommes-nous? La plate-forme Caractérisation CIM PACA est une association

Plus en détail

FISCHER NEWSLETTER. «actualités» Chers clients,

FISCHER NEWSLETTER. «actualités» Chers clients, No. 01 10/09 No. 09 FRANCE FISCHER NEWSLETTER Epaisseur Analyse Matériaux Micro Dureté Contrôle des Matériaux «editorial» Chères lectrices et chers lecteurs, Nous nous réjouissons de vous faire parvenir

Plus en détail

QU EST-CE QUE LA CHLORATION?

QU EST-CE QUE LA CHLORATION? QU EST-CE QUE LA CHLORATION? Qu est-ce que la chloration? Des micro-organismes peuvent être trouvés dans des rivières, lacs et eau souterraine. Même si ce ne sont pas tous les micro-organismes qui peuvent

Plus en détail

STÉRILISATION. Réduction des populations. nonus 1

STÉRILISATION. Réduction des populations. nonus 1 Réduction des populations nonus 1 nonus 2 Taux de survie N/No Taux de mortalité No-N /No No : nombre initial de cellules vivantes N : nombre de cellules vivantes après le cycle de stérilisation nonus 3

Plus en détail

Enseignement secondaire

Enseignement secondaire Enseignement secondaire Classe de IIIe Chimie 3e classique F - Musique Nombre de leçons: 1.5 Nombre minimal de devoirs: 4 devoirs par an Langue véhiculaire: Français I. Objectifs généraux Le cours de chimie

Plus en détail

- - - - - - - - - - - - - - - o o o o - - - - - - - - - P (mm) 140 120 100 80 60 40 20 0 Janvier Février Diagramme ombrothermique sur la vallée de la Bresle Mars Avril Mai Juin Hauteur moyenne des

Plus en détail

Dr Berdj Haroutunian, 5, Chemin Gottret ch-1255 VEYRIER tél 00 41 (0)22 784-01-18 www.haroutunian.ch E-mail : berdj@haroutunian.ch

Dr Berdj Haroutunian, 5, Chemin Gottret ch-1255 VEYRIER tél 00 41 (0)22 784-01-18 www.haroutunian.ch E-mail : berdj@haroutunian.ch 1 L UTILISATION DU PLOMB EN DENTISTERIE : MYTHE OU REALITE Dr Berdj HAROUTUNIAN, Genève Le plomb ne devrait en principe pas être utilisé en dentisterie car il n est pas considéré comme un oligo-élément

Plus en détail

Microstructure des soudures de titane. Paul Danielson, Rick Wilson, et David Alman U. S. Department of Energy, Albany Research Center Albany, Orégon

Microstructure des soudures de titane. Paul Danielson, Rick Wilson, et David Alman U. S. Department of Energy, Albany Research Center Albany, Orégon Microstructure des soudures de titane Paul Danielson, Rick Wilson, et David Alman U. S. Department of Energy, Albany Research Center Albany, Orégon Revue de Matérialographie Struers 3 / 2004 Structure

Plus en détail

Microscopies Électroniques

Microscopies Électroniques Microscopies Électroniques M2 Microscopie Électronique en Transmission Diffraction Nicolas Menguy Institut de Minéralogie et Physique des Milieux Condensés Plan Le microscope électronique en transmission

Plus en détail

Anne Vanasse, agr., Ph.D. Université Laval. Le chapitre 3. Les rédacteurs

Anne Vanasse, agr., Ph.D. Université Laval. Le chapitre 3. Les rédacteurs La gestion du ph du sol Anne Vanasse, agr., Ph.D. Université Laval Le chapitre 3 Les rédacteurs Anne Vanasse (responsable) Marc Hébert Lotfi Khiari Sébastien Marchand Abdo Badra Hélène Moore 1 Introduction

Plus en détail

Titre alcalimétrique et titre alcalimétrique complet

Titre alcalimétrique et titre alcalimétrique complet Titre alcalimétrique et titre alcalimétrique complet A Introduction : ) Définitions : Titre Alcalimétrique (T.A.) : F m / L T.A. T.A.C. Définition : C'est le volume d'acide (exprimé en ml) à 0,0 mol.l

Plus en détail

La qualité de l eau utilisée dans les entreprises alimentaires. Guide d application de la réglementation

La qualité de l eau utilisée dans les entreprises alimentaires. Guide d application de la réglementation La qualité de l eau utilisée dans les entreprises alimentaires Guide d application de la réglementation Service public fédéral Santé publique, Sécurité de la chaîne alimentaire et Environnement Direction

Plus en détail

Figure 1 : Diagramme énergétique de la photo émission. E B = hν - E C

Figure 1 : Diagramme énergétique de la photo émission. E B = hν - E C ANALYSE XPS (ESCA) I - Principe La spectroscopie XPS (X-Ray Photoelectron Spectroscopy) ou ESCA (Electron Spectroscopy for Chemical Analysis) est basée sur la photo émission. Lors de l'irradiation par

Plus en détail

Cahier de laboratoire Principes de Géochimie 6GCH110 Élémentaire cher Watson! L.Paul Bédard, ing. Ph.D.

Cahier de laboratoire Principes de Géochimie 6GCH110 Élémentaire cher Watson! L.Paul Bédard, ing. Ph.D. Cahier de laboratoire Principes de Géochimie 6GCH11 Élémentaire cher Watson! L.Paul Bédard, ing. Ph.D. 31 août 27 2 Table des matières 1 Les exigences 7 1.1 La sécurité.............................. 7

Plus en détail

Les techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales. Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel

Les techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales. Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel Les techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel Plan de présentation Présentation Saint Dizier environnement Les techniques alternatives La maîtrise

Plus en détail

INTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE

INTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE INTRODUCTION À LA SPECTROSCOPIE Table des matières 1 Introduction : 2 2 Comment obtenir un spectre? : 2 2.1 Étaller la lumière :...................................... 2 2.2 Quelques montages possibles

Plus en détail

FERTILISATION AZOTÉE. DANS LE MAïS-GRAIN

FERTILISATION AZOTÉE. DANS LE MAïS-GRAIN L'azote est un facteur important dans la fertilisation du maïs. Un manque d'azote peut occasionner une baisse de rendement, alors qu'un excès représente un risque de contamination de l'air et de l'eau,

Plus en détail

LES RÉPLIQUES MÉTALLOGRAPHIQUES

LES RÉPLIQUES MÉTALLOGRAPHIQUES CONGRÈS MATÉRIAUX 2014 Colloque 6 «Corrosion, vieillissement, durabilité, endommagement» LES RÉPLIQUES MÉTALLOGRAPHIQUES Une méthode non destructive pour contrôler le vieillissement et l endommagement

Plus en détail

Notions de Chimie Générale - 4. Sommaire

Notions de Chimie Générale - 4. Sommaire Notions de Chimie Générale - 4 Sommaire Notions de Chimie Générale - 4... 1 R. Acides et bases... 4 R-1. Un acide est un donneur de proton, une base est un récepteur de proton ('proton donor / acceptor')...

Plus en détail

Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence de clôture OUI Biomasse. www.oui-biomasse.info 1 26.06.2015

Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence de clôture OUI Biomasse. www.oui-biomasse.info 1 26.06.2015 Umweltauswirkungen durch Biomassenutzung Etude d impact de l utilisation de la biomasse sur l environnement 26.Juni 2015 / 26 juin 2015 Akademiehotel Karlsruhe Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence

Plus en détail

L PRESENTATION GENERALE SCPIO

L PRESENTATION GENERALE SCPIO L PRESENTATION GENERALE SCPIO Nom : DEPARTEMENT PLATEFORME TECHNOLOGIQUE Sigle: CEA / DRT / LETI / DPTS SILICUIM Etablissement : CEA Grenoble Adresse : 7 rue des Martyrs Site Web : 804 GRENOBLE Cedex 9

Plus en détail

Exemples de clauses et outils

Exemples de clauses et outils Exemples de clauses et outils Des critères au cahier des charges Léa CHAMPON Chargée de mission écoconso Choix d un matériau de finition Essai de classement des priorités Caractéristiques techniques du

Plus en détail

C2 - DOSAGE ACIDE FAIBLE - BASE FORTE

C2 - DOSAGE ACIDE FAIBLE - BASE FORTE Fiche professeur himie 2 - DOSAGE AIDE FAIBLE - BASE FORTE Mots-clés : dosage, ph-métrie, acide faible, base forte, neutralisation, concentration. 1. Type d activité ette expérience permet aux élèves de

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES POUR L EVOLUTION DES RESEAUX DE SURVEILLANCE DES EAUX SOUTERRAINES EN FRANCE

CAHIER DES CHARGES POUR L EVOLUTION DES RESEAUX DE SURVEILLANCE DES EAUX SOUTERRAINES EN FRANCE Cahier des charges pour l évolution des réseaux de surveillance des eaux souterraines en France CAHIER DES CHARGES POUR L EVOLUTION DES RESEAUX DE SURVEILLANCE DES EAUX SOUTERRAINES EN FRANCE Version complétée

Plus en détail

ACIDES BASES. Chap.5 SPIESS

ACIDES BASES. Chap.5 SPIESS ACIDES BASES «Je ne crois pas que l on me conteste que l acide n ait des pointes Il ne faut que le goûter pour tomber dans ce sentiment car il fait des picotements sur la langue.» Notion d activité et

Plus en détail

METHODES D ANALYSE DES COMPOSES AMORPHES

METHODES D ANALYSE DES COMPOSES AMORPHES Elisabeth Adam Pascal Bouffandeau Alexandre Darraspen Romuald Fix Sébastien Jouve Olivier Welker METHO D ANALYSE COMPOSES AMORPHES Sommaire 1. DÉFINITION DE L ÉTAT AMORPHE... 3 1.1. CLASSIFICATION MATÉRIAUX...

Plus en détail

Module HVAC - fonctionnalités

Module HVAC - fonctionnalités Module HVAC - fonctionnalités Modèle de radiation : DO = Discrete Ordinates On peut considérer l échauffement de solides semi transparents causé par le rayonnement absorbé par le solide. On peut également

Plus en détail

Maryse Bouchard, PhD Chercheure, CHU Sainte-Justine Département de santé environnementale et santé au travail, Université de Montréal Professeure

Maryse Bouchard, PhD Chercheure, CHU Sainte-Justine Département de santé environnementale et santé au travail, Université de Montréal Professeure Maryse Bouchard, PhD Chercheure, CHU Sainte-Justine Département de santé environnementale et santé au travail, Université de Montréal Professeure associée, CINBIOSE, UQAM 4 ième métal le plus utilisé dans

Plus en détail

Liste des maladies professionnelles de l OIT. (révisée en 2010)

Liste des maladies professionnelles de l OIT. (révisée en 2010) Liste des maladies professionnelles de l OIT (révisée en 2010) CONFÉRENCE INTERNATIONALE DU TRAVAIL Recommandation 194 Recommandation concernant la liste des maladies professionnelles et l enregistrement

Plus en détail

Compléments - Chapitre 5 Spectroscopie

Compléments - Chapitre 5 Spectroscopie ompléments - hapitre 5 Spectroscopie Spectroscopie par résonance magnétique nucléaire (RMN 13 ) Tandis que la spectroscopie RMN 1 H fournit des données sur la disposition des atomes d'hydrogène dans une

Plus en détail

PRÉCONCENTRATION DES ÉLÉMENTS RARES Bi, Se, et Te À L'AIDE DU TCF

PRÉCONCENTRATION DES ÉLÉMENTS RARES Bi, Se, et Te À L'AIDE DU TCF UNIVERSITÉ DE QUÉBEC À CHICOUTIMI PROJET DE FIN D'ÉTUDES 6 GLG 604 PRÉCONCENTRATION DES ÉLÉMENTS RARES Bi, Se, et Te À L'AIDE DU TCF PAR PIERRE-LUC DESCHÊNES LE 12 JANVIER 2010 Tables des Matières Tables

Plus en détail

CODEX ŒNOLOGIQUE INTERNATIONAL. SUCRE DE RAISIN (MOUTS DE RAISIN CONCENTRES RECTIFIES) (Oeno 47/2000, Oeno 419A-2011, Oeno 419B-2012)

CODEX ŒNOLOGIQUE INTERNATIONAL. SUCRE DE RAISIN (MOUTS DE RAISIN CONCENTRES RECTIFIES) (Oeno 47/2000, Oeno 419A-2011, Oeno 419B-2012) SUCRE DE RAISIN (MOUTS DE RAISIN CONCENTRES RECTIFIES) (Oeno 47/2000, Oeno 419A-2011, Oeno 419B-2012) 1. OBJET, ORIGINE ET DOMAINE D APPLICATION Le sucre de raisin est obtenu exclusivement à partir du

Plus en détail

Épreuve collaborative

Épreuve collaborative Épreuve collaborative Épreuve collaborative 1. Faire une présentation de quelqu idé fort relativ au mix énergétique (ou bouquet énergétique). (Exposé de 5 minut maximum) 2. Faut-il encore brûler le charbon?

Plus en détail

Fiche 19 La couleur des haricots verts et cuisson

Fiche 19 La couleur des haricots verts et cuisson Fiche 19 La couleur des haricots verts et cuisson Objectif : Valider ou réfuter des «précisions culinaires»* permettant de "conserver une belle couleur verte" lors la cuisson des haricots verts frais (gousses

Plus en détail

*EP001039352A1* EP 1 039 352 A1 (19) (11) EP 1 039 352 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN. (43) Date de publication: 27.09.2000 Bulletin 2000/39

*EP001039352A1* EP 1 039 352 A1 (19) (11) EP 1 039 352 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN. (43) Date de publication: 27.09.2000 Bulletin 2000/39 (19) Europäisches Patentamt European Patent Office Office européen des brevets *EP001039352A1* (11) EP 1 039 352 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN (43) Date de publication: 27.09.2000 Bulletin 2000/39

Plus en détail

Environnements pollués

Environnements pollués Nom du service émetteur Environnements pollués Nom du service émetteur Recherche et caractérisation de microorganismes dans des compartiments géologiques profonds Vanessa Barsotti Thèse soutenue 03.11.2011

Plus en détail

SCIENCES PHYSIQUES. Durée : 3 heures. L usage d une calculatrice est interdit pour cette épreuve. CHIMIE

SCIENCES PHYSIQUES. Durée : 3 heures. L usage d une calculatrice est interdit pour cette épreuve. CHIMIE Banque «Agro-Véto» Technologie et Biologie AT - 0310 SCIECES PYSIQUES Durée : 3 heures L usage d une calculatrice est interdit pour cette épreuve. Si, au cours de l épreuve, un candidat repère ce qui lui

Plus en détail

Etude des nanofils en trois dimensions et à l échelle atomique par sonde atomique tomographique.

Etude des nanofils en trois dimensions et à l échelle atomique par sonde atomique tomographique. Etude des nanofils en trois dimensions et à l échelle atomique par sonde atomique tomographique. Mike El Kousseifi K. Hoummada, F. Panciera, D. Mangelinck IM2NP, Aix Marseille Université-CNRS, Faculté

Plus en détail

Nanotechnologies et Chimie. Armand LATTES Professeur Emérite à l Université Paul Sabatier

Nanotechnologies et Chimie. Armand LATTES Professeur Emérite à l Université Paul Sabatier Nanotechnologies et Chimie Armand LATTES Professeur Emérite à l Université Paul Sabatier 1 NANOTECHNOLOGIES NANOMONDE NANOTECHNOLOGIES: conception, manipulation, production contrôlée de substances, de

Plus en détail

Théorie des multiplets! appliquée à! la spectroscopie d ʼabsorption X!

Théorie des multiplets! appliquée à! la spectroscopie d ʼabsorption X! Théorie des multiplets! appliquée à! la spectroscopie d ʼabsorption X! Marie-Anne Arrio, Amélie Juhin! Institut de Minéralogie et Physique des Milieux Condensés, Paris! 1! Rappel : défini-on des seuils

Plus en détail

FiveGo. FiveGo Appareils portables ph mv / Redox Conductivité TDS Teneur en sel Oxygène dissous. Economique & fiable L accès mobile au monde du ph

FiveGo. FiveGo Appareils portables ph mv / Redox Conductivité TDS Teneur en sel Oxygène dissous. Economique & fiable L accès mobile au monde du ph FiveGo FiveGo Appareils portables ph mv / Redox Conductivité TDS Teneur en sel Oxygène dissous Economique & fiable L accès mobile au monde du ph FiveGo 5 x 5 arguments pour FiveGo ph, conductivité et oxygène

Plus en détail

Grandes cultures Engrais liquides ou granulaires?

Grandes cultures Engrais liquides ou granulaires? Grandes cultures Engrais liquides ou granulaires? Louis Robert, agronome, M. Sc. Conseiller régional en grandes cultures Même s ils ne sont pas nouveaux sur le marché, les engrais de démarrage liquides

Plus en détail

Sophie Guézo Alexandra Junay

Sophie Guézo Alexandra Junay Sophie Guézo Alexandra Junay sophie.guezo@univ-rennes1.fr alexandra.junay@univ-rennes1.fr Unité Mixte de Recherche (UMR) Université Rennes I et CNRS Physique moléculaire Matière molle Matériaux Nanosciences

Plus en détail