une étude ANDRH - FEFAUR mars 2013 BILAN ET PERSPECTIVES DE LA GESTION DES TALENTS DANS LES ENTREPRISES EN FRANCE avec le sou@en de

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "une étude ANDRH - FEFAUR mars 2013 BILAN ET PERSPECTIVES DE LA GESTION DES TALENTS DANS LES ENTREPRISES EN FRANCE avec le sou@en de"

Transcription

1 une étude ANDRH - FEFAUR mars 2013 BILAN ET PERSPECTIVES DE LA GESTION DES TALENTS DANS LES ENTREPRISES EN FRANCE avec le sou@en de

2 2

3 Edito La ques(on des talents va s imposer rapidement dans l agenda des DRH Deux de l étude ANDRH - Féfaur menée en ce début 2013 traduisent l ambivalence des entreprises françaises en ma@ère de ges@on des talents. Un chiffre d abord, qui témoigne de l importance des enjeux : 63% des entreprises interrogées considèrent que la ges@on des talents est cri@que pour leur performance La crise est passée par là, certes, et la difficulté accrue d a^rer, de développer et de fidéliser les talents. L explica@on semble un peu courte C est à une profonde et durable muta@on que nous assistons : celle de la rela@on entre l entreprise et ses talents. Des talents prêts à s engager, sur- informés des opportunités qui s ouvrent sans cesse à eux, dans une économie du savoir où la ges@on du capital humain fait la différence Et la généra@on Y n est pas seule concernée! Même si sa montée en puissance produira rapidement des effets d accéléra@on. Un second chiffre, plus inquiétant : dans 3% seulement des entreprises interrogées, la Direc@on générale passe plus de 20 jours par an à traiter de ges@on des talents Il y a, semble- t- il, encore loin de la prise de conscience des enjeux à l implica@on pleine et en@ère des Dirigeants Ceee étude est riche d informa@ons qui donnent à penser que la ques@on des talents va s imposer rapidement dans l agenda des DRH L ANDRH et son Club Talent Management n en sont évidemment pas surpris, pour être aux avant- postes de ce mouvement, ni Féfaur qui traque sans relâche les tendances qui travaillent les entreprises sur ces ques@ons. Photographie de la ges@on des talents dans les entreprises françaises, mise en évidence des grandes perspec@ves Nous espérons que ceee étude sera u@le aux entreprises qui souhaitent se «benchmarker» ou se doter d une stratégie en la ma@ère. Nous n oublierons pas de remercier Cornerstone OnDemand, l un des principaux éditeurs de solu@ons de ges@on des talents dans le monde, qui a soutenu ceee recherche menée en pleine indépendance. Bonne lecture! ANDRH Féfaur 3

4 Sommaire Méthodologie de la des talents Domaines de la des talents des talents sur le Des aeentes évaluées Développement des talents de des talents et acteurs impliqués sur les freins à la des talents Impacts de la des talents des talents : des résultats Des indicateurs de ges@on des talents Verba@m sur les facteurs de succès A propos p. 5 p. 6 p. 7 p. 8 p. 9 p. 10 p. 11 p. 12 p. 13 p. 14 p. 15 p. 16 p. 17 p. 18 p. 19 4

5 Méthodologie La première grande enquête sur la ges(on des talents dans les entreprises françaises Le Club Talent Management de l'andrh et Féfaur ont mené la première grande enquête sur la des talents dans les entreprises françaises. Ceee enquête vise à faire un bilan des et à dresser les d'une approche récente dont les entreprises commencent à mesurer l'efficience. Ceee enquête a été réalisée en janvier 2013 auprès d'un panel d'environ 300 grandes entreprises françaises, tous secteurs d'ac@vités confondus, interrogées sur la base d'un ques@onnaire en ligne auto- administré. EffecIf des entreprises du panel 44,5% 6,5% 29% 20% Moins de salariés Entre et salariés Entre et salariés Plus de salariés Secteur d'acivité des entreprises du panel Administra@on publique Banque / Assurance / Finance Bâ@ment / Travaux publics / Construc@on Commerce de détail / Grande distribu@on Educa@on Energie / Eau Hôtellerie / Restaura@on Industrie Télécommunica@ons / Informa@que / High Tech Transports / Logis@que Santé / Services sociaux Services aux entreprises 2% 9% 5% 7% 3% 6% 1% 4% 8% 13% 18% 25% 5

6 PoliIque de gesion des talents Près de deux (ers des entreprises annoncent avoir une poli(que de ges(on des talents La ges'on des talents : une réalité pour la plupart des entreprises Près de des entreprises annoncent avoir une poli@que de ges@on des talents, un taux considérable, même si la ges@on des talents peut recouvrir des réalités diverses comme le montrera la suite de l étude. Une forte montée en puissance depuis 5 ans Datant de plus de trois ans pour 58% des entreprises, la ges@on des talents semble avoir acquis ses leeres de noblesse ; elle reste cependant un phénomène rela@vement récent - moins de 5 ans pour 65% des répondants - sans doute en lien avec la crise et l émergence d'une offre technologique qui permet aux entreprises de lui donner corps. On ne s étonnera pas que la taille de l entreprise ait une influence importante sur l ancienneté de la ges@on des talents ; en par@culier la grande majorité des entreprises de plus de salariés meeent en pra@que ceee approche depuis plus de 5 ans, et aucune depuis moins d un an. Existence d'une poliique de gesion des talents Ancienneté de la gesion des talents / effecif Non 35% Oui 65% 40% 35% 30% 25% 20% 15% 10% 5% 0% Ancienneté de la poliique de gesion des talents 12% 30% 23% 35% Moins d'1 an De 1 à moins de 3 ans De 3 à moins de 5 ans Plus de 5 ans 6

7 Domaines de la gesion des talents Plus de 80% des entreprises concernées appliquent la ges(on des talents à l ensemble de leurs ac(vités Les principaux domaines d'applica@on sont ceux de la ges@on des carrières et de la mobilité d une part, et du développement et de la forma@on d autre part. Ils sont au coeur d un véritable défi pour les entreprises : l alignement toujours plus serré et rapide de leurs compétences et mé@ers sur les marchés La place importante occupée par la forma@on corrobore les conclusions d études connexes telles que le baromètre APEC- ANDRH de l'emploi RH. A contrario, le succès média@que des réseaux sociaux d'entreprise ne semble pas trouver un écho à la hauteur dans les poli@ques de ges@on des talents des entreprises interrogées. Complément : l étude a permis par ailleurs de constater que plus de 80% des entreprises concernées appliquent la ges@on des talents à l ensemble de leurs ac@vités (notamment : ventes, produc@on, R&D) La tension «talents» existe bien dans toutes les ac@vités de l entreprise, ce que traduit une ges@on des talents nécessairement transversale aux ac@vités et aux fonc@ons. Domaines de la gesion des talents mis en œuvre Carrières et mobilité Développement et forma@on Plans de succession Ges@on des compétences Ges@on de la performance Intégra@on GPEC workforce planning Fidélisa@on / réten@on Rémunéra@on Recrutement Marque employeur Reconnaissance Engagement RSE (Réseau Social d'entreprise) 19% 23% 35% 33% 62% 60% 56% 52% 49% 47% 47% 47% 81% 80% 0% 20% 40% 60% 80% 100% 7

8 IdenIficaIon des talents Des talents principalement iden'fiés par leur performance et leur poten'el Alors que les talents sont principalement par leur performance, on notera que la de la performance n apparaît pas en tête de liste des domaines d'applica@on précédemment men@onnés La défini@on du talent par son poten@el apparaît en deuxième posi@on. L entreprise u@lisera souvent ce double critère d iden@fica@on : performance et talent, qui semblent indissolublement liés. La discrimina'on par l âge Si l âge ne semble pas déterminant, celles des entreprises qui l u@lisent comme un critère se concentrent essen@ellement sur les salariés de moins de 45 ans Un nouveau témoignage de représenta@ons qu il devient urgent de faire évoluer, alors qu un salarié de 45 ans n a poten@ellement parcouru que la moi@é de sa carrière professionnelle. Critères d idenificaion des talents Tranches d'âge et talents 100% 90% 80% 70% 60% 88% 85% 70% 60% 50% 65% 60% 50% 40% 40% 30% 20% 10% 8% 4% 3% 30% 20% 10% 21% 15% 6% 0% 0% 8

9 VerbaIm sur le poteniel La que les entreprises donnent du haut l entreprise ne souhaite pas toujours : «Pas de Haut Poten(el Stricto Sensu» Le c est une capacité, souvent doublée d une volonté : «pouvoir, vouloir, savoir» «pouvoir - puissance - faculté - capacité» «capacité d appren(ssage» «Un collaborateur capable de remejre en ques(on ses pra(ques ( ), de prendre de la hauteur par rapport à son mé(er pour créer de la valeur pérenne pour l entreprise» «Peut répondre à des missions diverses, intenses, variées» Des capacités variées qui débouchent sur un poten@el d évolu@on : «Personne qui souhaite et peut évoluer dans les 3 ans à venir et qui est mobile» «capacité d'une personne à évoluer à horizon mois, vers des responsabilités ou environnements nouveaux ou plus complexes» «Capacité à exercer de plus hautes responsabilités» En ligne de mire, pour les hauts poten@els, mais pas seulement, les fonc@ons de direc@on : «Collaborateur suscep(ble de prendre un poste de direc(on à 5 ans» «Capacité à exercer de plus hautes responsabilités» Le haut poten@el en par@culier a la «capacité d'intégrer un comité de direc(on de pôle» voire la «capacité à devenir dirigeant du groupe» Ce qui peut aussi se préparer pas à pas : «capacité à prendre un poste N+1 sous 2 ans» «collaborateur capable de prendre les responsabilités et le poste de son N+1» «capacité à prendre à court ou moyen terme un poste de management supérieur (poste clé)» La performance cons@tue un autre aeribut fort du poten@el «La performance est élevée ou excep(onnelle» Plus modestement : «Personne dont les résultats sont régulièrement ajeints» «une combinaison performance sur le long terme et agilité» Si certains doutes sont émis quant à la défini@on, par exemple, d un haut poten@el - «Aucune, complètement subjec(ve» «Pas défini» - certains termes semblent plus à même de qualifier le poten@el : mobilité, performance, leadership, engagement, entrepreneurial, influence, exemplarité Au total, un univers séman@que et conceptuel très riche aux fron@ères mouvantes dont l approche reste forcément délicate pour les entreprises 9

10 Des a^entes évaluées La pra(que de l'entre(en semestriel, et a for(ori en con(nu est rela(vement peu répandue Leadership et engagement fort Le leadership est la principale compétence aeendue d un talent. Ce constat traduit des nouveaux modes de fonc@onnement fondé sur la primauté du «réseau», l influence et la confiance plutôt que sur l autorité hiérarchique. Quelle que soit son ac@vité dans l entreprise, le «talent» apparaît en mesure de donner du sens à son ac@on, et de le faire partager à son entourage professionnel. Ceee capacité est d autant plus importante qu elle s appuie sur un engagement fort. Des talents qui restent évalués par «people review» et entre'en annuel L évalua@on des talents semble avoir quelque difficulté à s adapter au rythme du business : la pra@que de l'entre@en semestriel, et a for@ori en con@nu est rela@vement peu répandue ; le cadre reste encore celui de grands processus cascadés dans un horizon annuel. La part des tests est faible (moins de 20%), ce qui traduit une certaine méfiance des entreprises vis- à- vis notamment de l externalisa@on de l évalua@on des talents. Compétences a^endues d'un talent Le leadership 80% L'engagement fort pour son entreprise 73% L'adapta@on 61% Les capacités intellectuelles 58% Le développement des personnes 55% La promo@on du changement 53% L'écoute (empathie) 31% La résistance au stress 31% La curiosité 30% L'ambi@on 24% La promo@on du développement durable 8% 0% 10% 20% 30% 40% 50% 60% 70% 80% 90% Moyens d'évaluaion des talents 100% 80% 60% 40% 20% 81% 76% 19% 16% 13% Talent / people review Entre@en annuel Tests (comportemental, psychométrique...) Entre@en mi année Entre@en en con@nu 0% 10

11 Développement des talents La mise en œuvre d un cadre intégrant forma(on structurée et appren(ssages informels reste à faire La forma'on d abord, mais pas seulement Les talents sont principalement développés à travers la forma@on présen@elle (82%) ou «on the job», dans le cadre de projets ou de missions transverses (lesquelles s apparentent largement à des projets) favorisant les échanges entre pairs. Le coaching, souvent assuré par le N +1, est en bonne place. On peut parler ici de disposi@fs tradi@onnels et/ou informels, qui laissent peu de place aux possibilités offertes notamment par le e- learning. La défini@on et la mise en œuvre d un cadre intégrant et meeant en cohérence forma@on structurée et appren@ssages informels, ou@llé par les nouvelles technologies d appren@ssage, reste à faire. Moyens de développement des talents Forma@on (présen@el) 82% Projets Missions transverses Coaching Au poste 64% 57% 52% 49% Mentoring 32% Communautés de pra@que / réseaux sociaux Colloque, conférence e- learning 16% 22% 20% Lecture Associa@ons 4% 3% 0% 20% 40% 60% 80% 100% 11

12 SoluIons de gesion des talents La majorité des entreprises disposent d une solu(on logicielle pour gérer leurs talents Des solu'ons logicielles mises au service des priorités de la ges'on des talents Les données complémentaires recueillies dans le cadre de l étude ont permis de faire plusieurs constats : la majorité des entreprises (près de 60%) disposent d une solu@on logicielle pour gérer leurs talents ; les plateformes spécialisées dans la ges@on des talents sont d ores et déjà plus u@lisées que les SIRH tradi@onnels. Surtout : l'u@lisa@on d une solu@on logicielle recouvre largement les priorités des entreprises telles qu elles apparaissent dans le reste de l étude. Avec cependant une empreinte plus forte de la ges@on de la performance (ce qui est en revanche conforme avec la façon dont l entreprise iden@fie ses talents). Le processus de ges@on des carrières et de la mobilité est lui aussi largement informa@sé. Même si la majorité des entreprises ont ou@llé leurs processus de ges@on de la forma@on, beaucoup reste à faire dans un domaine où les processus sont réputés lourds et rigides, et largement soumis à la pression réglementaire. Processus gérés par la soluion de gesion des talents Ges@on de la performance Carrières et mobilité Développement et forma@on Plans de succession Ges@on des compétences Rémunéra@on Recrutement GPEC workforce planning Intégra@on Fidélisa@on / réten@on Marque employeur Reconnaissance RSE (Réseau Social d'entreprise) Engagement 29% 23% 17% 11% 8% 5% 5% 3% 1% 44% 53% 52% 63% 68% 0% 20% 40% 60% 80% 12

13 OrganisaIon et acteurs impliqués La Direc'on Générale peut mieux faire Parmi les prenantes fortement impliquées (dans près de 80% des entreprises interrogées), les Générales sont 6% seulement à consacrer plus de 15 jours par an à la des talents, ce qui est faible au regard des meilleures issues de benchmarking traitant de ce domaine (notamment celui du BCG). Compléments : l étude a mis en évidence la part essen@elle prise par la fonc@on RH qui se partage entre les rôles d'ini@ateur et/ou contributeur d'une part, et d'autre part de responsable et/ou coresponsable, selon les domaines de la ges@on des talents. Elle hérite de la principale responsabilité dans ses domaines «régaliens» : recrutement, carrières et mobilité, plans de succession, rémunéra@on, développement et forma@on, ges@on des compétences. Elle vient ini@er (force de proposi@on) la démarche sur des ques@ons plus en pointe : engagement, reconnaissance, fidélisa@on/réten@on À noter aussi : la plupart des entreprises n'ont pas de ges@onnaires de talents dédiés. Mobilisant au plus 1 ETP (équivalent temps plein) dans 60% des entreprises interrogées, la ges@on des talents vient s'intégrer dans les missions RH habituelles. Temps passé par la DirecIon Générale dans la gesion des talents 10 à 15 jours 10% 15 à 20 jours 3% +de 20 jours 3% quelques heures 17% 5 à 10 jours 22% 1 à 5 jours 45% 13

14 VerbaIm sur les freins à la gesion des talents Il existe de nombreux freins à la mise en œuvre d une poli@que cohérente de ges@on des talents. Ces freins seront progressivement levés, alors que la ges@on des talents apparaît cri@que aux entreprises pour leur performance économique. Parmi ces freins, le manque de moyens est souvent cité : «Nous manquons du temps et des ressources humaines nécessaires» «Nous n avons pas le budget» «Manque de collaborateurs dédiés à ces sujets» Un frein aggravé par la crise, la ges@on des talents apparaissant comme un inves@ssement à moyen ou long terme, et non comme une priorité de l heure : «L inves(ssement en temps n est pas facile à trouver actuellement» «Nous sommes dans l urgence opéra(onnelle et le résultat à court terme» «Notre culture est essen(ellement commerciale» «Nous n avons pas la capacité à nous projeter au- delà de 12 mois de projet» Ce frein est encore plus important dans les PME : «La taille de notre entreprise ne s y prête pas» «Il y a un frein économique et culturel (à la mise en place d une telle stratégie)» Un frein culturel qui peut exister dans des grandes entreprise, notamment sous forme d une ré@cence managériale à divers niveaux : «Le N+1 a tendance à vouloir conserver le talent avec lui» «Difficile d obtenir l engagement concret du top management dans la mise en œuvre des plans de carrières et de succession» «Le manque d implica(on de la fonc(on RH et le manque de transversalité entre les services» Le manque d ou@ls est aussi mis en avant, voire la mise en cause de l offre de solu@ons : «La défini(on de l offre talent ne permet pas aujourd hui une ges(on en toute transparence» «Manque d ou(l SIRH (en cours d étude)» Dans un certain nombre de cas, l intérêt d une telle poli@que n apparaît pas flagrant : «un turn over faible, rendant difficile la compréhension des enjeux d'une ges(on des talents efficace» «Le statut fonc(on publique est peu compa(ble avec l'individualisa(on de la ges(on des talents» «La forte spécificité et diversité de nos mé(ers (hôpital intégrant toutes spécialités) et les contraintes légales d'ac(vité liées aux diplômes» Beaucoup reste à faire pour dépasser ces freins, avec ce paradoxe que la crise rend plus que jamais nécessaire une poli@que de ges@on des talents tout en éloignant sa perspec@ve dans des entreprises ré@centes à inves@r. «Nous n avons pas la capacité à nous projeter au- delà de 12 mois de projet» 14

15 Impacts de la gesion des talents La ges'on des talents : cri'que pour la performance de l entreprise La ges@on des talents est considérée comme cri@que par 63% des entreprises interrogées. Une bonne nouvelle pour l ensemble des acteurs internes et externes fortement impliqués dans la promo@on et le support de ceee approche. Une bonne nouvelle aussi pour les talents dont la performance individuelle et le bien- être sont largement condi@onnés par les divers leviers offerts par la ges@on des talents. L impact par'culier de la ges'on de la performance et du recrutement On ne s étonnera pas que la ges@on de la performance apparaisse comme le domaine le plus impactant sur la performance de l entreprise : au- delà de ce qui pourrait apparaître comme une tautologie, ce domaine qui vise à définir aussi précisément et souplement que possible la no@on de performance, à la relier à des enjeux et la doter du processus adéquat apparaît comme une clé de la réussite de l entreprise. Recrutement, ges@on des carrières et de la mobilité, viennent en deuxième et troisième posi@on : acquisi@on et fidélisa@on des talents apparaissent comme des objec@fs essen@els d une ges@on du capital humain créatrice de performance. CriIcité de la gesion des talents pour la performance de l'entreprise Non 37% Oui 63% Domaines de la gesion des talents les plus impactants sur la performance de l'entreprise Ges@on de la performance Recrutement Carrières et mobilité Plans de succession Développement et forma@on Fidélisa@on / réten@on Ges@on des compétences Engagement GPEC workforce planning Rémunéra@on Reconnaissance Intégra@on Marque employeur RSE (Réseau Social d'entreprise) 1% 19% 29% 27% 37% 35% 33% 48% 56% 65% 64% 69% 77% 76% 0% 10% 20% 30% 40% 50% 60% 70% 80% 90% 15

16 GesIon des talents : des résultats Adéqua'on des compétences aux besoins actuels et futurs Meilleure adéqua@on des compétences aux besoins futurs (57%), aux exigences du poste (52%) La GPEC semble bien ancrée dans les pra@ques tandis que le court- terme n est pas oublié : il s agit bien d aligner en temps réel les compétences des talents, et plus généralement de l ensemble des salariés, sur les besoins des mé@ers et des marchés. Le meilleur engagement des collaborateurs vient aussitôt après, même si ceee ques@on semble avoir des difficultés à faire l'objet d'une réflexion synthé@que qui la meerait en tête des priorités de la ges@on des talents C'est que l'engagement est de fait obtenu par la mise en oeuvre des autres leviers de la ges@on des talents Principaux résultats obtenus grâce à la gesion des talents 60% 50% 57% 52% 48% 40% 30% 20% 26% 23% 23% 10% 0% Meilleure adéqua@on des compétences aux besoins futurs de l'entreprise Meilleure adéqua@on des compétences aux exigences du poste Meilleur engagement des collaborateurs Accéléra@on de la prise de poste Réduc@on du turnover Réduc@on des coûts de recrutement 16

17 Des indicateurs de gesion des talents Une vaste panoplie d indicateurs Les entreprises ne manquent pas d imagina@on en ma@ère d indicateurs de ges@on des talents. Principal indicateur, le nombre de salariés à haut poten@el est suivi par un ensemble d'indicateurs démographiques classiques : le nombre de salariés, la pyramide des âges, l'ancienneté des salariés, le nombre de nouveaux embauchés D'autres indicateurs croisés permeeent d'analyser les résultats de la poli@que de ges@on des talents : la mobilité ou la performance, par exemple, qui sont respec@vement associées au % de postes pourvus par la mobilité interne et au % d'entre@ens d'évalua@on de performance. Indicateurs de gesion des talents suivis dans les entreprises Nombre de salariés à poten@el 63% % Entre@en d évalua@on de performance 56% % de postes pourvus par la mobilité interne Performance (répar@@on) Pyramide des âges des salariés Nombre de salariés Ancienneté des salariés dans l'entreprise Mobilité (géographique, professionnelle) des salariés Turn over Nombre de nouveaux embauchés / an Diversité Répar@@on des ac@ons de développement Ancienneté dans le poste des salariés 51% 47% 46% 45% 45% 42% 41% 40% 36% 33% 30% Classifica@on (CSP) des salariés 23% 0% 10% 20% 30% 40% 50% 60% 70% 17

18 VerbaIm sur les facteurs de succès Les facteurs clés de succès d une poli@que de ges@on des talents relevés par les entreprises interrogées recouvrent par@ellement le florilège des freins déjà men@onnés. En par@culier, l implica@on de la Direc@on et du management reviennent souvent : «Il y faut de la volonté poli(que» «Implica(on et support de la Direc(on générale» «L implica(on du management à chaque étape» «L engagement du management» Ceee implica@on trouve aussi son expression dans une collabora@on entre les acteurs : «Il est nécessaire que les RH, la direc(on et l encadrement travaillent ensemble sur ce type de projet» Il est ques@on du «Partenariat top management / RH autour d objec(fs communs» car il s agit bien d un «projet d entreprise» qui doit s appuyer notamment sur une grande «transparence». Au reste, la ques@on des objec@fs revient régulièrement : «une stratégie et des besoins bien définis» est un facteur- clé, ce qui suppose une «bonne connaissance des compétences nécessaires dans l entreprise aujourd hui et dans le futur». Le facteur «moyens» apparaît quoique peu fréquemment Ce qui n empêche pas les répondants de meere en avant les aspects pra@ques de la ges@on des talents : la réussite passera par «des décisions et ac(ons concrètes de suivi et d accompagnement prises à un niveau Comex». Ce qu on re@endra donc des facteurs- clés : principalement l iden@fica@on d enjeux forts, l implica@on des acteurs concernés et la communica@on nécessaire à la mise en œuvre d une stratégie de ges@on des talents. «Il est nécessaire que les RH, la direc(on et l encadrement travaillent ensemble sur ce type de projet» 18

19 A propos A propos du Club Talent Management de l'andrh Le Club Talent Management de l ANDRH, un groupe de référence pour la gesion des talents. Le club réunit des pra@ciens RH avides de rencontrer leurs pairs pour échanger des idées, faire part de leurs succès et de leurs préoccupa@ons et partager leurs meilleures pra@ques. Car il n'existe pas un management des talents mais autant de façons de faire que d'entreprises. Recrutement, mobilité, rémunéra@on, développement, forma@on autant d ac@ons mises en œuvre pour a^rer, développer et retenir ceux que l'entreprise considère comme ses meilleurs éléments. L'objec@f du club : être pour ses par@cipants un groupe de référence concernant les pra@ques de ges@on des talents. Le Club Talent Management fait parie de l ANDRH, la plus grande communauté de professionnels des Ressources Humaines en France. Créée en 1947, l ANDRH réunit plus de 5000 membres, représentant les entreprises et organisa@ons de tous secteurs d ac@vité et de toutes tailles, publiques et privées, na@onales et interna@onales. A propos de Féfaur Cabinet d'études et de conseil dans la forma@on et la ges@on des talents, intervenant auprès des principales entreprises et organismes de forma@on européens. Domaines couverts : défini@on et aide à la mise en œuvre d une stratégie de ges@on intégrée de la forma@on et des talents, assistance au choix et à l implémenta@on d un learning & talent management system, accompagnement du changement auprès de la fonc@on forma@on et RH et des mé@ers. Analyse des tendances et de leurs impacts, dans les domaines forma@on et RH ; drivers : nouvelles technologies, aeentes des mé@ers et de la direc@on vis- à- vis de la fonc@on forma@on et RH. Conférences et séminaires. À propos de Cornerstone OnDemand Cornerstone OnDemand est l'un des leaders en France et à l interna@onal dans la ges@on intégrée de la forma@on (LMS) et des talents en mode 100% So ware- as- a- Service. Nous aidons les organisa@ons de toutes tailles en offrant une solu@on permeeant de gérer l ensemble du parcours du collaborateur depuis le recrutement jusqu aux évalua@ons de compétences en passant par la forma@on. Notre solu@on est composée de quatre offres intégrées : Cornerstone Recrui@ng Cloud, Cornerstone Performance Cloud, Cornerstone Learning Cloud et Cornerstone Extended Enterprise Cloud. 19

20 une étude ANDRH - FEFAUR mars 2013 BILAN ET PERSPECTIVES DE LA GESTION DES TALENTS DANS LES ENTREPRISES EN FRANCE avec le sou@en de

SÉLECTIONNER LES MEILLEURS CANDIDATS : L APPORT DES OUTILS D ÉVALUATION AU RECRUTEMENT ET À LA MOBILITÉ INTERNE

SÉLECTIONNER LES MEILLEURS CANDIDATS : L APPORT DES OUTILS D ÉVALUATION AU RECRUTEMENT ET À LA MOBILITÉ INTERNE PARTENAIRE RESSOURCES HUMAINES SÉLECTIONNER LES MEILLEURS CANDIDATS : L APPORT DES OUTILS D ÉVALUATION AU RECRUTEMENT ET À LA MOBILITÉ INTERNE PROGRAMME Il est primordial pour une organisation de savoir

Plus en détail

LE SUPPLIER RELATIONSHIP MANAGEMENT EN PRATIQUE

LE SUPPLIER RELATIONSHIP MANAGEMENT EN PRATIQUE PARTENAIRES ACHATS LE SUPPLIER RELATIONSHIP MANAGEMENT EN PRATIQUE PROGRAMME La geson de la relaon fournisseur Supplier Relaonship Management est au centre de l aenon de toutes les foncons Achats. Les

Plus en détail

Le secteur de la Mutualité. Présenta*on des organismes Structure et caractéris*ques des emplois Zoom sur les mé*ers

Le secteur de la Mutualité. Présenta*on des organismes Structure et caractéris*ques des emplois Zoom sur les mé*ers Le secteur de la Mutualité Présenta*on des organismes Structure et caractéris*ques des emplois Zoom sur les mé*ers 1 La protec*on sociale Ensemble des moyens mis en œuvre par un pays pour protéger ses

Plus en détail

LA DIGITALISATION DE LA RELATION CLIENT

LA DIGITALISATION DE LA RELATION CLIENT PARTENAIRES ENTREPRISE ET TRANSFORMATION DIGITALE LA DIGITALISATION DE LA RELATION CLIENT PROGRAMME Face à la mulplicaon des canaux digitaux de communicaon, à l évoluon des comportements des clients et

Plus en détail

AVIS A MANIFESTATION D INTERET N 017/MPT/2013/UCP/CAB

AVIS A MANIFESTATION D INTERET N 017/MPT/2013/UCP/CAB AVIS A MANIFESTATION D INTERET N 017/MPT/2013/UCP/CAB RECRUTEMENT D UN CONSULTANT INDIVIDUEL POUR LA REALISATION DE L ETUDE SUR LA PORTABILITE SUR LE MARCHE DES TELECOMMUNICATIONS EN REPUBLIQUE DU CONGO

Plus en détail

Vers un Système unique d informa4on na4onale de médicaments au Mexique, dans le cadre du suivi de l OMD 8.13

Vers un Système unique d informa4on na4onale de médicaments au Mexique, dans le cadre du suivi de l OMD 8.13 Vers un Système unique d informa4on na4onale de médicaments au Mexique, dans le cadre du suivi de l OMD 8.13 México Angélica Ivonne Cisneros- Luján Lisbonne, 11 septembre 2012 CONTEXTE et DÉSCRIPTION du

Plus en détail

Catalogue de FORMATIONS 2015

Catalogue de FORMATIONS 2015 Catalogue de FORMATIONS 2015 Qui sommes nous? î SmartView est un cabinet de conseil et de forma1on, basé à Montpellier et Paris, qui accompagne ses clients professionnels, grands comptes ou PME innovantes,

Plus en détail

H2PS engage ses compétences auprès des entreprises et des parculiers par la mise en place de soluons d accompagnements et de services.

H2PS engage ses compétences auprès des entreprises et des parculiers par la mise en place de soluons d accompagnements et de services. Notre Société H2PS engage ses compétences auprès des entreprises et des parculiers par la mise en place de soluons d accompagnements et de services. Nos Engagements: Nous uliserons nos connaissances, expériences

Plus en détail

CATALOGUE DES OFFRES 2014

CATALOGUE DES OFFRES 2014 CATALOGUE DES OFFRES 2014 GM_Oct 2014 Sommaire P9 DIAGNOSTIQUER Etat des lieux de l entreprise P3 REPRESENTER La défense des entrepreneurs P7 Sécurisaon des impayés P7 Projet à l international P7 Assistantes

Plus en détail

Présenta6on Isatech. ERP, Décisionnel, Architecture Systèmes & Réseaux. Isatech Tous droits réservés Page 1

Présenta6on Isatech. ERP, Décisionnel, Architecture Systèmes & Réseaux. Isatech Tous droits réservés Page 1 Présenta6on Isatech ERP, Décisionnel, Architecture Systèmes & Réseaux Isatech Tous droits réservés Page 1 L offre globale Couvrir l intégralité de la chaîne du SI Isatech Tous droits réservés Page 2 Isatech

Plus en détail

Pe#t déjeuner Prévention des risques professionnels dans la Mutualité

Pe#t déjeuner Prévention des risques professionnels dans la Mutualité Pe#t déjeuner Prévention des risques professionnels dans la Mutualité 15 mai 2014 Intervenantes: Emmanuelle Paradis, Chef de projet Préven#on et santé au travail CHORUM - CIDES Carole Hazé, Responsable

Plus en détail

Les conditions de travail pour l attractivité des métiers de la maintenance éolienne 1 er éléments ouverture vers d autres métiers de la filière

Les conditions de travail pour l attractivité des métiers de la maintenance éolienne 1 er éléments ouverture vers d autres métiers de la filière Les conditions de travail pour l attractivité des métiers de la maintenance éolienne 1 er éléments ouverture vers d autres métiers de la filière Marylène COPPI / Alexandre VASSELIN OBJECTIFS POUR LA PICARDIE

Plus en détail

Cabinet de Conseil STRATÉGIE MANAGEMENT ORGANISATION JURIDIQUE FORMATION AVEC BW CONSULTANTS CHOISISSEZ DE GARANTIR VOTRE DEVELOPPEMENT

Cabinet de Conseil STRATÉGIE MANAGEMENT ORGANISATION JURIDIQUE FORMATION AVEC BW CONSULTANTS CHOISISSEZ DE GARANTIR VOTRE DEVELOPPEMENT Cabinet de Conseil STRATÉGIE MANAGEMENT ORGANISATION JURIDIQUE FORMATION 1 Pourquoi nous choisir? Le chef d entreprise, surtout s il est propriétaire, déteste l aventure. Notre Objec>f est de vous accompagner

Plus en détail

Parcours de soins, solu/ons de partage Évolu/ons des poli/ques na/onales & Mises en œuvre régionales Séminaire IFERISS 17 Avril 2014

Parcours de soins, solu/ons de partage Évolu/ons des poli/ques na/onales & Mises en œuvre régionales Séminaire IFERISS 17 Avril 2014 Parcours de soins, solu/ons de partage Évolu/ons des poli/ques na/onales & Mises en œuvre régionales Séminaire IFERISS 17 Avril 2014 Sommaire 1) Présenta/on du GCS Télésanté Midi- Pyrénées 2) Dossier Médical

Plus en détail

Les hommes cadres et l égalité professionnelle

Les hommes cadres et l égalité professionnelle Les hommes cadres et l égalité professionnelle Sondage Ifop pour Mercredi C Papa présenta)on publique Vendredi 12 décembre 2014 Contexte et objec+fs de l étude En Juin 2014, l associa+on mercredi- c- papa

Plus en détail

22ème Conven*on na*onale de l Intercommunalité 14 octobre 2011. Mutualisa*on : déployer les nouveaux ou*ls de la réforme

22ème Conven*on na*onale de l Intercommunalité 14 octobre 2011. Mutualisa*on : déployer les nouveaux ou*ls de la réforme 22ème Conven*on na*onale de l Intercommunalité 14 octobre 2011 Mutualisa*on : déployer les nouveaux ou*ls de la réforme Grand Dole (Pdt : Claude Chalon) Créé en 2008, issu d une fusion, 41 communes, 53

Plus en détail

SOLIDARITE ESPRIT D EQUIPE ESPRIT D ENTREPRISE AMBITION L AVENTURE CONTINUE!

SOLIDARITE ESPRIT D EQUIPE ESPRIT D ENTREPRISE AMBITION L AVENTURE CONTINUE! SOLIDARITE L AVENTURE CONTINUE! ESPRIT D EQUIPE La Fédéraon Terre de Talents (F.T.D.T.) a été créée dans l intenon de permere à chacun de révéler ses talents et de s épanouir dans un projet professionnel

Plus en détail

Poli%que ins%tu%onnelle: le numérique au service de la forma%on à l Université Laval CFQCU Paris, 26 mai 2015

Poli%que ins%tu%onnelle: le numérique au service de la forma%on à l Université Laval CFQCU Paris, 26 mai 2015 Poli%que ins%tu%onnelle: le numérique au service de la forma%on à l Université Laval CFQCU Paris, 26 mai 2015 Nicole.Lacasse@vre.ulaval.ca Vice- rectrice associée aux études et aux ac%vités interna%onales

Plus en détail

Les 10 étapes clés pour trouver des clients par internet

Les 10 étapes clés pour trouver des clients par internet Les 10 étapes clés pour trouver des clients par internet Guide pour les entreprises de Home Staging 1 L auteur : Adrian Measures Adrian Measures est responsable du marke@ng sur internet et fondateur de

Plus en détail

Les Organisa+ons Non- Gouvernementales et les réseaux sociaux

Les Organisa+ons Non- Gouvernementales et les réseaux sociaux Les Organisa+ons Non- Gouvernementales et les réseaux sociaux en partenariat avec : Pe1t- déjeuner du 13 janvier 2015 2014 Harris Interac1ve Inc. All rights reserved. SOMMAIRE > Méthodologie d enquête

Plus en détail

Qu est ce qu une PME? 4. Pourquoi investir dans une PME? 6. Comment investir en direct dans une PME? 10

Qu est ce qu une PME? 4. Pourquoi investir dans une PME? 6. Comment investir en direct dans une PME? 10 SOMMAIRE Introduction 3 Qu est ce qu une PME? 4 Définition conventionnelle d une PME 4 L actionnariat au sein d une PME 4 Participer à une augmentation de capital 4 Etre actionnaire d une société 5 Assister

Plus en détail

Vision, Stratégie Changement Leadership

Vision, Stratégie Changement Leadership Cabinet de Conseil et de Développement des Hommes et des Organisations Vision, Stratégie Changement Leadership Accompagnement humain des réorganisations Optimisation managériale et relationnelle Cohésion

Plus en détail

Le contrôle fiscal anno 2013

Le contrôle fiscal anno 2013 Le contrôle fiscal anno 2013 Carlos SIX! Administrateur général de la Fiscalité SPF Finances Ges$on des risques Contrôle fiscal CRM & Tolérance zéro ONDEMENT OBJECTIFS STRATEGIQUES Etude externe 2010 constata$ons

Plus en détail

L Economie Sociale et Solidaire

L Economie Sociale et Solidaire L Economie Sociale et Solidaire DES VALEURS CHARGÉES D HISTOIRE Les premières organisa.ons de l économie sociale sont en effet nées au XIX ème siècle, en réponse à la brutalité de la révolu.on industrielle.

Plus en détail

Les méthodes Agiles. Introduc)on aux méthodes Agiles Exemple : Scrum

Les méthodes Agiles. Introduc)on aux méthodes Agiles Exemple : Scrum Les méthodes Agiles Introduc)on aux méthodes Agiles Exemple : Scrum Défini)on de base Les méthodes Agiles sont des procédures de concep)on de logiciel qui se veulent plus pragma)ques que les méthodes tradi)onnelles

Plus en détail

Lettre de prospective n 48 janvier 2015

Lettre de prospective n 48 janvier 2015 FriedlandPapers Lettre de prospective n 48 janvier 2015 LA TRANSFORMATION DIGITALE DES ENTREPRISES : DE LA STRATÉGIE À L ORGANISATION Henri Hamon Économiste à la CCI Paris Ile-de-France I l ne fait aucun

Plus en détail

Prépara&on Opéra&onnelle à l Emploi de BASYCA (POEB) BASYCA SAS FRANCE - Anzize BADAROU

Prépara&on Opéra&onnelle à l Emploi de BASYCA (POEB) BASYCA SAS FRANCE - Anzize BADAROU Prépara&on Opéra&onnelle à l Emploi de BASYCA (POEB) 1 Sommaire Objec&fs généraux Contenu POEB Approche générique Animateurs Partenaires 2 Objectifs généraux Enjeux de la forma1on Réconcilier la forma&on

Plus en détail

Réunion de rentrée Licence PER Programma3on en environnement répar3. Année universitaire 2014-2015

Réunion de rentrée Licence PER Programma3on en environnement répar3. Année universitaire 2014-2015 Réunion de rentrée Licence PER Programma3on en environnement répar3 Année universitaire 2014-2015 Intervenants de la présenta3on Responsables de la forma/on Bogdan Cau/s, bogdan.cau/s@u- psud.fr Jean-

Plus en détail

MTI820 Entrepôts de données et intelligence d affaires. Gouvernance des données et ges1on des données de référence

MTI820 Entrepôts de données et intelligence d affaires. Gouvernance des données et ges1on des données de référence MTI820 Entrepôts de données et intelligence d affaires Gouvernance des données et ges1on des données de référence 1 La gouvernance des données Défini1on: «Processus de supervision et de décision qui permet

Plus en détail

Alain Fernandez 2014, À son compte et 44 Astuces pour démarrer son Business sont des livres publiés aux Edi;ons Eyrolles

Alain Fernandez 2014, À son compte et 44 Astuces pour démarrer son Business sont des livres publiés aux Edi;ons Eyrolles Il n est pas facile, aujourd hui moins que jamais, de construire une solide carrière au sein de l entreprise. Les contraintes de performance et la recherche de compé;;vité relèguent les a>entes des salariés

Plus en détail

INTRASTAT 2015. No ce explica ve Merkbla

INTRASTAT 2015. No ce explica ve Merkbla INTRASTAT 2015 Noce explicave Merkbla Rédacon en chef Alain Hoffmann Rédacon, coordinaon et concepon graphique Luc Kohnen STATEC Instut naonal de la stasque et des études économiques Centre Administraf

Plus en détail

Offre Azimut CONTENT MARKETING. A l a&en)on de : Date de remise : Version : 3.0

Offre Azimut CONTENT MARKETING. A l a&en)on de : Date de remise : Version : 3.0 Offre Azimut CONTENT MARKETING A l a&en)on de : Date de remise : Version : 3.0 01 Marke3ng de Contenu Ecosytème Editorial Offre & Ou3ls Azimut Content Marke3ng Méthodologie Content management Qui sommes-

Plus en détail

TRANSFORMATION DIGITALE : COMMENT INDUSTRIALISER ET PÉRENNISER LA MÉTHODE AGILE À PLUS GRANDE ÉCHELLE

TRANSFORMATION DIGITALE : COMMENT INDUSTRIALISER ET PÉRENNISER LA MÉTHODE AGILE À PLUS GRANDE ÉCHELLE PARTENAIRES ENTREPRISE & TRANSFORMATION DIGITALE : TRANSFORMATION DIGITALE : COMMENT INDUSTRIALISER ET PÉRENNISER LA MÉTHODE AGILE À PLUS GRANDE ÉCHELLE PROGRAMME Dans des environnements de plus en plus

Plus en détail

Évolu>on et maintenance

Évolu>on et maintenance IFT3912 Développement et maintenance de logiciels Évolu>on et maintenance Bruno Dufour Université de Montréal dufour@iro.umontreal.ca Modifica>on des logiciels Les modifica>ons sont inévitables Des nouveaux

Plus en détail

Commerce interna,onal Master 1 Weller Interna,onal Business school 2015 24/02/15

Commerce interna,onal Master 1 Weller Interna,onal Business school 2015 24/02/15 Commerce interna,onal Master 1 Weller Interna,onal Business school 2015 24/02/15 1 Méthode pédagogique Session 1 mardi 24 fev 2015 Session 2 - mardi 24 fev 2015 Session 3 Théma&que abordée Analyse des

Plus en détail

LA LOGISTIQUE LES BONNES QUESTIONS À SE POSER

LA LOGISTIQUE LES BONNES QUESTIONS À SE POSER LA LOGISTIQUE LES BONNES QUESTIONS À SE POSER Les bonnes questions à se poser 1. Qui sont mes clients (à qui vais- je vendre sur Internet)? 2. Ai- je du temps à consacrer à ma bou?que en ligne? 3. Ma

Plus en détail

La formation des IOBSP

La formation des IOBSP Quelle formation pour quel IOBSP? Intervenant : Ravi CAUSSY, Président de la Commission Formation AFIB Convention du 31 mai 2012 - Paris Quelle formation pour quel IOBSP? Quelles catégories et activités

Plus en détail

14 Octobre 2008 TICPME2010 Sage et TICPME2010

14 Octobre 2008 TICPME2010 Sage et TICPME2010 Sage et TICPME2010 Une forte implica:on dans certains projets TICPME de par un posi:onnement dédié aux PME Base installée en France de 500 000 entreprises), 5 000 d'appels clients traités par jour Des

Plus en détail

Programme «INVESTISSEUR»

Programme «INVESTISSEUR» La plateforme de missions photos Laissez la communauté prendre ou trouver des photos juste pour vous Programme «INVESTISSEUR» Offrez- vous une startup dès 100 Version : 10 février 2015 Dossier confiden,el,

Plus en détail

Sécuriser et enrichir les transactions financières. URYX Capital

Sécuriser et enrichir les transactions financières. URYX Capital Sécuriser et enrichir les transactions financières URYX Capital Confiden'aly Agreement This agreement is to acknowledge that the informa4on provided by URYX Capital in this business plan is unique to this

Plus en détail

Active Asset Allocation

Active Asset Allocation Active Asset Allocation Designer de Solu.ons d Inves.ssement We protect, You perform www.active-asset-allocation.com Qui sommes- nous? Ac.ve Asset Alloca.on est un concepteur de solu.ons d inves.ssement

Plus en détail

Votre croissance notre métier

Votre croissance notre métier Votre croissance notre métier Nous vous assistons dans votre croissance externe: De la recherche d une entreprise à acquérir jusqu à l intégration dans votre entreprise existante Notre expérience opérationnelle

Plus en détail

Services complémentaires en Outaouais

Services complémentaires en Outaouais Services complémentaires en Outaouais La réalisa4on et le succès d un main4en à domicile d une personne âgée en perte d autonomie est un travail d équipe. Les acteurs de ce=e équipe sont d abord la personne

Plus en détail

Qu est- ce que Bien- être@travail? Copyright Quo.ent Factor Inc., 2011

Qu est- ce que Bien- être@travail? Copyright Quo.ent Factor Inc., 2011 Qu est- ce que Bien- être@travail? Copyright Quo.ent Factor Inc., 2011 Et vous, le Bien- être@travail? Le bonheur est une chose fugace. Le bien- être suppose des condi1ons au- delà de la simple survivance,

Plus en détail

L Europe s engage en Mar/nique auprès des Entreprises

L Europe s engage en Mar/nique auprès des Entreprises L Europe s engage en Mar/nique auprès des Entreprises Les Programmes européens 2014-2020 Le contenu des programmes Les axes d interven-on Les chiffres Les nouveautés La méthode de sélec-on Les mesures Une

Plus en détail

Santé, condi,ons de travail et égalité professionnelle F/H Comment agir?

Santé, condi,ons de travail et égalité professionnelle F/H Comment agir? Santé, condi,ons de travail et égalité professionnelle F/H Comment agir? Rencontres expertes de l Aract Bretagne Lundi 9 mars 2015 Elisabeth Dewanckel e.dewanckel@anact.fr Hélène Plassoux h.plassoux@anact.fr

Plus en détail

PETIT DEJEUNER MLA Planifica4on industrielle et commerciale : Réalité centrale // Objec4fs terrain

PETIT DEJEUNER MLA Planifica4on industrielle et commerciale : Réalité centrale // Objec4fs terrain Jean- Claude CARDONNEL, Directeur Administra4f et Financier UNITED BISCUITS Northern Europe Bruno PELOIN Directeur Supply Chain NUTRICIA France groupe DANONE François- Régis de LANDES Directeur Organisa4on

Plus en détail

L exper>se sur financements européens et autres : quelles opportunités pour les consultants et les universitaires?

L exper>se sur financements européens et autres : quelles opportunités pour les consultants et les universitaires? L exper>se sur financements européens et autres : quelles opportunités pour les consultants et les universitaires? Cyril Bouyeure, www.idefie.org Château Kiener, 24 rue de Verdun, Colmar le 8 juillet 2015

Plus en détail

EXECUTIVE DOCTORATE IN BUSINESS ADMINISTRATION : LA NÉCESSITÉ DE L'INTÉGRATION DES TIC POUR MANAGER LA DISTANCE

EXECUTIVE DOCTORATE IN BUSINESS ADMINISTRATION : LA NÉCESSITÉ DE L'INTÉGRATION DES TIC POUR MANAGER LA DISTANCE COLLOQUE INTERNATIONAL «LE NUMÉRIQUE POUR ENSEIGNER AUTREMENT» 27 ET 28 JUIN 2014 UNIVERSITÉ PARIS-DAUPHINE EXECUTIVE DOCTORATE IN BUSINESS ADMINISTRATION : LA NÉCESSITÉ DE L'INTÉGRATION DES TIC POUR MANAGER

Plus en détail

Profils du Diplômé (profils de sor2) de la forma2on de médicine au Chile

Profils du Diplômé (profils de sor2) de la forma2on de médicine au Chile Profils du Diplômé (profils de sor2) de la forma2on de médicine au Chile MARIO PARADA, MARÍA INÉS ROMERO, FABIÁN MORAGA Diego Muñoz, Marcela Gómez, Denisse Arellano Ecoles de Médecine au Chili Le Chili,

Plus en détail

L ou%l téléphone dans votre stratégie de marke%ng direct

L ou%l téléphone dans votre stratégie de marke%ng direct L ou%l téléphone dans votre stratégie de marke%ng direct «Allo, vous n avez pas de stratégie téléphone?» Alain Pierre La Chaîne de l Espoir Pascal Fréneaux ADM VALUE Présenta%on de La Chaîne de l Espoir

Plus en détail

Comment CEGID et ses solu/ons peuvent elles implémenter les standards TICPME2010?

Comment CEGID et ses solu/ons peuvent elles implémenter les standards TICPME2010? 14 Octobre 2008 TICPME2010 Comment CEGID et ses solu/ons peuvent elles implémenter les standards TICPME2010? Eric VALION Directeur de marché ERP Middle Market Cegid Group Table ronde éditeurs Cegid Group

Plus en détail

ENVI-F-409. Economie écologique. Séance 8 13 Mai 2015. Tom Bauler tbauler@ulb.ac.be Supports de cours : http://tbauler.pbworks.com

ENVI-F-409. Economie écologique. Séance 8 13 Mai 2015. Tom Bauler tbauler@ulb.ac.be Supports de cours : http://tbauler.pbworks.com ENVI-F-409 Economie écologique Séance 8 13 Mai 2015 Tom Bauler tbauler@ulb.ac.be Supports de cours : http://tbauler.pbworks.com Chapitre 9 : Penseurs hétérodoxes Ostrom vs Hardin. Lectures ins3tu3onnelle

Plus en détail

Octobre 2013. Cybersécurité. Guide pra3que

Octobre 2013. Cybersécurité. Guide pra3que Octobre 2013 Cybersécurité Guide pra3que Défini0ons clés Cyberespace Ensemble de données numérisées lié à l interconnexion des ordinateurs dans le Monde. Cybersécurité Principe qui permet de lu8er contre

Plus en détail

Les formations. calipia. novembre 2014 à mai 2015

Les formations. calipia. novembre 2014 à mai 2015 calipia Les formations novembre 2014 à mai 2015 nov. déc. janv. fév. mars avril mai Briefing Calipia (p. 3) FC1501 : Smartphones et Tablettes (p. 5) 15 17 10 FC1502 : Licences Microsoft (p. 7) 29 19 21

Plus en détail

Présenta)on de Mathieu Jaspard Coordinateur de recherches. Gilles Condé A0aché de recherches

Présenta)on de Mathieu Jaspard Coordinateur de recherches. Gilles Condé A0aché de recherches Sous la direc4on de Guénaël Devillet Directeur du SEGEFA Université de Liège Réalisation d un Schéma de Développement Commercial sur le territoire communal de Nivelles Séance d information publique - Phase

Plus en détail

ÉTUDE DU POTENTIEL DE DONS NON ALIMENTAIRES Rapport d étude. Etude copilotée et cofinancée par : Etude menée par :

ÉTUDE DU POTENTIEL DE DONS NON ALIMENTAIRES Rapport d étude. Etude copilotée et cofinancée par : Etude menée par : ÉTUDE DU POTENTIEL DE DONS NON ALIMENTAIRES Rapport d étude Etude copilotée et cofinancée par : Etude menée par : 1 Plan du rapport 1. Rappel des objec>fs et de la méthodologie 2. Structure de l échan>llon

Plus en détail

Une organisa+on rigoureuse, une offre complète et innovante

Une organisa+on rigoureuse, une offre complète et innovante Une organisa+on rigoureuse, une offre complète et innovante Seraing, 18 octobre 2013 SOMMAIRE 1. 1I. Les Chiffres d Ogeo 1. Chiffres clés 2. Ogeo évolu+on Le Modèle Ogeo 1. Un fonds de pension novateur

Plus en détail

Professionnalisa+on des acteurs de l'éduca+on prioritaire à par+r du développement de pra+ques collabora+ves

Professionnalisa+on des acteurs de l'éduca+on prioritaire à par+r du développement de pra+ques collabora+ves RENCONTRE INTER- ACADEMIQUE CRETEIL- PARIS- VERSAILLES DES REP+ La Sorbonne, le 10 avril 2015 Professionnalisa+on des acteurs de l'éduca+on prioritaire à par+r du développement de pra+ques collabora+ves

Plus en détail

Stages intra- entreprise stages de forma,on à des,na,on des managers et dirigeants. Catalogue 2012-2013

Stages intra- entreprise stages de forma,on à des,na,on des managers et dirigeants. Catalogue 2012-2013 Stages intra- entreprise stages de forma,on à des,na,on des managers et dirigeants Catalogue 2012-2013 1 PARTI PRIS PÉDAGOGIQUE : THÈMES DES STAGES! Tous les stages que nous proposons sont bâfs en intégrant

Plus en détail

REPUTATION INSIGHTS Par Laurent Reynes

REPUTATION INSIGHTS Par Laurent Reynes REPUTATION INSIGHTS Par Laurent Reynes Où en est- on de la réputa1on? Quelles sont les nouvelles pra1ques qui émergent? Les organisa1ons entrent aujourd hui dans une nouvelle étape du management de la

Plus en détail

Accompagner les organisations dans la mise en place de modes collaboratifs pérennes, basés sur l engagement et la confiance. 2 POLES D EXPERTISE

Accompagner les organisations dans la mise en place de modes collaboratifs pérennes, basés sur l engagement et la confiance. 2 POLES D EXPERTISE O Reilly Consultants est un cabinet de conseil en gestion des ressources humaines, formation et coaching qui vise à réconcilier l épanouissement individuel : Accompagner les individus dans la réappropriation

Plus en détail

IL Y A- T- IL UN AVENIR POUR LA VENTE EN LIGNE DE MÉDICAMENTS? La rece:e du site idéal

IL Y A- T- IL UN AVENIR POUR LA VENTE EN LIGNE DE MÉDICAMENTS? La rece:e du site idéal IL Y A- T- IL UN AVENIR POUR LA VENTE EN LIGNE DE MÉDICAMENTS? La rece:e du site idéal Pourquoi ce sujet? Pourquoi ce sujet? Augmenta)on des achats en ligne et depuis 2013, en France, la vente en ligne

Plus en détail

Knowledge Management D. Chauvel, 13 Novembre 2014. Journée Mondiale de la Qualité Université Aix Marseille

Knowledge Management D. Chauvel, 13 Novembre 2014. Journée Mondiale de la Qualité Université Aix Marseille Knowledge Management D. Chauvel, 13 Novembre 2014 Journée Mondiale de la Qualité Université Aix Marseille ISO 9001 2015 7.1.6 GesGon des connaissances L'organisme doit déterminer les connaissances nécessaires

Plus en détail

OFFRE MIX MARKETING : créateur de consommateurs. A l a&en)on de : Date de remise : Version : 3.0

OFFRE MIX MARKETING : créateur de consommateurs. A l a&en)on de : Date de remise : Version : 3.0 OFFRE MIX MARKETING : créateur de consommateurs A l a&en)on de : Date de remise : Version : 3.0 01 Créateur de consommateurs Générateur de leads Offre & Ou@ls Azimut Inbound & Outbound Marke@ng. Méthodologie.

Plus en détail

COMPÉTENCES ET PROFILS AVANCÉ DES SOINS INFIRMIERS pour améliorer les résultats d'accès et de santé

COMPÉTENCES ET PROFILS AVANCÉ DES SOINS INFIRMIERS pour améliorer les résultats d'accès et de santé COMPÉTENCES ET PROFILS AVANCÉ DES SOINS INFIRMIERS pour améliorer les résultats d'accès et de santé Granada, 4-6 de septiembre Susana Rodríguez Gómez Plan Integral de Cuidados. Servicio Andaluz de Salud

Plus en détail

Un début de contraction du marché de l emploi

Un début de contraction du marché de l emploi COMMUNIQUE DE PRESSE Baromètre RH AFDEL-Apollo Un début de contraction du marché de l emploi, le 28 novembre 2012 - L Association Française des Editeurs de Logiciels et Solutions Internet (AFDEL) et Apollo

Plus en détail

Présentation Level5. Editeur de Logiciels. «If it s not monitored, it s not in production» Theo Schlossnagle #velocityconf

Présentation Level5. Editeur de Logiciels. «If it s not monitored, it s not in production» Theo Schlossnagle #velocityconf Editeur de Logiciels Présentation Level5 «If it s not monitored, it s not in production» Theo Schlossnagle #velocityconf «If you can not measure it, you can not improve it» Lord Kelvin vous accompagne

Plus en détail

FRAUDE ET MOYENS DE PAIEMENT : QUELLE STRATÉGIE POUR LES E-COMMERÇANTS?

FRAUDE ET MOYENS DE PAIEMENT : QUELLE STRATÉGIE POUR LES E-COMMERÇANTS? PARTENAIRES : E-COMMERCE FRAUDE ET MOYENS DE PAIEMENT : QUELLE STRATÉGIE POUR LES E-COMMERÇANTS? PROGRAMME Première par e État des lieux de la fraude en ligne en Europe et en France > Quels sont les secteurs

Plus en détail

Intelligence Inventive

Intelligence Inventive Outils Communs de Diffusion de l'intelligence Economique Intelligence Inventive Evaluez la capacité d innovation de votre entreprise L intelligence inventive L intelligence inventive est la contribution

Plus en détail

Présenta)on DesignBuilder

Présenta)on DesignBuilder Présenta)on DesignBuilder Logiciel de Simula)on Thermique Dynamique des bâ)ments Ingénieurs, Architectes, Energé1ciens Présenta)on de Design Builder DesignBuilder est une interface graphique reposant sur

Plus en détail

SAUVER LA DISTRIBUTION!

SAUVER LA DISTRIBUTION! SAUVER LA DISTRIBUTION! Face au Cloud et à l explosion des usages innovants qu il permet dans tous les secteurs, les acteurs «canal historique» de la distribu=on et des services informa=ques se reposi=onnent

Plus en détail

INTRODUCTION. Master Management des Ressources Humaines de l IAE de Toulouse Page 1

INTRODUCTION. Master Management des Ressources Humaines de l IAE de Toulouse Page 1 LES FICHES OUTILS RESSOURCES HUMAINES L évaluation 360 Feed-back INTRODUCTION Aujourd hui les ressources humaines sont considérées par les entreprises comme un capital. La notion de «capital humain» illustre

Plus en détail

Jérémie Grodziski. Architecte Logiciel. Présenta2on Domaines et Compétences Contact Références Modes d interven2ons Exper2se Technologique

Jérémie Grodziski. Architecte Logiciel. Présenta2on Domaines et Compétences Contact Références Modes d interven2ons Exper2se Technologique Jérémie Grodziski Architecte Logiciel Présenta2on Domaines et Compétences Contact Références Modes d interven2ons Exper2se Technologique Janvier 2015, page 1 sur 16 Présentation Jérémie Grodziski possède

Plus en détail

DÉPLOIEMENT 4G ET FIBRE : PREMIER BILAN ET PERSPECTIVES

DÉPLOIEMENT 4G ET FIBRE : PREMIER BILAN ET PERSPECTIVES partenaires télécom et mobilité : DÉPLOIEMENT 4G ET FIBRE : PREMIER BILAN ET PERSPECTIVES PROGRAMME Ce début d année 2014 marque notre rendez-vous annuel autour du très haut débit. La 4G est à la fois

Plus en détail

LES MATINÉES DE L IMMOBILIER. Valeur d usage, l immobilier un puissant vecteur de valeur ajoutée. Daniel Rousselot / SEMAPA

LES MATINÉES DE L IMMOBILIER. Valeur d usage, l immobilier un puissant vecteur de valeur ajoutée. Daniel Rousselot / SEMAPA LES MATINÉES DE L IMMOBILIER Valeur d usage, l immobilier un puissant vecteur de valeur ajoutée Daniel Rousselot / SEMAPA 22 octobre 2013 Les Matinées de l Immobilier 22/10/13 SFL Programme «Valeur d usage,

Plus en détail

Version Février 2014

Version Février 2014 Version Février 2014 Qui sommes-nous? Un think tank opéra,onnel et pragma,que qui débat et défend ses convic'ons autour des réalités du management des hommes dans l'entreprise. Un réseau ac,vement solidaire

Plus en détail

Ruptures rêvées et changements réels : nouvelles mobilités et systèmes automobiles

Ruptures rêvées et changements réels : nouvelles mobilités et systèmes automobiles Ruptures rêvées et changements réels : nouvelles mobilités et systèmes automobiles Préalable Une vieille maro/e pour moi : Thèse + papier de 99 sur «le statut de la rupture» «Rela>viser le statut de la

Plus en détail

Etude Afci Andrh Inergie sur la communication managériale (3 ème édition)

Etude Afci Andrh Inergie sur la communication managériale (3 ème édition) Etude Afci Andrh Inergie sur la communication managériale (3 ème édition) L appropriation de la stratégie et sa démultiplication par les managers Juillet 2011 Contact Inergie Luc Vidal DGA Directeur associé

Plus en détail

Stage Ini*ateur Club Comité Départemental 54 Nancy 11 et 12 octobre 2014. Les responsabilités des encadrants

Stage Ini*ateur Club Comité Départemental 54 Nancy 11 et 12 octobre 2014. Les responsabilités des encadrants Stage Ini*ateur Club Comité Départemental 54 Nancy 11 et 12 octobre 2014 Les responsabilités des encadrants Introduc)on De par ses préroga*ves et ses fonc*ons, l ini*ateur a des responsabilités et des

Plus en détail

BENCHMARK CONCURRENTIEL PERMANENT : PRIX, CONDITIONS, PROMOTIONS, INNOVATIONS

BENCHMARK CONCURRENTIEL PERMANENT : PRIX, CONDITIONS, PROMOTIONS, INNOVATIONS PARTENAIRES E-COMMERCE BENCHMARK CONCURRENTIEL PERMANENT : PRIX, CONDITIONS, PROMOTIONS, INNOVATIONS PROGRAMME Alors que le taux d équipement d appareils numériques explose, les consommateurs passent de

Plus en détail

LE 1 er BAROMETRE ANNUEL DES ETUDES DE MARCHE (FRANCE) - Résultats 2012. Une ini5a5ve. avec le sou5en de

LE 1 er BAROMETRE ANNUEL DES ETUDES DE MARCHE (FRANCE) - Résultats 2012. Une ini5a5ve. avec le sou5en de LE 1 er BAROMETRE ANNUEL DES ETUDES DE MARCHE (FRANCE) - Résultats 2012 Une ini5a5ve / avec le sou5en de - Comment est orienté le budget «études marke5ng» des annonceurs pour 2012? - Quels sont les réarbitrages

Plus en détail

Focus: Les projets pour le renforcement des compétences

Focus: Les projets pour le renforcement des compétences Focus: Les projets pour le renforcement des compétences Delphine Richard, Chargée de mission projets interna7onaux, Agrocampus Ouest Radhouane Gdoura, Coordinateur du projet Tempus Développement de partenariats

Plus en détail

PORTFOLIO MANAGEMENT SECTOR INSIGHT. Get Moving on Your Immovables! Workspace 2.0

PORTFOLIO MANAGEMENT SECTOR INSIGHT. Get Moving on Your Immovables! Workspace 2.0 PORTFOLIO MANAGEMENT SECTOR INSIGHT Get Moving on Your Immovables! Workspace 2.0 GET MOVING ON YOUR IMMOVABLES! Workspace 2.0: From Pilot to Poten?al The real property porcolio is one of the largest organiza?onal

Plus en détail

Voici les condions d'inscripon au concours interne de l'agrégaon

Voici les condions d'inscripon au concours interne de l'agrégaon 1 sur 5 26/05/2014 16:53 Bonjour, Pour informaon Suite à différentes demandes de futurs candidats aux agrégaons internes, la Division des Exmens et Concours - DEC gesonnaire : anne-marie.foraison@ac-grenoble.fr

Plus en détail

Simplifiez la ges-on de votre parc informa-que

Simplifiez la ges-on de votre parc informa-que Simplifiez la ges-on de votre parc informa-que Qui sommes nous? Société créé en 2000, présente en France depuis 2008 Présence interna6onale sur 23 pays, 450 employés Croissance globale de 20% YTD 6500

Plus en détail

Consultants, trouvez de nouveaux marchés grâce aux médias sociaux animé par Valérie March au Salon des micro- entreprises 2012

Consultants, trouvez de nouveaux marchés grâce aux médias sociaux animé par Valérie March au Salon des micro- entreprises 2012 Consultants, trouvez de nouveaux marchés grâce aux médias sociaux animé par Valérie March au Salon des micro- entreprises 2012 Conseils pra,ques et ou,ls pour Prospecter plus efficacement Faire connaître

Plus en détail

Baromètre Direct Assurance des cyberconsommateurs

Baromètre Direct Assurance des cyberconsommateurs Avril 2013 DIRECT ASSURANCE Baromètre Direct Assurance des cyberconsommateurs 3 ème vague Paris Toronto Shanghaï Buenos Aires Connection creates value Méthodologie Échan0llon Pour ce(e étude, un échan0llon

Plus en détail

25 e. convention nationale de L INTERCOMMUNALITÉ

25 e. convention nationale de L INTERCOMMUNALITÉ 25 e convention nationale de L INTERCOMMUNALITÉ FORUM NOUVEAUX ELUS Comprendre l intercommunalité et les enjeux du mandat 2014-2020 JEUDI 9 OCT. 2014 Président de séance : Jo Spiegel, vice-président de

Plus en détail

GESTION DE CONTENUS (ECM) Ges1on de l informa1on. Nicolas Bürki, Senior Analyst

GESTION DE CONTENUS (ECM) Ges1on de l informa1on. Nicolas Bürki, Senior Analyst GESTION DE CONTENUS (ECM) Ges1on de l informa1on Nicolas Bürki, Senior Analyst AGENDA Entreprises: les tendances & les projets Les offres ECM / GED : les tendances du marche La réalité / retour d expérience

Plus en détail

Ressources Humaines Enjeux et Stratégie dans un contexte international

Ressources Humaines Enjeux et Stratégie dans un contexte international Ressources Humaines Enjeux et Stratégie dans un contexte international 1 LES ENJEUX DE LA FONCTION R.H. Environnement : La mondialisation L accélération des changements L incontournable performance Le

Plus en détail

Service de Messagerie Enseignement et Recherche

Service de Messagerie Enseignement et Recherche Service de Messagerie Enseignement et Recherche ESUP Days Juillet 2013 Didier Benza RENATER Jean-François Guezou RENATER Agenda Présenta)on du service Point d étape et consulta)on Modèle économique Sécurité

Plus en détail

Rapport Annuel 2013 Rapport Annuel 2013

Rapport Annuel 2013 Rapport Annuel 2013 Rapport Annuel 2013 Rapport Annuel 2013 logo SEAD texte.png.lnk Assemblée Générale du 24 juin 2014 Sauvegarde de l Enfance et de l Adolescence de la Drôme 7/9 rue Lesage - 26000 VALENCE 04 75 82 19 00-04

Plus en détail

LES RÉSEAUX PROFESSIONNELS COMME FACTEUR DE REUSSITE PARADOXES ET DIVERGENCES

LES RÉSEAUX PROFESSIONNELS COMME FACTEUR DE REUSSITE PARADOXES ET DIVERGENCES UNE 1. ENQUÊTE LES PARADOXES HEC AU FÉMININ / DU IPSOS RÉSEAU / BCG PROFESSIONNEL LES RÉSEAUX PROFESSIONNELS COMME FACTEUR DE REUSSITE PARADOXES ET DIVERGENCES 1 DE L AUDACE! ÉDITION 2015 DU PRIX TRAJECTOIRES

Plus en détail

Sites Internet : les. tendances. Jeudi 30 janvier 2014 Bordeaux L AGENCE CONNECTÉE À L ENTREPRISE

Sites Internet : les. tendances. Jeudi 30 janvier 2014 Bordeaux L AGENCE CONNECTÉE À L ENTREPRISE Sites Internet : les tendances pour 2014 Jeudi 30 janvier 2014 Bordeaux L AGENCE CONNECTÉE À L ENTREPRISE Inaa$v, une agence de communica$on avec des spécificités CONSEiL EN COMMUNICATION FoRmatiOns WEBMARKETING

Plus en détail

Coopération Textile dans la Zone EuroMed

Coopération Textile dans la Zone EuroMed Conférence de clôture du projet TEMP Coopération Textile dans la Zone EuroMed Jeudi 4 Octobre, TEXMED 2012 Parc des Exposi

Plus en détail

Améliorez et industrialisez vos feedback produit

Améliorez et industrialisez vos feedback produit Améliorez et industrialisez vos feedback produit Jean- Philippe Gillibert, architecte logiciel et coach agile chez Introduc)on Retour d expérience sur un projet à la SNCF Méthode originale de traitement

Plus en détail

Le centre d exper,se régional Grand Sud- Ouest Data Center

Le centre d exper,se régional Grand Sud- Ouest Data Center Le centre d exper,se régional Grand Sud- Ouest Data Center F. Paletou & J.- M. Glorian et al. Université de Toulouse, UPS- OMP & CNRS, IRAP ov- gso.irap.omp.eu Généralités Services de référence Fonc,onnement

Plus en détail

Architecture matériel et logiciel 2

Architecture matériel et logiciel 2 Architecture matériel et logiciel 2 Architectures Venera Arnaoudova Concep8on architecturale 1. Introduc8on 2. Modéliser l architecture avec UML 3. Éléments architecturaux 4. Styles architecturaux 1. Architecture

Plus en détail