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1 DIAGNOSTIC DEPARTEMENTAL DYNAMIQUE POUR LA MISE EN ŒUVRE D UNE GESTION PREVISIONNELLE DE L EMPLOI ET DES COMPETENCES TERRITORIALES (GPECT) SECTEURS INDUSTRIES ET SERVICES DANS LE VAL D OISE VOLUME 2 : Diagnostic détaillé Juillet 2013 Siège Social 13 rue Martin Bernard PARIS Tél : Fax : SEMAPHORES, une société du Groupe ALPHA

2 Présentation générale Sous l impulsion de l Etat et des partenaires sociaux, les acteurs cicontre ont confié au cabinet Sémaphores la réalisation d un diagnostic départemental à l échelle du Val d Oise, initiant la mise en œuvre d une démarche de GPEC T pour les secteurs industries et services. Ce rapport en 2 volumes rassemble les principaux éléments d analyse ressortant de la mission. Un premier volume présente la synthèse du diagnostic, la cartographie des acteurs et dispositifs existants sur le territoire du Val d Oise, les enjeux sectoriels et territoriaux, ainsi que les axes de travail pour la mise en œuvre de la GPEC T souhaitée. Un second volume présente le diagnostic détaillé réalisé. DIRECCTE Ile de France - Unité territoriale du Val d Oise 2

3 Rappel du déroulement de la mission PHASE 1 PHASE 2 PHASE 3 Réunion de lancement, 23 novembre Production d un diagnostic socioéconomique industries et services Animation de groupe de travail autour de thématiques sectorielles et prospectives clés Coconstruction des pistes d action Production de propositions d axes de travail et pistes d action Présentation en COPIL Présentation en COPIL Présentation et validation en COPIL Présentation de l ensemble des travaux en Préfecture, les 25 et 28 juin 3

4 Sommaire Structure, géographie et situation de l emploi et de la formation sur le Val d Oise p.11 Rencontres entre l offre et la demande d emplois sur le Val d Oise p.20 Dynamiques sectorielles industries, services, construction et grands projets Quelques focus territoriaux : spécialisation territoriale et enjeux emploi-formation Annexe 1 : acteurs rencontrés Annexe 2 : R&D dans le Val d Oise Annexe 3 : mode de lecture d une matrice de spécialisation p.37 p.79 p.99 4

5 Structure, géographie et situation de l emploi et de la formation sur le Val d Oise 5

6 Les entreprises et salariés du Val d Oise, principalement dans les services, mais un secteur industriel qui reste prégnant 6

7 Une structure d emploi par grande fonction exercée qui se détache des moyennes régionales constatées L INSEE propose des données regroupant les individus en grande fonctions de métiers pratiqués par les actifs (quel que soit leur secteur d appartenance) Fonction métropolitaines: commerce interentreprise, administration publique, culture et loisirs, gestion Fonctions présentielles: administration publique, distribution, éducation formation, santé action sociale, services de proximité Fonctions de production: entretien réparation, fabrication, agriculture Fonctions transversales: transport et logistique, entretien, réparation Les fonctions métropolitaines et les cadres des fonctions métropolitaines sont sousreprésentés sur le Val d Oise en comparaison de la moyenne régionale Ile de France Quatre grandes France hors France fonctions IDF IDF Val d'oise Fonctions métropolitaines 25% 22% 38% 25% Fonctions présentielles 41% 41% 38% 38% Fonctions de production 19% 21% 11% 12% Fonctions transversales 15% 16% 13% 24% Total 100% 100% 100% 100% Cadre des fonctions France hors France métropolitaines 2009 IDF IDF Val d'oise Commerce interentreprises Conception, Recherche Culture, Loisirs Gestion Prestations Intellectuelles Total France France hors IDF IDF Val d'oise Taux de CFM dans emploi total % 7% 20% 9% Commerce interentreprises 32% 25% 47% 36% Conception, Recherche 72% 64% 85% 74% Culture, Loisirs 50% 44% 58% 47% Gestion 29% 24% 40% 28% Prestations Intellectuelles 48% 41% 60% 38% Total 38% 32% 51% 37% Source : recensement Insee 2009 traitement Sémaphores 7

8 Des territoires spécialisés d un point de vue fonctionnel Comme l indique la carte présentée, les principales aires d activité économique du territoire, en volume d emploi, sont les territoires de Roissy-Porte de France, Cergy-Pontoise, Argenteuil-Bezons, Le Parisis suivis du Val de France, de la Vallée de Montmorency. Le territoire est marqué par l importance des fonctions présentielles (administration publique, éducation, santé, distribution, services de proximité) et transversales (entretien réparation, transport et logistique). Le territoire de Roissy-porte de France et du Val de France se distinguent par l importance des fonctions transversales liées au transport aérien et à la logistique. Sur le territoire de Cergy-Pontoise, les activités productives sont tirées par les activités de fabrication qui représentent 65% des emplois de la fonction, suivi du BTP qui en représente 34%, l agriculture en représentant 1%. Les activités transversales sont elles dominées par les activités liées à la logistique et aux transports (58% du total). Concernant les fonctions métropolitaines, les fonctions de gestion représentent près de 50% de l emploi, suivi du commerce interentreprises qui en représente près de 18%. Les prestations intellectuelles comptent pour 12% de l emploi dans la fonction. Il est intéressant de noter le relatif équilibre entre les fonctions productives et les fonctions transversales à Cergy- Pontoise ( emplois contre en transversal), au Parisis (6 300 contre emplois dans les fonctions transversales), à Argenteuil- Bezons. Au Parisis, les fonctions métropolitaines sont marquées par la prédominance des fonctions de gestion (50%), devant le commerce interentreprises (19,5%) et les prestations intellectuelles (12%). 8

9 L innovation en panne : les effectifs en conception-recherche stagnent depuis 10 ans Les activités de conception-recherche dans le département sont liées aux industries aéronautiques, automobiles, mais également aux domaines de l électronique et de la sécurité. Fortement concentrés autour de Cergy- Pontoise, les effectifs travaillant dans les fonctions de conception-recherche sont stable sur les 10 dernières années, sauf : à Argenteuil-Bezons, le territoire gagnant 10% d effectifs supplémentaires en conception-recherche sur la période, et Roissy Porte de France où on note une croissance de 22% des effectifs en conception-recherche. Les effectifs ont également tendance à ce concentrer autour de pôles existants, et à décroître dans les zones qui étaient déjà peu pourvues en fonction de conception et de recherche. Ainsi le Haut Val d Oise perd en 10 ans près de la moitié de ses effectifs dans la fonction. Cf. également annexe. Effectifs en conception recherche Variation (nb) % ARGENTEUIL-BEZONS CERGY PONTOISE HAUT VAL D'OISE L'OUEST DE LA PLAINE DE FRANCE PARISIS ROISSY PORTE DE France VAL DE France VAL ET FORET VALLEE DE L'OISE et des IMPRESSIONNISTES VALLEE DE MONTMORENCY (vide) Total général Données CLAP , traitement Sémaphores 9

10 Comme sur de nombreux territoires franciliens, une part significative des emplois sont occupés par des salariés habitant à l extérieur du territoire En 2010 et dans de mêmes proportions que 10 ans auparavant, environ 50% des actifs résidant sur Val d Oise exerçaient un emploi en dehors du département En 2010, plus de la moitié des cadres, 41% des ouvriers et 34% des employés travaillant dans le Val d Oise ne résidaient ainsi pas sur le territoire a Pourcentage de personnes travaillant dans le Val d'oise mais résidant hors du Val d'oise Pourcentage de personnes travaillant et résidant dans le Val d'oise Cadres Employés Ouvriers Professions intermédiaires Autres 54,4 34,2 41,4 40,9 23,0 45,6 65,8 58,6 59,1 77,0 Données Insee, traitement Sémaphores 10

11 L emploi connait jusqu en 2007 une forte croissance sur le département du Val d Oise, à un rythme plus soutenu qu en Ile de France et en France Secteurs Variation en 20 ans Ce qui a été perdu / crise Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale Transports et entreposage Commerce ; réparation d'automobiles et de motocycles Activités scientifiques et techniques ; services administratifs et de soutien Construction Fabrication d'autres produits industriels Hébergement et restauration Information et communication Fabrication d'équipements électriques, électroniques, informatiques ; fabrication de machines Total Source : insee 2012, emploi au lieu de travail

12 Rencontres entre l offre et la demande d emploi sur le Val d Oise 12

13 Un taux de chômage désormais proche de la moyenne nationale A fin 2012, le Val d Oise compte un taux de chômage proche de la moyenne nationale et supérieur de plus d un point à la moyenne régionale. Au début des années 2000, le taux de chômage constaté dans le Val d Oise est pourtant légèrement plus favorable qu en moyenne nationale, et globalement comparable à celui de l Ile de France. Les années 2000 sont celles d un décrochage entre taux de chômage des habitants du Val d Oise et taux de chômage francilien. Ce décrochage constaté en 2005 se retrouve ensuite jusqu en Les demandeurs d emploi bénéficient moins vite de la sortie (provisoire) de crise au milieu des années 2000, et sont plus fortement impactés à partir de Cette croissance constatée est cependant hétérogène suivant les territoires du Val d Oise. Entre mars 2012 et mars 2103, ce nombre de DEFM augmente de 13% dans les arrondissements d Argenteuil et de Pontoise mais la progression est contenue à +6% sur celui de Sarcelles (et Montmorency) DEFM par Arrondissement (Cat A - Données brutes) DEFM Cat A - données brutes du Val d'oise par Arrondissement DEFM Totale T T T T T T T T T1 Arrdt Argenteuil Arrdt Pontoise Arrdt Sarcelles Poids des arrondissements Population active ans Argenteuil : Pontoise : Sarcelles : Nb : En 2012 DEFM jeunes: +10%, DEFM seniors : +16% Sources : Pôle Emploi, Direccte SESE et UT95 Périodicité de mise à jour : trimestrielle + environ 30 jours Source : DIRECCTE Edition Juin 2013 de la situation de l emploi. Nb : le document DIRECCTE donne également accès à une lecture pour quelques villes 13

14 Un taux de chômage désormais proche de la moyenne nationale DEFM Totale - Arrondissement Pontoise Données quelques villes DEFM Totale DEFM Totale - Arrondissement Argenteuil Données quelques villes DEFM Totale Quelques villes DEFM Cat A Cergy Fin Mars Fin Mars Evolution sur un an 616 Quelques villes DEFM Cat A Fin Mars 2012 Fin Mars 2013 Evolution sur un an Eaubonne Eragny Ermont Argenteuil Bezons Franconville Jouy le Moutier Persan Cormeilles en P. Herblay Pontoise Saint Ouen l'aune Taverny La Frette sur Seine Montigny Les C Vaureal Sannois Global Arrondissement Global Arrondissement en bleu : Ville ayant des ZUS Sources : Pôle Emploi, Direccte SESE et UT95, Cat A Données Brutes Soit : % 7 Périodicité de mise à jour : trimestrielle + environ 30 jours en bleu : Ville ayant des ZUS Sources : Pôle Emploi, Direccte SESE et UT95, Cat A données brutes Soit : % 6 Périodicité de mise à jour : trimestrielle + environ 30 jours DEFM Totale - Arrondissement Sarcelles Données Est Val d Oise Quelques villes Fin Mars 2012 DEFM Cat A Fin Mars 2013 DEFM Totale Evolution sur un an DEFM Totale - Arrondissement Sarcelles Données Vallée de Montmorency DEFM Totale Arnouville Quelques villes DEFM Cat A Fin Mars 2012 Fin Mars 2013 Evolution sur un an Garges lès Gonesse Enghien Les bains Gonesse Montmorency Villiers le Bel Sarcelles Domont Saint Brice Ezanville Saint Gratien Montmagny Deuil la Barre Soisy sous Montmorency Ecouen Louvres Puiseux en F Luzarches Viarmes Goussainville Montsoult Fosses en bleu : Ville ayant des ZUS - en blanc : Ville avec quartiers prio. Sources : Pôle Emploi, Direccte SESE et UT95, Cat A Données Brutes Périodicité de mise à jour : trimestrielle + environ 30 jours 8 Global Arrondissement Sources : Pôle Emploi, Direccte SESE et UT95, Cat A Données Brutes Soit : % 9 Périodicité de mise à jour : trimestrielle + environ 30 jours Source : DIRECCTE Edition Juin 2013 de la situation de l emploi 14

15 Une situation de demandeur d emploi qui tend à s allonger et qui concerne plus particulièrement les publics seniors Entre avril 2010 et avril 2013, la croissance des DEFM senior est marquée (+46% sur 3 ans, dont +16% sur un an) Sur cette même période également, le nombre de DEFM de longue durée a augmenté de plus de 8400 (ils sont ); les DEFM de très longue durée a augmenté de 3600 individus (ils sont 9572) Concernant la croissance des DEFM de moins de 25 ans, la progression constatée sur le département est moindre qu en moyenne nationale. Cette situation concerne environ 1100 individus supplémentaires à la fin de la période (ils sont 10350) Val d Oise Seniors (50 ans et plus) (CVS) avr-10 oct-10 avr-11 Variation mensuelle de la DEFM Seniors - Cat A cvs avr mai-12 Val d'oise Cat A - données CVS 420 oct juin-12 juil-12 août-12 sept-12 oct-12 nov-12 avr-12 déc janv oct-12 févr % France % IDF % mars avr-13 avr DEFM Seniors Cat A Evolution sur un an +17.4% +16.8% +16.3% Fr IdF VO Sources : Pôle Emploi, Direccte SESE et UT95 Périodicité de mise à jour : mensuelle + 30 jours Val d Oise Demandeurs d emploi de longue durée) (CVS) avr-10 oct-10 avr-11 Val d'oise Cat ABC - données CVS oct-11 Variation mensuelle de la DEFM DELD - Cat ABC cvs avr oct-12 France % IDF % % avr DEFM DELD Cat ABC Evolution sur un an % % % Fr IdF VO Val d Oise Jeunes de de 25 ans (CVS) avr-10 oct-10 avr-11 Val d'oise Cat A - Données CVS oct-11 Variation mensuelle de la DEFM Jeunes - Cat A cvs avr oct France % IDF % % avr DEFM Jeunes Cat A Evolution sur un an % % % Fr IdF VO avr-12 mai-12 juin-12 juil-12 Sources : Pôle Emploi, Direccte SESE et UT95 août-12 sept-12 oct-12 nov-12 déc-12 janv-13 févr-13 mars-13 avr Périodicité de mise à jour : mensuelle + 30 jours avr- mai- juin- juil Sources : Pôle Emploi, Direccte SESE et UT95 août- sept oct- 12 nov- 12 déc- 12 janv- févr- ma avr rs Périodicité de mise à jour : mensuelle + 30 jours Source : DIRECCTE Edition Juin 2013 de la situation de l emploi 15

16 Un volume d offres d emploi en diminution Depuis avril 2008, le nombre d offres collectées par Pôle emploi diminue nettement. En avril 2012, Pôle emploi disposait d environ 2900 offres d emploi collectées sur le Val d Oise (données brutes). Ce nombre est en équivalent à 2011 mais inférieur d environ 1000 offres par rapport à En avril 2013, Pôle emploi collectait 2400 offres seulement; Cette diminution concerne les offres durables (supérieures ou égales à 6 mois) comme les offres non durables (inférieures à 6 mois). Cette dernière année cependant, entre avril 2012 et avril 2013, le nombre d offres durables collectées est stable tandis que le nombre d offre non durable est en diminution. In fine, sur un an, le nombre d offres durables collectées étaient supérieur d un tiers au nombre d offre non durables. Notons également que depuis 2009, le nombre de contrats temporaires conclus tend à décroitre, tandis que le nombre d heures de travail temporaire connait la tendance inverse. Val d Oise Offres et Flux à Pôle Emploi Sources : Pôle Emploi, Direccte SESE et UT95 Val d'oise Offres collectées par Pôle Emploi Ensemble des offres dont emplois durables >= 6 mois Pôle Emploi Offres-Flux avr.-08 avr.-12 avr.-13 dont emploi non durables < 6 mois Périodicité de mise à jour : mensuelle + 30 jours Travail temporaire Nombre de contrats conclus Evolution du nombre d'heures d'intérim dans le Val d'oise mars mars mars déc déc déc déc déc mars-11 juin-11 sept-11 déc-11 mars-12 juin-12 sept-12 déc-12 mars déc.-08 mars-09 juin-09 sept.-09 déc.-09 mars-10 juin-10 sept.-10 déc.-10 mars-11 juin-11 sept.-11 déc.-11 mars-12 juin-12 sept.-12 déc.-12 Source : DIRECCTE Edition Juin 2013 de la situation de l emploi 16

17 Un recours à l intérim qui varie en fonction de la conjoncture économique et du secteur concerné L analyse du recours à l intérim parmi les 20 activités ayant le plus d ETP intérimaires en 2012 permet de constater que les entreprises du transport entreposage, de service administratif, d hébergement et restauration ainsi que de construction, ont fortement diminué leur volume d emploi sur ce type de contrat. Entre février 2011 et février 2012, le recours à l intérim est globalement en hausse pour ces 20 activités, mais cette tendance masque des comportements différenciés suivant les secteurs. Notamment, transport entreposage, et hébergement restauration continuent de moins faire appel à ce type de contrat. Evolution des 20 activités ayant le plus d'etp en 2012 Moyen terme Court terme Court terme // Moyen terme Source DARES/Pôle Emploi (A38 - Données Brutes) Delta Delta A38 Libellé Libellé court févr-08 févr-09 févr-10 févr-11 févr Evolution notable HZ Transports et entreposage Transpt NZ Activités de services administratifs et de soutien Admin IZ Hébergement et restauration Hotel Rest FZ Construction Constr CG Fab. prdts en caoutc. & plastiq. & aut. prdts minéraux non métal. Caoutc Plast GZ3 Comm. détail, sf automobiles et motocycles Comm détail CH Métallurgie & fab. de prdts métalliques sauf machines & équipmnts CI Fabrication de produits informatiques, électroniques et optiques CK Fabrication de machines et équipements n.c.a MA Act. juri., compta., de gest., archi., ingé., ctrle & anal. tech CM Autres ind. manuf. ; répar. & install. de machines et d'équipmnts KZ Activités financières et d'assurance GZ2 Commerce de gros, à l'exception des automobiles et des motocycles EZ Prod. & distrib. eau assainisst, gestion déchets & dépollution GZ1 Commerce et réparation d'automobiles et de motocycles CA Fabric. denrées alimentaires, boissons et prdts à base de tabac Alim Boiss CE Industrie chimique Ind Chim PZ Enseignement Enseignt CL Fabrication de matériels de transport Mat transport JC Activités informatiques et services d'information Informatiq TOTAL

18 Des suppressions d emploi qui concernent l industrie et le commerce notamment L industrie est le principal destructeur d emploi via PSE sur le territoire en 2012, la part des suppressions d emploi gagnant 10 points entre 2011 et 2012, constituant ainsi à la fin de l année près d un tiers des suppressions d emploi. Le commerce est également fortement impacté, la part de ses suppressions d emplois via PSE dans le total passant de 9 à 23% en un an. On note un ralentissement de la destruction d emploi dans le domaine du transport entreposage, qui représente 7% des suppressions d emploi à fin 2012 contre 20 en L année 2013 marque un regain du recours au PSE (735 en mai), précédemment en diminution entre 2011 et 2012 Répartition des suppressions d emploi par secteur d activité Transport, entrepos % Santé... Action soc % PSE 2011 du Val d'oise Postes supprimés Activ. Services adm % Ind. Manuf % Source : Direccte IdF - UT postes supprimés Activ. Spéc, scient Commerce, 3% rep auto 114 9% Construction 74 6% Enseignement 16 1% Hébergt, restaur. 13 1% Santé... Action soc. 48 7% Ind. Manuf % Hébergt, restaur. 21 3% PSE 2012 du Val d'oise Postes supprimés Transport, entrepos. 52 7% Enseignement 25 4% Activ. Services adm % Autres services 12 2% Entreprises postes supprimés Activ. Spéc, scient % Commerce, rep auto % Construction 34 5% Répartition des suppressions d emploi par secteur d activité Transport, entrepos % Santé... Action soc. 31 4% PSE 2013 du Val d'oise Postes supprimés Activ. Services adm % Ind. Manuf % Commerce, rep auto % Construction 79 10% Entreprises NAF rév. 2, Niveau 1 - Liste des sections Périodicité de mise à jour : mensuelle + 30 jours Source : Direccte IdF - UT95 NAF rév. 2, Niveau 1 - Liste des sections Périodicité de mise à jour : mensuelle + 30 jours Source : DIRECCTE Edition Juin 2013 de la situation de l emploi 18

19 Dynamiques sectorielles - lecture d ensemble - secteurs de l industrie - services aux entreprises et aux personnes - grands projets et secteur de la construction 19

20 Dynamiques sectorielles lecture d ensemble 20

21 Le Val d Oise est marqué des profils territoriaux bien distincts et des degrés de spécialisation variés selon les territoires Quelques grandes tendances se retrouvent sur l ensemble du département : Le département se démarque par l importance et la croissance rapide des emplois liées au transport et à l entreposage, lié d une part au développement de l aéroport de Roissy CDG et d autre part à celui des activités liées au transport terrestres. Les secteurs du commerce et de la construction sont des secteurs porteurs, représentant une part importante des emplois et une croissance relativement forte ; dans le cas de la construction, c est notamment le cas au sein des EPCI d Argenteuil-Bezons, du Parisis et du Val de France. Les activités scientifiques et techniques, services administratifs et de soutien représentent un poste majeur d emplois dans l ensemble des territoires infra-départementaux, mais elles n en sont pas une spécificité par rapport à l'ile-de-france. Les activités de fabrication de produits industriels, qui constitue une spécificité départementale, est en déclin mais permet encore au territoire de se démarquer, montrant l existence d une compétence spécifique. L analyse du degré de spécialisation des différents EPCI fait ressortir des profils territoriaux bien distincts, avec des spécialisations variées selon les territoires : Les EPCI de Cergy-Pontoise et d Argenteuil-Bezons se distinguent par leur spécialisation dans les activités de fabrication, d équipements électroniques et électriques, de matériels de transport ou d autres produits industriels. Cergy-Pontoise est également le seul EPCI du Val d Oise où le poids du secteur des activités scientifiques et techniques se situe dans la moyenne francilienne ; l EPCI d Argenteuil-Bezons présente quand à lui une forte spécialisation dans les activités d information et de communication, du fait de l installation d ATOS. L EPCI de Roissy Porte de France présente un profil unique, avec une spécialisation extrêmement forte dans les activités de transport et d entreposage un secteur d activité qui y a par ailleurs connu une croissance extrêmement rapide entre 2005 et Dans le Val de France, outre la construction, le secteur de l administration publique, de l enseignement, de la santé et de l action sociale est le plus porteur, pesant deux fois plus que la moyenne en Ile-de-France et ayant connu une croissance de 10% sur la période Le Parisis est particulièrement marqué par l importance des activités liées aux commerce et la réparation d automobile et de motocycle, une spécificité de l EPCI. 21

22 Matrice de spécialisation L évolution de l emploi dans le Val d Oise comparé à la situation en Ile de France Source Pôle Emploi 2010 traitement Sémaphores 22

23 Cette spécialisation sectorielle est lisible sur les territoires infra départementaux Les activités liées au transport et à l entreposage sont majoritairement situées sur le territoire de Roissy porte de France, même si elles constituent, proportionnellement au volume d emploi local une part importante dans le Haut Val d Oise et dans le Plateau du Vexin. A noter que les activités sont alors différentes entre ces différents territoires, le premier étant marquées par les activités liées au transport aérien, alors que les deux autres sont plus largement spécialisés dans le transport routier de personnes et de marchandises. Les activités commerciales sont largement représentées sur le territoire du Parisis, où elles constituent, à égalité avec les activités liées à l administration ou la santé, le secteur prépondérant du territoire. On observe cependant une répartition importante de ces activités dans l emploi local au sein des différents territoires étudiés. La construction représente une part importante de l emploi dans le territoire de Pays de France (14%) tout comme en Val de France et au Parisis où elle avoisine les 10% de l emploi du territoire. Le secteur de l information et de la communication est quant à lui sur représenté sur le territoire d Argenteuil- Bezons (13%). Les activités scientifiques et techniques (parmi lesquelles figurent les activités liées à la sécurité) constituent une part importante de l emploi des différents territoires, et notamment dans les Trois vallées du Vexin, à Cergy Pontoise (14%) et à Argenteuil-Bezons (12%). Cependant, on relève sur le Val d Oise une baisse régulière des demandes de brevets, ce département ne compte pas parmi ceux participant le plus fortement à l effort de R&D au niveau régional : cet effort étant concentré sur 3 départements que sont les Hauts-de-Seine, les Yvelines (2/3 de la recherche privée) et Paris. Cf. annexes. 23

24 Dynamiques sectorielles secteurs de l industrie 24

25 Dans l industrie, et notamment les secteurs mécanique, mécatronique et électronique Les entretiens menés avec des entreprises et des organisations professionnelles ont permis de mettre en lumière un certain nombre d enjeux en termes d emploi et de formation dans les années à venir Les enjeux liés à l évolution des marchés et des attentes des donneurs d ordre : Des évolutions de marché importantes (baisse du marché automobile, hausse du marché aéronautique) impliquant la diversification des activités des entreprises du secteur de la mécanique et de la mécatronique, et un fort besoin d accompagnement : Accompagnement à la diversification impliquant une évolution des compétences au sein de l entreprise Accompagnement dans la conquête de nouveaux marchés, accompagnement au regroupement d entreprises, à l élaboration de nouvelles stratégies commerciales. Une mécanisation croissante de la production impliquant des réduction d emploi en fabrication 25

26 Dans l industrie, et notamment les secteurs mécanique, mécatronique et électronique Les entretiens menés avec des entreprises et des organisations professionnelles ont permis de mettre en lumière un certain nombre d enjeux en termes d emploi et de formation dans les années à venir Les enjeux liés à l évolution des marchés et des attentes des donneurs d ordre : Hausse du niveau de qualification demandé aux salariés de la mécanique et de la mécatronique, accompagnant d importantes évolutions métiers liées au développement des compétences électriques et électroniques. Développement des fonctions d étude et d ingénierie mobilisant des niveaux de qualification plus élevés. Besoins de transversalité entre filières (auto, aéro, autres industries ) en termes de compétences opérationnelles et capacité à développer des solutions mécaniques ou mécatroniques dans leur ensemble Capacité d imaginer le produit fini avec son dimensionnement automatisme/pilotage informatique/électronique 26

27 Dans l industrie, et notamment les secteurs mécanique, mécatronique et électronique Les conséquences en termes de formation et d accès à l emploi des salariés de la mécanique, de la mécatronique et de l électronique : Le besoin d une offre de formation «ouverte», transversale dans l approche des produits et des marchés (autour du Pôle mécatronique d Argenteuil-Bezons par exemple) Des difficultés de recrutement récurrente à anticiper, notamment auprès des jeunes La mécanique et la mécatronique souffrent d un déficit d image auprès des jeunes Actuellement le recrutement se fait avant tout en apprentissage, ce qui représente un investissement lourd, les techniciens n étant entièrement opérationnels qu au bout de trois à quatre ans.le recrutement des jeunes (recrutés à Bac +2) est jugé très complexe, en dépit de l avantage que représente la proximité de Cergy et de ses écoles d ingénieurs. Les métiers sont méconnus ou mal connus Les opportunités d emploi ne sont pas assez valorisées (impact négatif des réduction d emploi dans l automobile) 27

28 Dans l industrie, et notamment les secteurs mécanique, mécatronique et électronique Les offres d appui RH ne sont pas ailleurs pas ou peu connues ; l entrée des entreprises au sein des différents réseaux peut être facilitée. Peu de mobilisation des réseaux d entreprises, malgré présence de grands groupes. Des actions de sensibilisation sur les métiers sont mises en œuvre de façon ponctuelle avec certains acteurs institutionnels locaux : (exemples) Le Comité mécanique va mettre en œuvre une action de sensibilisation, en collaboration avec la MDE de Cergy, à destination des jeunes et des organismes chargés de l orientation et de l information des élèves, afin de les sensibiliser aux opportunités dans le secteur de la mécanique. L ANFA était en relation avec la MDE d Argenteuil-Bezons pour mettre en place des actions spécifiques à destination des entreprises du commerce et de la réparation automobile. 28

29 Les attentes des entreprises Dans l industrie, et notamment les secteurs mécanique, mécatronique et électronique Un accompagnement stratégique afin de pouvoir aborder de nouveaux marchés : Accompagnement commercial et positionnement marché, Accompagnement au regroupement d entreprises et mise en réseau des PME (speed-networking ) Identification des besoins en compétences et conséquences sur l emploi dans l entreprise Quelle place pour l innovation? Faciliter le recrutement : Rendre les métiers plus attractifs et informer sur les opportunités Bénéficier de nouvelles formes de recrutement : speed-meeting organisés par les MDE Disposer des compétences adéquates : Favoriser les échanges entre entreprises et centres de formation Développer les compétences transverses entre filières économiques Être accompagnées dans l anticipation de leurs besoins d emploi et de compétences, anticiper les besoins Être accompagnées pour formaliser des fiches de poste. 29

30 Filière automobile Le Val d Oise compte aujourd hui 49 établissements dédiés à la construction et la fabrication de véhicules et équipements automobiles (NAF 29), se positionnant ainsi au 4 ème rang au niveau de la région Ile de France. Avec près de emplois, le secteur compte pour 0,8% de l emploi sur le territoire. Le département se positionne également au 4 ème rang au niveau régional, derrière les Yvelines, les Hauts-de-Seine et la Seine et Marne. Répartition géographique : L EPCI de Cergy Pontoise concentre la grande majorité des emplois (62%) au niveau du département, devant le Parisis (21%) et le Val de Viosne (11%). Ces trois EPCI concentrent 2700 emplois. Le reste de l emploi en construction et fabrication de véhicule et d équipements automobile est disséminé sur le territoire, dans le Vexin, au sein de l EPCI de Val de France (2%) et de façon plus résiduelle à Argenteuil-Bezons (0,6%) et dans les Trois Vallées du Vexin (0,7%). En élargissant le spectre aux sous-traitants de rang 1 (NAF 29, 25, 22 industrie automobile, Fabrication de produits métalliques, à l'exception des machines et des équipements, Fabrication de produits en caoutchouc et en plastique), on constate une concentration équivalente des entreprises sous-traitantes de rang 1 autour des pôles de Cergy-Pontoise, du Parisis et du Val de France mais une répartition beaucoup plus homogène de l emploi dans le domaine de la fabrication de produits métalliques sur le territoire, notamment à: Argenteuil-Bezons (18% de l effectif du secteur), dans la Vallée de Montmorency (6% de l effectif), à Val et Forêt (4%) ou encore dans les Trois vallées du Vexin, le Val de France et Roissy Porte de France. Cela doit cependant être nuancé par le fait que les activités liées à ce secteur s adressent également aux filières aéronautique et à l armement. Le Val d Oise se caractérise également par une présence ancienne d un grand nombre d acteurs majeurs du secteur, comme Johnson control automotive, Valéo, Faurecia, Akebono ou encore Lear corporation seating France. Département Nb étab. % du nb total d'établ Effectifs % de l'effectifs Essonne Hauts-de-Seine Seine et Marne Seine-saint-denis Val de Marne Val d'oise Yvelines Total général Situation du secteur : le secteur automobile connaît actuellement d importantes difficultés, qui ont donné lieu à d importantes fermetures de sites ces dernières années ainsi qu en

31 Filière automobile détail de la répartition des emplois par secteur 31

32 Le secteur de l automobile : des mutations fortes en terme d emploi et de compétences à accompagner de façon spécifique L automobile connaît depuis 2005 de profondes mutations, dues à la forte baisse de la vente de véhicules neufs en France et aux changements technologiques (véhicule décarboné, électrique ). La construction automobile (NAF Z) connaît un déclin particulièrement fort dans le Val d Oise depuis ces 10 dernières années, qui sera encore renforcé après la fermeture des sites de PSA et Renault en région parisienne. Au-delà de l automobile en tant que tel (construction de véhicule, fabrication d équipements etc ), le secteur de la mécanique connaît un ralentissement fort de son activité, liée en large partie aux difficultés du secteur automobile. Les activités dites «amont» (NAF 2910 à 2932) souffrent plus que les activités «aval» mis à part le commerce de gros d équipements automobiles qui perd 22% de ses effectifs sur la période. établissements Effectifs Code NAF % % 2910Z Construction de véhicules automobiles Z Fabrication de carrosseries et remorques Z Fab. équipt électriq. & électron. auto Z Fabric. d'autres équipements automobiles A Entretien & répar. véhicule auto. léger B Entretien & répar. autre véhicule auto Z Commerce de gros d'équipement automobile Z Commerce de détail équipement automobile A Contrôle technique automobile L offre d emploi (données Pôle Emploi) : Au quatrième trimestre 2012, demandeurs d emploi inscrits à Pôle Emploi déclarent avoir pour projet de travailler dans le secteur de l Industrie (pas de données disponibles au niveau des activités liées à l automobile dans la base Pôle Emploi), alors que Pôle Emploi recense 7066 offres d emploi pour le secteur automobile (NAF C, G et M) dans le département : Demande d emploi : Offre d emploi : 7066 Ecart : postes. L offre de formation Une offre de formation existe et se développe dans le domaine des équipements électriques et de l électronique, lié à l automobile de façon non exclusive. Dans ce domaine, l offre de formation initiale, du niveau V au niveau III (CAP au DUT), est présente à Goussainville et sur les territoires d Argenteuil-Bezons, du Val de France et de Cergy-Pontoise. Dans le Haut Val d Oise, un centre AFPA (Bernes-sur-Oise) délivre des titres professionnels électricien d équipement. L offre de formation continue dans le domaine des spécialités de la mécanique-électricité est importante, 12 établissements proposant des formations notamment à Cergy-Pontoise (4), Roissy Porte de France (4) Argenteuil-Bezons (2), Val de France et Val et Forêt. L offre de formation continue dans le domaine de l électricité et de l électronique est composée d environ 5 établissements, situés en majorité à Cergy-Pontoise, au plus près des centres de compétences dans le domaine et des entreprises. L offre de formation initiale référencée par le Carif-Oref en matière de commerce et d entretien et réparation est également importante, 20 organismes proposant des formations dans le domaine du commerce de détail d équipements automobiles, de l entretien et de la réparation. Ces formations sont de niveau IV et V. Le recours à la VAE est possible dans la majorité des cas. A Argenteuil, le GARAC (CFA) propose de nombreuses formations de niveau CAP et Bac Pro dans le domaine de la mécanique, de l entretien et de la réparation (carrosserie, maintenance, peinture). A noter, le développement, depuis 2012, d une offre de formation de niveau Ingénieur en Maintenance de Véhicule au GARAC d Argenteuil. 32

33 Le secteur de l automobile (1/2) Un secteur en très forte mutation, du point de vue de l emploi et des compétences. Un enjeu spécifique identifié sur l aval de la filière automobile dans le Val d Oise. Les territoires prioritaires : Cergy-Pontoise, Argenteuil-Bezons, Vexin, Val de France. Dangers avérés et/ou points de vigilance Difficultés conjoncturelles liées à la fermeture des sites de PSA à Aulnay-sous- Bois et de Renault à Flins. Difficultés structurelles liées à la diminution forte (640%) depuis 2005, de la vente d automobiles en France. Les dispositifs de formation, de suivi ou d accompagnement existants sur le territoire. Charte nationale de coopération pour le soutien et l accompagnement des entreprises du secteur automobile et de leurs salariés (Etat, PSA, Renault, CCFA, FPA, les équipementiers automobile (FIEV), les branches professionnelles (UIMM, CNPA, Plasturgie, SNCP, UIT), les 5 organisations syndicales de salariés). Les chambres syndicales de la métallurgie en Ile de France proposent aux PME de la métallurgie et de l automobile un accompagnement spécifique en matière de GPEC : diagnosticemploi compétences, diffusions d offres et de demandes d emploi, formation des salariés, audit et conseil juridique et fiscal. GPEC destinée aux entreprises dont les activités correspondent à l amont de la filière (NAF 24 à ). Plan Filière automobile (PFA) : améliorer la compétitivité de la filière et les relations clients/fournisseurs. Il existe une déclinaison spécifique à l Ile de France. Réseau Automobilité et véhicules en Ile de France (RAVI) anciennement RAVY CCI Essonne, CCI Versailles Val d Oise Yvelines, CRCI Paris Ile de France, Pôle de compétitivité Mov éo. Les entreprises du secteur peuvent également être accompagnées dans le cadre des dispositifs inter-entreprises ou territoriaux existants. Existe-t-il des besoins en matière de suivi, d accompagnement, d anticipation des mutations? Identifier les entreprises sous-traitantes du département qui seront impactées par la fermeture des sites de PSA et Renault. Assurer la coordination des actions menées au sein du département en matière d accompagnement des PME et TPE de l amont de la filière automobile et de la métallurgie. Identifier et mettre en œuvre des actions à mener en direction des entreprises de l aval de la filière qui n est pas concernée par les mesures prioritaires du PFA ni de la charte nationale de coopération. Assurer la coordination entre les actions menées sur l amont et l aval de la filière automobile et métallurgique. 33

34 Le secteur de l automobile (2/2) Un secteur en très forte mutation, du point de vue de l emploi et des compétences. Un enjeu spécifique identifié sur l aval de la filière automobile dans le Val d Oise. Dangers avérés et/ou points de vigilance Les dispositifs de formation, de suivi ou d accompagnement existants sur le territoire. Les territoires prioritaires : Cergy-Pontoise, Argenteuil-Bezons, Vexin, Val de France. Existe-t-il des besoins en matière de suivi, d accompagnement, d anticipation des mutations? Évolution des compétences en lien avec le développement de l électronique embarquée, des systèmes de navigation et de l usage d équipements électriques et électroniques. En croissance continue en termes d établissements et d effectifs, ce domaine mérite une attention et un accompagnement renforcés. Maintien de l emploi et de l activité dans le domaine de l entretien et de la réparation, et évolution des compétences en parallèle de l utilisation des nouveaux matériaux et de l évolution de l électronique embarqué. En croissance continue en termes d établissements et d effectifs, ce domaine mérite une attention et un accompagnement renforcés. Une offre de formation existe et se développe dans le domaine des équipements électriques et de l électronique, lié à l automobile de façon non exclusive. Cette offre est détaillée en page suivante. Les entreprises de fabrication d équipements électriques (NAF ) sont concernées par le plan d action mis en œuvre dans le cadre de la Charte nationale de coopération pour le soutien et l accompagnement des entreprises du secteur automobile et de leurs salariés. Les entreprises du secteur peuvent potentiellement être accompagnées dans le cadre des dispositifs existants : -GPEC-T dans le Haut Val d Oise -GPEC-T sur le territoire du Val de France -Projet de GPEC-T sur le territoire de Cergy- Pontoise et du Parisis Faciliter le suivi lié aux questions d innovation et de développement des technologies (mise en réseau, développement des compétences, recrutement). Vérifier l adaptation de l offre de formation de niveau V à III aux besoins du secteur pour faciliter l emploi des jeunes dans les zones prioritaires. Accompagner les entreprises dans leur développement du point de vue stratégique et RH : proposer un accompagnement spécifique, coordonné avec les autres initiatives au niveau régional, afin de sécuriser le développement des entreprises du secteur. Pas de dispositif spécifique de suivi des entreprises relevant de ce secteur dans le département. Vérifier l adaptation de l offre de formation de niveau V à III aux besoins du secteur pour faciliter l emploi des jeunes dans les zones prioritaires. Accompagner les entreprises dans leur développement du point de vue stratégique et RH. Forte décroissance des activités liées au commerce de gros d équipements automobile. Les entreprises du secteur peuvent potentiellement être accompagnées dans le cadre des dispositifs existants : -GPEC-T dans le Haut Val d Oise Projet de GPEC-T sur le territoire de Cergy-Pontoise et du Parisis Identifier les possibilités de passerelles entre le commerce de gros et le commerce de détail d équipements automobile disposer d outils de veille permettant d anticiper et de suivre les défaillance dans le commerce de gros. Développer le partenariat avec l ANFA, les OPCA impliqués dans le secteur et les autres partenaires. 34

35 A propos du secteur aéronautique Les enjeux emploi-formation du secteur : Le secteur aéronautique va encore connaître une très forte croissance, d après la visibilité sur huit ans qu ont les donneurs d ordre du secteur, ce qui pourra donner lieu à d importants besoins de main d œuvre. Dans les petites entreprises, les besoins de formation dépassent souvent les capacités du plan de formation, les formations techniques aéronautiques étant des formations très spécifiques et coûteuses, et difficilement enseignées au sein des formations initiales. Cela donne lieu au développement de formations internes ou à un passage par l intérim pour recruter des apprentis. Le CFA aéronautique francilien (Essonne) est méconnu par les entreprises du département, même par les plus importantes. Le recrutement au niveau Bac +2 et plus se fait notamment au sein de la Licence professionnelle de l IUT d Argenteuil, qui donne satisfaction aux employeurs. Les implications pour la démarche de GPECT : Une réflexion devra être animée sur les besoins en formation au regard du profil de recrutement des entreprises du secteur. La connaissance qu ont les entreprises des dispositifs de formation de type CFA doit être améliorée ; la complémentarité des offres de formation dans l aéronautique du CFA et de l IUT doit par ailleurs être assurée. Les réseaux RH sont multiples et peu coordonnés sur le territoire ; une meilleure lisibilité assurerait davantage de persistance dans leurs actions. 35

36 A propos du secteur de l ingénierie Les enjeux emploi-formation du secteur : Le recrutement de jeunes sortis de formation initiale n est pas jugée complexe par les entreprises du secteur ; elles embauchent des étudiants issus des écoles d ingénieur de Cergy ou du reste du département, qui ne sont pas toujours directement formés dans les spécificités des métiers mais qui peuvent aisément l être. Ces recrutements se font en partie en apprentissage, qui permet aux étudiants d acquérir progressivement la culture de l entreprise. En termes de formation continue, toutefois, il est parfois complexe pour les entreprises de trouver des formations adéquates à leurs besoins spécifiques ; elles sont rares et souvent très coûteuses. Cela a poussé certaines entreprises à développer une offre de formation privée et à offrir des formations sur leurs équipements. Les implications pour la démarche de GPECT : Les questions qui se posent pour les entreprises de ce secteur concernent finalement davantage la connaissance des autres acteurs économiques du territoire que l embauche en elle-même, qui est facilitée par la présence d une offre de formation appropriée, par la bonne image que véhiculent les métiers de l ingénierie et par l organisation de séances de «speed-networking» au sein des écoles d ingénieur. Cette connaissance du territoire et de ses acteurs peut notamment passer par l animation de réseaux entre les différents clubs d entreprise du secteur. 36

37 Une possible dynamique transverse : le soutien à l internationalisation des PME? La question de l internationalisation des PME a donné lieu à une initiative originale au sein du Val d Oise et des Yvelines, à savoir le regroupement des acteurs économiques et institutionnels compétents dans l appui et l accompagnement des PME-PMI dans leurs démarches à l exportation. Ce soutien organisé permet au Val d Oise de se distinguer par un nombre important de PME exportatrices ; en dépit de la présence de grands groupes sur le territoire, 51,5% du montant total des exportations du département en 2011 ont été réalisés par ses 5557 PME exportatrices ; en comparaison, les PME franciliennes représentaient 38,6% du montant total des exportations de la région. Résultant d une volonté de rationalisation et de clarification des nombreux dispositifs de soutien disponibles, cette initiative a donné lieu à la mise en place d un guichet unique à entrées multiples, toute entreprise contactant l un des membres du réseau étant prise en charge par l ensemble de l équipe. Les entreprises intéressées réalisent à l aide de la CCI de Versailles Val d Oise/Yvelines un plan de développement à l international ; les Conseillers du commerce extérieur de la France (CCEF) nomment ensuite un parrain pour chaque entreprise suivie, et les deux acteurs, CCI et CCEF, aident en binôme l entreprise à réaliser les actions de son plan de développement. Une réunion mensuelle des acteurs de l Equipe de France de l Export Départementale permet à chacun des membres de proposer l aide spécifique qu ils peuvent apporter à l entreprises ; ces membres comprennent, outre la CCI et les CCEF, Ubifrance, Oseo, les services internationaux des Direccte, la Compagnie Française d Assurance Crédit à l Exportation (Coface) et le Pacte PME, qui organise le portage des PME par des grandes entreprises. Le renforcement de ces dynamiques d accompagnement à l international semblent constituer une opportunité pour favoriser le développement des PME. Des actions complémentaires de sensibilisation/formation pourraient être envisagées. Plus globalement, le développement de formations et développement de compétences commerciales au pourraient faire l objet d une attention particulière dans le cadre d action de GPECT ciblées. 37

38 Dynamiques sectorielles services aux entreprises, services aux personnes 38

39 Logistique et entreposage un secteur clé pour l économie du département Les projets et dynamiques qui peuvent impacter le secteur : Le développement d activités logistiques toujours plus concentrées autour de l aéroport de Roissy-Charles de Gaulle, en fonction de l évolution du trafic aérien. La réalisation du Canal Seine-Nord pourrait entraîner le développement de l activité entreposage et services auxiliaires au nord du département et ainsi bénéficier au Haut-Val d Oise ainsi qu à la CC Carnelles-Pays de France. Les métiers sont appelés à évoluer : Des métiers de plus en plus techniques au rythme de l informatisation des commandes et du développement de la vente à distance. Le développement de la VPC en B2B, qui est en cours sur le territoire de Cergy-Pontoise pourrait être amenée à se développer. Les activités liées à la logistique et à l entreposage occupent une place importante, puisqu elles représentent 15,3% de l emploi total dans le département (hors Paris). Cette agrégation prend cependant en compte des dimensions très variées, à savoir le transport terrestre (comprenant le transport de voyageur), le transport par voie d eau ainsi que le transport aérien (NAF 49, 50, 51, 52). Le Val d Oise occupe la 1 ère place de la région, avec 24,1% de l emploi total (hors Paris). Avec 62,6% de l effectif régional (hors paris) travaillant dans le domaine du transport aérien, le Val d Oise occupe également la 1 ère place de la région. Avec emplois en 2011, les fonctions liées à la logistique pure, à savoir l entreposage et les services auxiliaires des transports (NAF 52) comptent pour 3,2% de l emploi total dans le département et pour 18% des effectifs totaux de l Ile de France, positionnant ainsi le département au 2 ème rang derrière la Seine-Saint-Denis (26% de l effectif total). A noter cependant le nombre d établissements, 14, positionnant le Val d Oise au 3 ème rang régional du nombre d établissements, ex aequo avec le Val de Marne. La taille des établissements du Val d Oise est donc supérieur à la taille moyenne des établissements de la région. La concentration de l emploi dans l entreposage et les services auxiliaires aux transports est très largement située sur le territoire de Roissy porte de France, qui concentre 65% de l emploi dans ce secteur. La Commune de Roissy-en-France compte emplois dans ce secteur et se positionne à la première place au sein de l EPCI (79% de l emploi du secteur dans l EPCI et 52% de l emploi du secteur dans le département), suivie de Marly-la-Ville qui concentre 9% de l emploi du secteur dans l EPCI et Goussainville qui occupe la 3 ème place avec 400 emplois. L EPCI de Cergy-Pontoise se situe au 2 ème rang, avec 14,5% de l emploi, devant Gonesse (521 emplois soit 4,2% du total départemental) et Bonneuil-en-France (635 emplois soit 5,1%). L EPCI de Carnelle Pays de France (3,7%). En dehors de Roissy-en-France, les communes qui comptabilisent le plus grand nombre d emplois dans le domaine de l entreposage et des services auxiliaires aux transports sont Saint-Ouen l Aumône (11,5%), Marly-la-ville (5,9%), Bonneuil-en-France (5,2%), Gonnesse (4,3%), Montsoult (3,7%), Goussainville (3,3%) et Eragny (2,5%). Le secteur est donc particulièrement concentré. 39

40 Logistique et entreposage un secteur clé pour l économie du département L offre de formation est développée et principalement localisée sur les territoires de Roissy Porte de France, de Cergy-Pontoise, du Val de France. Le GIP Cari-Oref recense 42 formations dédiées au transport et à l entreposage dans le département du Val d Oise. La majorité de ces formations permettent d accéder à un titre professionnel de conducteur de transport routier, titre de niveau IV ou V. On note cependant l existence d une offre spécifique de niveau III en logistique et entreposage, en partie orientée vers les métiers de l aérien. L Essec et l IUT de Cergy, au travers de son site d Argenteuil-Bezons, offrent des formation de niveau I et II dédiées aux métiers de la chaîne logistique. Spécificité du département, l emploi dans les transports aériens occupe une part largement majoritaire de l emploi total du secteur de la logistique et de l entreposage. Il est localisé autour de l aéroport de Roissy Charles de Gaulle. Le reste de l emploi du secteur (transport terrestre et entreposage et services auxiliaires des transports) est réparti de façon homogène au Sud et à l Est du département, notamment en ce qui concerne le transport terrestre de personnes et de marchandises. Les emplois liés à l entreposage et aux services auxiliaires aux transports, qui présentent une valeur ajoutée et une technicité supplémentaire, sont regroupés autour de centres de compétences, sur les territoires de Cergy- Pontoise (et notamment à Saint-Ouen l Aumône), de l Est du département, mais également autour des communes de Montsoult (STEF logistique distribution, Société Gennevilliers transports distribution ) et de Marly la Ville. Fait notable: malgré une offre de formation existante, l enquête BMO estime à plus de 76% le taux de difficulté de recrutement des conducteurs routiers et grands routiers. 40

41 Le secteur de la logistique et de l entreposage Le secteur de la logistique et de l entreposage, dont les activités liées au transport, constitue un secteur clé de l économie du Val d Oise et une de ses spécificités par rapport aux autres départements de la région francilienne. Les territoires prioritaires : A identifier Dangers avérés et/ou points de vigilance Des métiers qui évoluent vers plus de qualification et une montée en gamme des compétences nécessaires. Des projets de développement d un pôle d excellence logistique autour du futur port d Achères. Les dispositifs de formation, de suivi ou d accompagnement existants sur le territoire. Existence d une offre de formation de tous niveaux sur le territoire, depuis le niveau V jusqu au niveau I, l Essec offrant une diplôme de niveau Master en Logistique et Management de la supply chain. La MDE du Haut Val d Oise a mené des études spécifiques sur les opportunités d emploi de la filière logistique en lien avec le développement du futur canal Seine Nord. Le CDT Confluence Seine-Nord prévoit la mise en place d un pôle d excellence logistique et maritime. Existe-t-il des besoins en matière de suivi, d accompagnement, d anticipation des mutations? Accompagner le développement de la VPC en B2B : nouvelles compétences dans le traitement des commandes et la gestion des chaînes logistiques. Accompagner le développement de projets innovants en matière de logistique Anticiper le développement du trafic fluvial et de la logistique fluviale en Ile de France. Informer les acteurs sur les dynamiques de projet, anticiper les besoins en compétences. 41

42 A propos du secteur des transports et de la logistique Les enjeux emploi-formation du secteur : Les segments de transport fortement spécialisés (par exemple la manutention lourde) connaissent une croissance forte et régulière, qui peut aller jusqu à l embauche de dix personnes par an dans certaines PME du secteur. Cela se traduit toutefois par des difficultés d embauche au sein de ces entreprises, notamment du fait d un manque de connaissance des métiers et de l évolution des compétences (connaissances en hydraulique et en électronique). Au titre des difficultés de recrutement majeures que nous avions identifiées figurent celles des conducteurs routiers et grands routiers (difficultés estimées à 76% dans les BMO de Pôle emploi pour 2012). Ces difficultés doivent poser question dans un département fortement marqué par les activités logistiques. Certaines fonctions logistiques (les fonctions auxiliaires telles la préparation de commande ) évoluent et doivent être accompagnées par la mise en adéquation de l offre de formation. Les implications pour la démarche de GPECT : Un focus spécifique sur les métiers spécialisés sur transport pourrait permettre de repérer des entreprises ayant des besoins spécifiques de formation et des perspectives de recrutement. Certaines ont développé une de formation interne en partenariat avec le GRETA, afin de développer un centre de formation sur ces métiers au sein de l entreprise. La démarche de GPEC doit permettre de développer la capacité des acteurs publics à identifier les besoins de formation spécifique dans els secteurs en croissance, afin de pouvoir proposer un accompagnement efficace. Cela pourrait notamment passer par un relais entre les GRETA et la Direccte. 42

43 Hôtellerie - Restauration Le secteur de l hôtellerie et de la restauration (NAF 55 et 56) représente 3,9% de l emploi au niveau du département ( emplois en 2011). La restauration est largement prédominante, puisqu elle compte pour 78% de l emploi. Le Val d Oise se positionne à la 5 ème position au niveau régional (Paris compris) en terme de volume d emploi dans le secteur, et totalise 4,6% de l emploi régional dans le secteur de l hébergement et 6% dans le domaine de la restauration, aux même niveaux que le Val de Marne (4,3% de l emploi) ou les Yvelines (4,3%). A noter qu en terme de nombre d établissements, le Val d Oise occupe, qu il s agisse de l hébergement ou de la restauration, la dernière place au niveau régional (7% des établissements). Les établissements du Val d Oise ont une taille supérieur à ceux du reste de la région parisienne et emploient un nombre de salariés plus important. Localisation : 30% des effectifs de l hébergement et de la restauration du département sont concentrée dans la Communauté de communes de Roissy porte de France, devant la Communauté d agglomération de Cergy-Pontoise (21%) et celle du Parisis (10%) qui occupe la troisième place au niveau départemental. La concentration est forte sur ces pôles, le reste des effectifs se répartissant ensuite de façon plus limitée dans les autres territoires du Val d Oise. Certains projets pourront impacter le secteur de l hôtellerie-restauration dans le département : Projet de développement d un centre de congrès haut de gamme, l International Trade Center (ITC) sur le territoire du Grand Roissy. Ce projet constitue une opportunité de développement tant pour la restauration que pour l hébergement avec comme contrainte une montée forte en compétence pour le personnel qui aura vocation à y travailler. Le projet «Europacity», en Seine et Marne, pourra également constituer une opportunité. (si le projet voit le jour ). Plusieurs centres commerciaux devraient également voir le jour dans la zone du Grand Roissy et à proximité de l aéroport, qui pourront constituer des opportunité de développement pour le secteur de la restauration principalement. Répartition des effectifs entre communes C.A. Cergy-Pontoise Répartition des effectifs entre communes C.A.Parisis Répartition des effectifs entre communes C.C. Roissy-porte de France 43

44 Le secteur de l hôtellerie-restauration L hôtellerie-restauration est un secteur en croissance sur les 10 dernières années, même si des disparités existent entre les activités du secteur. Avec une croissance de 12% de ses effectifs et de 22% du nombre d établissements actifs dans le domaine de l hôtellerie et de la restauration, le secteur est fortement créateur d emploi et constitue une opportunité pour des population d employés et de professions intermédiaires. Quelques évolutions notables apparaissent, et notamment une diminution forte du nombre d établissements et du nombre de salariés travaillant dans les autres services de restauration (5629B), qui correspondent aux activités de restauration collective auprès des entreprises par exemple, au profit d un développement fort des entreprises du secteur de la restauration collective sous contrat (5629A), correspondant aux cantines scolaires par exemple. Alors que le nombre d établissements dans la restauration traditionnelle se maintien, leur effectif se contracte fortement (-20%) sur la période. L évolution de la TVA dans la restauration à partir de 2011 peut avoir eu un effet positif (mais conjoncturel) qui n est pas appréhendé ici. Les activités de restauration rapide quant à elles se développement fortement, tant en nombre d établissements qu en terme d effectif % % NAF Secteurs nb Etabl nb Etabl Effectifs Effectifs 5629B Autres services de restauration Z Débits de boissons Z Hôtels et hébergement similaire Z Hébergt tourist courte durée Z Services des traiteurs A Restauration traditionnelle B Cafétérias et autres libres-services C Restauration de type rapide A Restauration collective sous contrat TOTAL L offre d emploi (données Pôle Emploi): au quatrième trimestre 2012, demandeurs d emploi inscrits à Pôle Emploi déclarent avoir pour projet de travailler dans le secteur de l hôtellerie-restauration, alors que Pôle Emploi recense offres d emploi pour ce secteur dans le département. Ecart : postes. En 2012, Pôle Emploi identifie notamment 1173 projets de recrutement d aides, apprentis et employés polyvalents de cuisine. Les métiers de la restauration sont identifiés comme parmi les plus porteurs au sein du département, tant à l Est qu à l Ouest. Pôle Emploi ne note pas de difficultés spécifiques de recrutement. L offre de formation initiale est concentrée sur le territoire de Cergy-Pontoise qui compte 14 établissements offrant des formations dans le domaine de l hôtellerie et de la restauration, suivi par la Vallée de Montmorency (6 établissements) puis l EPCI de Pays de France. La localisation de l offre de formation n est pas totalement cohérente avec la localisation de l emploi et donc des besoins potentiels. On note notamment un déficit d offre sur le territoire de Roissy-porte de France. En termes de niveaux de niveaux de qualification, l offre est concentrée sur les niveaux IV et V, qui semblent bien correspondre au profil actuel de l offre en matière d hébergement et de restauration. L offre de niveau I, II et III n existe que sur les territoires de Cergy-Pontoise, Vallée de Montmorency et Pays de France. Ces informations permettent de s interroger sur un possible manque d offre de qualification sur les niveaux I, II et III pour répondre aux besoins qui émaneraient du développement d une offre de haut niveau à l Est du territoire. 44

45 Répartition géographique de l emploi dans l hôtellerie et la restauration Nb: ce type de cartographie sera produit notamment pour les filières automobile, commerce, logistique et entreposage, mécanique 45

46 Le secteur de l hôtellerie-restauration (1/2) Le secteur de l hôtellerie et de la restauration est un secteur en croissance entre 2000 et 2010, en termes d établissements comme d effectifs salariés. Les emplois sont majoritairement liés à la restauration, et localisés de façon forte à l Est du département sur l EPCI de Roissy Porte de France, autour de Cergy-Pontoise, du Parisis et d Argenteuil-Bezons. Dangers avérés et/ou points de vigilance Le Val d Oise se positionne à la 5 ème place régionale (Paris compris) en terme de volume d emploi dans le secteur. Il existe possiblement un potentiel de développement dans ce secteur à exploiter. Le développement de l activité tertiaire et la création de parcs d activités constitue une opportunité de développement, dans le domaine de la restauration notamment. Il risque d être particulièrement localisé à l Est autour du pôle de Roissy, mais aussi à proximité de Cergy-Pontoise et d Argenteuil-Bezons où se concentre l offre existante. L offre de formation initiale et continue disponible à Argenteuil-Bezons et sur le territoire de Roissy Porte de France semble être peu adaptée aux besoins des salariés du territoire. Les dispositifs de formation, de suivi ou d accompagnement existants sur le territoire. Les entreprises du secteur peuvent potentiellement être accompagnées dans le cadre des dispositifs existants : -GPEC-T dans le Haut Val d Oise -GPEC-T sur le territoire du Val de France -Projet de GPEC-T sur le territoire de Cergy- Pontoise et du Parisis L offre de formation initiale est majoritairement localisée sur l EPCI de Cergy-Pontoise, de la Vallée de Montmorency et de Pays de France. Argenteuil-Bezons ne dispose que d un établissement offrant une formation de niveau V. Est également installé sur le territoire un centre de formation de haut niveau (Alain Ducasse formation) qui propose une large gamme de formation continue. Les territoires prioritaires : Roissy Porte de France Cergy-Pontoise Argenteuil-Bezons Existe-t-il des besoins en matière de suivi, d accompagnement, d anticipation des mutations? Le val de France est particulièrement peu doté en offre de formation dans le secteur (CFA de la CMA à Villiers le Bel). Évaluer l opportunité de développer l offre de formation sur le territoire, ou les moyens de sensibilisation permettant d orienter et de faciliter l accès des jeunes. L adéquation entre l offre et le besoin réel créé par la restauration collective ou rapide ne semble pas assurée. Identifier l existence de besoins spécifiques de formation sur les territoires mentionnés Favoriser l emploi des jeunes du territoire au sein des établissements d hôtellerie et de restauration. Anticiper les conséquences d une possible modification de la TVA à 5% dans la restauration. 46

47 Le secteur de l hôtellerie-restauration (2/2) Le secteur de l hôtellerie et de la restauration est un secteur en croissance entre 2000 et 2010, en termes d établissements comme d effectifs salariés. Les emplois sont majoritairement liés à la restauration, et localisés de façon forte à l Est du département sur l EPCI de Roissy Porte de France, autour de Cergy-Pontoise, du Parisis et d Argenteuil-Bezons. Dangers avérés et/ou points de vigilance Une offre de formation continue qui semble peu développée, tout comme les possibilités de VAE. Les dispositifs de formation, de suivi ou d accompagnement existants sur le territoire. Les acteurs en charge du suivi des problématiques d emploi et de formation sont susceptibles de favoriser l accès aux dispositifs de VAE et de formation continue par le biais de l information et de l orientation. Les territoires prioritaires : Roissy Porte de France Cergy-Pontoise Argenteuil-Bezons Existe-t-il des besoins en matière de suivi, d accompagnement, d anticipation des mutations? Évaluer l intérêt de disposer de mécanismes spécifiques permettant de suivre les besoins en compétences dans le secteur. Un besoin de compétence «haut de gamme» autour de projets localisés : les projets de création de centres d affaires et de centres commerciaux de standing peuvent impacter le besoin d emploi dans l Hôtellerie et la restauration, et notamment le projet d ITC et Europacity. Un secteur consommateur de contrats de travail précaires, à temps partiels ou à durée déterminée. Important recours à l intérim. Ouverture en 2012 de l Institut de l hôtellerie et des arts culinaires (INHAC) à Saint-Gratien : 22 formations diplômantes, de niveaux IV à II, pouvant accueillir près de 800 jeunes. FFB, Direccte, MDE, MIFE, OPCA Favoriser le recrutement de jeunes val d oisiens au sein de cet établissements, en sensibilisant sur les métiers et les opportunités futures liées aux grands projets. Développer les partenariats avec les acteurs du travail temporaire, agences, OPCA, acteurs institutionnels. Identifier les mécanismes innovants permettant de développer la formation lors des inter-contrats ou la mobilité professionnelle. 47

48 Commerce A l échelle départementale, le commerce représentait, en 2011, emplois, soit 15% du volume d emploi total. Nous considérons ici comme activités commerciale ce qui relève des 3 catégories NAF suivantes (45, 46, 47) soit le commerce et la réparation automobile, le commerce de gros à l exception des automobiles et motocycles, le commerce de détail à l exception des automobiles et motocycles. Le Val d Oise ne représente cependant que 8% du total de l effectif régional travaillant dans le domaine du commerce et occupe la dernière place au niveau régional. De la même façon, seuls 10% de tous les établissements commerciaux de la région sont situés dans le département. Cependant, dans le domaine du commerce et de la réparation automobile, le département occupe la 4 ème place, ex aequo avec l Essonne et la Seine Saint-Denis, le département employant 12% de l effectif régional dans ce domaine (la première place est occupée par les Yvelines avec 17%). LOCALISATION : Au sein du département, quelques territoires concentrent fortement les activités commerciales dans leur globalité : la C.A de Cergy-Pontoise tout d abord, qui regroupe 24% de l emploi dans le secteur, puis la C.A du Parisis (16%), la C.C de Roissy-en-France compte 14% de l emploi total du secteur et Argenteuil-Bezons 12%. Le reste de l emploi est disséminé dans les différents territoires. La C.C de Roissy-porte de France se distingue par l importance des activités de commerce en gros (25% de l emploi du s/s secteur dans le département), Cergy-Pontoise et le Parisis par celui du commerce de détail (respectivement 22% et 24%). Les projets qui pourront impacter le territoire : Développement de plusieurs projet de centres commerciaux de grande ampleur tels Europacity qui pourra impacter positivement le volume d emploi en matière de commerce de détail dans les franges Est du département. Projets de centres commerciaux sur le territoire de la C.C Roissy-porte de France. Développement de l activité tertiaire à Argenteuil-Bezons. 48

49 Le secteur sanitaire et social, un secteur majeur et en pleine expansion Le secteur est en pleine expansion, avec une hausse de 32% des emplois privés salariés entre 2000 et 2010 (données UNISTATIS). Les projections de l INSEE prévoient par ailleurs une augmentation de la proportion de personnes âgées dépendantes de 77,7% dans le Val d Oise d ici à 2020, largement supérieure à la moyenne francilienne. Outre une augmentation de 12% du nombre de personnes âgées en institution, cela causerait une hausse de près de 150% de personnes non seules à domicile, nécessitant 2700 emplois supplémentaires dans le secteur de l action sociale sans hébergement. Le secteur médical et social (NAF 86, 87 et 78) représente 10% de l emploi au niveau du département (38500 emplois en 2010, données CLAP). Les activités pour la santé humaines y sont prédominantes (58%), l hébergement médico-social et social et l action sociale sans hébergement représentant à peu près de 20% de l emploi chacun. La présence d activités pour la santé humaine se traduit surtout par celle d hôpitaux et de cliniques (dont le plus important est le centre hospitalier René Dubos à Cergy-Pontoise), tandis que l hébergement médico-social comprend notamment les maisons de retraite, les crèches, les foyers d hébergement ou les foyers de l enfance. L action sociale sans hébergement représente une part majeure des emplois du secteur dans le Plateau du Vexin, la Vallée de Montmorency, le Parisis et Roissy Porte de France. Le pourcentage de population âgée de plus de 60 ans varie entre les différents territoires : il est par exemple de 10,6% à Cergy-Pontoise, mais de 18,6% dans la Vallée de Montmorency et de 17,6% dans l ensemble du Vexin. Les enjeux du vieillissement de la population n affectent donc pas l ensemble du département de la même façon. 49

50 Le secteur sanitaire et social : une offre de formation d aide à la personne insuffisante Les formations d aide à la personne proposées dans le secteur médical et social dans le Val d Oise sont au nombre de 38 ; 37% d entre elles préparent à des emplois d action sociale sans hébergement (formation d auxiliaire vie sociale notamment), et 63% à des emplois en structure d hébergement ou de soin (formation d infirmier, d aide soignant, d aide médico-psychologique). Il n existe aucune offre de formation sur l ensemble du Vexin, ni d offre de formation concernant des métiers d aide sociale sans hébergement au nord et à l est du département. Ces lacunes se traduisent pas de fortes difficultés à l embauche. L enquête BMO Pôle emploi estime à plus de 63 % le taux difficulté de recrutement des infirmiers, cadres infirmiers et puéricultrices. En effet, l hébergement médico-social et social et l action sociale sans hébergement ainsi que les activités pour la santé humaine sont deux secteurs d activité où les difficultés de recrutement sont élevées : les projets jugés difficiles représentent respectivement 556 projets sur 1083 (soit 51%) et 283 projets sur 470 (soit 60%). On retrouve cette caractéristique à l échelle des métiers : parmi les 15 métiers pour lesquels les problèmes de recrutement sont les plus fréquents à l échelle du département, on trouve les aides à domicile, aides ménagères et travailleuses familiales (où la moitié des 674 projets est jugée difficile), les aides-soignants (69% de 261 projets) et les infirmiers, cadres infirmiers et puéricultrices (67% de 249 projets). A noter que ces difficultés sont bien plus présentes dans le secteur est du Val d Oise, où 72% des projets de recrutement des aides-soignants et 80% des projets de recrutement des infirmiers et des cadres-infirmiers sont jugés difficiles, qu à l ouest, où ces recrutements difficiles représentent respectivement 63% et 40%. Les acteurs du territoire notent un besoin de qualification non couvert à l heure actuelle dans le domaine du sanitaire et du social. L offre d emploi (données Pôle Emploi) : Au quatrième trimestre 2012, demandeurs d emploi inscrits à Pôle Emploi déclarent avoir pour projet de travailler dans le secteur de la Santé ou des Services à la Personne et aux collectivité, alors que Pôle Emploi recense 2302 offres d emploi pour le secteur de la Santé Humaine et de l Action Sociale dans le département : Demande d emploi : , Offre d emploi : 2 302, Ecart : postes. Ces éléments confirment un attrait pour les métiers du sanitaire et du social, mais un manque d adéquation entre l offre d emploi et la demande réelle, qui se concentre aujourd hui sur certains métiers : aides-soignants et infirmiers, ayant compétence en établissement ou hors hébergement. 50

51 Le secteur sanitaire et social Le secteur sanitaire et social est en croissance et constitue d importantes opportunités d emploi dans le Val d Oise, correspondant à l évolution de la démographie. L augmentation de la population âgée dépendante en est un des principaux facteurs. Les territoires prioritaires : Plateau du Vexin, Haut Val d Oise, Est du Val d Oise. L enjeu de qualification est au cœur de la problématique dans le département. Dangers avérés et/ou points de vigilance Le secteur de l action sociale sans hébergement est en pleine expansion, en lien avec l augmentation rapide du nombre de personnes âgées dépendantes dans le département à l horizon 2020 engendrant un besoin d anticipation et d accompagnement du développement de l emploi dans ce secteur sensible. Le territoire du Val d Oise connaît des déséquilibres forts dans la répartition de l emploi sanitaire et social dans le département. Ces déséquilibres sont dû à la localisation d équipements structurants comme les hôpitaux mais également au faible développement de la disponibilité de personnel formé dans la partie nord du département (difficultés de recrutement). L offre de formation est surtout orientée vers les activités sanitaires et sociales exercées en structure de soin ou d hébergement. L Est du Val d Oise est marqué par des difficultés de recrutement spécifiques touchant notamment les professions d aide-soignant, d infirmier ou de cadre-infirmier. Les dispositifs de formation, de suivi ou d accompagnement existants sur le territoire. 37% des formations proposées dans le département concernent l action sociale sans hébergement. L offre de formation est concentrée dans la frange Sud du département. Le PNV, au travers de la Plateforme France initiatives) soutient le financement de projets de création d activité qui peuvent concerner le champ du sanitaire et social. Communauté d Agglomération du Parisis : plan de développement de l économie sociale et solidaire. MDE Haut Val d Oise : étude des opportunités dans l emploi public (dont sanitaire et social). La CMA a développé une offre de formation Esthétique et coiffure à Eaubonne. L offre de formation est concentrée dans la frange Sud du département. Par nature peu structuré en dehors des établissements publics, les salariés ou travailleurs indépendants du secteur sanitaire et social ne bénéficient pas de mécanismes d accompagnement dédié au niveau départemental. L offre de formation est concentrée sur la frange Sud du département. Dans le Nord, l Est et l Ouest du département, l offre de formation est uniquement orientée vers les activités en structure de soin ou d hébergement. Pas de mécanisme d animation spécifique au sein du département. Pas de mécanisme d animation spécifique au sein du département. Existe-t-il des besoins en matière de suivi, d accompagnement, d anticipation des mutations? Proposer une offre de formation accessible pour les habitants du Vexin, du nord et de l est du département pour faire face au besoin croissant. Accompagner le développement de l emploi dans ce secteur, pour faire face au vieillissement de la population et aux difficultés de mobilité intra-départementale des personnes âgées. Faciliter la formation dans le domaine sanitaire et social (accessibilité de l offre de formation, disponibilité de l offre, renforcement des mécanismes de VAE ) Faciliter la création d activité dans le domaine sanitaire et social (aide à la création, à l investissement, à la formation) Créer des mécanismes d animation territoriaux dédiés aux problématiques du sanitaire et du social. Accompagner le développement d une offre de formation spécifique «hors hébergement», qui pourra répondre aux besoin existants ou à venir à horizon 2020 dans l Ouest (Vexin), le Nord et l Est du département. Favoriser l accès à la qualification Sensibiliser aux potentiel de recrutement dans le secteur Assurer l accès des Val d Oisiens aux formations 51

52 Dynamiques sectorielles grands projets et secteur de la construction 52

53 Les grands projets du territoire : le Grand Paris Le Val d Oise et l ensemble des départements franciliens ont développé une série de grands projets d aménagement dont la réalisation s étendra sur plus d une vingtaine d années. La mise en place de ces projets va avoir un impact conséquent sur le développement économique du territoire, et notamment sur l évolution de l emploi au sein de celui-ci. Afin que ces créations conséquentes d emploi se traduisent par des embauches importantes parmi la population val d oisienne, les besoins en formation au sein des secteurs correspondants doivent être anticipés et trouver une réponse au sein des plans d actions mis en place par les différents acteurs de la formation, que celle-ci soit initiale ou continue. Les projets du Grand Paris : Bien qu il soit encore complexe de définir les impacts qu auront les projets d infrastructure lourde et de réaménagement des espaces urbains autour des gares élargies ou créées au sein du Grand Paris, trois initiatives auront nécessairement un impact considérable sur le territoire : Le projet d une ligne nouvelle Paris-Normandie, qui donnerait lieu à la création d une gare TGV dans le zone Confluence ; le développement que cela pourrait représenter est notamment à étudier dans le secteur de l écoconstruction, l une des trois filières d exceptions de la zone. La liaison du RER B et du RER D dans le territoire de Gonesse-Val de France par un bus à haut niveau de service, assurant ainsi une meilleure desserte des zones d activités et d emplois implantées sur le long du tracé. Le projet du Canal Seine-Nord Europe, qui doit permettre à l Île-de-France de communiquer avec le réseau des ports et canaux de l Europe du Nord. A noter que le transport fluvial est privilégié par bon nombre de secteurs industriels très présents sur le Val d Oise (chimie, métallurgie, produits agricoles, automobile, matériaux de construction ). 53

54 Europa City (le Triangle de Gonesse) : Projet : réalisation à l horizon 2020 d un grand parc culturel et de loisir, visant à devenir une destination touristique majeure. Sur 80 hectares, m2 de galeries marchandes, chambres d'hôtels, des salles de spectacle, un cirque, un parc d'attraction de m2, un parc aquatique avec surf et spas, des pistes de ski d'intérieur Emplois : emplois directs et emplois indirects liés à la construction (sur l ensemble du chantier) puis emplois directs (et emplois indirects) lors de la phase d exploitation. Secteurs des emplois : construction (pendant le chantier), puis commerce et hôtellerie-restauration de haute gamme (près de la trois-quarts des emplois en période d exploitation), loisirs, activités culturelles, administration et gestion Les grands projets du territoire : Europa City Ce projet suppose de mettre en place, le plus tôt possible, des habitudes de coordination et de dialogue entre les entreprises qui portent le projet, les enseignent qui y seront accueillis et les partenaires institutionnels en charge de programmer les besoins d emploi et de compétence sur le territoire. 54

55 Les grands projets du territoire : Roissy Porte de France (1/2) Sur le territoire de Roissy Porte de France : Aéroville : Projet : ouverture fin 2013 d un centre de commerces et de services ( m² de commerces dont une grande surface alimentaire de 5000 m² (Auchan), environ 150 boutiques dont une vingtaine de moyennes surfaces, restaurants, services ) Emplois : 300 emplois en insertion durant la phase de construction, puis environ emplois (2 500 emplois directs, emplois indirects à terme). Secteurs des emplois : commerce, restauration, sécurité La Maison de l Emploi de l Est du Val d Oise est partenaire du projet. Plusieurs actions sont entreprises: mise en place de formations, d une mise en relation avec les employeurs et d un suivi en entreprise, notamment par une aide sur les dispositifs de formation continue. La ZAC du Moulin : Emplois : les emplois de la ZAC devraient passer de 800 à 1300 suite à l achèvement des investissements mis en place sur le territoire. Source : «Roissy 2015, Projets et transports», avril 2011 A noter que le contrat de la ZAC Sud Roissy étant en renégociation, il est actuellement difficile de définir l impact que le projet aura sur l emploi et les besoins en compétence du Val d Oise. L aménagement de la Vallée verte, bien qu étant une opération exceptionnelle par son ampleur, ne devrait quant à elle représenter qu entre 20 et 50 créations d emploi. 55

56 Les grands projets du territoire : Roissy Porte de France (2/2) International Trade Center (ITC) Roissy Paris CDG Projet : ouverture en 2015 d un centre international d échanges, avec un espace de Show-room permanent, deux halls d exposition, un centre de congrès pouvant accueillir jusqu à participants, sept hôtels (deux hôtels 4*, trois hôtels 3*, un hôtel 5*de standing international) et une résidence hôtelière pour environ 1740 chambres, m² de bureaux, places de stationnement Emplois : environ emplois Secteurs des emplois : hôtellerie-restauration, sécurité, services ZAC de la Demi-Lune Parc Mail : Projet : première livraison fin 2011, achevé en % bureaux et 30% autres activités (PME/PMI, bureaux ou services) ; m² au total pour la partie centre de vie (restaurant interentreprises, crèche, bâtiment évènements communication ). Emplois : environ emplois directs Secteurs des emplois : Services et, dans une moindre mesure, commerce et restauration Les Grands Champs : Projet : opération multi-produits de m² (centre commercial international de gros, un hôtel, bureaux et ZA autour des énergies renouvelables) Emplois : 1000 à 3000 Secteurs des emplois : administratif, des services et de l entretien 56

57 Dans la construction/ éco construction/ rénovation Les entreprises du bâtiment, notamment les TPE et PME doivent opérer des regroupements pour pouvoir aborder de nouveaux marchés et correspondre aux nouvelles normes en vigueur: L évolution des règlementations rend nécessaire le fait de coordonner les corps de métiers sur les chantiers, même auprès des personnes individuelles. Les clients demandent des «bouquets de travaux» sur les aspects écoconstruction ou rénovation qui impliquent de tels regroupements et coordination, leur permettant ainsi de mobiliser des crédits d impôts et autres incitations fiscales des ménages. Les compétences évoluent : Le Grenelle de l environnement a fait évoluer les compétences nécessaires vers une plus grande pluridisciplinarité et l intégration de compétences transverses «écoconstruction» dans les différents métiers. Intégration de nouveaux matériaux Règlementation thermique

58 Dans la construction/ éco construction/ rénovation Une pyramide des âges qui suppose un renouvellement de génération au sein des entreprises et une plus forte anticipation des départs en retraite : Un enjeu de transmission d entreprises Des départs en retraite et donc des pertes de compétences Des besoins d emploi non remplis : un manque spécifique de maçons, peintres et couvreurs. L émergence de besoins d accompagnement au niveau territorial De grands projets d aménagement, de construction ou de rénovation portés par des communautés d agglomération, des EPCI Un fort besoin de sensibilisation local sur les métiers et les besoins de main d œuvre pour faciliter le recrutement de jeunes Mise en place et articulation des démarches de GPEC. 58

59 Dans la construction/ éco construction/ rénovation Les besoins des chefs d entreprise : Aide au regroupement et à l articulation des compétences pour aborder de nouveaux chantiers (articulation entre corps d état, développement d un rôle de conseil et d ensemblier ) Formation en développement commercial pour permettre aux TPE de se positionner sur de nouveaux marchés et sortir du seul «bouche à oreille» en s engageant dans une véritable prospection commerciale, Les besoins liés aux marchés à potentiel : Compétences relatives à la rénovation du bâti ancien La maintenance des équipements liés à l écoconstruction (installations thermiques, réseaux) La construction ossature-bois : une formation dédiée existe dans les Yvelines, dont pourraient bénéficier plus largement les entreprises du Val d Oise 59

60 Dans la construction/ éco construction/ rénovation Les besoins de formation : Développement des compétences connexes aux métiers de la construction ou de la rénovation: étoffer l offre de service de l entreprise pour faire face à la concurrence du bricolage (service et conseil en décoration, dimension écoconstruction et économies d énergie ), et besoin d acquisition de compétences liées à l utilisation de nouveaux matériaux, et à la réglementation La CAPEB a développé une offre spécifique (nouveaux matériaux, réglementation, ). Dans le Vexin la CMA et le PNV ont également développé une offre, mais les résultats sont cependant mitigés : le nombre de personnes formées évolue peu et les acteurs constatent une tendance à la répétition des formations par les même bénéficiaires et donc une difficulté à toucher un public important en volume. A l heure actuelle, les salariés du domaine de la construction qui souhaitent se former aux pratiques de l éco-construction (qui représente un enjeu dans ce territoire où la rénovation du bâti prend une importance croissante, qu il s agisse du bâti d habitation ou du bâti historique et patrimonial) ont tendance à recourir aux dispositifs de formation localisés dans le département des Yvelines. Les besoins d articulation territoriale des dispositifs : Développer les relations entre organisations professionnelles, consulaires et Maisons de l emploi sur le département, en faisant un focus sur l écoconstruction (sur le modèle Yvelines) 60

61 Quelques focus territoriaux : spécialisation territoriale et enjeux emploi-formation 61

62 Evolution de l'emploi Matrice de spécialisation L évolution de l emploi à Cergy-Pontoise comparé à la situation en Ile de France Indice de spécialisation : % d'emplois EPCI Cergy / % d'emplois en ile de France Source Pôle Emploi 2010 traitement Sémaphores 62

63 Cergy-Pontoise Activité économique Activité Activité Information et communication Admin. Pub., enseign., santé & social Fab. Eq. Élect., Electr., inf. & machines 1536 (+33%) 7744 (+12%) 4846 (+9%) Activités immobilières Activité financières et d assurance 582 (- 47%) 2449 (-18%) Construction 4025 (-8%) Source : Pôle Emploi : Unistatis, données Activités selon code NAF-NA17 Données en nombre d emplois. Evolutions entre 2005 et 2010 Contrairement au territoire voisin du Parisis, Cergy-Pontoise confirme sa spécialisation (niveau de spécialisation de 3,8%) et le développement des activités de fabrication d équipements électriques. => Il y a-t-il un déplacement de ce type d activité entre les deux EPCI? Les 3 secteurs les plus recherchés et embauchant le plus sont les mêmes mais le niveau d offres d emplois reste inférieur à la demande. Le développement des secteurs administratif et sanitaire et social ne semble pas assez important pour absorber toutes les demandes d emploi en SAP et à la collectivité. Services à la personne et à la collectivité Les demandes d emploi 2533 Services à la personne et à la collectivité Support à l entreprise 2160 Commerce, vente et grande distribution Commerce, vente et grande distribution Marché du travail 1649 Support à l entreprise Les offres d emploi Source : Pôle Emploi T Activités selon code ROME (v3). Données en nombre Demandes d emploi par agences Pôle Emploi ; offres d emploi par commune

64 EPCI Cergy-Pontoise PACTE 2012 : Taux de chômage 2007 : 10,5% (mais +25% en 2009). Plus de inscrits à Pôle Emploi, dont 64% de ans, 48% de femmes et 60% d emplois qualifiés (chiffes ANPE 2010). 4 filières d activités structurent le pôle économique : automobile, aérospatial/défense, technologies numériques («intelligence embarquée») et cosmétique. Elles sont complétées par un pôle de service aux entreprises, surtout du secteur financier, et potentiel de développement dans la logistique. Projets de recrutement sur le bassin Val d Oise Ouest : selon les chiffres de Pôle Emploi, environ 9500 projets de recrutement (17,8% des établissements sont prêts à recruter) En 2010, 40% des intentions de recrutement concernent le secteur de la vente, du tourisme et des services ; puis les fonctions d encadrement (15%) et les fonctions sociales et médicosociales (15%). L offre de formation initiale est riche et diverse : UCP a étudiants, propose 154 diplômes dont 28 en apprentissage. 7 lycées proposent des CPGE (411 élèves en 2010/11). Il existe une Ecole de la deuxième chance sur le territoire depuis places d apprentis dans 17 Centres de formation et d apprentissage, dont 700 dans l IMA (cuisinier et serveur) et 2000 dans les écoles de la CCI (ITIN, ESCIA, CHAUVIN). En , 1787 apprentis, dont 38% de femmes. Choix des apprentis : 35,5% échange et gestion, 11% communication et information, 11% de mécanique, électricité, électronique, 16,5% de services aux personnes, 10% de transformation, 5% de génie civil, construction et bois. L offre professionnelle et technologique sur le territoire de référence (agglomération et communes accessibles en moins de 45 minutes) représente élèves. Le secteur des échanges, de la gestion, du commerce et de la vente compte environ 42% des élèves; l électricité et l électronique rassemblent 10% des élèves, le secrétariat bureautique 8%, la santé 5% et le génie civil, la construction et bois 3,5% Formation continue: Pour les demandeurs d emploi : 6801 formations dont 2176 formations d insertion (compétences de base) qui représentent 32% du total. Secteurs principaux : santé et social (37%, en grande partie liés à la petite enfance), transport et logistique (17%), comptabilité, gestion et métiers administratifs (14%), hôtellerie, restauration, tourisme, sport et loisirs (13%). A noter que e BTP n en représente que 1,6%. Pour les salariés : 58% de femmes, 78% en CDI, 70% orientés sur le dispositif CIF. Formations les plus demandées = santé, social, transport, BTP, comptabilité et secrétariat, remise à niveau/langue/fle, esthétique et coiffure. Les enjeux identifiés: 4 «Business Clusters» dans le CDT Confluence Seine-Oise : écoconstruction, logistique intelligente et innovante, solutions de mobilité 3 e génération et nouveaux services, patrimoine besoin de formation Question de la santé : secteur très représenté dans l emploi, les besoins de main d œuvre et la formation, mais aussi dans les secteurs où les difficultés à embaucher sont importantes : problème d adéquation? Au sein de la formation continue : industrie = 18% de l emploi, 2% des formations ; commerce = 20% de l emploi salarié, 2% de l offre de formation des demandeurs d emploi ; construction = 9% dans le BMO, 6% dans l emploi, secteur avec de fortes difficultés de recrutement, mais 2% de l offre de formation seulement. Présence de nombreuses entreprises de sécurité, sans formation correspondante (entretien CEEVO) Le projet de réaménagement du centre-ville va avoir comme conséquence la création d emplois supplémentaires dans le secteur du bâtiment (entretien CEEVO) 55% des actifs travaillent dans le domaine des services (notamment l administration, l éducation, la santé et le social) 18% dans l industrie 6% dans le domaine de la construction. 20% dans le commerce Evolution de l offre de formation: Formation initiale : Projet de l IMA dans le Parc d'activités de l'horloge à Cergy : un nouveau pôle avec 1800 places, 17 diplômes dans 7 domaines dont l'ouverture aux métiers du bâtiment (cuisine, service en salle, coiffure, esthétique, vente, boulangerie et installations sanitaires et thermiques) 64

65 Matrice de spécialisation L évolution de l emploi du Parisis comparé à la situation en Ile de France Source Pôle Emploi 2010 traitement Sémaphores 65

66 Le Parisis Activité économique Activité Activité Construction 3294 (+27%) Hébergement et restauration Autres activités de service 1408 (+25%) 1105 (+20%) Fabrication de matériel de transport Fab. Eq. Élect., Electr., inf. & machines Activités immobilières Source : Pôle Emploi : Unistatis, données Activités selon code NAF-NA17 Données en nombre d emplois. Evolutions entre 2005 et (- 66%) 342 (-49%) 324 (-25%) Un territoire en forte tertiarisation avec un recul net des activités de fabrication. Le marché du travail est équilibré avec nombre d offres d emploi quasiment égal aux demandes pour les SAP, voire supérieur pour le commerce. => chômage frictionnel ou problématique d appariement? Services à la personne et à la collectivité Marché du travail Les demandes d emploi 891 Commerce, vente et grande distribution Support à l entreprise 867 Services à la personne et à la collectivité Commerce, vente et grande distribution 734 Hôtellerierestauration Les offres d emploi Source : Pôle Emploi T Activités selon code ROME (v3). Données en nombre. Demandes d emploi par agences Pôle Emploi ; offres d emploi par commune

67 C.A. du Parisis Les caractéristiques du territoire : Le territoire est porté par une dynamique commerciale plus qu industrielle. Plusieurs parcs d activité (3) sont en projet sur le territoire, alliant la création de zones d activité commerciale, de zones destinées à l activité économique au sens large et au logement. Ces différents parcs d activités doivent permettre d accueillir, pour deux d entre eux, plus de emplois. Un territoire attractif qui connaît une augmentation du nombre de ses établissements depuis Le territoire accueille des entreprises venant des EPCI limitrophes mais également de Seine-Saint-Denis et de Paris. Le nombre d emploi est également en augmentation, le territoire comptant au 1 er janvier emplois. Le secteur prédominant est le secteur commercial (37,14% de l emploi privé), mais le territoire se caractérise par une répartition assez homogène de l emploi entre les autres secteurs, les services (34,76%) et le secteur secondaire (27,83%). La Communauté d agglomération est particulièrement marquée par l importance des fonctions présentielles sur le territoire, qui constituent 48% de l emploi (administration, distribution, éducation, santé, services de proximité). Les fonctions métropolitaines sont aussi largement représentées et constituent 21% de l emploi devant les fonctions transversales (16% - entretien et réparation, logistique et entreposage) et les fonctions productives (15% - agriculture, BTP, fabrication). Les fonctions métropolitaines (conception, culture, commerce intra-entreprises, gestion, prestations intellectuelles) sont concentrées entre Taverny, Franconville et Herblay (16%) et particulièrement sous-représentées à Bessancourt et la Frette-sur-Seine (1%). Les enjeux identifiés : Augmentation du nb d entreprises dans les parcs: +7,32 % entre 2009 et 2010, + 6,26% d emploi. 3 projets de parcs d activité en cours: augmentation d environ emploi sur 2 des zones, échéance 2013/2013/2014. Des projets urbains d envergure : hab. de prévus à Cormeilles en Parisis (avec logements, commerces de proximité, espaces verts) et Herblay ( logements pour environ personnes) échéance Les enjeux emploi-formation : Forte disponibilité de l offre de formation de niveau I et II. Faible disponibilité d offre de formation initiale supérieure, difficultés à recruter localement des profils qualifiés (Bac+4). Faible offre de formation certifiante sur le territoire. Surreprésentation des activités liées aux bilans de compétence. 67

68 Matrice de spécialisation L évolution de l emploi d Argenteuil-Bezons comparé à la situation en Ile de France Source Pôle Emploi 2010 traitement Sémaphores 68

69 Argenteuil-Bezons Activité économique Activité Activité Information et Communication Autres activités de services ( %) 1108 (+81%) Construction 3681 (+31%) Fabrication autres produits industriels Hébergement et restauration Activités immobilières Source : Pôle Emploi : Unistatis, données Activités selon code NAF-NA17 Données en nombre d emplois. Evolutions entre 2005 et (- 31%) 1040 (-26%) 266 (-37%) Un essor important des activités d information et communication (+1956% en 5 ans). L industrie constitue toujours le gros des offres déposées à Pôle Emploi, même si le secteur est en déclin. Services à la personne et à la collectivité Les demandes d emploi Les offres d emploi 2794 Industrie 585 Support à l entreprise 1734 Hôtellerierestauration Commerce, vente et grande distribution Marché du travail 1641 Transport et logistique Source : Pôle Emploi T Activités selon code ROME (v3). Données en nombre Demandes d emploi par agences Pôle Emploi ; offres d emploi par commune

70 EPCI Argenteuil - Bezons PACTE 2009 : Taux de chômage 2009 : 14,8%. Les demandeurs d emploi (chiffes ANPE 2008) : près de inscrits à l ANPE, dont 69% inscrits en catégorie 1. Parmi les demandeurs d emplois en catégorie 1, 13,3 des jeunes de moins de 25 ans et 46% de femmes. Les secteurs d activités dominants : industrie, commerce, services, construction. Entre 1997 et 2005, un recul des emplois dans la construction, l industrie et le commerce et une hausse dans le secteur des services (+67% d emplois). Depuis 1999, les principaux secteurs de recrutements sont l industrie et les services opérationnels: Industrie = aéronautique, pharmaceutique, composants électrique et électronique / Services opérationnels : location, sécurité, gestion des déchets. L offre de formation initiale : Antennes d Argenteuil de l IUT de Cergy-Pontoise en logistique et transport et organisation et gestion de la production 9 établissements de formation secondaire se répartissant les domaines de comptabilité/secrétariat/vente, production mécanique informatisée, maintenance mécanique/moulage/produits industriels, carrières sanitaires et sociales, électronique/électrotechnique/chaudronnerie, structure métallique, bio services Projet de mettre en place une filière mécatronique s appuyant sur les formations déjà existantes en mécanique, électronique, automatique proposées par les lycées Ronceray (Bezons) et J.Jaurès (Argenteuil) Dans l ensemble, un déficit d enseignement supérieur, limitant le développement des activités de recherche et le rapprochement avec le besoin des entreprises L apprentissage, 2 établissements agréés en tant que centre de formation d apprentis: Ecole Nationale Supérieure des Professions de l Automobile et du Motocycle et CFA AFFIDA (commerce-vente, secrétariat-comptabilité). Sur l année , 1043 jeunes de l agglomération ont suivi une formation en apprentissage, dont 164 une centre de formation localisé sur la CAAB. Depuis 2009, une Ecole de la Deuxième Chance (E2C) à Argenteuil : pour les jeunes 18 à 25 ans qui ont quitté le système scolaire sans qualification, formation en alternance et soutien à l élaboration du projet professionnel Formation continue: Existante sur le territoire dans les métiers de l aide à la personne, du secrétariat et de la comptabilité, de l environnement, de la vente et de la grande distribution grâce à l AFEC, l AFPA, AGRFORM, le GREAT Des actions d alphabétisation organisées notamment par l AFI et l AFEC Mais des possibilités de formation continue encore insuffisante en 2007: seuls 417 habitants de l Agglomération avaient bénéficié d un des dispositifs régional de formation continue. Les enjeux identifiés: Des difficultés spécifiques pour intégrer les populations de certaines quartier de l agglomération d Argenteuil Bezons dans l emploi, en raison d un déficit de formation et compétences de base. Plus de 30% des habitants rencontrent en effet des problèmes d alphabétisation. Un secteur industriel fort mais à conforter et dont la mutation doit être accompagnée, notamment en ce qui concerne les offres de formation initiales et continues. Un développement important du pôle tertiaire mais qui n emploie pas forcément des habitants du territoire. 44,9% des actifs travaillent dans le commerce, transports, services divers 30,2% dans l administration, l éduction, la santé et le social. 16,7% dans l industrie 8,2% dans le domaine de la construction. (chiffres 2009) Evolution de l offre de formation : Mise en place en 2010 d une plateforme de coordination de l offre de formation par la Maison de l Emploi Formation initiale : Ouvertures de sections «mécatronique» et «qualité logistique, industrielle et organisation» au site d Argenteuil de l IUT de Cergy- Pontoise Formation initiale et en alternance : Ouverture en 2012 d une antenne de l Université Paris 13 à Argenteuil en mécanique, banque et assurance, économie et finance internationale, gestion des entreprises et des organisations Apprentissage : Difficulté du recours à l apprentissage avec la contraction des moyens financiers dus à la crise économique 70

71 Matrice de spécialisation L évolution de l emploi dans le Val de France comparé à la situation en Ile de France Source Pôle Emploi 2010 traitement Sémaphores 71

72 Val de France Activité économique Activité Activité Construction 2796 (+37%) Admin. Pub., enseign., santé & social Hébergement et restauration 2959 (+11%) 951 (+19%) Fab. autres produits indus. Extr., énerg., eau, gestion déch. & dépol Commerce, répar. automobile & motocycle Source : Pôle Emploi : Unistatis, données Activités selon code NAF-NA17 Données en nombre d emplois. Evolutions entre 2005 et (- 44%) 672 (-34%) 3573 (-10%) L activité est portée par la construction (+37%), l administration publique et le sanitaire et social. Le premier secteur, la construction, semble cependant peu attirer les demandeurs d emploi (1365 souhaits pour le secteur) et peu recruter (158 offres) contrairement aux seconds. Marché du travail Le marché du travail est fortement concurrentiel, avec un nombre d offres très inférieur à la demande d emploi. Services à la personne et à la collectivité Les demandes d emploi Les offres d emploi 3624 Services à la personne et à la collectivité Transport et logisitique 2245 Transport et logistique Les secteurs dynamiques ne profitent pas à l emploi local. Commerce, vente et grande distribution 2051 Commerce, vente et grande distribution Source : Pôle Emploi T Activités selon code ROME (v3). Données en nombre Demandes d emploi par agences Pôle Emploi ; offres d emploi par commune. 317

73 EPCI Val de France PACTE 2009 : Taux de chômage 2007 : 20,6%. Les demandeurs d emploi (chiffes ANPE 2008) : plus de inscrits à l ANPE, dont 15% des jeunes de moins de 26 ans, 43% de femmes et 32% de demandeurs d emploi de longue durée, 66% sont des demandeurs d emploi de niveau de formation égal ou inférieur à 5. Les secteurs d activités dominants : commerce de détail, services aux entreprises, construction ; secteur de l éducation et de la santé. La filière «Mécanique Industrielle» qui est source d investissement, de recrutement et d innovation pour le parc d activités Val de France Faible offre d emploi sur l agglo. Selon les chiffres de l ANPE, environ 400 offres par an. Depuis 2002, les principaux secteurs de recrutements sont l industrie et le service aux entreprises : Industrie = mécanique industrielle, imprimerie, textile / Services aux entreprises : conseil et d assistance aux entreprises (Sarcelles regroupe 1/3 des établissements du territoire de la Plaine de France et Val de France). L offre de formation initiale : Projet à moyen-terme d ouvrir une section bâtiment à l Institut des Métiers de l Artisanat dépendant de la Chambre de Métiers de Villiers-le-Bel. lycées Pierre Mendès-France à Villiers-le-Bel avec pôle énergétique froid et climatisation Lycée Arthur Rimbaud à Georges les Gonesse avec carrosserie, mécanique, maintenance automobile Antenne de Sarcelles de l IUT de Cergy-Pontoise en génie électrique et informatique industrielle, robotique et réseaux industriels, technique de commercialisation. Mais dans l ensemble, l offre de formation spécialisée est insuffisante. L apprentissage, 2 établissements agréés en tant que centre de formation d apprentis pour une capacité de 747 places: 15 places pour un diplôme d infirmier/ Institut des métiers de l artisanat (IMA) de Villiers le Bel avec 732 places (soit 98% de l offre d apprentissage) 36% dans les métiers de l automobile et 54% dans les métiers de bouche et de la restauration. 78% des jeunes recrutés en contrat d apprentissage sur le Val de France préparent un diplôme de niveau 5 (BEP ou CAP) ou 4 (BAC ou certains brevets), dont 42% dans les métiers du bâtiment, 32% dans les métiers de la coiffure et esthétique, 32% dans les métiers de bouche, hôtellerie, restauration et 20% dans les métiers de la vente. Formation continue: Existante sur le territoire dans les métiers de l aide à la personne, le transport, la logistique, l hôtellerie et restauration, la vente et distribution. Les formations relatives aux métiers du bâtiment sont assurées par le GRETA Val de France situé à proximité de l agglo. Il y a aussi un centre AFPA sur les métiers du bâtiment mais à Bernes sur Oise, qui est difficile d accès en transport en commun. Un autre centre AFPA à Gonesse sur les formations tertiaires de services, sécurité, logistique et les métiers liés à l aéroportuaire Les enjeux identifiés: Des difficultés spécifiques pour intégrer les populations de certaines zones du Val de France dans l emploi, et notamment pour les faire bénéficier des opportunités existantes autour de l aéroport en raison d un déficit de formation et d un manque de compétences de base (savoir être) pour accéder aux métiers de service et de contact client et des difficulté d accès par manque d infrastructure de transport. Les grands projets peuvent induire le développement d une forte soustraitance (BTP, aménagement, transports) artisanale de niveau 2 et 3 ainsi que pour le commerce de proximité. Pistes de réflexion: formation compétences clés pour pouvoir intégrer les métiers qui émergeront des projets dans le domaine hôtelier et commercial autour de l aéroport de Roissy. Évaluer la capacité d accueil de l offre en apprentissage dans le domaine de la restauration; Vérifier l accessibilité et la disponibilité de l offre de formation dans le bâtiment et les travaux publics. Favoriser la création d activité par le biais de l accompagnement à la création-reprise. 43% des actifs travaillent dans le domaine de l administration, de l éduction, de la santé et du social. 13% dans le commerce et la réparation automobile. 11% dans le domaine de la construction. 10% dans les services administratifs et de soutien aux entreprises. Evolution de l offre de formation: Formation initiale : Abandon du projet d ouverture d une section bâtiment à Villiers-le-Bel (ouverture à Cergy à horizon 2015). Apprentissage : ouverture en 2011 d une section «soin à la personne - coiffure» dans le cadre de l institut des Métiers de la CMA à Villiers-le-Bel. Difficultés de recrutement d apprentis en mécanique automobile et réparation (< 70%) Remplissage satisfaisant du pôle alimentaire. 73

74 Matrice de spécialisation L évolution de l emploi à Roissy Porte de France comparé à la situation en Ile de France Source Pôle Emploi 2010 traitement Sémaphores 74

75 Roissy Porte de France Activité économique Activité Activité Transport et entreposage Information et communication Act. spé., sci. & tech., svces adm. & act. Soc (+380%) 394 (+223%) (+17%) Activités immobilières Fabrication autres produits industriels Commerce, répar. automobile & motocycle Source : Pôle Emploi : Unistatis, données Activités selon code NAF-NA17 Données en nombre d emplois. Evolutions entre 2005 et (- 45%) 2293 (-18%) 8389 (-1%) L activité est portée par les transports et entreposage (+380%) et l information et communication (+22%). Marché du travail Les offres d emploi les plus nombreuses ne concernent toutefois pas le secteur du transport et de la logistique (219 offres), mais celui des services à la personne et à la collectivité (580 offres). Les demandes d emploi Non disponible : pas de données pour les agences correspondants à l EPCI Roissy Porte de France Les offres d emploi Services à la personne et à la collectivité 580 Transport et logistique 219 Commerce, vente et grande distribution 317 Source : Pôle Emploi T Activités selon code ROME (v3). Données en nombre Demandes d emploi par agences Pôle Emploi ; offres d emploi par commune.

76 EPCI Roissy Porte de France Description des principales caractéristiques de l EPCI: Le territoire est marqué par la prédominance des activités liées au transport et à l entreposage (NAF 49, 50, 51, 52, 53) qui regroupe plus de salariés. Les activités liées au transport aérien sont largement prédominantes puisqu elles occupent 76% des effectifs mentionnés ( personnes). Répartition des emplois par fonction: Le territoire concentre 50% des fonctions transversales (fonctions logistique et entreposage). Les fonctions métropolitaines sont également largement représentées, (24% des fonctions métropolitaines du Val d Oise) : 31% des fonctions liées au commerce interentreprises du département, 29% des prestations intellectuelles, 23% des activités de gestion, 15% des fonctions de conception-recherche et de culture et loisirs dans le département. Les fonctions métropolitaines sont concentrées autour de Roissy-en-France, de Goussainville. Les fonctions liées au service (fonctions présentielles), dont l hôtellerie-restauration et une partie du commerce de proximité sont particulièrement concentrées sur la commune de Roissy-en-France (47%), indiquant que ces fonctions sont particulièrement liées aux activités de l aéroport sur le territoire. L emploi se caractérise par un niveau de qualification faible ou intermédiaire, les fonctions métropolitaines «supérieures» étant très peu représentées (cf. estimation quantitative et qualitative Ecodev), ce qui est a priori favorable pour les populations locales, même si le fort niveau de spécialisation des activités élargi la zone de recrutement. le GIP de Roissy est en charge du suivi des questions d emploi et de formation Difficultés spécifiques pour pourvoir certains postes sur le territoire Une démarche de GPEC-T menée par la MDE de l Est Val d Oise est en cours sur le territoire. Mise en place de la démarche STEP : information, conseil en évolution professionnelle, accompagnement. Les enjeux du territoire : Un territoire fortement impacté par le Grand Paris dans sa connexion au reste du Val d Oise. Le triangle de Gonesse constitue une importante réserve foncière > développement de projets majeurs portés par des investisseurs. Les acteurs du territoires poussent au développement d une zone aéroportuaire de dimension internationale tournée vers le commerce et les services en plus des fonctions logistiques et de transport : Projet Aerotropolis Europe (porté par Fedex) : favoriser le développement d un écosystème d entreprises logisitques Centre commercia d Aéroville (Tremblay-en-France et Roissy-en-France) > ouverture fin 2013 Aménagement d Aérolians, parc d activités au sud du territoire Ouverture de l International Trade Center à horizon

77 ANNEXE 1 Acteurs rencontrés 77

78 Acteurs rencontrés Individuellement ou en groupe, ont été rencontrés les acteurs suivants : UT 95 DIRECCTE Partenaires sociaux membres du comité de pilotage, ainsi que UMIH ile de France, CAPEB, FFB CRIF Maison de l'information sur la formation et l'emploi de Cergy-Pontoise, MDE Haut Val d'oise, MD2E OPCALIA, AGEFOS PME CEEVO CMA, CCI CACP, CALP, CA d Argenteuil Bezons, CA de Montmorency OPCALIA, AGEFOS PME AFILOG, ANFA Comité mécanique d'idf DEFI Mécatronique, ASSOCIATION INTER-ENTREPRISES DES BASSINS TERRITORIAUX DU CENTRE VAL D'OISE, CLUB ACE (ACTION CERGY-PONTOISE ENTREPRISES,, ), GIE des parcs d activités de Saint-Ouen l Aumône, GEYVO (Groupement d'employeurs des Yvelines et du Val d'oise) Entreprises (ROCH SERVICE, STE DIFFUSION AMEUBLEMENT WEISS, GARCIA RECTIFICATION, OCP, EADS SECA, SCALES, SDI, ENGRENAGES RIBAUT, L. M. V. D. Sarl, Foucaud Régis Isolation) 78

79 La R&D dans le Val d Oise quelques indicateurs d activité 79

80 L effort de R&D des entreprises en Ile-de-France Le Val d Oise ne compte pas parmi les départements participant le plus fortement à l effort de R&D au niveau régional, cet effort étant concentré sur 3 départements : les Hauts-de-Seine, les Yvelines (2/3 de la recherche privée) et Paris. L Ile de France reste dans son ensemble la région la plus dynamique en la matière. En Ile de France, l effort de R&D, apprécié en fonction de la dépense interne de recherche & développement des entreprises (DIRDE) se répartit de la façon suivante: Compte-tenu de ses spécialités sectorielles dans l aéronautique, les transports aériens, l électronique, la chimie, le département du Val d Oise dispose d atouts pour participer pleinement à l effort régional de R&D. 80

81 Une baisse régulière des demandes de brevet dans le département depuis 2007 Une évolution négative du nombre dépôt de brevets entre 2010 et 2011 dans le département, accusant une baisse importante, de -14,8% (Source: INPI) Evolution : moyenne nationale +0,1% La situation du département est dégradée en comparaison avec la moyenne nationale mais suit le mouvement de baisse de dépôt de brevets au niveau régional, dans des proportions renforcées. Un mouvement continu de baisse des demandes de brevets depuis plusieurs années: Evolution : moyenne nationale +0,9% Ces chiffres ne sont pas révélateurs des efforts de recherche entrepris dans le département, mais révèlent en tous cas une difficulté à faire valoir et mettre sur le marché les innovation. La création de valeur liée à l innovation est faible dans le département. 81

82 Répartition des demandes de brevets par domaine technologique et par département (Source : INPI (OPI) 2012) 82

83 Répartition des demandes de brevets par domaine technologique et par département (Source : INPI (OPI) 2012) Comparé aux autres départements franciliens, le nombre de demandes de brevets est faible, le département se situant en dernière position au niveau régional. En 2012, le secteur des machines, de la mécanique et des transports reste le domaine dans lequel le plus grand nombre de brevets a été déposé (127), en diminution cependant par rapport aux chiffres de 2009 (140 brevets déposés dans ce domaine). Ce domaine compte pour près de 50% des brevets demandés dans le département. Entre 2009 et 2011, tous les domaines voient le nombre de demandes de brevets diminuer mis à part la chimie, où la demande de brevets passe de 43 à 46, porté par le secteur pharmaceutique dans le département (11 demandes concernant des produits pharmaceutiques en 2011). On note également une progression de niche au sein du domaine électrique et électronique, avec l augmentation de la demande de brevets pour les machines et équipements électriques, l énergie électrique, confirmant ainsi le développement d une compétence départementale (12 demandes en 2009, 18 en 2011). Les sous-secteurs les plus «innovants» en terme de demande de brevets sont et restent les composants mécaniques (22 demandes en 2011) et les transports (52 demandes en 2011). 83

84 ANNEXE 2 Lecture d un matrice de spécialisation 84

85 L intérêt des est matrices de spécialisation est double : Comprendre la dynamique des filières du territoire sur une période donnée Visualiser le poids respectif des filières du territoire par rapport à la moyenne nationale Présentées sous forme de graphes, les matrices de spécialisation donnent ainsi à voir sur un territoire cible : Les activités qui tirent le territoire Les activités en déclin (risque) Les activités qui sont en réserve de croissance (potentiel de croissance) Les activités en situation de faiblesse Les matrices de spécialisation sont construites selon la méthode suivante : Chaque secteur étudié est représenté par une «bulle» dont la taille est proportionnelle au nombre d emploi salarié ; Les «bulles» sont positionnées sur un graphique avec : o o Point méthodologique : lecture des matrices de spécialisation En ordonnées, l évolution de l emploi sur une période donnée En abscisses, le pourcentage de l emploi total du territoire que l emploi du secteur représente*, divisé par la part que le secteur représente au niveau national**. Exemple de lecture: le secteur de la construction en Corse a crû de 25% entre 2005 et 2010 pour atteindre environ emplois ; ce qui est proportionnellement au nombre d emplois salariés total 2 fois plus important que la moyenne nationale, ce qui en fait une spécialisation de la Corse. Ainsi, la construction est un secteur moteur en Corse. * (nombre d emplois salariés du secteur sur le territoire / nombre d emplois salariés total du territoire) x 100 **(nombre d emplois salariés du secteur au niveau national / nombre d emplois salariés total au niveau national) x

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