THEME 1-A ANALYSE DES RISQUES MICROBIOLOGIQUES DANS L ESTUAIRE DE SEINE

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "THEME 1-A ANALYSE DES RISQUES MICROBIOLOGIQUES DANS L ESTUAIRE DE SEINE"

Transcription

1 PROGRAMME SEINE AVAL 2 : ANNEE 2003 L analyse et la gestion environnementales Volet n 1 «recherche finalisée» THEME 1-A ANALYSE DES RISQUES MICROBIOLOGIQUES DANS L ESTUAIRE DE SEINE Coordinateur : Fabienne PETIT, Laboratoire de microbiologie du froid, UPRES 2123, Université de Rouen

2 Equipes impliquées dans le thème Laboratoire de parasitologie médicale ADEN EA 3436 CHU Rouen (L.Favennec) Ecologie des Systèmes Aquatiques, Université Libre de Bruxelles (P.Servais) LMDF UPRES 2123 Equipe Biodiversité et Environnement, Rouen (F.Petit) Chimie des contaminants et modélisation, IFREMER, Toulon (B.Thouvenin) 1

3 1 - OBJECTIFS ET DEMARCHE : Lors du programme Seine aval 1, la qualité sanitaire des eaux de l estuaire était appréhendée sous deux aspects, d une part un travail sur la dynamique des coliformes fécaux/thermotolérants dans la perspective d une modélisation, et en complémentarité avec les études développées dans le cadre du PIREN Seine, d autre part, des études plus spécifiques étaient menées sur la recherche de Salmonella et des entérovirus dans les eaux de l estuaire, en s aidant de méthodologies récentes plus appropriées à ce type d environnement. A l issue de cette première phase, un des objectifs clairement affiché du programme Seine aval 2 était l évaluation de la qualité sanitaire des eaux estuariennes, afin d identifier un risque sanitaire potentiel et de développer un outil prédictif, 6 actions du programme ont ainsi spécifiquement été définies : Amélioration de la connaissance des agents pathogènes présents en Seine Validité de l évaluation de la qualité microbiologique via la flore indicatrice Etude expérimentale de la dynamique des contaminants microbiens Modélisation de la dynamique des contaminants microbiens. Recherche d agent microbien traceur Recherches épidémiologiques dans le domaine microbien Dans le cadre du projet DYVA cette problématique a été étendue à l étude des vasières dans l action : Zones connexes, fonctionnement des vasières. Dès le début, l ensemble de ces travaux s est inscrit dans une démarche d analyse du risque, préconisée aujourd hui pour appréhender le risque sanitaire dans l environnement, où le danger étudié correspond à la présence d agents pathogènes à différents niveaux de l estuaire de Seine. Au cours de ces 3 années 3 équipes se sont impliquées dans ce thème ( L. Favennec, ADEN parasitologie, P. Servais, ESA, Université Libre de Bruxelles, CHU Rouen, F.Petit LMDF, Rouen). En 2003, dans le cadre de la modélisation de la dynamique des coliformes fécaux/thermotolérants, B.thouvenin (Ifremer, Toulon) et P.Dufrantel ( société Prolexia) ont participé à ce thème. Une stratégie d échantillonnage, commune à l ensemble des équipes impliquées dans cette thématique, reposait sur l analyse des eaux d amont en aval de l estuaire en intégrant la zone du bouchon vaseux où s accumulent les matières en suspension dans la colonne d eau, les vasières où se déposent les particules, les différentes sources potentielles de contamination bactérienne (apport amont, affluents et effluents traités de stations d épuration) et les moules de la baie de Seine, vecteurs potentiels de passage à l Homme. Dans le cadre du programme Seine aval 2 il a ainsi été possible de structurer les actions de recherche qui relevaient du thème «Analyse du risque sanitaire» en 3 volets d études complémentaires. Le premier volet était la recherche de bactéries pathogènes (y compris sous leur forme non cultivable) et de kystes de Cryptosporidium parvum et de Giardia duodenalis, à différents niveaux de l estuaire. La majorité des pathogènes responsables de toxi-infections d origine hydrique étant associés à une contamination fécale d origine humaine ou animale, la qualité microbiologique des eaux s évalue classiquement par le dénombrement de flores indicatrices de contamination fécale. Le suivi de ces flores, méthode indirecte, constitue un moyen efficace pour déceler des conditions qui peuvent être responsables de la présence d'organismes entéropathogènes et donc d une perte de la maîtrise de la qualité des eaux. Toutefois, en milieux marin ou estuarien, l utilisation de ces indicateurs peut être parfois confrontée à des interférences avec des microorganismes d origine autochtone pouvant conduire à une surévaluation du nombre de ces bactéries indicatrices de contamination fécale. Le second volet de cette étude a donc été d évaluer l abondance des flores indicatrices de contamination d origine fécale en estuaire de Seine afin d étudier la relation entre l abondance de ces flores et la présence de microorganismes pathogènes (Kystes de protozoaires, bactéries). Le troisième volet qui 2

4 s inscrivait dans la poursuite des travaux initiés dans le cadre du programme Seine aval 1, était la modélisation de la dynamique des coliformes fécaux/thermotolérants. L objectif a terme, est l élaboration d un modèle prédictif de la qualité sanitaire des eaux de l estuaire, qui intégrerait l ensemble des résultats des trois volets de cette étude, afin de prédire la probabilité de présence de ces pathogènes dans l estuaire en fonction de l abondance des coliformes fécaux/thermotolérants. 2 - SYNTHESE DES RESULTATS OBTENUS : Au cours de ces trois années d études, de nombreuses campagnes communes 1 ont été effectuées et l exploitation totale des données n est pas encore achevée. Une première synthèse des résultats les plus importants peut toutefois être réalisée. Présence de bactéries Salmonella, Listeria monocytogenes et de kystes de Cryptosporidium parvum et Giardia duodenalis, en estuaire de Seine Les principales sources d apport de ces 2 bactéries pathogènes et Giardia duodenalis dans l estuaire sont les effluents traités des STEP et certains affluents qui, au moins dans le cadre de nos campagnes, se sont révélés des sources de contamination importante (Robec, Risle). Par contre, Cryptosporidium parvum, de faible prévalence chez l homme mais qui correspond à la première cause de diarrhée chez les veaux, est retrouvée en quantité faible mais significative dans les effluents traités de STEP et est surtout présente dans les eaux de l Eure et du Robec. L étude de l impact de la contamination de ces affluents sur la présence de pathogènes dans l estuaire, demanderait à être poursuivie afin d augmenter le nombre de données. L analyse des eaux de l estuaire montre que la zone comprise entre les pk : 243 et 259,7 présente une plus forte probabilité d être contaminées par des Salmonella, et Giardia duodenalis quelles que soient les conditions hydrologiques, alors qu une contamination importante par Cryptosporidium n a été observée dans cette zone qu en période d étiage (juillet 03). la zone de l embouchure est moins souvent contaminé en Salmonella mais présente un niveau de contamination non négligeable en Cryptosporidium et en Giardia. La zone amont (dans la limite de notre échantillonnage), présente un niveau de contamination en pathogène bactérien et protozoaires plus faible que la zone de l agglomération rouennaise. Dans les eaux de l estuaire nous avons aussi observé une contamination en pathogènes issue du compartiment animal ou présent dans les sols, très probablement consécutive à des phénomènes de ruissellement. Ainsi, la présence de Listeria monocytogenes est souvent associée à des évènements pluvieux. L intérêt de l étude de cette bactérie qui perd rapidement sa cultivabilité et sa viabilité en milieu salin, est qu elle indique l éventualité d un apport de germes pathogènes via le ruissellement de sols, notamment ceux des zones pâturées. Les résultats obtenus sur Cryptosporidium parvum souligne aussi l importance de ce phénomène avec des données de typage moléculaire qui montre que les oocystes de Cryptosporidium présentes dans les dreissènes de l estuaire, appartiennent au génotype 2. Ce génotype est majoritairement retrouvé en Haute Normandie chez les bovins. 1 campagnes de prélèvements communes à 2 ou 3 équipes: eaux de Seine (7 campagnes SNS), bouchon vaseux (2 campagnes spécifiques), effluents de 5 STEP (2 campagnes) 7 affluents (3 à 4 campagnes), moules de baies de Seine (3 campagnes), dreissènes de l estuaires ( 3 campagnes, 4 sites), 3 vasières (9 campagnes), eaux de ruissellement (2 campagnes) 3

5 Relation entre l abondance de ces flores et la présence de microorganismes pathogènes (Kystes de protozoaires, bactéries). La relation entre la présence de ces pathogènes et l abondance des flores indicatrices montre tout d abord que le dénombrement des E.coli semble la flore indicatrice la plus pertinente dans la zone d eaux douces. La relation entre l abondance d E.coli et celle des coliformes fécaux/thermotolérants varie le long de l estuaire. L analyse des résultats de parasitologie montre aussi que la relation entre l abondance des coliformes fécaux/thermotolérants varie d un facteur 10 entre la zone du bouchon vaseux et la zone de l agglomération rouennaise. Il serait donc nécessaire d évaluer le facteur de pondération à introduire dans le modèle qui simule la dynamique des coliformes fécaux/thermotolérants dans l estuaire, en vue de l utiliser comme modèle prédictif pour évaluer la probabilité de présence de Salmonella et des kystes de parasites dans les eaux. Dans la partie plus saline, notamment la zone de l embouchure, il serait probablement nécessaire d utiliser les entérocoques comme flore indicatrice et de rechercher la relation existante entre la présence de pathogènes d origine fécale, résistant aux conditions de salinité et leur abondance à ce niveau de l estuaire. Les sédiments de vasières sont le siège d une contamination fécale avec des niveaux de contamination plus importants dans la vasière de Oissel. Ces sédiments, peu propices au maintien de la viabilité des bactéries d origine fécale, sont rarement contaminés par des Salmonella, même si il a été possible d isoler ces germes dans ces environnements hostiles. Dans ces conditions, ces vasières constituent plutôt des zones d épuration, voire des zones de stockage temporaire dans l hypothèse d une resuspension de sédiments contaminés très peu de temps après leur dépôts. Les premiers résultats des expériences de typage des souches d E.coli, considéré dans notre étude comme agent pathogène traceur, suggèrent la présence de différentes populations d E.coli le long de l estuaire sur la base des différences de profils de résistances aux antibiotiques. Cette étude qui doit être renforcée par une analyse statistique appropriée des données, et complétée par des expériences de typage moléculaire, et montre aussi la présence en milieu estuarien de souches E. coli multirésistantes. A défaut de constituer un risque sanitaire patent, en l absence d un passage à l homme démontré, ces résultats montrent également que l environnement estuarien peut constituer un réservoir de gènes de résistance susceptibles d être transférés à des bactéries sensibles. Dynamique des coliformes : quantification des sources et bilan des apports en coliformes fécaux dans l estuaire Afin de poursuivre l étude de la dynamique des coliformes fécaux/thermotolérants en estuaire de Seine initiée dans le cadre du programme Seine aval 1, une évaluation des principaux apports de ces microorganismes a été effectuée. En complément aux études préalablement effectuées sur les apports de l amont, un accent plus particulier a été porté sur l évaluation des sources diffuses de coliformes via le lessivage des sols, des affluents de la Seine et les eaux rejets d eaux usées par les STEPs intraestuariennes. Il a ainsi été possible dans un premier temps d établir un premier bilan comparatif des apports de coliformes à l estuaire pour un débit intermédiaire (débit de 568 m 3 /s) qui intègre les rejets de STEPS, les affluents et l apport amont présenté dans la figure ci dessous CF/jour (24%) Barrage de Poses STEPs Apport par l amont Estuaire de Seine Baie de Seine CF/jour (64%) Affluents CF/jour (12 %) 4

6 A débit plus élevé, vu l augmentation de la teneur en coliformes fécaux / thermotolérants avec le débit, la contribution de l amont devrait être encore plus importante que dans la situation décrite cidessus. Par contre, à débit d étiage (200 m 3 /sec à Poses), le flux de coliformes fécaux / thermotolérants venant de l amont serait de CF/jour, soit une valeur inférieure au flux sortant des STEPs dont on peut imaginer qu il est indépendant des conditions de débit. Dans ces conditions, on peut penser que les apports dominants de bactéries fécales seraient les rejets des STEPs intraestuairiennes. Puis, les apports de coliformes fécaux/thermotolérants des 7 principaux affluents se jetant dans l estuaire ont été étudiés et ont pu être estimés à 1, jusque 3, UFC/jour. Toutefois il n a pas été possible, à ce stade de l avancée des travaux, d intégrer l impact des variations des conditions hydrologiques. Dans une perspective de modélisation, ces travaux ont été complétés par des expérimentations en laboratoire afin d évaluer les différents processus contrôlant la dynamique des bactéries dans l estuaire : la disparition de ces coliformes fécaux dans les eaux estuariennes consécutif à une lyse, aux broutage par les protozoaires, à la sédimentation, et la perte de culturabilité. Ces différents paramètres indispensables à la modélisation ont ainsi pu être évalués. La relation entre les coliformes et les matières en suspension dans l estuaire ont mis en évidence l importance de la fraction des CF attachés aux MES dans l estuaire, en particulier dans la zone du bouchon vaseux. Il apparait donc important de distinguer ces deux groupes de bactéries lors de la modélisation. A cet effet, des mesures de la fraction de coliformes fécaux/thermotolérants attachés aux MES a été réalisées sur divers échantillons d eaux et a permis d estimer à environ 50 % la proportion de coliformes fécaux apportés par les rejets de STEPs, et à 15 % de CF attachés pour les eaux de Poses et ses affluents (des mesures complémentaires sont en cours de réalisation pour affiner ces pourcentages). Enfin, dans le modèle, une valeur de mortalité de h -1 qui intègre la perte de culturabilité a été estimée pour les coliformes libres et de h -1 pour les coliformes attachés aux MES, en considérant qu ils ne sont pas affectés par le broutage par les protozoaires, ni par la perte de culturabilité. Modélisation de la dynamique des CF avec le modèle SiAM-3D En 2003, un compartiment permettant de décrire la dynamique des CF dans l estuaire a été ajouté au modèle SiAM-3D et des premières simulations ont été réalisées en utilisant l interface SimuSA développée par Ph. Dufrancatel de la Société Prolexia. Cette interface permet de lancer des simulations à distance et de récupérer les résultats de ces simulations. Une première simulation faite sur un profil longitudinal de la teneur en coliformes fécaux/thermotolérant ( formes libres et attachées aux MES) et en coliformes fécaux/thermotolérants attachés aux MES, pour une même situation de débit, a permis de mettre clairement en évidence l importance croissante des coliformes attachés aux MES de l amont à l aval, ce qui est en accord avec les résultats expérimentaux. De même, la simulation, après calcul de la fluctuation temporelle de la teneur en CF libres à Honfleur dans la zone du bouchon vaseux montre l importance des fluctuations liées au cycle de marée. La phase de validation du modèle qui consiste à comparer les données des calculs du modèle avec des données expérimentales est actuellement en cours de réalisation dans le cadre d une action affichée pour 2004 dans le programme Seine Aval. 3 - CONCLUSIONS PERSPECTIVES. L ensemble des informations acquises au cours de cette 2 ème phase du programme est encore en cours d exploitation, et doit donner lieu à une analyse commune par l ensemble des équipes impliquées dans cette thématique. Une analyse statistique des données acquises est en cours et 5

7 devraient être présentée lors du colloque de l ECSA en septembre 04. Deux thèses seront soutenues sur cette thématique (A.Touron, Microbio, Rouen ; T.Garcia-Armisen, ESA bruxelles) et la rédaction de publications communes est envisagée. Même si dans le cadre du programme Seine aval 3, il n a pas été retenu clairement un thème sur l analyse du risque sanitaire, il semble important de poursuivre les études entamées. En terme de risque sanitaire, l identification des différents apports en pathogènes bactériens et parasites montre l importance de l impact des rejets de l agglomération rouennaise et des affluents sur la présence de pathogènes dans les eaux de seine. Ces travaux mériteraient d être poursuivis. Il devraient être complétés par les résultats de l étude sur l impact des évènements pluvieux, action retenue dans le cadre du programme Seine aval 3. La modélisation sur la dynamique des coliformes dans l estuaire doit être poursuivie par une validation du modèle avec des données de terrain. Il serait aussi intéressant de prendre en compte la dynamique des bactéries sur toute la colonne d eau, principalement liée aux cycles de marée, et de renforcer les données acquises dans la zone de l embouchure de l estuaire. Ce modèle sur la dynamique des coliformes fécaux/thermotolérants doit pouvoir constituer un outil d aide à la décision, particulièrement pour les gestionnaires de STEPs, afin de maîtriser la qualité microbiologique des eaux de l estuaire (versus abondance des coliformes fécaux/thermotolérants) via les rejets des effluents traités dans l estuaire. Il est aussi important de poursuivre le travail sur la modélisation de la dynamique des flores des coliformes fécaux/thermotolérants car ce modèle doit pouvoir servir de base pour établir à terme, un modèle prédictif sur la probabilité de présence de différents pathogènes dans les eaux de Seine. En effet, dans un premier temps il devrait être envisageable d élaborer un modèle prédisant la probabilité de présence de Salmonella et de kystes de Giardia, au moins dans la partie eaux douces, à partir du modèle sur la dynamique des coliformes fécaux/thermotolérants. Pour cela il serait nécessaire de poursuivre l étude de la relation entre l abondance d E.coli et celle des coliformes fécaux/thermotolérants d une part, et l étude de la relation entre la présence de pathogène et l abondance d E.coli d autre part. Enfin, pour permettre à ce modèle d appréhender le risque sanitaire dans son ensemble, il serait indispensable de compléter les études initiées en bactériologie et en parasitologie par le volet virologie. Il est à noter que le suivi de la qualité microbiologiques des dreissènes semble un outil approprié pour l évaluation de la contamination des eaux de l estuaire en parasitologie et très probablement pour l avenir en virologie. A défaut de conclure à un risque sanitaire lié a la consommation des moules de baies de Seine, car il faudrait que le passage à l homme soit démontré, cet outil devrait constituer un outil d aide à la décision sur l usage des eaux de Seine à des fins récréatives. En effet, si aujourd hui l usage des eaux de l estuaire est essentiellement destiné au transport fluvial, voire à la pêche pour la zone de l embouchure. Pour autant, l usage des eaux à des fins récréatives est loin d être anecdotique (base jeunesse et sports d Hénouville, base de voile de St Aubin les elbeufs, base d avirons à Rouen.) sans oublier l usage des eaux de Seine pour l irrigation. 6

Rapport Scientifique Seine-Aval 3

Rapport Scientifique Seine-Aval 3 Rapport Scientifique Seine-Aval 3 Séminaire Seine-Aval 2008 Fiches de synthèse des propositions SA4 THEME 1 : MORPHO-DYNAMIQUE, CYCLES DES VASES ET CONTAMINANTS ASSOCIES ANALYSE DU RISQUE MICROBIOLOGIQUE

Plus en détail

Science et technique. La température et la durée de stockage sont des facteurs déterminants. Viande bovine et micro-organisme pathogène

Science et technique. La température et la durée de stockage sont des facteurs déterminants. Viande bovine et micro-organisme pathogène Science et technique Viande bovine et micro-organisme pathogène La température et la durée de stockage sont des facteurs déterminants La contamination des carcasses lors des opérations d abattage et la

Plus en détail

Contexte réglementaire en hygiène alimentaire

Contexte réglementaire en hygiène alimentaire Contexte réglementaire en hygiène alimentaire 1 Réforme de la législation communautaire pour la restauration collective Approche traditionnelle = obligation de moyens Réglementation Arrêté Ministériel

Plus en détail

CATALOGUE DE PRESTATIONS FORMATION ET CONSEILS

CATALOGUE DE PRESTATIONS FORMATION ET CONSEILS (1/30pages) CATALOGUE DE PRESTATIONS FORMATION ET CONSEILS ANNEE : 2015 Date de mise à jour : 09/03/2015 1 - Microbiologie des eaux - Microbiologie des aliments Formation technique de Microbiologie HYGIÈNE

Plus en détail

Intrants médicamenteux en agriculture et en santé : les écosystèmes microbiens sont-ils un problème ou une solution?

Intrants médicamenteux en agriculture et en santé : les écosystèmes microbiens sont-ils un problème ou une solution? Les Rencontres de l Inra au Salon de l agriculture Intrants médicamenteux en agriculture et en santé : les écosystèmes microbiens sont-ils un problème ou une solution? Lundi 23 février 2015 Programme 14h30

Plus en détail

22/12/11. Plan de la présentation

22/12/11. Plan de la présentation http://www.dda.ulg.ac.be L appréciation quantitative du risque microbiologique et la microbiologie prévisionnelle pour les entreprises. La microbiologie prévisionnelle Deux exemples simples L appréciation

Plus en détail

Brest (29) Lessay (50), 12-13 Mars 2012

Brest (29) Lessay (50), 12-13 Mars 2012 Conclusions Projet Aquamanche Aquatic management of catchments for health and environment Gestion des eaux des bassin versants pour la santé et l environnement Brest (29) Lessay (50), 12-13 Mars 2012 Les

Plus en détail

5. Matériaux en contact avec l eau

5. Matériaux en contact avec l eau Monitoring de la qualité Microbiologique de l eau potable dans les réseaux de distributions Intérêt de l utilisation d un kit de mesure rapide de la flore totale UTLISATIONS 1. Surveillance de Réseau mixte

Plus en détail

Sensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments

Sensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments Sensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments Le respect des bonnes pratiques d hygiène de fabrication, par chaque opérateur, constitue le préalable à toute démarche de maîtrise de la sécurité

Plus en détail

Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau

Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau 2009 La rivière Sainte Croix au barrage de Forest City Figure 1 : Rivière Sainte Croix, à la hauteur de la station de monitoring durant l

Plus en détail

de l air pour nos enfants!

de l air pour nos enfants! B u l l e t i n d e l O Q A I n 1 Crèches et lieux d enseignement : de l air pour nos enfants! Le programme de l OQAI «Lieux de vie fréquentés par les enfants» a débuté en 2006. Une première phase de recueil

Plus en détail

Gestion de l assainissement et qualité des eaux de baignade à Marseille

Gestion de l assainissement et qualité des eaux de baignade à Marseille Gestion de l assainissement et qualité des eaux de baignade à Marseille Sewer network management and the quality of bathing water in Marseille Laplace D.* Garro Y.* Rovera A.* Jiannetti S. ** Guivarch

Plus en détail

Liste des matières enseignées

Liste des matières enseignées Liste des matières enseignées Domaine : Sciences de la Nature et de la Vie Filière : Biologie Parcours : Tronc Commun Semestre1 VHG Coefficient Cours TD/TP Crédits/s. unité crédits U.E fondamental : 13

Plus en détail

Il est bien établi que le réseau d eau hospitalier peut

Il est bien établi que le réseau d eau hospitalier peut Les micro-organismes de l eau impliqués dans les infections nosocomiales Depuis 2001 chez Pall, en charge de l information scientifique et réglementaire dans les domaines d applications couverts par la

Plus en détail

Le 10 ème programme (2013-2018) de l Agence de l eau Seine-Normandie

Le 10 ème programme (2013-2018) de l Agence de l eau Seine-Normandie Le 10 ème programme (2013-2018) de l Agence de l eau Seine-Normandie Les aides aux activités économiques Franck LEROY Responsable du Service Investissements Collectivités et Industrie Direction Seine Aval

Plus en détail

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre

Plus en détail

Les débouchés des diplômés de L LMD Sciences de la Nature et de la Vie

Les débouchés des diplômés de L LMD Sciences de la Nature et de la Vie Les débouchés des diplômés de L LMD Sciences de la Nature et de la Vie Pour quel métier vous êtes fait? Des doutes sur ta formation actuelle : faut-il poursuivre? Vous avez une idée de métier mais est-ce

Plus en détail

CATALOGUE DE FORMATION. Qualité Hygiène et Sécurité Alimentaire. Au service des professionnels des métiers de bouche sur tout le territoire national

CATALOGUE DE FORMATION. Qualité Hygiène et Sécurité Alimentaire. Au service des professionnels des métiers de bouche sur tout le territoire national Qualité Hygiène et Sécurité Alimentaire 2015 Au service des professionnels des métiers de bouche sur tout le territoire national CATALOGUE DE FORMATION Enregistré sous le numéro 53350863735 auprès du Préfet

Plus en détail

formations professionnelles fin 2014 / début 2015 hygiène alimentaire en restauration collective audit, conseil et formation professionnelle

formations professionnelles fin 2014 / début 2015 hygiène alimentaire en restauration collective audit, conseil et formation professionnelle audit, conseil et formation professionnelle Stage 1 Bonnes pratiques d hygiène en restauration collective 19 et 26 novembre Stage 2 Règles d hygiène lors du service 3 décembre Stage 3 Le nettoyage et la

Plus en détail

CENTRALES HYDRAULIQUES

CENTRALES HYDRAULIQUES CENTRALES HYDRAULIQUES FONCTIONNEMENT Les différentes centrales hydrauliques Les centrales hydrauliques utilisent la force de l eau en mouvement, autrement dit l énergie hydraulique des courants ou des

Plus en détail

Le monitoring de la qualité

Le monitoring de la qualité SÉDIMENTS RIVES RESSOURCES BIOLOGIQUES 3 e édition Le monitoring de la qualité des eaux marines dans les secteurs coquilliers Cap Piailleur, Îles-de-la-Madeleine Photo : Martin Rodrigue, Environnement

Plus en détail

DÉMARCHE HACCP RESTAURATION. Guide pour l analyse des dangers. Restauration commerciale Restauration collective à caractère social

DÉMARCHE HACCP RESTAURATION. Guide pour l analyse des dangers. Restauration commerciale Restauration collective à caractère social DÉMARCHE HACCP EN RESTAURATION Guide pour l analyse des dangers Restauration commerciale Restauration collective à caractère social Ce livre a obtenu un prix dans la catégorie ouvrages professionnels -

Plus en détail

Etude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau

Etude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau Etude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau Gilbert LE BRAS (IUT de st nazaire, Dépt. Génie Civil) Alain ALEXIS (GeM) 1/42 Introduction Domaine

Plus en détail

Etude comparative de l'efficacité des traitements d'épuration des eaux usées pour l'élimination des micro-organismes pathogènes

Etude comparative de l'efficacité des traitements d'épuration des eaux usées pour l'élimination des micro-organismes pathogènes Université Libre de Bruxelles IGEAT Institut de Gestion de l'environnement et d'aménagement du Territoire * * * Diplôme d'etudes Spécialisées en Gestion de l'environnement Etude comparative de l'efficacité

Plus en détail

Environmental Research and Innovation ( ERIN )

Environmental Research and Innovation ( ERIN ) DÉpartEment RDI Environmental Research and Innovation ( ERIN ) Le département «Environmental Research and Innovation» (ERIN) du LIST élabore des stratégies, des technologies et des outils visant à mieux

Plus en détail

LA GESTION DES EVENEMENTS PLUVIEUX

LA GESTION DES EVENEMENTS PLUVIEUX SMART WATER NETWORKS LA GESTION DES EVENEMENTS PLUVIEUX Les défis posés au gestionnaire du système d assainissement La sécurité des biens et des personnes Anticiper et limiter les risques de débordements

Plus en détail

Est-elle bonne à boire?

Est-elle bonne à boire? Environnement et Travail Gestion de l environnement et des aires naturelles L eau de votre puits Est-elle bonne à boire? 1 Cette série de brochures décrit ce que les propriétaires de puits privés peuvent

Plus en détail

Spécialisation 3A AgroSup Dijon IAA Microbiologie Industrielle et Biotechnologie (MIB)

Spécialisation 3A AgroSup Dijon IAA Microbiologie Industrielle et Biotechnologie (MIB) Spécialisation 3A AgroSup Dijon IAA Microbiologie Industrielle et Biotechnologie (MIB) Responsable : Jean-François Cavin (Pr. Microbiologie Biotechnologie) Tel 03 80 77 40 72, Fax 03 80 77 23 84 jf.cavin@agrosupdijon.fr

Plus en détail

MASTER (LMD) GESTION DE DONNEES ET SPATIALISATION EN ENVIRONNEMENT (GSE)

MASTER (LMD) GESTION DE DONNEES ET SPATIALISATION EN ENVIRONNEMENT (GSE) MASTER (LMD) GESTION DE DONNEES ET SPATIALISATION EN ENVIRONNEMENT (GSE) RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine ministériel : Sciences, Technologies, Santé Mention : STIC POUR L'ECOLOGIE

Plus en détail

Site d étude. Résultats

Site d étude. Résultats Avec la collaboration de l Université de Bretagne Occidentale, (Institut Universitaire Européen de la Mer, Laboratoire d'ecophysiologie et de Biotechnologie des Halophytes et Algues Marines) Site d étude

Plus en détail

Objet : Critères microbiologiques applicables aux auto-contrôles sur les carcasses d'animaux de boucherie. Destinataires d'exécution

Objet : Critères microbiologiques applicables aux auto-contrôles sur les carcasses d'animaux de boucherie. Destinataires d'exécution Ordre de méthode Direction générale de l'alimentation Sous-direction de la sécurité sanitaire des aliments Bureau des établissements d'abattage et de découpe 251 rue de Vaugirard 75 732 PARIS CEDEX 15

Plus en détail

Une conférence-débat proposée par l Institut National de la Recherche Agronomique

Une conférence-débat proposée par l Institut National de la Recherche Agronomique Economies d'énergies dans les procédés agro-alimentaires : l'optimisation coût/qualité, un équilibre pas si facile à maîtriser Une conférence-débat proposée par l Institut National de la Recherche Agronomique

Plus en détail

Utilisation de produits sains et sûrs Mise en oeuvre de procédures strictes et rigoureuses

Utilisation de produits sains et sûrs Mise en oeuvre de procédures strictes et rigoureuses INTRODUCTION H.A.C.C.P. ou A.R.M.P.C. L Analyse des risques et maîtrise des points critique La nouvelle réglementation en matière d hygiène (ar. 09 mai 1995 et ar. 29 septembre 1997) oblige les responsables

Plus en détail

Qualité. Sécurité Alimentaire

Qualité. Sécurité Alimentaire Le service Qualité Présentation du Service Démarche Qualité Qualité Réalisation des dossiers d agrément sanitaire pour les cuisines centrales >60 affermés API Réalisation des dossiers d accréditation en

Plus en détail

CATALOGUE DE FORMATIONS 2014 2015

CATALOGUE DE FORMATIONS 2014 2015 CATALOGUE DE FORMATIONS 2014 2015 Professionnels de l alimentation 06.47.75.88.57 HQSA Consulting contact@hqsafrance.fr Numéro de déclaration de prestataire de formation : SIRET SIRET : 804 : 284 284 420

Plus en détail

ÉVALUATION DES RISQUES SANITAIRES D ORIGINE HYDRIQUE À L AIDE DE MODÈLES D ÉVALUATION QUANTITATIVE DU RISQUE

ÉVALUATION DES RISQUES SANITAIRES D ORIGINE HYDRIQUE À L AIDE DE MODÈLES D ÉVALUATION QUANTITATIVE DU RISQUE ÉVALUATION DES RISQUES SANITAIRES D ORIGINE HYDRIQUE À L AIDE DE MODÈLES D ÉVALUATION QUANTITATIVE DU RISQUE PIERRE PAYMENT, CENTRE INRS-INSTITUT ARMAND-FRAPPIER Réseau canadien de l eau ÉVALUATION DES

Plus en détail

Comment concevoir son lit biologique

Comment concevoir son lit biologique santé - sécurité au travail > RISQUE PHYTOSANITAIRE Gestion des effluents phytosanitaires Comment concevoir son lit biologique > Choix du procédé > Méthode de conception > Construction du lit biologique

Plus en détail

Capteurs Passifs et Outils de Monitoring des Sédiments

Capteurs Passifs et Outils de Monitoring des Sédiments .Un préalable indispensable : Caractérisation des sédiments / Connaissance de l impact environnemental Projet CaPMoS : Capteurs Passifs et Outils de Monitoring des Sédiments Claire Alary (Mines Douai)

Plus en détail

Incertitude et variabilité : la nécessité de les intégrer dans les modèles

Incertitude et variabilité : la nécessité de les intégrer dans les modèles Incertitude et variabilité : la nécessité de les intégrer dans les modèles M. L. Delignette-Muller Laboratoire de Biométrie et Biologie Evolutive VetAgro Sup - Université de Lyon - CNRS UMR 5558 24 novembre

Plus en détail

PROFIL DE VULNERABILITE DES EAUX DE BAIGNADE Plage Boulevard de la Plage à VER-sur-MER RAPPORT DE SYNTHESE

PROFIL DE VULNERABILITE DES EAUX DE BAIGNADE Plage Boulevard de la Plage à VER-sur-MER RAPPORT DE SYNTHESE Département Calvados Institution Interdépartementale du Bassin de l Orne PROFIL DE VULNERABILITE DES EAUX DE BAIGNADE Plage Boulevard de la Plage à VER-sur-MER RAPPORT DE SYNTHESE RT DSD 10015EZ phase1-017

Plus en détail

La réalisation d essais en réacteur pilote en vue d une demande d homologation de digestat

La réalisation d essais en réacteur pilote en vue d une demande d homologation de digestat La réalisation d essais en réacteur pilote en vue d une demande d homologation de digestat M CORDELIER, JF. LASCOURREGES, C. PEYRELASSE, C.LAGNET, P.POUECH 4 ième Journées Industrielles Méthanisation 4

Plus en détail

MASTER (LMD) PARCOURS MICROORGANISMES, HÔTES, ENVIRONNEMENTS (MHE)

MASTER (LMD) PARCOURS MICROORGANISMES, HÔTES, ENVIRONNEMENTS (MHE) MASTER (LMD) PARCOURS MICROORGANISMES, HÔTES, ENVIRONNEMENTS (MHE) RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine ministériel : Sciences, Technologies, Santé Mention : BIOLOGIE DES PLANTES

Plus en détail

1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES

1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES AVANT-PROPOS Le présent document a été réalisé par ASCONIT Consultants, pour le compte du Conseil Général de Haute-Savoie (CG74) dans le cadre du programme 2007-2008 du suivi de la qualité des eaux des

Plus en détail

Le Guide d aide à la VALIDATION des MESURES de MAITRISE des dangers bactériologiques ACTION QUALITE

Le Guide d aide à la VALIDATION des MESURES de MAITRISE des dangers bactériologiques ACTION QUALITE Le Guide d aide à la VALIDATION des MESURES de MAITRISE des dangers bactériologiques ACTION QUALITE Logo CERVIA Parce que l enjeu alimentaire est plus que jamais un défi pour demain, le CERVIA PARIS Ilede-France,

Plus en détail

Rapport de stage. «Travail préparatoire à l estimation du coût d une bonne qualité des eaux de baignade sur le littoral Aquitain»

Rapport de stage. «Travail préparatoire à l estimation du coût d une bonne qualité des eaux de baignade sur le littoral Aquitain» GRAPE-CEEP Rapport de stage «Travail préparatoire à l estimation du coût d une bonne qualité des eaux de baignade sur le littoral Aquitain» Vallette Jean-Vincent Master II Gestion des Ressources Naturelles

Plus en détail

Décrire l'ensemble des mesures de maîtrise et des mesures de surveillance dans des procédures ou modes opératoires portés à la connaissance de tous.

Décrire l'ensemble des mesures de maîtrise et des mesures de surveillance dans des procédures ou modes opératoires portés à la connaissance de tous. DEMARCHE HACCP EN CUISINE CENTRALE Alimentation GROSJEAN L, Vénissieux Juin 2010 Objectif La démarche HACCP (de l'américain Hazard Analysis Critical Control Point) est une méthode préventive visant à maîtriser

Plus en détail

Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes

Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes Direction générale de la santé Sous-direction «Prévention des risques liés à l environnement et à l alimentation» Bureau «Qualité des

Plus en détail

PROCÉDURE DE MISE EN FORME DES DONNÉES NÉCESSAIRES À L OUTIL D AIDE À LA GESTION DES MILIEUX LAGUNAIRES EUTROPHISÉS

PROCÉDURE DE MISE EN FORME DES DONNÉES NÉCESSAIRES À L OUTIL D AIDE À LA GESTION DES MILIEUX LAGUNAIRES EUTROPHISÉS PROCÉDURE DE MISE EN FORME DES DONNÉES NÉCESSAIRES À L OUTIL D AIDE À LA GESTION DES MILIEUX LAGUNAIRES EUTROPHISÉS 1 I. OÙ TROUVER LES DONNÉES ET COMMENT LES ACQUÉRIR I. Où trouver les données et comment

Plus en détail

INTEGREE DES RESSOURCES EN EAU

INTEGREE DES RESSOURCES EN EAU Forum de l eau de Kyoto Contribution à la session du RIOB «Les progrès réalisés dans le monde dans la gestion intégrée des ressources en eau par bassin» GESTION INTEGREE DES RESSOURCES EN EAU Par M. Jean-Michel

Plus en détail

Le bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose

Le bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose Le bac à graisses Schéma de principe Lorsqu on a une longueur de canalisation importante entre la sortie des eaux de cuisine et la fosse septique toutes eaux, il est fortement conseillé d intercaler un

Plus en détail

Hygiène alimentaire en restauration collective

Hygiène alimentaire en restauration collective Catalogue de formations 2012 Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration collective Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or 1 2 3 4 5 6 7 8 Sommaire Sensibilisation à l hygiène alimentaire

Plus en détail

COMMENTAiRES/ DECISIONS

COMMENTAiRES/ DECISIONS Plate-forme d'échanges affichage environnemental des PGC Date : 2009-12-21 Assistante: Lydia GIPTEAU Ligne directe : + 33 (0)1 41 62 84 20 Lydia.gipteau@afnor.org GT Méthodologie Numéro du document: N

Plus en détail

CM2E 2014. Colloque Martinique Energie Environnement. Production d électricité renouvelable : La méthanisation comme agent de régulation

CM2E 2014. Colloque Martinique Energie Environnement. Production d électricité renouvelable : La méthanisation comme agent de régulation CM2E 2014 Colloque Martinique Energie Environnement Production d électricité renouvelable : La méthanisation comme agent de régulation M. Torrijos, Laboratoire de Biotechnologie de l Environnement, INRA-LBE,

Plus en détail

Opérations collectives vers les entreprises, PME/PMI et artisans :

Opérations collectives vers les entreprises, PME/PMI et artisans : Opérations collectives vers les entreprises, PME/PMI et artisans : Quels intérêts? Stéphanie BOULAY Direction des Rivières Ile-de-France Service Investissements Industries Ile-de-France SIARH - 3 décembre

Plus en détail

Formations 2014 SECURITE DES ALIMENTS

Formations 2014 SECURITE DES ALIMENTS Formations 2014 SECURITE DES ALIMENTS Nous contacter : Tél. : 09 69 32 22 72 - Fax : 08 20 56 90 05 - E-mail : formation@alpagroupe.fr Contexte : La sécurité alimentaire est une priorité de santé publique

Plus en détail

Epidémiologie appliquée aux sciences vétérinaires DES DAOA DES - DEA

Epidémiologie appliquée aux sciences vétérinaires DES DAOA DES - DEA Epidémiologie appliquée aux sciences vétérinaires DES DAOA DES - DEA Claude SAEGERMAN Département des maladies infectieuses et parasitaires, Service d épidémiologie et analyse de risques appliquées aux

Plus en détail

Réunion du Comité de Suivi des Projets de l'enjeu Eau

Réunion du Comité de Suivi des Projets de l'enjeu Eau Réunion du Comité de Suivi des Projets de l'enjeu Eau SURFRIDER FOUNDATION EUROPE Mettre en place des actions d'information pour la reconquête des milieux utilisés pour des activités nautiques Remerciements

Plus en détail

L IRSN et la surveillance de l environnement. Etat des lieux et perspectives

L IRSN et la surveillance de l environnement. Etat des lieux et perspectives L IRSN et la surveillance de l environnement Etat des lieux et perspectives Didier CHAMPION et Jean-Marc PERES Journées SFRP Paris 23-24 septembre 2009 Objectifs de la surveillance de l environnement 2

Plus en détail

Conférence technique internationale de la FAO

Conférence technique internationale de la FAO Décembre 2009 ABDC-10/7.2 F Conférence technique internationale de la FAO Biotechnologies agricoles dans les pays en développement: choix et perspectives pour les cultures, les forêts, l élevage, les pêches

Plus en détail

Caractéristiques des eaux utilisées en industrie agroalimentaire

Caractéristiques des eaux utilisées en industrie agroalimentaire Caractéristiques des eaux utilisées en industrie agroalimentaire DANGERS Cette fiche ne prétend pas être exhaustive. Elle vise à enrichir (et non limiter) la réflexion des professionnels sur le sujet des

Plus en détail

CATALOGUE D'ESSAIS INTERLABORATOIRES AGLAE 2015 BIOLOGIE MEDICALE

CATALOGUE D'ESSAIS INTERLABORATOIRES AGLAE 2015 BIOLOGIE MEDICALE Ensemble pour s'améliorer CATALOGUE D'ESSAIS INTERLABORATOIRES AGLAE 2015 BIOLOGIE MEDICALE Association AGLAE Parc des Pyramides 427 rue des Bourreliers 59320 Hallennes lez Haubourdin +33 (0)3 20 16 91

Plus en détail

Hygiène alimentaire en restauration collective

Hygiène alimentaire en restauration collective 1 2 3 4 5 6 7 Catalogue 2011 Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration collective Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or Sommaire 1 2 3 4 5 6 7 Sensibilisation à l hygiène alimentaire

Plus en détail

Compétitivité des produits laitiers locaux: vers une standardisation du «fènè», un lait spontanément fermenté au Mali

Compétitivité des produits laitiers locaux: vers une standardisation du «fènè», un lait spontanément fermenté au Mali Compétitivité des produits laitiers locaux: vers une standardisation du «fènè», un lait spontanément fermenté au Mali S. Wullschleger, B. Bonfoh; A. Sissoko, I. Traoré; S. Tembely, J. Zinsstag, C. Lacroix,

Plus en détail

Les Infections Associées aux Soins

Les Infections Associées aux Soins Les Infections Associées aux Soins Dr Catherine Sartor EOH Conception Assistance Publique Hôpitaux de Marseille Ecole IFSI, Marseille, 12 septembre 2014 Définitions 2007 Infection Nosocomiale (IN) 1999

Plus en détail

LE POINT DE VUE DE FNE

LE POINT DE VUE DE FNE LE POINT DE VUE DE FNE Voir à ce sujet les articles suivants : - «Pour une eau vivante : la fin des barrages?» de la Lettre eau N 2 (juin 1996) - «Rapport de la Commission Mondiale des Barrages : les clés

Plus en détail

LA VILLE ET SON ASSAINISSEMENT. L essentiel

LA VILLE ET SON ASSAINISSEMENT. L essentiel Certu Centre d études sur les réseaux, les transports, l urbanisme et les constructions publiques LA VILLE ET SON ASSAINISSEMENT Principes, méthodes et outils pour une meilleure intégration dans le cycle

Plus en détail

La survie nette actuelle à long terme Qualités de sept méthodes d estimation

La survie nette actuelle à long terme Qualités de sept méthodes d estimation La survie nette actuelle à long terme Qualités de sept méthodes d estimation PAR Alireza MOGHADDAM TUTEUR : Guy HÉDELIN Laboratoire d Épidémiologie et de Santé publique, EA 80 Faculté de Médecine de Strasbourg

Plus en détail

Laboratoire Eau de Paris. Analyses et Recherche

Laboratoire Eau de Paris. Analyses et Recherche Laboratoire Eau de Paris Analyses et Recherche L eau, un aliment sous contrôle public Pour Eau de Paris, approvisionner la capitale en eau, c est garantir à ses 3 millions d usagers une ressource de qualité,

Plus en détail

RÉPERTOIRE RELÈVE SCIENTIFIQUE AU SERVICE DES ENTREPRISES AGROALIMENTAIRES. 2 e édition

RÉPERTOIRE RELÈVE SCIENTIFIQUE AU SERVICE DES ENTREPRISES AGROALIMENTAIRES. 2 e édition RELÈVE SCIENTIFIQUE AU SERVICE 2 e édition Juin 2011 Réalisé par : Partenaire financier du CQVB : Objectif : Ce répertoire vise à faciliter le maillage entre les étudiants-chercheurs universitaires et

Plus en détail

L eau dans les documents d urbanisme. L approche des solutions environnementales de l urbanisme CAUE 40 26 mai 2011

L eau dans les documents d urbanisme. L approche des solutions environnementales de l urbanisme CAUE 40 26 mai 2011 L eau dans les documents d urbanisme L approche des solutions environnementales de l urbanisme CAUE 40 26 mai 2011 Pourquoi ce guide? Participer à «décloisonner» les services «Environnement Eau» et «Urbanisme»

Plus en détail

Décrets, arrêtés, circulaires

Décrets, arrêtés, circulaires Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SOLIDARITÉS Arrêté du 11 janvier 2007 relatif aux limites et références de qualité des eaux brutes et des eaux destinées à la

Plus en détail

GL BIOCONTROL Le Mas Bas CIDEX 1040 30 250 ASPERES GSM : +33 (0)6 81 71 31 83 - Fax : +33 (0)9 55 25 40 31 Email : contact@gl-biocontrol.

GL BIOCONTROL Le Mas Bas CIDEX 1040 30 250 ASPERES GSM : +33 (0)6 81 71 31 83 - Fax : +33 (0)9 55 25 40 31 Email : contact@gl-biocontrol. PRESENTATION DE LA SOCIETE GL BIOCONTROL GL BIOCONTROL Le Mas Bas CIDEX 1040 30 250 ASPERES GSM : +33 (0)6 81 71 31 83 - Fax : +33 (0)9 55 25 40 31 Email : contact@gl-biocontrol.com - Web : www.gl-biocontrol.com

Plus en détail

C. Magdo, Altis Semiconductor (Corbeil-Essonne) > NOTE D APPLICATION N 2

C. Magdo, Altis Semiconductor (Corbeil-Essonne) > NOTE D APPLICATION N 2 C. Magdo, Altis Semiconductor (Corbeil-Essonne) - JANVIER 2008 INTRODUCTION La fabrication de semi-conducteurs nécessite un environnement de production extrêmement stable en température et hygrométrie.

Plus en détail

Traitement de l eau par flux dynamique

Traitement de l eau par flux dynamique GmbH Traitement de l eau par flux dynamique afin de réduire les impuretés microbiologiques afin d empêcher l apparition de nouveaux germes dans les eaux de consommation et de process et Nouveau avec certificat

Plus en détail

La résistance d'agents infectieux aux médicaments antimicrobiens

La résistance d'agents infectieux aux médicaments antimicrobiens DECLARATION COMMUNE DES ACADEMIES DU G SCIENCE 2013 La résistance d'agents infectieux aux médicaments antimicrobiens Une menace globale pour l'humanité Depuis l introduction dans les années 40 du premier

Plus en détail

Docteur José LABARERE

Docteur José LABARERE UE7 - Santé Société Humanité Risques sanitaires Chapitre 3 : Epidémiologie étiologique Docteur José LABARERE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.

Plus en détail

2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits

2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits 2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits L interprétation des cotes attribuées dans le cadre des évaluations des risques relatifs aux produits décrite plus loin repose

Plus en détail

AVIS 1 / 21. Afssa Saisine n 2007-SA-0174 Saisine liée n 2006-SA-0215. Maisons-Alfort, le 13 mars 2008

AVIS 1 / 21. Afssa Saisine n 2007-SA-0174 Saisine liée n 2006-SA-0215. Maisons-Alfort, le 13 mars 2008 Maisons-Alfort, le 13 mars 2008 AVIS LA DIRECTRICE GÉNÉRALE de l Agence française de sécurité sanitaire des aliments concernant les références applicables aux denrées alimentaires en tant que critères

Plus en détail

Hygiène alimentaire en restauration

Hygiène alimentaire en restauration 2 0 1 5 Catalogue de formations Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or (LDCO) Sommaire 1A 1B 23 4 5 6 7A 7B 8 Sensibilisation à l hygiène

Plus en détail

TECHNIQUE DU FROID ET DU CONDITIONNEMENT DE L AIR. confort = équilibre entre l'homme et l'ambiance

TECHNIQUE DU FROID ET DU CONDITIONNEMENT DE L AIR. confort = équilibre entre l'homme et l'ambiance TECHNIQUE DU FROID ET DU CONDITIONNEMENT DE L AIR Tâche T4.2 : Mise en service des installations Compétence C1.2 : Classer, interpréter, analyser Thème : S5 : Technologie des installations frigorifiques

Plus en détail

Séminaire du 17 octobre 2014 «La gestion des milieux aquatiques dans la loi MAPTAM et le SAGE : quels enjeux pour la Baie de Saint Brieuc?

Séminaire du 17 octobre 2014 «La gestion des milieux aquatiques dans la loi MAPTAM et le SAGE : quels enjeux pour la Baie de Saint Brieuc? Séminaire du 17 octobre 2014 «La gestion des milieux aquatiques dans la loi MAPTAM et le SAGE : quels enjeux pour la Baie de Saint Brieuc?» Le Schéma d Aménagement et de Gestion des Eaux (SAGE) de la baie

Plus en détail

document de travail Phase 2 : groupe de travail Eau et biodiversité

document de travail Phase 2 : groupe de travail Eau et biodiversité document de travail Extrait du tableau de bord de la Région de Bruxelles-Capitale, amendé par la Coordination associative : «Nouvelles Rivières Urbaines» et biodiversité 1.2.1. intégration des principes

Plus en détail

Catalogue Formation 2015

Catalogue Formation 2015 Catalogue Formation 2015 Because you care about CONSUMERS HEALTH HACCP Expertise, votre partenaire en sécurité des aliments Présentation du catalogue Pourquoi faire de la formation? Formation préventive

Plus en détail

«Poursuivre au-delà de BEEST : une approche fonctionnelle basée sur les traits de vie des espèces en relation avec l habitat».

«Poursuivre au-delà de BEEST : une approche fonctionnelle basée sur les traits de vie des espèces en relation avec l habitat». «Poursuivre au-delà de BEEST : une approche fonctionnelle basée sur les traits de vie des espèces en relation avec l habitat». Philippe USSEGLIO-POLATERA Université Paul Verlaine Metz UMR-CNRS 746 - LIEBE

Plus en détail

COUR DES COMPTES. Synthèse. du rapport sur les organismes faisant appel à la générosité publique

COUR DES COMPTES. Synthèse. du rapport sur les organismes faisant appel à la générosité publique COUR DES COMPTES Synthèse du rapport sur les organismes faisant appel à la générosité publique Janvier 2011 L emploi des fonds collectés par les associations en faveur des victimes du Tsunami du 26 décembre

Plus en détail

PROPOSITION TECHNIQUE ET FINANCIERE

PROPOSITION TECHNIQUE ET FINANCIERE Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Votre correspondant : Romain CRESSON INRA Transfert Environnement Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Tel: +33 (0)4 68 46 64 32 Fax: +33 (0)4 68 42 51

Plus en détail

AVIS. Complément d étude. Objet : Réf. : CWEDD/06/AV.1565. Liège, le 23 octobre 2006

AVIS. Complément d étude. Objet : Réf. : CWEDD/06/AV.1565. Liège, le 23 octobre 2006 AVIS Réf. : CWEDD/06/AV.1565 Liège, le 23 octobre 2006 Objet : Demande de permis unique relative à la régularisation d une porcherie d engraissement de 3.500 porcs et d une étable de 30 bovins à Kettenis

Plus en détail

Le guide des bonnes pratiques d hygiène et la qualité alimentaire en restauration

Le guide des bonnes pratiques d hygiène et la qualité alimentaire en restauration FORMATION : THEORIQUE C.H.R. / INTRA-ENTREPRISE MODULE Le guide des bonnes pratiques d hygiène et la qualité alimentaire en restauration TYPE DE FORMATION : Hygiène et sécurité, qualité normalisation,

Plus en détail

Hygiène alimentaire en restauration

Hygiène alimentaire en restauration 2 0 1 4 Catalogue de formations Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or (LDCO) Sommaire 1A 1B 23 4 5 6 7A 7B 89 Sensibilisation à l hygiène

Plus en détail

Glossaire : définitions des termes utilisés dans les fiches sur les indicateurs de performance

Glossaire : définitions des termes utilisés dans les fiches sur les indicateurs de performance Glossaire : définitions des termes utilisés dans les fiches sur les indicateurs de performance Au sens des fiches de définition des indicateurs de performance : 1. Parties prenantes Autorité organisatrice

Plus en détail

AVIS de l Agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail

AVIS de l Agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail Le directeur général Maisons-Alfort, le 7 juillet 2015 AVIS de l Agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail relatif à «un guide de bonnes pratiques d hygiène

Plus en détail

Grilles de lecture données environnement 2013 Tableau de bord de suivi des opérations de démantèlement

Grilles de lecture données environnement 2013 Tableau de bord de suivi des opérations de démantèlement Grilles de lecture données environnement 2013 Tableau de bord de suivi des opérations de démantèlement Travaux réalisés dans le cadre de la mission d accompagnement de la CLI CLI des Monts d Arrée, réunion

Plus en détail

eduscol Santé et social Enseignement d'exploration

eduscol Santé et social Enseignement d'exploration eduscol Consultation nationale sur les programmes Projets de programmes de la classe de seconde générale et technologique Santé et social Enseignement d'exploration L'organisation de la consultation des

Plus en détail

Modélisation intégrée des écoulements pour la gestion en temps réel d'un bassin versant anthropisé

Modélisation intégrée des écoulements pour la gestion en temps réel d'un bassin versant anthropisé 1 TGR Modélisation intégrée des écoulements pour la gestion en temps réel d'un bassin versant anthropisé Simon Munier Institut des Sciences et Industries du Vivant et de l'environnement (AgroParisTech)

Plus en détail

Etude sur les cadres règlementaires et leur efficacité à encourager les entreprises à améliorer leur efficacité énergétique et sur les mesures

Etude sur les cadres règlementaires et leur efficacité à encourager les entreprises à améliorer leur efficacité énergétique et sur les mesures Etude sur les cadres règlementaires et leur efficacité à encourager les entreprises à améliorer leur efficacité énergétique et sur les mesures complémentaires nécessaires Synthèse Avril 2015 Pourquoi

Plus en détail

Projet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H

Projet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H Projet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H Page 1 DES CONFERENCES QUI ENRICHISSENT LES PROGRAMMES SCOLAIRES : Objectifs principaux : Acquérir et approfondir des

Plus en détail

Syndicat Mixte Oise-Aronde

Syndicat Mixte Oise-Aronde Syndicat Mixte Oise-Aronde Compte-rendu du Syndicat Mixte Oise-Aronde (SMOA) du 13 décembre 2012 L ordre du jour est le suivant : Approbation du compte rendu de la séance précédente 1. Modélisation de

Plus en détail

Format de l avis d efficience

Format de l avis d efficience AVIS D EFFICIENCE Format de l avis d efficience Juillet 2013 Commission évaluation économique et de santé publique Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service documentation

Plus en détail

au concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde

au concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde Fiche prolongement 6 Du lien entre environnement et développement au concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde 20% de la population mondiale consomme 87 % des ressources

Plus en détail