Laser hélium néon. Source spectrale lumière blanche

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Laser hélium néon. Source spectrale lumière blanche"

Transcription

1 ITERFÉRECE LUMIEUE ETRE ODE MUTUELLEMET COHÉRETE ITRODUCTIO AUX ITERFÉRECE LUMIEUE ETRE ODE MUTUELLEMET COHÉRETE I Raels sur le modèle ondulatoire de la lumière ) Les idées de base du modèle ondulatoire de la lumière Le concet du train d ondes Les atomes d'une source lumineuse émettent des imulsions de radiation endant une durée extrêmement courte, formant un train d ondes Chaque train d'onde contient tyiquement quelques 4 oscillations La radiation émise ar un train d'ondes donné est quasi monochromatique, ossédant une amlitude et une hase initiale donnée, grandeurs qui varient aléatoirement d'un train d'onde à un autre Laser hélium néon ource sectrale lumière blanche 9 6 à s 6 9 ( qqs à osc ) à s 3 5 ( qqs à osc ) 4 s Lumière "naturelle" émise ar une source onctuelle ou étendue On admet le ostulat fondamental : La vibration lumineuse en un oint M à l instant t issue d un oint source eut s'écrire sous la forme scalaire : s ( M, t ) A ( M )cos t ( M ) ( t ), où l amlitude AM ( ) eut éventuellement déendre de M ( M ) rerésente le déhasage de la vibration en M ar raort à et al (t) est une fonction aléatoire du tems À cause de la résence de cette fonction al (t) aléatoire du tems, la source est dite temorellement incohérente On aelle tems de cohérence c d'une source la durée moyenne des trains d'onde en un oint donné ( c est de l'ordre de grandeur de ) On note c = c c la distance arcourue ar la lumière (dans le vide) endant c c est aelée longueur de cohérence temorelle Laser hélium néon ource sectrale lumière blanche c 3 cm à 3 m c 3 mm à 3 cm c 3 µm Un autre roblème vient de l'étendue satiale de la source: les trains d'onde rovenant de oints différents de la source n'ont as tous le même vecteur d'onde k On dit qu une source étendue résente un défaut de cohérence satiale ) Éléments de hotométrie visuelle Les ériodes temorelles des vibrations lumineuses sont tyiquement de l ordre de al 5 s Les détecteur les lus raides (hototransistors, hotodiodes, ) ont des tems de réonse de l ordre du / µs : les cateurs de lumière ne mesurent donc que la valeur moyenne du signal détecté, sur une durée T Il ne sert à rien de recueillir directement la vibration lumineuse, uisque cos t ( M ) tem Page / 7

2 ITERFÉRECE LUMIEUE ETRE ODE MUTUELLEMET COHÉRETE Aucun détecteur de lumière n ayant un tems de réonse suffisamment raide our isoler une ou quelques oscillations lumineuses, tous les détecteurs de lumière sont quadratiques, sensibles ainsi à la uissance moyenne rayonnée ar l onde, elle même roortionnelle à s ( M, t ) tem On définit différentes grandeurs énergétiques selon qu'on s'intéresse : à la source de lumière : Le flux lumineux, exrimé en lumens (symbole lm), grandeur roortionnelle à la uissance énergétique moyenne totale transortée ar l'onde lumineuse La constante de roortionnalité corresond à l'efficacité lumineuse du rayonnement émis (en lmw - ) L'intensité lumineuse, définie ar I = d, où d est le flux lumineux émis dans un angle d solide d L'unité I d'intensité lumineuse est la candela (symbole cd) au réceteur : L'éclairement, noté E c, exrimé en usi en lux, défini comme le raort E c = d d, où d est le flux lumineux reçu sur l'aire d E Puissance C surface On retient que our une radiation monochromatique, le flux lumineux, l'intensité lumineuse et l'éclairement sont roortionnels à la uissance moyenne rayonnée, elle même roortionnelle à s ( M, t ) tem 3 ) Ondes à trois dimensions Théorème de Malus Duin Ondes rogressives shériques Dans un roblème à trois dimensions, our une symétrie shérique, on montre que les solutions de l équation des ondes s écrivent sous forme de suerosition d ondes rogressives dites shériques, dont la fonction t) cherchée ne déend que du tems et de la distance r = OM Les ondes rogressives shériques harmoniques s'écrivent : A ( r, t) cos( t kr) On arle d'onde divergente à artir du oint O si la r hase est en t - kr et convergente vers O our une hase en t + kr, où k est le module d onde urfaces d'onde On aelle surface d'onde associée à une onde (M,t) le lieu des oints M tels que (M,t) = Cste à t donné Ainsi, ar exemle, our l'onde shérique récédente, les surfaces d'onde sont des shères de centre O Le modèle de l'onde rogressive lane L onde rogressive lane est la limite d une onde rogressive shérique lorsque la source est infiniment loin Page / 7

3 ITERFÉRECE LUMIEUE ETRE ODE MUTUELLEMET COHÉRETE Une onde rogressive lane harmonique s écrit sous la forme : ( r, t) Acos( t k r ), où k est le vecteur d'onde, de module k k Les surfaces d'onde sont des lans erendiculaires à la direction définie ar k Relation entre hase et chemin otique Pour une onde shérique, le terme en kr s'écrit aussi : k r L, où rerésente la longueur d'onde dans le vide O M Pour une onde lane, la différence de hase à un instant t donné entre deux oints O et M s'écrit : (M) - (O) = k OM, soit encore : ( M ) ( O) L O M Généralisation : les surfaces d'onde, ou surfaces équihases, sont aussi le lieu des oints M tels que L O M = Cste Théorème de Malus-Duin (admis) : Dans tout milieu, homogène ou non, et arès un nombre quelconque de réflexions ou de réfractions, les rayons lumineux sont erendiculaires aux surfaces d'onde IIGénéralités sur le hénomène d interférences à deux ondes Définition : Le hénomène d'interférences consiste en une modulation satiale de l énergie venant de la suerosition dans une région de l'esace (aelé cham d'interférences) d'au moins deux ondes, ayant arcouru des chemins différents (ie résentant entre elles au oint M un déhasage, ou différence de marche ou différence de chemin otique) Les lieux des oints d iso-énergie forment des franges d'interférences dont la forme déendra des conditions d'observation et de suerosition des ondes Cherchons à établir les conditions nécessaires à l observations de franges d interférences ) Intensité résultant de la suerosition de OPPH a) Le concet d ondes mutuellement cohérentes oit deux vibrations lumineuses scalaires, qui se suerosent en un oint M s( M, t) acos t ( M, t) On écrit, toujours ossible en choisissant convenablement s ( M, t) a cos t ( M, t) l'origine des dates, mais à condition de comter les déhasages ar raort à une même origine des hases et bien sûr la même origine our les deux vibrations La vibration résultante en M à l'instant t est s( M, t) s( M, t) s( M, t ) L'intensité en M vaut, à une constante de roortionnalité rès On obtient : I( M) s I( M) I I II cos[( ) t ( )] cos[( ) t ( )] tem Page 3 / 7

4 Définition: ITERFÉRECE LUMIEUE ETRE ODE MUTUELLEMET COHÉRETE Les deux vibrations n'interfèrent as entre elles (I(M) = I + I ) quand : (ou ) : on dit que les deux vibrations ne sont as synchrones = mais les vibrations sont issues de deux sources de lumière indéendantes du fait des termes aléatoires contenus dans (M,t) et (M,t) les vibrations rovenant d une seule source de lumière sont issues de deux trains d onde différents (résence de termes de hases aléatoires) Deux sources et émettant deux vibrations s (M,t) et s (M,t) sont dites mutuellement cohérentes si (M,t) - (M,t) ne déend as exlicitement du tems (et en articulier, ne fait as aaraître une fonction aléatoire du tems) Deux sources mutuellement cohérentes sont forcément synchrones! Ce critère de cohérence mutuelle est une condition nécessaire (mais non suffisante nous le verrons ar la suite) our que I( M) I I L'intensité entre deux OPPH mutuellement cohérentes se suerosant en un oint M s'écrit alors I( M) I I II cos[ ( M) ( M )] (formule de Fresnel) C'est le 3 ème terme qui rend comte du hénomène d'interférences b) Rerésentation des vibrations lumineuses ar les images comlexes On eut substituer aux vibrations réelles leur rerésentation comlexe, en notant : s( M, t) Aex[ j( t ( M ))], à condition de n'oérer cette transformation que lors d'oérations linéaires (suerosition des amlitudes en ratique) L intensité d un signal lumineux est défini comme I(M) = < s > tem Par exemle, our s a cos t, on a : Posons ainsi a I Or on a : s a On en déduit : L'intensité en M s écrit IM) s s * (facteur sans imortance) s ( M, t) a ex j t ( M, t) s ( M, t) a ex j t ( M, t), our deux ondes mutuellement cohérentes La vibration résultante s écrit : s( M, t) ex j t a ex j ( M) a ex j ( M ) Comme on ne s intéresse qu au module de s (en fait s ), il est ossible de multilier s ar un comlexe de module unité, ermettant de ramener toute la hase sur un seul des deux signaux On écrit ainsi : s( M, t) ex j t ( M) a a ex j, où ( M) ( M ) rerésente le déhasage du signal ar raort au signal L intensité s écrit alors : I( M) s s * soit I( M) a a ex j a a ex j a a qui donne : I( M) a a aa ex j ex j aa cos( ) On retrouve l exression déjà établie I( M) I I II cos Page 4 / 7

5 ITERFÉRECE LUMIEUE ETRE ODE MUTUELLEMET COHÉRETE c) Origine géométrique et ondulatoire des déhasages Le déhasage d un signal lumineux donné en un oint M vient de deux hénomènes : Un déhasage «géométrique» dû au trajet arcouru ar la lumière entre la source et M : géom M/ vide L, soit / M géom M km kom our une onde shérique, avec our une onde lane k milieu Un déhasage sulémentaire d origine ondulatoire, trouvant son exlication dans le cadre de la roagation des ondes électromagnétiques dans les milieux matériels ond, dans le cas d une réflexion métallique (réflexion sur un métal) ou vitreuse (réflexion sur un milieu lus réfringent, c est à dire d indice lus élevé) ) Franges d'interférences ; visibilité On aelle frange d'interférences le lieu des oints M ayant une intensité donnée On arlera de frange brillante (ou claire) si I(M) est maximale et de frange noire (ou sombre) si I(M) est minimale Imax Imin On aelle facteur de visibilité, (ou contraste) des franges V I I max min Par construction du facteur de visibilité, on a toujours V uosons que I mi, m réel ositif On montre que V m, et que V est maximal our m = m La meilleure visibilité est obtenue our I I Alors l'intensité varie entre Imin I Imax 4I Dans le cas où I =I, l intensité s'écrit I( M) I cos[ ( M )] Réartition d intensité our différentes valeurs de V (; 8; 6; 4; ) V = V = 8 V = 6 V = 4 V = On retient comme critère visuel de bon contraste : V min =,5 à,6 3 ) Différence de marche, ordre d'interférences, interfrange ur une frange d'interférence donnée (nature quelconque), I(M) = Cste, donc: (M) = Cste Au déhasage, on associe le réel, aelé ordre d'interférence en M, tel que ( M) M ( ) ur une frange brillante, est entier et sur une frange noire, est demientier Entre deux franges consécutives de même nature, = Page 5 / 7

6 ITERFÉRECE LUMIEUE ETRE ODE MUTUELLEMET COHÉRETE Ce déhasage eut s écrire en fonction de la différence de marche en M (différence des chemins otiques calculés le long des rayons interférant au oint M) selon la relation: ( M) ( M ), où est la longueur d'onde dans le vide de la radiation utilisée On aelle interfrange, noté i, la distance sur l'écran d'observation entre deux franges consécutives de même nature Pour un délacement satial d'une interfrange, a varié de de et de On retient les équivalences fondamentales Résumé : La réalisation d interférences lumineuses entre deux OPPH suose que les deux ondes : soient mutuellement cohérentes, donc issues d une même source lumineuse dite source rimaire, se recouvrent au oint M d observation dans une certaine région de l esace, aelée cham d interférences, 3 soient issues d un même train d ondes, donc que ( M ) c, 4 aient des amlitudes égales ou du moins du même ordre de grandeur our avoir une bonne visibilité des franges L intensité résultante s écrit en M I( M) I I V cos ( M), où est la longueur d'onde dans le vide (ou l'air) de la radiation émise et V le facteur de visibilité III Interférences entre ondes mutuellement cohérentes ) Position du roblème On considère la suerosition de ondes quasi-monochromatiques cohérentes entre elles, de même amlitude a dont la vibration lumineuse de la ième onde est de la forme : a ( M ) a ex[ j ( t ( ) ( M ))] A ( M )ex( j t ) où ( M ) est un déhasage déendant de la osition du oint M mais indéendant de Cela revient à rendre des ondes déhasées l une ar raort à la suivante de la même quantité ( M ) ) Interrétation grahique avec un diagramme de Fresnel La suerosition des ondes trouve une interrétation simle en utilisant le diagramme de Fres- j nel (rerésentation d un comlexe z z e ar un vecteur OA dans le lan de norme OA z et faisant un angle avec l axe horizontal choisi ar convention comme origine des hases) On obtiendra des interférences constructives lorsque tous les vecteurs sont colinéaires, c est-à-dire lorsque, entier OM symbolisant A P ( ) Au contraire, on obtiendra des interférences destructives, conduisant à une intensité totale nulle lorsque q /, q entier, q, q non entier ( min our avoir I ( ) ) Page 6 / 7

7 ITERFÉRECE LUMIEUE ETRE ODE MUTUELLEMET COHÉRETE I tot ondes de même amlitude en hase entre elles I tot = ondes de même amlitude déhasées de On retient que la demi-largeur angulaire des franges brillantes est des franges d autant lus fines que grand devant, donc 3 ) Comlément HP : exression de l intensité résultante j ( ) L amlitude comlexe de la vibration résultante s écrit : A ( M) A ( M) a e tot On reconnaît la somme des remiers termes d une suite géométrique de raison j e Atot( M) a a e j j j j e e e j j j e e e j e, d où : En utilisant les formules d Euler, on eut réécrire l exression récédente sous la forme : ( ) sin j A ( ) tot ae sin L intensité résultante, est à un facteur de roortionnalité rès I( ) K A tot( ), soit : sin I( ) a sin La fonction I ( ) est une fonction aire, ériodique en I( ) s'annule our q, avec q entier, q et q/ non entier Pour avec entier, I( ) est indéterminée Étant donnée la ériodicité de la fonction réseau, on lève cette indétermination en examinant le comortement de I( ) au voisinage de = Ainsi lim I ( ) a Entre deux minima nuls on obtient des maxima secondaires (ou des maxima rinciaux deux fois lus larges our avec entier) Une discussion grahique de di( ) / d ermet de montrer que ces maxima secondaires sont très eu marqués : Ainsi seuls sont visibles les maxima rinciaux, tels que, entier Page 7 / 7

Module : réponse d un système linéaire

Module : réponse d un système linéaire BSEL - Physique aliquée Module : réonse d un système linéaire Diaoramas () : diagrammes de Bode, réonse Résumé de cours - Caractérisation d un système hysique - Calcul de la réonse our une entrée donnée

Plus en détail

L information sera transmise selon des signaux de nature et de fréquences différentes (sons, ultrasons, électromagnétiques, électriques).

L information sera transmise selon des signaux de nature et de fréquences différentes (sons, ultrasons, électromagnétiques, électriques). CHAINE DE TRANSMISSION Nous avons une information que nous voulons transmettre (signal, images, sons ). Nous avons besoin d une chaîne de transmission comosée de trois éléments rinciaux : 1. L émetteur

Plus en détail

S2I 1. quartz circuit de commande. Figure 1. Engrenage

S2I 1. quartz circuit de commande. Figure 1. Engrenage TSI 4 heures Calculatrices autorisées 214 S2I 1 L essor de l électronique nomade s accomagne d un besoin accru de sources d énergies miniaturisées. Les contraintes imosées à ces objets nomades sont multiles

Plus en détail

dénombrement, loi binomiale

dénombrement, loi binomiale dénombrement, loi binomiale Table des matières I) Introduction au dénombrement 1 1. Problème ouvert....................................... 2 2. Jeux et dénombrements...................................

Plus en détail

Sujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures

Sujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures DS SCIENCES PHYSIQUES MATHSPÉ calculatrice: autorisée durée: 4 heures Sujet Approche d'un projecteur de diapositives...2 I.Questions préliminaires...2 A.Lentille divergente...2 B.Lentille convergente et

Plus en détail

Quelleestlavaleurdel intensitéiaupointm?

Quelleestlavaleurdel intensitéiaupointm? Optique Ondulatoire Plan du cours [1] Aspect ondulatoire de la lumière [2] Interférences à deux ondes [3] Division du front d onde [4] Division d amplitude [5] Diffraction [6] Polarisation [7] Interférences

Plus en détail

Les interférences lumineuses

Les interférences lumineuses Les interférences lumineuses Intérêt de l étude des interférences et de la diffraction : Les interférences sont utiles pour la métrologie, la spectrométrie par transformée de Fourier (largeur de raie),

Plus en détail

Des familles de deux enfants

Des familles de deux enfants Des familles de deux enfants Claudine Schwartz, IREM de Grenoble Professeur, Université Joseh Fourier Les questions et sont osées dans le dernier numéro de «Pour la Science» (n 336, octobre 2005, article

Plus en détail

DIFFRACTion des ondes

DIFFRACTion des ondes DIFFRACTion des ondes I DIFFRACTION DES ONDES PAR LA CUVE À ONDES Lorsqu'une onde plane traverse un trou, elle se transforme en onde circulaire. On dit que l'onde plane est diffractée par le trou. Ce phénomène

Plus en détail

TP : Outils de simulation. March 13, 2015

TP : Outils de simulation. March 13, 2015 TP : Outils de simulation March 13, 2015 Chater 1 Initialisation Scilab Calculatrice matricielle Exercice 1. Système Unix Créer sous Unix un réertoire de travail outil_simulation dans votre home réertoire.

Plus en détail

PHYSIQUE 2 - Épreuve écrite

PHYSIQUE 2 - Épreuve écrite PHYSIQUE - Épreuve écrite WARIN André I. Remarques générales Le sujet de physique de la session 010 comprenait une partie A sur l optique et une partie B sur l électromagnétisme. - La partie A, à caractère

Plus en détail

Angles orientés et trigonométrie

Angles orientés et trigonométrie Chapitre Angles orientés et trigonométrie Ce que dit le programme : CONTENUS CAPACITÉS ATTENDUES COMMENTAIRES Trigonométrie Cercle trigonométrique. Radian. Mesure d un angle orienté, mesure principale.

Plus en détail

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,

Plus en détail

G.P. DNS02 Septembre 2012. Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3. Réfraction

G.P. DNS02 Septembre 2012. Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3. Réfraction DNS Sujet Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3 Réfraction I. Préliminaires 1. Rappeler la valeur et l'unité de la perméabilité magnétique du vide µ 0. Donner

Plus en détail

Accès optiques : la nouvelle montée en débit

Accès optiques : la nouvelle montée en débit Internet FTR&D Dossier du mois d'octobre 2005 Accès otiques : la nouvelle montée en débit Dans le domaine du haut débit, les accès en France sont our le moment très majoritairement basés sur les technologies

Plus en détail

Sujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures

Sujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures DS SCIENCES PHYSIQUES MATHSPÉ calculatrice: autorisée durée: 4 heures Sujet Spectrophotomètre à réseau...2 I.Loi de Beer et Lambert... 2 II.Diffraction par une, puis par deux fentes rectangulaires... 3

Plus en détail

DIVERSIFICATION DES ACTIVITES ET PRIVATISATION DES ENTREPRISES DE CHEMIN DE FER : ENSEIGNEMENTS DES EXEMPLES JAPONAIS

DIVERSIFICATION DES ACTIVITES ET PRIVATISATION DES ENTREPRISES DE CHEMIN DE FER : ENSEIGNEMENTS DES EXEMPLES JAPONAIS Ecole Nationale des Ponts et Chaussées Laboratoire Paris-Jourdan Sciences Economiques DIVERSIFICATION DES ACTIVITES ET PRIVATISATION DES ENTREPRISES DE CHEMIN DE FER : ENSEIGNEMENTS DES EXEMPLES JAPONAIS

Plus en détail

Représentation géométrique d un nombre complexe

Représentation géométrique d un nombre complexe CHAPITRE 1 NOMBRES COMPLEXES 1 Représentation géométrique d un nombre complexe 1. Ensemble des nombres complexes Soit i le nombre tel que i = 1 L ensemble des nombres complexes est l ensemble des nombres

Plus en détail

En vue de l'obtention du. Présentée et soutenue par Philippe NERISSON Le 5 février 2009

En vue de l'obtention du. Présentée et soutenue par Philippe NERISSON Le 5 février 2009 THÈSE En vue de l'obtention du DOCTORAT DE L UNIVERSITÉ DE TOULOUSE Délivré ar l Institut National Polytechnique de Toulouse Disciline ou sécialité : Dynamique des Fluides Présentée et soutenue ar Philie

Plus en détail

Santé et hygiène bucco-dentaire des salariés de la RATP

Santé et hygiène bucco-dentaire des salariés de la RATP Santé et hygiène bucco-dentaire des salariés de la RATP Percetion des salariés et examen clinique du raticien Période 2006-2009 14 juin 2012 Dominique MANE-VALETTE, Docteur en Chirurgie dentaire dominique.mane-valette@rat.fr

Plus en détail

Fonctions de plusieurs variables

Fonctions de plusieurs variables Module : Analyse 03 Chapitre 00 : Fonctions de plusieurs variables Généralités et Rappels des notions topologiques dans : Qu est- ce que?: Mathématiquement, n étant un entier non nul, on définit comme

Plus en détail

prix par consommateur identiques différents prix par identiques classique 3 unité différents 2 1

prix par consommateur identiques différents prix par identiques classique 3 unité différents 2 1 3- LE MONOOLE DISCRIMINANT Le monoole eut vendre ertaines unités de roduit à des rix différents. On arle de disrimination ar les rix. Selon une terminologie due à igou (The Eonomis of Welfare, 1920), on

Plus en détail

Cours 02 : Problème général de la programmation linéaire

Cours 02 : Problème général de la programmation linéaire Cours 02 : Problème général de la programmation linéaire Cours 02 : Problème général de la Programmation Linéaire. 5 . Introduction Un programme linéaire s'écrit sous la forme suivante. MinZ(ou maxw) =

Plus en détail

Calcul matriciel. Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes.

Calcul matriciel. Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes. 1 Définitions, notations Calcul matriciel Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes. On utilise aussi la notation m n pour le

Plus en détail

VOIP. Pr MOUGHIT Mohamed m.moughit@gmail.com. Cours VOIP Pr MOUGHIT Mohamed 1

VOIP. Pr MOUGHIT Mohamed m.moughit@gmail.com. Cours VOIP Pr MOUGHIT Mohamed 1 VOIP Pr MOUGHIT Mohamed m.moughit@gmail.com Cours VOIP Pr MOUGHIT Mohamed 1 Connexion fixe, rédictible Connexion établie avant la numérotation user Centre de commutation La Radio est le suort imrédictible

Plus en détail

Cours d Analyse. Fonctions de plusieurs variables

Cours d Analyse. Fonctions de plusieurs variables Cours d Analyse Fonctions de plusieurs variables Licence 1ère année 2007/2008 Nicolas Prioux Université de Marne-la-Vallée Table des matières 1 Notions de géométrie dans l espace et fonctions à deux variables........

Plus en détail

Continuité et dérivabilité d une fonction

Continuité et dérivabilité d une fonction DERNIÈRE IMPRESSIN LE 7 novembre 014 à 10:3 Continuité et dérivabilité d une fonction Table des matières 1 Continuité d une fonction 1.1 Limite finie en un point.......................... 1. Continuité

Plus en détail

La spectrophotométrie

La spectrophotométrie Chapitre 2 Document de cours La spectrophotométrie 1 Comment interpréter la couleur d une solution? 1.1 Décomposition de la lumière blanche En 1666, Isaac Newton réalise une expérience cruciale sur la

Plus en détail

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices : Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur

Plus en détail

Compression scalable d'images vidéo par ondelettes 2D+t

Compression scalable d'images vidéo par ondelettes 2D+t Comression scalable d'images vidéo ar ondelettes 2D+t Madji Samia, Serir Amina et Ouanane Abdelhak Université des Sciences et de la Technologie Houari Boumediene, Laboratoire de traitement d images et

Plus en détail

Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique

Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique Introduction : On ne peut ni aller sur les étoiles, ni envoyer directement des sondes pour les analyser, en revanche on les voit, ce qui signifie qu'on reçoit

Plus en détail

Oscillations libres des systèmes à deux degrés de liberté

Oscillations libres des systèmes à deux degrés de liberté Chapitre 4 Oscillations libres des systèmes à deux degrés de liberté 4.1 Introduction Les systèmes qui nécessitent deux coordonnées indépendantes pour spécifier leurs positions sont appelés systèmes à

Plus en détail

Un modèle de composition automatique et distribuée de services web par planification

Un modèle de composition automatique et distribuée de services web par planification Un modèle de comosition automatique et distribuée de services web ar lanification Damien Pellier * Humbert Fiorino ** * Centre de Recherche en Informatique de Paris 5 Université Paris Descartes 45, rue

Plus en détail

Bois. P.21 Bois-béton à Paris. Carrefour du Bois. Saturateurs. Usinage fenêtres. Bardages P.25 P.34 P.31 P.37. La revue de l activité Bois en France

Bois. P.21 Bois-béton à Paris. Carrefour du Bois. Saturateurs. Usinage fenêtres. Bardages P.25 P.34 P.31 P.37. La revue de l activité Bois en France CMP Bois n 19-12 avril - mai 2010 P.25 Carrefour du Bois P.34 cm La revue de l activité Bois en France Bois Saturateurs P.31 Usinage fenêtres P.37 Bardages Tout our l usinage du bois massif. Tout d un

Plus en détail

PHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Spectrophotomètre à réseau

PHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Spectrophotomètre à réseau PHYSIQUE-CHIMIE L absorption des radiations lumineuses par la matière dans le domaine s étendant du proche ultraviolet au très proche infrarouge a beaucoup d applications en analyse chimique quantitative

Plus en détail

Les emprunts indivis. Administration Économique et Sociale. Mathématiques XA100M

Les emprunts indivis. Administration Économique et Sociale. Mathématiques XA100M Les emprunts indivis Administration Économique et Sociale Mathématiques XA100M Les emprunts indivis sont les emprunts faits auprès d un seul prêteur. On va étudier le cas où le prêteur met à disposition

Plus en détail

OPTIQUE GEOMETRIQUE POLYCOPIE DE COURS

OPTIQUE GEOMETRIQUE POLYCOPIE DE COURS OPTIQUE GEOMETRIQUE POLYCOPIE DE COURS PR. MUSTAPHA ABARKAN EDITION 014-015 Université Sidi Mohamed Ben Abdallah de Fès - Faculté Polydisciplinaire de Taza Département Mathématiques, Physique et Informatique

Plus en détail

I - PUISSANCE D UN POINT PAR RAPPORT A UN CERCLE CERCLES ORTHOGONAUX POLES ET POLAIRES

I - PUISSANCE D UN POINT PAR RAPPORT A UN CERCLE CERCLES ORTHOGONAUX POLES ET POLAIRES I - PUISSANCE D UN POINT PAR RAPPORT A UN CERCLE CERCLES ORTHOGONAUX POLES ET POLAIRES Théorème - Définition Soit un cercle (O,R) et un point. Une droite passant par coupe le cercle en deux points A et

Plus en détail

Découvrez les bâtiments* modulaires démontables

Découvrez les bâtiments* modulaires démontables Découvrez les bâtiments* modulaires démontables w Industrie w Distribution * le terme «bâtiment» est utilisé our la bonne comréhension de l activité de Locabri. Il s agit de structures modulaires démontables

Plus en détail

Chafa Azzedine - Faculté de Physique U.S.T.H.B 1

Chafa Azzedine - Faculté de Physique U.S.T.H.B 1 Chafa Azzedine - Faculté de Physique U.S.T.H.B 1 Définition: La cinématique est une branche de la mécanique qui étudie les mouements des corps dans l espace en fonction du temps indépendamment des causes

Plus en détail

TD1 PROPAGATION DANS UN MILIEU PRESENTANT UN GRADIENT D'INDICE

TD1 PROPAGATION DANS UN MILIEU PRESENTANT UN GRADIENT D'INDICE TD1 PROPAGATION DANS UN MILIEU PRESENTANT UN GRADIENT D'INDICE Exercice en classe EXERCICE 1 : La fibre à gradient d indice On considère la propagation d une onde électromagnétique dans un milieu diélectrique

Plus en détail

Plan du cours : électricité 1

Plan du cours : électricité 1 Semestre : S2 Module Physique II 1 Electricité 1 2 Optique géométrique Plan du cours : électricité 1 Partie A : Electrostatique (discipline de l étude des phénomènes liés aux distributions de charges stationnaires)

Plus en détail

Séquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière

Séquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière Séquence 9 Consignes de travail Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière Travaillez les cours d application de physique. Travaillez les exercices

Plus en détail

Programmes des classes préparatoires aux Grandes Ecoles

Programmes des classes préparatoires aux Grandes Ecoles Programmes des classes préparatoires aux Grandes Ecoles Filière : scientifique Voie : Mathématiques et physique (MP) Discipline : Physique-chimie Seconde année Programme de physique-chimie de la voie MP

Plus en détail

Guide d utilisation (Version canadienne) Téléphone sans fil DECT 6.0/ avec répondeur et afficheur/ afficheur de l appel en attente CL83101/CL83201/

Guide d utilisation (Version canadienne) Téléphone sans fil DECT 6.0/ avec répondeur et afficheur/ afficheur de l appel en attente CL83101/CL83201/ Guide d utilisation (Version canadienne) Téléhone sans fil DECT 6.0/ avec réondeur et afficheur/ afficheur de l ael en attente CL83101/CL83201/ CL83301/CL83351/ CL83401/CL83451 Félicitations our votre

Plus en détail

I - Quelques propriétés des étoiles à neutrons

I - Quelques propriétés des étoiles à neutrons Formation Interuniversitaire de Physique Option de L3 Ecole Normale Supérieure de Paris Astrophysique Patrick Hennebelle François Levrier Sixième TD 14 avril 2015 Les étoiles dont la masse initiale est

Plus en détail

DÉRIVÉES. I Nombre dérivé - Tangente. Exercice 01 (voir réponses et correction) ( voir animation )

DÉRIVÉES. I Nombre dérivé - Tangente. Exercice 01 (voir réponses et correction) ( voir animation ) DÉRIVÉES I Nombre dérivé - Tangente Eercice 0 ( voir animation ) On considère la fonction f définie par f() = - 2 + 6 pour [-4 ; 4]. ) Tracer la représentation graphique (C) de f dans un repère d'unité

Plus en détail

FONCTIONS DE PLUSIEURS VARIABLES (Outils Mathématiques 4)

FONCTIONS DE PLUSIEURS VARIABLES (Outils Mathématiques 4) FONCTIONS DE PLUSIEURS VARIABLES (Outils Mathématiques 4) Bernard Le Stum Université de Rennes 1 Version du 13 mars 2009 Table des matières 1 Fonctions partielles, courbes de niveau 1 2 Limites et continuité

Plus en détail

Pour commencer : Qu'est-ce que la diffraction? p : 76 n 6 : Connaître le phénomène de diffraction

Pour commencer : Qu'est-ce que la diffraction? p : 76 n 6 : Connaître le phénomène de diffraction Compétences exigibles au baccalauréat Savoir que l'importance du phénomène de diffraction est liée au rapport de la longueur d'onde aux dimensions de l'ouverture ou de l'obstacle. Exercice 19 p : 78 Connaître

Plus en détail

EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points)

EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) BAC S 2011 LIBAN http://labolycee.org EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) Les parties A et B sont indépendantes. A : Étude du fonctionnement d un spectrophotomètre

Plus en détail

Enoncé et corrigé du brevet des collèges dans les académies d Aix- Marseille, Montpellier, Nice Corse et Toulouse en 2000. Énoncé.

Enoncé et corrigé du brevet des collèges dans les académies d Aix- Marseille, Montpellier, Nice Corse et Toulouse en 2000. Énoncé. Enoncé et corrigé du brevet des collèges dans les académies d Aix- Marseille, Montpellier, Nice Corse et Toulouse en 2000. Énoncé. I- ACTIVITES NUMERIQUES (12 points) Exercice 1 (3 points) On considère

Plus en détail

Fonctions de plusieurs variables : dérivés partielles, diérentielle. Fonctions composées. Fonctions de classe C 1. Exemples

Fonctions de plusieurs variables : dérivés partielles, diérentielle. Fonctions composées. Fonctions de classe C 1. Exemples 45 Fonctions de plusieurs variables : dérivés partielles, diérentielle. Fonctions composées. Fonctions de classe C 1. Exemples Les espaces vectoriels considérés sont réels, non réduits au vecteur nul et

Plus en détail

PROBLEME(12) Première partie : Peinture des murs et du plafond.

PROBLEME(12) Première partie : Peinture des murs et du plafond. PROBLEME(12) Une entreprise doit rénover un local. Ce local a la forme d'un parallélépipède rectangle. La longueur est 6,40m, la largeur est 5,20m et la hauteur est 2,80m. Il comporte une porte de 2m de

Plus en détail

Éclairage naturel L5C 2009/2010. Aurore BONNET

Éclairage naturel L5C 2009/2010. Aurore BONNET Éclairage naturel L5C 2009/2010 Aurore BONNET Introduction : Les 2 aspects de l éclairage naturel : Introduction : Les 2 aspects de l éclairage naturel : l ensoleillement et l éclairage diffus L ENSOLEILLEMENT

Plus en détail

Optimisation non linéaire Irène Charon, Olivier Hudry École nationale supérieure des télécommunications

Optimisation non linéaire Irène Charon, Olivier Hudry École nationale supérieure des télécommunications Optimisation non linéaire Irène Charon, Olivier Hudry École nationale supérieure des télécommunications A. Optimisation sans contrainte.... Généralités.... Condition nécessaire et condition suffisante

Plus en détail

Caractéristiques des ondes

Caractéristiques des ondes Caractéristiques des ondes Chapitre Activités 1 Ondes progressives à une dimension (p 38) A Analyse qualitative d une onde b Fin de la Début de la 1 L onde est progressive puisque la perturbation se déplace

Plus en détail

TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE

TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE OBJECTIFS : - Distinguer un spectre d émission d un spectre d absorption. - Reconnaître et interpréter un spectre d émission d origine thermique - Savoir qu un

Plus en détail

Q6 : Comment calcule t-on l intensité sonore à partir du niveau d intensité?

Q6 : Comment calcule t-on l intensité sonore à partir du niveau d intensité? EXERCICE 1 : QUESTION DE COURS Q1 : Qu est ce qu une onde progressive? Q2 : Qu est ce qu une onde mécanique? Q3 : Qu elle est la condition pour qu une onde soit diffractée? Q4 : Quelles sont les différentes

Plus en détail

Plan du chapitre «Milieux diélectriques»

Plan du chapitre «Milieux diélectriques» Plan du chapitre «Milieux diélectriques» 1. Sources microscopiques de la polarisation en régime statique 2. Etude macroscopique de la polarisation en régime statique 3. Susceptibilité diélectrique 4. Polarisation

Plus en détail

* très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile ***** très difficile I : Incontournable T : pour travailler et mémoriser le cours

* très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile ***** très difficile I : Incontournable T : pour travailler et mémoriser le cours Exo7 Continuité (étude globale). Diverses fonctions Exercices de Jean-Louis Rouget. Retrouver aussi cette fiche sur www.maths-france.fr * très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile *****

Plus en détail

Commande prédictive des systèmes non linéaires dynamiques

Commande prédictive des systèmes non linéaires dynamiques Rébliqe Algérienne Démocratiqe et olaire Ministère de l Enseignement Sérier et de la Recherche Scientifiqe Université Molod Mammeri de Tizi-Ozo Faclté de Génie Electriqe et Informatiqe Déartement Atomatiqe

Plus en détail

III. Transformation des vitesses

III. Transformation des vitesses 9 III Transformation des vitesses La transformation de Lorentz entraîne de profondes modifications des règles de cinématique: composition des vitesses, transformation des accélérations. 1. Règle de composition

Plus en détail

L éclairage naturel première partie : Principes de base

L éclairage naturel première partie : Principes de base Suzel BALEZ L5C 2007-08 L éclairage naturel première partie : Principes de base Hertzog et Partner Bât. De bureaux à Wiesbaden Plan Notions préliminaires La vision Grandeurs photométriques Le flux lumineux

Plus en détail

SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION)

SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Terminale S CHIMIE TP n 2b (correction) 1 SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Objectifs : Déterminer l évolution de la vitesse de réaction par une méthode physique. Relier l absorbance

Plus en détail

Chapitre 1 Régime transitoire dans les systèmes physiques

Chapitre 1 Régime transitoire dans les systèmes physiques Chapitre 1 Régime transitoire dans les systèmes physiques Savoir-faire théoriques (T) : Écrire l équation différentielle associée à un système physique ; Faire apparaître la constante de temps ; Tracer

Plus en détail

Cours de Mécanique du point matériel

Cours de Mécanique du point matériel Cours de Mécanique du point matériel SMPC1 Module 1 : Mécanique 1 Session : Automne 2014 Prof. M. EL BAZ Cours de Mécanique du Point matériel Chapitre 1 : Complément Mathématique SMPC1 Chapitre 1: Rappels

Plus en détail

1 radian. De même, la longueur d un arc de cercle de rayon R et dont l angle au centre a pour mesure α radians est α R. R AB =R.

1 radian. De même, la longueur d un arc de cercle de rayon R et dont l angle au centre a pour mesure α radians est α R. R AB =R. Angles orientés Trigonométrie I. Préliminaires. Le radian Définition B R AB =R C O radian R A Soit C un cercle de centre O. Dire que l angle géométrique AOB a pour mesure radian signifie que la longueur

Plus en détail

1S Modèles de rédaction Enoncés

1S Modèles de rédaction Enoncés Par l équipe des professeurs de 1S du lycée Parc de Vilgénis 1S Modèles de rédaction Enoncés Produit scalaire & Corrigés Exercice 1 : définition du produit scalaire Soit ABC un triangle tel que AB, AC

Plus en détail

NFE107 Urbanisation et architecture des systèmes d information. Juin 2009. «La virtualisation» CNAM Lille. Auditeur BAULE.L 1

NFE107 Urbanisation et architecture des systèmes d information. Juin 2009. «La virtualisation» CNAM Lille. Auditeur BAULE.L 1 Juin 2009 NFE107 Urbanisation et architecture des systèmes d information CNAM Lille «La virtualisation» Auditeur BAULE.L 1 Plan INTRODUCTION I. PRINCIPES DE LA VIRTUALISATION II. DIFFÉRENTES TECHNIQUES

Plus en détail

ÉPREUVE COMMUNE DE TIPE 2008 - Partie D. TITRE : Comment s affranchir de la limite de la diffraction en microscopie optique?

ÉPREUVE COMMUNE DE TIPE 2008 - Partie D. TITRE : Comment s affranchir de la limite de la diffraction en microscopie optique? ÉPREUVE COMMUNE DE TIPE 2008 - Partie D TITRE : Comment s affranchir de la limite de la diffraction en microscopie optique? Temps de préparation :...2 h 15 minutes Temps de présentation devant le jury

Plus en détail

Chapitre 2 Les ondes progressives périodiques

Chapitre 2 Les ondes progressives périodiques DERNIÈRE IMPRESSION LE er août 203 à 7:04 Chapitre 2 Les ondes progressives périodiques Table des matières Onde périodique 2 2 Les ondes sinusoïdales 3 3 Les ondes acoustiques 4 3. Les sons audibles.............................

Plus en détail

Limites finies en un point

Limites finies en un point 8 Limites finies en un point Pour ce chapitre, sauf précision contraire, I désigne une partie non vide de R et f une fonction définie sur I et à valeurs réelles ou complees. Là encore, les fonctions usuelles,

Plus en détail

Chapitre 2 Le problème de l unicité des solutions

Chapitre 2 Le problème de l unicité des solutions Université Joseph Fourier UE MAT 127 Mathématiques année 2011-2012 Chapitre 2 Le problème de l unicité des solutions Ce que nous verrons dans ce chapitre : un exemple d équation différentielle y = f(y)

Plus en détail

F411 - Courbes Paramétrées, Polaires

F411 - Courbes Paramétrées, Polaires 1/43 Courbes Paramétrées Courbes polaires Longueur d un arc, Courbure F411 - Courbes Paramétrées, Polaires Michel Fournié michel.fournie@iut-tlse3.fr http://www.math.univ-toulouse.fr/ fournie/ Année 2012/2013

Plus en détail

Correction du Baccalauréat S Amérique du Nord mai 2007

Correction du Baccalauréat S Amérique du Nord mai 2007 Correction du Baccalauréat S Amérique du Nord mai 7 EXERCICE points. Le plan (P) a une pour équation cartésienne : x+y z+ =. Les coordonnées de H vérifient cette équation donc H appartient à (P) et A n

Plus en détail

Correction ex feuille Etoiles-Spectres.

Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Exercice n 1 1 )Signification UV et IR UV : Ultraviolet (λ < 400 nm) IR : Infrarouge (λ > 800 nm) 2 )Domaines des longueurs d onde UV : 10 nm < λ < 400 nm IR : 800

Plus en détail

Manuel de l'utilisateur

Manuel de l'utilisateur 0 Manuel de l'utilisateur Mise en route... 4 Votre Rider 0... 4 Réinitialiser le Rider 0... 5 Accessoires... 5 Icônes d'état... 5 Connexion, synchro et chargement... 6 Allumer/éteindre le Rider 0... 6

Plus en détail

Fluorescent ou phosphorescent?

Fluorescent ou phosphorescent? Fluorescent ou phosphorescent? On entend régulièrement ces deux termes, et on ne se préoccupe pas souvent de la différence entre les deux. Cela nous semble tellement complexe que nous préférons rester

Plus en détail

Sous le feu des questions

Sous le feu des questions ARTICLE PRINCIPAL Assureurs Protection juridique Sous le feu des questions Comment les assureurs Protection juridique vont-ils désormais romouvoir leurs roduits? Seraient-ils artisans d une assurance Protection

Plus en détail

De même, le périmètre P d un cercle de rayon 1 vaut P = 2π (par définition de π). Mais, on peut démontrer (difficilement!) que

De même, le périmètre P d un cercle de rayon 1 vaut P = 2π (par définition de π). Mais, on peut démontrer (difficilement!) que Introduction. On suppose connus les ensembles N (des entiers naturels), Z des entiers relatifs et Q (des nombres rationnels). On s est rendu compte, depuis l antiquité, que l on ne peut pas tout mesurer

Plus en détail

Le second nuage : questions autour de la lumière

Le second nuage : questions autour de la lumière Le second nuage : questions autour de la lumière Quelle vitesse? infinie ou pas? cf débats autour de la réfraction (Newton : la lumière va + vite dans l eau) mesures astronomiques (Rœmer, Bradley) : grande

Plus en détail

Angles orientés et fonctions circulaires ( En première S )

Angles orientés et fonctions circulaires ( En première S ) Angles orientés et fonctions circulaires ( En première S ) Dernière mise à jour : Jeudi 01 Septembre 010 Vincent OBATON, Enseignant au lycée Stendhal de Grenoble (Année 006-007) Lycée Stendhal, Grenoble

Plus en détail

Problèmes sur le chapitre 5

Problèmes sur le chapitre 5 Problèmes sur le chapitre 5 (Version du 13 janvier 2015 (10h38)) 501 Le calcul des réactions d appui dans les problèmes schématisés ci-dessous est-il possible par les équations de la statique Si oui, écrire

Plus en détail

Les marchés du crédit dans les PVD

Les marchés du crédit dans les PVD Les marchés du crédit dans les PVD 1. Introduction Partout, les marchés du crédit sont au centre de la caacité des économies à croître, uisqu ils financent l investissement. Le Taleau 1 montre ar exemle

Plus en détail

Exo7. Matrice d une application linéaire. Corrections d Arnaud Bodin.

Exo7. Matrice d une application linéaire. Corrections d Arnaud Bodin. Exo7 Matrice d une application linéaire Corrections d Arnaud odin. Exercice Soit R muni de la base canonique = ( i, j). Soit f : R R la projection sur l axe des abscisses R i parallèlement à R( i + j).

Plus en détail

ANALYSE SPECTRALE. monochromateur

ANALYSE SPECTRALE. monochromateur ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle

Plus en détail

MESURE ET PRECISION. Il est clair que si le voltmètre mesure bien la tension U aux bornes de R, l ampèremètre, lui, mesure. R mes. mes. .

MESURE ET PRECISION. Il est clair que si le voltmètre mesure bien la tension U aux bornes de R, l ampèremètre, lui, mesure. R mes. mes. . MESURE ET PRECISIO La détermination de la valeur d une grandeur G à partir des mesures expérimentales de grandeurs a et b dont elle dépend n a vraiment de sens que si elle est accompagnée de la précision

Plus en détail

Dérivation : cours. Dérivation dans R

Dérivation : cours. Dérivation dans R TS Dérivation dans R Dans tout le capitre, f désigne une fonction définie sur un intervalle I de R (non vide et non réduit à un élément) et à valeurs dans R. Petits rappels de première Téorème-définition

Plus en détail

Annuités. Administration Économique et Sociale. Mathématiques XA100M

Annuités. Administration Économique et Sociale. Mathématiques XA100M Annuités Administration Économique et Sociale Mathématiques XA100M En général, un prêt n est pas remboursé en une seule fois. Les remboursements sont étalés sur plusieurs périodes. De même, un capital

Plus en détail

Exercices - Nombres complexes : corrigé. Formes algébriques et trigonométriques, module et argument

Exercices - Nombres complexes : corrigé. Formes algébriques et trigonométriques, module et argument Formes algébriques et trigonométriques, module et argument Exercice - - L/Math Sup - On multiplie le dénominateur par sa quantité conjuguée, et on obtient : Z = 4 i 3 + i 3 i 3 = 4 i 3 + 3 = + i 3. Pour

Plus en détail

8.1 Généralités sur les fonctions de plusieurs variables réelles. f : R 2 R (x, y) 1 x 2 y 2

8.1 Généralités sur les fonctions de plusieurs variables réelles. f : R 2 R (x, y) 1 x 2 y 2 Chapitre 8 Fonctions de plusieurs variables 8.1 Généralités sur les fonctions de plusieurs variables réelles Définition. Une fonction réelle de n variables réelles est une application d une partie de R

Plus en détail

t 100. = 8 ; le pourcentage de réduction est : 8 % 1 t Le pourcentage d'évolution (appelé aussi taux d'évolution) est le nombre :

t 100. = 8 ; le pourcentage de réduction est : 8 % 1 t Le pourcentage d'évolution (appelé aussi taux d'évolution) est le nombre : Terminale STSS 2 012 2 013 Pourcentages Synthèse 1) Définition : Calculer t % d'un nombre, c'est multiplier ce nombre par t 100. 2) Exemples de calcul : a) Calcul d un pourcentage : Un article coûtant

Plus en détail

10 leçon 2. Leçon n 2 : Contact entre deux solides. Frottement de glissement. Exemples. (PC ou 1 er CU)

10 leçon 2. Leçon n 2 : Contact entre deux solides. Frottement de glissement. Exemples. (PC ou 1 er CU) 0 leçon 2 Leçon n 2 : Contact entre deu solides Frottement de glissement Eemples (PC ou er CU) Introduction Contact entre deu solides Liaisons de contact 2 Contact ponctuel 2 Frottement de glissement 2

Plus en détail

LE PRODUIT SCALAIRE ( En première S )

LE PRODUIT SCALAIRE ( En première S ) LE PRODUIT SCALAIRE ( En première S ) Dernière mise à jour : Jeudi 4 Janvier 007 Vincent OBATON, Enseignant au lycée Stendhal de Grenoble ( Année 006-007 ) 1 Table des matières 1 Grille d autoévaluation

Plus en détail

Correction du baccalauréat S Liban juin 2007

Correction du baccalauréat S Liban juin 2007 Correction du baccalauréat S Liban juin 07 Exercice. a. Signe de lnx lnx) : on fait un tableau de signes : x 0 e + ln x 0 + + lnx + + 0 lnx lnx) 0 + 0 b. On afx) gx) lnx lnx) lnx lnx). On déduit du tableau

Plus en détail

Chapitre 1 Cinématique du point matériel

Chapitre 1 Cinématique du point matériel Chapitre 1 Cinématique du point matériel 7 1.1. Introduction 1.1.1. Domaine d étude Le programme de mécanique de math sup se limite à l étude de la mécanique classique. Sont exclus : la relativité et la

Plus en détail

LE PHYSICIEN FRANCAIS SERGE HAROCHE RECOIT CONJOINTEMENT LE PRIX NOBEL DE PHYSIQUE 2012 AVEC LE PHYSICIEN AMERCAIN DAVID WINELAND

LE PHYSICIEN FRANCAIS SERGE HAROCHE RECOIT CONJOINTEMENT LE PRIX NOBEL DE PHYSIQUE 2012 AVEC LE PHYSICIEN AMERCAIN DAVID WINELAND LE PHYSICIEN FRANCAIS SERGE HAROCHE RECOIT CONJOINTEMENT LE PRIX NOBEL DE PHYSIQUE 0 AVEC LE PHYSICIEN AMERCAIN DAVID WINELAND SERGE HAROCHE DAVID WINELAND Le physicien français Serge Haroche, professeur

Plus en détail

STATIQUE GRAPHIQUE ET STATIQUE ANALYTIQUE

STATIQUE GRAPHIQUE ET STATIQUE ANALYTIQUE ÉCOLE D'INGÉNIEURS DE FRIBOURG (E.I.F.) SECTION DE MÉCANIQUE G.R. Nicolet, revu en 2006 STATIQUE GRAPHIQUE ET STATIQUE ANALYTIQUE Eléments de calcul vectoriel Opérations avec les forces Equilibre du point

Plus en détail

Développement décimal d un réel

Développement décimal d un réel 4 Développement décimal d un réel On rappelle que le corps R des nombres réels est archimédien, ce qui permet d y définir la fonction partie entière. En utilisant cette partie entière on verra dans ce

Plus en détail