Les déchets : leurs lingots, notre plomb

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1 ISSN : Cniid-info n 39 Avril - Juin 2011 La lettre adhérent du Centre national d information indépendante ur le déchet Le déchet : leur lingot, notre plomb Que celui ou celle qui n et pa d accord avec l adage elon lequel «le meilleur déchet et celui qui n et pa produit», lève le doigt ou e taie à jamai. Vou contaterez à coup ûr que peronne n oera lever le petit doigt pour oppoer à cette idée conenuelle, pa même le indutriel du ecteur. Curieux, non, pour ceux qui ont fait no déchet «reource»? Que le reponable Veolia, Suez et conort StockXpert outiennent en public la réduction déchet peut avoir ux explication : oit il n aiment pa leur actionnaire, oit il mentent. Comme ce ux multinationale, aux chiffre d affaire repectif 9 et 12 milliard d euro en 2009 pour leur eule activité «propreté» (en comparaion, le budget du Minitère du développement durable alloué à l écologie a été 1,4 milliard d euro en 2010), vivent, avant tout, pour leur actionnaire et le divin qu elle leur reverent, c et la uxième option qui impoe naturellement. Oui, il mentent donc effrontément quand il feignent tenir un dicour proréduction puique no déchet ont en fait leur or! De l or, ou encore un «giement richee», «reource», «matière première», d «énergie renouvelable», d «énergie verte». Quand no déchet ont paré tant vertu, on e man bien en effet pourquoi embêter à le réduire. C et tout le paradoxe notre politique déchet pui 20 an, qui a laié le marché impoer et décir à notre place qui a le droit e partager le gâteau. Un gâteau que la ociété et notre planète ont du mal à avaler! Le déchet municipaux, comme l eau, préentent un point commun peu enviable : leur getion et un ervice public laié entre le main d un trop petit nombre d entreprie privée. Baé ur la double logique «mutualiation coût» (par la collectivité) / «privatiation bénéfice» (par le entreprie)», ce giement richee porté aux nue et en réalité bâti ur un gouffre dépene aumée au final par le citoyen. En moin 10 an, le montant moyen la taxe d enlèvement a augmenté 150 % (84 /habitant en 2009), le collectivité dépenant plu 7 milliard par an pour la getion déchet. L augmentation coût traitement liée au durciement la réglementation ce rnière année n explique qu en partie l augmentation montant facturé au citoyen : l objectif premier profitabilité entreprie (et donc marge le plu importante poible) accor mal avec la miion ervice public qui vrait primer. S y ajoute le fait que le petit nombre gro acteur, organié en oligopole, entraîne une faible preion concurrentielle (mie en avant par la Cour compte dan un rapport 2003) et accentue encore l envolée prix dan le collectivité. A l image la logique d un laboratoire pharmaceutique qui voit, an le dire, la prévention maladie comme un manque à gagner potentiel, l approche curative la problématique déchet (incinérer, tocker ou au mieux recycler) empêche le développement meure réduction en amont. Vou l aurez compri, l adage fétiche exploitant et en réalité «le meilleur déchet et celui qui nou et confié» : faion en orte ne pa leur donner atifaction. 13 mar 2011 du Cniid le dimanche Aemblée générale Sébatien Lapeyre Directeur qui le ordinaire du Cniid, l Aemblée généra lor re u vot att déb vie la ont er on pour 2011 moment important iation et e orientati breux à participer à ce nom n éro ep n. Le bilan 2010 l aoc vou mu Nou autour d un repa com 13 mar 2011 à Pari. haitez nt d échange convivial par . Si vou ou e tiendra le dimanche a précédé d un mome 0 vou eront envoyé er 201 ée ann née te l an cet qui ité ctiv d a et aociation, er nci 60. fina one au réunion, le rapport En préviion cette e la man par téléph tez pa à nou en fair éi n h é, rim imp ir le recevo

2 Incinération : quelle information le minitère l écologie nou donne-t-il? Lorque monieur tout-le-mon cherche à e reneigner ur l incinération, à qui adree-t-il en premier? Intinctivement, il e tournera an doute ver l autorité publique qui a la charge ce quetion : le minitère l écologie1. Mai a-t-il pour autant la garantie trouver ur a page internet l information complète et objective qu il et en droit d attendre la part pouvoir public? Bien au contraire, il expoe à lire ceci : Page d accueil du ite du minitère l écologie Quel autre «tréor» renferme le ite du minitère l écologie? Le Cniid et prêté au jeu et a décortiqué et décrypté pour vou ce florilège d impréciion et langue boi. En voici quelque morceaux choii. Le émiion incinérateur Cette phrae illutre à elle eule pluieur problématique inhérente à l incinération. Tout d abord, la définition valeur limite ne garantit pa une abence d effet, notamment pour ubtance intifiée comme perturbateur endocrinien (exemple dioxine chlorée analyée), pour lequelle c et la durée d expoition et non la doe «qui fait le poion»2. Enuite, ce valeur limite ont fixée pour «le principaux polluant», c et-à-dire ceux qui ont connu et meuré et pour lequel une réglementation a été adoptée, généralement en réaction à un candale anitaire ou environnemental. D autre polluant, dont le effet ur la anté commencent à peine à être étudié par le cientifique, ont aux abonné abent cette réglementation et ont rejeté an contrôle dan l environnement par le incinérateur. Parmi eux, le plu problématique ont le dioxine bromée, couine dioxine chlorée, formée lor la combution du brome, ubtance plu en plu préente dan no ordure en raion l utiliation répandue retardateur flamme bromé dan le produit conommation courante. Le première étu3 montrent que ce dioxine agient également comme perturbateur endocrinien et peuvent e révéler aui toxique que la dioxine dite Seveo4. Dan le palmarè polluant «oublié» par la réglementation et le contrôle, on pourrait également mentionner le particule fine et ultrafine qui, par leur taille minucule, pénètrent facilement dan le poumon et peuvent provoquer maladie repiratoire et allergique, maladie cardio-vaculaire ou certain cancer5. Alor que le minitère e vante du fait que «1995 à 2006, le émiion dioxine ( ) ont été diviée par un facteur upérieur à 100», il convient rappeler qu avant cela, aucune véritable réglementation n impoait contrôle et valeur limite aux émiion incinérateur. Ce chiffre ont donc contetable en eux-même, mai également ur la manière dont il ont été obtenu. En effet, ce facteur diminution e bae ur le chiffre recueilli à l occaion ux eule analye réglementaire annuelle ignifiée pluieur jour à l avance à l exploitant. Alor qu en 2004, le rapport du Comité la prévention et la précaution6 alertait déjà ur le fait que ce analye n étaient pa repréentative du flux total ur l année, le évolution dan l arrêté d août confirment implicitement cette inuffiance. La nouvelle réglementation intaure aini prélèvement en emi-continu. Cela prouve une foi plu que norme auparavant préentée comme garantie anitaire et environnementale finient par être obolète, trahiant le rique auxquel le autorité publique ont expoé le population et l environnement. Extrait la plaquette Véolia propreté Ile France

3 L impact anitaire incinérateur En paant rapiment ur la première indignation que ucite cette phrae (à avoir, i uceptibilité il y a, pourquoi continuer à cautionner un tel mo traitement?), il convient arrêter ur cette omme connaiance conidérable que emble avoir accumulée le minitère pui pluieur année. Il appuie urtout ur ux étu publiée par l InVS en 2006 et De façon générale, la manière dont ce réultat ont préenté vient également alimenter l argumentaire récurrent ur le méfait ancienne uine, comparée aux merveille technologie que eraient le plu récente. Pour achever d inculquer cette idée au lecteur, le minitère cite l étu l InVS parue en 2008 qui établit clairement un «lien entre l expoition peronne adulte aux rejet atmophérique UIOM ayant fonctionné entre 1972 et 1990 et l incince cancer dan le année 90»8, ou-entendant clairement que le problème erait aujourd hui réglé. Soulignon que l InVS lui-même ne manque pa rappeler que ce réultat e baent ur le choix d une pério latence entre l expoition et l apparition la maladie 5 an (pour le leucémie) et 10 an (pour le autre cancer), et que le rique actuel ne pourront être connu que par une nouvelle étu dan 10 an au minimum. D ici là, le population ont priée d attendre agement. Le meure Grenelle pour l incinération, meure incitative? L objectif initial affiché la mie en place cette taxe ur l incinération (que le Cniid avait mandée) pourrait embler à première vue louable. Pourtant, on apprend plu loin que non eulement a mie en œuvre et progreive «pour permettre le adaptation néceaire et limiter le répercuion lour», mai aui que l on épargne encore un peu plu le exploitant en leur accordant modulation TGAP ur la bae critère peudo-environnementaux plu que dicutable9 et difficilement vérifiable. L indutrie incinératrice en tire nouveau an trop dommage. L indutriel répercutant ytématiquement ce coût nouveaux ur le prix facturé, c et aux collectivité qu il revient engager ou non dan d autre voie que l incinération pour, notamment, limiter le dépene publique. Une autre dérive à craindre et la haue prix liée à la baie tonnage incinéré, et donc à une baie probable rentabilité l incinérateur. Cette pratique et en effet fréquente dan l indutrie incinératrice, et la meure Grenelle mettant «fin aux claue minimum tonnage qui exitaient encore dan certain contrat liant le collectivité aux exploitant d incinérateur» ne va pa uffiamment loin pour y mettre un terme. En janvier 2006, un document travail la D4E (Direction étu économique et l évaluation environnementale du Minitère l Ecologie et du Développement Durable) alertait déjà ur cette double «irréveribilité» incinérateur qui implique que pour être rentable il fonctionnent avec un tonnage fixe déchet durant toute leur durée vie, impoant aini une «contrainte ( ) ur le choix futur la combinaion option traitement déchet dan la zone concernée»10. La lecture attentive la page internet du minitère ur l incinération laie donc penif le lecteur averti vant tant d impréciion et d omiion. Plu grave encore et qu elle puie donner l impreion au lecteur novice en la matière que tout va bien dan le meilleur mon : le vieux incinérateur étaient vilain pollueur, mai grâce au légilateur, tout le mon, riverain, fleur et petit oieaux, et déormai en écurité! Le Cniid réaffirme donc la néceité d une information indépendante celle donnée par le autorité publique, pour permettre à tout un chacun prendre concience rique réel que comporte l incinération pour a anté et celle on environnement, dan l epoir onner enfin le gla cette technique d un autre âge. (1) Depui le remaniement minitériel novembre 2010, il répond au doux nom Minitère l Ecologie, du Développement Durable, Tranport et du Logement (MEDDTL). (2) Theo Colborn, John Peteron Myer et Dianne Dumanoki, Our tolen future, Little Brown and Company, Note : La théorie elon laquelle «la doe fait le poion» et ortie l eprit d un certain Paracele au XVIe iècle. Elle et remie en caue aujourd hui par une gran partie la communauté cientifique. (3) Yu Xiezhi et al., E-wate recycling heavily contaminate a chinee city with chlorinated, brominated and mixed halogenated dioxin, Organologen Compound, Volume 70 (2008), p. 816 (étu diponible ur man, en anglai). (4) Agence françaie écurité anitaire et environnementale, Le dioxine dan l environnement et la anté, Pari, juin 2003, p. 2 (5) Gille Nalbone, Le particule fine et ultrafine et leur impact ur la anté, août 2007 (note diponible ur man). (6) Comité la prévention et la précaution, Le incinérateur d ordure ménagère : Quel rique? Quelle politique?, octobre 2004 (7) Arrêté du 3 août 2010 modifiant l arrêté du 20 eptembre 2002 relatif aux intallation d incinération et co-incinération déchet non dangereux et aux intallation incinérant déchet d activité oin à rique infectieux, JORF n 0193 du 21 août (8) Intitut national veille anitaire, Étu d incince cancer à proximité uine d incinération d ordure ménagère Synthèe, 2008, p.20 (9) Voir à ce ujet l article Sébatien Lapeyre, «Le point ur la TGAP» dan la newletter du Cniid, en octobre (10) D4E, Le étu monétariation externalité aociée à la getion déchet, janvier 2006, p. 16. Delphine Lévi Alvarè Campagne Incinération et tockage

4 Le temp fort du Cniid Une mobiliation ur pluieur front qui va e pouruivre Différente thématique ont été au cœur notre actualité déchet en 2010 : la prévention déchet, l incinération, le tockage et la getion biodéchet à l occaion l adoption du Grenelle 2, mai aui le ac platique, que l on croyait enfin «enterré» mai dont le Sénat a finalement repoué la taxation. Le occaion indigner ont aini été à nouveau trop nombreue, mai confirment l importance du rôle lanceur d alerte du Cniid. De notre contre-conférence pree contre Eco-emballage à notre action «autopie poubelle» pendant la emaine réduction déchet, l année 2010 a été pour le Cniid trè riche en mobiliation. Certaine ont été menée en coopération avec d autre aociation, collectif ou réeaux, parmi lequelle Agir pour l environnement ou le Réeau Action Climat, que le Cniid a rejoint en juillet. L AG du 13 mar era l occaion revenir ur toute le action menée en 2010 et d aborr enemble le orientation pour le année qui viennent. et menonge l incinération et du tockage qui, à l intar du nucléaire, e cachent rrière le voile la lutte contre le changement climatique. Enfin, dan le cadre cette campagne, lien plu étroit eront renoué avec le aociation engagée dan lutte locale contre projet ou intallation exitante. Nou vou inviton à venir rencontrer Delphine, aini que le autre alarié du Cniid, lor la prochaine AG. Clau-Noële Pickmann Préinte L information diffuée par le Cniid, une plu-value jamai démentie Fournir une information indépendante ur le déchet et la première miion du Cniid. Outre le Cniid-info, que vou recevez troi foi par an au titre d adhérent, nou publion nombreux article dan d autre journaux (Terra Eco, Biocontact) et urtout dan notre newletter menuelle, à laquelle ont abonné plu peronne. Pour la recevoir gratuitement, il vou uffit vou rendre ur le ite du Cniid ou nou adreer une man par à info@ cniid.org. En 2010, le Cniid a également publié ux ouvrage plu important, que nou vou préention dan le Cniid-info n 38. Le rapport ur l obolecence programmée et le gui ur la getion écologique déchet à tination élu locaux ont rencontré tou ux un franc uccè. Nou prévoyon pour l année 2011 le renouvellement d une partie no plaquette d information à tination du grand public. Relance la campagne contre l incinération et le tockage L arrivée en décembre rnier d une nouvelle alariée dan l équipe du Cniid nou permet relancer activement la campagne contre l incinération et le tockage. Delphine Lévi Alvarè et d ore et déjà attelée à pluieur chantier dont celui la collecte et la mie à jour d information ur le 130 incinérateur françai, un travail indipenable pour pouvoir évaluer, par exemple, la urcapacité d incinération ur certain territoire et air le citoyen dont leur combat locaux. La quetion la «valoriation énergétique» era un autre axe important la campagne pour Aprè pluieur action ponctuelle en 2009 et 2010 (cyberaction taxe carbone ou lettre ouverte aux énateur), le Cniid va pouruivre on action pour forcer le pouvoir public à agir contre le dérive Action «Autopie poubelle» du Cniid le 20 novembre 2010 Cniid bke Winkler Un grand merci à Wie prévention Cniid en charge la Aprè 4 an paé au re fin d année ctu tru la kler a quitté déchet, Wiebke Win ier du travail erc rem aocient pour la route pour L équipe et le CA ne bon t ten hai ou lui année et puique id effectué pendant ce Cni le c ave t toutefoi préen! nte la uite. Le lien rete ére adh la compter comme nou omme heureux ipe Arrivée dan l équ Delphine Lévi Alvarè ée ver la politique Aprè étu orient opéenne et une eur environnementale e en fin curu, expérience bruxelloi réelle opportunité une id Cni j ai trouvé au concret ur le n d agir à un échelo ronnement et nvi l e ant act imp déciion ien, un métier. tid quo au nt peronnel faire mon engageme itale pour le cap e et à plu d un titr té et celle La quetion déchet an a ur ue infl elle e, tant omie. La venir notre planèt con l é r ver tou le ecteu e habitant, à tra cette quetion que tta d a le ang le complexité et le multip motivation pour une véritable ource contituent pour moi érent. avec le Cniid et e adh le combat à mener

5 Le limite l économie circulaire, Ou quand le erpent e mord la queue L économie circulaire conite à gérer tou le flux, dont le flux matière et d énergie, elon circuit en boucle. L économie circulaire peut par exemple appliquer ur un ite où pluieur indutrie fonctionnent en ynergie, le déchet un venant le reource autre, et l énergie produite par certaine unité étant utiliée par le voiine (1). Par cette approche, l Homme tente d appliquer à e activité ce qui e produit dan un écoytème naturel. Peut-on lutter contre l augmentation quantité déchet grâce au modèle l économie circulaire? Un ymbole l économie circulaire et le recyclage. Il permet d économier reource en utiliant celle qui ont déjà mobiliée dan le circuit production pour produire bien neuf. Cette économie reource «vierge» évite émiion gaz à effet erre et conommation énergétique liée à leur extraction, à leur tranformation et à leur tranport. A contrario, l incinération et l enfouiement, même il permettent récupérer l énergie, réponnt à un chéma linéaire dan lequel le reource extraite pui tranformée en bien conommation ont finalement jetée et brûlée ou enterrée an réutiliation poible. Le modèle linéaire qui domine actuellement n et pa viable, ni d un point vue environnemental, ni économique ur le long terme. En outre, le recyclage, notamment matière organique, et plu pourvoyeur d emploi que l incinération ou la mie en décharge. L économie circulaire apporte donc bénéfice multiple répondant aux exigence d un développement durable. Le recyclage et-il la panacée? La facette écolo étant venue indipenable à toute image marque, le recyclage et aujourd hui venu le pilier la communication entreprie qui vennt bien fortement générateur déchet, à l intar Nepreo ou Bic, qui ont bâti leur rnière campagne publicitaire ur ce ujet (2). Le meage et eniblement celui-ci : «achetez du jetable, ce n et pa grave c et recyclable, la planète vou dit merci!» Il faut donc veiller à ce que le recyclage ne oit pa tranformé en alibi par certaine entreprie pour arrêter tout effort d innovation dan la réduction déchet à la ource. Par exemple, le ac en platique, qui ont aujourd hui mauvaie pree, ont petit à petit remplacé par ac en agroplatique dit «biodégradable». Pourtant il n exite pa filière à l échelle nationale permettant le compoter. De même, la Ville Pari avait, dan le début la collecte élective, propoé aux pariien trier le ac en platique pour le recycler, une idée à priori louable. Or le coût la filière et avéré trop élevé et le recyclage a donc été toppé. Le recyclage néceite en effet giement uffiamment conéquent pour être rentable. Aini il faudrait tonne et tonne ac en platique pour que leur recyclage oit économiquement viable. Dan ce ca, l option à privilégier et la réduction à la ource en upprimant le ac en platique et en privilégiant une alternative durable, le ac réutiliable. Il et en outre parfoi difficile «boucler la boucle» tout en conervant le bénéfice environnementaux du recyclage. Par exemple une partie bien matériel utilié en France et produite en Chine. Il ont enuite, lorque cela et poible, trié en France. Une partie matériaux trié repart en Chine où il ont recyclé à moindre coût pui nouveaux utilié pour produire bien qui eront importé nouveaux en Europe. Si l économie circulaire appuie ur un «cercle» dont le diamètre et plu km, il faut réfléchir aux moyen l améliorer en réduiant le ditance d échange et donc en relocaliant certaine indutrie et production à proximité lieux conommation. Enfin, le recyclage n et pa forcément une boucle étanche. En effet, la plupart matériaux, lorqu il ont recyclable, ne le ont pa à l infini. Aini, le papier ne peut être recyclé que 3 à 6 foi avant d être trop dégradé. Le qualité phyique matériaux ont altérée au fur et à meure cycle recyclage. En outre, 100 % la matière qui entre dan un procédé recyclage n et pa recyclée car il y a ce qu on pourrait appeler la «perte en ligne». La matière qui arrive dan une uine recyclage ubit en général un «ur-tri» viant à ôter le impureté ou intru. Ce ur-tri envoie une partie la matière au rebut, c et le ca dan le uine recyclage verre notamment. Le recyclage n et donc pa ynonyme zéro déchet. Si l économie circulaire, et dan le ca déchet, le recyclage, ne contitue pa la totalité la répone au problème, elle et quand même une pièce maîtree du puzzle. Une autre pièce et l économie dite fonctionnalité. Celle-ci vie à créer la valeur ur ervice rendu plutôt que ur bien matériel et contribue aini à la dématérialiation l économie. Nou développeron cette idée dan le prochain Cniid-info. Le recyclage ne vrait pa ervir prétexte pour meurer dan une ociété urconommation, en déculpabiliant le un et le autre par la oi-diant garantie d une réutiliation matière contituant le déchet. Le limite expoée dan cet article nou rappellent que la réduction à la ource meure la priorité. (1) Lire à ce ujet l ouvrage Suren Erkman, Ver une écologie indutrielle, comment mettre en pratique le développement durable dan une ociété hyper-indutrielle, édition Charle Léopold Mayer, 2004, diponible auprè du Cniid. (2) Cf. dépêche AFP du 01/02/2011 ur la mie en place la filière recyclage capule Nepreo, reprenant la poition du Cniid. Hélène Bourge Campagne Alternative

6 Point vue Le emballage, un bation l économie du jetable Si l on en croit le producteur qui alimentent le rayon gran urface, ce rnier rivalieraient d ingénioité pour oulager la planète en propoant le minimum d emballage. Un recadrage impoe. Le emballage repréentent encore plu d un quart du poid la poubelle moyenne et leur volume ne cee croître. Un foyer jette en moyenne dix emballage par jour. Lorqu un indutriel fait un effort pour réduire e emballage, c et d abord et eulement i cela fait en d un point vue économique. Tout le problème et là, car l emballage contitue l un meilleur outil marketing pour l indutriel. Comment différencier ux marque coquillette dont le prix et eniblement le même? Comment choiir entre ux ntifrice qui rennt l haleine fraîche et le nt blanche? Vou achèterez ûrement le produit dont l emballage vou attire le plu. L emballage, comme veulent nou le faire croire le indutriel, n et pa eulement un élément praticité pour le conommateur, une protection contre le vol ou un outil conervation du produit. C et avant tout un moyen vou diriger ver leur produit plutôt que ver celui leur concurrent direct. Autrement dit, il agit d un outil marketing tratégique au ervice la croiance du chiffre d affaire. L initiative Leclerc d enlever le carton ur-emballage du ntifrice a marque propre et l arbre qui cache la forêt l emballage inutile : plu en plu fruit et légume vendu ou barquette platique, concombre ou cellophane, yaourt et ert en pot individuel entourée d un carton ur-emballage, achet thé individuel emballé dan un papier et euxmême contenu dan une boîte en carton ur-emballée d un film platique, bicuit et goûter ur-emballé, morceaux ucre emballé individuellement dan du papier et vendu dan une boîte en carton, unidoe café, capule platique leive contenue dan une boîte en platique, la lite et encore longue. Repener le conditionnement On ne peut e atifaire la eule réduction du poid unitaire emballage. Prenon l exemple pot yaourt. Une alternative enée coniterait à propoer le yaourt en pot 500g. Aucun grand producteur françai ert lacté ne l a encore fait : erait-ce une prouee d innovation technologique irréaliable à moin d invetir million d euro en recherche et développement? On ne parle pourtant pa ici d envoyer un yaourt ur la lune. No voiin allemand utilient ce grand pot pui année. Soutenir le développement ytème réutiliation De olution moin génératrice déchet, fondée ur la réutiliation exitent. Ce ytème impliquent cependant une participation active ditributeur. La conigne a quaiment diparu notre pay au profit d emballage jetable. Elle exite pourtant toujour en Allemagne, en Autriche, en Suè ou aux Pay-Ba et initiative ont engagée en France pour la relancer au niveau local. La bouteille en verre pouvant être réutiliée juqu à 50 foi, et la bouteille en platique PET juqu à 25 foi, la conigne préente avantage environnementaux évint, i elle et organiée le plu localement poible. La vente en vrac, courante en upermarché pour le produit ec au Canada ou en Allemagne, l et beaucoup moin en France. De nombreux magain produit biologique propoent cependant un rayon vrac, et une chaîne gran urface traditionnelle a également intallé ditributeur riz, pâte et autre produit non périable dan quelque un e magain. Enfin, certaine eneigne, encore trop peu nombreue, innovent en propoant ytème vente en vrac pour produit comme la leive, au moyen ditributeur pécialement conçu pour le produit liqui. Ce dipoitif ne ont le plu ouvent qu au ta l expérimentation, mai il méritent d être outenu. La lutte contre le gapillage reource lié aux emballage jetable et une néceité environnementale qui exige une démarche active la part du conommateur. Au là du gete d achat individuel, il agit d exprimer le ouhait d évoluer ver mo ditribution locaux, impliquant moin d intermédiaire et urface et tock moin important. La réduction déchet à la ource et aini étroitement liée aux autre principe et fonment d une conommation reponable. Hélène Bourge et Flore Berlingen La bataille contre l emballage inutile et loin d être gagnée : moin d emballage c et moin reource gâchée, moin d énergie dépenée, moin gaz à effet erre émi mai urtout moin d argent pour le fabricant d emballage et le producteur. Le emballage inutile ont une gabegie matière et d énergie, le ymbole d une économie du jetable. Le tock reource ont pourtant limité et en gran partie non renouvelable. Exemple fruit uremballé - Cniid Edité en exemplaire par le Cniid 21 rue Alexandre Duma Pari (France) Tél : Fax : Courriel : info@cniid.org - Site internet : Reponable la publication : Clau-Noële Pickmann Directeur la publication : Sébatien Lapeyre Maquette : imprimerie Champagnac - Création du logo : Céline Ro Atelier D3 Imprimé ur papier recyclé et encre végétale par l imprimerie Champagnac (15)

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