COMPTE RENDU DES DELIBERATIONS DU CONSEIL MUNICIPAL

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "COMPTE RENDU DES DELIBERATIONS DU CONSEIL MUNICIPAL"

Transcription

1 COMPTE RENDU DES DELIBERATIONS DU CONSEIL MUNICIPAL DU MERCREDI 12 NOVEMBRE 2008 à 20 HEURES 30 SALLE DU CONSEIL MUNICIPAL DATE DE LA CONVOCATION : 06 NOVEMBRE 2008 DATE D AFFICHAGE : 06 NOVEMBRE 2008 ORDRE DU JOUR : FINANCES 1- DEBAT D ORIENTATION BUDGETAIRE POUR DECISION MODIFICATIVE DU BUDGET 2008 ( N 4) 3- TARIFS PUBLICS LOCAUX POUR LOGEMENT SOCIAL LOCATIF CHEMIN DE MONDOUZIL GARANTIE D EMPLUNT P.L.S.A. 5- CREATION D UNE REGIE POUR ENCAISSEMENT DES PRODUITS DE LA CRECHE PERSONNEL COMMUNAL 6- CREATION D UN EMPLOI D ADJOINT TECHNIQUE TERRITORIAL DE 1ERE CLASSE ( Emploi d avancement ) 7- CREATIONS D EMPLOIS SUITE A TRANSFERT DU PERSONNEL DE LA CRECHE 8- CREATION EMPLOI D AUXILIAIRE POUR MISSION TEMPORAIRE CLAE 9- DEMANDE D AVENANT AU CONTRAT ENFANCE JEUNESSE ( EXTENSION DU SERVICE AUX ENFANTS DU 1 ER SERVICE DE LA MATERNELLE ) 10- DEMANDE D AIDE FINANCIERE A LA C.A.F. EQUIPEMENT INFORMATIQUE ASSAINISSEMENT 11- PARTICIPATION AU RACCORDEMENT A L EGOUT MODIFICATION DU REGIME QUESTIONS DIVERSES 12- PROJET D E.H.P.A.D. (Etablissement d Hébergement pour Personnes Agées Dépendantes) CHOIX DU MODE DE GESTION Présents : M. Jacques SEBI, Mme Josette AGROS, M. Georges GRIMBERT, M. Bernard BARBE, Mlle Nathalie GARCIA, M. Raoul PICCIN, Mme Bernadette FAVIER, M. Eric HERISSOU, Mme Marie Josette MASSOU, M. Serge CANDELA, Mme Véronique PIZZUTO, M. Joël LARROQUE, Mme Nathalie PEZZETTI, M. Christian FONTA, Mme Nathalie SERRE, Mme Sophie CANCEL, M. Régis BOUYER, Mme Catherine REMY, Mme Florence LAFOREST, M. Philippe TERNANO, Mme Paulette BEGUE, M. Georges MOUCHNINO, Mme Catherine GILABERT Absents : excusés (ayant donné pouvoir) : Mme Eliane OBIS (procuration à Mr FONTA) Mr Serge PALUSTRAN (procuration à Mme MASSOU) Mr Philippe SCHMITT (procuration à Mr GRIMBERT) Mr Regis CECCARELLO (procuration à Mme LAFOREST) L E Q U O R U M E S T C O N S T A T E E T L A S E A N C E O U V E R T E Le Conseil a choisi pour secrétaires de séance Mme LAFOREST et Mlle GILABERT 1 FINANCES COMMUNALES / DEBAT D ORIENTATION BUDGETARIE POUR 2009 Rapporteur : Mr PICCIN Monsieur le Maire rappelle les obligations légales du Débat d Orientation Budgétaire rendu obligatoire dans les communes e plus de 3500 habitants et autres collectivités territoriales telles que les Régions, les Départements et les Etablissements Publics Administratifs ( articles L2312-1, L3312-1, L et L du Code Général des Collectivités Territoriales). SEANCE DU 12 NOVEMBRE

2 Ce débat permet à l assemblée délibérante - de discuter des orientations budgétaires qui préfigurent les priorités qui seront affichées dans le budget primitif - d être informé de l évolution de la situation financière de la collectivité. Le Débat d Orientation Budgétaire n a aucun caractère décisionnel. Mr le Maire donne lecture du rapport de présentation (figurant en annexe) et invite les membres du Conseil Municipal à s exprimer DEBAT D ORIENTATION BUDGETAIRE 2009 NOTICE DE PRESENTATION Monsieur le Maire rappelle les obligations légales du Débat d Orientation Budgétaire rendu obligatoire dans les communes e plus de 3500 habitants et autres collectivités territoriales telles que les Régions, les Départements et les Etablissements Publics Administratifs ( articles L2312-1, L3312-1, L et L du Code Général des Collectivités Territoriales). Ce débat permet à l assemblée délibérante - de discuter des orientations budgétaires qui préfigurent les priorités qui seront affichées dans le budget primitif - d être informé de l évolution de la situation financière de la collectivité. Le Débat d Orientation Budgétaire n a aucun caractère décisionnel. Mr le Maire donne lecture du rapport de présentation (figurant en annexe) et invite les membres du Conseil Municipal à s exprimer 1/ ELEMENTS MACROECONOMIQUES LA CROISSANCE Initialement prévue à hauteur de 2 à 2.5% pour 2008, la croissance du P.I.B. a été largement revue à la baisse et l Etat a retenu pour son projet de budget une progression du P.I.B. «autour de 1%» PETROLE ET EURO En 2008 le gouvernement tablait sur un baril de Brent à 73 dollars en moyenne, il s est maintenu au dessus de 100 quasiment toute l année ( avec pointe à 145) pour baisser fortement ( 60 dollars ) en fin d année Change euro/dollar : il a ete supérieur à 1.40 cette année avec un record à 1.60 cet eté, pour baisser lui aussi en fin d année INFLATION Elle a un impact sur les dépenses publiques, via certains minima sociaux, les salaires des fonctionnaires et les intérêts de la dette. Le budget de l Etat prévoyait 1.8% sur l année. Elle devrait être en réalité de 3% à conditions qu les cours des matières premières ou de la parité euro / dollar maintiennent leur reflux. Pour 2009, Bercy tablerai sur 2% L indice INSEE du coût de la construction s établi quant à lui à % sur un an Le «panier du Maire» s établit à hauteur de 3.4% en 2007 soit bien supérieur aux 1.5% d inflation sur les consommations des ménages. Il faut supposer que cet écart de 1.9% se retrouvera en 2008 (cela voudrait dire 3% + 1.9% = 4.9 %) DEFICIT PUBLIC Le déficit de l Etat devrait continuer à se creuser en 2009, à hauteur de 52.1 milliards d euros après 49.4 en Le gouvernement prévoit une stabilisation du déficit public ( état, collectivités locales, comptes sociaux) à 2.7% du PIB et ne pense pouvoir commencer à le réduire qu en / PROJET DE LOI DE FINANCES POUR 2009 Les annonces du PLF portent sur les points suivants : - le PLF 2009 s inscrit pour la 1ère fois dans le cadre d un projet de loi de programmation tri-annuelle ( ), l objectif étant un retour à l équilibre des finances publiques en le budget 2009 de l Etat croît comme l inflation prévisionnelle (+ 2,00 %) et il en sera ainsi pour ses concours financiers aux collectivités locales, - les dotations (hors contrepartie des dégrèvements et hors subventions), d un montant de 55,2 milliards d euros en 2008, évolue donc de + 2 %, soit + 1,100 milliard d euros, - concrètement, cet «effort financier» est concentré sur la dotation globale de fonctionnement (qui évolue désormais comme la seule inflation prévisionnelle sans prise en compte de la croissance soit + 2 % et millions d euros) et sur le fonds de compensation pour la TVA (intégrée dans l enveloppe normée, soit millions d euros), - en conséquence, certaines compensations diminuent : outre les 4 variables d ajustement retenues en 2008, des compensations relatives aux taxes foncières et à la taxe professionnelle (d un montant de 557 millions en 2008), évolueront de - 22,8 %, SEANCE DU 12 NOVEMBRE

3 - la diminution de la dotation de compensation de la taxe professionnelle est réduite de moitié pour les communes dont le potentiel financier/habitant est inférieur à 95 % de la moyenne de la strate, et dont la DCTP représente plus de 5 % de la DGF, - une dotation de développement urbain, d un montant de 50 millions d euros, est créée, afin de participer à des équipements et actions réalisés dans 100 communes prioritaires, dans le cadre d une convention avec l Etat, signée entre le préfet et le maire de la commune concernée, - une annonce de réforme du fonds de compensation de la TVA. 3/ DONNEES BUDGETAIRES LOCALES FISCALITE Taux moyens communaux NIVEAU T.H T.F.P.B. T.F.P.N.B. T.P. National Départemental MONTRABE ENDETTEMENT ANNEE INTERET CAPITAL TOTAL Le ratio d endettement pour la commune de Montrabe ressort en 2008 à 71 / Hab. Pour une valeur de 139 / Hab. en moyenne des communes de la même strate en HG ( en 2007) La commune dispose donc d une forte capacité d emprunt grâce à l extinction de l emprunt relatif à l école maternelle, à la renégociation totale des prêts réalises en 2002 ainsi que les conditions favorables des prêts contractés pour le financement des opérations d investissement du premier mandat. ET TAUX BANCAIRES Les derniers prêts bancaires réalisés par la Commune remontent à 2003, 2004 et 2005 pour lesquels les taux fixes de 4.55, 4.45 et 3.44% avaient ete obtenus sur 20 ans (la commune n est donc absolument pas concernée par les emprunts appelés «toxiques» ) Les taux d'intérêt à long terme devraient rester bas jusqu en fin d année Ils pourraient ensuite monter progressivement, mais dans de faibles proportions en 2009, en raison de la politique monétaire de la Banque centrale européenne qui vise à combattre l inflation et de la crise financière. SEANCE DU 12 NOVEMBRE

4 07 oct sept sept.e 2008 juil oct Euribor 5,35 % 5,14 % 4,96 % 4,96 % 4,63 % 3 mois Variation + 0,21 % + 0,39 % + 0,39 % + 0,72 % Euribor 5,48 % 5,47 % 5,34 % 5,37 % 4,57 % 1 an Variation + 0,01 % + 0,14 % + 0,11 % + 0,91 % OAT 4,14 % 4,48 % 4,35 % 4,58 % 4,39 % 10 ans Variation - 0,34 % - 0,21 % - 0,44 % - 0,25 % Tendance C/ DOTATIONS ET TRANSFERTS DE CHARGE DE L ETAT La progression de la DGF devrait être de 2% soit du montant de l inflation prévisionnelle dans le cadre de «l enveloppe normée». L inflation prévisionnelle devient la référence de l évolution des dotations aux collectivités Le FCTVA a été sorti de l enveloppe normée des dotations attribuées aux collectivités locales D/ LES SALAIRES ET LES COMPENSATIONS D ETAT Les salaires de la fonction publique devraient augmenter de 0.5% au 1 er juillet et de 0.3% au 1 er octobre 2009, accompagné d une garantie individuelle de pouvoir d achat (GIPA) exceptionnelle, visant à couvrir le pic d inflation de S agissant des emplois aides et des compensations de l Etat, la Commune n est pas concernée ( à l exception d un emploi CAE sur 8 mois à la crèche ) 4/ PREMIERE APPROCHE PREVISIONELLE DE LA STRUCTURE GLOBALE DU BUDGET PRIMITIF 2009 L élément majeur d évolution du budget primitif 2009 sera l intégration de la crèche dans le budget de fonctionnement de la commune ( en dépenses : charges de personnel et charges de gestion courantes / en recettes : recettes en provenance de la tarification aux parents et recettes de la CAF) Sur la section de fonctionnement les autres facteurs d évolution des dépenses (à la hausse) sont : - extension des services du CLAE ( incidences de la mise en place de la semaine de 24h dans les écoles, de l intégration du premier service maternelle dans le CLAE ) - créations d emploi (incidences du transfert d un agent au service animation) - augmentation générale contrainte des dépenses de gestion courante (hausse des coûts : inflation, «panier du maire», ) Le seul facteur d évolution à la baisse est relatif aux intérêts des emprunts Dans le domaine des recettes et pour rappel : - DGF : +2% - Revalorisation forfaitaire des base : chiffre non communiqué à ce jour mais peut être prévue autour de 1.5% - On espère pour 2009 les premiers effets des efforts d élargissement des bases de la TP ( longueterre ). FONCTIONNEMENT RECETTES DE FONCTIONNEMENT Rappel / PRODUIT EXPLOITATION RECOUVREMENT SUBVENTION Essentiellement constitué des recettes cantine, la hausse des tarifs compensera la baisse de la fréquentation constatée. CLAE : recettes supplémentaires attendues de l appel à la participation des parents au financement des services nouveaux CRECHE : intégration des produits de la facturation des services aux parents 73 AUTRES PRODUITS 8000 SEANCE DU 12 NOVEMBRE

5 74 DGF Devrait baisser en raison du critère population légale ( 3600 à 3360, soit ) +2% de revalorisation CRECHE : intégration des recettes CAF 73 RECETTES % de RFB FISCALES augmentation des bases de TP souhaitée le «point d impôt» s élève à euros 73XX AUTRES TAXES O.M % de RFB Pas d augmentation prévisible des bases TOTAL DEPENSES DE FONCTIONNEMENT Rappel FRAIS DE PERSONNEL Charges nouvelles relatives à l extension du service CLAE ( semaine de 24h + 1 er service maternelle) 05% d augmentation en juillet et +0.3% en octobre + GVT 3% CRECHE : charge à prévoir suite au transfert du personnel dans l effectif de la collectivité 011 FRAIS DE GESTION GENERALE 65 PARTIICPATIONS ET CONTINGENTS % d inflation CRECHE : intégration dans le budget communal des frais généraux de la structure Baisse des participations ( effet recensement ) % minimum de hausse forfaitaire attendu 66 INTERETS En baisse par suite de l extinction d un emprunt 68 AMORTISSEMENT ET PROVISIONS 023 PRELEVEMENT L épargne brute couvrira le remboursement de la dette Cependant l effet «ciseaux» se fait de plus en plus sentir et s accroît au cours des années En effet les dépenses des collectivités croissent sous le double effet - augmentation des transferts de charges non compensées - augmentation du «panier du maire» plus rapide que l inflation Les recettes ont contraintes par - l indexation des dotations d Etat sur l inflation (plus faible que le «panier du maire») - la pression fiscale existante - les nouvelles mesures fiscales d exonération, notamment en ce qui concerne la TP pour les investissements nouveaux, dont on ne connaît pas vraiment encore le dispositif de compensation pour les communes Il en résulte inexorablement une érosion de la capacité d autofinancement de la commune pour des programmes d investissement INVESTISSEMENT RECETTES D INVESTISSEMENT Prélèvement sur dépenses de fonctionnement : il couvrira le remboursement du capital FCTVA : ne devraient pas connaître d évolution majeure, le remboursement de la TVA étant assis sur l année N-2 soit 2007 TLE : une légère hausse des rentrées devrait être constatée par suite des premiers appels concernant les récents programmes réalises (habitat ou activités) DEPENSES D INVESTISSEMENT REMBOURSEMENT DU CAPITAL : il diminuera sensiblement de l ordre de à TRAVAUX : outre les travaux ou acquisitions récurrents et nécessaires, il convient de noter que le budget 2009 ouvrira certains programmes de gros investissement essentiellement pour la seule part relative aux études. Cela signifie que 2009 ne sera pas une année de chantier mais plutôt de mise en forme et d études de projets. Les inscriptions budgétaires devraient en être l image. SEANCE DU 12 NOVEMBRE

6 2 BUDGET COMMUNAL - DECISION MODIFICATIVE N 4 Rapporteur : Mr PICCIN Mr le Maire informe le Conseil Municipal qu il s avère nécessaire de procéder à l approvisionnement budgétaire et au transfert de crédit entre certains articles ou comptes budgétaires Apres en avoir délibéré, le Conseil Municipal décide à l unanimité: - d apporter les modifications suivantes au budget communal SECTION DE FONCTIONNEMENT DEPENSES RECETTES ARTICLE INTITULE MONTANT ARTICLE INTITULE MONTANT 673 Annulation titre exercice antérieur dotation solidarité rurale Charges de personnel dotation péréquation TOTAL TOTAL SECTION D'INVESTISSEMENT DEPENSES RECETTES COMPTE INTITULE MONTANT COMPTE INTITULE MONTANT TLE Participation Opérat Tx Ecole maternelle opérat Tx acces Ecole Elementaire 2000 opérat opérat 17 Effacement réseaux luberon France télécom opérat 19 Effacement réseaux RD70/CC France télécom Acquisition frigo restaurant 1200 opérat 29 travaux régie TARIFS PUBLICS LOCAUX 2009 Rapporteur : Mr LE MAIRE Monsieur le maire rappelle au Conseil Municipal qu il y a lieu chaque année d actualiser les tarifs publics communaux. Pour l exercice 2009 il est proposé d appliquer l augmentation correspondant à l évolution de l indice INSEE des prix à la consommation (Ménage urbain dont le chef est ouvrier ou employé - série hors tabac n 4018D) qui s établi comme suit : Indice août 2008 : SEANCE DU 12 NOVEMBRE

7 Indice de référence août 2007 : Soit une évolution sur un an de 3.10 %. La fixation des tarifs de restauration scolaire est déréglementé par Décret N du 29 juin 2006 (dans la limite du prix de revient réel du repas) Il est proposé de répercuter l inflation constatée sur les 12 mois précédents Apres en avoir délibéré, le Conseil Municipal décide à l unanimité - D approuver les montants des tarifs publics locaux tels que fixés en annexe, tarifs applicables à partir du 01/01/2009, sauf pour les tarifs de restauration scolaire qui seront applicables à compter du 01/09/2009. TARIFS PUBLICS LOCAUX CIMETIERE Applicable à compter du 01/09/2009 PARTICIPATION CLAE 2009 CONCESSION TRENTENAIRES Applicable à compter du 01/09/ % 2009 Les 2 premiers m2 Le mêtre suivant 2008 % % % Tarif 1 enfant % CONCESSIONS CINQUANTENAIRES Tarif 2 et % % 2008 part variable / Les 2 premiers % repas % 0.57 m Le mêtre % suivant RESTAURANT SCOLAIRE Applicable à compter du 01/09/2009 COLOMBARIUM / ALVEOLE ENFANTS 2008 % % et % ans % % ans % Institutrices % ans % REPAS ACLM Applicable à compter du 01/09/2009 DEPOSITOIRE Gratuit les 6 premiers mois, Maximum 12 mois d'utilisation 2008 % % 2009 le repas % à 9 mois % PORTAGE REPAS A DOMICILE Applicable à compter du 01/01/ à 12 mois % LOCATION PODIUM 2008 % 2009 Applicable à compter du 01/01/2009 le repas % % 2009 Communes gratuit gratuit LOCATION TABLES CHAISES 2008 % 2009 Applicable à compter du 01/01/ % convives % SEANCE DU 12 NOVEMBRE

8 PHOTOCOPIES au-delà % Applicable à compter du 01/01/ % 2009 DROIT DE PLACE Format A % 0.20 Applicable à compter du 01/01/2009 Format A % % 2009 Main d'œuvre Présence % % 1 à 25 copies 5.47 occasionnelle Main d'œuvre % + 25 copies BIBLIOTHEQUE LOCATION PETITE GARE Applicable à compter du 01/01/2009 Applicable à compter du 01/01/ % 2009 ( particuliers Caution 450 ) Non résidents % Résidant Commune 2008 % 2009 Résidents GRATUIT % Assoc. communale % 0.00 REDEVANCE ASSAINISSEMENT 2008 % 2009 Prime fixe % consommation % 0.25 PARTICIPATION RACCORDEMENT A L'EGOUT Référence TP % 2009 VALEUR / M² % S.H.O.N LOYER APPARTEMENT Application de l'encadrement reglementaire 2008 % 2009 Mairie annexe % OCCUPATION DOMAINE PUBLIC PART VARIABLE 2008 % 2009 Emplacement Fêtes % 0.69 TAXE EMPLACEMENTS PUBLICITAIRES Tarifs légaux maxima appliqués par la loi des Finances Seront precisés en 2009 SEANCE DU 12 NOVEMBRE

9 4 LOGEMENT SOCIAL CHEMIN DE MONDOUZIL - GARANTIE D EMPRUNT P.L.S.A. Rapporteur : Mr LE MAIRE Pour financer la construction de 11 logements en location accession, la SA HLM DES CHALETS a décidé, par délibération en date du 21 mai 2007 de contracter auprès de Dexia Crédit Local, agissant tant pour lui-même que le cas échéant pour sa filiale Dexia MA, société régie par les articles L à L du Code monétaire et financier, un prêt d un montant de , pour lequel le Conseil General de la Haute Garonne a accepté d'apporter sa garantie à hauteur de ( soit 75%) La Commune de Montrabe après avoir pris connaissance en tous ses termes du projet de contrat et des pièces y annexées établis par Dexia Crédit Local et après en avoir délibéré, au profit de la SA HLM DES CHALETS. DECIDE à l unanimité Article 1 :ACCORD DU GARANT La Commune de Montrabe accorde sa garantie à hauteur de 25% (soit ) pour le remboursement de toutes sommes dues en principal, intérêts, intérêts de retard, indemnités, frais et accessoires au titre du contrat de prêt contracté par la SA HLM DES CHALETS d'un montant en principal de dont les principales caractéristiques sont définies à l'article 2. Article 2 : PRINCIPALES CARACTERISTIQUES DU PRET Le présent prêt est régi par le Code de la construction et de l'habitation et notamment par les articles R à R , les articles R , R , R , R et R étant annexés au présent contrat. L'Emprunteur s'oblige à respecter cette réglementation telle que le cas échéant modifiée par des dispositions qui lui seraient opposables. Conformément à l article R , l Emprunteur et le Prêteur entendent déroger intégralement aux dispositions des 2 et 3 de l article R du Code de la construction et de l habitation. L'Emprunteur s'engage à ne contracter aucun autre prêt pour la même opération à l'exception de ceux visés par l'article R du Code de la construction et de l'habitation. Ce prêt comporte : - une phase de mobilisation des fonds, - une phase d amortissement du capital mobilisé en une ou plusieurs tranches. Les fonds mobilisés n ayant pas encore fait l objet de la mise en place d une tranche d amortissement sont dénommés «Encours en Phase de Mobilisation». A tout moment pendant la phase de mobilisation, l Emprunteur peut mettre en place des tranches d amortissement dont il définira le profil d amortissement et le taux d intérêt applicable. Montant EUR (lettre) UN MILLION SIX CENT SOIXANTE DEUX MILLE SEPT CENT VINGT SEPT EUROS Durée totale initiale : 31 ans Dont : - durée de la phase de mobilisation : 12 mois - durée maximale de la phase d'amortissement : 30ans Objet du prêt : financer l'opération de construction de 11 logements situés Route de Mondouzil à Montrabe, destinés à faire l objet de contrats de location-accession à la propriété entre l Emprunteur et les locataires accédants. PHASE DE MOBILISATION Taux indexé : EONIA auquel s'ajoute une marge de 0.35% Paiement des intérêts : mensuel Mobilisation des fonds : dans un délai de 12 mois suivant la signature du contrat par Dexia Crédit Local Commission d engagement : 500 EUR SEANCE DU 12 NOVEMBRE

10 PHASE D AMORTISSEMENT Tranches d amortissement dont LES CARACTERISTIQUES seront définies lors de leur mise en place Pour chaque mise en place d une tranche d amortissement, l Emprunteur choisit les caractéristiques et les conditions financières applicables à cette tranche parmi celles définies ci-après : Tranches d amortissement à taux indexé - Taux indexé au choix de l Emprunteur : les conditions financières applicables sont les suivantes : Durée initiale de la tranche Jusqu'à 30 d amortissement an(s) Index EURIBOR 1, 3, 6 ou 12 mois 0,15 % TAG 1, 3 ou 6 mois TAM 0,36 % - Périodicité des échéances : mensuelle, trimestrielle, semestrielle ou annuelle. La périodicité des échéances doit être identique à la périodicité de l index choisi. - Mode d'amortissement : constant ou progressif ou personnalisé, conformément au tableau d amortissement établi lors de la mise en place de la tranche d amortissement. A sa date de mise en place, la durée de vie moyenne de la tranche d amortissement ne devra pas excéder 70 % de la durée maximale de la phase d amortissement. Tranches d amortissement comportant deux phases PREMIERE PHASE - Taux fixe : cotation proposée par Dexia Crédit Local et acceptée par l Emprunteur lors de la mise en place de la tranche d amortissement - Périodicité des échéances : mensuelle, trimestrielle, semestrielle ou annuelle - Mode d'amortissement : constant ou échéances constantes ou personnalisé, calculé sur la durée totale de la tranche d amortissement, conformément au tableau d amortissement établi lors de la mise en place de la tranche d amortissement. A sa date de mise en place, la durée de vie moyenne de la tranche d amortissement ne devra pas excéder 70 % de la durée maximale de la phase d amortissement. SECONDE PHASE - Taux indexé : à la date de la dernière échéance de la première phase, date d effet de l arbitrage, l Emprunteur choisit pour la durée résiduelle de la tranche le taux d intérêt parmi ceux proposés pour les tranches d amortissement à taux indexé. A défaut de choix de l Emprunteur, le taux d intérêt applicable sera l index EURIBOR 3 mois majoré de sa marge. - Périodicité des échéances : mensuelle, trimestrielle, semestrielle ou annuelle. La périodicité des échéances doit être identique à la périodicité de l index choisi. - Mode d amortissement : identique à celui de la première phase. En cas d échéances constantes en première phase, l amortissement de la seconde phase est progressif. A la date d effet de l arbitrage, la durée de vie moyenne de la tranche d amortissement ne devra pas excéder 70 % de sa durée résiduelle. Tranche d amortissement DONT LES CARACTERISTIQUES SONT DEFINIES par défaut A défaut de demande de mise en place d une tranche d amortissement à la date fixée pour le terme de la phase de mobilisation, l Encours en Phase de Mobilisation fait l objet, à cette date, de la mise en place automatique d une tranche dont les caractéristiques et les conditions financières sont les suivantes : - Durée : 30 ans - Taux indexé : EURIBOR 3 mois auquel s ajoute une marge de 0,15 % - Périodicité des échéances : trimestrielle - Mode d'amortissement : progressif SEANCE DU 12 NOVEMBRE

11 Article 3 : Déclaration du garant La Commune de Montrabe déclare que cette garantie est accordée en conformité avec les dispositions du Code général des collectivités territoriales et notamment celles relatives au plafond de garantie, à la division du risque et au partage du risque. Article 4 : Appel de la garantie Au cas où la SA HLM DES CHALETS ne s acquitterait pas de toutes les sommes exigibles dues par lui en principal, intérêts, intérêts de retard, indemnités, frais et accessoires, le garant s engage à en effectuer le paiement en ses lieu et place à première demande de Dexia Crédit Local adressée par lettre missive, sans jamais pouvoir opposer le défaut de mise en recouvrement des impôts. Article 5 : Etendue des pouvoirs du signataire M. Jacques SEBI, Maire, est autorisé à signer en qualité de représentant du garant le contrat de prêt à intervenir entre Dexia Crédit Local et la SA HLM DES CHALETS, et est habilité à procéder ultérieurement, sans autre délibération, aux opérations que nécessiterait, le cas échéant, la mise en œuvre de la garantie, et reçoit tous pouvoirs à cet effet. 5 CREATION D UNE REGIE POUR ENCAISSEMENT DES PRODUITS DE LA CRECHE MUNICIPALE Rapporteur : Mr LE MAIRE Monsieur le Maire rappelle que le Conseil Municipal s étant prononcé pour la mise en place d une gestion municipale de la crèche à compter du 1 er janvier 2009, il convient de mettre en place les modalités de fonctionnement notamment en ce qui concerne la facturation et l encaissement des produits du service. ( il est précisé que cette facturation fait l objet d un encadrement par la Caisse d Allocations Familiales ) Il est proposé pour ce faire d instituer une régie de recettes autorisant, dans le cadre du principe de comptabilité publique de séparation des ordonnateurs et des comptables, la détention de fonds (notamment sous forme de cheques). Apres avoir entendu l exposé de Mr le maire il est décidé à l unanimité - De créer une régie de recettes en vue de l encaissement des produits relatif à la facturation du service aux bénéficiaires - D autoriser Mr le Maire à effectuer les démarches administratives en ce sens 6 PERSONNEL COMMUNAL CREATION D UN EMPLOI D ADJOINT TECHNIQUE 1ERE CLASSE (EMPLOI D AVANCEMENT) Rapporteur : Mr LE MAIRE L assemblée délibérante, Vu le code général des collectivités territoriales, Vu la loi n du 13 juillet 1983 modifiée, portant droits et obligations des fonctionnaires, Vu la loi n du 26 janvier 1984 modifiée, portant dispositions statutaires relatives à la Fonction publique territoriale, et notamment son article 34, Vu le décret n du 22 décembre 2006 portant statut particulier et échelonnement indiciaire du cadre d emplois des Adjoints Techniques Territoriaux, Considérant Vu le tableau des effectifs de la Commune de Montrabe, Et après en avoir délibéré le Conseil Municipal décide à l unanimité : La création d un emploi de : Filière TECHNIQUE Grade (s) Adjoint Technique Territorial 1ere classe Durée hebdomadaire de service * Date d effet Temps complet 01/01/2009 Le tableau des effectifs de la collectivité est modifié comme suit : FILIERE TECHNIQUE Effectif actuel Effectif nouveau Adjoint Technique Territorial 1ere classe 2 3 SEANCE DU 12 NOVEMBRE

12 Les crédits nécessaires à la rémunération de l agent qui sera nommé par arrêté de l autorité territoriale à cet emploi sont inscrits au budget, et que les crédits seront reconduits chaque année. 7 CRETAION D EMPLOIS SUITE A TRANSFERT DU PERSONNEL DE LA CRECHE Rapporteur : Mr LE MAIRE Monsieur le Maire rappelle le souhait exprimé de cessation d activités de l association assurant la gestion de la crèche et la décision de principe de mettre en place une gestion municipale à compter du 1 er janvier Il rappelle en outre les dispositions de l article L du Code du Travail lequel dispose : «Lorsque l'activité d'une entité économique employant des salariés de droit privé est, par transfert de cette entité, reprise par une personne publique dans le cadre d'un service public administratif, il appartient à cette personne publique de proposer à ces salariés un contrat de droit public, à durée déterminée ou indéterminée selon la nature du contrat dont ils sont titulaires. Sauf disposition légale ou conditions générales de rémunération et d'emploi des agents non titulaires de la personne publique contraires, le contrat qu'elle propose reprend les clauses substantielles du contrat dont les salariés sont titulaires, en particulier celles qui concernent la rémunération. En cas de refus des salariés d'accepter les modifications de leur contrat, la personne publique procède à leur licenciement, dans les conditions prévues par le présent code et par leur contrat.» L ensemble du personnel de la structure associative doit donc être transféré dans le personnel communal, chaque salarié ayant à ce moment là l option entre la reprise de son contrat ou l intégration dans l un des cadres d emploi de la fonction publique territoriale. Dans la première hypothèse la Commune de Montrabe se substitue à l ancien employeur et l agent est titulaire d un Contrat à Durée Indéterminée de droit public. Sa rémunération est fixée à hauteur de l indice brut de la fonction publique correspondant à son ancienne rémunération brute. Dans le second cas, l intégration des agents se fait directement dans l un des cadres d emploi de la fonction publique territoriale ( Agent Technique, Agent social) avec reprise d une partie d ancienneté, ou bien après concours d accès ( Educatrice de Jeunes Enfants, Infirmière, ) Mr le Maire rappelle que l Association et la Municipalité avaient défini pour le second semestre 2008 des modalités de gestion commune, notamment dans le secteur de la gestion du personnel. Dans ce cadre il avait été procédé au remplacement de la directrice démissionnaire par une Educatrice de Jeunes Enfants en poste et le remplacement dans ses fonctions par deux emplois à mi-temps (un poste d Educatrice de jeunes Enfants et un poste d infirmière) Il est donc proposé de créer les emplois suivants EMPLOI NATURE DE DUREE HEBDOMADAIRE NOMBRE L EMPLOI Educatrice Spécialisée CDI droit public 35h hebdomadaires 1 Educatrice de Jeunes Enfants CDI droit public 35h hebdomadaires 1 Educatrice de Jeunes Enfants CDI droit public 17.5h hebdomadaires 1 Infirmière CDI droit public 18h hebdomadaires 1 Auxiliaire de puericulture CDI droit public 32h hebdomadaires 1 Agent Social Territorial Emploi statutaire 35h hebdomadaires 2 FPT Agent Social CDI droit public 32h hebdomadaires 1 Agent Technique Territorial Emploi statutaire 35h hebdomadaires 6 FPT Agent Technique CDD droit public 35h hebdomadaires 1 (remplacement) Contrat d Accompagnement à l Emploi Septembre Soit un effectif de 16 postes à créer pour un effectif en service de 15 agents représentant équivalent temps plein Apres en avoir délibéré le Conseil Municipal décide à l unanimité - de créer les emplois correspondants à compter du 1 er janvier de prévoir au Budget primitif de l exercice 2009 les crédits nécessaires SEANCE DU 12 NOVEMBRE

13 8 PERSONNEL COMMUNAL CREATION D EMPOIS D AUXILIAIRES POUR DISTRIBUTION D IMPRIMES Rapporteur : Mr LE MAIRE Mr le Maire informe l assemblée de la nécessite de mettre en place des modalités de distribution d imprimes sans adresse sur la Commune. En effet les prestataires extérieurs auxquels la commune s est adressée ne peuvent être retenus pour diverses raisons ( coût de la prestation, réactivité, fiabilité ). Il est proposé de réaliser ce service en régie directe ( distribution aux habitants des différents documents édités par la Mairie à leur intention : «quoi de neuf» «fount» et autres informations à caractère général ou officiel ) Ces agents, nommés pour la période du 1er septembre au 30 juin de l année suivante, Afin de pouvoir procéder à leur recrutement, il propose, en application des dispositions de l alinéa 2 de l article 3 de la Loi N du 26 janvier 1984 modifiée portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique territoriale, de créer les emplois correspondants, soit : o 2 postes d agent de distribution Ces agents seront rémunérés sur la base du nombre d heures réelles effectuées établies suivant un état de décompte d heures réalisées, majoré des indemnités kilométriques au tarif officiel en vigueur. La rémunération sera établie sur la référence de l indice correspondant au 1 er échelon de l emploi d Adjoint Technique Territorial Après en avoir délibéré le Conseil Municipal décide à l unanimité : - de créer, dans le cadre des dispositions légales précitées, 2 emplois d agent de distribution. - de rémunérer ces emplois sur les crédits ouverts à l article 6413 du budget primitif, sur la base du 1er échelon du grade d Adjoint Technique Territorial 2eme classe et en fonction du nombre d heures réalisées. - tous ces emplois seront pourvus par recrutement direct 9 CLAE - DEMANDE D AVENANT AU CONTRAT ENFANCE JEUNESSE Rapporteur : Mr LE MAIRE Monsieur le Maire rappelle la délibération du Conseil Municipal du 31 janvier 2007 l Assemblée approuvait la conclusion auprès de la Caisse d Allocations Familiales de la Haute Garonne d un Contrat Enfance Jeunesse. Ce contrat fixait les engagements réciproques de la Commune de Montrabe et de la Caisse d Allocation Familiales pour les années 2006,2007,2008 et un premier avenant est venu enregistrer, avec effet au 01/01/2007, les nouvelles dispositions en ce qui concerne l ancien Contrat Temps Libre. Mr le Maire rappelle la création, depuis la rentrée scolaire, d un nouveau service portant sur l extension du CLAE aux enfants du premier service de la maternelle, qui en étaient jusqu à ce jour écartés. Cette extension du service génère la mise en place de moyens humains nouveaux qualifiés dans l encadrement et l animation des enfants. Ces moyens sont conformes aux normes édictées par le Ministère de la Jeunesse et des Sports dans le domaine des structures accueillant des enfants (taux d encadrement 1 pour 10 et animateur diplômé BAFA). Il est donc proposé de solliciter de la Caisse d Allocation Familiales la conclusion d un avenant prenant en compte cette action nouvelle dans le cadre du Contrat Enfance Jeunesse Apres en avoir délibéré le Conseil Municipal décide à l unanimité - de solliciter de la Caisse d Allocation familiales de la Haute Garonne l a conclusion d un avenant au Contrat Enfance Jeunesse 10 CLAE DEMANDE DE SUBVENTION A LA C.A.F. - AIDE A L INVESTISSEMENT Rapporteur : Mr LE MAIRE Monsieur le Maire rappelle la création, depuis la rentrée scolaire, d un nouveau service portant sur l extension du champ d intervention et des services du C.L.A.E. aux enfants du premier service de la maternelle, qui en étaient jusqu à ce jour écartés. Cette extension du service génère la mise en place de moyens matériels nouveaux eu égard à la nécessité de créer un second CLAE en charge plus particulièrement de la gestion des effectifs de l école maternelle. Les charges administratives de la nouvelle structure s ajoutant à celles de l ancienne nécessite de disposer de moyens propres d organisation et de travail. Il est donc proposé de procéder à l acquisition de deux ordinateurs portables et des logiciels et périphériques nécessaires à leur fonctionnement pour un montant de HT. Mr le Maire informe l assemblée que cette dépense peut être éligible à une aide à l investissement de la Caisse d Allocation Familiales de la Haute Garonne Apres en avoir délibéré le Conseil Municipal décide à l unanimité SEANCE DU 12 NOVEMBRE

14 - de solliciter de la Caisse d Allocation familiales de la Haute Garonne une aide à l investissement afin d aider la Commune à se doter des nouveaux moyens nécessaires à l organisation et au fonctionnement engendrés par la nécessité de créer un second CLAE en charge des effectifs de l Ecole Maternelle 11 ASSAINISSEMENT - PARTICIPATION POUR RACCORDEMENT A L EGOUT ACTUALISATION 2009 Rapporteur : Mr GRIMBERT Monsieur le Maire rappelle à l Assemblée qu outre la redevance d assainissement instituée par le Code Général des Collectivités Territoriales, le Code de la Santé Publique prévoit ( article L ) une participation des constructeurs au financement des équipements publics en réseaux d eaux usées peut être demandée. «les propriétaires des immeubles édifiés postérieurement à la mise en service de l égout auquel ces immeubles doivent être raccordés peuvent être astreints par la Collectivité, pour tenir compte de l économie par eux réalisée en évitant une installation d évacuation ou d épuration individuelle réglementaire, à verser une participation s élevant au maximum à 80% du coût de fourniture et de pose d une telle installation» Par délibération du Conseil Municipal en date du 26 juin 2006 un nouveau régime avait ete institué selon des modalités de calcul s inspirant largement de celles retenues par la Communauté d Agglomération du Grand Toulouse. Une actualisation des tarifs est prévue chaque année en fonction de l évolution de l indice TP01 ( Indice Travaux Publics index général tous travaux ) à savoir INDICE TP01 VALEUR PRE REFRENCE JUIN / M² S.H.O.N. ACTUALISATION JUIN / M² S.H.O.N. Soit une augmentation de 8.42% sur les 12 mois qui ont précédé. Après en avoir délibéré, le Conseil Municipal décide à l unanimité : - De fixer POUR 2009 le tarif de la Participation pour Raccordement à l Egout ( Po ) à hauteur de par M² de SHON ( exempte de TVA ) avec application de coefficients pondérateurs pour certaines catégories de constructions dont les caractéristiques justifient l application d un tarif différent : Logement hôtel restaurant café local technique de piscine et d une façon générale tout local autre que figurant dans les deux autres catégories PRE par M² SHON commerce bureau salle de spectacle ou réunion Etablissements d enseignement équipements publics sportifs atelier usine Po 0.66 Po 0.33 Po - D exiger la PRE auprès du bénéficiaire du permis de construire ou de la déclaration de travaux suivant le tarif applicable à la date de dépôt de la demande d autorisation - d exiger une PRE sur toute augmentation de SHON proportionnelle à la surface supplémentaire, y compris le simples déclarations de travaux dans la mesure ou elles aboutissent à une création de SHON. - De fixer comme suit la liste des constructions exonérées : abri de jardin non attenant à l habitation principale et non raccordé au réseau d eau potable abri de voiture non attenant à l habitation principale et non raccordé au réseau d eau - D exiger le paiement de la PRE dans les conditions suivantes Autorisation délivrée durant le 1 er semestre 1 er janvier de l année N+1 de l année N Autorisation délivrée durant le 2eme 1 er juillet de l année N+1 semestre de l année N - En cas de permis de construire modificatif, le montant de la PRE sera modifié selon les modalités de calcul suivantes : Avec changement de destination et / ou changement de surface Augmentation de surface avec ou sans changement de destination Diminution de surface avec ou sans changement de destination PRE = S1 * 1 + S2 * 2 PRE = S1 * 1 - S2 * 2 Tarif de la PRE appliqué à l extension : tarif en vigueur à la date de dépôt du permis modificatif Tarif de la PRE appliqué : tarif en vigueur à la date du dépôt du permis initial SEANCE DU 12 NOVEMBRE

15 Avec, S1 : surface initiale en M² SHON S2 : surface supplémentaire ou supprimée en M² SHON 1 : Montant du taux de PRE à la date de dépôt de permis de construire initial en 2 : Montant du taux de PRE à la date du dépôt de permis modificatif en 12 ETABLISSEMENT D HEBERGEMETN POUR PERSONNES AGEES DEPENDANTES CHOIS DU MODE DE GESTION Rapporteur : Mr LE MAIRE Monsieur le Maire rappelle le projet de réalisation d un EHPAD (Etablissement d Hébergement pour Personnes Agées Dépendantes) ainsi que l acquisition récente d un terrain de 8000 m² qui lui est destiné. Le projet porte sur une structure de 80 lits dont 10 lits Alzheimer Le dossier de demande d agrément est en cours de constitution et devrait être examiné au mois de juin 2009 par le Comité Régional de l'organisation Sociale et Médico-Sociale Il importe dans ce cadre de se définir sur le mode de gestion qui sera retenu pour assurer le fonctionnement de cette structure. Il est précisé que le terme générique de maison de retraite englobe un ensemble très hétérogène dans lequel il faut distinguer diverses structures qui peuvent dépendre du secteur public ou privé : Dans le secteur privé, les établissements peuvent avoir le statut d une société commerciale ou d une association à but non lucratif Dans le public, les établissements peuvent relever du secteur sanitaire (hospitalier) ou de la commune. Par ailleurs, les établissements peuvent être plus ou moins médicalisés selon qu ils ont pour vocation d accueillir des personnes âgées autonomes, en perte d autonomie ou dépendantes. Enfin le séjour peut être de longue durée ou temporaire. Un séjour temporaire correspond à un séjour de convalescence ou bien à un séjour d essai renouvelable. Il peut se transformer en un séjour de longue durée. L EHPAD est un établissement qui a signé une convention tripartite de 5 ans avec le département et l'etat qui l oblige à respecter un cahier des charges et à avoir une démarche qualité ce qui assure donc aux personnes âgées un accueil dans les meilleures conditions de sécurité, d hygiène et de confort. La DDASS effectue des contrôles réguliers et garantit le bon fonctionnement de ces établissements. Les maisons de retraite peuvent dépendre du secteur privé ou public. Les maisons de retraite du secteur public sont placées sous l autorité d un Centre d Action Sociale, de l Assistance Publique, d un centre hospitalier ou d un hôpital. Ces dernières permettent aux résidents de percevoir éventuellement l aide sociale, l Allocation Logement ( ALS ou APL) selon conventionnement ainsi que l Aide Personnalisée d Autonomie. Leur tarification est fixée par le Conseil General. La maison de retraite, dès lors qu elle est conventionnée, est nécessairement médicalisée. Elle propose à ses résidents un encadrement médical et des activités adaptées pour des séjours longs ou temporaires. La maison de retraite permet aux personnes âgées en perte d autonomie de bénéficier de l attention et des soins d un personnel permanent comprenant des médecins, des infirmier(ières)s, des aides soignants, des auxiliaires de vie, des kinésithérapeutes, des orthophonistes, des animateur(rice)s.. Les EHPAD diffèrent des Résidences Services en ce que ces dernières constituent un type d hébergement collectif conçu pour servir d intermédiaire entre le logement personnel et la maison de retraite traditionnelle. Elles accueillent des personnes âgées valides, autonomes, seules ou en couple, ne désirant ou ne pouvant plus vivre isolées. Tout en conservant une certaine indépendance au sein des appartements, les résidents bénéficient d équipements ou de services collectifs dont l usage est facultatif et payant: restaurant, services ménagers, services paramédicaux, animations et activités diverses. SEANCE DU 12 NOVEMBRE

16 Apres en avoir délibéré le Conseil Municipal décide à l unanimité : - de retenir le mode de gestion suivant : Etablissement Public Autonome - d en confier la maîtrise d ouvrage à la SA HLM des CHALETS DECISIONS MUNICIPALES RAPPORTEUR : MR LE MAIRE Mr le Maire rappelle que par délibération du Conseil Municipal en date du 28 MARS 2008 transmise en Préfecture le 10 AVRIL 2008 portant délégation du Conseil Municipal au Maire en application de l article L du Code Général des Collectivités Territoriales, il a été amené à prendre les décisions suivantes et en fait le rapport : - DECISION MUNICIPALE en date du 22 octobre 2008 relative à l approbation d un marché public de travaux pour la desserte électrique du lot Sumo Parc à Longueterre, pour un montant de TTC passé avec l entreprise AYGOBEYRE - DECISION MUNICIPALE en date du 22 octobre 2008 portant approbation d un marché public de travaux travaux d urbanisation Aménagement RD70/Allée de l Autan Ent. EUROVIA TTC - DECISION MUNICIPALE en date du 18 juin 2008 portant approbation d un marché public de travaux désherbage sur voiries et trottoirs - Ent Lauragris HT - DECISION MUNICIPALE en date du 28 octobre 2008 relative à l engagement financier de la Commune auprès du SDEHG à hauteur de 2648 concernant l installation d un coffret prises et d un RMBT sur le stade Malpas QUESTIONS DIVERSES Néant L ordre du jour étant épuisé la séance est levée à 22 h 30 SEANCE DU 12 NOVEMBRE

17 SEBI GRIMBERT COMPTE RENDU DES DELIBERATIONS DU CONSEIL MUNICIPAL Jacques Georges AGROS Josette BARBE Bernard OBIS PICCIN Eliane Raoul Procuration à Mr FONTA GARCIA Nathalie HERISSOU Eric FONTA Christian CECCARELLO MASSOU Régis Marie-Josette Procuration à Mme LAFOREST CANDELA Serge PIZZUTO Véronique REMY Catherine PALUSTRAN FAVIER Serge Bernadette Procuration à Mme MASSOU LARROQUE Joël BOUYER Régis SCHMITT SERRE Philippe Nathalie Procuration à Mr GRIMBERT LAFOREST Florence CANCEL Sophie PEZZETTI Nathalie TERNANO Philippe BEGUE Paulette MOUCHNINO Georges GILABERT Catherine SEANCE DU 12 NOVEMBRE

18 SEANCE DU 12 NOVEMBRE

Compte-rendu du Conseil Municipal du 7 novembre 2011

Compte-rendu du Conseil Municipal du 7 novembre 2011 Compte-rendu du Conseil Municipal du 7 novembre 2011 Etaient présents : Mme Alexandre, Mr Carlotti, Mr Champagnat, Mr Guinaudeau, Mme Janssen, Mr Joubert, Mme Pascal-Baujoin, Mme Picault, Mr Pidancier,

Plus en détail

COMPRENDRE LE BUDGET MUNICIPAL

COMPRENDRE LE BUDGET MUNICIPAL COMPRENDRE LE BUDGET MUNICIPAL Le vote du budget constitue l acte politique majeur de la vie de la collectivité. Il doit impérativement être voté avant le 31 mars de l année qu il intéresse. Toutefois,

Plus en détail

AUDIT FINANCIER ET FISCAL DE LA COMMUNE COMMUNE DE SAINT-JULIEN EN GENEVOIS

AUDIT FINANCIER ET FISCAL DE LA COMMUNE COMMUNE DE SAINT-JULIEN EN GENEVOIS AUDIT FINANCIER ET FISCAL DE LA COMMUNE COMMUNE DE SAINT-JULIEN EN GENEVOIS Le 4 février 2015 Jean-Pierre COBLENTZ Adel KARMOUS STRATORIAL FINANCES www.stratorial-finances.fr Tour GAMMA A 193 rue de Bercy

Plus en détail

DEBAT D ORIENTATIONS BUDGETAIRES 2015

DEBAT D ORIENTATIONS BUDGETAIRES 2015 DEBAT D ORIENTATIONS BUDGETAIRES 2015 Le Code Général des Collectivités Territoriales prévoit dans les communes de plus de 3 500 habitants, les départements, les régions et les EPCI la tenue d un débat

Plus en détail

DEPARTEMENT DES LANDES MAIRIE DE SOUPROSSE. COMPTE RENDU DE LA SEANCE DU CONSEIL MUNICIPAL du 28 Mars 2011 à 20 H

DEPARTEMENT DES LANDES MAIRIE DE SOUPROSSE. COMPTE RENDU DE LA SEANCE DU CONSEIL MUNICIPAL du 28 Mars 2011 à 20 H DEPARTEMENT DES LANDES MAIRIE DE SOUPROSSE COMPTE RENDU DE LA SEANCE DU CONSEIL MUNICIPAL du 28 Mars 2011 à 20 H L'an deux mil onze et le vingt huit mars à vingt heures, le Conseil Municipal de cette Commune,

Plus en détail

ANALYSE FINANCIERE DE LA COMMUNE D ITANCOURT.

ANALYSE FINANCIERE DE LA COMMUNE D ITANCOURT. ANALYSE FINANCIERE DE LA COMMUNE D ITANCOURT. -=-=-=- L étude porte sur la situation à la clôture de l exercice 2 (se reporter au compte administratif de 2). Il n est pas tenu compte du budget annexe du

Plus en détail

REUNION DU CONSEIL MUNICIPAL DU 17 MAI 2011

REUNION DU CONSEIL MUNICIPAL DU 17 MAI 2011 DEPARTEMENT DE SEINE MARITIME MAIRIE DE SAINT PIERRE DE MANNEVILLE ARRONDISSEMENT DE ROUEN CANTON DE GRAND COURONNE CONVOCATION DU 9 MAI 2011 REUNION DU CONSEIL MUNICIPAL DU 17 MAI 2011 Le 17 mai 2011,

Plus en détail

- Suppression de la Taxe Professionnelle en 2011 remplacée dans le panier communal par - Cotisation Foncière des Entreprises (CFE) (taux communal) -

- Suppression de la Taxe Professionnelle en 2011 remplacée dans le panier communal par - Cotisation Foncière des Entreprises (CFE) (taux communal) - - Suppression de la Taxe Professionnelle en 2011 remplacée dans le panier communal par - Cotisation Foncière des Entreprises (CFE) (taux communal) - Cotisation sur la Valeur Ajoutée des Entreprises (CVAE)

Plus en détail

Madame la Maire, Je vous prie d agréer, Madame la Maire, l expression de ma considération la plus distinguée.

Madame la Maire, Je vous prie d agréer, Madame la Maire, l expression de ma considération la plus distinguée. La Présidente Lyon, le 22 Juillet 2013 N Recommandée avec A.R. REF : ma lettre n 508 du 20 juin 2013 P.J. : 1 Madame la Maire, Par lettre citée en référence, je vous ai communiqué le rapport d observations

Plus en détail

COMMUNE DE PLEYBER CHRIST SEANCE ORDINAIRE CONSEIL MUNICIPAL SEANCE DU 26 SEPTEMBRE

COMMUNE DE PLEYBER CHRIST SEANCE ORDINAIRE CONSEIL MUNICIPAL SEANCE DU 26 SEPTEMBRE Ordre du jour : COMMUNE DE PLEYBER CHRIST SEANCE ORDINAIRE CONSEIL MUNICIPAL SEANCE DU 26 SEPTEMBRE - Bilan des activités d été et rentrée scolaire - Transfert de la compétence Tourisme à la communauté

Plus en détail

UNIVERSITES DES MAIRES ET PRESIDENTS DE COMMUNAUTES DE LOIRE-ATLANTIQUE. Module «Elaborer le budget de sa commune Les fondamentaux»

UNIVERSITES DES MAIRES ET PRESIDENTS DE COMMUNAUTES DE LOIRE-ATLANTIQUE. Module «Elaborer le budget de sa commune Les fondamentaux» UNIVERSITES DES MAIRES ET PRESIDENTS DE COMMUNAUTES DE LOIRE-ATLANTIQUE Module «Elaborer le budget de sa commune Les fondamentaux» Nantes, 19 juin 2014 1 Elaborer le budget de sa commune : Les fondamentaux

Plus en détail

Copyright DGAFP - http://bjfp.fonction-publique.gouv.fr - 19/03/2014 15:07:58

Copyright DGAFP - http://bjfp.fonction-publique.gouv.fr - 19/03/2014 15:07:58 Circulaire FP n 2164 du 13 juin 2008 relative à la mise en œuvre du décret n 2008-539 du 6 juin 2008 relatif à l instauration d une indemnité dite de garantie individuelle du pouvoir d achat MINISTERE

Plus en détail

SITUATION FINANCIERE DE LA COMMUNE DE MONT DE LANS. Réunion Publique du 6 Aout 2015

SITUATION FINANCIERE DE LA COMMUNE DE MONT DE LANS. Réunion Publique du 6 Aout 2015 SITUATION FINANCIERE DE LA COMMUNE DE MONT DE LANS Réunion Publique du 6 Aout 2015 LE BUDGET PRIMITIF COMMUNAL 2015 BUDGET GLOBAL (13,53 M ) INVESTISSEMENT 2,87M FONCTIONNEMENT 10,66M Dépenses (2,87 M

Plus en détail

La construction du budget communal. 25 avril 2015

La construction du budget communal. 25 avril 2015 La construction du budget communal 25 avril 2015 Le budget : un acte fondamental, très encadré Un acte de prévision et d autorisation Prévoit chaque année les recettes et dépenses de la commune Autorise

Plus en détail

COMPTE - RENDU DU CONSEIL MUNICIPAL DU 8 MARS 2012

COMPTE - RENDU DU CONSEIL MUNICIPAL DU 8 MARS 2012 COMPTE - RENDU DU CONSEIL MUNICIPAL DU 8 MARS 2012 Etaient présents : Mrs BLEVIN Pierre ; BONNET Claude ; GODERE Yannick ; MOUE Philippe ; MORICEAU Bertrand ; QUELVEN Jacques ; SEITZ Alfred ; SUISSE Michel

Plus en détail

Prime de service et de rendement (P.S.R.)

Prime de service et de rendement (P.S.R.) Prime de service et de rendement (P.S.R.) 85 Bd de la République 17076 La Rochelle cedex 9 Tel. 05.46.27.47.00 Fax. 05.46.27.47.08 Courriel. cdg17@cdg17.fr Mise à jour le 15 janvier 2014 Références : Décret

Plus en détail

BUDGET PRIMITIF 2015 PRESENTATION. Conseil Municipal du 19 JANVIER 2015

BUDGET PRIMITIF 2015 PRESENTATION. Conseil Municipal du 19 JANVIER 2015 BUDGET PRIMITIF 2015 PRESENTATION Conseil Municipal du 19 JANVIER 2015 - Introduction - Tableaux de synthèse - Synthèse des grands équilibres du Budget Primitif 2015 1 INTRODUCTION Le Budget Primitif 2014,

Plus en détail

EXTRAIT DU REGISTRE DES DÉLIBÉRATIONS DU CONSEIL D'ADMINISTRATION

EXTRAIT DU REGISTRE DES DÉLIBÉRATIONS DU CONSEIL D'ADMINISTRATION EXTRAIT DU REGISTRE DES DÉLIBÉRATIONS DU CONSEIL D'ADMINISTRATION Séance du mardi 17 décembre 2013 à 9h00 présidée par Monsieur Christian BATY, Vice-Président DATE DE CONVOCATION 12 DECEMBRE 2013 NOMBRE

Plus en détail

CONSEIL MUNICIPAL DU 10 DECEMBRE 2012

CONSEIL MUNICIPAL DU 10 DECEMBRE 2012 CONSEIL MUNICIPAL DU 10 DECEMBRE 2012 Le CONSEIL MUNICIPAL, appelé à siéger régulièrement par l envoi d une convocation mentionnant l ordre du jour, accompagnée des rapports subséquents et adressée au

Plus en détail

Programme de stabilité 2015-2017 Quel impact sur l investissement local?

Programme de stabilité 2015-2017 Quel impact sur l investissement local? Le 3 juillet 2014 Programme de stabilité 2015-2017 Quel impact sur l investissement local? Guy Gilbert * et Alain Guengant ** Les résultats qui suivent sont obtenus sous l hypothèse que les comportements

Plus en détail

dénommé ci-après le «propriétaire», dénommé ci-après le «gestionnaire», Vu l objet de la Résidence Sociale tel que défini à l annexe I ;

dénommé ci-après le «propriétaire», dénommé ci-après le «gestionnaire», Vu l objet de la Résidence Sociale tel que défini à l annexe I ; CONVENTION N...... CONCLUE ENTRE L ETAT, L ORGANISME PROPRIETAIRE, L ORGANISME GESTIONNAIRE EN APPLICATION DE L ARTICLE L.353.2 DU CODE DE LA CONSTRUCTION ET DE L HABITATION PORTANT SUR LES RESIDENCES

Plus en détail

COMPTE RENDU CONSEIL MUNICIPAL en date du 19 Mai 2015

COMPTE RENDU CONSEIL MUNICIPAL en date du 19 Mai 2015 COMPTE RENDU CONSEIL MUNICIPAL en date du 19 Mai 2015 L'an deux mille quinze, le 19 Mai à 19 heures 30, Le Conseil municipal légalement convoqué le 12 Mai 2015, s'est réuni à la Mairie en séance publique

Plus en détail

Délibération n 23 Conseil municipal du 30 mars 2012

Délibération n 23 Conseil municipal du 30 mars 2012 Direction Générale Organisation et Ressources Humaines Direction des Ressources Humaines Délibération n 23 Conseil municipal du 30 mars 2012 Personnel municipal - Adaptation du tableau des effectifs -

Plus en détail

LES MODIFICATIONS DE L INSTRUCTION M 14 ET M 4

LES MODIFICATIONS DE L INSTRUCTION M 14 ET M 4 Décembre 2003 Département Finances Développement Économique LES MODIFICATIONS DE L INSTRUCTION M 14 ET M 4 APPLICABLES A COMPTER DU 1 ER JANVIER 2004 Le Comité de Finances Locales, lors de sa séance du

Plus en détail

Les Marges de Manœuvre Financières des Collectivités s Locales

Les Marges de Manœuvre Financières des Collectivités s Locales 1 Les Marges de Manœuvre Financières des Collectivités s Locales Gilles TESTUD, ECOFINANCE Frédéric ric DUPUIS, DEXIA CL Réunions avec les élus du Territoire de Belfort 07 juin 2012 Sommaire 2 1. Introduction

Plus en détail

DEBAT D ORIENTATIONS BUDGETAIRES 2015

DEBAT D ORIENTATIONS BUDGETAIRES 2015 DEBAT D ORIENTATIONS BUDGETAIRES 2015 BUDGET COMMUNE La tenue du débat d orientations budgétaires est obligatoire dans les régions, les départements, les communes de plus de 3 500 habitants, leurs établissements

Plus en détail

COMPTE-RENDU DE LA REUNION DU CONSEIL MUNICIPAL

COMPTE-RENDU DE LA REUNION DU CONSEIL MUNICIPAL COMPTE-RENDU DE LA REUNION DU CONSEIL MUNICIPAL DU 27 MARS 2009 Election du secrétaire de séance : Monsieur André AUDOIN Le procès verbal de la dernière séance est adopté à l unanimité. ORDRE DU JOUR COMPTE

Plus en détail

COMPTE RENDU Conseil Municipal Du 11 Octobre 2010 à 18 heures

COMPTE RENDU Conseil Municipal Du 11 Octobre 2010 à 18 heures COMPTE RENDU Conseil Municipal Du Octobre 200 à 8 heures Présents : DURAND, SALTET, PATRINOS, GRELLIER, THION, CRISTIANI, ABRIC, BLANC, MARTIN, ISZEZUK Absents excuses : CABRILLAC (procuration à SALTET),

Plus en détail

Commune de Bourcefranc-le- Chapus: Audit financier. Conseil Municipal du 22 juillet 2014

Commune de Bourcefranc-le- Chapus: Audit financier. Conseil Municipal du 22 juillet 2014 Commune de Bourcefranc-le- Chapus: Audit financier Conseil Municipal du 22 juillet 2014 Eléments de cadrage de la situation financière de la Commune de Bourcefranc-le- Chapus Les soldes intermédiaires

Plus en détail

LA MISE EN PLACE DE LA PRIME DE FONCTIONS ET DE RESULTATS

LA MISE EN PLACE DE LA PRIME DE FONCTIONS ET DE RESULTATS Réf. : CDG-INFO2011-2/CDE Date : le 21 février 2011 MISE A JOUR DU 20 NOVEMBRE 2014 Personnes à contacter : Christine DEUDON - Sylvie TURPAIN : 03.59.56.88.48/58 Suite à la parution de l arrêté du 23/10/2014

Plus en détail

PREPARATION BUDGET PRIMITIF 2015. Commune de Poisat 23 février 2015

PREPARATION BUDGET PRIMITIF 2015. Commune de Poisat 23 février 2015 PREPARATION BUDGET PRIMITIF 2015 Commune de Poisat 23 février 2015 Sommaire Le budget communal : quelques points de compréhension 1. Principes budgétaires 2. Préparation du budget 3. Exécution du budget

Plus en détail

Territoires et Finances

Territoires et Finances Territoires et Finances Étude sur les finances des communes et des intercommunalités Bilan 2 14 et projections 215-217 214 : une forte baisse de l épargne brute et des investissements qui cristallisent

Plus en détail

Conseil municipal du 19 décembre 2013

Conseil municipal du 19 décembre 2013 BUDGET PRIMITIF 2014 Conseil municipal du 19 décembre 2013 1 Un budget stable hors impact des rythmes scolaires Des dépenses de fonctionnement globales en croissance de 2,99 % par rapport au BP 2013. Mais

Plus en détail

Isabelle KEBE Tél. 01 55 34 40 28 I Fax 01 40 41 00 95 Mail : ikebe@fcl.fr

Isabelle KEBE Tél. 01 55 34 40 28 I Fax 01 40 41 00 95 Mail : ikebe@fcl.fr Isabelle KEBE Tél. 01 55 34 40 28 I Fax 01 40 41 00 95 Mail : ikebe@fcl.fr Jean-Christophe BERGE Tél : 01 55 34 40 13 I Fax 01 40 41 00 95 Mail : jcberge@fcl.fr Ville de Gisors 24 juin 2014 87 rue St-Lazare

Plus en détail

COMMUNE DE SAINT MAXIRE REUNION DU 14 AVRIL 2015

COMMUNE DE SAINT MAXIRE REUNION DU 14 AVRIL 2015 COMMUNE DE SAINT MAXIRE REUNION DU 14 AVRIL 2015 L an deux mil quinze, le 14 avril les membres du conseil municipal se sont réunis à la Mairie, sous la présidence de Christian BREMAUD, Maire. Nombre de

Plus en détail

COMPTE RENDU DE LA SÉANCE DU CONSEIL MUNICIPAL DU 13 Janvier 2014

COMPTE RENDU DE LA SÉANCE DU CONSEIL MUNICIPAL DU 13 Janvier 2014 COMPTE RENDU DE LA SÉANCE DU CONSEIL MUNICIPAL DU 13 Janvier 2014 L an deux mille quatorze, le treize du mois de janvier, le Conseil Municipal de la Commune de la Mothe-Achard, dûment convoqué par Monsieur

Plus en détail

COMMUNE DE PERIGNY-SUR-YERRES COMPTE RENDU CONSEIL MUNICIPAL SEANCE DU 13 DECEMBRE 2010

COMMUNE DE PERIGNY-SUR-YERRES COMPTE RENDU CONSEIL MUNICIPAL SEANCE DU 13 DECEMBRE 2010 COMMUNE DE PERIGNY-SUR-YERRES COMPTE RENDU CONSEIL MUNICIPAL SEANCE DU 13 DECEMBRE 2010 Etaient présents : MM & Mme : G. URLACHER, G. LE LAY, F. TARTIVEL, J. MARTINEAU, D. PERRAU, P. LE LOARER, Maires

Plus en détail

Présentation au conseil municipal 16 décembre 2014. Débat. d Orientation. Budgétaire 2015

Présentation au conseil municipal 16 décembre 2014. Débat. d Orientation. Budgétaire 2015 Présentation au conseil municipal 16 décembre 2014 Débat d Orientation Budgétaire 2015 Le budget 2015 sera le premier de ce nouveau mandat 2014-2020 Il est construit sur le Plan de mandat financier en

Plus en détail

REUNION DU CONSEIL MUNICIPAL D AMFREVILLE JEUDI 30 OCTOBRE 2010

REUNION DU CONSEIL MUNICIPAL D AMFREVILLE JEUDI 30 OCTOBRE 2010 REUNION DU CONSEIL MUNICIPAL D AMFREVILLE JEUDI 30 OCTOBRE 2010 PRESENTS : M. X. MADELAINE, Maire ; L.AUGUSTE, L.PARDOEN, E.DELAUNAY, R.FOLTETE, B.LEDRU, P.GOUPIL, C.LECHARPENTIER, B.NUYTEN, N.DUPUIS,

Plus en détail

COMMUNE DE SALINS-LES-BAINS

COMMUNE DE SALINS-LES-BAINS COMMUNE DE SALINS-LES-BAINS Principaux enseignements de l audit financier réalisé en octobre 2014 26 JANVIER 2015 4 rue Galilée 75782 PARIS cedex 16 Tél. : 01 43 06 08 10 Web : www.cabinetmichelklopfer.fr

Plus en détail

VILLE DE CRUSEILLES (Haute-Savoie)

VILLE DE CRUSEILLES (Haute-Savoie) VILLE DE CRUSEILLES (Haute-Savoie) CONSEIL MUNICIPAL DU 03 SEPTEMBRE 2015 NOTE DE SYNTHESE PERSONNEL 1- Personnel du service Animation : Augmentation du temps de travail 2- Suppression et création d un

Plus en détail

LEVET COMMUNE DE LEVET

LEVET COMMUNE DE LEVET LEVET COMMUNE DE LEVET Conseil Municipal du 4 juin 2015 Le Compte Administratif présenté aujourd hui découle de la gestion de l exercice 2014 : il constitue notre socle de gestion pour l avenir. Compte

Plus en détail

PROCES VERBAL CONSEIL MUNICIPAL DU 9 septembre 2010

PROCES VERBAL CONSEIL MUNICIPAL DU 9 septembre 2010 Département de Loire-Atlantique PROCES VERBAL CONSEIL MUNICIPAL DU 9 septembre 2010 Approbation du procès verbal de la séance du 6 mai 2010 Approbation à l unanimité Ordre du jour : 1- Réhabilitation d

Plus en détail

DISPOSITIF EN FAVEUR DU POUVOIR D ACHAT DES FONCTIONNAIRES GIPA 2008

DISPOSITIF EN FAVEUR DU POUVOIR D ACHAT DES FONCTIONNAIRES GIPA 2008 DISPOSITIF EN FAVEUR DU POUVOIR D ACHAT DES FONCTIONNAIRES GIPA 2008 Eric WOERTH Ministre du Budget, des Comptes publics et de la Fonction publique et André SANTINI Secrétaire d État chargé de la Fonction

Plus en détail

COMMUNE DE POURNOY LA CHETIVE

COMMUNE DE POURNOY LA CHETIVE 2014/99 Convocation du 13 novembre 2014 L an deux mil quatorze, le vingt novembre à vingt heures trente, le conseil municipal, légalement convoqué par Madame le Maire, se rassemble en séance ordinaire

Plus en détail

SECRÉTARIAT D ETAT CHARGE DU BUDGET. publique. Le Ministre de l Intérieur,

SECRÉTARIAT D ETAT CHARGE DU BUDGET. publique. Le Ministre de l Intérieur, MINISTÈRE DE L ÉCONOMIE, DES FINANCES ET DE L INDUSTRIE SECRÉTARIAT D ETAT CHARGE DU BUDGET MINISTÈRE DE L INTÉRIEUR Direction du Trésor Direction de la Comptabilité publique Direction générale des collectivités

Plus en détail

PROCÈS VERBAL DE LA SÉANCE DU CONSEIL MUNICIPAL DE PEIPIN EN DATE DU 24 Février 2015

PROCÈS VERBAL DE LA SÉANCE DU CONSEIL MUNICIPAL DE PEIPIN EN DATE DU 24 Février 2015 PROCÈS VERBAL DE LA SÉANCE DU CONSEIL MUNICIPAL DE PEIPIN EN DATE DU 24 Février 2015 L an deux mille quinze, le vingt-quatre février à 18 heures 30, le CONSEIL MUNICIPAL de cette Commune, appelé à siéger

Plus en détail

COMPTE-RENDU DU CONSEIL MUNICIPAL DU 25 MARS 2013

COMPTE-RENDU DU CONSEIL MUNICIPAL DU 25 MARS 2013 COMPTE-RENDU DU CONSEIL MUNICIPAL DU 25 MARS 2013 L an deux mille treize, le vingt cinq à 19h30, le Conseil Municipal, légalement convoqué, s est réuni en séance publique, à l Hôtel de Ville, sous la présidence

Plus en détail

LES ÉTABLISSEMENTS PUBLICS LOCAUX (E.P.L.) SITUES HORS DU CHAMP DE L INTERCOMMUNALITE

LES ÉTABLISSEMENTS PUBLICS LOCAUX (E.P.L.) SITUES HORS DU CHAMP DE L INTERCOMMUNALITE LES ÉTABLISSEMENTS PUBLICS LOCAUX (E.P.L.) SITUES HORS DU CHAMP DE L INTERCOMMUNALITE Les centres communaux d action sociale 2 (CCAS) Ils ont vocation à fournir des prestations d action sociale en nature

Plus en détail

Bordeaux, le 22 mars 2010. Le Président Références à rappeler : Ch.R//CB/ROD II/ /033017992. Monsieur le Président,

Bordeaux, le 22 mars 2010. Le Président Références à rappeler : Ch.R//CB/ROD II/ /033017992. Monsieur le Président, Le Président Références à rappeler : Ch.R//CB/ROD II/ /033017992 Bordeaux, le 22 mars 2010 Monsieur le Président, Par lettre du 9 septembre 2008, vous avez été informé que la Chambre régionale des comptes

Plus en détail

Non aux violentes hausses d impôts à Grenoble et à la Métro. Priorité au social et à la solidarité

Non aux violentes hausses d impôts à Grenoble et à la Métro. Priorité au social et à la solidarité www.ades-grenoble.org www.lesverts38.org www.alternatifs.org/38 Conférence de presse du mercredi 10 décembre 2008 Non aux violentes hausses d impôts à Grenoble et à la Métro. Priorité au social et à la

Plus en détail

SEANCE du 31 JANVIER 2014. Le compte rendu de la précédente séance est lu et adopté à l unanimité.

SEANCE du 31 JANVIER 2014. Le compte rendu de la précédente séance est lu et adopté à l unanimité. SEANCE du 31 JANVIER 2014 Nombre de membres : en exercice : 11 L an deux mille quatorze, présents : 10 le 31 janvier à 20 heures 30, votants : 10 le conseil municipal de la commune de LOUPIAC, dûment convoqué,

Plus en détail

VILLE DE CHALONS-EN-CHAMPAGNE --- SEANCE PUBLIQUE DU 21 NOVEMBRE 2002

VILLE DE CHALONS-EN-CHAMPAGNE --- SEANCE PUBLIQUE DU 21 NOVEMBRE 2002 GARANTIE D'EMPRUNT CONSEIL MUNICIPAL VILLE DE CHALONS-EN-CHAMPAGNE --- SEANCE PUBLIQUE DU 21 NOVEMBRE 2002 N 2002-236 21/ RENAISSANCE IMMOBILIERE CHALONNAISE ACQUISITION-REHABILITATION D'UN LOGEMENT INDIVIDUEL

Plus en détail

TAXE D HABITATION ANNEXE 1 : TABLEAU SYNOPTIQUE DES INFORMATIONS UTILES A L ELABORATION DES ARRETES DE VERSEMENT DES ALLOCATIONS COMPENSATRICES 1 COMPENSATIONS VERSÉES AU TITRE DE L EXONÉRATION RÉFÉRENCE

Plus en détail

TAXES & PARTICIPATIONS : quelques outils à la disposition des communes

TAXES & PARTICIPATIONS : quelques outils à la disposition des communes TAXES & PARTICIPATIONS : quelques outils à la disposition des communes La loi n 2000-1028 du 13 décembre 2000 relative à la solidarité et au renouvellement urbain, dite «loi SRU», avait instauré une participation

Plus en détail

SEANCE DU 22 DECEMBRE 2011

SEANCE DU 22 DECEMBRE 2011 SEANCE DU 22 DECEMBRE 2011 RENOUVELLEMENT DU COMPTE A TERME Monsieur le Maire informe les membres du conseil municipal que le compte à terme de la commune est arrivé à échéance le 11 novembre 2011. Il

Plus en détail

Le budget 2013. Présentation par M. Pascal BOLO, Adjoint aux Finances. Conseil Municipal du

Le budget 2013. Présentation par M. Pascal BOLO, Adjoint aux Finances. Conseil Municipal du Le budget 2013 Présentation par M. Pascal BOLO, Adjoint aux Finances Conseil Municipal du 8 février 2013 Les documents budgétaires : Le budget selon la nomenclature M14; Les documents annexes; Le budget

Plus en détail

CONDITIONS GENERALES DES PRETS POUR LE LOGEMENT LOCATIF SOCIAL AVEC PREFINANCEMENT - DUREE AJUSTABLE

CONDITIONS GENERALES DES PRETS POUR LE LOGEMENT LOCATIF SOCIAL AVEC PREFINANCEMENT - DUREE AJUSTABLE www.caissedesdepots.fr DIRECTION REGIONALE UNDEFINED Fascicule LSPA 04-01 CONDITIONS GENERALES DES PRETS POUR LE LOGEMENT LOCATIF SOCIAL AVEC PREFINANCEMENT - DUREE AJUSTABLE ARTICLE 5 - DEFINITIONS La

Plus en détail

COMPTE-RENDU de la SEANCE du CONSEIL MUNICIPAL du 19 DECEMBRE 2013

COMPTE-RENDU de la SEANCE du CONSEIL MUNICIPAL du 19 DECEMBRE 2013 Mairie de Trèves (Rhône) 450 route des Deux Vallées 69420 TREVES COMPTE-RENDU de la SEANCE du CONSEIL MUNICIPAL du 19 DECEMBRE 2013 Le Conseil Municipal, dûment convoqué le 13 décembre 2013 s est réuni

Plus en détail

4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2009

4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2009 LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2009 4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES 4-1 Les comptes des collectivités territoriales et de leurs groupements à fiscalité propre 54 4-2 Les comptes des communes

Plus en détail

Guide comptable. Les inscriptions comptables

Guide comptable. Les inscriptions comptables Guide comptable Les inscriptions comptables les ressources d emprunt Les emprunts sont exclusivement destinés à financer des investissements, qu'il s'agisse d'un équipement spécifique ou d'un ensemble

Plus en détail

Suppression de la taxe professionnelle et création de la Contribution Economique Territoriale (CET)

Suppression de la taxe professionnelle et création de la Contribution Economique Territoriale (CET) Suppression de la taxe professionnelle et création de la Contribution Economique Territoriale (CET) (Articles 2, 47, 77, 78 et 99 de la loi de finance pour 2010) Actuellement, la taxe professionnelle (TP)

Plus en détail

EXTRAIT DU REGISTRE DES DELIBERATIONS BUREAU SYNDICAL du 20 juin 2014

EXTRAIT DU REGISTRE DES DELIBERATIONS BUREAU SYNDICAL du 20 juin 2014 SMIRTOM du SAINT-AMANDOIS EXTRAIT DU REGISTRE DES DELIBERATIONS BUREAU SYNDICAL du 20 juin 2014 L an deux mil quatorze, le 20 juin à neuf heures trente, le bureau syndical du SMIRTOM du Saint-Amandois

Plus en détail

ORDONNANCE. relative au portage salarial. NOR : ETST1503259R/Bleue-1 ------ RAPPORT AU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE

ORDONNANCE. relative au portage salarial. NOR : ETST1503259R/Bleue-1 ------ RAPPORT AU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère du travail, de l emploi, de la formation professionnelle et du dialogue social TEXTE SOUMIS A LA DELIBERATION DU CONSEIL DES MINISTRES ORDONNANCE relative au portage salarial

Plus en détail

Un Budget 2012 en hausse pour la jeunesse et l emploi. Unique et inédit!

Un Budget 2012 en hausse pour la jeunesse et l emploi. Unique et inédit! Conférence de presse du 30 novembre 2011 Session budgétaire de la Région Auvergne* Un Budget 2012 en hausse pour la jeunesse et l emploi Unique et inédit! L Auvergne : 1 ère Région de France à lancer une

Plus en détail

Réunions publiques janvier 2013. Présentation du Débat d Orientation Budgétaire

Réunions publiques janvier 2013. Présentation du Débat d Orientation Budgétaire Réunions publiques janvier 2013 Présentation du Débat d Orientation Budgétaire 7 février 2011 LE CONTEXTE Une économie mondiale très ralentie En zone Euro : des incertitudes autour de la crise de la dette

Plus en détail

EXTRAIT DU REGISTRE DES DÉLIBERATIONS Séance du 30 septembre 2013

EXTRAIT DU REGISTRE DES DÉLIBERATIONS Séance du 30 septembre 2013 République Française Département de l'yonne Commune de SAINT-PÈRE (89450) EXTRAIT DU REGISTRE DES DÉLIBERATIONS Séance du 30 septembre 2013 Membres en exercice : 11 Présents : 7 Votants: 9 Secrétaire de

Plus en détail

LA FORMATION DES AGENTS DE LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE

LA FORMATION DES AGENTS DE LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE CENTRE DE GESTION DE MAINE ET LOIRE NOTE D INFORMATION MARS 2008 Mise à jour JUIN 2009 (Annule et remplace la précédente) LA FORMATION DES AGENTS DE LA FONCTION PUBLIQUE

Plus en détail

Le compte administratif 2011

Le compte administratif 2011 Le compte administratif 2011 Le compte administratif 2011 de MIONS en quelques chiffres Budget principal. 16 590 970 de recettes réalisées, dont :. 13 003 158 en fonctionnement dont 165 000 de rattachements.

Plus en détail

TEXTE ADOPTE no 511 Petite loi ASSEMBLEE NATIONALE CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958 ONZIEME LEGISLATURE SESSION ORDINAIRE DE 1999-2000 23 mai 2000 PROJET DE LOI ADOPTE PAR L ASSEMBLEE NATIONALE EN NOUVELLE

Plus en détail

Le Conseil Municipal des Jeunes Qu est-ce qu un Conseil Municipal des Jeunes? Le Conseil Municipal des Jeunes (CMJ) est une assemblée qui réunit des jeunes Volvicois de la 6 ème à la 4 ème. Il est composé

Plus en détail

Mesdames et messieurs les préfets de région (pour exécution),

Mesdames et messieurs les préfets de région (pour exécution), Ministère de l écologie, du développement durable, des transports et du logement Ministère du budget, des comptes publics et de la réforme de l Etat Ministère de l intérieur, de l outre-mer, des collectivités

Plus en détail

Débat d orientations budgétaires 2014. Conseil municipal du 4 novembre 2013

Débat d orientations budgétaires 2014. Conseil municipal du 4 novembre 2013 Débat d orientations budgétaires 2014 Conseil municipal du 4 novembre 2013 1 1. Un contexte économique toujours aussi tendu 2 Les éléments de contexte 2014 : année électorale Des inconnues avec les réformes

Plus en détail

COMPTE RENDU DU CONSEIL MUNICIPAL SEANCE DU 16 DECEMBRE 2013

COMPTE RENDU DU CONSEIL MUNICIPAL SEANCE DU 16 DECEMBRE 2013 DEPARTEMENT DES VOSGES Arrondissement de NEUFCHATEAU Canton de CHATENOIS Mairie de CHATENOIS 1 Rue de Lorraine BP 40 88 170 CHATENOIS : 03.29.94.51.09 Fax : 03.29.94.59.40 E-Mail : ville-chatenois88@wanadoo.fr

Plus en détail

PERSPECTIVES FINANCIERES DES PETITES VILLES

PERSPECTIVES FINANCIERES DES PETITES VILLES PERSPECTIVES FINANCIERES DES PETITES VILLES La participation des communes au plan d économies initié par l Etat va modifier substantiellement les équilibres financiers des collectivités locales et notamment

Plus en détail

LES DOTATIONS DES COMMUNES NOUVELLES

LES DOTATIONS DES COMMUNES NOUVELLES LES DOTATIONS DES COMMUNES NOUVELLES Réunion d information à destination des élus des communes lundi 30 mars 2015 à Avranches mars 2015 1 LES DOTATIONS DES COMMUNES NOUVELLES : Dotation Globale de Fonctionnement

Plus en détail

CONSEIL MUNICIPAL du 16 Février 2011. COMPTE-RENDU (art. L.2121-25 du Code Général des Collectivités Territoriales)

CONSEIL MUNICIPAL du 16 Février 2011. COMPTE-RENDU (art. L.2121-25 du Code Général des Collectivités Territoriales) DEPARTEMENT DES BOUCHES-DU-RHÔNE Rognes, le 18 février 2011 COMMUNE DE ROGNES CONSEIL MUNICIPAL du 16 Février 2011 COMPTE-RENDU (art. L.2121-25 du Code Général des Collectivités Territoriales) Etaient

Plus en détail

conseil municipal L équipement des écoles en numérique va se poursuivre pendant tout le mandat.

conseil municipal L équipement des écoles en numérique va se poursuivre pendant tout le mandat. conseil municipal L équipement des écoles en numérique va se poursuivre pendant tout le mandat. Les enfants des écoles vont régulièrement rencontrer les résidents des logements-foyers. PoitiersMag page

Plus en détail

Décrets, arrêtés, circulaires

Décrets, arrêtés, circulaires Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DES FINANCES ET DES COMPTES PUBLICS Décret n o 2014-444 du 29 avril 2014 relatif au fonds de soutien aux collectivités territoriales et à certains

Plus en détail

DEPARTEMENT DU BAS-RHIN ARRONDISSEMENT DE SAVERNE COMMUNE DE HURTIGHEIM

DEPARTEMENT DU BAS-RHIN ARRONDISSEMENT DE SAVERNE COMMUNE DE HURTIGHEIM DEPARTEMENT DU BAS-RHIN ARRONDISSEMENT DE SAVERNE COMMUNE DE HURTIGHEIM PROCES VERBAL DE LA REUNION DU CONSEIL MUNICIPAL Date de la convocation : 24 mars 2015 SEANCE DU : 30 MARS 2015 Membres présents

Plus en détail

lecture du budget communal

lecture du budget communal lecture du budget communal atteindre la maîtrise nécessaire pour pouvoir communiquer sur les questions budgétaires 1. notions de base Acquérir les notions fondamentales pour comprendre les grandes lignes

Plus en détail

LE PROJET URBAIN PARTENARIAL (PUP) :

LE PROJET URBAIN PARTENARIAL (PUP) : Paris, le 30 mars 2015 LE PROJET URBAIN PARTENARIAL (PUP) : UN OUTIL DE FINANCEMENT DES EQUIPEMENTS PUBLICS Le projet urbain partenarial -PUP-, outil de financement des équipements publics, créé en 2009,

Plus en détail

REPUBLIQUE FRANCAISE DEPARTEMENT DU CALVADOS COMMUNE de 14310 VILLERS-BOCAGE

REPUBLIQUE FRANCAISE DEPARTEMENT DU CALVADOS COMMUNE de 14310 VILLERS-BOCAGE REPUBLIQUE FRANCAISE DEPARTEMENT DU CALVADOS COMMUNE de 14310 VILLERS-BOCAGE COMPTE RENDU Nbre de conseillers : 23 Réunion du : 30 juin 2014 Nbre de présents : 22 Convocation du : 23 juin 2014 Nbre de

Plus en détail

I. Description générale du dispositif. 1) date limite de dépôt des dossiers :

I. Description générale du dispositif. 1) date limite de dépôt des dossiers : Fonds de soutien aux collectivités territoriales et à certains établissements publics ayant souscrit des contrats de prêt ou des contrats financiers structurés à risque les plus sensibles I. Description

Plus en détail

Le budget 2014 du Département Chiffres Clés LE DÉPARTEMENT S ENGAGE AUPRÈS DES NORDISTES

Le budget 2014 du Département Chiffres Clés LE DÉPARTEMENT S ENGAGE AUPRÈS DES NORDISTES Le budget 2014 du Département Chiffres Clés LE DÉPARTEMENT S ENGAGE AUPRÈS DES NORDISTES Éditorial Le budget primitif 2014 s inscrit dans un contexte économique et social encore difficile. Aussi, avec

Plus en détail

Trébeurden Synthèse financière

Trébeurden Synthèse financière Jeudi 27 juin 2013 Trébeurden Synthèse financière Yvan Pellé Réunion publique Méthodologie (1) 2 Charges courantes ( personnel, fluides, entretien, contrats..) Excédent brut courant Produits courants (impôts,

Plus en détail

SEANCE DE CONSEIL MUNICIPAL DU 20 DECEMBRE 2012

SEANCE DE CONSEIL MUNICIPAL DU 20 DECEMBRE 2012 SEANCE DE CONSEIL MUNICIPAL DU 20 DECEMBRE 2012 L'an deux mille douze, le vingt du mois de décembre, à dix huit heures trente, le Conseil Municipal de la Commune de LE TOURNE dûment convoqué, s'est réuni

Plus en détail

CONSEIL COMMUNAUTAIRE DU 10 AVRIL 2008 NOTE DE SYNTHESE

CONSEIL COMMUNAUTAIRE DU 10 AVRIL 2008 NOTE DE SYNTHESE CONSEIL COMMUNAUTAIRE DU 1 AVRIL 28 NOTE DE SYNTHESE L an deux mille huit, le dix avril, le Conseil communautaire s est réuni en séance ordinaire sous la présidence de Patrick PETITJEAN, Président. Nombre

Plus en détail

Réunion du Conseil Municipal de Lipsheim du 11 avril 2011

Réunion du Conseil Municipal de Lipsheim du 11 avril 2011 Réunion du Conseil Municipal de Lipsheim du 11 avril 2011 Nombre de Membres dont le conseil doit être composé : 19 Nombre de Conseillers en exercice : 19 Nombre de Conseillers présents : 11 + 4 procurations

Plus en détail

Audit financier rétro-prospectif 2009-2018

Audit financier rétro-prospectif 2009-2018 Audit financier rétro-prospectif 2009-2018 Commune de Pierre-Olivier Hofer Directeur associé Ludivine Louette Consultante Toulouse, le 20 mai 2014 E14-0514 EXFILO Tél : 01.83.62.86.35 Fax : 01.83.62.86.34

Plus en détail

Délibération n 39 Conseil municipal du 29 juin 2012

Délibération n 39 Conseil municipal du 29 juin 2012 Direction Générale Finances et Gestion Direction du Contrôle Interne Délibération n 39 Conseil municipal du 29 juin 2012 Sociétés publiques locales et sociétés publiques locales d aménagement - Dispositif

Plus en détail

Le budget 2015 du Département Chiffres Clés LE DÉPARTEMENT S ENGAGE AUPRÈS DES NORDISTES

Le budget 2015 du Département Chiffres Clés LE DÉPARTEMENT S ENGAGE AUPRÈS DES NORDISTES Le budget 2015 du Département Chiffres Clés LE DÉPARTEMENT S ENGAGE AUPRÈS DES NORDISTES Éditorial Le budget primitif 2015 s inscrit dans un contexte économique et social contraint. Face à cette situation,

Plus en détail

A V A N T A G E S E N N A T U R E F R A I S P R O F E S S I O N N E L S Bases de cotisations Sécurité Sociale. au 1er janvier 2013

A V A N T A G E S E N N A T U R E F R A I S P R O F E S S I O N N E L S Bases de cotisations Sécurité Sociale. au 1er janvier 2013 QUESTIONS SOCIALES Note d information n 13-02 du 3 janvier 2013 A V A N T A G E S E N N A T U R E F R A I S P R O F E S S I O N N E L S Bases de cotisations Sécurité Sociale au 1er janvier 2013 Références

Plus en détail

APRE Aide Personnalisée de Retour à l Emploi

APRE Aide Personnalisée de Retour à l Emploi . APRE Aide Personnalisée de Retour à l Emploi Règlement d attribution & Mode d emploi Seine-Maritime page 1 Préambule Considérant que les bénéficiaires du RMI avaient parfois besoin d être soutenus financièrement

Plus en détail

Prospective financière Saint-Etienne Métropole 2011 2014. Dossier de presse Conseil de Communauté Jeudi 24 juin 2010

Prospective financière Saint-Etienne Métropole 2011 2014. Dossier de presse Conseil de Communauté Jeudi 24 juin 2010 Prospective financière Saint-Etienne Métropole 2011 2014 Dossier de presse Conseil de Communauté Jeudi 24 juin 2010 COMPTE ADMINISTRATIF 2009 Des résultas de gestion satisfaisants mais une marge de manœuvre

Plus en détail

4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2010

4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2010 LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2010 4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES 4-1 Les comptes des collectivités territoriales et de leurs groupements à fiscalité propre 54 4-2 Les comptes des communes

Plus en détail

Ville de Schiltigheim. Audit financier version définitive

Ville de Schiltigheim. Audit financier version définitive Ville de Schiltigheim Audit financier version définitive 10 octobre 2014 Préliminaire Le présent document vise à présenter les conclusions de l audit financier réalisé entre les mois de juillet 2014 et

Plus en détail

DES ÉLÉMENTS DE CONTEXTE : UN HÉRITAGE DIFFICILE

DES ÉLÉMENTS DE CONTEXTE : UN HÉRITAGE DIFFICILE Séance de Conseil Municipal du 26 février 2015 DES ÉLÉMENTS DE CONTEXTE : UN HÉRITAGE DIFFICILE Le contexte De beaux équipements (médiathèque, CLSH, espace culturel Armorica, espace loisirs sportifs) MAIS

Plus en détail

RAPPORT FINANCIER DE L EXERCICE 2014 1. LES CREDITS VOTES EN 2014

RAPPORT FINANCIER DE L EXERCICE 2014 1. LES CREDITS VOTES EN 2014 RAPPORT FINANCIER DE L EXERCICE 2014 1. LES CREDITS VOTES EN 2014 L équilibre général du budget primitif 2014 s est établi à 3 822,6 M, dont 2 790,9 M au titre de la section de fonctionnement et 1 031,7

Plus en détail

COMMUNE DE SARPOURENX

COMMUNE DE SARPOURENX COMMUNE DE SARPOURENX Procès verbal du Conseil Municipal du 22 avril 2011 Date de convocation : 07/04/2011 Nombre de conseillers : Date d affichage : convocation : 07/04/2011 En exercice : 10 Procès Verbal

Plus en détail