Ville de Strasbourg. Projet. de budget primitif exercice Note de présentation. Direction des finances et de la programmation

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Ville de Strasbourg. Projet. de budget primitif exercice 2016. Note de présentation. Direction des finances et de la programmation"

Transcription

1 Ville de Strasbourg Projet de budget primitif exercice 2016 Note de présentation Direction des finances et de la programmation

2 SOMMAIRE Présentation globale... 5 I / La section de fonctionnement... 7 A / Les dépenses / Charges de gestion / Dépenses de personnel / Autres charges de gestion courante / Charges financières / Frais divers / Financement de la section d investissement B / Les recettes / Produits des services et du domaine / Impôts et taxes / Dotations et participations / Autres produits de gestion courante / Produits financiers / Produits exceptionnels II / La fiscalité III / La section d investissement IV / La dette V / Le budget annexe de l école européenne BUDGET PRIMITIF VILLE DE STRASBOURG 3

3

4 PRESENTATION GLOBALE Le projet de budget primitif pour l'exercice 2016 s'équilibre de la manière suivante, en cohérence avec le débat d orientation budgétaire tenu le 20 novembre dernier. BP 2015 voté Projet de BP 2016 Budget principal Fonctionnement Investissement Budget annexe Ecole Européenne de Strasbourg Fonctionnement Investissement Il est à signaler que le budget de la Ville supporte l ensemble des pensions de droit local, y compris pour les agents relevant aujourd hui de l Eurométropole. Les documents budgétaires comportent : Le paiement par la Ville des pensions de ces agents de l Eurométropole donne lieu à remboursement par l EPCI (1,4 M prévus au BP 2016). En conséquence, le budget propre de la Ville de Strasbourg proposé pour 2016 s élève à 371,7 M (368,4 M au BP 2015). Conformément à la délibération du Conseil municipal de février 1996, le budget est établi par nature et, pour une partie de l'investissement, en autorisations de programme et crédits de paiement. Pour le document réglementaire 1 / Les éléments de synthèse les informations générales statistiques, fiscales et les ratios financiers, les tableaux d'ensemble de l'équilibre financier par nature, en fonctionnement et investissement, la balance générale du budget. 2 / Les éléments du vote pour la section de fonctionnement : - vue d'ensemble des dépenses et recettes, - les dépenses et recettes par nature, ventilées selon la classification la plus fine de la M14, pour la section d'investissement : - vue d'ensemble des dépenses et recettes, - les dépenses et recettes par nature ventilées selon la classification la plus fine de la M14, - la liste des autorisations de programme. Seuls sont soumis au vote de l assemblée les montants de chaque autorisation de programme et le crédit de paiement la répartition des dépenses et recettes par fonction les annexes Pour le document de gestion une présentation, à titre informatif, par pôle, direction, service et nature des sections de fonctionnement et d investissement Pour le cahier d investissement la liste des autorisations de programme, qui fait l objet d un vote, la liste des crédits annuels, la répartition des autorisations de programme par délégation, direction et par service, hors programmes financiers et crédits annuels. BUDGET PRIMITIF VILLE DE STRASBOURG 5

5 Le schéma ci-dessous synthétise les différentes dépenses et recettes de la section de fonctionnement et d investissement pour le BP 2016, détaillées dans la présente notice : 373,1 M F O N C T I O N N E M E N T personnel 200,2 M dépenses de gestion 140,7 M impôts locaux 159,8 M autres impôts & taxes 26,3 M Attribution de Compensation/Dotation de Solidarité Communautaire 64,9 M dotations & participations 82,7 M charges financières 6,1 M épargne 26,1 M recettes de gestion 39,4 M Dépenses Recettes I N V E S T I S S E M E N T remboursement du capital 25,3 M dépenses opérationnelles 90,8 M autres dépenses 12,5 M 128,6 M épargne 26,1 M subventions 7,7 M autres recettes 9,4 M FCTVA & TA 15 M cessions 22,7 M emprunts 47,7 M Dépenses Recettes

6 I / LA SECTION DE FONCTIONNEMENT A / LES DEPENSES L e projet de budget 2016 comporte, en dépenses, un total de crédits de fonctionnement de 373,1 M, soit une évolution de +0,8% de BP à BP. Les dépenses réelles de fonctionnement s établissent quant à elles à 347 M en 2016, à comparer aux 345,8 M du BP 2015, soit une évolution de +0,3%, à un niveau moindre que l inflation prévisionnelle estimée à +1%. BUDGET PRIMITIF VILLE DE STRASBOURG 7

7 LES CHARGES DE GESTION Les charges de gestion générales correspondent aux dépenses courantes de la collectivité. Elles sont en augmentation de 0,9%, à 73,3 M au BP 2016, soit +0,7 M de BP à BP. Achats et variations des stocks 0,3% Au sein des achats et variations des stocks, en baisse de 0,3%, à 25,3 M, sont à signaler : les dépenses d énergie qui sont en hausse de 3,7%, à 11,6 M en 2016 au lieu de 11,1 M au BP 2015 (+0,5 M ) ; la prévision est basée sur une année climatique moyenne ; les dépenses de restauration scolaire, qui passent de 6,4 M à 6,2 M (-0,2 M ), la prévision du BP 2015 ayant été surestimée. Celle pour 2016 a par conséquent été revue à la baisse, tout en intégrant des actualisations des prix des marchés ; les services extérieurs, à 8,9 M, soit une légère baisse (-39 K ) par rapport au BP Les autres services extérieurs, de 26,9 M à 27,7 M, soit +2,9% (+0,8 M ), afin de financer l externalisation du nettoyage des locaux (+1 M de BP à BP), en particulier des écoles. Quant au remboursement des frais de fonctionnement avancés par l Eurométropole de Strasbourg, ils sont prévus à la baisse, à 7,1 M (soit -0,2 M ), compte tenu de la réduction des dépenses courantes prévues pour cette collectivité. Impôts et taxes 5,9% Le poste impôts, taxes et versements assimilés est en hausse de 0,2 M, à 3,5 M en 2016 au lieu de 3,3 M au BP 2015, liée à la hausse de la redevance spéciale des déchets acquittée par la collectivité. les fournitures, qui baissent de 0,3 M, à 5,5 M en 2016 au lieu de 5,8 M au BP 2015 : cette diminution est consécutive aux économies générées dans les différents services. Autres charges & charges externes 1,3% Parmi les autres charges et charges externes, globalement en hausse de 1,3%, de 44 M à 44,5 M (+0,5 M ), figurent : l entretien, à 8,0 M, en baisse de 0,2 M par rapport au BP 2015 ; 8 BUDGET PRIMITIF VILLE DE STRASBOURG

8 LES DEPENSES DE PERSONNEL Les dépenses de personnel, d un montant total de 200,2 M sont stables par rapport au BP 2015, conformément aux objectifs prévus sur le mandat. Le calcul des dépenses de personnel totales intègre : * le remboursement de frais de personnel Ville à l Eurométropole de Strasbourg pour 193,8 M, en augmentation de 0,44% afin de prendre en compte des mesures exceptionnelles comme l embauche de contrats aidés mais subventionnés à 75% ou 90% selon les contrats ou générant des économies (notamment le financement de départs volontaires), * les charges de personnel propres de la Ville pour un montant de 4,6 M. Ces dernières comprennent principalement les pensions de droit local, en baisse régulière d une année sur l autre. Il y a lieu de déduire de cette somme le remboursement par l Eurométropole de Strasbourg des pensions de droit local pour ses agents retraités, à hauteur de 1,4 M en Soit des dépenses de personnel nettes pour la Ville de 197 M. A ces dépenses s ajoutent celles du personnel extérieur à la Ville (1,8 M ), dans le cadre de la régie intéressée du stationnement sur voirie (0,4 M ) et du personnel de l Opéra (1,4 M ). La quote-part des dépenses de personnel engagées par l Eurométropole pour le compte de la Ville est calculée à partir d un taux de répartition prévisionnel des charges avec l Eurométropole de 59,1% (taux validé par la Commission Mixte Paritaire du 22 mai 2015 pour l exercice 2014). Le décompte définitif des frais de personnel remboursés à l Eurométropole est réalisé en fin d'exercice sur la base des éléments mensuels de la paie, par service, et sera soumis, avant le vote du compte administratif, à l'examen de la Commission mixte paritaire Ville-Eurométropole intervenant dans le cadre de la convention de gestion de Evolution des prévisions des dépenses de personnel nettes pour la Ville au budget primitif (*) 210, M 200, M 190, M 182,8 M 188, M 193,9 M 198,5 M 198,1 M 198,4 M 201,1 M 200,3 M 200,2 M 180, M 170, M 160, M 150, M 140, M 130, M 120, M (*) pour mémoire : fonctionnement en année pleine de la HEAR à partir du 1 er janvier 2012 BUDGET PRIMITIF VILLE DE STRASBOURG 9

9 LES AUTRES CHARGES DE GESTION COURANTE Subventions : 45,9 M 3,8% Elles comprennent : Les subventions de fonctionnement aux organismes publics prévues à 2,7 M au lieu de 3,1 M (-0,4 M ) au BP 2015, principalement liée à une moindre subvention à l Œuvre Notre-Dame, dans le cadre d une autonomie croissante de la Fondation, grâce aux investissement réalisés et générateurs de recettes ; Les subventions de fonctionnement en direction du monde associatif et des autres organismes de droit privé qui s élèvent à 43,2 M, en hausse de 5% par rapport au BP 2015 (+2 M ). Cette évolution comprend une quasi stabilité des subventions récurrentes (+200 k ) et des éléments exceptionnels, dont +1,1 M pour les établissements de la petite enfance gérés par le monde associatif, notamment suite à l augmentation des coûts horaires impactant négativement la collectivité, +0,6 M dans le domaine de la culture, en partie pour financer l externalisation de la gestion du centre culturel Django Reinhardt (en contrepartie d une baisse de la masse salariale) +0,2 M l accueil d un congrès dans le domaine de l éducation populaire. Les subventions à accorder en cours d'exercice feront l'objet de délibérations spécifiques du Conseil municipal durant l année afin d en désigner les bénéficiaires. L ensemble des subventions versées par la Ville figurera, comme chaque année, en annexe du compte administratif. Autres charges de gestion courante (hors subventions) : 16,9 M 0,7% Les autres charges de gestion courante (hors subventions) font l objet d une baisse de 0,7%, passant de 17,1 M à 16,9 M (-0,2 M ). Ce poste contient notamment les contributions à l Opéra du Rhin (6,9 M ), à l établissement de la Haute Ecole des Arts du Rhin (5,6 M ), aux écoles privées (1,7 M ) et à l école européenne (0,4 M ). 10 BUDGET PRIMITIF VILLE DE STRASBOURG

10 Répartition prévisionnelle par thématique des subventions aux associations et organismes de droit privé Education - Petite enfance 13,6 M Culture 12,4 M Jeunesse 7,5 M Sport 3,8 M Action sociale 2,4 M Tourisme - Economie 1,4 M Services généraux Aménagement urbain, Environnement 0,8 M 0,7 M Total 43,2 M Sécurité 0,6 M LES CHARGES FINANCIERES Les prévisions de charge de la dette s'établissent à : - 25,3 M en section d'investissement pour l'amortissement du capital (budget principal. - cf. détail page 25) en plus de 2,9 M pour le paiement échelonné de l acquisition du bâtiment AXA. - 5,6 M, en section de fonctionnement (budget principal) pour les intérêts. - 0,5 M d intérêts liés à la ligne de crédit de trésorerie. LES FRAIS DIVERS Les frais de fonctionnements de groupes d élus font l objet d un chapitre spécifique, conformément à la réglementation. 0,3 M sont prévus en 2016, soit une stabilité par rapport à Les charges exceptionnelles sont en légère hausse (+0,7%) à 2 M. En font partie, l aide sociale locale pour un montant de 1,4 M, les bourses et prix (0,1 M ), les crédits pour les annulations de titres (0,1 M ) et celle pour les intérêts moratoires (0,1 M ). Les provisions sont quasi stables, à 0,6 M, correspondant aux charges relatives aux Fondations. Les atténuations de produits, à 0,4 M, en baisse de 0,5 M de BP à BP, relèvent de la contribution de la Ville au Fonds de Péréquation des ressources Intercommunales et Communales (FPIC). Ceci reste une estimation qui nous sera confirmé en avril 2016 par l administration fiscale. Le poste dépenses imprévues s élève à 1,2 M, à l identique du BP Son utilisation en cours d année fait l objet d un compte-rendu systématique au Conseil lors du vote de la décision modificative budgétaire suivante. BUDGET PRIMITIF VILLE DE STRASBOURG 11

11 LE FINANCEMENT DE LA SECTION D INVESTISSEMENT Ce poste représente l autofinancement brut prévisionnel de l exercice Son montant de 26,1 M, qui est en augmentation de 1,9 M (soit +7,8%), se décompose en :. amortissements techniques obligatoires des biens renouvelables, pour 11 M virement complémentaire à la section d'investissement, pour 15,1 M (soit +0,4 M par rapport au BP 2015). SYNTHESE : REPARTITION DES POSTES DE CHARGES DE LA SECTION DE FONCTIONNEMENT Répartition des dépenses de fonctionnement par poste, y compris le remboursement par l Eurométropole des dépenses de retraite de droit local supportées par la Ville (1,4 M ) Charges financières 6,1 M 2% Divers 21,5 M 6% Subventions 45,9 M 12% Autofinancement brut 26,1 M 7% Charges de personnel 200,2 M 53% Charges de gestion générale 73,3 M 20% Total 373,1 M 12 BUDGET PRIMITIF VILLE DE STRASBOURG

12 Répartition des dépenses de fonctionnement par fonction, y compris les frais de personnel et déduction faite du remboursement de l Eurométropole au titre des pensions de droit local (1,4 M ) : Culture 77,6 M 21% Jeunesse 8,7 M 2% Sport 12,9 M 3% Action sociale 26,1 M 7% Logement - Actions économique 6,1 M 2% Aménagement et services urbains, environnement 24,4 M 7% Administration 70,9 M 19% Education - petite enfance 88,8 M 24% Opérations non ventilables 41,0 M 11% Sécurité 15,2 M 4% Total 371,7 M Le détail des dépenses de fonctionnement : Education petite enfance : 88,8 M soit 24% 52,5 M de charges de personnel, 36,3 M de dépenses directes, principalement : - 12,8 M de subventions pour le secteur de la petite enfance - 8,6 M pour l activité périscolaire et éducative, dont 6,6 M pour la restauration scolaire (incluant les prestations associées telles que le transport des élèves), 1,4 M pour les projets éducatifs et 0,6 M pour l accueil périscolaire, - 5,6 M de contribution pour l EPCC Haute Ecole des Arts du Rhin «HEAR», - 3,7 M pour les inscriptions et la scolarité, dont 1,7 M de contribution aux écoles privées, et 0,4 M de contribution à l Ecole européenne, - 3,7 M de maintenance du patrimoine scolaire et petite enfance, dont 1,4 M pour le nettoyage des écoles, - 1,4 M pour les multi-accueil petite enfance. Culture : 77,6 M soit 21% 46,9 M de dépenses de personnel, dont 1,4 M de salaires remboursés à l Opéra du Rhin, 30,7 M de dépenses directes correspondant notamment au fonctionnement des institutions culturelles suivantes : - 10,8 M pour l action culturelle, dont les subventions aux associations (9,8 M ), - 7,2 M pour le théâtre/opéra du Rhin, dont 6,9 M de contribution à l Opéra, - 3,9 M pour l organisation des évènements, - 2,7 M pour les musées, - 1,8 M pour l orchestre philharmonique, - 1,7 M pour la mission développement des publics dont 1,3 M pour les écoles de musique, - 1 M pour les TAPS, - 0,9 M pour les médiathèques municipales, - 0,6 M pour le Conservatoire. BUDGET PRIMITIF VILLE DE STRASBOURG 13

13 Administration : 70,9 M soit 19% Cette fonction comprend les services généraux de l administration, qui intègrent les charges de personnel de la délégation pilotage et ressources (43,1 M ), les dépenses d énergie (11,5 M ), les dépenses imprévues (1,2 M ) ainsi que toutes les autres dépenses imputables à la délégation pilotage et ressources (matériel, assurances, contentieux, passation de marchés etc ). Les opérations non ventilables : 41 M soit 11% Elles comprennent le virement à la section d investissement (15,1 M ), les charges financières (6,1 M ), le remboursement à l Eurométropole des frais de fonctionnement (7,1 M ), les dotations aux amortissements (11 M ), la subvention d équilibre à l OND (0,7 M ) et la contribution au fonds de compensation des ressources intercommunales et communales (0,4 M ). Action sociale : 26,1 M soit 7% 19,3 M de charges de personnel, 6,8 M de dépenses directes, regroupant les actions en faveur des solidarités et de la santé, dont 4 M de subventions incluant celle versée au CCAS (1,6 M ), et 2,7 M d autres dépenses sociales, en particulier celles en faveur de l insertion (1,4 M ). Aménagements et services urbains, environnement : 24,4 M soit 7% - 1,6 M pour la stratégie et la gestion du stationnement, - 1 M pour l éclairage public, - 0,6 M pour la conduite de la politique foncière et immobilière - 0,4 M pour la rénovation urbaine. Sécurité :15,2 M soit 4% 14,5 M de charges de personnel, principalement la police municipale, 0,7 M de dépenses directes correspondant notamment aux actions de prévention et de sécurité (0,6 M ), la gestion de la police municipale et du SIRAC (0,1 M ). Sport : 12,9 M soit 3% 6,3 M de charges de personnel, 6,6 M de dépenses directes, dont : - 4,6 M pour la vie sportive, dont 3 M de soutien au sport de haut niveau, 1,5 M de subventions au secteur sportif amateur et pour l organisation de manifestations, - 1,8 M pour le patrimoine sportif, dont 1,1 M pour les gymnases et salles municipales, et 0,7 M dédiés aux équipements de plein-air. Jeunesse, à 8,7 M soit 2% 0,9 M de charges de personnel, 7,7 M pour la vie associative et 0,3 M pour la mission jeunesse. 16,1 M de dépenses de personnel, essentiellement pour l entretien des espaces verts et de l éclairage public, incluant en outre celles provenant du personnel extérieur (pour la DSP voirie à 0,4 M et pour la gestion des forêts à 0,5 M ), 8,3 M de dépenses directes hors personnel extérieur, dont : - 4,2 M pour les espaces verts, et notamment 3,1 M pour la réalisation et l entretien des espaces verts, 0,5 M pour la création et l entretien des jardins familiaux, 0,4 M pour la gestion des forêts et des réserves naturelles, Logement - actions économiques : 6,1 M soit 2% 0,4 M de dépenses de personnel, 5,7 M de dépenses directes, dont : - 1,9 M pour la gestion du patrimoine bâti, - 1,6 M pour le développement économique, dont notamment 0,3 M pour le commerce et l artisanat, 0,6 M pour le marketing territorial et le tourisme, 0,6 M pour l emploi et l économie solidaire, - 1,6 M pour les Fondations, - 0,6 M pour la gestion des foires et marchés. 14 BUDGET PRIMITIF VILLE DE STRASBOURG

14 B / LES RECETTES Les principaux postes de recettes du projet de budget 2016 d un montant total de 373,1 M font l'objet de la répartition et des observations ci-après : BUDGET PRIMITIF VILLE DE STRASBOURG 15

15 PRODUIT DES SERVICES ET DU DOMAINE Les produits des services et du domaine baissent de 0,4% en passant de 17,5 M au BP 2015 à 17,4 M en Cette légère baisse est due au montant des pensions de droit local remboursées par l Eurométropole de Strasbourg, qui s établit en 2016 à 1,4 M au lieu de 1,7 M au BP IMPOTS ET TAXES Hors fiscalité directe locale évoquée plus loin, ce poste, d un montant de 91,2 M, est composé pour l'essentiel de l attribution de compensation (AC = 56,3 M ) et de la dotation de solidarité communautaire (DSC = 8,6 M ) versées par l Eurométropole de Strasbourg. Les droits de stationnement s élèvent à 10,9 M au BP 2016, compte tenu des modifications des modalités de stationnement prévues en La taxe additionnelle aux droits de mutation est prévue à 8 M, en lien avec le nombre de logements construits sur la Ville de Strasbourg. Le produit de cette taxe reste cependant difficilement prévisible, car il est étroitement liée au cours du marché immobilier. La taxe sur l électricité est prévue à hauteur de 4,5 M en conformité avec la délibération d octobre 2015 fixant le taux 2016 et celle sur la publicité extérieure à hauteur de 1,2 M. DOTATIONS ET PARTICIPATIONS Ce poste est en baisse, passant de 88,7 M à 82,7 M, soit -5 M (-6,7%). La principale diminution concerne la DGF, impactée par la contribution au redressement des comptes publics, dont le montant en 2016 est estimé à 45,2 M au lieu de 51,6 M inscrits au BP 2015 (-6,4 M ). Les 45,2 M prévus pour le poste DGF devraient se décomposer comme suit : * 30,5 M pour la dotation forfaitaire, * 12,1 M pour la dotation de solidarité urbaine, * 2,6 M pour la dotation nationale de péréquation. Les dotations de compensation des exonérations d'impôts locaux escomptés s établissent à 5,2 M. Au titre des participations de l'etat et des autres collectivités locales, 30,4 M sont attendus en 2016, contre 30,5 M en 2015 (-0,4%). Ils comprennent principalement : le remboursement du département du Bas- Rhin pour la délégation sociale sur le territoire de Strasbourg à hauteur de 11,8 M, en évolution de +1,7% (+0,2 M ). La convention de 2011 avec le Conseil départemental prévoit en effet un taux d évolution basé pour moitié sur l évolution de la masse salariale du Département et pour moitié de celle de la Ville, à périmètre de compétences constant. la subvention des organismes partenaires (notamment la CAF) dans le cadre de la petite enfance (11,1 M en 2016, en baisse de 0,1 M par rapport à 2015). A noter fin 2015 un nouveau contrat avec la CAF applicable à compter de 2016; les contributions des différents partenaires dans le domaine culturel (2,5 M ), notamment celle de l Etat pour le fonctionnement de l Orchestre (1 M ), les participations aux actions éducatives, à hauteur de 1 M. Enfin, il convient de signaler que depuis 2006, l Eurométropole de Strasbourg participe au coût de fonctionnement du Conservatoire, à hauteur de 30% conformément à la délibération de la CUS votée le 6 novembre En 2016, sa participation s élèverait à 2,3 M. AUTRES PRODUITS DE GESTION COURANTE Ce poste enregistre une baisse de 11,1%, soit un montant de 15,1 M au BP 2016 au lieu de 17 M au BP 2015 (-1,9 M ). La diminution provient de la disparition au BP 2016 de la redevance électricité, qui était encore inscrite pour une demi-année au BP 2015, et qui est désormais remplacée par la taxe sur l électricité (vois ci-dessus). 16 BUDGET PRIMITIF VILLE DE STRASBOURG

16 PRODUITS FINANCIERS Les produits financiers sont constitués essentiellement du produit des participations que détient la Ville dans d autres structures (sociétés d économie mixte, ) et des opérations de gestion de dette. Leur montant progresse de 0,8 M, à 2,9 M, à comparer aux 2,1 M inscrits en PRODUITS EXCEPTIONNELS Les produits exceptionnels évoluent sensiblement à la baisse, à 1,7 M au lieu de 2,1 M en 2015 (soit -18,4%). La baisse notamment est liée à la non reconduction en 2016 du montant prévu pour le mécénat du millénaire de la Cathédrale, inscrit au BP 2015 (0,5 M ). Le graphique ci-dessous retrace les recettes de fonctionnement par poste. Produits des domaines et ventes diverses 17,4 M 5% Produits financiers 2,9 M 1% Reversement intercommunalité 64,9 M 17% Autres produits de gestion courante 15,1 M 4% Divers 30,3 M 8% Fiscalité locale 159,8 M 43% Dotations et participations 82,7 M 22% Total 373,1 M BUDGET PRIMITIF VILLE DE STRASBOURG 17

17 II LA FISCALITE Depuis 2013, les collectivités locales participent à l effort visant à réduire le déficit public, notamment via la Contribution au redressement des finances publiques qui vient minorer les concours financiers versés par l Etat. A ce titre, la Ville de Strasbourg a vu sa dotation générale de fonctionnement (DGF) diminuer de 6,2 M en Cette baisse est programmée en 2016 mais aussi en 2017 qui verra l application de la réforme de la DGF. Sur les trois exercices 2015 à 2017, la perte de la DGF se chiffre à 19,8 M, soit une DGF passant de 52,09 M en 2015 à 38,50 M en De même, les allocations compensatrices d exonération de fiscalité locale versées par l Etat seront également réduites jusqu en En outre, la Ville est contributrice depuis 2012 au fonds de péréquation communale et intercommunale (FPIC) et a fait l objet, en 2015, d un prélèvement de Ce prélèvement est en diminution par rapport à 2014, en raison de la baisse de notre potentiel fiscal. La contribution au FPIC génère une minoration du produit de la fiscalité locale de la Ville de Strasbourg. Elle est estimée à en 2016, en attendant la notification de l Etat. Aussi, compte tenu des baisses programmées de nos dotations et afin d assurer l équilibre du budget pour l année 2016, la Ville de Strasbourg est contrainte, malgré les efforts de gestion réalisés, de relever ses taux de fiscalité directe locale de 2,5 %. Les ressources fiscales pour l'année 2016, d un montant de 160 M, évoluent de 6 M par rapport au budget supplémentaire Cette augmentation de produit découle à la fois de la hausse des taux proposée, de la revalorisation forfaitaire des valeurs locatives fixée à 1% pour l année 2016, ainsi que du dynamisme attendu des bases fiscales (lié au développement urbain, à la réévaluation de certains locaux etc.). Il est proposé au conseil de faire évoluer les taux pour l'exercice 2016 aux niveaux suivants : Rappel Ev. % Taxe d habitation 24,78% 25,40% 2,5% Taxe foncière sur les propriétés bâties 21,94% 22,49% 2,5% Taxe foncière sur les propriétés non bâties 70,75% 72,52% 2,5% 18 BUDGET PRIMITIF VILLE DE STRASBOURG

18 III LA SECTION D'INVESTISSEMENT Le budget d investissement est présenté en autorisations de programme (AP) et crédits annuels. La procédure des AP est réservée aux seules opérations d équipement qui présentent un caractère pluriannuel. Ces crédits pluriannuels sont votés par chapitre et par AP. Les crédits annuels sont, eux, votés par chapitre budgétaire, à l instar des crédits de fonctionnement. Il s agit de crédits d équipement récurrents ou de crédits financiers (dette, amortissement, écritures d ordre ). Qu ils soient annuels ou pluriannuels, tous les crédits d investissement sont codifiés par un numéro de programme. Les AP peuvent être individualisées ou globalisées : * les AP individualisées correspondent aux grands projets de la collectivité qui nécessitent un affichage particulier. Elles sont relatives à une seule opération physique et perdurent jusqu à l achèvement du projet, sans limitation de durée. * les AP globalisées regroupent des opérations relatives à une même action (en identifiant un ensemble de chantiers cohérents) ou à la mise en œuvre d une politique. Elles portent sur plusieurs opérations physiques. Leur montant est égal à la somme du coût des différentes opérations qui les composent. Par ailleurs, le montant des AP est égal aux seuls programmes en cours, les programmes clôturés étant exclus du montant. A noter que le retrait systématique des programmes clos porte sur les seules AP globalisées. Les crédits d investissement s équilibrent en dépenses et en recettes à 128,6 M : - investissement opérationnel... 90,8 M dont crédit sur opérations d équipement...80,1 M dont subventions d investissement versées... 10,7 M - programmes financiers...37,8 M Les programmes financiers recouvrent notamment le remboursement en capital des emprunts (25,3 M ), les régularisations des avances sur marchés équilibrées en dépenses et en recettes (8 M ), le remboursement du paiement échelonné du bâtiment AXA (2,9 M ) et les dépenses imprévues (0,9 M ). Evolution des dépenses d investissement opérationnel inscrites au BP 150 en M en courants subventions d'équipement versées en constants BUDGET PRIMITIF VILLE DE STRASBOURG 19

19 Répartition de dépenses d équipement par domaine d investissement Aménagement et services urbains, environnement 28,5 M Administration - Patrimoine - Sécurité 18,9 M Sport 16,9 M Education -petite enfance 16,7 M Culture 4,7 M Action sociale 2,8 M Jeunesse Logement - action économique - tourisme 1,6 M 0,7 M Total 90,8 M Sport 18,6% Education -petite enfance 18,4% Administration - Patrimoine - Sécurité 20,8% Culture 5,1% Action sociale 3,1% Jeunesse 1,8% Logement - action économique - tourisme 0,8% Aménagement et services urbains, environnement 31,4% 20 BUDGET PRIMITIF VILLE DE STRASBOURG

20 Le poste aménagements et services urbains, environnement à 28,5 M 31,4% Il inclut les opérations d aménagement portées par la Ville de Strasbourg, pour un montant de 16,6 M. Il s agit notamment : des acquisitions foncières et immobilières à hauteur de 3 M, des opérations de réfection courante dans les quartiers ANRU pour 2,3 M (1,2 M à Hautepierre, 0,8 M à Cronenbourg et 0,3 M à la Meinau), de l opération parc du Heyritz Deux Rives, pour un montant de 1,6 M, afin de payer le décompte global définitif, du projet de la ZAC Etoile, à 1,6 M, de l aménagement du secteur Aristide Briand (1,3 M ), du quartier d affaires international (1,2 M ) et de la porte des Romains (1 M ). Outre ces travaux, le poste comprend les travaux sur l espace public pour les compétences ville (espaces verts, éclairage) à hauteur de 11,9 M, détaillés ci-dessous : de l éclairage public (6,9 M ), dont 2,7 M d accompagnement des projets de voirie, 2,1 M pour les extensions de tramway, 1,1 M pour le plan lumière et 1 M de crédits annuels ; des aménagements d espaces verts (5 M ), principalement des crédits annuels (1,8 M ), mais aussi les accompagnements de projets de voirie (1 M ), le parc naturel urbain (0,8 M ) ou encore l aménagement des berges de Strasbourg (0,5 M ). Le secteur Administration Patrimoine - Sécurité à 18,9 M 20,8 % Il intègre le remboursement des dépenses informatiques avancées par l Eurométropole de Strasbourg (5,2 M ) et celui concernant les dépenses réalisées sur le site de l Etoile (0,6 M ), le financement des cultes (1 M ) ainsi que l acquisition des véhicules et engins (1,1 M ) pour les compétences ville. Le secteur comprend aussi les dépenses liées au patrimoine de la Ville, à hauteur de 5,1 M au BP 2016, s agissant des bâtiments municipaux (3,4 M dont 1,4 M de travaux suite à l acquisition du bâtiment AXA) ou de la maîtrise d ouvrage déléguée dans le cadre d un mandat de gestion déléguée (1,7 M ). Par ailleurs, est inscrit dans ce domaine le solde du projet de relocalisation de la SPA, à 2,1 M en En outre, le projet de budget 2016 intègre la participation de la Ville de Strasbourg à la réhabilitation du Palais de Justice (1 M ) en CP Le sport à 16,9 M 18,6 % Le sport bénéficie d un effort d investissement de 16,9 M au BP Il comprend principalement les crédits liés au projet de l Ile des sports, à hauteur de 6,3 M, le gymnase de la Robertsau à 2,4 M, la deuxième tranche de la réfection de l Ill tennis club pour 2,2 M, la restructuration des vestiaires au stade Canardière (0,9 M ) ainsi que la construction du stade Walter au Neuhof, pour 0,7 M. A noter, l inscription de crédits en 2016 pour de nouveaux projets s agissant du terrain synthétique et des vestiaires au stade Exès à Cronenbourg (1 M ) et de la dernière tranche de la mise aux normes du Hall Jean Nicolas Muller (0,7 M ). Les crédits annuels, d un montant total de 2 M, comprennent notamment 0,7 M pour la rénovation d un terrain synthétique, 0,5 M de travaux de réfection des terrains et stades et 0,5 M pour les travaux au sein des bâtiments sportifs. Les secteurs de l éducation et de la petite enfance à 16,7 M 18,4 % L investissement dans ce secteur concerne principalement les travaux à l école élémentaire Louvois (2,7 M ), le solde des opérations de l école européenne (3,2 M ) et de l école primaire du Rhin-maison de la petite enfance (0,7 M ) Par ailleurs, il y a lieu de noter l inscription de crédits pour des nouveaux projets, dont le pôle associatif Poteries (1,2 M ), en lien avec l extension de l école Marcelle Cahn portée par l Eurométropole, une enveloppe de 0,7 M pour des travaux de mise en sécurité dans les écoles, la réfection de l école maternelle de Cronenbourg centre (0,2 M ) ainsi que des crédits d amorce pour la création de nouveaux groupes scolaires, à Koenigshoffen (0,1 M ) et à la Meinau (0,1 M ). Par ailleurs, 3,6 M sont prévus pour financer les interventions et les travaux de réfection dans les écoles. BUDGET PRIMITIF VILLE DE STRASBOURG 21

21 Dans le secteur de la petite enfance, 1,1 M sont prévus en 2016, dont 0,4 M de crédits annuels de mise en sécurité des établissements. A noter l inscription du nouveau projet de multiaccueil Gioberti à Hautepierre, pour un montant de 0,1 M en Le poste logement action économique - tourisme à 0,7 M 0,8 % Ce poste comprend principalement 0,3 M d aides au tourisme, ainsi que 0,2 M en faveur des foires et marchés. Le secteur culturel à 4,7 M 5,1 % Ce domaine intègre notamment la partie culturelle de l aménagement du quartier d affaires, à savoir la reconstruction du Maillon (0,8 M ), la poursuite des rénovations des scènes des musiques actuelles (0,4 M ) et les nouveaux projets de rénovation du Hall des chars (0,1 M ) et de la construction d une salle de convivialité au sein de l espace culturel Django Reinhardt (0,1 M ). Les autres inscriptions relatives à la culture concernent essentiellement les crédits annuels (2,2 M ), notamment pour les musées (0,8 M ), le conservatoire (0,3 M ), les théâtres (0,3 M ) ou encore les médiathèques (0,3 M ). le secteur de l action sociale à 2,8 M 3,1 % Ce domaine intègre notamment les travaux au centre médico-social de la Robertsau (1 M ) divers travaux dans des CMS (0,2 M ) ainsi que des subventions d équipement pour des actions à caractère social et humanitaire (0,2 M ). A noter l intégration du nouveau projet de salle des consommations à moindre risque, à hauteur de 0,4 M, et qui sera financé par des recettes d un montant de 0,3 M ainsi que celui de la maison des services du Conseil des XV d un montant de 0,1 M en La jeunesse à 1,6 M 1,8 % Ce secteur comprend des crédits annuels à hauteur de 0,9 M, dont 0,4 M d entretien courant pour l auberge de jeunesse. Il intègre de surcroit des nouveaux projets, notamment celui du restaurant associatif de table et culture à Hautepierre (0,3 M ) et la première phase de la maison de service du Port du Rhin (0,2 M ). 22 BUDGET PRIMITIF VILLE DE STRASBOURG

22 *** Le financement de la section d investissement est assuré par : le produit prévisionnel des cessions d immobilisations, prévu à hauteur de 22,7 M en 2016, le produit des subventions perçues et des comptes de tiers et opérations sous mandat à 8,5 M, les dotations : 14 M au titre du fonds de compensation de la TVA (FCTVA), 1 M au titre de la taxe d aménagement, l autofinancement (0,8 M ), une prévision d emprunt permettant d assurer l équilibre (43,8 M ). Le graphique ci-dessous représente le financement de l investissement : Autofinancement 0,8 M 1% Cessions 22,7 M 25% Subventions et cptes de tiers 8,5 M 9% Emprunts 43,8 M 48% FCTVA & TA 15,0 M 17% Total 90,8 M Le tableau page suivante récapitule les crédits d investissement ouverts en BUDGET PRIMITIF VILLE DE STRASBOURG 23

23 Dépenses Recettes Equipement opérationnel 20 Immobilisations incorporelles Dotations Immobilisations corporelles Subventions, dont : Travaux en cours Etat et établissements nationaux Subventions d'équipement versées Régions Départements GFP de rattachement Autres établissements publics locaux 1327 Budget communautaire et fonds structurels Autres subventions /21/ Immobilisations Subventions d'équipement versées Cessions d'actifs Emprunts Créances /458 Trav. pour compte de tiers/opérations sous mandat /458 Trav. pour compte de tiers/opérations sous mandat Autofinancement Total Mouvements financiers 1641 Emprunts Dépôts et cautionnements versés Dépôts et cautionnements versés Autres emprunts et dettes Avances Avances Créances Créances Dépenses imprévues Immobilisations en cours 1641 Capital des emprunts Autofinancement Titres de participations Total Total général Autofinancement brut Virement Amortissement BUDGET PRIMITIF VILLE DE STRASBOURG

24 Le graphique ci-dessous détaille la ventilation des dépenses de fonctionnement (personnel compris hormis le remboursement des retraites de droit local de 1,4 M ) et des dépenses d investissement opérationnels par thématique : Sport 29,9 M 6% Action sociale 28,9 M 6% Jeunesse 10,3 M 2% Logement - Actions économique 6,8 M 1% Aménagement et services urbains, environnement 52,9 M 11% Culture 82,3 M 18% Administration 89,6 M 20% Opérations non ventilables 41,0 M 9% Education - petite enfance 105,5 M 24% Sécurité 15,3 M 3% Total 462,5 M BUDGET PRIMITIF VILLE DE STRASBOURG 25

25 IV LA DETTE L'endettement de la Ville a augmenté de 26,5 M entre le 1er janvier 2015 et le 1er janvier 2016, l'encours passant de 222,7 M à 249,2 M en M constants en M courants Cette variation résulte de la conjugaison des mouvements suivants : - en dépenses, l amortissement contractuel à hauteur de 20,9 M, remboursés aux organismes prêteurs, - en recettes, la mobilisation de 47,4 M d emprunts nouveaux souscrits dans les conditions suivantes : - 10 M souscrits auprès de la Helaba au taux fixe égal à 1,517% (condition indicative), pour une durée de 15 ans, - 10 M souscrits auprès de la Pfandbriefbank au taux fixe égal à 1,87% (condition indicative car le taux n est pas encore «topé»), pour une durée de 20 ans, - 11,7 M (2 ème versement d un prêt de 26 M, 11,1 M ayant été versés en 2014 et 3,2 M seront versés en 2016) de prêt renouvellement urbain, souscrits auprès de la Caisse des Dépôts au taux indexé Livret A + marge de 0,60%, soit un taux à payer pour la 1 ère échéance de 1,35%, pour une durée de 15 ans - 15,7 M sur une enveloppe totale de 20 M souscrits auprès de la Banque Postale au taux indexé EURIBOR 3 mois + marge de 0,88%, soit un taux estimé à 0,79% pour la 1 ère échéance, pour une durée de 20 ans, avec une phase de mobilisation avec revolving pendant un an. Par ailleurs, la Ville de Strasbourg a procédé à une opération de remboursement par anticipation avec refinancement pour un volume de 48 M d emprunts contractés en Ces prêts avaient été souscrits auprès de la Caisse des Dépôts (CDC) dans le cadre de son enveloppe «Prêt secteur public local» (PSPL) pour une durée de 20 ans et un taux indexé égal à livret A + marge de 1% (soit 2% pour la 1 ère échéance) et étaient encore en phase de préfinancement jusqu en La sortie pendant cette phase ne génère pas d indemnité de remboursement par anticipation mais le paiement d une indemnité de dédit de 1%, soit BUDGET PRIMITIF VILLE DE STRASBOURG

26 Cette opération a été décidée compte tenu des taux historiquement bas actuellement offerts depuis par les banques. La consultation menée en octobre 2015, à la fois pour ce refinancement et pour les emprunts nouveaux, a permis d obtenir un taux moyen égal 1,34% (moyenne estimée compte tenu des taux indexés actuels), alors que les prêts de la CDC auraient généré un taux de 2% en 2017 (fin de la phase de préfinancement) puis 1,75% à partir de 2018 (taux estimé avec un livret A actuel égal à 0,75%). Compte tenu du niveau des taux indexés, de la faible perspective de remontée des taux au vu du maintien de la politique accommodante de la Banque centrale européenne jusque fin 2016, le gain estimé en 2017 sur les frais financiers serait de plus de (commission de dédit déduite). Ainsi, la Ville de Strasbourg a mis en place les contrats suivants pour refinancer le volume de 32,3 M déjà mobilisés en 2014 et toujours en phase de préfinancement : - 10 M souscrits auprès de la Caisse d Epargne au taux fixe égal à 1,79%, pour une durée de 20 ans, - 18 M souscrits auprès de la Pfandbriefbank au taux indexé égal à EURIBOR 3 mois + marge de 0,79%, soit un taux de 0,72% pour la 1 ère échéance, pour une durée de 20 ans, - 4,3 M sur une enveloppe totale de 20 M souscrits auprès de la Banque Postale au taux indexé EURIBOR 3 mois + marge de 0,88%, soit un taux estimé à 0,79% pour la 1 ère échéance, pour une durée de 20 ans, avec une phase de mobilisation avec revolving pendant un an. La dette par habitant passe ainsi de 808 /h au 1er janvier 2015 à 893 /h au 1er janvier Cette dette est structurée comme suit : - taux fixe sur toute la durée du prêt : 86,9 M, soit 34,9% du total, - taux fixe à barrière désactivante 1 : 18,7 M, soit 7,5% du total, - taux variable TAM 2 : 1,8 M, soit 0,7% du total, - taux révisable EURIBOR 3 : 119 M, soit 47,8% du total, - taux révisable Livret A : 22,8 M, soit 9,1% du total, soit un encours total reparti à 42% de taux fixes et 58% de taux indexés. Suite à la crise de 2008 et notamment au constat que des collectivités se sont retrouvées exposées à des risques élevés aux variations de taux ou de devises, il a été mis en place la Charte Gissler ou Charte de bonne conduite. Les établissements bancaires signataires de la Charte se sont engagés à ne plus fournir aux collectivités des produits les exposant à des risques de taux élevés et à communiquer les risques sur les produits proposés. Les collectivités se sont engagées à communiquer davantage sur leur politique d'emprunts et de gestion de dette. Par ailleurs, elles se sont engagées à détailler leurs encours de dette selon la classification des risques suivante : 1 taux à barrière désactivante : il s agit d un taux fixe bonifié, moins cher que le taux fixe classique, qui perd cet avantage dès lors que l index Euribor franchit à la hausse un seuil (barre désactivante) prédéterminé par avance par l emprunteur ; dès lors, s applique le taux EURIBOR, et ce uniquement pendant la durée du dépassement du seuil. 2 taux variable TAM : Taux Annuel Monétaire. C est le taux de rendement d'un placement mensuel renouvelé chaque fin de mois, pendant 12 mois, à intérêts mensuels capitalisés sur la base du T4M (qui est lui-même la moyenne des taux au jour le jour). Le taux applicable n'étant connu qu'à l'échéance, les intérêts sont post-fixés. 3 taux révisable EURIBOR : Euro Interbank Offered Rate: ce taux correspond à la moyenne arithmétique des taux monétaires pratiqués par un échantillon de 57 établissements de crédit européens sur les échéances de 1 à 12 mois. Il est publié chaque jour par la Fédération Bancaire Européenne. BUDGET PRIMITIF VILLE DE STRASBOURG 27

27 Indices sous-jacents 1 Indices zone euro. A Structures Taux fixe simple. Taux variable simple. Echange de taux fixe contre taux variable ou inversement. Echange de taux structuré contre taux variable ou taux fixe (sens unique). Taux variable simple plafonné (cap) ou encadré (tunnel). 2 Indices inflation française ou inflation zone euro ou écart entre ces indices. B Barrière simple. Pas d effet de levier. 3 Ecarts d indice zone euro. C Option d échange (swaption). 4 Indices zone euro. Ecart d indices dont l un est un indice zone euro. D Multiplicateur jusqu à 3 ; multiplicateur jusqu à 5 capé. 5 Ecart d indices hors zone euro. E Multiplicateur jusqu à 5. 6 Autres indices. F Autres types de structures. Cette classification distingue 2 risques : - un risque sur les indices c'est-à-dire la référence sur laquelle est adossé l'emprunt. Les prêts sont classés selon le degré de risque allant de 1 à 6 où 1 représente le risque le plus faible, - un risque sur la structure c'est-à-dire la construction du prêt. Les prêts sont aussi classés selon le degré de risque allant de A à F où A représente le risque le plus faible. Le graphique suivant décrit la répartition de l encours selon cette classification au 1 er janvier 2016: Risque faible taille de la bulle = % encours A 92% Risque structure B C D 5% 3% E F Risque élevé Risque sous jacent La Ville de Strasbourg dispose de : - 29 contrats, soit 92% de l'encours, classés en risque A1 : dans cette catégorie figurent tous les prêts indexés et fixes, - 6 contrats, soit 4,55% de l'encours, classés en risque B1 : cette catégorie regroupe tous les prêts à barrière désactivante sur de l'euribor 3 ou 12 mois. 28 BUDGET PRIMITIF VILLE DE STRASBOURG

28 - 1 contrat, soit 3% de l'encours classé en risque B4 : il s'agit d'un emprunt à barrière désactivante sur le LIBOR USD 12 mois 4. La Ville de Strasbourg n'a dans son portefeuille aucun emprunt dit "toxique". Elle bénéficie d'un taux moyen de 1,73% à ce jour, sachant que 80% de son encours a un taux inférieur à 3% et que 20% de son encours a un taux entre 3% et 5% Les conditions de chacun des prêts souscrits sont détaillées dans le tableau sur la page suivante. 4 LIBOR USD 12 mois : London Interbank Offered Rate : il est un indicateur de taux proposés aux banques pour des emprunts en dollars sur le marché interbancaire de Londres. Il est publié chaque jour pour des périodes allant de 1 à 12 mois. BUDGET PRIMITIF VILLE DE STRASBOURG 29

29 Etat prévisionnel de la dette de la Ville de Strasbourg par type de taux au 01/01/2016 Durée Marge (%) Périod e Durée résid Risque charte Gissler N Année Prêteur Type taux Indice Taux d'intérêt Date versement Niveaux des barrières Capital Encours au 01/01/2016 Intérêt Amortissement Annuité Crédit Agricole CIB 15 R EURIBOR 1M 0,55 0,380 M 05/03/2010 9,31 A , , , , , Crédit Agricole CIB 15 R EURIBOR12M 0,30 0,470 A 16/06/2010 9,59 A , , , , , Crédit Foncier 15 R EURIBOR 1M 0,07 0,00 M 14/08/2002 1,75 A , ,83 0, , , Crédit Agricole CIB 15 V TAM 0,065 0,00 A 01/12/2003 3,05 A , ,00 0, , , Crédit Foncier 15 R EURIBOR12M 0,05 0,00 A 17/05/2004 3,51 A , ,78 0, , , Crédit Foncier 15 R EURIBOR 1M 0,00 0,00 M 25/01/2005 4,20 A , ,24 0, , , Caisse d'epargne d'alsace 15 R EURIBOR 3M 0,39 0,290 T 30/06/2010 9,63 A , , , , , SFIL CFFL (ex DEXIA) 15 R EURIBOR 1M 0,43 0,2600 M 01/03/2010 9,30 A , , , , ,79 TOTAL : Emprunts multi-index , , , , , Crédit Agricole CIB 15 R EURIBOR 3M 1,55 1,530 T 21/10/ ,95 A , , , , , DEPFA Bank 15 R EURIBOR12M 0,03 0,200 A 27/06/2004 3,62 A , , , , , WestLB Covered Bond Bank 15 R EURIBOR12M 0,04 0,190 A 30/09/2005 4,88 A , , , , , SFIL CFFL (Banque Postale) 15 R EURIBOR 3M 1,57 1,510 T 05/11/ ,99 A , , , , , SFIL CFFL (Banque Postale) 15 R EURIBOR 3M 1,30 1,220 T 12/06/ ,59 A , , , , , SFIL CFFL (Banque Postale) 20 R EURIBOR 3M 0,88 0,790 T 15/12/ ,10 A , , ,91 0, , SAAR LB 15 R EURIBOR 6M 1,00 1,070 S 18/07/ ,68 A , , , , , Crédit Coopératif 15 R EURIBOR 3M 1,30 1,200 T 20/12/ ,11 A , , , , , Caisse des Dépôts 17 R LIVRET A 0,60 1,600 A 31/12/ ,14 A , ,00 0,00 0,00 0, Pfandbriefbank 15 R EURIBOR 3 M 0,84 0,750 T 31/12/ ,14 A , , , , , Pfandbriefbank 20 R EURIBOR 3 M 0,79 0,720 T 31/12/ ,14 A , , , , ,54 TOTAL : Emprunts à taux indexés , , , , ,97 TOTAL : Emprunts indexés , , , , , Crédit Agricole CIB 15 F TAUX FIXE 0,00 4,55 T 15/07/2002 1,67 B1 6% sur EURIBOR 3M , , , , , SFIL CFFL (ex DEXIA) 15 F TAUX FIXE 0,00 4,55 T 16/07/2002 1,67 B1 6% sur EURIBOR 3M , , , , , DEXIA Crédit Local 18 F TAUX FIXE 0,00 3,82 A 15/07/2003 5,67 B4 6,5% sur LIBOR 12M , , , , , SFIL CFFL (ex DEXIA) 15 F TAUX FIXE 0,00 3,48 T 03/11/2003 2,97 B1 5,5% sur EURIBOR 3M , , , , , SFIL CFFL (ex DEXIA) 15 F TAUX FIXE 0,00 2,85 T 30/09/2005 4,88 B1 5% sur EURIBOR 3M , , , , , C.F.Crédit Mutuel 15 F TAUX FIXE 0,00 3,56 T 30/04/2003 2,46 B1 5,5% sur EURIBOR 3M , , , , , Société Générale 15 F TAUX FIXE 0,00 3,48 T 12/05/2004 3,50 B1 5,5% sur EURIBOR 3M , , , , ,90 TOTAL : Emprunts à taux fixe à barrière , , , , , Crédit Agricole CIB 15 F TAUX FIXE 0,00 4,24 T 03/11/2003 2,97 A , , , , , Crédit Agricole CIB 15 F TAUX FIXE 0,00 4,26 S 14/05/2004 3,50 A , , , , , Helaba 15 F TAUX FIXE 0,00 2,83 A 09/10/ ,91 A , , , , , Helaba 15 F TAUX FIXE 0,00 2,438 A 22/05/ ,53 A , , , , , Helaba 15 F TAUX FIXE 0,00 1,517 A 15/12/ ,10 A , , , , , Crédit Foncier 15 F TAUX FIXE 0,00 3,95 A 13/05/2003 2,50 A , , , , , Caisse d'epargne d'alsace 15 F TAUX FIXE 0,00 4,29 A 28/02/2009 8,30 A , , , , , Caisse d'epargne d'alsace 15 F TAUX FIXE 0,00 3,20 T 20/12/ ,11 A , , , , , Caisse d'epargne d'alsace 20 F TAUX FIXE 0,00 1,79 A 15/12/ ,10 A , , , , , Pfandbriefbank 20 F TAUX FIXE 0,00 1,87 T 15/12/ ,10 A , , , , ,49 TOTAL : Emprunts à taux fixe simple , , , , ,48 TOTAL : Emprunts à taux fixe , , , , ,11 TOTAL GENERAL , , , , ,00 30 BUDGET PRIMITIF VILLE DE STRASBOURG

CdC du Pays bellêmois Conseil 25-02-15 Compte Administratif 2014 BUDGET GÉNÉRAL. Compte Administratif 2014

CdC du Pays bellêmois Conseil 25-02-15 Compte Administratif 2014 BUDGET GÉNÉRAL. Compte Administratif 2014 BUDGET GÉNÉRAL Compte Administratif 2014 SECTION DE FONCTIONNEMENT DEPENSES CA 2013 CA 2014 Alloué Réalisé Alloué Réalisé 011 Charges à caractère général 445 615 424 289,55 448 291 411 184,65 012 Charges

Plus en détail

Présentation au conseil municipal 16 décembre 2014. Débat. d Orientation. Budgétaire 2015

Présentation au conseil municipal 16 décembre 2014. Débat. d Orientation. Budgétaire 2015 Présentation au conseil municipal 16 décembre 2014 Débat d Orientation Budgétaire 2015 Le budget 2015 sera le premier de ce nouveau mandat 2014-2020 Il est construit sur le Plan de mandat financier en

Plus en détail

BUDGET PRIMITIF 2015 PRESENTATION. Conseil Municipal du 19 JANVIER 2015

BUDGET PRIMITIF 2015 PRESENTATION. Conseil Municipal du 19 JANVIER 2015 BUDGET PRIMITIF 2015 PRESENTATION Conseil Municipal du 19 JANVIER 2015 - Introduction - Tableaux de synthèse - Synthèse des grands équilibres du Budget Primitif 2015 1 INTRODUCTION Le Budget Primitif 2014,

Plus en détail

Le compte administratif 2011

Le compte administratif 2011 Le compte administratif 2011 Le compte administratif 2011 de MIONS en quelques chiffres Budget principal. 16 590 970 de recettes réalisées, dont :. 13 003 158 en fonctionnement dont 165 000 de rattachements.

Plus en détail

PRESENTATION DES BUDGETS. Présentation de JC PEYRIN 1er adjoint en charge des Finances

PRESENTATION DES BUDGETS. Présentation de JC PEYRIN 1er adjoint en charge des Finances PRESENTATION DES BUDGETS DE LA VILLE DE MEYLAN Présentation de JC PEYRIN 1er adjoint en charge des Finances Un budget construit sous le signe de fortes contraintes et en adéquation avec les réformes en

Plus en détail

DEBAT D ORIENTATIONS BUDGETAIRES 2015

DEBAT D ORIENTATIONS BUDGETAIRES 2015 DEBAT D ORIENTATIONS BUDGETAIRES 2015 Le Code Général des Collectivités Territoriales prévoit dans les communes de plus de 3 500 habitants, les départements, les régions et les EPCI la tenue d un débat

Plus en détail

Le budget 2013. Présentation par M. Pascal BOLO, Adjoint aux Finances. Conseil Municipal du

Le budget 2013. Présentation par M. Pascal BOLO, Adjoint aux Finances. Conseil Municipal du Le budget 2013 Présentation par M. Pascal BOLO, Adjoint aux Finances Conseil Municipal du 8 février 2013 Les documents budgétaires : Le budget selon la nomenclature M14; Les documents annexes; Le budget

Plus en détail

SITUATION FINANCIERE DE LA COMMUNE DE MONT DE LANS. Réunion Publique du 6 Aout 2015

SITUATION FINANCIERE DE LA COMMUNE DE MONT DE LANS. Réunion Publique du 6 Aout 2015 SITUATION FINANCIERE DE LA COMMUNE DE MONT DE LANS Réunion Publique du 6 Aout 2015 LE BUDGET PRIMITIF COMMUNAL 2015 BUDGET GLOBAL (13,53 M ) INVESTISSEMENT 2,87M FONCTIONNEMENT 10,66M Dépenses (2,87 M

Plus en détail

Rapport financier - Exercice 2013

Rapport financier - Exercice 2013 Rapport financier - Exercice 2013 Sommaire Le budget réalisé en 2013 // Résultat de l'exercice 2013 page 4 // Origine des recettes page 4 // Destination des dépenses page 4 Les grands équilibres financiers

Plus en détail

Commune de Bourcefranc-le- Chapus: Audit financier. Conseil Municipal du 22 juillet 2014

Commune de Bourcefranc-le- Chapus: Audit financier. Conseil Municipal du 22 juillet 2014 Commune de Bourcefranc-le- Chapus: Audit financier Conseil Municipal du 22 juillet 2014 Eléments de cadrage de la situation financière de la Commune de Bourcefranc-le- Chapus Les soldes intermédiaires

Plus en détail

1. Vue d ensemble des budgets I 3 I

1. Vue d ensemble des budgets I 3 I Sommaire 1. Vue d ensemble des budgets 2. Contexte des finances locales en 2014 3. Section de fonctionnement 4. Section d investissement 5. Synthèse et conclusion I 2 I 1. Vue d ensemble des budgets I

Plus en détail

Conseil municipal du 19 décembre 2013

Conseil municipal du 19 décembre 2013 BUDGET PRIMITIF 2014 Conseil municipal du 19 décembre 2013 1 Un budget stable hors impact des rythmes scolaires Des dépenses de fonctionnement globales en croissance de 2,99 % par rapport au BP 2013. Mais

Plus en détail

Audit financier rétro-prospectif 2009-2018

Audit financier rétro-prospectif 2009-2018 Audit financier rétro-prospectif 2009-2018 Commune de Pierre-Olivier Hofer Directeur associé Ludivine Louette Consultante Toulouse, le 20 mai 2014 E14-0514 EXFILO Tél : 01.83.62.86.35 Fax : 01.83.62.86.34

Plus en détail

GUIDE D UTILISATION ODT

GUIDE D UTILISATION ODT GUIDE D UTILISATION ODT Chapitre 1 : Observatoire de la dette I- Données générales sur la dette Chiffre d affaires Indiquer le chiffre d affaires de l EPS. Cette donnée correspond aux recettes générées

Plus en détail

Les Marges de Manœuvre Financières des Collectivités s Locales

Les Marges de Manœuvre Financières des Collectivités s Locales 1 Les Marges de Manœuvre Financières des Collectivités s Locales Gilles TESTUD, ECOFINANCE Frédéric ric DUPUIS, DEXIA CL Réunions avec les élus du Territoire de Belfort 07 juin 2012 Sommaire 2 1. Introduction

Plus en détail

BUDGETS PRIMITIFS 2015

BUDGETS PRIMITIFS 2015 BUDGETS PRIMITIFS 215 Communauté d Agglomération de la Vallée de la Marne 1/ Budget principal 2/ Assainissement 17/2/215 1 Contexte Un environnement territorial contraint dans un contexte économique tendu

Plus en détail

Isabelle KEBE Tél. 01 55 34 40 28 I Fax 01 40 41 00 95 Mail : ikebe@fcl.fr

Isabelle KEBE Tél. 01 55 34 40 28 I Fax 01 40 41 00 95 Mail : ikebe@fcl.fr Isabelle KEBE Tél. 01 55 34 40 28 I Fax 01 40 41 00 95 Mail : ikebe@fcl.fr Jean-Christophe BERGE Tél : 01 55 34 40 13 I Fax 01 40 41 00 95 Mail : jcberge@fcl.fr Ville de Gisors 24 juin 2014 87 rue St-Lazare

Plus en détail

Plan comptable des associations et fondations

Plan comptable des associations et fondations Plan comptable des associations et fondations Classe 1 - Comptes de capitaux Classe 2 Comptes d immobilisations Classe 3 Comptes de stocks Classe 4 Comptes de tiers Classe 5 Comptes financiers Classe 6

Plus en détail

COMMUNE DE SALINS-LES-BAINS

COMMUNE DE SALINS-LES-BAINS COMMUNE DE SALINS-LES-BAINS Principaux enseignements de l audit financier réalisé en octobre 2014 26 JANVIER 2015 4 rue Galilée 75782 PARIS cedex 16 Tél. : 01 43 06 08 10 Web : www.cabinetmichelklopfer.fr

Plus en détail

Réunions publiques janvier 2013. Présentation du Débat d Orientation Budgétaire

Réunions publiques janvier 2013. Présentation du Débat d Orientation Budgétaire Réunions publiques janvier 2013 Présentation du Débat d Orientation Budgétaire 7 février 2011 LE CONTEXTE Une économie mondiale très ralentie En zone Euro : des incertitudes autour de la crise de la dette

Plus en détail

AUDIT FINANCIER ET FISCAL DE LA COMMUNE COMMUNE DE SAINT-JULIEN EN GENEVOIS

AUDIT FINANCIER ET FISCAL DE LA COMMUNE COMMUNE DE SAINT-JULIEN EN GENEVOIS AUDIT FINANCIER ET FISCAL DE LA COMMUNE COMMUNE DE SAINT-JULIEN EN GENEVOIS Le 4 février 2015 Jean-Pierre COBLENTZ Adel KARMOUS STRATORIAL FINANCES www.stratorial-finances.fr Tour GAMMA A 193 rue de Bercy

Plus en détail

Indications méthodologiques pour compléter l annexe sur l état de la dette présentant la répartition de l encours selon la typologie établie par la

Indications méthodologiques pour compléter l annexe sur l état de la dette présentant la répartition de l encours selon la typologie établie par la Indications méthodologiques pour compléter l annexe sur l état de la dette présentant la répartition de l encours selon la typologie établie par la Charte de bonne conduite SOMMAIRE Préambule - Remarques

Plus en détail

COMPRENDRE LE BUDGET MUNICIPAL

COMPRENDRE LE BUDGET MUNICIPAL COMPRENDRE LE BUDGET MUNICIPAL Le vote du budget constitue l acte politique majeur de la vie de la collectivité. Il doit impérativement être voté avant le 31 mars de l année qu il intéresse. Toutefois,

Plus en détail

«Mécanismes» et contraintes budgétaires

«Mécanismes» et contraintes budgétaires Ville de Viry-Châtillon / Bilan 2008 2013 et prospective financière 2014-2020 Intervention du 25 septembre 2014 87 rue St-Lazare I 75009 Paris Tél. 01 55 34 40 00 I Fax 01 40 41 00 95 Mail : fcl@fcl.fr

Plus en détail

LE DEBAT D'ORIENTATION BUDGETAIRE 2011

LE DEBAT D'ORIENTATION BUDGETAIRE 2011 LE DEBAT D'ORIENTATION BUDGETAIRE 2011 LA LOI DE FINANCES POUR 2011 LA LOI DE FINANCES POUR 2011 En milliards d'euros 2010 2011 Dépenses du budget général dont charges de la dette dont pensions dont dépenses

Plus en détail

ANALYSE FINANCIERE DE LA COMMUNE D ITANCOURT.

ANALYSE FINANCIERE DE LA COMMUNE D ITANCOURT. ANALYSE FINANCIERE DE LA COMMUNE D ITANCOURT. -=-=-=- L étude porte sur la situation à la clôture de l exercice 2 (se reporter au compte administratif de 2). Il n est pas tenu compte du budget annexe du

Plus en détail

RAPPORT FINANCIER DE L EXERCICE 2014 1. LES CREDITS VOTES EN 2014

RAPPORT FINANCIER DE L EXERCICE 2014 1. LES CREDITS VOTES EN 2014 RAPPORT FINANCIER DE L EXERCICE 2014 1. LES CREDITS VOTES EN 2014 L équilibre général du budget primitif 2014 s est établi à 3 822,6 M, dont 2 790,9 M au titre de la section de fonctionnement et 1 031,7

Plus en détail

4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2009

4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2009 LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2009 4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES 4-1 Les comptes des collectivités territoriales et de leurs groupements à fiscalité propre 54 4-2 Les comptes des communes

Plus en détail

SEANCE DU CONSEIL MUNICIPAL DU VENDREDI 10 FEVRIER 2012

SEANCE DU CONSEIL MUNICIPAL DU VENDREDI 10 FEVRIER 2012 SEANCE DU CONSEIL MUNICIPAL DU VENDREDI 10 FEVRIER 2012 Pour 2012, 4 axes majeurs Pour soutenir la consommation des ménages, Ne pas augmenter les impôts locaux. Pour soutenir I activité économique, Investir

Plus en détail

Epargne Brute 20 758 461,56 - Remboursement du capital (annuité de l'exercice) 15 183 559,26 = Epargne nette 5 574 902,30

Epargne Brute 20 758 461,56 - Remboursement du capital (annuité de l'exercice) 15 183 559,26 = Epargne nette 5 574 902,30 Ville de Montreuil Elu-pilote : Philippe LAMARCHE Direction des Finances Service Budget Projet de note de synthèse CONSEIL MUNICIPAL DU 26 JUIN 2014 Objet : Compte administratif et affectation des résultats

Plus en détail

LES ÉTABLISSEMENTS PUBLICS LOCAUX (E.P.L.) SITUES HORS DU CHAMP DE L INTERCOMMUNALITE

LES ÉTABLISSEMENTS PUBLICS LOCAUX (E.P.L.) SITUES HORS DU CHAMP DE L INTERCOMMUNALITE LES ÉTABLISSEMENTS PUBLICS LOCAUX (E.P.L.) SITUES HORS DU CHAMP DE L INTERCOMMUNALITE Les centres communaux d action sociale 2 (CCAS) Ils ont vocation à fournir des prestations d action sociale en nature

Plus en détail

Fiche synthétique du Compte Administratif 2013 de la commune d'amuré

Fiche synthétique du Compte Administratif 2013 de la commune d'amuré Fiche synthétique du Compte Administratif 2013 de la commune d'amuré Le service Finances de la CAN a élaboré cette fiche à partir des documents transmis par les communes en juillet 2014 : - Compte Administratif

Plus en détail

Synthèse de l'audit financier par la société d'expertise Ressources Consultants Finances de la commune de Mézières sur Seine

Synthèse de l'audit financier par la société d'expertise Ressources Consultants Finances de la commune de Mézières sur Seine Synthèse de l'audit financier par la société d'expertise Ressources Consultants Finances de la commune de Mézières sur Seine 1 SOMMAIRE I. INTRODUCTION... 3 1.1 Les indicateurs de la santé financière d'une

Plus en détail

4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2010

4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2010 LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2010 4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES 4-1 Les comptes des collectivités territoriales et de leurs groupements à fiscalité propre 54 4-2 Les comptes des communes

Plus en détail

DIRECTION DES FINANCES BUDGET PRIMITIF. De l exercice 2014 2013 DF 23G DOCUMENT BUDGETAIRE SECTIONS DE FONCTIONNEMENT ET D INVESTISSEMENT

DIRECTION DES FINANCES BUDGET PRIMITIF. De l exercice 2014 2013 DF 23G DOCUMENT BUDGETAIRE SECTIONS DE FONCTIONNEMENT ET D INVESTISSEMENT DIRECTION DES FINANCES De l exercice 2014 2013 DF 23G DOCUMENT BUDGETAIRE SECTIONS DE FONCTIONNEMENT ET D INVESTISSEMENT BUDGET GENERAL REPUBLIQUE FRANÇAISE DEPARTEMENT DE PARIS Numéro SIRET : 22750005500016

Plus en détail

Le PLAN COMPTABLE DES ASSOCIATIONS détaillé

Le PLAN COMPTABLE DES ASSOCIATIONS détaillé Loi1901.com présente : Le PLAN COMPTABLE DES ASSOCIATIONS détaillé (Prenant en compte les nouvelles dispositions du règlement N 99-01 du 16 février 1999 relatif aux modalités d établissement des comptes

Plus en détail

ANALYSE FINANCIèRE. RéTROSPECTIVE DU BUDGET PRINCIPAL DE L Agglomération CôTE BASQUE ADOUR 2003-2012

ANALYSE FINANCIèRE. RéTROSPECTIVE DU BUDGET PRINCIPAL DE L Agglomération CôTE BASQUE ADOUR 2003-2012 ANALYSE FINANCIèRE RéTROSPECTIVE DU BUDGET PRINCIPAL DE L Agglomération CôTE BASQUE ADOUR 2003-2012 RESSOURCES CONSULTANTS FINANCES SOCIÉTÉ D ETUDE, RECHERCHE ET PROSPECTIVE EN FINANCES LOCALES S.A. au

Plus en détail

Audit financier rétro-prospectif de la Communauté d Agglomération du Pays d Aubagne et de l Etoile éléments clés. Septembre 2014

Audit financier rétro-prospectif de la Communauté d Agglomération du Pays d Aubagne et de l Etoile éléments clés. Septembre 2014 Audit financier rétro-prospectif de la Communauté d Agglomération du Pays d Aubagne et de l Etoile éléments clés Septembre 2014 Synthèse du diagnostic financier de l Agglo du Pays d Aubagne et de l Etoile

Plus en détail

Territoires et Finances

Territoires et Finances Territoires et Finances Étude sur les finances des communes et des intercommunalités Bilan 2 14 et projections 215-217 214 : une forte baisse de l épargne brute et des investissements qui cristallisent

Plus en détail

- Suppression de la Taxe Professionnelle en 2011 remplacée dans le panier communal par - Cotisation Foncière des Entreprises (CFE) (taux communal) -

- Suppression de la Taxe Professionnelle en 2011 remplacée dans le panier communal par - Cotisation Foncière des Entreprises (CFE) (taux communal) - - Suppression de la Taxe Professionnelle en 2011 remplacée dans le panier communal par - Cotisation Foncière des Entreprises (CFE) (taux communal) - Cotisation sur la Valeur Ajoutée des Entreprises (CVAE)

Plus en détail

4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2011

4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2011 LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2011 4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES 4-1 Les comptes des collectivités territoriales et de leurs groupements à fiscalité propre 54 4-2 Les comptes des communes

Plus en détail

ETATS FINANCIERS CONSOLIDES INTERMEDIAIRES RESUMES

ETATS FINANCIERS CONSOLIDES INTERMEDIAIRES RESUMES ETATS FINANCIERS CONSOLIDES INTERMEDIAIRES RESUMES AU 30 JUIN 2014 1 SOMMAIRE ÉTATS DE SYNTHESE 1. Etat résumé de la situation financière consolidée 2. Etats résumés du résultat net et des gains et pertes

Plus en détail

Le tableau de financement

Le tableau de financement 1 ORGANISATION COMPTABLE Le tableau de financement Par Abderraouf YAICH Très souvent, le chef d entreprise s étonne des évolutions disconcordantes de ses résultats qui enregistrent une augmentation de

Plus en détail

LES MODIFICATIONS DE L INSTRUCTION M 14 ET M 4

LES MODIFICATIONS DE L INSTRUCTION M 14 ET M 4 Décembre 2003 Département Finances Développement Économique LES MODIFICATIONS DE L INSTRUCTION M 14 ET M 4 APPLICABLES A COMPTER DU 1 ER JANVIER 2004 Le Comité de Finances Locales, lors de sa séance du

Plus en détail

PERSPECTIVES FINANCIERES DES PETITES VILLES

PERSPECTIVES FINANCIERES DES PETITES VILLES PERSPECTIVES FINANCIERES DES PETITES VILLES La participation des communes au plan d économies initié par l Etat va modifier substantiellement les équilibres financiers des collectivités locales et notamment

Plus en détail

DEPARTEMENT DES BOUCHES-DU-RHÔNE

DEPARTEMENT DES BOUCHES-DU-RHÔNE DEPARTEMENT DES BOUCHES-DU-RHÔNE Le Recueil des Actes Administratifs peut être consulté à l hôtel du département 52, avenue de Saint-Just - 13256 Marseille cedex 20 ATRIUM - bât. b - derrière l accueil

Plus en détail

Compte Administratif 2013

Compte Administratif 2013 Compte Administratif 2013 Bilan de l exercice écoulé, le compte administratif nous rend compte de la gestion et des réalisations de l exercice 2013. Dans un contexte économique national difficile et malgré

Plus en détail

PREPARATION BUDGET PRIMITIF 2015. Commune de Poisat 23 février 2015

PREPARATION BUDGET PRIMITIF 2015. Commune de Poisat 23 février 2015 PREPARATION BUDGET PRIMITIF 2015 Commune de Poisat 23 février 2015 Sommaire Le budget communal : quelques points de compréhension 1. Principes budgétaires 2. Préparation du budget 3. Exécution du budget

Plus en détail

REPUBLIQUE FRANCAISE

REPUBLIQUE FRANCAISE REPUBLIQUE FRANCAISE AGGLOMERATION DE CHAUMONT SIREN : 245 200 456 BUDGET ANNEXE DU PORTAGE DE REPAS A DOMICILE POSTE COMPTABLE DE DEPARTEMENT DE LA HAUTE-MARNE TRESORERIE DE CHAUMONT EPCI de plus de 10000

Plus en détail

Audit financier & budgétaire de la Ville de Clamart

Audit financier & budgétaire de la Ville de Clamart Audit financier & budgétaire de la Ville de Clamart Ville de Clamart PARTENAIRES Finances Locales Avril 2015 Ville de Clamart 1 Présentation de PARTENAIRES Finances Locales PARTENAIRES Finances Locales

Plus en détail

Débat d Orientation Budgétaire 2013

Débat d Orientation Budgétaire 2013 Débat d Orientation Budgétaire 2013 Rappel Les échanges de ce débat d orientation budgétaire permettront de préciser les grands axes du budget 2013 en préparation qui sera soumis au vote lors de la présentation

Plus en détail

COMPTE. administratif. note de présentation. Ville de Brest. Direction Générale des Finances et de Gestion Direction des finances

COMPTE. administratif. note de présentation. Ville de Brest. Direction Générale des Finances et de Gestion Direction des finances 2009 COMPTE administratif note de présentation Direction Générale des Finances et de Gestion Direction des finances Ville de Brest 2009 COMPTE administratif note de présentation Direction Générale des

Plus en détail

-12 Résultat net de l'exercice (excédent ou déficit Poste Résultat des l'exercice (excédent) 12000 Poste Résultat de l'exercice (déficit) 12900

-12 Résultat net de l'exercice (excédent ou déficit Poste Résultat des l'exercice (excédent) 12000 Poste Résultat de l'exercice (déficit) 12900 -10 Fonds associatifs et réserves Poste Fonds associatifs sans droit de reprise 102000 Poste Valeur du patrimoine intégré 102100 Poste Fonds statutaires (à déclarer en fonction des statuts) 102200 Poste

Plus en détail

conseil municipal L équipement des écoles en numérique va se poursuivre pendant tout le mandat.

conseil municipal L équipement des écoles en numérique va se poursuivre pendant tout le mandat. conseil municipal L équipement des écoles en numérique va se poursuivre pendant tout le mandat. Les enfants des écoles vont régulièrement rencontrer les résidents des logements-foyers. PoitiersMag page

Plus en détail

LEVET COMMUNE DE LEVET

LEVET COMMUNE DE LEVET LEVET COMMUNE DE LEVET Conseil Municipal du 4 juin 2015 Le Compte Administratif présenté aujourd hui découle de la gestion de l exercice 2014 : il constitue notre socle de gestion pour l avenir. Compte

Plus en détail

Débat d orientations budgétaires 2014. Conseil municipal du 4 novembre 2013

Débat d orientations budgétaires 2014. Conseil municipal du 4 novembre 2013 Débat d orientations budgétaires 2014 Conseil municipal du 4 novembre 2013 1 1. Un contexte économique toujours aussi tendu 2 Les éléments de contexte 2014 : année électorale Des inconnues avec les réformes

Plus en détail

ANALYSE FINANCIERE RETROSPECTIVE (2004-2007) ET PROSPECTIVE (2008-2014)

ANALYSE FINANCIERE RETROSPECTIVE (2004-2007) ET PROSPECTIVE (2008-2014) CABINET MICHEL KLOPFER Consultants Finances Locales ANALYSE FINANCIERE RETROSPECTIVE (2004-2007) ET PROSPECTIVE (2008-2014) Commune de Chécy 20 JUIN 2008 Laëtitia HACQUARD Michel KLOPFER 6 rue du Général

Plus en détail

Le budget 2014 du Département Chiffres Clés LE DÉPARTEMENT S ENGAGE AUPRÈS DES NORDISTES

Le budget 2014 du Département Chiffres Clés LE DÉPARTEMENT S ENGAGE AUPRÈS DES NORDISTES Le budget 2014 du Département Chiffres Clés LE DÉPARTEMENT S ENGAGE AUPRÈS DES NORDISTES Éditorial Le budget primitif 2014 s inscrit dans un contexte économique et social encore difficile. Aussi, avec

Plus en détail

Guide comptable. Les inscriptions comptables

Guide comptable. Les inscriptions comptables Guide comptable Les inscriptions comptables les ressources d emprunt Les emprunts sont exclusivement destinés à financer des investissements, qu'il s'agisse d'un équipement spécifique ou d'un ensemble

Plus en détail

Indications méthodologiques pour compléter les

Indications méthodologiques pour compléter les Indications méthodologiques pour compléter les l annexes sur l état de la dette figurant sur les instructions budgétaires et comptables relatives à l exercice 2013 SOMMAIRE Sommaire 2 Documents de référence

Plus en détail

ANNEE 2010 ETAT DE LA DETTE AU 31/12/2010 RECAPITULATION GENERALE DETTE EN DETTE EN CAPITAL AU 31/12/2010 CAPITAL L'ORIGINE

ANNEE 2010 ETAT DE LA DETTE AU 31/12/2010 RECAPITULATION GENERALE DETTE EN DETTE EN CAPITAL AU 31/12/2010 CAPITAL L'ORIGINE ANNEE 2010 ETAT DE LA DETTE AU RECAPITULATION GENERALE BUDGET DETTE EN CAPITAL A L'ORIGINE DETTE EN CAPITAL AU ANNUITES PAYEES AU COURS DE L'EXERCICE INTERETS CAPITAL 185 929 302,80 119 210 373,51 14 392

Plus en détail

Le budget 2015 du Département Chiffres Clés LE DÉPARTEMENT S ENGAGE AUPRÈS DES NORDISTES

Le budget 2015 du Département Chiffres Clés LE DÉPARTEMENT S ENGAGE AUPRÈS DES NORDISTES Le budget 2015 du Département Chiffres Clés LE DÉPARTEMENT S ENGAGE AUPRÈS DES NORDISTES Éditorial Le budget primitif 2015 s inscrit dans un contexte économique et social contraint. Face à cette situation,

Plus en détail

DIAGNOSTIC SOCIO-ÉCONOMIQUE ET FINANCIER LE BILAN-SANTÉ DES COMMUNES

DIAGNOSTIC SOCIO-ÉCONOMIQUE ET FINANCIER LE BILAN-SANTÉ DES COMMUNES LE BILAN-SANTÉ DES COMMUNES EYSINES FÉVRIER 214 POPULATION Population 1999 (sans double compte) Population 26 (municipale) Population 211 (municipale) Classement en fonction de la population (211) Rangs

Plus en détail

CONSEIL GENERAL DE TARN-ET-GARONNE. Séance du 21 avril 2011 GESTION DE LA DETTE

CONSEIL GENERAL DE TARN-ET-GARONNE. Séance du 21 avril 2011 GESTION DE LA DETTE CONSEIL GENERAL DE TARN-ET-GARONNE EXTRAIT DU REGISTRE DES DELIBERATIONS DE L ASSEMBLEE 3 ème RÉUNION DE 2011 Séance du 21 avril 2011 CG 11/3 è me /BP-I-25 GESTION DE LA DETTE Par délibération de l'assemblée

Plus en détail

Ville de Schiltigheim. Audit financier version définitive

Ville de Schiltigheim. Audit financier version définitive Ville de Schiltigheim Audit financier version définitive 10 octobre 2014 Préliminaire Le présent document vise à présenter les conclusions de l audit financier réalisé entre les mois de juillet 2014 et

Plus en détail

Département des institutions et de la sécurité. Service des communes et du logement

Département des institutions et de la sécurité. Service des communes et du logement Département des institutions et de la sécurité Service des communes et du logement Division finances communales Commune de FERREYRES Résumé des comptes Année 2014 Cette formule doit parvenir au Département,

Plus en détail

Associations Dossiers pratiques

Associations Dossiers pratiques Associations Dossiers pratiques Optimisez la gestion financière de votre association (Dossier réalisé par Laurent Simo, In Extenso Rhône Alpes) Les associations vivent et se développent dans un contexte

Plus en détail

COMPTES ANNUELS CONSOLIDATION DU 01/07/2009 au 30 Juin 2010

COMPTES ANNUELS CONSOLIDATION DU 01/07/2009 au 30 Juin 2010 F D C N FDC COMPTES ANNUELS CONSOLIDATION DU 01/07/2009 au 30 Juin 2010. ACTIF. PASSIF. RESULTAT 2 BILAN ACTIF CONSOLIDATION durée de l'exercice 12 mois Brut Am.& Prov. ACTIF IMMOBILISE Immobilisations

Plus en détail

GUIDE PRATIQUE. Du provisionnement des emprunts à risques

GUIDE PRATIQUE. Du provisionnement des emprunts à risques Ministère de l Égalité des territoires et du Logement Ministère de l Économie et des Finances GUIDE PRATIQUE Du provisionnement des emprunts à risques Application aux Offices Publics de l Habitat à comptabilité

Plus en détail

Prospective financière Saint-Etienne Métropole 2011 2014. Dossier de presse Conseil de Communauté Jeudi 24 juin 2010

Prospective financière Saint-Etienne Métropole 2011 2014. Dossier de presse Conseil de Communauté Jeudi 24 juin 2010 Prospective financière Saint-Etienne Métropole 2011 2014 Dossier de presse Conseil de Communauté Jeudi 24 juin 2010 COMPTE ADMINISTRATIF 2009 Des résultas de gestion satisfaisants mais une marge de manœuvre

Plus en détail

Trébeurden Synthèse financière

Trébeurden Synthèse financière Jeudi 27 juin 2013 Trébeurden Synthèse financière Yvan Pellé Réunion publique Méthodologie (1) 2 Charges courantes ( personnel, fluides, entretien, contrats..) Excédent brut courant Produits courants (impôts,

Plus en détail

ANALYSE FINANCIERE RETROSPECTIVE (2005-2009) SICTOBA. Mai 2010

ANALYSE FINANCIERE RETROSPECTIVE (2005-2009) SICTOBA. Mai 2010 ANALYSE FINANCIERE RETROSPECTIVE () SICTOBA Mai 2010 Pascal HEYMES Stratorial Finances Agence de Montpellier 2, rue des Arbousiers 34070 MONTPELLIER Tél. : 04 99 61 47 05 - Fax : 04 99 61 47 09 www.stratorial-finances.fr

Plus en détail

UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE

UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ------------------- Le Conseil des Ministres PLAN COMPTABLE DES COLLECTIVITES TERRITORIALES T - UEMOA - I - PRESENTATION DU PLAN COMPTABLE I.1 - Les classes

Plus en détail

ARRETE n 1CM du 4 janvier 2001 relatif au plan comptable notarial de Polynésie française. (JOPF du 11 janvier 2001, n 2, p. 78)

ARRETE n 1CM du 4 janvier 2001 relatif au plan comptable notarial de Polynésie française. (JOPF du 11 janvier 2001, n 2, p. 78) 1 ARRETE n 1CM du 4 janvier 2001 relatif au plan comptable notarial de Polynésie française. (JOPF du 11 janvier 2001, n 2, p. 78) Le Président du gouvernement de la Polynésie française, Sur le rapport

Plus en détail

RAPPORT FINANCIER SOMMAIRE

RAPPORT FINANCIER SOMMAIRE RAPPORT FINANCIER COMITE REGIONAL OLYMPIQUE ET SPORTIF MAISON DES SPORTS 44 RUE ROMAIN ROLLAND BP 90 312 44103 NANTES CEDEX 4 Exercice du 01/01/2014 au 31/12/2014 Les montants figurant sur ces documents

Plus en détail

Portrait financier. Analyse comparée CA 2005-2010. MARLY 11 967 habitants

Portrait financier. Analyse comparée CA 2005-2010. MARLY 11 967 habitants Portrait financier Analyse comparée CA 25-21 Direction régionale NORD - PAS DE CALAIS 19 avenue Le Corbusier - 59 4 LILLE cedex Directeur régional : Valérie-Marie AUBIN Votre correspondant Géraldine MOREAU

Plus en détail

PAYS BEAUME-DROBIE FINANCES INTERCOMMUNALES COMMUNAUTÉ DE COMMUNES

PAYS BEAUME-DROBIE FINANCES INTERCOMMUNALES COMMUNAUTÉ DE COMMUNES COMMUNAUTÉ DE COMMUNES PAYS BEAUME-DROBIE FINANCES INTERCOMMUNALES contact : Sophie Blanc - responsable administrative 04 75 89 80 80 - fax : 04 75 89 80 98 - La Chastelanne 07260 Joyeuse administration@pays-beaumedrobiefr

Plus en détail

Ville de Hyères les Palmiers

Ville de Hyères les Palmiers Ville de Hyères les Palmiers Analyse financière rétrospective et prospective du budget principal de la ville Conseil Municipal du 16 septembre 2014 16 septembre 2014 Ville de Hyères / slide 1 Sommaire

Plus en détail

Pérennisation de l entreprise. Participation au contrôle de gestion

Pérennisation de l entreprise. Participation au contrôle de gestion btsag.com 1/15 26/09/2011 Pérennisation de l entreprise Auteur : C. Terrier; mailto:webmaster@btsag.com ; http://www.btsag.com Utilisation: Reproduction libre pour des formateurs dans un cadre pédagogique

Plus en détail

BILAN ET COMPTE DE RESULTAT

BILAN ET COMPTE DE RESULTAT 3 PLACE ARNOLD BILAN ET COMPTE DE RESULTAT - Bilan actif-passif - Compte de résultat - Détail des comptes bilan actif passif - Détail compte de résultat C.D. 63 B.P. 4 67116 STRASBOURG-REICHSTETT 03 88

Plus en détail

A. Bilan. B. Compte de résultat. Comptes sociaux au 31 décembre 2013. ACTIF (en milliers d euros) Notes Brut

A. Bilan. B. Compte de résultat. Comptes sociaux au 31 décembre 2013. ACTIF (en milliers d euros) Notes Brut Comptes sociaux au 31 décembre 2013 A. Bilan ACTIF (en milliers d euros) Notes Brut 2013 Amort. et dépréc. Immobilisations incorporelles 3-4 21 280 1 926 19 354 19 071 Immobilisations corporelles 3-4 7

Plus en détail

L IMPACT DE LA MUTUALISATION SUR LES RESSOURCES HUMAINES

L IMPACT DE LA MUTUALISATION SUR LES RESSOURCES HUMAINES ANNEXES L ISTE DES ANNEXES ANNEXE I : ANNEXE II : ANNEXE III : ANNEXE IV : ÉVOLUTION DES DEPENSES DES COMMUNES ET DES EPCI DE 2006 A 2013 OUTILS JURIDIQUES DE MUTUALISATION A DISPOSITION DES ACTEURS LOCAUX

Plus en détail

Rapport financier 2014

Rapport financier 2014 Ville de Rennes Rapport financier 2014 Sommaire Préambule 1 La capacité d autofinancement (épargne) 2 Partie 1 - Le budget principal 3 L investissement 4 Le financement de l investissement 5 L investissement

Plus en détail

NOMENCLATURE COMPTABLE POUR LE PARTICULIER

NOMENCLATURE COMPTABLE POUR LE PARTICULIER NOMENCLATURE COMPTABLE POUR LE PARTICULIER REMARQUES PRELIMINAIRES Les ménages n ont pas d obligation de tenir une comptabilité. En revanche, d une part, certaines situations liées à un état de dépendance

Plus en détail

C V 1 Extrait du Plan Comptable Général

C V 1 Extrait du Plan Comptable Général C.V Extrait du Plan Comptable Général C V 1 Extrait du Plan Comptable Général Sont reproduits les seuls comptes détaillés dans ce cours ou ceux qui nous semblent compréhensibles. Les comptes spécifiques

Plus en détail

Regard financier sur les petites villes (3 000 à 20 000 habitants) Juin 2014

Regard financier sur les petites villes (3 000 à 20 000 habitants) Juin 2014 ( 20 000 habitants) Juin 2014 Sommaire Les petites en France 3 Les volumes d intervention 4 Les principales ressources courantes 5-6 L épargne brute 7 Les dépenses d investissement 8 L encours de dette

Plus en détail

DEBAT D ORIENTATIONS BUDGETAIRES 2014

DEBAT D ORIENTATIONS BUDGETAIRES 2014 DEBAT D ORIENTATIONS BUDGETAIRES 2014 Ville d EVRON (53600) Conseil Municipal du 19 décembre 2013 Texte règlementaire L article L 2312-1 du Code Général des Collectivités Territoriales prévoit l organisation

Plus en détail

REPUBLIQUE FRANCAISE REGION CENTRE M 71 COMPTE ADMINISTRATIF

REPUBLIQUE FRANCAISE REGION CENTRE M 71 COMPTE ADMINISTRATIF REPUBLIQUE FRANCAISE REGION CENTRE M 71 COMPTE ADMINISTRATIF d'un budget voté par fonction ANNEE 2009 1 SOMMAIRE I - Informations générales IV - Annexes - Présentation croisée p. 3 1 - Informations statistiques

Plus en détail

Budget 2015 de la Ville de Rennes > Séance budgétaire du lundi 9 mars 2015

Budget 2015 de la Ville de Rennes > Séance budgétaire du lundi 9 mars 2015 Service de presse Ville de Rennes/Rennes Métropole Tél. 02 23 62 22 34 Vendredi 6 mars 2015 Conseil municipal Budget 2015 de la Ville de Rennes > Séance budgétaire du lundi 9 mars 2015 Sommaire > Communiqué

Plus en détail

La Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes. Le Ministre des finances et des comptes publics

La Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes. Le Ministre des finances et des comptes publics Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes Direction Générale de l Offre de Soins Sous-direction du pilotage de la performance des acteurs de l offre de soins Bureau de l efficience

Plus en détail

PROSPECTIVE FINANCIERE 2014-2017 DE LA VILLE VERSION 16 AVRIL 2014!

PROSPECTIVE FINANCIERE 2014-2017 DE LA VILLE VERSION 16 AVRIL 2014! PROSPECTIVE FINANCIERE 2014-2017 DE LA VILLE VERSION 16 AVRIL 2014! Christian Escallier Cabinet Michel Klopfer 6 bis, rue de Larminat 75015 Paris Tél. : 01 43 06 08 10 Fax : 01 47 34 15 83 cescallier@cabinetmichelklopfer.fr

Plus en détail

UNIVERSITES DES MAIRES ET PRESIDENTS DE COMMUNAUTES DE LOIRE-ATLANTIQUE. Module «Elaborer le budget de sa commune Les fondamentaux»

UNIVERSITES DES MAIRES ET PRESIDENTS DE COMMUNAUTES DE LOIRE-ATLANTIQUE. Module «Elaborer le budget de sa commune Les fondamentaux» UNIVERSITES DES MAIRES ET PRESIDENTS DE COMMUNAUTES DE LOIRE-ATLANTIQUE Module «Elaborer le budget de sa commune Les fondamentaux» Nantes, 19 juin 2014 1 Elaborer le budget de sa commune : Les fondamentaux

Plus en détail

SECRÉTARIAT D ETAT CHARGE DU BUDGET. publique. Le Ministre de l Intérieur,

SECRÉTARIAT D ETAT CHARGE DU BUDGET. publique. Le Ministre de l Intérieur, MINISTÈRE DE L ÉCONOMIE, DES FINANCES ET DE L INDUSTRIE SECRÉTARIAT D ETAT CHARGE DU BUDGET MINISTÈRE DE L INTÉRIEUR Direction du Trésor Direction de la Comptabilité publique Direction générale des collectivités

Plus en détail

DES ÉLÉMENTS DE CONTEXTE : UN HÉRITAGE DIFFICILE

DES ÉLÉMENTS DE CONTEXTE : UN HÉRITAGE DIFFICILE Séance de Conseil Municipal du 26 février 2015 DES ÉLÉMENTS DE CONTEXTE : UN HÉRITAGE DIFFICILE Le contexte De beaux équipements (médiathèque, CLSH, espace culturel Armorica, espace loisirs sportifs) MAIS

Plus en détail

Le plan de lutte contre la crise en Région Pays de la Loire

Le plan de lutte contre la crise en Région Pays de la Loire Le plan de lutte contre la crise en Région Pays de la Loire Directeur général adjoint en charge des finances et services généraux du conseil régional des Pays de la Loire Contexte La région des Pays de

Plus en détail

- - Créances sur les établissements de crédit et. chèques postaux

- - Créances sur les établissements de crédit et. chèques postaux BILAN AU 31 DÉCEMBRE 2005 ACTIF DEC 2005 DEC 2004 PASSIF DEC 2005 DEC 2004 Valeurs en caisse,banques centrales, Trésor public, Banques centrales, Trésor public, Servicesdes 197 427 113 253 Service des

Plus en détail

LES ETAPES DE LA CREATION

LES ETAPES DE LA CREATION LES ETAPES DE LA CREATION LES ETAPES DE LA CREATION DE VOTRE ENTREPRISE L ELABORATION DU PROJET p. 13 A/ L étude commerciale p. 13 B/ L étude financière p. 18 C/ L étude juridique p. 27 LES FORMALITES

Plus en détail

lecture du budget communal

lecture du budget communal lecture du budget communal atteindre la maîtrise nécessaire pour pouvoir communiquer sur les questions budgétaires 1. notions de base Acquérir les notions fondamentales pour comprendre les grandes lignes

Plus en détail

Du budget à la comptabilité

Du budget à la comptabilité Du budget à la comptabilité 1 Plan de la présentation I-L élaboration du budget II-L exécution du budget III-La reddition des comptes 2 LE BUDGET -I- L ELABORATION DU BUDGET 3 QU EST-CE QUE LE BUDGET?

Plus en détail

REPUBLIQUE FRANCAISE. Commune de Bordeaux M14 BUDGET PRINCIPAL. Budget primitif Voté par nature

REPUBLIQUE FRANCAISE. Commune de Bordeaux M14 BUDGET PRINCIPAL. Budget primitif Voté par nature REPUBLIQUE FRANCAISE Commune de Bordeaux POSTE COMPTABLE DE : Bordeaux Municipale. M14 BUDGET PRINCIPAL Budget primitif Voté par nature ANNEE 2009 SOMMAIRE Pages I - Informations générales 1 A - Informations

Plus en détail