Service d Innovation Thérapeutique et Essais Précoces (SITEP) Le cancer de vessie est une pathologie fréquente, il se situe au deuxième rang des

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Service d Innovation Thérapeutique et Essais Précoces (SITEP) Le cancer de vessie est une pathologie fréquente, il se situe au deuxième rang des"

Transcription

1 Cancer de la vessie 1 Chimiothérapie et cancer de la vessie Dr Yohann Loriot Département de Médecine Oncologique Service d Innovation Thérapeutique et Essais Précoces (SITEP) Institut de Cancérologie Gustave Roussy, Villejuif yohan.loriot@igr.fr Le cancer de vessie est une pathologie fréquente, il se situe au deuxième rang des pathologies urologiques en France. Le rôle du tabac est clairement établi, mais la part des causes professionnelles n est pas négligeable. Plus de 90% des tumeurs de vessie sont développées aux dépens de l épithélium urothélial ou transitionnel. Les autres formes histologiques sont rares : cancer épidermoïde, adénocarcinome, tumeur neuroendocrine, sarcome. Les tumeurs urothéliales regroupent deux maladies distinctes : - les tumeurs superficielles (75% des tumeurs vésicales) : Ces tumeurs sont accessibles à un traitement endoscopique conservateur (résection transurétrale qui doit être complète) éventuellement suivi d un traitement adjuvant en fonction du stade et du grade (BCG ou Mitomycine intravésical). - les tumeurs infiltrantes. Elles représentent 20% des cancers de vessie et par définition elles infiltrent le plan musculaire de la vessie, et présentent un risque d extension lymphatique et hématogène (métastases pulmonaires, hépatiques et osseuses). Protocoles de chimiothérapie des cancers de vessie métastatiques Les leçons de l ère du MVAC ( )

2 Cancer de la vessie 2 Plusieurs molécules ont démontré leur activité en monothérapie (Cisplatine, Carboplatine, Méthotrexate, Doxorubicine, Vinblastine, Vincristine, Cyclophosphamide, 5-FU). De 1985 à 2000, plusieurs protocoles de polychimiothérapies ont été largement utilisé en pratique dont le M-VAC ( Méthotrexate, Vinblastine, Adriamycine et Cisplatine) décrit dans l étude princeps de l équipe du Memorial Sloan Kettering Cancer Center. L ère du MVAC a permis de définir 6 leçons concernant de la prise en charge des cancers de vessie métastatique : - Les cancers urothéliaux métastiques sont chimiosensibles Pour le M-VAC, les résultats de l étude princeps du MSKCC (confirmés par des études complémentaires) ont rapporté des taux de réponse objective de 50 à 70% dont 15% à 25% de réponse complète (RC). - Cependant les cancers de vessie métastatiques ne sont pas chimio curables La majorité des patients répondeurs rechutent au cours de la première année avec une médiane de survie de 12 à 14 mois, et moins de 5% des patients sont vivants sans maladie à 5 ans. - Le protocole de chimiothérapie MVAC est toxique Le M-VAC est un traitement efficace mais toxique. Les toxicités de grade 3-4 observées sont digestives, muqueuses et hématologiques avec 3-5% de décès toxique. Ceci a obligé à mettre en balance le bénéfice-risque de ce protocole. - Des facteurs pronostiques simples ont été définis pour les patients métastatiques A partir de l étude princeps du MSKCC, il a été développé un modèle pronostique basé sur l état général des patients et la présence de métastases viscérales, avec des médianes de survie de 33, 13 et 9 mois pour les patients avec 0, 1 ou 2 facteurs de mauvais pronostique. - La chirugie des masses résiduelles est toujours à discuter

3 Cancer de la vessie 3 Il n existe pas d étude randomisée, mais il est toujours indispensable de discuter de façon systématique chez les patients répondeurs de la chirurgie des sites résiduels après chimiothérapique lorsqu elle est réalisable. La survie médiane des patients mis en RC par exérèse de sites résiduels étant identique à celle des patients mis en RC par la chimiothérapie dans l expérience du MSKCC (41 vs 33 vs 0% de survie à 5 ans). - Les facteurs de croissance ont permis le développement du MVAC intensifié Le développement des facteurs de croissance a permis de modifier le protocole MVAC pour optimiser ces résultats en augmentant la dose intensité du M-VAC. Un schéma original d administration du M-VAC a été évalué en comparaison au MVAC standard dans une étude randomisée prospective de l EORTC. Dans ce schéma, les quatre produits sont administrés à J1 avec un rythme d administration tous les 14 jours (sous couvert de facteurs de croissance). Le taux de réponse obtenu est supérieur dans le protocole intensifié : 73 % versus 58 % (p=0,008) de même que la survie sans progression (9,1 vs 8,2 mois p=0,03). En revanche, aucun gain sur la survie globale n a été observé. Le MVAC-I était par contre moins toxique que le MVAC en raison de l utilisation de facteurs de croissance. Encadré : Protocoles de chimiothérapie utilisés dans les cancers de vessie-mvac intensifié : Methotrexate 30 mg/m 2, Jour 1 Vinblastine 3 mg/m 2, Jour 2 Adriamycine(doxorubicine) 30 mg/m 2, Jour 2 Cisplatine 70 mg/m 2, Jour 2 Tous les 14 jours, avec utilisation de G-CSF Les nouvelles chimiothérapies

4 Cancer de la vessie 4 Au milieu des années 1990, l introduction de la gemcitabine (taux de réponse de 31%) a représenté un tournant dans la prise en charge des cancers de vessie. D autres agents ont été aussi testés comme le Docétaxel (30%), le Paclitaxel (28%) ou Ifosfamide (21%) en monothérapie, mais ces derniers n ont pas permis d améliorer la survie des patients métastatiques comparés au MVAC. Une étude randomisée de phase III comparant le régime MVAC à GC (G : 1000mg/m2/j J1 J8 J15 ; C : 70 mg/m2/j J2. (J1 =J 28) a été conduite par EORTC et inclus 405 patients. Cette étude a montré que le protocole GC était moins toxique que le MVAC (le protocole M-VAC a généré plus de toxicité globale) : 65% et 30% de neutropénie de grade 4, dont 14 et 2% de neutropénie fébrile, 22% et 1% de mucite de grade 3-4 ; 6 décès dans le bras M-VAC et 2 dans le bras GC. La toxicité plaquettaire est significativement supérieure dans le bras GC: 57% de grade 3-4 versus 21%). Cependant, cette étude qui était une étude de supériorité du GC, n a pas montré de supériorité du GC par rapport au MVAC en terme de survie globale (14,8 mois M-VAC et 13,8 mois GC ) ou de taux de réponse (45,7% et 49,4% (12% de RC dans les deux bras ). Compte tenu du bénéfice en termes de toxicité, le GC est devenu en pratique le nouveau standard thérapeutique. Encadré : En pratique, dans les cancers de vessie avancés Pour les patients de bon pronostic : il est recommandé soit le MVAC-I ou GC. Pour les patients de pronostic intermédiaire : le protocole GC est choisi en priorité. Pour les patients de mauvais pronostic ou «unfit» : il n existe pas de standard et il peut être recommandé de ne pas faire de chimiothérapie, ou une chimiothérapie par gemcitabine seul. Chez les patients à la fonction rénale altérée : il n y a pas de protocole optimal, ni de recommandations basées sur des études randomisées. L association carboplatine gemcitabine est le plus souvent utilisée, en sachant que l efficacité du carboplatine est

5 Cancer de la vessie 5 inférieure au cisplatine. Il est aussi possible de réduire les doses de cisplatine, ou d utiliser des doublets sans platine. Si la fonction rénale est normale : il ne faut pas utiliser ni carboplatine, ni oxaliplatine, ni doublet sans cisplatine. Jusqu en 2010, il n y avait pas de traitement standard de deuxième ligne. Récemment, la vinflunine a montré un bénéfice extrêmement modeste en survie chez les patients traités en deuxième ligne. Très récemment, des essais précoces évaluant les inhibiteurs des checkpoints immunitaires (PD-1 et PDL-1) ont retrouvé une efficacité antitumorale inédite justifiant la conduite d essais de grande ampleur en seconde ligne. Chimiothérapie dans les cancers de vessie de stade localisé La prise en charge des stades localisés relève en fait d une réflexion pluridisciplinaire (urologue, anatomopathologiste, radiothérapeute, oncologue médical). Le traitement de référence des carcinomes urothéliaux de vessie infiltrant le muscle (CUVIM) est la cystectomie. Les résultats de cette intervention sont globalement modestes, avec des taux de survie à 5 ans de l'ordre de 60%. Chimiothérapie adjuvante Les données bibliographiques concernant la chimiothérapie adjuvante des CUVIM opérés sont pauvres. Les essais comparatifs menés dans ce cadre souffrent de biais méthodologiques majeurs (très faible puissance statistique, arrêts précoces non justifiés ) qui ne permettent pas de tirer de conclusion formelle. Une méta-analyse reposant sur les données individuelles de 491 patients inclus dans 6 essais, une réduction du risque de décès de 25% a été mise en évidence, pour un gain absolu de 9% à 3 ans. Le faible nombre de patients inclus limite clairement la pertinence de ces analyses. Une récente étude italienne, interrompue prématurément, n a pas mis en évidence de gain significatif

6 Cancer de la vessie 6 de survie en faveur du bras chimiothérapie adjuvante par gemcitabine et cisplatine dans une population de 194 patients, y compris dans la population de patients présentant des ganglions métastatiques. Chimiothérapie néoadjuvante Le qualificatif «néo-adjuvant» s applique par définition à un traitement administré de principe avant un traitement local à visée curative alors que ce dernier pourrait être techniquement réalisé d emblée dans le cadre de la prise en charge d une maladie de stade localisé. Dans un essai mené par le Southwest Oncology Group aux Etats-Unis chez 317 patients inclus sur une période de 11 ans ( ), une amélioration de la survie globale, importante quantitativement (77 mois versus 46 mois), mais à la limite de la significativité statistique (p=0,05), a été observée en faveur des patients traités par 3 cycles de MVAC (méthotrexate, vinblastine, doxorubicine et cisplatine) avant la cystectomie, après un suivi médian de près de 9 ans. Dans un autre essai international mené chez 976 patients inclus sur une période de 6 ans ( ), la chimiothérapie néo-adjuvante a comporté 3 cycles de CMV (cisplatine, méthotrexate, vinblastine) avant le traitement local vésical, qui pouvait être chirurgical ou radiothérapique. Pour l ensemble de la population, le gain absolu de survie à 3 ans a été de 5,5% (55,5% versus 50%, p=0,075) pour les patients ayant reçu la chimiothérapie néo-adjuvante. Le même gain significatif de 5% à 5 ans a été détecté dans une deuxième méta-analyse reposant sur les données individuelles de 3005 patients inclus dans 11 essais (50% versus 45%, p=0,003), avec une réduction du risque de décès de 14% pour les patients ayant reçu une chimiothérapie d association incluant le cisplatine. Il n existe aucune donnée justifiant l utilisation du carboplatine dans cette indication. Vers de nouvelles approches thérapeutiques

7 Cancer de la vessie 7 Plusieurs axes de développement sont à l étude : - L identification de facteurs pronostiques et prédictifs moléculaires dans les stades localisés ou métastatiques - Le développement de nouveaux cytotoxiques - Le développement de thérapeutiques ciblées : anti HER2, anti EGFR, inhibiteurs d angiogénèse En effet, l explosion des nouvelles technologies d analyse biologique des tumeurs permettent de mieux comprendre les caractéristiques génétiques tumorales des tumeurs urothéliales. Celles-ci sont caractérisées au stade métastatique par de nombreuses anomalies différentes affectant la voie FGF, PI3K et RAS. Les études en cours devraient pouvoir quelles sont les anomalies réellement responsables de la progression tumorale. L année 2014 a été marquée par les résultats d essais précoces évaluant les inhibiteurs de PD1 et PDL1 montrant une efficacité importante chez les patients métastatiques résistants aux sels de platine. La tolérance semble également particulièrement bonne chez ces patients avec de lourdes comorbidités. L année 2015 sera possiblement l année de la confirmation avec les résultats de l étude de phase II évaluant le MPDL3280A (inhibiteur de PDL-1) qui, en cas de succès, pourrait obtenir l approbation en Amérique du Nord. Eléments bibliographiques - Bajorin DF et al. Long-term survival in metastatic transitional-cell carcinoma and prognostic factors predicting outcome of therapy. J Clin Oncol ;17:

8 Cancer de la vessie 8 - Sternberg CN, Yagoda A, Scher HI, et al: M-VAC (methotrexate,vinblastine, doxorubicin and cisplatin) for advanced transitional cell carcinoma of the urothelium. J Urol 139: , Sternberg CN et al. seven year update of an EORTC phase III trial of high dose M-VAC chemotherapy versus classic M-VAC in advanced urothelial tract tumours. Eur J Cancer ;42: Von der Maase H, Hansen SW, Roberts JT. et al. Gemcitabine and Cisplatin versus Methotrexate, Vinblastine, Doxorubicin, and Cisplatin in advanced or metastatic bladder cancer: Results of a large, randomized, multinational, multicenter, phase III study. J Clin Oncol, 18, , Grossman HB, Natale RB, Tangen CM et al. Neoadjuvant cisplatin, methotrexate, and vinblastine chemotherapy for muscle invasive bladder cancer : a randomised control trial Lancet 1999 ; 354 : Neoadjuvant chemotherapy plus cystectomy compared with cystectomy alone for locally advanced bladder cancer. N Engl J Med 2003 ;349 : Advanced Bladder Cancer Meta-analysis Collaboration (2005) Adjuvant chemotherapy in invasive bladder cancer: a systematic review and meta-analysis of individual patient data. Eur Urol 48: Bellmunt J, Théodore C, Demkov T, Komyakov B, Sengelov L, Daugaard G, Caty A, Carles J, Jagiello-Gruszfeld A, Karyakin O, Delgado FM, Hurteloup P, Winquist E, Morsli N, Salhi Y, Culine S, von der Maase H. Phase III trial of vinflunine plus best supportive care compared with best supportive care alone after a platinum-containing regimen in patients with advanced transitional cell carcinoma of the urothelial tract. J Clin Oncol Sep 20;27(27): Epub 2009 Aug 17.

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 4 novembre 2009

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 4 novembre 2009 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 4 novembre 2009 IRESSA 250 mg, comprimé pelliculé Boîte de 30 (CIP 395 950-7) ASTRAZENECA géfitinib Liste I Médicament soumis à prescription hospitalière. Prescription

Plus en détail

ESMO 14. L oncogériatrie d un coup d éventail! Dr Elisabeth Carola UCOG Picardie

ESMO 14. L oncogériatrie d un coup d éventail! Dr Elisabeth Carola UCOG Picardie ESMO 14 L oncogériatrie d un coup d éventail! Dr Elisabeth Carola UCOG Picardie Cancer du SEIN Taxotere hebdo pas mieux et plus toxique Perrone F et al Ann Oncol 2014 Phase III : CMF vs Taxotere hebdo

Plus en détail

Cancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques. Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006

Cancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques. Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006 Cancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006 Cancer du rein à cellules claires métastatique (CRM) Plus de 30 % des CR deviendront métastatiques

Plus en détail

COMPARAISON DE QUATRE PROTOCOLES DE CHIMIOTHERAPIE POUR DES CANCERS DU POUMON NON A PETITES CELLULES (CBP NAPC) AVANCES

COMPARAISON DE QUATRE PROTOCOLES DE CHIMIOTHERAPIE POUR DES CANCERS DU POUMON NON A PETITES CELLULES (CBP NAPC) AVANCES COMPARAISON DE QUATRE PROTOCOLES DE CHIMIOTHERAPIE POUR DES CANCERS DU POUMON NON A PETITES CELLULES (CBP NAPC) AVANCES Approximativement, un tiers de tous les décès dus au cancer sont en relation avec

Plus en détail

Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée. Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var

Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée. Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var SFPO Octobre 2009 EPIDEMIOLOGIE Incidence : 1.35 M par an dans le monde (12,4%) 28 000

Plus en détail

NAVELBINE voie orale

NAVELBINE voie orale DENOMINATION DU MEDICAMENT & FORME PHARMACEUTIQUE NAVELBINE voie orale CARACTERISTIQUES Dénomination commune : vinorelbine Composition qualitative et quantitative : Statut : A.M.M. A.T.U. Classe ATC :

Plus en détail

Traitement de consolidation dans les cancers de l ovaire

Traitement de consolidation dans les cancers de l ovaire Traitement de consolidation dans les cancers de l ovaire J.-F. Geay, I. Ray-Coquard, H. Curé et É. Pujade-Lauraine Pourquoi un traitement de consolidation? Le standard de traitement de première ligne d

Plus en détail

Chimiothérapie des cancers bronchiques non à petites cellules. Dr Aloulou Samir Médenine le 13 Juin 2015

Chimiothérapie des cancers bronchiques non à petites cellules. Dr Aloulou Samir Médenine le 13 Juin 2015 Chimiothérapie des cancers bronchiques non à petites cellules Dr Aloulou Samir Médenine le 13 Juin 2015 Cas clinique Mr A.S agé de 55 ans grand tabagique consulte aux urgences pour céphalées évoluant depuis

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)

Plus en détail

INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper

INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction

Plus en détail

Actualités s cancérologiques : pneumologie

Actualités s cancérologiques : pneumologie Actualités s cancérologiques : pneumologie PLAN Incidence / facteurs de risque Anatomie Symptômes Types de tumeurs Diagnostic / extension Classification Traitement Pronostic Pneumologie : incidence Belgique

Plus en détail

Cancer de l ovaire. traitements, soins et innovation. traitements adjuvants et de consolidation. www.e-cancer.fr. juin 2009

Cancer de l ovaire. traitements, soins et innovation. traitements adjuvants et de consolidation. www.e-cancer.fr. juin 2009 traitements, soins et innovation juin 2009 recommandations professionnelles Cancer de l ovaire traitements adjuvants et de consolidation COLLECTION recommandations & référentiels RECOMMANDATIONS DE PRISE

Plus en détail

GEMCITABINE. 38 mg/ml ; 1 g/ml, 200 mg et 1 000 mg poudre ou lyophilisat Publication Juillet 2010

GEMCITABINE. 38 mg/ml ; 1 g/ml, 200 mg et 1 000 mg poudre ou lyophilisat Publication Juillet 2010 I. GEMZAR et génériques- gemcitabine Nom commercial GEMZAR Dénomination commune internationale Laboratoire exploitant ou titulaire de l AMM GEMCITABINE LILLY FRANCE Génériques : ACTAVIS GROUP, EBEWE PHARMA

Plus en détail

Place de la chirurgie à l heure des thérapies ciblées. The role of surgery in the era of targeted therapy. * Non ouvert en France.

Place de la chirurgie à l heure des thérapies ciblées. The role of surgery in the era of targeted therapy. * Non ouvert en France. dossier thématique Place de la chirurgie à l heure des thérapies ciblées The role of surgery in the era of targeted therapy P. Bigot*, J.C. Bernhard** Points forts» En association avec l immunothérapie,

Plus en détail

INFORMATION & PRÉVENTION. Le cancer de la vessie

INFORMATION & PRÉVENTION. Le cancer de la vessie INFORMATION & PRÉVENTION Le cancer de la vessie G R A N D P U B L I C Ce à quoi sert la vessie La vessie est une poche qui reçoit l urine produite par les reins, via les uretères*. Elle est constituée

Plus en détail

Cancer Bronchique «Sujet Agé» Etat de la litterature

Cancer Bronchique «Sujet Agé» Etat de la litterature Cancer Bronchique «Sujet Agé» Etat de la litterature Situation en 2011 M CHAKRA Secteur Oncologie Thoracique CHU Arnaud de Villeneuve, Montpelier Qu est ce qu un sujet âgé? 70 ans est habituellement considéré

Plus en détail

Rapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa

Rapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa Rapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa Au titre de son initiative de transparence, le CEPMB publie les résultats des examens des prix des nouveaux médicaments brevetés effectués par les membres

Plus en détail

CHIMIOTHERAPIE DES CANCERS DU POUMON DES SUJETS AGES

CHIMIOTHERAPIE DES CANCERS DU POUMON DES SUJETS AGES CHIMIOTHERAPIE DES CANCERS DU POUMON DES SUJETS AGES 1 EPIDEMIOLOGIE 28 000 nouveaux cas/an 4ème rang des cancers Sex ratio 6,1 Mortalité > 27 000/an Âge médian H 67 ans, F 68 ans 2 1 Taux annuel ajusté

Plus en détail

Traitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse

Traitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt

Plus en détail

ALK et cancers broncho-pulmonaires. Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse

ALK et cancers broncho-pulmonaires. Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse ALK et cancers broncho-pulmonaires Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse Toulouse, le 19 Février 2013 Adénocarcinomes : Lung Cancer Mutation Consortium Identification

Plus en détail

Annick.robinson@merck.com dquirion@national.ca 514 428-2890 514 843-2302

Annick.robinson@merck.com dquirion@national.ca 514 428-2890 514 843-2302 Communiqué de presse Relations avec les médias : Annick Robinson Dominique Quirion Merck NATIONAL Annick.robinson@merck.com dquirion@national.ca 514 428-2890 514 843-2302 Relations avec les investisseurs

Plus en détail

Immunothérapie des cancers bronchiques

Immunothérapie des cancers bronchiques Immunothérapie des cancers bronchiques Alexis Cortot, MD, PhD Service de Pneumologie et Oncologie Thoracique Hôpital Calmette, CHRU de Lille UMR8161, Institut de Biologie de Lille 11 ème Journée du CPHG

Plus en détail

CANCERS BRONCHIQUES ET MESOTHELIOMES PLEURAUX MALINS Date de publication : mars 2011 ANNEXE

CANCERS BRONCHIQUES ET MESOTHELIOMES PLEURAUX MALINS Date de publication : mars 2011 ANNEXE ERBITUX - cetuximab RÉFÉRENTIELS DE BON USAGE HORS GHS CANCERS BRONCHIQUES ET MESOTHELIOMES PLEURAUX MALINS Date de publication : mars 2011 ANNEXE Situations hors-amm pour lesquelles l insuffisance des

Plus en détail

First Line and Maintenance in Nonsquamous NSCLC: What Do the Data Tell Us?

First Line and Maintenance in Nonsquamous NSCLC: What Do the Data Tell Us? Dr Jean-Charles Soria : Bonjour et bienvenue dans ce programme. Je suis Jean Charles Soria, Professeur de Médecine et Directeur du programme de développement précoce des médicaments à l université Paris

Plus en détail

Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon

Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Marqueur prédictif - Définition Un marqueur prédictif est un marqueur qui prédit le bénéfice

Plus en détail

Le retour de l immunothérapie dans le traitement du cancer bronchique.

Le retour de l immunothérapie dans le traitement du cancer bronchique. Le retour de l immunothérapie dans le traitement du cancer bronchique. Dr Bertrand MENNECIER, Charlotte LEDUC, Benjamin RENAUD-PICARD, Clément KORENBAUM CHRU de Strasbourg FOM Lille 21/03/2013 Disclosure

Plus en détail

PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris

PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases

Plus en détail

Recommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO

Recommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations 2005 Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations pour la Pratique Clinique : Standards, Options et Recommandations 2005 pour la prise en charge

Plus en détail

OBJECTIFS 2013-02- 14 LE TRAITEMENT DU CANCER DU POUMON DE STADE AVANCÉ: " OÙ EN SOMMES-NOUS " EN 2013?

OBJECTIFS 2013-02- 14 LE TRAITEMENT DU CANCER DU POUMON DE STADE AVANCÉ:  OÙ EN SOMMES-NOUS  EN 2013? OBJECTIFS LE TRAITEMENT DU CANCER DU POUMON DE STADE AVANCÉ: " OÙ EN SOMMES-NOUS " EN 2013? Connaître les différentes options de traitement disponibles pour le cancer du poumon de stade avancé Connaître

Plus en détail

Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés

Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique

Plus en détail

TUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE

TUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE 1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS

Plus en détail

Cas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier

Cas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique 2 Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique Patient de 60 ans, ATCD: HTA, IDM en 2007, hypercholestérolémie Juin 2008: Toux, dyspnée (sous 02) et anorexie progressive Bilan

Plus en détail

Session plénière: 1 / 4 Sessions scientifiques et poster discussions: Poster présentations: 87/1438

Session plénière: 1 / 4 Sessions scientifiques et poster discussions: Poster présentations: 87/1438 CANCERS DIGESTIFS Session plénière: 1 / 4 Sessions scientifiques et poster discussions: 38/435 Poster présentations: 87/1438 The TME Trial after a Median Follow-up of 11 Years C. A. Marijnen et Al, Leiden,

Plus en détail

Avis sur l'utilisation de la capécitabine (Xeloda ) dans le traitement du cancer du poumon non à petites cellules de stades IIIb et IV

Avis sur l'utilisation de la capécitabine (Xeloda ) dans le traitement du cancer du poumon non à petites cellules de stades IIIb et IV Avis sur l'utilisation de la capécitabine (Xeloda ) dans le traitement du cancer du poumon non à petites cellules de stades IIIb et IV INTRODUCTION Le cancer du poumon est le cancer le plus fréquent au

Plus en détail

Objectifs. La prise en charge du cancer du poumon métastatique: vers une approche personnalisée. Dre Lise Tremblay

Objectifs. La prise en charge du cancer du poumon métastatique: vers une approche personnalisée. Dre Lise Tremblay 2 e journée scientifique en oncologie thoracique de l IUCPQ Vers un nouveau visage La prise en charge du cancer du poumon métastatique: vers une approche personnalisée Dre Lise Tremblay Vendredi 14 novembre

Plus en détail

Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer

Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic

Plus en détail

Essais thérapeutiques en onco-gériatrie : l exemple des lymphomes

Essais thérapeutiques en onco-gériatrie : l exemple des lymphomes Essais thérapeutiques en onco-gériatrie : l exemple des lymphomes Clinical trials in elderly patients: the lymphoma experience D. Garbay*, P. Soubeyran* RÉSUMÉ Longtemps, les sujets âgés ont été exclus

Plus en détail

Les différents types de cancers et leurs stades. Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07

Les différents types de cancers et leurs stades. Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07 Les différents types de cancers et leurs stades Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07 CARCINOGENESE multiple steps, accumulation d altd altérations continuum lésionnel

Plus en détail

Essai Inter-groupe : FFCD UNICANCER FRENCH - GERCOR

Essai Inter-groupe : FFCD UNICANCER FRENCH - GERCOR CLIMAT - PRODIGE 30 Etude de phase III randomisée évaluant l Intérêt de la colectomie première chez les patients porteurs d un cancer colique asymptomatique avec métastases hépatiques synchrones non résécables

Plus en détail

ARD12166 Cabazitaxel Compared to Topotecan for the Treatment of Small Cell Lung Cancer

ARD12166 Cabazitaxel Compared to Topotecan for the Treatment of Small Cell Lung Cancer DESCRIPTIF DES ESSAIS 2012 Par ordre alphabétique AB Science Etude de phase I/II multicentrique, randomisée, ouverte avec 2 groupes parallèles pour évaluer l efficacité et la tolérance du traitement par

Plus en détail

Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009

Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N

Plus en détail

CANCERS BRONCHO-PULMONAIRES

CANCERS BRONCHO-PULMONAIRES OMEDIT Nord-Pas-De-Calais Affaire suivie par : Monique.YILMAZ@ars.sante.fr OMEDIT Aquitaine Affaire suivie par : antoine.brouillaud@omedit-aquitaine.fr morgane.guillaudin@omedit-aquitaine.fr myriam.roudaut@omedit-aquitaine.fr

Plus en détail

Dr Bertrand Michy Département de Pneumologie CHU de Nancy 25 octobre 2013

Dr Bertrand Michy Département de Pneumologie CHU de Nancy 25 octobre 2013 Dr Bertrand Michy Département de Pneumologie CHU de Nancy 25 octobre 2013 Conflits d intérêts Aucun Introduction Constat : CB = Moins de motivation des pneumologues à obtenir le sevrage tabagique (versus

Plus en détail

Bilan du suivi des produits traceurs 2008

Bilan du suivi des produits traceurs 2008 OMIT PACA CORSE Agence Régionale de l Hospitalisation de Provence Alpes Côte d Azur PACA Corse OMIT ARH PACA CORSE Page 1 sur 77 Sommaire Introduction Préambule Contexte Objectifs du dispositif national

Plus en détail

GUSTAVE ROUSSY À L ASCO

GUSTAVE ROUSSY À L ASCO GUSTAVE ROUSSY À L COMMUNIQUÉ DE PRESSE 29 MAI 02 JUIN THÉRAPIES CIBLÉES www.gustaveroussy.fr/asco Communiqué de presse Gustave Roussy au 51 e congrès de l American Society of Clinical Oncology THÉRAPIES

Plus en détail

M Gamaz K Bouzid CPMC- HDJ Oncologie Médicale

M Gamaz K Bouzid CPMC- HDJ Oncologie Médicale M Gamaz K Bouzid CPMC- HDJ Oncologie Médicale Plan Deux situations: Adjuvante Métastatique Pas de scoop Des nouveautés. Des espoirs, lumières. En situation adjuvante Abstract 7513 Adjuvant erlotinib (E)

Plus en détail

Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant

Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant Institut Cancérologie de l Ouest CHIRURGIE Dr. Isabelle Jaffré CAS CLINIQUE 1 36 ans 90B sans CI radiothérapie

Plus en détail

qwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwerty uiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasd fghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzx cvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmq

qwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwerty uiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasd fghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzx cvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmq qwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwerty uiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasd fghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzx cvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmq Résumé ASCO 2013 POUR LA SFCP wertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyui 17/09/2013

Plus en détail

Situation de la chimiothérapie des cancers en 2009

Situation de la chimiothérapie des cancers en 2009 TRAITEMENTS, SOINS ET INNOVATION Situation de la chimiothérapie des cancers en 2009 C O L L E C T I O N Rapports & synthèses ANALYSE DE L ÉVOLUTION DE L USAGE DES MOLÉCULES INSCRITES SUR LA LISTE «EN SUS

Plus en détail

Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire

Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire Sylvie CHABAUD Direction de la Recherche Clinique et de l Innovation : Centre Léon Bérard - Lyon Unité de Biostatistique

Plus en détail

Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire

Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence

Plus en détail

clinique d un médicament

clinique d un médicament DU Recherche Clinique Calcul du nombre de sujets nécessaires (accent sur les phases III) S. THEZENAS I.C.M. (Ex CRLC Val d Aurelle) Unité de Biostatistiques Phases du développement clinique d un médicament

Plus en détail

Cystoscopie en fluorescence pour les tumeurs superficielles de vessie : apport de l hexaminolévulinate (Hexvix ) et du diagnostic photodynamique

Cystoscopie en fluorescence pour les tumeurs superficielles de vessie : apport de l hexaminolévulinate (Hexvix ) et du diagnostic photodynamique AVIS D EXPERT Cystoscopie en fluorescence pour les tumeurs superficielles de vessie : apport de l hexaminolévulinate (Hexvix ) et du diagnostic photodynamique Dimitri Vordos, Guillaume Ploussard Service

Plus en détail

Métastase unique d un NPC: Une question singulière? Jean Louis Pujol - Xavier Quantin Mohammad Chakra Fabrice Barlési

Métastase unique d un NPC: Une question singulière? Jean Louis Pujol - Xavier Quantin Mohammad Chakra Fabrice Barlési Métastase unique d un NPC: Une question singulière? Jean Louis Pujol - Xavier Quantin Mohammad Chakra Fabrice Barlési Deux grandes questions Cette modalité de présentation, requiert elle une prise en charge

Plus en détail

Coordinateur scientifique: Prof. Univ. Dr. Emil PLEŞEA. Doctorant: Camelia MICU (DEMETRIAN)

Coordinateur scientifique: Prof. Univ. Dr. Emil PLEŞEA. Doctorant: Camelia MICU (DEMETRIAN) UNIVERSITÉ DE MÉDECINE ET PHARMACIE DE CRAIOVA FACULTÉ DE MÉDECINE CONTRIBUTIONS A L'ÉTUDE CLINIQUE ET MORPHOLOGIQUE DES CANCERS DU POUMON Coordinateur scientifique: Prof. Univ. Dr. Emil PLEŞEA Doctorant:

Plus en détail

Biomarqueurs en Cancérologie

Biomarqueurs en Cancérologie Biomarqueurs en Cancérologie Définition, détermination, usage Biomarqueurs et Cancer: définition Anomalie(s) quantitative(s) ou qualitative(s) Indicative(s) ou caractéristique(s) d un cancer ou de certaines

Plus en détail

Focus. Assurances et tumeurs génitales des hommes jeunes. Unité de Recherche et Développement pour les Risques Aggravés.

Focus. Assurances et tumeurs génitales des hommes jeunes. Unité de Recherche et Développement pour les Risques Aggravés. Unité de Recherche et Développement pour les Risques Aggravés Focus Juillet 2007 Assurances et tumeurs génitales des hommes jeunes Assurances et tumeurs génitales des hommes jeunes Conception et réalisation

Plus en détail

Cancers de l hypopharynx

Cancers de l hypopharynx Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome

Plus en détail

Évaluation de la prise en charge du cancer du rein métastatique à l ère des thérapies ciblées. Étude clinique rétrospective sur six ans

Évaluation de la prise en charge du cancer du rein métastatique à l ère des thérapies ciblées. Étude clinique rétrospective sur six ans Progrès en urologie (2013) 23, 184 194 Disponible en ligne sur www.sciencedirect.com ARTICLE ORIGINAL Évaluation de la prise en charge du cancer du rein métastatique à l ère des thérapies ciblées. Étude

Plus en détail

Interleukine-2 et Interféron dans le cancer du rein métastatique L expérience du Groupe Français d Immunothérapie

Interleukine-2 et Interféron dans le cancer du rein métastatique L expérience du Groupe Français d Immunothérapie ARTICLE DE REVUE Progrès en Urologie (2002), 12, 213-218 Interleukine-2 et Interféron dans le cancer du rein métastatique L expérience du Groupe Français d Immunothérapie Sylvie NEGRIER (1), Jean-Yves

Plus en détail

Cancer du poumon chez le sujet âgé : traitement du carcinome bronchique non à petites cellules

Cancer du poumon chez le sujet âgé : traitement du carcinome bronchique non à petites cellules Cancer du poumon chez le sujet âgé : traitement du carcinome bronchique non à petites cellules M.-C. Pailler et J.-F. Morère Introduction Avec plus de 700 000 nouveaux cas annuels, le cancer bronchique

Plus en détail

Cancers du larynx : diagnostic, principes de traitement (145a) Professeur Emile REYT Novembre 2003 (Mise à jour Mars 2005)

Cancers du larynx : diagnostic, principes de traitement (145a) Professeur Emile REYT Novembre 2003 (Mise à jour Mars 2005) Cancers du larynx : diagnostic, principes de traitement (145a) Professeur Emile REYT Novembre 2003 (Mise à jour Mars 2005) Pré-Requis : Anatomie du larynx Physiologie de la phonation et de la déglutition

Plus en détail

Les tests de génétique moléculaire pour l accès aux thérapies ciblées en France en 2011

Les tests de génétique moléculaire pour l accès aux thérapies ciblées en France en 2011 Mesure 21 SOINS ET VIE DES MALADES Les tests de génétique moléculaire pour l accès aux thérapies ciblées en France en 2011 COLLECTION Rapports & synthèses POUR UN ACCÈS AUX THÉRAPIES CIBLÉES : - LES PLATEFORMES

Plus en détail

Création de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy

Création de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy Création de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy A.A. MOUSSA D. SCHWOB Institut de cancérologie Gustave-Roussy 94805 Villejuif cedex - FRANCE Plan

Plus en détail

Cancer colo-rectal : situation belge

Cancer colo-rectal : situation belge Cancer colo-rectal : situation belge J.-L. Van Laethem, MD, PhD Unité d'oncologie digestive Département médico-chirurgical de Gastro-entérologie Pas de conflit d intérêt déclaré Cancer du colon 7000 nouveaux

Plus en détail

Prise en charge des carcinomes bronchiques selon le stade: le point de vue du chirurgien 1

Prise en charge des carcinomes bronchiques selon le stade: le point de vue du chirurgien 1 Schweiz Med Wochenschr 2000;130:679 83 A. Spiliopoulos, M. de Perrot Unité de thoracique, Département de, Hôpitaux Universitaires de Genève Prise en charge des carcinomes bronchiques selon le stade: le

Plus en détail

Cancer du sein in situ

Cancer du sein in situ traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome

Plus en détail

INVESTIGATEUR PRINCIPAL. Pr Alain DEPIERRE. COORDINATION IFCT Franck MORIN. PROMOTEUR C.H.U Besançon

INVESTIGATEUR PRINCIPAL. Pr Alain DEPIERRE. COORDINATION IFCT Franck MORIN. PROMOTEUR C.H.U Besançon Essai thérapeutique randomisé comparant deux schémas de chimiothérapie préopératoire dans les cancers bronchiques non à petites cellules (CBNPC) de stades cliniques I et II. PROTOCOLE IFCT-0002 INVESTIGATEUR

Plus en détail

Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes

Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données

Plus en détail

1 of 5 02/11/2012 14:03

1 of 5 02/11/2012 14:03 1 of 5 02/11/2012 14:03 Le cancer du chat par Sandrine Cayet, docteur-vétérinaire Le cancer chez le chat n est pas une fatalité. Un cancer chez le chat, c est comme chez l homme, ça se diagnostique, ça

Plus en détail

Nouveaux antiangiogéniques : état de la recherche

Nouveaux antiangiogéniques : état de la recherche Cancéro dig. Vol. 2 N 3-2010 - 199-204 199 10.4267/2042/34592 DOSSIER THÉMATIQUE : ANTIANGIOGÉNIQUES ET CANCER COLORECTAL MÉTASTATIQUE Nouveaux antiangiogéniques : état de la recherche Update on novel

Plus en détail

Carcinome hépato-cellulaire

Carcinome hépato-cellulaire Carcinome hépato-cellulaire V. Boige et S. Dominguez-Tinajero Généralités, épidémiologie Le carcinome hépato-cellulaire (CHC) est l un des cancers les plus fréquents dans le monde (un peu plus de 5% de

Plus en détail

Indication (selon la monographie du médicament) : Traitement de l'adénocarcinome rénal métastatique

Indication (selon la monographie du médicament) : Traitement de l'adénocarcinome rénal métastatique Rapport sur les nouveaux médicaments brevetés Torisel Par souci de transparence, le CEPMB publie les résultats des examens des prix des nouveaux produits médicamenteux brevetés effectués par les membres

Plus en détail

Référentiel régional Prise en charge des cancers du poumon non à petites cellules Version 1 Avril 2009

Référentiel régional Prise en charge des cancers du poumon non à petites cellules Version 1 Avril 2009 Référentiel régional Prise en charge des cancers du poumon non à petites cellules Version 1 Avril 2009 Sommaire Contexte 5 Epidémiologie...5 Objectifs...5 Champ d application...5 Utilisateurs cibles...5

Plus en détail

Qu est-ce qu un sarcome?

Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs

Plus en détail

Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE

Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE 2014 L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE L Institut universitaire du cancer de Toulouse (IUCT) est un nouveau modèle français d organisation

Plus en détail

Les facteurs de croissance lignée blanche Polynucléaires neutrophiles Grastims

Les facteurs de croissance lignée blanche Polynucléaires neutrophiles Grastims Les facteurs de croissance lignée blanche Polynucléaires neutrophiles Grastims 12 2014 HEMATOPOIESE Progéniteurs puis précurseurs Stimulation par facteur : activation spécifique de leur récepteur Moelle

Plus en détail

La chimiothérapie intrapéritonéale de consolidation

La chimiothérapie intrapéritonéale de consolidation La chimiothérapie intrapéritonéale de consolidation C. Tournigand, A. Plantade et A. de Gramont Le concept La chimiothérapie intrapéritonéale a été étudiée depuis plus de cinquante ans. Ce traitement régional

Plus en détail

Qu est-ce que le cancer du sein?

Qu est-ce que le cancer du sein? Cancer du sein Qu est-ce que le cancer du sein? Laissez-nous vous expliquer. www.fondsanticancer.org www.esmo.org ESMO/FAC Patient Guide Series basés sur les recommandations de pratique clinique de ESMO

Plus en détail

Radiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires. J. Palussière, X. Buy Département imagerie

Radiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires. J. Palussière, X. Buy Département imagerie Radiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires J. Palussière, X. Buy Département imagerie Radiofréquence Interac*on courant électro- magné*que ma*ère agita*on ionique chaleur Coagula*on Nécrose

Plus en détail

Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?

Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe

Plus en détail

À PROPOS DU. cancer colorectal. Les choix de traitement du cancer colorectal : guide du patient

À PROPOS DU. cancer colorectal. Les choix de traitement du cancer colorectal : guide du patient À PROPOS DU cancer colorectal Les choix de traitement du cancer colorectal : guide du patient Table des matières Qu est-ce que le cancer colorectal?... 1 Les stades du cancer colorectal... 2 Quels sont

Plus en détail

LES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES. Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris

LES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES. Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris LES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris 8 Avant l introduction des traitements antirétroviraux hautement actifs (HAART), la majorité des patients

Plus en détail

Les plateformes de génétique

Les plateformes de génétique Thérapies ciblées : de l anatomopathologie th l à la biothérapie i Les plateformes de génétique moléculaire PO Schischmanoff UF Génétique moléculaire et oncogénétique CHU Avicenne ACP FHF 29 mars 2012

Plus en détail

La nouvelle classification TNM en pratique

La nouvelle classification TNM en pratique La nouvelle classification TNM en pratique Thierry Berghmans Département des Soins Intensifs et Oncologie Thoracique Institut Jules Bordet Bruxelles, Belgique Bases historiques 1946 : Denoix invente le

Plus en détail

Revue de la littérature

Revue de la littérature Résultats à long terme des anévrysmes traités Revue de la littérature Cours de DES de neurochirurgie Inter-région Rhône-Alpes / Auvergne Vendredi 22/04/11 Méthode (1): sélection bibliographique en fonction

Plus en détail

PROJET DE RECHERCHE. FSF 91 boulevard de Sébastopol 75002 Paris

PROJET DE RECHERCHE. FSF 91 boulevard de Sébastopol 75002 Paris 2015 PROJET DE RECHERCHE Apport de la fluorescence pour la détection des ganglions sentinelles dans les cancers du sein FLUO-BREAST Praticien Hospitalo-universitaire Chirurgie cancérologique gynécologique

Plus en détail

Innovations thérapeutiques en transplantation

Innovations thérapeutiques en transplantation Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010

Plus en détail

Greffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner?

Greffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner? Greffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner? Malika Benkerrou Site de référence pédiatrique national sur la drépanocytose Hôpital Robert Debré, Paris 3èmes Journées de la Drépanocytose en Martinique

Plus en détail

IRM du Cancer du Rectum

IRM du Cancer du Rectum IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris

Plus en détail

EXERCICE N 10 : Modifier le protocole d'un essai pour mieux réussir ; mais réussir quoi?

EXERCICE N 10 : Modifier le protocole d'un essai pour mieux réussir ; mais réussir quoi? EXERCICE N 10 : Modifier le protocole d'un essai pour mieux réussir ; mais réussir quoi? Le bévacizumab (Avastin ) est un anticorps monoclonal qui a fait l objet d une autorisation supplémentaire pour

Plus en détail

Charte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco

Charte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco Réseau Régional de Cancérologie ONCOPACA-Corse Charte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco 1. CONTEXTE ET OBJECTIF Contexte : Cette présente charte a été définie

Plus en détail

Traitement de l hépatite C: données récentes

Traitement de l hépatite C: données récentes Traitement de l hépatite C: données récentes J.-P. BRONOWICKI (Vandœuvre-lès-Nancy) Tirés à part : Jean-Pierre Bronowicki Service d Hépatogastroentérologie, CHU de Nancy, 54500 Vandœuvre-lès-Nancy. Le

Plus en détail

Qu est-ce que le cancer du pancréas?

Qu est-ce que le cancer du pancréas? Cancer du pancréas Qu est-ce que le cancer du pancréas? Laissez-nous vous expliquer. www.fondsanticancer.org www.esmo.org ESMO/FAC Patient Guide Series basés sur les recommandations de pratique clinique

Plus en détail

Traitement du carcinome rénal métastatique

Traitement du carcinome rénal métastatique Progrès en urologie (2011) 21, 233 244 ARTICLE DE REVUE Traitement du carcinome rénal métastatique Treatment of metastatic renal cell carcinoma R. Thuret a,b, C. Maurin c,,m.sun a, P. Perrotte a, P.I.

Plus en détail

L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest

L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société

Plus en détail

Maurene McQuestion, IA, BScN, MSc, CON(C) John Waldron, MD, FRCPC

Maurene McQuestion, IA, BScN, MSc, CON(C) John Waldron, MD, FRCPC Séance plénière 2 : La collaboration interprofessionnelle entre médecins et infirmières Nous examinerons durant cette séance les questions clés liées à la collaboration interprofessionnelle entre médecins

Plus en détail

Cancer broncho-pulmonaire du sujet âgé. Mathilde Gisselbrecht Capacité de gériatrie- Février 2009

Cancer broncho-pulmonaire du sujet âgé. Mathilde Gisselbrecht Capacité de gériatrie- Février 2009 Cancer broncho-pulmonaire du sujet âgé Mathilde Gisselbrecht Capacité de gériatrie- Février 2009 Généralités Cancer bronchique primitif = cancer le plus fréquent en incidence dans le monde Incidence en

Plus en détail

Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT

Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie

Plus en détail

Présenté par Mélanie Dessureault, inf. clin. et Caroline Fortin, AIC radio-oncologie

Présenté par Mélanie Dessureault, inf. clin. et Caroline Fortin, AIC radio-oncologie Présenté par Mélanie Dessureault, inf. clin. et Caroline Fortin, AIC radio-oncologie Quiz de la radio-oncologie Rôle de l infirmière en radio-oncologie Mise en contexte (création des outils) Premier outils:

Plus en détail