Le coût social de l alcool, du tabac et des drogues illicites en 2000
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- Christophe Beaupré
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1 addictoogie Le coût socia de acoo, du tabac et des drogues iicites en 2000 Phiippe Fenogio Maître de conférences à université de Nancy II Véronique Pare Maître de conférences à université de Panthéon-Sorbonne (Paris I) Pierre Kopp Professeur à université de Panthéon Sorbonne (Paris I) En 1997, une première étude tentait d évauer e coût, pour a société, que représentait a consommation de tabac, d acoo et de drogues en France. Cette étude a été actuaisée en Présentation des évoutions. La consommation et e trafic de drogues égaes (acoo et tabac) et iégaes ont un impact important sur économie. On recense, d une part, des effets négatifs pour a société et, de autre, es bénéfices, iés à a consommation et à a production. Le montant tota des «externaités», frappant a société et engendrées par es drogues, indique e coût des conséquences de a consommation et du trafic de drogue pour a coectivité. Ce montant est appeé «coût socia des drogues» ou «coût d opportunité des drogues». Les bénéfices des drogues mesurent e bien-être qu ees procurent aux consommateurs et es profits des producteurs et distributeurs. Le cacu des bénéfices est particuièrement compexe, car i exige de mesurer a vaeur subjective que es consommateurs attribuent aux produits qu is consomment. Cet artice est consacré au premier aspect, ceui des dommages que a coectivité subit, du fait de existence des drogues. Le «coût socia des drogues» mesure donc e coût pour a coectivité des conséquences du trafic et de a consommation de drogue. I constitue un agrégat important car c est à aune de sa réduction Cet artice présente es concusions de recherches dirigées par Pierre Kopp pour e compte de Inserm et de OFDT (pkopp@univ-paris1.fr). I présente es résutats actuaisés d une étude antérieure (1997) dont es résutats avaient été pubiés dans cette même revue «Coût socia des drogues et choix de poitique pubique», Actuaité et dossier en santé pubique, n 22, mars que on peut mesurer efficacité de a poitique pubique. La mesure du coût socia des drogues pose un sérieux probème méthodoogique. Préciser quee est a part du coût de a drogue qui frappe a coectivité (externaité) et cee qui touche directement es consommateurs de drogues (coût privé) n est pas une question triviae. Le coût des maadies que es fumeurs, par exempe, s infigent est iustratif du probème. Le cancer du poumon qui frappe un fumeur est-i une externaité ou un coût privé? La réponse dépend, nous e verrons, de hypothèse qui est faite sur a rationaité des choix des consommateurs de drogues. Cet artice rend donc d abord compte des conséquences des débats concernant e degré de rationaité des consommateurs de drogues sur a méthodoogie de chiffrage du coût socia des drogues, puis i présente a méthodoogie retenue, dite Cost of iness, et ivre enfin es résutats de estimation du coût socia faite pour a France. Rationaité et coût socia La consommation et e trafic de drogues sont à origine des dépenses qui constituent des coûts privés pour es individus (achats, dépenses de santé non remboursabes, amendes, etc.). La contrepartie de ces dépenses est donnée par e bien-être que es individus retirent de a consommation. Dès ors qu un individu accepte de payer un prix pour un produit, c est qu i dégage de sa consommation une utiité et un surpus. Le surpus est éga à a différence entre e prix payé par e adsp n 55 juin
2 addictoogie consommateur et ceui qu i aurait accepté de payer pour obtenir e produit. La consommation et e trafic engendrent égaement des coûts qui frappent es tiers. La vioence des marchés iégaux ou e tabagisme passif, ou encore es victimes des accidents provoqués par des conducteurs sous emprise de acoo constituent des externaités 1. La somme des externaités constitue e coût d opportunité de a drogue. Si es ressources consacrées à a drogue avaient été à une autre activité, a société se serait épargné e coût de ces externaités et aurait été pus riche du montant que ces ressources auraient permis de produire. C est pourquoi on désigne a somme des externaités sous e nom de coût socia de a drogue putôt que de coût d opportunité, bien que es deux termes soient synonymes. Les externaités constituent une source d imperfection du marché et engendrent une perte de bien-être pour a société. Les individus ne prennent pas en compte e coût des conséquences sociaes de eur consommation. Is déterminent donc eur niveau de consommation en ne prenant en compte que e coût privé de eur consommation. Le niveau de consommation d équiibre est aors optima pour es individus, mais excessif pour a société. L État doit intervenir pour forcer es individus à prendre en compte e coût compet des conséquences sociaes de eur choix de consommation. Pour ce faire, i taxe es produits ou es interdit. Observons que a mise en œuvre de interdiction égae et des sanctions qui accompagnent joue e rôe d une taxe sur a consommation, en infigeant un coût au consommateur. Le consommateur ajuste donc sa consommation à a baisse (si a demande est éastique au prix) et optimum privé vient coïncider avec optimum socia, si a taxe a été caibrée de manière optimae. L efficacité économique est aors restaurée. 1. Le terme «externaité» désigne des bénéfices ou des coûts qui, bien qu is s ajoutent aux bénéfices et aux coûts propres à une activité donnée, ne sont pas refétés dans es prix du marché et touchent es agents économiques tiers sans que ces derniers soient égaement tenus de payer ou en droit de recevoir un dédommagement. Par exempe, a fumée de a cigarette dérange un non-fumeur et constitue une externaité, puisque a gêne est subie et non compensée par une somme d argent. En revanche, e fait que es impôts des uns servent à financer es autres (ou a Sécurité sociae) ne constitue pas une externaité, mais une forme de redistribution de a richesse. Le chiffrage du coût socia pose un probème méthodoogique. Comment traiter e coût des conséquences (maadies) que es consommateurs de drogues s infigent à eux-mêmes? S agit-i d un coût privé ou d une externaité? Soit e tabagisme ou acoo sont considérés comme des externaités, soit a consommation de ces substances ne déroge pas au principe de souveraineté du consommateur rationne et ensembe des coûts déduits de ses choix ui sont attribués et «internaisés». La réponse est d autant pus déterminante que es coûts internes engendrés par a consommation de drogues sont considérabes puisque es sommes en discussion constituent une part très importante du coût des drogues. Seon a réponse apportée, e coût socia de a drogue sera éevé ou, au contraire, très bas, ce qui est ourd de conséquences ors de a discussion du montant de a taxe requise pour corriger es externaités (acoo et tabac). Ce choix méthodoogique peut être iustré par un exempe. Les adeptes du ski prennent des risques et choisissent es pistes qu is empruntent en fonction de eur niveau technique, de eur forme physique et du cimat. Lorsqu is sont victimes d un accident, es frais de santé constituent un coût privé et non une externaité 2. Chacun conviendra que es skieurs sont suffisamment informés et rationnes pour mesurer es dangers du ski. I serait ainsi saugrenu de parer du coût socia du ski, même si a Sécurité sociae a de bonnes raisons de s interroger sur impact de ce oisir sur ses comptes. Qu en est-i dans e cas des drogues? Les maadies des consommateurs de drogues ne sont pas, stricto sensu, des externaités, puisqu ees ne frappent pas des tiers mais es consommateurs de drogues eux-mêmes. Pour certains économistes, fondateurs d une théorie de «addiction rationnee», comme Gary Becker [1], es individus sont parfaitement rationnes, is sont donc en mesure de prendre en compte es effets futurs de eur consommation présente. Is savent intégrer e coût prévisibe des maadies ors de eurs choix de consommation, 2. Rappeons que e fait que es frais d hospitaisation soient pris en charge par a Sécurité sociae, ou non, n affecte pas e caractère externe ou privé du coût. I ne faut pas confondre un probème d inefficience du marché (externaité) et une question de justice sociae (redistribution). c est d aieurs pour cea que nombreux sont ceux qui arrêtent de consommer des drogues. Ce coût fait donc partie des coûts privés. À opposé, es anaystes issus du miieu de a santé pubique considèrent généraement que es conséquences non intentionnees de a consommation de drogues sont une externaité et non un coût privé. Comme si e consommateur de drogues infigeait à un tiers (en occurrence ui-même) un coût qu i ne prendrait pas en compte dans ses choix. L ensembe des conséquences négatives des drogues doit aors être rangé du côté des externaités et constitue une perte de bien-être pour a coectivité. Le tabeau 1 recense ensembe des coûts des conséquences de a consommation et du trafic de drogues. L ange sous eque es externaités interpersonnees sont anaysées (coûts privés ou externaités) est ourd de conséquences. Si es consommateurs sont rationnes, es externaités interpersonnees doivent être ajoutées au coût privé. À exception de a protection des tiers (tabagisme passif), État n a pas de raison d intervenir. En revanche, es coûts privés doivent êtres assumés par es consommateurs qui devraient ainsi se munir d une assurance afin de financer es dépenses médicaes engendrées par eurs choix 3. À instar des assurances requises pour couvrir es sports à risques, e fumeur, e buveur ou amateur de drogues iicites devraient s assurer contre es conséquences futures de eurs choix présents ou prendre e risque de dépendre, un jour, du degré de générosité de assurance sociae. L important est que es coûts engendrés par un individu soient couverts. Peu importe que cea soit par ui-même (assurance privée) ou par a soidarité (assurance sociae). À opposé de cette vision, approche de santé pubique considère e consommateur de drogue comme «maade» et cassera ensembe des externaités interpersonnees du côté des externaités. L État est aors fondé à intervenir pour faire supporter aux individus e coût compet (privé et socia) de eur pratique. La taxe (ou a sanction) vient s ajouter au prix et force es individus à imiter eur consommation. Le produit de a taxe peut éventueement venir partieement abonder e budget de 3. Le fait que assurance soit payante ou gratuite est un probème de redistribution. 70 adsp n 55 juin 2006
3 tabeau 1 Externaités ou internaités? Dépense d achat Dépenses de santé non remboursées Achat d assurance privée Amendes Perte de revenus due à a morbidité Perte de revenus due aux décès prématurés Vioence sur es marchés iégaux Emprisonnement Type de coûts Nature Cassification Perte de productivité des entreprises du fait de absentéisme, de a mortaité et de a morbidité Mortaités et morbidité des tiers (tabagisme passif, victimes des accidents et des vioences) Dépenses pubiques de prévention Dépenses pubiques de répression Dépenses pubiques de traitement Dépenses privées Externaités interpersonnees Externaités Utiité + Surpus du consommateur Coût socia a Sécurité sociae, comme c est e cas en France pour a taxe du tabac. Le reste des probèmes frappant es fumeurs doit être pris en charge, seon es normes habituees de prise en charge des maadies et des probèmes sociaux. Deux schémas théoriques s opposent ainsi. Le premier, ceui de assurance, qui poursuit objectif de a couverture du risque comme dans e cas du ski ; e second, ceui de intervention pubique, qui vise à contraindre es individus à changer eur consommation en eur faisant prendre en charge son coût. Seon a première approche, e probème posé par es drogues est essentieement un probème de répartition et se imite, d une part, au choix entre e régime de assurance privée et ceui de assurance sociae, et d autre part, à a fixation du montant des primes ou du voume des transferts sociaux permettant d assurer équiibre des assurances privées ou des comptes des organismes sociaux. La seconde approche considère, a contrario, que objectif de État est de ramener activité porteuse d externaités à son niveau optima, en instaurant une taxe qui permettra de faire payer à ses adeptes e coût compet de eur pratique, ce qui en réduit ogiquement e nombre. Cette fois e probème posé par es drogues concerne essentieement efficience économique et non pus a répartition. Les dépenses engendrées par es consommateurs de drogues doivent être financées à instar des autres dépenses sociaes. Une piste prometteuse permet de dépasser cette opposition. Un groupe d auteurs inspirés par Gruber J., Koszegi B. [3] quaifie e coût des conséquences de a drogue, pour es consommateurs euxmêmes, par e néoogisme «externaités intrapersonnees» ou «internaités». Is proposent de es ajouter aux externaités cassiques (frappant effectivement es tiers), au prorata du degré de imite qui affecte a rationaité. Dans cet artice, nous utiisons a méthodoogie cassique références 1. Becker G. et Murphy K. [1988], «A theory of rationa addiction», Journa of Poitica Economy, vo. 96, août, p Coins. D., Lapsey, H. M. (1996) The Socia Costs of Drug Abuse in Austraia in 1988 and 1992, Canberra. Monograph n 30. Commonweath Department of Human Services and Heath. Austraian Government Printing Services. 3. Gruber J., Koszegi B. (2004), «Tax incidence when individuas are time-inconsistent : the case of cigarette excise taxes», Journa of Pubic Economics, 88, Hodgson, T. A., Meiners, M. (1982), «Cost of iness methodoogy : A guide to current practices and procedures». Mibank Memoria Fund Quartery, [60], p Kopp, P., Fenogio, P. (2004), Coûts et bénéfices économiques des drogues, OFDT, juin 2004, 125 pages, eco_drog.htm. 6. Kopp, P., Fenogio, P. (2000), Le coût socia des drogues icites (acoo et tabac) et iicites en France, OFDT, septembre 2000, 277 pages. 7. Singe E., Coins D. Laspey H., Kopp P., Perez-Gomez A. (2003), «Internationa Guideines for Estimating the Cost of Substance Abuse», WHO. adsp n 55 juin
4 addictoogie qui affecte a totaité des «externaités intrapersonnees» ou «internaités» au coût socia. La méthodoogie Cost of iness Le cacu du coût socia de a drogue repose sur a méthodoogie Cost of iness (COI). Ee a d abord été utiisée dans des études d économies médicaes destinées à chiffrer e coût socia de a santé mentae ou de certains types de cancers. Dans cette étude, nous affectons à a consommation «per se» du produit tous es coûts imposés à a coectivité, sans distinguer es consommations réputées «normaes» ou «abusives». Notre étude se imite aux «coûts tangibes» qui mesurent es pertes monétaires (es pertes de revenus, par exempe), et excue de son champ es «coûts intangibes» correspondant à a vaorisation monétaire de dommages subjectifs (peine et souffrance, par exempe). Deux hypothèses sont retenues : d une part, que e pein empoi des facteurs est assuré (i. e. que ensembe des ressources existantes est utiisé en vue de produire des biens et des services) ; d autre part, qu une ré-aocation des ressources supprimant es drogues n affecterait pas e niveau des bénéfices sociaux. Sous ces deux hypothèses, toutes es conséquences des drogues sont traitées comme un «coût socia», une source de perte de bien-être coectif. Le coût socia, te que e mesure une étude (COI), couvre ensembe des coûts tangibes supporté par a coectivité, i. e. aussi bien par es agents privés (se traduisant par existence de coûts privés), que par es pouvoirs pubics (coûts pubics), et induit par a consommation et e trafic, exception faite du coût d achat des substances. Nous suivons e choix de Singe et a. [7], qui recommandent de suivre Coins & Laspey [2] en ne cacuant dans e cadre des études COI que e coût socia «brut» putôt que «net» des éventues side effects positifs éventueement engendrés par a consommation de certaines substances, notamment dans e cas où a consommation modérée d acoo viendrait réduire e nombre de maadies cardiaques. D autre part, étude est prevaencebased, i. e. ee estime e coût des probèmes qui apparaissent durant une année donnée, en occurrence Les pertes de revenu et de productivité dues aux décès prématurés sont estimées seon a méthode du «capita humain» à aide de a vaeur présente des revenus futurs. Cette approche, qui est a pus fréquemment utiisée, diffère de cee dite de a wiingness to pay [4], qui évaue a vaeur de a vie humaine à partir de a somme que es individus sont disposés à payer pour modifier eur espérance de vie. En rège générae, es résutats obtenus avec a méthode human capita sont pus faibes que ceux issus d un cacu suivant a technique de a wiingness to pay. La méthode human capita exige de cacuer a vaeur présente des revenus futurs perdus du fait d une mortaité prématurée attribuabe aux consommations de drogues. Les résutats présentés dans cet artice sont cacués avec un taux d actuaisation de 6 % 4. Le coût socia des drogues en 2000 Les résutats présentés tabeau 2 évauent e coût socia des drogues pour année 2000 en tenant compte des nouvees informations recueiies. L augmentation de a vaeur estimée du coût socia des drogues en France en 2000 par rapport à ceui de notre étude précédente [6] a deux causes. Premièrement, e cacu des coûts de santé imputabes aux drogues contient trois modifications : une actuaisation des données sur es coûts hospitaiers ; un changement de méthodoogie concernant es soins en médecine de vie ; introduction des pathoogies non traitées dans Kopp et Fenogio [6], notamment pour es drogues iicites. Deuxièmement, e cacu d actuaisation des pertes de préèvements obigatoires (fiscaité), des pertes de revenus (particuiers) et des pertes de production (entreprises) a été améioré. Le tabac est a drogue qui impose e coût e pus éevé à a France avec ,62 miions d euros, soit une dépense par tête de 772,49 euros et 3,05 % du produit intérieur brut (PIB). Ce montant se répartit en ,16 miions d euros de pertes de productivité (entreprises) et 7 657,84 miions d euros de pertes de revenus pour es 4. Le rapport Lebègue (2005) suggère de ramener e taux d actuaisation de 8 % à 4 % afin de mieux prendre en compte es effets futurs des choix présents. Cette étude menée avant a pubication du rapport utiise un taux conventionne adopté par es autres études européennes dans e même domaine. individus, que ceux-ci soient ou non consommateurs. Les coûts des soins arrivent en tête des dépenses pubiques pour un montant de ,22 miions d euros qui se répartit entre soins hospitaiers (8 731,72 miions d euros) et médecine de vie (9 522,50 miions d euros). À noter que es dépenses de santé constituent e premier poste du coût socia du tabac. Vient ensuite e coût socia engendré par es pertes de préèvements obigatoires (3 737,80 miions d euros), soit 7,83 % du coût socia tota du tabac. Les autres coûts sont peu significatifs (< 0,01 %) : 2,82 miions iés à a prévention ; 1,78 miion à a utte contre es feux de forêts. L acoo, pour sa part, engendre un coût socia de ,91 miions d euros (2,37 % du PIB) et une dépense par tête de 599,21 euros. La part a pus importante du coût socia de acoo tient principaement aux pertes de productivité (16 097,57 miions d euros pour es entreprises), aux pertes de revenus des individus consommateurs ou non (7 147,71 miions d euros) et aux dépenses des assurances en charge des indemnisations en cas d accidents (3 524,62 miions d euros). Les dépenses de santé représentant 16,62 % du coût socia (6 155,88 miions) réparties en soins hospitaiers (4 345,59 miions d euros) et coûts iés à a médecine de vie (1 810,29 miions). À noter que es dépenses de santé n occupent que a troisième pace du coût socia de acoo, contre a première pour e tabac. Le cinquième poste (9,42 %) est représenté par es pertes de préèvements obigatoires (3 488,79 miions d euros) provoquées par es encaissements de recettes fiscaes non réaisés par État, du fait des décès, de hospitaisation ou de emprisonnement des consommateurs d acoo. Les autres dépenses constitutives du coût socia de acoo sont marginaes (moins de 0,3 % du tota), à exception de a Caisse nationae d assurance maadie (Cnam) (522,95 miions d euros, soit 1,41 %). Les drogues iicites engendrent un coût socia de 2 824,43 miions d euros, soit une dépense par tête de 45,70 euros et 0,18 % du PIB. Les pertes de productivité (entreprises) contribuent pour 28,76 % du coût socia des drogues iicites. Leur montant tota est de 812,29 miions d euros. Cees-ci sont suivies des dépenses des administrations égaes à 740,15 miions d euros (soit 26,21 %) et des coûts des 72 adsp n 55 juin 2006
5 tabeau 2 Coûts sociaux des drogues en France, 2000 (miions d euros) Tabac Acoo Drogues iicites Types de dépenses Rang Montant Rang Montant Rang Montant Dépenses de santé [1] ,22 [3] 6 155,88 [3] 723,32 dont : soins hospitaiers 8 731, ,59 280,26 médecine de vie 9 522, ,29 443,06 Dépense des administrations - [7] 87,00 [2] 740,15 Dépenses de prévention [5] 2, Cnam - [6] 522,95 - Perte de préèvements obigatoires [4] 3 737,80 [5] 3 488,79 [5] 179,70 Incendies [6] 1, Pertes de revenus des consommateurs (décès maadies) [3] 7 657,84 [2] 7 147,71 [4] 368,17 Dépenses des assurances - [4] 3 524,62 - Pertes de productivité [2] ,16 [1] ,57 [1] 812,29 Associations privées nd [9] 0,87 nd Autres coûts privés - [8] 5,52 [6] 0,80 Coût socia , , ,43 nd : non disponibe. tabeau 3 Source des coûts sociaux (miions d euros) Tabac Acoo Drogues iicites 1. Coûts directs des soins ,22 (38,24 %) 6 155,88 (16,62 %) 723,32 (25,61 %) 2. Coûts directs de prévention et de recherche 2,82 (neg.) 560,34 (1,51 %) 144,66 (5,12 %) 3. Coûts directs de appication de a oi - 56,00 (0,15 %) 596,30 (21,11 %) 4. Coûts directs de pertes de préèvements obigatoires 3 737,80 (7,83 %) 3 488,79 (9,42 %) 179,70 (6,36 %) 5. Autres coûts directs imputabes 1,78 (neg.) 3 524,62 (9,52 %) - 6. Coûts indirects des pertes de revenu et des pertes de production ,00 (53,92 %) ,28 (62,77 %) 1 180,46 (41,79 %) Coût socia , , ,43 Dépense par tête 772,49 599,21 45,7 Coût socia en pourcentage du PIB 3,05 % 2,37 % 0,18 % neg. : négigeabe. soins d un montant de 723,32 miions (soit 25,61 %) répartis en coûts hospitaiers (280,26 miions d euros) et médecine de vie (443,06 miions d euros). Loin derrière (13,04 %), on trouve es pertes de revenus des consommateurs (368,17 miions d euros) et es pertes de préèvements obigatoires (6,36 %) pour un montant de 179,70 miions d euros, es autres coûts étant marginaux (0,03 % du tota). Le tabeau 3 examine a répartition du coût socia de chaque drogue par catégorie (soins, prévention et recherche, appication de a oi, préèvements obigatoires, pertes de revenu et de production). On s intéressera aux trois premières ignes du tabeau qui décrivent es coûts engendrés par a mise en œuvre d actions adsp n 55 juin
6 (privées ou pubiques) cibées sur un objectif. Du point de vue des coûts, es soins arrivent en tête, suivis par a prévention et a recherche, et enfin par appication de a oi dans e cadre du tabac et de acoo. En revanche, si on compare es drogues iégaes et égaes (acoo et tabac), on constate que e coût de a mise en œuvre de a oi dans e domaine des drogues iégaes (21,11 %) dépasse argement es dépenses de «prévention -- recherche», et est reativement proche des dépenses de soins (21,11 % vs 25,61 %) comparativement aux deux autres drogues. Si on compare acoo et e tabac, on remarque que e coût des soins des maadies associées au tabac est quasiment trois fois pus éevé que ceui engendré par acoo, ce qui tient probabement au pus jeune âge des patients et à a durée pus ongue de eurs maadies. On peut être frappé par es sommes extrêmement faibes consacrées à a mise en œuvre des ois sur acoo (56 miions d euros) comparées à cee dédiées à a utte contre es drogues iicites (596,30 miions d euros). La part du coût socia de acoo engendré par a mise en œuvre de a oi est très faibe (0,15 %), aors qu une part importante des décès provient pourtant de a non-observation de a oi (3 945 décès sur , soit 9 %) sachant, par aieurs, que nos cacus ne tiennent pas compte des crimes et déits commis sous emprise de acoo. Les sommes reativement pus importantes consacrées à a «préventionrecherche» pour es probèmes iés à acoo comparativement à cees consacrées pour e tabac (560,34 miions contre 2,82 miions), pour un nombre de décès imputabes quasiment identique, méritent d être signaées. L expication tient probabement au fait que es probèmes engendrés par acoo sont connus depuis pus ongtemps que ceux tenant au tabac. Ces résutats conduisent à souigner e coût important que es drogues exercent sur a société française en termes de mortaité, morbidité, et de coût économique. L anayse de sensitivité [5] montre que es résutats sont assez stabes orsqu on fait varier es hypothèses et notamment cees portant sur es risques de contracter une pathoogie attribuabes à une drogue. Les résutats sous-estiment de manière importante e coût socia de acoo dans a mesure où es crimes et vioences associées à a consommation d acoo ne sont pas pris en compte, faute de données compètes (même chose pour es drogues iicites qui ne prennent en compte que es ILS, mais pas es crimes et vioences). E n 1 mars 2006 Éditoria Séminaire SP & AM : évauations des pratiques professionnees (aspect prévention) des médecins généraistes (à soiciter), R. Bataion Études Faisabiité du dépistage systématique des comportements addictifs chez es patients hospitaisés, A. L. Le Faou, O. Scemama Conséquences des accidents de a circuation chez es enfants : suivi pendant un an d enfants accidentés dans e Rhône, M. Chiron, P. Charnay, J. L. Martin, I. Vergnes Évauation par es professionnes de santé du système d information sur es risques cancer iés à environnement, M. Dessaigne Épidémie de maaises survenus dans un hôpita : une enquête quaitative, L. Bentz, E. H. Benmansour, C. Pradier Facteurs iés au retard du diagnostic de a tubercuose à Conakry (Guinée), A. Camara, A. Diao, L. M. Camara, K. Fieding, O. Y. Sow, J. Chaperon Estimation de a mortaité attribuabe aux particues fines (PM10) dans es 9 vies françaises participant au programme européen APHEIS, J.-F. Jusot, A. Lefranc, S. Cassadou, M. D Hef-Banchard, D. Eistein, B. Chardon, L. Fieu, L. Pasca, P. Fabre, C. Decercq, H. Prouvost, A. Le Tertre, S. Medina Poitiques Enseignement de éthique et des droits de homme en Europe, F. Caudot, A. J. Van Baaren-Baudin, P. Chastonay Inégaités devant a mort en bas âge au Pérou, E. F. Orihuea-Egoavi Les aspects juridiques et éthiques de a protection des données issues du dossier médica informatisé et utiisées en épidémioogie : un point de a situation, S. Picard, J. Peet, J. F. Bruet, B. Trombert Pratiques Demandes de séjour pour raison médicae des maades étrangers dans e département du Va-d Oise de 1999 à 2003, G. La Ruche, B. Brunet Vers un soce de compétences partagées pour es médecins en santé pubique, A. Riffaud, D. Jourdan, L. Gerbaud Panification et suivi de activité d un service de santé scoaire à partir d indicateurs sanitaires et sociaux ; expérience de Vieurbanne, F. Guerrier Sagnes, M. Fortin, F. Beyne Méinand Lettre du terrain L accuei dans es restaurants scoaires d enfants présentant une aergie aimentaire, une enquête en Maine-et- Loire, S. Faneo, C. Richard, G. Roet Lectures Santé pubique BP 7 2, avenue du Doyen-J.-Parisot Vandœuvre-ès-Nancy Cedex Tééphone : adsp n 55 juin 2006
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