Communiqué de presse. Bâle, le 9 octobre 2010

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1 Communiqué de presse Bâle, le 9 octobre 2010 MetMAb, nouvelle molécule en cours d étude, prolonge la période pendant laquelle les personnes atteintes de cancer du poumon vivent sans que leur maladie ne s aggrave De nouvelles et importantes données relatives au cancer du poumon, présentées au congrès ESMO, apportent de nouveaux éléments corroborant la haute efficacité de Tarceva lors de cancer bronchique avec mutations génétiques MetMAb plus Tarceva chez des patients avec cancer du poumon: des données préliminaires ont montré, chez un groupe prédéterminé de patients, que leur survie sans progression de la maladie était presque deux fois plus longue que celle de patients ayant reçu un placebo plus Tarceva. i Tarceva chez des personnes présentant une forme distincte de cancer du poumon: Tarceva a aidé ces personnes à vivre presque trois fois plus longtemps sans progression de la maladie que des patients ayant reçu une chimiothérapie classique. ii Roche (SIX: RO, ROG; OTCQX: RHHBY) a communiqué aujourd hui de nouvelles données présentées au 35 e congrès de la European Society for Medical Oncology (ESMO), montrant des progrès significatifs chez les personnes souffrant de cancer du poumon. "Nous sommes heureux de pouvoir transmettre ici, au congrès ESMO, de nouveaux éléments concernant Tarceva et MetMAb dans le traitement du cancer du poumon, a déclaré Richard Scheller, Ph.D., responsable de Genentech Research and Early Development. Le cancer du poumon est un domaine dans lequel les besoins médicaux sont loin d être satisfaits, et les nouvelles données que nous avons recueillies avec MetMAb illustrent bien de quelle manière une démarche personnalisée, ciblée, peut améliorer le résultat thérapeutique face à cette maladie difficile à traiter." MetMAb combiné à Tarceva lors de NSCLC Les résultats préliminaires d une étude de phase II montrent qu un traitement combinant MetMAb, anticorps monovalent sans équivalent, et Tarceva (erlotinib) a pratiquement doublé la durée pendant laquelle F. Hoffmann-La Roche Ltd 4070 Basel Switzerland Group Communications Roche Group Media Relations Tel Fax /7

2 des patients avec cancer bronchique non à petites cellules (NSCLC) exprimant fortement le récepteur MET ont vécu sans progression de la maladie (progression-free survival ou PFS), par rapport à des patients ayant reçu un placebo et Tarceva (HR=0,560, p=0,0547). La PFS médiane a été améliorée, passant de 6,4 semaines à 12,4 semaines. L étude multicentrique de phase II, randomisée, menée en double insu et contrôlée contre placebo, présentée au congrès 2010 de la European Society for Medical Oncology (ESMO), a évalué l activité et l innocuité de MetMAb plus Tarceva par rapport à celles d un placebo plus Tarceva chez des patients qui avaient déjà été traités pour NSCLC avancé. Les patients ont été stratifiés en fonction de l expression du récepteur MET déterminée dans leur échantillon tumoral à l aide d une méthode d immunohistochimie (IHC) développée en collaboration avec Ventana, membre du groupe Roche, et ont été classés en patients à forte ou faible expression de MET, conformément à une échelle de calcul prédéfinie. Sur la base des données collectées jusqu à la date butoir du 8 juin 2010, l adjonction de MetMAb à Tarceva chez les patients dont la tumeur exprimait des taux élevés de MET, déterminés par IHC (50% ou plus des cellules tumorales affichant une coloration IHC d intensité 2+ ou 3+), a entraîné une amélioration de la survie globale (OS) par rapport à l association placebo plus Tarceva (HR=0,549 p=0,1113). La survie globale médiane a été améliorée, passant de 7,4 mois à 7,7 mois. Le traitement par MetMAb a été généralement bien toléré et aucun élément nouveau n a été signalé en termes d innocuité. La population de patients affichant des taux élevés de MET représentait 54% des patients recrutés dans l étude. L analyse complète de l étude de phase II sera présentée prochainement dans le cadre d un congrès médical. Tarceva en première ligne triple presque la PFS lors de NSCLC avec mutations activant l EGFR Les résultats de l étude de phase III OPTIMAL montrent que Tarceva (erlotinib) administré en première ligne a accru de plus d un an la période pendant laquelle des personnes présentant une forme distincte de cancer du poumon ont vécu sans progression de la maladie (progression-free survival = PFS), période qui s est ainsi avérée trois fois plus longue que celle des patients ayant uniquement reçu une chimiothérapie classique (médiane 13,1 vs 4,6 mois, HR=0,16, p<0,0001). Au bout d un an, plus de la moitié (56%) des patients traités par Tarceva pour cancer du poumon non à petites cellules (NSCLC) avancé avec mutations activant le récepteur du facteur de croissance épidermique 2/7

3 (EGFR) ne présentaient aucune progression de la maladie, contre 1,7% des patients traités par chimiothérapie. De plus, les patients ayant reçu Tarceva étaient plus de deux fois plus nombreux à présenter une diminution de la taille de leur tumeur que les patients sous chimiothérapie (83% vs 36%; p < 0,00001). Les données de l étude OPTIMAL seront transmises à l Agence européenne des médicaments pour étayer la demande d extension en cours d examen - du champ d application de Tarceva à une monothérapie de première ligne du NSCLC avancé avec mutations activant l EGFR. Tarceva est le seul inhibiteur de l EGFR dont l administration soit approuvée en traitement d entretien et de seconde ligne chez des patients présentant un NSCLC avancé ou métastatique, avec ou sans mutations activant l EGFR. L homologation de Tarceva en première ligne permettrait aux médecins de l administrer à titre de traitement personnalisé précoce sur la base de mutations activant l EGFR, tandis que les personnes avec NSCLC sans mutations activant l EGFR continueraient de bénéficier de Tarceva en traitement de deuxième ou troisième ligne. Parmi les personnes souffrant de cancer du poumon, pas moins d une sur trois (30%) en Asie et environ une sur dix (10%) en Occident présentent cette forme distincte de NSCLC. iii,iv A propos de l étude OPTIMAL OPTIMAL (CTONG 0802) est une étude randomisée de phase III évaluant l efficacité de Tarceva en première ligne par rapport à l association gemcitabine/carboplatine chez des patients souffrant de NSCLC avancé avec mutations activant le récepteur du facteur de croissance épidermique (EGFR) n ayant pas encore reçu de chimiothérapie. L étude portant sur 165 patients a été initiée par Tongji University, Shanghai, Chine, avec le soutien de Roche Shanghai. Le critère d évaluation primaire de l étude était la survie sans progression (PFS). Les critères d évaluation secondaires étaient la survie globale, le taux de réponse global, la qualité de vie et l innocuité. La PFS globale a été significativement prolongée sous Tarceva par rapport à la chimiothérapie. Chez les personnes ayant reçu Tarceva, la survie sans progression médiane a été de 13,1 mois, contre 4,6 mois chez celles traitées par chimiothérapie [HR=0,16 (0,10-0,26), p<0,0001]. Au bout d un an, 56% des patients recevant Tarceva étaient en vie sans progression de la maladie, contre seulement 1,7% de ceux du groupe sous chimiothérapie. 3/7

4 Le taux de réponse objective a été significativement amélioré chez les patients sous Tarceva par rapport à ceux sous chimiothérapie (83% vs 36%, p < 0,00001). Les données relatives à la survie globale ne sont pas encore matures. En termes d innocuité, les données confirment le profil favorable de Tarceva, avec une moindre incidence d événements indésirables et d événements indésirables sévères sous Tarceva que sous chimiothérapie. Aucun élément nouveau n a été signalé dans l un des deux groupes. Présentation des données OPTIMAL au 35 e congrès de la European Society for Medical Oncology (ESMO): Chest Tumours I Session, Silver Hall, samedi 9 octobre 11h00 CET: résultats en termes d efficacité de l étude randomisée de phase III OPTIMAL (CTONG 0802) comparant en première ligne l erlotinib à l association carboplatine (CBDCA) plus gemcitabine (GEM) chez des patients chinois présentant un cancer du poumon non à petites cellules (NSCLC) avancé avec mutations activant l EGFR, C. Zhou et coll. A propos de Tarceva Tarceva est un agent non chimiothérapique pris par voie orale une fois par jour et destiné au traitement du NSCLC avancé ou métastatique. Il s avère exercer un puissant effet inhibiteur sur l EGFR (récepteur du facteur de croissance épidermique), protéine impliquée dans la croissance et le développement de cancers. Tarceva est le premier et seul inhibiteur de l EGFR à être homologué en traitement d entretien et traitement de deuxième ligne du NSCLC avancé ou métastatique. Il est également le seul inhibiteur de l EGFR à avoir témoigné d une activité indépendamment de la présence ou non de mutations activant l EGFR. Tant à titre d entretien qu en seconde ligne, Tarceva entraîne un bénéfice attesté et significatif en termes de survie et sur le plan symptomatique, sans les effets indésirables associés à une chimiothérapie. De plus, Tarceva combiné à une chimiothérapie est le premier traitement depuis plus de dix ans à avoir été homologué chez des patients présentant un cancer du pancréas avancé. Depuis son lancement initial, Tarceva a été administré à plus de patients dans le monde et est désormais approuvé dans plus de 100 pays. A propos de l étude MetMAb OAM4558g est une étude mondiale de phase II randomisée, menée en double insu et comparant MetMAb (15 mg/kg i.v. toutes les 3 semaines) plus erlotinib (ME) à une association placebo plus erlotinib (PE) dans le traitement de 2 e /3 e ligne du NSCLC. 128 patients ont été affectés de manière aléatoire au groupe ME (n=64) ou au groupe PE (n=64) du 3/2009 au 3/2010. Les patients éligibles au groupe PE étaient autorisés à passer au groupe ME après progression de la maladie. Les patients ont été stratifiés sur la base des données histologiques, de l indice de performance 4/7

5 ECOG et de la présence ou non d un tabagisme. Un échantillon de tissu archivé était obligatoire pour la détermination de l expression de MET par IHC. Les deux critères d évaluation primaire de l étude étaient la survie sans progression (PFS) chez les patients avec forte expression de MET et dans le collectif global. Les critères d évaluation secondaires étaient la survie globale et l innocuité. Sur la base des données collectées jusqu à la date butoir du 8 juin 2010, la PFS a été significativement prolongée avec MetMAb plus erlotinib chez les patients avec NSCLC exprimant fortement MET, lesquels ont affiché une survie médiane de 12,4 semaines sans progression de leur maladie. Chez les patients avec NSCLC exprimant fortement MET qui ont reçu le placebo plus l erlotinib, la survie médiane sans progression de la maladie a été de 6,4 semaines (HR=0,560 p=0,0547). Inversement, chez les patients avec NSCLC exprimant faiblement MET, la PFS a été moins bonne sous MetMAb plus erlotinib que sous placebo plus erlotinib (HR=2,012, p=0,0354). La survie globale (OS) a été prolongée chez les patients avec NSCLC exprimant fortement MET et traités par MetMAb plus erlotinib, par comparaison avec les mêmes patients recevant un placebo et l erlotinib (OS médiane de 7,7 mois avec MetMAb vs 7,4 mois dans le groupe témoin, HR=0,549, p=0,1113). Inversement, chez les patients avec NSCLC exprimant faiblement MET, l OS a été moins bonne sous MetMAb plus erlotinib que sous placebo plus erlotinib (HR=3,256, p=0,0142). Aucun élément nouveau n a été observé en termes d innocuité. Présentation des données MetMAb au 35 e congrès de la European Society for Medical Oncology (ESMO): Chest Tumours I Session, Silver Hall, samedi 9 octobre 12h00 CET: étude multicentrique de phase II, randomisée, menée en double insu et contrôlée contre placebo, évaluant MetMAb, anticorps anti-récepteur MET, administré en association à l erlotinib à des patients présentant un cancer du poumon non à petites cellules avancé, D. Spiegel et coll. A propos de MetMAb MetMAb est un anticorps monoclonal monovalent unique en son genre (anticorps doté d un bras de liaison) qui se lie spécifiquement au récepteur de surface MET et bloque son activation médiée par le facteur de croissance des hépatocytes (HGF). MET peut être activé par erreur dans de nombreux cancers tels que ceux du poumon, du sein (métastatique), du rein et de l estomac par divers mécanismes, notamment une surexpression et toute une variété de mutations, qui entraînent une croissance tumorale invasive. L activation anormale de MET serait associée à un plus mauvais pronostic pour divers types de tumeurs, y compris le NSCLC, v et se trouverait impliquée dans une résistance à l inhibition de l EGFR lors de NSCLC avec 5/7

6 mutations de l EGFR. vi Le mécanisme prédominant par lequel le récepteur MET est activé réside dans la liaison avec son ligand, le facteur de croissance des hépatocytes (HGF). MetMAb se lie spécifiquement à MET, bloquant l activation médiée par HGF. La double inhibition de MET et de l EGFR pourrait avoir un effet positif sur le NSCLC. A propos de Roche Roche, dont le siège est à Bâle, Suisse, figure parmi les leaders de l industrie pharmaceutique et diagnostique axée sur la recherche. Numéro un mondial de la biotechnologie, Roche produit des médicaments cliniquement différenciés pour le traitement du cancer, des maladies virales et inflammatoires ainsi que des maladies du métabolisme et du système nerveux central. Roche est aussi le leader mondial du diagnostic in vitro ainsi que du diagnostic histologique du cancer, et une entreprise pionnière dans la gestion du diabète. Sa stratégie des soins personnalisés vise à mettre à disposition des médicaments et des outils diagnostiques permettant d améliorer de façon tangible la santé ainsi que la qualité et la durée de vie des patients. En 2009, Roche, qui comptait plus de employés dans le monde, a consacré à la R&D près de 10 milliards de francs. Son chiffre d affaires s est élevé à 49,1 milliards de francs. Genentech, Etats-Unis, appartient entièrement au groupe Roche, qui détient en outre une participation majoritaire au capital de Chugai Pharmaceutical, Japon. Pour de plus amples informations, consulter le site internet du groupe à l adresse Tous les noms de marque mentionnés sont protégés par la loi. Informations complémentaires - Roche en oncologie: Relations avec les médias au niveau du groupe Roche Téléphone: / basel.mediaoffice@roche.com - Alexander Klauser - Annette Walz - Claudia Schmitt 6/7

7 Références i D. Spigel et al.metmab in combination with Tarceva, ESMO 2010, Abstract LBA15 ii C. Zhou et al. Tarceva OPTIMAL, ESMO 2010, Abstract LBA13 iii Rosell R, Moran T, Queralt C, et al. Screening for epidermal growth factor receptor mutations in lung cancer. N Engl J Med 2009;361: iv Mitsudomi T, Kosaka T, Yatabe Y. Biological and clinical implications of EGFR mutations in lung cancer. Int J Clin Oncol 2006;11:190 8 v Lai AZ, Abella JV, Park M. Crosstalk in Met receptor oncogenesis. Trends Cell Biol. 2009;19:54 vi Engleman JA, et al. Mechanisms of Acquired Resistance to Epidermal Growth Factor Receptor Tyrosine Kinase Inhibitors in Non Small Cell Lung Cancer. Clinical Cancer Research 14; 2895, May /7

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