Communiqué de presse. Bâle, le 9 octobre 2010
|
|
- Serge Timothée Lambert
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Communiqué de presse Bâle, le 9 octobre 2010 MetMAb, nouvelle molécule en cours d étude, prolonge la période pendant laquelle les personnes atteintes de cancer du poumon vivent sans que leur maladie ne s aggrave De nouvelles et importantes données relatives au cancer du poumon, présentées au congrès ESMO, apportent de nouveaux éléments corroborant la haute efficacité de Tarceva lors de cancer bronchique avec mutations génétiques MetMAb plus Tarceva chez des patients avec cancer du poumon: des données préliminaires ont montré, chez un groupe prédéterminé de patients, que leur survie sans progression de la maladie était presque deux fois plus longue que celle de patients ayant reçu un placebo plus Tarceva. i Tarceva chez des personnes présentant une forme distincte de cancer du poumon: Tarceva a aidé ces personnes à vivre presque trois fois plus longtemps sans progression de la maladie que des patients ayant reçu une chimiothérapie classique. ii Roche (SIX: RO, ROG; OTCQX: RHHBY) a communiqué aujourd hui de nouvelles données présentées au 35 e congrès de la European Society for Medical Oncology (ESMO), montrant des progrès significatifs chez les personnes souffrant de cancer du poumon. "Nous sommes heureux de pouvoir transmettre ici, au congrès ESMO, de nouveaux éléments concernant Tarceva et MetMAb dans le traitement du cancer du poumon, a déclaré Richard Scheller, Ph.D., responsable de Genentech Research and Early Development. Le cancer du poumon est un domaine dans lequel les besoins médicaux sont loin d être satisfaits, et les nouvelles données que nous avons recueillies avec MetMAb illustrent bien de quelle manière une démarche personnalisée, ciblée, peut améliorer le résultat thérapeutique face à cette maladie difficile à traiter." MetMAb combiné à Tarceva lors de NSCLC Les résultats préliminaires d une étude de phase II montrent qu un traitement combinant MetMAb, anticorps monovalent sans équivalent, et Tarceva (erlotinib) a pratiquement doublé la durée pendant laquelle F. Hoffmann-La Roche Ltd 4070 Basel Switzerland Group Communications Roche Group Media Relations Tel Fax /7
2 des patients avec cancer bronchique non à petites cellules (NSCLC) exprimant fortement le récepteur MET ont vécu sans progression de la maladie (progression-free survival ou PFS), par rapport à des patients ayant reçu un placebo et Tarceva (HR=0,560, p=0,0547). La PFS médiane a été améliorée, passant de 6,4 semaines à 12,4 semaines. L étude multicentrique de phase II, randomisée, menée en double insu et contrôlée contre placebo, présentée au congrès 2010 de la European Society for Medical Oncology (ESMO), a évalué l activité et l innocuité de MetMAb plus Tarceva par rapport à celles d un placebo plus Tarceva chez des patients qui avaient déjà été traités pour NSCLC avancé. Les patients ont été stratifiés en fonction de l expression du récepteur MET déterminée dans leur échantillon tumoral à l aide d une méthode d immunohistochimie (IHC) développée en collaboration avec Ventana, membre du groupe Roche, et ont été classés en patients à forte ou faible expression de MET, conformément à une échelle de calcul prédéfinie. Sur la base des données collectées jusqu à la date butoir du 8 juin 2010, l adjonction de MetMAb à Tarceva chez les patients dont la tumeur exprimait des taux élevés de MET, déterminés par IHC (50% ou plus des cellules tumorales affichant une coloration IHC d intensité 2+ ou 3+), a entraîné une amélioration de la survie globale (OS) par rapport à l association placebo plus Tarceva (HR=0,549 p=0,1113). La survie globale médiane a été améliorée, passant de 7,4 mois à 7,7 mois. Le traitement par MetMAb a été généralement bien toléré et aucun élément nouveau n a été signalé en termes d innocuité. La population de patients affichant des taux élevés de MET représentait 54% des patients recrutés dans l étude. L analyse complète de l étude de phase II sera présentée prochainement dans le cadre d un congrès médical. Tarceva en première ligne triple presque la PFS lors de NSCLC avec mutations activant l EGFR Les résultats de l étude de phase III OPTIMAL montrent que Tarceva (erlotinib) administré en première ligne a accru de plus d un an la période pendant laquelle des personnes présentant une forme distincte de cancer du poumon ont vécu sans progression de la maladie (progression-free survival = PFS), période qui s est ainsi avérée trois fois plus longue que celle des patients ayant uniquement reçu une chimiothérapie classique (médiane 13,1 vs 4,6 mois, HR=0,16, p<0,0001). Au bout d un an, plus de la moitié (56%) des patients traités par Tarceva pour cancer du poumon non à petites cellules (NSCLC) avancé avec mutations activant le récepteur du facteur de croissance épidermique 2/7
3 (EGFR) ne présentaient aucune progression de la maladie, contre 1,7% des patients traités par chimiothérapie. De plus, les patients ayant reçu Tarceva étaient plus de deux fois plus nombreux à présenter une diminution de la taille de leur tumeur que les patients sous chimiothérapie (83% vs 36%; p < 0,00001). Les données de l étude OPTIMAL seront transmises à l Agence européenne des médicaments pour étayer la demande d extension en cours d examen - du champ d application de Tarceva à une monothérapie de première ligne du NSCLC avancé avec mutations activant l EGFR. Tarceva est le seul inhibiteur de l EGFR dont l administration soit approuvée en traitement d entretien et de seconde ligne chez des patients présentant un NSCLC avancé ou métastatique, avec ou sans mutations activant l EGFR. L homologation de Tarceva en première ligne permettrait aux médecins de l administrer à titre de traitement personnalisé précoce sur la base de mutations activant l EGFR, tandis que les personnes avec NSCLC sans mutations activant l EGFR continueraient de bénéficier de Tarceva en traitement de deuxième ou troisième ligne. Parmi les personnes souffrant de cancer du poumon, pas moins d une sur trois (30%) en Asie et environ une sur dix (10%) en Occident présentent cette forme distincte de NSCLC. iii,iv A propos de l étude OPTIMAL OPTIMAL (CTONG 0802) est une étude randomisée de phase III évaluant l efficacité de Tarceva en première ligne par rapport à l association gemcitabine/carboplatine chez des patients souffrant de NSCLC avancé avec mutations activant le récepteur du facteur de croissance épidermique (EGFR) n ayant pas encore reçu de chimiothérapie. L étude portant sur 165 patients a été initiée par Tongji University, Shanghai, Chine, avec le soutien de Roche Shanghai. Le critère d évaluation primaire de l étude était la survie sans progression (PFS). Les critères d évaluation secondaires étaient la survie globale, le taux de réponse global, la qualité de vie et l innocuité. La PFS globale a été significativement prolongée sous Tarceva par rapport à la chimiothérapie. Chez les personnes ayant reçu Tarceva, la survie sans progression médiane a été de 13,1 mois, contre 4,6 mois chez celles traitées par chimiothérapie [HR=0,16 (0,10-0,26), p<0,0001]. Au bout d un an, 56% des patients recevant Tarceva étaient en vie sans progression de la maladie, contre seulement 1,7% de ceux du groupe sous chimiothérapie. 3/7
4 Le taux de réponse objective a été significativement amélioré chez les patients sous Tarceva par rapport à ceux sous chimiothérapie (83% vs 36%, p < 0,00001). Les données relatives à la survie globale ne sont pas encore matures. En termes d innocuité, les données confirment le profil favorable de Tarceva, avec une moindre incidence d événements indésirables et d événements indésirables sévères sous Tarceva que sous chimiothérapie. Aucun élément nouveau n a été signalé dans l un des deux groupes. Présentation des données OPTIMAL au 35 e congrès de la European Society for Medical Oncology (ESMO): Chest Tumours I Session, Silver Hall, samedi 9 octobre 11h00 CET: résultats en termes d efficacité de l étude randomisée de phase III OPTIMAL (CTONG 0802) comparant en première ligne l erlotinib à l association carboplatine (CBDCA) plus gemcitabine (GEM) chez des patients chinois présentant un cancer du poumon non à petites cellules (NSCLC) avancé avec mutations activant l EGFR, C. Zhou et coll. A propos de Tarceva Tarceva est un agent non chimiothérapique pris par voie orale une fois par jour et destiné au traitement du NSCLC avancé ou métastatique. Il s avère exercer un puissant effet inhibiteur sur l EGFR (récepteur du facteur de croissance épidermique), protéine impliquée dans la croissance et le développement de cancers. Tarceva est le premier et seul inhibiteur de l EGFR à être homologué en traitement d entretien et traitement de deuxième ligne du NSCLC avancé ou métastatique. Il est également le seul inhibiteur de l EGFR à avoir témoigné d une activité indépendamment de la présence ou non de mutations activant l EGFR. Tant à titre d entretien qu en seconde ligne, Tarceva entraîne un bénéfice attesté et significatif en termes de survie et sur le plan symptomatique, sans les effets indésirables associés à une chimiothérapie. De plus, Tarceva combiné à une chimiothérapie est le premier traitement depuis plus de dix ans à avoir été homologué chez des patients présentant un cancer du pancréas avancé. Depuis son lancement initial, Tarceva a été administré à plus de patients dans le monde et est désormais approuvé dans plus de 100 pays. A propos de l étude MetMAb OAM4558g est une étude mondiale de phase II randomisée, menée en double insu et comparant MetMAb (15 mg/kg i.v. toutes les 3 semaines) plus erlotinib (ME) à une association placebo plus erlotinib (PE) dans le traitement de 2 e /3 e ligne du NSCLC. 128 patients ont été affectés de manière aléatoire au groupe ME (n=64) ou au groupe PE (n=64) du 3/2009 au 3/2010. Les patients éligibles au groupe PE étaient autorisés à passer au groupe ME après progression de la maladie. Les patients ont été stratifiés sur la base des données histologiques, de l indice de performance 4/7
5 ECOG et de la présence ou non d un tabagisme. Un échantillon de tissu archivé était obligatoire pour la détermination de l expression de MET par IHC. Les deux critères d évaluation primaire de l étude étaient la survie sans progression (PFS) chez les patients avec forte expression de MET et dans le collectif global. Les critères d évaluation secondaires étaient la survie globale et l innocuité. Sur la base des données collectées jusqu à la date butoir du 8 juin 2010, la PFS a été significativement prolongée avec MetMAb plus erlotinib chez les patients avec NSCLC exprimant fortement MET, lesquels ont affiché une survie médiane de 12,4 semaines sans progression de leur maladie. Chez les patients avec NSCLC exprimant fortement MET qui ont reçu le placebo plus l erlotinib, la survie médiane sans progression de la maladie a été de 6,4 semaines (HR=0,560 p=0,0547). Inversement, chez les patients avec NSCLC exprimant faiblement MET, la PFS a été moins bonne sous MetMAb plus erlotinib que sous placebo plus erlotinib (HR=2,012, p=0,0354). La survie globale (OS) a été prolongée chez les patients avec NSCLC exprimant fortement MET et traités par MetMAb plus erlotinib, par comparaison avec les mêmes patients recevant un placebo et l erlotinib (OS médiane de 7,7 mois avec MetMAb vs 7,4 mois dans le groupe témoin, HR=0,549, p=0,1113). Inversement, chez les patients avec NSCLC exprimant faiblement MET, l OS a été moins bonne sous MetMAb plus erlotinib que sous placebo plus erlotinib (HR=3,256, p=0,0142). Aucun élément nouveau n a été observé en termes d innocuité. Présentation des données MetMAb au 35 e congrès de la European Society for Medical Oncology (ESMO): Chest Tumours I Session, Silver Hall, samedi 9 octobre 12h00 CET: étude multicentrique de phase II, randomisée, menée en double insu et contrôlée contre placebo, évaluant MetMAb, anticorps anti-récepteur MET, administré en association à l erlotinib à des patients présentant un cancer du poumon non à petites cellules avancé, D. Spiegel et coll. A propos de MetMAb MetMAb est un anticorps monoclonal monovalent unique en son genre (anticorps doté d un bras de liaison) qui se lie spécifiquement au récepteur de surface MET et bloque son activation médiée par le facteur de croissance des hépatocytes (HGF). MET peut être activé par erreur dans de nombreux cancers tels que ceux du poumon, du sein (métastatique), du rein et de l estomac par divers mécanismes, notamment une surexpression et toute une variété de mutations, qui entraînent une croissance tumorale invasive. L activation anormale de MET serait associée à un plus mauvais pronostic pour divers types de tumeurs, y compris le NSCLC, v et se trouverait impliquée dans une résistance à l inhibition de l EGFR lors de NSCLC avec 5/7
6 mutations de l EGFR. vi Le mécanisme prédominant par lequel le récepteur MET est activé réside dans la liaison avec son ligand, le facteur de croissance des hépatocytes (HGF). MetMAb se lie spécifiquement à MET, bloquant l activation médiée par HGF. La double inhibition de MET et de l EGFR pourrait avoir un effet positif sur le NSCLC. A propos de Roche Roche, dont le siège est à Bâle, Suisse, figure parmi les leaders de l industrie pharmaceutique et diagnostique axée sur la recherche. Numéro un mondial de la biotechnologie, Roche produit des médicaments cliniquement différenciés pour le traitement du cancer, des maladies virales et inflammatoires ainsi que des maladies du métabolisme et du système nerveux central. Roche est aussi le leader mondial du diagnostic in vitro ainsi que du diagnostic histologique du cancer, et une entreprise pionnière dans la gestion du diabète. Sa stratégie des soins personnalisés vise à mettre à disposition des médicaments et des outils diagnostiques permettant d améliorer de façon tangible la santé ainsi que la qualité et la durée de vie des patients. En 2009, Roche, qui comptait plus de employés dans le monde, a consacré à la R&D près de 10 milliards de francs. Son chiffre d affaires s est élevé à 49,1 milliards de francs. Genentech, Etats-Unis, appartient entièrement au groupe Roche, qui détient en outre une participation majoritaire au capital de Chugai Pharmaceutical, Japon. Pour de plus amples informations, consulter le site internet du groupe à l adresse Tous les noms de marque mentionnés sont protégés par la loi. Informations complémentaires - Roche en oncologie: Relations avec les médias au niveau du groupe Roche Téléphone: / basel.mediaoffice@roche.com - Alexander Klauser - Annette Walz - Claudia Schmitt 6/7
7 Références i D. Spigel et al.metmab in combination with Tarceva, ESMO 2010, Abstract LBA15 ii C. Zhou et al. Tarceva OPTIMAL, ESMO 2010, Abstract LBA13 iii Rosell R, Moran T, Queralt C, et al. Screening for epidermal growth factor receptor mutations in lung cancer. N Engl J Med 2009;361: iv Mitsudomi T, Kosaka T, Yatabe Y. Biological and clinical implications of EGFR mutations in lung cancer. Int J Clin Oncol 2006;11:190 8 v Lai AZ, Abella JV, Park M. Crosstalk in Met receptor oncogenesis. Trends Cell Biol. 2009;19:54 vi Engleman JA, et al. Mechanisms of Acquired Resistance to Epidermal Growth Factor Receptor Tyrosine Kinase Inhibitors in Non Small Cell Lung Cancer. Clinical Cancer Research 14; 2895, May /7
Nouvelle option thérapeutique pour les enfants présentant cette forme rare et sévère d arthrite
Communiqué de presse Bâle, 18 avril 2011 La FDA homologue Actemra dans le traitement de l arthrite juvénile idiopathique systémique (AJIS) Nouvelle option thérapeutique pour les enfants présentant cette
Plus en détailValidation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon
Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Marqueur prédictif - Définition Un marqueur prédictif est un marqueur qui prédit le bénéfice
Plus en détailCancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes
Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données
Plus en détailDr Bertrand Michy Département de Pneumologie CHU de Nancy 25 octobre 2013
Dr Bertrand Michy Département de Pneumologie CHU de Nancy 25 octobre 2013 Conflits d intérêts Aucun Introduction Constat : CB = Moins de motivation des pneumologues à obtenir le sevrage tabagique (versus
Plus en détailNAVELBINE voie orale
DENOMINATION DU MEDICAMENT & FORME PHARMACEUTIQUE NAVELBINE voie orale CARACTERISTIQUES Dénomination commune : vinorelbine Composition qualitative et quantitative : Statut : A.M.M. A.T.U. Classe ATC :
Plus en détailCancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques. Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006
Cancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006 Cancer du rein à cellules claires métastatique (CRM) Plus de 30 % des CR deviendront métastatiques
Plus en détailRapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa
Rapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa Au titre de son initiative de transparence, le CEPMB publie les résultats des examens des prix des nouveaux médicaments brevetés effectués par les membres
Plus en détailALK et cancers broncho-pulmonaires. Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse
ALK et cancers broncho-pulmonaires Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse Toulouse, le 19 Février 2013 Adénocarcinomes : Lung Cancer Mutation Consortium Identification
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 4 novembre 2009
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 4 novembre 2009 IRESSA 250 mg, comprimé pelliculé Boîte de 30 (CIP 395 950-7) ASTRAZENECA géfitinib Liste I Médicament soumis à prescription hospitalière. Prescription
Plus en détailOBJECTIFS 2013-02- 14 LE TRAITEMENT DU CANCER DU POUMON DE STADE AVANCÉ: " OÙ EN SOMMES-NOUS " EN 2013?
OBJECTIFS LE TRAITEMENT DU CANCER DU POUMON DE STADE AVANCÉ: " OÙ EN SOMMES-NOUS " EN 2013? Connaître les différentes options de traitement disponibles pour le cancer du poumon de stade avancé Connaître
Plus en détailAnnick.robinson@merck.com dquirion@national.ca 514 428-2890 514 843-2302
Communiqué de presse Relations avec les médias : Annick Robinson Dominique Quirion Merck NATIONAL Annick.robinson@merck.com dquirion@national.ca 514 428-2890 514 843-2302 Relations avec les investisseurs
Plus en détailImmunothérapie des cancers bronchiques
Immunothérapie des cancers bronchiques Alexis Cortot, MD, PhD Service de Pneumologie et Oncologie Thoracique Hôpital Calmette, CHRU de Lille UMR8161, Institut de Biologie de Lille 11 ème Journée du CPHG
Plus en détailM Gamaz K Bouzid CPMC- HDJ Oncologie Médicale
M Gamaz K Bouzid CPMC- HDJ Oncologie Médicale Plan Deux situations: Adjuvante Métastatique Pas de scoop Des nouveautés. Des espoirs, lumières. En situation adjuvante Abstract 7513 Adjuvant erlotinib (E)
Plus en détailObjectifs. La prise en charge du cancer du poumon métastatique: vers une approche personnalisée. Dre Lise Tremblay
2 e journée scientifique en oncologie thoracique de l IUCPQ Vers un nouveau visage La prise en charge du cancer du poumon métastatique: vers une approche personnalisée Dre Lise Tremblay Vendredi 14 novembre
Plus en détailPemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée. Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var
Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var SFPO Octobre 2009 EPIDEMIOLOGIE Incidence : 1.35 M par an dans le monde (12,4%) 28 000
Plus en détailLe retour de l immunothérapie dans le traitement du cancer bronchique.
Le retour de l immunothérapie dans le traitement du cancer bronchique. Dr Bertrand MENNECIER, Charlotte LEDUC, Benjamin RENAUD-PICARD, Clément KORENBAUM CHRU de Strasbourg FOM Lille 21/03/2013 Disclosure
Plus en détailINTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper
INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)
Plus en détailActualités s cancérologiques : pneumologie
Actualités s cancérologiques : pneumologie PLAN Incidence / facteurs de risque Anatomie Symptômes Types de tumeurs Diagnostic / extension Classification Traitement Pronostic Pneumologie : incidence Belgique
Plus en détailThérapies ciblées: quelle place dans le traitement du cancer bronchique non à petites cellules? Dr AP Meert
Thérapies ciblées: quelle place dans le traitement du cancer bronchique non à petites cellules? Dr AP Meert Standards thérapeutiques En première ligne CBNPC Local Locorégional Métastatique Chirurgie +/-
Plus en détailCancer Bronchique «Sujet Agé» Etat de la litterature
Cancer Bronchique «Sujet Agé» Etat de la litterature Situation en 2011 M CHAKRA Secteur Oncologie Thoracique CHU Arnaud de Villeneuve, Montpelier Qu est ce qu un sujet âgé? 70 ans est habituellement considéré
Plus en détailLes renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer
Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic
Plus en détailCOMPARAISON DE QUATRE PROTOCOLES DE CHIMIOTHERAPIE POUR DES CANCERS DU POUMON NON A PETITES CELLULES (CBP NAPC) AVANCES
COMPARAISON DE QUATRE PROTOCOLES DE CHIMIOTHERAPIE POUR DES CANCERS DU POUMON NON A PETITES CELLULES (CBP NAPC) AVANCES Approximativement, un tiers de tous les décès dus au cancer sont en relation avec
Plus en détailARD12166 Cabazitaxel Compared to Topotecan for the Treatment of Small Cell Lung Cancer
DESCRIPTIF DES ESSAIS 2012 Par ordre alphabétique AB Science Etude de phase I/II multicentrique, randomisée, ouverte avec 2 groupes parallèles pour évaluer l efficacité et la tolérance du traitement par
Plus en détailEssais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009
17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N
Plus en détailESMO 14. L oncogériatrie d un coup d éventail! Dr Elisabeth Carola UCOG Picardie
ESMO 14 L oncogériatrie d un coup d éventail! Dr Elisabeth Carola UCOG Picardie Cancer du SEIN Taxotere hebdo pas mieux et plus toxique Perrone F et al Ann Oncol 2014 Phase III : CMF vs Taxotere hebdo
Plus en détailqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwerty uiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasd fghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzx cvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmq
qwertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwerty uiopasdfghjklzxcvbnmqwertyuiopasd fghjklzxcvbnmqwertyuiopasdfghjklzx cvbnmqwertyuiopasdfghjklzxcvbnmq Résumé ASCO 2013 POUR LA SFCP wertyuiopasdfghjklzxcvbnmqwertyui 17/09/2013
Plus en détailAnormalies moléculaires et ciblage thérapeutique des cancers broncho-pulmonaires non à petites cellules
J Fran Viet Pneu 2015; 17(6): 1-53 2015 JFVP. All rights reserved. www.afvp.info CrossRef: http://doi.dox:10.12699 JOURNAL FRANCO-VIETNAMIEN DE PNEUMOLOGIE Journal of French-Vietnamese Association of Pulmonology
Plus en détailCHIMIOTHERAPIE DES CANCERS DU POUMON DES SUJETS AGES
CHIMIOTHERAPIE DES CANCERS DU POUMON DES SUJETS AGES 1 EPIDEMIOLOGIE 28 000 nouveaux cas/an 4ème rang des cancers Sex ratio 6,1 Mortalité > 27 000/an Âge médian H 67 ans, F 68 ans 2 1 Taux annuel ajusté
Plus en détailLes tests de génétique moléculaire pour l accès aux thérapies ciblées en France en 2011
Mesure 21 SOINS ET VIE DES MALADES Les tests de génétique moléculaire pour l accès aux thérapies ciblées en France en 2011 COLLECTION Rapports & synthèses POUR UN ACCÈS AUX THÉRAPIES CIBLÉES : - LES PLATEFORMES
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailEXERCICE N 10 : Modifier le protocole d'un essai pour mieux réussir ; mais réussir quoi?
EXERCICE N 10 : Modifier le protocole d'un essai pour mieux réussir ; mais réussir quoi? Le bévacizumab (Avastin ) est un anticorps monoclonal qui a fait l objet d une autorisation supplémentaire pour
Plus en détailAnticorps et tumeurs solides Cibles établies et pistes prometteuses
MEDECINE/SCIENCES 2009 ; 25 : 1090-8 > Grâce aux progrès biotechnologiques récents, les anticorps monoclonaux constituent une nouvelle classe de médicaments pour le traitement des tumeurs solides. Afin
Plus en détailTransgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010
Parc d Innovation d Illkirch, France, le 10 mars 2010 Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010 Transgene (Euronext
Plus en détailEvaluation de critères res de substitution de la survie globale dans les cancers bronchiques localement avancés
Evaluation de critères res de substitution de la survie globale dans les cancers bronchiques localement avancés Evaluations de la survie sans progression et du contrôle locoregional comme critère de substitution
Plus en détailDévelopper l accès précoce pour tous les patients, aux thérapie ciblées en France. Pr. Fabien Calvo Institut National du Cancer
Développer l accès précoce pour tous les patients, aux thérapie ciblées en France Pr. Fabien Calvo Institut National du Cancer Plan cancer 2009-2013 Organisation des tests de génétique en France 2 programmes
Plus en détailLa nouvelle classification TNM en pratique
La nouvelle classification TNM en pratique Thierry Berghmans Département des Soins Intensifs et Oncologie Thoracique Institut Jules Bordet Bruxelles, Belgique Bases historiques 1946 : Denoix invente le
Plus en détailGUSTAVE ROUSSY À L ASCO
GUSTAVE ROUSSY À L COMMUNIQUÉ DE PRESSE 29 MAI 02 JUIN THÉRAPIES CIBLÉES www.gustaveroussy.fr/asco Communiqué de presse Gustave Roussy au 51 e congrès de l American Society of Clinical Oncology THÉRAPIES
Plus en détailLes différents types de cancers et leurs stades. Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07
Les différents types de cancers et leurs stades Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07 CARCINOGENESE multiple steps, accumulation d altd altérations continuum lésionnel
Plus en détailLe cancer du poumon 2/18/2015. Radio-oncologue CSSS Gatineau. Stéphanie Ferland B.pharm, MD, MSc, FRCPC
Objectifs Le cancer du poumon Stéphanie Ferland B.pharm, MD, MSc, FRCPC Radio-oncologue CSSS Gatineau Décrire le rôle de la thérapie générale en ce qui concerne les traitements néoadjuvants, adjuvants
Plus en détailThérapies ciblées et immunomodulation dans les tumeurs solides Targeted therapies and immunomodulation in solid tumours
Réanimation 15 (2006) 297 302 Mise au point Thérapies ciblées et immunomodulation dans les tumeurs solides Targeted therapies and immunomodulation in solid tumours J. Fayette a,b, *, J.-Y. Blay a,b a Service
Plus en détailTraitement de consolidation dans les cancers de l ovaire
Traitement de consolidation dans les cancers de l ovaire J.-F. Geay, I. Ray-Coquard, H. Curé et É. Pujade-Lauraine Pourquoi un traitement de consolidation? Le standard de traitement de première ligne d
Plus en détailNouveaux antiangiogéniques : état de la recherche
Cancéro dig. Vol. 2 N 3-2010 - 199-204 199 10.4267/2042/34592 DOSSIER THÉMATIQUE : ANTIANGIOGÉNIQUES ET CANCER COLORECTAL MÉTASTATIQUE Nouveaux antiangiogéniques : état de la recherche Update on novel
Plus en détailPierre OLIVIER - Médecine Nucléaire
Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence
Plus en détailUne avancée majeure dans le domaine de l implantologie. Roxolid SLActive Moins invasif pour de nouveaux standards
Une avancée majeure dans le domaine de l implantologie. Roxolid SLActive Moins invasif pour de nouveaux standards 1 Excellentes performances scientifiquement démontrées. Roxolid est un matériau unique
Plus en détailVOLUMES-CIBLES Cancer Bronchique Non-à-Petites Cellules
VOLUMES-CIBLES Cancer Bronchique Non-à-Petites Cellules Philippe GIRAUD, Nicolas POUREL, Vincent SERVOIS Romainville, le 29 septembre 2011 1 Radiothérapie et cancer du poumon La dosimétrie des cancers
Plus en détailAUTRES MUTATIONS (NON EGFR ET NON ALK) CHEZ LES NON EPIDERMOIDES. Gaëlle ROUSSEAU BUSSAC CHI Créteil
AUTRES MUTATIONS (NON EGFR ET NON ALK) CHEZ LES NON EPIDERMOIDES Gaëlle ROUSSEAU BUSSAC CHI Créteil Fréquence des mutations Étude Biomarqueurs France Sur 10 000 prélèvements Mutations Fréquence Aucune
Plus en détailProgramme AcSé. Accès Sécurisé aux Innovations Thérapeutiques Deux études pilotes : AcSé - crizotinib et AcSé - vémurafenib
Programme AcSé Accès Sécurisé aux Innovations Thérapeutiques Deux études pilotes : AcSé - crizotinib et AcSé - vémurafenib G. Vassal, J.Y. Blay, C. Cailliot, N. Hoog-Labouret, F. Denjean, M. Jimenez, A.L.
Plus en détailL axe 5 du Cancéropole Nord Ouest
L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société
Plus en détailCANCER DU POUMON 2006. CICM Charles-LeMoyne 2006.03.15
CANCER DU POUMON 2006 Benoît t Samson md CICM Charles-LeMoyne 2006.03.15 CANCER du POUMON 2006 Données épidémiologiques Aspects cliniques Approches thérapeutiques Cancer du poumon 2006 Données épidémiologiques
Plus en détailLa vie écrit les questions Nous cherchons les réponses
La vie écrit les questions Nous cherchons les réponses La vie écrit les questions. 1 Qu est-ce qui m aidera? L espoir est-il permis? Quand est-ce que les autres s en apercevront? C est long six mois? Faut-il
Plus en détailPeut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant
Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant Institut Cancérologie de l Ouest CHIRURGIE Dr. Isabelle Jaffré CAS CLINIQUE 1 36 ans 90B sans CI radiothérapie
Plus en détailÉpidémiologie des maladies interstitielles diffuses
Épidémiologie des maladies interstitielles diffuses 3 à 5/100 000 habitants Augmente avec l age 175 /100 000 >70 ans Notre file active toutes les maladies interstitielles confondues plus de 120 patients
Plus en détailPrésenté par Mélanie Dessureault, inf. clin. et Caroline Fortin, AIC radio-oncologie
Présenté par Mélanie Dessureault, inf. clin. et Caroline Fortin, AIC radio-oncologie Quiz de la radio-oncologie Rôle de l infirmière en radio-oncologie Mise en contexte (création des outils) Premier outils:
Plus en détailChimiothérapie des cancers bronchiques non à petites cellules. Dr Aloulou Samir Médenine le 13 Juin 2015
Chimiothérapie des cancers bronchiques non à petites cellules Dr Aloulou Samir Médenine le 13 Juin 2015 Cas clinique Mr A.S agé de 55 ans grand tabagique consulte aux urgences pour céphalées évoluant depuis
Plus en détailCas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier
Cas clinique 2 Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique Patient de 60 ans, ATCD: HTA, IDM en 2007, hypercholestérolémie Juin 2008: Toux, dyspnée (sous 02) et anorexie progressive Bilan
Plus en détailRad4Med.be, premier acteur global dans le nucléaire médical
Bruxelles, 15 octobre 2013 Communiqué de presse Rad4Med.be, premier acteur global dans le nucléaire médical La radioactivité au service de la médecine, un savoir-faire belge qui s exporte dans le monde
Plus en détailMétastase unique d un NPC: Une question singulière? Jean Louis Pujol - Xavier Quantin Mohammad Chakra Fabrice Barlési
Métastase unique d un NPC: Une question singulière? Jean Louis Pujol - Xavier Quantin Mohammad Chakra Fabrice Barlési Deux grandes questions Cette modalité de présentation, requiert elle une prise en charge
Plus en détailLES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS
LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS Pr. Alessandra Bura-Rivière, Service de Médecine Vasculaire Hôpital Rangueil, 1 avenue Jean Poulhès, 31059 Toulouse cedex 9 INTRODUCTION Depuis plus de cinquante ans, les héparines
Plus en détailCoordinateur scientifique: Prof. Univ. Dr. Emil PLEŞEA. Doctorant: Camelia MICU (DEMETRIAN)
UNIVERSITÉ DE MÉDECINE ET PHARMACIE DE CRAIOVA FACULTÉ DE MÉDECINE CONTRIBUTIONS A L'ÉTUDE CLINIQUE ET MORPHOLOGIQUE DES CANCERS DU POUMON Coordinateur scientifique: Prof. Univ. Dr. Emil PLEŞEA Doctorant:
Plus en détailEssais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire
Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire Sylvie CHABAUD Direction de la Recherche Clinique et de l Innovation : Centre Léon Bérard - Lyon Unité de Biostatistique
Plus en détailLes grandes voies de transmission du signal en cancérologie : où en sommes-nous?
Les grandes voies de transmission du signal en cancérologie : où en sommes-nous? Dynamique des réseaux de signalisation et réponse aux thérapies ciblées Pascal GAUDUCHON Unité "Biologie et Thérapies Innovantes
Plus en détailTraitement des hépatites virales B et C
Traitement des hépatites virales B et C GFMER Yaoundé 26 Novembre 2007 Dr José M Bengoa foie cirrhotique foie normal Vitesse de développement de la fibrose fibrose VHD VHB VHC années Indications au traitement
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailCANCERS BRONCHO-PULMONAIRES
OMEDIT Nord-Pas-De-Calais Affaire suivie par : Monique.YILMAZ@ars.sante.fr OMEDIT Aquitaine Affaire suivie par : antoine.brouillaud@omedit-aquitaine.fr morgane.guillaudin@omedit-aquitaine.fr myriam.roudaut@omedit-aquitaine.fr
Plus en détailGEMCITABINE. 38 mg/ml ; 1 g/ml, 200 mg et 1 000 mg poudre ou lyophilisat Publication Juillet 2010
I. GEMZAR et génériques- gemcitabine Nom commercial GEMZAR Dénomination commune internationale Laboratoire exploitant ou titulaire de l AMM GEMCITABINE LILLY FRANCE Génériques : ACTAVIS GROUP, EBEWE PHARMA
Plus en détailStatistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon
Statistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon Bernard Fortin Mars 2014 Source: Comité consultatif de la Société canadienne du cancer : Statistiques canadiennes sur le cancer 2013. Toronto
Plus en détailPrix et qualité des médicaments et de la prescription : les médicaments génériques et biosimilaires et la prescription en DCI
Prix et qualité des médicaments et de la prescription : les médicaments génériques et biosimilaires et la prescription en DCI Paul M. Tulkens, Dr Med., Sp. Biol. Clin. Cellular and Molecular Pharmacology
Plus en détailQuel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?
Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe
Plus en détailDonneurs vivants Risques à long terme. Cours de transplantation Univ. Montréal et McGill 5 avril 2013
Donneurs vivants Risques à long terme Michel R. Pâquet MD, PhD Unité de Transplantation Le Centre Hospitalier de l Université de Montréal Hôpital Notre-Dame Montréal Hôtel-Dieu Hôpital Notre-Dame Cours
Plus en détailLD-P PRINCIPE ECHANTILLON. Coffret référence 442660. REVISION ANNUELLE Date. Date APPLICATION
Systèmes SYNCHRON CX Mode d emploi Copyright 2007 Beckman Coulter, Inc. Lactate déshydrogénase Coffret référence 442660 Pour utilisation diagnostique in vitro REVISION ANNUELLE Revu par : Date Revu par
Plus en détailMédicaments du futur : Tendances et enjeux. Nicolas PY, Debiopharm International forumofac.14 26/09/2014
Médicaments du futur : Tendances et enjeux Nicolas PY, Debiopharm International forumofac.14 26/09/2014 Quelques mots sur Debiopharm Groupe fondé en 1979 Siège à Lausanne 350 collaborateurs Financièrement
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012
ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles
Plus en détailLa Maladie Thrombo-Embolique Veineuse (MTEV) et sa prise en charge médicamenteuse
La Société de Pharmacie de Lyon, le 17 novembre 2011 Le risque thrombo-embolique : actualités thérapeutiques et sa prise en charge La Maladie Thrombo-Embolique Veineuse (MTEV) et sa prise en charge médicamenteuse
Plus en détailCommuniqué. Abbott présente à Santé Canada une demande d homologation d HUMIRA pour le traitement du psoriasis POUR PUBLICATION IMMÉDIATE
POUR PUBLICATION IMMÉDIATE Communiqué Abbott présente à Santé Canada une demande d homologation d HUMIRA pour le traitement du psoriasis Media: Sylvie Légaré (514) 832-7268 Abbott Gabrielle Collu 514)
Plus en détailCancer colo-rectal : situation belge
Cancer colo-rectal : situation belge J.-L. Van Laethem, MD, PhD Unité d'oncologie digestive Département médico-chirurgical de Gastro-entérologie Pas de conflit d intérêt déclaré Cancer du colon 7000 nouveaux
Plus en détailPRINCIPE ET FONCTIONNEMENT DES DÉFIBRILLATEURS AUTOMATIQUES IMPLANTABLES (DAI)
PRINCIPE ET FONCTIONNEMENT DES DÉFIBRILLATEURS AUTOMATIQUES IMPLANTABLES (DAI) 2 Défibrillateur Automatique Implantable SOMMAIRE Introduction Indications Principe du DAI Historique Composants et structure
Plus en détailTHERANOSTIC. Pr. C. BOHUON Conférence CORATA Namur 08 juin 2011
THERANOSTIC Pr. C. BOHUON Conférence CORATA Namur 08 juin 2011 THERANOSTIC Therapy + Diagnostic Nouveau mot reliant le choix d un médicament à la détection d une anomalie génétique (mutation ). Ex.: Cancers
Plus en détailLe dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!
Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique
Plus en détailANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER
ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER Dr Michael Hummelsberger, Pr Jean-Gabriel Fuzibet, Service de Médecine Interne, Hôpital l Archet, CHU Nice 1. ANEMIE L étiologie de l anémie
Plus en détailClassi cation TNM du cancer bronchique
Revue des Maladies Respiratoires Actualités (2014) 6, 388-394 Disponible en ligne sur www.sciencedirect.com Classi cation TNM du cancer bronchique TNM classi cation for the lung cancer J.-P. Sculier Service
Plus en détailL identification d altérations. Bonnes pratiques pour la recherche à visée théranostique de mutations somatiques dans les tumeurs solides
Mesure 21 SOINS ET VIE DES MALADES Bonnes pratiques pour la recherche à visée théranostique de mutations somatiques dans les tumeurs solides AOÛT 2010 LE PRÉLÈVEMENT QUELLES MUTATIONS RECHERCHER? LA RECHERCHE
Plus en détailIndication (selon la monographie du médicament) : Traitement de l'adénocarcinome rénal métastatique
Rapport sur les nouveaux médicaments brevetés Torisel Par souci de transparence, le CEPMB publie les résultats des examens des prix des nouveaux produits médicamenteux brevetés effectués par les membres
Plus en détailLe RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire
Le RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire Dr Florence Parent Service de Pneumologie et Soins Intensifs de Pneumologie Hôpital Bicêtre, AP-HP Inserm U999. Université Paris-Sud Traitement anticoagulant
Plus en détailInsuffisance cardiaque
Insuffisance cardiaque Connaître son évolution pour mieux la vivre Guide d accompagnement destiné au patient et ses proches Table des matières L évolution habituelle de l insuffisance cardiaque 5 Quelles
Plus en détail- 2 - faire industriel dans la mise au point des produits biologiques. L Institut Roche de Recherche et Médecine Translationnelle (IRRMT, basé à
Information presse Roche, l Agence Nationale de Recherches sur le Sida et les hépatites virales (ANRS), le Baylor Research Institute (BRI) et Inserm Transfert mettent en place une coopération stratégique
Plus en détailLes tests de génétique moléculaire pour l accès aux thérapies ciblées en France en 2010
Mesure 21 SOINS ET VIE DES MALADES Les tests de génétique moléculaire pour l accès aux thérapies ciblées en France en 2010 COLLECTION Rapports & synthèses POUR UN ACCÈS AUX THÉRAPIES CIBLÉES : - LES PLATEFORMES
Plus en détailMaster UP 6. Mention Santé Publique et Management de la Santé. Spécialité Pharmacologie Clinique. Construire une carrière dans l industrie
Master UP 6 Mention Santé Publique et Management de la Santé Spécialité Pharmacologie Clinique Construire une carrière dans l industrie pharmaceutique Alain Leclerc, CTPartners 3 mars 2009 Your Executive
Plus en détailTransplantation pulmonaire et mucoviscidose. Optimiser la prise en charge médicale
Transplantation pulmonaire et mucoviscidose Optimiser la prise en charge médicale Dr Isabelle Danner-Boucher CRCM adulte de Nantes Unité de Transplantation Thoracique 11èmes Journées Scientifiques de la
Plus en détailQu avez-vous appris pendant cet exposé?
Qu avez-vous appris pendant cet exposé? Karl VINCENT, DC IFEC 2010 Diplôme Universitaire de Méthodes en Recherche Clinique Institut de Santé Publique d Epidémiologie et de développement ISPED Bordeaux
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailFirst Line and Maintenance in Nonsquamous NSCLC: What Do the Data Tell Us?
Dr Jean-Charles Soria : Bonjour et bienvenue dans ce programme. Je suis Jean Charles Soria, Professeur de Médecine et Directeur du programme de développement précoce des médicaments à l université Paris
Plus en détailBoostez votre communication!
Boostez votre communication! Une communication attractive et une audience élargie Donnez une seconde vie à vos évènements Diffusez vos conférences en ligne auprès de vos employés, clients, partenaires
Plus en détailTraitement de l hépatite C: données récentes
Traitement de l hépatite C: données récentes J.-P. BRONOWICKI (Vandœuvre-lès-Nancy) Tirés à part : Jean-Pierre Bronowicki Service d Hépatogastroentérologie, CHU de Nancy, 54500 Vandœuvre-lès-Nancy. Le
Plus en détailM2.6. 2012 Cancer du colon et du rectum. Coordination : Pr Hahnloser
M2.6. 2012 Cancer du colon et du rectum Coordination : Pr Hahnloser Pathologie Dr. Maryse Fiche Cancers colo-rectaux Précurseurs : Images et figures : Robbins 8è Edition Objectifs d apprentissage : SCLO
Plus en détailLa recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique
2 èmes Assises de l Innovation Thérapeutique Paris, 05-11-2014 La recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique Pr. Jean-François DHAINAUT Président du Groupement Inter-régional de la Recherche Clinique
Plus en détailCommuniqué de presse. Direction Communication Externe/Interne Sylvie Nectoux TEL : 01 44 34 65 73 Email : sylvie.nectoux@boehringeringelheim.
Les données des études pivots de phase III STARTVerso démontrent l'efficacité du faldaprevir * dans des populations de patients difficiles à guérir telles que celles co-infectées par le VIH et celles avec
Plus en détailRevue des données probantes l utilité et les limites des différentes approches
Revue des données probantes l utilité et les limites des différentes approches LES REVUES SYSTÉMATIQUES Projet financé par l Agence de la santé publique du Canada Affilié à l Université McMaster Donna
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailMise en œuvre d un contrat de liquidité Fin de la période de stabilisation
Mise en œuvre d un contrat de liquidité Fin de la période de stabilisation Paris, 23 avril 2015, 20h00 OSE Pharma SA (ISIN : FR0012127173 ; Mnémo : OSE), société biopharmaceutique qui développe des produits
Plus en détail