Place de la réhabilita.on dans l asthme

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Place de la réhabilita.on dans l asthme"

Transcription

1 Place de la réhabilita.on dans l asthme P.SURPAS, Charnay (69)

2 Conflit d'intérêt Intérêt financier : néant Liens durables : NOVARTIS, BIF Interven.ons ponctuelles : BIF, vitalaire Intérêt direct : néant

3 plan Le contexte : l asthme La réhabilita.on Que peut apporter la RR à l asthme? Ou la place de l ac.vité physique dans l asthme? Comment? Le REE L ETP

4 Quels objec.fs de la prise en charge d un pa.ent asthma.que La fréquence des symptômes diurnes et nocturnes L ac.vité physique quo.dienne La consomma.on de BD à la demande La fonc.on respiratoire Les exacerba.ons (Global ini*a*ve for asthma 2009) Chapman et al ERJ 2008 WILLIAMS J Occup Environ Med 2009) 23% bien contrôlés 50% contrôle par.el : diminu.on QDV augmenta.on des couts liés à la maladie

5 Le manque de contrôle de l asthme asthme grave aux urgences : o 25 % ont un état clinique pouvant engendrer un décès, o 50 % présentent des signes d exacerba.on sévère, o 25 % ont une crise modérée, o 30 % n avaient aucun suivi pour leur asthme (SALMERON et al LANCET 2001) visites aux urgences et hospitalisa.ons (LAMOUROUX A. RMR 2012)

6 La réhabilita.on respiratoire Ensemble de moyens proposés au pa.ent aaeint d une maladie respiratoire chronique pour améliorer le handicap et la qualité de vie L objec.f est l aaeinte d un changement de comportement : augmenta.on APQ, tabac, observance médicamenteuse, nutri.on Repose sur une PEC globale : Réentrainement ETP Composante psycho sociale (SPLF recommanda*ons réhabilita*on 2009)

7 INDICATIONS s adressant à tout pa.ent présentant une dyspnée et une maladie respiratoire chronique malgré un traitement médicamenteux op.mal avec une diminu.on des ac.vités physiques quo.diennes. = défini.on du handicap Et entraine une diminu.on de la QDV (SPLF recommanda.ons réhabilita.on 2009)

8 AP diminuée chez les asthma.ques 100 enfants, 11 ans (DIMITRIKAKI et al. Pa*ent and preference adherence 2013)

9 La fréquence des exacerba.ons 2800 femmes Âge moyen 63 ans AP évaluée sur ques.onnaires AP>10 MET/semaine = marche rapide 20 mn 3/ semaine (GARCIA AYMERICH J et al, AJRCCM 2009)

10 L AP protège de l asthme? Méta analyse Une AP intense est associée à une plus faible prévalence de l asthme 11 études sélec.onnées sur plus de 6000 (5 où la mesure de l AP précède l asthme) (EIJEKEMAN M et al PLOS 2012)

11 L ac.vité physique dans l asthme Semble diminuée par rapport à des sujets sains du même âge Et, de toutes façons, insuffisante Causes : Croyances famille, pa.ents sur les dangers, l inévitabilité Manque de confiance en ses capacités Mauvaise interpréta.on de la dyspnée à l effort (WILLIAMS B et al, BMC prac*ce P.Surpas 2008) (Charnay)

12 PROBLEMATIQUE ASTHME Ac.vité physique Dyspnée, peur de la crise Mauvaise condi.on physique Croyances Exacerba.ons QDV Couts de la maladie REHABILITATION AP : REE : confiance en soi, améliora.on fonc.onnelle ETP : anxiété, croyances, plan d ac.on couts de la maladie QDV

13 Quels effets du REE chez un asthma.que? Toute ac.vité régulière d au moins 20 mn 2/ semaine, au moins 4 semaines Tout âge 1800 études, 19 sélec.onnées, 700 pa.ents Diminu.on des symptômes Augmenta.on de la tolérance à l exercice ( VE V02) Augmenta.on de la QDV Sans modifica.on de la fonc.on respiratoire (CHANDRATILLEKE et al Cochrane library 2012)

14 Quelle ac.vité physique long terme? Basket Hand ball Gymnas.que Karaté Yoga Nata.on Tennis QUI PLAISE 30 X 2enfants, basket 3/ semaine, 8 semaines ( BASARAN S et al J Rehabil Med 2006) (C.PREFAUT CPLF 2013) 2X30 adultes asthme modéré, 30 ans (VEMPATI et al BMC 2012)

15 RR et asthme 58 pa.ents 10 semaines REE Suivis 3 ans (EMTNER M et al Arch of Phys and Med Rehab 1998)

16 ETP et asthme Effets largement et anciennement montrés si programme structuré, centré sur le pa.ent et avec un plan d ac.on (Gibson P.G et al. The Cochrane Library Gibson P.G. et al. Thorax 2004 ) Donc repose sur une technique commune à toutes les démarches ETP Pour abou.r à un changement de comportement

17 LE CHANGEMENT DE COMPORTEMENT Défini.ons : Comportement (LAROUSSE) : manière d être, d agir ou de réagir des êtres humains, groupes, des animaux Changement de comportement : c est la modifica.ons des manières de faire C est un processus : insaisissable Souvent nécessaire avec une maladie chronique, vital quand il existe des «mauvaises habitudes de vie» (A.GIORDAN. Médecine des maladies métaboliques, 2010, )

18 Les modèles du changement La théorie du changement par phases : PROCHASKA et Di CLEMENTE La théorie de l appren.ssage social (BANDURA) auto efficacité La théorie du faire face (coping) Le modèle de promo.on de la santé et de réappropria.on du pouvoir

19 EXEMPLE : l AP 8e Congrès Francophone d'allergologie stade verba*m raisons ac*ons pré contempla.on contempla.on prépara.on ac.on Maintenance (F.AMATI) Je ne suis pas spor.f, je n en ai jamais fait Le sport, c est la compé..on! je peux faire du sport parce que je suis dans un cadre Je me suis acheté des chaussures de sports Je fais mon vélo tous les jours et je vais au.r à l arc Je fais cela depuis plus de 6 mois Manque de connaissances Rébellion Résigna.on Ra.onalisa.on ambivalence ambivalence Prise de conscience : en quoi le changement est il important pour le main.en de la santé? Écoute empathique Entre.en mo.va.onnel Trouver une stratégie acceptable, efficace et adaptée REE : expérimenter les bénéfices Iden.fier les succès Stratégies de main.en (obstacles, rechutes) Entretenir la mo.va.on Stratégies de main.en

20 Le sen.ment d auto efficacité Défini.on : : «croyance profonde en ses propres capacités d organiser et réaliser les ac.ons nécessaires à la ges.on adéquate des situa.ons de manière à aaeindre les objec.fs prédéfinis» Il varie en fonc.on REE De ses expériences de ges.on efficace De l observa.on de personnes efficaces (effet groupe) De la capacité de persuasion de son entourage De l existence d états d âme posi.fs (inverse anxiété dépression les traiter)

21 Que pouvons nous faire? E.FAURE : depuis que j ai décrété le changement, l immobilisme s est mis en marche et je ne peux plus l arrêter RESISTANCES au changement Impliquer le pa.ent dans le changement Négocier des objec.fs réalistes Définir les stratégies à meare en œuvre pour aaeindre ces objec.fs (échec = erreurs de stratégie) Définir les compétences à acquérir pour changer : appren.ssage Accompagner le changement

22 En centre de réhabilita.on Pa.ents ayant un asthme persistant sévère : inférieur à 1/20 dans mon centre Cor.cothérapie, hospitalisa.ons répétées L indica.on de RR formelle : Améliorer la condi.on physique Stabiliser l asthme Éduca.on thérapeu.que : observance, mesure du DEP, croyances/exercice, changement comportement

23 La ques.on se pose chez les pa.ents moins sévères Rechercher une diminu.on de l APQ Penser aux structures moins lourdes : ambulatoires, réseaux formels ou non Évalua.on standardisée pour un programme personnalisé Associant toujours REE et ETP

24 CONCLUSION La RR a tout à fait sa place dans le traitement de l asthme Actuellement, 10% des pa.ents BPCO sont réhabilités ; dans l asthme??? Savoir établir un traitement à la carte

Ac#vité Physique et Diabète

Ac#vité Physique et Diabète Ac#vité Physique et Diabète DIAPASON 36 MSA Châteauroux 2012 Dr Thierry KELLER 27 & 28 septembre 2012 Quels Constats? L inac#vité TUE!! "30% Mortalité totale 9% Risque Cardio-Vasculaire (coronaropathie)

Plus en détail

Services complémentaires en Outaouais

Services complémentaires en Outaouais Services complémentaires en Outaouais La réalisa4on et le succès d un main4en à domicile d une personne âgée en perte d autonomie est un travail d équipe. Les acteurs de ce=e équipe sont d abord la personne

Plus en détail

Pe#t déjeuner Prévention des risques professionnels dans la Mutualité

Pe#t déjeuner Prévention des risques professionnels dans la Mutualité Pe#t déjeuner Prévention des risques professionnels dans la Mutualité 15 mai 2014 Intervenantes: Emmanuelle Paradis, Chef de projet Préven#on et santé au travail CHORUM - CIDES Carole Hazé, Responsable

Plus en détail

Les grandes études de télémédecine en France

Les grandes études de télémédecine en France Les grandes études de télémédecine en France Optimisation de la Surveillance ambulatoire des Insuffisants CArdiaques par Télécardiologie De Midi-Pyrénées au Sud de la France M Galinier, A Pathak Pôle Cardio-Vasculaire

Plus en détail

Les procédures médico-légales d hospitalisation

Les procédures médico-légales d hospitalisation Les procédures médico-légales d hospitalisation D. CAILLOCE SAMU 87 Contexte de l hospitalisa0on sous contrainte (1) Par%cularité de la discipline psychiatrique où le malade n a pas forcément conscience

Plus en détail

Professionnalisa+on des acteurs de l'éduca+on prioritaire à par+r du développement de pra+ques collabora+ves

Professionnalisa+on des acteurs de l'éduca+on prioritaire à par+r du développement de pra+ques collabora+ves RENCONTRE INTER- ACADEMIQUE CRETEIL- PARIS- VERSAILLES DES REP+ La Sorbonne, le 10 avril 2015 Professionnalisa+on des acteurs de l'éduca+on prioritaire à par+r du développement de pra+ques collabora+ves

Plus en détail

Santé, condi,ons de travail et égalité professionnelle F/H Comment agir?

Santé, condi,ons de travail et égalité professionnelle F/H Comment agir? Santé, condi,ons de travail et égalité professionnelle F/H Comment agir? Rencontres expertes de l Aract Bretagne Lundi 9 mars 2015 Elisabeth Dewanckel e.dewanckel@anact.fr Hélène Plassoux h.plassoux@anact.fr

Plus en détail

COMPÉTENCES ET PROFILS AVANCÉ DES SOINS INFIRMIERS pour améliorer les résultats d'accès et de santé

COMPÉTENCES ET PROFILS AVANCÉ DES SOINS INFIRMIERS pour améliorer les résultats d'accès et de santé COMPÉTENCES ET PROFILS AVANCÉ DES SOINS INFIRMIERS pour améliorer les résultats d'accès et de santé Granada, 4-6 de septiembre Susana Rodríguez Gómez Plan Integral de Cuidados. Servicio Andaluz de Salud

Plus en détail

Évolu>on et maintenance

Évolu>on et maintenance IFT3912 Développement et maintenance de logiciels Évolu>on et maintenance Bruno Dufour Université de Montréal dufour@iro.umontreal.ca Modifica>on des logiciels Les modifica>ons sont inévitables Des nouveaux

Plus en détail

Le contrôle fiscal anno 2013

Le contrôle fiscal anno 2013 Le contrôle fiscal anno 2013 Carlos SIX! Administrateur général de la Fiscalité SPF Finances Ges$on des risques Contrôle fiscal CRM & Tolérance zéro ONDEMENT OBJECTIFS STRATEGIQUES Etude externe 2010 constata$ons

Plus en détail

Cabinet de Conseil STRATÉGIE MANAGEMENT ORGANISATION JURIDIQUE FORMATION AVEC BW CONSULTANTS CHOISISSEZ DE GARANTIR VOTRE DEVELOPPEMENT

Cabinet de Conseil STRATÉGIE MANAGEMENT ORGANISATION JURIDIQUE FORMATION AVEC BW CONSULTANTS CHOISISSEZ DE GARANTIR VOTRE DEVELOPPEMENT Cabinet de Conseil STRATÉGIE MANAGEMENT ORGANISATION JURIDIQUE FORMATION 1 Pourquoi nous choisir? Le chef d entreprise, surtout s il est propriétaire, déteste l aventure. Notre Objec>f est de vous accompagner

Plus en détail

AVIS A MANIFESTATION D INTERET N 017/MPT/2013/UCP/CAB

AVIS A MANIFESTATION D INTERET N 017/MPT/2013/UCP/CAB AVIS A MANIFESTATION D INTERET N 017/MPT/2013/UCP/CAB RECRUTEMENT D UN CONSULTANT INDIVIDUEL POUR LA REALISATION DE L ETUDE SUR LA PORTABILITE SUR LE MARCHE DES TELECOMMUNICATIONS EN REPUBLIQUE DU CONGO

Plus en détail

Le don d organes après arrêt des thérapeu2ques Maastricht 3 Une réalité?...

Le don d organes après arrêt des thérapeu2ques Maastricht 3 Une réalité?... Le don d organes après arrêt des thérapeu2ques Maastricht 3 Une réalité?... François MOUREY Corinne ANTOINE et le COPIL Maastricht 3 Agence de la biomédecine Les jeudis de l urgence: Marseille 9 janvier

Plus en détail

Le secteur de la Mutualité. Présenta*on des organismes Structure et caractéris*ques des emplois Zoom sur les mé*ers

Le secteur de la Mutualité. Présenta*on des organismes Structure et caractéris*ques des emplois Zoom sur les mé*ers Le secteur de la Mutualité Présenta*on des organismes Structure et caractéris*ques des emplois Zoom sur les mé*ers 1 La protec*on sociale Ensemble des moyens mis en œuvre par un pays pour protéger ses

Plus en détail

H2PS engage ses compétences auprès des entreprises et des parculiers par la mise en place de soluons d accompagnements et de services.

H2PS engage ses compétences auprès des entreprises et des parculiers par la mise en place de soluons d accompagnements et de services. Notre Société H2PS engage ses compétences auprès des entreprises et des parculiers par la mise en place de soluons d accompagnements et de services. Nos Engagements: Nous uliserons nos connaissances, expériences

Plus en détail

Chapitre 4 La prise en compte de l informa6on dans le modèle de marché

Chapitre 4 La prise en compte de l informa6on dans le modèle de marché Chapitre 4 La prise en compte de l informa6on dans le modèle de marché Microéconomie 2014/2015 Rappel Chapitre 1 Hypothèses du modèle canonique concurrence pure et parfaite: Atomicité des agents Biens

Plus en détail

Active Asset Allocation

Active Asset Allocation Active Asset Allocation Designer de Solu.ons d Inves.ssement We protect, You perform www.active-asset-allocation.com Qui sommes- nous? Ac.ve Asset Alloca.on est un concepteur de solu.ons d inves.ssement

Plus en détail

INFLUENCE DU TERRAIN LORS D UN EFFORT RÉALISÉ À PUISSANCE MAXIMALE AÉROBIE EN CYCLISME

INFLUENCE DU TERRAIN LORS D UN EFFORT RÉALISÉ À PUISSANCE MAXIMALE AÉROBIE EN CYCLISME Séminaire des entraineurs et cadres techniques du cyclisme, Bourges, 09 Novembre 2013 INFLUENCE DU TERRAIN LORS D UN EFFORT RÉALISÉ À PUISSANCE MAXIMALE AÉROBIE EN CYCLISME Anthony BOUILLOD1,2, Julien

Plus en détail

L ÉDUCATION THERAPEUTIQUE DANS LA PRISE EN CHARGE DES MALADIES CHRONIQUES

L ÉDUCATION THERAPEUTIQUE DANS LA PRISE EN CHARGE DES MALADIES CHRONIQUES L ÉDUCATION THERAPEUTIQUE DANS LA PRISE EN CHARGE DES MALADIES CHRONIQUES Etudes d évaluation économique ou avec des données de recours aux soins Recommandation de santé publique Document de travail Service

Plus en détail

DOCUMENTATION KAPTravel Module de gestion des appels de disponibilité

DOCUMENTATION KAPTravel Module de gestion des appels de disponibilité DOCUMENTATION KAPTravel Module de gestion des appels de disponibilité 01/06/15 KAPT Tous Droits Réservés 2 PRÉSENTATION Ce+e présenta3on va vous perme+re de prendre en main la plateforme de ges3on KAPTravel

Plus en détail

Stage Ini*ateur Club Comité Départemental 54 Nancy 11 et 12 octobre 2014. Les responsabilités des encadrants

Stage Ini*ateur Club Comité Départemental 54 Nancy 11 et 12 octobre 2014. Les responsabilités des encadrants Stage Ini*ateur Club Comité Départemental 54 Nancy 11 et 12 octobre 2014 Les responsabilités des encadrants Introduc)on De par ses préroga*ves et ses fonc*ons, l ini*ateur a des responsabilités et des

Plus en détail

LE SUPPLIER RELATIONSHIP MANAGEMENT EN PRATIQUE

LE SUPPLIER RELATIONSHIP MANAGEMENT EN PRATIQUE PARTENAIRES ACHATS LE SUPPLIER RELATIONSHIP MANAGEMENT EN PRATIQUE PROGRAMME La geson de la relaon fournisseur Supplier Relaonship Management est au centre de l aenon de toutes les foncons Achats. Les

Plus en détail

Les conditions de travail pour l attractivité des métiers de la maintenance éolienne 1 er éléments ouverture vers d autres métiers de la filière

Les conditions de travail pour l attractivité des métiers de la maintenance éolienne 1 er éléments ouverture vers d autres métiers de la filière Les conditions de travail pour l attractivité des métiers de la maintenance éolienne 1 er éléments ouverture vers d autres métiers de la filière Marylène COPPI / Alexandre VASSELIN OBJECTIFS POUR LA PICARDIE

Plus en détail

Optimisation de la supervision by Somone. - Présentation Générale -!

Optimisation de la supervision by Somone. - Présentation Générale -! Optimisation de la supervision by Somone - Présentation Générale -! Somone et le Service 27% 18% 18% 37% Consultants Juniors (0-2 ans) Confirmés (2-5 ans) Séniors (5-8 ans) Référents (>8 ans) 30% 10% 12%

Plus en détail

Stages intra- entreprise stages de forma,on à des,na,on des managers et dirigeants. Catalogue 2012-2013

Stages intra- entreprise stages de forma,on à des,na,on des managers et dirigeants. Catalogue 2012-2013 Stages intra- entreprise stages de forma,on à des,na,on des managers et dirigeants Catalogue 2012-2013 1 PARTI PRIS PÉDAGOGIQUE : THÈMES DES STAGES! Tous les stages que nous proposons sont bâfs en intégrant

Plus en détail

Les hommes cadres et l égalité professionnelle

Les hommes cadres et l égalité professionnelle Les hommes cadres et l égalité professionnelle Sondage Ifop pour Mercredi C Papa présenta)on publique Vendredi 12 décembre 2014 Contexte et objec+fs de l étude En Juin 2014, l associa+on mercredi- c- papa

Plus en détail

Alain Fernandez 2014, À son compte et 44 Astuces pour démarrer son Business sont des livres publiés aux Edi;ons Eyrolles

Alain Fernandez 2014, À son compte et 44 Astuces pour démarrer son Business sont des livres publiés aux Edi;ons Eyrolles Il n est pas facile, aujourd hui moins que jamais, de construire une solide carrière au sein de l entreprise. Les contraintes de performance et la recherche de compé;;vité relèguent les a>entes des salariés

Plus en détail

Vision, Stratégie Changement Leadership

Vision, Stratégie Changement Leadership Cabinet de Conseil et de Développement des Hommes et des Organisations Vision, Stratégie Changement Leadership Accompagnement humain des réorganisations Optimisation managériale et relationnelle Cohésion

Plus en détail

TITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire»

TITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire» TITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire» MC Iliou, R Brion, C Monpère, B Pavy, B Vergès-Patois, G Bosser, F Claudot Au nom du bureau du GERS Un programme de réadaptation

Plus en détail

Qu est- ce que Bien- être@travail? Copyright Quo.ent Factor Inc., 2011

Qu est- ce que Bien- être@travail? Copyright Quo.ent Factor Inc., 2011 Qu est- ce que Bien- être@travail? Copyright Quo.ent Factor Inc., 2011 Et vous, le Bien- être@travail? Le bonheur est une chose fugace. Le bien- être suppose des condi1ons au- delà de la simple survivance,

Plus en détail

Présenta)on DesignBuilder

Présenta)on DesignBuilder Présenta)on DesignBuilder Logiciel de Simula)on Thermique Dynamique des bâ)ments Ingénieurs, Architectes, Energé1ciens Présenta)on de Design Builder DesignBuilder est une interface graphique reposant sur

Plus en détail

Stratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés

Stratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés Stratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés IEN/CTR ASH 2011-2012 Comportements inappropriés / Troubles de la conduite et du comportement

Plus en détail

Voici les condions d'inscripon au concours interne de l'agrégaon

Voici les condions d'inscripon au concours interne de l'agrégaon 1 sur 5 26/05/2014 16:53 Bonjour, Pour informaon Suite à différentes demandes de futurs candidats aux agrégaons internes, la Division des Exmens et Concours - DEC gesonnaire : anne-marie.foraison@ac-grenoble.fr

Plus en détail

Profils du Diplômé (profils de sor2) de la forma2on de médicine au Chile

Profils du Diplômé (profils de sor2) de la forma2on de médicine au Chile Profils du Diplômé (profils de sor2) de la forma2on de médicine au Chile MARIO PARADA, MARÍA INÉS ROMERO, FABIÁN MORAGA Diego Muñoz, Marcela Gómez, Denisse Arellano Ecoles de Médecine au Chili Le Chili,

Plus en détail

Maternité et activités sportives

Maternité et activités sportives Maternité et activités sportives L obstétricien est de plus en plus souvent interrogé sur les avantages et les risques de maintenir ou de débuter une APS ou de loisir pendant la grossesse. Transformations

Plus en détail

L APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.

L APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. 1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises

Plus en détail

Dr Laurence FAYARD- JACQUIN Cœurs du Forez 2008. Mise à jour 24-06-08

Dr Laurence FAYARD- JACQUIN Cœurs du Forez 2008. Mise à jour 24-06-08 Diabète de type 2 et Sport Dr Laurence FAYARD- JACQUIN Cœurs du Forez 2008 Mise à jour 24-06-08 L activité physique est recommandée depuis longtemps aux patients diabétiques Dès la fin du 19 ème siècle,

Plus en détail

Avoir (une maladie) ou être (malade)

Avoir (une maladie) ou être (malade) Avoir (une maladie) ou être (malade) MG Albano, Ph Barrier, JF d Ivernois Note : cette présentation est tirée de notre article publié dans la revue ETP/TPEEduc Ther Patient/Ther Patient Educ 2011; 3(2):

Plus en détail

CATALOGUE DES OFFRES 2014

CATALOGUE DES OFFRES 2014 CATALOGUE DES OFFRES 2014 GM_Oct 2014 Sommaire P9 DIAGNOSTIQUER Etat des lieux de l entreprise P3 REPRESENTER La défense des entrepreneurs P7 Sécurisaon des impayés P7 Projet à l international P7 Assistantes

Plus en détail

ENVI-F-409. Economie écologique. Séance 8 13 Mai 2015. Tom Bauler tbauler@ulb.ac.be Supports de cours : http://tbauler.pbworks.com

ENVI-F-409. Economie écologique. Séance 8 13 Mai 2015. Tom Bauler tbauler@ulb.ac.be Supports de cours : http://tbauler.pbworks.com ENVI-F-409 Economie écologique Séance 8 13 Mai 2015 Tom Bauler tbauler@ulb.ac.be Supports de cours : http://tbauler.pbworks.com Chapitre 9 : Penseurs hétérodoxes Ostrom vs Hardin. Lectures ins3tu3onnelle

Plus en détail

ParK24. Solu%on innovante pour un sta%onnement intelligent

ParK24. Solu%on innovante pour un sta%onnement intelligent ParK24 Solu%on innovante pour un sta%onnement intelligent Guidage à la place Un système intégré sans fil, autonome et modulaire pour guider les automobilistes vers les dernières places disponibles d un

Plus en détail

Communauté d aggloméra0on Orléans Val de Loire

Communauté d aggloméra0on Orléans Val de Loire Communauté d aggloméra0on Orléans Val de Loire - Perspec)ves financières du mandat et bases d un pacte fiscal et financier - Séminaire du 27 septembre 2014 6 rue du Général de Larminat 75015 PARIS Tél.

Plus en détail

DÉPLOIEMENT 4G ET FIBRE : PREMIER BILAN ET PERSPECTIVES

DÉPLOIEMENT 4G ET FIBRE : PREMIER BILAN ET PERSPECTIVES partenaires télécom et mobilité : DÉPLOIEMENT 4G ET FIBRE : PREMIER BILAN ET PERSPECTIVES PROGRAMME Ce début d année 2014 marque notre rendez-vous annuel autour du très haut débit. La 4G est à la fois

Plus en détail

PETIT DEJEUNER MLA Planifica4on industrielle et commerciale : Réalité centrale // Objec4fs terrain

PETIT DEJEUNER MLA Planifica4on industrielle et commerciale : Réalité centrale // Objec4fs terrain Jean- Claude CARDONNEL, Directeur Administra4f et Financier UNITED BISCUITS Northern Europe Bruno PELOIN Directeur Supply Chain NUTRICIA France groupe DANONE François- Régis de LANDES Directeur Organisa4on

Plus en détail

LA DIGITALISATION DE LA RELATION CLIENT

LA DIGITALISATION DE LA RELATION CLIENT PARTENAIRES ENTREPRISE ET TRANSFORMATION DIGITALE LA DIGITALISATION DE LA RELATION CLIENT PROGRAMME Face à la mulplicaon des canaux digitaux de communicaon, à l évoluon des comportements des clients et

Plus en détail

Guide du démembrement

Guide du démembrement Guide du démembrement Inves&r dans l immobilier grâce au système du démembrement Les solu&ons actuellement à votre disposi&on sont mul&ples (placements boursiers, immobilier, ac&ons, livrets d épargne,

Plus en détail

L ou%l téléphone dans votre stratégie de marke%ng direct

L ou%l téléphone dans votre stratégie de marke%ng direct L ou%l téléphone dans votre stratégie de marke%ng direct «Allo, vous n avez pas de stratégie téléphone?» Alain Pierre La Chaîne de l Espoir Pascal Fréneaux ADM VALUE Présenta%on de La Chaîne de l Espoir

Plus en détail

Concepon et réalisaon

Concepon et réalisaon Concepon et réalisaon Vendée Etudes & Réalisaons de Soluons Informaques 10 rue des Sables 85540 Mouers les Mauxfaits h%p://sarl-versi.fr contact@sarl-versi.fr Mainate 2 une logiciel d aide à la communicaon

Plus en détail

Programme de réhabilitation respiratoire

Programme de réhabilitation respiratoire Programme de réhabilitation respiratoire Dr Jean-Marc Perruchini Service de Réhabilitation R respiratoire, Clinique de Médecine Physique Les Rosiers 45, Bd Henri Bazin, 21002 DIJON Cedex Mle Carine Lopez

Plus en détail

Parcours de soins, solu/ons de partage Évolu/ons des poli/ques na/onales & Mises en œuvre régionales Séminaire IFERISS 17 Avril 2014

Parcours de soins, solu/ons de partage Évolu/ons des poli/ques na/onales & Mises en œuvre régionales Séminaire IFERISS 17 Avril 2014 Parcours de soins, solu/ons de partage Évolu/ons des poli/ques na/onales & Mises en œuvre régionales Séminaire IFERISS 17 Avril 2014 Sommaire 1) Présenta/on du GCS Télésanté Midi- Pyrénées 2) Dossier Médical

Plus en détail

Critères de Choix d une Echelle de Qualité De Vie. Etudes cliniques dans l autisme. Introduction

Critères de Choix d une Echelle de Qualité De Vie. Etudes cliniques dans l autisme. Introduction Critères de Choix d une Echelle de Qualité De Vie Etudes cliniques dans l autisme Marie-Christine Picot Congrès Epsylon 5 avril 2013 Introduction Mesurer la Qualité de Vie liée à la Santé : Evaluer les

Plus en détail

La formation des IOBSP

La formation des IOBSP Quelle formation pour quel IOBSP? Intervenant : Ravi CAUSSY, Président de la Commission Formation AFIB Convention du 31 mai 2012 - Paris Quelle formation pour quel IOBSP? Quelles catégories et activités

Plus en détail

Prépara&on Opéra&onnelle à l Emploi de BASYCA (POEB) BASYCA SAS FRANCE - Anzize BADAROU

Prépara&on Opéra&onnelle à l Emploi de BASYCA (POEB) BASYCA SAS FRANCE - Anzize BADAROU Prépara&on Opéra&onnelle à l Emploi de BASYCA (POEB) 1 Sommaire Objec&fs généraux Contenu POEB Approche générique Animateurs Partenaires 2 Objectifs généraux Enjeux de la forma1on Réconcilier la forma&on

Plus en détail

Grossesses et dépression Quelques repères pour les obstétriciens

Grossesses et dépression Quelques repères pour les obstétriciens Grossesses et dépression Quelques repères pour les obstétriciens Pr Pierre Boulot Département de gynécologie-obstétrique CHU Arnaud de Villeneuve, Montpellier La fréquence de la dépression Sa reconnaissance

Plus en détail

PRÉSENTATION GÉNÉRALE

PRÉSENTATION GÉNÉRALE PRÉSENTATION GÉNÉRALE 1. Cycle unique pour la réussite de TOUS - École juste, bienveillante. S'a5aquer aux inégalités de réussites scolaires. Fondements éduca>fs et pédagogiques. Donner envie aux élèves

Plus en détail

Épidémiologie des accidents hémorragiques dus aux anticoagulants oraux

Épidémiologie des accidents hémorragiques dus aux anticoagulants oraux Épidémiologie des accidents hémorragiques dus aux anticoagulants oraux Docteur Marie-Josèphe JEAN-PASTOR Centre Régional Pharmacovigilance Marseille-Provence-Corse Hôpital Sainte Marguerite AP-HM Tél :

Plus en détail

La recherche clinique de demain ne se fera pas sans les paramédicaux

La recherche clinique de demain ne se fera pas sans les paramédicaux La recherche clinique de demain ne se fera pas sans les paramédicaux Marc Beaumont, kinésithérapeute - 5ème journée inter régionale GIRCI - Tours, 3 juin 2015 Qu est ce que la recherche clinique? «une

Plus en détail

Présentation Level5. Editeur de Logiciels. «If it s not monitored, it s not in production» Theo Schlossnagle #velocityconf

Présentation Level5. Editeur de Logiciels. «If it s not monitored, it s not in production» Theo Schlossnagle #velocityconf Editeur de Logiciels Présentation Level5 «If it s not monitored, it s not in production» Theo Schlossnagle #velocityconf «If you can not measure it, you can not improve it» Lord Kelvin vous accompagne

Plus en détail

Vers un Système unique d informa4on na4onale de médicaments au Mexique, dans le cadre du suivi de l OMD 8.13

Vers un Système unique d informa4on na4onale de médicaments au Mexique, dans le cadre du suivi de l OMD 8.13 Vers un Système unique d informa4on na4onale de médicaments au Mexique, dans le cadre du suivi de l OMD 8.13 México Angélica Ivonne Cisneros- Luján Lisbonne, 11 septembre 2012 CONTEXTE et DÉSCRIPTION du

Plus en détail

EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE

EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation

Plus en détail

Examen d une épaule en relation avec le travail. Docteur Virginie Fraselle Médecin Physique et Réadaptateur Cliniques Universitaires Saint-Luc

Examen d une épaule en relation avec le travail. Docteur Virginie Fraselle Médecin Physique et Réadaptateur Cliniques Universitaires Saint-Luc Examen d une épaule en relation avec le travail Docteur Virginie Fraselle Médecin Physique et Réadaptateur Cliniques Universitaires Saint-Luc Définitions La déficience correspond à toute perte de substance

Plus en détail

Groupe 1 somnovni 12/12/14

Groupe 1 somnovni 12/12/14 Recommandations HAS 2014! Pas encore parues indications VNI! Indication VNI en cas d une hypoventilation alveolaire = Hypercapnie : " PtCO2 nocturne > 50 mmhg " Et/ou d une PaCO2 diurne > 45 mmhg! Cas

Plus en détail

Agriconomie s aeaque aux probléma3ques des agriculteurs et des distributeurs NOTRE REPONSE :

Agriconomie s aeaque aux probléma3ques des agriculteurs et des distributeurs NOTRE REPONSE : Agriconomie s aeaque aux probléma3ques des agriculteurs et des distributeurs Agriculteurs Distributeurs MANQUE de temps (priorité à l opéra8onnel) COMPLEXITÉ à trouver des pièces spécifiques CONCURRENCE

Plus en détail

Knowledge Management D. Chauvel, 13 Novembre 2014. Journée Mondiale de la Qualité Université Aix Marseille

Knowledge Management D. Chauvel, 13 Novembre 2014. Journée Mondiale de la Qualité Université Aix Marseille Knowledge Management D. Chauvel, 13 Novembre 2014 Journée Mondiale de la Qualité Université Aix Marseille ISO 9001 2015 7.1.6 GesGon des connaissances L'organisme doit déterminer les connaissances nécessaires

Plus en détail

Poli%que ins%tu%onnelle: le numérique au service de la forma%on à l Université Laval CFQCU Paris, 26 mai 2015

Poli%que ins%tu%onnelle: le numérique au service de la forma%on à l Université Laval CFQCU Paris, 26 mai 2015 Poli%que ins%tu%onnelle: le numérique au service de la forma%on à l Université Laval CFQCU Paris, 26 mai 2015 Nicole.Lacasse@vre.ulaval.ca Vice- rectrice associée aux études et aux ac%vités interna%onales

Plus en détail

L Europe s engage en Mar/nique auprès des Entreprises

L Europe s engage en Mar/nique auprès des Entreprises L Europe s engage en Mar/nique auprès des Entreprises Les Programmes européens 2014-2020 Le contenu des programmes Les axes d interven-on Les chiffres Les nouveautés La méthode de sélec-on Les mesures Une

Plus en détail

INDUCTION DES LYMPHOCYTES T- RÉGULATEURS PAR IL2 A TRÈS FAIBLE DOSE DANS LES PATHOLOGIES AUTO- IMMUNES ET INFLAMMATOIRES APPROCHE TRANSNOSOGRAPHIQUE

INDUCTION DES LYMPHOCYTES T- RÉGULATEURS PAR IL2 A TRÈS FAIBLE DOSE DANS LES PATHOLOGIES AUTO- IMMUNES ET INFLAMMATOIRES APPROCHE TRANSNOSOGRAPHIQUE INDUCTION DES LYMPHOCYTES T- RÉGULATEURS PAR IL2 A TRÈS FAIBLE DOSE DANS LES PATHOLOGIES AUTO- IMMUNES ET INFLAMMATOIRES APPROCHE TRANSNOSOGRAPHIQUE Etude clinique N NCT01988506 Inves9gateur coordinateur

Plus en détail

Migraine et Abus de Médicaments

Migraine et Abus de Médicaments Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive

Plus en détail

LE 1 er BAROMETRE ANNUEL DES ETUDES DE MARCHE (FRANCE) - Résultats 2012. Une ini5a5ve. avec le sou5en de

LE 1 er BAROMETRE ANNUEL DES ETUDES DE MARCHE (FRANCE) - Résultats 2012. Une ini5a5ve. avec le sou5en de LE 1 er BAROMETRE ANNUEL DES ETUDES DE MARCHE (FRANCE) - Résultats 2012 Une ini5a5ve / avec le sou5en de - Comment est orienté le budget «études marke5ng» des annonceurs pour 2012? - Quels sont les réarbitrages

Plus en détail

REPUTATION INSIGHTS Par Laurent Reynes

REPUTATION INSIGHTS Par Laurent Reynes REPUTATION INSIGHTS Par Laurent Reynes Où en est- on de la réputa1on? Quelles sont les nouvelles pra1ques qui émergent? Les organisa1ons entrent aujourd hui dans une nouvelle étape du management de la

Plus en détail

Obésité - Diabète de Type 2 et réentraînement à l effort

Obésité - Diabète de Type 2 et réentraînement à l effort Obésité - Diabète de Type 2 et réentraînement à l effort Pr V Gremeaux Pôle Rééduca1on Réadapta1on CHU Dijon Plateforme d Inves1ga1on Technologique CIC- P INSERM 803 INSERM U 1093 U 1093 «Cogni1on, Ac1on,

Plus en détail

CONNAISSANCE DE SOI APPRENDRE A AVOIR CONFIANCE EN SOI

CONNAISSANCE DE SOI APPRENDRE A AVOIR CONFIANCE EN SOI CONNAISSANCE DE SOI APPRENDRE A AVOIR CONFIANCE EN SOI Comprendre ses propres stratégies d échec et de réussite Mettre à jour ses freins, ses propres croyances Développer son potentiel et repousser ses

Plus en détail

Insuffisance cardiaque

Insuffisance cardiaque Insuffisance cardiaque Connaître son évolution pour mieux la vivre Guide d accompagnement destiné au patient et ses proches Table des matières L évolution habituelle de l insuffisance cardiaque 5 Quelles

Plus en détail

Le prêt participatif : Historique

Le prêt participatif : Historique Le prêt participatif : Historique Jusqu en 2005, le prêt par3cipa3f était émis uniquement par les sociétés du secteur public, les sociétés coopéra3ves et les compagnies d'assurance. Il avait été créé en

Plus en détail

MTI820 Entrepôts de données et intelligence d affaires. Les applica+ons de BI

MTI820 Entrepôts de données et intelligence d affaires. Les applica+ons de BI MTI820 Entrepôts de données et intelligence d affaires Les applica+ons de BI Département de génie logiciel et des TI MTI820 Hiver 2011 S. ChaEi, C. Desrosiers 1 Le cycle de vie d un projet en BI Diagramme

Plus en détail

Recommandation Pour La Pratique Clinique

Recommandation Pour La Pratique Clinique Recommandation Pour La Pratique Clinique Prise en charge diagnostique et thérapeutique de la migraine chez l adulte ( et chez l enfant) : aspects cliniques (et économiques) Octobre 2002 1 La migraine de

Plus en détail

Programme cantonal Diabète une réponse de santé publique au service des patients

Programme cantonal Diabète une réponse de santé publique au service des patients Programme cantonal Diabète une réponse de santé publique au service des patients Dr Isabelle Hagon- Traub Mme Léonie Chinet Direc:on Programme cantonal Diabète Maladies chroniques: préoccupations partagées

Plus en détail

INTRASTAT 2015. No ce explica ve Merkbla

INTRASTAT 2015. No ce explica ve Merkbla INTRASTAT 2015 Noce explicave Merkbla Rédacon en chef Alain Hoffmann Rédacon, coordinaon et concepon graphique Luc Kohnen STATEC Instut naonal de la stasque et des études économiques Centre Administraf

Plus en détail

Guide à l intention des familles AU COEUR. du trouble de personnalité limite

Guide à l intention des familles AU COEUR. du trouble de personnalité limite Guide à l intention des familles AU COEUR du trouble de personnalité limite À propos du trouble de personnalité limite Ce document a été élaboré en 2001 par madame France Boucher, infirmière bachelière,

Plus en détail

MTI820 Entrepôts de données et intelligence d affaires. Gouvernance des données et ges1on des données de référence

MTI820 Entrepôts de données et intelligence d affaires. Gouvernance des données et ges1on des données de référence MTI820 Entrepôts de données et intelligence d affaires Gouvernance des données et ges1on des données de référence 1 La gouvernance des données Défini1on: «Processus de supervision et de décision qui permet

Plus en détail

LE DISPOSITIF VOISINS VIGILANTS A PLOEMEUR. Réunion publique 27 avril 2015

LE DISPOSITIF VOISINS VIGILANTS A PLOEMEUR. Réunion publique 27 avril 2015 LE DISPOSITIF VOISINS VIGILANTS A PLOEMEUR Réunion publique 27 avril 2015 LA DEMARCHE Pourquoi la Mairie sou-ent- elle l ini-a-ve? Ecoute des administrés Crée du lien entre voisins Efficacité du disposi-f

Plus en détail

Mieux dans ses bronches, mieux dans sa tête. mieux dans sa vie!

Mieux dans ses bronches, mieux dans sa tête. mieux dans sa vie! Mieux dans ses bronches, mieux dans sa tête mieux dans sa vie! Pathophysiologie BPCO: Le cercle vicieux du déconditionnement VEMS Déconditionnement Dyspnée Immobilité Dépression Isolement social impairment

Plus en détail

testez-vous! Préparez vos partiels en toute sénérité!

testez-vous! Préparez vos partiels en toute sénérité! : t i u t a r g t i Extra testez-vous! Préparez vos partiels en toute sénérité! Enoncé Un fan de casino Vous êtes praticien dans la belle ville d Enghien (célèbre pour son casino ). Vous recevez Joël 43

Plus en détail

Comment la proposer et la réaliser?

Comment la proposer et la réaliser? RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Comment la proposer et la réaliser? Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à aider les professionnels de santé dans la mise en œuvre d un programme

Plus en détail

25 e. convention nationale de L INTERCOMMUNALITÉ

25 e. convention nationale de L INTERCOMMUNALITÉ 25 e convention nationale de L INTERCOMMUNALITÉ FORUM NOUVEAUX ELUS Comprendre l intercommunalité et les enjeux du mandat 2014-2020 JEUDI 9 OCT. 2014 Président de séance : Jo Spiegel, vice-président de

Plus en détail

e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé

e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,

Plus en détail

Les Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est

Plus en détail

Institut Informatique de gestion. Communication en situation de crise

Institut Informatique de gestion. Communication en situation de crise Institut Informatique de gestion Communication en situation de crise 1 Contexte Je ne suis pas un professionnel de la communication Méthode empirique, basée sur l(es) expérience(s) Je suis actif dans un

Plus en détail

APS résumé partie III

APS résumé partie III 1 APS résumé partie III Les outils d évaluation de l activité physique Le but est de quantifier/ évaluer les activités physiques habituelles (non-structurées).on a plusieurs méthodes : - Indirectes (subjectives)

Plus en détail

[EN FINIR AVEC LE REFLUX GASTRIQUE]

[EN FINIR AVEC LE REFLUX GASTRIQUE] 2 P age Sommaire Qu Est-Ce Que Le Reflux Gastrique?... 2 Les Aliments Responsables Du Reflux Gastrique... 5 Comment Prévenir Le Reflux Gastrique... 7 Des Remèdes Simples Pour Traiter Le Reflux Gastrique...

Plus en détail

Guide du parcours de soins Titre GUIDE DU PARCOURS DE SOINS. Bronchopneumopathie chronique obstructive

Guide du parcours de soins Titre GUIDE DU PARCOURS DE SOINS. Bronchopneumopathie chronique obstructive Guide du parcours de soins Titre GUIDE DU PARCOURS DE SOINS Bronchopneumopathie chronique obstructive Juin 2014 Guide téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé 2 avenue du Stade de France

Plus en détail

Migraine et mal de tête : des "casse-tête"

Migraine et mal de tête : des casse-tête Migraine et mal de tête : des "casse-tête" Tous concernés! De quoi s agit-il? Les migraines ne doivent pas être confondues avec les céphalées de tension, communément appelées les "maux de tête". En effet,

Plus en détail

FORMATION THÉORIQUE. Trait d Union TM

FORMATION THÉORIQUE. Trait d Union TM TM FORMATION THÉORIQUE Laurier Fortin, titulaire de la chaire CSRS Marie-France Bradley, Amélie Plante et Marielle Thibaudeau, psychoéducatrices et professionnelles de recherche PLAN DE LA PRÉSENTATION

Plus en détail

Les ateliers de pratique réflexive lieu d intégration des données probantes, moteur de changement de la pratique

Les ateliers de pratique réflexive lieu d intégration des données probantes, moteur de changement de la pratique Les ateliers de pratique réflexive lieu d intégration des données probantes, moteur de changement de la pratique Préparé par: Rose-Anne Buteau, Inf. Ph D. (c) Sylvie Garand-Rochette, M.Sc.. Monique Thibault,

Plus en détail

Consultants, trouvez de nouveaux marchés grâce aux médias sociaux animé par Valérie March au Salon des micro- entreprises 2012

Consultants, trouvez de nouveaux marchés grâce aux médias sociaux animé par Valérie March au Salon des micro- entreprises 2012 Consultants, trouvez de nouveaux marchés grâce aux médias sociaux animé par Valérie March au Salon des micro- entreprises 2012 Conseils pra,ques et ou,ls pour Prospecter plus efficacement Faire connaître

Plus en détail

Questions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées

Questions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines

Plus en détail

LaMeilleureCyclospor/ve devotrevie.com. 6 trucs de Pro pour Améliorer Votre Endurance en peu de temps

LaMeilleureCyclospor/ve devotrevie.com. 6 trucs de Pro pour Améliorer Votre Endurance en peu de temps 6 trucs de Pro pour Améliorer Votre Endurance en peu de temps Pour bien réussir ce webinaire Fermer les applica3ons «bande passante» Eteignez vos portables et toutes sources de distrac3on Fermer la pièce

Plus en détail

Réorganisation et restructuration de sociétés: actualités et opportunités fiscales

Réorganisation et restructuration de sociétés: actualités et opportunités fiscales Réorganisation et restructuration de sociétés: actualités et opportunités fiscales Jean Pierre RIQUET! Conseil juridique & fiscal La réorganisa+on ou restructura+on de sociétés passe régulièrement par

Plus en détail

Rapport Annuel 2013 Rapport Annuel 2013

Rapport Annuel 2013 Rapport Annuel 2013 Rapport Annuel 2013 Rapport Annuel 2013 logo SEAD texte.png.lnk Assemblée Générale du 24 juin 2014 Sauvegarde de l Enfance et de l Adolescence de la Drôme 7/9 rue Lesage - 26000 VALENCE 04 75 82 19 00-04

Plus en détail

MOBILE FIRST : PARTIR DU MOBILE POUR DÉVELOPPER ENSUITE LES AUTRES DEVICES OU OPTER POUR LE RESPONSIVE DESIGN?

MOBILE FIRST : PARTIR DU MOBILE POUR DÉVELOPPER ENSUITE LES AUTRES DEVICES OU OPTER POUR LE RESPONSIVE DESIGN? PARTENAIRES MARKETING & SOCIAL MARKETING MOBILE FIRST : PARTIR DU MOBILE POUR DÉVELOPPER ENSUITE LES AUTRES DEVICES OU OPTER POUR LE RESPONSIVE DESIGN? PROGRAMME La mobilité et la mulplicité des écrans

Plus en détail