Groupe rägional Toulouse Midi-PyrÄnÄes

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1 La Gazette Groupe rägional Toulouse Midi-PyrÄnÄes ISAE campus SUPAERO - RÄsidence 2-10, avenue Edouard Belin Toulouse TÄl. : aaaftlse@aol.com Janvier-FÄvrier 2009 NÅ 15 Sommaire 1 Editorial : AnnÄe charniåre pour l Europe Spatiale 3 Vers des aäronefs encore plus Älectriques 5 Recherche et programme NACRE 9 Transport aärien et däveloppement durable 10 LÄopold Eyharts en visite É la CitÄ de l Espace 13 Bienvenue aux nouveaux membres 3AF/TMP 14 Coup de pouce au CISEC 15 JournÄe CISEC du 10/12/08 18 JournÄes de Gimont et la suite 21 Les rencontres de l USINE NOUVELLE 22 Emile VEDRINES 23 Flash ENAC 24 Salon AEROTOP Le däveloppement durable et l aäronautique... la suite 29 ConfÄrence de F. Renard 30 Visite du Groupe de l EPF 31 Prix Dolomieu ETTC Vols spatiaux habitäs : en route pour le futur 36 Prix et grades 3AF 39 Le projet ÖOASISÜ Editorial Chers membres 3AFTMP, chers amis, Avec beaucoup de retard je m adresse É vous, au travers de notre Gazette, afin de vous präsenter mes meilleurs vœux pour cette nouvelle annäe 2009 : vœux de santä, de bonheur et de räalisation de vos projets les plus chers. En ce däbut d annäe nous avons consacrä tous nos efforts sur le congrås des 28 et 29 janvier 2009 Ö Vers des aäronefs encore plus Älectriques Ü au Centre de CongrÅs Pierre Baudis. MalgrÄ le contexte Äconomique difficile, cette premiåre Ädition a remportä un franc succås avec plus de 200 participants. Un autre grand moment de ce däbut d annäe a ÄtÄ la semaine de formation initiäe par Marie Froment et sa commission Environnement. LÉ aussi une räussite avec la participation d une quarantaine d Ätudiants toulousains (INSA, ESC, ENAC, ENM, EIP, ) Nul doute que 2009 sera trås riche en rendez-vous intäressants et enrichissants pour nos membres. Membres que nous souhaiterions voir encore plus nombreux, comme nous le demande le präsident Michel Scheller, afin que nous devenions Ö la sociätä savante attendue É l audience agrandie Ü. Je vous renouvelle mes bons vœux et je vous remercie trås sincårement pour votre support au profit de 3AF TMP. Alain Chevalier

2 Page : : AnnÄe CharniÅre pour l Europe Spatiale Laurent Mangane SecrÄtaire du groupe de travail ÉObservation et Exploration Spatiale, OESÑ C est avec l arriväe de 2009 qu il est de tradition de faire un bilan sur l annäe que nous venons de vivre et profitons en bien car les prämisses de 2009 laisse penser que nous n en reverrons pas de pareil pour l Europe spatiale avant longtemps. En effet, 2008 a vu l aboutissement des efforts accomplis depuis plus de vingt ans par l Europe pour trouver sa place aux càtäs des grands acteurs de l Espace qu Ätaient il y a encore un quart de siåcle les Etats-Unis et l Union SoviÄtique. Avec la disparition de la seconde et les profondes mutations auxquels se präparent les Etats-Unis, la donne gäopolitique sur laquelle reposait jusqu alors l essor du Spatial a ÄtÄ profondäment et durablement bouleversäe (É moins que ne se präpare une nouvelle guerre froide avec un acteur Ämergeant du càtä de la Grande Muraille). Il n en reste pas moins que les EuropÄens ont su en 2008 s imposer en garantissant en fävrier avec Columbus leur präsence permanente en orbite pour au moins la däcennie É venir et dämontrer en avril que l Europe Ätait digne de figurer dans le club trås fermä des puissances pouvant desservir la station spatiale internationale et enfin de relancer, pour la premiåre fois depuis prås de 15 ans, une campagne de recrutement pour son corps d astronautes. La boucle fât boucläe durant les deux derniers mois de l annäe lorsque LÄopold Eyharts qui nous avait rendu visite virtuellement É la CitÄ de l Espace pour la mise en service de Columbus revenait dans la mäme salle en chair et en os faire le bilan de sa mission ainsi que grãce É l exceptionnelle confärence du 10 däcembre sur l ATV oå AndrÄ Cariou et Lionel Baize n ont eu aucun mal É convaincre l assembläe qu il s agissait bien lé de la plus belle räussite, dås le premier coup, de l Europe Spatiale. Heureusement d ailleurs que cette Europe peut s enorgueillir d une telle maçtrise technologique (le succås du dernier tir d Ariane5 de l annäe, loin d une routine, ne vient que corroborer ce fait malgrä quelques minutes de report) car le bilan politique des 6 derniers mois de l annäe est plutàt däsastreux. PrÄoccupÄe par les conflits limitrophes et dans la crise financiåre qu elle n a pas crääe, les räsultats de la confärence ministärielle de La Haye ont ÄtÄ plutàt en demi-teinte (budget Vols HabitÄs et Exploration amputäs respectivement de 6% et 48%!). On attend toujours ce grand Älan (dont l Europe a encore plus besoin en cette phase de räcession) qu on nous avait fait miroiter et, É court terme, la frilositä des däcisions prises trahit facilement l incertitude encore latente sur le sort räservä É la Conquäte Spatiale par la future administration Obama. Ce que l on sait d ores et däjé, c est que l arrät des navettes de la NASA sera partiellement compensä par l octroi É de nouveaux acteurs de la desserte du fret vers la station. D autre part, l accord avec la Russie pour le transport d astronautes par les Soyouz a ÄtÄ reconduit. Une fois la nouvelle administration amäricaine en place, l Europe Spatiale a rendez-vous en 2009 É Prague pour däcider de son avenir É plus long terme : rester É la remorque voire en retrait (on pense aux räsultats däsastreux de la confärence de Grenade de fin 1992 ainsi qu au feu de paille de la SEI de Bush Senior qui n aurait alors pas coâtä plus cher au budget fädäral que le porte-avion USS Ö George H.W. Bush Ü) ou bien, s appuyant sur les succås de 2008, däcider de son affranchissement et faire dans l exploration de l Espace ce qu Airbus a repräsentä il y a 40 ans pour la construction aäronautique. Une initiative a ÄtÄ lancäe, dans un premier temps au sein de la 3AF, pour que les commissions techniques et groupe de travail concernäs månent une räflexion en vue de cette confärence. La France, trås präsente jusqu alors sur le plan mädiatique, n en reste pas moins qu É la seconde place des contributeurs du budget spatial europäen (les prochains ATVs seront donc assembläs en Allemagne et les Ävolutions majeures d Ariane5 limitäes au suivi des besoins du marchä commercial : c est l häritage laissä par l inägalä H.Curien que l on dilapide) et loin derriåre la Belgique et le Luxembourg si l on rapporte cela aux 65 Millions de Franéais des derniåres estimations (il ne serait pas Ätonnant É l heure des comptes de constater que chaque Franéais aura contribuä plus É Äpauler ses banquiers et ses agents immobiliers par qui est arriväe la crise qu É faire rayonner son industrie spatiale qui aura pourtant enregisträ autant de succås en 2008). Alors, laissons donc un compatriote de Jacques Brel ätre le premier EuropÄen É diriger l ISS car il semblerait que la marasme des banques du Benelux n empäche pas le plat pays de tenir le haut du pavä et puisons notre Älan de 2009 dans les propos du barde d Outre-QuiÄvrain : Ö Je vous souhaite des räves É n en plus finir et l envie furieuse d en räaliser quelques uns! Ü

3 Page 3 Vers des aäronefs encore plus Älectriques L'aÄronautique est concernäe comme tous les moyens de transport par la recherche de l'efficacitä ÄnergÄtique et la räduction des gaz É effet de serre. L'Änergie Älectrique est au cœur de ce challenge. Ce sujet Ätait É l'ordre du jour de la confärence qui s est tenu É Toulouse les 28 et 29 janvier Il ne s'agissait pas tant de räflächir au remplacement des räacteurs par des moteurs Älectriques encore que des aäronefs ultralägers avec ou sans pilote aient däjé volä É l'älectricitä, et que des projets d'avion photovoltaêque visant 24 h d'autonomie soient en däveloppement- mais plutàt d'optimiser la gestion de l'änergie des autres fonctions que la propulsion (commandes de vol, freins, conditionnement d'air, dägivrage, ) et de räduire le poids par rapport aux Äquipements classiques É base notamment de pompes ou de värins. Les laboratoires et les industriels nationaux et europäens qui Ätudient les concepts et däveloppent les matäriels associäs, ainsi que l'administration de l'aviation civile et les compagnies aäriennes, ont ÄtÄ repräsentäs dans les däbats qui se sont tenus É ce sujet pendant ces 2 jours au Centre de CongrÅs Pierre Baudis. Plus de 200 personnes ont assistä avec un intärät toujours renouvelä d un sujet É l autre. Des Ätudiants ont ÄtÄ aussi präsents et ont exprimä leurs appräciations en räpondant positivement É un questionnaire (72 präsents, 30 questionnaires de satisfaction retournäs) Les temps forts ont ÄtÄ l'allocution d'ouverture prononcäe par l'ancien ministre Francis Mer, präsident du conseil de surveillance de Safran, ( plusieurs de ses formules ont ÄtÄ reprises lors de la table ronde de clàture) et la table ronde de clàture qui a rassemblä des repräsentants de la Commission EuropÄenne, de la Direction GÄnÄrale de l'aviation Civile, d'airbus, de Liebherr, de SAFT, du CNRS et de l'onera sur le thåme "Quelle place dans l'aäronautique pour les nouvelles technologies : vision et räalitäs". Cette manifestation est l'une de celles qui marquent le 125ë anniversaire de la SEE, SociÄtÄ de l'älectricitä, de l'älectronique et des technologies de l'information et de la communication. Satisfaction a ÄtÄ exprimäe par les co-organisateurs SEE, 3AF et Aerospace Valley, ainsi que les repräsentants institutionnels DGAC et de la Commission EuropÄenne. Une räädition É Bordeaux de par ce succås remportä É Toulouse, est donc dås É präsent envisagäe. Francis GuimÄra Vice-prÄsident AÄronautique Groupe rägional Toulouse Midi-PyrÄnÄes

4 s. Page 4 Nouvelles configurations d avions : Recherche et Programme Nacre ConfÄrence 3AF du 22 octobre 2008 PrÄsentÄe par Gilles Taquin, Airbus Le programme EuropÄen Nacre dirigä par Airbus est consacrä Å la recherche de nouvelles configurations d avions et des technologies associäes. Les objectifs däfinis par Airbus se regroupent en quatre domaines : l efficacitä globale associäe Å une diminution de 15% du coñt opärationnel de l avion la räduction du bruit de l avion jusqu Å 10 db par vol la consommation carburant associäe Å une diminution de 25% par passager et kilomötre parcouru l amälioration du volume de la cabine jusqu Å +15 Å 20% par passager Bien sñr, comme tous ces objectifs peuvent s avärer contradictoires entre eux, il a ÄtÄ däfini trois champions qui concentreront l activitä de recherche de faüon sälective : Proactive green : clairement axä sur l environnement avec les objectifs associäs de räduction de bruit et fortes Äconomies en consommation de carburant Passenger friendly : il s agit ici d un concept d aile volante qui permet d Ätudier le domaine des cabines vastes et spacieuses Simple flying bus : tout est conüu pour dämontrer une importante räduction de coñts de production dans le concept de l avion ou les technologies employäes Proactive green Deux concepts sont ÄtudiÄs : un avion, Å voilure laminaire sans bec et flöche inverse, ÄquipÄ d un moteur turbofan contra-rotatif un avion, Å voilure grand allongement et faible flöche, ÄquipÄ d un moteur turbo propulseur contra-rotatif

5 . Page 5 Pour chacun des deux concepts, la configuration de voilure sälectionnäe permet de dämontrer de trås importants gains de traçnäe (voilure É technologie laminaire, pour le premier, et voilure É grand allongement pour le second). De plus, l adoption de motorisation É fan contra-rotatif, en redressant l Äcoulement interne et en augmentant les taux de dilution sans nuire É l encombrement, permet de dämonter de fortes räductions de consommation de carburant. Comme tous programmes EuropÄens, ces däveloppements technologiques se font : de faéon thäorique, É partir de calculs numäriques menäs entre diffärentes universitäs et centres de recherche -0.2 Relative length Lower side transitiondesign Upper side transitiondesign Lower side transitioninitial Upper side transitioninitial Relative spanwidth de faéon expärimentale, É partir d essais soufflerie qui permettent d identifier des problåmes potentiels (däcollements d Äcoulements, ) et bien sâr, de calibrer les calculs numäriques präcädents

6 . Page 6 Passenger friendly Le concept d aile volante permet de proposer des am nagements de cabines particuli rement vastes et spacieuses. Bien s r, les difficult s techniques associ es ƒ ce concept sont particuli rement nombreuses et complexes ; entre autres : la r duction des bras de levier se traduit par une diminution de la stabilit de l avion et une complexification de la dynamique du vol par rapport aux configurations classiques les solutions structurales retenues doivent Štre particuli rement tudi es afin de limiter l augmentation in vitable de masse compar e au concept traditionnel du fuselage cylindrique l vacuation de la cabine est aussi particuli rement d licate : comme pour tous les avions de transport du monde, celle-ci doit se vider compl tement en moins de 1 minute 30 secondes en n utilisant que la moiti des sorties (regroup es sur un des cot s de l avion) Pour ce dernier point, le programme Europ en Nacre a permis de : - r aliser, ƒ l universit de Cranfield en Angleterre, des tests d vacuation d un l ment de la cabine tudi e

7 Page 7 puis, l universitä de Greenwich a pu proposer des simulations numäriques d Ävacuation de la cabine complåte pour dämontrer un temps d Ävacuation infärieur É 90 secondes Simple flying bus Dans le cas präsent, il s agit de proposer des solutions techniques qui permettent de dämontrer des coâts de productions räduits pour le constructeur mais aussi des räductions de coâts de maintenance pour les compagnies aäriennes. Ces solutions peuvent ätre : des propositions de nouveaux concepts d architecture de composants majeurs comme la voilure qui, dans ce cas, serait Ö simplifiäe Ü dans sa gäomätrie et syståmes associäs

8 Page 8 des Ö räductions Ü de composants majeurs : la traditionnelle famille empennage + därive est räduite en un empennage en V ÄquipÄ de nouveaux syståmes afin de renforcer la contràlabilitä de l avion. La continuation de l effort de recherche : CleanSky L Ätude et l approfondissement des Ätudes de recherche menäes dans ce programme EuropÄen Nacre va permettre maintenant É Airbus de continuer son effort de recherche cette fois-ci pour la dämonstration des technologies prometteuses retenues : la voilure laminaire et ses gains de traçnäe importants la technologie de fan contra-rotatif associäe aux fortes räductions de consommation de carburant Ces deux points feront l objet de campagnes d essais sur des dämonstrateurs späcialement ÄquipÄs : il s agit du prochain programme de recherche EuropÄen

9 Page 9 Transport aärien et däveloppement durable Philippe Fonta, Airbus Jeudi 27 Novembre 2008 É Airbus France, Philippe Fonta a fait une präsentation sur le transport aärien et le däveloppement durable. Le directeur du däveloppement durable d Airbus a tout d abord rappelä la däfinition du däveloppement durable : Ö DÄveloppement qui räpond aux besoins des gänärations präsentes sans compromettre la capacitä des gänärations futures É räpondre des leurs Ü et comment É travers la RSE (ResponsabilitÄ Sociale des Entreprises) une politique de däveloppement durable peut ätre mise en place dans une entreprise. Philippe Fonta a ensuite präsentä la place du transport aärien dans notre sociätä (avec une croissance annuelle moyenne du trafic passager dans le monde de 4.9%), son ràle dans la vie de chacun. Les Ävolutions du transport aärien ont Ägalement ÄtÄ präsentäes. Tout d abord la constatation que les avions sont aujourd hui de plus en plus gros (par exemple avec l enträe en service de l A380), la taille moyenne des avions augmente de 1.1% par an (configuration, type d avion ). Cela accompagne le nombre croissant de Ö mägacitäs Ü mais va Ägalement dans le sens d une meilleure efficacitä globale du syståme. Sur ce sujet le directeur du däveloppement durable a mis en avant les importantes räduction de bruit, de consommation (et donc d Ämissions de CO2) räalisäes depuis les premiers programmes Airbus. Un avion tel que l A380 consomme aujourd hui moins de 3 litres de fuel aux 100km par passagers. Ensuite les recherche sur les nouveaux carburants, les nouvelles technologies et projets de recherche tel que le JTI Clean Sky ont ÄtÄ abordäs. Ces projets ambitieux auxquels on peut ajouter la mise en place gänäralisäe de l ISO 14001, le projet de recyclage des avions en fin de vie PAMELA, qui entre maintenant dans sa phase industrielle au travers de TARMAC Aerosave mettent en avant une politique volontaire de l industrie aäronautique en terme d Öeco-efficiencyÜ. Finalement l efficacitä environnementale est une brique, une Ätape vers une politique de däveloppement durable. La route est encore longue, il faut encore affiner les outils d Ävaluations des impacts, les processus et mäthodes mais cette Ätape, alliäe É une politique de recherche et d innovation active est primordiale pour toute politique durable et efficace.

10 . Page 10 LÄopold Eyharts en visite Ö la CitÄ de l Espace Laurent Mangane SecrÄtaire du groupe de travail ÖObservation et Exploration Spatiale, OESÜ AprÅs son duplex du 4 mars 2008 däjé relatä dans ces colonnes, LÄopold Eyharts Ätait präsent cette fois physiquement le 6 novembre dernier dans une grande salle IMAX du bãtiment Astralia de la citä de l Espace quasiment pleine pour nous offrir un bilan de sa mission et räpondre aux questions des scolaires venus nombreux, É l invitation de CNES-Education, dans le cadre de l opäration ArgoNAUTES traitant de la vie et du travail É bord de l'iss. En attendant son arriväe, la nombreuse assembläe präsente pouvait revoir en boucle les moments du duplex de mars ainsi qu un film sur le travail des astronautes de l Agence Spatiale EuropÄenne. A son arriväe, LÄopold abondamment applaudi a commencä par commenter, en compagnie de Philippe Droneau, les images du lancement puis un film d une demi-heure räsumant la mission STS-122 et la mise en service de Columbus. Les principales caractäristiques de cette mission furent tout d abord les incertitudes de la mätäo qui ont failli conduire É un nouveau report de tir (sur les films du tir apparaissent de nombreux nuages). Ensuite, LÄopold rappela que les belles images de la camära situäe sur räservoir principal de la navette ont une finalitä toute autre qu esthätique : il s agit d une surveillance du revätement infärieur du ventre et des ailes de la navette qui avait ÄtÄ endommagä au lancement et avait conduit É l accident tragique lors de la rä-enträe de Columbia en 2003 (une extension du bras situä dans la soute permet aussi, dås l ouverture de celle-ci en orbite de poursuivre l inspection du revätement comme le prävoit la procädure instauräe depuis). Les images d animation präsentant le module Columbus et plus particuliårement ses deux plates-formes extärieures le conduisent É rappeler que deux expäriences (sur un maximum de 4 possibles) ont ÄtÄ installäes sur ces plates-formes É l occasion de sa mission. Il präsente quelques chiffres sur les dimensions de Columbus (se räfärer au dossier paru en mai 2008 avec la Gazette 3AF/TMP Në13) et signale, fait remarquable, que l Äquipage de la mission STS-122 comportait pour l occasion deux EuropÄens (Hans Schlegel et luimäme) installäs au cours du lancement dans le Mid-Deck donc sans vision vers l extärieur (sauf un petit hublot peu visible depuis les siåges). La phase la plus critique jusqu É la säparation des boosters ne permet pas beaucoup d Ächappatoire en cas de problåmes mais au-delé, il est toujours possible d interrompre le lancement et de reposer la navette de l autre càtä de l Atlantique. La communication se fait jusqu É cette säparation directement avec le sol puis, la navette entame une manœuvre de roulis de 180ë lui permettant alors de communiquer par le biais des satellites (e.g. TDRS). A l issu d une approche de 48 h, la navette entame sa manœuvre de rendez-vous avec la station qui comprend un 360ë en tangage permettant É nouveau, cette fois É l Äquipage de l ISS, d inspecter et prendre des clichäs de l extärieur de la navette É l aide de camäras munies de täläobjectifs. Le commandant de bord, Steve Frick, räalise alors manuellement l approche finale É moins de 10cm/s. Philippe Droneau signale alors que LÄopold a eu le privilåge pendant ce säjour d appartenir É trois Äquipages diffärents (i.e. STS-122 É l aller, ISS-16 pour l essentiel de sa mission dite Ö stage Ü lorsque aucun vähicule de desserte n est accrochä et STS-123 au retour sur terre). A bord de la station, le premier repas fât pris en commun É bord du module de service de l ISS. La mission STS-122 a comportä trois sorties extra-vähiculaires dont les images sont diffusäes et commentäes par LÄopold : la premiåre, räalisäe par deux astronautes amäricains, a permis de präparer Columbus (installation de la prise permettant au bras de la station de saisir Columbus et des poignäes pour faciliter les däplacements É la surface). Puis, Leland Melvin, aux commandes du bras manipulateur de la station, a saisi Columbus dans la soute de la navette et l a arrimä au Node-2 de la station (manœuvre trås dälicate durant plusieurs heures) au 4 iåme jour de la mission. AprÅs cela, LÄopold Ätait chargä du boulonnage permettant ensuite de pressuriser l interface entre Columbus et le Node-2. Puis, de nombreux cãbles sont passäs entre Columbus et la station dont il däpend notamment pour l alimentation Älectrique, la boucle fluide de contràle thermique, la communication dans une partie de la bande des fräquences et la vidäo. La pänätration É bord du module, moment symbolique important pour l Europe, est ensuite commentäe par LÄopold qui präcise qu elle implique des protections (lunettes et masque) contre d Äventuels däbris mätalliques en suspension. Quelques mots É destination de tous ceux qui ont participä É la construction de Columbus sont prononcäs en präambule de ce moment fort de la mission. A l ouverture du sas, LÄopold a le privilåge d ätre le premier É pänätrer dans la partie europäenne de la Station Internationale et É allumer la lumiåre, clàturant ainsi l une des phases les plus critiques de la mission STS-122. AprÅs cela, un gros travail de reconfiguration du module a eu lieu consistant É däplacer les armoires d expärience vers leurs /...

11 Page 11 emplacements däfinitifs car, pour les besoins du lancement, elles avaient ÄtÄ installäes au plafond du module mieux adaptä pour le chargement et le centrage de la navette. Lors de la seconde sortie extra-vähiculaire, l autre astronaute EuropÄen, Hans Schlegel, a räalisä un certain nombre d opärations de maintenance de la station dont le remplacement d un räservoir d azote sous la supervision d Alan Poindexter, pilote de la navette mais aussi Ö chorägraphe Ü de ces sorties (i.e. lit les procädures et aide les astronautes opärant les sorties). Enfin, la troisiåme et derniåre sortie, dans laquelle LÄopold Ätait aussi directement impliquä, avait pour but de däplacer les expäriences externes depuis la soute de la navette vers les plates-formes extärieures de Columbus. Deux modules d expäriences, l un d astrophysique (SOLAR) et l autre sur l environnement spatial (EuTEF) sont alors mis en Photo : Philippe Droneau et LÄopold Eyharts place. Un usage intensif d un Ö perchoir Ü fixä É l exträmitä du bras tälämanipulateur permet aux astronautes en scaphandres de se däplacer plus facilement É l extärieur de la navette. Les modules externes sont d abord prä-positionnäs É l aide de pics de centrage et maintenus grãce É des aimants puis vissäs au moyen du Ö pistolet Ü visseuse-dävisseuse. Cette derniåre sortie permet aussi la räcupäration d un gyromåtre de la station (CNV) tombä en panne, pour analyse et räparation au sol. RÄpondant É une question de Philippe Droneau, LÄopold präcise qu il a dormi durant sa mission dans sa cabine situäe dans le module de service russe dont l environnement sonore est favorable puis, É l arriväe de son remplaéant et en attendant son retour sur terre, dans une autre partie russe de la station beaucoup plus bruyante. Il commente ensuite les images des exercices physiques indispensables au maintien en forme É bord de la station (environ 1h30 par jour) pour minimiser les effets indäsirables du retour É la pesanteur (tapis roulant, appareil de musculation ) mais präcise que le plus clair de son temps a ÄtÄ consacrä durant ses 3 semaines d'iss-16 au travail dans le module Columbus notamment É l expärience de physique des fluides ayant renconträ alors des difficultäs (räsolues depuis) et sur laquelle il continue É travailler depuis son retour sur terre. L expärience BIOLAB a pu quant É elle dämarrer sans problåme. Il a aussi präparä une expärience italienne É l intärieur du module amäricain qui apparaçt comparativement moins bien rangä que Columbus (LÄopold präcise que ce n est pas toujours le cas) oå l on peut le voir manipuler le PC portable d interface permettant de contràler le module ainsi que la boçte É gants de l expärience BIOLAB oå on a pu voir, grãce É WAICO, croçtre de petites plantes en apesanteur. Les duplex avec le sol occupent aussi une partie du film commentä y compris celui räalisä avec la CitÄ de l Espace en mars Des moyens radio-amateurs situäs dans l un des modules russes permettent aussi ce type de contacts en particulier avec des Äcoles (dans le public, un repräsentant du LycÄe de Clermont-l'HÄrault Ävoquera lors des questions l'un de ses contacts avec LÄopold via le räseau radio-amateur international, relayä jusqu'en Australie). Enfin, LÄopold commente avec plaisir des images de la terre prises depuis la station et en particulier celles de la càte basque (Biarritz et son aäroport) qui lui tient particuliårement É cœur. Depuis l'espace, on se rend compte qu'il y a plus de mer que de terre d'oå la difficultä de telle prise de vue (en 400 mm) renforcäe trås souvent par la präsence de nuages ou gänäe par les 15 passages nocturnes intervenant chaque jour. Par contre, la plupart des hublots de l'iss Ätant ouverts sur la terre, la contemplation des Ätoiles bien que possible n'est pas aussi aisäe que depuis la navette comme il sera amenä É le präciser lors de la säance des questions, präcisant aussi que le ciel y apparaçt plus profond par l'absence d'atmosphåre. A l'arriväe de STS- 123 (mission impliquant le Japon, dont un astronaute, Takao Doi, participe au vol et le Canada), on voit däbarquer un petit module logistique japonais (1 er ÄlÄment japonais de la station) complätant le laboratoire Kibo qui arrivera 2 mois plus tard et un robot canadien nommä DEXTRE complätant, une fois assemblä, le bras tälämanipulateur de la station. Toutefois, c'est le bras de la navette qui est utilisä pour la mise en place du petit module japonais. L'Äquipage ayant eu droit pour l'occasion É un repas japonais, LÄopold confirme que les baguettes sont plus faciles É utiliser dans l'espace. Puis, une armoire d'expärience amäricaine est däplacäe dans Columbus conformäment aux accords ESA-NASA. Enfin arrive le moment du retour sur terre de STS- 123 avec L. Eyharts É bord oå l'atterrissage, retardä d'une orbite É cause de la mätäo, eu lieu finalement de nuit pour la premiåre fois depuis 5 ans: manœuvre parfaite du Commandant de Bord Dom Gorie car LÄopold tämoigne avoir É peine senti les roues du planeur toucher le sol. Seul est perceptible, le bruit de l'apu avant que ne se däploient les parachutes de freinage. LÄopold complåte sa präsentation par des images de la mission ATV auquel fut consacräe la derniåre confärence 3AF de 2008 ainsi que des vues de l'iss dans sa configuration finale, qui doit accueillir É partir de cette annäe jusqu'é 6 membres d'äquipage en permanence. Longuement applaudi É l'issu de cette präsentation qu'il a räalisäe avec plaisir, LÄopold dädie aussi sa mission É tout le monde en Europe qui a contribuä É cette magnifique aventure, parfois indirectement.

12 Page 12 Les premiåres questions se portent alors sur la säcuritä (filins reliant les astronautes en sortie EVA É la station, risques/peurs au moment du lancement, risques d'impact avec d'autres objets en orbite...) : le public non plus ne s'y trompe pas, "Safety First!". Ces risques que LÄopold dit bien connaçtre mais pour qui la peur principale reste de ne pas räussir sa mission, les autres peurs s'effaéant devant la motivation du vol spatial longtemps attendu. Puis, LÄopold exprime l'impression d'avoir beaucoup de place dans la station surtout lorsque l'on vient de la navette occupäe par 7 membres d'äquipage (LÄopold compare la vie dans la navette É du camping: bien que plus grande que Soyouz, on y est aussi plus nombreux). La joie des retrouvailles avec les astronautes depuis plusieurs mois dans la station reste aussi un sentiment inoubliable. LÄopold apporte ensuite quelques präcisions sur la säquence d'arrimage de la navette É l'iss et tente de räpondre simplement É une question sur le protocole d'expärience sur le gravitropisme faisant l'objet de WAICO (4 boites dont une partie est soumise É une pesanteur artificielle grãce É la centrifugeuse de BIOLAB: LÄopold reconnaçt avoir eu du mal É manipuler tout cela en apesanteur dans la boite É gants de ce laboratoire). LÄopold confie ensuite ses projets pour le futur (il continue É travailler É Houston pour le compte de l ESA et en aidant notamment É präparer puis au support de la mission de 6 mois de Frank de Winne qui Ätait sa doublure lors de la mission Columbus ainsi qu au support des expäriences puis en rentrant en Europe, il travaillera au COL-CC É Oberpfaffenhofen) en avouant que mäme si sa däcision n'est pas encore prise, il est peu probable pour diverses raisons (en particulier parce que l'europe n'a pas assez de vols mais aussi pour laisser la place aux plus jeunes), qu'il reparte. Cependant, plus le temps passe et plus le souvenir de sa mission ressemble pour LÄopold É un räve (NDR: les vidäo-clubs classent mäme le film "Apollo 13" dans la catägorie "Science-fiction". L'avenir leur donnera-t-il raison?). En plus d'un important travail de construction de l'iss (bientàt terminä) et du däbut des expäriences (pas uniquement É bord de Columbus mais partout dans la station: le long entraçnement a permis É LÄopold d'intervenir aussi dans la partie russe et dans la partie amäricaine), les activitäs É bord de l'iss ont pour objectif de präparer le futur (retour vers la Lune puis voyage vers Mars) et de permettre un jour d'"aller plus loin" selon les propres termes de LÄopold en räponse É une question. Il confirme les difficultäs d'adaptation É l'apesanteur puis de rä-adaptation sur terre et relåve que le travail en apesanteur est quelque chose de difficile loin de la joie du panorama et des pirouettes pour la dätente. S'ajoutent É cela des troubles du sommeil non seulement parce l'activitä physique plus räduite rend le repos moins näcessaire mais aussi É cause des nombreux däcalages subis (par rapport É la räfärence du temps universel utilisäe normalement) afin de se phaser soit avec le sol, soit avec les vähicules desservant la station mais LÄopold confie ne pas avoir eu de problåmes de dos contrairement É son vol präcädent. De mäme, sa pression artärielle est restäe proche de celle sur terre mais les efforts moindres du cœur font parfois craindre des risques d'atrophie du muscle cardiaque comme il le präcise en räponse É une question. D autres questions plus classiques (comment respirer dans la station, diffärence entre spationautes et astronautes, quantitä d ergols dans la navette ) seront posäes par le jeune public. Pour conclure sur l avenir, LÄopold disait alors compter beaucoup sur la confärence de La Haye notamment pour däcider d un futur moyen de transport des EuropÄens vers l espace rappelant que lors de sa sälection en 1990, il existait däjé le projet HermÅs. Il a alors offert É la CitÄ de l Espace en la personne de son Directeur Bernard Burel, la combinaison qu il portait lors du duplex de mars 2008 avec la CitÄ. TrÅs grande surprise et M. Burel, au nom de toute son Äquipe, remercie chaleureusement LÄopold pour ce geste hautement symbolique qui permet d entretenir les relations toujours trås bonnes entre l Agence et la CitÄ de l Espace ainsi que pour le temps passä avec le public de la CitÄ en mars et É nouveau en novembre 2008 (10 ans aprås sa premiåre visite en 1998) malgrä son emploi du temps exträmement chargä. M. Burel rappelle l intärät portä par le public et en particulier les visiteurs de la CitÄ aux vols habitäs plus qu É toute autre activitä spatiale. Chez les jeunes, cette engouement se traduit par le succås jamais dämenti des opärations Ö Passe ton diplàme d astronaute junior Ü (plus de en 2008). LÄopold conclut en remerciant le public et en particulier les enfants pour leurs questions et par des mots d encouragement pour leurs carriåres futures dans le spatial pour ceux qui le choisiront.

13 Page 13 Le bureau Toulouse Midi-PyrÄnÄes est heureux de vous informer de l arriväe des personnes suivantes au sein de notre groupe Nous souhaitons la bienvenue É : Nom Prenom Societe ANTYPAS JÄràme AIRBUS France BESSON Dominique BOMIN Guillaume AIRBUS SAS CASTERAN Simon ECOLE de JOURNALISTE de TOULOUSE DE MAUPEOU Benoçt EADS - ASTRIUM FAURE Jean-Marc AIRBUS France FENEUX Brice MOOG FLAMENBAUM David CNES FRANCES Philippe SECAFI ALPHA GILSON Eric MOOG GUICHOT Cyril ISAE HOARAU Thomas ISAE IGNAT Jean-manuel LABINAL SAFRAN GROUP MAFFREN Thierry UNIVERSITE Paul Sabatier - U.F.R. MARINELLI Mauro AIRBUS SAS MOURA GrÄgory EVOSYS PìHLKE Friso WORKDESIGNERS RABIET Christian AIRBUS SAS RETTIG RenÄ MEDES/IMPS ROSSET Rodolphe SUBRA DE SALAFA Hugues AIRBUS SAS TANAY Matthieu AIRBUS SAS Mercredi 18 mars 2009 Ö 18h CitÄ de l Espace avenue Jean Gonord Toulouse Evolution Ariane 5 Joseph BERENBACH, CNES Evry Les lanceurs actuellement en exploitation en Europe ou en cours de däveloppement sont ARIANE 5, Soyouz et VEGA. Ces lanceurs permettent de couvrir la trås grande partie des besoins de lancement de satellites É court et moyen terme. Quels seront les lanceurs du futur qui les remplaceront É l'horizon 2025? ívolution de ces lanceurs? Lanceurs räutilisables ou partiellement räutilisables? Quels seront les modes de propulsion du futur? Oå seront les bases de lancement? L'exposÄ tente de räpondre É ces questions sur la base des Ätudes conduites en Europe et dans le monde sur les lanceurs futur. EntrÄe libre et gratuite Mercredi 29 avril 2009 Ö 18h CitÄ de l Espace avenue Jean Gonord Toulouse La Station Spatiale Internationale (ISS) et l'exploration spatiale Michel TOGNINI, ESA/EAC Cologne Un des spationautes franéais de l'european Astronaut Corps (EAC) viendra nous präsenter les vues europäennes sur l'exploration humaine de l'espace au cours des däcennies É venir. Tout d'abord le court terme avec l'exploitation de la Station Spatiale Internationale entre l'arrät des vols de la Navette Spatiale et le däbut d'exploitation opärationnelle du syståme Orion. Ensuite l'occupation progressive de la Lune avec deux objectifs trås diffärents: -L'Exploitation de la Lune et de son environnement (Science, Technologie, Exploitation des ressources du sous-sol,...). -Relais pour les missions vers Mars, ne serait-ce que comme terrain d'entraçnement. Enfin le long terme sera esquissä, au moins en terme de calendrier raisonnable, en particulier le premier voyage vers Mars. EntrÄe libre et gratuite

14 Page 14 Un coup de pouce au CISEC Le CISEC a ÄtÄ distinguä aux "Mechatronics Awards", le 3 däcembre dernier. Le CISEC est un club d'ingänieurs, Ämanation de trois sociätäs savantes, la 3AF, la SEE, et la SIA. Ces trois associations organisent conjointement la confärence internationale "ERTS - Embedded Real-Time Software" et ont däcidä de pärenniser cette synergie en cräant däbut 2007 le CISEC sur les SystÅmes EmbarquÄs Critiques. Le club organise des journäes techniques favorisant les Ächanges entre les confärenciers et l'audience. Il est basä É Toulouse au sein du pàle de compätitivitä Aerospace Valley. Les journäes techniques organisäes couvrent un large domaine, de l'avionique modulaire intägräe É la formation É l'ingänierie des syståmes, du monde de la santä É la mäcatronique... cis e c La mäcatronique est la combinaison de la mäcanique, de l'älectronique et de l'informatique temps räel. L'intÄrät de ce domaine d'ingänierie interdisciplinaire est de concevoir des syståmes automatiques puissants et de permettre le contràle d'ensembles complexes. Une räalisation mäcatronique embarque un syståme. Les journäes d'ätude du CISEC abordent donc des sujets d'intärät pour les mäcatroniciens. De plus, une journäe entiåre a ÄtÄ dädiäe É la mäcatronique. Ce 20 novembre 2007 lé, des orateurs des laboratoires LAAS et LAPLACE, et des industriels d'airbus, Eaton, Siemens et Actia ont illusträ le concept de la mäcatronique en montrant la näcessitä de dialogue entre disciplines et leur intägration. La journäe Ätait titräe "les mäcas parlent aux troniques" et s'est tenue dans les locaux de l'enseeiht. Les "Mechatronics Awards" ont ÄtÄ däcernäs conjointement par ARTEMA, le CETIM, SCS et THESAME. Ces quatre partenaires sont bien Ätablis sur la scåne de la mäcatronique franéaise et ont saluä l'ämergence d'un petit nouveau, le CISEC, en lui attribuant le prix "coup de pouce mäcatronique". CISEC : Club Inter-associations des SystÅmes EmbarquÄs Critiques 3AF : Association AÄronautique et Astronautique de France SEE : SociÄtÄ de l'electricitä, de l'electronique et des Technologies de l'information et de la Communication SIA : SociÄtÄ des IngÄnieurs de l Automobile ARTEMA : Syndicat des Industries de la MÄcatronique CETIM : CEntre Technique des Industries MÄcaniques SCS : SystÅmes - Composants - Solutions, le salon des technologies Älectriques, d'automation, de transmission et de mäcatronique ThÄsame : RÄseau technologique pour les entreprises en mäcatronique, productique et management de l'innovation.

15 Page 15 JournÄe CISEC Des SystÅmes embarquäs critiques aux syståmes Enfouis Vitaux Le 10 däcembre 2008 Ö la FacultÄ de MÄdecine de Rangueil Cette journäe organisäe par le CISEC (Club Interassociations des SystÅmes EmbarquÄs Critiques) et Midi- PyrÄnÄes Innovation, avec le soutien des pàles Cancer Bio SantÄ et Aerospace Valley, a rassemblä 92 personnes É la facultä de mädecine de Rangueil. Les präsentations suivantes ont ÄtÄ effectuäes (les supports seront prochainement disponibles sur le site Web du CISEC : Introduction gänärale - Alain Costes (LAAS) Description d un syståme embarquä mädical É vital Ñ, ses contraintes, ses besoins en sâretä de fonctionnement : le cœur artificiel däveloppä par CARMAT - Marc GrimmÄ (CARMAT) Exigences de sáretä de fonctionnement des syståmes utilisäs en mädecine nucläaire - FrÄdÄric Courbon (CHU Toulouse / Institut Claudius Regaud) Les normes relatives Ö la sáretä de fonctionnement des SEC mädicaux (Ätat des lieux et des besoins) Retour d expärience liä Ö des accidents (exemple sur-irradiation impliquant des appareils mädicaux) - Jean-Claude Ghislain (directeur de l Ävaluation des dispositifs mädicaux É l AFSSAPS) Les nouvelles technologies de la micro-älectroniques : ràve ou cauchemar? Tout ce que l on doit savoir pour bien les utiliser Philippe Perdu (CNES) Vision gänärale des besoins actuels et futurs en syståmes embarquäs d aide Ö la personne - Pierre Rumeau (INSERM U558 / CHU Toulouse / GÄrontopàle ) Programme de recherches en robotique mädicale Alain Riwan (CEA LIST) Ce programme de präsentations a ÄtÄ suivi d une table ronde dont voici le compte-rendu : GÄrard Ladier(Airbus) lance le däbat Comment mieux communiquer entre les mondes de la santä et de l ingänierie des syståmes enfouis critiques? Que peut-on faire ensemble? Marc GrimmÄ (Carmat) Sans nul doute, l engagement de Jean-Luc LagardÅre a fait avancer le projet de cœur artificiel. NÄanmoins, les coâts de däveloppement et l accås au marquage CE (tests) sont des freins Änormes. La conformitä aux normes näcessite un accompagnement. Parmi les däfis É relever et les actions É conduire, on peut noter : - trouver les financements pour le coât de däveloppement sâr, - Ätablir des liens entre recherche et industrie (difficile É cause du manque de temps), - surveiller les däcalages technologiques. Jean-Claude Ghislain (AFSSAPS) Besoins / difficultäs : - savoir dans quelle classe räglementaire ranger les nouveaux mäcanismes, - anticiper pour pouvoir dälivrer des autorisations d'essais cliniques, - gärer la pluri-disciplinaritä et favoriser le däcloisonnement.

16 Page 16 Tout en ciblant la säcuritä sanitaire (rägime d autorisation), l AFSSAPS peut favoriser les avancäes technologiques et applicatives et ainsi säcuriser les däveloppements : par un accompagnement råglementaire, par la cräation de liens entre partenaires. Il n est cependant pas facile de zapper d initiative É initiative. G. Ladier : IntÄrät d'avoir des contacts avec ce qui se fait en aäronautique? J.C. Ghislain : Oui, mämes principes d'analyse de säcuritä. Les bonnes pratiques sont räutilisables (par exemple mäthode logicielle). L Agence a beaucoup rääcrit. Une comparaison intersectorielle est näcessaire. Alain Julien (Alstom - programme fädärateur en Älectronique du påle Aerospace Valley) Les difficultäs ÄvoquÄes sont partageables : gestion de l Änergie, IHM, adaptation É des modifications logicielles, intägration des composants. CàtÄ standardisation, les interdits priment sur les recommandations (bonnes pratiques) et c est un signe de jeunesse du domaine. Le marchä mädical croçt, la filiåre Älectronique mädicale a besoin d'ätre structuräe. L'approche syståme est É consolider. CàtÄ politique, une feuille de route R&D est É däfinir pour avoir une chance de trouver des financements. Les diffärentes entreprises concernäes se connaissent mal, il faut aider É les faire se connaçtre. On constate näanmoins une vraie dynamique. Il faut d abord rassembler (groupes et PME ) et partager pour aller É l innovation. Alain Riwan (CEA) Le CNRS a mis en place le GDR robotique (incluant la robotique mädicale), lequel permet de structurer la recherche en ce domaine. Une difficultä est d'arriver É faire communiquer "chirurgiens/mädecins" et technologues. Aujourd'hui les meilleurs praticiens ont du recul et acceptent de collaborer (mais ils ne sont pas näcessairement les plus repräsentatifs). Bernard Gout (SISMIP) Le SISMIP accompagne des petits projets aujourd'hui dans le domaine des syståmes mädicaux critiques. Il faut avoir de l ambition et favoriser le passage É l Ächelle. Si l on n est pas visible, la räglementation est une barriåre. Une autre difficultä est d'arriver É faire communiquer praticiens et technologues. Il est donc important de se dävelopper, de communiquer É une plus grande Ächelle pour mieux se faire entendre (y compris au niveau des normes). AndrÄ Peyre Lavigne (JPAD Conseil AffiliÄs LAAS) Cette journäe est une premiåre car les mädecins, pour une fois, parlent de leur besoin et ne se le font pas expliquer par des Älectroniciens. Pierre-Antoine Ferrandon (Ätudiant, repräsente le Master IUP ISME) Prise de conscience de l'intärät des syståmes mädicaux Exemple de syståmes embarquäs et de problåmes de SdF concrets IntÄrät de voir des professionnels au travail Plus de journäe de ce type Coup de cœur : le cœur artificiel. Jean Tkaczuk (CHU Toulouse - Vice präsident MPI) PrioritÄs MPI : mettre en relation les PME avec les laboratoires trianguler les pàles Aerospace Valley, ; AgriMIP et Cancer Bio SantÄ transfärer des savoirs aerospace et automobile vers d'autres domaines dävelopper des collaborations en Europe du Sud (Languedoc, BalÄares, Catalogne ) cräer des "lieux" de rencontre pour arriver É faire Ämerger des projets É l'interface des biotechnologies La rägion däveloppe des lignes de financement. En Midi-PyrÄnÄes, les syståmes embarquäs et les applications mädicales ont une place lägitime. Marc GrimmÄ (Carmat) Il est indispensable d'aller sur le terrain mädical. Ne pas voir dans le mädecin le Ö super innovateur Ü tant recherchä : en voyant son geste on peut suggärer. Pour les normes : travailler tàt est un must. Tester en ce domaine est une activitä vraiment nouvelle pour Carmat (expärience MBDA antärieure).

17 Page 17 La mutualisation est indispensable, on ne peut, seul, tout faire bien : il est intäressant de collaborer avec des späcialistes. Mais le marchä est färoce, les PME n'ont pas de budget pour faire de la R&D et se diversifier. Un souci : la propriätä industrielle (PI)! Lorsqu'un prototype est däveloppä de maniåre collaborative (cf. programmes europäens), la PI est diluäe et cela ne pousse pas aux däveloppements ultärieurs. Chantal Naud (Cabinet AMC2) La transversalitä des syståmes d'information permet les synergies et les innovations. Mais la tendance n'est pas aux projets technologiques coâteux et de longue duräe : il va falloir tirer partie des räseaux existants (laboratoires, formations, ). Un livre blanc des mätiers de la santä (avec une vision Ö SystÅmes EmbarquÄs Ü) doit ätre mis en chantier, sans pour autant oublier les patients. Philippe Perdu (CNES) Le däcloisonnement est important mais les räseaux n'apportent que progressivement. Il faut persävärer et tenter de cräer des opportunitäs. Cette journäe CISEC illustre bien ce däcloisonnement (mädecine / syståmes embarquäs). Pour les financements, il est bon de recevoir l'aide Ätatique, mais essayer de partager des moyens financäs sur fonds propres est tout aussi pertinent. FrÄdÄric Courbon (MaÉtre de confärence - CHU Toulouse ICR) L'hàpital est un monde ouvert : les ingänieurs et techniciens sont les bienvenus. Des compätences relativement simples en informatique (par ex. en gestion des images ou transfert de l'information) pourraient grandement aider É court terme. Des gisements entiers d optimisation s offrent au savoir-faire local. AndrÄ Peyre Lavigne Il faut sortir de l agora et ouvrir des routes gallo-romaines La rägion Midi-PyrÄnÄes est incontournable au niveau de Ö l approche syståme Ü et cela transverse les trois pàles de compätitivitä rägionaux. En R&D, la difficultä est le Ö D Ü pour däpasser le niveau Ö niche Ü, plus que le Ö R Ü. C'est faisable, en däveloppant une plates-forme mutualisante Les acteurs les plus motiväs devraient faire un groupe de travail pour progresser sur le sujet : Ätablissement d une feuille de route Ö syståme Ü ; däfinition d une plate-forme mutualisante etc. Jean Tkaczuk DÄceler les opportunitäs, c est bien. Mais il faut aussi däclencher l'envie de poursuivre et la communication doit y contribuer (un levier non nägligeable est bine l'envie des ätres humains). Les financements (recherche fondamentale mise É part) peuvent ätre trouväs. Une difficultä des mädecins est de trouver du temps libre pour faire autre chose que du productif mädical direct.. MPI favorisera l Ämergence d'autres journäes d'information. Questions de la salle : Comment passer du savoir faire certification qui existe en informatique / Älectronique au domaine mädical? Jean-Claude Ghislain C'est un secteur jeune. Tous les räfärentiels sont possibles É condition que l'on dämontre qu'ils sont aussi pertinents que la norme en secteur mädical. Il y a des efforts faits au niveau des formations pour transfärer la problämatique mädicale. Il y a peu de consulting sur le domaine aujourd'hui, l'afssaps peut aider ponctuellement mais n'a pas les moyens de faire du support systämatique. Des possibilitäs de partage entre groupe de normalisation existent mais c'est difficile : les normes sont (trop?) cloisonnäes Le monde mädical präsente une difficultä : les utilisations et les utilisateurs ne sont pas Ö standardisäs Ü. En conclusion, une journäe passionnante, avec des orateurs passionnäs et passionnants, une qualitä d Äcoute rare et une trås forte volontä de däcloisonnement entre professionnels de la santä et Ö technologues Ü, qui doit däboucher sur des initiatives communes. Pour le CISEC : G. Ladier, C. Seguin, P. Vielcanet

18 Page 18 Gimont, Bastide gersoise au coeur de Midi-PyrÄnÄes, terre de l aäronautique. En plein essor dämographique, la Bastide de Gimont, entre Gascogne et Haute-Garonne, sur le chemin de Toulouse, est situäe sur l ItinÄraire É Grand Gabarit de l A 380. DÅs l aube de la conquäte de l air, ce terroir privilägiä se voit profondäment impliquä dans la saga de l aäronautique franéaise, en tant qu acteur et observateur. Depuis 2005, chaque nouvelle Ädition des Rencontres de l AÄronautique de Gimont s enrichit de thämatiques nouvelles, attirant de plus en plus de visiteurs. Sous la houlette de M. Pierre Duffaut, Maire de Gimont et PrÄsident de la CommunautÄ de Communes, ces manifestations apparaissent comme le rendez-vous unique de l histoire, de l invention, du cinäma, de la haute technologie, des acteurs et des mätiers de demain, dans le Gers. Elles sont accompagnäes d un pàle savoir-faire artisanal et rural, vitrine du patrimoine gascon. QUATRIEME EDITION Du 1er au 5 octobre 2008 EMBARQUEMENT IMMEDIAT Du I er au 5 octobre 2008, inauguration du nouvel aäroport de Gimont. Vols low cost (bas prix) et gratuits vers de nouveaux horizons! Les QuatriÅmes Rencontres de l AÄronautique embarquent le grand public dans une aventure de grande envergure, depuis le premier avion de ClÄment Ader au tourisme spatial. Des projets et engins futuristes dätonnants d EADS Astrium et Virgin Galactic entre autres vous seront präsentäs. L Agence Spatiale EuropÄenne vous invitera É la däcouverte de l espace, de ses fusäes et satellites, de Columbus et de la navette ATV : la navette revient sur terre le 29 septembre, É la veille des Rencontres. L ESA dävoilera les perspectives de däveloppement durable que ses immenses avancäes scientifiques offrent au monde. Notre tradition de mämoire de l aviation se poursuit. En 2005, Gimont a präsentä l histoire de l AÄrospatiale, suivie en 2006 par l ÄpopÄe de Jean Mermoz, et en 2007 par la saga des pionniåres et häroênes de l aviation. Entrez, passez le portique de dätection. Rendez-vous au comptoir d embarquement. Visitez les boutiques et stands vers des horizons inädits. En 2008, redäcouverte de l inventeur de gänie ClÄment Ader, de Muret, qui donna des ailes É l humanitä. Et l exceptionnelle aventure de l aviateur Brindejonc des Moulinais avec ses campagnes du Sud-Ouest. Au cours du Festival, plusieurs films passionnants pourront ätre visionnäs par le public. Et venez nombreux au Meeting AÄrien du dimanche pour clàturer ces Rencontres!

19 Page 19 PARTICIPER, RENCONTRER, GOUTER, REGARDER, IMAGINER Cet automne 2008, ces Journ es ont l ambition de faire le grand cart! De pr senter le plus vaste panorama imaginable de l a ronautique, ƒ l chelle de la Terre et de l Espace. EXPOSITIONS Histoire et prospective : - L embl matique inventeur Cl ment Ader, auteur du premier avion, c l br par le grand po te Guillaume Apollinaire, 100 km au-dessus du globe terrestre, les nouveaux avions de tourisme suborbitaux. POLE CULTUREL - Conf rences et d bats r unissant experts, constructeurs, ing nieurs, historiens, pilotes, artistes Festival du Film VITRINE DU PATRIMOINE ET DU SAVOIR FAIRE TRADITIONNEL ARTISANALE ET RURAL ANIMATIONS LUDIQUES MEETING AERIEN SPECTACLE PYROTHECNIQUE Cette ann e, nous serons pr sents : apport et support de conf rences et conf renciers et tenue d un stand Alice Torgue, vice-pr sidente 3AF- Ingrid Carlander Comit de pilotage Rencontres de l a ronautique de Gimont - Jo lle Stella, 3AF Monsieur Pierre DUFFAUT, maire de Gimont, pendant son discours d inauguration

20 Page 20 Et la suite. en 2009 Compte rendu de la räunion du 23 janvier 2009 PrÄsents : Alain Chevalier, 3AF Francis Guimera, 3AF- Marie Froment, 3AF Alice Torgue, 3AF Pierre Duffaut, Maire de Gimont, Alain Disy, Directeur Gimont Les points abordäs ont monträ l'intärät de 3AF pour cette manifestation. Il s'agit maintenant de construire progressivement un partenariat qui pourrait däbuter par la räalisation d'une journäe d'ätudes ouverte au public et se poursuivre par l'organisation de confärences. Les enjeux en terme de däveloppement de territoire ont ÄtÄ präsentäs. Cette manifestation est un des ÄlÄments de dynamique et de däveloppement du Gers. Pour accompagner ce projet de territoire, une structure est en cours de cräation en partenariat avec l'aäroport Toulouse-Blagnac. Son conseil d'honneur sera composä de personnalitäs du monde aäronautique däsireuses de mettre en synergie leurs räseaux, leurs expertises, etc. Il serait pertinent que 3AF soit repräsentäe au sein de ce conseil d'honneur. Edition 2009 Dates de la manifestation : 30 septembre au 4 octobre 2009 Date de la journäe d'ätudes : Vendredi 2 octobre 2009 Lieu : AmphithÄãtre de la CommunautÄ de Communes Arrats Gimone (100 places) Nombre de participants souhaitä : 80 ThÅme : aäronautique et environnement (É präciser) RÄtro planning : Date d'envoi de l'information aux participants Juin 2009 Relances : septembre 2009 Il a ÄtÄ abordä l'opportunitä de cräer un ÄvÅnement en clàture de la journäe. Point É approfondir. Plusieurs questions ont ÄtÄ souleväes qui seront abordäes ultärieurement : Logistique associäe : nuitäe ou pas, organisation de la restauration, organisation du transport en commun depuis Toulouse et/ou l'aäroport ainsi que depuis la gare de Toulouse; Choix des confärenciers; Liste des invitäs É däfinir; ThÅmes É präciser; Il conviendrait d'ätablir un planning de travail pour assurer le montage de l'opäration. La date de la prochaine räunion n'a pas ÄtÄ arrätäe. Alain Disy Directeur GÄnÄral Mairie de Gimont

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