AP : Prévention tertiaire Réalités et mécanismes biologiques
|
|
- Irène Déry
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 7ème Journées Scientifiques du pôle de cancérologie de Troyes TROYES 14 avril 2012 AP : Prévention tertiaire Réalités et mécanismes biologiques Dr Thierry BOUILLET Sve d Oncologie CHU Avicenne Paris 13 Président de la Fédération Nationale CAMI Sport et Cancer 1
2 Dépense énergétique en MET-heure Metabolic Equivalent Task-h = dépense énergie assis 1 heure 3,5 ml O2 / Kg / minute Mesures activité physique (AP) Marche normale = 3 MET h < 6 MET - h : marche, escaliers >6 MET - h : footing, tennis, natation Population de référence en Europe et USA < 3 MET-h par semaine d activité ludique 2
3 Exemples de mesures d AP Activités sportives Yoga 2,5-3,5 Aqua gym 4 Jogging en salle 4,5 Danse 4,5 Vélo 4-10 Aviron 3,5-6,5 Natation 4-11 Tennis 5-8 Arts martiaux 10 Squash 12 Vie courante Station assise 1 Cuisiner 2 Faire le ménage 2 à 4 Bricoler 3 à 5 Marcher 2 à 3 Jardinage 3 à 6 3
4 Exercice physique et cancer Quels effets sur la survie???? Prévention tertiaire 4
5 Impact AP après soins survie cancers du sein Huit publications Cohortes de femmes porteuses de cancer du sein non métastasé et contrôlé Questionnaires activité physique ludique dans les deux à quatre ans post diagnostic Type d activité, fréquence, intensité, durée par semaine après le cancer Taux de rechute et de décès selon niveau AP ( > 9 MET-H/Sem vs < 3 Met-H/sem ) ou Durée 5
6 Association activité physique après soins et taux de rechute des cancers du sein
7 Méta analyse impact AP survie cancers du sein AP après cancer réduit la mortalité globale RR = 0,59 (0,53-0,65) p < 0,00001 AP après cancer réduit la mortalité spécifique RR = 0,66 (0,57-0,77) p < 0,00001 Bénéfice en cas de BMI > 25 et sur les formes RH + E Ibrahim, A Al-Homaidh (2010) Med Oncol Apr 22 7
8 Association AP et survie des cancers du sein Bénéfice survie à 5 et à 10 ans = 4% et 6% Bénéfice en survies globale et spécifique Bénéfice quelle que soit l activité physique initiale Association AP et survie en multivariable incluant âge, stade TNM, lieu de résidence, alcool, tabac, BMI, statut hormonal... Effet seuil et courbe Met-H/ sem et impact survie 8
9 Activité physique et survie après cancer Autre que le cancer mammaire? 9
10 Impact survie cancers coliques Trois publications Cohortes cancer coliques non métastasés et contrôlés Questionnaires activité physique post diagnostic Population référence < 3 MET H / semaine 10
11 Impact survie cancers du colon 11
12 AP et survie cancers prostatiques hommes cancer prostate non meta et non décédés dans les 4 ans Multivariable : Âge, Gleason, TNM, TT, AP avant, BMI, Régime, race, Diabéte AP Totale > 9 vs < 9 MET-h/sem RR Mortalité globale = 0,67 (0,56-0,82) RR Mortalité spécifique = 0,65 (0,43-1) AP intense > 3 H/sem AP intense vs < 1 H/sem AP intense RR mortalité globale = 0,51 (0,36-0,72) RR mortalité spécifique = 0,39 (0,18-0,84) SC Kenfield, MJ Stampfer, E Giovannucci et al. J Clin Oncol 2011;29:
13 Impact survie cancers prostatiques SC Kenfield, MJ Stampfer, E Giovannucci et al. J Clin Oncol 2011;29:
14 AP et survie cancers prostatiques Cohorte de hommes cancer de prostate localisé suivi Marche = 50 % AP rapporté Marche rapide > 3 h / sem vs marche lente < 3 h / sem RR = 0.43 ( ) Intensité marche quelque soit durée est associée à réduction du taux de rechute RR = 0.52 ( ) entre marche rapide et lente 1 0,5 0 Physical activity after diagnosis and risk of prostate progression E Richman et al Cancer Res
15 Impact AP survie Gliome de haut grade récidivant 243 pts Grade 3-4 en rechute, IK > 70 Survie médiane (mois) selon MET H /sem RR DC < 9 MET-H/sem vs > 9 MET-H/sem= 0,64 (0,46-0,91) AP en MET-H/>Sem = facteur pronostic en multivariable (IK, âge, grade, sexe, nombre de 15 progressions) (p<0,001)
16 Association AP et survie Impact voisin sur la survie Bénéfices AP présent en multivariable incluant tous les facteurs pronostics 16
17 Mécanismes d action Activités physiques en Cancérologie 17
18 Effet de l AP sur les estrogènes Alberta Trial 320 femmes ménopausées bien portantes sans pratique d AP Randomisation entre contrôle et exercices 225 min/sem sur 1 an Dosage estrogènes initial, 6 et 12 mois Bras exercice : Réductions estrogènes et augmentation SHBG Estradiol totale = 0,93 (0,88-0,98) Estradiol libre = 0,91 (0,87-0,96) SHBG = 1,04 (1,02-1,07) Friedenreich CM, Woolcott CG, McTierman A et al. J Clin Oncol :
19 Taux insuline élevé = mauvais pronostic des cancers du sein 512 femmes cancer du sein réparties selon insuline en quartile 3,5 3 Insuline 3,3 Insuline en quartile basse 2,5 2 Insuline 2,1 Insuline en quartile élevée 1,5 1 0, META DECES PJ Goodwin, M Ennis, K Pritchard et al. J Clin Oncol 2002;20:
20 HEAL study Insuline et mortalité Taux de peptide C et risques de mortalité Étude prospective de 604 femmes porteuses de cancer du sein Dosage du C peptide au bilan de 3 ans Analyse multi variable : Âge, BMI RH, Traitement adjuvant, race Mortalité toutes causes : Augmentation de 1 ng/ml du C peptide = RR 1,31 (1,06-1,63 p=0,013) Mortalité spécifique : RR de DC par cancer du sein selon C peptide < 1,7 vs > 2,5 ng/ml Non diabétique RR = 2,39 (1-7,52 p=0,05) Diabétiques RR = 2,55 (0,82-7,89) M Irwin, C Duggan, CY Wang et al. J Clin Oncol 2011;29:
21 Insuline et mortalité des cancers coliques 373 cancers coliques localisés entre 1991 et 2004 Dosage peptide C, IGFBP-1 répartis en quartiles Suivi prospectif Mortalité selon quartile Insulin, the Insulin-like growth factor axis and mortality in patients with non metastatic colorectal cancer B Wolpin JCO
22 Effet AP sur Taux insuline IGF 1 Yale Study Patientes post ménopausiques après traitement Rd exercice et soins usuels ML Irwin, K Varma, M Alvarez Reeves et al. Cancer Epidemiol Biomarkers Prev 2009;18:
23 Adipokines adipokines : leptine et adiponectine Leptine : mitogène pour les cellules du cancer du sein Adiponectine : pro-apoptose 23
24 HEAL cohorte cancer du sein effets pronostics adipokines 527 femmes cancer du sein non métastatique non diabétiques Dosage à 24 mois / diagnostic Insuline Adiponectine glycémie Stade TNM RH Traitements IMC Mortalité toutes causes et spécifiques selon taux d Adiponectine et score HOMA (insulino résistance) Covariables : ethnicité, IMC, tamoxiféne, taux de leptine IGF 1 Duggan C, Irwin M, Xiao L et al. J Clin Oncol 2011;29:
25 HEAL Adiponectine et pronostic Adiponectine en corrélation inverse avec : Score HOMA, Leptine, IMC Leptine en corrélation positive avec : score HOMA et IMC En multivariable Tx adiponectine > 15,50 vs < 15,50 Mortalité spécifique RR = 0,39 (0,15-0,95) Duggan C, Irwin M, Xiao L et al. J Clin Oncol 2011;29:
26 Alpha Study : Effet AP sur Insuline et Adipokines ALPHA STUDY 320 femmes ménopausées bien portantes sans AP antérieure Randomisation entre contrôle et exercices 225 min/sem sur 1 an Dosage Insuline, HOMA, Adipokines initial, 6 et 12 mois Friedenreich CM Endocrine-related cancer
27 Alpha Study : Effet AP sur Insulino résistance, Insuline, Adipokines Effets durée AP Aucun effet biologique si moins de 150 Min / semaine d AP Augmentation effets entre 150 à 225 Min / sem et plus de 225 Min /semaine Friedenreich CM Endocrine-related cancer
28 Conclusions sur AP et survie GTS SPV - AFSOS Faisable sans danger ( niveau 2 grade B ) À la condition de centres dédiés et encadrés par des professionnels formés spécifiquement à l AP en Oncologie (Tous les essais font intervenir des Educateurs diplômés et reconnus) Améliore les survies globale et spécifique (Niveau 2 grade B) À la condition d être réalisée de façon régulière avec une intensité suffisante pour modifier les 28 paramètres
29 Mauvaise définition des exercices attention à la méthode!!! Analyses = Impact de l AP sur qualité de vie, fatigue, os, muscles, risque de rechute, durée de vie Quelles modalités pratiques? Quels objectifs? AP tonus musculaire, capacité cardio-respiratoire, masse grasse, fitness??? Critères pour un effet précis dans une population définie (spécificité, progression, suivi) Revue de 29 essais randomisés AP onco aucun ne donne tous les critères : 64 % décrivent spécificité 40 % décrivent la progression 7 % suivi après soins Campbell KL, Neil SE, Winters-Stone KM Review of exercise studies in breast cancer survivors: attention to principles of 29 exercise training Br J Sports Med 2011
30 Quelle problématique des publications??? Modification des comportements = Adhérence Suivi long terme arrêt = moins de 20 % adhésions à 1 an Durée > 6 mois 40 % des essais interventions > 3 ms Impact multiples : alimentation (WINS et WHEL trial) vision propre Sécurité : 30 Co-morbidité (diabète, obésité, tabac,
31 Essai d Intervention Population définie, situation T, traitement, sociologie Types d exercice objectifs critères d efficacité Durée longue sur 1 an séances plurihebdomadaires intensité soutenue Suivi per et post essai sur 5 ans K Wolin, G Colditz Design and conduct of intervention-based research among cancer survivors CEBP
32 Et le patient? Si l activité physique devient aujourd hui une pratique à mettre en place pour le mieux vivre et guérir plus des patients, la multiplication de ces initiatives particulières brouille les messages et empêche une bonne information des professionnels de santé et une bonne orientation des patients sur le type de pratiques physiques à proposer. 32
33 Naître et Grandir 2000 : naissance de la CAMI Cancer Arts Martiaux Informations 1 cours par semaine à Neuilly sur Seine 3 élèves 2012 : 13 centres en Ile-de-France / 12 en Province 700 élèves en cours 3500 patients prise en charge Un projet ambitieux : Organiser un programme cohérent d une politique de santé par la pratique sportive Favoriser un accès égal et bénéfique de la pratique sportive pour tous les patients 33
34 Premier réseau national Sport et Cancer Harfleur Lille L appartenance au réseau alliée à la formation universitaire garantit le professionnalisme, l efficacité, l homogénéité et la cohérence de l encadrement de la pratique sportive en cancérologie dans tous les centres CAMI Sport et Cancer. Caen Lisieux Existante Fin 2012 Versailles Rambouillet Maurepas Neuilly/Seine Bobigny* Montfermeil Périgueux St Astier Grenoble Albertville Paris 15e* Paris 16e Paris 14e Villejuif* Centre Intra-hospitalier : Bobigny CHU Avicenne, Montfermeil GHI le Raincy-Montfermeil, Paris 15e Hôpital Européen Pompidou, Villejuif Institut Gustave Roussy, Avignon Centre Hospitalier Rodez Avignon* Gap 34
35 Naître et Grandir personnes sur 12 ans heures de cours-éléves Catégories d âges : 21 ans - 86 ans Hommes : 31 %- Femmes : 69 % Pathologies : sein (40 %), prostate (23 %) ovaires (12%), côlon (10%) Poumon (8%), pancréas (3%) Rein (1%), autres (3%) 35
36 La CAMI Sport et Cancer. En résumé Un lieu d accueil pour tous les patients Sur le territoire national Solidaire Quelle que soit leur pathologie Quel que soit le moment du parcours de soins Quels que soient les effets secondaires Des professionnels formés Titulaires du Diplôme Universitaire Bilan initial, suivi d évolution Utilisation complète et rationnelle du corps Pratique pédagogique innovante Garant d une sécurité maximale 36
37 Le parcours du patient Début du traitement Un grand nombre de personnes touchées par le cancer peuvent prétendre bénéficier de cours de pratiques sportives collectifs et encadrés. Un certain nombre de patients nécessitent une prise en charge particulière. Rémission Les effets secondaires peuvent durer longtemps après les traitements. Un grand nombre de personnes arrêtent toute activité physique après les traitements. Guérison Il faut retrouver la sensibilisation et les recommandations de la prévention primaire. 37
38 Conclusion Pour que demain l activité physique et la pratique sportive fassent partie de l avenir de la cancérologie, il est vital que tout les intervenants s associent, travaillent ensemble, soient des relais et proposent une organisation innovante. 38
Les patients traités pour un cancer sont susceptibles
Bénéfices de l activité physique en cancérologie Effects of physical activity among cancer patients T. Bouillet*, M. Pavic**, L. Zelek* * Service d oncologie médicale, hôpital Avicenne, Bobigny. ** Service
Plus en détailRAVIVA L activité physique contre le cancer. Dr. Jacques LECOMTE
RAVIVA L activité physique contre le cancer Dr. Jacques LECOMTE RaViva bouger pour se sentir mieux Le pronostic de beaucoup de cancers s est amélioré tant au niveau de la guérison que de la survie et des
Plus en détailQUE SAVONS-NOUS DE LA RELATION ENTRE CANCER ET ACTIVITE PHYSIQUE? DR JACQUES LECOMTE Médecine du sport Pneumo-oncologie CHU CHARLEROI
QUE SAVONS-NOUS DE LA RELATION ENTRE CANCER ET ACTIVITE PHYSIQUE? DR JACQUES LECOMTE Médecine du sport Pneumo-oncologie CHU CHARLEROI La recherche contre le cancer a toujours suivi de nombreuses directions,
Plus en détailCancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes
Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données
Plus en détailBouger, c est bon pour la santé!
Bouger, c est bon pour la santé! Tous concernés! De quoi s agit-il? Il s agit de toute activité physique, dès lors que nous bougeons. Ainsi tous les pas comptent, comme ceux que nous faisons chez nous
Plus en détailINTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper
INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction
Plus en détailActivité physique et diabète de type 2
Activité physique et diabète de type 2 D après le référentiel de la Société francophone du diabète : Duclos M et al, Médecine des maladies Métaboliques. 2011; 6 : 80-96 Forum Santé Vertolaye Le 10/10/2013
Plus en détailDépistage du cancer colorectal :
Dépistage du cancer colorectal : Quels enjeux? Robert Benamouzig Gastro-entérologie Hôpital Avicenne Bobigny Le cancer colorectal dans le monde 3ème cause de cancer Augmentation 1975 : 500 000 cas 1990
Plus en détailDr Laurence FAYARD- JACQUIN Cœurs du Forez 2008. Mise à jour 24-06-08
Diabète de type 2 et Sport Dr Laurence FAYARD- JACQUIN Cœurs du Forez 2008 Mise à jour 24-06-08 L activité physique est recommandée depuis longtemps aux patients diabétiques Dès la fin du 19 ème siècle,
Plus en détailAPS résumé partie III
1 APS résumé partie III Les outils d évaluation de l activité physique Le but est de quantifier/ évaluer les activités physiques habituelles (non-structurées).on a plusieurs méthodes : - Indirectes (subjectives)
Plus en détailLes soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio
Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Grandes lignes Pourquoi les soins en cancérologie sont-ils un enjeu de santé important? Les
Plus en détailValidation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon
Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Marqueur prédictif - Définition Un marqueur prédictif est un marqueur qui prédit le bénéfice
Plus en détailPROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ. Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé
PROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé À chacun son stade! Votre profil est unique, votre réponse à l exercice physique
Plus en détailProgramme Gym Après Cancer Fédération Française d Education Physique et Gymnastique Volontaire
11-056-060 article LOPEZ_Donnadieu 18/09/13 16:30 Page56 Programme Gym Après Cancer Fédération Française d Education Physique et Gymnastique Volontaire Elodie LOPEZ*, Charlène FALZON 1, Marie-Christine
Plus en détailSuivi ADOM. Claude Boiron Oncologie Médicale
Suivi ADOM Claude Boiron Oncologie Médicale PLAN 1. Problématiques du traitement anti cancéreux per os 2. Objectifs du suivi ADOM 3. Procédures 4. Bilan Étude observationnelle Étude médico économique Étude
Plus en détailL APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.
1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises
Plus en détailStatistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon
Statistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon Bernard Fortin Mars 2014 Source: Comité consultatif de la Société canadienne du cancer : Statistiques canadiennes sur le cancer 2013. Toronto
Plus en détailProgramme. Programme Activ. Dossier de presse Juin 2013. Dossier de presse Programme Activ 1
Programme Programme Activ Dossier de presse Juin 2013 Dossier de presse Programme Activ 1 01 UN DISPOSITIF AMBITIEUX POUR RÉDUIRE LES RISQUES DE RÉCIDIVE DE CANCERS DU SEIN 2 Une phase pilote a été menée
Plus en détailQUEL PROTOCOLE DE REENTRAINEMENT PROPOSER AUX PATIENTS INSUFFISANTS CARDIAQUES?
QUEL PROTOCOLE DE REENTRAINEMENT PROPOSER AUX PATIENTS INSUFFISANTS CARDIAQUES? Cliquez pour modifier le style des sous titres du masque MARIE CHRISTINE MERSCH MASSEUR KINESITHERAPEUTE Service de Réadaptation
Plus en détailPeut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant
Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant Institut Cancérologie de l Ouest CHIRURGIE Dr. Isabelle Jaffré CAS CLINIQUE 1 36 ans 90B sans CI radiothérapie
Plus en détailDr Ottaviani Service de Rhumatologie Hôpital Bichat Staff du 23 Mai 2014
Obésité et rhumatismes inflammatoires Dr Ottaviani Service de Rhumatologie Hôpital Bichat Staff du 23 Mai 2014 Obésité 1 Obesity Trends* Among U.S. Adults BRFSS, 1985 (*BMI 30, or ~ 30 lbs overweight for
Plus en détailTests d exploration à l effort
Tests d exploration à l effort chez le sportif handicapé P. Edouard, F. Degache, F. Roche, J. Castells, P. Calmels, X. Devillard Service de Médecine Physique et de Réadaptation Laboratoire de Physiologie
Plus en détailObésité et psoriasis Données actuelles et questions au spécialiste en nutrition
Obésité et psoriasis Données actuelles et questions au spécialiste en nutrition Emilie MONTASTIER, Carle PAUL Endocrinologie, Nutrition, Dermatologie Université Paul Sabatier, Hôpital Larrey UMR CNRS 5165,
Plus en détailIntérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée
Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)
Plus en détailESMO 14. L oncogériatrie d un coup d éventail! Dr Elisabeth Carola UCOG Picardie
ESMO 14 L oncogériatrie d un coup d éventail! Dr Elisabeth Carola UCOG Picardie Cancer du SEIN Taxotere hebdo pas mieux et plus toxique Perrone F et al Ann Oncol 2014 Phase III : CMF vs Taxotere hebdo
Plus en détailCarlo Diederich Directeur Santé&Spa. Tél. + 352 23 666-801 / c.diederich@mondorf.lu
Carlo Diederich Directeur Santé&Spa Tél. + 352 23 666-801 / c.diederich@mondorf.lu Mondorf Healthcare at work Nouveau service destiné aux entreprises en collaboration avec les Services de Médecine du Travail
Plus en détailntred 2007 Résultats de l étude Description des personnes diabétiques
Résultats de l étude ntred 2007 EÉCHANTILLON NATIONAL TÉMOIN REPRÉSENTATIF DES PERSONNES DIABÉTIQUES Le diabète est une maladie chronique de plus en plus fréquente, qui touche en France plus de 2 millions
Plus en détailUn diabète de type 2. Vers un programme Sport Santé pour les personnes vivant avec. Atelier animé par :
Vers un programme Sport Santé pour les personnes vivant avec Un diabète de type 2 Atelier animé par : Pr Martine Duclos CHU Montpied, Clermont-ferrand Dr Julien Aucouturier UFR STAPS, Lille Séminaire interactif
Plus en détailLe dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!
Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique
Plus en détailSport et maladies métaboliques (obésité, diabète)
Sport et maladies métaboliques (obésité, diabète) Chef du service de médecine du sport, CHU de Clermont-Ferrand Monsieur Julien AUCOUTURIER Maître de conférences STAPS 60 % des diabétiques de type 2 sont
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailSujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT
ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie
Plus en détailSecond cancers après cancer du sein. M. Espié Centre des maladies du sein
Second cancers après cancer du sein M. Espié Centre des maladies du sein Second cancer après cancer du sein 376 825 pa=entes diagnos=quées entre 1943 et 2002 ayant au moins survécu un an en Scandinavie
Plus en détailDIPLÔME UNIVERSITAIRE
CANCER QUALITE DE VIE Université Montpellier 1 UFR STAPS Montpellier Centre d accueil et de bien-être pour les femmes atteintes de cancer ET DIPLÔME UNIVERSITAIRE Activité physique et nutrition Etincelle
Plus en détailFaut-il encore traiter les cancers prostatiques?
Faut-il encore traiter les cancers prostatiques? Pr Arnauld Villers Université Lille2 -France AFCOR 2013 Quelles données? Notion de lésions indolentes ou à risque Etudes observationnelles de patients traités
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailCancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons.
Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons. Un taux de récidive de 30% dans les dix premières années chez des patientes en rémission complète après un traitement curatif, requiert
Plus en détailLes plateformes de génétique
Thérapies ciblées : de l anatomopathologie th l à la biothérapie i Les plateformes de génétique moléculaire PO Schischmanoff UF Génétique moléculaire et oncogénétique CHU Avicenne ACP FHF 29 mars 2012
Plus en détailTransplantation pulmonaire et mucoviscidose. Optimiser la prise en charge médicale
Transplantation pulmonaire et mucoviscidose Optimiser la prise en charge médicale Dr Isabelle Danner-Boucher CRCM adulte de Nantes Unité de Transplantation Thoracique 11èmes Journées Scientifiques de la
Plus en détailPemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée. Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var
Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var SFPO Octobre 2009 EPIDEMIOLOGIE Incidence : 1.35 M par an dans le monde (12,4%) 28 000
Plus en détailL obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon
L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie DANIEL RIGAUD CHU de Dijon 46 Obésité : définition L obésité est définie comme un excès de masse grasse associée à un surcroît
Plus en détailL axe 5 du Cancéropole Nord Ouest
L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société
Plus en détailÉtudes épidémiologiques analytiques et biais
Master 1 «Conception, évaluation et gestion des essais thérapeutiques» Études épidémiologiques analytiques et biais Roxane Schaub Médecin de santé publique Octobre 2013 1 Objectifs pédagogiques Connaitre
Plus en détailEffets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux
Effets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux PF Plouin, ESH Hypertension Excellence Center, Hôpital Européen Georges Pompidou, Paris La prise en charge de l hypertendu l concerne
Plus en détailALK et cancers broncho-pulmonaires. Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse
ALK et cancers broncho-pulmonaires Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse Toulouse, le 19 Février 2013 Adénocarcinomes : Lung Cancer Mutation Consortium Identification
Plus en détailEssai Inter-groupe : FFCD UNICANCER FRENCH - GERCOR
CLIMAT - PRODIGE 30 Etude de phase III randomisée évaluant l Intérêt de la colectomie première chez les patients porteurs d un cancer colique asymptomatique avec métastases hépatiques synchrones non résécables
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détail{ Introduction. Proposition GIHP 05/12/2014
Etude descriptive des accidents hémorragiques sous Nouveaux Anticoagulants Oraux au Service d Accueil des Urgences du CHU de Besançon entre janvier 2012 et janvier 2014 { Dr Claire KANY SAMU Besançon KEPKA
Plus en détailLes différents types de cancers et leurs stades. Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07
Les différents types de cancers et leurs stades Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07 CARCINOGENESE multiple steps, accumulation d altd altérations continuum lésionnel
Plus en détailLe mouvement vitalité! Un pas vers la forme! Sport-Santé. Acti March
Le mouvement vitalité! Un pas vers la forme! Sport-Santé Acti March Une Fédération pour votre forme Moyen de déplacement à la portée de tous, quel que soit son âge, la marche est une forme d activité physique
Plus en détailEssais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire
Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire Sylvie CHABAUD Direction de la Recherche Clinique et de l Innovation : Centre Léon Bérard - Lyon Unité de Biostatistique
Plus en détailIntroduction : Essais de phase I
Schéma de recherche de dose dans les essais de phase I : comparaison par simulations dans un cadre temporel A Doussau 1,2, MC Le Deley 3, B Asselain 1, G Vassal 3, X Paoletti 1 1 - Institut Curie, 2 -
Plus en détailCancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques. Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006
Cancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006 Cancer du rein à cellules claires métastatique (CRM) Plus de 30 % des CR deviendront métastatiques
Plus en détailCANCERS ET RAYONNEMENTS IONISANTS Fortes doses: seconds cancers après radiothérapie
CANCERS ET RAYONNEMENTS IONISANTS Fortes doses: seconds cancers après radiothérapie Rencontres Nucléaire et Santé 08/02/2013 Pierre BEY Professeur émérite de Cancérologie;Radiothérapie Université de Lorraine
Plus en détailDr Bertrand Michy Département de Pneumologie CHU de Nancy 25 octobre 2013
Dr Bertrand Michy Département de Pneumologie CHU de Nancy 25 octobre 2013 Conflits d intérêts Aucun Introduction Constat : CB = Moins de motivation des pneumologues à obtenir le sevrage tabagique (versus
Plus en détailLa gestion des hypoglycémies au cours du sport : insuline ou diététique?
La gestion des hypoglycémies au cours du sport : insuline ou diététique? Confrontations d Endocrinologie-Diabétologie Les Vaux de Cernay L Fouquet, S. Franc 25 Mars 2010 1 Observation n 2, Mme. S 42 ans,
Plus en détail2È JOURNÉE NATIONALE DE FORMATION DES PHARMACIENS CANCER ET ACCOMPAGNEMENT DU PHARMACIEN : UN PREMIER PAS VERS LA RÉSILIENCE.
2È JOURNÉE NATIONALE DE FORMATION DES PHARMACIENS Avec le Haut Patronage de Madame Roselyne BACHELOT-NARQUIN, Ministre de la Santé, de la Jeunesse, des Sports et de la Vie associative CANCER ET ACCOMPAGNEMENT
Plus en détailDOSSIER DE PRÉSENTATION
DOSSIER DE PRÉSENTATION GUSTAVE ROUSSY ET LE CANCER DU SEIN OCTOBRE 2013 Gustave Roussy et le cancer du sein octobre 2013 page 1 DOSSIER DE PRÉSENTATION Gustave Roussy et le cancer du sein GUSTAVE ROUSSY,
Plus en détailEvaluation de critères res de substitution de la survie globale dans les cancers bronchiques localement avancés
Evaluation de critères res de substitution de la survie globale dans les cancers bronchiques localement avancés Evaluations de la survie sans progression et du contrôle locoregional comme critère de substitution
Plus en détailDENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR
DENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR C Andreux et F L Huillier H Guerini, A Feydy, X Poittevin, F Thevenin, R Campagna, JL Drapé, A Chevrot Hôpital COCHIN, Paris, France OBJECTIF Proposer
Plus en détailBILAN projet DIABSAT 2010-2011. Diabétologie par Satellite
BILAN projet DIABSAT 2010-2011 Diabétologie par Satellite 1 OBJECTIFS Développer et évaluer 3 services de télémédecine assistés par satellite Volet 1 : Education à la nutrition et promotion de l activité
Plus en détailActivité physique et santé Document de base
Activité physique et santé Document de base Office fédéral du sport OFSPO Office fédéral de la santé publique OFSP Pour faciliter la lecture, nous renonçons à indiquer les sources dans ce document. Les
Plus en détailTitre : «CYCLISME ET DIABETE DE TYPE 1» Auteur(s) : Docteur Karim BELAID. Catégorie : Médecine du Sport - Diaporama, 20 vues.
Titre : «CYCLISME ET DIABETE DE TYPE 1» Auteur(s) : Docteur Karim BELAID Catégorie : Médecine du Sport - Diaporama, 20 vues. Date de présentation : 2014 Lieu : Roubaix. Mis à disponibilité sur le site
Plus en détailEvidence-based medicine en français
Evidence-based medicine en français MÉDECINE FACTUELLE (Office de la langue française) Médecine fondée sur des faits démontrés Médecine fondée sur des preuves Médecine fondée sur des données probantes
Plus en détailIschémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.
Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de
Plus en détailTransgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010
Parc d Innovation d Illkirch, France, le 10 mars 2010 Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010 Transgene (Euronext
Plus en détailPROTEGER SON DOS ex. Cliniques St Luc
CONGRES UCL DE MEDECINE GENERALE 1 juin 2013 PROTEGER SON DOS ex. Cliniques St Luc Philippe Mahaudens, PhD Faculté des sciences de la motricité UCL Service de Médecine Physique et Réadaptation, Saint-Luc
Plus en détailAprès un an d enquête, 1176 femmes travaillant au C.H.U avaient répondu à notre questionnaire.
Prévalence de l incontinence urinaire d effort selon le traumatisme obstétrical et la catégorie socio-. G. Philippe (1), I. Clément (2), I. Thaon (3) (1) Service d urologie C.H.U St jacques, Besançon (2)
Plus en détailLa recherche clinique de demain ne se fera pas sans les paramédicaux
La recherche clinique de demain ne se fera pas sans les paramédicaux Marc Beaumont, kinésithérapeute - 5ème journée inter régionale GIRCI - Tours, 3 juin 2015 Qu est ce que la recherche clinique? «une
Plus en détailDocument d information dans le cadre de l installation d un cyclotron. à Saint-Louis
Document d information dans le cadre de l installation d un cyclotron à Saint-Louis Cancers & imagerie médicale Un progrès majeur pour une meilleure prise en charge des patients. Accroitre les possibilités
Plus en détailLogiciels d éducation à la Nutrition et à l activité physique
Université d été E-Santé Castres-Mazamet 4, 5, 6 juillet 2012 «Des supports numériques au service de l éducation thérapeutique des patients» Logiciels d éducation à la Nutrition et à l activité physique
Plus en détailOBESITE ET EPS. Cf www.sante.fr.(programme national, nutrition santé, courbe de corpulence)
OBESITE ET EPS DEFINITION L obésité se définit comme un excès de poids pouvant retentir sur la santé. La mesure générale acceptée de l obésité est l Indice de Masse Corporelle (IMC : poids en kg / taille
Plus en détailPierre OLIVIER - Médecine Nucléaire
Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailSANTÉ. E-BOOK équilibre. stop. cholesterol diabete hypertension. Réduire le cholestérol, l hypertension et le diabète SANS MEDICAMENT!
SANTÉ stop cholesterol diabete hypertension E-BOOK équilibre Réduire le cholestérol, l hypertension et le diabète SANS MEDICAMENT! un peu d histoire... Il y a 200 ans, un Français faisait en moyenne entre
Plus en détailUn nouveau test sanguin performant pour le diagnostic non-invasif de steatohépatite non alcoolique chez les patients avec une NAFLD
Un nouveau test sanguin performant pour le diagnostic non-invasif de steatohépatite non alcoolique chez les patients avec une NAFLD J Boursier, A Guillet, S Michalak, Y Gallois, F Oberti, I Fouchard-Hubert,
Plus en détailLA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE
Jean-Paul BLANC Diététicien-Nutritionniste Neuilly sur Seine www.cabinet-de-nutrition-et-dietetique.eu LA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE Au cours de la dernière décennie
Plus en détailDécouvrez un nouveau métier :
Institut Français de Coaching en Sport - Santé - Bien-Être Découvrez un nouveau métier : 1 er Formation de coaching* réunissant 3 domaines : La Prévention Santé (prévenir les principales maladies de civilisation)
Plus en détailINNOVATION De la rééducation au sport santé. LPG crée le Neuro
INNOVATION De la rééducation au sport santé LPG crée le Neuro Physical Training! Bouger pour sa santé, une évidence pour les français? Bien que Faire du sport soit, chaque année, une des résolutions prioritaires
Plus en détailBiomarqueurs en Cancérologie
Biomarqueurs en Cancérologie Définition, détermination, usage Biomarqueurs et Cancer: définition Anomalie(s) quantitative(s) ou qualitative(s) Indicative(s) ou caractéristique(s) d un cancer ou de certaines
Plus en détailApplication des courbes ROC à l analyse des facteurs pronostiques binaires
Application des courbes ROC à l analyse des facteurs pronostiques binaires Combescure C (1), Perneger TV (1), Weber DC (2), Daurès J P (3), Foucher Y (4) (1) Service d épidémiologie clinique et Centre
Plus en détailCharte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco
Réseau Régional de Cancérologie ONCOPACA-Corse Charte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco 1. CONTEXTE ET OBJECTIF Contexte : Cette présente charte a été définie
Plus en détailÉvaluation du risque cardiovasculaire dans le contexte de l hypertension artérielle et de son traitement
Évaluation du risque cardiovasculaire dans le contexte de l hypertension artérielle et de son traitement DIU HTA François Gueyffier Service de pharmacologie clinique UMR CNRS 5558 CIC 201, LYON francois.gueyffier@chu-lyon.fr
Plus en détailRAPPORT DU CONTROLE DE MARCHE DES DISPOSITIFS MEDICAUX DE DIAGNOSTIC IN VITRO DE DOSAGE DE THYROGLOBULINE
Direction de l'evaluation des Dispositifs Médicaux Département Surveillance du Marché Unité Evaluation et Contrôle du Marché - DIV RAPPORT DU CONTROLE DE MARCHE DES DISPOSITIFS MEDICAUX DE DIAGNOSTIC IN
Plus en détailLE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie
Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel LE GRAND LIVRE Du diabète Vivre avec le diabète à tout âge Traiter et surveiller la maladie Prévenir les complications, 2012 ISBN : 978-2-212-55509-7
Plus en détailLe dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence
Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence On pose fréquemment le diagnostic de migraine sévère à l urgence. Bien que ce soit un diagnostic commun,
Plus en détailCOMPARAISON DE QUATRE PROTOCOLES DE CHIMIOTHERAPIE POUR DES CANCERS DU POUMON NON A PETITES CELLULES (CBP NAPC) AVANCES
COMPARAISON DE QUATRE PROTOCOLES DE CHIMIOTHERAPIE POUR DES CANCERS DU POUMON NON A PETITES CELLULES (CBP NAPC) AVANCES Approximativement, un tiers de tous les décès dus au cancer sont en relation avec
Plus en détailPrincipe d un test statistique
Biostatistiques Principe d un test statistique Professeur Jean-Luc BOSSON PCEM2 - Année universitaire 2012/2013 Faculté de Médecine de Grenoble (UJF) - Tous droits réservés. Objectifs pédagogiques Comprendre
Plus en détailProgramme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention
Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention Indicateur n 2-3 : Indicateurs sur le dépistage du cancer 1 er sous-indicateur : taux de participation au
Plus en détailApplication DCC Réseau ONCOLIE --- Application DMI Réseau Gérontologique de Baumes Les Dames ---- Application RAPID Réseau RAPIDFR-NAT
ATELIER PROJETS REGIONAUX DEMONSTRATION Application DCC Réseau ONCOLIE --- Application DMI Réseau Gérontologique de Baumes Les Dames ---- Application RAPID Réseau RAPIDFR-NAT 1 I. CONTEXTE L Agence Régionale
Plus en détailEthique, don d organe et Agence de la Biomédecine
Ethique, don d organe et Agence de la Biomédecine Patrick Niaudet Président du Conseil d Orientation de l ABM Servie de Néphrologie Pédiatrique Hôpital Necker-Enfants Malades, Paris Mon intervention ne
Plus en détailSurveillance des troubles musculo-squelettiques dans les Bouches-du-Rhône
Santé travail Maladies chroniques et traumatismes Surveillance des troubles musculo-squelettiques dans les Bouches-du-Rhône Étude du syndrome du canal carpien opéré 2008-2009 Septembre 2011 F. Sillam 1,
Plus en détailEnquête sur la santé des résidents des foyers Adoma de Saint-Quentin-en-Yvelines
Direction de l action sociale, de l habitat et de la santé publique 12 ème congrès national des ORS Territoires et Santé des populations 9 et 10 novembre 2010 Enquête sur la santé des résidents des foyers
Plus en détailJ ai une SEP et je suis sportif! N 3
N 3 J ai une SEP et je suis sportif! Sport et Sclérose en Plaques ne sont pas incompatibles, bien au contraire : le sport est bénéfique sur les plans physique et psychique. C est également l occasion de
Plus en détailLa hernie discale Votre dos au jour le jour...
La hernie discale Votre dos au jour le jour... Votre dos est fragile. Ce document va vous aider à le préserver au jour le jour. Si vous venez de vous faire opérer, certaines activités vous sont déconseillées
Plus en détailDiabète de type 1 de l enfant et de l adolescent
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent Juillet 2007 Juillet 2007 1 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailTRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND
TRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND PHYSIOPATHOLOGIE DE L HYPERGLYCEMIE DU DT2 Tube digestif Pancréas endocrine α β Tissu adipeux cellules β insuline cellules
Plus en détailLe traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a largement remplacé les amputations
FACE A FACE Péroné vascularisé / Péroné non vascularisé Reconstruction après résection tumorale Dr NOURI / Dr BEN MAITIGUE SOTCOT Juin 2012 Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a
Plus en détailQuel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?
Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe
Plus en détail