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1 CatÄgorie : Colloque international IntitulÄ gänäral : L argent et l Åthique IntitulÄ du document : La redistribution d'argent par le micro-crädit : la symbolique du pråt, entre la dette et le don, Auteur : Houda Laroussi Statut professionnel : Cerlis-UniversitÄ Paris Descartes/CNRS Date : Novembre

2 RÄsumÄ En Tunisie, 2 acteurs principaux ont construit des dispositifs de fonctionnement par le micro-crädit : d une part une ONG qui l inscrit dans une attitude de däveloppement de proximitä et de lien social ; d autre part l Etat par le biais de sa Banque tunisienne de solidaritä, qui l inscrit dans une attitude de protection sociale et de redistribution financiçre. Cet article montre, É partir du cas tunisien, que si le micro-crädit est bien un outil financier considärä comme un stimulant Äconomique, sa circulation en tant que systçme d Ächange entre des institutions et des individus, räside aussi dans sa capacitä É cräer du lien social. Il s appuie sur les analyses d Alain CaillÄ qui suppose que pour cräer du lien social il faut Ñ donner Ö. Dans cette perspective que la problämatique du prüt d argent est abordäe comme une forme d Ächange räciproque entre une institution et une population. L article Ävoquera le traitement associatif et solidaire du micro-crädit dans la sociätä tunisienne, puis son traitement lägaliste et Ätatique, avant de terminer sur le micro-crädit comme forme de Ñ don Ö s appuyant sur la figure emblämatique le l Etat protecteur. Mots-clÄs Micro-crÄdit, prüt, lien social, solidaritä, association, Etat protecteur, don, argent En Tunisie, 2 acteurs principaux ont construit des dispositifs de fonctionnement par le micro-crädit : d une part une ONG qui l inscrit dans une attitude de däveloppement de proximitä et de lien social ; d autre part l Etat par le biais de sa Banque tunisienne de solidaritä, qui l inscrit dans une attitude de protection sociale et de redistribution financiçre. Je montrerai, É partir du cas tunisien, que si le micro-crädit est bien un outil financier considärä comme un stimulant Äconomique, sa circulation en tant que systçme d Ächange entre des institutions et des individus, räside aussi dans sa capacitä É cräer du lien social (Laroussi, 2006). Je m appuie sur les analyses d Alain CaillÄ qui suppose que pour cräer du lien social il faut Ñ donner Ö : Ñ le lien social ne se construit pas sur la base du contrat ou des Ächanges marchands, mais en obäissant É la contrainte de rivaliser de gänärositä affichäe Ö (CaillÄ, 2001). Je däfinirai cette gänärositä comme un Ñ don Ö au sens large d une transaction, d un Ächange social entre une institution et une population. Dans cette perspective, je resituerai d abord la problämatique du prüt d argent comme une forme d Ächange räciproque. Puis j Ävoquerai tour É tour le traitement associatif et solidaire du micro-crädit dans la sociätä tunisienne, puis son traitement lägaliste et Ätatique, avant de terminer sur le micro-crädit comme forme de Ñ don Ö s appuyant sur la figure emblämatique de l Etat protecteur. I. La symbolique du pråt comme Ächange räciproque La circulation de l argent s inscrit dans un syståme d Çchange, de parentç, de biens, de statuts, et c est toujours un acte hautement symbolique pour la cohçsion du groupe. Ce qui 2

3 m intäresse ici est la circulation d argent sous forme de prüts et de dette contractäs par l octroi de micro-crädits, au travers de prestations de services dispensäs entre ceux qui donnent (les organismes, les institutions, etc.) et ceux qui reáoivent (la population). On peut analyser ces pratiques de prüt par la circulation d argent, comme une nouvelle forme de donation räciprocitaire au sens däfini par Marcel Mauss puis Alain CaillÄ, qui comporte une part de retour, ne serait ce que par la dette et l obligation de rembourser. D ailleurs, Alain CaillÄ präcise que Ñ l ensemble des Ächanges se structure sous forme de dons obligatoirement donnäs, acceptäs et rendus Ö (CaillÄ, 2001, p 4). On peut dire en ce sens que le prüt est un don acceptä et rendu. De ce fait, les Ächanges qui sous-tendent le don, tout comme le prüt, comportent une part d intärüt (au sens Äconomique müme du terme en tant que taux d usure). Cette donation n est donc pas gratuite, et est liäe É une vision utilitariste qui alimente la circulation des biens, Ñ donner -recevoir-rendre est la condition du lien social Ö (CaillÄ, 2001, p 1), präcise Alain CaillÄ. II. Le traitement participatif ou solidaire du micro crädit L ONG Enda est le premier organisme É avoir imposç l idçe de micro-crçdit en Tunisie. Elle s est inspirçe des expçriences internationales pour en faire le pivot de sa politique dans les quartiers dçfavorisçs. Elle a voulu dçvelopper une conception qui viendrait se substituer É une logique d assistanat longtemps promue par les politiques publiques. La femme est la premiåre cible de l ONG Enda. La crçation d une micro-entreprise et d une activitç commerciale au sein de leur quartier, constitue pour beaucoup de femmes la rçalisation d un projet professionnel et l acquisition d un rñle tant financier que social. Elle est aussi une maniåre de s Çmanciper de la difficultç du travail salariç (Denieuil, 2007 ; Madoui, 2007). Enda a ciblç la micro-entreprise fçminine, en proposant du micro-crçdit par l outil du groupe solidaire. Le crçdit solidaire permet aux clientes d obtenir un micro-crçdit auto garanti par un groupe de clients, dits groupes solidaires, qui se portent collectivement garants du crçdit de chacun. Ces groupes viennent se substituer É une certaine caution morale, qui vient pallier l absence de la garantie matçrielle, par la Ö confiance Ü et afin d instaurer Ö une pression permanente du groupe sur chaque membre pour faire respecter les engagements Ü (Etude ALCOR, 2001, 12 ). Ce mçcanisme de responsabilitç collective repose selon Marc Labie sur Ö la proximitç vis-é-vis du client micro-entrepreneur qui conditionnera en fin de compte les rçsultats de l'institution de micro- finance Ü (Labie, 1998, 4). Avec cette ONG, le micro-crçdit n est pas une stricte passation d argent. Le prát octroyç se trouve assorti de services : Enda ne donne pas seulement de l argent, mais eu Çgard aux intçráts ÇlevÇs qu elle rçclame (20%), offre des prestations de services (la formation, le suivi des clients, l initiation É l Çchange des expçriences entre les groupes, etc.) Çtablis comme des dçmarches fondamentales pour la rçussite du projet. Ainsi cette dçmarche lui permet de mettre l accent moins sur le don d argent, que sur l Çchange social que l argent permet. L octroi d argent pour les populations, constitue une sorte d aboutissement voire de rçcompense sociale et non une fin en soi comme ce serait le cas avec une banque classique. La transaction financiåre est encastrçe dans un projet social et dans une logique de don. Car comme le dit Alain CaillÇ: Ö Dans le secteur associatif, l esprit du don est en principe 3

4 hiärarchiquement dominant par rapport aux logiques de l intärüt individuel et de l obligation Ö (CaillÄ, 1994, 178). De plus cette ONG ne se präsente pas comme un Ñ distributeur Ö de crädits. Son objectif est la construction d une longue relation avec les clients, par le crädit Ñ Ävolutif Ö et les prüts dits progressifs (le prüt progressif consiste É accorder plusieurs crädits selon des cycles successifs dans le temps), É condition que les remboursements soient faits dans les dälais. Cette progressivitä a pour avantages : la possibilitä de la dätection präcoce des däfaillances du client en testant sa solvabilitä sur des montants faibles avant de lui accorder des crädits plus consäquents ; l apprentissage progressif du client É la gestion de la dette. Cela signifie que le micro-crädit est insärä dans un systçme de contràle collectif et relationnel, qu il est Ñ sociabilisä Ö. En ce sens, on peut dire que la mäthodologie d Enda est basäe sur une combinaison entre les ressources Äconomiques et du marchä, les ressources de l interaction sociale, puis de l intärüt individuel. Le micro-crädit est ici enveloppä entre les rçgles de la däpendance sociale, et un contràle collectif et relationnel exercä sur l individu. On est bien ici dans ce que Jean-Louis Laville nomme le Ñ räenchassement Ö ou Ñ l encastrement Ö de l Äconomique dans le social, de la stratägie financiçre dans la stratägie sociale, puis de la stratägie individuelle dans la stratägie collective (Laville, 1994, p ). III. Le dispositif Ätatique d octroi de micro-crädit (BTS et associations relais) : Le micro-crädit comme redistribution financiçre et gratification sociale Il faut noter l Çvolution du statut du micro-crçdit en Tunisie, depuis une quinzaine d annçes. Au dçpart, il Çtait dçsignç comme un instrument permettant de rçsoudre les problåmes financiers des personnes voulant crçer des micro-activitçs gçnçratrices de revenus. Par la suite et dçsormais, le micro-crçdit est devenu un instrument d aide É l intçgration Çconomique et sociale et la cible des politiques publiques dans les zones dçpourvues. La BTS (Banque Tunisienne de SolidaritÇ), en est le principal acteur. C est une structure Çtatique crçe en Son objectif est d inciter les nouveaux diplñmçs, sans garantie (universitaires, anciens de la formation professionnelle, artisans accompagnçs) É se mettre É leur propre compte. Elle s est dotçe d un syståme qui consiste É octroyer des micro-crçdits aux petits entrepreneurs, inscrivant son action en direction d une population plus marginale, installçe dans les quartiers populaires. Pour rçaliser son dispositif, l Etat a crçç localement des rçseaux d organisations dites non gouvernementales (nommçes ONG, mais en fait agrççes et contrñlçes par l administration), essaimçes É travers les communes du gouvernorat, crçant ainsi de faàon Ö descendante Ü, centralisçe et non participative, ses propres Ö associations Ü d appui au MC, estimçes É au moins 200. Ainsi, en reprenant la mçthodologie d intervention de l ONG ENDA, son modåle de service (le micro crçdit) et sa forme organisationnelle (la structure associative basçe sur la relation de proximitç), l Etat tunisien a voulu associer le concept de micro-crçdit É celui de travail de proximitç, afin de favoriser une dynamique de dçveloppement de masse basçe sur Ö l'initiative privçe Ü et Ö l'auto-emploi Ü. Contrairement aux ONG, la BTS pratique un faible taux d intçrát. Force est toutefois de constater que cette faiblesse du taux d intçrát est É Ö double tranchant Ü et traduit un dçsengagement de l Etat par rapport au suivi et É l accompagnement de la micro-entreprise. A propos de la BTS, le sociologue Morched Chabbi, estime qu Öelle n est pas une activitå rentable vu les frais des salaires des 300 ou 400 employås, et un taux d intårçt faible de 5%. 4

5 Les impayås sont de l ordre de 80 %. Tout cela fait que la BTS ne peut couvrir les frais Ö 1. Il ressort de l analyse de Chabbi que la faiblesse du taux d intärüt signe une non volontä de l Etat d assurer, et donc de prendre en charge, le suivi et l accompagnement du bänäficiaire. Il s agit alors d une sorte de Ñ don Ö däguisä par l impräcation É rembourser, mais qui ne s en donne pas les moyens. La logique qui prävaut ici est donc bien celle de l assistanat. Selon Morched Chabbi, Ñ l Etat se comporte avec la BTS comme un "distributeur de gratification sociale" venant en renforcer la dåpendance, råtablissant ainsi "une forme indirecte d assistanat" Ö. Ainsi en accordant des micro-crädits avec un taux d intärüt faible qui ne peut couvrir les charges issues d un suivi rägulier aux micro-entreprises, l Etat ne s engage pas dans l accompagnement des micro-entrepreneurs tout au long de leur activitä, il s intçgre dans un systçme de Ñ donation Ö É perte, assistantielle et non rentable. Car l objet de l Etat n est pas de s engager dans un suivi särieux des MPE, notamment pour les plus präcaires, mais plutàt de mener une action de visibilitä politique au Ñ coup par coup Ö. Pour financer son action de banque de solidaritä, il en appelle É l esprit du don. Ainsi les fonds originaires de la BTS, ont ÄtÄ collectäs suite É des contributions publiques et É des dons d entreprises et de particuliers. Il s agit lé d une adhäsion Ñ solidaire Ö forcäe, une sorte de don imposä, si ce n est une contrainte, suscitäe par l Etat comme une nouvelle modalitä de solidaritä avec la catägorie des dämunis. L engagement contraignant des citoyens dans des financements imposäs, s il n a pas räussi É dävelopper l esprit de solidaritä entre Ñ classes Ö sociales marque, de la part de l Etat, la volontä d Ätablir un Ñ pacte social Ö (Chakerli, 2000, p 19) avec les couches les plus däfavorisäes, afin de se lägitimer auprçs de ces couches. Force est de constater que la solidaritä est ici devenue une construction politique que l Etat s efforce de renforcer et donc, comme l a indiquä Donzelot, É un nouveau mode de gouverner par la rägulation du lien social. IV. Le micro-crädit dans une dynamique du Ç don É rävälateur de la figure emblämatique de l Etat protecteur dans la sociätä arabo-muslmane Le micro-crädit apparaât au terme de cet exposä, comme un systçme de circulation d aides, de subventions, de Ñ gratifications sociales Ö, de dons, qui a pour but d assurer la rägulation et la cohäsion sociale entre l Etat, ses acteurs, et ses citoyens. A cet Ägard, je voudrais interroger cette culture politique de la gratification, en m appuyant sur des ÄlÄments de la tradition et de la symbolique arabo-musulmane en partie explicatifs d une culture du don organisatrice de la relation de domination et simultanäment de reconnaissance pouvant exister entre un Ñ prince Ö, un souverain, et ses sujets les populations qui lui font allägeance. Le don et la solidaritä arabo-musulmane. On s appuiera ici sur l ouvrage de Naâma Benabdelali, Ö Le don et l anti-åconomique dans la sociåtå arabo-musulmane Ö, qui analyse la mise en œuvre d une logique du don dans la sociätä marchande et consumatrice des Abbassides, jusqu au IVÇme siçcle dit de Ñ l ãge d or Ö de la culture arabe. Il s agit lé d une sociätä de classe, dont le symbole culturel est la ville de Bagdad, basäe sur la diffärenciation Äconomique et la hiärarchie des valeurs, qui remplace une structure tribale millänaire. 1 Suite É un entretien effectuä avec le sociologue-urbaniste Morched Chabbi le 20 mai 2004 É Tunis. 5

6 Ainsi que le präcise l auteur, le don joue un ràle central dans la civilisation marchande arabo-musulmane, qui est une sociätä du commerce et donc de l Ächange des objets. Il se caractärise par l ethos de la gänärositä : Ñ On fait de la gänärositä et de la däpense les fondements d un mode de vie. C est une institution sociale et gänärale qu on retrouve É tous les niveaux C est une protection contre les malheurs, un träsor Äternel, un signe de bonne foi, une marque de noblesse : Ñ L homme le plus märitant est celui qui fait vivre les gens de sa gänärositä Ö, Ñ le meilleur de tes biens est ce que tu as distribuä en largesses Ö (Benabdelali, 2000, ). A la suite de Marcel Mauss et en application au cas des sociätäs arabo-musulmanes, Naéma Benabdelali montre que le fait de donner constitue un attribut du pouvoir et un signe de prestige lorsqu il est fait Ñ par un supärieur et sollicitä par une personne de rang infärieur Ö. Ainsi : Ñ Celui qui te donne est censä Ütre plus noble que toi ; si tu permets É un homme du commun de te faire un don, tu te rabaisses, alors que si c est un Prince qui te le fait ton honneur est sauf. Le präsent du souverain ne däshonore pas, au contraire. C est lui le donateur par excellence Ö (Benabdelali, 2000, 48). On peut Ävoquer la Ñ largesse des puissants Ö, selon le proverbe : Ñ un pouvoir sans gänärositä est pareil É une guerre sans soldats Ö. Cela nous renvoie, comme nous l avons monträ en däbut, É cette Ñ gänärositä affichäe Ö, constitutive selon Alain CaillÄ, de l Ächange et du lien social. En l occurrence, le fait de bãtir une politique de micro crädit É perte sur le taux d intärüt, comme nous l avons monträ präcädemment, permet justement d afficher sa gänärositä dans la sociätä, contribue É proposer du lien social, de sorte Ñ qu on fait grandir son nom, et qu on acquiert du prestige Ö (CaillÄ, 1994, 174). On dira dans ce sens que le micro-crädit comme prüt É faible intärüt non rentable pour l Etat, constitue bien une sorte de don effectuä aux populations qui en retour, auront confiance en la toute puissance de l autoritä Ätatique de leur Ñ prince Ö. L argent redistribuä comme lägitimation du pouvoir. Et si l on considåre le microcrçdit É trås faible intçrát, octroyç par les pouvoirs publics comme un don fait par un Etat dominateur É des citoyens appauvris, on peut noter avec Naâma Benabdelali que Ö comme tout lien, le don peut átre assujettissant, surtout lorsqu il est fondç sur une inçgalitç de base. Il peut ainsi voiler la traätrise des rapports Çconomiques qui cherchent toujours É se transformer en rapports de pouvoir Ü (CaillÇ, 1994, 69). On voit ici comment le pouvoir s assoit É l aide du don, par l octroi de micro-crçdits É des taux non concurrentiels (prát É perte pour l Etat). Il s agit lé d une gratification octroyçe par l Etat qui redistribue et qui, en reconnaissant et en se faisant reconnaätre, se lçgitime, ainsi qu avait pu le constater Pierre Bourdieu. Le prestige de l Etat tient alors É sa capacitç de redistribuer, ainsi que le note Claude LÇvi-Strauss, Ö Ce n est pas la simple possession des richesses qui confåre le prestige, c est plutñt leur distribution Ü (LÇvi-Strauss, 1968, 68). En conclusion, une lecture du micro-crçdit comme Çchange social, nous permet une rçflexion nouvelle sur la question de la construction de la solidaritç par l argent et simultançment par le pouvoir. Ce pouvoir du micro crçditeur est É double face : pour l ONG Enda, la redistribution d argent malgrç ses aspects positifs, peut átre considçrç comme un outil de mise en dçpendance des femmes dans le cadre de prát dits Çvolutifs et toujours plus importants. Pour l Etat, on a bien vu que cette redistribution d argent fonctionne comme un outil d assistanat et d affirmation du pouvoir du Prince. 6

7 RÄfÄrences : ALCOR, Ñ Evaluation du programme de micro-crädit de ENDA Inter-arabe Ö, Tunis, Septembre Benabdelali N. (2000), Le don et l anti-åconomique dans la sociåtå arabo-musulmane, Casablanca, Eddif. CaillÄ A. (2001), Rencontre avec Alain CaillÄ, Ñ Donner, recevoir, rendre : un tiers paradigme pour les sciences sociales-incidences politiques Ö, däbat animä par Guillaume Duval, mis en ligne avril URL : ConsultÄ le 21 mars CaillÄ A. (1994), Don, intäråt et däsintäressement, Paris, La däcouverte. Chakerli D. (2000), Ñ Lutte contre la pauvretä et solidaritä nationale Ö. PubliÄ dans les cahiers du CERI en Denieuil P.N. (2007), Ñ Le mythe de la cräation de micro-entreprise en Tunisie, du choix räflächi au choix obligä : motivations, mobilisations et obstacles Ö, in Abedou, Bouyacoub, Madoui, Lallement, PME, emploi et relations sociales au Maghreb. Ed. L Harmattan, Paris. Labie M. (1998), Ö La gestion de proximitç : Une condition essentielle des mçcanismes de garantie solidaire Ü, UniversitÇ de Mons-Hainaut, FacultÇ WarocquÇ des Sciences Economiques, Belgique, in Appui au DÄveloppement Autonome (ADA Dialogue), numäro 12-1/1998. Laroussi H. (2006), Micro-credit et lien social. Entre Etat et ONG, les jeux d acteurs du däveloppement social local. Le cas de la päriphärie ouest de Tunis, Doctorat en sociologie de l universitä RenÄ Descartes Paris 5. Laville J-L. (1994), L Åconomie solidaire, une perspective internationale, Paris, DesclÄe de Brouwer. LÄvi-Strauss Cl. (1968), Les structures ÄlÄmentaires de la parentä, Ed. Mouton, Paris. 7

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