Introduction à la géostatistique

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Introduction à la géostatistique"

Transcription

1 Intitut National Agronomique de Pari-Grignon Introduction à la géotatitique Gille Guillot janvier 2004

2 Ce note correpondent à un cour de géotatitique dipené en deuxième année à L INA-PG. Il agit d un cour d introduction, d un volume total de douze eure, dan le cadre d un module d Agriculture de Préciion. Ce cour n a pa l ambition d aborder réellement le problème de modéliation en tatitique patiale poé par l Agriculture de Préciion, qui pour la plupart ont de problème ouvert. Toutefoi, dan la meure du poible, le notion introduite ont illutrée à l aide de donnée agronomique collectée par l unité Environnement et Grande Culture ur la parcelle expérimentale de Pont- Cailloux à Grignon.

3 TABLE DES MATIÈRES Table de matière 1 Introduction 4 2 Métode exploratoire Quelque point de vocabulaire Ditribution monovariable Répartition patiale Nuée variograpique Fonction aléatoire, tationnarité, covariance Fonction aléatoire Fonction de covariance Stationnarité Variogramme Fonction de tructure empirique L ajutement d une fonction de tructure téorique Introduction Famille paramétrique de covariance Métode d ajutement Interpolation linéaire an biai de variance minimale : le krigeage Objectif du krigeage Calcul de poid de krigeage Le krigeage imple Le krigeage ordinaire Évaluation de l erreur : la variance de krigeage Analogie et différence avec le tecnique du modèle linéaire Comportement de poid de krigeage Comportement de la courbe Z KS () et influence de la fonction de covariance ur le etimation Une propriété probabilite du krigeage Quelque application utile du krigeage Quelque application à procrire Le logiciel 26 7 Code R permettant de fabriquer le exemple 28 3

4 1 INTRODUCTION 1 Introduction Dan le année 50, de ingénieur de mine ud-africain faiaient de calcul pour évaluer le reource en minerai d un giement à partir d un petit nombre de ondage prélevé en de ite irrégulièrement réparti dan le domaine d étude. Dan ce contexte, la quantité d intérêt (la réerve totale diponible) était inconnue et traitée comme une variable aléatoire. Mai il était impoible d aimiler le teneur meurée aux différent ite ondé à de réaliation de variable aléatoire indépendante. En effet i on uppoe une indépendance tatitique entre le meure réaliée entre différent point de l epace, la meilleur prédiction que l on peut faire de la teneur en un ite non informé (i.e où l on n a pa réalié de ondage) et d attribuer la moyenne de l écantillon. On ent bien que cette olution a quelque coe de ou-optimal, en particulier il emble ouaitable d utilier une métode qui donne plu de poid aux ite proce qu aux autre point de meure. Cette ituation : (i) un formalime probabilite pour repréenter de quantité inconnue (ii) l impoibilité de uppoer une indépendance entre le donnée, (iii) l exitence d une tructuration de la variable étudiée par rapport aux coordonnée d epace et caractéritique de la tatitique patiale. Quand le meure ont réaliée en de ite irrégulièrement epacé coii par l expérimentateur (on dit alor que la poition de ite et non informative), on e trouve exactement dan la ituation du problème d évaluation d un giement, qui a donné lieu à de nombreux développement métodologique : la Géotatitique. Il arrive que le ite de meure oient régulièrement epacé ur une grille par exemple lorque la meure et réaliée par un atellite. Cette régularité géométrique apporte de nombreue implification mai elle accompagne d une complication : le donnée régulière ont en général fournie en trè grand nombre (typiquement pixel) et il faut e limiter à de modèle pour lequel le calcul ont ne ont pa trop complexe. C et préciément l objet de tecnique tatitique d Analye d Image. Il exite enfin de ituation où la poition de ite de meure et une de variable du problème à modélier. On peut pener par exemple au problème de l évaluation de la quantité de boi d une parcelle foretière à partir d un relevé de la poition et du volume de quelque arbre de la parcelle. L évaluation du volume total pae néceairement par une évaluation de la poition (inconnue) de arbre non meuré. Ce type de ituation et abordé à l aide de modèle pécifique : le proceu aléatoire ponctuel. Cacun de troi domaine de la tatitique patiale et trè vate et eul quelque apect eront évoqué. Tout d abord on exclu tou le apect lié aux proceu ponctuel aini que le tecnique d analye d image. On n abordera pa non plu le problème non linéaire, le métode aociée aux ditribution dicrète, et le problème de claification qui eraient trè intéreant dan le cadre d un cour orienté ver l agronomie mai qui ont matématiqement plu complexe et demanderaient plu de temp. L objectif de ce cour d introduction et donc implement de donner une idée de problème qui e poent quand on doit traiter de donnée patiale, d introduire le notion géotatitique decriptive de bae (tationnarité, variogramme) et de le utilier 4

5 2 MÉTHODES EXPLORATOIRES pour calculer de interpolation (krigeage). 2 Métode exploratoire 2.1 Quelque point de vocabulaire En général un jeu de donnée patiale e préente ou la forme d une lite de valeur numérique z = (z 1,..., z n ) t (la variable) et de coordonnée de ite ( 1,..., n ) auxquelle la variable a été meurée. Quand on réalie une meure pyique, cette meure et aociée à une longueur, une urface ou un volume élémentaire. Par exemple on peut meurer la pluie avec un pluviomètre qui donne la auteur d eau tombée ur une urface d environ 400cm 2, meurer une teneur en minerai dan le ol avec une carotte de 500cm 3. Ce longueur, urface, volume, élémentaire contituent ce que l on appelle le upport de la meure. Une meure réaliée à upport patial donné peut être réaliée à différent upport temporel. Par exemple, on peut meurer la pluie avec un pluviogrape pendant une journée et en déduire la pluie moyenne ur la journée ou la pluie maximale ur la journée. Il agit de deux variable ditincte qui auront de propriété géotatitique trè différente. Lorqu on cerce à déduire le propriété tatitique d une variable à un certain upport à partir de cette même variable à un autre upport, on dit qu on réalie un cangement de upport. Il ne faut pa confondre la notion de upport avec la notion d écelle qui déigne quelquecoe de beaucoup plu vague elon le contexte. Il peut agir de la taille du dommaine étudié ou du upport temporel de la meure. 2.2 Ditribution monovariable Avant d enviager quoi que e oit il et bon de repréenter l itogramme de z, ce qui permet d évaluer à quel point la ditribution écarte d une loi gauienne. On verra par la uite que beaucoup de métode atteignent une efficiacité maximale lorque la ditribution de z et celle d un vecteur multi-gauien, ce qui uppoe entre autre que la ditribution marginale oit gauienne. L écart au caractère gauien peut e manifeter par - une diymmétrie - un enemble de valeur poible borné - une accumulation de valeur en un (ou pluieur) point (ditribution atomique) 2.3 Répartition patiale Cette inpection trè partielle de la ditribution de z doit être complétée par une étude de la répartition patiale de valeur de z. On peut le faire en traçant un ymbol plot dan lequel on repréente en caque ite un ymbole (croix, étoile, cercle) dont la taille et proportionnele à la valeur obervée z i. L examen de ce ymbol plot permet de détecter (de manière qualitative encore) la préence de variation ytématique dan le donnée, on parlera de tendance ou de dérive. 5

6 Squarred difference of dept (cm^2) Norting(m) FONCTIONS ALE ATOIRES, STATIONNARITE, COVARIANCE Ditance Eating (m) Fig. 1 Droite : Profondeur de ol en 222 point de la parcelle de Pont-Cailloux. Le rayon du cercle et proportionnel a la profondeur meure e. Ce profondeur ont aez e te roge ne. Gauce : nue e variograpique La figure 1 donne le profondeur de ol en 222 point irre gulie rement epace de la parcelle expe rimentale de Pont-Cailloux a Grignon. Le valeur ont aez e te roge ne mai aucune tendance re gulie re ne e manifete. 2.4 Nue e variograpique A ce tade, on ne et pa encore pre occupe de l e ventuelle de pendance entre le donne e. C et ce que l on fait en contruiant ce que l on appelle la nue e variograpique. Il agit du nuage de point forme par le couple (i j ), (zi zj )2. Ce nuage pre ente l allure de figure 1(gauce) et 2 (en ba a droite). La nue e variograpique de profondeur de ol (figure 1) ne fait pa apparaitre de liaion entre l e cart (zi zj )2 /2 et la ditance correpondante. En revance, la diffe rence quadratique γij = (zi zj )2 /2 de re itivite a tendance a croitre en fonction de la ditance ij = i j. Autrement dit, le paire de valeur de z meure e en de ite ge ograpiquement proce ont tendance a e tre plu imilaire que celle meure e en de ite e loigne. C et ce genre de comportement qui fait qu on doit rejeter l ypote e d inde pendance entre le donne e. En effet, dan le ca d un e cantillon i.i.d le γij eraient de variable ale atoire de me me loi et de me me variance Fonction ale atoire, tationnarite, covariance Fonction ale atoire La quetion qui e poe maintenant et de mode lier la ditribution tatitique de l e cantillon z1,..., zn. Dan le ca d un e cantillon i.i.d, la caracte riation et facile, il uffit de pe cifier une fonction de re partition (commune a toute le v.a de l e cantillon). 6

7 3 FONCTIONS ALE ATOIRES, STATIONNARITE, COVARIANCE 60 Frequency Norting (m) Meaurement ite of reitivity (july 2002) Reitivity (Ω.m 3) Norting (m) 300 Mean quared difference (Ω2m 6) Eating (m) Eating (m) ditance (m) Fig. 2 De aut en ba et de gauce a droite : trajectoire du tracteur lor de 8235 meure de re itivite (le blanc correpondent a de zone non viite e ou a de dyfonctionnement du GPS au moment du paage ; itogramme de re itivite ; ymbol plot (rayon ρ2 ) ; nue e variograpique. 7

8 3 FONCTIONS ALÉATOIRES, STATIONNARITÉ, COVARIANCE Ici c et beaucoup plu difficile parcequ en toute généralité, il faudrait pécifier comment et ditribué caque Z i, caque couple (Z i, Z j ), caque triplet etc... Mai il e trouve que l on peut décrire la ditribution patiale d un écantillon de manière aez précie dan le ca où la ditribution tatitique de la variable préente une forme d invariance par tranlation dan l epace. Pour précier cette notion, il era commode de pouvoir faire référence à de valeur de la variable en tout point de l epace. Noton z() la valeur de notre variable (meurée ou non) au point de coordonnée. Comme z 1,..., z n, cette grandeur et une réaliation d une variable aléatoire. On définit aini en tout point une variable aléatoire Z(). On dit que Z et une fonction aléatoire. Cette notation permet de faire le lien à la foi avec le notation abituelle en tatitique (la variable n et plu indéxée par le entier 1, 2,... mai par le point de l epace où on l oberve), et avec le notation de la pyique (on pourra par exemple calculer le dérivée 1 Z() et 2 Z() de notre variable par rapport à une coordonnée d epace). 3.2 Fonction de covariance On peut décrire partiellement la ditribution tatitique d une fonction aléatoire via de moment d ordre un et deux tel que l epérance et la covariance (qui ont ici de fonction de coordonnée d epace) défini par µ() = E[Z()] (1) La covariance atifait deux propriété importante : Symétrie : C(, ) = C(, ) C(, ) = Cov[Z(), Z( )] (2) Défini-poitivité : Conidéron par exemple la variance d une omme du type V ar[ À l aide de C elle écrit n λ i Z i ]. i=1 λ i λ j C( i, j ). (3) i,j En tant que variance, cette omme doit être poitive, ceci quel que oient le λ i, ce qui exprime que la fontion C et une fonction de type poitif. 3.3 Stationnarité On dit qu une fonction aléatoire Z() et tationnaire à l ordre 1 i on epérance et la même en tout point de l epace, oit formellement : m R / E[Z()] = m m (4) 8

9 3 FONCTIONS ALÉATOIRES, STATIONNARITÉ, COVARIANCE On dit que Z() et tationnaire à l ordre 2 i l epérance et la covariance ont invariant par tranlation : C / Cov[Z(), Z( )] = C( ), (5) Lorque le ypotèe (4) et (5) ont vérifiée, la decription de la ditribution tatitique de Z en trouve conidérablement implifiée. Tou le moment d ordre deux e déduient de la fonction de covariance C() = C( ) et de la moyenne m. En toute généralité, une fonction de covariance et définie pour tou le couple,. Lorque Z et tationnaire, la fonction de covariance e réduit à une fonction d une eule variable d epace, ce que l on note abuivement C(, ) = C( ) = C(). Il arrive que cette fonction C ne dépendent pa non plu de la direction du vecteur, mai eulement de a norme : C() = C( ). Ceci exprime que la variable n et pa tructurée elon de direction préférentielle, on dit que Z et C ont iotrope. Dan le ca contraire, on dit que Z et C ont aniotrope. Il e trouve que l yptoèe de tationnarité contitue ouvent en première approximation un bon compromi entre fidélité aux donnée et implicité matématique. Mai bien ouvent, cette ypotèe et faite d emblée ur le donnée car il et difficile de la teter efficacement. On cerce enuite le moin mauvai modèle dan ce cadre implificateur. La notion de tationnarité et illutrée par le figure?? et?? qui préentent de exemple de proceu (imulé par ordinateur) tationnaire et non tationnaire. L impreion viuelle d invariance par tranlation de l apect général de caque trajectoire et trè dépendante de la largeur de la fenêtre d obervation. La figure?? montre de réaliation de proceu tationnaire avec de paramètre d écelle variable. La figure?? préente de réaliation de proceu non tationnaire ayant tou le même paramètre d écelle. On voit qu une trajectoire tationnaire peut paraitre non tationnaire et vice vera. La notion de tationnarité appliquée à un nombre limité de réaliation n a de en qu en référence à un modèle particulier. La quetion à e poer et donc : étant donné un modèle de dépendance et un modèle de tendance (ce modèle étant en général coii par de conidération a priori ur le pénomène étudié), l ypotèe de tationnarité et-elle raionnable? 3.4 Variogramme Dan la continuité d un cour de tatitique, il était naturel de commencer par introduire la fonction de covariance C puiqu elle généralie la notion de matrice covariance d un vecteur aléatoire, mai il e trouve que l uage géotatitique a conacré ce que l on appelle le variogramme. Celui-ci et défini par : γ(, ) = 1 2 V ar[z() Z( )] (6) Un calcul imple montre qu il et relié à la covariance par la relation : γ(, ) = 1 2 [C(, ) + C(, )] C(, ) (7) Aini, d un point vue téorique il et équivalent de connaitre la covariance ou le variogramme de la variable étudiée. L uage courant confond ouvent ce deux fonction en déignant l une et l autre par fonction de tructure. 9

10 3 FONCTIONS ALÉATOIRES, STATIONNARITÉ, COVARIANCE Mean quared difference (cm 2 ) Ditance (m) Fig. 3 Variogramme empirique de profondeur de ol. L écart quadratique moyen ne emble pa dépendre de la ditance qui épare le point. La variable n et pa tructurée patialement Dan le ca où Z et tationnaire d ordre deux, cette relation e implifie en Dan le ca tationnaire, le variogramme écrit γ() = C(0) C() (8) γ() = 1 2 E [ (z() Z( + )) 2] + (µ() µ( + )) 2 (9) Le terme µ() µ( + ) et appelé dérive de Z. 3.5 Fonction de tructure empirique On peut faire le lien entre ce notion téorique et le nuée variograpique empirique obervée (figure 1 et 2). Définion la covariance empirique par C () = 1 z i z j z 2 (10) n i, j S où z = i z i, et (en uppoant que la dérive et nulle), le variogramme empirique par γ () = 1 2n i, j S (z i z j ) 2 (11) où S = {( i, j ) : i j } et n = Card S. De exemple de variogramme empirique ont préenté aux figure 3 et 6 Ce deux quantité permettent d etimer repectivement C et γ lorque Z et tationnaire d ordre deux. 10

11 4 L AJUSTEMENT D UNE FONCTION DE STRUCTURE THÉORIQUE 4 L ajutement d une fonction de tructure téorique 4.1 Introduction On a vu que le fonction C et γ calculée empiriquement permettaient d etimer le fonction téorique ou-jacente C et γ. Mai ce fonction empirique ne ont pa totalement atifaiante pour pluieur raion : Ce courbe empirique ont ouvent aez erratique, il et donc difficile de réumer en quelque mot comment elle e comportent On a vu qu une fonction de covariance téorique atifaiait la propriété de définipoitivité, condition qui n et pa aurée par la covariance empirique. On réoud ce deux problème en ubtituant à la fonction de tructure empirique une fonction appartenent à une famille paramétrique imple de fonction défini-poitive. 4.2 Famille paramétrique de covariance Il exite un catalogue de modèle paramétrique dont la défini-poitivité et établie et dont caque famille correpond à un comportement type (Cf figure 4 et 5). En voici quelque exemple imple (Cf [1, 5] pour une lite plu complète) : Le modèle pépitique pur ρ() = I 0 () Cette tructure et en fait une abence de tructure et peut interpréter comme une erreur de meure, comme un bruit ou parfoi comme une manière commode de prendre en compte un pénomène trucuturé à une écelle non réolue par le donnée. Le modèle exponentiel ρ() = exp( /a) Dan ce modèle, la décroiance de la covariance et linéaire à l origine et décroit trè rapidement aux grande valaur de an jamai annuller. Le modèle gauien ρ() = exp( /a) 2 Ici la décroiance à l origine et trè lente (le dérivée en 0 ont nulle à tou le ordre) ce qui donne une allure trè lie aux réaliation correpondante. Le deux dernier modèle dépendent d un paramètre d écelle a qui gouverne l intenité de la dépendance patiale. Plu a et élevé, plu dépendance e propage à longue ditance. Le troi modèle correpondent à une fonction aléatoire de variance unité (ρ(0) = 1). On obtient un modèle de variance quelquonque en multipliant un modèle normé par une variance σ 2 : C() = σ 2 ρ(). Un calcul imple montre que σ 2 et la limite du variogramme en +, cette valeur et appelée palier du variogramme. Enfin, i C 1 et C 2 ont deux fonction de covariance, alor pour tout réel poitif a 1 et a 2, a 1 C 1 + a 2 C 2 et aui une fonction de covariance. C et la covariance de a 1 Y 1 + a 2 Y 2 où Y 1 (rep. Y 2 ) et une fonction aléatoire de cov. C 1 (rep. C 2 ). En particulier, on utilie trè ouvent le modèle uivant : C() = σ 2 I pep () + C () où C et une covariance continue à l origine (par exemple exponentielle ou gauienne). Ceci 11

12 4 L AJUSTEMENT D UNE FONCTION DE STRUCTURE THÉORIQUE Mean quared difference ρ() = exp( 0.1) Mean quared difference ρ() = exp( 0.5) ditance ditance Mean quared difference ρ() = exp( ( 0.2) 2 ) Mean quared difference ρ() = 0.1Il() + 0.9exp( ( 0.2) 2 ) ditance ditance Fig. 4 Quatre fonction de covariance uuelle. De aut en ba et de gauce à droite : exponentielle avec deux portée différente, gauienne, gauienne avec pépite 12

13 L AJUSTEMENT D UNE FONCTION DE STRUCTURE THE ORIQUE Fig. 5 Re aliation de fonction ale atoire aocie e aux covariance de la figure

14 4 L AJUSTEMENT D UNE FONCTION DE STRUCTURE THÉORIQUE revient à décompoer la variable étudiée en un terme patialement tructuré et un terme patialement non tructuré (Cf figure 6) 4.3 Métode d ajutement Pour etimer le paramètre de la covariance téorique on commence par coiir une famille paramétrique imple, (en général de combinaion linéaire à coefficient poitif du type C() = σ 2 I pep () + C ()), pui on etime le deux ou troi paramètre réel mi en jeu par l une de troi manière uivante : Ajutement à la main C et la métode la plu imple, on coiit le paramètre du modèle de manière à obtenir le meilleur ajutement viuel, en portant une attention particulière (par ordre décroiant d importance) au comportement à l origine au comportement aux petite ditance (linéaire, parabolique) à la ditance à laquelle le comportement e tabilie (Cf figure 6) Moinde carré On minimie par rapport au paramètre inconnu θ la omme de erreur quadratique (γ () γ()) 2 Comme cette métode donne un poid égal à toute le clae de ditance, elle donne de mauvai réultat. On lui préfère la minimiation du critère uivant : (γ () γ()) 2 w() où w() et une fonction plu ou moin arbitraire qui donne beaucoup de poid à l origine et peu aux grande ditance. Vraiemblance Si on e donne une loi de probabilité paramétrique pour le vecteur aléatoire (Z 1,...Z n ) t, on peut écrire la vraiemblance de l écantillon L(z 1,..., z n θ) et la maximier par rapport à θ. Conceptuellement c et la métode al plu atifaiante, néanmoin elle a troi inconvénient : La métode repoe fortement ur l ypotèe ditributionnelle (en général la multinormalité), elle produit parfoi de olution bizarre, de plu on n a pa de olution explicite, il faut maximier numériquement, enfin la olution et parfoi biaiée. On et parfoi urpri du manque de formaliation qui prévaut dan le métode d etimation de paramètre Il y a deux raion à cela : tout d abord le métode abituelle (moindre carré, maximum de vraiemblance) ne marcent pa toujour trè bien enuite le développement de métode géotatitique ont été fortement guidée par de problème concret au cour dequel le géotatiticien dipoaient d information extérieure (ou a priori) ur le pénomène qu il étudiaient, d où la néceité 14

15 5 INTERPOLATION LINÉAIRE SANS BIAIS DE VARIANCE MINIMALE : LE KRIGEAGE Mean quared difference (Ω 2 m 6 ) Ditance (m) Fig. 6 Variogramme expérimental de la réitivité et variogramme téorique exponentielpépitique de la forme γ() = αi 0 () + (1 α)(1 e /a ) avec α = 0, 1 et a = 30m. L effet de pépite prend en carge 10% dela variance et le corrélation ont trè faible au-delà de =100m. Le zoom à gauce met en évidence la dicontinuité à l origine qu on peut imputer à une erreur de meure non auto-corrélée où à une tructure à trè petite écelle non obervable à partir du emi de point diponible. de conerver une certaine flexibilité aux tecnique d inférence pour pouvoir inclure cette information a priori plu ou moin ubjective. 5 Interpolation linéaire an biai de variance minimale : le krigeage 5.1 Objectif du krigeage Un problème qui e poe trè ouvent dan le quetion environnementale et celui de l etimation d une valeur non meurée : à partir d un l écantillon z 1,..., z n, comment évaluer la valeur qu on aurait trouvé au ite 0 i on l avait meurée. Pour réoudre ce problème on va uppoer que le z i ont le valeur aux point i de la réaliation d un fonction aléatoire de fonction de covariance C connue. 5.2 Calcul de poid de krigeage Il peut embler naturel de cercer un etimateur de Z( 0 ) de la forme n Ẑ( 0 ) = λ i Z( i ) (12) i=1 Un tel etimateur et tatitiquement atifaiant il et an biai et i la variance de l erreur commie et faible. 15

16 5 INTERPOLATION LINÉAIRE SANS BIAIS DE VARIANCE MINIMALE : LE KRIGEAGE On va donc cercer de poid λ i qui aurent un biai nul et qui minimient la variance. Ceci écrit : Le krigeage imple E[Ẑ 0 Z 0 ] = 0 (13) { [ ] } V ar[ẑ 0 Z 0 ] = min V ar λ i Z( i ) Z 0, λ R n Si on uppoe que Z et d epérance nulle, le biai écrit : i (14) E[Z k 0 ] = E[ i λ i Z i ] = i λ i E[Z i ] = 0 (15) La condition (13) et donc automatiquement vérifiée. La deuxième impoe que le poid λ i oient olution du ytème matriciel Cλ = C 0 (16) où par abu de notation, C déigne la matrice de covariance entre le point variable aux point de meure. C et à dire C = (C( i j )) i,j. En notant λ k = C 1 C 0, la olution de notre problème écrit : Z KS ( 0 ) = (Z 1,..., Z n ).λ k (17) Cette expreion et aez commode à manipuler et met en évidence le fait qu on ne doit inverer la matrice C qu une eule foi lorque qu on veut kriger Z en différent point. En revance elle n explicite pa du tout le propriété tatitique et géométrique du krigeage. Celle-ci eront évoquée aux ection 5.5 et 5.7. Si E[Z()] = m où m et non nul mai connu, il uffit d appliquer la tecnique précédente à Y () = Z() m Le krigeage ordinaire Si on uppoe maintenant que Z et d epérance m inconnue la condition de non biai écrit m λ i = 0 (18) i C et donc un problème de minimiation ou contrainte. Un calcul imple montre que le poid de krigeage doivent être olution du ytème ( ) ( ) C 1 λ 1 t = (19) 0 µ où µ et un multiplicateur de Lagrange du problème de minimiation ou contrainte. 16

17 5 INTERPOLATION LINÉAIRE SANS BIAIS DE VARIANCE MINIMALE : LE KRIGEAGE 5.3 Évaluation de l erreur : la variance de krigeage Le krigeage fournit une valeur etimée en n importe quel point de l epace 0. L erreur commie Z() Z( 0 ) et évidemment inconnue mai on peut évaluer la variance de cette erreur appelée variance de krigeage. Dan le ca du krigegae imple elle écrit : σ 2 KS = C(0) i λ i C( i 0 ) (20) Pour le krigeage ordinaire, on obtient : σ 2 KO = C(0) i λ i C( i 0 ) µ KO (21) où µ KO et la valeur du multiplicateur de Lagrange dan la olution du ytème (19). 5.4 Analogie et différence avec le tecnique du modèle linéaire Il et clair que le expreion matématique employée dan le problème d interpolation ont aez imilaire à celle utiliée dan le cadre du modèle linéaire. Cette impreion n et pa fortuite : il agit de modèle à l ordre deux pour lequel on utilie de combinaion linéaire de donnée, et on minimie de forme quadratique aociée à de variance. Par exemple, le krigeage imple peut embler équivalent à une régreion multiple de la v.a Z( 0 ) ur le v.a Z( 1 ),..., Z( n ) (cf équation 16). Certain tatiticien ont même récemment poué le ouci de coérence juqu à reformulé certaine métode géotatitique avec le vocabulaire de la téorie du modèle linéaire (généralié)[3]. En fait cette parenté et urtout formelle et il y a de différence notable, en particulier, ne retenir du krigeage que l équation Cλ = C 0 occulte tou l apect patial du problème. 5.5 Comportement de poid de krigeage Il et difficile de décrire de manière générale comment e comportent le poid de krigeage. On peut oberver parfoi de pénomène complexe : effet d écran, effet de relai, effet de trou. Mai de manière générale, on oberve que le poid ont tendance à être faible dan le région où il y a beaucoup de donnée (caque ite prend en carge une fraction de l information apportée par cette le point de cette région. ont tendance à décroitre lorque le point informé éloignent du point non informé (à l infini, plu aucun point n apporte d information). Ce deux propriété ont illutrée par le figure 7, 8, 9 en dimenion 1. On et donné dix point aligné ur le egment [0, 1]. La fonction de covariance et connue. On calcule le poid de krigeage λ 6 aocié à la ixième obervation z 6 dan une etimation de Z() de la forme Z KS () = i λ iz( i ). Ce poid 6 dépend de la poition du point. pour lequel on veut obtenir une etimation. On peut le noter λ 6 () et tracer la courbe, λ 6 () pour variant entre 0 et 1. On oberve un pénomène de décroiance de λ 6 () lorque éloigne de 6. La décroiance et d autant plu rapide que le paramètre d écelle de la fonction de covariance et petit. 17

18 5 INTERPOLATION LINÉAIRE SANS BIAIS DE VARIANCE MINIMALE : LE KRIGEAGE C() lambda C() lambda C() lambda C() lambda Fig. 7 Comportement de poid de krigeage avec modèle de covariance exponentiel an pépite 18

19 5 INTERPOLATION LINÉAIRE SANS BIAIS DE VARIANCE MINIMALE : LE KRIGEAGE C() lambda C() lambda C() lambda C() lambda Fig. 8 Comportement de poid de krigeage avec modèle de covariance exponentiel pépitique 19

20 5 INTERPOLATION LINÉAIRE SANS BIAIS DE VARIANCE MINIMALE : LE KRIGEAGE C() lambda C() lambda C() lambda C() lambda Fig. 9 Comportement de poid de krigeage avec modèle de covariance gauien an pépite. 20

21 5 INTERPOLATION LINÉAIRE SANS BIAIS DE VARIANCE MINIMALE : LE KRIGEAGE 5.6 Comportement de la courbe Z KS () et influence de la fonction de covariance ur le etimation Une foi encore, il et trè difficile de dire comment e comporte la courbe Z KS () de manière générale puique cela dépend de donnée, de la covariance coiie et de la géométrie du emi de point informé. Toutefoi quelque propriété ont un caractère aez général : Lorque la fonction de covariance et continue à l origine, le krigeage interpole exactement la fonction aléatoire aux point informé : Ẑ( i) = Z( i ). On dit que le krigeage réalie une interpolation exacte. Le krigeage e rapproce de la moyenne (m dan le ca connu, on etimation quand elle et inconnue) dan le région où il n y a pa donnée La fonction de covariance utiliée dan le krigeage a une influence ur le comportement de la courbe obtenue. Quelque exemple ont donné en dimenion 1 aux figure 10,11, 12 et

22 5 INTERPOLATION LINÉAIRE SANS BIAIS DE VARIANCE MINIMALE : LE KRIGEAGE C() Z C() Z C() Z C() Z Fig. 10 Comportement de la fonction Z K () avec une fonction de covariance exponentielle et différent paramètre d écelle. C et continue, la courbe krigée pae par le point de donné. 22

23 5 INTERPOLATION LINÉAIRE SANS BIAIS DE VARIANCE MINIMALE : LE KRIGEAGE C() Z C() Z C() Z C() Z Fig. 11 Idem fig 10 avec repréentation de la vraie trajectoire. 23

24 5 INTERPOLATION LINÉAIRE SANS BIAIS DE VARIANCE MINIMALE : LE KRIGEAGE C() Z C() Z C() Z C() Z Fig. 12 Comportement de la fonction Z K () avec une fonction de covariance gauienne et différent paramètre d écelle. 24

25 5 INTERPOLATION LINÉAIRE SANS BIAIS DE VARIANCE MINIMALE : LE KRIGEAGE C() Z C() Z C() Z C() Z Fig. 13 Conéquence de l introduction d un effet de pépite ur la courbe krigée. C et dicontinue, l ampleur de l écart à la donnée dépend de la variance de l effet de pépite. 25

26 6 LES LOGICIELS 5.7 Une propriété probabilite du krigeage L erreur de krigeage et non corrélée avec le donnée : Cov[Z() Z K (), Z( i )] = 0 (22) Par conéquent, le krigeage et l erreur de krigeage ont non corrélé : Cov[Z() Z K (), Z K ()] = 0 (23) On peut donc écrire tout camp aléatoire comme la omme de on krigeage et d une erreur non corrélée : Z() = Z K () + σ K U où U et une variable centrée réduite non corrélée à Z(). Cette propriété ouvre la voie à une tecnique de imulation appelée krigeage conditionnant. 5.8 Quelque application utile du krigeage Si l on ouaite évaluer une moyenne patiale ur un domaine du type Z()d, il y D a deux tratégie poible. La première conite à cercer un etimateur de Z()d D ou la forme d une combinaion linéaire de donnée et à minimier la variance d erreur. La deuxième conite à kriger le donnée et calculer (par omme de Riemann) l intégrale de valeur krigée D Z()K ()d. Il e trouve que ce deux tratégie ont équivalente. De manière génrale, i φ(z) et une fonction linéaire de Z il et équivalent de kriger le donnée et d appliquer la tranformation φ au krigeage ou tranformer d abord le donnée et de kriger le donnée tranformée. 5.9 Quelque application à procrire L emploi de la terminologie etimateur optimal pourrait laier croire que le krigeage apporte une olution définitive à toute le quetion. Il n en et rien. Par exemple i l on ouaite évaluer l aire du domaine {, Z() > c}, l etimation baée ur {, Z K () > c} et une etimation biaiée qui ou-etime trè fortement l aire recercée pour le valeur de c élévée. 6 Le logiciel Il exite de trè nombreux logiciel qui propoent du krigeage et d autre tecnique géotatitique. Pour une lite aez détaillée, voir ttp :// A l INA-PG on peut travailler avec : Iati qui a deux avantage : le logiciel et tructuré comme la téorie géotatitique, le menu déroulant propoent de fonctionnalité dan l ordre naturel dan lequel on doit le faire dan une étude réelle ; aini en apprenant à e ervir d Iati, on apprend aui la Géotatitique. 26

27 6 LES LOGICIELS comme tout et pré-programmé, on ne peut quaiment pa e tromper. Son gro défaut et qu on et prionnier de menu déroulant qui révèlent aez vite leur limite... SAS poède quelque fonction pour faire de la géotatitique linéaire Matlab néceite l intallation de package (à faire oi-même) R offre à la foi la puiance d un interpréteur orienté ver la manipulation de donnée et le traitement tatitique et pluieur package trè bien fait : RandomField ttp ://btgyxd.geo.uni-bayreut.de/ martin field ttp :// nycka geor ttp :// georglm ttp :// criten/georglm que l on cargent avec la commande library( nom.du.package ) 27

28 7 CODE R PERMETTANT DE FABRIQUER LES EXEMPLES 7 Code R permettant de fabriquer le exemple #### # Donnée pédologique pedo <- read.table("/ome/guillot/cour/patial/data/pedo.txt", dec=",",ep=";",kip=1) pedo[,1] <- pedo[,1]- min(pedo[,1]) pedo[,2] <- pedo[,2]- min(pedo[,2]) pedo[((pedo[,3] < 0) i.na(pedo[,3])),3] <- NA # legend(locator(1),a.caracter(1:18),pc=0:18) p(were="/ome/guillot/cour/patial/poly/ymb_prof.p",=t) etplot(pedo[,1],pedo[,2]) plot(pedo[,1],pedo[,2], pc=18,xlab="eating (m)",ylab="norting(m)") ymbol(pedo[,1],pedo[,2],circle=pedo[,3],ince=.3,lwd=1.5,add=t,col=2) dev.off() p(were="/ome/guillot/cour/patial/poly/it_prof.p",=t) it(pedo[,3],xlab="dept (cm)",main="",col=3,ncla=15) dev.off() p(were="/ome/guillot/cour/patial/poly/nuee_prof.p",=t) plot(dit(pedo[,1:2]),dit(pedo[,3])^2,xlab="ditance ", ylab="squarred difference of dept (cm^2)",pc=16,cex=.4) dev.off() # Meure de réitivité ro.raw0702 <- read.table("/ome/guillot/projet/agro/data/reit_brute/pc_reit-brute_0702.cv", kip=1,ep=";",dec=",") p(were="/ome/guillot/cour/patial/poly/tractor.p",=t) etplot(ro.raw0702[,1]-min(ro.raw0702[,1]), ro.raw0702[,2]-min(ro.raw0702[,2])) plot(ro.raw0702[,1]-min(ro.raw0702[,1]), ro.raw0702[,2]-min(ro.raw0702[,2]), pc=16, xlab="eating (m)", ylab="norting (m)",cex.lab=1.5,cex=0.5, main="meaurement ite of reitivity (july 2002)") dev.off() # Sélection d un ou-écantillon ub <- ample(1:8235,ize=300) # Nuée variograpique p(were="/ome/guillot/cour/patial/poly/nuee_reit.p",=t) etplot(ro.raw0303[,1]-min(ro.raw0303[,1]), ro.raw0303[,2]-min(ro.raw0303[,2])) 28

29 7 CODE R PERMETTANT DE FABRIQUER LES EXEMPLES plot(dit(ro.raw0702[ub,1:2]), dit(ro.raw0702[ub,3])^2, xlab="ditance (m)", ylab="quared difference of reitivitie (Om.m)^2", pc=16,cex=0.2,cex.lab=1.5) dev.off() # Hitogramme p(were="/ome/guillot/cour/patial/poly/ito_reit.p",=t) it(ro.raw0702[ub,3],main="",col=3,ncla=70,xlab="reitivity (Om.m)") dev.off() # Symbol plot p(were="/ome/guillot/cour/patial/poly/ymbol_reit.p",=t) etplot(ro.raw0303[,1]-min(ro.raw0303[,1]), ro.raw0303[,2]-min(ro.raw0303[,2])) plot(ro.raw0702[ub,1]-min(ro.raw0702[ub,1]), ro.raw0702[ub,2]-min(ro.raw0702[ub,2]), pc=16,xlab="eating (m)", ylab="norting (m)",cex.lab=1.5,type="n") ymbol(ro.raw0702[ub,1]-min(ro.raw0702[ub,1]), ro.raw0702[ub,2]-min(ro.raw0702[ub,2]), circle= (ro.raw0702[ub,3])^10, ince=.3, lwd=1.5,add=t,col=2) dev.off() ################################################# # # Troi fonction pour réalier le imulation # ################################################# # Une fonction pour fabriquer une matrice de covariance # entre deux écantillon de point mat.cov<-function(x1,x2=x1,model,range) { x1<-matrix(x1,ncol=2) x2<-matrix(x2,ncol=2) n1<-dim(x1)[1] n2<-dim(x2)[1] complex.x1<-complex(real=x1[,1],imaginary=x1[,2]) complex.x2<-complex(real=x2[,1],imaginary=x2[,2]) X1<-matrix(nrow=n1,ncol=n2, data=complex.x1,byrow=f) X2<-t(matrix(nrow=n2,ncol=n1, data=complex.x2,byrow=f)) D<-Mod(X1-X2) # modele expo if(model==1) exp(-d/range) # modele gauien ele exp(-(d/range)^2) } 29

30 7 CODE R PERMETTANT DE FABRIQUER LES EXEMPLES # Une fonction pour imuler un vecteur aléatoire # d epérance et de variance donné rmultnorm<-function(n, mu, vmat, tol = 1e-07) { p <- ncol(vmat) if(lengt(mu)!= p) top("mu vector i te wrong lengt") if(max(ab(vmat - t(vmat))) > tol) top("vmat not ymmetric") v <- vd(vmat) vqrt <- t(v$v %*% (t(v$u) * qrt(v$d))) an <- matrix(rnorm(n * p), nrow = n) %*% vqrt an <- weep(an, 2, mu, "+") dimname(an) <- lit(null, dimname(vmat)[[2]]) return(an) } # Une fonction pour réalier le krigeage d un écantillon # krige <- function(.data,z.data,model,range,pep=0,.grid) { C <- (1-pep)*mat.cov(.data,.data,model,range) diag(c) <- diag(c) + pep*rep(1,dim(c)[1]) C0 <- (1-pep)*mat.cov(.data,.grid,model,range) diag(c0) <- diag(c0) + pep*rep(1,dim(c0)[1]) Lambda <- olve(c) %*% C0 Z.data %*% Lambda } # Un petit raccourci pour imprimer une figure dan un ficier potcript p <- function(oriz=f,were="/ome/guillot/tmp/lat.p") { potcript(file=were, oriz=oriz) } ################################## # # Le imulation # ################################# n.grid < grid <- cbind(eq(0,1,lengt=n.grid),rep(0,n.grid)) Z.grid <- rmultnorm(n=1,mu=rep(0,n.grid), vmat=mat.cov(.grid,model=1,range=0.2)) n.data <- 10 ub.data <- ample(1:n.grid,ize=n.data).data <-.grid[ub.data,] Z.data <- Z.grid[,ub.data] 30

31 7 CODE R PERMETTANT DE FABRIQUER LES EXEMPLES perm <- order(.data[,1]).data <-.data[perm,] Z.data <- Z.data[perm] ##### p(=f,were="~/cour/patial/1.p") par(mfrow=c(4,2)) model=1 pep = 0. for(range in c(0.01,0.05,0.1,0.2)) { plot(.grid[,1],(1-pep)*exp(-(.grid[,1]/range)^model), "l",xlab="",ylab="c()") abline(0,0);abline(0,9999);abline(1,0,col=2,lty=2) plot(.grid[,1],z.grid,"n", xlab="",ylab="z") line(.grid[,1],krige(.data,z.data,model,range,pep,.grid), col=3,lwd=2) point(.data[,1],z.data,col=2,lwd=3) # line(.grid[,1],z.grid) } dev.off() #### p(=f,were="~/cour/patial/1bi.p") par(mfrow=c(4,2)) model=1 pep = 0. for(range in c(0.01,0.05,0.1,0.2)) { plot(.grid[,1],(1-pep)*exp(-(.grid[,1]/range)^model), "l",xlab="",ylab="c()") abline(0,0);abline(0,9999);abline(1,0,col=2,lty=2) plot(.grid[,1],z.grid,"n", xlab="",ylab="z") line(.grid[,1],krige(.data,z.data,model,range,pep,.grid), col=3,lwd=2) point(.data[,1],z.data,col=2,lwd=3) line(.grid[,1],z.grid) } dev.off() ###### ###### p(=f,were="~/cour/patial/2.p") par(mfrow=c(4,2)) model=1 range = 0.2 for(pep in c(0.01,0.1,.3,0.7)) 31

32 7 CODE R PERMETTANT DE FABRIQUER LES EXEMPLES { plot(.grid[,1],(1-pep)*exp(-(.grid[,1]/range)^model), "l",xlab="",ylab="c()",ylim=c(0,1)) abline(0,0);abline(0,9999);abline(1,0,col=2,lty=2) plot(.grid[,1],z.grid,"n", xlab="",ylab="z") line(.grid[,1],krige(.data,z.data,model,range,pep,.grid), col=3,lwd=2) point(.data[,1],z.data,col=2,lwd=3) #line(.grid[,1],z.grid) } dev.off() ##### p(=f,were="~/cour/patial/3.p") par(mfrow=c(4,2)) model=2 pep = 0. for(range in c(0.01,0.05,0.1,0.15)) { plot(.grid[,1],(1-pep)*exp(-(.grid[,1]/range)^model), "l",xlab="",ylab="c()") abline(0,0);abline(0,9999);abline(1,0,col=2,lty=2) plot(.grid[,1],z.grid,"n", xlab="",ylab="z") line(.grid[,1],krige(.data,z.data,model,range,pep,.grid), col=3,lwd=2) point(.data[,1],z.data,col=2,lwd=3) #line(.grid[,1],z.grid) } dev.off() ###### ### # Poid de krigeage p(=f,were="~/cour/patial/4.p") par(mfrow=c(4,2)) model=1 pep = 0. for(range in c(0.01,0.05,0.1,0.2)) { C <- (1-pep)*mat.cov(.data,.data,model,range) diag(c) <- diag(c) + pep*rep(1,dim(c)[1]) C0 <- (1-pep)*mat.cov(.data,.grid,model,range) diag(c0) <- diag(c0) + pep*rep(1,dim(c0)[1]) Lambda <- olve(c) %*% C0 plot(.grid[,1],(1-pep)*exp(-(.grid[,1]/range)^model), "l",xlab="",ylab="c()") abline(0,0);abline(0,9999);abline(1,0,col=2,lty=2) plot(.grid[,1],lambda[6,],"l",xlab="",ylab="lambda") point(.data[,1],rep(0,n.data),col=4,lwd=3) 32

33 7 CODE R PERMETTANT DE FABRIQUER LES EXEMPLES } dev.off() ### p(=f,were="~/cour/patial/4bi.p") par(mfrow=c(4,2)) model=1 range=0.2 for(pep in c(0.01,0.1,0.3,0.7)) { C <- (1-pep)*mat.cov(.data,.data,model,range) diag(c) <- diag(c) + pep*rep(1,dim(c)[1]) C0 <- (1-pep)*mat.cov(.data,.grid,model,range) diag(c0) <- diag(c0) + pep*rep(1,dim(c0)[1]) Lambda <- olve(c) %*% C0 plot(.grid[,1],(1-pep)*exp(-(.grid[,1]/range)^model), "l",xlab="",ylab="c()",ylim=c(0,1)) abline(0,0);abline(0,9999);abline(1,0,col=2,lty=2) plot(.grid[,1],lambda[6,],"l",xlab="",ylab="lambda") point(.data[,1],rep(0,n.data),col=4,lwd=3) } dev.off() ### p(=f,were="~/cour/patial/5.p") par(mfrow=c(4,2)) model=2 pep = 0. for(range in c(0.01,0.05,0.1,0.15)) { C <- (1-pep)*mat.cov(.data,.data,model,range) diag(c) <- diag(c) + pep*rep(1,dim(c)[1]) C0 <- (1-pep)*mat.cov(.data,.grid,model,range) diag(c0) <- diag(c0) + pep*rep(1,dim(c0)[1]) Lambda <- olve(c) %*% C0 plot(.grid[,1],(1-pep)*exp(-(.grid[,1]/range)^model), "l",xlab="",ylab="c()") abline(0,0);abline(0,9999);abline(1,0,col=2,lty=2) plot(.grid[,1],lambda[6,],"l",xlab="",ylab="lambda") point(.data[,1],rep(0,n.data),col=4,lwd=3) } dev.off() 33

34 Index écelle, 5 aniotrope, 9 cangement de upport, 5 dérive, 10 effet de pépite, 11 fonction de covariance, 8 fonction de tructure, 9 fonction de type poitif, 8 interpolateur exact, 21 iotrope, 9 moyenne, 8 nuée variograpique, 6 palier, 11 paramètre d écelle, 11 tationnaire d ordre 1, 8 upport, 5 ytème de krigeage, 16 variogramme, 9 34

35 RÉFÉRENCES Référence [1] J.P. Cilè and P. Delfiner. Geotatitic. Wiley, [2] N.A.C Creie. Statitic for patial data. Serie in Probability and Matematical tatitic. Wiley, [3] P.J. Diggle, R.A. Moyeed, and J.A. Tawn. Model baed geotatitic. Journal of te Royal Statitical Society, erie A, Applied Statitic, [4] C. Lantuéjoul. Geotatitical imulation. Springer, [5] M. Sclater. Introduction to poitive definite function and to unconditional imulation of random filed. Tecnical Report ST-99-10, Department of Matematic and Statitic, Faculty of Applied Science, Lancater, UK, [6] H. Wackernagel. Multivariate geotatitic : an introduction wit application. Springer Verlag, Berlin, [7] R. Webter and M. Oliver. Geotatitic for environmental cientit. Statitic in Practice. Jon Wiley and Son,

Progressons vers l internet de demain

Progressons vers l internet de demain Progreon ver l internet de demain COMPRENDRE LA NOTION DE DÉBIT La plupart de opérateur ADSL communiquent ur le débit de leur offre : "512 Kb/", "1 Méga", "2 Méga", "8 Méga". À quoi ce chiffre correpondent-il?

Plus en détail

Cap Maths. Guide de l enseignant. Nouveaux programmes. cycle. Roland CHARNAY Professeur de mathématiques en IUFM

Cap Maths. Guide de l enseignant. Nouveaux programmes. cycle. Roland CHARNAY Professeur de mathématiques en IUFM Cap Math CP 2 cycle Guide de l eneignant Nouveaux programme SOUS LA DIRECTION DE Roland CHARNAY Profeeur de mathématique en IUFM Marie-Paule DUSSUC Profeeur de mathématique en IUFM Dany MADIER Profeeur

Plus en détail

La lettre. La Gestion des filiales dans une PME : Bonnes Pratiques et Pièges à éviter. Implantations à l étranger : Alternatives à la création

La lettre. La Gestion des filiales dans une PME : Bonnes Pratiques et Pièges à éviter. Implantations à l étranger : Alternatives à la création Doier : Getion d entreprie 42 La Getion de filiale dan une PME : Bonne Pratique et Piège à éviter Certaine PME ont tout d une grande. entreprie. A commencer par la néceité d avoir de filiale. Quel ont

Plus en détail

Voyez la réponse à cette question dans ce chapitre. www.lifeinsuranceinsights.com/life-insurance-2/what-will-your-hobby-cost-you.

Voyez la réponse à cette question dans ce chapitre. www.lifeinsuranceinsights.com/life-insurance-2/what-will-your-hobby-cost-you. Erwan, d une mae de 65 kg, fait un aut de Bungee. Il tombe de 0 m avant que la corde du bungee commence à étirer. Quel era l étirement maximal de la corde i cette dernière agit comme un reort d une contante

Plus en détail

Caractérisation de l interface Si/SiO 2 par mesure C(V)

Caractérisation de l interface Si/SiO 2 par mesure C(V) TP aractériation de l interface Si/SiO par meure (V) aractériation de l interface Si/SiO par meure (V) Introduction p I Effet de champ à l interface Si/SiO p Fonctionnement d une capacité MOS p Principe

Plus en détail

Guide de configuration d'une classe

Guide de configuration d'une classe Guide de configuration d'une clae Viion ME Guide de configuration d'une clae Contenu 1. Introduction...2 2. Ajouter de cour...4 3. Ajouter de reource à une leçon...5 4. Meilleure pratique...7 4.1. Organier

Plus en détail

RETIRER DE L ARGENT DE VOTRE SOCIÉTÉ

RETIRER DE L ARGENT DE VOTRE SOCIÉTÉ LETTRE MENSUELLE DE CONSEILS DESTINÉS À MAXIMALISER LE FLUX DE REVENUS RETIRÉS DE VOTRE SOCIÉTÉ OPTIMALISATION DU MOIS Déterminer le taux du marché... Si votre ociété vou vere un intérêt, elle doit de

Plus en détail

Le compte épargne temps

Le compte épargne temps 2010 N 10-06- 05 Mi à jour le 15 juin 2010 L e D o i e r d e l a D o c 1. Définition Sommaire 2. Modification iue du décret n 2010-531 3. Principe du compte épargne temp Bénéficiaire potentiel Alimentation

Plus en détail

TP6 : ALIMENTATION A DECOUPAGE : HACHEUR SERIE ET CONVERTISSEUR STATIQUE ABAISSEUR DE TENSION

TP6 : ALIMENTATION A DECOUPAGE : HACHEUR SERIE ET CONVERTISSEUR STATIQUE ABAISSEUR DE TENSION P6 : ALIMNAION A DCOUPAG : HACHUR SRI CONVRISSUR SAIQU ABAISSUR D NSION INRODUCION Le réeau alternatif indutriel fournit l énergie électrique principalement ou de tenion inuoïdale de fréquence et d amplitude

Plus en détail

Trouver des sources de capital

Trouver des sources de capital Trouver de ource de capital SÉRIE PARTENAIRES EN AFFAIRES Emprunt garanti et non garanti Vente de part de capital Programme gouvernementaux Source moin courante SÉRIE PARTENAIRES EN AFFAIRES Quelque principe

Plus en détail

Projet. Courbe de Taux. Daniel HERLEMONT 1

Projet. Courbe de Taux. Daniel HERLEMONT 1 Projet Courbe de Taux Daniel HERLEMONT Objectif Développer une bibliothèque en langage C de fonction relative à la "Courbe de Taux" Valeur Actuelle, Taux de Rendement Interne, Duration, Convexité, Recontitution

Plus en détail

EPFL 2010. TP n 3 Essai oedomètrique. Moncef Radi Sehaqui Hamza - Nguyen Ha-Phong - Ilias Nafaï Weil Florian

EPFL 2010. TP n 3 Essai oedomètrique. Moncef Radi Sehaqui Hamza - Nguyen Ha-Phong - Ilias Nafaï Weil Florian 1 EPFL 2010 Moncef Radi Sehaqui Hamza - Nguyen Ha-Phong - Ilia Nafaï Weil Florian 11 Table de matière Ø Introduction 3 Ø Objectif 3 Ø Déroulement de l eai 4 Ø Exécution de deux palier de charge 6 Ø Calcul

Plus en détail

Le paiement de votre parking maintenant par SMS

Le paiement de votre parking maintenant par SMS Flexibilité et expanion L expanion de zone de tationnement payant ou la modification de tarif ou de temp autorié peut e faire immédiatement. Le adree et le tarif en vigueur dan le nouvelle zone doivent

Plus en détail

Parcours Hydrologie-Hydrogéologie. Apport des méthodes d infiltrométrie à la compréhension de l hydrodynamique de la zone non-saturée des sols.

Parcours Hydrologie-Hydrogéologie. Apport des méthodes d infiltrométrie à la compréhension de l hydrodynamique de la zone non-saturée des sols. Univerité Pierre et Marie Curie, École de Mine de Pari & École Nationale du Génie Rural de Eaux et de Forêt Mater Science de l Univer, Environnement, Ecologie Parcour Hydrologie-Hydrogéologie Apport de

Plus en détail

Dossier. Vtech, leader en France. Lexibook, leader en Europe

Dossier. Vtech, leader en France. Lexibook, leader en Europe Doier Par Yoan Langlai La tablette pour enf Si 6 million de tablette devraient e vendre cette année en France (préviion GfK), on etime à 1 million le nombre de vente de tablette pour enfant en 2013. Sur

Plus en détail

Impact de l éolien sur le réseau de transport et la qualité de l énergie

Impact de l éolien sur le réseau de transport et la qualité de l énergie 1 Impact de l éolien ur le réeau de tranport et la qualité de l énergie B. Robyn 1,2, A. Davigny 1,2, C. Saudemont 1,2, A. Anel 1,2, V. Courtecuie 1,2 B. Françoi 1,3, S. Plumel 4, J. Deue 5 Centre National

Plus en détail

MIPOLAM EL. gerflor.fr

MIPOLAM EL. gerflor.fr MIPOLAM EL gerflor.fr MIPOLAM EL Électronique Salle propre et térile Santé, Plateaux technique 2 Une gamme complète de produit pour tou locaux enible aux rique ESD L électricité tatique L électricité tatique

Plus en détail

Édito. Somm@ire. Mon Université Numérique. Édito. L Université Numérique Paris Île-de-France Les formations UNPIdF Mobilité

Édito. Somm@ire. Mon Université Numérique. Édito. L Université Numérique Paris Île-de-France Les formations UNPIdF Mobilité Somm@ire Édito Édito L Univerité Numérique Pari Île-de-France Le formation UNPIdF Mobilité Mon Univerité Numérique Rue de Fac Droit de uager et identité numérique Gloaire Webographie 1 2 4 6 7 23 24 26

Plus en détail

Produire moins, manger mieux!

Produire moins, manger mieux! Raak doier d Alimentation : o Produire moin, manger mieux! Nou voulon une alimentation de qualité. Combien de foi n entendon-nou pa cette revendication, et à jute titre. Mai i tout le monde et d accord

Plus en détail

BAREME sur 40 points. Informatique - session 2 - Master de psychologie 2006/2007

BAREME sur 40 points. Informatique - session 2 - Master de psychologie 2006/2007 BAREME ur 40 point Informatique - eion 2 - Mater de pychologie 2006/2007 Bae de donnée PRET de MATERIEL AUDIO VISUEL. Remarque : Le ujet comporte 7 page. Vérifier qu il et complet avant de commencer. Une

Plus en détail

Édito. Somm@ire. Mon Université Numérique. Édito. L Université Numérique Paris Île-de-France Les formations UNPIdF Mobilité

Édito. Somm@ire. Mon Université Numérique. Édito. L Université Numérique Paris Île-de-France Les formations UNPIdF Mobilité Somm@ire Édito Édito L Univerité Numérique Pari Île-de-France Le formation UNPIdF Mobilité Mon Univerité Numérique Rue de Fac Droit de uager et identité numérique Gloaire Webographie 1 2 4 6 7 23 24 26

Plus en détail

unenfant Avoir en préservant ses droits

unenfant Avoir en préservant ses droits Avoir unenfant en préervant e droit Guide adreant aux travailleue et travailleur du ecteur public du réeau de la anté et de ervice ociaux Le comité de condition féminine de la La mie à jour de ce guide

Plus en détail

Ventilation à la demande

Ventilation à la demande PRÉSENTATION Ventilation à la demande Produit de pointe pour ventilation à la demande! www.wegon.com La ventilation à la demande améliore le confort et réduit le coût d exploitation Lorque la pièce et

Plus en détail

Introduction aux algorithmes de bandit

Introduction aux algorithmes de bandit Mater MVA: Apprentiage par renforcement Lecture: 3 Introduction aux algorithme de bandit Profeeur: Rémi Muno http://reearcher.lille.inria.fr/ muno/mater-mva/ Référence bibliographique: Peter Auer, Nicolo

Plus en détail

Somm@ire. Mon Université Numérique. Édito L Université Numérique Paris Île-de-France Les formations UNPIdF Mobilité

Somm@ire. Mon Université Numérique. Édito L Université Numérique Paris Île-de-France Les formations UNPIdF Mobilité Somm@ire Édito L Univerité Numérique Pari Île-de-France Le formation UNPIdF Mobilité 1 2 4 6 Mon Univerité Numérique 7 Rue de Fac Droit de uager et identité numérique Gloaire Webographie 23 24 26 28 Édito

Plus en détail

Modélisation d une section de poutre fissurée en flexion

Modélisation d une section de poutre fissurée en flexion Moéliation une ection e poutre fiurée en flexion Prie en compte e effort tranchant Chritophe Varé* Stéphane Anrieux** * EDF R&D, Département AMA 1, av. u Général e Gaulle, 92141 Clamart ceex chritophe.vare@ef.fr

Plus en détail

Édito. Somm@ire. Mon Université Numérique. Édito. L Université Numérique Paris Île-de-France Les formations UNPIdF Mobilité

Édito. Somm@ire. Mon Université Numérique. Édito. L Université Numérique Paris Île-de-France Les formations UNPIdF Mobilité Somm@ire Édito Édito L Univerité Numérique Pari Île-de-France Le formation UNPIdF Mobilité Mon Univerité Numérique Rue de Fac Droit de uager et identité numérique Gloaire Webographie 1 2 4 6 7 23 24 26

Plus en détail

La direction des solidarités Se loger à Moissy

La direction des solidarités Se loger à Moissy La direction de olidarité Se loger à Moiy La direction de olidarité La Source - Place du Souvenir - BP24-77550 Moiy-Cramayel cedex Tél. : 01 64 88 15 80 - Fax : 01 64 88 15 26 QU EST CE QUE LA GUP LA GESTION

Plus en détail

COMMUNE DE FELLETIN. P R O C E S V E R B A L D U C O N S E I L M U N I C I P A L Séance ordinaire du jeudi 8 septembre 2011

COMMUNE DE FELLETIN. P R O C E S V E R B A L D U C O N S E I L M U N I C I P A L Séance ordinaire du jeudi 8 septembre 2011 R E P U B L I Q U E F R A N Ç A I S E DEPARTEMENT DE LA CREUSE ARRONDISSEMENT D AUBUSSON COMMUNE DE FELLETIN P R O C E S V E R B A L D U C O N S E I L M U N I C I P A L Séance ordinaire du jeudi 8 eptembre

Plus en détail

Table des matières. Introduction. 1

Table des matières. Introduction. 1 Avant propo Le travail préenté dan ce mémoire a été réalié au ein du laboratoire d électromécanique de Compiègne (LEC) ou la direction de Monieur Jean Paul Vilain dan le cadre d une convention indutrielle

Plus en détail

Cadeaux d affaires, cadeaux d entreprises, objets publicitaires www.france-cadeaux.fr - services@france-cadeaux.fr

Cadeaux d affaires, cadeaux d entreprises, objets publicitaires www.france-cadeaux.fr - services@france-cadeaux.fr Siège France Cadeaux 84 rue de Courbiac 17100 Sainte 00 33 (0)5 46 74 66 00 RC.424 290 211 00012 Cadeaux d affaire, cadeaux d entreprie, objet publicitaire www.france-cadeaux.fr - ervice@france-cadeaux.fr

Plus en détail

Somm@ire. Mon Université Numérique. Édito L Université Numérique Paris Île-de-France Les formations UNPIdF Mobilité

Somm@ire. Mon Université Numérique. Édito L Université Numérique Paris Île-de-France Les formations UNPIdF Mobilité Somm@ire Édito L Univerité Numérique Pari Île-de-France Le formation UNPIdF Mobilité 1 2 4 6 Mon Univerité Numérique 7 Rue de Fac Droit de uager et identité numérique Gloaire Webographie 23 24 26 28 Édito

Plus en détail

Prudence, Epargne et Risques de Soins de Santé Christophe Courbage

Prudence, Epargne et Risques de Soins de Santé Christophe Courbage Prudence, Epargne et Rique de Soin de Santé Chritophe Courbage ASSOCIATION DE GENÈVE Introduction Le compte d épargne anté (MSA), une nouvelle forme d intrument pour couvrir le dépene de anté en ca de

Plus en détail

Conception de convertisseurs DC/DC à base de MEMS

Conception de convertisseurs DC/DC à base de MEMS onception de convertieur D/D à bae de MEMS S. Ghandour To cite thi verion: S. Ghandour. onception de convertieur D/D à bae de MEMS. Micro and nanotechnologie/microelectronic. Univerité Joeph-Fourier -

Plus en détail

Somm@ire. Édito. Mon Université Numérique. Édito L Université Numérique Paris Île-de-France Les formations UNPIdF Mobilité

Somm@ire. Édito. Mon Université Numérique. Édito L Université Numérique Paris Île-de-France Les formations UNPIdF Mobilité Somm@ire Édito Édito L Univerité Numérique Pari Île-de-France Le formation UNPIdF Mobilité 1 2 4 6 Depui maintenant ept an, l Univerité Numérique Pari Île-de France vou accompagne dan la découverte de

Plus en détail

Somm@ire. Mon Université Numérique. Édito L Université Numérique Paris Île-de-France Les formations UNPIdF Mobilité

Somm@ire. Mon Université Numérique. Édito L Université Numérique Paris Île-de-France Les formations UNPIdF Mobilité Somm@ire Édito L Univerité Numérique Pari Île-de-France Le formation UNPIdF Mobilité 1 2 4 6 Mon Univerité Numérique 7 Rue de Fac Droit de uager et identité numérique Gloaire Webographie 23 24 26 28 Édito

Plus en détail

LE LIVRET DE L AIDANT

LE LIVRET DE L AIDANT LE LIVRET DE L AIDANT Vou accompagnez un parent âgé à domicile Ce livret et fait pour vou! Information, coneil, adree utile pour vou aider et vou accompagner au quotidien www.orpea.com www.afer.ao.fr www.afer.ao.fr

Plus en détail

Exercice : la frontière des portefeuilles optimaux sans actif certain

Exercice : la frontière des portefeuilles optimaux sans actif certain Exercice : la frontière des portefeuilles optimaux sans actif certain Philippe Bernard Ingénierie Economique & Financière Université Paris-Dauphine Février 0 On considère un univers de titres constitué

Plus en détail

Édito. Somm@ire. Mon Université Numérique. Édito. L Université Numérique Paris Île-de-France Les formations UNPIdF Mobilité

Édito. Somm@ire. Mon Université Numérique. Édito. L Université Numérique Paris Île-de-France Les formations UNPIdF Mobilité Somm@ire Édito Édito L Univerité Numérique Pari Île-de-France Le formation UNPIdF Mobilité Mon Univerité Numérique Rue de Fac Droit de uager et identité numérique Gloaire Webographie 1 2 4 6 7 23 24 26

Plus en détail

Trilax. Données Faits. La spécificité de ce siège tient à la découverte qu il faut trois points d articulation

Trilax. Données Faits. La spécificité de ce siège tient à la découverte qu il faut trois points d articulation Donnée Fait La pécificité de ce iège tient à la découverte qu il faut troi point d articulation pour aurer au corp un outien ergonomique efficace dan toute le poition. vou relaxe et vou accompagne comme

Plus en détail

Michaël Terzo & Nicolas Vereecken

Michaël Terzo & Nicolas Vereecken ichaël Terzo & Nicola Vereecken U n jardin pour le abeille auvage, l idée qui et à la bae de cette brochure et, d une manière plu large, d un projet développé par troi univerité belge (ULB, UGent, Uon)

Plus en détail

Courrier Fédéral @ @ N 320 EDITORIAL INDUSTRIE PLUS LOIN QUE NOS DROITS. PUBLICITE page 8. Adresse du site de la FTM-CGT. http://www.ftm-cgt.

Courrier Fédéral @ @ N 320 EDITORIAL INDUSTRIE PLUS LOIN QUE NOS DROITS. PUBLICITE page 8. Adresse du site de la FTM-CGT. http://www.ftm-cgt. Courrier Fédéral N 320 du 13.10.12 au 19.10.12 @ @ Adree du ite de la FTM-CGT http://www.ftm-cgt.fr Fédération de travailleur de la métallurgie CGT ISSN 0152-3082 EDITORIAL Aprè la journée de mobiliation

Plus en détail

Sciences et technologies de l information et de la communication

Sciences et technologies de l information et de la communication Science et technologie de l information et de la communication 174 page Contexte général 176 page 5 appel à projet en 2013 ChIST-ERA Edition 2013 Call 2012 Contenu numérique et interaction - CONTINT Infratructure

Plus en détail

s 1 un skatepark public 100 pages pour arrêter d improviser Une publication de l EuroSIMA / préface de Tony Hawk

s 1 un skatepark public 100 pages pour arrêter d improviser Une publication de l EuroSIMA / préface de Tony Hawk Contruire 1 un katepark public 100 page pour arrêter d improvier Une publication de l EuroSIMA / préface de Tony Hawk 2 3 Contruire un katepark public 100 page pour arrêter d improvier Une publication

Plus en détail

Découverte du logiciel ordinateur TI-n spire / TI-n spire CAS

Découverte du logiciel ordinateur TI-n spire / TI-n spire CAS Découverte du logiciel ordinateur TI-n spire / TI-n spire CAS Mémento Ouvrir TI-Nspire CAS. Voici la barre d outils : L insertion d une page, d une activité, d une page où l application est choisie, pourra

Plus en détail

Gestion des services IT Foundation basée sur la norme ISO/CIE 20000

Gestion des services IT Foundation basée sur la norme ISO/CIE 20000 Guide de Préparation Getion de ervice IT Foundation baée ur la norme ISO/CIE 20000 Édition Novembre 2013 Copyright 2013 EXIN All right reerved. No part of thi publication may be publihed, reproduced, copied

Plus en détail

ASSURANCE AUTO. conditions générales

ASSURANCE AUTO. conditions générales ASSURANCE AUTO condition générale VOTRE CONTRAT Le contrat d'aurance auto ditribué par idmacif.fr et auré par Macifilia, SA au capital de 8 840 000, entreprie régie par le code de aurance - RCS Niort n

Plus en détail

SERVICE PUBLIC DE WALLONIE

SERVICE PUBLIC DE WALLONIE SERVICE PUBLIC DE WALLONIE Evaluation la tratégie régionale wallonne en matière programme opérationnel à caractère durable dan le ecteur fruit et légume Cahier Spécial Charge n MP2012_Eval_PO_2012 Rapport

Plus en détail

IMAGES NUMÉRIQUES MATRICIELLES EN SCILAB

IMAGES NUMÉRIQUES MATRICIELLES EN SCILAB IMAGES NUMÉRIQUES MATRICIELLES EN SCILAB Ce document, écrit par des animateurs de l IREM de Besançon, a pour objectif de présenter quelques unes des fonctions du logiciel Scilab, celles qui sont spécifiques

Plus en détail

Catalogue des FORMATIONS

Catalogue des FORMATIONS Catalogue de FORMATIONS 2015 Service Formation 17 cour Xavier Arnozan CS 71305 33082 Bordeaux Cedex Tél. 05 56 79 64 11 formation@gironde.chambagri.fr Reponable Béatrice HÉNOT Aitante Nathalie MÉLÉDO Anne-Marie

Plus en détail

Sujet proposé par Yves M. LEROY. Cet examen se compose d un exercice et de deux problèmes. Ces trois parties sont indépendantes.

Sujet proposé par Yves M. LEROY. Cet examen se compose d un exercice et de deux problèmes. Ces trois parties sont indépendantes. Promotion X 004 COURS D ANALYSE DES STRUCTURES MÉCANIQUES PAR LA MÉTHODE DES ELEMENTS FINIS (MEC 568) contrôle non classant (7 mars 007, heures) Documents autorisés : polycopié ; documents et notes de

Plus en détail

info-réseau Un projet partagé Chaque situation locale est particulière, mais toutes répondent à un même projet, Sommaire Éditorial

info-réseau Un projet partagé Chaque situation locale est particulière, mais toutes répondent à un même projet, Sommaire Éditorial info-réeau Journal d information du Comité National de Liaion de Régie de Quartier 62 N juillet 2014 Un projet partagé Sommaire 2-3 En direct de Régie À Libourne (33) et à Saint-Pierre-d Albigny (73) Portrait

Plus en détail

Bac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures)

Bac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures) Bac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures) Eercice 1 (5 points) pour les candidats n ayant pas choisi la spécialité MATH Le tableau suivant donne l évolution du chiffre

Plus en détail

Boas-vindas. Welkom. Bienvenido. Étudier. Bem-vindo. à Montpellier, Bienvenue. Welcome. GUIDE pratique. Willkommen. Bem-vindo.

Boas-vindas. Welkom. Bienvenido. Étudier. Bem-vindo. à Montpellier, Bienvenue. Welcome. GUIDE pratique. Willkommen. Bem-vindo. Welkom Boa-vinda Étudier Bienvenido Bem-vindo à Montpellier, Nîme, Perpignan Bienvenue Welcome Willkommen Benvenuto Bem-vindo GUIDE pratique POUR LES Étudiant internationaux EDITION 2015 SOMMAIRE 1 Préentation

Plus en détail

Vision industrielle et télédétection - Détection d ellipses. Guillaume Martinez 17 décembre 2007

Vision industrielle et télédétection - Détection d ellipses. Guillaume Martinez 17 décembre 2007 Vision industrielle et télédétection - Détection d ellipses Guillaume Martinez 17 décembre 2007 1 Table des matières 1 Le projet 3 1.1 Objectif................................ 3 1.2 Les choix techniques.........................

Plus en détail

PROBABILITES ET STATISTIQUE I&II

PROBABILITES ET STATISTIQUE I&II PROBABILITES ET STATISTIQUE I&II TABLE DES MATIERES CHAPITRE I - COMBINATOIRE ELEMENTAIRE I.1. Rappel des notations de la théorie des ensemble I.1.a. Ensembles et sous-ensembles I.1.b. Diagrammes (dits

Plus en détail

1 Complément sur la projection du nuage des individus

1 Complément sur la projection du nuage des individus TP 0 : Analyse en composantes principales (II) Le but de ce TP est d approfondir nos connaissances concernant l analyse en composantes principales (ACP). Pour cela, on reprend les notations du précédent

Plus en détail

Le réseau essentiel pour les RPs et les journalistes

Le réseau essentiel pour les RPs et les journalistes Le réeau eentiel pour le RP et le journalite Biographie Interet Coverage Analyi Note ur le publication Tou le Journalite Le Département Etabliez le bon contact Gorkana a pour but de mettre en relation

Plus en détail

LOGEMENT P. 02 À 05 Cité U, studio, coloc... Les étudiants ont le choix. ZOOM P. 05 Le logement intergénérationnel

LOGEMENT P. 02 À 05 Cité U, studio, coloc... Les étudiants ont le choix. ZOOM P. 05 Le logement intergénérationnel PARCOURS Supplément formation & emploi du Petit Bulletin n 843 /// Mai 2012 Alexi Coroller Supplément réalié avec l Univerité de Grenoble ÉTUDIANT, LA COURSE DE FOND LOGEMENT P. 02 À 05 Cité U, tudio,

Plus en détail

t 100. = 8 ; le pourcentage de réduction est : 8 % 1 t Le pourcentage d'évolution (appelé aussi taux d'évolution) est le nombre :

t 100. = 8 ; le pourcentage de réduction est : 8 % 1 t Le pourcentage d'évolution (appelé aussi taux d'évolution) est le nombre : Terminale STSS 2 012 2 013 Pourcentages Synthèse 1) Définition : Calculer t % d'un nombre, c'est multiplier ce nombre par t 100. 2) Exemples de calcul : a) Calcul d un pourcentage : Un article coûtant

Plus en détail

La classification automatique de données quantitatives

La classification automatique de données quantitatives La classification automatique de données quantitatives 1 Introduction Parmi les méthodes de statistique exploratoire multidimensionnelle, dont l objectif est d extraire d une masse de données des informations

Plus en détail

Chapitre 3. Les distributions à deux variables

Chapitre 3. Les distributions à deux variables Chapitre 3. Les distributions à deux variables Jean-François Coeurjolly http://www-ljk.imag.fr/membres/jean-francois.coeurjolly/ Laboratoire Jean Kuntzmann (LJK), Grenoble University 1 Distributions conditionnelles

Plus en détail

Principe de symétrisation pour la construction d un test adaptatif

Principe de symétrisation pour la construction d un test adaptatif Principe de symétrisation pour la construction d un test adaptatif Cécile Durot 1 & Yves Rozenholc 2 1 UFR SEGMI, Université Paris Ouest Nanterre La Défense, France, cecile.durot@gmail.com 2 Université

Plus en détail

LA NOTATION STATISTIQUE DES EMPRUNTEURS OU «SCORING»

LA NOTATION STATISTIQUE DES EMPRUNTEURS OU «SCORING» LA NOTATION STATISTIQUE DES EMPRUNTEURS OU «SCORING» Gilbert Saporta Professeur de Statistique Appliquée Conservatoire National des Arts et Métiers Dans leur quasi totalité, les banques et organismes financiers

Plus en détail

Chapitre 0 Introduction à la cinématique

Chapitre 0 Introduction à la cinématique Chapitre 0 Introduction à la cinématique Plan Vitesse, accélération Coordonnées polaires Exercices corrigés Vitesse, Accélération La cinématique est l étude du mouvement Elle suppose donc l existence à

Plus en détail

Correction du Baccalauréat S Amérique du Nord mai 2007

Correction du Baccalauréat S Amérique du Nord mai 2007 Correction du Baccalauréat S Amérique du Nord mai 7 EXERCICE points. Le plan (P) a une pour équation cartésienne : x+y z+ =. Les coordonnées de H vérifient cette équation donc H appartient à (P) et A n

Plus en détail

Ecrou hexagonal (Hu) h = 0,8 d DIN 934. Ecrou hexagonal bas (Hm) h = 0,5 d DIN 439 ISO 4035. ISO 4032 Nouvelle hauteur des écrous hexagonaux

Ecrou hexagonal (Hu) h = 0,8 d DIN 934. Ecrou hexagonal bas (Hm) h = 0,5 d DIN 439 ISO 4035. ISO 4032 Nouvelle hauteur des écrous hexagonaux Moèle 1 Ecrou exagonal (Hu) = 0, DIN Hexagon nut - Stainle teel 1 en / 0 1, 1, 2 2,, 2, (1*),,0,0,0,0,0,0,0 2,0 1,0 2,0,00 2,,, 1 (*) M1, M2 M2, M M, M M M M M M M (21*) M1 00 00 00 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0

Plus en détail

INTRODUCTION À L ANALYSE FACTORIELLE DES CORRESPONDANCES

INTRODUCTION À L ANALYSE FACTORIELLE DES CORRESPONDANCES INTRODUCTION À L ANALYSE FACTORIELLE DES CORRESPONDANCES Dominique LAFFLY Maître de Conférences, Université de Pau Laboratoire Société Environnement Territoire UMR 5603 du CNRS et Université de Pau Domaine

Plus en détail

Introduction à l approche bootstrap

Introduction à l approche bootstrap Introduction à l approche bootstrap Irène Buvat U494 INSERM buvat@imedjussieufr 25 septembre 2000 Introduction à l approche bootstrap - Irène Buvat - 21/9/00-1 Plan du cours Qu est-ce que le bootstrap?

Plus en détail

Etude des propriétés empiriques du lasso par simulations

Etude des propriétés empiriques du lasso par simulations Etude des propriétés empiriques du lasso par simulations L objectif de ce TP est d étudier les propriétés empiriques du LASSO et de ses variantes à partir de données simulées. Un deuxième objectif est

Plus en détail

Représentation géométrique d un nombre complexe

Représentation géométrique d un nombre complexe CHAPITRE 1 NOMBRES COMPLEXES 1 Représentation géométrique d un nombre complexe 1. Ensemble des nombres complexes Soit i le nombre tel que i = 1 L ensemble des nombres complexes est l ensemble des nombres

Plus en détail

Utilisation du module «Geostatistical Analyst» d ARCVIEW dans le cadre de la qualité de l air

Utilisation du module «Geostatistical Analyst» d ARCVIEW dans le cadre de la qualité de l air Etude n 10 Assistance en modélisation (Rapport 3/3) Utilisation du module «Geostatistical Analyst» d ARCVIEW dans le cadre de la qualité de l air Novembre 2004 Convention : 04000087 Giovanni CARDENAS Utilisation

Plus en détail

Tests d indépendance en analyse multivariée et tests de normalité dans les modèles ARMA

Tests d indépendance en analyse multivariée et tests de normalité dans les modèles ARMA Tests d indépendance en analyse multivariée et tests de normalité dans les modèles ARMA Soutenance de doctorat, sous la direction de Pr. Bilodeau, M. et Pr. Ducharme, G. Université de Montréal et Université

Plus en détail

Fonctions de plusieurs variables

Fonctions de plusieurs variables Module : Analyse 03 Chapitre 00 : Fonctions de plusieurs variables Généralités et Rappels des notions topologiques dans : Qu est- ce que?: Mathématiquement, n étant un entier non nul, on définit comme

Plus en détail

numéro 2 avril 2006 PORTRAIT Les services techniques p. 14 SCOLARITÉ Lycée et nouveau groupe scolaire p. 16 CARNAVAL p.5 SOCIAL TRANSPORTS

numéro 2 avril 2006 PORTRAIT Les services techniques p. 14 SCOLARITÉ Lycée et nouveau groupe scolaire p. 16 CARNAVAL p.5 SOCIAL TRANSPORTS CARNAVAL p.5 PORTRAIT Le ervice technique p. 14 SCOLARITÉ Lycée et nouveau groupe colaire p. 16 SOCIAL TRANSPORTS ENFANCE Obtenez un numéro Bu : ligne 34 Incrire mon enfant unique départemental p. 15 à

Plus en détail

Relation entre deux variables : estimation de la corrélation linéaire

Relation entre deux variables : estimation de la corrélation linéaire CHAPITRE 3 Relation entre deux variables : estimation de la corrélation linéaire Parmi les analyses statistiques descriptives, l une d entre elles est particulièrement utilisée pour mettre en évidence

Plus en détail

Codage d information. Codage d information : -Définition-

Codage d information. Codage d information : -Définition- Introduction Plan Systèmes de numération et Représentation des nombres Systèmes de numération Système de numération décimale Représentation dans une base b Représentation binaire, Octale et Hexadécimale

Plus en détail

Guideanimation. Bibliothèque Départementale de la Sarthe 41 rue de Bellevue 72000 Le Mans. Tél. 02 43 54 11 70 Fax 02 43 54 11 79

Guideanimation. Bibliothèque Départementale de la Sarthe 41 rue de Bellevue 72000 Le Mans. Tél. 02 43 54 11 70 Fax 02 43 54 11 79 Bibliothèque Départementale e la Sarthe 41 rue e Bellevue 72000 Le Man Tél. 02 43 54 11 70 Fax 02 43 54 11 79 mél : b.animation@cg72.fr Site : www.b.cg72.fr b Eito L image une bibliothèque, au-elà e la

Plus en détail

Nature du marché (services, travaux, fournitures, presta. Intellectuelles, maîtrise d'œuvre) forfaitaire; marché à M. négocié, bons de commande;

Nature du marché (services, travaux, fournitures, presta. Intellectuelles, maîtrise d'œuvre) forfaitaire; marché à M. négocié, bons de commande; Coneil général du 3 octobre 201 archive départementale Objet Dépouiérage et reconditionnement en boîte conervation document d'archive pour le beoin du Coneil général Seineet Nom du Nature (ervice, travaux,

Plus en détail

K. Ammar, F. Bachoc, JM. Martinez. Séminaire ARISTOTE - 23 octobre 2014 - Palaiseau

K. Ammar, F. Bachoc, JM. Martinez. Séminaire ARISTOTE - 23 octobre 2014 - Palaiseau Apport des modèles de krigeage à la simulation numérique K Ammar, F Bachoc, JM Martinez CEA-Saclay, DEN, DM2S, F-91191 Gif-sur-Yvette, France Séminaire ARISTOTE - 23 octobre 2014 - Palaiseau Apport des

Plus en détail

Les indices à surplus constant

Les indices à surplus constant Les indices à surplus constant Une tentative de généralisation des indices à utilité constante On cherche ici en s inspirant des indices à utilité constante à définir un indice de prix de référence adapté

Plus en détail

Probabilités III Introduction à l évaluation d options

Probabilités III Introduction à l évaluation d options Probabilités III Introduction à l évaluation d options Jacques Printems Promotion 2012 2013 1 Modèle à temps discret 2 Introduction aux modèles en temps continu Limite du modèle binomial lorsque N + Un

Plus en détail

NON-LINEARITE ET RESEAUX NEURONAUX

NON-LINEARITE ET RESEAUX NEURONAUX NON-LINEARITE ET RESEAUX NEURONAUX Vêlayoudom MARIMOUTOU Laboratoire d Analyse et de Recherche Economiques Université de Bordeaux IV Avenue. Leon Duguit, 33608 PESSAC, France tel. 05 56 84 85 77 e-mail

Plus en détail

F411 - Courbes Paramétrées, Polaires

F411 - Courbes Paramétrées, Polaires 1/43 Courbes Paramétrées Courbes polaires Longueur d un arc, Courbure F411 - Courbes Paramétrées, Polaires Michel Fournié michel.fournie@iut-tlse3.fr http://www.math.univ-toulouse.fr/ fournie/ Année 2012/2013

Plus en détail

Exercices - Nombres complexes : corrigé. Formes algébriques et trigonométriques, module et argument

Exercices - Nombres complexes : corrigé. Formes algébriques et trigonométriques, module et argument Formes algébriques et trigonométriques, module et argument Exercice - - L/Math Sup - On multiplie le dénominateur par sa quantité conjuguée, et on obtient : Z = 4 i 3 + i 3 i 3 = 4 i 3 + 3 = + i 3. Pour

Plus en détail

Exercices Alternatifs. Quelqu un aurait-il vu passer un polynôme?

Exercices Alternatifs. Quelqu un aurait-il vu passer un polynôme? Exercices Alternatifs Quelqu un aurait-il vu passer un polynôme? c 2004 Frédéric Le Roux, François Béguin (copyleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: polynome-lagrange/. Version

Plus en détail

Exercices Alternatifs. Quelqu un aurait-il vu passer un polynôme?

Exercices Alternatifs. Quelqu un aurait-il vu passer un polynôme? Exercices Alternatifs Quelqu un aurait-il vu passer un polynôme? c 2004 Frédéric Le Roux, François Béguin (copyleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: polynome-lagrange/. Version

Plus en détail

Dérivation : cours. Dérivation dans R

Dérivation : cours. Dérivation dans R TS Dérivation dans R Dans tout le capitre, f désigne une fonction définie sur un intervalle I de R (non vide et non réduit à un élément) et à valeurs dans R. Petits rappels de première Téorème-définition

Plus en détail

Transmission d informations sur le réseau électrique

Transmission d informations sur le réseau électrique Transmission d informations sur le réseau électrique Introduction Remarques Toutes les questions en italique devront être préparées par écrit avant la séance du TP. Les préparations seront ramassées en

Plus en détail

- MANIP 2 - APPLICATION À LA MESURE DE LA VITESSE DE LA LUMIÈRE

- MANIP 2 - APPLICATION À LA MESURE DE LA VITESSE DE LA LUMIÈRE - MANIP 2 - - COÏNCIDENCES ET MESURES DE TEMPS - APPLICATION À LA MESURE DE LA VITESSE DE LA LUMIÈRE L objectif de cette manipulation est d effectuer une mesure de la vitesse de la lumière sur une «base

Plus en détail

Le journal des entreprises locales

Le journal des entreprises locales Ouvert 251 rue de Belfort Centre Commercial le Trident (à côté de Darty) Mulhoue Dornach Pour votre anté, mangez au moin cinq fruit et légume par jour. www.mangerbouger.fr N 13 ept./oct. 2014 Le journal

Plus en détail

Chapitre 7. Statistique des échantillons gaussiens. 7.1 Projection de vecteurs gaussiens

Chapitre 7. Statistique des échantillons gaussiens. 7.1 Projection de vecteurs gaussiens Chapitre 7 Statistique des échantillons gaussiens Le théorème central limite met en évidence le rôle majeur tenu par la loi gaussienne en modélisation stochastique. De ce fait, les modèles statistiques

Plus en détail

Précision d un résultat et calculs d incertitudes

Précision d un résultat et calculs d incertitudes Précision d un résultat et calculs d incertitudes PSI* 2012-2013 Lycée Chaptal 3 Table des matières Table des matières 1. Présentation d un résultat numérique................................ 4 1.1 Notations.........................................................

Plus en détail

EXPLOITATIONS PEDAGOGIQUES DU TABLEUR EN STG

EXPLOITATIONS PEDAGOGIQUES DU TABLEUR EN STG Exploitations pédagogiques du tableur en STG Académie de Créteil 2006 1 EXPLOITATIONS PEDAGOGIQUES DU TABLEUR EN STG Commission inter-irem lycées techniques contact : dutarte@club-internet.fr La maquette

Plus en détail

Contents. 1 Introduction Objectifs des systèmes bonus-malus Système bonus-malus à classes Système bonus-malus : Principes

Contents. 1 Introduction Objectifs des systèmes bonus-malus Système bonus-malus à classes Système bonus-malus : Principes Université Claude Bernard Lyon 1 Institut de Science Financière et d Assurances Système Bonus-Malus Introduction & Applications SCILAB Julien Tomas Institut de Science Financière et d Assurances Laboratoire

Plus en détail

Apprentissage par renforcement (1a/3)

Apprentissage par renforcement (1a/3) Apprentissage par renforcement (1a/3) Bruno Bouzy 23 septembre 2014 Ce document est le chapitre «Apprentissage par renforcement» du cours d apprentissage automatique donné aux étudiants de Master MI, parcours

Plus en détail

N à voir Date moi Année Nom_source Type_source Auteur Titre Url_bdd Langue_ Pays Texte_original Texte_traduit. Computers

N à voir Date moi Année Nom_source Type_source Auteur Titre Url_bdd Langue_ Pays Texte_original Texte_traduit. Computers N à voir Date moi Année Nom_ource Type_ource Auteur Titre Url_bdd Langue_ Pay Texte_original Texte_traduit 1 11/15/2013 11 2013 Blog_Bit_New_York_Time Expert_blog Quentin_Hardy Amazon Bare It http://bit.blog.nytime.com/20

Plus en détail

LA PHYSIQUE DES MATERIAUX. Chapitre 1 LES RESEAUX DIRECT ET RECIPROQUE

LA PHYSIQUE DES MATERIAUX. Chapitre 1 LES RESEAUX DIRECT ET RECIPROQUE LA PHYSIQUE DES MATERIAUX Chapitre 1 LES RESEAUX DIRECT ET RECIPROQUE Pr. A. Belayachi Université Mohammed V Agdal Faculté des Sciences Rabat Département de Physique - L.P.M belayach@fsr.ac.ma 1 1.Le réseau

Plus en détail

Fonctions de deux variables. Mai 2011

Fonctions de deux variables. Mai 2011 Fonctions de deux variables Dédou Mai 2011 D une à deux variables Les fonctions modèlisent de l information dépendant d un paramètre. On a aussi besoin de modéliser de l information dépendant de plusieurs

Plus en détail

Une réponse (très) partielle à la deuxième question : Calcul des exposants critiques en champ moyen

Une réponse (très) partielle à la deuxième question : Calcul des exposants critiques en champ moyen Une réponse (très) partielle à la deuxième question : Calcul des exposants critiques en champ moyen Manière heuristique d'introduire l'approximation de champ moyen : on néglige les termes de fluctuations

Plus en détail