NOUVELLES TECHNOLOGIES

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1 ,..- ~1.J l ~, ri ~.~ f;.if' " " f;, "-., K' SECTEUR ARTISANAL ET NOUVELLES TECHNOLOGIES EVOLUfION DES PRATIQUES DE CHANTIER Stphan Comb} G.A.M.S.A.U. Juin 1986

2 _ I_ I. ECOLE D'ARCHITECTURE ~~ UARSElttE BlI!IIJOTHÈQUE 't TOUTE REPRODUCTION MÊME PARTIELLE EST INTERDITE sans autorisation ds ' propriétairs ds droits LOI DU Couvrtur L chantir modrn: l'ouvrir n blous blanch sur un chantir propr. (documnt Paturl - Procédé KEPS). ē

3 . Stphan Comby Travail prsonnl d fin d'étuds Ecol d Marsill Luminy Jury: Paul Quintrand, Dirctur d'étud Jan.Baptist Combrisson Brnard Humbl Jan l\1ichl Sa,ignat SECTEUR ARTISANAL ET lcm.t t1'm)t:wrh;ytji~l ~;~ W~t1SbUf. NOUVELLESTECHNOLOGffiS EVOLUTION DES PRATIQUES DECHMTJ'IER G.A.M.S.A.U. Juin 1986

4 1. I_ I _ Au trm d ctt étud, j vux rmrcir touts clls t tous cux qui ont u l'amabilité d m'accordr d lur tmps, t m'ont prmis d mnr à bin sa préparation t particulièrmnt: M. Paul Quintrand, dirctur du G.A.M.S.A.U., qui a dirigé ctt étud, Ls mmbrs du jury : MM Jan-Baptist Combrisson, nsignant à l'ecol d'architctur d Paris Tolbiac, Brnard Humbrl, sous-dirctur d la cllul économiqu régional du B.T.P. Provnc-Alps-Côt d'azur Jan-Michl Savignat, nsignant à IEcol d'architctur d Marsill-Luminy. Egalmnt: Mm Carolin Pacqumnt, chargé d'information, Sous-dirction Industris t Bâtimnt, Ministèr d l'urbanism t du Logmnt, MM Gorgs Bicht, Srvic Documntation du CS.T.B. Emmanul Planch, ingéniur au Srvic économiqu du C.S.T.B. Alain Rboul, chargé d'étuds à la cllul économiqu régional du B.T.P. Alain Wautrs, dirctur du Plan Construction régional. Ls fabricants: Mm Vasst, srvic commrcial d la société S.I.P.A.V. MM Ducrt, srvic commrcial d la société PERRIN (Anncy) Lornzati, dirctur d charpnt t bois (Aix, Cllony) Plantir, inspctur régional d la société Fibralith (Blfort) Ramus, srvic commrcial, société B.R.I. construction (B.R.I.) Tramoni, srvic commrcial d la société M.A.G.U., Marsill Vial, dirctur d F.A.L.P.A. (fabriqu alpin aggloméré) La Saulc (05)

5 Ls ntrpriss: Entrpris LEV ANTI (Vitrolls 13) Constructions n Siporx Entrpris GEORGES (Vyns, 05) Maçonnris isolants PROBA, PAF Entrpris VALLEJO-PELLEGRIN (Gap 05) (bloc, PAF à banchr) Entrpris TORTELLIER (Marsill) Entrpris ISOLBA T } } plaquists Entrpris BEURET } Entrpris Srg FASSONE, plombri Ls architcts MM Alain Carn, architct à Cotignac Bruno Choux, architct-bâtissur à Marsill Thirry Hua, architct à Pourciux Stphan Ragunt, architct à Marsill Jan-Marc Slama, architct à Vidauban

6 J rmrci nfin cux t clls qui ont collaboré à la mis n form d c documnt. En particulir, Luc, Nathali, Valéri, Jan-Pirr,...

7 PREAMBULE MISE EN GARDE INTRODUCfION 1. LES OBJECTIFS DE L'ETUDE SOMMAIRE 2. DEROULEMENT DE L'ETUDE 2.1. La rchrch documntair 2.2. L'obsrvation sur l trrain 2.3. La visit ds salons profssionnls LE CONfEXTE DE L'ETUDE 1. LE SECTEUR ARTISANAL 1.1. Son poids dans la production d logmnts 1.2. Ls scturs d'activité 1.3. Ls mods d'activité 1.4. Ls traits caractéristiqus d ctt activité Un pratiqu qui rquirt un bonn qualification Un rôl important dans l'économi régional 2. LE CHAMP D'OBSERVATION 2.1. L'activité 2.2. La zon géographiqu 3. LE CONTEXTE ARCHITECTURAL: L styl néo-provnçal 3.1. La référnc à l'architctur provnçal historiqu 3.2. L'aspct sociologiqu 4. LA CONSTRUCTION "TRADITIONNELLE" NEO-PROVENCALE 4.1. En trms tchniqus, l qualificatif "traditionnl" st impropr à désignr c typ d constructions 4.2. L qualificatif "traditionnl" doit s'ntndr au sns littérair du trm 4.3. C'st un argumnt commrcial qui fait vndr Pags 5. LA NOTION DE TECHNOLOGIES NOUVELLES

8 _.- DEVELOPPEMENT DES NOUVELLES TECHNOLOGIES: L'ENQUETE Pags 1. LE DEROULEMENT OBJECTIFS RELEVES Rlvé ds tchniqus utilisés 3.2. Problèms tchniqus: invntair ds rrurs, vics d pos, malfaçons, rncontrés 4. STATISTIQUES L'évolution d la consommation ds matériaux d construction 4.2. Ls tchniqus d construction d la maison individull Etud d la D.A.E.I. "Ls tchniqus d construction utilisés pour ls fonctions portuss" Extrait d l'étud U.c.B. (Union d Crédit Bancair) : "Rgard sur un profssion: constructur d maisons individulls" Etud d la cllul économiqu régional du bâtimnt t ds travaux publics (Bouchs du Rhôn) Extrait d l'étud d la rvu "L Monitur" "Notr grand nquêt: la maison individull à l'hur d l'innovation" 5. BILAN L'évolution du gros ouvr 5.2. L'évolution du scond ouvr 6. CONCLUSION 45 OBSERVATIONS PRIVILEGIEES 46 DEVELOPPEMENT DES NOUVELLES TECHNOLOGIES : OBSTACLES ET FACTEURS DE RESISTANCE 2. LE COUT DE L'INNOVATION: l critèr détrminant Elémnts d comparaison Elémnts d prix Tmps unitairs d mis n ouvr 1. LE POIDS DE LA TRADmON L'héritag culturl 1.2. Un immobilism propr au néo-styl régional _

9 Pags _ 1. I_ 1 I 2. LE COUT DE L'INNOVATION (suit) 2.2. Ls surcoûts: facturs d blocag L contxt Origin ds surcoûts Réduction ds surcoûts: vrs l'autonomi ds nouvaux composants 3. CONCLUSION: ls clés du succès pour un nouvauté MODIFICA non DES COMPORTEMENfS DES ARTISANS L'EVOLUTION DES PROBLEMES DE MAIN-D'OEUVRE 1. LE CONTEXTE HISTORIQUE 1.1. La construction traditionnll d'autrfois 1.2. La construction "traidtionnll" modrn 1.3. Incidncs sur l dévloppmnt d l'innovation 2. EVOLUTION DES CONDmONS DE TRAVAIL 2.1. L chantir sc: évolution du concpt 3. EVOLUTION DES COMPETENCES 3.1. Nouvlls tchniqus, nouvaux savoir-fair, nouvaux métirs 3.2. Un préparation d chantir plus complx 3.3. Conclusion: l maîtr mot pour dmain: formation 4. UNE NOUVELLE DISTRIBUTION DES TACHES 4.1. Gros-ouvr t scond-ouvr 4.2. Elctricité t plombri 5. SPECIALISATION DES ENTREPRISES 6. VALORISATION DU TRAVAIL ARTISANAL CONCLUSION 1. L'EVOLUTION TECHNIQUE 1.1. Ls tchnologis L'nvlopp L scond ouvr Equipmnts t finitions 1.2. La qualification ds ntrpriss 2. L'AMELIORATION DE LA PRODUCTIVITE 2.1. L'organisation du chantir 2.2. La coordination ds différnts intrvnants Articulation ds phass d concption t d réalisation Préparation ds rssourcs DE NOUVEAUX USAGES: L'AUTO-CONSTRUCTION 85 _

10 Franck Ghry, Maison d l'architct, Santa Monica, Californi, D.S.A. (Documnt Cntr G. Pompidou, "Nouvaux plaisirs d'architctur", catalogu d l'xposition» R. t D. Thut "Rütti Nord", Zurich, Suiss (Documnt Architctur d'aujourd'hui N 222) ē

11 2 PREAMBULE C travail st l prolongmnt d mon cursus d 3èm cycl ffctué au G.A.M.S.A.U. au cours duqul j'ai été snsibilisé aux tchniqus d'informatiqu n architctur (aid à la concption, rprésntation t visualisation du projt) t aux problèms d'industrialisation d la construction. Son choix a été motivé par un volonté préalabl d'y réunir aussi plusiurs domains qui m'intérssaint particulièrmnt, à savoir : - l logmnt, surtout l logmnt individul d par l phénomèn historiqu t socio-culturl qu rprésntlla formidabl xpansion d son marché. La nécssité, pour ls architcts, d portr un rgard plus pragmatiqu sur c marché qu'ils ont trop souvnt considéré avc ds "à-priori" économiqus ou idéologiqus st désormais rconnu. - l'architctur t l dsign industril, avc un goût du détournmnt du produit "standard" à ds fins plus valorisants dans la décoration ou la construction. Cla m conduit à apprécir ls réalisations d'architcts comm F. GHERY, MURPHY, R. t D. THUT, RICHTER t GERNGROSS, CALATRAVA tc... d par lur mis n scèn particulièr ds "matériaux" industrils. Enfin, c travail s dvait d'êtr l'occasion d'accroîtr mon bagag d concptur par un approch d l'architctur plus tchniqu n apprnant d'un part à connaîtr ls produits d construction t lur comportmnt (thrmiqu, accoustiqu, tc...) n abordant d'autr part un aspct du travail d l'architctur qui m'était jusqu là inconnu: l chantir.

12 3 MISE EN GARDE L'usag dans c travail ds trms "matériaux", "smi-produit" t "composant industril" st fréqunt. Dvant ls contradictions, sinon ls polémiqus qu suscit toujours l sns qu'on lur donn, à la fois dans ls publications, mêms officills (1), mais plus ncor à l'occasion d'intrviws ds différnts acturs, il m smbl nécssair d'ffctur ctt précision d vocabulair. En 1977, Pirr Chmillir (2) donn comm critèrs d qualifications ds smi-produits t composants, lur dgré d mis n form préalabl (à l'usin ou à l'atlir) nécssair à lur intégrtion dans la constitution d'un ouvrag d'un part t lur dgré fonctionnl dans l'ouvrag d'autr part. Paul Brnard (3) a, dpuis, mis n évidnc touts ls équivoqus auxqulls un tll utilisation pourrait prêtr. Il rfut cs critèrs qui font admttr la briqu, l bloc béton ou la tuil par xmpl, comm ds composants "otant par là mêm tout signification à ctt notion", mais soulign ls difficultés qu'il y a à définir ds frontièrs préciss ntr smi-produits t composants. (1) Un grand confusion règn dans ls publications officills. En particulir: - ISO, - projt d révision dc la normc NF POl 101 -loi sur l'assuranc construction - convntion général d l'acc - circulair du 7 nov Voir à c sujt l'ouvrag d P. Bcrnard cité n (3) (2) Pirr Ch millir ancicn dirctur du C.S.T.B. : "Ls tchniqus du bâtimnt t lur avcnir". (3) Paul Brnard: "La construction par composant compatibls" 1980 Ed. du Monitur

13 4 J pns qu'on put cpndant fair un distinction plus aisé n assimilant l composant à un sous-nsmbl fonctionnl assz élaboré pour assurr un fonction tchniqu dans un ouvrag sans jamais nécssitr sur l chantir d transformation pour sa mis n ouvr (mis aux cots par xmpl). On pourra alors ffctur un classmnt croissant: - smi-produits "d bas" (parpaing, briqu, tuil rond,) - smi-produits "élaborés" (produits platrux préfabriqués), blocs à isolation intégré) - composants "légrs" (frmtts, mnuisris industrills, ncadrmnt d bais,... ) - composants "lourds" (pannaux, béton,..) - nfin sous-nsmbls (blocs tchniqus sanitairs, pans d murs complts...) Mais, dans la plupart ds cas, la distinction n'a pas un importanc capital; comm l'écrit Paul Brnard: "chrchr à définir ls composants n'st pas toujours un ju intllctul sans porté pratiqu" (problèms d'assurancs t d garantis, par xmpl), mais "ntr ls véritabls smi produits t ls authntiqus composants, on trouv ds produits intrmédiairs difficils à situr. C/a n'st d'aillurs pas gênant: s/on l cas on lur fra passr lafrontièr à un ndroit ou à un autr". Ainsi, par commodité dans l langag courant, l trm "composant" rvêt souvnt un sns élargi, un sns littérair, qui inclut ls smi-produits élaborés. Il n st d mêm dpuis longtmps pour ls "matériaux". Si lur définition tchniqu st rstrint au sul produit d bas n'ayant subi aucun opération d mis n form (granulat, cimnt, plâtr,...), l sns littérair qu'on lur donn~ dans l langag courant rcouvr égalmnt ls smi-produits. D'un manièr général, l vocabulair ds chantirs st souvnt différnt du vocabulair théoriqu ds "livrs" qu c soit dans la désignation ds produits d construction ou cll ds ouvrags.

14 . Il'7RODUCTION 1. LES OBJECTIFS DE L'ETUDE 2. LE DEROULEl\1ENT DE L'ETUDE

15 AlI'! FAr: 1 1 F/ ; 1 1 : ~ : 1 ===i!';::=~~ A Ls systèms constructifs. L systèm 3.55 Concption Paul Quintrand Systèm lauréat du concours "Ju d Construction" (1973) - Princip d partition "Volum" - Exmpl d'élévations (documnts G.A.M.S.A.U.} G G

16 5 1. LES OBJECfIFS DE L'ETUDE L panorama d la production d logmnts n Franc montr qu la volonté ds Pouvoirs Publics d promouvoir un industrialisation ouvrt d la construction a produit d'importants rchrchs mais dont la porté sur la réalité quotidinn ds chantirs rst très limité. La politiqu ds systèms constructifs (1) ngagé sous l'égid d la Dirction d l'architctur t du C.S.T.B. (2) était présnté comm un voi possibl vrs la fabrication d composants indépndants ds chantirs, cll ds mécanos d structurs complété par ds composants d scond ouvr donnant liu à ds systèms frmés. Si, aujourd'hui, sur la trntain d systèms agréés n 1979, la plupart sont xploités, ls opérations réalisés (3) rlèvnt toujours d l'xpérimntation. Ells sont pratiqumnt toujours l fait d maîtrs d'ouvrags publics avc l concours d'ntrpriss spécialisés, t sont conduits comm ds opérations pilots avc l soutin ds srvics du Plan Construction. Quant à lur viabilité économiqu, ll rst à démontrr. Dans l domain du logmnt collctif, ls tchniqus d réalisation ds fonctions portuss rstnt très "traditionnlls". Ls tchniqus du coulé t du maçonné rstnt privilégiés tandis qu ls procédés d préfabrication sont pu répandus. En maisons individulls, marché quantitativmnt majoritair, suls qulqus grands constructurs ont rationnalisé lur production, mais n utilisant souvnt ds systèms frmés pour l gros ouvr (4), la tchniqu du maçoné dominant à plus d 90 %. La création d'un grand marché ouvrt pour ls composants d structur n rlèv pas d l'avnir immédiat. (1) 28 logmnts ont fait l'objt d'un agrémnt: - 14 n collctif; GBA2, HARMONIE 3. SOLFEGE, FlM, ETOILE, SOLFI, STELCO, COMPOSEC, LEIGA, GC3, GOTHE2, 9M, SGEC n maisons individulls: GBA3, GOTHE l, COMPOMECA, GBA4, CHP, COMPOBOIS, CMB, MB760, GIRPERA, MODUBAT, SCOT, SES DUMEZ, SICOCIC, DOMlBOlS. (2) Voir rapport du CSTB "Bilan économiqu ds systèms constructifs" Aotlt (3) On put trouvr un bilan ds optrations xpérimntals réalisés dpuis 15 ans dan st t A n 327 t 328 Dans la collction Bilan Thématiqu du Plan Construction, citons: - Industrialisation ouvrt: Rchrch t xpérimntation , auturs D. GRESS, J.P. CHARON A Marsill: opération d la Butt ds Carms, maîtr d'ouvr AT9. (4) - Phénix avc son systèm à ossatur métalliqu pannaux béton rst l ladr ds constructurs (ov M) - AST DUO, Maison Evolutiv ont dévloppé ds systèms à ossatur bois.

17 Systèms constructifs: Projt lauréat du concours CoN.B.S. (1978) M.P. Maillard, B. Dlport, J. Jory, Y. Augrau architcts (documnt Tchniqu t Architctur n 327)

18 6 En 1982, l lancmnt du programm "Habitat 88" vis à la rlanc du sctur bâtimnt par l'abaissmnt ds coûts d production: "construir moins chr pour construir plus t miux (1). C'st un sort d "foir aux idés" tout azimut t ls domains d rchrchs rcouvrnt l'nsmbl ds problèms du procssus d production : - financmnt ds opérations t maîtris foncièr, - règlmntation t nonns, - rlanc d l'innovation (produits, matériaux, outils,...) - organisation du chantir t conditions d travail, - rlations ntr ls acturs, - valorisation ds métirs t qualification, - tc... Ctt réorganisation d la filièr bâtimnt doit conduir slon l vou d lurs rsponsabls "à la mis n plac à l'horizon ds annés 1990 d'un sctur pilot xmplair qui constitura un champ d'xpérimntation n vrai grandur, pour prmttr la mis au point d nouvlls règls du ju du sctur d l'habitat pour lafin d c siècl (2)". Parallèlmnt, un crtain nombr d programms spécifiqus "plus ciblés" ont démarré (3). Parmi touts cs procédurs, clls qui concrnnt l dévloppmnt ds produits industrils connus sous l nom d programm "Produits industrils t productivité" (P.I.P.) (4) sont clls qui smblnt avoir ls réprcussions ls plus immédiats sur la vi d l'nsmbl ds chantirs. La volonté ds Pouvoirs Publics d promouvoir un politiqu d rchrchs t d progrès tchniqus auprès ds fabricants s traduit déjà n fft par la présntation d nombruss innovations (5). L'impact d ctt évolution dvrait êtr d'autant plus important qu l'un ds objctifs d P.I.P. st d rnforcr la production ds ptits fabricants, artisans ou P.M.E. (1) Voir à c sujt: -ls nombruss publications du M.U.L.T., notammnt: - "Guid d réflxion Habitat 88" - "Prmir bilan analytiqu ds principaux thèms abordés dans ls dossirs d l'appl d propositions (Documnt d Synthès) - l'articl du Monitur du 12 octobr 1984 "Habitat 88 poursuit sa march n avant". (2) Publication Plan Construction t Habitat "Habitat 88" "Construir moins chr pour construir plus t miux". (3) "Produits industrils t productivité" "P.1.P." "Informatiqu productivité bâtimnt" : "Inprobat" - "Habitat économ n énrgi" "IDE". (4) Voir l'articl d synthès dans l Monitur du 16 décmbr "L'nju: produits industrils t productivité, ( la maîtris du dévloppmnt ds produits industrils dans la construction d logmnts". (5) Exmpl: - concours "Innovation" organisé par l Monitur à l'occasion d Batimat - concours Impx.

19 0 Dans ctt prspctiv, j m propos dans mon travail prsonnl d fin d'étuds, d portr un rgard sur ctt évolution., tll qu'll put êtr vécu dans l tissu ds artisans t ds ptits ntrpriss d construction. C'st-à-dir qu'il s'agit d dégagr ls tndancs tls conditions du changmnt ds artisans, dans lur pratiqu t lur comportmnt, consécutifs au progrès qu'offrnt cs nouvautés. 7 Ctt évolution st, bin sûr, très longu, n but aux mntalités consrvatrics. Crtains "nouvlls" tchnologis apparus il y a déjà 15 ans, commncnt sulmnt à rntrr dans ls mours d la profssion dpuis qulqus annés. Cpndant, il smbl qu nous soyons rntrés dans un phas d'accélération du phénomèn t qu sous la poussé d la nécssité, ls résistancs commncnt à s'ffacr. C'st c constat qu j voudrais établir, avc au-dlà la volonté d'ngagr l débat sur l'avnir du sctur artisanal, à partir ds prspctivs d progrès tchniqu, d'évolution ds structurs industrills t commrcials, mais aussi ds transformations culturlls, qu l'on put déjà ntrvoir. Mon propos st donc ici d tntr: - d'établir un sort d bilan d la pénétration ds nouvlls tchnologis dans la pratiqu artisanal, t lur assimilation, sur l plan ds savoir fair, notammnt par ls ntrpriss, - d'analysr ls mécanisms d frins à lur dévloppmnt, -d'évalur ls conséquncs d ctt évolution ds tchniqus d constructions sur ls attituds ds artisans t ls changmnts tant structurls, organisationnls qu sociaux, qu'll provoqu. Cs produits t lur mis n ouvr sont pour la plupart bin connus. Il n s'agit donc n aucun cas d présntr ls procédés sous un form d'invntair détaillé, mais plutôt d ls xposr au fil ds pags n cohérnc avc ls problèms étudiés.

20 2. DEROULEMENf DE L'ETUDE La mis n form d c documnt final constitu la synthès d'un réflxion d'un travail qui put êtr décrit n trois stads I,a rchrch documntair (1) 8 issu Il s'agissait n prmir liu d'avoir avant d commncr l'étud, un connaissanc aussi grand qu possibl d son contxt (historiqu, socio-économiqu,...) ; t cci à partir d la lctur t la compilation : - d'un crtain nombr d'ouvrags d référnc dont l livr d P. Brnard déjà cité, - d publications du C.S.T.B. t du plan construction, n particulir l'étud du G.A.M.S.A.U. pour l P.C. "L packag" (2), - ds rvus profssionnlls : "L Monitur", "Ls cahirs tchniqus du bâtimnt", "Ls cahirs tchniqus du C.S.T.B.", "L guid d l'ntrprnur" ; - ds rvus d'architctur: ta, AA, Créé Architctur,... Pour l'étud ll-mêm, ctt rchrch a consisté n la collct ds donnés nécssairs pour établir un évaluation d la pénétration ds différnts tchnologis sur ls chantirs qu ait valur d statistiqus. (1) Voir bibliographi (2) L Packag: nouvlls tchnologis, nouvlls distributions ds fourniturs t ds tâchs sur ls chantirs du bâtimnt-p.quintrand,jclbrahar,a.pirson,gamsa UlPC 1982

21 2.2. L'obsrvation syr l trrain Dans mon sprit, ll doit rprésntr Ell s'st fait d trois façons: 9 l'élémnt privilégié d'un tl travail prsonnl. - un obsrvation systématiqu ds chantirs d'un grand nombr d lotissmnts dans la région avc discussion avc ls artisans rncontrés t établissmnts d fichs Cà la manièr d'un sondag) sur ls tchniqus d construction mployés, t qui constitunt mon nquêt statistiqu prsonnll; - un obsrvation continull au cours d'un pratiqu "profssionnll" cs dux drnièrs annés, d maîtr d'ouvr pour ds particulirs t ds constructurs, puis chz un architct batissur. Vivr ls phénomèns d l'intériur st important, dans la msur où dans l suivi d'un chantir, ls rapports avc ls ntrpriss ou ls négociants sont plus "vrais" sans la distanc qui s'établit lors d'un intrviw. - nfin, un obsrvation privilégié d qulqus chantirs régionaux utilisant ds tchnologis nouvlls ncor put répandus après avoir démarché auprès ds fabricants lur localisation La visit ds salons profssionnls Ls salons profssionnls: Batimat Cà Paris), Tchniroma à Marsill, ls foirs d Marsill, d Toulon,... m'ont prmis, ntr autrs, un pris d contact avc ds fabricants, distributurs, négociants,...

22 LE CONTEXTE DE L'ETUDE 1. LE SECTEUR ARTISANAL 2. LE CHAMP D'OBSERVATION 3. LE STYLE NEO-PROVENCAL 4. LA CONSTRUCTION "TRADmONNELLE" 5. LA NOTION DE NOUVELLES TECHNOLOGIES

23 10 LE CONTEXTE DE L'ETUDE 1. LE SECTEUR ARTISANAL L miliu artisanal du bâtimnt n'st pas un sctur uniform t homogèn. Tout tntativ d'analys doit n tnir compt. En voici la fich "tchniqu" Son poids dans la production d lo~mnts Ctt étud st limité au sctur artisanal mais il n faudrait pas cpndant qu'il s'agit d'un cadr rstrint. croir Ls artisans t ls ntrpriss artisanals rprésntnt près d la moitié du sctur bâtimnt n région Provnc Alps Côt d'azur (PACA) t l tirs d ss ffctifs B.T.P. (1). Par aillurs, l'analys du marché d la maison individull mt n évidnc sa plac prépondérant dans la production d logmnts. En fft: du marché s trait sous form d marchés d'ntrpriss (2), qui constitunt l'activité privilégié d cs ntrpriss; (1) L'apparil d production du bâtimnt n région PACA. Sourc: Cllul économiqu régional du B.T.P. : communication au Comité Régional B.T.P. du Il janvir Ls chiffrs clés: actullmnt la filièr B.T.P. rgroup n PACA : T.P. : 900 ntrpriss, soit actifs Bâtimnt: - Entrrpriss d construction artisans sans salariés a soit actifs ntrpriss artisanals soit actifs cabints d concpturs (archi, BE, BET,...) soit 5200 actifs fabricants d matériaux soit 7600 actifs établissmnts d négoc soit actifs. Au total, l B.T.P. rprésnt: actifs soit Il,4 % ds actifs régionaux salariés soit 15,9 % ds salariés d 1< région (2) Structur du Marché National- Sourc: nquêt U.C.B Total ds miss n chantir (1982) VjlIag ds promoturs Constructurs 26% 36% { { Buraux d'étuds, divrs (HautoconstructionH) 31 % Marchés d'ntrpriss { { Contrat d'architct 4% La part ds architcts dans la concption ds villags n'st pas pris n compt. D mêm, lur activité chz l constructurs où ll n'st l plus souvnt qu'administrativ...

24 1 1-2/3 ds constructurs sous-traitnt avc ds artisans gros-ouvr t scond-ouvr (1). Parmi ls autrs constructurs, nombrux sont cux qui s déclarnt ntrpriss artisanals xrçant un activité d constructur. Suls 7% d cs sociétés s sont organisés n filièr complèt n constituant un structur d construction propr, avc ds salariés (xmpl: l constructur A.S.T.) Ls scturs d'activité Ls dux principaux domains d'activité sont bin sûr: - la construction d maisons individulls, - la réhabilitation (pavillons, appartmnts, ptits immubls,...). La participation à la réalisation d ptits programms d'équipmnts t d logmnts collctifs rst moins fréqunt t st plutôt l fait ds ntrpriss d scond ouvr ou ds ntrpriss d maçonnri ls plus importants. (1) Sous-traitanc d la réalisation chz ls constructurs: nquêt U.C.B Sous-traitanc GO GROS OEUVRE OEUVRE Sous-traitanc sc SECOND Pas d sous-traitanc 32"10 12"10 Partill GO l Partill SO 68 % d sous-traitanc 6"10 Partill GO l Total SC 46"10 Total GO l Total SO Parmi ls 32 % qui n sous-traitnt pas - 15 % sont ds ntrpriss du bâtimcr à l'origin qui sont dvnus constructurs 4"/. Total GO l Partill SC % ont un structur d construction.

25 La part d l'intrvntion ds artisans dans la construction d "villags" st difficilmnt quantifiabl du fait d la divrsité ds typs d'opérations (promotion privé ou publiqu...) t bin qu'on constat souvnt lur présnc sur cs chantirs. En fait. il smbl qu'outr cs programms d villags t bin sûr l marché d l'autoconstruction difficilmnt appréciabl. suls lur échappnt ls qulqus maisons d'architcts dont la concption tchniqu plus sophistiqué réclam un organisation plus important pour l'xécution. L'analys du marché n fonction ds prstations proposés t ds prix ds maisons rnforc ctt hyptohès (1). (1) Structur du marché n fonction ds prstations t ds prix ds maisons 30% 300 à piècs t plus 5 piècs prix moyn nv F 12 REPAR1TTlClf'.l DES MAlSŒJS MISES 8\1 HmTlER 8\11982 EN f=cx\jctlcx\l DUN::M3RE DE PlECES 59% 3 piècs t moins 5% REPAR1lTlCt'J DES tmisons MISES EN awmer 8\ \1 f=cx\jctlcx\l DE LEUR PRIX 3% 5% 500 t plus 400 à499 37% 250 à % 4 piècs 25% moins d 250

26 I- I _ 1.3. Ls mods d'activité Ls artisans s répartissnt slon dux typs d pratiqus différnts: - ou bin l'ntrpris trait ds marchés d gré à gré pour son compt, - ou bin ll ls sous-trait pour l compt d'un tirs, l plus souvnt un constructur, ou un autr ntrpris. L'avantag d la prmièr solution st bin sûr un plus grand librté d décision dans tous ls domains, notammnt n matièr d prix d vnt avc la possibilité d margs importants. Ls "inconvénints" n sont qu ls soucis t ls chargs inhérnts à l'organisation t la conduit d'un ptit ntrpris dans un économi d marché. Ls avantags d la sous-traitanc s trouvnt dans l'assuranc d'avoir un continuité d la command, t un absnc d soucis n travaillant prsqu comm un mployé. L'inconvénint majur st qu ctt dépndanc à l'égard d'un tirs limit la marg d manouvr d l'artisan, n particulir dans la négociation ds marchés où il n'st jamais n position d forc Ls traits caractéristiqus d ctt activité Un activité pénibl Caractéristiqu du bâtimnt n général, la pénibilité du travail st d'autant plus marquant qu contrairmnt aux grands ntrpriss: 13 - aucun strucutr d contrôl n vint réllmnt garantir ls conditions d sécurité, - l'absnc d'un matéril adéquat (moins coûtux) st souvnt compnsé par la forc t la débrouillardis d l'ouvrir Un pratiqu qui rquirt un bonn qualification L'artisan st un tchnicin mais aussi un "décidur" sur l chantir. Fac aux problèms qui surgissnt t qu'il doit résoudr sul, il doit fair pruv d polyvalnc t d'un grand capacité d'adaptation car, outr la tchniqu, ss compétncs s'étndnt à l'organisation du chantir, t à la gstion d son affair. Paradoxalmnt, aucun structur fort n'xist pour la formation, t il n'y a aucun protction juridiqu d l'artisan (il suffit d'êtr inscrit au rgistr pour xrcr un activité d'artisan). Aucun contrôl n vint garantir la qualification du prsonnl. D fait, autour d'un prsonnl qualifié minoritair gravit un population d juns t d travaillurs immigrés sans formation, t dstinés aux travaux ls plus pénibls.

27 L p:l}'s3gnéo-prov~nça1 ~..:.~~~

28 l _ D'autr part, aujourd'hui la faiblss ds rémunérations proposés -consécutivmnt à ctt politiqu d'mbauch d'un prsonnl non qualifié- (mais aussi à la diminution ds commands) - tnd à détournr d c sctur la jun population qualifié nécssair à son rnouvllmnt qui préfèr s'orintr désormais vrs d'autrs domains d'activité Un rôl important dans,'économi ré~riona' L'importanc économiqu constaté dans ls chiffrs s traduit concrètmnt sur l trrain. Particulièrmnt dans ls zons rurals, l'économi local n st étroitmnt dépndant. Longtmps, cs ntrpriss ont été "la" solution aux problèms d'mploi ds juns sans qualification. Voulant rstr vivr t travaillr au pays, ils trouvaint là la possibilité d'un formation sur l tas, ou simplmnt un solution provisoir à lur situation instabl. Aujourd'hui, l'activité du sctur artisanal rst suffisammnt important pour justifir un étud sur ss prspctivs d'avnir. 2. LE CHAMP D'OBSERVATION Pour mon étud, j'ai limité l champ d'obsrvation à un zon géographiqu défini L'activité J'ai choisi la maison individull pour ds raisons évidnts: 14 à un sctur d'activité donné t - c'st l'activité n 1 ds ntrpriss artisanals, t ll présnt la plus grand divrsité dans ss forms d pratiqus, - c'st l sctur qui s prêt l miux à un étud t ds obsrvations qui puissnt êtr quantifiabls, - la maison individull st crts un trrain privilégié pour l'application ds nouvlls tchnologis mais baucoup plus contraignant qu d'autrs scturs. L'innovation st put-êtr plus aisé dans un sctur d la construction dont ls prix sont souvnt plus élvés qu cux du logmnt collctif La zon géographiqu Ms obsrvations s sont limités aux suls départmnts ds Bouchs du Rhôn, Var t Vauclus. Mon étud n'a pas vocation d'êtr un analys régional complèt mais au contrair un réflxion sur l microcosm provnçal. Au sin d la région Provnc Alps Côt d'azur, ls zons alpins sont à mttr à part. Un climat baucoup pous rud détrmin un architctur différnt (toiturs) t ds tchniqus d construction traduisant un snsibilisation plus grand aux problèms d confort t d qualité d'isolation (déprditions thrmiqus faibls n Provnc). Touts ls mntalités s'n trouvnt modifiés.

29 ē ē ē '~ ffi Il Y a différnts dgrés d fimlité à la tr;ldition... ~.-»~.,«~

30 _ l_ 1. En Provnc, l'architctur d l'habitat local contmporain st marqué d façon très particulièr par l rapport xistant ntr son sthétiqu t la volonté d maintnir un "tradition" constructiv. Ctt rchrch du "traditionnl" à défaut d'êtr l produit d contraint physiqu fort st ncor plus qu'aillurs un véritabl phénomèn socio-culturl. C'st la raison pour laqull on rtrouv dans l styl néo-provnçal, xprimés à l'xtrêm t qulqufois d façon caricatural, ls caractèrs d tous ls néostyls régionaux. La compréhnsion d ctt situation st ssntill pour appréhndr ls attituds fac aux nouvlls tchnologis. 3. LE CO~'TEXTE ARCHITECfURAL : LE sryle ~TEOPROVENCAL Pour la compréhnsion du contxt, il convint, sans rntrr dans la complxité ds phénomèns, d'n dégagr ls caractèrs principaux. Pour un analys complèt, j n pux qu rnvoyr à l'étud ds styls néo-régionaux ds sémiologus J.S.Bordruil t S. Ostrowtsky (1), laqull fait référnc n la matièr. L styl néo-provnçal st l produit d donnés socio-culturlls qui puvnt êtr décrits n dux phass La référnc à l'architctur provn~l historiqu - L'sthétiqu néo-provnçal apparaît comm un compromis difficil ntr "tradition t modrnité". "(Ell) possèd l'avantag d n fair ni parti d'un passé révolu ni d'un contmporanéité rfusé. L régional, c'st un passé prpétué d l'histoir sans l'histoir." - TIYa différnts dgrés d fidélité à la tradition. Dans l'architctur originair "aucun batiss n put êtr placé n position d modèl, -stylistiqu, s'ntnd-, (...), la tradition st général ou n'st pas". Dans l "néo", "la référnc à l'architctur régional n s'ffctu pas slon un ju automatiqu t difficilmnt évitabl d répétition d'un tradition (d'un stock culturl d tracs) mais manifst au contrair un intntion d rproducitonfondé tout autant sur la différnc qu sur l'idntité. (...) C qui s chrch t souvnt s consomm à travrs la lctur d journaux spécialisés c'st crts l modèl traditionnl, mais l modèl traditionnl t original-dans l sns d "pas banal"-. La tradition dfactur idntitair qu'll était dvint un opératur d différnciation: différnciation aussitôt rproduit à ds millirs d'xmplairs." * (1) 1.S. Bordruil t S. Ostrowtsky "L styl néo-régional : rproduction d'un architctur pavillonnair" Dunod Editur; 15

31 Lctur du nivau social dans la bâtiss néo provnçalc : il s'agît d,~s'affirmr par rapport :m voisin, grâc à uni.' ~\cçumll~at.ion d volums, décrochmnts, élémf:rlts d'architctur. matériaux divrs...

32 - Sur l plan sthétiqu, la rusticité s'affirm comm l sul parti fondamntal. C'st "un insistanc qui vint travrsr tous ls néosryls. (...) Ctt drnièr put êtr pris comm un rappl constant d la campagn fac à la vill, au sin d'un architctur qui n'a cpndant plus rin d rura/"* L'aspct sociolo::igu Dans l'architctur "néo", l langag architctural a égalmnt un important fonction signalétiqu: il put êtr prçu comm un véritabl cod social t culturl. 16 ē "L nivau social jou grâc à l'échll d statut sur tous ss référnds culturls, à safaçon propr".* Ainsi, la rchrch d'un grand "fidélité à la tradition" pourra êtr l rflt d'un crtain nivau intllctul. La volonté d'affichr un crtain nivau social s traduira plutôt par un accumulation plus ou moins importanc d volums t décrochmnts ou/t d'élémnts d'architctur (génoiss, arcs, tc...). C'st un phénomèn qui dans l néo-provnçal put qulqufois tournr à la caricatur. "C'st n cla qu l pavillon néo-provnçal st unfait social contmporain t non un simpl rproduction affadi t d mauvais goût d'un donné culturll du passé". 4. LA CONSTRUCTION "TRADITIOl\1J'.TELLE" l\teo-provencale L public fait souvnt l'amalgam ntr l styl néo-provnçal t un construction dit "traditionnll". Il n st d mêm avc la pratiqu artisanal. Ls productions divrss d pavillonnurs industrils, -dont cll d Phénix l plus ancin ds constructurs- nous rappllnt qu pas plus qu l styl "néo-régional" n sous-tnd un systèm constructif privilégié, la pratiqu artisanal n conduit à un construction "traditionnll". Il convint par aillurs d bin définir c concpt, qui a n fait, un xplication plus "littérair" qu tchniqu, t qui n Provnc a un résonnanc très particulièr. J.s. Bordruil t S. Ostrowtsky "L styl n6o-rgional : rproduction d'un architctur pavillonnair" Dunod Editur;

33 8Ji;tiIln.. b...js..--..i:t: sasa & ~,. O," ;~~Xl,:~ :.".~.,>~~:';~:l Li briqu pl:llrih pour lès cloisons t contr-cloisons: l symbol d la construction traditi(lnnll:.':.

34 En tnus tchniqus. l qualificatif "traditionnl" st impropr à dési~r ~ typ d constructions. " La définition par l B.I.P.E. d la filièr traditionnll rcouvr ds pratiqus d compagnonnag qui sont aujourd'hui du domain d l'xcption. La filièr court traditionnll "rvêt un caractèr artisanal car ll fait appl à la qulification d la main d'ouvr ds métirs traditionnls du bâtimnt. Ell n'utilis qu'un outillag simpl. Ell produit ds ouvrags sur msur xécutés pour l'ssntil sur l sit. Ls tchnologis sont clls cl/s d la maçonnri d mol/ons, d la pirr taillé, du béton coulé dans ds coffrags n bois réalisés pour chaqu chantir, ds nduits d cimnt d chaux, ou d plâtr, ds charpnts n bois, ds ports tfnêtrs sur msurs, préparés n atlir t achvés sur l sit compt tnu ds cots xacts du gros ouvr." (1) En fait, la production actull, dans c classmnt ds filièrs, s placrait dans ls filièrs allongés qui rgroupnt d manièr général la mis n ouvr ds produits préfabriqués n usin, n distinguant ds sous catégoris: smi-produits, composants, sous nsmbls & qualificatif "traditionnl" dqits'ntndr au sns littérair du trm. TIn'y a bin sûr, aucun pratiqu (ou époqu) d'absolu tradition, pas plus qu d projt absolumnt innovant d bout n bout. "Tradition" n vut pas dir copir un crtain passé, non, l'idé vint du latin "tradr" qui vut dir "passr à travrs", sous ntndu "l tmps ds générations". Pour nous, ici, cla signifi schématiqumnt, "construir par habitud. Comm la construction st un pratiqu à multips intrvnants, la tradition définit à chacun son rôl, la façon dont ils'articul avc l'autr t commnt ildoit travaillr. Ainsi, la mis n ouvr ds prmirs élémnts industrialisés comm l bloc d béton st n usag dpuis suffisammnt longtmps pour qu'on puiss la qualifir d méthod traditionnll parmi ls tchniqus d construction modrns. En fait. ctt rérérnc à la "tradition" st davanta& un référnc culturll Q.u tchno)ol;iq.u, TIs'agit d'un volongé d prpétur davantag ls caractèrs d la bâtiss originair -c'st-à-dir un "construction d maçons" qu ss tchnologis. L'sprit général st maintnu mêm si n détail, ls tchniqus évolunt: on put ffctur ainsi un classmnt chronologiqu ds matériaux qui, au fur t à msur d lur ntré dans ls (1) "Ls tchniqus du bâtimnt t lur avnir" P. Chmillir ED. du Monitur 1977

35 La briqu monolith d h:lu(cur d'étlg st un rompos:lnl m:lrginal pour 1:1 maison individull. Ls maisons biociimaliqus d rl'.fchitct lan-paul Cordir sont s:lns aucun dout ls ré,ltisations qui la mttnt l miux n valur.

36 mours ds chantirs sont intégrés à la tradition: parpaings t briqus, puis poutrlls t hourdis, puis ls mnuisris industrills, aujourd'hui ls frmtts (pratiqumnt 100 % ds combls non aménagabnls), ls complxs isolants (polyuréthan + plâtr), ls composants d bais (blocs bais précadrs préfabriqués) (1) C'st un ar~mnt commrcial gui fait vndr. Si on n put pas affirmr qu l styl "néo" st un concpt d markting, l "traditionnl" a été l'arm fficac dévloppé par ls ptits constructurs t ls artisans locaux pour luttr contr ls grosss structurs ds gros pavillonnurs très organisés. Il n s'st d'aillurs posé n rvndication qu longtmps après la généralisation du styl néo-provnçal, sulmnt au momnt d l'apparition ds nouvlls tchnologis chz cs gros constructurs. 5. LA NOTION DE TECHNOLOGIES NOUVELLES La notion d "nouvlls tchnologis" rcouvr un larg évntail d tchniqus. D'un manièr schématiqu, ll désign ls tchnologis non traditionnlls. s'oppos à ctt référnc obligé à la tradition si présnt dans l'sprit du public. Dans l'absolu, l trm put paraîtr impropr pour désignr ds composants t ds smi-produits déjà ancins. Ds tchnologis comm ls tchnologis à bas d plaqus d plâtr ou bin ds tchnologis d'élémnts d béton cllulair, par xmpl, sont apparus dpuis plus d'un quinzain d'annés sur l marché. Il y a égalmnt longtmps qu l'on st prsuadé d la supériorité ds tchniqus d'isolation par l'xtériur. Mais, rntrés dans ls mours ds artisans dpuis pu, c'st dans lur dévloppmnt récnt qu'lls puvnt êtr considérés comm "nouvlls". Par aillurs, cs nouvaux produits n'apportnt pas tous un révolution tchniqu. Ls produits ls plus novaturs sont généralmnt ancins (plaqus d plâtr, frmtts, préfabrication élctriqu,...). Désormais, ls nouvaux procédés vraimnt inédits aisémnt commrcialisabls sont rars. On put tout d mêm citr ls procédés d coffrags isolants apparus récmmnt. Aujourd'hui, ls nouvautés sont davantag ds évolutions d matériaux xistants constitués d multipls adaptations t prfctionnmnts d'anné n anné: briqus t blocs d béton à isolation intégré n sont l'illustration. L'innovation put qulqufois résidr dans ds applications nouvlls, ds utilisations différnts d systèms déjà connus: ainsi n st-il ds dalls armés d béton cllulair, dont l'utilisation, habitull dans ls bâtimnts industrils t commrciaux, s'étnd désormais à la maison individull. En fin d compt, l trm d "tchnologis nouvlls" st avant tout un trm bin pratiqu quand il s'agit d parlr d l'évolution ds tchniqus d construction. (1) Il n'y a pas d'avis tchniqus pour cux-ci, l C.S.T.B. ls classant dans ls tchniqus traditionnlls 18 Ell

37 _- _ DEVELOPPEMENT DES NOUVELLES TECHNOLOGIES L'ENQUETE 1. DEROULEMENT 2. OBJECTIFS 3. RELEVES 4. STATISTIQUES 5. BILAN 6. CONCLUSION

38 1.DEROULEMENT Ctt nquêt prsonnll a consisté n la visit d'un grand nombr d chantirs n cours, sur ls départmnts du Var t ds Bouchs du Rhôn. 19 Cs visits ont été ffctués: - n sillonnant systématiqumnt un crtain nombr d lotissmnts non trminés, rgroupés plusiurs possibilités d'obsrvations;. - d façon disprsé, sur ds chantirs isolés au fil d ms déplacmnts quotidins, Pour chaqu obsrvation a été ffctué un rlvé complt ds tchnologis mployés sur ds fichs constitués à ct fft, à la manièr d fichs d sondag, slon l modèl qui suit. Durant un périod allant d sptmbr 1985 à Mars 1986, dix-huit fichs ont ainsi été établis, soit un total d'nviron 180 chantirs obsrvés. LIEUX SECTEURS Diffus (isolé) Lotissmnts Villags Typ d construction Constructurs Architcts Marchés d'ntrpriss Au to-construction Modèl d fich utilisé OBSERVATIONS DE 173 CHANTIERS DANS LE VAR ET LES BOUCHES DU RHONE (voir localisation ds chantirs)

39 _ l SYSTEMES Ossatur Murs porturs DALLE BASSE Sur sous-sol Sur vid sanitair Sur mpirrmnt MURS Béton armé PORTEURS (bois t métal) Pannaux préfabriqués Parpaings Briqus cruss Béton cllulair (blocs) Blocs avc isolant intégré Coffrags isolants Mollons taillés Parmnts (briqus ou pirrs) (bois t béton) 20 GROS-OEUVRE

40 21 PLANCHERS Coulé (traditionnl) Entrvous béton Poutrlls + Entrvous trr cuit Entrvous T.C.!.* Béton armé Pré-dalls Béton cllulair Trr cuit (vou tains) Bois (poutrs - panns préfabriqués) TYPE DE TOITURE Pnts Trrass CHARPENfE Traditionnll Complèt Partillmnt (séjour par x~ Frmtts Présnc (total ou PartillJ En combls aménagabls Poutrs-panns préfabriqués

41 COUVERTURE Tuils romans Tuils canal Tuils béton Grands tuils Autrs (shingl) Enduit traditionnl Enduit prêt à l'mploi (au roulau, projté) Autrs DISTRIBUTION Briqus platrièrs Plaqus d plâtr Carraux d plâtr Carraux briqus Béton cllulair 22 FINITIONS EXTERIEURES SECOND OEUVRE

42 23 ISOLATION Contr-cloisons briqus Isolants + CIC carraux briqus CIC carraux plâtr Doublag d béton cllulair! Isolants + plaqus d plâtr BAIES: COMPOSM'TS INTEGRES AU GROS-OEUVRE Blocs-bais Pré-cadrs Pré-lin taux MENUISERIES Sur msurs Métal Béton Métal Béton Aluminium Industrills (catalogu) Bois P.V.C.

43 l ē ELECfRICITE Traditionnll Piuvr préfabriqué PLOl\ffiERIE APPAREILS Obsrvations 36 TUYAUfERIE Banqutt tchniqu Mubls tchniqus Cuivr (traditionnll) Obsrvations Raccords soupls Piuvr t 57 clarintt 2. OBJECfIFS Composants d canalisations TROISIEME 24 OEUVRE L nombr ds obsrvations, mêm s'il st conséqunt rst limité. Ct échantillon n put prétndr avoir valur d sondags: - il n'a pas été opéré d sélction préalabl pour qu'il puiss êtr considéré comm rprésntatif du marché. - Il s'st avéré difficil d définir un cadr théoriqu strict, ls possibilités d'obsrvations dvant êtr ls plus nombruss possibls. En ls limitant aux suls marchés traités dirctmnt par ls artisans, par xmpl, cs possibilités dvnaint trop réduits n raison d l'omniprésnc ds constructurs autour d'aix-marsill.

44 _ 25 La sul contraint fixé initialmnt a été d'xclur pour ls obsrvations groupés, ls lotissmnts où pouvait xistr un prédominanc trop marqué d'un ou dux constructurs. En fin d compt, l'échantillon d cs chantirs s révèl très divrs tant au point d vu ds trrains -configuration, suprfici, prix- qu ds constructions -complxité, surfacs, matériaux-. Si donc dans ls Bouchs du Rhôn dominnt ls réalisations ds constructurs, la proportion d marchés traités dirctmnt par ls ntrpriss st baucoup plus important dans ls chantirs souvnt isolés, obsrvés dans l Var. 1 _ - L'état d'avancmnt ds travaux était différnt slon ls chantirs t l nombr d'obsrvations vari pour chaqu ouvrag. - Pour l scond ouvr, j m suis appliqué, dans la msur du possibl à prndr n compt un maximum d chantir où clui-ci était commncé. - Pour ls lots élctricité t surtout plombri, l constat s'st ffctué sur sulmnt un tirs nviron ds chantirs. Ls attndus d ctt nquêt étaint d dux ordrs: - Après un prmir tmps d'adaptation à un miliu qui m'était mal connu -l vocabulair sur l trrain st souvnt différnt du vocabulair théoriqu, par xmpl-, il s'agissait d'ffctur un invntair ds problèms rncontrés au fur t à msur d cs visits, qui constitu la bas d ctt étud. - Pour c qui st d l'évaluation d la pénétration ds nouvlls tchnologis, ctt nquêt s présnt comm un "instantané" du marché d la maison individull. Plus qu ls chiffrs, c sont ls tndancs qui puvnt s'n dégagr qui sont intérssants, car lls sont révélatrics d'un évolution d la production tout ntièr. Dans ctt prspctiv, l but d c rlvé quantitatif était: - d vérifir par ls chiffrs la ntt imprssion d'un généralisation cs drnièrs annés d crtains ds tchnologis nouvlls: frmtts industrialisés, tchnologis à bas d plaqus d plâtr, nduits prêt à l'mploi,... - d quantifir l dévloppmnt d composants moins ancins, n voi d s généralisr ou au contrair à l'utilisation toujours rstrint, - d'évalur s'il xist un marché naissant pour ls nouvautés ls plus récnts qui montrrait lur potntil à s dévloppr. L prmir intérêt d ct "instantané" st put-êtr dans l fait qu'n rposant sur un "fragmnt" d la production choisi au hasard, il mt n valur un vision d l'évolution d la construction qu chacun put prcvoir autour d soi.

45 26 3. RELEVES 3.1. Rlvé ds tchniqus utilisés I_ 1 I ta LIEUX OBSERVATIONS DE 173 CHAI\TTIERS DANS LE VAR ET LES BOUCHES DU RHONE Obsrvations % (voir localisation ds chantirs) SECTEURS 173 Diffus (isolé) Lotissmnts Villags T'}'P d construction 173 Constructurs Architcts 34 19,5 _ Marchés d'ntrpriss 39 22,5 Auto-constructions 2 1

46 '.;,. ~" On commnc à rncontrr d-::schantirs d bloc d béton cllulair. L'mploi d cux-ci n'st plus xclusivmnt l fait ds constructurs comm il y a qulqus annés.

47 27 1. Ossatur GROS-OEUVRE Obsrvations % SYSTEMES PORTEURS 173 (bois t métal) Murs porturs DALLE BASSE 173 Sur sous-sol Il 6,5 Sur vid sanitair ,5 Sur mpirrmnt MURS 173 Béton armé 1 0,6 Pannaux préfabriqués (bois t béton) 16 9,2 Parpaings ,8 Briqus cruss 7 4 Béton cllulair (blocs) 9 5,2 Blocs avc isolant intégré 2 1,2 Coffrags isolants Mollons taillés Parmnts (briqus ou pirrs)

48 Chaînag tr ansvrsal ous ls 2 mètrs Aucun obsrvation d planchr intégrant ds ntrvotls à tabl d comprssion incorporé ou ds pré-dalls béton.

49 28 Obsrvations % PLANCHERS 87 Coulé (traditionnl) 8 9,2 Entrvous béton 66 75,9 Poutrlls + Entrvous trr cuit 5 5,7 Entrvous T.C.!. Béton armé Pré-dalls Béton cllulair 6 7 Trr cuit (vou tains) Bois (poutrs - panns préfabriqués) 2 2,3 TYPE DE TOITURE 158 Pnts Trrass CHARPENTE 158 Traditionnll Frmtts Poutrs-panns préfabriqués Complèt Partillmnt (séjour par xmpl) 69 43,7 Présnc (total ou partill) En combls aménagabls 2 1,3

50 Gén~ralis;ition pour ls cloisons t ls con!.lt' doisom: d~s têchnologits il b:is d plaqus d plâtr, nl:ii~ aussi d~v!oppmnt impc,rt;mt du carr:m briqu qui wmbin ls avanwgs du matérï3u traditionn13ux tchniqus modrns d mis n ocuvr.

51 29 Obsrvations % COUVERTURE 149 Tuils romans ' Tuils canal 35 23,5 1- Tuils béton 21 14,1 l Grands tuils 4 2,7 1. Autrs (shingl) 1 0,7 FINITIONS D-ïERIEURES Enduit traditionnl 29 35,4 Enduit prêt à l'mploi (au roulau, projté) 53 64,6 Autrs SECOND OEUVRE DISfRIBUflON 113 Briqus platrièrs 41 36,3 Plaqus d plâtr 49 43,4 Carraux d plâtr 7 6,2 Carraux briqus 16 14,1 Béton cllulair 82

52 Aux blocs b6[on compkts, lourds t difficils à manipulr (ngin d lvag nécssair), ls maçons préfèrnt 1:::spr~cadrs t ls blocs allégés t n'intégrant pas ls mnuisris (risqus d d2gradations aussi écartés).

53 ,. 30 Obsn'ations % ISOLATION 113 Contr-cloisons briqus 41 36,3 Isolants + CIC carraux briqus 10 8,8 CIC carraux plâtr Isolants + plaqus d plâtr BAIES: COMPOSANTS INTEGRES AU GROS-OEUVRE 173 Doublag d béton cllulair 1 0,9 Métal 11 Blocs-bais 9,2 Béton 5 Métal 34 Pré-cadrs 21,4 Béton 3 Pré-lintaux 3 1,7 MENUISERIES 108 Sur msurs Aluminium 12 11,1 Industrills (catalogu) Bois 89 82,4 P.V,C. 7 6,5

54 r;." ",~~~,<,: ~~~<~~; r' i.. Kit piuvr élctriqu: maqutt d princip (doc. Octopus)

55 31 Obsrvations % TROISIEME OEUVRE ELECfRICITE 77 Traditionnll ta ta Piuvr préfabriqué PLOMBERIE AFP AREILS Obsrvations 36 Banqutt tchniqu Mubls tchniqus 4 11,1 TUYAUTERIE Cuivr (traditionnll) 41 70,7 Obsn'ations Raccords soupls Piuvr t 17 29,3 57 Clarintt Composants d canalisations 3.2. Problèms tchniqus: invntair ds rrurs. vics d poss. malfacons rncont rés. Cs problèms puvnt êtr distingués slon trois grands classs: -cux dûs au non rspct ou à un mauvais intrprétation ds plans, - cux dûs au non rspct ds règls d l'art, - cux dûs au non rspct ds présntations ds fabricants, t concrnant la compatibilité ds matériaux ntr ux. Problèms rlvant d'un non rspct ou d'un mauvais intrprétation Il s'agit l plus souvnt: ds plans: - d'rrur d'implantation, - d'rrur d nivaux, notammnt lorsqu l projt comport ds dmi-nivaux - d'rrur d coffrag d'scalirs.

56 L'nduit "maquillant" l'apparillag, on put tout s prmttr

57 32 Problèms rlvant d'un non rspct ds règls d l'art tècùl t DJ/U~C~.nrH;'TUH;: :~E &:~~~: s ;~~_te Ls obsrvations ffctués concrnnt ls ouvrags suivants :ru~... tothèque - Murs ds sous-sols, réalisés n parpaings t non n béton banché (qu c soit traditionnllmnt, ou avc ds blocs à banchr). - Absnc d frraillag vrtical dans ls angls alors qu c'st désormais dvnu obligatoir. - Chaînag haut, réalisé n aras-pignon, - Béton ds chaînags t lintaux laissé "brut" n façad sans parmnt, constituant un ruptur d matièr, pouvant êtr sourc d problèms pour la tnu d l'nduit dans l tmps (poufds nduits traditionnls). - Calpinag ds blocs préparés t obligant à ds rattrapags à la réalisation ds tablaux d bais. - Parpaings, montés d façon approximativ, sans nivau ni cordau. - Mauvais montag ds plaqus d plâtr par ds maçons non formés à lur pos mais désirux d n pas prdr l lot d scond ouvr. S'ajoutnt à cs problèms, rlvant d'un défaillanc d la qualification ds ntrpriss, touts ls pratiqus "viciuss" ncouragés par ls ntrprnurs visant à réalisr ds économis "msquins" comm par xmpl l bourrag d papir pour économisr l béton (à la réalisation ds génoiss par xmpl). Problèms rlvant du non rspct ds prscriptions ds fabricants n matièr d compatibilité ds matériaux ntr ux. C typ d problèms affct d'un manièr général tous ls produits nouvaux dans la constitution dsquls ntrnt ds matériaux non traditionnls. Lur obsrvation a été ffctué principalmnt sur ds chantirs intégrant l'usag d blocs d béton cllulair. L "vic" l plus fréqunt st l non rspct d l'mploi d l'nduit xtériur préconisé par l fabricant. Ctt mauvais pratiqu st sans dout du au fait qu ls blocs d béton cllulair sont la plupart du tmps associés, par économi, à ds parpaings n pignon t soubassmnt. On rtrouv souvnt ds problèms d'nduits sur baucoup d maçonnris isolants, mais d natur différnt, puisqu touchant à l'accrochag d l'nduit sur l'isolant. La création d pont thrmiqu par l'association d matériaux aux cofficints différnts st fréqunt: - chaînag béton laissé sans parmnt d béton cllulair, - planchrs sur vid sanitair non réalisé avc l'mploi d pré-dall d béton cllulair. - ls détériorations d c matériau sont l plus souvnt "rattrapés" au mortir d cimnt. Enfin, qu dir d c chantir rncontré où l'ntrprnur a monté ls blocs Proba à l'nvrs, l'isolant vrs l'intériur?

58 Sur ls blocs coffrants, l'nduit d'ji! êtr réalbé av,::c soin, accroché sur un maill mét.a11iqu (grillili:('1 ou pi:.lstiqu. après b rfa.lisation d'un glnbtis kgr sur l'isolant;. accrochag d rnduit sur l fibr:lstyr(:d ds blocs PAF - accrochag d l'nduit gur ls blocs M.A.O.O. (J globtis st réalis6 à 1J fabrication n usin).

59 4. STATISTIQUES 33 Un crtain nombr d'étuds ffctués par divrs organisms publics ou privés prmttnt d drssr un constat à l'échlon national. L'objctif d lur présntation st ici d'étayr mon rlvé prsonnl L'évolution d la consommation ds matériaux d construction Extrait d l'étud prévisionnll pour 1986 réalisé par l BJ.P.E. (juillt 1985) "L'économi français n 1986 : prmièrs prspctivs" Volum 5: "Filièr bâtimnt - Géni Civil - Matériaux d construction". Variation annull n pourcntag 1985/ /85 Cimnts t liants - 5,3 Sabls t gravirs d'alluvion -7 Granulats calcairs Granulats éruptifs - 15 Béton prêt à l'mploi -7 Blocs n béton -6 Briqus Poutrlls n béton - 8 Ardoiss naturlls + 4,4 Tuils n trr cuit -4 Plâtrs pour nduits t préfabrication - 1 Carraux d plâtr + 1 Plaqus d plâtr +4 Pannaux d plâtr -2 Bordurs t canivaux -7 Tuyaux n béton - 7 Carraux d créramiqu + 0,3 Céramiqu sanitair - 0,2 Fibrs-cimnt Totald la branch matériaux d construction o - 5,1 o o , , , o + 3,1 + 1,6-1,9 + 0,7

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