PROPOSITION DE PLAN DE GESTION DES SEDIMENTS DE L ESTUAIRE DE LA RANCE

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1 COMMISSION ESTUAIRE RANCE Henri Thébault PROPOSITION DE PLAN DE GESTION DES SEDIMENTS DE L ESTUAIRE DE LA RANCE Juillet

2 COMMISSION ESTUAIRE RANCE Présentatin du rapprt Après avir été un des initiateurs du CONTRAT de BAIE et de COEUR sn cmité pératinnel en 1994, la FAUR n a jamais cessé de prendre des initiatives et de faire des prpsitins pur l avenir de l estuaire de la Rance. Suhaitant btenir la prise en cmpte de l impact envirnnemental de l usine marémtrice dans une démarche de dévelppement durable, elle a, depuis l échéance (après prlngatin) de ce cntrat en 2005, lancé avec RANCE-ENVIRONNEMENT et Henri THEBAULT animateur-rapprteur bénévle et indépendant, une démarche participative avec les habitants de l estuaire, puis dans la cntinuité créé avec l accrd de COEUR la COMMISSION ESTUAIRE RANCE. Dans sn rapprt d étude de janvier 2011, la Cmmissin prpse un prjet glbal d aménagement de l estuaire, fixant la gestin des sédiments cmme un bjectif priritaire pur répndre aux attentes exprimées par les habitants dans le «Livre Blanc» et cntribuer à la recnquête durable du caractère maritime et du littral de l estuaire. Au curs de sa réunin du 3 aût 2012, la Cmmissin a validé ce nuveau rapprt élabré par Henri THEBAULT, qui prpse un plan de dévasement permettant d abutir à la maitrise permanente de la sédimentatin dans l estuaire. Il répnd à la demande de «réfléchir à un plan de gestin des sédiments ainsi qu à une maitrise d uvrage», actée lrs d une réunin en sus-préfecture de Saint-Mal rganisée dans le cadre de l élabratin du DOCOB Natura Pur l élabratin de ce plan, Henri THEBAULT a respecté les demandes méthdlgiques de la DREAL : s appuyer sur des cnnaissances scientifiques partagées et validées, capitaliser les acquis, et amélirer la cnnaissance de la dynamique sédimentaire de l estuaire. Mettant en œuvre bénévlement ses cmpétences scientifiques, il a analysé les différentes études réalisées sur la sédimentatin dans l estuaire de la Rance, et en a fait une synthèse en les situant dans une apprche glbale du prcessus de sédimentatin appliqué à la situatin particulière créée par le barrage et l usine marémtrice. Il a rencntré différents acteurs scientifiques et de terrain. Présenté pur avis aux maires des cmmunes riveraines de l estuaire le 1ier juin 2012, les huit maires présents u représentés nt manifesté un grand intérêt pur les éclaircissements apprtés sur la dynamique sédimentaire de l estuaire, et pur l apprche et les slutins prpsées pur l extractin et la valrisatin des sédiments, slutins innvant dans la cntinuité des acquis. La Cmmissin espère que cette nuvelle cntributin sciétale sera prise en cnsidératin. Elle suhaite que ce rapprt arrête les discussins plémiques et stériles sur l envasement de l estuaire de la Rance, et permette d engager rapidement les actins cncrètes de désenvasement. L accmpagnement scientifiques prévu ainsi que la cncertatin avec l ensemble des prjets territriaux : SAGE, Natura 2000, SCOT, PNR, PNM, GIZC,, illustrent la glbalité de la démarche. Elle attend que les deux parties signataires de la cnventin de cncessin : l ETAT (prpriétaire) et EDF (lcataire) acceptent le principe de ce plan de gestin des sédiments, en définissent la guvernance et engagent rapidement les phases préparatires à sa mise en œuvre pératinnelle. Après 20 ans d expérimentatin, les habitants de l estuaire ne cmprendraient pas que de nuvelles études sient encre nécessaires pur désenvaser. Les membres de la Cmmissin Estuaire Rance FAUR 2, rue Brindejnc des Mulinais Pleurtuit faur.ass@range.fr RANCE-ENVIRONNEMENT Pleudihen sur Rance rance-envirnnement@range.fr 2

3 Henri Thébault PROPOSITION DE PLAN DE GESTION DES SEDIMENTS DE L ESTUAIRE DE LA RANCE Juillet 2012 Afin d établir une base de discussin pur cnduire la réflexin décidée lrs de la réunin du 11 janvier 2012 en Sus-Préfecture de Saint-Mal, le présent dcument prpse un plan de gestin des sédiments excédentaires de l estuaire de la Rance. Dans un envirnnement multifactriel, la prblématique de la sédimentatin en Rance apparaît cmplexe, induisant des cntrverses et psitins partiales liées en partie à une insuffisance de cnnaissances scientifiques et à l absence d rientatins réellement discutées et partagées. Les slutins ne peuvent dnc être truvées qu au travers de cmprmis acceptés. Dans ce cntexte, le présent dcument purrait être critiqué sur certains pints cnsidérés ubliés, sur certains jugés errnés, u bien sur certains autres trp mis en évidence. Afin de répndre à des critiques éventuelles et, de manière plus générale et cnstructive pur la cmpréhensin de l ensemble du dcument, je reste à la dispsitin des lecteurs de ce rapprt pur répndre à tute questin éventuelle et participer aux discussins nécessaires. H.Thébault henrithebault@wanad.fr 1

4 SOMMAIRE Intrductin page 3 1 ère partie - Référentiel Prblème psé, dnnées et cntexte général Enjeux 14 2 ème partie - Plan de gestin prpsé Principe de gestin des sédiments Applicatin initiale limitée Tris prcessus d interventin Effrt d ingénierie Accmpagnement scientifique Mdélisatin 27 3 ème partie - Mise en œuvre du plan de gestin Préparatin / Actins préalables Maîtrise d uvrage et budget Natura SAGE Rance-Frémur-Baie de Beaussais Guvernance, suivis péridiques et validatins 32 4 ème partie - Evlutin du plan de gestin 33 Cnclusin 35 Bibligraphie (Bib) 36 2

5 INTRODUCTION Les cnditins hydrsédimentaires de l estuaire de la Rance nt été ntablement mdifiées avec l implantatin du barrage et les cnditins d explitatin de l usine marémtrice. Si des vasières existaient dans les anses avant la cnstructin du barrage, l hydrdynamisme nuveau a amplifié les dépôts vers ces anciennes vasières et, en a créé de nuvelles. Cmme rapprté par nmbre d études (Bib.3, 4, 5, 6, 7), avec la prgressin des dépôts, il est bservé un affinement des tailles des sédiments, du sable vers les vases, d aval vers l amnt et du chenal vers les berges. En raisn de sa prgressin cnstante, l envasement de l estuaire est perçu cmme une atteinte indésirable à la qualité envirnnementale du site. Il existe dnc une attente frte de la part de la ppulatin et des élus des cmmunes littrales pur que le niveau d envasement sit réduit et maîtrisé. Cette préccupatin s inscrit également dans les prjets structurels cmme celui relatif au Parc Naturel Réginal suhaité par la Régin Bretagne. La maîtrise de la sédimentatin implique des actins crrectives puis des actins permanentes de gestin des excédents et des apprts. Ce prgramme dit être cnduit en tenant cmpte des cntraintes liées aux différents classements du site de l estuaire. En particulier, une réunin en Sus-Préfecture de Saint-Mal, le 11 janvier 2012, a cnfirmé la cmpatibilité d un plan de gestin des sédiments avec la démarche Natura Le plan de gestin des sédiments dit dnc s appuyer sur une analyse pertinente de la dynamique sédimentaire en intégrant les dnnées également évlutives des habitats d intérêt cmmunautaire ainsi que les dispsitins déculant des rientatins du SAGE Rance-Fémur-Baie de Beaussais spécifiques du milieu frtement mdifié de l estuaire. L étude préalable des dnnées dispnibles nus a cnfirmé la psitin de la DREAL (Bib.18) cncernant la dynamique sédimentaire de l estuaire dnt la cnnaissance dit être amélirée. Cette cnnaissance partielle alimente des cntrverses et des prises de psitin nn démntrées scientifiquement.ce système cmplexe dit dnc être abrdé de manière prudente quant à la définitin et la mise en œuvre du prcessus de gestin des sédiments. Cmme il est bservé une grande variabilité des critères et de leurs interactins, il semble impératif de crréler les bservatins et mesures de terrain avec les études plus fndamentales. Les caractéristiques hydrdynamiques de l estuaire divent être également analysées et utilisées pur cntribuer psitivement à la gestin des matières en suspensin et à leur sédimentatin. Pur répndre à l urgence de la situatin, des actins pératinnelles de gestin à l échelle de l estuaire, assciées avec un accmpagnement scientifique adapté, divent permettre une apprche évlutive basée sur l acquisitin et la validatin effective de nuvelles dnnées afin d ptimiser la gestin des sédiments. Le présent dcument cnstitue une prpsitin définissant un principe de gestin des sédiments tenant cmpte des cntraintes impsées, des cnnaissances acquises et de celles nécessaires pur accmpagner le prjet. Les pssibilités de valrisatin des sédiments extraits snt bien entendu intégrées. Le plan de gestin prpsé prend en cmpte priritairement les sédiments fins (vases) résultant essentiellement des mdificatins hydrdynamiques de l estuaire. Le prjet glbal d aménagement prpsé par la Cmmissin Estuaire Rance cmprenait deux phases (crrectin et cnslidatin) s étendant sur 25 années, jusqu à la péride d étude de la nuvelle cnventin de cncessin entre l ETAT et le futur cncessinnaire (Fig.1). Le plan de gestin des sédiments est prévu pur être cncrètement lancé à partir de 2015, des études préalables étant nécessaires pur préparer la phase pératinnelle (Fig.2). Cncernant dnc les sédiments, le plan sera suffisamment avancé en 2036 pur que des éléments pertinents sient dispnibles pur alimenter l instructin de la nuvelle cnventin. Le présent rapprt cnstitue une base de référence pur cnduire la réflexin décidée lrs de la réunin du 11 janvier 2012 citée ci-dessus (cmpte-rendu Bib.17). Dans le cadre de cette réflexin, des améliratins et/u mdificatins au plan de gestin prpsé sernt prbablement apprtées ; il reste cependant suhaitable que les différentes discussins et validatins ne repussent pas la date prévue de mise en place pératinnelle du plan. NOUVELLE EXPLOITATION INSTRUCTION NOUVELLE CONVENTION ans CORRECTION CONSOLIDATION DEVELOPPEMENT DURABLE 15 ans 10 ans H.Thébault / Cmmissin Estuaire Rance Fig.1 Fig.2 3

6 PREMIERE PARTIE : REFERENTIEL Prblème psé, dnnées et cntexte général Prblème psé : Le rapprt (Bib.1) de la Cmmissin Estuaire Rance prpsant un prjet glbal d aménagement a fixé la maîtrise de la sédimentatin cmme l un des bjectifs majeurs devant cntribuer à la recnquête du caractère maritime de l estuaire. Cet bjectif prévyait des actins de crrectin avec l extractin des sédiments excédentaires à partir de pièges et de réductin des vlumes accumulés sur les aplats vaseux et, des actins à plus lng terme de gestin des sédiments pur en maîtriser le niveau. Ces prpsitins s appuyaient essentiellement sur les bservatins de la ppulatin riveraine, ntamment à la suite de la démarche participative cnduite en 2006/2007, dnt les résultats nt été résumés dans le «Livre Blanc» (Bib.2) publié par la FAUR et Rance Envirnnement. Cette analyse qualitative de la situatin n avait dnc pas pris en cmpte des éléments chiffrés relatifs aux vlumes de sédiments excédentaires. Pur définir un plan de gestin des sédiments, il était nécessaire de réaliser une analyse préalable des dnnées techniques et scientifiques dispnibles. Les différentes études réalisées abutissent à des estimatins des vlumes de sédiments excédentaires très variables, avec une incertitude élevée sur les résultats. La Fig.3 illustre ces estimatins en représentant les curbes de crissance linéaire* de la sédimentatin, depuis la mise en service de l usine marémtrice, en fnctin des dépôts annuels myens crrespndants aux différentes estimatins. Cnfrmément à la date bjective de renuvellement de la cnventin de cncessin entre l Etat et l explitant, les drites snt prlngées jusqu en 2041 avec l estimatin de la sédimentatin cumulée (en millin de m 3 ). *Nte : Pur l ensemble de l estuaire la sédimentatin reste dans la phase de crissance linéaire. La partie extrême amnt est cependant prche u dans la phase asympttique. Bien entendu, les valeurs myennes utilisées («valeurs d années myennes de référence» indiquées par les études) ne précisent pas les variatins annuelles u pluriannuelles réellement bservées Mdèle Mesures bathymétriques Cntrat de baie Estimatin vasières m 3 EVOLUTION LINEAIRE DE LA SEDIMENTATION SUIVANT LES DIFFERENTS VOLUMES EVALUES 75 ans Les différents rapprts publiés par EDF (Bib.3, 4) estiment des valeurs de sédimentatin variant de m 3 par an (à partir de mesures bathymétriques) à m 3 (valeur établie à partir de la mdélisatin), sit respectivement des cumuls de 6,4 et 11,4 millins de m 3 à l hrizn Si n se réfère aux valeurs excédentaires estimées lrs de la mise en place du cntrat de baie, sit un millin de m 3, crrespndant à un dépôt annuel de m 3, le cumul en 2041 se réduit à 2,6 millins de m Une récente estimatin (Bib.5) basée sur les surfaces des Henri Thébault / Cmmissin Estuaire Rance / janvier 2012 vasières et reprenant des rdres de grandeur de cuches Fig.3 signalés par les rapprts ci-dessus, estime un cumul cmpris entre 2,2 et 5,4 millins de m 3 pur des épaisseurs respectives de 0,20 ; 0,30 ; 0,40 et 0,50 mètre Des estimatins snt également prpsées (Bib.4) à partir d un dépôt annuel de 1 à 2 cm sur les vasières, crrespndant aux deux limites indiquées sur la Fig.4, sit des cumuls entre 3,2 et 6,4 millins de m 3. Il est évident que de tels écarts ne peuvent permettre de chisir une curbe de référence pur fixer un bjectif d extractin pluriannuel des sédiments. En effet, établir un plan pluriannuel de gestin, implique de fixer une cadence d extractin chérente avec l apprt cntinu de sédiments

7 10 6 m 3 EVOLUTION LINEAIRE DE LA SEDIMENTATION SUIVANT LES DIFFERENTS VOLUMES EVALUES 75 ans Fig Mdèle Mesures bathymétriques Cntrat de baie Estimatin vasières Estimatin vasières 1 à 2 cm / an Henri Thébault / Cmmissin Estuaire Rance / janvier 2012 La représentatin graphique Fig.5 permet de fixer les valeurs annuelles d extractin des sédiments excédentaires en fnctin de la drite Va de sédimentatin prise en référence et, des échéances à 15 et 26 ans retenues par la Cmmissin Estuaire, la mise en œuvre du plan de gestin étant effective à partir de Nus fixns, a priri, cmme bjectif initial d atteindre un vlume V excédentaire de sédiments de 1 millin de m 3. Cet bjectif peut paraître peu ambitieux puisque le cntrat de baie avait prévu de traiter cette quantité excédentaire, mais il cnstitue un bjectif intermédiaire prudent qui sera actualisé en fnctin de l évlutin des cnnaissances. Fig.5 Quelle que sit la curbe Va prise en référence, nus excluns dnc a priri de cnsidérer le maintien du vlume (1 ) d excédents atteint en 2015, qui entraînerait dnc une extractin annuelle égale à l accrissement de sédiments, mais cnservant un niveau initial trp élevé. La crrectin à l échéance 15 ans est représentée par la cadence (2) d extractin, la cadence (3) étant lissée sur 26 années. Les pérides de crrectin snt ensuite suivies d une extractin permanente (4) cmpensant la sédimentatin Va. 5

8 A titre indicatif, la Fig.6 précise les valeurs d extractin annuelle dans l exemple de l estimatin faite à partir des mesures bathymétriques (sédimentatin myenne de m 3 par an) Fig.6 Le tableau Fig.7 ci-dessus permet de cmparer les vlumes d extractin pur les différentes hypthèses de sédimentatin. Les écarts bservés psent dnc le prblème du chix de la référence quantitative à prendre en cmpte et par cnséquent celui du rythme d extractin qui devra être assuré. Sédimentatin Extractin 15 ans Extractin 26 ans Maintien extractin en m 3 par an en m 3 par an en m 3 par an en m 3 par an Mdèle / Mesures Bathym. / Cntrat de baie / Vasières 0,20 m Vasières 0,30 m Vasières 0,40 m Vasières 0,50 m Vasières 1 cm / an Vasières 2 cm / an Fig.7 6

9 En cnséquence, le prblème psé devient différent de la seule questin d extractin d un vlume identifié. En raisn de l incertitude des valeurs de référence, de nuvelles études devraient établir des dnnées actualisées pur définir un plan pertinent de gestin. Un délai serait alrs à nuveau nécessaire pur préciser ces dnnées dnt n ne peut encre garantir qu elles seraient exactes. Afin d éviter ce délai pénalisant, nus prpsns dnc de mener en parallèle des actins significatives d extractin pératinnelle (cnstituant une partie de la future gestin) avec un suivi et un accmpagnement scientifique permettant de paramétrer de nuvelles cnnaissances expérimentalement établies et de guider les pératins. Cette apprche de terrain devrait prpser des critères plus adaptés de calage et cnduite des mdélisatins Dnnées : Mécanismes de sédimentatin : Les différents rapprts publiés distribuent l estuaire en tris znes, ntamment en fnctin de la salinité (Fig.8). Nus déterminerns quatre znes (Fig.9) en séparant la zne 1 en deux znes 1A et 1B, la zne 1B se caractérisant par une vitesse réduite des curants. 1A La turbidité du glfe de Saint-Mal se traduit par des valeurs faibles de matières en suspensin. Les différentes études de mdélisatin (Bib. 3, 4) nt pris cmme référence une valeur myenne de 15 mg.l B A partir des vlumes d eau estimés dans l estuaire, n peut déterminer les quantités de matières en suspensin qui vnt alimenter la sédimentatin ainsi que le rendement de cette sédimentatin par rapprt aux valeurs de sédiments dépsés exprimées par les différentes estimatins ( 1.1.1) Le tableau Fig.10 indique les vlumes estimés. Pur une capacité ttale de 183 millins de m 3, le vlume utilisé est de l rdre de 155millins de m 3 (niveaux hauts limités à 12m). Le vlume fnctinnel myen est de l rdre de 90 millins de m 3, en tenant cmpte du vlume résiduel niveau bas. Les 90 millins de m 3 transitant dans l estuaire à chaque cycle apprtent dnc une charge ptentielle de tnnes par an (705 cycles à 15 mg.l -1 ). Fig.8 Henri Th Fig.9 Henri Th En tenant cmpte du taux de tassement indiqué dans les rapprts (Bib.3) de 0,480, les vlumes estimés dnnent les rendements suivants de sédimentatin annuelle : Mdèle ( m 3 / tnnes / an) : 7,5 % Mesures bathymétriques : 4,3 % ( m 3 / tnnes / an) Cntrat de baie : 1,8 % Fig.10 ( m 3 / tnnes / an) 15 mg. l -1 Z 1 A Z 1 B Z 2 Z 3 N 3 N 2 N 1 Cmme les mesures snt exprimées en masse, la présence de grsses particules influence beaucup plus ces rendements que les particules fines. Même en cnsidérant que la valeur de turbidité de 15 mg.l -1 prise en référence par les études est maximaliste, le rendement de sédimentatin des particules fines est prbablement beaucup plus faible que les chiffres ci-dessus. Les écarts de turbidité bservés (masse), durant certaines pérides au niveau du barrage nt dnc peu d influence sur le taux glbal de sédimentatin et mins encre sur celui des particules fines. VALEURS APPROCHEES A VALIDER Surface ttale (DPM) (ha) Capacité ttale (N 3 ) (Mm3) Capacité myenne utilisée (N 2 ) Capacité fnctinnelle (N 2 - N 1 ) Capacité résiduelle (N 1 ) Z 1A Z 1B Z Z Z ,02 N Henri Thébault / Cmmissin Estuaire Rance / Février F 2012 S 7

10 De même, la réductin des vlumes d eau entrants par rapprt à ceux de la situatin d avant barrage (- 15%) ne peut avir d effets significatifs sur le rendement de sédimentatin et ntamment des particules fines. De fait, l eau d entrée dans l estuaire se cmprte essentiellement cmme un stck permanent et entretenu de matières en suspensin, cycle après cycle, qui va alimenter les véritables mécanismes de sédimentatin finale. On peut avancer tris mécanismes principaux : 1 er mécanisme : Cas des vasières anciennes, mécanisme direct Avant l implantatin du barrage, les anciennes vasières des anses et de l amnt recevaient un apprt sédimentaire lié aux faibles vitesses lcales de l eau. Cependant, le faible temps de séjur ne permettait pas aux particules les plus fines de sédimenter. La phtgraphie Fig.11*, prise en 1957 aux Bas Champs, démntre la présence de sable fin à grssier. *Nte : dans le cadre de la rédactin du présent rapprt, il a été envisagé de réaliser une prise de vue identique et cmparative. Pur des raisns de sécurité liées à l envasement de la zne, cela n a pas été pssible. A remarquer sur cette image les pentes abruptes des rives dues à la faible chésin des sédiments et à la vitesse d érsin de l épque. Depuis, les rives nt été aducies par les nuveaux dépôts dnt la structure fine présente une rigidité plus frte. Pur la plupart de ces znes, les vitesses d eau réduites se cmbinent avec un temps de séjur frtement augmenté. Dans ces cnditins, les particules plus fines se dépsent, à partir des matières en suspensin apprtées lrs de chaque cycle et snt peu réduites par érsin. Des amplificatins peuvent cntribuer à l accélératin de la sédimentatin fine cmme par exemple le clapt qui peut aggraver la turbidité lcale par remise en suspensin de particules récemment dépsées. En fnctin de la situatin gégraphique de la vasière, d autres amplificatins peuvent être crées à partir du secnd mécanisme décrit ci-dessus. Ce premier mécanisme crrespnd au prcessus général de sédimentatin que l n retruve dans les estuaires. On lui attribue parfis le terme de sédimentatin naturelle. En cnclusin, l artificialisatin de l estuaire a établi de nuvelles cnditins hydrdynamiques qui nt amplifié le dépôt des particules fines. Fig.11 Des études particulières nt mntré ntamment l accrissement du rythme de sédimentatin de 0,5 cm/an à 2,7 cm/an (sur la zne de Lyvet) à partir de la péride de mise en service de l usine marémtrice (Bib. 6 & 7) démntrant ainsi un taux de l rdre de 80% imputable à l artificialisatin de l estuaire sur cette zne. Secnd mécanisme : Znes relais, mécanisme indirect Cnsidérns une zne de vitesse faible de l estuaire suffisamment élignée des curants de la zne aval prche du barrage (zne 2, zne 1B). Le stck permanent de matières en suspensin entretenu par l apprt des vlumes fnctinnels d eau (Fig.10) alimente par sédimentatin partielle la capacité résiduelle d eau (niveaux bas). Ce dernier vlume se cmprte dnc cmme une bucle d enrichissement de matières en suspensin (zne relais). On peut décrire ce prcessus en décmpsant les phases suivantes : Durant la péride de niveau bas, la sédimentatin (A) s effectue à l intérieur du vlume résiduel, de la surface vers le fnd (vitesse de curant faible à nulle). Il se cnstitue un gradient de cncentratin. Au mment de l arrivée du flt, et durant le mntant, deux mécanismes prbablement assciés peuvent être avancés : 8

11 Sédimentatin partielle (B) depuis le vlume fnctinnel vers le vlume résiduel ; l imprtance du transfert dépendant prbablement des vitesses respectives entre les deux masses d eau et de la frme et de l imprtance des turbulences. Il peut exister un effet pistn (C), général u différencié, et une entrée saline assciée, alimentant la masse résiduelle ; dans ce mécanisme, les différences de salinité peuvent intervenir (ce pint est à explrer en particulier pur la zne 2, des études précédentes (Bib.6 & 7) ayant mis en évidence des gradients de salinité variables entre niveau haut et niveau bas et la présence simultanée de gradient de cncentratin en matière en suspensin et de gradient de salinité). HYPOTHESE DE PROGRESSION DE LA DYNAMIQUE SEDIMENTAIRE STOCK PERMANENT SEDIMENTATION PARTIELLE VOLUME FONCTIONNEL SORTIE ENTREE VOLUME RESIDUEL ENTREE PISTON C A B TRANFERT VERS AUTRE ZONE Fig.12 ENTREE SALINE SEDIMENTATION ENRICHISSEMENT STOCK MOBILE (ZONE RELAIS) ZONES RELAIS PREPONDERANTES DANS L ESTUAIRE : ZONE 2 & ZONE 1 B AMONT SENS DE TRANSFERT ET INTENSITE SUIVANT CONDITIONS LOCALES Henri Thébault / Cmmissin Estuaire Rance / Février 2012 En plus de l apprt de matières en suspensin nuvelles apprtées par le vlume fnctinnel, les cncentratins plus imprtantes du vlume résiduel vnt amplifier la turbidité vers la zne amnt durant tut le flt (peut se définir cmme un «mascaret de turbidité»(bib.15)). Durant la péride de niveau haut (vitesse faible u nulle), le transfert général du vlume fnctinnel vers le vlume résiduel se pursuit (vitesse de chute prépndérante). La sédimentatin s accélère dans les znes amnt en fnctin de l apprt amplifié de matières en suspensin. La sédimentatin s amplifie également dans l ensemble de la zne de vlume résiduel. Lrs du jusant, le vlume résiduel va recevir des matières en suspensin : Prvenant de la zne amnt A partir du stck du vlume fnctinnel, cmme lrs du flt. Lrs du jusant, le vlume résiduel peut transférer des matières en suspensin vers les znes aval. Les différents mécanismes snt influencés par les cnditins hydrdynamiques générales et lcales. Le diagramme de Hjulström (Fig.13) nus rappelle qu aux tailles de particules qui nus intéressent, une partie des particules reste en suspensin du fait des faibles vitesses. La zne de vlume résiduel cnstitue alrs un stck mbile à cncentratin élevée qui peut se déplacer vers une autre zne. Ce stck mbile présente un gradient de cncentratin de la surface vers le fnd : DIAGRAMME DE HJULSTRÖM Matières en suspensin en cncentratin crissante vers le fnd. Cuches mbiles de cncentratin imprtante avec mécanismes d agglmératin. Cuches en curs de fixatin à plus ARGILES LIMONS SABLES SABLES GRAVIERS CAILLOUX faible mbilité. FINS GROSSIERS Cuches sédimentées fraîches sensibles à l érsin aux vitesses de curant dans la zne. VASES Cuches sédimentées fixées insensibles aux vitesses des curants dans la zne. Fig.13 Henri Thébault / Cmmissin Estuaire Rance / Février

12 Ce gradient bien établi en fin de jusant peut être frtement perturbé au mntant. Dans quelles prprtins? Quels snt les prfils dynamiques lngitudinaux et transversaux de ces mdificatins éventuelles? Quels changements dans la mrphlgie des particules en suspensin? En plus du déplacement de matières en suspensin vers les autres znes, le stck mbile participe aux transferts suivants : Enrichissement et/u transfert à l intérieur même de la zne avec mdificatin des fnds par déplacement et redistributin des sédiments. Accrétin particulière des aplats vaseux de la zne, ntamment de la rive drite, par déplacement lié aux cnditins de clapts. Deux znes relais imprtantes crrespndent à ce mécanisme sédimentaire : la zne (2), cnstituant le réservir d alimentatin de la zne (3), et la zne (1B). La zne (2) est cnsidérée priritaire dans la présente prpsitin. En raisn des mdificatins mrphlgiques liées aux gradients de cncentratin (agrégats, agglmérats, flcs), les matières en suspensin vnt présenter des critères de mbilité/dépôt mdifiant leur cmprtement en référence au diagramme de Hjuström. Le diamètre dynamique des particules ainsi cnsidérées peut devenir une dnnée essentielle dans le déplacement des particules (facteur de frme). On peut également, par exemple, pser la questin de la désagrégatin des agglmérats et flcs en fnctin de la vitesse des curants et, éventuellement, de leur recmbinaisn. Tutes ces remarques impsent de vérifier l ensemble des paramètres pur en extraire ceux cnsidérés imprtants à prendre en cmpte, ntamment dans l apprche d une mdélisatin pertinente (vir nte Bib.22). 3 ème mécanisme : Ersin et redépôt En fnctin de la rigidité des sédiments dépsés et des variatins de vitesse, certaines znes peuvent subir une érsin suivie d un transprt avec redépôt lrsque les cnditins de vitesse de curant permettent à nuveau la sédimentatin. Ce mécanisme est particulièrement bservé lrs des chasses à Lyvet (vitesses d érsin de 1 à 1,50 m.s -1 ) et redépôt à l arrivée en zne (2) avec des vitesses chutant immédiatement à mins de 0,30 m.s -1. Ce 3 ème mécanisme, qui peut être bservé dans d autres estuaires et baies, est une cnséquence des deux premiers, des dépôts devant exister avant qu ils ne sient expsés aux cnditins d érsin. Prcessus cmplexe : Au niveau de l estuaire, l ensemble du prcessus de sédimentatin apparaît cmplexe avec des impacts aléatires généralisés u lcaux, dépendants ntamment des interactins entre les différents facteurs. Il est dnc difficile de décrire de manière glbale, la dynamique d évlutin sédimentaire applicable à l ensemble de l estuaire. De même, la mdélisatin apparaît délicate du fait de l incertitude affectant certains critères de référence. Cependant, l évlutin de la cnnaissance des paramètres à prendre en cmpte dans la mdélisatin de la sédimentatin (Bib.8 & 9) apprte des éléments intéressants qui divent encre évluer, ntamment dans l applicatin aux particules fines. Les valeurs, u bien de faibles variatins de certains critères, peuvent influencer ntablement la sédimentatin finale illustrant un prcessus dnt les paramètres de détails divent être analysés et hiérarchisés, ntamment pur alimenter les mdélisatins. Prcessus particulier à l estuaire : Il est suvent bservé deux affirmatins : La sédimentatin est un prcessus naturel. L estuaire de la Rance s envase cmme les autres estuaires bretns. Ces affirmatins divent être replacées dans un cntexte plus ratinnel : La sédimentatin de matières en suspensin dans un liquide dnné est un phénmène physique qui répnd à des mécanismes précisés par des apprches thériques et des validatins expérimentales. La nature, la taille et la mrphlgie des particules en suspensin, leur cncentratin lcale, ainsi que les caractéristiques physicchimiques du liquide, en snt des paramètres significatifs. Si le liquide est lui-même en muvement, des cmpsantes transversales viennent perturber la chute nrmale des particules. S agissant du milieu eau d un estuaire, dans un cntexte naturel libre, n peut affirmer qu il s agit d un prcessus naturel (premier mécanisme dans le cas général, trisième mécanisme dans des cntextes particuliers). S agissant de l estuaire de la Rance, frtement mdifié, le prcessus n est plus ttalement naturel puisque les muvements d eau snt artificialisés induisant une variabilité imprtante des paramètres par rapprt aux cnditins naturelles. En particulier, la durée des étales impsés par le fnctinnement de l usine marémtrice amplifie la sédimentatin. Cmme l nt démntré différentes études, sur le plan qualitatif, les nuvelles cnditins hydrdynamiques nt cntribué à un affinement des sédiments de l aval vers l amnt, et du chenal vers les berges. 10

13 Le secnd mécanisme décrit une sédimentatin particulière liée à l existence d un vlume résiduel et aux échanges entre le vlume fnctinnel et ce vlume résiduel. L enrichissement du vlume résiduel favrise ntamment le transfert vers les znes amnt cmme bservé entre la zne 2 et la zne 3.Ce mécanisme est très prbablement le plus imprtant en terme de rendement de sédimentatin. La présence de ce vlume résiduel cnstitue une particularité liée au fnctinnement artificialisé de l estuaire (niveau bas impsé par l usine marémtrice). Il n est dnc pas pertinent de cmparer brutalement l estuaire de la Rance avec les autres estuaires bretns. La gestin des sédiments devrait dnc y être apprchée de manière spécifique Expérience du piège de Lyvet : Le piège de Lyvet a démntré sn efficacité de capture de sédiments et d impact sur les vasières des znes 3 et 2 (Bib10, 11, 12, 13, 14 & 22). Nus retiendrns en particulier les éléments suivants : L efficacité maximale de capture se situe au curs des premiers 18 mis de fnctinnement, crrespndant à une épaisseur finale de sédiments de l rdre de 1,50 m. Au-delà de cette péride, le rendement du piège tend vers une limite du fait de la réductin prgressive de la hauteur d eau. Les distributins granulmétriques, exprimées en pids, cnfirment la texture fine des sédiments dépsés. Les différents échantillns analysés peuvent intégrer les effets de fluctuatins hydrdynamiques liées à la cnfiguratin du piège (circulaire avec îlt central), au gradient vertical résultant du remplissage prgressif, aux variatins de marnage, à des causes annexes (brèche vers le chenal principal, érsin des berges du piège, chenaux de drainage de la vasière). Les teneurs en carbnates snt assciées à la granulmétrie des dépôts. Pur les échantillns les plus fins (diamètre médian # 10 µm), la teneur en carbnates est de l rdre de 20 % alrs que pur des dépôts plus grssiers (diamètre médian # 25 µm), n atteint 30 %. La teneur en matières rganique est hmgène et de l rdre de 15 %. Le tassement des sédiments est évidemment fnctin de l épaisseur des dépôts, crrespndant à des masses vlumiques apparentes variant de 6OO kg.m -3 à plus de 800 kg.m -3 de la surface vers le fnd. Pur la zne d efficacité maximale citée plus haut, n purra retenir a priri une valeur de 650 kg.m -3. Le suivi des vasières en aval du piège démntre l influence du piégeage ntamment par la reprise de l accrétin des vasières amnt dès que le piège atteint ses limites d efficacité. Les autres vasières situées plus en aval présentent des résultats cntrastés avec des phases d érsin, cmpactin et accrétin. Des hypthèses prenant en cmpte des variatins saisnnières snt avancées. Les mécanismes d enrichissement des znes relais indiqués au juent sans dute un rôle qui devra être analysé. Dans ce cadre, des systèmes de mesure cmplémentaires devrnt prbablement être implantés. Cmme pur les estimatins au niveau de l estuaire, la mdélisatin réalisée pur déterminer la perfrmance du piège dnne des résultats différents de la réalité (Fig.14). Les fluctuatins hydrdynamiques indiquées ci-dessus expliquent sans dute une partie de ces écarts. Fig.14 11

14 Explitatin du piège de Lyvet / Valrisatin des sédiments : A la suite d un premier piège expérimental, le grand piège de Lyvet a été réalisé par extractin, effectuée par aspirdragage pendant 6 mis (ct.2000/ mars 2001). Depuis, le piège s est rempli pur atteindre sa capacité maximale en 3 ans, sit début La valrisatin agricle des sédiments (Bib.15) reste actuellement la vie la plus apprpriée d utilisatin, même si cette utilisatin ancienne et presqu ubliée suscite des interrgatins (Bib.16). Cette slutin a été cnfirmée lrs des travaux de la Cmmissin Estuaire, en estimant de plus un éventail plus étendu d utilisatins dans cette filière. Sur ce dernier pint, le rapprt de L ENGREF (Bib.15) prpsait des slutins alternatives cmme les nésls, l assciatin du cmpstage, les cultures maraîchères, l aménagement u la revalrisatin de sites et friches, les terrassements paysagers. Le prcessus de traitement des sédiments retenu par EDF & COEUR cmprend : Extractin par aspir-dragage avec dilutin (1 vlume de sédiments + 4 vlumes d eau).débit de 600 m 3 / h. Le chix de cette technique répnd aux préccupatins cmplémentaires d efficacité et de réductin des effets nuisibles pur l envirnnement. Transprt par canalisatin vers une zne de stckage éligné du périmètre du site classé (impsé par l administratin). Canalisatin de Ø 300 mm mise en place temprairement durant l explitatin du piège. Stckage par lagunage de lngue durée pur éliminer l eau. Mise à dispsitin auprès d explitants agricles vlntaires. La dispnibilité fncière permettant de truver les surfaces nécessaires au lagunage semble le prblème le plus imprtant à résudre, ayant ntamment interdit le curage du piège depuis 8 années. Les effrts de COEUR Emeraude et d EDF pur btenir un terrain dispnible à prximité de la partie amnt de l estuaire nt permis une récente acquisitin. L efficience de l ensemble du prcessus utilisé est limitée pur les raisns suivantes : Attendre le remplissage cmplet du piège en réduit ntablement le rendement. Le prcessus péridique de piégeage et d extractin est inchérent avec le prcessus permanent de sédimentatin. Les différentes phases (piégeage, extractin, recherche de fncier, lagunage, recherche et accrd utilisateurs, prcédures administratives diverses) snt prises en série avec des temps d attente. La fréquence très faible des pératins cnduit à les cnsidérer en fait cmme des pératins pnctuelles exceptinnelles avec tutes les cntraintes assciées. Des quantités imprtantes snt à traiter lrs de chaque phase (curage, lagunage, utilisatin) en ppsitin avec une apprche plus lissée chérente avec la permanence de sédimentatin et les fréquences d utilisatin Cntexte général : Le plan de gestin des sédiments s inscrit dans un cntexte plus général dnt il cnvient de mesurer les interactins et les cntraintes pur abutir à des rientatins partagées guidant le plan de gestin. Le plan prpsé s inscrit dans la prpsitin initiale de la Cmmissin Estuaire de viser un duble bjectif à l hrizn 2041 (nuvelle cnventin de cncessin ETAT / Explitant de l usine marémtrice) : Assurer le meilleur cmprmis entre l explitatin de l usine marémtrice et la prtectin de l envirnnement, Avir établi les bases d un dévelppement durable du territire de l estuaire. La mise en œuvre du plan de gestin est prévue à partir de 2015 afin d en assurer la préparatin, ntamment sur le plan des études préalables (Effrt d ingénierie ( & cf. 2.4) ; accmpagnement scientifique ( & cf. 2.5/2.6)). Ce délai dit permettre également de préciser les rientatins partagées entre les différentes démarches et actins en curs : Natura 2000 : DOCOB Rance maritime Mise à jur du SAGE Rance-Frémur-Baie de Beaussais Prjet de Parc Naturel Réginal Prjet de Parc Natinal marin Nrmand-Bretn Plan d actin COEUR-Emeraude Piège de Lyvet / Site de lagunage Actins GIZC Cncernant le DOCOB Natura 2000 Rance maritime, la réunin du 11 janvier 2012 en Sus-Préfecture de Saint-Mal (Bib.17) a prévu de cadrer dans le DOCOB la gestin des sédiments, et de lancer la réflexin sur la définitin d un plan de gestin. 12

15 Les échanges de currier entre la DREAL et la Cmmissin Estuaire (Bib.18 & 19) nt psé cmme nécessaire d amélirer la cnnaissance pur établir le diagnstic pertinent des milieux naturels et préciser leur dynamique d évlutin ainsi que la dynamique sédimentaire. Le schéma de la Fig.2 est dnc cmplété cmme indiqué Fig.15. Les études préalables divent tenir cmpte des autres démarches et y apprter éventuellement de nuvelles cnnaissances et des éléments de réflexin. A partir de 2015, de nuvelles rientatins cmmunes peuvent être cnfirmées avec, ntamment les éléments de mise à jur du DOCOB Natura 2000 Rance maritime dnt l actualisatin est prévue vers Durant tute la phase pératinnelle du plan de gestin des sédiments, un suivi permanent et des validatins frmelles (prpsées tus les 5 ans) sernt assurés pur rérienter si nécessaire le plan de gestin et en assurer la chérence avec les autres démarches. Le prcessus cmplexe de sédimentatin s inscrit dnc dans un cntexte général également cmplexe. Cela induit une difficulté de maîtrise qui impse une prudence adaptée à l évlutin recherchée des cnnaissances et au paramétrage des dynamiques d évlutin. NOUVELLE EXPLOITATION INSTRUCTION NOUVELLE CONVENTION PIEGE LYVET & SITE LAGUNAGE ETUDES PREALABLES 2018 SUIVIS & VALIDATIONS DEVELOPPEMENT DURABLE COORDINATION & ORIENTATIONS PARTAGEES (NATURA 2000-SAGE-GESTION SEDIMENTS-PNR-PNM-GIZC) 26 ans Henri Thébault / Cmmissin Estuaire Rance / janvier 2012 Fig.15 Sur un plan plus large, la cmbinaisn de la maîtrise de la sédimentatin et des muvements d eau plus adaptés snt des éléments indispensables à la réhabilitatin du caractère maritime de l estuaire et à la mise en place d un véritable dévelppement durable. Les tris cmpsantes du dévelppement durable snt cncernées : Sur le plan envirnnemental : améliratin du paysage, évlutin favrable et vlntaire des habitats cmmunautaires, réhabilitatin de fnctins estuariennes perdues, rétablissement du haut schrre, retur vers une plus grande variété des habitats intertidaux,. Dans le dmaine écnmique : cntinuité assurée de l explitatin de l usine marémtrice, attractivité résidentielle du territire, dévelppement du turisme et des lisirs, pêche prfessinnelle et de lisir, activités de décuverte et frmatin envirnnementales,.. Sur le plan sciétal : renfrcement du lien à la mer et recnquête durable de l identité maritime, demande frte de la ppulatin de retruver le caractère maritime de l estuaire, partage des usages,. Prenant en cmpte l ensemble des démarches, la recherche d rientatins partagées et des actins en déculant purraient ntamment s inspirer des travaux de J.P.Ducrty (Bib.20), ntamment au niveau de la stratégie générale d aménagement, pur abutir à une restauratin de l estuaire acceptée par tus les acteurs. L affirmatin que «l estuaire de la Rance s envase cmme les autres estuaires bretns» peut entraîner une réactin prudente des acteurs décisinnels vis-à-vis de l extraplatin éventuelle des pératins de gestin des sédiments à d autres estuaires. Les prcessus de sédimentatin du milieu mdifié de l estuaire de la Rance et le plan de gestin à y adapter impliquent que le cas très particulier de la Rance dit être traité en tant que tel sans le généraliser aux autres estuaires (cf ). Tutefis, les apprches et techniques utilisées pur le traitement et la valrisatin des sédiments dévelppées pur la Rance purraient être applicables à des pératins sur les autres estuaires. 13

16 Enfin, un pint plus particulier mais de plus en plus préccupant cncerne la sécurité des persnnes : les incidents se multiplient ntamment dans les secteurs de cncentratin de vases «mlles» des znes (2) et (1B). Parmi les incidents graves, n peut citer celui relatif à l aplat vaseux de Mrdreuc (Bib.21) pur lequel l issue fatale pur la victime a été essentiellement évitée par un pur hasard et grâce à l ingénisité de riverains Enjeux Le plan de gestin prpsé s inscrit dans la démarche glbale définie par la Cmmissin Estuaire. Il cnsidère de prendre en cmpte les enjeux ci-dessus : Dévelppement durable : La gestin des sédiments est l un des facteurs majeurs cntribuant au Dévelppement Durable du territire de l estuaire, car il impacte chacune des cmpsantes Envirnnementale, Ecnmique et Sciétale. Dans ce dmaine les enjeux snt les suivants : Traductin explicite de la ntin de Dévelppement Durable appliqué au territire de l estuaire et fixant les rientatins partagées et spécifiques relatives aux différents prgrammes et démarches relatives au territire (Natura 2000, SAGE, gestin des sédiments, PNR, PNM,.). Recnnaissance de la déviatin fndamentale résultant de la pursuite de l applicatin de la Cnventin de Cncessin entre l ETAT et EDF, ignrant les cmpsantes Envirnnementale et Sciétale du Dévelppement Durable. Etablissement du niveau de cmprmis acceptable entre l explitatin de l usine marémtrice et les exigences du Dévelppement Durable, ntamment celles des cmpsantes Envirnnementales et Sciétales. Précisin de ces cmpsantes dans le prjet de PNR et prise en cmpte dans la rédactin de la future Cnventin de Cncessin entre l ETAT et l explitant de l usine marémtrice. Maintien et dévelppement des éléments écnmiques : Turisme et lisirs, pêche prfessinnelle, prductin d énergie, habitat et services à la ppulatin, cmpsantes écnmiques du prjet de PNR, Gestin des sédiments : S agissant des sédiments, les enjeux particuliers snt les suivants : Répnse psitive et réaliste à l attente des ppulatins riveraines et des visiteurs. Réductin des sédiments excédentaires et maîtrise de la sédimentatin par une gestin sus cntrôle utilisant des myens d extractin et de suivis adaptés à la permanence des apprts. Cmpréhensin de la dynamique sédimentaire et des dynamiques naturelles assciées. Améliratin des cnnaissances scientifiques. Réhabilitatin et améliratin des fnctinnalités naturelles de l estuaire. Cntributin intégrée au maintien et au dévelppement des habitats d intérêt cmmunautaire. Assurance de la navigatin. Valrisatin diversifiée des sédiments extraits Chérence des démarches et prgrammes : Le plan de gestin des sédiments dit s inscrire dans les démarches et prgrammes en curs : Natura 2000, SAGE, PNR, PNM, GIZC. Des enjeux spécifiques snt à prendre en cmpte : Cadrage du plan de gestin des sédiments dans le DOCOB Natura 2000 facilitant la mise en place pératinnelle du plan et définissant les étapes de suivis et validatin. Frmalisatin dans les mises à jur du DOCOB des éléments retenus à partir des résultats du plan de gestin et de l évlutin des cnnaissances. Orientatins partagées entre le DOCOB et le SAGE Rance-Frémur-Baie de Beaussais définissant des bjectifs spécifiques à traiter dans le cadre du plan de gestin. Analyse et chix cncertés des éléments valrisants pur cntribuer psitivement à la mise en place et au dévelppement du PNR, du PNM et de la GIZC. 14

17 DEUXIEME PARTIE : PLAN DE GESTION PROPOSE Principe de gestin des sédiments Les études et dnnées analysées dans la première partie du présent rapprt nt cnfirmé la psitin de la DREAL sur le besin d amélirer la cnnaissance de la dynamique sédimentaire de l estuaire. On ntera en particulier les pints suivants : Quantités de matières en suspensin, Distributins granulmétriques, Curantlgie fine, Prcessus de transprt & sédimentatin, Cmprtement spécifique des particules fines en suspensin, Analyse du prcessus cmplexe, Paramètres des dépôts,.. Les mdélisatins réalisées nt permis d apprter des éléments intéressants mais les estimatins chiffrées de sédimentatin restent très élignées des autres appréciatins ( 1.1.1, Fig.3). Il serait dnc nécessaire de cmpléter les cnnaissances relatives à la dynamique sédimentaire, en les assciant par ailleurs à l évlutin des cnnaissances de la dynamique des milieux naturels (répnse à Natura 2000), qui demande un effrt cmparable. Cependant, cmpte tenu de la prgressin permanente de la sédimentatin, il ne semble pas pprtun de lancer de nuvelles études préalables si celles-ci retardent les pératins de désenvasement et, ne garantissent pas des résultats avec un niveau d incertitude acceptable. Le plan de gestin prpsé dit dnc être lancé avec prudence. Il repse sur la réalisatin d actins cncrètes d extractin et de gestin, accmpagnées d un supprt scientifique et technique afin de suivre et valider les résultats. Cet accmpagnement scientifique et technique permet de faire évluer les cnnaissances à partir d un suivi des actins cncrètes vérifiées sur le terrain. Dans certains cas, des études plus fndamentales snt assciées. Le principe de gestin s appuie sur les éléments suivants : Applicatin initiale limitée Tris prcessus d interventin Effrt d ingénierie Accmpagnement scientifique Mdélisatin Applicatin initiale limitée Cmme démntré au 1.1.1, il est délicat de chisir une valeur de référence parmi les estimatins réalisées afin de déterminer un plan d extractin et gestin des sédiments. Cependant, des chix et résultats indiscutables snt à retenir : Recnnaissance de la cmplexité de la dynamique sédimentaire Efficacité du piège de Lyvet Méthdlgie et suivi du niveau des vasières Distributin granulmétrique des sédiments fins (piège de Lyvet) Paramètres hydrdynamiques Technique d extractin par aspir-dragage et transfert sus pressin Expérience du lagunage Valrisatin agricle des sédiments Prgressin des apprches de mdélisatin Par rapprt aux différentes curbes des Fig.3 & 4, le plan fait référence à une valeur arbitraire définie cmme la myenne du faisceau inférieur (valeurs de 2,2 à 6,4 millins de m 3 à l hrizn 2041), sit 4,2 millins de m 3 crrespndant à un accrissement sédimentaire de m 3 par an. Cette valeur annuelle est identique à celle définie par les mesures bathymétriques (Bib.3) pur les seules znes (2) et (3). 15

18 16

19 La Fig.16 indique la psitin de cette drite de référence par rapprt aux autres estimatins et la Fig. 17 fixe les bases d extractin des sédiments, sit, en cnservant l bjectif de 1 millin de m 3 excédentaires : m 3 / an si phase de crrectin de 15 ans m 3 EVOLUTION LINEAIRE DE LA SEDIMENTATION SUIVANT LES DIFFERENTS VOLUMES EVALUES m 3 / an si crrectin lissée sur 26 ans m 3 / an en permanence après crrectin. Ces valeurs crrespndent à l ensemble des sédiments (tutes granulmétries). Fig.16 Mdèle Mesures bathymétriques triques Cntrat de baie Estimatin vasières 1966 Référence plan de gestin ans Henri Thébault / Cmmissin Estuaire Rance / janvier 2012 Fig.17 L expérience du piège de Lyvet a démntré un taux de remplissage myen de m 3 par an de sédiments fins («vases» < 100 µm Bib.11 & 13) durant la phase de rendement ptimum de piégeage ( m 3 / 20 mis). Ce taux représente dnc envirn 50 % du vlume ttal ( m 3 / an) pris ci-dessus en référence ; il est en ligne avec les bservatins faites lrs des pératins de curage de Mrdreuc. La distributin granulmétrique étudiée traduit bien l affinement des sédiments de l aval vers l amnt, le piège capturant essentiellement des argiles et limns avec une faible prprtin de sables fins (influence imprtante sur le pids). 17

20 On peut affirmer, en accrd avec le mécanisme décrit , que le piège de Lyvet est alimenté par le stck mbile de la Zne (2). Un piégeage dans la zne de Lyvet apparaît dnc pertinent à recnduire pur ntamment réduire la sédimentatin fine des znes (2) et (3). Le prcessus de piégeage dit utiliser les caractéristiques hydrdynamiques naturelles favrisant le transprt des matières en suspensin et, si nécessaire les amplifier. Par ailleurs, le suivi de l impact du piège sur les vasières de l estuaire a mntré l influence directe du piège jusque Prt Saint-Jean, sit les znes 2 & 3 (Bib.12, 14). On peut dnc cnsidérer le rendement du piège de Lyvet cmme base minimale représentative de l accrissement des sédiments fins dans l estuaire, sit m 3 par an. Le graphe Fig.18 fixe alrs les valeurs d extractin de ces sédiments fins: m 3 / an si durée crrective de 15 ans m 3 / an si lissé sur 26 ans m 3 / an ensuite pur cmpenser l accrissement annuel. En cnséquence, si la cadence de cmpensatin de l accrissement annuel crrespnd bien à la perfrmance cnstatée du piège, celui-ci dit permettre d extraire des quantités supérieures durant la péride de crrectin. Ce cmplément de sédiments est pris en cmpte dans les prcessus d interventin décrits ci-après. On ntera dnc un différentiel imprtant entre les cadences d extractin des sédiments ttaux estimés (Fig.17) et celles des sédiments fins. Fig.18 Le plan de gestin peut dnc s appuyer sur une apprche initiale limitée, basée sur un piégeage unique des sédiments fins, incluant les suivis assciés, et permettant d abrder de manière prudente la cmpréhensin de la dynamique sédimentaire. Ainsi, à partir de cette base de départ, le plan prpsé prévit une évlutin cntinue et validée scientifiquement. Les vlumes sernt dnc ajustés en fnctin des suivis Tris prcessus d interventin Le plan de gestin prpsé repse sur tris prcessus d interventin : Piégeage permanent et Centre de stckage / valrisatin asscié. Vasières de gestin sédimentaire et Vasières d équilibre fnctinnel. Hydrdynamique sédimentaire dirigée. 18

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