INVENTAIRE ET ANALYSE DES DONNÉES EXISTANTES EN MATIÈRE DE DEMANDE ALIMENTAIRE EN RBC

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1 INVENTAIRE ET ANALYSE DES DONNÉES EXISTANTES EN MATIÈRE DE DEMANDE ALIMENTAIRE EN RBC MARS 2015

2 INVENTAIRE ET ANALYSE DES DONNÉES EXISTANTES EN MATIÈRE DE DEMANDE ALIMENTAIRE EN RBC SOMMAIRE Dérulé méthdlgique... 4 Analyse et évaluatin des dnnées... 8 Tendances évlutives : prpsitin d indicateurs et d utis de suivi Cnstat par rapprt aux surces d infrmatin et infrmatins manquantes et recmmandatins Références PAGE 2 SUR 41 - RAPPORT DRAFT DEMANDE ALIMENTAIRE EN RBC JUILLET /03/2015

3 CONTENU Dans le cadre du prcessus de l Alliance Empli Envirnnement axe alimentatin durable, il a été mis en évidence le besin de mieux appréhender la situatin du système alimentaire bruxellis dans sn ensemble pur favriser la transitin vers une alimentatin durable. Cela implique de s intéresser aux tris cmpsantes de ce système : La caractérisatin de l ffre alimentaire bruxellise. L identificatin de la demande des particuliers. La définitin de la demande des prfessinnels HReCa et cllectivités. Cette étude prte spécifiquement sur la cmpsante «demande des particuliers». Afin de dévelpper une ffre alimentaire durable qui crrespnde aux attentes du marché (de la demande), il est indispensable de cnnaitre les besins actuels et futurs de celui-ci. OBJECTIF La missin s articule autur de 3 bjectifs : Identificatin de la situatin actuelle ainsi que les freins et leviers vers une alimentatin durable (AD). Cmment rienter l ffre? Quelles perspectives de dévelppement d une ffre AD pur répndre à la demande. Sélectin d un set d indicateurs de suivi. PUBLIC-CIBLE Cette étude est destinée à tus les acteurs de la filière alimentatin durable que ce sient les puvirs publics, prfessinnels, assciatifs, etc. PAGE 3 SUR 41 - RAPPORT DRAFT DEMANDE ALIMENTAIRE EN RBC JUILLET /03/2015

4 DEROULE METHODOLOGIQUE 1. INVENTAIRE DES DONNÉES ET ORGANISATION PAGE 4 SUR 41 - RAPPORT DRAFT DEMANDE ALIMENTAIRE EN RBC JUILLET /03/2015

5 Un premier inventaire des surces de dnnées dispnibles a été réalisé. Sur base de cet inventaire, 4 thématiques clés nt été identifiées ainsi qu une thématique transversale. Les quatre thématiques autur desquelles se structurent les questins de l étude snt les suivantes : 1. Prfil et habitudes alimentaires. 2. Etat de la cnsmmatin et perceptins des prduits dits durables. 3. Satisfactin des ménages par rapprt à l ffre alimentaire. 4. Tendances évlutives. La thématique transversale s attache à l identificatin des freins et des leviers pur transiter vers une alimentatin durable. 2. CADRAGE DE L ETUDE 2.1. Grupe de travail Afin de cadrer les thématiques abrdées autur de questins clés, un grupe de travail (GT) a été mis en place. Les rganismes qui nt participé au grupe de travail snt : La Cellule agri/mrbc L asbl Rencntre des Cntinents (pssibilité de furniture de dnnées qualitatives sur la demande de publics spécifiques) COMEOS (Fédératin du cmmerce et des services surce de dnnées sur la tendance des marchés) FEVIA (Fédératin de l industrie agr-alimentaire surce de dnnées sur la tendance des marchés. En curs de réflexin «chaine alimentaire durable» avec les acteurs du secteur) Brussels Studies Le CRIOC (Centre de Recherche et d Infrmatins des Organisatins de Cnsmmateurs surce de dnnées sur le cmprtement des cnsmmateurs et la cnsmmatin durable) Les rganismes qui nt mntré leur intérêt mais n étaient pas présents dans le cadre de la réunin de travail snt : Bifrum (Surce de dnnées sur la cnsmmatin en prduits bilgiques) RABAD Les rganismes cnseillés par le GT cmme à cntacter snt : Le cnseil supérieur de la santé (lancement d une grande enquête sur l alimentatin Pr Jean Neve) La Fédératin des Maisns Médicales Université libre de Bruxelles Le cmpte rendu cmplet du GT se truve en Annexe Questins clés Suite au travail de grupe, les thématiques identifiées nt pu être structurées autur de différentes questins clés. C est dnc à travers ces questins que celles-ci sernt abrdées/traitées. PAGE 5 SUR 41 - RAPPORT DRAFT DEMANDE ALIMENTAIRE EN RBC JUILLET /03/2015

6 1. Prfil et habitudes alimentaires QUESTIONS Remarques Cmment se répartissent les achats alimentaires? Détailler quels types de prduits/ dégager des pprtunités de dévelppement de nuvelles filières/relier avec le prfil du cnsmmateur/distinguer intentin et acte d achat Quelles snt les myens d apprvisinnement alimentaire des ménages? Quel est le temps myen cnsacré à la préparatin du repas? Cela implique une décisin d achat différente Quels snt les critères de décisin/de chix lrs des achats alimentaires? Les critères de chix dépendent beaucup d un prduit à l autre 2. Etat de la cnsmmatin et perceptins des prduits dits durables QUESTIONS Remarques Définitin de la cnsmmatin durable Fruits et légumes de saisn Équilibre de l assiette : aspect santé Fraicheur et part de prduits transfrmés Mdes de cnsmmatin alternative (circuit curt/gasap/paniers/etc.) Prduits bilgiques Prduits équitables Prduits lcaux Prtéines végétales 3. Satisfactin des ménages par rapprt à l ffre alimentaire durable QUESTIONS Remarques Quelle est la satisfactin au niveau de l accessibilité? Quelle est la satisfactin au niveau de la diversité? Hraire/pints de vente Chix des prduits suffisant?/cnditinnement/niveau de transfrmatin Quelle est la satisfactin au niveau du rapprt qualité/prix? PAGE 6 SUR 41 - RAPPORT DRAFT DEMANDE ALIMENTAIRE EN RBC JUILLET /03/2015

7 4. Tendances évlutives : indicateurs QUESTIONS Remarques Evlutin des achats alimentaires Pertinent d étudier cmment ça a évlué que de chercher à prévir. Evlutin en termes d apprvisinnement C est dans le cadre de l bservatin de ces tendances que les indicateurs de suivi de la durabilité sernt définis. Indicateurs : - cnsmmatin des prduits bilgiques ; - dévelppement des mdes de cnsmmatin alternatifs - cnsmmatin des prduits équitables ; - évlutin de la cnsmmatin de viande ; - évlutin de la cnsmmatin des prtéines végétales ; Etc. 5. Thématique transversale : identificatin des freins et leviers pur passer à une alimentatin durable Il sera intéressant de rattacher les freins et leviers en fnctin des prfils de cnsmmateurs. PAGE 7 SUR 41 - RAPPORT DRAFT DEMANDE ALIMENTAIRE EN RBC JUILLET /03/2015

8 ANALYSE ET EVALUATION DES DONNEES Sur base d un ensemble de surces bibligraphiques et de rencntres en face à face avec les acteurs de l alimentatin sur territire de la RBC, nus avns dressé une synthèse des répnses aux questins présentées au pint précédent. L analyse de ces infrmatins a permis de dégager des infrmatins manquantes pur cmpléter les répnses aux questins mais également des perspectives de dévelppement de l alimentatin durable sur le territire de la RBC. Nus ferns plusieurs fis référence à des catégries d âge. Il est dnc bn de rappeler la cmpsitin de la pyramide des âges à Bruxelles prévue pur 2015 (Observatire du cmmerce 2008): 24% < 20 ans 15% : 20 à 29 ans 15% : 30 à 39 ans 14% : 40 à 49 ans 12% : 50 à 59 ans 20% >= 60 ans 3. PROFIL ET HABITUDES ALIMENTAIRES 3.1. Cmment se répartissent les achats alimentaires? Deux indicateurs quantitatifs snt dispnibles pur évaluer la répartitin des achats alimentaires pur le particulier : il s agit des dépenses des ménages et de l apprvisinnement natinal. Les dnnées quantitatives principales existantes pur évaluer la répartitin des achats alimentaires est l enquête sur le budget des ménages. Il est clair que la part du budget des ménages accrdée à l alimentatin ainsi que la manière dnt nus nus nurrissns nt beaucup évlué au curs du temps : Une diminutin cnstante de la part du budget pur l alimentaire : 22% du budget d un ménage belge en 1979, 15% de ntre budget aujurd hui (CRIOC 2011). Depuis l année 2000, le purcentage des dépenses des ménages accrdés aux prduits alimentaires est stable (enquête budget des ménages, 2012). L'enquête sur le budget des ménages (EBM, HBS en anglais) estime chaque année les dépenses des ménages belges à partir d'un échantilln représentatif au niveau du Ryaume et de ses tris Régins (Bruxelles-capitale, Flandre et Wallnie). L enquête budget des ménages se présente sus la frme d un questinnaire à cmpléter et d un carnet de dépenses dans lequel le ménage enregistre ses dépenses pendant un mis. La taille de l échantilln varie en fnctin des années, en RBC, il varie de 350 à 705 ménages. Nus avns réalisé plusieurs graphiques afin de mettre en évidence l évlutin des dépenses des ménages bruxellis en fnctin des catégries de prduits. Les dnnées prtent de 2000 à En effet à partir de 2010, l enquête est devenue bisannuelle et les catégries de prduits snt mins détaillées en 2012 ne permettant pas le niveau de détail des années 2000 à PAGE 8 SUR 41 - RAPPORT DRAFT DEMANDE ALIMENTAIRE EN RBC JUILLET /03/2015

9 Il est évident que l évlutin du mntant cnsacré à l achat d une catégrie de prduits dit être crrélée avec l évlutin du prix de vente de ces prduits. Néanmins, étant dnné le niveau de détail limité des catégries de prduits, il est apparu hasardeux de justifier un prix myen pur chacune des catégries. Nus avns dnc chisi de présenter l évlutin de la part de leur budget que les ménages cnsentaient à dépenser pur accéder aux différents prduits. Les chiffres de 2012 : 025% 020% 015% 010% 005% 000% Les chiffres de 2012 snt mins détaillés. Ils crrespndent pur chaque catégrie de prduit au cumul des curbes dans les graphiques suivants. L évlutin du purcentage du budget que le ménage utilise pur accéder aux différents prduits 2000 à 2010 : Purcentatge du budget alimenataire annuel 9,000 8,000 7,000 6,000 5,000 4,000 3,000 2,000 1,000,000 Prduits céréaliers Riz et flcns de riz Pâtes alimentaires Pains et petits pains Cuques, pâtisseries, biscuits PAGE 9 SUR 41 - RAPPORT DRAFT DEMANDE ALIMENTAIRE EN RBC JUILLET /03/2015

10 Purcentatge du budget alimenataire annuel 14,000 12,000 10,000 8,000 6,000 4,000 2,000,000 Viande Viande fraîche et surgelée Charcuterie et abats Viandes préparées, jus de viande Purcentatge du budget alimenataire annuel 5,000 4,5000 4,000 3,5000 3,000 2,5000 2,000 1,5000 1,000,5000,000 Pissns et crustacés Pissns, crustacés frais Pissns, crustacés surgelés Pissns, crustacés en cnserves Pissns salés, séchés u fumés Pissns préparés Purcentatge du budget alimenataire annuel 8,000 7,000 6,000 5,000 4,000 3,000 2,000 1,000,000 Prduits laitiers et eufs Lait et prduits laitiers, sauf frmages Frmages Oeufs Beurre PAGE 10 SUR 41 - RAPPORT DRAFT DEMANDE ALIMENTAIRE EN RBC JUILLET /03/2015

11 Purcentatge du budget alimenataire annuel 8,000 7,000 6,000 5,000 4,000 3,000 2,000 1,000, Fruits et légumes Fruits frais et surgelés Légumes frais Légumes surgelés Légumes en cnserves Pmmes de terre Sur base de l apprvisinnement natinal 1 (cnsmmatin apparente), une étude (B. Duquesne 2005) a pu mettre en évidence: une diminutin de la cnsmmatin des pmmes de terre (-15%), du lait (-20%) et du beurre (-50%) entre 1990 et 2004 ; une augmentatin de la cnsmmatin des yghurts et frmages ; une augmentatin de la cnsmmatin de fruits (+25%) et de légumes (+20%) de 1980 à 2004 ; Le bureau fédéral du plan a quant à lui mis à jur l indicateur de la cnsmmatin apparente de viande. 1 La cnsmmatin apparente est calculée à partir des bilans d'apprvisinnement en additinnant la prductin et les imprtatins et en sustrayant les exprtatins. La cnsmmatin apparente par habitant est définie cmme le rapprt entre la cnsmmatin apparente par catégrie de prduit et le nmbre d'habitants. PAGE 11 SUR 41 - RAPPORT DRAFT DEMANDE ALIMENTAIRE EN RBC JUILLET /03/2015

12 Surce Bureau fédéral du plan, La cnsmmatin apparente de viande est passée d'envirn 150 g/jur/habitant en 1955 à 200 g/jur/habitant en 1970 et à 247 g/jur/habitant en Au curs de ces 50 dernières années, ce snt essentiellement les cnsmmatins de viande prcine et de viande de vlaille qui nt augmenté. La cnsmmatin de viande bvine a quant à elle frtement baissé dans les années '70 et '80 et s'est stabilisée depuis autur d'une myenne de 50 g/jur/habitant. la cnsmmatin des plats préparés : augmentatin de 21% des dépenses annuelles des ménages de 1999 à 2004 restauratin hrs dmicile : représente 25% du budget alimentaire et 4,8% du budget ttal, sit une augmentatin de 15% de 1999 à 2004 cnsmmatin de fast-fd : augmentatin de 32% des dépenses en fast-fd entre 1999 et 2004, ce qui représente 8% des dépenses en restauratin frs-dmicile PAGE 12 SUR 41 - RAPPORT DRAFT DEMANDE ALIMENTAIRE EN RBC JUILLET /03/2015

13 Le VLAM a également réalisé une enquête qualitative. En vue d étudier la cnsmmatin myenne jurnalière des Belges, le VLAM a interrgé chaque jur en 2007, 2009 et 2011, 17 Belges différents entre 15 et 65 ans via un questinnaire en ligne sur ce qu ils avaient cnsmmé la veille. Il en ressrt qu en myenne (VLAM 2012) : Le pain est l aliment le plus cnsmmé qutidiennement : 86% des Belges en avaient cnsmmé la veille (la cnsmmatin augmente avec l âge) Légumes : seulement 62% des Belges en avaient cnsmmé la veille Fruits : 35% des Belges interrgés en avaient cnsmmé la veille(les ans snt les plus faibles cnsmmateurs) Viande : 79% des Belges interrgés en avaient cnsmmé la veille (surtut des hmmes âgés de plus de 35 ans) dnt charcuterie : 42% Pissn : 12% des Belges interrgés en avaient cnsmmé la veille (surtut pur la tranche ans et les femmes) Prduits laitiers : 61% des Belges interrgés en avaient cnsmmé la veille 47% avaient mangé des prduits laitiers (frmage, beurre, yghurt), 16% avaient bu du lait et 11% avaient bu d autres bissns laitières au curs d une jurnée Cnsmmatin de lait diminue avec l âge tandis que celle du frmage augmente avec l âge Œufs : 12% des Belges en avaient cnsmmé la veille 71% des ans en cnsmment (plus u mins régulièrement), cntre 80% des ans Prduits bilgiques : 29% Belges interrgés en avaient cnsmmé la veille (cnsmmatin augmente avec l âge) Pmmes de terre : 52% en avaient cnsmmé la veille frites = repas le plus cmmandé à l extérieur Pâtes : 23% des Belges en avaient cnsmmé la veille (cnsmmatin la plus élevée pur les ans) Riz : 10% des Belges en avaient cnsmmé la veille (cnsmmatin la plus élevée pur les ans) La cnsmmatin alimentaire varie seln le prfil du cnsmmateur. (Daniaux, 2008): Les dépenses alimentaires augmentent avec les revenus Ce snt les ménages aux revenus > qui dépensent le plus en alimentaire, quelle que sit la taille de la famille Les dépenses myennes en alimentatin suivent une distributin en frme de clche : c est la catégrie des ans qui dépense le plus en alimentatin. Cela s explique ntamment par des familles de plus grande taille. Les ménages plus jeunes dépensent plus en prduits préparés, surgelés u en cnserve. Les dépenses seln le statut prfessinnel : dépenses plus faibles chez les persnnes nn actives (étudiants, chômeurs, pensinnés ) Les dépenses seln la prfessin : les prfessins intellectuelles, scientifiques et les cadres supérieurs dépensent plus en alimentatin Les ménages bruxellis dépensent glbalement mins que les autres régins Les dépenses en restauratin hrs dmicile des ans et des ans snt cmparables, mais de type différent : les jeunes dépensent plus en fast-fd et les plus âgés plus en repas (B. Duquesne 2005). PAGE 13 SUR 41 - RAPPORT DRAFT DEMANDE ALIMENTAIRE EN RBC JUILLET /03/2015

14 Pints clés de l analyse : Il n y a pas de tendance nette dans l évlutin de la part du budget des ménages cnsacrée aux différentes catégries de prduits excepté pur la viande ù la tendance est à la baisse depuis l année 2000 ; augmentatin glbale des quantités alimentaires cnsmmées par habitant excepté pur les PDT, le lait et le beurre ; Seln l étude du VLAM : les légumes les plus ppulaires = tmate, salade, cartte (VLAM 2012). Cnsmmatin principalement dans les repas chauds Fruits les plus ppulaires = pmme, banane et ananas Cnsmmatin dans le curant de la jurnée au travail/écle u en chemin Viandes les plus ppulaires : bœuf, prc et pulet Charcuteries les plus ppulaires : jambn cuit, salami, jambn cru et américain Pissns et crustacés les plus ppulaires : crevettes, saumn, cabillaud et mules Seln l étude de Daniaux (2008), les ménages qui dépensent le mins en alimentatin, cnsacrent une plus grande part de leur budget en prduits de première nécessité (pain, riz, pâtes, œufs, prduits laitiers) et prduits gras u sucrés (pizza, chips, plats préparés, sucre ). Ils cnsacrent mins de budget en légumes frais et en pissn. Les ménages cnsacrant la plus grande part de leur revenu en alimentatin, dépensent d avantage en prduits de type : crustacés, pissn, viande de qualité, etc. et en prduits bi. Suite à la rencntre avec Atrium, il ressrt que : Il y a une demande pur augmenter la qualité des prduits et des cmmerces à Bruxelles ; Le caractère multi culturel de Bruxelles dit aussi se retruver dans l ffre alimentaire ; Demande des cnsmmateurs en prduits de qualité (bi, artisanaux) et service de qualité, cntact avec le cmmerçant Les demandes snt très différentes seln les quartiers standing différents, cnsmmatins différentes, budgets différents, 3.2. Quels snt les myens d apprvisinnement alimentaire des ménages? Afin de répndre à la questin des myens d apprvisinnement alimentaire des ménages, nus avns utilisé deux surces principales : Nielsen Grcery Universe et l bservatire de la cnsmmatin que nus avns cmplété avec les surces d apprvisinnement dites alternatives (panier, GASAP, etc.). Part de marché en alimentatin curante en RBC par type de surface (Nielsen Cmpany, 2013): F1 : les grandes surfaces (> 1000 m 2 ) cnstituent près de 70% de la part du marché en alimentatin curante à Bruxelles (purcentage supérieur de 18% par rapprt à la myenne belge). Cette part diminue chaque année depuis le smmet en 2001 F2 : les myennes surfaces (entre 400 et 1000 m 2 ) représentent 15,3% de part de marché, part en augmentatin PAGE 14 SUR 41 - RAPPORT DRAFT DEMANDE ALIMENTAIRE EN RBC JUILLET /03/2015

15 les hard discunter : 6,9% de la part de marché et diminutin depuis 2011, après une péride assez stable de 2005 à 2011 F3 : les petites surfaces (< 400 m 2 ) snt en chute cnstante depuis les années 90, avec une améliratin depuis Les petites surfaces cnstituent une plus grande part de marché à Bruxelles que la myenne belge, aux dépens des myennes surfaces et du hard discunt. Tp 3 des magasins de cnsmmatin curante en Belgique (CRIOC 2011): 1) Clruyt est, pur la deuxième année cnsécutive, le supermarché le plus fréquenté en Belgique et l enseigne la plus appréciée par tus les types de cnsmmateurs 2) Delhaize et Aldi 3) Carrefur De 1950 à 2006, diminutin d un tiers du nmbre de cmmerces de prximité à Bruxelles (alimentaire u nn) (Observatire du cmmerce 2008). Mais les chiffres de 2009 présentent un cup de frein à cette diminutin. De 2006 à 2009 : +3,86% de bucheries et charcuteries +5,87% des cmmerces de détails et épiceries +3,04% des bulangeries et pâtisseries +2,54% des superettes et supermarchés Apprvisinnement des fruits et légumes Dans le cadre du barmètre bruxellis (IBGE-BIM, 2012), la questin du lieu d achat des fruits et légumes a été sulevée. Il ressrt sans surprise que 60% des interrgés s apprvisinnent essentiellement au supermarché. Une tranche de 11% des interrgés déclarent utiliser essentiellement les myens d apprvisinnement alternatifs tels que les paniers, GAC/GASAP u achat direct à l explitatin. En 2014 (IBGE-BIM, 2014), les supermarchés snt tujurs les lieux privilégiés avec 73% des interrgés qui y réalisent suvent u presque tujurs leurs achats en fruits et légumes. La part des myens d apprvisinnement alternatifs slidaires reste stable autur de 10 %. Encre une fis, les dnnées snt difficilement cmparables au vu de la différence de questins psées d une année à l autre. PAGE 15 SUR 41 - RAPPORT DRAFT DEMANDE ALIMENTAIRE EN RBC JUILLET /03/2015

16 Questin 25. Où achetez-vus vs fruits et légumes frais? a. Grande distributin 13% 28% 59% c. Marchés 24% 45% 31% b. Epiceries 32% 50% 18% d. Pints de dépôts de paniers bi 82% 13% 5% f. Directement au prducteur 75% 21% 4% e. Grupes d'achats slidaires (GAC, GASAP) 92% 6% 2% g. Internet 96% 3% 1% h. Autre 0% 53% 47% 0% 10% 20% 30% 40% 50% 60% 70% 80% 90% 100% 1.Jamais 2.Occasinnellement 3.Essentiellement Myens d apprvisinnement alternatifs en alimentatin A côté de l apprvisinnement classique en magasin, il y a différentes alternatives pssibles qui existent sur le territire de la RBC. Parmi celles-ci, Atrium relève le succès des marchés hebdmadaires (bis u nn). Ceux-ci cmplètent l ffre des cmmerces. En 2013, n dénmbre 64 marchés hebdmadaires en RBC alrs qu n en recensait seulement 29 dans les années 40. L envie de prduits frais et de cnvivialité, entre autres, pusse, en effet, les ménages à returner vers les maraîchers. PAGE 16 SUR 41 - RAPPORT DRAFT DEMANDE ALIMENTAIRE EN RBC JUILLET /03/2015

17 Cette dynamique psitive évlue vers l uverture de nuveaux marchés dits de sirée u à thème. Ces évènements snt prteurs de chésin sciale dans le quartier et d animatin. L bjectif est également d attirer une clientèle plus jeune qui purra venir bire un verre et déguster des spécialités sur le marché. Cela permet également aux gens qui travaillent durant la jurnée de venir. Nus puvns citer par exemple les initiatives suivantes : Marché de la place des chasseurs ardennais, Schaarbeek (vendredi sir) Marché gurmet du Grand sabln, Bruxelles ville (jeudi sir) Marché place du châtelain, Ixelles (mercredi sir) Marché durable du chant d iseau, Wluwe Saint Pierre (jeudi sir) A côté des marchés hebdmadaires, nus identifins également l apprvisinnement au myen du dispsitif de panier. Ce myen d apprvisinnement peut se décliner en différentes variantes mais le principe de base est de s abnner à un système de panier (cmpsé u à cmpser via internet) que l n vient chercher dans un pint de dépôt. Les initiatives se dévelppent depuis plusieurs années en RBC au travers par exemple : Le réseau GASAP (73 GASAP, territire Sud-Est : Etterbeek, Ixelles, St-Gilles, Schaerbeek, Bruxelles centre) ; L heureux Nuveaux (territire de Bruxelles EST : St-Gilles, Ixelles, Etterbeek, Schaerbeek, St-Jsse, Bruxelles, Uccle (pints relais), Wluwé St-Pierre) ; Sur un territire plus large : La ferme Ns Pilifs Tpin La ruche qui dit ui Bicen Ferme du Mntaval Etc. Pints clés de l analyse : dévelppement des cmmerces de prximité de type épicerie par les grandes enseignes : Carrefur express, City Delhaize, etc. Les cmmerces de petite taille (indépendants u frmat mini des grandes enseignes) ffrent une garantie d un accueil et d un service de qualité et un gain de temps. suprématie des grandes surfaces dans le marché de l alimentatin seln l bservatire du cmmerce, les myens d apprvisinnement des ménages en alimentatin vnt devir s adapter aux facteurs suivants (Observatire du cmmerce 2008): le vieillissement de la ppulatin, grupe cible des senirs: mbilité réduite, alimentatin et prfils de dépenses différents, etc. ; l augmentatin des exigences des cnsmmateurs par rapprt à la qualité des prduits et des cmmerces : principe de qualité ù n se démarque en prpsant des cncepts riginaux ; le besin de prximité ne s applique plus autant aux achats nn qutidiens : si l ffre ne lui cnvient pas, le cnsmmateur est prêt à se déplacer plus lin ; PAGE 17 SUR 41 - RAPPORT DRAFT DEMANDE ALIMENTAIRE EN RBC JUILLET /03/2015

18 le manque de temps, gestin du temps de plus en plus imprtante : les curses alimentaires snt de plus en plus perçues cmme une crvée et une perte de temps. Les petites surfaces snt appréciées dans ce cas-là. Succès des marchés hebdmadaires (Barmètre 2014, Atrium) L analyse par rapprt aux résultats des différentes enquêtes dit être cnsidérée avec précautin car n bserve une frte variatin des demandes et habitudes d alimentatin d un quartier à l autre. En cmparant deux études faites par Atrium en 2010 dans un quartier à St-Jsse et dans un quartier à Bruxelles centre, n peut, en autre, relever que : 10% de plus d achats dans le hard discunter par les habitants de Bruxelles centre ; 28% de plus d achats sur les marchés par les habitants de St-Jsse ; plus d achats en épicerie et magasins de détails spécialisés à St-Jsse ; plus d achats durables (bi, équitables, du terrir) à St-Jsse tandis qu à Bruxelles Centre les achats à prix discunt snt plus fréquents Quel est le temps myen cnsacré au repas et à la préparatin? Une enquête réalisée auprès d un échantilln de 602 belges (Pattesn 2006) mntre que le repas du sir est le repas le mins suvent sauté (pris qutidiennement par 94,8%), tandis que le petit-déjeuner est le repas le plus suvent raté (pris qutidiennement par 65,8% et encre mins pur les ans) (Pattesn 2006). Le repas du midi est pris qutidiennement par 84,4% des gens. 14,9% des gens mangent fréquemment un petit en-cas plus tard dans la sirée. Les repas du matin et du sir snt généralement pris à la maisn (86,5% et 94,5%) (Pattesn 2006). Le repas du midi est pris par 34% des gens à la maisn, 51,6% au bureau u à l écle (24,1% de repas chaud et 27,5% de sandwich u plat préparés) et 14,4% ailleurs. En ce qui cncerne la durée de préparatin du repas principal (=repas du sir dans la plupart des cas) (Pattesn 2006): 42,4% y passent mins d une demi-heure 37,3% y passent de 30 minutes à une heure 20,3% y passent plus d une heure La durée du repas principal : 51,7% des gens mangent en mins d une demi-heure 41% entre 30 minutes et une heure 7,3% plus d une heure Pints clés de l analyse : Le temps cnsacré à la préparatin et la prise des repas est inférieur à 30 min pur la majrité des belges. Cela peut expliquer que les plats préparés nt de plus en plus de succès. Les repas préparés vendus en grande surface (pizzas, lasagnes, bites, plats cmplets surgelés, etc.) snt achetés par plus de 60% des Belges lrs de leurs curses alimentaires. Ces plats snt appréciés pur leur facilité et leur rapidité. Paradxalement, 68,9% des Belges pensent qu ils ne snt pas équilibrés et 83,3% pensent qu ils ne snt pas meilleurs que des plats cuisinés maisn. PAGE 18 SUR 41 - RAPPORT DRAFT DEMANDE ALIMENTAIRE EN RBC JUILLET /03/2015

19 Seln Daniaux (2008), un cnsmmateur à revenu mdeste sur 3 ne cuisine jamais. Ces cnsmmateurs achètent plus suvent des plats préparés que les autres grupes sciaux (pizza, sandwich garnis, salades cmpsées, etc.) Quels snt les critères de décisin/de chix lrs des achats alimentaires? Les surces principales d infrmatins cncernant les critères d achats de cnsmmateurs en termes de prduits alimentaires snt les enquêtes qualitatives du CRIOC. Lrsque l n interrge les belges sur leur premier critère de chix lrs de leurs achats alimentaires en général (CRIOC 2011) : 43% citent le prix Remarque : l imprtance du prix augmente avec la taille de la famille 20% citent la qualité 15% citent la fraîcheur 6% citent le gût 4% citent la marque 3% citent le caractère bi u sans pesticide 1% cite l inf sur l étiquette Différentes enquêtes nt également été menées sur des catégries de prduits en particuliers. Nus avns regrupé sus frme d un tableau, pur cmparaisn, des critères de chix en fnctin des catégries de prduits (cmpilatin des surces CRIOC) : 60% 50% 40% 30% 20% 10% Prix Qualité Fraicheur Gût 0% Viande Pain Prduit alimentaire Juillet 2011 Prduit alimentaire Octbre 2012 On peut mettre en évidence que les critères de chix varient d un prduit à l autre mais que lrsque les cnsmmateurs snt interrgés sur leurs achats généraux en prduits alimentaires c est tujurs le prix qui est le critère de chix le plus imprtant. Il prend encre plus d imprtance en 2012 qu en Pur les fruits et légumes, seln le barmètre de cmprtement de la ppulatin RBC 2 (IBGE-BIM, 2012), mins de 50% des cnsmmateurs snt attentifs à leur prvenance. 2 Enquête réalisée auprès d un échantilln représentatif de 800 persnnes habitant en RBC (249 en face-à-face et 552 par vie téléphnique) PAGE 19 SUR 41 - RAPPORT DRAFT DEMANDE ALIMENTAIRE EN RBC JUILLET /03/2015

20 Q Etes-vus attentif à la prvenance des fruits et légumes que vus achetez? Nb % cit. Jamais ,8% Parfis ,9% Suvent ,9% Tujurs ,5% Ttal ,0% 31,5% 19,8% 21,9% Pur le critère de la saisnnalité, 50% des interrgés fnt tujurs u suvent attentin à celui-ci lrs des curses. Cncernant ces deux questins, il est intéressant de relever que les crisements seln les facteurs : âge, diplôme, statut u encre situatin familiale snt très significatifs et aux mêmes bservatins. A priri, les bruxellis dispsant d un diplôme de l enseignement supérieur et les persnnes âgées (+ 60 ans) snt prprtinnellement plus attentifs à la prvenance et la saisnnalité. Les résultats du barmètre 2014 (IBGE-BIM, 2014), snt difficilement cmparables avec les barmètres précédents car les questins ne snt pas les mêmes ni psées de la même façn. Cncernant les critères d achat des fruits et légumes, les interrgés devaient chisir parmi une liste de critères les tris les plus imprtants pur eux. Les résultats mntrent que les critères : prix (27%), saisnnalité (21%) et aspect (16%) arrivent en tête de liste. L apparitin de nuveaux critères d attentin La demande d infrmatin et de transparence sur les prduits alimentaires via les étiquettes u les vendeurs, cnstitue une nuvelle tendance parmi les cnsmmateurs (Slidaris 2013) 3. Beaucup de cnsmmateurs expriment des difficultés à décrypter les étiquettes, encre plus pur les grupes sciaux inférieurs. Les infrmatins les plus lues sur les étiquettes snt (AFSCA 2013): la date de péremptin (tujurs lue u suvent par 90% des gens) les cnseils de préparatin (tujurs lus u suvent par 70% des gens) les cnseils de cnservatin (tujurs lus u suvent par 64% des gens) la liste des ingrédients (tujurs lue u suvent par 51% des gens) Les cnsmmateurs dutent de plus en plus en la fiabilité des labels et affirmatins des prducteurs. 25% pensent qu ils ne snt pas frcément garantis par l État. Et même le label "Bi" ne parait pas cnstituer une vraie garantie de qualité pur la santé et l envirnnement. (Slidaris 2013). La majrité des persnnes snt sensibles aux messages de santé publique (mangez sainement, etc.) et lrsqu ils achètent des prduits alimentaires, une majrité d entre eux six sur dix a vraiment des exigences, ntamment de savir d ù viennent les prduits et quelles transfrmatins ils nt subis. Etc. 26,9% 3 Enquête réalisée auprès d un échantilln représentatif de 1200 persnnes principales respnsables des achats du ménage PRA âgées de 18 à 70 ans vivant en Cmmunauté française. PAGE 20 SUR 41 - RAPPORT DRAFT DEMANDE ALIMENTAIRE EN RBC JUILLET /03/2015

21 Plus précisément, l enquête Slidaris met en évidence ce à qui les cnsmmateurs snt plus attentifs depuis 2 mis à 2 ans : Pints clés de l analyse : L enquête Slidaris réalisée en 2013, est intéressante et interpelle sur la perceptin de l ffre alimentaire par le cnsmmateur. En effet, malgré le fait que le cnsmmateur cite la qualité du prduit cmme critère de chix lrs de ses achats alimentaire (CRIOC 2011) et une demande de transparence, l enquête suligne que deux persnnes sur tris estiment que "la majrité des prduits alimentaires qu n nus prpse présente un risque imprtant pur ntre santé". Uniquement 9% des cnsmmateurs pensent que les Puvirs publics nus prtègent en garantissant la qualité des prduits alimentaires pur la santé et l envirnnement. Cnfrnté à une ffre perçue cmme paque et dnt il supçnne les effets négatifs sur la santé et l envirnnement, certains tentent de devenir acteurs et de se dnner les myens d agir sur euxmêmes mais près d une persnne sur deux semble ne pas crire qu il est pssible d agir. Les enquêtes sur les critères de chix des cnsmmateurs en termes d alimentatin snt fndées sur du "déclaratif" et il y a suvent une marge entre le déclaratif et les pratiques. L autre limite de ces enquêtes est qu il n y a pas d infrmatin sur les critères de chix par catégrie de prduits alimentaire (hrmis pur le pain et la viande), r ces critères varient énrmément en fnctin des prduits. Glbalement quand n interrge le cnsmmateur sur ses achats en général, il cite le prix cmme critère premier de chix r quand n l interrge sur les critères d achat pur le pain et la viande, le prix n apparait qu en 4 ième et 2 ième psitin. Le critère «qualité» est suvent cité cmme un critère de chix imprtant lrs des achats alimentaires. Or les cnsmmateurs parlent également du gût, de l aspect et de la fraicheur. Que met dès lrs le cnsmmateur derrière le mt qualité? PAGE 21 SUR 41 - RAPPORT DRAFT DEMANDE ALIMENTAIRE EN RBC JUILLET /03/2015

22 On cnstate pur tus les prduits, dans le cadre des enquêtes du CRIOC, que les critères de circuitcurt/lcaux, équitable u respectueux de l envirnnement n apparaissent pas dans les critères de chix principaux cités spntanément par les cnsmmateurs. Ces critères apparaissent lrsqu ils snt prpsés au répndant dans une liste (critères à classer seln l imprtance qu ils représentent dans le chix). Lrsqu il y a prpsitin, le critère frais et de saisn primerait par rapprt aux critères circuit curt et respect de l envirnnement. PAGE 22 SUR 41 - RAPPORT DRAFT DEMANDE ALIMENTAIRE EN RBC JUILLET /03/2015

23 4. ETAT DE LA CONSOMMATION ET PERCEPTIONS DES PRODUITS DITS DURABLES 4.1. Quelle est la perceptin des prduits dits durables? La mntée en puissance des préccupatins éthiques, sciales et éclgiques est une tendance marquante de la dernière décennie dans la sphère de la cnsmmatin, ntamment avec le succès du bi et du cmmerce équitable (Test-Achats 2013). Malheureusement, beaucup de cnsmmateurs sus-estiment encre beaucup leur prpre rôle et pintent du digt les autrités publiques et les entreprises. Il n y a pas d études spécifiques qui se snt penchées sur la perceptin du cncept d alimentatin durable en tant que tel chez les cnsmmateurs. Néanmins, les différents spectres de la durabilité nt été sndés au travers les cncepts suivants : la perceptin du bi ; la perceptin de prduits wallns ; la perceptin due au «circuit curt»; la perceptin des prduits lcaux et de saisn ; la perceptin de la cnsmmatin de viande. Perceptin du bi (CRIOC 2008) : Cncernant la perceptin de l alimentatin bilgique : 77% pensent qu elle est meilleure pur la santé 83% pensent qu elle est plus respectueuse de l envirnnement 67% pensent qu elle a meilleur gût Le label est la marque la plus recnnue par les cnsmmateurs pur identifier les prduits bilgiques. Perceptin de l agriculture wallnne (CRIOC 2008) : Perceptin des prduits issus de l agriculture wallnne : plus de la mitié des cnsmmateurs asscient prduit walln à la qualité (appétissant, parfumé, savureux), un prduit sain et en lien avec le mnde rural mins de 50% des cnsmmateurs asscient prduit walln et caractère artisanal, naturel et beau Plus de 80% des cnsmmateurs pensent que les prduits wallns snt sains, bns pur la santé et d excellente qualité. Une grande majrité de cnsmmateurs pensent que les animaux élevés en Wallnie dispsent de suffisamment d espace, d une alimentatin de qualité et snt suvent élevés en plein air et nn dans des espaces cls. Perceptin des circuits curts (CRIOC 2010) Intérêt pur les circuits curts : marchés, magasins de prximité et vente à la ferme snt les myens de circuit curt cnsidérés cmme les plus intéressants d après 50% des cnsmmateurs vente en turnée, marché à la ferme, vente sur internet u paniers cllectifs n nt d intérêt que pur mins de 25% des cnsmmateurs wallns et bruxellis Intérêt pur les prduits distribués par les circuits curts : PAGE 23 SUR 41 - RAPPORT DRAFT DEMANDE ALIMENTAIRE EN RBC JUILLET /03/2015

24 fruits-légumes : intérêt pur 31% des cnsmmateurs wallns et bruxellis prduits bis : intérêt pur 37% des cnsmmateurs bruxellis (> intérêt des cnsmmateurs des villes wallnnes) les prduits dérivés et laitiers intéressent mins en circuits curts : intérêt pur 2% des cnsmmateurs bruxellis Mde d apprvisinnement en circuit-curt : Paniers (= vente de paniers de prduits de plusieurs prducteurs. Paniers types u sur cmmande, dispnibles dans un pint de vente relais) : 29% des cnsmmateurs wallns et bruxellis cnnaissent et 17% truvent ce circuit curt intéressant. Seuls 6% des cnsmmateurs bruxellis et wallns l utilisent réellement. Vente par internet : cnnu par 60% des Bruxellis (mins en Wallnie) réellement utilisé par 2% des Wallns et Bruxellis (en villes wallnnes : 8%) Grupes d achat cmmun : cnnus par 11% des cnsmmateurs wallns et bruxellis, intérêt pur 6% utilisé par 1% des cnsmmateurs wallns et bruxellis Perceptin de l alimentatin durable par les bruxellis Prduits lcaux et de saisn : En 2012, seulement 25% de la ppulatin est capable de dnner une définitin précise de la ntin de «prduit lcal et de saisn» : «Prduit qui vient de pas trp lin et qui est prduit spntanément sans serres» «Qui pusse seln la saisn et qui vient des envirns» 16% ne sait pas du tut ce que cela signifie. Le reste des interrgés illustrent le cncept par un exemple u dnnent une définitin partielle: «Manger des chicns en hiver et des fraises en été» Lcal - lieu: «Prduit fait en Belgique», «de chez nus» «de ns régins» «Prduit qui n est pas trpical» Lcal distance : Prduit qui ne nécessite pas de transprt» «prduit à mins de 50 km de l'assiette»«prduit qui est créé là ù n habite» (IBGE-BIM, 2012) Perceptin des alternatives végétariennes: En 2008, 35% de la ppulatin déclarait diminuer suvent u systématiquement leur cnsmmatin de viande. En 2012, ils étaient 50% à le faire, sit une augmentatin de plus de 40% depuis Les persnnes qui nt le plus tendance à diminuer leur cnsmmatin de viande et charcuterie snt les persnnes plus âgées (68%) et les femmes (61%). En parallèle, 54% de la ppulatin estimait devir manger mins de viande. (EVA, 2011) PAGE 24 SUR 41 - RAPPORT DRAFT DEMANDE ALIMENTAIRE EN RBC JUILLET /03/2015

25 La majrité des Bruxellis ne mangent jamais (53%) u mins d une fis par mis (28%) de prduits alternatifs à la viande. Les principales raisns pur ne jamais u rarement manger végétarien snt : le manque d intérêt (23%), «ne pas y avir pensé» (22%), le gût (22%), le manque d expérience culinaire (20%) et le cût (20%). La prtectin de l envirnnement est le dernier argument (1%). Pints clés de l analyse Les fruits, légumes et prduits bilgiques snt les prduits les plus recherchés dans le cadre de l apprvisinnement en circuit-curt A ce jur, nus n avns pu identifier aucune surce de dnnées qui puvait nus renseigner plus lin sur la perceptin des cnsmmateurs vis-à-vis des prduits lcaux. Néanmins, le dévelppement au sein des grandes surfaces des rayns spécifiques destinés aux prduits lcaux nus renseigne sur l intérêt des cnsmmateurs par rapprt à l rigine du prduit. Mais cela ne dnne pas d infrmatin sur ce que le cnsmmateur cnsidère cmme lcal : belge? Pays limitrphes? Wallns? De part la diversité culturelles et du faible bassin de prductin que représente le territire de la RBC, la perceptin du lcal au niveau de la ppulatin bruxellise mérite d être investiguée. 92% des Bruxellis interrgés lrs de l enquête EVA 4 (2011) cnnaissent le principe du jeudi veggie. A titre de cmparaisn, le cncept est cnnu par 27% des interrgés à Gand. Cependant 74% des interrgés bruxellis n nt jamais, au curs des 12 derniers mis, participé à un jeudi veggie (54% à Gand) Quelles infrmatins sur la cnsmmatin des prduits dits durables? Cnsmmatin des prduits bilgiques En Belgique, la part de marché des prduits bilgiques frais alimentaires est restée stable après quelques années de crissance et se situe à 2% en 2013 (Bifrum, Le bi en chiffres, 2013). Cette part de marché diffère grandement d'un prduit à un autre. Les substituts de viande nt la plus grande part (19%), mais nt perdu du terrain ces deux dernières années. Les autres catégries à frte part de marché snt les œufs (8,7%), les légumes (5%) et le pain (3%). Ces catégries nt augmenté leur part d année en année, excepté le pain et les prduits laitiers qui eux restent stables. Les viandes snt quant à elles en dernière place avec 0,6%. L alimentatin végétale représente 38% des dépenses de prduits frais bis (cntre 19% en cnventinnel) tandis que les prduits animaliers représentent 24% (cntre 37% en cnventinnel) de celles-ci. (Bifrum, Le bi en chiffres, 2012). En 2013, en Belgique, les dépenses 5 nt augmenté de 10%. Si n cnsidère la péride de 2008 à 2013, c est à Bruxelles que l augmentatin a été la plus grande. En effet, les dépenses nt plus que dublé ces 5 dernières années (Bifrum, Le bi en chiffres, 2013). Cnsmmatin équitable Les cnsmmateurs achètent plus de prduits bis que de prduits équitables (Test-Achats 2013). 4 L échantilln était cmpsé de 453 bruxellis. 5 Dépenses des ménages belges pur les prduits frais bilgiques. PAGE 25 SUR 41 - RAPPORT DRAFT DEMANDE ALIMENTAIRE EN RBC JUILLET /03/2015

26 mins d un quart achète régulièrement équitable (u évitent d acheter des prduits cnnus cmme nn équitables) Le vlume des ventes au détail des prduits issus du cmmerce équitable labellisés Fairtrade est l'additin des prduits achetés au détail (magasins et supermarchés) et les prduits vendus pur une cnsmmatin à l'extérieur de la maisn (cafés, restaurants etc). Ce vlume est exprimé en millins d'eurs et se base sur le prix myen des prduits tel que vendus en magasin. Cet indicateur est calculé par Fairtrade Internatinal. L'estimatin du vlume des ventes au détail des prduits issus du cmmerce équitable labellisés Fairtrade en Belgique est passé de 13,6 millins d'eurs en 2004 à 85,8 millins d'eurs en Malgré cette très frte hausse, cela représente une part de marché très faible. Des exemples de prduits snt le café, le chclat, les bananes et le ctn 6. Cnsmmatins alternatives : quelques chiffres Paniers GASAP : 73 GASAP à Bruxelles avec une myenne de 15 paniers par GASAP, cela représente presque 2200 persnnes investies dans des GASAP à Bruxelles. En termes d apprvisinnement, 21 prducteurs au ttal dnt 15 maraîchers. Evlutin du nmbre de GASAP L Heureux Nuveau, distributeur de paniers bilgiques à vél, succès des paniers bis très rapide traduisant une demande du côté des cnsmmateurs. Après 2 mis, l Heureux Nuveau livrait 80 paniers/sem, après 2 ans, ils snt à 350 paniers/sem. Ns Pilifs La ferme Ns Pilifs est un des plus acteurs de la livraisn de paniers bilgiques en RBC. La cmmande des prduits s effectue en ligne et les paniers snt livrés dans plusieurs pints de dépôts. Il existe plus d une vingtaine de pints relais dans le régin bruxellise. Pints clés de l analyse Il y a peu d infrmatin sur la cnsmmatin (en termes chiffrés) des prduits alimentaires durables par les ménages en RBC. Cela est dû à plusieurs facteurs : Les critères de l alimentatin durable «bjectivables» et mesurables snt peu nmbreux. Les prduits bilgiques et Ferrade peuvent faire l bjet d un relevé et suivi. Cependant, cncernant la cnsmmatin des prduits de saisn u des prduits lcaux, il est beaucup plus difficile de s accrder sur leur définitin et dès lrs leur mesure. 6 Indicateurs de dévelppement durable - cnsulté le 1 avril PAGE 26 SUR 41 - RAPPORT DRAFT DEMANDE ALIMENTAIRE EN RBC JUILLET /03/2015

27 Les infrmatins plus cmplètes en termes de cnsmmatin snt en majrité payantes et détenues par les acteurs spécialisés de la distributin (axe : ffre alimentaire). EVA a cllecté des estimatins sur la cnsmmatin des prduits végétariens sur base d une enquête qualitative mais cela est un sndage, une perceptin plutôt qu un suivi de cnsmmatin. PAGE 27 SUR 41 - RAPPORT DRAFT DEMANDE ALIMENTAIRE EN RBC JUILLET /03/2015

28 5. SATISFACTION DES MÉNAGES PAR RAPPORT À L OFFRE ALIMENTAIRE DURABLE Perceptin de l ffre alimentaire en général La qualité de l alimentatin ccupe la 4 ième place des préccupatins envirnnementales de la ppulatin de la fédératin Wallnie-Bruxelles seln un sndage de (IEW, 2013). A l échelle francphne, l enquête Slidarisa 2013 a mis en évidence une mauvaise perceptin du cnsmmateur par rapprt à l ffre alimentaire en générale. Au niveau de la RBC, le barmètre 2014 de l Atrium 8 a pu mettre en évidence des attentes des cnsmmateurs par quartier par rapprt à l ffre cmmerciale. Certains quartiers nt suligné des besins en termes d ffre alimentaire. Il est difficile de cmpiler les dnnées car elles snt très différentes d un quartier à l autre. Nus avns répertrié par quartier les attentes en termes d alimentatin : La Chasse : favriser les cmmerces de prximité (bulangerie, pissnnerie, magasin de fruits et légumes, bucherie belge) et de prduits du terrir Matnne : dévelpper des cmmerces avec une plus grande diversité au niveau alimentaire 7 Le sndage a été réalisé par Dedicated entre le 28 aût et le 5 septembre 2013 auprès d un échantilln de persnnes représentatif des Wallns et Bruxellis âgés de 18 et plus. 8 Le barmètre : une apprche quanti et qualitative. L enquête quantitative du barmètre s effectue sur une semaine. Seuls les clients qui nt déjà effectué un achat dans le quartier snt interrgés. La taille de l échantilln varie de 80 à 800 persnnes en fnctin du caractère cmmercial du quartier. L apprche qualitative se réalise sus frme de panel rassemblant 6 à 10 participants. PAGE 28 SUR 41 - RAPPORT DRAFT DEMANDE ALIMENTAIRE EN RBC JUILLET /03/2015

29 Saint-Bniface : accueillir des cmmerces de prximités (bulangerie, légumiers, pissnnier) et cmmerce de prduits bilgiques Saint-Gilles centre : en attente de bucherie belge, bulangerie belge, cmmerce équitable et magasin bi. Madu : diversifier les cmmerces alimentaires et rehausser la qualité. L ffre cmmerciale dit être plus multiculturelle. Brabant : stimuler l implantatin de cmmerces alimentaires s axant davantage sur les prduits frais. Ouverture d une supérette marcaine/maghrébine. Cure hem : augmenter le prfessinnalisme au niveau des cmmerçants, créer une ffre plus variée, augmenter la qualité des cmmerces et intrduire nuvelles tendances (exemple : bi). Chaussée de Ninve : stimuler l implantatin de cmmerces de prximité et s axer davantage sur les prduits frais en tenant cmpte du caractère multiculturel du quartier. Saint- Guidn : implantatin de cmmerces artisanaux (glacier, restaurant du terrir, bulangerie artisanale, etc.) Saint-Denis : élargir l ffre au niveau des prduits belges et du terrir Mirir : stimuler l implantatin des cmmerces de prximité Karr veld : prmuvir l implantatin des cmmerces qui se lient aux nuvelles tendances bi, durable, etc. Pints clés de l analyse Glbalement, en termes de perceptin de l ffre alimentaire en générale, les cnsmmateurs snt peu satisfaits par rapprt à celle-ci (Les études du CRIOC et l enquête Slidarisa). D emblée, une majrité affirme avir une image plutôt mitigée de l industrie agr-alimentaire. Et même un tiers des persnnes disent en avir une mauvaise image. Seule une persnne sur dix dit en avir une très bnne image. Une majrité reprche aux entreprises agr-alimentaires un manque de transparence et même une vlnté délibérée de ne pas infrmer hnnêtement les cnsmmateurs. (Slidaris, 2013). L étiquetage des prduits n est pas bien perçu : une majrité estime que ces étiquetages snt incmpréhensibles et que rien ne garantit leur exactitude. Seule mins d une persnne sur dix a un avis vraiment psitif cncernant l étiquetage. Plus le niveau d études est faible, plus n exprime cette difficulté à cmprendre l étiquetage et dnc plus n est nmbreux à exprimer un dute sur leur exactitude. PAGE 29 SUR 41 - RAPPORT DRAFT DEMANDE ALIMENTAIRE EN RBC JUILLET /03/2015

30 5.1. Quelle est la satisfactin au niveau de l accessibilité et la diversité des prduits durables? En Belgique, 45% du bi est acheté dans les supermarchés classiques (hrs discunt), 31,5% dans les magasins spécialisés, 11,5% dans les magasins de prximité (VLAM 2013). Et, en général, le bi est perçu cmme trp cher. Lgiquement davantage parmi ceux dnt les ressurces financières snt faibles. (Slidaris, 2013). En ce qui cncerne les paniers alimentaires (CRIOC 2010): Lieux et mde de livraisn : la livraisn en un pint fixe (à dmicile u à prximité du dmicile) est essentielle pur augmenter l attractivité les cnsmmateurs snt prêts à parcurir jusqu à 1,6 km pur se rendre au pint d enlèvement du panier cllectif Fréquence de distributin : la distributin hebdmadaire recueille le plus de préférence (entre des prpsitins de plusieurs fis par semaine u une fis tutes les deux semaines) Mment de livraisn : la livraisn le sir est plus appréciée que la jurnée u le matin Cntrainte de suscriptin : la frmule d engagement sur la durée la plus curte est celle qui recueille le plus de préférences La frmule des paniers ne cnvient tutefis pas à tut le mnde. Pas mins de 19 interrgés sur 30 nt ainsi décidé de renncer à leur abnnement, le plus suvent pur des raisns pratiques (Test-Achats 2013): devir retirer le panier chaque semaine au même endrit est cntraignant (12/19) le pint de retrait est trp éligné (3/19) Diversité de l ffre au niveau des paniers Attentes en matière de cntenu du panier (CRIOC, 2010) : la prpsitin de plats tut préparés n augmente pas l intérêt, par cntre l insertin de recettes u de listes de curses augmente l intérêt de 9% et 4%. Les fruits et légumes snt les prduits les plus prisés et 24% des Bruxellis les veulent bi. Attentes en termes d autres prduits prduits dérivés de fruits et légumes (cmptes, cnfitures, supes, jus, ) : 67% des Bruxellis, surtut les mins de 30 ans (73%) prduits laitiers : 68% en veulent dans leur panier (surtut les ans) et la mitié les veulent bis pâtisseries, tartes, pain : 59% des Bruxellis en veulent dans leur panier La frmule des paniers bis ne cnvient tutefis pas à tut le mnde. Pas mins de 19 participants sur 30 nt ainsi décidé de renncer à leur abnnement, le plus suvent pur des raisns pratiques : nus préférns cmpser nus-mêmes ntre menu (9/19) les paniers ne snt pas assez variés (8/19) PAGE 30 SUR 41 - RAPPORT DRAFT DEMANDE ALIMENTAIRE EN RBC JUILLET /03/2015

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