ORIENTATIONS BUDGETAIRES POUR L ANNEE 2015

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "ORIENTATIONS BUDGETAIRES POUR L ANNEE 2015"

Transcription

1 ORIENTATIONS BUDGETAIRES POUR L ANNEE 2015 Séance du Conseil municipal du 16 décembre 2014

2 Chaque année, dans les deux mois qui précèdent le vote du budget primitif, un débat sur les orientations budgétaires est inscrit à l ordre du jour du Conseil municipal. Le rapport, présenté à l appui de ce débat, apporte diverses informations se rapportant au contexte économique et législatif afin de permettre aux élus d apprécier leur impact sur les postes du budget. Il présente ensuite les grandes orientations qui serviront à bâtir le budget de la commune pour l année 2015, tant en fonctionnement qu en investissement. Dans le cadre des mesures d économies budgétaires et des engagements de la ville en faveur de l environnement, le présent rapport a été conçu pour être imprimé en noir et blanc. Sommaire 1. UN CONTEXTE MARQUE PAR LA CONTRAINTE BUDGETAIRE... 2 A/ Prévisions macro-économiques du projet de loi de finances pour B/ Incidences du projet de loi de finances pour les collectivités... 3 C/ Marchés financiers... 3 D/ Le rapport de l Observatoire des finances locales BUDGET PRINCIPAL : FONCTIONNEMENT... 5 A/ Des recettes fortement impactées par la baisse des concours financiers de l Etat... 5 B/ Un effort sans précédent de maîtrise des dépenses de fonctionnement permettant une baisse de celles-ci en BUDGET PRINCIPAL : INVESTISSEMENT A/ Analyse rétrospective : des investissements centrés sur trois projets principaux B/ Un désendettement amplifié C/ Une pause sur les investissements D/ Des dépenses centrées sur six axes prioritaires BUDGETS ANNEXES ) Service de l eau ) Centre technique municipal ) Stationnement payant ) Terrains de camping ) Lotissements Page 1

3 1. UN CONTEXTE MARQUE PAR LA CONTRAINTE BUDGETAIRE Encore plus que pour les années précédentes, déjà difficiles pour les finances des collectivités territoriales, le budget de l année 2015 s élabore dans un contexte particulièrement tendu de rentrées fiscales en très faible progression et de dotations de l Etat en fortes baisses alors que les dépenses augmentent mécaniquement. A/ Prévisions macro-économiques du projet de loi de finances pour 2015 Le Gouvernement mise sur un déficit ramené à 4,3% du produit intérieur brut en 2015, induisant la maîtrise des dépenses de l Etat, de ses opérateurs mais également de la sécurité sociale et des collectivités territoriales. Le projet de loi de finances pour 2015 est calé sur un taux de croissance de 1% et un taux d inflation de 0,9%. Cadrage macroéconomique de la loi de finances pour 2015 Environnement international Taux de croissance du PIB aux États-Unis 2,2% 2,1% 3% Taux de croissance du PIB dans la zone euro -0,4% 0,8% 1,4% Prix à la consommation dans la zone euro 1,4% 0,6% 1,1% Prix du baril de pétrole 109 $ 108 $ 106 $ Taux de change euro/dollar 1,33 1,36 1,34 Économie française Taux de croissance du PIB 0,3% 0,4% 1% Dépenses de consommation des ménages 0,2% 0,3% 1,3% Investissement des entreprises non financières -0,9% -0,6% 0,9% Exportations 2,2% 2,8% 4,6% Importations 1,7% 2,6% 3,6% Prix à la consommation hors tabac 0,7% 0,5% 0,9% Prix à la consommation 0,9% 0,6% 0,9% Capacité de financement des administrations (en % du PIB) -4,1% -4,4% -4,3% Dette publique (en % du PIB) 92,2% 95,3% 97,2% Page 2

4 B/ Incidences du projet de loi de finances pour les collectivités Le projet de loi de finances prévoit un plan d économies de 21 milliards d euros dont 7,7 pour l'etat et ses opérateurs, 9,6 pour la sécurité sociale et 3,7 pour les collectivités territoriales. Sur trois ans, de 2015 à 2017, sont annoncés 50 milliards d économies dont 19 pour l'etat et ses opérateurs, 20 pour la Sécurité sociale et 11 pour les collectivités. La répartition de l effort entre les trois catégories de collectivités territoriales (régions, départements et bloc communal 1 ) en 2015 sera proportionnelle à leurs recettes réelles de fonctionnement, dans l attente de la réforme de la dotation globale de fonctionnement (DGF) en préparation pour Ainsi, les régions contribueront à hauteur de 12%, soit 451 M, les départements pour 31%, soit 1,148 Md et l ensemble du bloc communal à hauteur de 56%, soit 2,071 Md. La ponction devrait être opérée sur la dotation globale de fonctionnement des collectivités, le prélèvement sur la DGF pour 2015 représentant 2,45 fois celui de Parallèlement est annoncé un renforcement de la péréquation : le fonds national de péréquation des ressources intercommunales et communales (FPIC) progressera de 210 M entre 2014 et 2015, soit une hausse de plus de 36%. La ville de La Rochelle et la Communauté d agglomération étaient contributrices au FPIC en 2012 et Elles ne l ont pas été en A ce stade, on ne sait pas ce qu il en sera pour 2015 (neutres comme 2014 ou contributrices comme les années précédentes). Le rythme de progression des dotations de péréquation, comprises dans la dotation globale de fonctionnement, sera par ailleurs doublé par rapport à 2014, pour progresser de 228 M. Ainsi, la baisse de la dotation de l État sera modulée en fonction de la richesse de la collectivité concernée. C/ Marchés financiers Les taux d intérêts ont atteint des niveaux très bas durant l année Néanmoins, les conditions d accès au crédit sont restées chères (marges bancaires encore largement supérieures à 1%). Les contrats à taux révisable signés avant 2009, c est-à-dire avec des marges bancaires faibles, génèrent des économies importantes car les taux d intérêt européens de court terme sont très bas. Le taux d intérêt journalier (Eonia) est passé en dessous de 0% courant septembre. Le taux d intérêt moyen de la dette de la Ville s établit à 2,37% en octobre Communes et établissements publics de coopération intercommunale (EPCI). Page 3

5 Les taux d intérêt devraient rester bas en 2015 au vu des taux prévisionnels de croissance et d inflation dans la zone euro. Les prévisions budgétaires des charges financières devraient donc être en diminution sur l ensemble des budgets. D/ Le rapport de l Observatoire des finances locales Chaque année, l Observatoire des finances locales publie un état des lieux des finances locales. Quelques constats peuvent être tirés de la dernière publication en ce qui concerne le secteur communal. En 2013, les dépenses de fonctionnement des communes et de leurs groupements poursuivent leur progression. Elles évoluent au même rythme qu en 2012, soit + 3,2 %, dont +2,6 % pour les frais de personnels des communes. En 2013 comme en 2012, les recettes de fonctionnement augmentent moins rapidement que les dépenses et progressent moins vite qu en 2012 (+ 1,6 % contre + 2,4 % en 2012). Au sein des recettes de fonctionnement, on peut noter les variations suivantes par rapport à l exercice 2012 : concours financiers de l Etat : -1,2% impôts locaux : +4% autres impôts et taxes : -2,5% Extraits du rapport : «Au total, malgré la croissance dynamique des recettes fiscales, la hausse des dépenses de fonctionnement, associée au gel des concours financiers de l État, entraîne une baisse de l épargne brute du secteur communal en 2013 : l épargne brute diminue en effet de 5,9 %. Les communes, de par leurs dépenses à la veille des élections municipales, sont les plus affectées par cette baisse, tandis que le renforcement de l intercommunalité et l amélioration du taux de couverture des territoires permet aux groupements à fiscalité propre d être moins touchés par le recul de l épargne brute.» «D un point de vue budgétaire, le secteur communal devrait connaître en 2014 un contexte plus contraint que celui qu il a connu en Les dépenses courantes devraient poursuivre leur progression sous l effet de la hausse des frais de personnel. Le relèvement du taux de la contribution employeur due à la CNRACL (qui passera de 28,85 % en 2013 à 30,40 % en 2014) et la revalorisation des grilles des catégories C et B viendront également peser sur les dépenses de personnel en 2014, même si le gel de la valeur du point d indice de la fonction publique tendra à modérer cette croissance. Du côté des recettes de fonctionnement, l année 2014 sera marquée par la contribution des collectivités territoriales à l effort de redressement des finances publiques. Le secteur communal, comme les autres niveaux de collectivités, devra faire face à une diminution de sa DGF : au total, le bloc communal supportera une minoration de 861 M de sa DGF, soit 609 M de moins pour les communes et 252 M de moins pour les groupements à fiscalité propre. Page 4

6 Enfin, les impôts locaux devraient être marqués d une part par une baisse de la CVAE, et d autre part par une revalorisation des valeurs locatives servant de base aux impositions directes locales (+ 0,9 %) moitié moins importante qu en La baisse des ressources et les contraintes pesant sur les charges courantes du secteur communal devraient entraîner en 2014 une nouvelle baisse de l épargne brute des communes et de leurs groupements. Associée aux effets classiques du cycle électoral, cette baisse de l épargne brute devrait aboutir au repli significatif de leurs dépenses d investissement.» * * * Dans ce contexte de fortes contraintes, l enjeu pour la ville de La Rochelle est de concilier la mise en œuvre du programme annoncé à l occasion des dernières élections municipales tout en améliorant la situation financière de la ville. Dans cette perspective, la municipalité a défini six axes prioritaires 2 : 1) une ville plus belle 2) une ville apaisée 3) une ville solidaire 4) une ville plus sûre 5) une ville connectée 6) une ville plus efficiente Les actions sous-tendant ces axes prioritaires seront financées par des dépenses de fonctionnement (ex : recrutement d îlotiers pour une ville plus sûre) ou des dépenses d investissement. 2. BUDGET PRINCIPAL : FONCTIONNEMENT A/ Des recettes fortement impactées par la baisse des concours financiers de l Etat Les recettes d origine fiscale Conformément aux engagements pris devant les Rochelais, la municipalité n augmentera pas les taux d imposition de la taxe d habitation et des taxes foncières. Le produit des impôts progressera du seul fait des bases qui varieront par le jeu de plusieurs facteurs : 2 L ordre de citation des axes prioritaires ne correspond pas à une hiérarchie entre ceux-ci. Page 5

7 l application du coefficient de revalorisation des valeurs locatives voté en loi de finances, calé en général sur le taux d inflation (ce coefficient a été fixé à +0,9% en 2014) ; l entrée de nouvelles bases du fait de l achèvement de logements ou de la revalorisation des valeurs locatives suites à des travaux d embellissement. Elle est estimée à 1,4 % ; à l inverse des deux éléments précédents, l exonération partielle de taxe foncière des propriétés se situant dans le périmètre du plan de prévention des risques technologiques va induire une très légère diminution du produit fiscal. Par ailleurs, le budget primitif comprendra les ressources supplémentaires générées par la suppression partielle de l exonération de deux ans de la taxe foncière sur les constructions nouvelles. Il est rappelé que l exonération restera acquise pour les acquéreurs bénéficiant de prêts aidés de l Etat. Au final, le produit des contributions directes inscrit au budget sera revalorisé de 2,3% par rapport au produit perçu en La prévision relative au produit des droits de mutation sera établie à 3,2 M. La municipalité souhaite rester prudente sur la prévision de ce produit qui subit directement les effets de la conjoncture. Le prélèvement sur le produit des jeux du Casino sera maintenu à Page 6

8 L inscription du produit de la taxe sur la consommation finale d électricité sera stable, incluant une revalorisation de 0,71% du coefficient communal (décidée par le Conseil municipal le 15 septembre dernier). Les autres produits fiscaux devraient être en légère progression (taxe de séjour notamment). Les concours financiers de l Etat Ils seront en forte baisse par rapport aux montants perçus en 2014 compte tenu des dispositions initiales du projet de loi de finances pour 2015 qui prévoit la diminution de 3,67 milliards d euros des concours financiers aux collectivités. Les dotations devraient globalement s inscrire en régression d un peu plus de 8% par rapport aux montants perçus en Les prévisions du budget sont, pour le moment, établies sur la base : d une forte diminution de la dotation globale de fonctionnement, calculée en pourcentage des recettes de fonctionnement de l année 2013 ; d une augmentation de la dotation nationale de péréquation ; d une augmentation de la dotation de solidarité urbaine ; du maintien de la dotation générale de décentralisation, versée pour la compétence hygiène et santé. Les compensations fiscales seront également en baisse (- 7 %) en ce qui concerne la taxe professionnelle et la taxe foncière sur foncier bâti (dans le prolongement des exercices précédents). La compensation versée au titre de la taxe d habitation devrait être stable. Les autres recettes de fonctionnement Les participations reçues de l Etat au titre des contrats aidés devraient être en augmentation, la ville s étant engagée dans le dispositif d emplois d avenir pour des postes vacants exigeant peu de qualifications. Les participations reçues de l Etat et de la CAF au titre de la réforme des rythmes scolaires seront également en augmentation car calculées en année pleine sur La reprise de provision permettant de financer les dépenses de fonctionnement de l hôtel de ville durant sa reconstruction devrait s établir à un peu plus de Page 7

9 Les redevances versées par la Régie du port de plaisance devraient s établir à , comprenant de redevance complémentaire liée à l extension. Dans une projection pluriannuelle, la réduction programmée des dotations de l Etat jusqu en 2017 induit un tassement des recettes de fonctionnement de l ordre de -0,4% par an avec une baisse de l ordre de -0,7% à -0,8% durant les prochains exercices jusqu en 2017, avant une légère remontée à compter de 2018, très hypothétique à ce stade. Projection des recettes de fonctionnement (en M ) Base de calcul Variation moyenne annuelle Impôts locaux 55,9 57,3 58,6 60,0 61,3 62,8 2,34% Autres recettes fiscales 12,8 12,9 13,0 13,0 13,1 13,1 0,51% Concours financiers Etat 29,6 27,2 24,8 22,4 21,1 19,9-7,68% Autres recettes de fonctionnement 18,7 18,8 18,9 18,9 19,0 19,0 0,36% Total recettes de fonctionnement 117,0 116,2 115,2 114,3 114,5 114,8-0,39% Variation N-1-0,73% -0,84% -0,80% 0,19% 0,25% B/ Un effort sans précédent de maîtrise des dépenses de fonctionnement permettant une baisse de celles-ci en 2015 Des dépenses de personnel stables à périmètre constant A périmètre constant (i.e. hors rythmes scolaires), la municipalité s est fixé pour objectif de maintenir les dépenses de personnel à leur niveau réel de 2014 (BP + DM 1 + recettes supplémentaires liées aux emplois aidés - contrats d avenir notamment). Considérant le périmètre 2014, la masse salariale de l année 2015 sera ainsi construite sur la base d un effectif globalement en légère diminution, tout en protégeant les secteurs prioritaires tels que les crèches, les écoles ainsi que la tranquillité urbaine. Les dépenses de personnel seront toutefois majorées des crédits nécessaires à l application, en année pleine, de la réforme des rythmes scolaires, soit un peu plus de Les inscriptions du budget primitif prendront en compte l impact des mesures nationales sur les rémunérations et les charges sociales ( de cotisations sociales sur le seul budget principal). Page 8

10 Les charges à caractère général en diminution Le chapitre des charges à caractère général regroupe les achats courants (compte 60), les services extérieurs (comptes 61 et 62) et les impôts et taxes (compte 63). Malgré les hausses de prix des fournitures techniques et certains postes de services extérieurs comme les assurances, et malgré l accroissement des mesures normatives nationales et leur impact en matière de dépenses (le chapitre accusera par exemple une hausse de pour la réforme des rythmes scolaires), la municipalité a souhaité que les objectifs d économie soient amplifiés, avec une baisse de ces dépenses de plus de 1 %. La renégociation de certains contrats (ex : fourniture de gaz) favorisera l atteinte de cet objectif. Le maintien de l effort pour le secteur social et la jeunesse En ces temps particulièrement difficiles pour une large frange de la population, il est du devoir de la municipalité de maintenir son effort en faveur des publics les plus fragiles, à savoir les jeunes, les familles aux revenus modestes et les personnes âgées. Ces secteurs se verront donc moins sollicités que les autres et que les services municipaux en termes de dépenses brutes. En revanche, il leur sera demandé comme aux autres un renforcement de l efficience des sommes reçues. Dans cette perspective, le budget du CCAS et les subventions aux centres sociaux seront légèrement augmentés, en contrepartie pour ces derniers de l intensification de leur intervention dans l animation des activités périscolaires. La légère réduction nécessaire des autres subventions Pour tenir l indispensable baisse des dépenses de fonctionnement, les subventions aux autres secteurs seront légèrement réduites. De même, les coûts occasionnés par l occupation de locaux municipaux ou l utilisation de matériels de la commune seront facturés au prix coûtant aux entités qui les utilisent. Pour 2015, et pour permettre aux différents acteurs concernés de s adapter, des subventions exceptionnelles pourront être allouées au cas par cas pour prendre en charge une partie de ses frais. Page 9

11 Les charges financières Elles devraient être en diminution par rapport à 2014 du fait du maintien des taux d intérêt européens à un niveau très bas mais également de la baisse de l endettement. IL convient cependant de conserver une certaine prudence en la matière, une augmentation des taux pouvant survenir brutalement, et avec des conséquences immédiates pour les finances communales. L inscription au budget primitif s établira autour de 3 M. Un autofinancement maintenu à son niveau de 2014 Malgré le contexte financier le plus difficile depuis ces 50 dernières années pour les finances communales, la municipalité entend enrayer, conformément à ses engagements, la baisse de l autofinancement prévisionnel prévu au budget primitif 2014, et de le fixer à 9,2 M au budget primitif Ceci est obtenu au moyen d un effort considérable pour endiguer l augmentation des dépenses de fonctionnement. Page 10

12 3. BUDGET PRINCIPAL : INVESTISSEMENT A/ Analyse rétrospective : des investissements centrés sur trois projets principaux Après une hausse en 2012 imputable aux travaux d extension du port des Minimes, les dépenses d investissement du budget principal sont revenues à compter de 2013 dans la moyenne des villes de à habitants. Evolution des dépenses d équipement budget principal (en par habitant) Mobilisation d emprunts nouveaux budget principal (en par habitant) Page 11

13 L endettement de la Ville est supérieur à la moyenne de la strate démographique. En outre, l endettement aurait augmenté d environ 3,5 M en 2014, en raison du besoin de financement généré par les programmes engagés avant le 1 er janvier (notamment l extension du port de plaisance et le musée maritime), sans le versement des indemnités d assurance liées à l incendie de l Hôtel de ville. Endettement du budget principal au 31 décembre En pointillés, dette sans indemnité d assurance hôtel de ville Cette dégradation sous-jacente s explique par les gros investissements consentis sur les dernières années, qui se sont concentrés sur trois projets principaux sur la période : 1) le musée maritime, pour environ 27,8 M TTC entre 2005 et 2014 (18,4 M net) ; 2) l extension du port de plaisance, pour 47 M HT dépensés entre 2011 et 2014 (25,9 M net) ; 3) le programme de rénovation urbaine (PRU) de Mireuil, pour 14,4 M de 2005 à 2014 (10,2 M net). Les deux derniers projets sont en passe d être terminés (en 2015, 200 k pour le port de plaisance et 2,8 M pour le PRU de Mireuil), le musée maritime sera réouvert au printemps dans une configuration stabilisée. B/ Un désendettement amplifié La municipalité s est engagée à diminuer l endettement de la ville de 20% durant le mandat municipal. L endettement de la ville au 31 décembre 2013, tous budgets confondus, s établissait à 120,3 M, dont 107,5 M pour le budget principal et 12,8 M pour les budgets annexes Eau et Stationnement. La baisse de 20% de l endettement est égale à 24,1 M. Page 12

14 En prenant l hypothèse qu il n y aura pas d emprunts nouveaux sur les deux budgets annexes, leur endettement va diminuer de 5,8 M pour s établir à 7 M au 1 er janvier L endettement du budget principal devra donc diminuer de 18,3 M pour s établir à 89,2 M au 1 er janvier La projection, sous forme linéaire, du désendettement du budget principal sera approximativement la suivante : Projection de la dette du budget principal en M Cet effort de désendettement, conforme aux engagements de campagne, brisera l inflexion à la hausse constatée sur la fin du mandat précédent et masquée par le versement en 2014 de la prime d assurance liée à l incendie de l hôtel de ville (cf supra). C/ Une pause sur les investissements En complément de la préservation de l autofinancement à son niveau de 2014, soit 9,2 M, l engagement de réduction de l endettement impose de stabiliser les emprunts nouveaux en inscrivant une prévision à hauteur de 8,7 M et en tablant sur un taux de réalisation des dépenses d équipement d environ 80 % (moyenne des dernières années). Les cessions d actifs immobiliers (cf infra) seront d environ 2,3 M l an prochain. Il est envisagé de les augmenter les années suivantes. Les recettes d investissement sont estimées à 4 M. Elles comprennent le fonds de compensation pour la TVA, la taxe d aménagement ainsi que le produit des amendes de police. Page 13

15 Projection de l équilibre de la section d investissement du budget principal en M En M Rappel Budget primitif 2014 Orientations 2015 Dépenses Recettes Dépenses Recettes Opérations 25,55 5,66 18,7 3,1 d équipement Programmes 13,78 5,5 6,75 2,2 engagés ou commencés Programme 0,59 0 0,92 0 «sécurité» Autres 11,18 0,16 11,03 0,9 opérations Remboursement 8,74 8,7 du capital de la dette Recettes d investissement 4,01 4,1 Cession d actifs 1,87 2,3 Autofinancement 9,2 9,2 Emprunts nouveaux 13,5 8,7 Total 34,24 34,24 27, D/ Des dépenses centrées sur six axes prioritaires Une ville plus belle Parmi les investissements envisagés sur cet axe, on peut citer : 1) la reconstruction de l Hôtel de ville, programmée de 2015 à Le programme devrait recevoir une inscription budgétaire au budget primitif à hauteur d environ 1 M ; 2) les études préparatoires sur la réhabilitation du Vieux-port (100 k ), en parallèle de celles liées à l aménagement du secteur de la gare (projet porté par la CdA, en coordination avec les services de la ville), 3) l amélioration des espaces verts municipaux, 4) l installation d un nouveau système d éclairage, plus économe en électricité, sur la Tour de la Lanterne, en cours de rénovation, 5) la fin de l aménagement de l Encan, Page 14

16 Une ville apaisée L année 2015 concrétisera les premières réalisations issues de la concertation sur ce thème. A titre d illustration parmi les actions envisagées, on citera le schéma de voirie (action Cit ergie), en plus des 600 k dédiés au programme annuel de voirie. Ainsi, des nouveaux itinéraires cyclables seront créés et les études d aménagement du marais de Tasdon pourront être lancées. D autres mesures d aménagement (pôle d échange multimodal de l espace gare en particulier) seront également prévues. Une ville solidaire Si les actions en faveur de la solidarité relèvent en grande partie des dépenses de fonctionnement, la section d investissement comprendra des programmes répondant à cette autre priorité municipale. La rénovation urbaine sera poursuivie, avec la fin des opérations du PRU de Mireuil, pour 2,5 M pour la ville, pour l aménagement des espaces publics et du centre commercial de la Chope. En outre, les premières études vont être engagées sur les nouveaux quartiers retenus au titre de la politique de la ville pour les années , à savoir Villeneuve les Salines et Port- Neuf (Mireuil restant dans le champ de la nouvelle politique de la ville). Parmi les autres actions retenues, peuvent être citées les aménagements pour l accessibilité des personnes à mobilité réduite (PMR) et les travaux d amélioration dans les crèches municipales Une ville plus sûre Outre les actions en faveur de la tranquillité publique évoquées dans les dépenses de fonctionnement (îlotiers), la mise en œuvre du Programme d actions de prévention des inondations (PAPI), qui a commencé en 2014 par le changement des portes du bassin des Chalutiers, sera poursuivie en 2015 pour plus de 1 M. Au-delà de sa vocation de protection, il devra participer à l embellissement de notre cité. Page 15

17 La mise à niveau des défenses incendies des bâtiments ouverts au public (musée des beauxarts, musée du nouveau Monde, espace congrès) pourra également être proposée. De même, un effort particulier sera porté à la réfection de cours d écoles. Enfin, des programmes spécifiques seront engagés pour la protection des côtes et pour l éclairage public. Une ville connectée Si la ville de La Rochelle doit retrouver l excellence environnementale qui était sa marque de fabrique dans les années 80 et 90 sous l impulsion de Michel Crépeau, elle doit s inscrire à présent à l avant-garde des villes françaises et européennes en matière de services liés au numérique, ce qu on appelle «la ville connectée». Cela concerne évidemment l accès au très haut débit Internet pour tous, habitants comme entreprises, mais aussi toute une série de nouveaux services tels que l éclairage public à intensité variable en fonction de la présence de passants, détection des fuites d eau chez les abonnés, le suivi des consommations (eau, gaz, électricité) sur Internet pour favoriser les économies, ou encore des services d information géo-localisés (parcours historiques, disponibilités des places de parking, etc.). L effort d équipement des écoles sera poursuivi et amplifié en De même, les sommes consacrées aux systèmes d information municipaux seront augmentées, de sorte à pouvoir offrir des services plus simples et plus performants aux Rochelais. Une ville efficiente 2015 verra le lancement des études pour le projet de regroupement des services administratifs de la ville sur un même site afin de simplifier l accès des Rochelais aux services publics municipaux par un accueil unique et d améliorer le fonctionnement des services et les conditions de travail des agents. L efficacité des services publics municipaux doit progresser constamment. Cela passe par une multitude d actions allant du renouvellement des matériels et des véhicules à la rénovation du patrimoine bâti municipal en passant par des actions Cit ergie de recours privilégié aux énergies renouvelables. Page 16

18 Par ailleurs, un travail important d identification du patrimoine immobilier de la ville va être engagé sous la forme d un schéma directeur immobilier, dont une des finalités est de permettre la cession de bâtiments municipaux. La ville de La Rochelle est propriétaire d un parc immobilier deux fois plus important que les villes de la même taille, induisant des coûts d entretien et de fonctionnements intenables. L objectif est de vendre pour 2,3 M de biens immobiliers en 2015, puis d augmenter dans les années suivantes. Page 17

19 4. BUDGETS ANNEXES 1) Service de l eau Fonctionnement L autofinancement du service de l eau devrait être stable ou en légère augmentation en Les recettes prévisionnelles, basées sur le maintien des tarifs de l eau et des abonnements, seraient calculées néanmoins en augmentation, prenant en compte le transfert de la CDA à la Ville d une redevance de l Agence de l eau (redevance prévue également en dépense puisqu elle est facturée aux abonnés et reversée à l Agence). Fonctionnement Service de l'eau Rappel budget primitif 2014 Projection budget primitif 2015 Dépenses Recettes Dépenses Recettes Recettes réelles Dépenses réelles Autofinancement Investissement La section d investissement du budget 2014 devrait être légèrement en diminution par rapport à l an dernier. Les dépenses d équipement devraient s établir à environ 2,3 M, financées essentiellement par l autofinancement. Il sera proposé d accélérer le programme de résorption des branchements plomb. Le budget qui y sera consacré sera pratiquement doublé par rapport à l an dernier (1,3 M contre 0,700 M ). Investissement service de l'eau Rappel budget primitif 2014 Projection budget primitif 2015 Dépenses Recettes Dépenses Recettes Dépenses réelles dont dépenses d'équipement dont remboursement de la dette Recettes réelles Autofinancement Page 18

20 2) Centre technique municipal Fonctionnement La section de fonctionnement du budget annexe du centre technique municipal s équilibre grâce à la refacturation interne opérée sur les autres budgets de la Ville. Le budget de fonctionnement du CTM devrait être en légère diminution par rapport à l an dernier, tant sur les dépenses de personnel que les dépenses à caractère général. La dotation aux amortissements devra être augmentée afin de prendre en compte les obligations réglementaires. Fonctionnement CTM Rappel budget primitif 2014 Projection budget primitif 2015 Dépenses Recettes Dépenses Recettes Recettes réelles Dépenses réelles Autofinancement Investissement Le renouvellement des équipements est chaque année couvert par les dotations aux amortissements. Il devrait être en légère diminution en Investissement CTM Rappel budget primitif 2014 Projection budget primitif 2015 Dépenses Recettes Dépenses Recettes Dépenses réelles dont crédits provisionnels Autofinancement Page 19

21 3) Stationnement payant Fonctionnement Les recettes réelles de fonctionnement du budget annexe stationnement payant devraient être en augmentation, tenant compte des réalisations de l année 2014 sur la voirie (horodateurs) et dans les parkings. Les dépenses devraient être en diminution mais avec des variations hétérogènes selon les postes (hausse des charges de personnel / baisse des charges à caractère général et des charges financières). L autofinancement devrait être en augmentation du fait de ces variations. Fonctionnement stationnement Rappel budget primitif 2014 Projection budget primitif 2015 Dépenses Recettes Dépenses Recettes Recettes réelles Dépenses réelles Autofinancement Cet autofinancement couvre le remboursement en capital de dette ( ) et permet d entretenir et de renouveler les équipements. Investissement En investissement, le budget annexe comprendra différents crédits de renouvellement d équipements techniques et des travaux d entretien (au parking de Verdun notamment). Investissement Stationnement Rappel budget primitif 2014 Projection budget primitif 2015 Dépenses Recettes Dépenses Recettes Dépenses réelles dont dépenses d'équipement dont remboursement de la dette Recettes réelles Autofinancement Page 20

22 4) Terrains de camping Fonctionnement Le budget des terrains de camping devrait être en légère augmentation en Les dépenses d exploitations restent maîtrisées, permettant une légère augmentation de l autofinancement. Fonctionnement Campings Rappel budget primitif 2014 Projection budget primitif 2015 Dépenses Recettes Dépenses Recettes Recettes réelles Dépenses réelles Autofinancement Investissement Le budget primitif 2014 des campings devrait être du même niveau que l an dernier. Mais le budget d investissement s avère insuffisant pour mettre les équipements à niveau. Une réflexion sera engagée en 2015 afin d arrêter une solution de développement sur les deux terrains municipaux. Investissement campings Rappel budget primitif 2014 Projection budget primitif 2015 Dépenses Recettes Dépenses Recettes Dépenses réelles dont dépenses d'équipement Recettes réelles Autofinancement Page 21

23 5) Lotissements Le budget annexe Lotissements continuera de retracer les mouvements budgétaires du lotissement communal des Géraniums, engagé dans le cadre du programme de renouvellement urbain du quartier de Saint-Eloi. Conformément à l instruction budgétaire et comptable M14, les dépenses et les recettes du lotissement sont enregistrées en section de fonctionnement. La part des actifs réalisés et restant dans le patrimoine de la Ville seront transférées au budget principal à la clôture du lotissement. Le budget 2014 comprendra la poursuite des travaux d aménagement d espaces publics. Les dépenses (environ ) seront couvertes par les cessions de terrains à bâtir (particuliers et professionnels). L une de ces cessions était prévue en Elle ne pourra pas être encaissée avant la fin de l exercice, ce qui mettra le budget annexe provisoirement en déficit. La cession sera prévue en 2015 générant un surcroît de recette qui pourra être affecté (en partie) à la couverture du déficit de l exercice 2014 au budget supplémentaire. Fonctionnement lotissements Rappel budget primitif 2014 Projection budget primitif 2015 Dépenses Recettes Dépenses Recettes Recettes réelles dont cessions de terrains Dépenses réelles Crédits mis en réserve Autofinancement Page 22

Commune de Bourcefranc-le- Chapus: Audit financier. Conseil Municipal du 22 juillet 2014

Commune de Bourcefranc-le- Chapus: Audit financier. Conseil Municipal du 22 juillet 2014 Commune de Bourcefranc-le- Chapus: Audit financier Conseil Municipal du 22 juillet 2014 Eléments de cadrage de la situation financière de la Commune de Bourcefranc-le- Chapus Les soldes intermédiaires

Plus en détail

Territoires et Finances

Territoires et Finances Territoires et Finances Étude sur les finances des communes et des intercommunalités Bilan 2 14 et projections 215-217 214 : une forte baisse de l épargne brute et des investissements qui cristallisent

Plus en détail

BUDGET PRIMITIF 2015 PRESENTATION. Conseil Municipal du 19 JANVIER 2015

BUDGET PRIMITIF 2015 PRESENTATION. Conseil Municipal du 19 JANVIER 2015 BUDGET PRIMITIF 2015 PRESENTATION Conseil Municipal du 19 JANVIER 2015 - Introduction - Tableaux de synthèse - Synthèse des grands équilibres du Budget Primitif 2015 1 INTRODUCTION Le Budget Primitif 2014,

Plus en détail

Présentation au conseil municipal 16 décembre 2014. Débat. d Orientation. Budgétaire 2015

Présentation au conseil municipal 16 décembre 2014. Débat. d Orientation. Budgétaire 2015 Présentation au conseil municipal 16 décembre 2014 Débat d Orientation Budgétaire 2015 Le budget 2015 sera le premier de ce nouveau mandat 2014-2020 Il est construit sur le Plan de mandat financier en

Plus en détail

DEBAT D ORIENTATIONS BUDGETAIRES 2015

DEBAT D ORIENTATIONS BUDGETAIRES 2015 DEBAT D ORIENTATIONS BUDGETAIRES 2015 Le Code Général des Collectivités Territoriales prévoit dans les communes de plus de 3 500 habitants, les départements, les régions et les EPCI la tenue d un débat

Plus en détail

AUDIT FINANCIER ET FISCAL DE LA COMMUNE COMMUNE DE SAINT-JULIEN EN GENEVOIS

AUDIT FINANCIER ET FISCAL DE LA COMMUNE COMMUNE DE SAINT-JULIEN EN GENEVOIS AUDIT FINANCIER ET FISCAL DE LA COMMUNE COMMUNE DE SAINT-JULIEN EN GENEVOIS Le 4 février 2015 Jean-Pierre COBLENTZ Adel KARMOUS STRATORIAL FINANCES www.stratorial-finances.fr Tour GAMMA A 193 rue de Bercy

Plus en détail

Audit financier & budgétaire de la Ville de Clamart

Audit financier & budgétaire de la Ville de Clamart Audit financier & budgétaire de la Ville de Clamart Ville de Clamart PARTENAIRES Finances Locales Avril 2015 Ville de Clamart 1 Présentation de PARTENAIRES Finances Locales PARTENAIRES Finances Locales

Plus en détail

«Mécanismes» et contraintes budgétaires

«Mécanismes» et contraintes budgétaires Ville de Viry-Châtillon / Bilan 2008 2013 et prospective financière 2014-2020 Intervention du 25 septembre 2014 87 rue St-Lazare I 75009 Paris Tél. 01 55 34 40 00 I Fax 01 40 41 00 95 Mail : fcl@fcl.fr

Plus en détail

conseil municipal L équipement des écoles en numérique va se poursuivre pendant tout le mandat.

conseil municipal L équipement des écoles en numérique va se poursuivre pendant tout le mandat. conseil municipal L équipement des écoles en numérique va se poursuivre pendant tout le mandat. Les enfants des écoles vont régulièrement rencontrer les résidents des logements-foyers. PoitiersMag page

Plus en détail

Programme de stabilité 2015-2017 Quel impact sur l investissement local?

Programme de stabilité 2015-2017 Quel impact sur l investissement local? Le 3 juillet 2014 Programme de stabilité 2015-2017 Quel impact sur l investissement local? Guy Gilbert * et Alain Guengant ** Les résultats qui suivent sont obtenus sous l hypothèse que les comportements

Plus en détail

Les Marges de Manœuvre Financières des Collectivités s Locales

Les Marges de Manœuvre Financières des Collectivités s Locales 1 Les Marges de Manœuvre Financières des Collectivités s Locales Gilles TESTUD, ECOFINANCE Frédéric ric DUPUIS, DEXIA CL Réunions avec les élus du Territoire de Belfort 07 juin 2012 Sommaire 2 1. Introduction

Plus en détail

Le budget 2013. Présentation par M. Pascal BOLO, Adjoint aux Finances. Conseil Municipal du

Le budget 2013. Présentation par M. Pascal BOLO, Adjoint aux Finances. Conseil Municipal du Le budget 2013 Présentation par M. Pascal BOLO, Adjoint aux Finances Conseil Municipal du 8 février 2013 Les documents budgétaires : Le budget selon la nomenclature M14; Les documents annexes; Le budget

Plus en détail

4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2009

4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2009 LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2009 4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES 4-1 Les comptes des collectivités territoriales et de leurs groupements à fiscalité propre 54 4-2 Les comptes des communes

Plus en détail

COMMUNE DE SALINS-LES-BAINS

COMMUNE DE SALINS-LES-BAINS COMMUNE DE SALINS-LES-BAINS Principaux enseignements de l audit financier réalisé en octobre 2014 26 JANVIER 2015 4 rue Galilée 75782 PARIS cedex 16 Tél. : 01 43 06 08 10 Web : www.cabinetmichelklopfer.fr

Plus en détail

4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2010

4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2010 LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2010 4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES 4-1 Les comptes des collectivités territoriales et de leurs groupements à fiscalité propre 54 4-2 Les comptes des communes

Plus en détail

Débat d orientations budgétaires 2014. Conseil municipal du 4 novembre 2013

Débat d orientations budgétaires 2014. Conseil municipal du 4 novembre 2013 Débat d orientations budgétaires 2014 Conseil municipal du 4 novembre 2013 1 1. Un contexte économique toujours aussi tendu 2 Les éléments de contexte 2014 : année électorale Des inconnues avec les réformes

Plus en détail

- Suppression de la Taxe Professionnelle en 2011 remplacée dans le panier communal par - Cotisation Foncière des Entreprises (CFE) (taux communal) -

- Suppression de la Taxe Professionnelle en 2011 remplacée dans le panier communal par - Cotisation Foncière des Entreprises (CFE) (taux communal) - - Suppression de la Taxe Professionnelle en 2011 remplacée dans le panier communal par - Cotisation Foncière des Entreprises (CFE) (taux communal) - Cotisation sur la Valeur Ajoutée des Entreprises (CVAE)

Plus en détail

Conseil municipal du 19 décembre 2013

Conseil municipal du 19 décembre 2013 BUDGET PRIMITIF 2014 Conseil municipal du 19 décembre 2013 1 Un budget stable hors impact des rythmes scolaires Des dépenses de fonctionnement globales en croissance de 2,99 % par rapport au BP 2013. Mais

Plus en détail

ANALYSE FINANCIERE DE LA COMMUNE D ITANCOURT.

ANALYSE FINANCIERE DE LA COMMUNE D ITANCOURT. ANALYSE FINANCIERE DE LA COMMUNE D ITANCOURT. -=-=-=- L étude porte sur la situation à la clôture de l exercice 2 (se reporter au compte administratif de 2). Il n est pas tenu compte du budget annexe du

Plus en détail

Débat d Orientation Budgétaire 2013

Débat d Orientation Budgétaire 2013 Débat d Orientation Budgétaire 2013 Rappel Les échanges de ce débat d orientation budgétaire permettront de préciser les grands axes du budget 2013 en préparation qui sera soumis au vote lors de la présentation

Plus en détail

CdC du Pays bellêmois Conseil 25-02-15 Compte Administratif 2014 BUDGET GÉNÉRAL. Compte Administratif 2014

CdC du Pays bellêmois Conseil 25-02-15 Compte Administratif 2014 BUDGET GÉNÉRAL. Compte Administratif 2014 BUDGET GÉNÉRAL Compte Administratif 2014 SECTION DE FONCTIONNEMENT DEPENSES CA 2013 CA 2014 Alloué Réalisé Alloué Réalisé 011 Charges à caractère général 445 615 424 289,55 448 291 411 184,65 012 Charges

Plus en détail

La construction du budget communal. 25 avril 2015

La construction du budget communal. 25 avril 2015 La construction du budget communal 25 avril 2015 Le budget : un acte fondamental, très encadré Un acte de prévision et d autorisation Prévoit chaque année les recettes et dépenses de la commune Autorise

Plus en détail

DEBAT D ORIENTATIONS BUDGETAIRES 2015

DEBAT D ORIENTATIONS BUDGETAIRES 2015 DEBAT D ORIENTATIONS BUDGETAIRES 2015 BUDGET COMMUNE La tenue du débat d orientations budgétaires est obligatoire dans les régions, les départements, les communes de plus de 3 500 habitants, leurs établissements

Plus en détail

COMPRENDRE LE BUDGET MUNICIPAL

COMPRENDRE LE BUDGET MUNICIPAL COMPRENDRE LE BUDGET MUNICIPAL Le vote du budget constitue l acte politique majeur de la vie de la collectivité. Il doit impérativement être voté avant le 31 mars de l année qu il intéresse. Toutefois,

Plus en détail

Audit financier rétro-prospectif 2009-2018

Audit financier rétro-prospectif 2009-2018 Audit financier rétro-prospectif 2009-2018 Commune de Pierre-Olivier Hofer Directeur associé Ludivine Louette Consultante Toulouse, le 20 mai 2014 E14-0514 EXFILO Tél : 01.83.62.86.35 Fax : 01.83.62.86.34

Plus en détail

Délibérations DOB 2014 du 18 octobre 2013

Délibérations DOB 2014 du 18 octobre 2013 Délibérations DOB 2014 du 18 octobre 2013 1 CONSEIL GENERAL DU JURA Réunion du : 4ème trimestre 2013 Type : DOB 2014 Service : DMI/FINANCES Rapporteur : Christophe PERNY Thème : FINANCES - GARANTIES D'EMPRUNT

Plus en détail

DES ÉLÉMENTS DE CONTEXTE : UN HÉRITAGE DIFFICILE

DES ÉLÉMENTS DE CONTEXTE : UN HÉRITAGE DIFFICILE Séance de Conseil Municipal du 26 février 2015 DES ÉLÉMENTS DE CONTEXTE : UN HÉRITAGE DIFFICILE Le contexte De beaux équipements (médiathèque, CLSH, espace culturel Armorica, espace loisirs sportifs) MAIS

Plus en détail

LEVET COMMUNE DE LEVET

LEVET COMMUNE DE LEVET LEVET COMMUNE DE LEVET Conseil Municipal du 4 juin 2015 Le Compte Administratif présenté aujourd hui découle de la gestion de l exercice 2014 : il constitue notre socle de gestion pour l avenir. Compte

Plus en détail

Territoires et Finances

Territoires et Finances Territoires et Finances Étude sur les finances des communes et intercommunalités 2013-2014 2013 : statu quo sur les équilibres financiers avant de nouveaux défis à relever L année 2013 conclut un mandat

Plus en détail

4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2011

4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2011 LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2011 4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES 4-1 Les comptes des collectivités territoriales et de leurs groupements à fiscalité propre 54 4-2 Les comptes des communes

Plus en détail

Isabelle KEBE Tél. 01 55 34 40 28 I Fax 01 40 41 00 95 Mail : ikebe@fcl.fr

Isabelle KEBE Tél. 01 55 34 40 28 I Fax 01 40 41 00 95 Mail : ikebe@fcl.fr Isabelle KEBE Tél. 01 55 34 40 28 I Fax 01 40 41 00 95 Mail : ikebe@fcl.fr Jean-Christophe BERGE Tél : 01 55 34 40 13 I Fax 01 40 41 00 95 Mail : jcberge@fcl.fr Ville de Gisors 24 juin 2014 87 rue St-Lazare

Plus en détail

Synthèse de l'audit financier par la société d'expertise Ressources Consultants Finances de la commune de Mézières sur Seine

Synthèse de l'audit financier par la société d'expertise Ressources Consultants Finances de la commune de Mézières sur Seine Synthèse de l'audit financier par la société d'expertise Ressources Consultants Finances de la commune de Mézières sur Seine 1 SOMMAIRE I. INTRODUCTION... 3 1.1 Les indicateurs de la santé financière d'une

Plus en détail

Prospective financière Saint-Etienne Métropole 2011 2014. Dossier de presse Conseil de Communauté Jeudi 24 juin 2010

Prospective financière Saint-Etienne Métropole 2011 2014. Dossier de presse Conseil de Communauté Jeudi 24 juin 2010 Prospective financière Saint-Etienne Métropole 2011 2014 Dossier de presse Conseil de Communauté Jeudi 24 juin 2010 COMPTE ADMINISTRATIF 2009 Des résultas de gestion satisfaisants mais une marge de manœuvre

Plus en détail

RAPPORT FINANCIER DE L EXERCICE 2014 1. LES CREDITS VOTES EN 2014

RAPPORT FINANCIER DE L EXERCICE 2014 1. LES CREDITS VOTES EN 2014 RAPPORT FINANCIER DE L EXERCICE 2014 1. LES CREDITS VOTES EN 2014 L équilibre général du budget primitif 2014 s est établi à 3 822,6 M, dont 2 790,9 M au titre de la section de fonctionnement et 1 031,7

Plus en détail

PRESENTATION DES BUDGETS. Présentation de JC PEYRIN 1er adjoint en charge des Finances

PRESENTATION DES BUDGETS. Présentation de JC PEYRIN 1er adjoint en charge des Finances PRESENTATION DES BUDGETS DE LA VILLE DE MEYLAN Présentation de JC PEYRIN 1er adjoint en charge des Finances Un budget construit sous le signe de fortes contraintes et en adéquation avec les réformes en

Plus en détail

Réunions publiques janvier 2013. Présentation du Débat d Orientation Budgétaire

Réunions publiques janvier 2013. Présentation du Débat d Orientation Budgétaire Réunions publiques janvier 2013 Présentation du Débat d Orientation Budgétaire 7 février 2011 LE CONTEXTE Une économie mondiale très ralentie En zone Euro : des incertitudes autour de la crise de la dette

Plus en détail

Suppression de la taxe professionnelle et création de la Contribution Economique Territoriale (CET)

Suppression de la taxe professionnelle et création de la Contribution Economique Territoriale (CET) Suppression de la taxe professionnelle et création de la Contribution Economique Territoriale (CET) (Articles 2, 47, 77, 78 et 99 de la loi de finance pour 2010) Actuellement, la taxe professionnelle (TP)

Plus en détail

1. Vue d ensemble des budgets I 3 I

1. Vue d ensemble des budgets I 3 I Sommaire 1. Vue d ensemble des budgets 2. Contexte des finances locales en 2014 3. Section de fonctionnement 4. Section d investissement 5. Synthèse et conclusion I 2 I 1. Vue d ensemble des budgets I

Plus en détail

Dans le prolongement de l observatoire Finances, l APVF et LOCALNOVA ont actualisé l étude

Dans le prolongement de l observatoire Finances, l APVF et LOCALNOVA ont actualisé l étude localnova OBS Observatoire des finances locales des Petites Villes de France novembre # Dans le prolongement de l observatoire Finances, l APVF et LOCALNOVA ont actualisé l étude financière prospective

Plus en détail

ANALYSE FINANCIèRE. RéTROSPECTIVE DU BUDGET PRINCIPAL DE L Agglomération CôTE BASQUE ADOUR 2003-2012

ANALYSE FINANCIèRE. RéTROSPECTIVE DU BUDGET PRINCIPAL DE L Agglomération CôTE BASQUE ADOUR 2003-2012 ANALYSE FINANCIèRE RéTROSPECTIVE DU BUDGET PRINCIPAL DE L Agglomération CôTE BASQUE ADOUR 2003-2012 RESSOURCES CONSULTANTS FINANCES SOCIÉTÉ D ETUDE, RECHERCHE ET PROSPECTIVE EN FINANCES LOCALES S.A. au

Plus en détail

Madame la Maire, Je vous prie d agréer, Madame la Maire, l expression de ma considération la plus distinguée.

Madame la Maire, Je vous prie d agréer, Madame la Maire, l expression de ma considération la plus distinguée. La Présidente Lyon, le 22 Juillet 2013 N Recommandée avec A.R. REF : ma lettre n 508 du 20 juin 2013 P.J. : 1 Madame la Maire, Par lettre citée en référence, je vous ai communiqué le rapport d observations

Plus en détail

PAYS BEAUME-DROBIE FINANCES INTERCOMMUNALES COMMUNAUTÉ DE COMMUNES

PAYS BEAUME-DROBIE FINANCES INTERCOMMUNALES COMMUNAUTÉ DE COMMUNES COMMUNAUTÉ DE COMMUNES PAYS BEAUME-DROBIE FINANCES INTERCOMMUNALES contact : Sophie Blanc - responsable administrative 04 75 89 80 80 - fax : 04 75 89 80 98 - La Chastelanne 07260 Joyeuse administration@pays-beaumedrobiefr

Plus en détail

ANALYSE FINANCIERE RETROSPECTIVE (2005-2009) SICTOBA. Mai 2010

ANALYSE FINANCIERE RETROSPECTIVE (2005-2009) SICTOBA. Mai 2010 ANALYSE FINANCIERE RETROSPECTIVE () SICTOBA Mai 2010 Pascal HEYMES Stratorial Finances Agence de Montpellier 2, rue des Arbousiers 34070 MONTPELLIER Tél. : 04 99 61 47 05 - Fax : 04 99 61 47 09 www.stratorial-finances.fr

Plus en détail

PERSPECTIVES FINANCIERES DES PETITES VILLES

PERSPECTIVES FINANCIERES DES PETITES VILLES PERSPECTIVES FINANCIERES DES PETITES VILLES La participation des communes au plan d économies initié par l Etat va modifier substantiellement les équilibres financiers des collectivités locales et notamment

Plus en détail

AVIS DU CESER Séance plénière du 14 novembre 2014

AVIS DU CESER Séance plénière du 14 novembre 2014 AVIS DU CESER Séance plénière du 14 novembre 2014 Orientations Budgétaires 2015 ORIENTATIONS BUDGÉTAIRES 2015 AVIS SUR LE RAPPORT GÉNÉRAL DU PRÉSIDENT DU CONSEIL RÉGIONAL Président : Patrick TASSIN Séance

Plus en détail

Non aux violentes hausses d impôts à Grenoble et à la Métro. Priorité au social et à la solidarité

Non aux violentes hausses d impôts à Grenoble et à la Métro. Priorité au social et à la solidarité www.ades-grenoble.org www.lesverts38.org www.alternatifs.org/38 Conférence de presse du mercredi 10 décembre 2008 Non aux violentes hausses d impôts à Grenoble et à la Métro. Priorité au social et à la

Plus en détail

PREPARATION BUDGET PRIMITIF 2015. Commune de Poisat 23 février 2015

PREPARATION BUDGET PRIMITIF 2015. Commune de Poisat 23 février 2015 PREPARATION BUDGET PRIMITIF 2015 Commune de Poisat 23 février 2015 Sommaire Le budget communal : quelques points de compréhension 1. Principes budgétaires 2. Préparation du budget 3. Exécution du budget

Plus en détail

L IMPACT DE LA MUTUALISATION SUR LES RESSOURCES HUMAINES

L IMPACT DE LA MUTUALISATION SUR LES RESSOURCES HUMAINES ANNEXES L ISTE DES ANNEXES ANNEXE I : ANNEXE II : ANNEXE III : ANNEXE IV : ÉVOLUTION DES DEPENSES DES COMMUNES ET DES EPCI DE 2006 A 2013 OUTILS JURIDIQUES DE MUTUALISATION A DISPOSITION DES ACTEURS LOCAUX

Plus en détail

Trébeurden Synthèse financière

Trébeurden Synthèse financière Jeudi 27 juin 2013 Trébeurden Synthèse financière Yvan Pellé Réunion publique Méthodologie (1) 2 Charges courantes ( personnel, fluides, entretien, contrats..) Excédent brut courant Produits courants (impôts,

Plus en détail

Le compte administratif 2011

Le compte administratif 2011 Le compte administratif 2011 Le compte administratif 2011 de MIONS en quelques chiffres Budget principal. 16 590 970 de recettes réalisées, dont :. 13 003 158 en fonctionnement dont 165 000 de rattachements.

Plus en détail

ANALYSE FINANCIERE RETROSPECTIVE (2004-2007) ET PROSPECTIVE (2008-2014)

ANALYSE FINANCIERE RETROSPECTIVE (2004-2007) ET PROSPECTIVE (2008-2014) CABINET MICHEL KLOPFER Consultants Finances Locales ANALYSE FINANCIERE RETROSPECTIVE (2004-2007) ET PROSPECTIVE (2008-2014) Commune de Chécy 20 JUIN 2008 Laëtitia HACQUARD Michel KLOPFER 6 rue du Général

Plus en détail

Octobre 2014. Note de conjoncture. les Finances locales. Tendances 2014 et perspectives

Octobre 2014. Note de conjoncture. les Finances locales. Tendances 2014 et perspectives Octobre 2014 Note de conjoncture les Finances locales Tendances 2014 et perspectives 2 Dix ans d évolution des finances locales (compte synthétique des collectivités locales) En milliards d euros courants

Plus en détail

Compte Administratif 2013

Compte Administratif 2013 Compte Administratif 2013 Bilan de l exercice écoulé, le compte administratif nous rend compte de la gestion et des réalisations de l exercice 2013. Dans un contexte économique national difficile et malgré

Plus en détail

La Lettre. Les comptes de la commune ------------------------------------------------------------------------------

La Lettre. Les comptes de la commune ------------------------------------------------------------------------------ ------------------------------------------------------------------------------ La Lettre informations n 2 - avril 2015 Les comptes de la commune --------------- contexte économique national Pour la première

Plus en détail

COMMUNAUTE DU PAYS D E V E N D O M E. Orientations budgétaires 2010

COMMUNAUTE DU PAYS D E V E N D O M E. Orientations budgétaires 2010 COMMUNAUTE DU PAYS D E V E N D O M E Orientations budgétaires 2010 Conseil Communautaire du 1 ER Mars 2010 3 - FINANCES Débat d orientations budgétaires 2010 Notre communauté, créée il y a maintenant plus

Plus en détail

UNIVERSITES DES MAIRES ET PRESIDENTS DE COMMUNAUTES DE LOIRE-ATLANTIQUE. Module «Elaborer le budget de sa commune Les fondamentaux»

UNIVERSITES DES MAIRES ET PRESIDENTS DE COMMUNAUTES DE LOIRE-ATLANTIQUE. Module «Elaborer le budget de sa commune Les fondamentaux» UNIVERSITES DES MAIRES ET PRESIDENTS DE COMMUNAUTES DE LOIRE-ATLANTIQUE Module «Elaborer le budget de sa commune Les fondamentaux» Nantes, 19 juin 2014 1 Elaborer le budget de sa commune : Les fondamentaux

Plus en détail

MONTGERON TOUT CE QUE VOUS DEVEZ SAVOIR SUR LA SITUATION FINANCIÈRE DE LA VILLE DE

MONTGERON TOUT CE QUE VOUS DEVEZ SAVOIR SUR LA SITUATION FINANCIÈRE DE LA VILLE DE TOUT CE QUE VOUS DEVEZ SAVOIR SUR LA SITUATION FINANCIÈRE DE LA VILLE DE MONTGERON FISCALITÉ, ENDETTEMENT, FONCTIONNEMENT, INVESTISSEMENT, ÉQUIPEMENTS PUBLICS, ÉPARGNE, CRÉDIT, SERVICES PUBLICS CHIFFRES

Plus en détail

DIAGNOSTIC SOCIO-ÉCONOMIQUE ET FINANCIER LE BILAN-SANTÉ DES COMMUNES

DIAGNOSTIC SOCIO-ÉCONOMIQUE ET FINANCIER LE BILAN-SANTÉ DES COMMUNES LE BILAN-SANTÉ DES COMMUNES EYSINES FÉVRIER 214 POPULATION Population 1999 (sans double compte) Population 26 (municipale) Population 211 (municipale) Classement en fonction de la population (211) Rangs

Plus en détail

Audit financier rétro-prospectif de la Communauté d Agglomération du Pays d Aubagne et de l Etoile éléments clés. Septembre 2014

Audit financier rétro-prospectif de la Communauté d Agglomération du Pays d Aubagne et de l Etoile éléments clés. Septembre 2014 Audit financier rétro-prospectif de la Communauté d Agglomération du Pays d Aubagne et de l Etoile éléments clés Septembre 2014 Synthèse du diagnostic financier de l Agglo du Pays d Aubagne et de l Etoile

Plus en détail

Assemblée des départements de France. Prospective des budgets des départements (2011-2015)

Assemblée des départements de France. Prospective des budgets des départements (2011-2015) Assemblée des départements de France Prospective des budgets des départements (2011-2015) Guy Gilbert Professeur - Département de Sciences Sociales ENS Cachan Alain Guengant Directeur de recherche au CNRS

Plus en détail

A propos de l Audit des finances communales

A propos de l Audit des finances communales A propos de l Audit des finances communales (évoqué lors du Conseil municipal de septembre 2014) A la demande de la majorité municipale, un audit a été commandité auprès du cabinet FCL. Les conclusions

Plus en détail

Bilan de mandat municipal

Bilan de mandat municipal Association des Maires de la Corrèze Bilan de mandat municipal Brive-la-Gaillarde, le vendredi 12 avril 2013 Intervention de Patrice LALANNE Ancien conseiller du Président du Sénat Consultant formateur

Plus en détail

DOL DE BRETAGNE ORIENTATIONS BUDGETAIRES 2011

DOL DE BRETAGNE ORIENTATIONS BUDGETAIRES 2011 DOL DE BRETAGNE ORIENTATIONS BUDGETAIRES 2011 Février 2011 1 LES ORIENTATIONS BUDGETAIRES 2011 1. L EVOLUTION DU BUDGET DE FONCTIONNEMENT 2. L ENDETTEMENT 3. LES PERSPECTIVES POUR LES ANNEES A VENIR 4.

Plus en détail

Le budget 2014 du Département Chiffres Clés LE DÉPARTEMENT S ENGAGE AUPRÈS DES NORDISTES

Le budget 2014 du Département Chiffres Clés LE DÉPARTEMENT S ENGAGE AUPRÈS DES NORDISTES Le budget 2014 du Département Chiffres Clés LE DÉPARTEMENT S ENGAGE AUPRÈS DES NORDISTES Éditorial Le budget primitif 2014 s inscrit dans un contexte économique et social encore difficile. Aussi, avec

Plus en détail

Rapport financier - Exercice 2013

Rapport financier - Exercice 2013 Rapport financier - Exercice 2013 Sommaire Le budget réalisé en 2013 // Résultat de l'exercice 2013 page 4 // Origine des recettes page 4 // Destination des dépenses page 4 Les grands équilibres financiers

Plus en détail

BUDGETS PRIMITIFS 2015

BUDGETS PRIMITIFS 2015 BUDGETS PRIMITIFS 215 Communauté d Agglomération de la Vallée de la Marne 1/ Budget principal 2/ Assainissement 17/2/215 1 Contexte Un environnement territorial contraint dans un contexte économique tendu

Plus en détail

Epargne Brute 20 758 461,56 - Remboursement du capital (annuité de l'exercice) 15 183 559,26 = Epargne nette 5 574 902,30

Epargne Brute 20 758 461,56 - Remboursement du capital (annuité de l'exercice) 15 183 559,26 = Epargne nette 5 574 902,30 Ville de Montreuil Elu-pilote : Philippe LAMARCHE Direction des Finances Service Budget Projet de note de synthèse CONSEIL MUNICIPAL DU 26 JUIN 2014 Objet : Compte administratif et affectation des résultats

Plus en détail

Chasse-sur-Rhône 2014-2020 REUNION PUBLIQUE JEUDI 30 OCTOBRE 2014. Salle Jean MARION

Chasse-sur-Rhône 2014-2020 REUNION PUBLIQUE JEUDI 30 OCTOBRE 2014. Salle Jean MARION Chasse-sur-Rhône 2014-2020 REUNION PUBLIQUE JEUDI 30 OCTOBRE 2014 Salle Jean MARION Chasse-sur-Rhône 2014-2020 Claude BOSIO Maire de Chasse-sur-Rhône Vice-président de ViennAgglo VILLE DE CHASSE-SUR-RHONE

Plus en détail

LINTERCOM LISIEUX PAYS D AUGE NORMANDIE -

LINTERCOM LISIEUX PAYS D AUGE NORMANDIE - LINTERCOM LISIEUX PAYS D AUGE NORMANDIE - SYNTHESE BUDGETAIRE BP 2014 LE CADRE FINANCIER 2014 Comme annoncé lors du Débat d Orientation Budgétaire le 2 décembre 2013, le budget 2014 est un budget de continuité.

Plus en détail

Un Budget 2012 en hausse pour la jeunesse et l emploi. Unique et inédit!

Un Budget 2012 en hausse pour la jeunesse et l emploi. Unique et inédit! Conférence de presse du 30 novembre 2011 Session budgétaire de la Région Auvergne* Un Budget 2012 en hausse pour la jeunesse et l emploi Unique et inédit! L Auvergne : 1 ère Région de France à lancer une

Plus en détail

Budget 2015 de la Ville de Rennes > Séance budgétaire du lundi 9 mars 2015

Budget 2015 de la Ville de Rennes > Séance budgétaire du lundi 9 mars 2015 Service de presse Ville de Rennes/Rennes Métropole Tél. 02 23 62 22 34 Vendredi 6 mars 2015 Conseil municipal Budget 2015 de la Ville de Rennes > Séance budgétaire du lundi 9 mars 2015 Sommaire > Communiqué

Plus en détail

LES PACTES FINANCIERS ET FISCAUX COMMUNES INTERCOMMUNALITE ET LA MUTUALISATION

LES PACTES FINANCIERS ET FISCAUX COMMUNES INTERCOMMUNALITE ET LA MUTUALISATION LES PACTES FINANCIERS ET FISCAUX COMMUNES INTERCOMMUNALITE ET LA MUTUALISATION 1 PRESENTATION Le présent document a été réalisé par le Cabinet Michel Klopfer, conseil indépendant dont le capital appartient

Plus en détail

Présenté par Michel Sapin, Ministre des finances et des comptes publics. Christian Eckert, Secrétaire d État chargé du budget

Présenté par Michel Sapin, Ministre des finances et des comptes publics. Christian Eckert, Secrétaire d État chargé du budget Présenté par Michel Sapin, Ministre des finances et des comptes publics Christian Eckert, Secrétaire d État chargé du budget 1 Une reprise de l activité qu il faut conforter La reprise est en cours : +1,0%

Plus en détail

Nouveaux enjeux du mandat. Vincent AUBELLE, professeur associé à l Université Paris Est Marne la Vallée

Nouveaux enjeux du mandat. Vincent AUBELLE, professeur associé à l Université Paris Est Marne la Vallée Nouveaux enjeux du mandat Vincent AUBELLE, professeur associé à l Université Paris Est Marne la Vallée - 121,8-117,1 Déficit budget Etat (en milliards d'euros) - 130,0-120,0-110,0-100,0-90,0-80,0-70,0-60,0-50,0-40,0-30,0-20,0-10,0

Plus en détail

11 juin 2014. Dossier de presse à l occasion de la présentation du PLFR 2014

11 juin 2014. Dossier de presse à l occasion de la présentation du PLFR 2014 11 juin 2014 Dossier de presse à l occasion de la présentation du PLFR 2014 - 2 - Sommaire Le Pacte de responsabilité et de solidarité pour la croissance et l emploi... 5 Les dates clés du pacte de responsabilité

Plus en détail

Octobre 2013. Note de conjoncture. les Finances locales. Tendances 2013 et perspectives

Octobre 2013. Note de conjoncture. les Finances locales. Tendances 2013 et perspectives Octobre 2013 Note de conjoncture les Finances locales Tendances 2013 et perspectives Version du 15 octobre 2013 2 Compte synthétique des collectivités locales En milliards d euros courants 2003 2004 2005

Plus en détail

Ville de Schiltigheim. Audit financier version définitive

Ville de Schiltigheim. Audit financier version définitive Ville de Schiltigheim Audit financier version définitive 10 octobre 2014 Préliminaire Le présent document vise à présenter les conclusions de l audit financier réalisé entre les mois de juillet 2014 et

Plus en détail

Le compte administratif 2012 de la Région Alsace. Avis

Le compte administratif 2012 de la Région Alsace. Avis Le compte administratif 2012 de la Région Alsace Avis 24 juin 2013 Avis Le compte administratif 2012 de la Région Alsace Avis du 24 juin 2013 Vu la Loi n 82-213 du 2 mars 1982 relative aux droits et libertés

Plus en détail

Le Président, Bordeaux, le 15 septembre 2011

Le Président, Bordeaux, le 15 septembre 2011 Le Président, Bordeaux, le 15 septembre 2011 Références à rappeler : CM/JPR/RODII/064 036 931 Monsieur le Directeur, Par lettre du 21 janvier 2011, vous avez été informé que la chambre régionale des comptes

Plus en détail

SEANCE DU CONSEIL MUNICIPAL DU VENDREDI 10 FEVRIER 2012

SEANCE DU CONSEIL MUNICIPAL DU VENDREDI 10 FEVRIER 2012 SEANCE DU CONSEIL MUNICIPAL DU VENDREDI 10 FEVRIER 2012 Pour 2012, 4 axes majeurs Pour soutenir la consommation des ménages, Ne pas augmenter les impôts locaux. Pour soutenir I activité économique, Investir

Plus en détail

Le budget 2015 du Département Chiffres Clés LE DÉPARTEMENT S ENGAGE AUPRÈS DES NORDISTES

Le budget 2015 du Département Chiffres Clés LE DÉPARTEMENT S ENGAGE AUPRÈS DES NORDISTES Le budget 2015 du Département Chiffres Clés LE DÉPARTEMENT S ENGAGE AUPRÈS DES NORDISTES Éditorial Le budget primitif 2015 s inscrit dans un contexte économique et social contraint. Face à cette situation,

Plus en détail

Fiche synthétique du Compte Administratif 2013 de la commune d'amuré

Fiche synthétique du Compte Administratif 2013 de la commune d'amuré Fiche synthétique du Compte Administratif 2013 de la commune d'amuré Le service Finances de la CAN a élaboré cette fiche à partir des documents transmis par les communes en juillet 2014 : - Compte Administratif

Plus en détail

Le budget, c est combien? C est quoi?

Le budget, c est combien? C est quoi? Le budget, c est combien? C est quoi? Pourquoi cette plaquette? Parce que l équipe municipale prélève et gère, dans la recherche de l intérêt commun, une partie de vos ressources, nous sommes comptables

Plus en détail

LES FICHES ARGU DU GROUPE SOCIALISTE, RÉPUBLICAIN ET CITOYEN LE COLLECTIF BUDGÉTAIRE 12 JUILLET 2012

LES FICHES ARGU DU GROUPE SOCIALISTE, RÉPUBLICAIN ET CITOYEN LE COLLECTIF BUDGÉTAIRE 12 JUILLET 2012 LES FICHES ARGU DU GROUPE SOCIALISTE, RÉPUBLICAIN ET CITOYEN LE COLLECTIF BUDGÉTAIRE 12 JUILLET 2012 FICHE N 1 UN COLLECTIF BUDGÉTAIRE POUR REDRESSER NOS FINANCES PUBLIQUES L e projet de loi de Finances

Plus en détail

SITUATION FINANCIERE DE LA COMMUNE DE MONT DE LANS. Réunion Publique du 6 Aout 2015

SITUATION FINANCIERE DE LA COMMUNE DE MONT DE LANS. Réunion Publique du 6 Aout 2015 SITUATION FINANCIERE DE LA COMMUNE DE MONT DE LANS Réunion Publique du 6 Aout 2015 LE BUDGET PRIMITIF COMMUNAL 2015 BUDGET GLOBAL (13,53 M ) INVESTISSEMENT 2,87M FONCTIONNEMENT 10,66M Dépenses (2,87 M

Plus en détail

Le Pacte de responsabilité et de solidarité

Le Pacte de responsabilité et de solidarité Le Pacte de responsabilité et de solidarité La France est à un moment décisif. Depuis plus de dix ans, l appareil de production s est affaibli, la compétitivité s est détériorée et le niveau de chômage

Plus en détail

ANALYSE FINANCIERE Exercice 2015

ANALYSE FINANCIERE Exercice 2015 ANALYSE FINANCIERE Exercice 2015 Analyse réalisée par Sandra FEVRE, DGS LA FORMATION DE L AUTOFINANCEMENT I - DES RECETTES REELLES DE FONCTIONNEMENT QUI PARTICIPENT LARGEMENT A L AUTOFINANCEMENT DE L INVESTISSEMENT

Plus en détail

EXTRAIT DU REGISTRE DES DÉLIBÉRATIONS DU CONSEIL D'ADMINISTRATION

EXTRAIT DU REGISTRE DES DÉLIBÉRATIONS DU CONSEIL D'ADMINISTRATION EXTRAIT DU REGISTRE DES DÉLIBÉRATIONS DU CONSEIL D'ADMINISTRATION Séance du mardi 17 décembre 2013 à 9h00 présidée par Monsieur Christian BATY, Vice-Président DATE DE CONVOCATION 12 DECEMBRE 2013 NOMBRE

Plus en détail

PROSPECTIVE FINANCIERE 2014-2017 DE LA VILLE VERSION 16 AVRIL 2014!

PROSPECTIVE FINANCIERE 2014-2017 DE LA VILLE VERSION 16 AVRIL 2014! PROSPECTIVE FINANCIERE 2014-2017 DE LA VILLE VERSION 16 AVRIL 2014! Christian Escallier Cabinet Michel Klopfer 6 bis, rue de Larminat 75015 Paris Tél. : 01 43 06 08 10 Fax : 01 47 34 15 83 cescallier@cabinetmichelklopfer.fr

Plus en détail

Ville de Hyères les Palmiers

Ville de Hyères les Palmiers Ville de Hyères les Palmiers Analyse financière rétrospective et prospective du budget principal de la ville Conseil Municipal du 16 septembre 2014 16 septembre 2014 Ville de Hyères / slide 1 Sommaire

Plus en détail

Dossier de presse. 1) Adoption du Compte administratif 2013

Dossier de presse. 1) Adoption du Compte administratif 2013 Dossier de presse Séance plénière, le vendredi 11 avril 2014 1) Adoption du Compte administratif 2013 2) Vote du taux de foncier bâti 2014 Vendredi 11 avril 2014, à 15h30, les élus départementaux sont

Plus en détail

SCPI Renovalys 3. Editorial. SCPI Malraux à capital fixe Bulletin trimestriel d information n 11 Mars 2014

SCPI Renovalys 3. Editorial. SCPI Malraux à capital fixe Bulletin trimestriel d information n 11 Mars 2014 SCPI Malraux à capital fixe Bulletin trimestriel d information n 11 Mars 2014 Editorial Les dernières données statistiques sur le marché locatif révèlent finalement que les loyers ont globalement augmenté

Plus en détail

DIAGNOSTIC SOCIO-ÉCONOMIQUE ET FINANCIER LE BILAN-SANTÉ DE L'INTERCOMMUNALITÉ

DIAGNOSTIC SOCIO-ÉCONOMIQUE ET FINANCIER LE BILAN-SANTÉ DE L'INTERCOMMUNALITÉ DIAGNOSTIC SOCIO-ÉCONOMIQUE ET FINANCIER LE BILAN-SANTÉ DE L'INTERCOMMUNALITÉ FÉVRIER 214 IDENTIFICATION / POPULATION Commune siège : Pau Type de fiscalité : Fiscalité professionnelle unique (FPU) Commune

Plus en détail

SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE

SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE pour l année 2014 Janvier 2014 1/12 Situation financière de l Assurance chômage pour l année 2014 14 janvier 2014 Cette note présente la prévision de la situation

Plus en détail

Les Politiques macro-économiques

Les Politiques macro-économiques Politique Financière Politique Monétaire Politique Fiscale Les Politiques macro-économiques Politique Budgétaire Politique de Crédit Politique Commerciale Politique d Investissement Jocelerme PRIVERT POLITIQUE

Plus en détail

Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1

Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit

Plus en détail

LES MODIFICATIONS DE L INSTRUCTION M 14 ET M 4

LES MODIFICATIONS DE L INSTRUCTION M 14 ET M 4 Décembre 2003 Département Finances Développement Économique LES MODIFICATIONS DE L INSTRUCTION M 14 ET M 4 APPLICABLES A COMPTER DU 1 ER JANVIER 2004 Le Comité de Finances Locales, lors de sa séance du

Plus en détail

Compte administratif 2014 et budget 2015

Compte administratif 2014 et budget 2015 Compte administratif et budget 2015 Bilan au 31 décembre 2013 Excédent global de fonctionnement au 31 décembre 2013 539 500,13 Déficit d investissement 2013 à couvrir (1068) 159 650,37 Marge disponible,

Plus en détail

Mardi 19 mai 2015 20h30-22h30

Mardi 19 mai 2015 20h30-22h30 CONSEIL DE QUARTIER DU CENTRE Mardi 19 mai 2015 20h30-22h30 ORDRE DU JOUR 1- Présentation du budget de la ville 2015 : serré et responsable. 2- Révision du Plan Local d Urbanisme : objectifs, cadre réglementaire

Plus en détail

Une épargne toujours importante, objectif prioritaire pour les collectivités locales

Une épargne toujours importante, objectif prioritaire pour les collectivités locales Une épargne toujours importante, objectif prioritaire pour les collectivités locales Depuis maintenant plusieurs années, les collectivités locales s'efforcent d'augmenter leur épargne afin d'autofinancer

Plus en détail