Rencontre Santé. 9 septembre 2014 DOSSIER DE PRESSE CONTACT PRESSE
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- Marie Chaput
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1 æ Rencntre Santé 9 septembre 2014 DOSSIER DE PRESSE CONTACT PRESSE Patricia Dietrich Tél ars-alsace-cmmunicatin@ars.sante.fr 1
2 Smmaire 1. Les cnduites à risques chez les jeunes : rganisatin d un débat réginal le 11 ctbre page 3 2. Dépliement de la télémédecine en Alsace : état des lieux et perspectives.. page 8 3. L évlutin des dépenses de santé, médic-sciales et de préventin en Alsace en page Annexes page 21 - Affiche débat «Cnduites à risques chez les jeunes n ne va pas se mentir» - Carte réginale des dispsitifs en matière de cnduites à risque chez les jeunes en Alsace, - Guide «Accès aux sins en addictlgie» Intervenants : - Laurent Habert, directeur général - ARS Alsace - Marie Fntanel, directrice générale adjinte - ARS Alsace - Daniel Lrthiis, Président de la Cnférence réginale de la santé et de l autnmie - Marie-Christine Laurent, pôle préventin, prmtin de la santé et accès aux sins ARS - Brun Butteau, pôle appui à la perfrmance et gestin du risque ARS - Dr Stéphane Carnein, chef de pôle Centre départemental de reps et de sins Clmar 2
3 1. Les cnduites à risques chez les jeunes : rganisatin d un débat réginal le 11 ctbre 2014 à Mulhuse L Alsace, cmme les autres régins de France, est cnfrntée au dévelppement des cnduites à risques chez les jeunes âgés de 12 à 25 ans, même si les jeunes s estiment en bnne santé : en 2011, seln l enquête natinale «Statistiques sur les ressurces et cnditins de vie (SRCV) réalisée auprès de jeunes âgés de 16 à 24 ans, plus de 9 enquêtés sur 10 s estimaient «en bnne» u «très bnne» santé. Il n y a pas de spécificité alsacienne en matière de cmprtements à risques. Seln l enquête ESCAPAD réalisée en Alsace en 2011 auprès des jeunes filles et garçns de 17 ans en matière de cnsmmatin de substances psychactives : - 65 % avaient expérimenté le tabac (myenne française : 68,4 %), - 86 % avaient expérimenté l alcl (myenne natinale : 91 %), 7 % en avaient un usage régulier* (10,5 % au niveau natinal), 52 % avaient expérimenté l ivresse (58,5 % au niveau natinal), - 39 % avaient expérimenté le cannabis (41,5 % en France) ; l usage régulier* et qutidien de cannabis était respectivement de 7 % (6,5 % en France) et 4 % (3 % en France), - 2 % auraient expérimenté l hérïne (0,9 % au plan natinal - cette différence purrait s expliquer par la situatin transfrntalière de ntre régin). *10 x par mis La cntaminatin au VIH peut être le reflet d une prise de risque excessive, ntamment en matière de cmprtements sexuels à risques u de cnsmmatin de substances psychactives par vie intraveineuse. En 2013, sur persnnes sérpsitives suivies par les établissements hspitaliers d Alsace, 129 avaient entre 20 et 29 ans (122 en 2012 et 104 en 2011). Par rapprt aux nuvelles persnnes dépistées en 2013, 35 avaient entre 20 à 29 ans (21 en 2012 et 18 en 2011). Surce : COREVIH Alsace Quant aux trubles alimentaires, aux addictins aux jeux u à la pratique de sprts extrêmes, peu de dnnées snt actuellement dispnibles. 1. Les cnduites à risques chez les jeunes : un enjeu de santé publique Les cnduites d essai fnt partie du parcurs du jeune et traduisent une recherche de ses prpres limites. L expérimentatin, prcessus spécifique à l adlescence, dnne lieu à des cnduites d essai qui prennent des frmes variées. Lrsqu elles snt précces u s inscrivent dans la durée, elles peuvent avir des cnséquences smatiques, psychiques, neurcgnitives et sciales imprtantes. Elles peuvent être l expressin d une certaine suffrance en lien avec des facteurs individuels (dépressin, islement, rientatin sexuelle), familiaux (carences affectives, vilences, rejet) et sciétaux (ruptures sclaires, précarité, ), mais également suligner un besin de recnnaissance chez les jeunes. 3
4 Les cnduites à risques se dévelppent chez les jeunes de 12 à 25 ans. Les prfessinnels accueillant u accmpagnant les jeunes en Alsace relèvent les phénmènes suivants : - cnsmmatin de substances psych-actives : alcl, tabac, drgues (pratiques d alclisatin massive et rapide, augmentatin de la cnsmmatin de ccaïne ), - rapprts sexuels nn prtégés, - trubles alimentaires, - usages de prduits dpants et cnsmmatin de prduits déturnés, addictins aux jeux, - vilences dirigées cntre si u les autres par le biais de jeux dangereux, sprts extrêmes, de prise de risques sur la rute 2. La prise en charge des cnduites à risques des jeunes en Alsace Les cnduites à risques chez les jeunes : un enjeu identifié en Alsace Le Prjet réginal de santé (PRS) cnsacre, parmi les 15 prirités retenues pur la péride , une pririté spécifique à ce thème. La pririté 5 du PRS «Prévenir les cnduites à risque des jeunes» définit plusieurs bjectifs, parmi lesquels : - amélirer la cnnaissance du phénmène des cnduites à risque, - inscrire les actins de préventin dans une lgique glbale de prmtin de la santé (actins de frmatin destinées aux acteurs de 1ère ligne), - favriser l accès des jeunes et de leurs parents aux ressurces en matière de préventin des cnduites à risques (faire cnnaître les lieux de ressurces ), - renfrcer la préventin des cnduites à risques (accmpagner les événements festifs, faire évluer les pratiques des prfessinnels ), - faciliter le repérage des cnduites d excès et la cntinuité de prise en charge des jeunes qui s y livrent (rôle des médecins, les travailleurs sciaux, prfessinnels sclaires ). Cette pririté réginale cible les jeunes de 12 à 25 ans dans la mesure ù les cnduites d essai cmmencent dès le cllège et se pursuivent au-delà de l adlescence. Exemples de dispsitifs et d actins mis en œuvre en Alsace Cnsultatins jeunes cnsmmateurs Il s agit de prpser un accmpagnement aux jeunes (mineurs et majeurs) de 12 à 25 ans cnfrntés à des addictins avec prduit (alcl, cannabis, ccaïne, tabac ) u sans prduit (jeux vidé et d argent, internet), ainsi qu à leur enturage. L Alsace cmpte 10 espaces de Cnsultatin Jeunes Cnsmmateurs et 5 antennes qui cuvrent l ensemble du territire réginal. Pints accueil écute jeunes Espaces de prximité, les pints accueil écute jeunes assurent une fnctin d accueil, d écute, de sutien, de sensibilisatin, d rientatin et de médiatin auprès des jeunes de 12 à 25 ans qui rencntrent des difficultés (cnflits familiaux, mal être, échec sclaire), qui se sentent islés u déprimés et qui snt cnfrntés à des situatins à risque. Il en existe 25 en Alsace. 4
5 Maisns des adlescents Il s agit d un dispsitif qui a pur bjectifs d accueillir les adlescents, de leur furnir les infrmatins et les cnseils dnt ils nt besin, de leur ffrir les prestatins les mieux adaptées en favrisant des prises en charge glbales et de cnstituer un lieu ressurce sur un territire dnné pur les acteurs cncernés par l adlescence (parents, prfessinnels, institutins). L Alsace cmpte une maisn des adlescents dans le Bas-Rhin et une dans le Haut-Rhin. (Cf. Carte d implantatin des dispsitifs en annexe) Zm Les maisns des adlescents Les maisns des adlescents d Alsace accueillent les jeunes, leurs prches, ainsi que les prfessinnels (enseignants, travailleurs sciaux, signants, médecins généralistes, psychlgues..). Leurs cnsultatins snt annymes, gratuites et cnfidentielles. L accueil et la prise en charge snt assurés par une équipe pluridisciplinaire cmpsée de médecins, psychlgues, assistantes sciales, infirmières, éducateurs spécialisés, permettant d'intervenir dans les différents champs d'actin des maisns des adlescents. Elles snt cmpétentes pur apprter un sutien face aux difficultés suivantes : mal être, difficultés familiales, trubles sclaires, trubles du cmprtement, prblèmes de sexualité (IVG, prescriptin de cntraceptifs), d'addictins (alcl, drgues, jeux vide), d'alimentatin et prblèmes smatiques. Elles dispsent d utils pur aider les jeunes en danger (vilences physiques et psychlgiques). Des entretiens snt prpsés dans le cadre d un suivi individualisé, de même que des grupes de parles et des ateliers spécialisés. Fcus - Evlutin du nmbre de jeunes accueillis au sein des Pints écute accueil jeunes et des Maisns des adlescents entre 2011 et 2013 Dispsitif Evlutin Cnsultatins jeunes cnsmmateurs Pints écute accueil jeune Maisns des adlescents % ,5% % 5
6 Le guide «Accès aux sins en addictlgie en Alsace» Dispnible sur le site internet de l Agence réginale de santé ce guide indique en particulier les crdnnées de l ensemble des structures intervenant dans le champ des addictins en Alsace décrites ci-dessus. (Cf. Rencntre santé du 12 mars 2013) Cf. annexe Les équipes mbiles d interventin Une équipe mbile d interventin en milieu festif assure des interventins lrs d événements rganisés à Mulhuse et dans sn agglmératin : stands de diffusin d infrmatin et de matériel, d accueil, d écute et de cnseils persnnalisés, de gestes de premier securs, d rientatin vers les dispsitifs de sins de drit cmmun La première interventin a été réalisée en mars Une équipe mbile intervient également dans la Cmmunauté urbaine de Strasburg depuis Sa présence lrs d'un évènement festif se cncrétise par la mise en place de stands d'infrmatin dispsant de matériel de sensibilisatin (brchures, buchns d'reille, préservatifs, éthyltests...). Des binômes vnt à la rencntre des participants sur tut l'espace de la fête et aux abrds. Cette équipe adapte chaque interventin au cntexte de l'évènement. 3. Un débat uvert à tus rganisé le 11 ctbre à Mulhuse : «Cnduites à risques des jeunes - n ne va pas se mentir» Afin de répndre aux besins d infrmatin du grand public, la Cnférence réginale de la santé et de l autnmie (CRSA) d Alsace rganise régulièrement des débats, avec le sutien de l Agence réginale de santé. Après les débats réginaux cnsacrés aux accidents vasculaires cérébraux, aux sins urgents, au diabète et à la Stratégie natinale de santé, la CRSA rganise sn 5ème débat : «Cnduites à risques chez les jeunes n ne va pas se mentir». Celui-ci aura lieu le samedi 11 ctbre 2014 de 15h00 à 17h30 au Kinéplis de Mulhuse. Destiné aux jeunes de 12 à 25 ans, mais également à leurs prches et aux prfessinnels qui les enturent (parents, éducateurs, enseignants, structures assciatives, acteurs de la prise en charge ), le débat traitera de l ensemble des cnduites à risques chez les jeunes : cnsmmatin de substances psych-actives, rapprts sexuels nn prtégés, trubles alimentaires, addictins aux jeux etc Ouvert à tus, le débat s rganisera autur des séquences suivantes : regards crisés : le vécu des jeunes et de leur enturage ; quel regard la sciété prte-telle sur les cnduites d essai chez les jeunes? cmment accmpagner les cnduites d essai des adlescents afin d éviter tute dérive u enlisement? cmment prendre cnscience d une éventuelle dérive? Sur quels utils et structures s appuyer pur faire face à une situatin qui dépasse le plus suvent le jeune et sa famille? Vers qui se turner? 6
7 Des spécialistes interviendrnt pur répndre aux questins du public dans la salle, ainsi qu aux questins qui purrnt également être psées via les réseaux sciaux, mis en œuvre pur la première fis en appui d un débat public par l Agence réginale de santé : la page Facebk dédiée au débat (à cmpter du 15 septembre 2014), le cmpte Twitter créé pur l événement (à cmpter du 15 septembre 2014). Interactif, le débat sera pnctué de mments musicaux animés par la chanteuse alsacienne Jewly. Le prgramme détaillé du débat cmprtant la liste des intervenants sera cnsultable en ligne sur le site de l Agence réginale de santé à partir du 15 septembre, et sera transmis à la presse via un cmmuniqué de presse. Ce débat purra faire l bjet d une déclinaisn au niveau lcal, dans un secnd temps, en partenariat avec les acteurs intéressés (établissements sclaires, ). L ARS et les cnduites à risques chez les jeunes L Agence réginale de santé intervient à plusieurs niveaux : - elle définit, dans le cadre du Prjet réginal de santé, les actins à mettre en œuvre au regard des cnduites à risques chez les jeunes ; - elle impulse et finance des actins de prmtin de la santé en directin des jeunes et de leur enturage, ainsi que des frmatins en directin des acteurs de la prise en charge des cnduites à risques ; - elle assure une veille sanitaire et diffuse les alertes sur la dangersité des prduits cnsmmés, à destinatin des prfessinnels de santé ; - elle crdnne les plitiques de l ensemble des parties prenantes : Etat, assurance maladie et cllectivités lcales. 7
8 2. Dépliement de la télémédecine en Alsace : état des lieux et perspectives Eléments de cntexte La télémédecine est une nuvelle frme de pratique médicale en émergence en Alsace cmme dans les autres régins françaises. Elle permet, à distance : - d établir un diagnstic, - d assurer, pur un patient à risque, un suivi dans le cadre de la préventin u un suivi pst thérapeutique, - de requérir un avis spécialisé, - de préparer une décisin thérapeutique, - de prescrire des prduits, de prescrire u de réaliser des prestatins u des actes, - d effectuer une surveillance de l état de santé des patients. Recnnue par la li Hôpital, patients santé et territires du 21 juillet 2009 cmme une pratique médicale à distance mbilisant des technlgies de l infrmatin et de la cmmunicatin (TIC), elle : - fait l bjet d un cmité de piltage natinal qui a identifié, dès 2011, les champs d applicatins priritaires : permanence des sins en imagerie médicale, prise en charge des accidents vasculaires cérébraux, santé des persnnes détenues, prise en charge d une maladie chrnique - insuffisance rénale chrnique, insuffisance cardiaque, diabète -, sins en structure médic-sciale u en hspitalisatin à dmicile, - cnstitue l un des engagements du Pacte Territire Santé* et l un des chantiers priritaires. La télémédecine ne se substitue pas aux pratiques médicales actuelles mais elle permet d amélirer l accès aux sins et leur qualité, de renfrcer la qualité de vie des malades u de répndre à un prblème de santé publique. En Alsace, la télémédecine cnstitue l une des prirités du Prjet réginal de santé (pririté 11 : «Faciliter la circulatin de l infrmatin entre les acteurs de la santé»). Un recensement natinal des activités de télémédecine, réalisé en 2013 par la directin générale de l ffre de sins du Ministère de la santé, cmptabilisait 331 dispsitifs (256 en 2012) : - la mitié d entre eux étaient exclusivement hspitaliers, - La télémédecine prteuse de prgrès pur les patients et pur l rganisatin de la santé - un tiers impliquait le secteur ambulatire, - les deux-tiers cncernaient une activité de télécnsultatin u de télé-expertise, - un tiers cnsistait en des actes de télésurveillance u de téléassistance médicale. - de la Stratégie natinale de santé **. *plan présenté en décembre 2012 par Mme Marisl Turaine, ministre de la Santé et des affaires sciales ** stratégie présentée en septembre 2013 par Mme Marisl Turaine, ministre de la Santé et des affaires sciales 8
9 1. La télémédecine prteuse de prgrès pur les patients et pur l rganisatin de la santé Qu est-ce que la télémédecine? La télémédecine est une frme de pratique médicale à distance qui met en rapprt entre eux, par la vie des nuvelles technlgies : - sit le patient et un/plusieurs prfessinnels de santé, - sit plusieurs prfessinnels de santé - parmi lesquels au mins un prfessinnel médical intervenant avec d autres prfessinnels (infirmier(e), aide-signant(e) ). Parmi les actes de télémédecine, n distingue : la télécnsultatin : un médecin dnne une cnsultatin à distance à un patient, lequel peut être assisté d un prfessinnel de santé ; le patient et/u le prfessinnel à ses côtés furnissent les infrmatins, le médecin à distance pse le diagnstic ; la télé-expertise : un médecin sllicite à distance l avis d un u plusieurs cnfrères en raisn de leur frmatin u de cmpétences particulières, sur la base d infrmatins médicales liées à la prise en charge d un patient ; la télésurveillance médicale : un médecin surveille et interprète à distance les paramètres médicaux d un patient (insuffisance rénale, insuffisance cardiaque ) et, le cas échéant, prend des décisins relatives à sa prise en charge ; l enregistrement et la transmissin des dnnées peuvent être autmatisées u réalisées par le patient lui-même u par un prfessinnel de santé ; la téléassistance médicale : un médecin assiste à distance un autre prfessinnel de santé au curs de la réalisatin d un acte, la régulatin médicale : les médecins des Centres 15 établissent par téléphne un premier diagnstic afin de déterminer et de déclencher la répnse la mieux adaptée à la nature de l appel. La télémédecine est prteuse de prgrès pur les patients et pur l rganisatin de la santé. Elle permet en particulier d amélirer : l accès aux sins, en apprtant une expertise spécialisée à prximité pur des patients en situatin d islement u d élignement gégraphique, la qualité de vie de la persnne âgée u du patient, en évitant le déplacement répété de persnnes fragiles, au plus près de leur lieu de vie, le suivi médical des patients suffrant d une pathlgie chrnique (ex. suivi dans l intervalle entre 2 cnsultatins), la rapidité de prise en charge, ntamment dans les situatins d urgence qui nécessitent le recurs à l expertise médicale (AVC, traumatisme crânien ), la mbilisatin de la cmpétence médicale, la valrisatin de centres experts, la mutualisatin de la ressurce médicale rare (en cas de faiblesse numérique d équipes), la réductin de l islement de prfessinnels de santé et la cllabratin entre les prfessinnels de santé (médecin et infirmière, médecin généraliste et médecin spécialiste ), l ptimisatin des dépenses de santé (frais de transprts évités, préventin des hspitalisatins ). 9
10 Le matériel nécessaire est le suivant : - pur le patient : tablette, rdinateur prtable, statin/charrit de télémédecine, cncentrateur de flux venant d appareils de mesure u de dispsitifs médicaux, - pur le prfessinnel médical : tablette, rdinateur prtable, serveur au sein d un établissement - un réseau d accès sécurisés entre les différents intervenants, - des services réginaux (partage d images, visiphnie ). Les acteurs de la télémédecine : Secteur hspitalier Hôpital de prximité Hôpital de référence Le patient Secteur médic-scial Ehpad, Maisn de reps à dmicile Secteur ambulatire Prfessinnel de santé libéral Centre de santé 2. Les premières avancées de la télémédecine en Alsace Depuis 2012, l Agence réginale de santé sutient en myens humains et financiers les premiers prjets de télémédecine dans le cadre de la mise en œuvre du Prjet réginal de santé et du Schéma réginal des systèmes d infrmatin. - Le prjet SIMRAL (Service d images médicales en régin Alsace) S appuyant sur le Clud cmputing, il prpsera un service clé en main aux prducteurs et cnsmmateur d images médicales. Il dnnera aux prfessinnels les myens de partager des dnnées, en sutien aux diverses activités de télémédecine dévelppées en Alsace : - télé-cnsultatin et télé-expertise (CH de Clmar et Centre pénitentiaire d Ensisheim) - télé-cnsultatin en Ehpad (cf. ci-après). Les images sernt diffusables jusqu au patient et sn médecin traitant, en cmplément d autres myens numériques de partage et d échanges d infrmatins tels que le Dssier médical partagé (DMP) et la messagerie sécurisée de santé. - La télémédecine au bénéfice de persnnes résidant en Ehpad Cinq expérimentatins nt été mises en place dans la régin, permettant de réaliser des actes de télécnsultatin et de télé-expertise au bénéfice de persnnes résidant en Ehpad (Etablissement pur persnnes âgées dépendantes), et assciant des prfessinnels au sein d établissements sanitaires u installés en ville. 10
11 A la suite d un appel à prjets lancé par l Agence réginale de santé, cinq prjets nt été retenus, répartis sur l ensemble de la régin : - tris dans le Bas-Rhin, prtés par les établissements de Werth, Bischwiller, Gerstheim, - deux dans le Haut-Rhin, prtés par les établissements de Ruffach et le Centre départemental de reps et de sins (CDRS) de Clmar. Ces dispsitifs impliquent à ce jur 9 Ehpad, 3 établissements sanitaires, 2 établissements psychiatriques et 10 médecins libéraux. S inscrivant dans un cntexte d augmentatin du nmbre de persnnes très âgées, ils permettent de rapprcher les sins spécialisés du lieu de vie, d éviter le déplacement des persnnes fragiles, de prévenir les hspitalisatins par une meilleure prise en charge en amnt. Zm La télémédecine au Centre départemental de reps et de sins (CDRS) Le prjet du CDRS, initié dès juillet 2013, s appuie sur une expérience préalable et épruvée de visicnférence médic-signante. Il met à dispsitin d Ehpad et d établissement pur persnnes handicapées du Haut-Rhin, dnt le CDRS assure la crdinatin médicale, une cmpétence d expertise dans plusieurs dmaines : gériatrie, psych-gériatrie, rééducatin fnctinnelle, prise en charge du handicap. Les actes de télémédecine mis en œuvre snt les suivants : - télécnsultatin / télé-expertise par un médecin apprtant un sutien aux médecins généralistes, médecins crdnnateurs et rééducateurs en charge des résidents : évaluatin des déficiences (examen sté-articulaire, neurmusculaire, trubles urinaires ), évaluatin fnctinnelle (verticalisatin, marche ), avis sur les myens persnnalisés de cmpensatin des handicaps, avis sur les examens de radilgie standard, avis prépératire, puis pstpératire en cllabratin avec l équipe chirurgicale (cicatrices, évlutin fnctinnelle, prise en charge en kinésithérapie, appareillage ), - télécnsultatin / télé-expertise par un médecin et un rééducateur (ergthérapeute, psychmtricien) : évaluatin pst-chute pur les cas cmplexes, cnseils et précnisatins, cnseil sur les installatins persnnalisées (fauteuils rulants, aides techniques ). 11
12 - La télémédecine destinée aux patients détenus Un dispsitif de télémédecine a été mis en place assciant le Centre Hspitalier de Clmar et l unité sanitaire du Centre pénitentiaire d Ensisheim. Depuis mars 2014, l'activité de télémédecine a représenté 26 télécnsultatins : 6 en anesthésilgie-réanimatin, 20 en dermatlgie, suivi de plaies et cicatrisatin. - La télésurveillance à dmicile de patients insuffisants cardiaques Le dispsitif de télésurveillance des malades insuffisants cardiaques, prté par le réseau mulhusien de préventin cardivasculaire Asprema* désrmais Réseau Santé Sud Alsace, est pératinnel depuis janvier Il intervient en cmplément de l éducatin thérapeutique du patient celle-ci débutant dès l hspitalisatin du patient et se prlngeant après sn retur à dmicile. La télésurveillance à dmicile permet : - d entretenir la mtivatin du patient en matière d éducatin thérapeutique : celui-ci reçit des messages (générés autmatiquement par un algrythme de suivi) sur un Tablet PC dté d un écran digital mis à dispsitin du patient à dmicile, - d interrger le patient tus les jurs sur les symptômes d alerte (essufflement, œdème, tux ), le patient répndant aux questins psées grâce à l écran digital ; - une surveillance des paramètres tels que le pids, la tensin artérielle, la fréquence cardiaque, vire la saturatin en xygène. Les dnnées snt entrées au niveau de l écran digital par le patient et transmises qutidiennement au Centre de préventin Asprema. L infirmière respnsable de l éducatin thérapeutique du patient réceptinne ces dnnées. Un système d alerte est déclenché lrsque les paramètres s écartent des limites définies pur chaque individu (par ex., en cas de prise de pids, des mesures snt prises pur majrer le traitement, adapter la restrictin hydrique et le régime sans sel). Des prtcles snt mis en place en relatin avec le médecin traitant et le cardilgue. Le suivi de la mise en œuvre de cette télésurveillance est assuré par un cmité de piltage Asprema réunissant 5 cardilgues et 3 médecins généralistes. Début juillet 2014, une dizaine de tablettes étaient utilisées dans le cadre du réseau Asprema (sur 121 patients suivis pur leur insuffisance cardiaque), avec une excellente adhésin des patients, un cntact régulier avec l infirmière apprécié, des patients âgés n ayant pas de difficultés particulières pur utiliser le dispsitif de télésurveillance. Entre le 1er janvier et le 1er juillet 2014, 507 messages de télésurveillance nt été réceptinnés et traités par l infirmière. *le réseau Asprema est en curs de transfrmatin en réseau territrial de prise en charge des maladies métabliques (diabète, cardi-vasculaire) 12
13 Zm - Les premiers usages de la télémédecine en Alsace en quelques chiffres Au 10 juin 2014 : 320 télé-actes de télé-expertise, téléassistance et télécnsultatin réalisés : plus de 81 heures de prise en charge de patients à distance, 16 minutes en myenne par télé-acte 10 télé-actes nn prgrammés 22 télé-actes qui n auraient pu avir lieu sans télémédecine principaux mtifs : dermatlgie, suivi de plaies de cicatrisatin (208 / 320) médecine générale, gériatrie (76 / 320) psychiatrie, neurpsychlgie (22 / 320) répartitin des actes seln le prfil des patients cncernés : 62 % pur des persnnes âgées 34 % pur des persnnes handicapées 4 % pur des détenus 15 sites gégraphiques, 17 médecins indicateurs de satisfactin : 98,6 % de patients satisfaits à très satisfaits 94 % de patients «cmpliants» à «très à l aise» lrs d un 1er télé-acte. (surce : Alsace e-santé) 3. L Alsace, régin pilte d expérimentatin des usages et tarifs préfigurateurs La li de financement de la Sécurité sciale pur 2014 a prévu (art. 36) l expérimentatin du financement d actes de télémédecine en ville (maisns et centres de santé, cabinets libéraux ) et en structure médic-sciale (maisns de retraite, Ehpad ). L enjeu de ces expérimentatins, dans un cntexte ù 53 % des prjets de télémédecine en France snt intégralement mis en œuvre dans des établissements de santé, est de favriser le dépliement de la télémédecine hrs des murs de l hôpital, en mettant en place des tarificatins préfiguratrices pur les intervenants en ville et en structure médic-sciale. L Alsace figure parmi les 9 régins piltes retenues* pur expérimenter des tarifs préfigurateurs et incitatifs des prjets de télémédecine en ville et dans le secteur médic-scial, sur une durée de 4 ans, cntribuant ainsi à la déterminatin d un mdèle écnmique de la télémédecine susceptible d encurager sn dévelppement. L bjectif est d expérimenter et d rganiser un retur d expérience en matière d usages (ex. : qualité du suivi du patient atteint d une maladie chrnique à dmicile) et de tarificatin. Au terme de ces expérimentatins, une évaluatin sera réalisée par la Haute Autrité de Santé, en vue d une généralisatin France entière en liaisn avec les Agences réginales de santé, les rganismes lcaux d assurance maladie, les prfessinnels de santé, les centres de santé, les établissements de santé et les établissements médic-sciaux. *Avec la Basse-Nrmandie, la Burggne, le Centre, la Haute-Nrmandie, le Languedc-Russilln, la Martinique, les Pays de la Lire et la Picardie 13
14 L Agence réginale de santé et la télémédecine L ARS intervient à plusieurs niveaux : - définitin d une stratégie réginale de dépliement de la télémédecine, déterminant les axes priritaires de dévelppement (Plan réginal de télémédecine du Prjet réginal de santé ) et s appuyant sur la mbilisatin des acteurs : établissements de santé, médecins libéraux et leurs représentants, rganismes d assurance maladie, cnseils généraux - financement du dévelppement de la télémédecine : aide à l acquisitin d utils (charits ), mise en place et accmpagnement des prjets, rémunératin des acteurs de la télémédecine (praticiens libéraux, établissements, réseaux de santé) ( pur la péride ), - cntractualisatin avec les acteurs de la télémédecine, sus la frme de cnventins signées avec les rganismes lcaux d assurance maladie, les prfessinnels de santé, les établissements de santé et les établissements sciaux et médic-sciaux vlntaires. - expérimentatin de prjets, et ntamment de tarificatins préfiguratrices pur les actes de télémédecine. La maîtrise d uvrage pératinnelle du dépliement de la télémédecine en Alsace est assurée par le Grupement de cpératin sanitaire Alsace e-santé : identificatin des utils requis, rédactin du cahier des charges et cnduite de la cnsultatin permettant la désignatin de l pérateur technique (furniture de charrits, équipements médicaux, lgiciels ), piltage des prjets, animatin des grupes de travail, suivi pératinnel, 14
15 3. L évlutin des dépenses de santé, médic-sciales et de préventin en Alsace en Un ttal de 5,555 milliards d en Alsace en 2013 Ce mntant crrespnd aux dépenses liées aux prescriptins et aux sins dispensés par les prfessinnels de santé et les établissements de santé en Alsace financées par l Etat, les régimes d Assurance Maladie et la Caisse natinale de slidarité pur l autnmie*. Ces dépenses snt en prgressin de 3,2 % par rapprt à l année 2012 (+ 2,3 % au plan natinal). Cette prgressin est essentiellement due : - aux sins de ville, - aux établissements de santé, qui représentent 83% des dépenses ttales, et dnt le taux d évlutin réginal (respectivement +2,6% et + 2,5 %) est supérieur au taux natinal (+1,9% pur chacun de ces deux pstes de dépenses). Ce mntant a représenté près de par habitant (myenne natinale : par habitant). *ce mntant ne prend pas en cmpte les dépenses de santé prises en charge par les assurés, les mutuelles cmplémentaires et les assurances privées Les principaux pstes de dépenses en Alsace en 2013 (en millins d'eurs) DEPENSES DE SOINS DE VILLE M (41,7 %) DEPENSES DES ETABLISSEMENTS DE SANTE M (41,4 %) DEPENSES DE SANTE PUBLIQUE 24 M (0,4 %) 5AUTRES DEPENSES SANITAIRES ET MEDICO-SOCIALES 43 M (0,8 %) AUTRES PRESTATIONS ACCIDENTS DU TRAVAIL, MALADIES PROFESIONNELLES, INVALIDITE, DECES 323 M (5,8 %) 3. VERSEMENTS AUX ETABLISSEMENTS ET SERVICES MEDICO- SOCIAUX 548 M (9,9 %) 15
16 2. Sins de ville : 2, 318 milliards d en 2013 D un mntant de 2,318 milliards d, les dépenses de sins de ville nt cntinué de représenter le premier pste de dépenses avec une évlutin de + 2,6 % (myenne natinale : + 1,9 %). Répartitin par pste de dépenses - sins de ville MEDICAMENTS ET LlISTE DES PRODUITS ET PRESTATIONS 34,2% HONORAIRES PROFESSIONNELS LIBERAUX 37,4% INDEMNITES JOURNALIERES 15,5% TRANSPORTS DE MALADES 3,7% BIOLOGIE MEDICALE 4,4% AUTRES DEPENSES DE SOINS DE VILLE, CENTRES DE SANTE, SOUTIEN A LA QUALITE DES SOINS 4,7% On nte une évlutin marquée pur : - les hnraires paramédicaux des infirmiers (+ 10,5 %) et des kinésithérapeutes (+10,7%) : cette prgressin s explique par la revalrisatin tarifaire des actes intervenue mi-2012 ainsi qu une démgraphie réginale très dynamique (la densité d infirmiers libéraux pur habitants ayant augmenté de 11%, celle des masseurs-kinésithérapeutes de 6% entre 2012 et 2013) ; - les transprts de malades : +5,6%. Les dépenses de sins de ville nt représenté un mntant de par habitant (myenne natinale : ). 16
17 3. Etablissements de santé : 2, 299 milliards d en 2013 En 2013, les dépenses des établissements de santé se snt élevées à 2, 299 milliards d, en prgressin de 2,5% par rapprt à l année 2012 (+ 1,9 % France entière). Répartitin par pste de dépenses - établissements de santé Médecine, chirurgie, bstétrique 78,2% Sins de suite et de réadaptatin 10,5% Psychiatrie 9,6% Activité de sins de lngue durée 1,4% Autres dépenses 0,3% Les dépenses en établissement de santé nt représenté une myenne de par habitant (1 164 au niveau natinal). On nte une évlutin marquée des dépenses liées à l activité de médecine, chirurgie et bstétrique : + 2,1 % (+ 1,7 % au niveau natinal). 17
18 4. Etablissements et services médic-sciaux : 548 millins d en 2013 Les dépenses liées aux établissements et services médic-sciaux nt prgressé de 4,1 % en 2013 (+ 4,1 % au niveau natinal). Ce mntant crrespnd à une dépense myenne de 296 par habitant (myenne natinale : 315 ). Versements aux établissements et services pur persnnes âgées 45,1% Répartitin par pste de dépenses - établissements et services médic-sciaux Versements aux établissements et services pur persnnes handicapées 44,8% Autres (fnds d'aide aux services à dmicile, frmatin...) 0,7% Dtatins aux établissements accueillant des persnnes cnfrntées à des difficultés spécifiques 2,2% Dtatins de fnctinnements aux ESAT 7,2% 18
19 Fcus les dépenses liées aux établissements et services pur persnnes âgées et handicapées (90 % des dépenses médic-sciales) Pur les persnnes âgées : les dépenses nt prgressé de + 3,1 % (+ 4,1 % au plan natinal), ce qui a ntamment permis : - le financement de la médicalisatin des EHPAD, - l uverture de places nuvelles : 274 places d EHPAD 13 places d hébergement tempraire 12 places d accueil de jur 56 places de Service de Sins Infirmiers à Dmicile (SSIAD) 11 Pôles d'activités et de Sins Adaptés (PASA) 30 places d Equipes Spécialisées Alzheimer (ESA) 2 platefrmes de répit et d accmpagnement des aidants familiaux persnnes atteintes de maladie d Alzheimer u apparentées. Pur les persnnes handicapées : les dépenses nt augmenté de + 3,7 % (+ 3,4 % au plan natinal), ce qui a ntamment permis la créatin de : - 18 places en Service d'accmpagnement médic-scial pur adultes handicapés (SAMSAH) - 5 places en Fyer d'accueil médicalisé (FAM) - 24 places en Institut médic-éducatif (IME) - 48 places en Service d'educatin spécialisée et de sins à dmicile (SESSAD) - 3 places en Service de sins infirmiers à dmicile (SSIAD) - 1 antenne d un Centre médic-psych-pédaggique (CMPP) - 15 places en Centre d actin médic-sciale précce (CAMSP). 5. Préventin : 24 millins d en 2013 En 2013, 23,78 millins d nt été cnsacrés à la préventin. Les actins de préventin nt ntamment cncerné la vaccinatin, la préventin de la tuberculse, des cancers et des autres maladies chrniques, la préventin du SIDA et des infectins sexuellement transmissibles. A nter que, sur ce ttal, nt été financés par le Régime lcal. 19
20 L Agence réginale de santé et le suivi des dépenses de santé L Agence réginale de santé assure le suivi, au plan réginal, des dépenses de santé et médic-sciales financées par l Etat, les régimes d Assurance Maladie et la Caisse natinale de slidarité pur l autnmie en Alsace. Cette missin dévlue à l ARS par la li Hôpital, patients, santé et territires, s inscrit dans le cntexte de maîtrise des dépenses de santé au regard de l Objectif natinal des dépenses d assurance maladie (ONDAM). Ce suivi des dépenses est assuré, au sein de l ARS, par le pôle "bservatins et analyse des dnnées de santé", qui analyse et synthétise les dnnées relatives à l ensemble des dmaines d interventin de l Agence, depuis la préventin jusqu aux sins et à l accmpagnement médicscial. 20
21 4. Annexes 21
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