Chapitre 3 LE MOMENT CINÉTIQUE : UN EXEMPLE DE SYSTÈME QUANTIQUE

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Chapitre 3 LE MOMENT CINÉTIQUE : UN EXEMPLE DE SYSTÈME QUANTIQUE"

Transcription

1 Chapite 3 LE MOMENT CINÉTIQUE : UN EXEMPLE DE SYSTÈME QUANTIQUE Se epote à la bibliogaphie pou le détail des démonstations et la desciption de l expéience de Sten et Gelach. 3.1 Définitions a- Considéons une paticule décite pa une fonction d onde scalaie ψ( ) enepésentation position. On définit le moment cinétique obital pa appot à l oigine comme l ensemble des tois opéateus où p x = i~ x. On écit donc L x = yp z zp y ; L y = zp x xp z ; L z = xp y yp x L = i~ En utilisant les elations de commutation [p x,x]= i~; [p x,y]=[p x,z]=0ainsi que celles qui s en déduisent pa les pemutations de (x, y, z), onobtient: [L x,l y ]=i~l z ;[L y,l z ]=i~l x ;[L z,l x ]=i~l y En utilisant les popiétés du poduit vectoiel, cette elation s écit symboliquement sous la fome : L L = i~ L b- De façon généale on définit un moment cinétique J comme un ensemble de tois opéateus obsevables (J x,j y,j z ) satisfaisant la elation J J = i~ J Les opéateus J x,j y,j z sont des obsevables associées à la mesue de la pojection du moment cinétique su les tois axes Ox, Oy, Oz d un epèe othonomé galiléen. c- On définit également les tois opéateus J,J + et J J := J x + J y + J z,j ± := J x ± ij y = J

2 0 Le moment cinétique 3. Relations utiles On véifie les elations de commutation suivantes ente les opéateus quelconques A, B et C a- On démonte alos [AB, C] =A[B,C]+[A, C]B et [A, BC] =B[A, C]+[A, B]C b- On véifie également les elations [ J,J x ]=[ J,J y ]=[ J,J z ]=0, [ J,J ± ]=0 [J z,j ± ]=±~J ±, [J +,J ]=~J z J + J = J + ~J z Jz J J + = J ~J z Jz c- On démonte que les valeus popes, Λ, de l obsevable J sont éelles non négatives. Toute quantité Λ peut donc s écie sous la fome Λ = j(j +1)~ où j est une quantité non négative complètement déteminée (une fois que Λ est donné). Les valeus popes de J seont pises sous la fome j(j +1)~ avec j 0. LesvaleuspopesdeJ z sont éelles ca J z est une obsevable ; on les écit sous la fome m~ où m est éel. La quantité m ~ est le ésultat éventuel d une mesue de J z, elle est donc de mêmes dimensions physique qu un moment cinétique ; ~ s expime en Js, ses dimensions sont donc celles d un moment cinétique et, pa conséquent, m est un nombe sans dimensions (on véifie qu il en est de même de j). Les obsevables J et J z commutent. On choisit une base standad de l espace des états, { j, m, τi} constituée de vecteus popes de chacun de ces deux opéateus : J j, m, τi = j(j +1)~ j, m, τi et J z j, m, τi = m~ j, m, τi On peut considée l indice τ comme la valeu pope d une toisième obsevable, T, telle que T, J et J z foment un ECOC. Pou simplifie, nous supposons que T commute également avec J + et J. Nous considéons le sous-espace pope de T pou la valeu pope τ, noté E τ. Dans ces conditions, les opéateus J x,j y et J z sontdesopéateusintenesàe τ.ilen est de même de tous les polynômes que l on fome à pati de ces opéateus, tels J ± et J. 3.3 Bases standads Nous considéons le sous-espace E j,τ, espace pope des obsevables T et J pou les valeus popes τ et ~ j (j +1). Considéons un ket ψi de E j,τ. Fomons le ket K ψi où K est une combinaison linéaie de J x,j y et J z (pa exemple K = J + ). Les elations hk, i J =0=[K, T] impliquent que K ψi estégalementunketdee j,τ. En effet, T(K ψi) = K(T ψi) = τk ψi. Le ket K ψi est vecteu pope de T pou la valeu pope τ. De même on démonte qu il est également vecteu pope de J pou la valeu pope ~ j (j +1). Le ket K ψi appatient donc à E j,τ.

3 Bases standads 1 a- Soit un état ψi tel que J ψi = j(j +1)~ ψi et J z ψi = m~ ψi. L ensemble des états satisfaisant ces popiétés fome un sous-espace vectoiel, E j,m,τ de l espace des états, E. On démonte la elation m p j(j +1). b- On véifie quej + ψi E j,m+1,τ. En appliquant successivement J + on monte une échelle au dessus de ψi dont chaque nouveau baeau est un vecteu. La valeu de m s accoît d une unité à chaque baeau. La elation m p j(j +1)implique que cette échelle possède un nombe fini de baeaux au dessus de ψi. Il existe donc un vecteu de tête non nul ψ Max i tel que J + ψ Max i =0. c- De même J ψi E j,m 1,τ. On descend une échelle au dessous de ψi en appliquant successivement l opéateu J. La elation m p j(j +1) implique que cette échelle possède un nombe fini de baeaux au dessous de ψi. Le denie vecteu de l échelle non nul est le vecteu de queue ψ min i tel que J ψ min i =0. d- Les elations J J + ψi = ~ (j(j +1) m(m +1)) ψi et J + J ψi = ~ (j(j +1) m(m 1)) ψi assuent que c est la même échelle que l on monte et que l on descend dans E τ, au moyen de J + et J ca deux kets popotionnels décivent le même état physique. e- A ψ Max i et ψ min i coespondent la valeu maximale m Max et minimale m min de m. Pa conséquent m Max m min = N, un entie non négatif. L étude de hψ Max J J + ψ Max i et de hψ min J + J ψ min i conduisent aux elations m Max = j et m min = j. On obtient donc les elations j = N et m = j, j +1, j +,..., j 1, j Losque N est pai, j est entie ; losque N est impai j est dit demi entie. f- La base standad est obtenue en imposant les elations de nomalisation suivantes : J j, m, τi = ~ p j(j +1) m(m 1) j, m 1,τi (3.1) J + j, m, τi = ~ p j(j +1) m(m +1) j, m +1,τi En patant d un vecteu de tête j, j, τi nomalisé, tous les vecteus en dessous sont également nomalisés. En appliquant (J ) j sulevecteudetêteonobtientle vecteu de queue, j, j,τi. En emontant l échelle à pati du vecteu de queue on etouve su chaque baeau le vecteu ket déjà obtenu en descendant l échelle.

4 Le moment cinétique 3.4 Le spin 1/ Considéons le cas j =1/. Danscecasm = ±1/. Choisissons pou base de E les vecteus { j, mi}. Posons 1/, 1/i := +i et 1/; 1/i := i. Leselations pécédentes donnent J z ±i = ± ~ ±i J + +i =0 J +i = ~ i J + i = ~ +i J i =0 Dans ce cas le moment cinétique est noté S de péféence à J :Leselations ci-dessus founissent la epésentation de S dans la base standad considéée : 1 0 +i = ; i = = 0 1 S z = ~ On écit 1 0 ; S = ~ 0 1 ; S 0 0 = ~ S = ~ σ avec σ x = ; σ y = ; S x = S + + S ; S y = S + S i 0 i 1 0 ; σ i 0 z = 0 1 Les matices σ x,σ y,σ z sont les matices de Pauli. Remaquons que nous avons (pa abus d écitue) identifié les kets aux matices colonne qui les epésentent et les opéateus à leu epésentation. Cet abus d écitue est souvent patiqué losqu il n y a pas d ambiguïté. 3.5 Le moment cinétique obital a- On peut epée les point de l espace en coodonnées sphéiques, θ, ϕ : x = sin(θ)cos(φ); y = sin(θ)sin(φ); z = cos(θ) La fonction d onde scalaie d une paticule est alos une fonction de, θ, φ notée ψ(, θ, φ). Etant donné deux états Φi et Ψi, leu poduit scalaie s écit hφ Ψi = Z + Z π Z π =0 φ=0 θ=0 Φ (, θ, φ) Ψ(, θ, φ) sin θ ddθdφ b- Considéons le moment cinétique obital L. On obtient les expessions suivantes L z = i~ φ, L = ~ θ + 1 tan θ θ + 1 sin θ φ L + = ~ e iφ θ + i,l = ~ e iφ tan θ φ θ + i tan θ φ Supposons pou fixe les idées que la paticule possède une masse M et qu elle est soumise à une énegie potentielle V () (potentiel cental). Son hamitonien est alos H = p ~ ~ + V () = + V () = M M M d + + V ()+ 1 M L Dans tous les cas on peut intoduie une obsevable K, convenablement choisie, n agissant que su la vaiable, afin de fome l ECOC { L,L z,k}. Cependant pou étudie le poblème de la paticule soumise à un potentiel cental, il est intéessant de considée le cas où { L,L z ; H} foment un ECOC.

5 Le moment cinétique obital 3 c- Dans le cas du moment cinétique obital, on utilise la notation de péféence à j. Considéons une base standad dont on note ψ E,,m (, θ, φ) la fonction d onde des kets qui la constituent. Hψ E,,m = Eψ E,,m, L ψ E,,m = ~ ( +1)ψ E,,m (3.) L z ψ E,,m = ~mψ E,,m = i~ φ ψ E,,m (3.3) La elation (3.3) donne ψ E,,m = e imφ u E,,m (, θ). Les points (, θ, φ) et (, θ, φ +π) sont confondus, ce qui implique ψ E,,m (, θ, φ) =ψ E,,m (, θ, φ +π), soite imπ =1 m est un entie elatif. Ainsi m Max = est un entie non négatif. d- On détemine la fonction d onde du vecteu de tête, ψ E,, = e i φ u E,, (, θ) au moyen de la elation L + e i φ u E,, (, θ) =0 u E,, cos θ θ sin θ u E,, =0 En intégant cette équation difféentielle on touve u E,, = c sin θ R E, () où R E, () est une fonction de (déteminée pa la pemièe des elations (3.) et c une constante abitaie. On choisit c = ( 1) ( +1)!! 4π et on pose Y := c e i φ sin θ e- On obtient ψ E,,m en appliquant les elations de écuences (3.1). L opéateul n agit pas su la vaiable ;ontouve: ψ E,,m = R E, (, θ) Y m (θ, φ) avec Y m = s Y m ( 1) +1 (θ, φ) =! 4π = ( 1) +m! ER E, () = ~ R E, () M + s ( + m)! ( )!( m)! L ~ m Y (θ, φ) (3.4) ( + m)! ( m)! eimφ sin m θ d m 1 x dx m x=cos θ s +1 ( m)! 4π ( + m)! eimφ sin m θ d +m dx +m 1 x x=cos θ R E, () +V () R E, ()+ ~ ( +1) M R E, () (3.5) Le choix de c assue les conditions d othonomalisation : Z π θ=0 Z π φ=0 (Y m ) Y m0 sin θ dθdφ = δ 0 0δ mm 0 Les fonctions Y m (θ, φ) sont les hamoniques sphéiques, elles sont indépendantes de la façon dont on a complété l ECOC (au moyen de H ou d un aute opéateu). On donne dans la figue ci-dessous la epésentation polaie des fonctions θ 7 Y m pou =0, 1, :

6 4 Le moment cinétique 3 1 = 15 Y0 0 = 1 Y ±1 4π 15 Y ± = 3π e±iφ sin θ Y ±1 = 3 8π e±iφ sin θ Y1 0 = 4π cos θ 8π e±iφ sin θ cos θ Y 0 = 5 16π 3cos θ 1 θ 7 Y 0 = ρ θ 7 0 ±1 Y 1 = ρ θ 7 Y 0 1 ± θ 7 Y ±1 θ 7 Y θ 7 Y 0 f- Pou les états liés, dont la pobabilité de pésence décoît ves zéo losqu on s éloigne ( ), les valeus popes de H sont discètes. La elation (3.5) monte qu elles dépendent de. L indice étant donné on intoduit l indice k (k =1,,...) destiné à numéote ces valeus popes, E k,, en ode coissant (E 1, <E, <...). Onposen = + k et on effectue le changement de notation R E, 7 R n, et E k, 7 E n, (avec n = k + > ). Dans le cas d une paticule de chage q e = e, demassem e, soumise au potentiel électostatique cental d une chage e = q e, l énegie E n, ne dépend que de n. On démonte E n = E 0 /n. L énegie fondamentale est E 0 = m e c α / ' 13, 6 ev.laconstanteα est la constante de stuctue fine : α := e 4π 0 ~c ' 1. Si les électons étaient dénués de spin, 137 un tel système pouait epésente un atome d hydogène sous cetaines appoximations (pas de coections : ni elativistes, ni isotopiques). g- Pou détemine les fonctions R n, (), on leu impose diveses conditions qui assuent la continuité de la épatition de la pobabilité de pésence dans l espace ainsi que la décoissance ves zéo de cette pobabilité losque (état lié). On impose aussi la condition de nomalisation Z =0 (R n, ) R n, d =1. Cette condition est posée pou des aisons de convenance et non pou des aisons physiques, à la difféence des conditions pécédentes.

7 L expéience de Sten et Gelach 5 Les fonctions ψ E,,m = R E, (, θ) Y m(θ, φ) sont notées ψ n,,m = R n, (, θ) Y m (θ, φ); elles constituent alos une base othonomée dicète de l espace des fonctions d ondes des états considéés. h- On utilise souvent les notations spectoscopique : état s p d f = Losque n et sont donnés, la dégénéescence est +1. Losque l énegie ne dépend que de n, la dégénéescence du niveau d énegie E n est n. i- Pou intepéte le sens des ésultats obtenus, considéons l état n,, mi décit pa la fonction d onde ψ n,,m. 1. La pobabilité de pésence de la paticule dans la coquille sphéique de ayon compis ente et + d est R n, d.. La pobabilité de pésence dans la diection (θ, ϕ), dans l angle solide dω =sinθdθdϕ est Y m(θ, ϕ) dω. Remaquons que Y m(θ,ϕ) est indépendant de ϕ : cette popiété signifie que ces pobabilités pésentent la symétie de évolution autou de l axe Oz. La pobabilité de l intevalle [ϕ, ϕ + dϕ] est donc dϕ, tandis que la pobabilité de l intevalle [θ, θ + dθ] est π Y m(θ, ϕ) sin π θdθ. 3.6 L expéience de Sten et Gelach (Voi cous de Licence et bibliogaphie) L expéience de Sten et Gelach mesue le moment magnétique d un atome. De façon généale, est popotionnel au moment cinétique : = g q e me J où g est le facteu de Landé (voi le modèle vectoiel de l atome dans le cous de licence ou ci-apès le théoème de Wigne-Eckat). Dans un fot gadient de champ magnétique, un jet d atomes est sépaé en plusieus jets coespondant chacun à une valeu du moment cinétique J z : chaque jet donne une tache su un écan. L expéience de Sten et Gelach confime la théoie de la mesue (nombe discet de taches coespondant aux valeus dicètes de J z, et non une seule tache qui coespondait à une épatition continue des valeus de J z ). Le nombe de taches est donc égal au nombe de valeus de m distinctes, soit j +1. On obseve un nombe impai de taches avec cetains atomes. Ce ésultat signifie que j est entie. Ce qui n est pas en contadiction avec l hypothèse que les moments cinétiques des atomes sont des moments obitaux. Pou d autes atomes, on obseve un nombe pai de taches. Ce qui implique que j est demi entie (j =N +1). L expéience de Sten et Gelach confime donc l existence des moments cinétiques demi-enties. Ceux-ci ne sont pas de simples objets mathématiques, conséquence d une définition abstaite du moment cinétique. Ce sont les outils de desciption d une popiété physique, le spin, que pésentent de nombeux atomes et paticules.

où «p» représente le nombre de paramètres estimés de la loi de distribution testée sous H 0.

où «p» représente le nombre de paramètres estimés de la loi de distribution testée sous H 0. 7- Tests d austement, d indépendance et de coélation - Chapite 7 : Tests d austements, d indépendance et de coélation 7. Test d austement du Khi-deux... 7. Test d austement de Kolmogoov-Sminov... 7.. Test

Plus en détail

Chapitre 6: Moment cinétique

Chapitre 6: Moment cinétique Chapite 6: oment cinétique Intoduction http://www.youtube.com/watch?v=vefd0bltgya consevation du moment cinétique 1 - angula momentum consevation 1 - Collège éici_(360p).mp4 http://www.youtube.com/watch?v=w6qaxdppjae

Plus en détail

11.5 Le moment de force τ (tau) : Production d une accélération angulaire

11.5 Le moment de force τ (tau) : Production d une accélération angulaire 11.5 Le moment de foce τ (tau) : Poduction d une accéléation angulaie La tige suivante est soumise à deux foces égales et en sens contaie: elle est en équilibe N La tige suivante est soumise à deux foces

Plus en détail

TRAVAUX DIRIGÉS DE M 6

TRAVAUX DIRIGÉS DE M 6 D M 6 Coection PCSI 1 013 014 RVUX DIRIGÉS DE M 6 Execice 1 : Pemie vol habité (pa un homme) Le 1 avil 1961, le commandant soviétique Y Gagaine fut le pemie cosmonaute, le vaisseau spatial satellisé était

Plus en détail

CONSTANTES DIELECTRIQUES

CONSTANTES DIELECTRIQUES 9 E7 CONTANTE DIELECTRIQUE I. INTRODUCTION Dans cette expéience, nous étuieons es conensateus et nous éiveons les popiétés e iélectiques tels que l'ai et le plexiglas. II. THEORIE A) Conensateus et iélectiques

Plus en détail

FINANCE Mathématiques Financières

FINANCE Mathématiques Financières INSTITUT D ETUDES POLITIQUES 4ème Année, Economie et Entepises 2005/2006 C.M. : M. Godlewski Intéêts Simples Définitions et concepts FINANCE Mathématiques Financièes L intéêt est la émunéation d un pêt.

Plus en détail

CHAPITRE VI : Le potentiel électrique

CHAPITRE VI : Le potentiel électrique CHPITRE VI : Le potentiel électiue VI. 1 u chapite III, nous avons vu ue losu'une foce est consevative, il est possible de lui associe une énegie potentielle ui conduit à une loi de consevation de l'énegie.

Plus en détail

M F. F O Unité: [m. N] La norme du moment de force peut se calculer en introduit le bras de levier d

M F. F O Unité: [m. N] La norme du moment de force peut se calculer en introduit le bras de levier d Chapite 2: But: connaîte les lois auxquelles doit obéi un cops solide en équilibe. Ceci pemet de décie la station debout ainsi que les conditions nécessaies pou teni une tasse dans la main, souleve une

Plus en détail

Mécanique du point : forces Newtoniennes (PCSI)

Mécanique du point : forces Newtoniennes (PCSI) écanique du oint : foces Newtoniennes (PCSI Question de cous On admet que, losqu'il est soumis à une foce Newtonienne F K u, la tajectoie d'un cos est lane et décite a mc K +e cosθ où C θ est une constante

Plus en détail

Serveur vidéo IP. caméras analogiques PC serveur. PC Client 1. Serveur de stockage ( optionnel )

Serveur vidéo IP. caméras analogiques PC serveur. PC Client 1. Serveur de stockage ( optionnel ) Sony RealShot Manage V3 Info Poduit Mas 2005 RealShot Manage V3.0 Logiciel de gestion des caméas IP MJPEG, MPEG-4, Audio, il sait tout enegiste! Une nouvelle vesion du logiciel RealShot Manage de Sony

Plus en détail

Créer un observatoire de la concurrence. Créer un observatoire de la concurrence. Démarche. ntérêt. C aractéristiques.

Créer un observatoire de la concurrence. Créer un observatoire de la concurrence. Démarche. ntérêt. C aractéristiques. Cée un obsevatoie de la concuence poblématique I Quelle est l'étendue d'un maché? Quelle pat du maché, une entepise peut-elle espée pende? Quels sont les atouts des entepises pésentes su le maché? ntéêt

Plus en détail

Informations Techniques A7 A141. Roulements à Billes à Gorge Profonde. Roulements à Billes à Contact Oblique. Roulements à Billes Auto-Aligneurs

Informations Techniques A7 A141. Roulements à Billes à Gorge Profonde. Roulements à Billes à Contact Oblique. Roulements à Billes Auto-Aligneurs ROULEMENTS Pages Infomations Techniques A7 A141 Infos Tech. Roulements à Billes à Goge Pofonde B4 B45 Roulements à Billes à Contact Oblique Roulements à Billes Auto-Aligneus Roulements à Rouleaux Cylindiques

Plus en détail

CIRCULAIRE N 02/04. Elle précise les méthodes de valorisation des titres de capital et des titres de créances contenus dans les actifs de l OPCVM.

CIRCULAIRE N 02/04. Elle précise les méthodes de valorisation des titres de capital et des titres de créances contenus dans les actifs de l OPCVM. Rabat, le 02 juillet 2004 CIRCULIRE N 02/04 RELTIVE UX CONDITIONS D ÉVLUTION DES VLEURS PPORTÉES À UN ORGNISME DE PLCEMENT COLLECTIF EN VLEURS MOBILIÈRES OU DÉTENUES PR LUI La pésente ciculaie vient en

Plus en détail

Roulements à billes et à rouleaux

Roulements à billes et à rouleaux Fo New Technology Netwok R copoation Roulements à billes et à ouleaux CAT. NO. 222-VIII/F Manuel technique A- Roulements à billes à goges pofondes B- Roulements miniatues B- 1 Roulements à billes à contact

Plus en détail

PHYSIQUE DES SEMI-CONDUCTEURS

PHYSIQUE DES SEMI-CONDUCTEURS Dépatement Mico-électonique et télécommunications Pemièe année 004/005 PHYSIQUE DES SEMI-CONDUCTEURS Rouge Violet Infa-Rouge Visible Ulta-Violet Cd x Hg 1-x Te InSb Ge Si GaAs CdSe AlAs CdS GaP SiC GaN

Plus en détail

A la mémoire de ma grande mère A mes parents A Mon épouse A Mes tantes et sœurs A Mes beaux parents A Toute ma famille A Mes amis A Rihab, Lina et

A la mémoire de ma grande mère A mes parents A Mon épouse A Mes tantes et sœurs A Mes beaux parents A Toute ma famille A Mes amis A Rihab, Lina et Remeciements e tavail a été effectué au sein du laboatoie optoélectonique et composants de l univesité Fehat Abbas (Sétif, Algéie) en collaboation avec le goupe MALTA consolido du Dépatement du Physique

Plus en détail

Moments partiels crédibilistes et application à l évaluation de la performance de fonds spéculatifs

Moments partiels crédibilistes et application à l évaluation de la performance de fonds spéculatifs Moments patiels cédibilistes et application à l évaluation de la pefomance de fonds spéculatifs Alfed MBAIRADJIM M. 1 & Jules SADEFO K. 2 & Michel TERRAZA 3 1 LAMETA- Univesité Montpellie 1 et moussa alf@yahoo.f

Plus en détail

Calcul matriciel. Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes.

Calcul matriciel. Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes. 1 Définitions, notations Calcul matriciel Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes. On utilise aussi la notation m n pour le

Plus en détail

Validation CFD axisymétrique de modèle zonal des écoulements gazeux de chambre de combustion de moteur Diesel

Validation CFD axisymétrique de modèle zonal des écoulements gazeux de chambre de combustion de moteur Diesel CONSERVATOIRE NATIONAL DES ARTS ET METIERS Cente d enseignement de Genoble Mémoie Mécanique des stuctues et des systèmes Validation CFD axisymétique de modèle zonal des écoulements gazeux de Auditeu: Jean-Michel

Plus en détail

tudes & documents ÉCONOMIE ET ÉVALUATION L assurance habitation dans les départements d Outre Mer n 24 Juin 2010

tudes & documents ÉCONOMIE ET ÉVALUATION L assurance habitation dans les départements d Outre Mer n 24 Juin 2010 COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 24 Juin 2010 É tudes & documents L assuance habitation dans les dépatements d Oute Me RISQUES ÉCONOMIE ET ÉVALUATION Sevice de l économie, de l évaluation

Plus en détail

Quelques éléments d écologie utiles au forestier

Quelques éléments d écologie utiles au forestier BTSA Gestion Foestièe Module D41 V.1.1. Avil 1997 Quelques éléments d écologie utiles au foestie Paysage vosgien : un exemple d écocomplexe divesifié. Sylvain Gaudin CFPPA/CFAA de Châteaufaine E 10 ue

Plus en détail

Permis de feu. Travail par point chaud. r Soudage r Brasage. r Découpage r Tronçonnage. r Meulage r Autres. r Poste à souder r Tronçonneuse

Permis de feu. Travail par point chaud. r Soudage r Brasage. r Découpage r Tronçonnage. r Meulage r Autres. r Poste à souder r Tronçonneuse Pemis de feu Tavail pa point chaud Patage vote engagement Ce document doit ête établi avant tout tavail pa point chaud (soudage, découpage, meulage, ) afin de péveni les isques d incendie et d explosion

Plus en détail

SOMMAIRE. ATRACOM-Centrafrique Manuel de Procédures Administratives Financiers et Comptables

SOMMAIRE. ATRACOM-Centrafrique Manuel de Procédures Administratives Financiers et Comptables ATRACOM-Centafique Manuel de Pocédues Administatives Financies et Comptables G MODULE G GESTION DE LA TRESORERIE SOMMAIRE G MODULE G GESTION DE LA TRESORERIE... 1 G.1 COMPOSANTES DE LA TRESORERIE... 2

Plus en détail

Fonctions de plusieurs variables : dérivés partielles, diérentielle. Fonctions composées. Fonctions de classe C 1. Exemples

Fonctions de plusieurs variables : dérivés partielles, diérentielle. Fonctions composées. Fonctions de classe C 1. Exemples 45 Fonctions de plusieurs variables : dérivés partielles, diérentielle. Fonctions composées. Fonctions de classe C 1. Exemples Les espaces vectoriels considérés sont réels, non réduits au vecteur nul et

Plus en détail

* très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile ***** très difficile I : Incontournable T : pour travailler et mémoriser le cours

* très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile ***** très difficile I : Incontournable T : pour travailler et mémoriser le cours Exo7 Continuité (étude globale). Diverses fonctions Exercices de Jean-Louis Rouget. Retrouver aussi cette fiche sur www.maths-france.fr * très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile *****

Plus en détail

Chapitre 2. Matrices

Chapitre 2. Matrices Département de mathématiques et informatique L1S1, module A ou B Chapitre 2 Matrices Emmanuel Royer emmanuelroyer@mathuniv-bpclermontfr Ce texte mis gratuitement à votre disposition a été rédigé grâce

Plus en détail

Chapitre 0 Introduction à la cinématique

Chapitre 0 Introduction à la cinématique Chapitre 0 Introduction à la cinématique Plan Vitesse, accélération Coordonnées polaires Exercices corrigés Vitesse, Accélération La cinématique est l étude du mouvement Elle suppose donc l existence à

Plus en détail

Introduction. Mathématiques Quantiques Discrètes

Introduction. Mathématiques Quantiques Discrètes Mathématiques Quantiques Discrètes Didier Robert Facultés des Sciences et Techniques Laboratoire de Mathématiques Jean Leray, Université de Nantes email: v-nantes.fr Commençons par expliquer le titre.

Plus en détail

Roulements à rotule sur deux rangées de rouleaux en deux parties

Roulements à rotule sur deux rangées de rouleaux en deux parties Roulements à otule su deux angées de ouleaux en deux paties Réduction des coûts gâce au changement apide du oulement difficilement accessible Contenu Changement apide du oulement 2 Réduction des coûts

Plus en détail

Mouvement d'une particule chargée dans un champ magnétique indépendant du temps

Mouvement d'une particule chargée dans un champ magnétique indépendant du temps Moueent d'une patiule hagée dans un hap agnétique indépendant du teps iblio: Pee elat Gaing Magnétise Into expéientale: Dispositif: On obsee une déiation du faseau d'életons losqu'il aie ae une itesse

Plus en détail

DiaDent Group International

DiaDent Group International www.diagun.co.k DiaDent Goup Intenational Dispositif de compactage sans fil à chaleu intégée Copyight 2010 DiaDent Goup Intenational www.diadent.com Dispositif de compactage sans fil à chaleu intégée w

Plus en détail

Cours de. Point et système de points matériels

Cours de. Point et système de points matériels Abdellah BENYOUSSEF Amal BERRADA Pofesseus à la Faculté des Scences Unvesté Mohammed V Rabat Cous de Pont et système de ponts matéels A L USAGE DES ETUDIANTS DU 1 ER CYCLE UNIVERSITAIRE FACULTES DES SCIENCES,

Plus en détail

1 Comment faire un document Open Office /writer de façon intelligente?

1 Comment faire un document Open Office /writer de façon intelligente? 1 Comment faire un document Open Office /writer de façon intelligente? 1.1 Comment fonctionne un traitement de texte?: les balises. Un fichier de traitement de texte (WRITER ou WORD) comporte en plus du

Plus en détail

( Mecanique des fluides )

( Mecanique des fluides ) INSTITUT NTION GRONOMIUE ERTEMENT U GENIE RUR SECTION YRUIUE GRICOE YRUIUE GENERE ( Mecanique des fluides ) TRONC COMMUN ème NNEE atie : Statique des Fluides ( ydostatique ) atie : ynamique des Fluides

Plus en détail

Chapitre 1.5a Le champ électrique généré par plusieurs particules

Chapitre 1.5a Le champ électrique généré par plusieurs particules hapte.5a Le chap électque généé pa pluseus patcules Le chap électque généé pa pluseus chages fxes Le odule de chap électque d une chage ponctuelle est adal, popotonnel à la chage électque et neseent popotonnel

Plus en détail

Calcul différentiel sur R n Première partie

Calcul différentiel sur R n Première partie Calcul différentiel sur R n Première partie Université De Metz 2006-2007 1 Définitions générales On note L(R n, R m ) l espace vectoriel des applications linéaires de R n dans R m. Définition 1.1 (différentiabilité

Plus en détail

Évaluation de l'incertitude de mesure par une méthode statistique ("méthode de type A") Voir cours d'instrumentation

Évaluation de l'incertitude de mesure par une méthode statistique (méthode de type A) Voir cours d'instrumentation G. Pinson - Physique ppliquée Mesues - 16 / 1 16 - Instuments de mesues Eeu et incetitude su la mesue d'une gandeu Ce qui suit découle des pesciptions du IPM (ueau Intenational des Poids et Mesues, Fance),

Plus en détail

Angles orientés et trigonométrie

Angles orientés et trigonométrie Chapitre Angles orientés et trigonométrie Ce que dit le programme : CONTENUS CAPACITÉS ATTENDUES COMMENTAIRES Trigonométrie Cercle trigonométrique. Radian. Mesure d un angle orienté, mesure principale.

Plus en détail

STATIQUE GRAPHIQUE ET STATIQUE ANALYTIQUE

STATIQUE GRAPHIQUE ET STATIQUE ANALYTIQUE ÉCOLE D'INGÉNIEURS DE FRIBOURG (E.I.F.) SECTION DE MÉCANIQUE G.R. Nicolet, revu en 2006 STATIQUE GRAPHIQUE ET STATIQUE ANALYTIQUE Eléments de calcul vectoriel Opérations avec les forces Equilibre du point

Plus en détail

DEUXIEME ANNEE TRONC COMMUN TECHNOLOGIE TRAVAUX DIRIGES DE PHYSIQUE VIBRATIONS ONDES

DEUXIEME ANNEE TRONC COMMUN TECHNOLOGIE TRAVAUX DIRIGES DE PHYSIQUE VIBRATIONS ONDES UNIVERSITE DES SCIENCES ET DE A TECHNOOGIE HOUARI BOUMEDIENNE INSTITUT DE PHYSIQUE DEPARTEMENT DES ENSEIGNEMENTS DE PHYSIQUE DE BASE DEUXIEME ANNEE TRONC COMMUN TECHNOOGIE TRAVAUX DIRIGES DE PHYSIQUE VIBRATIONS

Plus en détail

CHAPITRE 10. Jacobien, changement de coordonnées.

CHAPITRE 10. Jacobien, changement de coordonnées. CHAPITRE 10 Jacobien, changement de coordonnées ans ce chapitre, nous allons premièrement rappeler la définition du déterminant d une matrice Nous nous limiterons au cas des matrices d ordre 2 2et3 3,

Plus en détail

LE LOGEMENT AU NUNAVIK

LE LOGEMENT AU NUNAVIK SOCIÉTÉ D HABITATION DU QUÉBEC LE LOGEMENT AU NUNAVIK DOCUMENT D INFORMATION WWW.HABITATION.GOUV.QC.CA Coodination du contenu et édaction Diection des affaies integouvenementales et autochtones Coodination

Plus en détail

ANNALES SCIENTIFIQUES DE L É.N.S.

ANNALES SCIENTIFIQUES DE L É.N.S. ANNALES SCIENTIFIQUES DE L É.N.S. HERVÉ ACQUET Su un ésultat de Waldspuge Annales scientifiques de l É.N.S. 4 e séie, tome 19, n o 2 (1986), p. 185-229.

Plus en détail

CHAPITRE IV Oscillations libres des systèmes à plusieurs degrés de liberté

CHAPITRE IV Oscillations libres des systèmes à plusieurs degrés de liberté CHAPITE IV Oscillations ibres des Systèmes à plusieurs derés de liberté 010-011 CHAPITE IV Oscillations libres des systèmes à plusieurs derés de liberté Introduction : Dans ce chapitre, nous examinons

Plus en détail

Mémoire de DEA. Modélisation opérationnelle des domaines de référence

Mémoire de DEA. Modélisation opérationnelle des domaines de référence Mémoie e DEA Ecole octoale IAEM Loaine / DEA Infomatique e Loaine Univesité Heni Poincaé, Nancy 1 LORIA Moélisation opéationnelle es omaines e éféence soutenu le Mai 22 juin 2004 pa Alexane Denis membes

Plus en détail

Chapitre 11. Séries de Fourier. Nous supposons connues les formules donnant les coefficients de Fourier d une fonction 2 - périodique :

Chapitre 11. Séries de Fourier. Nous supposons connues les formules donnant les coefficients de Fourier d une fonction 2 - périodique : Chapitre Chapitre. Séries de Fourier Nous supposons connues les formules donnant les coefficients de Fourier d une fonction - périodique : c c a0 f x dx c an f xcosnxdx c c bn f xsinn x dx c L objet de

Plus en détail

( Codes : voir verso du feuillet 3 ) SPECIMEN

( Codes : voir verso du feuillet 3 ) SPECIMEN Aide demandeu d emploi Pojet pesonnalisé d accès à l emploi Pesciption de Pô emploi RFPE AREF CRP - CTP ou d un patenaie de Pô emploi Pécisez : N d AIS Concene de naissance Pénom Né(e) Inscit(e) depuis

Plus en détail

Dérivation : cours. Dérivation dans R

Dérivation : cours. Dérivation dans R TS Dérivation dans R Dans tout le capitre, f désigne une fonction définie sur un intervalle I de R (non vide et non réduit à un élément) et à valeurs dans R. Petits rappels de première Téorème-définition

Plus en détail

CLOUD CX263 MÉLANGEUR

CLOUD CX263 MÉLANGEUR COUD CX6 MÉANGEU Clealy bette soun ZONE ZONE MUSIC SOUCE MUSIC SOUCE MUSIC SOUCE MUSIC EVE MUSIC EVE MUSIC EVE MIC EVE MIC EVE MIC EVE MIC EVE MIC EVE MIC EVE 6 6 6 5 5 5 MICOPHONE CX6 4 4 4 F HF F HF

Plus en détail

Mathématiques I Section Architecture, EPFL

Mathématiques I Section Architecture, EPFL Examen, semestre d hiver 2011 2012 Mathématiques I Section Architecture, EPFL Chargé de cours: Gavin Seal Instructions: Mettez votre nom et votre numéro Sciper sur chaque page de l examen. Faites de même

Plus en détail

Guide de l acheteur de logiciel de Paie

Guide de l acheteur de logiciel de Paie Note pespicacité Pivilégie les essouces humaines Guide de l acheteu de logiciel de Paie Table des matièes Intoduction Tendances écentes de Paie L automation de Paie avec libe-sevice pou employés Analyse

Plus en détail

Triangle de Pascal dans Z/pZ avec p premier

Triangle de Pascal dans Z/pZ avec p premier Triangle de Pascal dans Z/pZ avec p premier Vincent Lefèvre (Lycée P. de Fermat, Toulouse) 1990, 1991 1 Introduction Nous allons étudier des propriétés du triangle de Pascal dans Z/pZ, p étant un nombre

Plus en détail

Mesure d angles et trigonométrie

Mesure d angles et trigonométrie Thierry Ciblac Mesure d angles et trigonométrie Mesure de l angle de deux axes (ou de deux demi-droites) de même origine. - Mesures en degrés : Divisons un cercle en 360 parties égales définissant ainsi

Plus en détail

Exercices - Polynômes : corrigé. Opérations sur les polynômes

Exercices - Polynômes : corrigé. Opérations sur les polynômes Opérations sur les polynômes Exercice 1 - Carré - L1/Math Sup - Si P = Q est le carré d un polynôme, alors Q est nécessairement de degré, et son coefficient dominant est égal à 1. On peut donc écrire Q(X)

Plus en détail

Chapitre 1 Cinématique du point matériel

Chapitre 1 Cinématique du point matériel Chapitre 1 Cinématique du point matériel 7 1.1. Introduction 1.1.1. Domaine d étude Le programme de mécanique de math sup se limite à l étude de la mécanique classique. Sont exclus : la relativité et la

Plus en détail

Cours de Mécanique du point matériel

Cours de Mécanique du point matériel Cours de Mécanique du point matériel SMPC1 Module 1 : Mécanique 1 Session : Automne 2014 Prof. M. EL BAZ Cours de Mécanique du Point matériel Chapitre 1 : Complément Mathématique SMPC1 Chapitre 1: Rappels

Plus en détail

Probabilités sur un univers fini

Probabilités sur un univers fini [http://mp.cpgedupuydelome.fr] édité le 7 août 204 Enoncés Probabilités sur un univers fini Evènements et langage ensembliste A quelle condition sur (a, b, c, d) ]0, [ 4 existe-t-il une probabilité P sur

Plus en détail

Erratum de MÉCANIQUE, 6ème édition. Introduction Page xxi (milieu de page) G = 6, 672 59 10 11 m 3 kg 1 s 2

Erratum de MÉCANIQUE, 6ème édition. Introduction Page xxi (milieu de page) G = 6, 672 59 10 11 m 3 kg 1 s 2 Introduction Page xxi (milieu de page) G = 6, 672 59 1 11 m 3 kg 1 s 2 Erratum de MÉCANIQUE, 6ème édition Page xxv (dernier tiers de page) le terme de Coriolis est supérieur à 1% du poids) Chapitre 1 Page

Plus en détail

Cours d Analyse. Fonctions de plusieurs variables

Cours d Analyse. Fonctions de plusieurs variables Cours d Analyse Fonctions de plusieurs variables Licence 1ère année 2007/2008 Nicolas Prioux Université de Marne-la-Vallée Table des matières 1 Notions de géométrie dans l espace et fonctions à deux variables........

Plus en détail

Les Angles. I) Angles complémentaires, angles supplémentaires. 1) Angles complémentaires. 2 Angles supplémentaires. a) Définition.

Les Angles. I) Angles complémentaires, angles supplémentaires. 1) Angles complémentaires. 2 Angles supplémentaires. a) Définition. Les Angles I) Angles complémentaires, angles supplémentaires 1) Angles complémentaires Deux angles complémentaires sont deux angles dont la somme des mesures est égale à 90 41 et 49 41 49 90 donc Les angles

Plus en détail

Chafa Azzedine - Faculté de Physique U.S.T.H.B 1

Chafa Azzedine - Faculté de Physique U.S.T.H.B 1 Chafa Azzedine - Faculté de Physique U.S.T.H.B 1 Définition: La cinématique est une branche de la mécanique qui étudie les mouements des corps dans l espace en fonction du temps indépendamment des causes

Plus en détail

Python - introduction à la programmation et calcul scientifique

Python - introduction à la programmation et calcul scientifique Université de Strasbourg Environnements Informatique Python - introduction à la programmation et calcul scientifique Feuille de TP 1 Avant de commencer Le but de ce TP est de vous montrer les bases de

Plus en détail

Univ. Béjaia, Faculté de la Technologie, Département d électronique

Univ. Béjaia, Faculté de la Technologie, Département d électronique Univ. Béjaia, Faculté de la Technologie, Dépatement d électonique L INTELLIGENCE ARTIFICIELLE APPLIQUEE AUX TELECOMMUNICATIONS Thème : Intelligence économique et télécommunication Poposé pa : D A/. KHIREDDINE

Plus en détail

Fonctions de plusieurs variables

Fonctions de plusieurs variables Module : Analyse 03 Chapitre 00 : Fonctions de plusieurs variables Généralités et Rappels des notions topologiques dans : Qu est- ce que?: Mathématiquement, n étant un entier non nul, on définit comme

Plus en détail

Rupture et plasticité

Rupture et plasticité Rupture et plasticité Département de Mécanique, Ecole Polytechnique, 2009 2010 Département de Mécanique, Ecole Polytechnique, 2009 2010 25 novembre 2009 1 / 44 Rupture et plasticité : plan du cours Comportements

Plus en détail

Activités numériques [13 Points]

Activités numériques [13 Points] N du candidat L emploi de la calculatrice est autorisé. Le soin, la qualité de la présentation entrent pour 2 points dans l appréciation des copies. Les résultats seront soulignés. La correction est disponible

Plus en détail

Programmation linéaire

Programmation linéaire 1 Programmation linéaire 1. Le problème, un exemple. 2. Le cas b = 0 3. Théorème de dualité 4. L algorithme du simplexe 5. Problèmes équivalents 6. Complexité de l Algorithme 2 Position du problème Soit

Plus en détail

Guide 2005 GESTION. des solutions partenaires logiciels. IBM Software. commerciale (CRM) comptable et financière logistique marketing de la qualité

Guide 2005 GESTION. des solutions partenaires logiciels. IBM Software. commerciale (CRM) comptable et financière logistique marketing de la qualité IBM Softwae Guide 2005 des solutions patenaies logiciels GESTION commeciale (CRM) comptable et financièe logistique maketing de la qualité des elations humaines et compétences documentaie (GED) des appels,

Plus en détail

Exercices - Nombres complexes : corrigé. Formes algébriques et trigonométriques, module et argument

Exercices - Nombres complexes : corrigé. Formes algébriques et trigonométriques, module et argument Formes algébriques et trigonométriques, module et argument Exercice - - L/Math Sup - On multiplie le dénominateur par sa quantité conjuguée, et on obtient : Z = 4 i 3 + i 3 i 3 = 4 i 3 + 3 = + i 3. Pour

Plus en détail

Les déterminants de la diffusion d Internet en Afrique

Les déterminants de la diffusion d Internet en Afrique Les déteminants de la diffusion d Intenet en Afique pa Benad Conte Maîte de Conféences, Cente d économie du développement Univesité Montesquieu-Bodeaux IV - Fance 6µWYQµ Les pogès apides des technologies

Plus en détail

LE PRODUIT SCALAIRE ( En première S )

LE PRODUIT SCALAIRE ( En première S ) LE PRODUIT SCALAIRE ( En première S ) Dernière mise à jour : Jeudi 4 Janvier 007 Vincent OBATON, Enseignant au lycée Stendhal de Grenoble ( Année 006-007 ) 1 Table des matières 1 Grille d autoévaluation

Plus en détail

Exprimer ce coefficient de proportionnalité sous forme de pourcentage : 3,5 %

Exprimer ce coefficient de proportionnalité sous forme de pourcentage : 3,5 % 23 CALCUL DE L INTÉRÊT Tau d intérêt Paul et Rémi ont reçu pour Noël, respectivement, 20 et 80. Ils placent cet argent dans une banque, au même tau. Au bout d une année, ce placement leur rapportera une

Plus en détail

Premiers pas avec Mathematica

Premiers pas avec Mathematica Premiers pas avec Mathematica LP206 : Mathématiques pour physiciens I Année 2010/2011 1 Introduction Mathematica est un logiciel de calcul formel qui permet de manipuler des expressions mathématiques symboliques.

Plus en détail

Le contenu de ce manuel peut faire l objet de modifications sans préavis et n engage pas la responsabilité de la société BENTEL SECURITY srl.

Le contenu de ce manuel peut faire l objet de modifications sans préavis et n engage pas la responsabilité de la société BENTEL SECURITY srl. Le contenu de ce manuel peut faire l objet de modifications sans préavis et n engage pas la responsabilité de la société BENTEL SECUITY srl. BENTEL SECUITY via Florida - Z.I. Valtesino - 63013 GOTTAMMAE

Plus en détail

Correction de l examen de la première session

Correction de l examen de la première session de l examen de la première session Julian Tugaut, Franck Licini, Didier Vincent Si vous trouvez des erreurs de Français ou de mathématiques ou bien si vous avez des questions et/ou des suggestions, envoyez-moi

Plus en détail

I - PUISSANCE D UN POINT PAR RAPPORT A UN CERCLE CERCLES ORTHOGONAUX POLES ET POLAIRES

I - PUISSANCE D UN POINT PAR RAPPORT A UN CERCLE CERCLES ORTHOGONAUX POLES ET POLAIRES I - PUISSANCE D UN POINT PAR RAPPORT A UN CERCLE CERCLES ORTHOGONAUX POLES ET POLAIRES Théorème - Définition Soit un cercle (O,R) et un point. Une droite passant par coupe le cercle en deux points A et

Plus en détail

Annexe II. Les trois lois de Kepler

Annexe II. Les trois lois de Kepler Annexe II es tois lois de Keple écnique & 4 èe - Annexe II es tois lois de Keple Johnnes Keple (57-6), pulie en 596 son peie ouge, ysteiu Cosogphicu Teize nnées plus td, en 69, il pulie Astonoi No, dns

Plus en détail

DEMANDE D OUVERTURE D UN COMPTE EPARGNE REMUNERE (Réservé aux particuliers) Exemplaire Client (à conserver)

DEMANDE D OUVERTURE D UN COMPTE EPARGNE REMUNERE (Réservé aux particuliers) Exemplaire Client (à conserver) GE Money Bank DEMANDE D OUVERTURE D UN COMPTE EPARGNE REMUNERE (Résevé aux paticulies) Exemplaie Client (à conseve) Vote Conseille Cachet du Conseille Le (date de l offe) O l'offe. N de poposition : N

Plus en détail

Calcul intégral élémentaire en plusieurs variables

Calcul intégral élémentaire en plusieurs variables Calcul intégral élémentaire en plusieurs variables PC*2 2 septembre 2009 Avant-propos À part le théorème de Fubini qui sera démontré dans le cours sur les intégrales à paramètres et qui ne semble pas explicitement

Plus en détail

Notes du cours MTH1101 Calcul I Partie II: fonctions de plusieurs variables

Notes du cours MTH1101 Calcul I Partie II: fonctions de plusieurs variables Notes du cours MTH1101 Calcul I Partie II: fonctions de plusieurs variables Guy Desaulniers Département de mathématiques et de génie industriel École Polytechnique de Montréal Automne 2014 Table des matières

Plus en détail

Po ur d o nne r un é lan à vo tre re traite

Po ur d o nne r un é lan à vo tre re traite Po u d o nne un é lan à vo te e taite ez a p é P aite t e e vot joud'hui dès au E N EN T TR RE E N NOOUUSS,, CC EESSTT FFAA CC I I LL EE DD EE SS EE O M M PP RR EE NN DDRRE E CC O Toutes les gaanties de

Plus en détail

Exercices - Fonctions de plusieurs variables : corrigé. Pour commencer

Exercices - Fonctions de plusieurs variables : corrigé. Pour commencer Pour commencer Exercice 1 - Ensembles de définition - Première année - 1. Le logarithme est défini si x + y > 0. On trouve donc le demi-plan supérieur délimité par la droite d équation x + y = 0.. 1 xy

Plus en détail

Intégrales doubles et triples - M

Intégrales doubles et triples - M Intégrales s et - fournie@mip.ups-tlse.fr 1/27 - Intégrales (rappel) Rappels Approximation éfinition : Intégrale définie Soit f définie continue sur I = [a, b] telle que f (x) > 3 2.5 2 1.5 1.5.5 1 1.5

Plus en détail

SYSTÈME D ALARME ET PRODUITS TRANSMETTEURS

SYSTÈME D ALARME ET PRODUITS TRANSMETTEURS SYSTÈME D ALARME ET PRODUITS TRANSMETTEURS NOTICE D UTILISATION Vous venez d acquéi un système de sécuité DAITEM adapté à vos besoins de potection et nous vous en emecions. Quelques pécautions L'installation

Plus en détail

Cours 02 : Problème général de la programmation linéaire

Cours 02 : Problème général de la programmation linéaire Cours 02 : Problème général de la programmation linéaire Cours 02 : Problème général de la Programmation Linéaire. 5 . Introduction Un programme linéaire s'écrit sous la forme suivante. MinZ(ou maxw) =

Plus en détail

Les interférences lumineuses

Les interférences lumineuses Les interférences lumineuses Intérêt de l étude des interférences et de la diffraction : Les interférences sont utiles pour la métrologie, la spectrométrie par transformée de Fourier (largeur de raie),

Plus en détail

Exo7. Limites de fonctions. 1 Théorie. 2 Calculs

Exo7. Limites de fonctions. 1 Théorie. 2 Calculs Eo7 Limites de fonctions Théorie Eercice Montrer que toute fonction périodique et non constante n admet pas de ite en + Montrer que toute fonction croissante et majorée admet une ite finie en + Indication

Plus en détail

1 Définition. 2 Systèmes matériels et solides. 3 Les actions mécaniques. Le système matériel : Il peut être un ensemble.un sous-ensemble..

1 Définition. 2 Systèmes matériels et solides. 3 Les actions mécaniques. Le système matériel : Il peut être un ensemble.un sous-ensemble.. 1 Définition GÉNÉRALITÉS Statique 1 2 Systèmes matériels et solides Le système matériel : Il peut être un ensemble.un sous-ensemble..une pièce mais aussi un liquide ou un gaz Le solide : Il est supposé

Plus en détail

CONDUCTEURS EN EQUILIBRE ELECTROSTATIQUE

CONDUCTEURS EN EQUILIBRE ELECTROSTATIQUE Chapit II CONDUCTEURS EN EQUILIRE ELECTROSTTIQUE En élcticité, un conductu st un miliu matéil dans lqul ctains chags élctiqus, dits «chags libs», sont suscptibls d s déplac sous l action d un champ élctiqu.

Plus en détail

G.P. DNS02 Septembre 2012. Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3. Réfraction

G.P. DNS02 Septembre 2012. Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3. Réfraction DNS Sujet Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3 Réfraction I. Préliminaires 1. Rappeler la valeur et l'unité de la perméabilité magnétique du vide µ 0. Donner

Plus en détail

NOMBRES COMPLEXES. Exercice 1 :

NOMBRES COMPLEXES. Exercice 1 : Exercice 1 : NOMBRES COMPLEXES On donne θ 0 un réel tel que : cos(θ 0 ) 5 et sin(θ 0 ) 1 5. Calculer le module et l'argument de chacun des nombres complexes suivants (en fonction de θ 0 ) : a i( )( )(1

Plus en détail

Représentation géométrique d un nombre complexe

Représentation géométrique d un nombre complexe CHAPITRE 1 NOMBRES COMPLEXES 1 Représentation géométrique d un nombre complexe 1. Ensemble des nombres complexes Soit i le nombre tel que i = 1 L ensemble des nombres complexes est l ensemble des nombres

Plus en détail

Université Paris-Dauphine DUMI2E 1ère année, 2009-2010. Applications

Université Paris-Dauphine DUMI2E 1ère année, 2009-2010. Applications Université Paris-Dauphine DUMI2E 1ère année, 2009-2010 Applications 1 Introduction Une fonction f (plus précisément, une fonction réelle d une variable réelle) est une règle qui associe à tout réel x au

Plus en détail

NOTATIONS PRÉLIMINAIRES

NOTATIONS PRÉLIMINAIRES Pour le Jeudi 14 Octobre 2010 NOTATIONS Soit V un espace vectoriel réel ; l'espace vectoriel des endomorphismes de l'espace vectoriel V est désigné par L(V ). Soit f un endomorphisme de l'espace vectoriel

Plus en détail

Magister en : Electrotechnique

Magister en : Electrotechnique انج س ت انجضائش ت انذ مشاط ت انشعب ت République Algéienne Démocatique et Populaie صاسة انتعه ى انعان انبحث انعه Minitèe de l Eneignement Supéieu et de la Recheche Scientifique Univeité Mohamed Khide Bika

Plus en détail

Planche n o 22. Fonctions de plusieurs variables. Corrigé

Planche n o 22. Fonctions de plusieurs variables. Corrigé Planche n o Fonctions de plusieurs variables Corrigé n o : f est définie sur R \ {, } Pour, f, = Quand tend vers, le couple, tend vers le couple, et f, tend vers Donc, si f a une limite réelle en, cette

Plus en détail

Continuité et dérivabilité d une fonction

Continuité et dérivabilité d une fonction DERNIÈRE IMPRESSIN LE 7 novembre 014 à 10:3 Continuité et dérivabilité d une fonction Table des matières 1 Continuité d une fonction 1.1 Limite finie en un point.......................... 1. Continuité

Plus en détail

Voyez la réponse à cette question dans ce chapitre. www.hometownroofingcontractors.com/blog/9-reasons-diy-rednecks-should-never-fix-their-own-roof

Voyez la réponse à cette question dans ce chapitre. www.hometownroofingcontractors.com/blog/9-reasons-diy-rednecks-should-never-fix-their-own-roof Une échelle est appuyée sur un mur. S il n y a que la friction statique avec le sol, quel est l angle minimum possible entre le sol et l échelle pour que l échelle ne glisse pas et tombe au sol? www.hometownroofingcontractors.com/blog/9-reasons-diy-rednecks-should-never-fix-their-own-roof

Plus en détail

aux différences est appelé équation aux différences d ordre n en forme normale.

aux différences est appelé équation aux différences d ordre n en forme normale. MODÉLISATION ET SIMULATION EQUATIONS AUX DIFFÉRENCES (I/II) 1. Rappels théoriques : résolution d équations aux différences 1.1. Équations aux différences. Définition. Soit x k = x(k) X l état scalaire

Plus en détail

Développements limités, équivalents et calculs de limites

Développements limités, équivalents et calculs de limites Développements ités, équivalents et calculs de ites Eercice. Déterminer le développement ité en 0 à l ordre n des fonctions suivantes :. f() e (+) 3 n. g() sin() +ln(+) n 3 3. h() e sh() n 4. i() sin(

Plus en détail