La pratique institutionnelle «à plusieurs»

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "La pratique institutionnelle «à plusieurs»"

Transcription

1 L prtique institutionnelle «à plusieurs» mury Cullrd Février 2013 Nicols, inquiet: «Qund je suis seul vec quelqu un, il se psse des choses» Vlentin, à propos de l institution : «Ici, y beucoup de gens, hein? Ce que j ime bien c est qu ils me lissent trnquille! Ps comme illeurs.» Rq : Je tiens à préciser que je ne pourri témoigner dns ce texte que de mon expérience de l prtique «à plusieurs» u sein de L IMP Notre Dme de l gesse, plus connu, quoique ps tnt que cel, sous le nom de Courtil ( Les vignettes cliniques qui vont illustrer mes propos sont issues de mon trvil u sein de cette institution spécifique. L institution et s prtique sont une réponse L institution et s prtique sont ou devrient être une réponse à un insupportble. C est l insupportble vécu pr un sujet qui est à l origine de l existence de l institution et de l définition d une orienttion de trvil. L institution n urit pour nous ucun sens sns cel. Elle prend le relis d une thérpie en cbinet ou de tout utre type d ccueil qui ne permet plus un pisement. L ccueil de cet insupportble, à fortiori dns le cs de sujets psychotiques, est d bord «une nécessité socile» (lfredo Zenoni), «un devoir d humnité» (Jcques-lin Miller). L question du tritement est ici secondire. L institution primordilement fonction d «sile» u sens de protection. L question qui devrit être à l bse de toute logique institutionnelle est de svoir quel ccueil puis quelle réponse, proposer à ce trop qui motive l venue en institution. Pour répondre, l enseignement de Lcn nous donne comme boussole de nous orienter à prtir du réel. L question première est donc, comme nous le montre lfredo Zenoni dns son livre «L utre prtique clinique», «Qui sont-ils?». insi, le projet institutionnel et s prtique s orgnisent-t-ils en fonction de l clinique différentielle des cs. L position doptée v insi vrier en fonction de l position subjective des sujets ccueillis, selon qu ils sont névrosés ou psychotiques. L prtique «à plusieurs» est une réponse institutionnelle fite u réel qui se déchine dns l psychose à prtir de l enseignement de Lcn. 1

2 Une prtique ni pluridisciplinire, ni Une L prtique «à plusieurs» n est tout d bord ps une prtique pluridisciplinire u sens où elle n est ps le regroupement de spécilistes divers qui ppliquerient ux difficultés, ux symptômes des sujets psychotiques un svoir universitire fin de le triter. Elle n est ps non plus l intégrtion dns une telle équipe d un psychnlyste ou bien encore l mise en plce d une consulttion dns une institution, sur le côté. Il est plutôt question ici de voir comment chcun des trvilleurs, peu importe s formtion, sns hiérrchie de diplôme, peut orienter ou dpter son trvil à prtir des questions que l ccueil du réel vécu pr les sujets psychotiques posent à l psychnlyse. L psychnlyse lcnienne nous pprend que le svoir qunt u «réel» en jeu, est à plcer du côté du sujet qu il soit névrosé et, à plus forte rison, s il est psychotique. L position doptée pr l institution et pr ses intervennts est bien plutôt celle d un «svoir ne ps svoir» (Virginio Bio), ccompgnée d une ttention foclisée sur ce qui se psse pour le sujet, l clinique. Nous nous enseignons de ce que le sujet met en vnt comme signifints, comme intérêts, de ce qui l pise, de ce qui le met ussi à ml, fisnt le pri qu il est déjà et continuellement u trvil d essyer de triter quelque chose du réel en trop pour lui. Cette position est nécessire à l émergence d un svoir non stndrdisé, nouveu, d une invention ussi bien chez le trvilleur que chez le sujet psychotique. L prtique «à plusieurs» n est ps non plus une prtique que l on pourrit dire Une, tout du moins dns s forme. Il y différentes risons à cel. Premièrement, elle été mise en plce dns diverses institutions (notmment celles pprtennt u RI3 Réseu Interntionl des Institutions Infntiles créé en 1992 pr Jcques-lin Miller) qui ont chcune leur histoire et leurs prticulrités, qui ont fit des choix différents (consulttion psy ou non u sein de l institution pr exemple). Deuxièmement, elle est prtiquée pr des trvilleurs ynt chcun leur style, même s ils doptent une même logique de trvil décidée lors des réunions d équipes hebdomdires. Enfin, les sujets psychotiques ccueillis modifient eux-mêmes notre prtique en fonction de l mnière dont le réel fit retour pour eux, leurs solutions inédites, leurs demndes. L prtique «à plusieurs» est vnt tout une clinique de l invention, elle n est donc ps figée dns s forme. Il existe pourtnt un socle commun qui fonde ces réponses u réel. Tronc commun, première réponse u réel : viser l pisement Prtons de deux vignettes ssez «clssiques» de l clinique institutionnelle vec des sujets psychotiques. Hervé Hervé, lors que nous prenons le goûter, me prle de son weekend. Il est llé vec ses prents voir s mrrine. Elle lui demndé s il voulit des bonbons. Il les tous mngés me dit-il. J cquiesce et joute que c est gentil de l prt de cette dme. près un silence, il me dit : «Tu sis, je voulis ps mnger les bonbons». Mon oreille se dresse. Je demnde pourquoi il les tous mngés s il n en voulit ps. Il me répond sns intontion prticulière: «Elle dit : «Tu veux des bonbons!» (j joute le point d exclmtion en 2

3 fonction de ce qui suit). Je demnde s il pouvit dire non. Hervé me dit qu il ne pouvit ps et m explique lors qu il ne peut ps dire non lorsque «quelqu un (lui) dit quelque chose». Ce bref échnge montre comment chez certins sujets, le lngge peut supporter l volonté de jouissnce de l utre. Qund Hervé m dit qu il ne peut ps dire non à ce qui lui est dit quelle que soit l personne, quelle que soit l demnde, j i été choqué. Combien de fois vit-il entendu mes questions comme des ordres et vit-il été contrint de s y plier de pr son rpport u lngge. «Tu veux un chocolt chud?» «Tu veux un chocolt chud!» QUETION ORDRE J i bien entendu trnsmis cette vignette en urgence à mes collègues lors de notre réunion clinique hebdomdire. Chcun lors pu trnsmettre son expérience vec Hervé, ses questionnements. Nous sommes convenus d insister à chque fois lourdement sur le fit qu Hervé n étit en ucun cs obligé de fire telle ou telle chose. Nous vons ussi décidé d éviter vec lui le mode ffirmtif ou interrogtif, préférnt prler à l cntonde, sns citer son nom - «Il y du chocolt chud.» - ttendnt simplement qu il vienne nous demnder quelque chose ou ne prlnt tout simplement ps. Cette strtégie de trvil, inspirée et vlidée pr notre responsble thérpeutique à prtir de nos observtions, cette invention d une mnière nouvelle de prler qui ne le contrigne ps, été très vite pisnte pour ce jeune. Notre responsble est ussi venue prler vec lui et les utres jeunes de son groupe de vie pour leur dire que l direction vient insisté en réunion uprès de tous les intervennts (nom donné ux professionnels du Courtil) sur le fit qu Hervé pouvit dire ce qu il voulit et surtout dire non à ce qu il ne voulit ps. Nous vons pu constter que cette nouvelle fçon de l border vit des effets pour Hervé. Il progressivement pu nous dresser des demndes inédites, nous vons découvert des intérêts chez lui qui nous étient inconnus et entendre les premiers refus ctégoriques de ce jeune grçon si pssif jusque-là. Pssif cr sous le joug de l injonction que comporte pour lui le lngge et qui vient de l utre. Nous vons donc, à plusieurs, fit un trvil importnt sur notre mode d expression et nous vons orgnisé grâce à l visite de notre responsble un réglge collectif de l équipe et des jeunes de ce groupe. Richrd Un soir, lors que je viens de sortir du groupe de vie dns lequel je trville, je me rends compte que j i oublié de prendre mon échrpe. Je fis demi-tour et pénètre dns l cuisine du groupe où les jeunes sont occupés à mnger pour l récupérer. ns que je prononce un mot ou que je croise un regrd, je vois fuser vers moi un couvert, à peine entré dns l pièce. L fourchette me loupe de peu. Richrd hurle : «Qu est-ce que tu fous là!». Richrd me lnce donc une fourchette. Qu est ce qui est en jeu? Richrd le dit en hurlnt, je suis là, lors que je devris être prti. Pourquoi, suis-je là? C est une énigme pour Richrd, mis une chose semble certine, il se défend vec violence de ce qui se présente comme irruption pour lui, ce qui tend à montrer qu elle le concerne. Quel est le problème ici? Est-ce 3

4 le fit que Richrd me lnce une fourchette? Je ne le pense ps, même si cel est un cte très dngereux. Non, le trop est bien de mon côté et il le dit. M présence fit effrction pour Richrd. Il n ttque ps. Il se défend. Qu est-ce que je lui veux? C est l question qui se pose à Richrd, m présence est peut être énigmtique, mis un point semble certin pour lui : celle-ci le vise et de mnière insupportble. L riposte est proportionnelle à l mence ressentie. J incrne lors pour ce jeune psychotique ce que l on nomme une figure de l utre méchnt, un utre qui lui veut du ml. suivre cette logique, l chose à triter, l chose qui est venue en trop et à lquelle l équipe doit répondre n est donc ps le lncer de fourchette, mis m présence. Voici comment nous vons opéré vec mon collègue : l étonnement pssé, inquiet de voir Richrd dns cet étt, je me tourne vers un intervennt qui est ssis à tble. Je lui dis que je suis désolé de dérnger tout le monde, mis que j i oublié mon échrpe dns l cuisine. Mon collègue, fisnt semblnt d être très en colère, se lève et commence à me disputer. L chose est entendue, j i oublié mon échrpe, mis cel n excuse ps que j entre dns le groupe lors que je n y trville plus, que je dois respecter mon horire, que cel dérnge u plus hut point les jeunes qui sont trnquillement en trin de mnger que je vienne insi. Il joute qu il en prler lors de l prochine réunion d équipe, qu ucun intervennt ne peut fire ce genre de chose. Rentrnt dns le jeu, je m excuse pltement et file vec mon échrpe. u cours de cette «engueulde» sur les règles et dns les règles, Richrd s ssied, écoute mon collègue vec ttention et s pise. J entends en prtnt l petite voix redevenue clme de Richrd jouter un «Et toc!» mrqunt que tout v bien à nouveu pour lui et qui provoqu chez moi un fou rire dès l porte d entrée pssée. J ppris bien entendu que mon collègue vit orienté l discussion durnt le reps sur ce point, rppelnt ce réglge de l présence des intervennts pr les horires, expliqunt ux jeunes qu ils peuvent venir se plindre ux utres intervennts si l un ou l utre ne suit ps cette règle, que cel serit lors rpporté à l réunion et u directeur qui prendrit des snctions. Richrd lors jouté de lui-même vec un grnd rire que si je recommençis, ce n est ps une fourchette qu il m enverrit mis un directeur, ce qui serit bien plus drôle. Qu est ce qui été pisnt ici? M présence irruptive, cpricieuse pour Richrd, qui le vise été «réglée» pr l intervention de mon collègue. Tout d bord, j explique m présence, mis cel n urit sns doute ps été suffisnt cr Richrd est encore debout à me fixer jusqu à ce que mon collègue et moi commencions notre petit jeu. Il se clme progressivement pr le rppel de l règle qui orgnise notre présence à nous trvilleurs, les horires, règle qui pèse sur chcun d entre nous et surtout sur celui qui l énonce. Il dit ussi que des figures hiérrchiques supérieures à nous grntissent son ppliction : réunion d équipe, direction. Mon collègue vient s interposer entre Richrd et moi qui prit cpricieux, fisnt exister une protection. Ce positionnement n est possible que prce que l règle qu il énonce est d bord vlble pour lui-même. Cette opértion est ce que l on ppelle un réglge de l utre. Elle eu un grnd effet pisnt pour Richrd et permis de remettre en plce un lien socil pisé. Cel indique sns doute que le monde de Richrd est un monde qui peut très rpidement devenir sns règle. Conséquence directe de l position occupée pr mon collègue, ce jeune pu se sisir des proles de ses proles concernnt une solution différente pour supporter une telle intrusion à l venir et même l prévenir, opérnt un déclge de lui-même en pssnt de l fourchette u directeur. Ce pssge de l cte u signifint est une petite solution très précieuse! L 4

5 mnière de fire de mon collègue été très fine, elle permis de clmer les choses tout en reprennt indirectement et, sns viser Richrd trop directement, l question de ce lncer de fourchette. Pendnt longtemps, Richrd, u moment de mon déprt, venit me trouver pour me demnder si je n vis ps oublié mon échrpe, en joutnt un sourire ux lèvres, que dns le cs contrire je devris ttendre de trviller à nouveu pour l récupérer. Je rentris bien sûr dns le jeu et il me sluit près cel d un «ttention u directeur!» qui provoquit mon effroi et son hilrité. Cette mnière de me sluer montre que cette solution étit efficce pour Richrd, mis étit ussi le signe que m présence restit potentiellement mençnte pour lui. Nous vons pu nous rendre compte en réunion d équipe qu il utilisit ce petit «svoir y fire» vec notre présence pour régler bon nombre des intervennts. Ce réglge de l utre que trvilleurs ou résidnts peuvent toujours venir incrner, est toujours à refire et ne doit ps être seulement utilisé en sitution de crise. Il est un des piliers de l prtique «à plusieurs», il est l première réponse que nous pportons à ce simple constt uquel l clinique et les deux vignettes ici présentées nous poussent : l utre du sujet psychotique est toujours trop présent et lui veut toujours du ml. Comment comprendre cel? Logique du trnsfert psychotique Le trnsfert psychotique peut être compris comme un trnsfert inversé. u contrire du sujet névrosé qui plce son mnque dns l utre, le sujet psychotique est toujours en risque d être l objet de l utre uquel il est confronté, le désir de l utre se foclise sur lui. Ce phénomène est lié à l non extrction de l objet dns l psychose. Comme Lcn l dit, l objet (), le sujet psychotique l dns s poche et cel des conséquences. Trnsfert névrotique ujet brré utre brré Objet ens du trnsfert 5

6 Trnsfert psychotique ujet non brré utre Objet ens du trnsfert Cette volonté de jouissnce de l utre, qui vise le sujet psychotique est ce contre quoi le sujet lutte vec les rmes à s disposition. Prfois vec un certin succès, prfois non. Le recours à l institution indique, que ce trvil individuel du sujet psychotique, ne le met ps ssez à l bri de ce réel qui lui tombe dessus, qui est du côté du trop. Dès lors, comment fire en sorte que l institution et ses membres ne soient ps l une des figures de l utre méchnt, de cet utre tout puissnt? Vous vez pu comprendre à trvers les deux vignettes que je viens de vous exposer que notre réponse, celle de l prtique «à plusieurs» est, dns un premier temps, d occuper l plce d un «utre utre» (lfredo Zenoni). Un utre dont le désir, le trnsfert serit bsent, non invsif pour le sujet puisque sous le coup de l règle et de l loi. Cette opértion de réglge de l utre institutionnel deux conséquences : - n étnt plus, ou moins, en risque d être rvlé à l plce d objet de jouissnce de l utre u sein de l institution, le sujet s y trouve quelque peu pisé. - n occupnt plus cette plce d utre jouisseur, nous pouvons lors nous positionner comme prtenires de trvil, si le sujet nous convoque à cette plce. J i prlé du réglge de l utre institutionnel comme du premier temps, temps logique, de l réponse que constitue l prtique «à plusieurs», cr cette opértion n est que l condition indispensble à l possibilité d un trvil et non le trvil en lui-même. Ce n est qu une fois dns cette position d utre réglé que nous pouvons espérer prendre prt à l lutte contre le réel que le sujet mène. Le sujet peut lors, comme le jeune Richrd, se sisir d un svoirfire ou d un signifint du prtenire pour créer une petite solution: «ttention u directeur!», jeter un directeur plutôt qu une fourchette. 6

7 : 1 er Temps logique, réglge du trnsfert de l utre. : 2 ème Temps logique, le sujet peut se sisir de signifints et des «svoir-fire» du prtenire. ujet non brré utre Objet ens du trnsfert Trnsfert u prtenire ignifint(s)/svoir-fire comme «directeur» dns le cs de Richrd. Il est importnt de noter que cette possibilité de l invention n est ps toujours possible, que tous les sujets psychotiques n rrivent ps à de telles crétions, pour des risons diverses et mjoritirement contingentes (bonnes ou muvises rencontres) ou liées à un réel ps ssez entmé pr leur trvil ou le nôtre. L invention, l solution psychotique ne vient que de surcroît, si je puis dire. C est pourquoi l pisement, comme Jcques-lin Miller nous l dit, lors de l une de ses visites u Courtil, est l essence de notre trvil en institution. Produire cinq minutes, un qurt d heure, une heure, une journée de quiétude pour et vec le sujet est déjà une victoire. 7

8 Le mintien du réglge individuel et collectif de l utre institutionnel psse ussi pr l nécessité de l mise en plce de relis. Comme l exprime très bien Nicols - «Qund je suis seul vec quelqu un, il se psse des choses» - il est difficilement possible de mintenir un réglge et une distnce lorsque le trvil ne s effectue ps u sens propre à plusieurs, ce qui peut entrîner des effets dévstteurs ou u minimum ngoissnts pour certins sujets. L prtique «à plusieurs» est donc une prtique du relis, du réseu. Elle est plurielle pr nécessité, fin de diffrcter le trnsfert mssif que peut engendrer un trvil en tête à tête vec un sujet psychotique. Elle est une prtique du «un pr un» mis ps du «un pour un». Ces relis entre les intervennts peuvent être prévus à l vnce comme pr exemple lors du pssge d un telier à l utre, moments de creux souvent complexes, mis ussi, dns l pluprt des cs, nécessités pr des phénomènes imginires et/ou interpréttifs pouvnt mettre en difficulté un sujet. L exemple de Richrd est ici très prlnt. Ces relis sont souvent très efficces prce qu ils méditisent les rpports, le second intervennt vennt lors en position de tiers, pouvnt lors opérer un déclge et/ou un réglge. L utre utre institutionnel convoqué à se fire outil multi-usge : seconde réponse Une fois ce premier temps de réglge et de mise en plce de relis opéré, nous pouvons voir que l utre utre qui en résulte est utilisé pr les sujets psychotiques à de multi-usges uxquels ils nous convoquent. Prtenrit de trvil Le premier usge que j i évoqué est de devenir prtenire du trvil du sujet. Nous nous bsons lors sur les signifints et les intérêts de chcun pour l ccompgner s il nous le demnde ou se déclre intéressé pr tel ou tel telier, ctivité. L proposition est toujours une intervention délicte, elle suppose en effet, pour beucoup de sujets, une volonté de l utre qui pourrit toujours venir les viser. Le mode de proposition est lors à dpter ux difficultés de chcun. Il est de toute fçon nécessire de se lisser guider pr le sujet qui ssurément un svoir sur le réel que nous ne possédons ps. L difficulté est lors souvent que ce qui pose problème, ce qui déborde le sujet, qui s impose à lui est l bse de ce qui ser ou peut être l solution du sujet. C est souvent dns cette impsse, très complexe à gérer et qui peut durer, que le prtenire peut être mené à introduire un signifint ou un svoir-fire qui v permettre u sujet d inventer une protection. Julien nous montre bien cel. Ce jeune grçon ne peut s rrêter de prler d un jeu vidéo très précis, des divers mondes à visiter, des personnges, des commndes, sns fin. Que fire? Refuser d entendre? Essyer de couper cel? Impossible sns le mettre en très grnde 8

9 difficulté. Il fllu entendre que cette dresse étit déjà une demnde et fire vec cel. Là où le sujet est comme en pnne, nous pouvons l ccompgner et proposer une idée, une voie de tritement nouvelle. Julien s est sisi de m proposition de se rendre en telier «construction en crton» fin d y construire l un des objets de ce jeu. Il est très ttentif et il ide les intervennts à construire le msque de son personnge préféré qu il choisi de créer. Durnt l construction, le flot de proles se clme peu à peu et dérive vers le comment fire telle ou telle prtie de l objet. Une fois terminé, il joue un peu vec ce msque, mis bien vite, à notre grnde surprise, il nous rejoint pour prler de tout utre chose, toujours à prtir du point de déprt de ce jeu, comme déggé de ce qui s imposit à lui uprvnt. Julien nous rconte pour l première fois son weekend en prtnt des proles de son père lorsqu il joue à ce jeu vec lui. Ce qui se présente comme problème étit en quelque sorte l solution, l première morce d un trvil toujours en cours. Tritement des utres figures de l utre fou L utre usge mjeur de l utre utre institutionnel uquel nous convoquent les sujets est celui de triter les utres figures de l utre et leurs demndes qui les visent. L utre prentl, l utre socil et leurs demndes d utonomistion et de normlistion, l utre de l loi ussi prfois, l utre de l école Voyons cel à prtir d un exemple clinique. Mthieu et l utre prentl, socil Mthieu, 10 ns, est ccueilli depuis peu chez nous. Lors de l entretien d dmission, les prents et les services sociux ont une demnde très importnte : Mthieu fit pipi dns son pntlon très souvent, cel doit cesser. Mthieu bien d utres problèmes, dont on nous prlé, mis ce point est ce qui ressort comme demnde bsolue de l utre prentl et socil. Mthieu qui est présent tremble comme une feuille à l énoncé de cette volonté. Nous entendons cette demnde, mis choisissons de répondre que tout cel v ller, que nous fisons confince à Mthieu, dédrmtisnt l chose. Il m dresse lors très discrètement un sourire. Depuis qu il est chez nous en internt, l énurésie est toujours présente, mis nous l bnlisons, nommnt cel des «ccidents». Mthieu s est sisi d une petite formule toute fite que nous lui vons proposée «Les ccidents, ç rrive». Cette phrse qu il reprend à chque fois clme son ngoisse que l utre lui tombe dessus «comme à l mison». vnt les entretiens téléphoniques hebdomdires vec s mère, Mthieu est ngoissé, il m explique qu il ne peut ps ne ps dire à s mère qu il fit pipi. Elle lui pose en effet toujours cette question dès le début de l entretien. Elle nous ussi dit vérifier les vêtements de son fils lorsqu il rentre le weekend fin de svoir s il y eu pipi ou non. i oui, Mthieu est puni et ne peut jouer vec ses Lego. 9

10 «Mis qu est-ce que je peux fire?!» me lnce Mthieu, quelques minutes vnt son coup de fil de l semine. Je lui propose une «recette mison», signifint qui ttire son ttention, comme je l vis noté en cuisinnt vec lui. J explique à s demnde que nous pourrions fire une bonne blgue à s mmn, que je pourris lui prler vnt lui et dire qu il n y ps eu d ccident, comme cel, il pourrit lui prler des chouettes choses qu il fites durnt l semine. «Et si elle me demnde à moi?», réplique-t-il. «Eh bien, tu peux lui dire que je ne suis ps zinzin et que j i déjà répondu à l question!» en joutnt de grnds gestes qui le font rire. Nous ppliquons notre pln qui se psse «sns ccro». L mère est insi soulgée et surtout Mthieu. chque ppel, il vient me trouver en rint : «C est prti pour l blgue!». Ces converstions téléphoniques ne sont plus ngoissntes pour ce jeune et lorsqu une question de s mère est trop intrusive, Mthieu me psse le téléphone vec un clin d œil en disnt à s mère de me l poser à moi. Cette solution ussi pporté un chngement dns les rpports entre Mthieu et s mère. Pouvoir prler d utre chose, des centres d intérêts de Mthieu, eu des effets pisnts pour cette mmn qui se montre très surprise : «Je découvre mon fils!». Un questionnement utre s ouvre pour cette femme : «i Mthieu ime tnt construire des objets, pourrit-il en fire un métier?». Nous ne répondons ps à cel, lissnt Mthieu dire ce qu il voudrit fire plus trd : «Moi je veux fire de l horticulture à l école!». Libéré de cette demnde ngoissnte, Mthieu pu progressivement inventer de petites solutions vec nous fin de fire de moins en moins pipi dns son pntlon, chose qui rrive en fit lorsqu il est tellement pris pr une ctivité qu il ne sent plus rien. Nous vons ussi convenu à s demnde que nous llions nettoyer ses vêtements sles chque vendredi vec son ide fin que s mmn ne sche rien de ses ccidents. Mthieu nous convoque à insérer un coin, une distnce possible vec s mère, utre vécu comme trop intrusif. Il constitue de plus en plus vec notre ide un espce d intimité inexistnt uprvnt. Certes, il ne peut ps ne ps dire, mis il peut ujourd hui éviter l question. Nous nous positionnons à l demnde du sujet entre lui et l utre fou uquel il doit fire fce seul et souvent démuni. Il ne s git ps, vec des sujets psychotiques, de se mettre fce à eux, mis bien à leurs côtés. Tout cel est conditionné, je le répète, pr le trvil de réglge prélble de l utre institutionnel à tous ses niveux. - utre intrusif - utre-utre (réglé) sujet non brré 10

11 Opértion de réglge de l utre institutionnel Trnsfert de u prtenire - Coupure relis pris pr - mettnt à distnce et En conclusion de ce texte, je citeri une nouvelle fois le jeune Vlentin : «Ici, y beucoup de gens, hein? Ce que j ime bien c est qu ils me lissent trnquille! Ps comme illeurs.» Il me semble que cette simple phrse résume bien mieux l orienttion de trvil dont l psychose besoin que ces quelques pges que vous venez de lire. Il est bien sûr nécessire d écouter ces sujets pour s en rendre compte. Ce sont les proles des personnes que nous ccueillons qui doivent être notre bse de trvil. L conséquence mjeure de cette logique est que les notions que j vnce ici ne sont qu une réponse vlnt jusqu à l preuve clinique du contrire, toujours sujette à l remise en question, devnt s dpter u réel uquel l psychose confronte le sujet. 11

Guide des bonnes pratiques

Guide des bonnes pratiques Livret 3 MINISTÈRE DE LA RÉFORME DE L'ÉTAT, DE LA DÉCENTRALISATION ET DE LA FONCTION PUBLIQUE 3 Guide des bonnes prtiques OUTILS DE LA GRH Guide des bonnes prtiques Tble des mtières 1. Introduction p.

Plus en détail

Transfert. Logistique. Stockage. Archivage

Transfert. Logistique. Stockage. Archivage Trnsfert Logistique Stockge Archivge Trnsfert, logistique, stockge Pour fire fce ux nouveux enjeux, il est importnt de pouvoir compter sur l'expertise d'un spéciliste impliqué à vos côtés, en toute confince.

Plus en détail

Pour développer votre entreprise LES LOGICIELS EN LIGNE, VOUS ALLEZ DIRE OUI!

Pour développer votre entreprise LES LOGICIELS EN LIGNE, VOUS ALLEZ DIRE OUI! Pour développer votre entreprise Gestion Commercile Gérez le cycle complet des chts (demnde de prix, fcture fournisseur), des stocks (entrée, sortie mouvement, suivi) et des ventes (devis, fcture, règlement,

Plus en détail

Toyota Assurances Toujours la meilleure solution

Toyota Assurances Toujours la meilleure solution Toyot Assurnces Toujours l meilleure solution De quelle ssurnce vez-vous besoin? Vous roulez déjà en Toyot ou vous ttendez s livrison. Votre voiture est neuve ou d occsion. Vous vlez les kilomètres ou

Plus en détail

NEWS PRO ACTIV. www.activexpertise.fr. [Juillet 2015] Ce mois-ci on vous parle de. L arrêté est applicable à compter du 1er Juillet 2015.

NEWS PRO ACTIV. www.activexpertise.fr. [Juillet 2015] Ce mois-ci on vous parle de. L arrêté est applicable à compter du 1er Juillet 2015. Ce mois-ci on vous prle de i Rpport de repérge minte : Trnsmission u Préfet obligtoire à compter du 1 er juillet 2015 Simplifiction des formlités : De bonnes nouvelles pour les entreprises de dignostic

Plus en détail

Statuts ASF Association Suisse Feldenkrais

Statuts ASF Association Suisse Feldenkrais Sttuts ASF Assocition Suisse Feldenkris Contenu Pge I. Nom, siège, ojectif et missions 1 Nom et siège 2 2 Ojectif 2 3 Missions 2 II. Memres 4 Modes d ffilition 3 5 Droits et oligtions des memres 3 6 Adhésion

Plus en détail

Sommaire. 6. Tableau récapitulatif... 10. Sophos NAC intégré Vs. NAC Advanced - 17 Février 2009 2

Sommaire. 6. Tableau récapitulatif... 10. Sophos NAC intégré Vs. NAC Advanced - 17 Février 2009 2 Sommire 1. A propos de Sophos... 3 2. Comprtif des solutions Sophos NAC... 4 3. Sophos NAC pour Endpoint Security nd Control 8.0... 4 3.1. Administrtion et déploiement... 4 3.2. Gestion des politiques

Plus en détail

LOGICIEL FONCTIONNEL EMC VNX

LOGICIEL FONCTIONNEL EMC VNX LOGICIEL FONCTIONNEL EMC VNX Améliortion des performnces des pplictions, protection des données critiques et réduction des coûts de stockge vec les logiciels complets d EMC POINTS FORTS VNX Softwre Essentils

Plus en détail

Réalisation de sites Internet PME & Grandes entreprises Offre Premium. Etude du projet. Webdesign. Intégration HTML. Développement.

Réalisation de sites Internet PME & Grandes entreprises Offre Premium. Etude du projet. Webdesign. Intégration HTML. Développement. Rélistion de sites Internet PME & Grndes entreprises Offre Premium Etude du projet Réunions de trvil et étude personnlisée de votre projet Définition d une strtégie de pré-référencement Webdesign Définition

Plus en détail

Université Paris-Dauphine DUMI2E. UFR Mathématiques de la décision. Notes de cours. Analyse 2. Filippo SANTAMBROGIO

Université Paris-Dauphine DUMI2E. UFR Mathématiques de la décision. Notes de cours. Analyse 2. Filippo SANTAMBROGIO Université Pris-Duphine DUMI2E UFR Mthémtiques de l décision Notes de cours Anlyse 2 Filippo SANTAMBROGIO Année 2008 2 Tble des mtières 1 Optimistion de fonctions continues et dérivbles 5 1.1 Continuité........................................

Plus en détail

LANGAGES - GRAMMAIRES - AUTOMATES

LANGAGES - GRAMMAIRES - AUTOMATES LANGAGES - GRAMMAIRES - AUTOMATES Mrie-Pule Muller Version du 14 juillet 2005 Ce cours présente et met en oeuvre quelques méthodes mthémtiques pour l informtique théorique. Ces notions de bse pourront

Plus en détail

Interview p.10. Francis Delpérée. Dossier pédagogique des Equipes Populaires Bimestriel n 154 Janvier-Février 2013

Interview p.10. Francis Delpérée. Dossier pédagogique des Equipes Populaires Bimestriel n 154 Janvier-Février 2013 Dossier pédgogique des Equipes Populires Bimestriel n 154 Jnvier-Février 2013 Belgique - België P.P. - P.B. 5000 - Nmur 1 BC 4854 Interview p.10 Frncis Delpérée Bureu de dépôt : 5000 Nmur mil. N d grétion

Plus en détail

Chapitre 2 Le problème de l unicité des solutions

Chapitre 2 Le problème de l unicité des solutions Université Joseph Fourier UE MAT 127 Mthémtiques nnée 2009-2010 Chpitre 2 Le prolème de l unicité des solutions 1 Le prolème et quelques réponses : 1.1 Un exemple Montrer que l éqution différentielle :

Plus en détail

Partie 4 : La monnaie et l'inflation

Partie 4 : La monnaie et l'inflation Prtie 4 : L monnie et l'infltion Enseignnt A. Direr Licence 2, 1er semestre 2008-9 Université Pierre Mendès Frnce Cours de mcroéconomie suite 4.1 Introduction Nous vons vu dns l prtie introductive que

Plus en détail

Livret de l étudiant 2015-2016

Livret de l étudiant 2015-2016 Livret de l étudint 2015-2016 Le mot du directeur Soyez les bienvenus à l IUT Pris Descrtes. L'IUT ccueille chque nnée 3000 étudints, sur le site de l'venue de Versilles et, depuis cette nnée, sur le site

Plus en détail

semestre 3 des Licences MISM annnée universitaire 2004-2005

semestre 3 des Licences MISM annnée universitaire 2004-2005 MATHÉMATIQUES 3 semestre 3 des Licences MISM nnnée universitire 24-25 Driss BOULARAS 2 Tble des mtières Rppels 5. Ensembles et opértions sur les ensembles.................. 5.. Prties d un ensemble.........................

Plus en détail

- Phénoméne aérospatial non identifié ( 0.V.N.I )

- Phénoméne aérospatial non identifié ( 0.V.N.I ) ENQUETE PRELIMINAIRE ANALYSE ET REFEREWCES : Phénoméne érosptil non identifié ( 0VNI ) B8E 25400 DEF/GEND/OE/DOlRENS du 28/9/1992 Nous soussigné : M D L chef J S, OPJ djoint u commndnt de l brigde en résidence

Plus en détail

Influence du milieu d étude sur l activité (suite) Inhibition et activation

Influence du milieu d étude sur l activité (suite) Inhibition et activation Influence du milieu d étude sur l ctivité (suite) Inhibition et ctivtion Influence de l tempérture Influence du ph 1 Influence de l tempérture Si on chuffe une préprtion enzymtique, l ctivité ugmente jusqu

Plus en détail

Chapitre 11 : L inductance

Chapitre 11 : L inductance Chpitre : inductnce Exercices E. On donne A πr 4π 4 metn N 8 spires/m. () Selon l exemple., µ n A 4π 7 (8) 4π 4 (,5) 5 µh (b) À prtir de l éqution.4, on trouve ξ ξ 4 3 5 6 6,3 A/s E. On donne A πr,5π 4

Plus en détail

Guide d'utilisation Easy Interactive Tools Ver. 2

Guide d'utilisation Easy Interactive Tools Ver. 2 Guide d'utilistion Esy Interctive Tools Ver. 2 Guide d'utilistion Esy Interctive Tools Ver.2 Présenttion de Esy Interctive Tools 3 Crctéristiques Fonction de dessin Vous pouvez utiliser Esy Interctive

Plus en détail

Pour développer votre entreprise. Compta LES LOGICIELS EN LIGNE, VOUS ALLEZ DIRE OUI!

Pour développer votre entreprise. Compta LES LOGICIELS EN LIGNE, VOUS ALLEZ DIRE OUI! Pour développer votre entreprise Compt Avec EBP Compt, vous ssurez le suivi de l ensemble de vos opértions et exploitez les données les plus complexes en toute sécurité. Toutes les fonctionnlités essentielles

Plus en détail

Techniques d analyse de circuits

Techniques d analyse de circuits Chpitre 3 Tehniques d nlyse de iruits Ce hpitre présente différentes méthodes d nlyse de iruits. Ces méthodes permettent de simplifier l nlyse de iruits ontennt plusieurs éléments. Bien qu on peut résoudre

Plus en détail

STI2D Logique binaire SIN. L' Algèbre de BOOLE

STI2D Logique binaire SIN. L' Algèbre de BOOLE L' Algère de BOOLE L'lgère de Boole est l prtie des mthémtiques, de l logique et de l'électronique qui s'intéresse ux opértions et ux fonctions sur les vriles logiques. Le nom provient de George Boole.

Plus en détail

EnsEignEmEnt supérieur PRÉPAS / BTS 2015

EnsEignEmEnt supérieur PRÉPAS / BTS 2015 Enseignement supérieur PRÉPAS / BTS 2015 Stnisls pour mbition de former les étudints à l réussite d exmens et de concours des grndes écoles de mngement ou d ingénieurs. Notre objectif est d ccompgner chque

Plus en détail

Correction de l épreuve CCP 2001 PSI Maths 2 PREMIÈRE PARTIE ) (

Correction de l épreuve CCP 2001 PSI Maths 2 PREMIÈRE PARTIE ) ( Correction de l épreuve CCP PSI Mths PREMIÈRE PARTIE I- Soit t u voisinge de, t Alors ϕt t s = ϕt ρt s ρs Pr hypothèse, l fonction ϕt ϕt est lorsque t, il en est donc de même de ρt s ρt s ρs cr ρ s est

Plus en détail

Bloc notes. a À faire tout de suite. Gardez secret votre code confidentiel. À conserver précieusement. Protégez votre carte

Bloc notes. a À faire tout de suite. Gardez secret votre code confidentiel. À conserver précieusement. Protégez votre carte Q U O T I D I E N Crte Mestro Comment voir tous les touts de votre crte bien en min Guide mémo + Notice d Assistnce Octobre 2010 Bloc notes À fire tout de suite Votre crte est strictement personnelle,

Plus en détail

3- Les taux d'intérêt

3- Les taux d'intérêt 3- Les tux d'intérêt Mishkin (2007), Monnie, Bnque et mrchés finnciers, Person Eduction, ch. 4 et 6 Vernimmen (2005), Finnce d'entreprise, Dlloz, ch. 20 à 22 1- Mesurer les tux d'intérêt comprer les différents

Plus en détail

L'algèbre de BOOLE ou algèbre logique est l'algèbre définie pour des variables ne pouvant prendre que deux états.

L'algèbre de BOOLE ou algèbre logique est l'algèbre définie pour des variables ne pouvant prendre que deux états. ciences Industrielles ystèmes comintoires Ppnicol Roert Lycée Jcques Amyot I - YTEME COMBINATOIRE A. Algère de Boole. Vriles logiques: Un signl réel est une grndeur physique en générl continue, on ssocie

Plus en détail

Théorème de Poincaré - Formule de Green-Riemann

Théorème de Poincaré - Formule de Green-Riemann Chpitre 11 Théorème de Poincré - Formule de Green-Riemnn Ce chpitre s inscrit dns l continuité du précédent. On vu à l proposition 1.16 que les formes différentielles sont bien plus grébles à mnipuler

Plus en détail

ManSafe. pour les Utilitiés. La Protection antichute pour les Industries de l'energie. Français. TowerLatch LadderLatch

ManSafe. pour les Utilitiés. La Protection antichute pour les Industries de l'energie. Français. TowerLatch LadderLatch MnSfe pour les Utilitiés L Protection ntichute pour les Industries de l'energie Frnçis TowerLtch LdderLtch Les questions de protection nti-chute Les chutes de huteur sont l cuse de mortlité l plus importnte

Plus en détail

Synthèse de cours (Terminale S) Calcul intégral

Synthèse de cours (Terminale S) Calcul intégral Synthèse de cours (Terminle S) Clcul intégrl Intégrle d une onction continue positive sur un intervlle [;] Dns cette première prtie, on considère une onction continue positive sur un intervlle [ ; ] (

Plus en détail

/HVV\VWqPHVFRPELQDWRLUHV

/HVV\VWqPHVFRPELQDWRLUHV /HVV\VWqPHVFRPELQDWRLUHV I. Définition On ppelle système combintoire tout système numérique dont les sorties sont exclusivement définies à prtir des vribles d entrée (Figure ). = f(x, x 2,,, x n ) x x

Plus en détail

Le vademecum de l apprentissage dans la fonction publique territoriale SERVICES À LA PERSONNE

Le vademecum de l apprentissage dans la fonction publique territoriale SERVICES À LA PERSONNE Le vdemecum de l pprentissge dns l fonction publique territorile SERVICES À LA PERSONNE 1 REMERCIEMENTS Nous tenons à remercier pour leur disponibilité et l richesse de nos échnges toutes les personnes

Plus en détail

Santé et sécurité psychologiques en milieu de travail

Santé et sécurité psychologiques en milieu de travail CAN/CSA-Z1003-13/BNQ 9700-803/2013 Norme ntionle du Cnd Snté et sécurité psychologiques en milieu de trvil Prévention, promotion et lignes directrices pour une mise en œuvre pr étpes Avilble in English

Plus en détail

Module 2 : Déterminant d une matrice

Module 2 : Déterminant d une matrice L Mth Stt Module les déterminnts M Module : Déterminnt d une mtrice Unité : Déterminnt d une mtrice x Soit une mtrice lignes et colonnes (,) c b d Pr définition, son déterminnt est le nombre réel noté

Plus en détail

Chapitre VI Contraintes holonomiques

Chapitre VI Contraintes holonomiques 55 Chpitre VI Contrintes holonomiques Les contrintes isopérimétriques vues u chpitre précéent ne sont qu un eemple prticulier e contrintes sur les fonctions y e notre espce e fonctions missibles. Dns ce

Plus en détail

La réforme des soins de santé mentale en Belgique

La réforme des soins de santé mentale en Belgique 1 L réforme des soins de snté mentle en Belgique Isbel MOENS Cbinet de l Vice Première-Ministre Ministre des Affires sociles et de l Snté publique En prtenrit vec: Kristel KARLER Cbinet de l Ministre de

Plus en détail

FONDATION CLEMENTINE ET MAURICE ANTILLE

FONDATION CLEMENTINE ET MAURICE ANTILLE FONDATION CLEMENTINE ET MAURICE ANTILLE Règlement d ttriution de ourses et de prêts d études et de formtion du déemre 006 Artile premier Ojet et hmp d pplition Le présent règlement est étli en pplition

Plus en détail

Classeur courtier d assurance. Comment organiser son activité et se préparer à un contrôle

Classeur courtier d assurance. Comment organiser son activité et se préparer à un contrôle Clsseur courtier d ssurnce Comment orgniser son ctivité et se préprer à un contrôle 67, venue Pierre Grenier 92517 BOULOGNE-BILLANCOURT CEDEX Tél : 01.46.10.43.80 Fx : 01.47.61.14.85 www.streevocts.com

Plus en détail

COACHER VOS COLLABORATEURS

COACHER VOS COLLABORATEURS 59000 LILLE COCHER VOS COLLBORTEURS Pourquoi POUR coacher LE MONDE vos UTO collaborateurs? 1. Le coaching : de quoi s agit-il? 2. SOLUTIONS Quel RH déroulement pour une action de coaching? 3. Quels comportements

Plus en détail

INSTRUCTIONS POUR L INSTALLATION ET LE FONCTIONNEMENT DES SERRURES À POIGNÉE BÉQUILLE

INSTRUCTIONS POUR L INSTALLATION ET LE FONCTIONNEMENT DES SERRURES À POIGNÉE BÉQUILLE INSTRUCTIONS POUR L INSTALLATION ET LE FONCTIONNEMENT DES SERRURES À POIGNÉE BÉQUILLE POUR LES SERRURES D ENTRÉE À CLÉ EXTÉRIEURES VERROUILLABLES, À POIGNÉE DE BRINKS HOME SECURITY. POUR LES PORTES DE

Plus en détail

LITE-FLOOR. Dalles de sol et marches d escalier. Information technique

LITE-FLOOR. Dalles de sol et marches d escalier. Information technique LITE-FLOOR Dlles de sol et mrches d esclier Informtion technique Recommndtions pour le clcul et l pose de LITE-FLOOR Générlités Cette rochure reprend les règles de se à respecter pour grntir l rélistion

Plus en détail

Séquence 8. Probabilité : lois à densité. Sommaire

Séquence 8. Probabilité : lois à densité. Sommaire Séquence 8 Proilité : lois à densité Sommire. Prérequis 2. Lois de proilité à densité sur un intervlle 3. Lois uniformes 4. Lois exponentielles 5. Synthèse de l séquence Dns cette séquence, on introduit

Plus en détail

Bilan pédagogique / Projet ipad Contexte

Bilan pédagogique / Projet ipad Contexte t e j n r i t P t n e m i r é d p x d e es ip e d s s l c en gie. l chn, p s e g iss rent p p es ur l s é r cent t e j n pr Bil g g éd n p l2 vri, e iqu U d ps égrtin m t L sch en in tin duc en De gique

Plus en détail

Turbine hydraulique Girard simplifiée pour faibles et très faibles puissances

Turbine hydraulique Girard simplifiée pour faibles et très faibles puissances Turbine hydrulique Girrd simplifiée pour fibles et très fibles puissnces Prof. Ing. Zoltàn Hosszuréty, DrSc. Professeur à l'université technique de Kosice Les sites hydruliques disposnt de fibles débits

Plus en détail

Cours d Analyse IV Suites et Séries de fonctions

Cours d Analyse IV Suites et Séries de fonctions Université Clude Bernrd, Lyon I Licence Sciences, Technologies & Snté 43, boulevrd 11 novembre 1918 Spécilité Mthémtiques 69622 Villeurbnne cedex, Frnce L. Pujo-Menjouet pujo@mth.univ-lyon1.fr Cours d

Plus en détail

Avant d utiliser l appareil, lisez ce Guide de référence rapide pour connaître la procédure de configuration et d installation.

Avant d utiliser l appareil, lisez ce Guide de référence rapide pour connaître la procédure de configuration et d installation. Guide de référence rpide Commencer Avnt d utiliser l ppreil, lisez ce Guide de référence rpide pour connître l procédure de configurtion et d instlltion. NE rccordez PAS le câle d interfce mintennt. 1

Plus en détail

COURS D ANALYSE. Licence d Informatique, première. Laurent Michel

COURS D ANALYSE. Licence d Informatique, première. Laurent Michel COURS D ANALYSE Licence d Informtique, première nnée Lurent Michel Printemps 2010 2 Tble des mtières 1 Éléments de logique 5 1.1 Fbriquer des énoncés........................ 5 1.1.1 Enoncés élémentires.....................

Plus en détail

Conseils et astuces pour les structures de base de la Ligne D30

Conseils et astuces pour les structures de base de la Ligne D30 Conseils et stuces pour les structures de bse de l Ligne D30 Conseils et stuces pour l Ligne D30 Ligne D30 - l solution élégnte pour votre production. Rentbilité optimle et méliortion continue des séquences

Plus en détail

La paye. La comptabilité. Comparez et choisissez votre logiciel. Comparez et choisissez votre logiciel. Paye Bâtiment 2012. Paye Agricole 2013

La paye. La comptabilité. Comparez et choisissez votre logiciel. Comparez et choisissez votre logiciel. Paye Bâtiment 2012. Paye Agricole 2013 L comptbilité Comprez et choisissez votre logiciel L pye Comprez et choisissez votre logiciel TABLEAUX COMPARATIFS Compt Prtic Pour les créteurs et les entrepreneurs novice en Compt Compt Clssic Pour l

Plus en détail

L EUROPE ET L EAU. «Quelle idée d appeler cette planète Terre alors qu elle est clairement océan». Arthur C. Clarke.

L EUROPE ET L EAU. «Quelle idée d appeler cette planète Terre alors qu elle est clairement océan». Arthur C. Clarke. L EUROPE ET L EAU L eu est indispensble à l vie. Elle soutient nos écosystèmes et régule le climt. Agriculture, limenttion, énergie, trnsports : l eu est u cœur de notre existence. Cependnt, elle est inéglement

Plus en détail

LICENCE DE MATHÉMATIQUES DEUXIÈME ANNÉE. Unité d enseignement LCMA 4U11 ANALYSE 3. Françoise GEANDIER

LICENCE DE MATHÉMATIQUES DEUXIÈME ANNÉE. Unité d enseignement LCMA 4U11 ANALYSE 3. Françoise GEANDIER LICENCE DE MATHÉMATIQUES DEUXIÈME ANNÉE Unité d enseignement LCMA 4U ANALYSE 3 Frnçoise GEANDIER Université Henri Poincré Nncy I Déprtement de Mthémtiques . Tble des mtières I Séries numériques. Séries

Plus en détail

SYSTEME DE TELEPHONIE

SYSTEME DE TELEPHONIE YTEME DE TELEPHOIE LE OUVEUTE PTIE MOITEU COULEU Le système de téléphonie comporte un moniteur vec un écrn couleurs de intégré u téléphone. Cette prtie est disponile en lnc, nthrcite et Tech. TLE DE MTIEE

Plus en détail

Licence M.A.S.S. Cours d Analyse S4

Licence M.A.S.S. Cours d Analyse S4 Université Pris I, Pnthéon - Sorbonne Licence MASS Cours d Anlyse S4 Jen-Mrc Brdet (Université Pris 1, SAMM) UFR 27 et Equipe SAMM (Sttistique, Anlyse et Modélistion Multidisiplinire) Université Pnthéon-Sorbonne,

Plus en détail

Les p'tites femmes de Paris

Les p'tites femmes de Paris Les p'tites femmes de Paris De Géraldine Feuillien D'après une idée de Stéphanie Bouquerel Episode 2: Ménage à trois 1 APPARTEMENT DE - BUREAU- INT - JOUR 1 Mais enfin Julien! Qu est ce qui t as pris de

Plus en détail

Thèse Présentée Pour obtenir le diplôme de doctorat en sciences En génie civil Option : structure

Thèse Présentée Pour obtenir le diplôme de doctorat en sciences En génie civil Option : structure République Algérienne Démocrtique et Populire Ministère de l enseignement supérieur et de l recherche scientifique Université Mentouri de Constntine Fculté des sciences et sciences de l ingénieur Déprtement

Plus en détail

Exprimer ses goûts, son opinion

Exprimer ses goûts, son opinion Exprimer ses goûts, son opinion O B J E C T I F S Svoir-fire linguistiques : Exprimer ses goûts. Exprimer une opinion. Énoncer un jugement de vleur. Nuncer l expression d une opinion, d un jugement. Comprer.

Plus en détail

Le canal étroit du crédit : une analyse critique des fondements théoriques

Le canal étroit du crédit : une analyse critique des fondements théoriques Le cnl étroit du crédit : une nlyse critique des fondements théoriques Rfl Kierzenkowski 1 CREFED Université Pris Duphine Alloctire de Recherche Avril 2001 version provisoire Résumé A l suite des trvux

Plus en détail

Commencer DCP-7055W / DCP-7057W /

Commencer DCP-7055W / DCP-7057W / Guide d instlltion rpide Commencer DCP-7055W / DCP-7057W / DCP-7070DW Veuillez lire ttentivement le livret Sécurité et réglementtion vnt d'effectuer les réglges de votre ppreil. Consultez ensuite le Guide

Plus en détail

AUTOUR D UN MÉMOIRE INÉDIT : LA CONTRIBUTION D HERMITE AU DÉVELOPPEMENT DE LA THÉORIE DES FONCTIONS ELLIPTIQUES. Bruno BELHOSTE (*)

AUTOUR D UN MÉMOIRE INÉDIT : LA CONTRIBUTION D HERMITE AU DÉVELOPPEMENT DE LA THÉORIE DES FONCTIONS ELLIPTIQUES. Bruno BELHOSTE (*) Revue d histoire des mthémtiques, 2 (1996), p. 1 66. AUTOUR D UN MÉMOIRE INÉDIT : LA CONTRIBUTION D HERMITE AU DÉVELOPPEMENT DE LA THÉORIE DES FONCTIONS ELLIPTIQUES Bruno BELHOSTE (*) RÉSUMÉ. Dns cet rticle,

Plus en détail

www.oseades.com Du 12 au 23 novembre 2012 Les acteurs Oséades

www.oseades.com Du 12 au 23 novembre 2012 Les acteurs Oséades Les cteurs Osédes 70 intervennts, spécilistes de l crétion d entreprise, prtgent vec vous leur expertise et bonnes prtiques. Retrouvez les cteurs Osedes sur : www.osedes.com Du 12 u 23 novembre 2012 www.osedes.com

Plus en détail

Indications pédagogiques E2 / 42

Indications pédagogiques E2 / 42 à la Communication Objectif général Indications pédagogiques E2 / 42 E : APPRECIER UN MESSAGE Degré de difficulté 2 Objectif intermédiaire 4 : PORTER UN JUGEMENT SUR UN MESSAGE SIMPLE Objectif opérationnel

Plus en détail

Citizenship Language Pack For Migrants in Europe - Extended FRANÇAIS. Cours m ultim édia de langue et de culture pour m igrants.

Citizenship Language Pack For Migrants in Europe - Extended FRANÇAIS. Cours m ultim édia de langue et de culture pour m igrants. Project Nr. 543248-LLP-1-2013-1-IT-KA2-KA2MP Citizenship Language Pack For Migrants in Europe - Extended FRANÇAIS Cours m ultim édia de langue et de culture pour m igrants Niveau A2 Pour com m uniquer

Plus en détail

essais dossier Oser s équi Prothèses auditives

essais dossier Oser s équi Prothèses auditives essis dossier u LES AUDIOPROTHÉSISTES AU BANC D ESSAI p. 46 u UN APPAREIL ADAPTÉ À VOS BESOINS p. 50 u FAIRE BAISSER LA FACTURE? PAS SI SIMPLE p. 52 Prothèses uditives Oser s équi AUDIOPROTHÉSISTES Fe

Plus en détail

LIVRET de la RESTAURATION SCOLAIRE

LIVRET de la RESTAURATION SCOLAIRE INSCRIPTIONS, RÉSERVTIONS & PIEMENTS D Clic Maison des Enfants Chemin de Bentenac 34130 MUGUIO 04 67 06 01 57 www.paysdelor.fr POUR TOUTE UTRE QUESTION Cuisine Centrale de l Etang de l Or avenue de la

Plus en détail

Meg Gawler Bréhima Béridogo. Mars 2002

Meg Gawler Bréhima Béridogo. Mars 2002 EVALUATION FINALE PROJET D APPUI A LA GESTION DES ZONES HUMIDES DANS LE DELTA INTERIEUR DU FLEUVE NIGER RAPPORT FINAL Meg Gwler Bréhim Béridogo ARTEMIS Services pour l conservtion de l nture et le développement

Plus en détail

CAP TERTIAIRE/INDUSTRIEL

CAP TERTIAIRE/INDUSTRIEL Session : 2005 Code : Page : 1/4 CAP TERTIAIRE/INDUSTRIEL Epreuve de Français SESSION 2005 SUJET Ce sujet comporte 4 pages : de la page 1/4 à la page 4/4. Assurez-vous que cet exemplaire est complet. Si

Plus en détail

V3 - LE PASSE COMPOSE

V3 - LE PASSE COMPOSE CM1 V.3 LE PASSE COMPOSE DE L INDICATIF Il s agit de mettre en évidence la conjugaison des verbes en «er», en «ir-iss» des verbes être, avoir, faire, prendre, aller, pouvoir. On mettra en évidence le fait

Plus en détail

Questionnaire pour connaître ton profil de perception sensorielle Visuelle / Auditive / Kinesthésique

Questionnaire pour connaître ton profil de perception sensorielle Visuelle / Auditive / Kinesthésique Questionnaire pour connaître ton profil de perception sensorielle Visuelle / Auditive / Kinesthésique BUT : Découvrir ton profil préférentiel «Visuel / Auditif / Kinesthésique» et tu trouveras des trucs

Plus en détail

INSTALLATION DE DETECTION INCENDIE

INSTALLATION DE DETECTION INCENDIE reglement > > instlltion E ETECTON NCENE NSTALLATON E ETECTON NCENE Une instlltion de détection incendie pour objectif de déceler et signler, le plus tôt possible, d une mnière fible, l nissnce d un incendie,

Plus en détail

INFORMATIONS TECHNIQUES

INFORMATIONS TECHNIQUES 0 INFORMATIONS TECHNIQUES tle des mtieres 06 Alimenttions et ccessoires 08 Postes extérieurs Sfer Postes extérieurs minisfer 9 Postes internes Accessoires d instlltion Centrux téléphoniques PABX Cmérs

Plus en détail

6Des lunettes pour ceux qui en ont besoin

6Des lunettes pour ceux qui en ont besoin 6Des lunettes pour ceux qui en ont besoin Des lunettes pour ceux qui en ont besoin De nombreuses personnes dans le monde sont atteintes d erreurs de réfraction. Cela signifie que leurs yeux ne voient pas

Plus en détail

AVERTISSEMENT. Ce texte a été téléchargé depuis le site. http://www.leproscenium.com. Ce texte est protégé par les droits d auteur.

AVERTISSEMENT. Ce texte a été téléchargé depuis le site. http://www.leproscenium.com. Ce texte est protégé par les droits d auteur. AVERTISSEMENT Ce texte a été téléchargé depuis le site http://www.leproscenium.com Ce texte est protégé par les droits d auteur. En conséquence avant son exploitation vous devez obtenir l autorisation

Plus en détail

ANALYSE NUMERIQUE NON-LINEAIRE

ANALYSE NUMERIQUE NON-LINEAIRE Université de Metz Licence de Mthémtiques - 3ème nnée 1er semestre ANALYSE NUMERIQUE NON-LINEAIRE pr Rlph Chill Lbortoire de Mthémtiques et Applictions de Metz Année 010/11 1 Tble des mtières Chpitre

Plus en détail

JE CHLOÉ COLÈRE. PAS_GRAVE_INT4.indd 7 27/11/13 12:22

JE CHLOÉ COLÈRE. PAS_GRAVE_INT4.indd 7 27/11/13 12:22 JE CHLOÉ COLÈRE PAS_GRAVE_INT4.indd 7 27/11/13 12:22 Non, je ne l ouvrirai pas, cette porte! Je m en fiche de rater le bus. Je m en fiche du collège, des cours, de ma moyenne, des contrôles, de mon avenir!

Plus en détail

Guide de l'utilisateur

Guide de l'utilisateur Guide de l'utilisteur Symboles Utilisés Dns ce Guide Indictions de sécurité L documenttion et le projecteur utilisent des symboles grphiques qui indiquent comment utiliser l ppreil en toute sécurité. Veillez

Plus en détail

CLUB 2/3 Division jeunesse d Oxfam-Québec 1259, rue Berri, bureau 510 Montréal (Québec) H2L 4C7

CLUB 2/3 Division jeunesse d Oxfam-Québec 1259, rue Berri, bureau 510 Montréal (Québec) H2L 4C7 CLUB 2/3 Division jeunesse d Oxfam-Québec 1259, rue Berri, bureau 510 Montréal (Québec) H2L 4C7 Téléphone : 514 382.7922 Télécopieur : 514 382.3474 Site Internet : www.2tiers.org Courriel : club@2tiers.org

Plus en détail

Techniques d accueil clients

Techniques d accueil clients Techniques d accueil clients L accueil est une des phases capitales lors d un entretien de vente. On se rend tout à fait compte qu un mauvais accueil du client va automatiquement engendrer un état d esprit

Plus en détail

GROUPE DE SPECIALISTES SUR UNE JUSTICE ADAPTEE AUX ENFANTS (CJ-S-CH) QUESTIONNAIRE POUR LES ENFANTS ET LES JEUNES SUR UNE JUSTICE ADAPTEE AUX ENFANTS

GROUPE DE SPECIALISTES SUR UNE JUSTICE ADAPTEE AUX ENFANTS (CJ-S-CH) QUESTIONNAIRE POUR LES ENFANTS ET LES JEUNES SUR UNE JUSTICE ADAPTEE AUX ENFANTS Strasbourg, 17 février 2010 [cdcj/cdcj et comités subordonnés/ documents de travail/cj-s-ch (2010) 4F final] CJ-S-CH (2010) 4F FINAL GROUPE DE SPECIALISTES SUR UNE JUSTICE ADAPTEE AUX ENFANTS (CJ-S-CH)

Plus en détail

Kerberos mis en scène

Kerberos mis en scène Sébastien Gambs Autour de l authentification : cours 5 1 Kerberos mis en scène Sébastien Gambs (d après un cours de Frédéric Tronel) sgambs@irisa.fr 12 janvier 2015 Sébastien Gambs Autour de l authentification

Plus en détail

Lorsqu une personne chère vit avec la SLA. Guide à l intention des enfants

Lorsqu une personne chère vit avec la SLA. Guide à l intention des enfants Lorsqu une personne chère vit avec la SLA Guide à l intention des enfants 2 SLA Société canadienne de la SLA 3000, avenue Steeles Est, bureau 200, Markham, Ontario L3R 4T9 Sans frais : 1-800-267-4257 Téléphone

Plus en détail

dans Supply Chain sortir ERP commencent à de leur carcan prise de décision en temps réel au niveau des ateliers. La nouvelle génération de solutions

dans Supply Chain sortir ERP commencent à de leur carcan prise de décision en temps réel au niveau des ateliers. La nouvelle génération de solutions dvntge informtique Suppl commct Suppl tit sortir s i Ces N dte prution : 27-01/09/2008 Périodicité : Msuel Pge : 56 SupplCh3_27_57_337pdf T : 95 % Site Web : wwwsupplchinmgzinefr Le dns invite Suppl Chin

Plus en détail

Richard Abibon. «Le sujet reçoit de l Autre son propre message sous une forme inversée»

Richard Abibon. «Le sujet reçoit de l Autre son propre message sous une forme inversée» Richard Abibon «Le sujet reçoit de l Autre son propre message sous une forme inversée» Cette formule, on la trouve presque telle quelle dans l «Ouverture de ce recueil» qui introduit les «Ecrits» de Lacan.

Plus en détail

Modification simultanée de plusieurs caractéristiques d un bien hédonique : une nouvelle méthode de calcul de la variation de bien-être des ménages

Modification simultanée de plusieurs caractéristiques d un bien hédonique : une nouvelle méthode de calcul de la variation de bien-être des ménages Modifiction simultnée de plusieurs crctéristiques d un bien hédonique : une nouvelle méthode de clcul de l vrition de bien-être des ménges Trvers Muriel * Version provisoire Résumé : De nombreuses situtions

Plus en détail

Notes de révision : Automates et langages

Notes de révision : Automates et langages Préprtion à l grégtion de mthémtiques 2011 2012 Notes de révision : Automtes et lngges Benjmin MONMEGE et Sylvin SCHMITZ LSV, ENS Cchn & CNRS Version du 24 octore 2011 (r66m) CC Cretive Commons y-nc-s

Plus en détail

Tout ce qu il faut savoir en math

Tout ce qu il faut savoir en math Tout ce qu il fut svoir en mth 1 Pourcentge Prendre un pourcentge t % d un quntité : t Clculer le pourcentge d une quntité pr rpport à une quntité b : Le coefficient multiplicteur CM pour une ugmenttion

Plus en détail

Algorithmes sur les mots (séquences)

Algorithmes sur les mots (séquences) Introduction Algorithmes sur les mots (séquences) Algorithmes sur les mots (textes, séquences, chines de crctères) Nomreuses pplictions : ses de données iliogrphiques ioinformtique (séquences de iomolécules)

Plus en détail

Directives COV et alternative lipochimique : peintures, encres, nettoyage, dégraissage...

Directives COV et alternative lipochimique : peintures, encres, nettoyage, dégraissage... Directives COV et lterntive lipochimique : peintures, encres, nettoyge, dégrissge... Alin LEMOR Recherche & Développement, Novnce, BP 20609, Venette, 60206 Compiègne Cedex, Frnce, Fx. +33 (0)3 44 90 70

Plus en détail

MINIMUM DE DONNÉES STANDARDISÉES (MDS) POUR L ÉVALUATION DU RÉSIDANT EN INSTITUTION EN VUE D UN PLAN DE SOINS

MINIMUM DE DONNÉES STANDARDISÉES (MDS) POUR L ÉVALUATION DU RÉSIDANT EN INSTITUTION EN VUE D UN PLAN DE SOINS MINIMUM DE DONNÉES STANDARDISÉES (MDS) POUR L ÉVALUATION DU RÉSIDANT EN INSTITUTION EN VUE D UN PLAN DE SOINS ÉTAT DURANT LES SEPT DERNIERS JOURS (SAUF AUTRE INDICATION) 1/9 SECTION A IDENTIFICATION ET

Plus en détail

COMMENT PARLER DES LIVRES QUE L ON N A PAS LUS?

COMMENT PARLER DES LIVRES QUE L ON N A PAS LUS? Né dans un milieu où on lisait peu, ne goûtant guère cette activité et n ayant de toute manière pas le temps de m y consacrer, je me suis fréquemment retrouvé, suite à ces concours de circonstances dont

Plus en détail

Fiche de synthèse sur la PNL (Programmation Neurolinguistique)

Fiche de synthèse sur la PNL (Programmation Neurolinguistique) 1 Fiche de synthèse sur la PNL (Programmation Neurolinguistique) La programmation neurolinguistique (PNL) fournit des outils de développement personnel et d amélioration de l efficacité relationnelle dans

Plus en détail

Garth LARCEN, Directeur du Positive Vibe Cafe à Richmond (Etats Unis Virginie)

Garth LARCEN, Directeur du Positive Vibe Cafe à Richmond (Etats Unis Virginie) Garth LARCEN, Directeur du Positive Vibe Cafe à Richmond (Etats Unis Virginie) Commentaire du film d introduction de l intervention de Garth Larcen et son fils Max, entrepreneur aux U.S.A. Garth Larcen

Plus en détail

Casino : LES JEUX SONT FAITS! P. 6 & 7. > Page 4. > Pages 3

Casino : LES JEUX SONT FAITS! P. 6 & 7. > Page 4. > Pages 3 MERS-Les-Bins Mer et lumières JOURNAL MUNICIPAL - PRINTEMPS 2012 - N 40 S T A T I O N B A L N É A I R E E T D E T O U R I S M E S TA T I ON V ER TE D E VA C A NCE S Urbi &Orbi Architecture Csino : LES

Plus en détail

LAURENT FABIUS, MINISTRE DES AFFAIRES ETRANGERES

LAURENT FABIUS, MINISTRE DES AFFAIRES ETRANGERES LAURENT FABIUS, MINISTRE DES AFFAIRES ETRANGERES Tout à l heure, le Président de la République m a demandé, avec le Premier ministre, de vous apporter un certain nombre d éléments sur le contexte dans

Plus en détail

JE NE SUIS PAS PSYCHOTIQUE!

JE NE SUIS PAS PSYCHOTIQUE! rétablissement et psychose / Fiche 1 JE NE SUIS PAS PSYCHOTIQUE! JJérôme s énerve : «Je ne suis pas psychotique! Vous ne dites que des conneries! Je suis moi, Jérôme, et je ne vois pas le monde comme vous,

Plus en détail

Réglementation de l'epa (agence américaine de protection de l'environnement) relative aux émissions

Réglementation de l'epa (agence américaine de protection de l'environnement) relative aux émissions Merci d'voir choisi l'un des meilleurs moteurs hors-bord disponibles sur le mrché. C'est un investissement judicieux dns l nvigtion de plisnce. Votre moteur hors-bord été fbriqué pr Mercury Mrine, l'un

Plus en détail

Electrovanne double Dimension nominale Rp 3/8 - Rp 2 DMV-D/11 DMV-DLE/11

Electrovanne double Dimension nominale Rp 3/8 - Rp 2 DMV-D/11 DMV-DLE/11 Electrovnne double Dimension nominle 3/8 - DMV-D/11 DMV-DLE/11 7.30 M Edition 11.13 Nr. 223 926 1 6 Technique L électrovnne double DUNGS DMV intère deux électrovnnes dns un même bloc compct : - vnnes d

Plus en détail

Alice s'est fait cambrioler

Alice s'est fait cambrioler Alice s'est fait cambrioler Un beau jour, à Saint-Amand, Alice se réveille dans un hôtel cinq étoiles (elle était en congés). Ce jour-là, elle était très heureuse car elle était venue spécialement ici

Plus en détail

Rappels. Prenons par exemple cet extrait : Récit / roman

Rappels. Prenons par exemple cet extrait : Récit / roman Les genres littéraires d un texte (1) Rappels Les genres littéraires sont une classifi cation qui permet de distinguer les textes en fonction de certaines caractéristiques d écriture. Voici les principaux

Plus en détail