Pleine- page. Activités Architecture. Urbanisme. Paysage. Environnement. Économie d énergie. C.A.U.E de la Seine-Maritime - Mai 2010

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1 Peine- page C.A.U.E de a Seine-Maritime - Mai 2010 Activités 2009 Architecture Paysage Urbanisme Environnement Économie d énergie

2 Peine -page Éditoria Som maire Depuis sa création en 1978, e C.A.U.E était instaé rive gauche à Rouen dans e quartier Saint Sever. Les mutations urbaines du quartier nous obigent à chercher un autre ieu. Une commission «ocaux» s est mise en pace avec nos administrateurs. Au bout de trois années de recherches, nous avons opportunité d acquérir une maison à Petit Queviy, près du métro, des grands axes de aggo et du centre. Le quartier est en pein renouveement et nous pensons pouvoir apporter notre contribution à cette évoution. Le bâtiment est ancien et nécessite une extension. La conception du projet a été confiée à un jeune architecte Laurent Protois qui a une bonne expérience et un regard très novateur. Dans ce nouveau ieu, notre équipe trouvera de meieures conditions de travai pour rempir ses missions et pourra vous accueiir efficacement, renforçant ainsi sa capacité de service pubic d assistance en architecture, en urbanisme et en environnement auprès des particuiers et des coectivités. C est une nouvee page qui va se tourner. La constante augmentation du nombre de nos adhérents (8 communes sur 10 nous soutiennent) témoigne que nous devons être au pus près des préoccupations des acteurs de aménagement du territoire. Ainsi, notre maison sera a vôtre : vous aurez a possibiité de venir suivre des formations et trouver des documents au centre de ressources. Le bâtiment programmé autorisera accuei de groupes dans un espace équipé, umineux et peu énergivore et même dans un jardin pour des animations en extérieur. Les ocaux seront bien entendu accessibes à tous, nous portons une attention particuière à ce point très actue dans nos communes, comme vous e savez. Cette opération, soutenue financièrement par e Département, se fait dans un contexte économique difficie : a taxe sur es permis de construire accusant une forte baisse ne nous autorise à aucun dépassement budgétaire. L architecture sera contemporaine dans e respect du patrimoine, seon a définition même de notre mission. Le projet est porteur et constituera un renouveau pour toute équipe que je féicite ici pour sa motivation et son professionnaisme. P.3... Paysage des zones d activités, consei pour a future extension de Fécamp-Basbeuf P.4... Devenir du château de Derchigny-Graincourt :des changements de destination possibes? P.4...Réorganisation du cœur de bourg à Vieux-Manoir P.5...Accessibiité aux ERP existants : mairie, écoes communaes, sae des fêtes P Construire La vie sur a vie P.6...Extension urbaine sur des terrains en voie de mutation, une étude à Liebonne P.7...Pans de références à Etretat P.7... Reconversion du presbytère et création de ogements : un nouveau quartier au centre de a Maieraye P.8...Travaier à échee intercommunae : es intérêts du SCOT P.8...La traversée de bourg : une nouvee paquette P.9...Réfexion sur e projet d aménagement de a traversée de Méamare P.9...Saint-Jean-de-Foevie : proposition d aménagement d un chemin piéton P Consei sur a restauration et améioration thermique de ancien presbytère à Gonzevie P Economiser énergie dans es bâtiments communaux : une question d organisation spatiae Dossier P.11...Hydrauique douce et espaces pubics P La gestion intégrée : une démarche d hydrauique douce inteigente P.14...Vieux-Manoir repense ses ouvrages hydrauiques P.14...Bosc Edeine : mare paysagère ou bassin de rétention? P.14...Infraservices, es bonnes pratiques par un concepteur P.15...Patrimoine communa : reconversion en deux ogements à Saint-Riquier-en-Rivière P.15...Meuers : un amphithéâtre dans a cour de écoe P.15...Projets de constructions pubiques, mode d empoi P Aides à a restauration et à a pantation de haies, une nouvee poitique en faveur des paysages P Saint-Jouin-Bruneva : deuxième séquence de a requaification des espaces ittoraux P.17...Réhabiitation d une maison de maître pour accueiir e siège du CAUE P.18...Vieiissement de a popuation : ques ogements pour demain? P L habitat des seniors, au cœur de a vie sociae P.19...Rapport d activités 2009 P.23...Rapport de gestion 2009 P.24...Les rendez-vous du C.A.U.E Dany Mine, Président du C.A.U.E 76 5 rue Louis Banc - BP Rouen cedex 1 - Tééphone : Téécopie : E-mai : caue@caue76.org - Site Internet : Rédaction : C.A.U.E 76 - Directrice de a pubication : Eveyne Forest Impression : Iropa - Mai Consei d Architecture, d Urbanisme et d Environnement de a Seine-Maritime - Peine-Page - mai 2010

3 Peine- page Paysage des zones d activités, consei pour a future extension de Fécamp-Basbeuf La zone industriee de Basbeuf, déconnectée des zones urbanisées de aggomération de Fécamp, s inscrit dans e paysage ouvert du pateau cauchois. Le projet d extension, nécessaire sur e pan économique, aura un impact très fort sur e pan paysager : urbanisation s instaera à Est de a Route Départementae et créera une continuité bâtie de part et d autre de a voie. En effet, cette dernière va traverser a zone et non pus a onger. Soicité par a Communauté de Communes de Fécamp, e C.A.U.E a anaysé e site et proposé des conseis pour une intégration paysagère du projet. L arbre omniprésent Le paysage environnant a Zone Industriee est typique de a campagne cauchoise : paine agricoe ponctuée de cosmasures entourés de taus pantés d arbres. Ces rideaux végétaux monumentaux se perçoivent de oin. L arbre étant une composante essentiee du paysage environnant, i doit être pris en compte dans a composition générae de a zone d activités. Le végéta ne doit pas être réduit au rempissage d espaces déaissés ou à une simpe fonction d agrément. Les arbres structureront espace et marqueront es imites de a zone. Is contribueront à redonner une image vaorisante des abords tout en préservant des vues signaant es entreprises. Une hétérogénéité architecturae Les bâtiments des entreprises instaées sur a ZI présentent des hauteurs, des matériaux et des cooris de façades très divers. L architecture est souvent strictement fonctionnee. Les parkings, peu intégrés et en visibiité directe sur a rue, devront être pris en compte dans a réfexion paysagère et dans a gestion des eaux puviaes. Les préconisations du C.A.U.E pour a future extension favorisent insertion de a zone d activités en composant une trame paysagère en ien avec e paysage environnant. En isière, i est recommandé de créer une zone pantée intégrant des arbres de haut-jet, sur pusieurs rangées et sur une bande suffisamment arge et dense. Des transparences et des ouvertures seront aménagées ponctueement afin d ouvrir des vues vers es entreprises. Constituer une couée verte à Est, e ong du hameau de Gournay Afin de réduire es nuisances que pourraient occasionner a création d une zone d activités à proximité des habitations du hameau, i serait intéressant de créer une «couée verte» qui associe des zones arborées et des prairies gérées de façon extensive. Ee offrira des iaisons douces en continuité des chemins existants et intègrera des espaces de gestion aternative des eaux puviaes. Entre es habitations et a future zone d activités, i est conseié de mettre en pace une zone paysagère de protection de type bande boisée. Cet espace, formant une zone tampon, pourra s organiser en différentes séquences afin de créer une transition et de imiter es gênes. Des mouvements de terrain pourraient être associés aux pantations de manière à renforcer effet d écran. Un ouret boisé atténuerait impact de a zone d activités de façon pus efficace qu une bande de recu beaucoup pus arge mais non paysagée. Assurer un traitement quaitatif des espaces pubics La voie centrae qui desservira a future ZA devra s accompagner de cheminements doux, véos et piétons. Le gabarit de a voie carrossabe, aménagement de ses abords, e choix des matériaux, es pantations d accompagnement sont autant de critères à prendre en compte. Des pantations d arbres tiges pourront être réaisées de part et d autre de a voie. Les entrées dans es parcees privatives ainsi que es côtures devront présenter un traitement homogène. Ceui-ci devra être réféchi dans une ogique d ensembe, en prenant soin de donner une pace de choix au végéta. Ees contribuent en effet à vaoriser a propriété privée, donc image des entreprises, et à quaifier image de a rue. Veier à a quaité d aménagement des parcees privatives Perçue dans sa gobaité, organisation maîtrisée du bâti donne une image cohérente et vaorisante de a ZA qui contribue à sa quaité architecturae et paysagère. Les espaces ibres, en visibiité avec a rue, devront être traités avec soin : gestion aternatives des eaux puviaes, situation et traitement des zones de stationnement à arrière, des aires de service, des aires de représentation et des zones de dépôt ou de stockage... L impact des bâtiments industries ou de bureaux est prépondérant dans e paysage de a ZA. Si a quaité formee de chacun d eux peut s évauer séparément, a zone se juge aussi dans eur capacité à coexister harmonieusement. Cette coexistence ne peut être maîtrisée que si ee est gérée par queques règes simpes qui cadrent impantation de a construction sur a parcee, sa hauteur et ses proportions, a coueur des enduits, es matériaux, es variations architecturaes des façades. Une composition d ensembe, définie au travers d un schéma d aménagement et de certaines règes simpes, permet de créer une harmonie en articuant es peins dessinés par a densité, ordonnancement et es voumes des constructions et es vides. En outre, des règes concernant es futures constructions, aménagement des espaces ibres des parcees privatives et e traitement des imites parceaires devront être formuées dans e règement de otissement afin d assurer une quaité architecturae et paysagère d ensembe et une image vaorisante de a future zone. k Consei d Architecture, d Urbanisme et d Environnement de a Seine-Maritime - Peine-Page - mai

4 Peine -page Devenir du château de Derchigny-Graincourt : des changements de destination possibes? Propriété de a Communauté de Communes du Petit Caux, ensembe foncier et immobiier du château de Derchigny-Graincourt est aujourd hui e siège d un centre de oisirs. La voonté de vaoriser a quaité exceptionnee du site incite es éus à réféchir sur e déveoppement des activités existantes et sur a recherche de vocations compémentaires afin de constituer un véritabe pôe d accuei et de oisirs : hébergement, restauration, séminaires, activités pour adoescents, bureaux de a Com Com La Communauté de Communes a demandé au CAUE d étabir des schémas d organisation du site pour accuei de ces diverses activités. Ee souhaite aussi une réfexion sur a vocation future du château, pièce maîtresse des ieux qui a un rôe prépondérant dans a composition du site. Le château a besoin d une réhabiitation : centre de séminaire, ieu de réception, saes de réunion ou bureaux, autant d idées qui nécessitent, au-deà des choix poitiques, une mise en paraèe avec es surfaces disponibes et es caractéristiques des espaces rencontrés. Quee que soit a vocation à venir du château, es éventues réaménagements et transformations devront respecter ordonnancement intérieur origine afin d assurer une authenticité architecturae de édifice. Le pan de masse proposé est basé sur une nouvee organisation du site notamment en ce qui concerne es accès et e stationnement. I repose sur es principes suivants : - Constituer un boucage pour a desserte des ieux avec deux accès permettant de ne pas recourir au demi-tour systématique ; - Organiser es accès et e stationnement principaement vers Est du site afin de rester fonctionne et économe en voirie ; - Mettre en pace une iaison piétonne isibe et structurante pour reier es diverses activités du site ; - Réduire es emprises actuees de voirie devant e château tout en permettant un demi-tour. Le parti pris paysager proonge esprit du parc existant tout en proposant de mettre en œuvre : - La vaorisation du paysage à entrée du site en réduisant es emprises de voirie et en constituant devant e château un parc-jardin qui intègre es aménagements de a mare ; - La réaisation d un système d accès et de stationnement dans un paysage de sous-bois e ong du chemin actue ; - La imitation des emprises bâties à a partie Nord-Est du site afin de préserver e paysage et es perspectives existantes ; - L aménagement d un axe piétonnier paysagé, mettant en reation es différentes activités avec une grande isibiité. Le secteur urbanisé dans eque se situe une grande partie du domaine permet d envisager des nouvees constructions sans contrainte particuière au niveau du droit des sos. La quaité paysagère du site impique de rester vigiant quant à impantation de ces constructions en imitant e grignotage de a prairie. Le système végéta constitué de haies et d arbres de haut jet permet d intégrer efficacement es bâtiments et de servir de guide à insertion paysagère des nouvees constructions k Réorganisation du cœur de bourg à Vieux-Manoir Le cœur du viage s organise autour de a voie principae, à proximité de aquee se concentrent es bâtiments pubics et es commerces. De vastes espaces ibres forment un espace vert que a commune souhaite vaoriser en jardin rura. Is constituent un véritabe atout et un potentie urbain et paysager de quaité. Pourtant, anayse du site révèe queques dysfonctionnements : chaussées surdimensionnées créant une rupture entre es pôes du bourg, manque de continuité dans es aménagements accentuant a sensation de morceement, mairie peu mise en vaeur et ma signaisée Le C.A.U.E propose à a municipaité d éargir sa réfexion initiae d aménagement d un jardin côté mairie à une réfexion pus gobae sur a réorganisation du cœur du bourg. Une requaification paysagère des espaces pubics permettrait d améiorer eur quaité et eur isibiité en adéquation avec eurs usages. L aménagement du centre-bourg propose une vision à ong terme. I s appuie sur un recaibrage de a voirie et une mise en reation des deux espaces situés de part et d autre de a voie. L articuation des pacettes et des aées permet de faciiter es dépacements des piétons entre es différents pôes et de mieux vaoriser es espaces extérieurs tout en favorisant une mise en scène de a mairie. Pour mieux mettre en vaeur cette dernière, aée d accès est éargie et s ouvre sur un parvis dessinant une pacette semi-piétonnière. Une aée bordée d un doube aignement d arbres de hautjet est créée. Reiant a pacette de a mairie aux écoes, ee forme un axe structurant au centre du jardin et constitue un fond de perspective arboré orientant a vue vers a mairie. Sur a pace de égise, a zone de stationnement actuee serait aménagée en une pacette muti-fonctionnee, permettant à a fois e stationnement et accuei d animations. Le ré-aménagement du cœur du viage pourra être panifié sur e ong terme et se faire par étapes. L aménagement du jardin en concertation I est proposé de finaiser aménagement du jardin en organisant des parterres arbustifs, des aées piétonnes, des espaces enherbés et du mobiier autour de aée centrae. Queques schémas sont proposés. I est recommandé, pour cette étape, d associer es personnes chargées de entretien afin de bien prendre en compte eurs attentes et eur savoir-faire. I serait aussi intéressant d associer es enfants en programmant des activités pédagogiques sur e thème du jardin, de a diversité des pantes... Pour a vaorisation utérieure, une dimension pédagogique pourrait être donnée à ce jardin en mettant en pace des supports d information divers : étiquettes d identification des végétaux, panneaux d information sur a faune des jardins... Choix des végétaux pour un entretien imité Pour faciiter entretien des parterres, imiter es travaux de taie et donner au jardin un caractère simpe mais soigné, i est proposé de constituer un tapis de pantes couvre-so sur eque sont répartis des arbustes ibres ou taiés (topiaires) ainsi que des pantes rampantes et des bubes. I est conseié de mettre un paiage nature et biodégradabe. Des pantes vivaces et des arbustes seront pantés par groupes pour former des masses buissonnantes homogènes. Queques arbustes isoés viendront animer ces ensembes. k 4 Consei d Architecture, d Urbanisme et d Environnement de a Seine-Maritime - Peine-Page - mai 2010

5 Peine- page Accessibiité aux ERP existants : mairie, écoes communaes, sae des fêtes Depuis a oi du 11 février 2005 pour égaité des droits et des chances, une importance nouvee est donnée aux facteurs environnementaux (urbain, architectura et paysager) montrant intérêt du travai puridiscipinaire de réfexion et de concertation sur environnement physique pour diminuer, voire supprimer, es obstaces à a participation de tous. Les communes doivent tenir compte de ces nouvees règes d accessibiité aux ERP (Etabissements Recevant du Pubic) et IOP (Instaations Ouvertes au Pubic) existants. Les déais sont maintenant pressants car es travaux pour rendre accessibe es parties de bâtiment recevant du pubic doivent être réaisés avant e 1 er janvier Seus des motifs techniques (nature du terrain, imite des risques inondations, contraintes d urbanisme, structure du bâtiment) et de préservation du patrimoine (architectura, urbain ou paysager) peuvent donner ieu à des dérogations. La disproportion manifeste entre es améiorations apportées et eurs conséquences sembe égaement être un motif admis pour obtention d une dérogation. L esprit du égisateur incite à penser es bâtiments non seuement en termes de performances techniques mais égaement en termes de confort et d accuei pour tous, sans discrimination. On remarquera qu un aménagement bien pensé et adapté à une personne en fauteui rouant faciite égaement accès aux poussettes, aux personnes âgées, aux très jeunes enfants, c est-à-dire à chacun, que que soit son handicap. La oi a d aieurs éargi a notion de handicap aux déficiences visuees, auditives, cognitives et motrices. De fait, cette oi va égaement dans e sens d une meieure prise en compte du vieiissement de a popuation. Au travers des dernières réaisations, a bonne prise en compte des déficiences visuees, dans es aménagements extérieurs notamment, assure un véritabe confort pour es personnes âgées qui conservent d autant pus eur autonomie. Concrètement, quand e rapport de état d accessibiité a été dressé par a commission, e recensement des travaux à réaiser permet d anticiper es dépenses par phase, avec une cohérence qui permet de répondre aux attentes de a popuation. La commission pourra par exempe identifier des chaînes de dépacement correspondant à des parcours réguièrement empruntés par usager et repérer es obstaces à supprimer : trottoir à surbaisser, candéabre ou poubee à dépacer Des aires de stationnement adaptées devront être projetées, des panneaux de signaisation ajoutés pour sécuriser un carrefour ou bien un signa sonore créé pour es maentendants Grâce à cette commission, un caendrier de travaux peut être mis en pace sur pusieurs exercices au-deà de a date du 1 er janvier Dans e cadre de ses missions d aide à a décision, e C.A.U.E a été soicité par de nombreuses communes pour étudier a faisabiité de projets d améiorations des conditions d accessibiité à différents bâtiments communaux existants. A Mesni-Mauger, ensembe mairie-écoe-sae poyvaente présente une configuration de son instaation sanitaire très contraignante en termes d accessibiité. Le C.A.U.E a proposé trois scénarios, évauant pour chacun es avantages et inconvénients, es travaux à réaiser et es incidences sur e fonctionnement des différents équipements. L attention a égaement été portée sur intérêt de créer un stationnement à proximité de ce pôe de services pour assurer a continuité de a chaîne de dépacement. L accessibiité est une des conditions primordiaes pour que tous puissent exercer es actes de a vie quotidienne. Du ogement, aux espaces pubics, aux transports, accessibiité à toute forme de services nécessite a continuité dans a chaîne des dépacements. A Hermevie, depuis a réaisation de travaux de rénovation sur écoe, aors devenue accessibe à tous, et de instaation d un défibriateur, es éus ont souhaité porter eur attention sur accessibiité aux autres étabissements recevant du pubic de a commune : a mairie, égise et a sae poyvaente. Pour accompagner a municipaité dans cette démarche, e C.A.U.E a réaisé un pré-diagnostic pour évauer a faisabiité de cet objectif. On retrouve des probématiques récurrentes : gérer es déniveés créer un stationnement adapté sur a chaîne de dépacement reiant es ERP adapter a nature des sos des cheminements modifier es aménagements intérieurs pour améiorer es espaces de circuation et rendre accessibes es sanitaires, vestiaires D autres communes, comme Bois Evêque, Mannevie-ès- Pains, qui avaient initiaement soicité e C.A.U.E pour des aménagements ponctues de bâtiments ou d espaces pubics, ont vu eur première demande de consei intégrée à des propositions éargies et inattendues tant es contraintes iées à a question de accessibiité s imposaient. En effet, a prise en compte de accessibiité pour tous aux espaces pubics, modifie durabement notre manière de concevoir ensembe des aménagements de notre cadre de vie partagé. k Consei d Architecture, d Urbanisme et d Environnement de a Seine-Maritime - Peine-Page - mai

6 Peine -page Construire a vie Extension urbaine sur des terrains en voie de mutation, une étude à Liebonne Depuis es années 1970, extension des vies et des viages s opère sur es couronnes urbaines grignotant es terres agricoes utiisées sans état d âme comme réserves foncières. Avec un argumentaire rodé, chaque jour, étaement urbain continue de progresser, gangrenant a campagne. La oi SRU n a pas profondément modifié ce mode opératoire et rares sont es documents d urbanisme qui, contrant cet urbanisme d éparpiement, révèent dans eurs diagnostics des secteurs disposant d un fort potentie de vaorisation permettant une urbanisation rationaisée. A heure du Déveoppement Durabe, utiisation efficace et raisonnée du foncier disponibe en zones déjà urbanisées devient une priorité. Ainsi, intra muros, à où i y a déjà des équipements, des commerces et du ien socia, i faut identifier es terrains dits mutabes, c est-à-dire tous es terrains dont affectation actuee est en inadéquation avec es objectifs de dynamisation du secteur. Ce sont es friches industriees, es secteurs en déshérence, es secteurs d habitats vétustes, es secteurs d équipements pubics sous utiisés ou inadaptés au contexte urbain, es espaces pubics surdimensionnés... I n est pus admissibe aujourd hui de continuer à construire des otissements à perte de vue, en aissant es centres urbains se vider. Le renouveement urbain n est pas une mode ou un concept, c est une nécessité dont es générations futures nous seront redevabes. Ainsi, a commune de Liebonne désireuse de renforcer attractivité de son centre vie souhaite réféchir au devenir à moyen et ong terme de deux secteurs dont utiisation n est pus optimisée. Les éus ont demandé au CAUE une réfexion en amont afin de déterminer e périmètre à étudier et éaboration de pistes d aménagement sur chaque zone en faisant apparaître es moyens de recoudre et proonger e tissu urbain tout en prenant en compte es potentiaités paysagères. Le premier secteur d étude se situe, au nord de a pace Carnot, à intérieur du tissu urbain dense de a vie. I s agit d un îot traditionne dont certains espaces sont en cours de mutation. L étude du CAUE a permis d anayser, de manière fine, à a parcee, es bâtiments à conserver notamment en front de rue afin de garder image du centre ancien, et ceux qu i faait démoir pour reconstruire ce morceau de vie. Des orientations ont été dégagées afin de permettre aux éus d appréhender e futur possibe. La maîtrise foncière doit se faire par intermédiaire de Etabissement Pubic Foncier de Normandie avec une étude de faisabiité confiée à un bureau d études. L autre secteur, à ouest de a pace Carnot, rend compte d une probématique compexe de recomposition urbaine à ong terme. Cet espace d environ m 2 est occupé aujourd hui par des instaations sportives, des équipements pubics sous-utiisés et des déaissés d espaces pubics. Le CAUE a été interpeé par a vie pour définir un schéma généra d aménagement permettant de visuaiser un pré programme de restructuration. L étude déterminera affectation possibe et e fonctionnement goba de ce quartier en regardant aussi es iens qu i entretient avec e reste de a vie. Le schéma proposé a mis en exergue quatre idées principaes : - La création d une grande pace pour faire un véritabe espace centra, servant à a fois de pace de marché, de ieu de stationnement et d espanade pour es manifestations de toutes sortes, ce pourrait être e point charnière entre e nouveau quartier et es quartiers anciens ; - La mise en pace d une nouvee entrée de vie, barreau de iaison entre a pace et a voie de contournement (RD 173) pourrait faciiter irrigation de ce nouveau quartier et donner une meieure accessibiité au cœur de vie favorisant accès direct au centre cuture. Pour retenir e tracé de cet axe de iaison, une mise en perspective de égise sera priviégiée ; - La fabrication d un urbanisme d îot, à image du centre ancien, a été option retenue dans étude. La densité de chacun d entre eux est à étudier en fonction de eur proximité avec e centre vie, jusqu à se déciner sous forme d impantations ponctuees en frange de a vie; - L aménagement d un parkway en interface entre a vie et a voie de contournement qui pourrait aors devenir un bouevard urbain. Cette disposition paysagère permet de mettre a vie à distance des nuisances directes d une voie de circuation importante tout en proposant un potentie de stationnement. Ee rend possibe un traitement vaorisant compatibe avec une certaine urbanité. Dans cet espace a mise en vaeur de a rivière e Commerce sera un atout pour favoriser a quaité paysagère du secteur. Cette étude a ouvert des portes sur es potentiaités de ce territoire, même si ee est très prospective, ee permet de sédimenter une première réfexion qui fera son chemin en envisageant des scénarios à ong terme. k 6 Consei d Architecture, d Urbanisme et d Environnement de a Seine-Maritime - Peine-Page - mai 2010

7 Peine- page sur a vie Pans de références à Etretat Aors que e site est mondiaement connu pour a beauté prestigieuse de ses faaises, es éus de a vie d Etretat sont préoccupés par image que refète aujourd hui une grande partie des espaces pubics de eur territoire communa. Is ont donc souhaité avoir un regard extérieur de a part de professionnes de aménagement avant d engager un certain nombre d interventions de requaification. Ces espaces caractérisés par des vides peuvent être abordés sous différents anges de ecture : ecture spatiae et paysagère qui doit prendre en compte trois échees : cee de a rue, cee de a structure urbaine révéée par e parcours dans a vie et cee du site ; ecture urbaine et sociae qui permet de déceer es pratiques et es usages de ces espaces. Autrefois attribués seon des desseins poitiques et des affectations cibées (a pace du marché par exempe), certains espaces aujourd hui ont perdu eur vocation première. La mutipication des fonctions pratiquées compexifie eur isibiité et eur utiisation ; d autres, issus d espaces résidues, répondent quant à eux provisoirement à des attentes qui ne sont pas forcément partagées et vaorisées. Une compréhension à a fois sensitive, fonctionnee et urbanistique, de ces espaces est donc nécessaire pour proposer des aménagements qui traduiront e projet poitique de a commune en accord avec es besoins et es attentes des citoyens. La puridiscipinarité de équipe du CAUE a permis, ors d une ecture transversae des différentes thématiques, de mettre en exergue des pistes d actions pour a requaification de ces espaces. Ees ont été au-deà de ce que es éus avaient envisagé. Certaines propositions venaient conforter ou compéter es ambitions de a vie. D autres pistes pouvaient aisser perpexe, par exempe cee de densifier un îot en centre vie à a pace d une aire de stationnement pour répondre au manque de ogements aidés et renforcer activité commerciae Si cette éventuaité de construire a vie sur a vie a été envisagée par e C.A.U.E ors de cette étude, ee découe égaement du diagnostic du PLU qui a identifié e besoin de réappropriation du centre vie par es habitants. En effet, ce ne sont pas es touristes de passage ou es résidents de viégiature qui participent à a dynamique de a vie en toute période de année. Cette première étape de travai a égaement démontré a compexité de démarrer de façon cohérente des interventions sur ces mêmes espaces où un grand nombre de domaines interfèrent : accessibiité, dépacement, circuation, requaification paysagère et qui, de pus, ont a particuarité de se trouver à articuation de certains équipements communaux pour esques des interrogations techniques ou stratégiques sont posées. C est pourquoi, i nous a sembé intéressant de proposer aux éus d Etretat de poursuivre a réfexion par a mise en pace d un Pan de Références qui permettra d étabir une programmation de ces aménagements. Un cahier des charges réaisé conjointement par es services de Etat et e C.A.U.E a été mis en pace pour a consutation d une équipe de maîtrise d œuvre puridiscipinaire. Cette voonté d associer des compétences diverses permettra d aborder dans toute sa transversaité es différents domaines sans oubier es dimensions touristique et patrimoniae si particuières de ce territoire. k Reconversion du presbytère et création de ogements : un nouveau quartier au centre de a Maieraye La commune de a Maieraye souhaite réaiser une opération de construction de ogements et a réhabiitation de son presbytère, datant du XVIII e sièce pour y impanter des ocaux associatifs. Ee a donc demandé au C.A.U.E de réféchir à un schéma d aménagement. Pacé en pein cœur du bourg ancien, ce terrain de 9300m² se situe dans un contexte priviégié. I est bordé, au Nord-Est, par égise du viage et une sente permettant accès au terrain, i est ongé, au Sud-Ouest, par un espace agricoe et au Sud-Est, i est en imite d une zone de jardins potagers privés. Enfin, au Nord-Ouest, ancienne écoe transformée en ogements communaux souigne a parcee ; son aignement sur a rue présente un caractère architectura intéressant. Le futur aménagement doit être en adéquation avec ce paysage, et reprendre es principes d impantation des bâtiments existants, proches du site. Le terrain concerné cassé en zone UR du PLU, permet un habitat individue jumeé ou un habitat à caractère coectif. Au niveau urbanistique, a densification est donc possibe. Les habitations reprendront e caractère aigné des bâtiments voisins et ees seront disposées, de préférence, e ong des axes de circuation, de manière à dégager au Sud es jardins privatifs. L ensembe sera ponctué de petites pacettes, de sentes piétonnes et d espaces verts qui permettront de hiérarchiser ces différents espaces pubics. Le réseau viaire assurera a iaison entre e nouveau quartier et e centre du bourg en utiisant toutes es potentiaités existantes sur e site. I sera structuré, hiérarchisé ; e boucage en sera assuré. La mise en reation du presbytère et son parc avec e futur quartier d habitation permet d envisager un projet d aménagement d ensembe. I a été séectionné dans e cadre des opérations piotes au titre du Pacte Départementa pour e Déveoppement Durabe. k Consei d Architecture, d Urbanisme et d Environnement de a Seine-Maritime - Peine-Page - mai

8 Peine -page Travaier à échee intercommunae : es intérêts du SCOT Vers quoi orienter et comment améiorer a quaité du déveoppement des bourgs, viages et hameaux? Lorsque ces questions sont abordées à échee intercommunae, es équipes municipaes redoutent de perdre une certaine autonomie sur a gestion et e devenir de eur commune. Is ressentent une gêne à s impiquer dans éaboration d un Schéma de COhérence Territoriae. Pourtant, dans un environnement en construction perpétuee, a fabrication du SCOT offre un moment priviégié pour mûrir une vision de territoire et identifier des objectifs à échee d un bassin de vie. Ces questions, souvent regroupées sous e thème de a quaité du cadre de vie, font référence à environnement dans eque nous trouvons : habitat, empois, services, équipements, oisirs, modes de dépacement, paysage... Sous impusion de nouveaux principes d aménagement issus de a oi Soidarité et Renouveement Urbain et de a oi Urbanisme et Habitat ainsi que des orientations du Grenee de Environnement, une nouvee trajectoire se dessine. Les éus qui s impiquent dans ces travaux reèvent e défi d une nouvee manière de déveopper e territoire. Leur voonté de se former et de s informer sur es exigences et es soutions iées à un déveoppement durabe se concrétise dans ce mouvement. Le C.A.U.E a eu occasion d y participer ors de a réaisation d un pré-diagnostic sur a quaité du cadre de vie pour e SCOT des communes de Caux-Vaée de Seine. Vision urbaine : des pistes pour améiorer a quaité du cadre de vie Le concept de a quaité de vie étant vaste, i requiert avant tout d être défini entre es acteurs d un territoire. I peut se déciner en composantes tees que a redynamisation des centres et a création de formes urbaines pus quaitatives appicabes dans es vies, es bourgs et es viages. Sous écairage des objectifs que on veut atteindre, i existe un choix possibe d actions. Si objectif est : - de redynamiser des centres urbains, on peut : réhabiiter es immeubes et es devantures commerciaes, requaifier es espaces pubics - de utter contre étaement urbain, on peut : conforter a centraité du viage, imiter a construction dans es hameaux, concevoir un habitat pus compact et du ien socia, éviter a mutipication des extensions urbaines, ancrer un nouveau quartier autour d un bâtiment patrimonia à réaffecter, fonder a vocation d un secteur sur identification et a protection du patrimoine bâti et nature, tirer partie des contraintes environnementaes pour éaborer un schéma d aménagement - de utter contre es ruptures spatiaes, on peut : recoudre es deux pôes d une commune, articuer une extension urbaine en continuité d un quartier existant, s inspirer du paysage oca (cos-masures) pour dessiner des nouvees formes bâties, créer des transitions entre es espaces urbain et agricoe. Pour vaoriser e territoire, d autres pistes seraient de quaifier es entrées de vie, d aménager es traversées de bourg, de traiter es côtures, d identifier es points de vue à protéger vers e grand paysage, de promouvoir hydrauique douce. L action ocae doit pouvoir bénéficier d une vision gobae et en amont pour faire des choix pus justes. Les coectivités, es aménageurs, es particuiers, es agricuteurs peuvent tous contribuer à améioration du cadre de vie en adoptant une démarche de projet bien réféchi. Pour mener vos projets, vous trouverez auprès de équipe du C.A.U.E des pubications et des conseis techniques. k La traversée de bourg : une nouvee paquette La rue principae des bourgs et des viages a subi évoution des modes de dépacement et a circuation routière est facteur de nuisances et d insécurité pour es habitants riverains. Les voies ont dû répondre à de nouvees exigences de gabarit et sont devenues des axes de transit où tous es ééments de paysage qui s opposaient au trafic croissant ont été rabotés, effacés, dans une ogique fonctionnaiste au service de automobie. Les chaussées se sont éargies au détriment des bas-côtés et des trottoirs ; es virages se sont aongés et adoucis pour permettre un trafic pus fuide ; des arbres, des murs ou même des maisons ont été supprimés La présence de a voirie s est imposée progressivement aors que es autres usages de espace ainsi que e paysage étaient oubiés. Des années de pratique dans ce sens ont façonné une image un peu dégradée de nos viages et on constate aujourd hui que es conditions d une circuation trop rapide stériisent a vie aux abords des voies. Des outis strictement routiers de type signaisations renforcées, bordures hautes, gissières métaiques, casse vitesse et autres chicanes, n ont fait qu ajouter confusion et surenchère à certains axes déjà très routiers. Les aménagements de traversée des bourgs doivent concourir à une perception sans ambiguïté des zones urbanisées et des zones naturees, de entrée jusqu au point de sortie du viage. Ce n est pas a signaétique seue qui indique e raentissement mais bien e traitement goba de a voie et de ses abords qui incite et obige au raentissement. Pour retrouver une vocation de ieu de vie à ces traversées, i faut programmer des aménagements importants qui prennent en compte es atouts du paysage oca. Le C.A.U.E est souvent appeé par es éus pour travaier sur cette probématique. Nous pensons que e projet est occasion de reconsidérer es enjeux abordés généraement sur e seu aspect de a sécurité. I convient d éargir e regard en dépassant e simpe cordon de voirie et de prendre en compte ce qui se passe dans épaisseur du bourg. I est nécessaire de sortir de a ogique routière et de comprendre e site en s appuyant sur es usages possibes des ieux, en vaorisant existant et en recherchant a quaité de espace et du paysage. Pour faire partager cet état d esprit, nous avons souhaité aborder cette thématique dans une nouvee pubication réaisée en partenariat avec e Département de a Seine-Maritime et pus particuièrement avec a Direction des Routes. Ee va être argement diffusée à tous es éus et partenaires de notre région. k 8 Consei d Architecture, d Urbanisme et d Environnement de a Seine-Maritime - Peine-Page - mai 2010

9 Peine- page Saint-Jean-de-Foevie : proposition d aménagement d un chemin piéton La Route Départementae n 81, reiant Liebonne à Saint-Romainde-Cobosc, traverse e ieu-dit Le Rue Meyer de a commune de Saint-Jean-de-Foevie. Cette voie sembe très arge du fait des accotements de argeurs variabes uniformément enherbés parfois dégradés et de absence de matériaisation du bord de chaussée. Réfexion sur e projet d aménagement de a traversée de Méamare L urbanisation de a commune de Meamare s est constituée e ong d une route qui s étire sur pusieurs kiomètres. Ses habitants subissent es nuisances et insécurité d une circuation souvent trop rapide. L axe a déjà été réaménagé sur e tronçon Ouest. Aujourd hui, es éus ont programmé a poursuite du projet de traversée de viage sur a partie Est. Interrogé à ce sujet, e C.A.U.E de Seine Maritime présente ici queques ééments de réfexion concernant approche d un te projet. Mise en pace d un seui d entrée de viage C est une porte qui coïncide avec es imites urbanisées de a commune signifiant entrée dans une zone habitée, impiquant e raentissement et une conduite adaptée. Ce seui devra être réaisé dans esprit de entrée Ouest de a commune afin que se dégage une certaine cohérence dans e traitement des aménagements communaux. Un dispositif de voirie brisant a inéarité du parcours avec un îot centra que on contourne affirmera cette notion de porte. Du végéta cadrant entrée pourra compéter efficacement cette ecture. Création d un cheminement piéton I s agit de matériaiser un cheminement destiné aux piétons qui doivent se dépacer en sécurité. Les emprises atéraes étant imitées (5 m. à 5.50 m.), a difficuté est de faire coexister trottoirs et voies de circuation. On recherchera donc une soution avec un traitement de so particuier où e piéton bénéficie d un espace déimité aissant a possibiité aux voitures de e franchir occasionneement. Le pavé peut être e matériau choisi pour a réaisation de cette bande de 1 m. à 1.5 m. dédiée aux piétons. Lisibe par e contraste de coueur et de matière qu i procure, i resterait cependant franchissabe, avec a facuté d éveier e conducteur dès son approche. En terme d insertion, c est une bonne soution surtout s i s agit de pierre naturee ; ee rempace avantageusement a peinture, qui ee, reste très associée à un univers routier qu i convient d oubier dans es traversées de bourg. Préservation des rives vaorisantes pour e paysage Certains bas-côtés, constitués de haies traditionnees, de taus pantés et feuris, sont des atouts incontestabes dans a perception du paysage de a commune. Les supprimer ou es réduire trop fortement conduirait à une atération de ce paysage. Parfois, des petits murets de soubassement pourraient être utiisés pour éargir ponctueement a chaussée. C est aussi à occasion d un te projet que certaines imites pubiques/privées, aujourd hui peu vaorisantes, peuvent être recomposées par des haies (de charmie par exempe) afin de conforter une image rurae soignée de a commune. Identification de séquences par des traitements de voirie particuiers. La mise en évidence des traversées piétonnes, e traitement particuier des débouchés de certaines voies de desserte, peuvent constituer des points singuiers qui vont permettre de recouper aspect très inéaire de a rue principae : pateaux égèrement suréevés revêtus d un matériau différent (pavés) De ces ieux, a perception transversae du viage est possibe, ne résumant pus ainsi urbanisation à un simpe cordon. k Ces ééments, renforcés par e dégagement visue de a ongue perspective d environ un kiomètre depuis e hameau Les Forges, donnent à automobiiste une sensation de confort et de sécurité qui incite à dépasser es imites de vitesse autorisées. De pus, a pente aant jusqu à 5 % induit une réfexion sur a gestion des eaux de ruisseement. Un fossé discontinu existe d aieurs en imite de parcee. La municipaité souhaite aujourd hui revoir aménagement de cette voirie et envisager a création d une sente piétonne. C est un contexte avec une marge de manœuvre très réduite : es exigences de visibiité et de sécurité sont très importantes et emprise est très imitée. Cependant, es quaités paysagères du site et a diversité des espaces riverains (agricoes, résidenties, etc.) représentent une opportunité de revaoriser e bourg. C est pourquoi, e C.A.U.E propose à a municipaité d éargir a réfexion initiae à une réfexion pus gobae sur a traversée et es entrées de bourg. Le C.A.U.E conseie de matériaiser entrée de d aggomération par a création d une pace traversante : ee assurera une meieure fonctionnaité des abords, permettra de casser a inéarité de a voie, incitera es automobiistes à raentir et faciitera accès au centre-bourg. Le revêtement différencié de a pate-forme accentuera effet de rupture et de seui urbain. Une sente piétonne sera créée. Ee sera e pus possibe en retrait de a chaussée et donc proche des imites des parcees privatives. Ainsi, ee assurera confort et sécurité aux usagers et eur offrira une ambiance umineuse et une ouverture agréabe. Pour une gestion optimae des eaux de ruisseement, ee pourra être revêtue d un so perméabe et rustique adapté au contexte rura. Entre a sente et a route départementae, une bande pantée sera créée sous a forme d un trottoir haut, ornementé de graminées ou de vivaces. Ce trottoir panté agrémentera a sente mais surtout sécurisera es piétons, sans poser de probèmes de visibiité aux autres usagers de a RD81. Entre a sente et es côtures privatives, une bande enherbée de argeur variabe sera préservée. Ee correspond au fossé et pantations déjà en pace. Les riverains pourront aussi assurer e feurissement et entretien de cet espace (comme c est e cas aujourd hui au pied de certaines habitations). Cette bordure végétaisée donnera un caractère champêtre et agréabe à a sente. Le fossé existant sera proongé dans a mesure du possibe. k Consei d Architecture, d Urbanisme et d Environnement de a Seine-Maritime - Peine-Page - mai

10 Peine -page Consei sur a restauration et améioration thermique de ancien presbytère à Gonzevie Les éus de a commune de GONZEVILLE envisagent a requaification de eur presbytère en habitat ocatif. I s agit d un patrimoine architectura intéressant de beau voume, qu i est urgent de restaurer, car non occupé et non chauffé. Locaisé en face de égise, sa remise en état ui redonnerait une seconde vie, et représenterait une pièce suppémentaire à inventaire du patrimoine architectura de Gonzevie. La demande porte essentieement sur a restauration dans es règes de art du bâti, dans e souci de sa préservation. Ce bâtiment a subi une restauration i y a 15 ans, essentieement un pacage ciment en guise d enduit extérieur entre coombage, qui a causé pas ma de dégâts à cause de sa non perméabiité à a vapeur d eau. L améioration de a performance thermique de enveoppe est égaement à traiter, en prenant soin d utiiser des matériaux adaptés et de es mettre en œuvre de façon à ne pas engendrer de nouvees pathoogies. L état des ieux, suivi d un pré-diagnostic, a mis en évidence es points faibes, parois froides, humidité, courant d air et es points forts, bonne exposition, inertie thermique L enjeu des prescriptions est de paier inconfort thermique et hygrométrique, principaux inconvénients sans se couper des avantages iés à a masse voumique et à a capacité hygrométrique de ces murs. En d autres termes, es murs anciens manquent souvent d isoation mais eur inertie permet de stocker es caories. Idéaement isoation doit être soit répartie (mortier chaux/chanvre, torchis aégé ) soit extérieure, pour permettre une restitution des caories vers intérieur. Lorsque nous sommes interrogés par es éus sur a consommation d énergie des bâtiments communaux, eur attente est souvent strictement technoogique. Pourtant, que que soit e projet, au risque de es décevoir, notre premier réfexe n est pas de nous concentrer uniquement sur e système de chauffage mais d appréhender édifice dans sa gobaité et dans son environnement. Avant d engager des travaux sur un bâtiment, une réfexion préaabe sur a fonctionnaité de ceui-ci s impose. La soution est dans appréhension gobae du bâtiment, pas uniquement dans a chaufferie! Posons-nous es bonnes questions : e bâtiment répond-t-i encore aujourd hui aux attentes? Le voume à chauffer pour activité pratiquée est-i adapté? Le bâtiment vaut-i a peine d être réhabiité? Un état des ieux objectif des besoins est pus que jamais indispensabe pour es coectivités afin de hiérarchiser es actions à mener. Le C.A.U.E apporte un regard neutre et indépendant d architecte sans démarche commerciae. I est utie de e répéter encore et encore : énergie a moins chère est cee que on ne consomme pas! Après cette anayse générique de a fonctionnaité du bâti, i est nécessaire de réféchir sur optimisation de enveoppe, de a gestion du système de chauffage et de écairage. Enfin, dans a mesure du possibe, e passage aux énergies renouveabes est envisagé. Saint-Georges-sur-Fontaine Economiser énergie dans es bâtiments communaux : une question d organisation spatiae de rendre ensembe accessibe et fonctionne et une gestion pus rationnee des espaces à chauffer. L exempe de Saint-Georges-sur-Fontaine pré-programmation urbaine et soution ENR La commune, souhaitant déménager a bibiothèque municipae dans une ancienne étabe à proximité du site scoaire a fait appe au CAUE pour étudier a faisabiité de ce projet. Ceui-ci s inscrivant dans un ancien corps de ferme, i est vite apparu qu une étude pus arge sur affectation des autres bâtiments était nécessaire. Le pus grand bâtiment en briques sera affecté aux ogements et dans es autres constructions es services municipaux, a serre,et es vestiaires pourront s y oger. Une soution chaufferie centrae bois pour e chauffage de ensembe des bâtiments est apparue égitime d autant qu à terme ee pourra aussi aimenter e groupe scoaire. k Le bâti ancien en matériaux traditionnes, communément es constructions d avant 1948, n avaient pas de fondations étanches et es pieds de mur absorbent par succion humidité des sos. Ces modes constructifs aissaient migrer humidité par capiarité. I est crucia de ne pas empêcher a migration de a vapeur d eau et de respecter un bon équiibre hygrothermique. Appiquer des méthodes de restauration non adaptées pourrait engendrer des probèmes majeurs. I faut choisir des matériaux perméabes à a vapeur d eau et des enduits étanches à eau mais pas à a vapeur d eau. Utérieurement, une réfexion pus poussée pourra être menée sur es soutions énergétiques à mettre en pace seon es procédés d isoation choisis. k L exempe d Ancourt La commune d Ancourt souhaite améiorer accuei de sa sae poyvaente construite sur un pan type des années 80 et réduire sa facture d énergie. Sensibiisé en amont par une conférence du C.A.U.E, e maire a souhaité s engager dans une démarche de pré-programmation avec architecte-conseier en maîtrise de énergie. L étude a permis de souever un probème fonctionne majeur. Poyvaent à sa conception, ce bâtiment ne répond pus aux besoins actues, notamment à un accuei de quaité du cub des séniors et à des réunions festives. Trois variantes ont été proposées afin de permettre aux éus de visuaiser un ensembe de potentiaités et de définir un programme et une enveoppe de travaux. Ainsi, à a pace d anciens vestiaires sportifs non utiisés, a réorganisation spatiae a permis de dégager une sae de réunion de 25m², de créer une sae pour es empoyés municipaux et un espace de rangement et de mettre au norme es sanitaires. Cette nouvee organisation permet Saint-Georges-sur-Fontaine 10 Consei d Architecture, d Urbanisme et d Environnement de a Seine-Maritime - Peine-Page - mai 2010

11 Dossier I Peine- page Hydrauique douce et espaces pubics Eau et paysage étroitement mêés Brettevie-du-Grand-Caux L eau a façonné notre territoire, formant des reiefs et constituant nos paysages. Ressource vitae, nécessaire à agricuture, au commerce et au transport, a présence de eau a conditionné instaation stratégique des vies et des viages. En raison de sa symboique, homme a égaement mise en scène tout au ong de histoire des jardins. Eau et urbanisation L urbanisation a fait apparaître a nécessité d évacuer es eaux usées et pus récemment es eaux puviaes. Devenue une contrainte, i faut cacher eau dans des tuyaux. Gestion cassique Avec arrivée des zones résidentiees, commerciaes et d activités en périphérie des vies, a mutipication des réseaux s est révéée très onéreuse pour es coectivités. Le changement des techniques cuturaes et apparition de agricuture intensive a engendré a création d openfied par arrachage des haies provoquant des probèmes de ruisseement et de couées de boue. L exposion des surfaces imperméabiisées a provoqué des débordements de réseaux et parfois des inondations révéant ainsi es imites du système tout au réseau. Cette gestion des eaux puviaes dite cassique coûte toujours très cher en terme de maintenance. Pour raentir écouement des eaux dans es zones urbanisées, un nouveau concept hydrauique se déveoppe : a gestion aternative. L eau est évacuée dans des tuyaux, puis dans des fossés, pour être enfin dirigée vers un bassin de retenue. Gestion aternative Ce principe mixte souterrain et aérien est un progrès mais i a égaement ses imites. La gestion aternative s avère très consommatrice d espace. La question de eau est évacuée de a réfexion de projet par a mise en œuvre systématique de bassins de rétention. Ces trous de bombe forment des encaves dans e paysage urbain que eurs côtures périphériques et sécuritaires renforcent. De pus, cette concentration des fux d une part cumue es poutions et d autre part ne résout pas entièrement es probèmes d inondations. Ces trente dernières années, a confiance aveuge des ingénieurs dans a technicité et absence de prise en compte des caractéristiques naturees des sites ont conduit à urbaniser dans des secteurs inondabes. Les catastrophes récentes ont montré es conséquences de ces dérives. Aujourd hui, une nouvee approche gobae est proposée : a gestion intégrée des eaux puviaes. Cette réfexion à échee du bassin versant s opère dans une optique transversae de aménagement du territoire qui se concrétise dans es documents d urbanisme. Les soutions intégrées s orientent vers un rejet zéro dans e réseau d assainissement avec un épandage à a parcee, des espaces pubics inondabes, des structures réservoirs et des espaces verts d accompagnement de voirie eux aussi inondabes. Cette nouvee gestion aie es intérêts techniques à des intérêts économiques, paysagers, écoogiques, sociaux et éducatifs. Pour agricuture, on s oriente aussi vers des soutions mixtes : repantations de haies, créations de bandes enherbées et de bassins. Gestion intégrée Zac des Portes de a forêt, Bois-Guiaume L eau n est pus vécue comme une contrainte mais devient un véritabe atout pour aménagement qu i est nécessaire de prendre en compte très en amont dans a réfexion. Dorénavant, e recours à hydrauique douce est nécessaire à a création de paysages durabes donc quaitatifs. k Consei d Architecture, d Urbanisme et d Environnement de a Seine-Maritime - Peine-Page - mai

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