La mallette pédagogique de SOLEIL Thème : La lumière synchrotron
|
|
- Angélique Thomas
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Dans ette fihe : D OCUMNT NSIGNANT La allette pédagogique de SOLIL Thèe : La luière synhrotron Date de parution : férier 4 Le LINAC : La rape de laneent des életrons et la ligne de transfert Le booster : la ronde endiablée des életrons L anneau de stokage : la piste de fond des életrons La luière enfin 8 Shéa de prinipe d une ahine synhrotron SOLIL est une soure de luière extrêeent perforante qui peret d explorer la atière, inerte ou iante. Les lignes de luière : interfaes entre la ahine et les expérienes Caratéristiques du rayonneent synhrotron 9 Toute partiule hargée subissant une aélération perd de l énergie sous fore de rayonneent életroagnétique. Lorsque ette partiule hargée subissant une aélération atteint une énergie dite relatiiste, elle éet un rayonneent appelé, dans e as, luière synhrotron. Ce rayonneent reêt des qualités partiulières de faible diergene, de polarisation, de ohérene, d étendue du doaine spetral, et... Captée à différents endroits d un anneau de stokage (354 de périètre pour SOLIL), ette luière est analisée ers des sorties, les lignes de luières. Chaque ligne est un éritable laboratoire, instruenté pour analyser les éhantillons. Les installations dédiées à sa prodution sont des outils de hoix pour sonder les strutures et étudier les propriétés de la atière inerte et iante. Opérationnel à partir de 6, SOLIL oure de nouelles perspeties pour explorer la atière ae une résolution de l ordre du illionièe de ètres et une sensibilité à tous les types de atériaux. Ses appliations sont ultiples en physique, en hiie, en sienes de l enironneent, en édeine et en biologie... Solution des exeries Mots-lés : Aélérateur Canon à életrons Rayonneent synhrotron Énergie relatiiste Onde életroagnétique Photons ev, kev, MeV Longueur d'onde Luière Brillane Polarisation
2 Page La allette pédagogique de SOLIL Thèe : La luière synhrotron Les Mahines de SOLIL SOLIL est un entre de prodution et d utilisation de rayonneent synhrotron. Il est onstitué d un enseble de ahines, qui sont détaillées dans les pages suiantes : le LINAC (LINear ACelerator), le booster qui est un synhrotron et l anneau de stokage d où partent les lignes de luière. Aélérateur et synhrotron Un aélérateur linéaire ou irulaire aélère des partiules hargées (protons, ions, életrons par exeple). Il est utilisé tant en reherhe fondaentale qu en reherhe appliquée, ou pour la édeine et l industrie. Un téléiseur est un aélérateur d életrons. Un synhrotron est un type d'aélérateur irulaire dans lequel les partiules se déplaent en paquets sur un rayon fixé, ontraireent au ylotron, et le hap agnétique roît de façon synhrone ae la itesse des partiules. Perte d énergie par rayonneent synhrotron Dès que des partiules hargées relatiistes (irulant presque à la itesse de la luière) subissent une aélération, elles perdent de l énergie en éettant un rayonneent életroagnétique dit rayonneent synhrotron. La perte d énergie due au rayonneent synhrotron n est pas liitée aux seules ahines dédiées. Ainsi, dans un aélérateur de partiules oe le LP (au Centre uropéen de Reherhe Nuléaire, CRN - Genèe), la déperdition d'énergie est très iportante, pour des partiules que l on herhe au ontraire à aélérer! Dans e as, la luière synhrotron est gênante et onsidérée oe parasite. Quelques exeples de perte d énergie par rayonneent synhrotron 4 ( GeV ) U ( kev ) 88,5 ρ ( ) Cironférene de l anneau en nergie de la ahine en GeV et en kev Rayon de ourbure ρ en nergie U perdue par tour en kev Super-ACO (Orsay) 7,8 GeV,8. 6 kev,7,3 SOLIL (Salay) 354,75 GeV,75. 6 kev 5, SRF (Grenoble) GeV 6. 6 kev 3,4 4,9. 3 LP (CRN Genèe) GeV 7. 6 kev 3 7,8. 5 Les éléents agnétiques de guidage Des éléents agnétiques guident le paquet d életrons tout au long de son «oyage». Les dipôles (36 dans le booster et 3 dans l anneau) sont à la fois des éléents agnétiques de guidage qui ourbent la trajetoire des életrons et des soures de luière. Les quadrupôles (44 dans le booster et 6 dans l anneau) et les sextupôles (8 dans le booster et dans l anneau) sont des «optiques» agnétiques qui perettent de onserer au ieux les qualités du faiseau. Ces éléents sont rapideent traités dans «3. L anneau de stokage». Vide dans l anneau Afin de ne subir auune déperdition d énergie qui serait due aux ollisions ae des oléules de gaz, il règne dans toutes es ahines un ide d eniron - bar. Pour ela on utilise de nobreuses popes de diers types.
3 Douent enseignant Page 3. Le LINAC : la rape de laneent des életrons et la ligne de transfert Le LINAC, aélérateur linéaire d une longueur de 6, est le preier aillon de la haîne. Son rôle est de fabriquer un faiseau d életrons pulsés (des bouffées de 3 ns, trois fois par seonde soit une fréquene de 3 Hz) d énergie de MeV ± 5 MeV. Le LINAC débute par un anon à életrons oparable à elui que l on troue dans un téléiseur : un éléent hauffé produit des életrons qu un hap életrique regroupe en paquets de la taille d un heeu. Les paquets d életrons ont être aélérés en oyageant sur une onde életroagnétique oe un surfeur sur la ague. Les éléents du LINAC sont : le anon à életrons, le groupeur, les setions aélératries.. Le anon à életrons Rôle : fabriquer des paquets d életrons de 9 kev d énergie (). Caratéristiques : - Tension : 9 kv - Intensité de sortie : de à A Le Wehnelt est porté au êe potentiel que la athode, ii 9 kv. Il a pour but de onentrer les életrons éis à faible itesse. On peut le onsidérer oe une optique életrostatique. Wehnelt à une tension de -9 kv Filaent de tungstène Cathode à une tension de -9 kv Grille en or* Faiseau d életrons Anode à une tension de V () A titre de oparaison, un anon à életrons de téléiseur fournit des életrons dont l énergie est d eniron kev. *la grille d or peret de pulser le faiseau d életrons : tension V : les életrons sont éis tension V : les életrons restent piégés Pour aller plus loin ae quelques aluls Vous pouez érifier ette affiration. : «à la sortie du anon, les életrons d énergie 9 kev ont une itesse d eniron /» ae la itesse de la luière dans le ide.
4 Page 4 La allette pédagogique de SOLIL Thèe : La luière synhrotron. Le groupeur Rôle : aélérer les életrons à la sortie du anon jusqu à la itesse de la luière. Au début du groupeur, les életrons sont non relatiistes, est-à-dire qu ils ont une itesse «faible» par rapport à ( de l ordre de /). Ils sont trop lents pour être aélérés par une setion aélératrie lassique (oir idessous). Par ontre, en oyageant sur une onde életroagnétique adaptée, ils sont aélérés jusqu à atteindre la itesse. A la sortie du groupeur, l énergie des életrons est de 5 MeV..3 Les setions aélératries Rôle : aélérer les paquets d életrons de 5 MeV à MeV. Le LINAC oporte deux setions aélératries de 3 de long et 4,5 MeV haune. Dans haque setion, un générateur d énergie, appelé klystron, injete une onde életroagnétique de 3 MHz (). Les paquets d életrons, qui ontinuent de «surfer» sur ette onde, auulent au total une énergie de MeV : les 5 MeV initiaux du groupeur + fois 4,5 MeV. xeple de setion ae 9 aités aélératries () Cette onde est dite «de très haute fréquene». A titre de oparaison, la fréquene de l onde utilisée dans les téléphones portables est de 9 MHz et elle utilisée dans les fours à iro-ondes de 5 MHz (aleurs approxiaties). Pour aller plus loin ae quelques aluls Trouer à partir de quel endroit de la ahine les életrons sont relatiistes (itesse,99 ). Quelques pistes : pour,99 aluler l énergie inétique et adettre que dans le LINAC, la ontée en énergie est linéaire. Vous aez deux forules, relatiiste ou non. Laquelle hoisir? Peut-on faire l approxiation lassique?.4 La ligne de transfert du LINAC dans le booster Rôle : ajuster l énergie oyenne des paquets d életrons pour faire oïnider les aratéristiques du faiseau à la sortie du LINAC ae elui du booster. Le rendeent de la ligne de transfert «LINAC-booster» est au ieux de 3 %, est-à-dire que 3 % des életrons fabriqués par le LINAC sont injetés dans le booster ; les autres se perdent. Cette «perforane» orrespond à peu près à replir un tuyau ae un arrosoir!
5 Douent enseignant Page 5. Le booster : la ronde endiablée des életrons A la sortie du LINAC, les életrons entrent dans le booster, synhrotron de 57 de périètre. n une fration de seonde, leur énergie a passer de MeV à 75 MeV (ou,75 GeV) par une aélération due à un hap életrique. C est pendant ette ontée en énergie que les aratéristiques du faiseau ont être affinées : diensions des paquets et dispersion en énergie par exeple. L aiantation dans les dipôles du booster arie de,7 T (lorsque les életrons entrent dans le booster ae une énergie de MeV) à,74 T (lorsque les életrons atteignent l énergie de,75 GeV et ont quitter le booster). Pendant la ontée en énergie, les életrons sont dans le booster. nsuite, lors de la diinution du hap, dans la èe partie de la ourbe, le booster est ide, les életrons ayant été transférés dans l anneau. Pour passer de à 75 MeV en 66 s, les életrons font eniron 3 tours dans le booster. Pour aller plus loin ae quelques aluls Quelle est la itesse oyenne des életrons dans le booster? Coparez-la à, itesse de la luière dans le ide. Quelques aleurs de hap agnétique : La Terre : T (ette aleur oyenne arie dans le teps et dépend du lieu) Sous une ligne haute tension : T (alternatif) Aiant peranent fabriqué à l'aide d'oxyde de fer : oins de, T Aiant peranent très fort (à base de oposés de terres rares) : eniron,5 T IRM (iagerie par résonane agnétique) : T (les bobines des aiants sont refroidies à l héliu liquide) Chap agnétique intense généré en laboratoire : à T Proxiité d'une étoile à neutrons : 6 T La ligne de transfert du booster dans l anneau lle peret une adaptation du faiseau entre le booster et l anneau. D une longueur de 4, elle oporte 3 dipôles et 7 quadrupôles. Le rendeent de la ligne de transfert «booster-anneau» est eilleur que elui de la ligne de transfert «LINACbooster»: au ieux 7 % des életrons sortant du booster entrent dans l anneau. Pour aller plus loin ae quelques aluls Quel est le rendeent de la ahine, sahant que 3 % des életrons fabriqués par le anon entrent dans le booster et 7 % des életrons sortant du booster entrent dans l anneau?
6 Page 6 La allette pédagogique de SOLIL Thèe : La luière synhrotron 3. L anneau de stokage : la piste de fond des életrons Les életrons relatiistes sont transférés dans l anneau de stokage pour y tourner ae une énergie de,75 GeV pendant plusieurs heures. C est un tube feré d eniron 5 de diaètre onstitué d une suession : de irages (où se trouent les éléents agnétiques de ourbure appelés aussi dipôles ou aiants de ourbure), de parties droites où se trouent les éléents agnétiques d insertion (wiggler et onduleur) et de réglage du faiseau (quadrupôles et sextupôles). Sur les 354 de périètre de l anneau de SOLIL, il y a 4 % de parties droites, e qui en fait atuelleent la ahine la ieux optiisée oe soure de rayonneent synhrotron. Chaque fois que les életrons se déplaent de façon non retiligne et non-unifore (e qui est le as dans les dipôles et dans les éléents agnétiques d insertion), ils subissent une aélération et perdent de l énergie sous fore de rayonneent synhrotron. La perte d énergie est opensée par deux aités aélératries. 3. Les éléents agnétiques Du LINAC à l anneau de stokage, il y a plusieurs dizaines d éléents agnétiques. Les dipôles (ou aiants de ourbure) font tourner les életrons, qui éettent alors du rayonneent életroagnétique. D autres, les quadrupôles et sextupôles, sont des lentilles agnétiques hargées de onentrer les paquets de partiules afin de onserer leurs qualités. Les dipôles ou aiants de ourbure Les quadrupôles Les sextupôles Rôle : guider la trajetoire des életrons en les faisant tourner et produire de la luière synhrotron. Dans l anneau de SOLIL, il y a 3 dipôles soit une rotation de 5 à haque fois. Longueur : Chap :,7 T pour haque dipôle. Rôle : assurer la foalisation du faiseau d életrons. Les quadrupôles ont une fore en 8. Leur ulasse s ajuste pour les sorties de luière. Longueurs :,3 et,46 Chap : de T au entre à eniron,6 T à 3 du entre. Rôle : aintenir le faiseau le plus stable possible. Les sextupôles ont une syétrie parfaite d ordre 6 dans la région des pôles. Ils doient pouoir produire des haps agnétiques orretifs. Longueur :, eniron Chap : de T au entre à eniron,5 T à 3 du entre.
7 Douent enseignant Page 7 3. Les éléents agnétiques d insertion : onduleur et wiggler Ce sont des dispositifs agnétiques plaés dans les parties droites de l anneau. Ils sont forés de deux âhoires faites de petits aiants juxtaposés qui obligent les életrons à suire une trajetoire ondulée, un peu oe elle d un skieur qui godille. A haque ondulation, l életron subit une aélération et éet de la luière. La luière éise dépend du type d éléent (onduleur ou wiggler) et de ses aratéristiques. Les wigglers Les onduleurs Dans le «wiggler», l obserateur oit un train d ipulsions luineuses qui s ajoutent de façon inohérente. Rôle : déplaer l éission de rayonneent ers les plus ourtes longueurs d onde. Le spetre éis par un wiggler est ontinu oe elui d un aiant de ourbure ais ae un déalage ers les ourtes longueurs d onde. t ae une plus grande brillane. Rôle : augenter la brillane du rayonneent éis. Dans l onduleur, les életrons ondulent en s éartant très peu de leur trajetoire. Les nappes d éissions se reourent. Certaines longueurs d onde se trouent «faorisées» et l on obtient un spetre de raies. On perd en largeur de bande ais on gagne en brillane par un fateur N (ae N le nobre d aiants de l éléent). Spetres des éissions de rayonneent synhrotron dues aux életrons dans les différents éléents agnétiques.
8 Page 8 La allette pédagogique de SOLIL Thèe : La luière synhrotron 4. La luière enfin Le spetre de la luière (ou rayonneent) synhrotron oprend toutes les longueurs d'onde depuis l'infrarouge jusqu'aux rayons X en passant par le isible et l'ultraiolet. On dit souent que est un faiseau blan. Les propriétés rearquables du rayonneent synhrotron ourent la oie à un nobre roissant d utilisations en physique, hiie, sienes de l enironneent, édeine et biologie, ainsi que pour l industrie. L éission synhrotron se produit de l infrarouge ( -5 ) aux rayons X durs (,5. - ) soit en énergie de ev à 5 kev. Chaque utilisateur peut séletionner la longueur d onde adaptée à l expériene qu il onduit. La polarisation du rayonneent peret l étude des propriétés de surfae des atériaux et des interfaes. Le rayonneent pulsé (suite de paquets) peret l étude dynaique de phénoènes, oe des réations hiiques ou des déforations de oléules. L éission de luière synhrotron obtenue dans un aiant de ourbure peut être oparée à la luière éise par des phares de oitures dans un irage, et reçue par un obserateur iobile. Ce dernier oit une nappe. Les petites longueurs d onde sont au entre et les grandes à la périphérie. Pour aratériser e rayonneent, les sientifiques utilisent «l éittane», paraètre qui se définit approxiatieent oe le produit de la surfae du faiseau par sa diergene. V β et γ β Pour aller plus loin ae quelques aluls Obserez la nappe du rayonneent synhrotron, sur la figure i-dessus. Sur quel paraètre peut-on jouer pour ajuster la largeur de la nappe de luière?
9 Douent enseignant Page 9 5. Les lignes de luière : interfaes entre la ahine et les expérienes Les expérienes se déroulent dans des lignes de luière, qui sont des «laboratoires» d une ingtaine de ètres de long en oyenne. Chaque ligne de luière est spéialisée pour un doaine bien défini. Cherher une protéine dans une ellule par spetrosopie ou irosopie infrarouge (IR) ou déteriner la struture d une protéine par diffration de rayons X (RX) ne s effetuent pas sur les êes lignes de luière. Les lignes de luière sont onstituées de trois parties ou abines : La abine optique : C est la preière abine où arrie, d un aiant de ourbure ou d un éléent d insertion (onduleur ou wiggler), le faiseau de luière. Miroirs et onohroateurs séletionnent la longueur d onde néessaire à l expériene et foalisent le faiseau. Les dispositifs optiques sont différents suiant les longueurs d ondes (RX ous : onohroateur à réseau, ondenseur, RX durs : onohroateur à ristaux, olliateur, et.). La abine expériene : L éhantillon à étudier, généraleent très petit (< ), est positionné sur son support. Lorsqu il «reçoit» la luière inidente, il «répond» de dierses anières. Cette réponse est enregistrée par un ou plusieurs déteteurs qui dépendent du type d éission : la préision du positionneent de l éhantillon et de la trajetoire du faiseau inident doit être très fine, étant donné les petites diensions du faiseau oe de l éhantillon. A SOLIL, les abines optiques et les abines d expériene sont entourées de urs de plob afin d éiter toute éission de faiseau ers l extérieur de la ligne de luière de rayonneent synhrotron. La station de traail : De ette abine, herheurs et ingénieurs assurent de nobreuses tâhes. Ils interiennent sur ertains paraètres de l expériene (position de l éhantillon, foalisation, longueur d onde, et.) et suient l enregistreent des résultats ia des systèes életroniques et inforatiques. C est généraleent dans ette abine que se troue la ahine à afé robots à piloter : Un des points néralgiques d'un synhrotron oe SOLIL est le systèe inforatique de "ontrôle-oande" : il onsiste à faire ouniquer enseble plusieurs systèes hargés de piloter des illiers d équipeents, depuis le anon à életrons du LINAC jusqu à la sortie du faiseau de photons déliré aux expérienes. De êe, le systèe inforatique de ontrôle de haque ligne d expérienes doit perettre en êe teps par exeple, de ferer les âhoires d'un onduleur, d aéder à la aleur du ourant stoké dans l anneau, de laner une aquisition de données, puis de réupérer les inforations aquises. Un éritable défi tehnique et inforatique pour atteindre un tel nieau d intégration des équipeents.
10 Page La allette pédagogique de SOLIL Thèe : La luière synhrotron 6.Caratéristiques du rayonneent synhrotron Très forte brillane : flux (nobre de photons par seonde) de. La brillane est le flux de photons (photons/seonde) par unité d angle solide et de surfae transerse de la soure (en photons/s/ /rad /,% λ/λ). Pour la ajorité des expérienes, ette unité aratérise les qualités d une soure. Faiseau de très faible «ouerture» : très olliaté, de l ordre du rad. Large gae de longueur d onde : de l infrarouge aux rayons X durs, e qui donne : n énergie : ev à 5 kev. n longueur d onde : -5 à,5. - ou 4 n à,5. - n. Rayonneent pulsé : pulse de 5 ps répété toutes les 3 ns. Rayonneent ayant une bonne ohérene spatiale, le diaètre de la soure de l ordre de quelques (et teporelle après le onohroateur.) Rayonneent stable en position de l ordre de quelques, et d intensité non flutuante, e qui est priordial pour la fidélité des résultats. Adaptable en longueurs d ondes : le faiseau est «blan», de l infrarouge aux rayons X durs. Ce qui peret d étudier en partiulier : des petits éhantillons grâe à la faible diergene et au haut flux du faiseau refoalisable, des phénoènes dynaiques (réation hiique) et relaxations de systèe (fluoresene) ar le rayonneent est pulsé. Fidélité des résultats du fait de la stabilité du faiseau. Bon rapport signal sur bruit ar haut flux et faibles flutuations. Longueur d onde Soures lassiques Rearques Infrarouge Ultraiolet Rayons X LL et LASR IR LASR UV LASR X Tubes RX Les LASRs ne sont pas aordables en longueurs d onde (ou très diffiileent). Spetre d éission sous fore de raies. Mêes liites que pour le doaine infrarouge. Ce type de soure est utilisé pour des durées d ipulsions extrêeent brèes (fs). Au LULI (Laboratoire d utilisation des lasers intenses, à Polytehnique ssonne) longueur d onde de 4 n ae un tir toutes les 5 inutes! Spetre d éission sous fore de raies, faiseau non polarisé et de faible brillane. Coparaison ae des soures lassiques
11 Vous pouez érifier ette affiration. : «à la sortie du anon, les életrons d énergie 9 kev ont une itesse d eniron /» ae la itesse de la luière dans le ide. 7. Solution des exeries. Calul non relatiiste ae 9 kev 9 x,68 x -6 J et 9,x -3 kg : énergie inétique. On obtient : 3 x 6,7x 8.s - e qui est prohe de / Calul relatiiste t + t : énergie totale : énergie au repos ae.,5 MeV t. ae où est la itesse de la partiule et elle de la luière. dans e as on troue /. t + Trouer à partir de quel endroit de la ahine les életrons sont relatiistes (itesse,99 ). Quelques pistes : pour,99 aluler l énergie inétique et adettre que dans le LINAC, la ontée en énergie est linéaire. Vous aez deux forules, relatiiste ou non. Laquelle hoisir? Peut-on faire l approxiation lassique? Sahant que ae,99 et,5 MeV On obtient 3 MeV. Ainsi les életrons deiennent relatiistes dans le preier ètre du LINAC. Il faut prendre la forule relatiiste : on ne peut plus faire l approxiation lassique. t + Page Douent enseignant
12 Page La allette pédagogique de SOLIL Thèe : La luière synhrotron Solution des exeries (suite) Quelle est la itesse oyenne des életrons dans le booster? Coparez-la à, itesse de la luière dans le ide? Sahant que les életrons font 3 tours (3. 5 tours) du booster de 57 de périètre en 66 s, on a 5 distane ,84. /s -3 durée 66 Si l on opare ae 3. 8 /s, on obtient,95 Quel est le rendeent de la ahine, sahant que 3 % des életrons fabriqués par le anon entrent dans le booster et 7 % des életrons sortant du booster entrent dans l anneau? % des életrons sortant du anon à életrons se retrouent dans l anneau, soit oins de sur 4. Obserez la nappe du rayonneent synhrotron, sur la figure. Sur quel paraètre peut-on jouer pour ajuster la largeur de la nappe de luière? On oit que la largeur du spetre est inerseent proportionnelle au fateur de ontration γ qui dépend lui-êe de la itesse des életrons, et don de leur énergie, oe l indique le tableau i-dessous. Ae la itesse de l életron et son énergie / en MeV γ γ - ψ en radian,5,,5,,98,5,59,5,866,87,,5,95,64 3,,3,99 3,6 7,,4,999,5,4, (,95) 9,5. -4 ACO, (,64) 6,4. -4 Super ACO, (,7),7. -4 DCI, (,8),8. -4 SOLIL, (,85) 8,5. -5 SRF ACO : Anneau de Collisions d Orsay DCI : Dispositif de Collisions dans l Igloo (Orsay) SOLIL : Soure Optiisée de Luière d nergie Interédiaire du LUR LUR : Laboratoire pour l Utilisation du Rayonneent letroagnétique (Orsay) SRF : uropean Synhrotron Radiation Faility (Grenoble)
1 Introduction à l effet Doppler.
Introdution à l effet Doppler Ph. Ribière ribierep@orange.fr Merredi 9 Novembre 2011 1 Introdution à l effet Doppler. Vous avez tous fait l expériene de l effet Doppler dans la rue, lorsqu une ambulane,
Plus en détailChapitre IV- Induction électromagnétique
37 Chapitre IV- Indution életromagnétique IV.- Les lois de l indution IV..- L approhe de Faraday Jusqu à maintenant, nous nous sommes intéressés essentiellement à la réation d un hamp magnétique à partir
Plus en détailMécanique : Cinématique du point. Chapitre 1 : Position. Vitesse. Accélération
2 e B et C 1 Position. Vitesse. Accélération 1 Mécanique : Cinéatique du point La écanique est le doaine de tout ce qui produit ou transet un ouveent, une force, une déforation : achines, oteurs, véhicules,
Plus en détailBAILLY-GRANDVAUX Mathieu ZANIOLO Guillaume Professeur : Mrs Portehault
BAILLY-GRANDVAUX Mathieu ZANIOLO Guillaume Professeur : Mrs Portehault 1 I. Introdution...3 II. Généralités...3 Caratéristiques ommunes aux deux phénomènes...3 La différene entre la phosphoresene et la
Plus en détailMouvement d'une particule chargée dans un champ magnétique indépendant du temps
Moueent d'une patiule hagée dans un hap agnétique indépendant du teps iblio: Pee elat Gaing Magnétise Into expéientale: Dispositif: On obsee une déiation du faseau d'életons losqu'il aie ae une itesse
Plus en détailComment évaluer la qualité d un résultat? Plan
Comment évaluer la qualité d un résultat? En sienes expérimentales, il n existe pas de mesures parfaites. Celles-i ne peuvent être qu entahées d erreurs plus ou moins importantes selon le protoole hoisi,
Plus en détailProduction statistique: passage d une démarche axée sur les domaines à une démarche axée sur les processus
Nations Unies Conseil éonomique et soial Distr. générale 31 mars 2015 Français Original: anglais ECE/CES/2015/26 Commission éonomique pour l Europe Conférene des statistiiens européens Soixante-troisième
Plus en détailPROPAGATION D ONDES ELECTROMAGNETIQUES DANS UN GUIDE D ONDE A SECTION RECTANGULAIRE
PROPAGATION D ONDS LCTROMAGNTIQUS DANS UN GUID D OND A SCTION RCTANGULAIR B. AMANA et J.-L. LMAIR Liene de Physique - Univ. de Cery-Pontoise. Propaation d Ondes M dans un uide à setion retanulaire. PARTI
Plus en détailProjet INF242. Stéphane Devismes & Benjamin Wack. Pour ce projet les étudiants doivent former des groupes de 3 ou 4 étudiants.
Projet INF242 Stéphane Devismes & Benjamin Wak Pour e projet les étudiants doivent former des groupes de 3 ou 4 étudiants. 1 Planning Distribution du projet au premier ours. À la fin de la deuxième semaine
Plus en détailLa protection différentielle dans les installations électriques basse tension
Juin 2001 La protetion différentielle dans les installations életriques basse tension Ce guide tehnique a pour objetif de mettre en évidene les prinipes de fontionnement des protetions différentielles
Plus en détailNCCI : Calcul d'assemblages de pieds de poteaux encastrés
NCCI : Calul d'assemblages de pieds de poteaux enastrés Ce NCCI fournit les règles relatives au alul d'assemblages de pieds de poteaux enastrés. Ces règles se ontentent de ouvrir la oneption et le alul
Plus en détail2.1 Comment fonctionne un site?
Coent fonctionne un site? Dans ce chapitre, nous allons étudier la liste des logiciels nécessaires à la création d un site ainsi que les principes de base indispensables à son bon fonctionneent. 2.1 Coent
Plus en détailVoyez la réponse à cette question dans ce chapitre. www.alternativesjournal.ca/people-and-profiles/web-exclusive-ela-alumni-make-splash
Une personne de 60 kg est à gauche d un canoë de 5 de long et ayant une asse de 90 kg. Il se déplace ensuite pour aller à droite du canoë. Dans les deux cas, il est à 60 c de l extréité du canoë. De cobien
Plus en détailphysique - chimie Livret de corrigés ministère de l éducation nationale Rédaction
ministère de l éduation nationale physique - himie 3e Livret de orrigés Rédation Wilfrid Férial Jean Jandaly Ce ours est la propriété du Cned. Les images et textes intégrés à e ours sont la propriété de
Plus en détailMesures du coefficient adiabatique γ de l air
Mesures du oeffiient adiabatique γ de l air Introdution : γ est le rapport des apaités alorifiques massiques d un gaz : γ = p v Le gaz étudié est l air. La mesure de la haleur massique à pression onstante
Plus en détailEXERCICE II : LE TELEPHONE "POT DE YAOURT" (5 points)
USA 2005 EXERCICE II : LE TELEPHONE "POT DE YAOURT" (5 points) A l'ère du téléphone portable, il est encore possible de couniquer avec un systèe bien plus archaïque L'onde sonore produite par le preier
Plus en détailÉtape II. Compétences à développer de 8 à 12 ans. Grilles des compétences
Grilles des ompétenes Compétenes à développer de 8 à ans COMPÉTENCES DE 8 À ANS Les ompétenes en «aratères droits» sont à ertifier. (symbole en fin de ligne) Les ompétenes en «aratères italiques» sont
Plus en détailRevue des Sciences et de la Technologie - RST- Volume 5 N 1 / janvier 2014
Revue des Sienes et de la Tehnologie - RST- Volume 5 N 1 / janvier 214 L impat d une Charge Fortement Capaitive Sur la Qualité du Filtrage d un FAP Contrôlé Par un Filtre Multi-Variable Hautement Séletif
Plus en détailOPERATIONS MANAGEMENT
OPERATIONS MANAGEMENT RIRL 00 - Bordeaux Septeber 30t & Otober st, 00 RIRL 00 Te 8t International Conferene on Loistis and SCM Resear BEM Bordeaux Manaeent Sool Septeber 9, 30 and Otober st 00 La estion
Plus en détailUtiliser Internet Explorer
5 Utiliser Internet Explorer 5 Utiliser Internet Explorer Internet Explorer est le plus utilisé et le plus répandu des navigateurs web. En effet, Internet Explorer, couraent appelé IE, est le navigateur
Plus en détail3. Veuillez indiquer votre effectif total :
1 Métiers du marketing et de la ommuniation Questionnaire préalable d assurane Préambule Le présent questionnaire préalable d assurane Marketing et Communiation a pour objet de réunir des informations
Plus en détailArrondissage des résultats de mesure. Nombre de chiffres significatifs
BUREAU NATIONAL DE MÉTROLOGIE COMMISSARIAT À L'ÉNERGIE ATOMIQUE LABORATOIRE NATIONAL HENRI BECQUEREL Note technique LNHB/04-13 Arrondissage des résultats de esure Nobre de chiffres significatifs M.M. Bé,
Plus en détailÉTUDE BDC LES CINQ FACTEURS CLÉS ET LES CINQ PIÈGES À ÉVITER POUR RÉUSSIR EN AFFAIRES
ÉTUDE BDC LES CINQ FACTEURS CLÉS ET LES CINQ PIÈGES À ÉVITER POUR RÉUSSIR EN AFFAIRES Seaine de la PME BDC 2014 Résué --------------------------------------------------------------------------------------
Plus en détailOBJECTIFS. I. A quoi sert un oscilloscope?
OBJECTIFS Oscilloscope et générateur basse fréquence (G.B.F.) Siuler le fonctionneent et les réglages d'un oscilloscope Utiliser l oscilloscope pour esurer des tensions continues et alternatives Utiliser
Plus en détailÉquations générales des milieux continus
Équations générales des ilieux continus Jean Garrigues 1 ai 212 ii Avant-propos L objectif de ce cours est d établir les équations générales régissant tous les ilieux continus, qu ils soient solides ou
Plus en détailL étalonnage par traceur Compton, une nouvelle méthode de mesure primaire d activité en scintillation liquide
PH. CASSEE L étalonnage par traceur Copton, une nouvelle éthode de esure priaire d activité en scintillation liquide he Copton source efficiency tracing ethod, a new standardization ethod in liquid scintillation
Plus en détailLE PENETROMETRE STATIQUE Essais CPT & CPTU
LE PENETROMETRE STATIQUE Essais CPT & CPTU Mesures Interprétations - Appliations Doument rédigé par des ingénieurs géotehniiens de GINGER CEBTP sous la diretion de : Mihel KHATIB Comité de releture : Claude-Jaques
Plus en détailÉquations différentielles et systèmes dynamiques. M. Jean-Christophe Yoccoz, membre de l'institut (Académie des Sciences), professeur
Équations différentielles et systèmes dynamiques M. Jean-Christophe Yooz, membre de l'institut (Aadémie des Sienes), professeur La leçon inaugurale de la haire a eu lieu le 28 avril 1997. Le ours a ensuite
Plus en détailPLAQUES DE PLÂTRE CLOISONS - DOUBLAGES
CONSEILS ILLUSTRÉS D'ISOLAVA PLAQUES DE PLÂTRE CLOISONS - DOUBLAGES GUIDE DE MISE EN OEUVRE VITE et BIEN FAIT SOMMAIRE 1. Cloison de séparation sur ossature p 3 étallique -Matériaux nécessaires par 2 de
Plus en détailTolérance aux fautes-2 Serveurs à haute disponibilité
École Doctorale de Grenoble Master 2 Recherche Systèes et Logiciel Disponibilité des s Tolérance aux fautes-2 Serveurs à haute disponibilité Sacha Krakowiak Université Joseph Fourier Projet Sardes (INRIA
Plus en détailExemples de solutions acoustiques
Exemples de solutions aoustiques RÉGLEMENTATON ACOUSTQUE 2000 Janvier 2014 solement aux bruits aériens intérieurs et niveau de bruit de ho Traitement aoustique des parties ommunes Bruits d équipements
Plus en détailprix par consommateur identiques différents prix par identiques classique 3 unité différents 2 1
3- LE MONOOLE DISCRIMINANT Le monoole eut vendre ertaines unités de roduit à des rix différents. On arle de disrimination ar les rix. Selon une terminologie due à igou (The Eonomis of Welfare, 1920), on
Plus en détailNCCI : Modèle de calcul pour les pieds de poteaux articulés Poteaux en I en compression axiale
NCCI : Modèle de alul pour les pieds de poteaux artiulés Poteaux en I en Ce NCCI présente les règles permettant de déterminer soit la résistane de alul, soit les dimensions requises des plaques d'assise
Plus en détailMesurage en continu des flux polluants en MES et DCO en réseau d assainissement
MESURAGE EN CONTINU DES FLU POLLUANTS EN MES ET DCO EN RESEAU D ASSAINISSEMENT (M. LEPOT, 0) N d ordre 0ISAL0086 Année 0 Mesurage en ontinu des flux polluants en MES et DCO en réseau d assainissement Présenté
Plus en détaile-commerce+ Passez au e-commerce pour simplifier vos process de vente! RENCONTREZ-NOUS Salon E-commerce 23-25 septembre - Paris
e-coerce+ agazine d inforation d Octave N 11 Juin 2014 TO Passez au e-coerce pour siplifier vos process de vente! RENCONTREZ-NOUS Salon E-coerce 23-25 septebre - Paris Salon #vad.conext 21-23 octobre -
Plus en détailETUDE COMPARATIVE RELATIVE AU SERTISSAGE DES CANALISATIONS EN CUIVRE DANS LE SECTEUR DE LA RENOVATION
- Février 2003 - ETUDE COMPARATIVE RELATIVE AU SERTISSAGE DES CANALISATIONS EN CUIVRE DANS LE SECTEUR DE LA RENOVATION Centre d Information du Cuivre 30, avenue Messine 75008 Paris HOLISUD Ingénierie 21,
Plus en détailTHESE. Applications des algorithmes d'auto-organisation à la classification et à la prévision
UNIVERSITE PARIS I PANTHEON SORBONNE U.F.R. DE MATHEMATIQUES et INFORMATIQUE Année 999 THESE Pour obtenir le rade de DOCTEUR DE L'UNIVERSITE PARIS I Discipline : Mathéatiques Présentée et soutenue publiqueent
Plus en détailDiagnostic Immobilier by Hiscox Questionnaire préalable d assurance
Diagnosti Immobilier by Hisox Questionnaire préalable d assurane Diagnosti Immobilier by Hisox Questionnaire préalable d assurane Identifiation du proposant Nom ou raison soiale Adresse Code postal Ville
Plus en détailMASSE, VOLUME ET QUANTITE DE MATIERE
MASSE, OLUME ET QUANTITE DE MATIERE Exercices du Livre Microega Hatier (004 Correction L acide sulfurique 1. Calculons la asse olaire de l acide sulfurique : M(H SO 4 xm(h + M(S + 4xM(O M(H SO 4 x1,00
Plus en détailLa mémoire C HAPITRE S EPT. 7.1 Qu est-ce que la mémoire? 166. 7.2 L utilisation de la mémoire à court terme 169
La éoire C HAPITRE S EPT 7.1 Qu est-ce que la éoire? 166 Les types de éoires 166 Vue d enseble des processus éoriels 168 7.2 L utilisation de la éoire à court tere 169 La éoire iconique 169 La éoire à
Plus en détailPHANTOM 3. Guide de démarrage rapide PROFESSIONAL V1.0
PHANTOM 3 PROFESSIONAL Guide de déarrage rapide V.0 Phanto 3 Professional Découvrez votre Phanto 3 Professional. La caéra du Phanto 3 Professional vous peret d'enregistrer des vidéos en 4K et de prendre
Plus en détailSolutions IBM Client Security. Logiciel Client Security version 5.3 Guide d installation
Solutions IBM Client Security Logiciel Client Security ersion 5.3 Guide d installation Solutions IBM Client Security Logiciel Client Security ersion 5.3 Guide d installation Important Aant d utiliser
Plus en détailPRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS
PRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS Matériel : Un GBF Un haut-parleur Un microphone avec adaptateur fiche banane Une DEL Une résistance
Plus en détailÉchafaudage de façade UNI 70/100
Stark gerüstet. Échafaudage de façade 70/100 Français valable à partir du 15.04.2013 Table des atières Montage du systèe / Avantages du systèe 2-3 Châssis 4-5 Planchers 6 Escaliers «intérieurs» 7 Escaliers
Plus en détailDOSSIER SUR LE SECTEUR DES NOMS DE DOMAINE VOLUME 11 - NUMÉRO 4 - JANVIER 2015
DOSSIER SUR LE SECTEUR DES NOMS DE DOMAINE VOLUME 11 - NUMÉRO - JANVIER 2015 RAPPORT DE VERISIGN SUR LES NOMS DE DOMAINE LEADER MONDIAL DU SECTEUR DES NOMS DE DOMAINE ET DE LA SÉCURITÉ D'INTERNET, VERISIGN
Plus en détailChapitre 5: Oscillations d un pendule élastique horizontal
1 re B et C 5 Oscillations d'un pendule élastique horizontal 40 Chapitre 5: Oscillations d un pendule élastique horizontal 1. Définitions a) Oscillateur écanique * Un systèe écanique qui effectue un ouveent
Plus en détailI - Quelques propriétés des étoiles à neutrons
Formation Interuniversitaire de Physique Option de L3 Ecole Normale Supérieure de Paris Astrophysique Patrick Hennebelle François Levrier Sixième TD 14 avril 2015 Les étoiles dont la masse initiale est
Plus en détailSéquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière
Séquence 9 Consignes de travail Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière Travaillez les cours d application de physique. Travaillez les exercices
Plus en détailGuide pratique. L emploi des personnes handicapées
Guide pratique L emploi des personnes handiapées Sommaire Guide pour les salariés p. 3 L'aès et le maintien dans l'emploi... 4 Les établissements et servies d aide par le travail (ÉSAT)... 10 Les entreprises
Plus en détailInteractions des rayonnements avec la matière
UE3-1 : Biophysique Chapitre 2 : Interactions des rayonnements avec la matière Professeur Jean-Philippe VUILLEZ Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailTD 9 Problème à deux corps
PH1ME2-C Université Paris 7 - Denis Diderot 2012-2013 TD 9 Problème à deux corps 1. Systèmes de deux particules : centre de masse et particule relative. Application à l étude des étoiles doubles Une étoile
Plus en détailSIGNAUX NUMERIQUES ET MODULATIONS NUMERIQUES
SIGNAUX NUMERIQUES ET MODULATIONS NUMERIQUES ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------- LES SIGNAUX NUMERIQUES Un signal numérique
Plus en détailAutour des nombres et des polynômes de Bernoulli
Autour des nobres et des polynôes de Bernoulli Gaëtan Bisson d après un cours de Don Zagier Résué En athéatiques, les nobres de Bernoulli ont d abord été étudiés en cherchant à calculer les soes du type
Plus en détailLe calendrier des inscripti
ÉTUDES SUP TOP DÉPART Vous venez d entrer en terminale. Au œur de vos préoupations : obtenir le ba. Néanmoins, vous devrez aussi vous souier des poursuites d études, ar les insriptions dans le supérieur
Plus en détailPersonnel Pour chaque diagnostiqueur, veuillez fournir les informations suivantes : Date de la formation. Formation (durée)
1 Diagnosti Immobilier by Hisox Questionnaire préalable d assurane Identifiation du proposant Raison soiale Adresse de la soiété Site web Code APE Code SIREN Forme juridique Date de réation : Possédez-vous
Plus en détailLotusLive. LotusLive - Guide d'administration
LotusLie LotusLie - Guide d'administration LotusLie LotusLie - Guide d'administration Important Aant d'utiliser le présent document et le produit associé, prenez connaissance des informations générales
Plus en détailLes rayons X. Olivier Ernst
Les rayons X Olivier Ernst Lille La physique pour les nuls 1 Une onde est caractérisée par : Sa fréquence F en Hertz (Hz) : nombre de cycle par seconde Sa longueur λ : distance entre 2 maximum Sa vitesse
Plus en détailComprendre l Univers grâce aux messages de la lumière
Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,
Plus en détailDocumentHumain. Confidentiel. Disposition de fin de vie
Confidentiel Disposition de fin de vie DoumentHumain Mes volontés juridiquement valables onernant ma vie, mes périodes de souffrane, les derniers moments de mon existene et ma mort Institut interdisiplinaire
Plus en détailGAMME UVILINE 9100 & 9400
GAMME UVILINE 9100 & 9400 SPECTROPHOTOMÈTRES UV & VISIBLE NOUVEAU Sipper avec effet peltier Une combinaison intelligente d innovations EXCELLENTE PRÉCISION DE MESURE GRÂCE À UNE OPTIQUE HAUT DE GAMME Gain
Plus en détailRéseaux Évidentiels pour la fusion de données multimodales hétérogènes : application à la détection de chutes
Réseaux Évidentiels pour la fusion de données ultiodales hétérogènes : application à la détection de chutes Paulo Arando Cavalcante Aguilar To cite this version: Paulo Arando Cavalcante Aguilar. Réseaux
Plus en détailLe Centre de Tri. Projet d espace de coworking à Bègles 21 janvier 2011
Le Centre de Tri Projet d espace de coworking à Bègles 21 janvier 2011 Contexte 2 Objectifs 4 Projet 6 Lieu 8 Équipe projet 11 S o a i r Équipe d aniation Prograation Modèle éconoique Budget prévisionnel
Plus en détailGamme et conseils de mise en œuvre
ENVELOPPE DU BÂTIMENT Gae et conseils de ise en œuvre BATIROC COMPLÉMENT DE GAMME, nous consulter PROFILS DE BARDAGE BATIBAC 4-25BV BATIBAC 6-25BH BATIBAC 5-35BH 25 267,5 FACE B (extérieur) 25 80,8 FACE
Plus en détail#DSAA. Marseille. u Lycée Denis Diderot {Lycée Marie Curie é Lycée Jean Perrin. Lycée Saint Exupéry
# Marseille u Lyée Denis Diderot {Lyée Marie Curie é Lyée Jean Perrin Lyée Saint Exupéry #sommaire_ Introdution Diplôme Supérieur d Arts Appliqués spéialité Design / Marseille 4 Projet pédagogique global
Plus en détailLE PARADOXE DES DEUX TRAINS
LE PARADOXE DES DEUX TRAINS Énoné du paradoxe Déaillons ou d abord le problème dans les ermes où il es souen présené On dispose de deux oies de hemins de fer parallèles e infinimen longues Enre les deux
Plus en détailCULTe Le samedi 9 février2008 à 15h. Conf 1 : WIFI, les bases
CULTe Le samedi 9 février2008 à 15h Conf 1 : WIFI, les bases 1) Principes de fonctionnement (antennes, fréquences, emetteurs/recepteurs, point d'accés) a) Les grandes classes de fréquences HF, 300 Khz
Plus en détailLe compte satellite des institutions sans but lucratif
Institut des omptes nationaux Le ompte satellite des institutions sans ut luratif 2000-2001 Contenu de la puliation Le ompte satellite des institutions sans ut luratif (ISBL) est élaoré d après les définitions
Plus en détailChapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire
Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire - Notre Galaxie - Amas stellaires - Milieu interstellaire - Où sommes-nous? - Types de galaxies - Interactions entre galaxies Notre Galaxie
Plus en détailSNC du Chemin de Paris Création d un bâtiment d activité industrielle et de stockage ZAC du Chemin de Paris 60440 Nanteuil le Haudouin
DOSSIER DE DEMANDE D ENREGISTREMENT D UNE INSTALLATION CLASSEE POUR LA PROTECTION DE L ENVIRONNEMENT Code de l Environneent Livre V Titre I SNC du Chein de Paris Création d un bâtient d activité industrielle
Plus en détailUniversité de Nice Sophia Antipolis Licence de physique
Université de Nice Sophia Antipolis Licence de physique Projet tutoré en laboratoire : Année 2009/2010 Miradji Faoulat Barnaoui Serine Ben Abdeljellil Wael Encadrant : Mr. Anders Kastberg 1 Remerciement
Plus en détailGAMME UviLine 9100 & 9400
Agro-alimentaire/Biotechnologie/Enseignement/Recherche/Santé/Industrie GAMME UviLine 9100 & 9400 Spectrophotomètres UV & Visible Une combinaison intelligente d innovations n Excellente précision de mesure
Plus en détailPROPRIETES ELASTIQUES DU PLI UNIDIRECTIONNEL APPROCHE MICROMECANIQUE
Cours Matériau Coposites Fiche 2 PROPRITS LASTIQUS DU PLI UNIDIRCTIONNL APPROCH MICROMCANIQU A. Chateauinois RSUM : Cette iche présente des approches sipliiées perettant d'éaluer le odule longitudinal
Plus en détailL indice des prix à la consommation
L indice des prix à la consoation Base 2004 Direction générale Statistique et Inforation éconoique 2007 L indice des prix à la consoation Base 2004 = 100 La Direction générale Statistique et Inforation
Plus en détailinnovation / construction / territoire Crèche modulaire-bois La Rose des Vents GAILLAC (81) COMMUNAUTÉ DE COMMUNES
innovation / construction / territoire Crèche odulaire-bois La Rose des Vents GAILLAC (81) COMMUNAUTÉ DE COMMUNES Présentation de la crèche éco-responsable et odulaire de la Rose des vents à Gaillac La
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détailStructure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide
Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide Prof. Marc HENRY Chimie Moléculaire du Solide Institut Le Bel, 4, Rue Blaise Pascal 67070 Strasbourg Cedex, France Tél: 03.68.85.15.00 e-mail:
Plus en détailA retenir : A Z m n. m noyau MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE
CP7 MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE 1 ) Relation d'équivalence entre la masse et l'énergie -énergie de liaison 2 ) Une unité d énergie mieux adaptée 3 ) application 4
Plus en détailLes bases de données. Historique
1 Les bases de données Aujourd hui indispensables dans tous les systèes de gestion de l inforation, les bases de données sont une évolution logique de l augentation de la deande de stockage de données.
Plus en détailProfessionnels de l art by Hiscox Questionnaire préalable d assurance
Professionnels de l art by Hisox Questionnaire préalable d assurane Votre interlouteur: Buzz Assurane Servie lients - BP 105 83061 Toulon Cedex prodution@buzzassurane.om La ommunauté des olletionneurs
Plus en détailPartie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN
Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Objectifs : Exploiter un spectre infrarouge pour déterminer des groupes caractéristiques Relier un spectre
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailIBM Tivoli Storage Manager for Mail Version 7.1.1. Data Protection for Microsoft Exchange Server - Guide d'installation et d'utilisation
IBM Tioli Storage Manager for Mail Version 7.1.1 Data Protection for Microsoft Exchange Serer - Guide d'installation et d'utilisation IBM Tioli Storage Manager for Mail Version 7.1.1 Data Protection for
Plus en détailForme juridique Noms et adresses des filiales à assurer. Date de création ou début de l activité Description PRÉCISE de vos activités
1 Portage Salarial pour les métiers du Conseil by Hisox Questionnaire préalable d assurane Identifiation du proposant Raison soiale Adresse de la soiété Site web Code APE Code SIREN Forme juridique Noms
Plus en détailCorrection ex feuille Etoiles-Spectres.
Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Exercice n 1 1 )Signification UV et IR UV : Ultraviolet (λ < 400 nm) IR : Infrarouge (λ > 800 nm) 2 )Domaines des longueurs d onde UV : 10 nm < λ < 400 nm IR : 800
Plus en détailSensibilisation à la Sécurité LASER. Aspet, le 26/06/2013
Sensibilisation à la Sécurité LASER Aspet, le 26/06/2013 Modes d émission LASER P c P 0 P moy 0 Emission pulsée Salve ou train de N impulsions Emission continue Q i t i t Longueur d onde λ Emission continue
Plus en détailLyon. HUB numérique. * Accro à Lyon
HUB nuérique * Accro à tout Le nuérique 04 08 10 12 14 16 18 Posté par Laurent et Olivier de la Clergerie. Fabrice Lacroix, 44 ans. Teinté d innovation et d entrepreneuriat, le parcours de Fabrice épouse
Plus en détailMétiers de la sécurité Questionnaire préalable d assurance
Métiers de la séurité Questionnaire préalable d assurane Métiers de la séurité Questionnaire préalable d assurane Identifiation du proposant Raison soiale Adresse de la soiété Site web Code APE Code SIREN
Plus en détailVotre dossier d adhésion
MSH INTERNATIONAL pour le ompte Votre dossier d adhésion Vous avez besoin d aide pour ompléter votre dossier d adhésion? Contatez-nous au +33 (0)1 44 20 48 77. Adhérent Bulletin d adhésion Titre : Mademoiselle
Plus en détailThinkVantage Technologies Guide de déploiement
ThinkVantage Technologies Guide de déploiement Mise à jour : 14 octobre 2005 Comprend : Rescue and Recoery ersion 3.0 Client Security Solution ersion 6.0 Fingerprint Software ersion 4.6 ThinkVantage Technologies
Plus en détailChapitre. Calculs financiers
Chapitre Caluls finaniers 19 19-1 Avant d'effetuer des aluls finaniers 19-2 Caluls d'intérêts simples 19-3 Caluls d'intérêts omposés 19-4 Evaluation d'un investissement 19-5 Amortissement d'un emprunt
Plus en détailEstimations d erreur a priori de la méthode de Lagrange Galerkin pour les équations de type Kazhikhov Smagulov
Estiations d erreur a priori de la étode de Lagrange Galerkin pour les équations de type Kazikov Sagulov Jocelyn Étienne b,a Pierre Saraito a a LMC-IMAG, BP 53, 3841 Grenoble cedex b Adresse actuelle:
Plus en détailIBM Director 4.20. Guide d installation et de configuration
IBM Director 4.20 Guide d installation et de configuration IBM Director 4.20 Guide d installation et de configuration Important Aant d utiliser le présent document et le produit associé, prenez connaissance
Plus en détailIBM Tivoli Storage Manager for Virtual Environments Version 7.1.1. Data Protection for Microsoft Hyper-V Guide d'installation et d'utilisation
IBM Tioli Storage Manager for Virtual Enironments Version 7.1.1 Data Protection for Microsoft Hyper-V Guide d'installation et d'utilisation IBM Tioli Storage Manager for Virtual Enironments Version 7.1.1
Plus en détailSimulation numérique de la réponse d un pieu en cours de battage
Siulation nuérique e la réponse un pieu en cours e battage Philippe LEPERT Ingenieur Division Géotechnique et Mécanique es Chaussées Laboratoire Central es Ponts et Chaussées Daniel MEIGNEN Technicien
Plus en détailCorps de palier. Aperçu des produits Corps de palier... 1322 Caractéristiques Matières du corps de palier et surfaces extérieures...
Corps Corps Pae Aperçu des produits Corps... 3 Caractéristiques Matières du corps et surfaces extérieures... 34 Paliers fixes et paliers libres... 34... 34 Corps à seelle onoblocs et en deux parties Corps
Plus en détailLe triac en commutation : Commande des relais statiques : Princ ipe électronique
LES RELAIS STATIQUES (SOLID STATE RELAY : SSR) Princ ipe électronique Les relais statiques sont des contacteurs qui se ferment électroniquement, par une simple commande en appliquant une tension continue
Plus en détailQuelques liens entre. l'infiniment petit et l'infiniment grand
Quelques liens entre l'infiniment petit et l'infiniment grand Séminaire sur «les 2» au CNPE (Centre Nucléaire de Production d'électricité) de Golfech Sophie Kerhoas-Cavata - Irfu, CEA Saclay, 91191 Gif
Plus en détailIBM Unica Campaign Version 8.6 30 avril 2012. Guide de la migration des données
IBM Unica Campaign Version 8.6 30 aril 2012 Guide de la migration des données Important Aant d'utiliser le présent document et le produit associé, prenez connaissance des informations générales figurant
Plus en détailNombres, mesures et incertitudes en sciences physiques et chimiques. Groupe des Sciences physiques et chimiques de l IGEN
Nombres, mesures et incertitudes en sciences physiques et chimiques. Groupe des Sciences physiques et chimiques de l IGEN Table des matières. Introduction....3 Mesures et incertitudes en sciences physiques
Plus en détailDIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE. Examen du Tronc Commun sous forme de QCM. Janvier 2012 14 h à 16 h
ANNEE UNIVERSITAIRE 2011-2012 DIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE Examen du Tronc Commun sous forme de QCM Janvier 2012 14 h à 16 h Les modalités de contrôle se dérouleront cette année sous forme
Plus en détail