Bilan Commun de Pays CCA République de Djibouti

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Bilan Commun de Pays CCA République de Djibouti"

Transcription

1 SYSTEME DES NATIONS UNIES EN REUBLIQUE DE DJIBOUTI Bilan Cmmun de ays CCA République de Djibuti République de Djibuti Janvier

2 Table des matières Indicateurs clés 3 Résumé analytique 5 - rcessus de préparatin du CCA 9 2- Analyse de la situatin I. Cntexte gégraphique II. Cntexte démgraphique III. Cntexte plitique 2 IV. Cntexte sci-écnmique 2 V. réventin des catastrphes 4 VI. Réfugiés et persnnes déplacées auvreté et Envirnnement 6 2..auvreté 6 Situatin et tendances Réalisatins Défis Causes Lacunes de capacités 2..2 Envirnnement 9 Situatin et tendances Réalisatins Défis Causes Lacunes de capacités 2.2-Santé et pulatins vulnérables 23 Situatin et tendances - Réalisatins Défis Causes - Lacunes de capacités 2.3 Educatin et Autnmisatin des femmes Educatin 28 Situatin et tendances Réalisatins Défis Causes Lacunes de capacités Autnmisatin de la femme 32 Situatin et tendances Réalisatins Défis Causes Lacunes de capacités 2.4-Guvernance et artenariat 2.4.-Guvernance 34 Situatin et tendances - Réalisatins Défis Causes Lacunes de capacités artenariat mndial 39 Situatin et tendances Réalisatins Défis Causes Lacunes de capacités 2.5-Cnclusin 4 3-Cadre de cpératin 43 4-Matrice des indicateurs 45 5-Surces de dnnées 50 6-Annexes 5 - Indicateurs EDIM Liste des indicateurs OMD 58 Bilan Cmmun de ays CCA République de Djibuti 2

3 ) empli Liste des abréviatins 60 Indicateurs clés pulatin (en milliers d habitants en 2000) Taux d accrissement de la ppulatin (en %) 2,8 pulatin urbaine (en %) 82 pulatin de mins de 5 ans ( en %) 40 2 Densité (milliers d habitants / km 27,7 pulatin des réfugiés en pulatin vulnérable victime de la sécheresse en Taux de vulnérabilité à l insécurité alimentaire (en %) 49 Taux de mrtalité infantile (pur mille) 9 67 Taux de mrtalité infant-juvénile (pur mille) 9 94 Taux de mrtalité maternelle (sur naissances vivantes) Indice synthétique de fécndité (par femme) 2 4,2 Espérance de vie à la naissance (en nmbre d années) 2 47,0 Taux de prévalence du VIH/SIDA (en %) 2 2,9 Taux de prévalence de la Tuberculse (sur ) 5.37 aludisme (nmbre de cas recensé) Taux net de sclarisatin primaire (TNS en %) 9 55,3 Indice de parité entre les sexes (IS) pur le TNS primaire 9 0,98 Taux net de sclarisatin secndaire (TNS en %) 9 39,5 Indice de parité entre les sexes (IS) pur le TNS secndaire 9 0,86 urcentage de femmes âgées de 5-24 ans alphabétisées 9 47,5 urcentage d hmmes alphabétisés 65,9 Taux de chômage femmes ( en % ) 68,5 Taux de chômage hmmes ( en % ) 54,5 er art de chômeurs à la recherche du ( % sur ttal) 50 IB (en millins US $) 7 702, Taux de crissance réel du IB (en % par an) 7 Taux de crissance annuel du IB (en % par an) 0,5 Taux d investissement (%IB) 6,7 Secteur primaire (%IB) Secteur secndaire (% IB) 5 Secteur tertiaire (% IB) 80 Aide ublique au Dévelppement (en millins US$) 7 64, Dette extérieure (en millins de US$) 7 450,8 Taux d inflatin (en % en 2003) Incidence de pauvreté extrême (en %) 42, Incidence de pauvreté relative (en %) 74,0 Valeur de l indice de dévelppement humain (IDH) 4 0,494 Classement seln l IDH sur 77 pays 4 48 pulatin ayant accès aux surces d eau ptable amélirées en milieu urbain (%) 9 97,4 pulatin ayant accès aux surces d eau ptable amélirées en milieu rural (%) 9 52,5 urcentage de la ppulatin utilisant des sanitaires pur l éliminatin des excréments en 9 67,8 milieu urbain urcentage de la ppulatin utilisant des sanitaires pur l éliminatin des excréments en 9 8,8 milieu rural Utilisatin de cmbustibles slides pur la cuissn en milieu urbain 9 9,5 Utilisatin de cmbustibles slides pur la cuissn en milieu rural 9 78,9 Rutes bitumées par rapprt au réseau rutier ttal (%) 33 Nmbre d rdinateurs (sur 00 persnnes),09 Utilisateurs Internet (sur persnnes) 5,3 Nmbre de téléphne mbile (sur 00 persnnes) 0,47 [Surces : () EDAM-IS-2/ 2002 ; (2) EDSF/AFAM 2002 ; (3) Educatin natinale-2005 ; (4) Rapprt mndial sur le dévelppement humain-2006 ; (5) Rapprt glbal TB OMS 2006 ; (6) SIS 2005 ; (7) FMI ; (8) NUD ; (9) EDIM-2006 ] Bilan Cmmun de ays CCA République de Djibuti 3

4 Bilan Cmmun de ays CCA République de Djibuti 4

5 RESUME ANALYTIQUE Ce deuxième Bilan Cmmun de ays u CCA de la République de Djibuti, instrument cmmun aux activités pératinnelles du Système des Natins Unies, a été établi seln les nuvelles apprches stratégiques dévelppées par le Secrétariat Général des Natins Unies, telles l apprche participative, l apprche genre et l apprche basée sur les Drits Humains. L analyse de la situatin et l identificatin des prblèmes clés nt été menées en cnsultatin avec des représentants du Guvernement, de la sciété civile et des partenaires au dévelppement et par rapprt aux Objectifs du Millénaire pur le Dévelppement (OMD), la CID et autres engagements issus de la Déclaratin du Millénaire, Cnférences et Smmets internatinaux, ainsi que des instruments du Système des Natins Unies relatifs aux Drits Humains. Cnfrmément aux travaux de la Retraite de l équipe des Natins Unies de Djibuti qui s est réunie en mai 2006, quatre thèmes nt été retenus sur la base des prirités du dévelppement du pays et des Objectifs du Millénaire pur le Dévelppement : () auvreté et Envirnnement ; (2) Santé et pulatins vulnérables ; (3) Educatin et autnmisatin des femmes ; (4) Guvernance et artenariat. Quatre grupes thématiques, cmpsés des représentants du Guvernement, de la sciété civile et des partenaires au dévelppement nt été mis en place. Une analyse causale a été appliquée à chacun des thèmes en mettant en évidence les causes immédiates, les causes sus-jacentes ainsi que les causes fndamentales des prblèmes majeurs identifiés. Les lacunes de capacités des détenteurs de drits u «ayants drits» et celles des titulaires d bligatins u «ayants devirs» nt été respectivement identifiées. auvreté et Envirnnement Au curs des années quatre-vingt dix, Djibuti a enregistré une crissance écnmique négative en raisn d une péride d instabilité plitique et de chcs exgènes majeurs. Cette situatin a largement cntribué à la paupérisatin grandissante de la ppulatin djibutienne en général, et celle des ppulatins les plus vulnérables en particulier (femmes, enfants, ruraux, réfugiés et déplacés). 42% de la ppulatin vit dans la pauvreté abslue et 74% dans des situatins de pauvreté relative. ur inverser la tendance et mettre en place les cnditins d une crissance frte et durable, les puvirs publics nt adpté en 2004, un cadre stratégique de Ulutte cntre la pauvretéu (CSL). Ce prgramme de référence vise la créatin d une dynamique de crissance et une accumulatin du capital humain puvant faciliter la participatin des plus pauvres aux activités prductives et favriser la redistributin des revenus. Les actins mises en œuvre à ce jur nt été essentiellement financées sur les ressurces du budget natinal. eu de financements extérieurs nt pu être mbilisés à cause du retard dans la cnclusin d une secnde facilité pur la réductin de la pauvreté et la crissance (FRC) avec le Fnds mnétaire internatinal qui cnditinne les engagements financiers de la plupart des partenaires au dévelppement. En dépit des effrts furnis par le Guvernement, l atteinte de l bjectif de réductin de la pauvreté et de la faim semble être difficilement réalisable d ici à 205, en l absence de réfrmes sutenues de la plitique structurelle. En effet, avec un accrissement démgraphique se situant en myenne à 2,8% par an, le niveau actuel de la crissance reste insuffisant pur pérer une réductin substantielle de la pauvreté et de la faim. Le pays est par ailleurs sumis à d imprtants risques et catastrphes tels que la sécheresse, les inndatins et crues, le tremblement de terre, ainsi que la désertificatin, les épidémies, la famine, et sa situatin gégraphique influence un nmbre imprtant de flux migratires ainsi que des réfugiés et des persnnes déplacées engendrant des prblèmes d insécurité alimentaire. Au niveau des Uenjeux envirnnementauxu, la situatin est particulièrement critique à Djibuti ntamment à cause de la faiblesse des ressurces naturelles et des rigueurs du climat, (faible cuverture végétal, rareté de précipitatins, pauvreté de sls), ainsi que de la frte pressin démgraphique et de l afflux massif des ppulatins étrangères auxquelles s ajuternt à brèves échéances les impacts négatifs des changements climatiques. L apprvisinnement en eau, assuré à plus de 95% par les eaux suterraines, est singulièrement difficile en milieu rural et les centres urbains. La surexplitatin des nappes aquifères cnjuguée à la maintenance défaillante des réseaux cnduit à la dégradatin de la qualité de l eau. Le prblème de l assainissement cnstitue une menace majeure pur la ppulatin. L insalubrité, aggravée par des équipements d assainissement défaillants, engendre une détériratin du cadre de vie ntamment en milieu urbain ù la prgressin cnstante des ppulatins (3% par an) qui habitent dans des taudis génèrent la prlifératin des ccupatins illicites et précaires. Bilan Cmmun de ays CCA République de Djibuti 5

6 T T armi ur remédier à cette situatin, les autrités se snt récemment dtées de cadres de référence avec l adptin d une li cadre sur l envirnnement et d un plan d actin natinal pur l envirnnement. Tutefis, faute de ressurces et de capacités institutinnelles suffisantes, les effrts snt restés insuffisants dans la mesure ù les rientatins retenues n nt pu être traduites en actins cncrètes. Cmpte tenu de nmbreuses cntraintest0f T pur résudre les prblèmes envirnnementaux, l bjectif du Millénaire pur le Dévelppement assigné en matière d envirnnement ne purra être atteint en 205, si des dispsitins ne snt pas prises pur mbiliser des ressurces financières, mener une plitique de plaidyer et dévelpper les capacités humaines à tus les niveaux. Santé et pulatins vulnérables Dans le cadre du plan natinal du dévelppement sanitaire pur la péride , de nmbreuses actins en faveur de la santé des ppulatins en général et des plus vulnérables en particulier dnt la mère et l enfant y cmpris la lutte cntre les maladies transmissibles (VIH/SIDA, rugele, paludisme et tuberculse) nt été entreprises par le Guvernement. Les différents prgrammes verticaux exécutés par la Directin de la santé mère-enfant nt cntribué à réduire la mrtalité maternelle estimée à 546 pur naissances vivantes d après EDSF/AFAM-2002, et à réduire la mrtalité infantile et infantjuvénile estimée respectivement à 67 et 94 pur 000 naissances vivantes d après EDIM ar ailleurs, n estime à le nmbre de persnnes vivant avec le VIH et les dnnées de rutine indique que le taux de prévalence du VIH est de 2,9% en lusieurs autres prgrammes et plans nt été également mis en service dnt le prgramme Santé de la reprductin et le prgramme de lutte cntre la vilence fndée sur le genre. Tutefis, les risques encurus par la femme à partir de l âge de 5 ans demeurent imprtants. Il s agit ntamment des mutilatins génitales féminines, des grssesses précces, des avrtements à risques, de la mrbidité (fistules, malnutritin, anémies, vilence, IST/SIDA) et de la très faible prévalence de la cntraceptin, ainsi que la réductin de l intervalle génésique, la multiparité et le besin nn satisfait. Les adlescents et es jeunes qui cnstituent la majrité de la ppulatin snt également victimes d une vulnérabilité grandissante liée à la pauvreté, au chômage, à l analphabétisme, à l abandn sclaire, aux IST/SIDA, à la vilence, à la cnsmmatin du tabac et drgues, et aux grssesses précces et avrtements en ce qui cncerne les jeunes filles. En dépit de nmbreux effrts accmplis, le drit des ppulatins à un état de santé satisfaisant n est pas réalisé. Le Frum de réflexin sur la santé rganisé en avril 2006 a permis de mettre en relief un certain nmbre de lacunes au niveau du Ministère de la santé dnt le besin en ressurces humaines qualifiées (sages-femmes, médecins, gynéclgues, bstétriciens, anesthésistes-réanimateurs) et le renfrcement de la stratégie IEC (infrmatin, éducatin, cmmunicatin) en matière de santé en général avec une large infrmatin du public sur l existence d un numér vert (5) gratuit pur bénéficier des cnseils et assistance en matière de VIH/SIDA. Les titulaires de drits ne snt pas tujurs au curant des questins liées à leur santé et les infrmatins restent encre insuffisantes. L Etat principal détenteur d bligatins a une faible capacité d affecter des ressurces suffisantes au secteur, et les cmmunautés snt limitées dans leur actin par manque de ressurces, d encadrement et de faiblesse de sutien des puvirs publics. Les bjectifs du Millénaire pur le dévelppement relatifs à la santé de la ppulatin divent par cnséquent faire l bjet d une attentin particulière cmpte tenu des pesanteurs sciculturelles qui entraînent des cmprtements peu cmpatibles avec les exigences en matière de santé et la pauvreté des ménages qui réduit leur accessibilité aux sins. les difficultés, n peut nter l absence de myens financiers, matériels et humains, l accentuatin de la dégradatin de l envirnnement et la difficulté à appliquer les législatins en vigueur Bilan Cmmun de ays CCA République de Djibuti 6

7 Educatin et Autnmisatin des femmes UEn matière d éducatinu, l examen du système éducatif entrepris en 999 a abuti à la frmulatin d une nuvelle li d rientatin de l éducatin qui a instauré entre autres : (i) un enseignement fndamental bligatire de neuf ans (cinq en cycle primaire et quatre en cycle myen) pur tus les enfants âgés de 6 à 6 ans; (ii) la refnte de prgrammes d enseignement adaptés au cntexte natinal ; (iii) la participatin des parents d élèves à la gestin des établissements sclaires; (iv) l alphabétisatin des jeunes de 5 ans et plus. Le bilan des réalisatins dans le cadre du plan d actin a été psitif au vu des résultats btenus. Tutefis, en dépit des prgrès réalisés, près de 45% des enfants dnt une majrité de filles ne snt pas sclarisés surtut en znes rurales et plus de 20% des élèves inscrits n achèvent pas leur cycle d études primaires. plus élevée chez les femmes. Même si le secteur a bénéficié en 2006 d un prgramme d appui à l enseignement primaire dans le cadre de l initiative de mise en œuvre accélérée financée sur dn par la Banque Mndiale, en vue de renfrcer entre autres la sclarisatin des filles et celle des enfants issus des grupes vulnérables et à besins spéciaux (les enfants des réfugiés étant entièrement pris en charge par le HCR), le système éducatif reste cnfrnté aux prblèmes d accès, d équité, de qualité et d efficacité interne. ar ailleurs, l analphabétisme des 5 ans et plus (53,5%) reste La vlnté affichée du Guvernement pur atteindre l bjectif d une éducatin pur tus à l hrizn 205 ne se traduit dnc pas tujurs en actins cncrètes faute de financement et de capacités institutinnelles suffisantes, mais aussi faute des parents, de la cmmunauté et de la sciété civile qui, en raisn de la pauvreté, de l ignrance et des préjugés sciculturels psent prblèmes à l éducatin des enfants, à celle des filles en particulier. En ce qui cncerne Ul autnmisatin des femmesu le plaidyer du résident de la République en mars 2000 a permis d œuvrer d urgence à l instauratin et la sauvegarde des drits de la femme. Les cinq dernières années la femme a bénéficié d un élan plitique ntable avec : (i) la créatin d un Ministère de la prmtin de la femme et du bien-être familial et des affaires sciales en mai 999 ; (ii) l adptin en 2002 d un Cde de la famille en faveur de la sauvegarde de l unité, de l entente de la famille et de la prtectin des enfants ; (iii) l élabratin d une stratégie natinale d intégratin de la femme dans le dévelppement en juillet 2002 ; (iv) l adptin de la li instituant le système de quta d au mins 0% de l un u de l autre sexe dans les fnctins électives et administratives en 2002, (d ù la représentatin de 7 femmes sur 65 membres au arlement en 2003) ; (v) la nminatin d une deuxième femme ministre déléguée à la Cpératin internatinale en mai ar ailleurs, des mesures nt été prises pur lutter cntre tutes les frmes de discriminatin à l égard des femmes y cmpris les mutilatins génitales dnt l article 333 du Cde pénal élabré en 995 et sanctinnant les pratiques néfastes. Mais cette avancée n a cnnu qu une intégratin timide de la femme au prcessus du dévelppement car l inégalité entre l hmme et la femme reste tujurs un défi majeur à relever. Les disparités du genre - bservées dans les dmaines de l éducatin, de l alphabétisatin, de la vie écnmique et de la prise de décisin - persistent encre à cause de la pauvreté, de l ignrance, de l analphabétisme et surtut du pids de la traditin, de la religin et de la pressin sciale. Le prjet visant à favriser le dévelppement de la micr-finance cmme myen de prmtin écnmique et scial de la femme a cnnu des difficultés et sn impact se fait attendre. Les bnnes intentins frmulées par le Guvernement, la sciété civile, les bailleurs de fnds et les partenaires au dévelppement lrs de la table rnde sectrielle en ctbre 2003 à l égard de la stratégie natinale d intégratin de la femme au dévelppement divent par cnséquent se cncrétiser pur permettre aux femmes d influer sur le curs de leur existence. Bilan Cmmun de ays CCA République de Djibuti 7

8 Guvernance et artenariat Dans Ule dmaine de la guvernanceu de nmbreuses réfrmes nt été mises en œuvre, grâce au retur à la paix, mais les résultats et l impact attendus n nt pas été entièrement atteints. Des effrts cnsidérables divent être déplyés ntamment pur permettre aux acquis démcratiques de s enraciner. L rganisatin des partis plitiques laissent à désirer et les élus snt lin de juer pleinement leur rôle. Malgré un envirnnement scial favrable et une sllicitatin imprtante, la sciété civile épruve de grandes difficultés à juer le rôle de catalyseur à cause ntamment d un cadre juridique jugé inadapté et des faiblesses structurelles significatives. L absence d une presse indépendante cnstitue aussi une cntrainte imprtante sur le plan de la liberté d expressin. En matière de guvernance judiciaire, le renfrcement de l état de drit et l améliratin de la sécurité juridique et judiciaire au service du cityen prônés par les états généraux de la justice en 200 seraient susceptible de rehausser le crédit de la justice et partant de favriser le dévelppement écnmique du pays. La guvernance administrative se caractérise par une lurdeur dans le fnctinnement et par une relative inefficience dues aux faiblesses structurelles, tandis que la guvernance lcale, malgré les initiatives remarquables prises par le Guvernement dnt l rganisatin des premières électins réginales en 2006 pur prmuvir la décentralisatin et mettre en place les cllectivités lcales et leurs rganes élus, tarde à être cncrétisée. Les décrets d applicatin pur le transfert effectif des myens et des cmpétences ne snt pas encre traduits dans la réalité. Sur le plan de la guvernance écnmique, les finances publiques nt cnnu d imprtants déséquilibres macrécnmiques durant la péride ur srtir de cette crise, les autrités du pays se snt engagées avec le cncurs du FMI et de la Banque mndiale dans une plitique de réfrmes structurelles dans le but de rétablir les grands agrégats macrécnmiques et mettre le pays sur la vie d une crissance écnmique durable. Tujurs est-il que les prblèmes existants gravitent autur de : (i) la lutte cntre la pauvreté ; (ii) l améliratin de la cmpétitivité à myen terme ; (iii) la pssibilité d asseir à myen u à lng terme une psitin budgétaire viable. Quant au secteur privé, il est atrphié et fait face à plusieurs prblèmes dnt les cûts élevés des facteurs de prductin, le financement, l insuffisance des ressurces humaines qualifiées et à la pressin fiscale. Néanmins, les autrités du pays nt su cncrétiser avec l Emirat de Dubaï un partenariat écnmique remarquable. Elles nt également renfrcé depuis 200 les institutins ayant en charge la prmtin du secteur privé, mais de nmbreux défis pur prmuvir la cmpétitivité de l écnmie de Djibuti restent encre à relever. Le renfrcement des capacités natinales en matière de prductin, d analyse et d utilisatin des dnnées pur la définitin des prirités, ainsi que la réalisatin d un recensement de la ppulatin et la mise en place de bases de dnnées en matière de planificatin s avèrent dnc primrdiaux. Dans Ule dmaine du partenariatu, la plitique d assainissement des finances publiques menée depuis 999 par le Guvernement a entraîné une prgressin de l Aide ublique au Dévelppement, ce qui a permis à la Banque Mndiale de classer Djibuti parmi les pays de l Afrique subsaharienne pur lesquels l Aide par tête d habitant est la plus imprtante. Au niveau natinal, les partenaires au dévelppement nt inscrit leur actin dans l accmpagnement des plitiques sectrielles vlntaristes mises en œuvre par les autrités. Ils nt également œuvré à la prmtin du secteur privé à travers l étude diagnstique sur l intégratin du cmmerce et nt su répndre aux situatins d urgences. Tujurs est-il que le cncept même et les cnturs d un partenariat mndial, ainsi que la manière dnt il sera mis en œuvre, restent encre imprécis au niveau natinal ù les mécanismes antérieurs cntinuent de prévalir. UEn cnclusin,u les différents prblèmes analysés fnt ressrtir le nn respect d un grand nmbre de drits humains dû aux faibles capacités aussi bien des titulaires de drits (les ayant drits) que des détenteurs d bligatins (les ayants devirs). Cmpte tenu des faiblesses sus-citées, et au vu des résultats indicateurs préliminaires de l EDIM-2006 dnt n truvera quelques dnnées en annexe, les dmaines priritaires de cpératin SNU-Guvernement devraient s articuler principalement autur de : (i) la lutte cntre la pauvreté et la prtectin de l envirnnement ; (ii) la prmtin de la santé des ppulatins et ntamment des plus vulnérables ; (iii) l accès à des services d éducatin de qualité et à l autnmisatin des femmes; (iv) la prmtin de la bnne guvernance et du partenariat Bilan Cmmun de ays CCA République de Djibuti 8

9 Sectin - ROCESSUS DE RERARATION DU CCA Ce deuxième Bilan Cmmun de la République de Djibuti u CCA a été établi cnfrmément aux nuvelles apprches stratégiques dévelppées par le Secrétariat Général des Natins Unies pur la définitin du lan Cadre d Aide au Dévelppement u UNDAF. Il s agit essentiellement de l apprche participative, de l apprche genre et surtut de l apprche basée sur les Drits humains. L analyse de situatin et l identificatin des prblèmes clés de dévelppement nt par cnséquent été menées en étrite cnsultatin avec des représentants du Guvernement, de la sciété civile et des partenaires au dévelppement d une part, et par rapprt aux Objectifs du Millénaire pur le Dévelppement (OMD) et autres engagements issus de la Déclaratin du Millénaire, Cnférences et Smmets internatinaux, ainsi que des instruments du Système des Natins Unies relatifs aux Drits humains, d autre part. Cnfrmément aux travaux de la Retraite de l équipe des Natins Unies de Djibuti qui s est réunie en mai 2006, quatre thèmes nt été retenus sur la base des prirités du dévelppement du pays : - auvreté et Envirnnement 2- Santé et pulatins vulnérables 3- Educatin et Autnmisatin des femmes 4- Guvernance et artenariat Quatre grupes thématiques nt été respectivement mis en place, chacun étant cprésidé par un représentant du Guvernement et un chef d agence du Système des Natins Unies. Les membres de chaque grupe nt été cnjintement identifiés par les institutins guvernementales et le persnnel technique des agences du Système des Natins Unies. Quatre cnsultants natinaux nt été sélectinnés et recrutés par le Bureau du Crdnnateur Résident du Système des Natins Unies pur faciliter les travaux des grupes. ar ailleurs, l ensemble des membres des grupes thématiques nt bénéficié pendant une jurnée d une sessin d rientatin relative à la prgrammatin basée sur les Drits humains. Le lancement fficiel du CCA/UNDAF a eu lieu le 05 juillet 2006 par Madame la Ministre déléguée aux affaires étrangères chargée de la Cpératin internatinale en présence de plusieurs membres du Guvernement, des hauts cadres de l Etat ainsi que des représentants des partenaires au dévelppement. Une analyse causale a été appliquée à chacun des thèmes et les causes immédiates et sus-jacentes ainsi que les causes fndamentales des prblèmes clés majeurs nt été identifiés. Les lacunes de capacités des détenteurs de drits u «ayants drits» et celles des titulaires d bligatins u «ayants devirs» nt été respectivement identifiées. Une attentin particulière a été accrdée aux vlets transversaux tels que la guvernance et au genre, ainsi qu à la situatin des grupes vulnérables et défavrisés et persnnes déplacées. Les dnnées et statistiques citées en référence nt été sélectinnées en fnctin de leur degré de fiabilité et pertinence et extraites, entre autres, des enquêtes EDAM-IS2 et EDSF/AFAM 2002, et surtut celle d EDIM, enquête à indicateurs multiples (MICS 3) plus récente dnt les résultats préliminaires nt été validés et partagés en janvier D autres dnnées nt été extraites des rapprts sectriels dnt ceux de l éducatin et de la santé, du Rapprt natinal sur les Objectifs du Millénaire pur le Dévelppement de 2005, ainsi que des rapprts de la Banque Mndiale et du FMI. Bilan Cmmun de ays CCA République de Djibuti 9

10 A prps de l apprche participative Le prcessus participatif ci-dessus évqué a engendré une maîtrise de l apprche centrée sur les Drits humains, Drits qui dans l exécutin de l UNDAF sur la péride divent avant tut permettre leur cnnaissance accrue, puis leur applicatin plus rigureuse et, à terme, leur cncrétisatin pleine et entière. ar ailleurs, le dialgue et la cncertatin nt permis de mettre en exergue : (i) le rôle déterminant des plitiques natinales de dévelppement et leur mise en œuvre effective; (ii) la recnnaissance des besins spécifiques des cityens appartenant aux grupes pauvres et vulnérables; (iii) la nécessité de réaffirmer, à tus les niveaux, la primauté de la juissance par tus les cityens de tus les drits humains ; (iv) l imprtance de la prductin d instruments d analyse statistique nécessaire au suivi et à l évaluatin de tute actin menée. A prps de l apprche basée sur les drits humains Les Natins Unies nt tujurs mis les Drits humains au centre de leur actin depuis leur créatin, mais la prgrammatin de l UNDAF basée sur les drits humains a cnnu une accélératin en 997, année ù le Secrétaire Général des Natins Unies déclarait d une manière explicite que «tutes les activités majeures des Natins Unies divent être guidées par les principes des Drits de l hmme». Cette apprche a par cnséquent permis aux grupes thématiques de mener une analyse chérente et exhaustive du Dévelppement humain, en partant du principe que tut effrt de dévelppement dit impliquer un prgrès en matière de respect des drits humains, tels que définis par la Charte des Natins Unis et par l ensemble des instruments internatinaux établis depuis 948 Sans prétendre à l exhaustivité, le Bilan cmmun a tenté de cerner les prblèmes majeurs du pays en matière de dévelppement en identifiant les causes, mais aussi les lacunes de capacités des titulaires des drits et des détenteurs d bligatins et partant, de mettre en relief les actins majeures à entreprendre en rapprt avec les Objectifs du Millénaire pur le Dévelppement. En ce qui cncerne l apprche genre Les rapprts de genre se réfèrent à la distributin du puvir entre femmes et hmmes dans un cntexte dnné et cmprend les ptentialités, capacités et pprtunités des uns et des autres, ainsi que leur évlutin tut au lng du prcessus de dévelppement. N étant pas un bjectif en si, cette apprche représente une stratégie d actin qui tend vers la cncrétisatin du cncept d égalité entre hmmes et femmes au myen ntamment d un renfrcement de capacités de ces dernières. Cette stratégie a été prise en cmpte dans sa dimensin transversale dans les dmaines plitique, sciale et écnmique. A prps de la Déclaratin du Millénaire et du Rapprt Natinal sur les Objectifs du Millénaire pur le Dévelppement (OMD) La République de Djibuti, signataire de la Déclaratin du Millénaire s emplie aujurd hui à mieux cibler sn actin dans le sens de la réalisatin des huit bjectifs principaux du Millénaire pur le dévelppement : - Réduire l extrême pauvreté et la faim 2- Assurer une éducatin primaire pur tus 3- rmuvir l égalité des sexes et l autnmisatin des femmes 4- Réduire la mrtalité infantile 5- Amélirer la santé maternelle 6- Cmbattre le VIH/SIDA, le paludisme et les autres maladies 7- Assurer un envirnnement durable 8- Mettre en place un partenariat mndial Un premier rapprt natinal sur l état des OMD a été élabré par le Guvernement en Le deuxième - résultat d un travail cllectif entre des représentants du Guvernement, du Système des Natins Unies, de la sciété civile et autres partenaires au dévelppement - a été publié en Le deuxième rapprt a mis l accent sur les actins du Guvernement et des rganismes internatinaux ainsi que sur l état des prgrès réalisés, en sulignant tutefis les difficultés et cntraintes rencntrées au niveau de la prductin d infrmatins et la capacité d analyse du système statistique. Il cnstitue un dcument de plaidyer en faveur d un engagement frt des partenaires au dévelppement à sutenir les effrts du Guvernement dans la vie du dévelppement sci-écnmique du pays. Bilan Cmmun de ays CCA République de Djibuti 0

11 et Sectin 2 - ANALYSE DE LA SITUATION (i) Cntexte gégraphique Ancienne clnie française, ayant accédée à l indépendance le 27 juin 977, la République de Djibuti, située dans la 2 Crne de l Afrique à l entrée Sud de la mer Ruge, cuvre une superficie de km partage ses frntières avec 2 l Ethipie, l Erythrée et la Smalie. Elle dispse de 372 km de côtes ainsi que d un espace maritime d envirn km lacée sur l une des vies maritimes les plus empruntées du cntinent, Djibuti bénéficie d une psitin géstratégique incntestable. lacé sur le rift africain, le territire présente un relief cntrasté. Le climat est de type désertique marqué par une faible pluvimétrie et des températures généralement élevées. La cuverture du végétal est faible du fait de la rareté des précipitatins cmbinée à la pauvreté des sls. Les deux ethnies principales du pays snt les Afars et les Smalis, tutes deux de traditin nmade et de cnfessin musulmane. On y truve une imprtante cmmunauté arabe d rigine yéménite. Les ppulatins étrangères les plus imprtantes du pint de vue numérique snt les smaliens, les éthipiens et les français. Les langues fficielles snt le français et l arabe. Les langues natinales snt l afar et le smali. (ii) Cntexte démgraphique La démgraphie djibutienne se caractérise par une frte crissance de la ppulatin, ainsi que par des déplacements de ppulatin internes et externes imprtants favrisant une urbanisatin rapide. L inexistence de dnnées cmplètes et fiables cnstitue le principal défi et faute de recensement le pays ne dispse pas d infrmatins exhaustives sur l effectif et la structure de la ppulatin. Cependant, sur la base des enquêtes réalisées auprès des ménages EDAM-IS2 et EDSF/AFAM en 2002, et celle plus récente à indicateurs multiples u EDIM (MICS 3) réalisée en 2006, la ppulatin djibutienne est estimée entre 600 et habitants. Le taux d accrissement est d envirn 2,8 % par an. Les jeunes de mins de 5 ans frment près de 40% de la ppulatin. lus de 80% de la ppulatin vit en milieu urbain et Djibutiville à elle-seule cncentre près de 65% de cette ppulatin urbaine. Le reste de la ppulatin est réparti dans les régins de l intérieur (districts d Arta, d Ali Sabieh, de Dikhil, de Tadjurah et d Obck). La ppulatin rurale est estimée à 5% du ttal. Les taux de fécndité et de mrtalité, tujurs élevés, enregistrent tutefis une baisse par rapprt à la dernière décennie. Ainsi l indice synthétique de fécndité (ISF) est passé de 5,8 en 996 à 4,2 enfants par femme en Les taux de mrtalité infantile et infant-juvénile snt passés respectivement de 03, à 67 pur.000 naissances vivantes et de 24,4 à 94/.000 entre 2002 et L espérance de vie, l une des plus faibles du mnde, se situe autur de 47 ans. Cette tendance à la baisse des taux de mrtalité infantile et infant-juvénile est le résultat des effrts mis de plus en plus dans la préventin et ntamment dans la cuverture de la vaccinatin. En ce qui cncerne la fécndité, n peut signaler une améliratin de la prévalence cntraceptive qui est passée de 3% en 2000 à 7,8% en 2006 d après EDIM Cette prévalence reste tutefis très faible et cnstitue une des causes de la mrtalité maternelle estimée à 546 pur naissances vivantes d après l enquête EDSF/AFAM Juissant d une certaine stabilité au sein d une régin ù subsistent des nmbreux cnflits, la République de Djibuti accueille depuis sn indépendance de nmbreux réfugiés et persnnes déplacées. ar ailleurs, la sécheresse persistante, la dégradatin de l envirnnement et l appauvrissement des ppulatins dans les districts de l intérieur et les znes rurales entraînent un déplacement de plus en plus imprtant de persnnes vers Djibuti-ville et sa périphérie ù snt cncentrées les infrastructures écnmiques du pays. L augmentatin des bidnvilles à la périphérie de Djibuti-ville et la cnstructin d habitatins précaires dans les quartiers de la ville démntre que le phénmène d agrégatin de ppulatin cntinue de s amplifier. De même, n assiste à une augmentatin du nmbre des persnnes vivant dans la rue. Cette situatin s accmpagne d une mntée de la vilence ntamment à l égard des femmes et des enfants, mais aussi d une pressin de plus en plus accrue sur les infrastructures sciales, du secteur de la santé en particulier, engendrant une dégradatin de l envirnnement urbain. A nter que, faute de dnnées cmplètes et fiables nécessaires pur une cmpréhensin crrecte des tendances démgraphiques, l intégratin de la cmpsante démgraphique dans les prgrammes de dévelppement ainsi que l évaluatin de l impact réel de ces prgrammes sur les ppulatins cibles restent difficiles à mettre en œuvre. Il n existe pas nn plus de plitique de ppulatin fficielle qui sit glbale dans sn apprche. L appareil statistique du pays, la Directin de la statistique et des études démgraphiques (DISED), cmpte tenu de ses faibles capacités institutinnelles, n est pas encre en mesure de centraliser tutes les infrmatins requises sur la ppulatin pur leur intégratin dans les plans de dévelppement. Tutefis, un certain nmbre d indicateurs tels que la participatin de Djibuti aux Cnférences internatinales, l adhésin aux différents prgrammes et plate-frmes d actin, la ratificatin des cnventins internatinales, les changements sur le plan plitique au niveau natinal et enfin les différents prgrammes sectriels devraient puvir s inscrire dans le cadre chérent d une plitique de ppulatin. Bilan Cmmun de ays CCA République de Djibuti

12 place (iii) Cntexte plitique Au curs de la décennie éculée, le pays s est dté des institutins nécessaires à une démcratie de type pluraliste. La Cnstitutin du 5 septembre 992 a psé les fndements de l rganisatin plitique et cnstitue la li suprême du pays. Le régime est de type présidentiel ù les puvirs de l exécutif snt cntrebalancés par les puvirs législatif et judiciaire. L exécutif est cmpsé du résident de la République, Chef du Guvernement, d un remier Ministre qui assure la crdinatin de l actin guvernementale et des ministres. Le puvir législatif est entre les mains de 65 députés, dnt 7 femmes, qui représentent le peuple et siégent à l Assemblée natinale. Enfin, le puvir judiciaire est incarné par la Cur Suprême. Le pays est actuellement dirigé par une calitin de quatre partis plitiques. ( iv) Cntexte sci-écnmique La République de Djibuti se caractérise actuellement par des indicateurs sciaux en dessus des nrmes des pays en dévelppement à revenu faible et des pays arabes avec un IB/tête estimé à 850$ et un IDH de 0,494 en 2006 qui le ème classe à la 48 sur un ttal de 77 pays. La situatin de dévelppement humain indique une situatin de pauvreté relative et de pauvreté extrême tuchant respectivement 74,4% et 42,2% de la ppulatin en les résultats de l enquête EDAM-IS2 menée en 2002 mntrent que le phénmène est généralisée et tuche tutes les catégries sciales et tutes les znes gégraphiques. L incidence de pauvreté est plus prfnde en milieu rural avec 97% de pauvreté relative et 83% de pauvreté extrême et affecte beaucup plus les femmes que les hmmes. D après l EDIM-2006 presque un enfant sur deux est sclarisé en Bien que le taux de net slarisatin primaire (55,3%) ait prgressé dans tutes les régins du pays, les disparités d accès à l écle primaire demeurent quelque peu marquées entre les znes urbaines (56,0%) et les znes rurales (4,3%). Les inégalités liées au genre nt par cntre régressées, suite aux nmbreuses campagnes de sensibilisatin menées en faveur de la sclarisatin des filles, avec un indice de parité filles/garçns de 0,98 aussi bien en milieu urbain qu en milieu rural. Il n existe pratiquement aucune différence entre filles et garçns en termes de fréquentatin de l écle primaire. L EDIM-2006 indique par ailleurs que le purcentage de femmes âgées de 5-24 ans alphabétisées s élève à 47,5%, mais ce taux est de 48,4% en milieu urbain et seulement de 4,2% en milieu rural. La situatin sanitaire est glbalement alarmante cmpte tenu du manque de qualificatin du persnnel et de l insuffisance de médicaments essentiels dans les structures sanitaires. L accès aux sins des ménages les plus pauvres et des femmes en particulier est limitée et les taux de mrtalité maternelle et infant-juvénile snt assez élevés. Le système de santé étant axé sur les sins curatifs, les disparités dans l accès snt imprtantes entre la ville de Djibuti et les districts de l intérieur. La prpagatin du VIH/SIDA et des maladies sexuellement transmissibles cnstitue une autre préccupatin, ntamment chez les femmes et les jeunes. Même si le taux de prévalence myen est relativement bas (2,9%), l épidémie infecte plus les persnnes écnmiquement prductives (6% pur les 5-35 ans) et l incidence risque de crître rapidement cmpte tenu des cmprtements à risque de cette tranche d âge. L apprvisinnement en eau ptable des ppulatins a tendance à s amélirer puisque EDIM-2006 indique que 97,9% nt accès aux surces d eau ptable amélirées, mais ce taux baisse à 52,5% en milieu rural. ar cntre, le prblème d assainissement et de l hygiène représente une menace imprtante pur l envirnnement et cnstitue une surce d aggravatin de la situatin sanitaire. Seulement 67,8% de la ppulatin utilise des sanitaires pur l éliminatin des excréments (égut, fsse septique, latrines) en milieu urbain, et ce taux baisse à 8,8% en milieu rural. A nter que seuls 65,9% des ménages vivent dans des maisns équipées d installatins sanitaires amélirées. Bilan Cmmun de ays CCA République de Djibuti 2

13 En matière d habitat, Djibuti-ville et les principaux centres urbains du pays nt cnnu une expansin rapide de znes d habitats précaires dnt le dévelppement s est traduit par des difficultés crissantes dans l accès aux services sciaux de base. De plus, les prix élevés des lyers, les cûts exrbitants des matériaux de cnstructin et de la main d œuvre exacerbent la précarité des ménages et limitent les pssibilités d accès des pauvres aux lgements décents. Le taux myen de chômage (59,5%) est en frte hausse par rapprt à sn niveau de 996. Seln EDAM-IS2, ce taux est particulièrement élevé parmi les ménages pauvres (66,5%) et chez les pauvres extrêmes (72,4%). La situatin des femmes est encre plus dramatique. 68,5% des femmes actives snt au chômage cntre 54,5% pur les hmmes. L écnmie du pays est lurdement tributaire du secteur des services qui représente 80% du IB et 80% des emplis. Les services snt principalement axés sur les activités prtuaires, le transprt et les cmmunicatins. Le secteur agricle, en raisn de l absence de terres fertiles, de manque d eau et des cnditins climatiques difficiles, reste insignifiante et ne représente que 5% du IB. Le secteur de la pêche, ressurce au ptentiel imprtant, demeure inexplité par manque de demande intérieure et du fait de plitiques de prix et de travail nn cncurrentielles. Quant au secteur industriel, il est très peu dévelppé en raisn du manque de ressurces naturelles et ne représente que 5% du IB. L essentiel du financement extérieur de l écnmie du pays prvient aujurd hui de l Aide ublique au Dévelppement qui, avec un peu mins de 60 millins $ chaque année, représente près du dixième du IB. La République de Djibuti est l un des pays qui reçit le plus d aide au dévelppement en Afrique subsaharienne. Cette assistance extérieure est surtut cmpsée d aide bilatérale avec 48% du flux ttal d aide publique au dévelppement. Bilan Cmmun de ays CCA République de Djibuti 3

14 (v) réventin des catastrphes Au curs des vingt dernières années la République de Djibuti a cnnu plusieurs catastrphes et des situatins d urgence face auxquelles les autrités natinales n nt pu répndre qu avec des myens humain et matériel limités. Les catastrphes auxquelles le pays est cnfrnté de manière récurrente, à des échelles de gravité variables, snt la sécheresse, la désertificatin (débisement abusif et surpâturage), la famine, les inndatins et crues d ueds, les épidémies, la dégradatin de l envirnnement et les tremblements de terre (Djibuti étant situé dans une zne vlcanique très sismique). ULa sécheresseu a un impact plus durable sur l écnmie du pays car elle menace à la fis la survie des ppulatins nmades et celle du cheptel. Depuis 999, le pays à l instar des autres pays de la Crne de l Afrique est cnfrnté à une sécheresse chrnique qui a pur cnséquence un appauvrissement de la ppulatin en général et de la ppulatin rurale en particulier. Les cycles de sécheresse se traduisent par la hausse du taux de malnutritin chez les grupes vulnérables (femmes enceintes et allaitant, persnnes âgées et malades, et les enfants de mins de cinq ans). ar ailleurs, la surexplitatin des ressurces en eaux, le manque de maintenance des infrastructures hydrauliques, l insuffisance de retenues d eaux de pluies, le surpâturage et le débisement aggravent davantage la situatin. En janvier 2006, le Guvernement a lancé un appel à la cmmunauté internatinale pur une assistance humanitaire. Ainsi, persnnes dnt femmes nt bénéficié d une Uaide alimentaire d urgenceu dans le cadre du rgramme Alimentaire Mndial. A nter aussi que sus l impulsin de la première Dame du pays, un vaste élan de slidarité s est également mis en place pur venir en aide aux ppulatins victimes estimées à envirn persnnes. ULes inndatins et les cruesu de 994 et 2004 qui nt tuché Djibuti-ville et l ensemble des districts, à des degrés divers, nt été parmi les plus dévastatrices que le pays a cnnu depuis l indépendance. Les cntraintes climatiques expliquent la faiblesse du cuvert végétal du pays. Cette situatin est aggravée par la cupe du bis pur le chauffage et la cuissn, ainsi que pur le cmmerce du charbn de bis. Ces pratiques cntribuent de manière significative au UdébisementU des sls et accentue le phénmène de Ula désertificatinu. A nter qu une étude sur la vulnérabilité et l adaptatin aux Uchangements climatiquesu réalisée en juillet 200 par le Ministère de l habitat, de l urbanisme et de l envirnnement mntre que la diversité bilgique terrestre sera très vulnérable aux changements climatiques, mais les impacts variernt énrmément suivant les régins et seln le degré actuel de dégradatin des écsystèmes terrestres. Les znes les plus tuchées sernt celles qui snt déjà fragilisées par d autres facteurs généralement d rdre anthrpique. ur atténuer l ampleur de ces impacts négatifs, il faudra qu une réelle plitique de cnservatin des znes les plus vulnérables sit mise en place. Des stratégies d adaptatin aux changements climatiques, basées sur les principes de préventin utilisant les dnnées satellitaires (télédétectin, évaluatin de la bimasse ptentielle, prévisin des saisns sèches etc.) seraient largement bénéfiques aux ppulatins nmades qui vivent essentiellement des prduits d élevage. Sur le plan de l hygiène, le manque d hygiène, les mdes de cnservatin des eaux ptables et des aliments, le dysfnctinnement du réseau d assainissement et le système de canalisatin saturé créent des cnditins prpices à Ula prpagatin des épidémiesu (chléra et paludisme) et des maladies diarrhéiques dnt la fréquence est accentuée ces dernières années par le muvement migratire des ppulatins nmades et l immigratin clandestine. ur ce qui est de Utremblement de terreu, les crises de 973 et 978 nt été parmi les plus vilentes (magnitude 5.0 sur l échelle de Richter), mais aucun victime n a été déplré grâce au respect des nrmes de cnstructin parasismiques et des plans d urbanisatin stricts qui interdisent les cnstructins au-delà d une certaine hauteur ainsi que dans les znes à risques. Tutefis, l urbanisatin rapide de la capitale, qui s est traduite par une extensin de la ville au Nrd par le remblayage des terrains gagnés sur la mer et au Sud vers l ued d Ambuli, purrait cnstituer un risque réel en cas de séisme de même amplitude. Bilan Cmmun de ays CCA République de Djibuti 4

15 (vi) Réfugiés et persnnes déplacées La Crne de l Afrique a été cnstamment buleversée par des cnflits et par cnséquent par les déplacements des ppulatins et l afflux des réfugiés. La République de Djibuti, qui juit d une stabilité particulière dans la régin, a tujurs subi les cntrecups de ces catastrphes causées par l hmme et a accueilli les réfugiés sur sn sl. Suite aux dernières pératins de rapatriement d il y a deux ans, le nmbre de réfugiés actuellement présents serait de envirn. De même, suite au cnflit interne armé de 99 qui a duré jusqu en 994, de nmbreuses persnnes se snt déplacées des znes rurales vers la capitale. Bilan Cmmun de ays CCA République de Djibuti 5

16 T T T La T Cf. T et 2. AUVRETE ET ENVIRONNEMENT 2.. auvreté Cette prblématique vise la réductin de l extrême pauvreté et de la faim, UObjectif du Millénaire pur le DévelppementU qui cible la réductin de mitié de la prprtin de la ppulatin dnt le revenu est inférieur à un dllar par jur entre 990 et 205 d une part, et la réductin de mitié de la prprtin de la ppulatin qui suffre de la faim d autre part, dans le respect des drits humains dnt le drit à la vie, le drit à la prtectin, le drit à un niveau de vie décent, le drit de manger à sa faim, le drit à un travail etc. «La sécheresse endémique et la mauvaise explitatin des ressurces hydrauliques snt des situatins préccupantes. Il faudra mettre en œuvre la plitique de l eau et du dévelppement rural ; mettre en œuvre le dessalement de l eau de mer pur augmenter l apprvisinnement ; renfrcer la prductin agricle ; garantir une sécurité alimentaire durable ; définir une plitique de revalrisatin des prduits de l élevage qui cnstitue un dmaine sus-explité ; expliter les prduits de la mer». (Extrait de la Feuille de rute du résident de la République mai 2005) Situatin et tendances 2 L analyse explratire des différentes enquêtes sur la pauvretéf mntre que celle-ci est devenue structurelle. En effet, malgré les prgrès imprtants réalisés dans le dmaine macrécnmique depuis la secnde mitié des années 990, la situatin sciale s est cnsidérablement détérirée. Définitin et mesure de la pauvreté La pauvreté est un phénmène multidimensinnel qui renvie à la fis à une insuffisance de revenus, au manque d emplis et aux difficultés d accès aux besins essentiels. La pauvreté mnétaire retrace ainsi une insuffisance de revenus mnétaires pur faire face aux dépenses alimentaires et nn alimentaires indispensables. Elle est appréhendée à partir de deux seuils en dessus desquels une persnne est cnsidérée cmme pauvre relatif u extrême : Uun seuil de pauvreté relativeu, calculé à partir de la part de la dépense alimentaire dans la dépense ttale des ménages du deuxième quintile de dépenses équivalentes adultes, et Uun seuil de pauvreté extrêmeu, déterminé sur la base des besins alimentaires minimaux crrespndant à un apprt calrifique jurnalier de 25 calries par équivalent adulte. Le seuil de pauvreté relative a été estimé à FD et le seuil de pauvreté abslue à FD par an en 2002, ce qui crrespnd respectivement à 3,3 $ et,8 $dllars par persnne et par jur ( US$ = 77 FD). Le seuil de pauvreté relative particulièrement élevé, cmparé à celui fixé dans le cadre de la Déclaratin du Millénaire (2 $ par persnne et par jur), traduit le niveau élevé des prix à Djibuti et sn incidence sur les cnditins de vie des ménages. Ainsi, la pauvreté mnétaire est engendrée par une insuffisance de revenus et un faible puvir d achat dans un cntexte frtement marqué par une crise du marché du travail. (DSR-2004) (Extrait : EDAM-IS2-2002) Les résultats de l enquêtes EDAM-IS-2002 mntrent que l incidence de la pauvreté, entre 996 et 2002, est passée de 3 45,% à 74,0% pur les pauvres relatifst2f de 9,6% à 42,% pur les pauvres extrêmes. Il se truve que la pauvreté est un phénmène généralisé qui affecte tutes les znes gégraphiques et tutes les catégries sciales. Les quartiers périphériques des znes urbaines hébergent la plus grande partie cncentratin des pauvres, tandis que les jeunes et les femmes cnstituent les cuches les plus vulnérables de la ppulatin. L incidence de la pauvreté est particulièrement élevée en zne rurale ù près de 97% des ménages snt pauvres dnt 83% extrêmement pauvres. ar ailleurs, une étude réalisée auprès des ménages ruraux en 2005 par le AM a mntré que l insécurité alimentaire et la vulnérabilité existent dans tus les districts. Les résultats indiquent que 49% des ménages enquêtés snt vulnérables, parmi lesquels 3,3% snt cnsidérés cmme très vulnérables à l insécurité alimentaire. Les principaux résultats macrécnmiques btenus sur la péride nt été les suivants : i) une inflatin mdérée avec un taux de crissance myen annuel de l indice des prix à la cnsmmatin (IC) d envirn 3% ; ii) une légère hausse de crissance écnmique mais demeurant insuffisante par rapprt au taux de crissance du revenu par habitant. Le pays a en effet enregistré un taux de crissance myen du IB réel d envirn 2,5% (passant de 0,7% en 2000 à 3,2% en 2004). 2 première évaluatin de la pauvreté a été réalisée en 996, suite à l enquête sur les habitudes des cnsmmatins des ménages (EDAM ). La deuxième Enquête Djibutienne auprès des Ménages - Indicateurs Sciaux (EDAM-IS2), a été réalisée en 2002 par le Guvernement avec l assistance des partenaires au dévelppement.. 3 encadré définitin et mesure de la pauvreté Bilan Cmmun de ays CCA République de Djibuti 6

17 T T T T Il T Les T Les T inscrits Réalisatins Cmpte tenu de sn ampleur et de sa prfndeur, la pauvreté à Djibuti n est pas seulement un prblème scial mais cnstitue un véritable défi de dévelppement. La mise en place d un cadre stratégie de lutte cntre la pauvreté (CSL), principale initiative de plitique générale du pays, répnd à cet enjeu. Il s articule autur de quatre axes : i) la relance de la crissance écnmique et renfrcement de la cmpétitivité ; ii) la prmtin du dévelppement prgressif des ressurces humaines, du rôle de la femme, de l empli et des activités génératrices de revenus ; iii) le dévelppement lcal durable et l améliratin de l accès à l eau ptable et aux services universels de base ; iv) la prmtin de la bnne guvernance. Cette stratégie ne peut être matérialisée que dans le cntexte d une crissance écnmique puvant garantir un meilleur accès des pauvres aux services sciaux de base, et d accumulatin du capital humain en vue de réduire durablement la pauvreté et le chômage. Mais la plitique de crissance écnmique est cnditinnée par l assainissement du cadre macr-écnmique à travers la pursuite du prgramme de stabilisatin budgétaire. Elle est également basée sur le rôle mteur que devra juer le secteur privé en termes d investissements et de créatin d emplis. La mise en œuvre du CSL nécessitant la mbilisatin d imprtantes ressurces extérieures pur la réalisatin des prgrammes d actins sectriels, les autrités djibutiennes 4 nt rganisé les 29 et 30 nvembre 2005, une réunin du grupe de crdinatin des institutins financières arabest3f T. Ces dernières nt marqué leur dispnibilité à mettre à la dispsitin de Djibuti les financements nécessaires aux 5 différents prjetst4f dans le cadre du prgramme de dévelppement écnmique et scial sur la péride ar ailleurs, le Guvernement a récemment adpté des stratégies sectrielles ntamment dans les dmaines de l éducatin, de la santé, de l intégratin de la femme et a augmenté la part du budget cnsacrée aux secteurs sciaux 6 priritairest5f T. Les puvirs publics nt également initié ces dernières années des prgrammes ciblés en faveur des cuches vulnérables et des znes à frte incidence de pauvreté (micr-crédits, travaux à haute intensité de main d œuvre ). De plus, des prgrammes de rapatriement vlntaire des réfugiés et déplacés, des pératins de distributin de vivres aux ppulatins en situatin de crises alimentaires et le prgramme «vivres cntre travail» nt été mis en place dans les znes à risque en cllabratin avec les partenaires au dévelppement. 4 s agit de la Banque Islamique de Dévelppement, du Fnds Arabe pur le Dévelppement Ecnmique et Scial, du Fnds Saudien de Dévelppement et du Fnds Kweitien de Dévelppement. 5 prjets cncernent les secteurs suivants : éducatin, santé habitat scial, énergie, eau, assainissement, infrastructures rutières, élevage. Les financements des institutins financières arabes snt évalués à près de 370 millins de dllars US. 6 dépenses sciales (éducatin, santé, eau et assainissement) se snt accrues de 4% du IB en 2000 à 6% en Bilan Cmmun de ays CCA République de Djibuti 7

18 T T T Le T L enquête T indique Défis La persistance de la pauvreté à Djibuti tient principalement à plusieurs facteurs : le chômage, les cnflits, les cnditins climatiques, l accès limité aux services sciaux de base, la structure de l écnmie natinale, la faiblesse de la crissance et les inégalités dans la répartitin des richesses. L accrissement de la pauvreté est frtement asscié au dévelppement du UchômageU. Les résultats de l EDAM-IS2 révèlent une véritable crise du marché du travail, avec un taux de chômage de 59,5%, en frte crissance par rapprt à sn niveau de 996 (44,%). Les taux de chômage snt plus élevés pur les femmes (68,5%) que pur les hmmes 7 (54,5%) en Le chômage cncerne particulièrement les pauvres extrêmes (67,5%) u relatifs (55,7%)T6F T, et les jeunes de mins de 30 ans. Seln l étude du Bureau Internatinal du Travail (BIT) réalisée en 2004, le taux de chômage frappe plus de sept persnnes actives sur dix chez les mins de 24 ans, et n bserve que 63% des chômeurs nt entre 2 et 29 ans, tandis que 45,5% appartiennent à la classe d âge des 2-24 ans. De plus, l enquête mntre que la ppulatin des chômeurs englbe 85,4% de persnnes n ayant jamais travaillé. Cette situatin résulte de la décélératin de l ffre d empli (faible crissance écnmique, cût des facteurs élevé, faibles qualificatins de la main d œuvre), de l inadéquatin empli/frmatin et du rythme sutenu de l évlutin de la ppulatin active ntamment sus l effet des pressins migratires. Les Ucnflits uvertsu et l instabilité plitique dans la régin, ainsi que le cnflit interne nt eu cmme cnséquence les déplacements de ppulatins et l afflux massif de réfugiés. A Djibuti, les flux migratires nt eu cmme crllaire une frte pressin sur les structures sciales de base accentuant leur dégradatin. UL aridité du climat Uaidant, la République de Djibuti a été cnfrntée ces dernières années à des cycles de sécheresse récurrents qui nt réduit les ressurces naturelles (perte du cheptel, assèchement des pints d eau, dégradatin des pâturages) et fragilisé le mde de vie nmade, accélérant le phénmène de l exde rural. La pauvreté se caractérise principalement par Ules difficultés d accès aux services sciaux de base.u Le système éducatif djibutien cntinue de se heurter à des inégalités d accès à l instructin seln le genre et le niveau de vie des ménages en raisn des capacités d accueil relativement limitées et de la faiblesse des revenus permanents. Même si la cuverture sanitaire apparaît satisfaisante, n bserve de grandes disparités dans l accès aux structures publiques de santé, ntamment entre la capitale et le reste du pays. Les principales difficultés entravant le recurs aux sins sanitaires semblent être le manque d argent et la distance du centre de santé. La pauvreté s explique fndamentalement par une Uinsuffisance des ressurces financièresu. Sur la base des dnnées de l EDAM-IS2, la dynamique de la pauvreté est étritement liée au rythme de la crissance écnmique et aux mesures de 8 plitique écnmique. De plus l aggravatin des inégalitést7f que les mécanismes de redistributin et de prtectin, à travers la dépense publique, nt été inefficaces et nt limité cnsidérablement l impact des prgrammes écnmiques et sciaux du pays. Causes ULes causes immédiatesu de l aggravatin de la pauvreté snt principalement : i) les effets des plitiques d ajustement structurel ; ii) la faiblesse de l activité écnmique ; iii) la rareté des pprtunités d emplis ; iv) la faible dtatin en infrastructures de base ; v) l exde rural et les flux migratires. ULes causes sus-jacentesu résultent de : i) l insuffisance des ressurces financières ; ii) l absence de qualificatin de la main d œuvre ; iii) faibles capacités du secteur privé ; iv) l extrême précarité des ppulatins rurales, des réfugiés et des persnnes déplacées. ULes causes prfndesu snt essentiellement : i) la faible capacité des décideurs à cncevir et mettre en œuvre des plitiques et stratégies adaptées ; ii) les cûts de facteurs de prductin élevés ; iii) les pesanteurs sciculturelles ; iv) la dureté des cnditins climatiques ; v) l insuffisance des investissements. 7 taux de chômage déclaré pur les familles nn pauvres s élève à 38,9% en EDAM-IS2 révèle que 20% des ménages les plus pauvres (er quintile) nt des dépenses myennes par équivalent adulte, 5 fis mins élevées que les 20% nn pauvres (5ème quintile). Bilan Cmmun de ays CCA République de Djibuti 8

19 Lacunes de capacités des ayants drits et des ayants devirs Les Utitulaires des drits Uu ayants drits snt Ules enfants, les femmes, les persnnes âgées, les sans-empli, les jeunes inactifs, les ppulatins des znes rurales et périurbaines, les réfugiés et les déplacés.u Ils nt pur rôles de : i) participer à l améliratin de leurs cnditins de vie ; ii) exiger la mise en place de cnditins favrables à l améliratin de leurs cnditins de vie et de travail ; iii) revendiquer l accès et l égalité de chance sans discriminatin, à l empli, à une éducatin qualifiante et à des sins apprpriés. Mais ils ne peuvent juer pleinement leur rôle par manque d infrmatin sur leurs drits et sur l bligatin des puvirs publics de mettre à leur dispsitin des services publics de qualité, à mindre cût. De plus, la capacité des ayants drits est limitée par leur extrême situatin de précarité (manque de ressurces matérielles et financières). ULes détenteurs d bligatins u ayants devirs snt respectivement l Etat, le secteur privé, les cmmunautés, la sciété civile et les partenaires au dévelppementu. Ils nt pur rôles de : i) assurer un accueil et des services de qualité aux cuches les plus vulnérables de la ppulatin ; ii) mettre en place un envirnnement prpice à la créatin d emplis ; iii) sensibiliser les ppulatins à leurs drits en matière d accès aux services publics ; iv) créer des emplis ; v) élabrer et de mettre en place des plitiques adaptées à la lutte cntre la pauvreté ; vi) de créer les cnditins d un accès équitable aux services publics ; vii) mbiliser les ressurces nécessaires. Mais, les puvirs publics snt handicapés dans leurs actins par l insuffisance des capacités matérielles, humaines et financières. Quant aux capacités et cmpétences des cmmunautés et des rganisatins de la sciété civile, elles demeurent faibles, et la crdinatin des interventins et la mbilisatin des ressurces de la part des partenaires au dévelppement restent encre insuffisante Envirnnement Cette thématique vise à assurer un envirnnement sain et durable, UObjectif 7 du Millénaire pur le DévelppementU qui vise à réduire de mitié d ici à 205 le purcentage de la ppulatin qui n a pas accès de façn durable à un apprvisinnement en eau ptable d une part, et à amélirer sensiblement d ici à 2020 la vie des habitants des taudis d autre part, dans le respect des drits humains dnt le drit à un envirnnement sain et durable, le drit aux services sciaux de base, le drit à un égal accès aux services publics natinaux, le drit à un lgement cnvenable, etc. «Assurer les actins qui visent à cntribuer à l améliratin du cadre de vie des djibutiens ; cntenir et gérer la crissance urbaine ; s engager dans une plitique de sensibilisatin qui permette de créer et d entretenir un réflexe de prpreté et d hygiène individuelle et cllective chez les djibutiens de tus âges et de tutes cnditins sciécnmiques ; mettre en œuvre la phase 2 de l assainissement de la capitale et l installatin d incinérateurs d rdures ménagères dans chaque chef lieu des districts ; prendre les dispsitins nécessaires pur cnslider au sein d un partenariat dynamique les assciatins de la sciété civile». (Extrait de la Feuille de rute du résident de la République mai 2005) Bilan Cmmun de ays CCA République de Djibuti 9

20 T T lus Situatin et tendances UL apprvisinnement en eau ptableu demeure un prblème majeur à Djibuti. Seln les dnnées de l EDIM-2006, les utilisateurs de surces d eau ptable amélirées s apprvisinnent à l un des types de surces suivantes ; eau curante, fntaine publique, frage /pmpe à eau, puits prtégé, surce prtégée u eau de pluie. Au ttal, 95,6% de la ppulatin nt accès à une surce d eau ptable amélirée, avec 97,4% en zne urbaine et 52,5% en zne rurale. Il existe par cnséquent de frtes disparités d accès entre le milieu urbain et le milieu rural. La situatin est cependant critique dans la capitale pur laquelle la prductin ne cuvre plus que 75% des besins 3 9 estimés à près de 20 millins de m /an, tandis que les taux de salinité dépassent largement les nrmes de l OMST8F T. Les mdalités d apprvisinnement en eau salubre snt variables d une zne à l autre. 40% des ménages utilisent l eau de rbinet dans le lgement cmme surce d apprvisinnement en eau ptable, 39% d entre eux utilisent l eau de rbinet dans la cur et 5% l eau d un rbinet public. L Etat cntinue à prendre en charge seul la gestin des uvrages hydrauliques. A nter que les seules surces d eau dispnibles snt les nappes suterraines et les sus éculements des ueds, qui subissent les cntraintes de l aridité du climat, de la faiblesse de la pluvimétrie et des remntées du biseau salé issu du visinage de la mer. ULe prblème de l assainissementu est l une des principales menaces envirnnementales pur le pays et plus particulièrement pur la capitale qui cncentre 68% de la ppulatin ttale. Les résultats d EDIM-2006 révèlent cependant que 65,9% des ménages vivent dans des maisns équipées d installatins sanitaires amélirées, sit 67,8% en zne urbaine et 8,8% en zne rurale. Le district de résidence est un des déterminants de l utilisatin de sanitaire pur l éliminatin des excréments. Ils spnt 67% à Djibuti-ville et 59,8% dans les autres districts. La ppulatin de la ville de Djibuti est essentiellement raccrdée à un système individuel de type latrines sèches et fsses septiques, 75% en assainissement individuel et seulement 25% en assainissement cllectif. Le dévelppement du secteur de l assainissement (liquide et slide) est marqué par une série de cntraintes entravant sn dévelppement ntamment la faiblesse du cadre institutinnel préalable à la mise en place des infrastructures, et l'absence u l'inadéquatin du système de recuvrement des cûts, indispensables pur l'explitatin et la pérennisatin des équipements. Seln l EDAM-IS 2002, 62% des déchets slides prduits qutidiennement snt directement mis à la décharge sans tri ni traitement préalable, ce qui représentent un prblème majeur à Djibuti. Les principales menaces pur la ressurce en eau salubre émanent du dévelppement de l habitat cllectif en périphérie de la ville, ntamment à Balbala, qui peut entraîner une infiltratin des eaux usées dans la nappe suterraine si un dispsitif d assainissement n est pas en place. Les dysfnctinnements du réseau de cllecte d eaux usées ccasinnent différents risques sanitaires. Les canaux d eaux pluviales recevant une frte prprtin d eaux usées snt surces de risques d autant plus imprtants qu ils snt prches des quartiers habités. En dépit des effrts imprtants engagés, les principaux centres urbains du pays, ntamment Djibuti-ville, enregistrent une expansin rapide de Uznes d habitatsu précaires, dans lesquelles l accès aux infrastructures de base demeure très insuffisant. Les ppulatins flttantes participent à la dégradatin des équipements publics insuffisants et surexplités et de l envirnnement urbain. Les résultats de l enquête EDSF/AFAM-2002 mntrent que près de 65% des ménages urbains vivent dans les taudis, alrs que la majrité des ruraux et nmades (93,9%) lgent dans des tukuls u tentes traditinnelles. La prgressin cnstante des ppulatins urbaines (3% par an) et la faible capacité de répnse en terrains viabilisés et aménagés génèrent la prlifératin des ccupatins illicites et précaires. Les cûts de cnstructin étant élevés (prépndérance de matériaux imprtés et cût élevé de la main d œuvre), la faible capacité d épargne des ménages et l absence de mde de financement adapté entravent sérieusement le dévelppement du secteur du lgement qui demeure tujurs précaire. Seln le rapprt sur le dévelppement humain de l an 2000, seulement 34% de lgements snt en dur et seuls 50% des ménages snt prpriétaires de lgement qu ils ccupent. La Udégradatin prgressive des sls et du cuvert végétalu cnstitue également une menace réelle cntre l envirnnement. La rareté des pints d eaux cnjuguée aux frtes pressins exercées par l hmme sur l envirnnement (débisement, surpâturage) abutissent à la désertificatin du milieu rural. Le phénmène de désertificatin tuche près de 90% du territire natinal et plus particulièrement les znes côtières qui regrupent plus de 70% de la ppulatin djibutienne. De même, la disparitin u la régressin de la cuverture végétale aggravent les phénmènes des érsins hydrique et élienne. La détériratin du cuvert végétal est accentuée par l actin de l hmme et se traduit par la destructin intense de l unique frêt du pays (Day). Les Uressurces naturelles énergétiquesu étant limitées, le secteur de l énergie est frtement tributaire des imprtatins des prduits pétrliers. Dans un cntexte de prix pétrliers élevés au niveau mndial, les difficultés d urbanisatin dans les znes d extensin de la capitale renchérissent le cût de la distributin et limitent l accès de l électricité aux ppulatins les plus défavrisées. La cuverture de la ppulatin en électricité est de 40,4% d après les dnnées de l enquête EDAM- Energie réalisée en 2004 (54% en milieu urbain et 0,2% en milieu rural). ur les besins de la cuisine, une grande majrité de la ppulatin a recurt au kérsène et à d autres frmes énergétiques, ntamment le bis de chauffe. 9 de la mitié des frages enregistrent une teneur inquiétante en chlrures supérieure à 900 mg/l, allant jusqu à dépasser.200 mg/l, sit six fis la nrme OMS suhaitable. Bilan Cmmun de ays CCA République de Djibuti 20

Programme Eau, Climat et Développement pour l'afrique. Termes de référence pour le recrutement d un Expert Socio/agro-économiste

Programme Eau, Climat et Développement pour l'afrique. Termes de référence pour le recrutement d un Expert Socio/agro-économiste Prgramme Eau, Climat et Dévelppement pur l'afrique Termes de référence pur le recrutement d un Expert Sci/agr-écnmiste Dans le cadre de l élabratin de l étude sur l intégratin des impacts du changement

Plus en détail

Communication pour le changement social

Communication pour le changement social INFORMATION TECHNIQUE ESSENTIELLE ASSISTANCE POUR TECHNIQUE L ELABORATION DES PROPOSITIONS Cmmunicatin pur le changement scial La cmmunicatin est un élément essentiel des effrts de préventin, de traitement

Plus en détail

Fiche programme Bureau Aquitaine Europe. Le programme Jeunesse en action 2007 2013. Jeunesse

Fiche programme Bureau Aquitaine Europe. Le programme Jeunesse en action 2007 2013. Jeunesse Fiche prgramme Bureau Aquitaine Eurpe Le prgramme Jeunesse en actin 2007 2013 Jeunesse Le prgramme eurpéen Jeunesse en Actin sutient des prjets à but nn lucratif à l intentin de jeunes âgés de 15 à 28

Plus en détail

Chap I : Economie d'entreprises

Chap I : Economie d'entreprises Chap I : Ecnmie d'entreprises Au sens large, le terme entreprise s'utilise pur des prjets uniques mais d'apparence risquée u difficile (par exemple, un grand vyage u une recherche scientifique), car il

Plus en détail

Pour répondre au besoin de sécurité juridique et de prévisibilité, la Loi type devrait traiter des questions suivantes:

Pour répondre au besoin de sécurité juridique et de prévisibilité, la Loi type devrait traiter des questions suivantes: Descriptin de la prpsitin du Canada cncernant l élabratin d une Li type sur les règles de cmpétence et de cnflits de lis en matière de cntrats de cnsmmatin dans le cadre de la CIDIP-VII Dans le cadre de

Plus en détail

Enquête Sectorielle 2010 ANALYSE DU PRET INDIVIDUEL ET DE L ENDETTEMENT CROISE

Enquête Sectorielle 2010 ANALYSE DU PRET INDIVIDUEL ET DE L ENDETTEMENT CROISE Enquête Sectrielle 2010 ANALYSE DU PRET INDIVIDUEL ET DE L ENDETTEMENT CROISE Janvier 2011 SOMMAIRE SYNTHESE... 3 METHODOLOGIE... 4 A. SITUATION DU SECTEUR DE LA MICROFINANCE A L INTERNATIONAL... 5 B.

Plus en détail

Qualité et équité de l éducation biculturelle du département de Puno Pérou

Qualité et équité de l éducation biculturelle du département de Puno Pérou Qualité et équité de l éducatin biculturelle du département de Pun Péru 1. Lcalisatin Le prjet se dérule dans les villes de Pun et Azangar, sur les rives du lac Titicaca, dans le département de Pun, au

Plus en détail

Réforme de la politique de la ville «quartiers, engageons le changement»

Réforme de la politique de la ville «quartiers, engageons le changement» Réfrme de la plitique de la ville «quartiers, engagens le changement» Prpsitins pur une plitique glbale et ambitieuse de slidarité territriale - Janvier 2013 - Page 1 Analyse cntextuelle C est dans les

Plus en détail

Fiche de projet pour les institutions publiques

Fiche de projet pour les institutions publiques Fiche de prjet pur les institutins publiques Infrmatins pratiques Nm de l institutin publique ayant intrduit le prjet: SPF Technlgie de l'infrmatin et de la Cmmunicatin (Fedict). Nm du prjet : egv Mnitr

Plus en détail

Consultation : Soutien à la réalisation du plan de communication du Pôle PASS

Consultation : Soutien à la réalisation du plan de communication du Pôle PASS Cnsultatin : Sutien à la réalisatin du plan de cmmunicatin du Pôle PASS Page 1 1 > INTRODUCTION 1.1 > PRESENTATION DES ACTEURS Le Pôle de cmpétitivité Parfums Arômes Senteurs Saveurs (PASS) représente

Plus en détail

Recommandations de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain au gouvernement du Canada en vue du budget fédéral 2016

Recommandations de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain au gouvernement du Canada en vue du budget fédéral 2016 Recmmandatins de la Chambre de cmmerce du Mntréal métrplitain au guvernement du Canada en vue du budget fédéral 2016 Juillet 2015 1 Préambule La Chambre de cmmerce du Mntréal métrplitain (la Chambre) cmpte

Plus en détail

Sociétés Non Financières - taux endettement - % PIB, valeur nominale

Sociétés Non Financières - taux endettement - % PIB, valeur nominale T1 1999 T4 1999 T3 2000 T2 2001 T1 2002 T4 2002 T3 2003 T2 2004 T1 2005 T4 2005 T3 2006 T2 2007 T1 2008 T4 2008 T3 2009 T2 2010 T1 2011 T4 2011 T3 2012 T2 2013 Accmpagner le muvement de désintermédiatin

Plus en détail

DSP compétences professionnelles région NPC Groupe de travail n 1

DSP compétences professionnelles région NPC Groupe de travail n 1 DSP cmpétences prfessinnelles régin NPC Grupe de travail n 1 Identificatin des mdalités de mise en œuvre pératinnelle par les pérateurs futurs délégataires Questin : Eléments de répnse Exemples : 2 Faciliter

Plus en détail

Terrain de jeu Analogie au sport professionnel

Terrain de jeu Analogie au sport professionnel Terrain de jeu Analgie au sprt prfessinnel USO : US Oynnax Rugby : management dans le sprt Le 9 décembre 2009, Olivier Nier, entraîneur de l USO, Pr D2 de rugby, réalisait dans le cadre d une cnférence

Plus en détail

Chap 10 : L évaluation et la valorisation du potentiel de l équipe commerciale

Chap 10 : L évaluation et la valorisation du potentiel de l équipe commerciale Chap 10 : L évaluatin et la valrisatin du ptentiel de l équipe cmmerciale I. L évaluatin du ptentiel de l équipe A. Les enjeux de l évaluatin Les enjeux : Pur l évaluateur : Faire le bilan de l année :

Plus en détail

Manuel des coordonnateurs sur la protection de l enfant en situation d urgence GROUPE DE TRAVAIL SUR LA PROTECTION DE L ENFANT

Manuel des coordonnateurs sur la protection de l enfant en situation d urgence GROUPE DE TRAVAIL SUR LA PROTECTION DE L ENFANT Manuel des crdnnateurs sur la prtectin de l enfant en situatin d urgence GROUPE DE TRAVAIL SUR LA PROTECTION DE L ENFANT 2011 Manuel des crdnnateurs sur la prtectin de l enfant en situatin d urgence PRÉFACE

Plus en détail

Obligations des employeurs par seuils d effectifs de l entreprise. Toutes entreprises confondues

Obligations des employeurs par seuils d effectifs de l entreprise. Toutes entreprises confondues Obligatins des emplyeurs par seuils d effectifs de l entreprise Tutes entreprises cnfndues Affichages bligatires Déclaratin et cmmunicatin à caractère péridique : Déclaratins et cmmunicatins à caractère

Plus en détail

INC Retraite 6 mai 2015. Actualités des Missions Réseau Déléguées

INC Retraite 6 mai 2015. Actualités des Missions Réseau Déléguées INC Retraite 6 mai 2015 Actualités des Missins Réseau Déléguées Enjeux: Les missins réseau déléguées : un nuveau levier pur ptimiser Amélirer la maîtrise des acticités Maintenir la cntinuité de service,

Plus en détail

Le dispositif de qualification OPQIBI pour les audits énergétiques (réglementaires)

Le dispositif de qualification OPQIBI pour les audits énergétiques (réglementaires) Le dispsitif de qualificatin OPQIBI pur les audits énergétiques (réglementaires) (01/12/14) 1. Rappel du cntexte réglementaire Depuis le 1 er juillet 2014, cnfrmément à la Li n 2013-619 du 16 juillet 2013

Plus en détail

Les prix de l électricité en France : évolutions passées et perspectives

Les prix de l électricité en France : évolutions passées et perspectives Les prix de l électricité en France : évlutins passées et perspectives A l heure ù la Cmmissin Eurpéenne vient de publier un rapprt cmplet sur les prix de l énergie en Eurpe, présentant leur évlutin sur

Plus en détail

Fiche sur les assurances nécessaires lors d un séjour à l étranger

Fiche sur les assurances nécessaires lors d un séjour à l étranger Fiche sur les assurances nécessaires lrs d un séjur à l étranger Préambule Cette fiche cncerne les assurances nécessaires lrs d un séjur à l étranger. En effet, Éducatin internatinale cnsidère maintenant

Plus en détail

Comment s impliquer dans un projet éolien?

Comment s impliquer dans un projet éolien? Cmment s impliquer dans un prjet élien? Implicatin lcale dans l'élien - Attert 1 élien participatif : implicatin des cityens Cmment s impliquer? S infrmer : Le plus en amnt pssible RIP, enquête publique,

Plus en détail

Logisticien Responsable Construction H/F Guinée Conakry

Logisticien Responsable Construction H/F Guinée Conakry C Lgisticien Respnsable Cnstructin H/F Guinée Cnakry L ASSOCIATION ALIMA The Alliance fr Internatinal Medical Actin (ALIMA) est une rganisatin médicale internatinale, fndée en 2009. ALIMA a pur bjectif

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES Consultation expert en investissement participatif

CAHIER DES CHARGES Consultation expert en investissement participatif CAHIER DES CHARGES Cnsultatin expert en investissement participatif Date de publicatin : 06/04/2014 Date de reprt des candidatures : 10/01/2014 à 13h00 Le présent cahier des charges a pur bjet une missin

Plus en détail

OO : Développer le secteur de la transformation alimentaire durable

OO : Développer le secteur de la transformation alimentaire durable Enjeux OO : Dévelpper le secteur de la transfrmatin alimentaire Envirnnementaux - Prpser des aliments s transfrmés aux cnsmmateurs : augmenter l ffre pur diminuer l impact envirnnemental de la cnsmmatin

Plus en détail

Locallife Leader de l édition d annuaires locaux en ligne, Présent en France depuis octobre 2008

Locallife Leader de l édition d annuaires locaux en ligne, Présent en France depuis octobre 2008 Paris, Nvembre 2008 Lcallife Leader de l éditin d annuaires lcaux en ligne, Présent en France depuis ctbre 2008 Dssier de Presse Lcallife en bref La recherche d infrmatins lcales et le référencement naturel

Plus en détail

Marché public de prestations intellectuelles ETUDE PRELIMINAIRE DANS LE CADRE DE LA CONSTRUCTION D UNE DECHETERIE A PLAISANCE DU TOUCH (31)

Marché public de prestations intellectuelles ETUDE PRELIMINAIRE DANS LE CADRE DE LA CONSTRUCTION D UNE DECHETERIE A PLAISANCE DU TOUCH (31) Syndicat Mixte DECOSET 6 bis avenue des Pyrénées BP 39 31242 L Unin Cedex Tel : 05.62.89.03.41 Fax : 05.62.89.03.40 Curriel : cntact@decset.fr Marché public de prestatins intellectuelles ETUDE PRELIMINAIRE

Plus en détail

I - P R E A M B U L E

I - P R E A M B U L E I - P R E A M B U L E La SIDI a achevé, fin 2008, la mise en œuvre de sn plan triennal 2006/2008, dans le cadre duquel elle s était fixée cmme prirités de cibler le mnde rural, en particulier sur le cntinent

Plus en détail

PRATIQUES D AFFAIRES APPLICABLES AUX TIERS

PRATIQUES D AFFAIRES APPLICABLES AUX TIERS PRATIQUES D AFFAIRES APPLICABLES AUX TIERS Guide d intégrité dans la cnduite des affaires Plitiques glbales Service Éthique & Cnfrmité La relatin de bimérieux avec ses partenaires Chez bimérieux, nus

Plus en détail

VERSION au 09 01 2014. Projet du CNOSF pour le sport français. Une ambition : «Passer d une nation de sportifs à une nation sportive»

VERSION au 09 01 2014. Projet du CNOSF pour le sport français. Une ambition : «Passer d une nation de sportifs à une nation sportive» VERSION au 09 01 2014 Prjet du CNOSF pur le sprt français Une ambitin : «Passer d une natin de sprtifs à une natin sprtive» Une clé : «Rénver le mdèle sprtif français» Faire du sprt un élément central

Plus en détail

- 07 - LE TABLEAU DE BORD REMONTEE DES COMPTES. Outils de gestion prévisionnelle, d'analyse financière et du contrôle de gestion. TABLE DES MATIERES

- 07 - LE TABLEAU DE BORD REMONTEE DES COMPTES. Outils de gestion prévisionnelle, d'analyse financière et du contrôle de gestion. TABLE DES MATIERES - 07 - LE TABLEAU DE BORD REMONTEE DES COMPTES Objectif(s) : Pré requis : Mdalités : Présentatin du tableau de brd, Principes de la remntée des cmptes. Outils de gestin prévisinnelle, d'analyse financière

Plus en détail

Développement Durable et Énergies Renouvelables

Développement Durable et Énergies Renouvelables Dévelppement Durable et Énergies Renuvelables Vus êtes artisan, cmmerçant, prfessin libérale, rganisme de lgements sciaux, cllectivité lcale, assciatin, entreprise, agriculteur, prpriétaire de lcaux prfessinnels

Plus en détail

POLITIQUE DE REMUNERATION

POLITIQUE DE REMUNERATION ASSET MANAGEMENT POLITIQUE DE REMUNERATION (UCITS ET AIF) INTRODUCTION En applicatin avec les textes suivants : En tant que sciété de gestin de fnds UCITS Règlement CSSF 10-4 prtant transpsitin de la directive

Plus en détail

DANS LE CADRE DE L ENTENTE SPÉCIFIQUE POUR LA CONSOLIDATION ET LE DÉVELOPPEMENT DES ENTREPRISES D ÉCONOMIE SOCIALE DU CENTRE-DU-QUÉBEC

DANS LE CADRE DE L ENTENTE SPÉCIFIQUE POUR LA CONSOLIDATION ET LE DÉVELOPPEMENT DES ENTREPRISES D ÉCONOMIE SOCIALE DU CENTRE-DU-QUÉBEC AVIS ET RECOMMANDATIONS DANS LE CADRE DE L ENTENTE SPÉCIFIQUE POUR LA CONSOLIDATION ET LE DÉVELOPPEMENT DES ENTREPRISES D ÉCONOMIE SOCIALE DU CENTRE-DU-QUÉBEC Le COMITÉ RÉGIONAL D ÉCONOMIE SOCIALE DU CENTRE-DU-QUÉBEC

Plus en détail

FOCUS : LES SYSTÈMES D INFORMATION

FOCUS : LES SYSTÈMES D INFORMATION Une autre apprche pur un enjeu stratégique Les systèmes d infrmatin, qui innervent l entreprise et qui impactent de manière sensible sn fnctinnement, cnstituent encre suvent un dmaine «réservé aux experts»,

Plus en détail

Impact des réformes financières en cours dans le monde bancaire. Olivier Motte - Public Affairs 12 juillet 2010

Impact des réformes financières en cours dans le monde bancaire. Olivier Motte - Public Affairs 12 juillet 2010 Impact des réfrmes financières en curs dans le mnde bancaire Olivier Mtte - Public Affairs 12 juillet 2010 1. Un nuveau cadre institutinnel Internatinal G 20 (puvirs exécutifs) + Cnseil de Stabilité Financière

Plus en détail

Charte de l Association Suisse de Portage des Bébés (ASPB)

Charte de l Association Suisse de Portage des Bébés (ASPB) Charte de l Assciatin Suisse de Prtage des Bébés (ASPB) 1. Rôle et missin L ASPB est une assciatin à but nn lucratif et indépendante de tutes marques,qui suhaite prmuvir un prtage respectueux du dévelppement

Plus en détail

Approche générale de l OCRCVM pour l évaluation des risques de crédit liés aux contreparties

Approche générale de l OCRCVM pour l évaluation des risques de crédit liés aux contreparties Avis sur les règles Appel à cmmentaires Règles des curtiers membres Persnne-ressurce : Richard J. Crner Vice-président à la plitique de réglementatin des membres 416 943-6908 rcrner@iirc.ca Destinataires

Plus en détail

COMPAGNIE GENERALE DES ETABLISSEMENTS MICHELIN Information financière au 31 décembre 2013

COMPAGNIE GENERALE DES ETABLISSEMENTS MICHELIN Information financière au 31 décembre 2013 INFORMATION PRESSE Clermnt-Ferrand, le 11 février 2014 COMPAGNIE GENERALE DES ETABLISSEMENTS MICHELIN Infrmatin financière au 31 décembre 2013 2013 : Très frte génératin de Cash flw libre, à 1 154 millins

Plus en détail

Changement de régime fiscal des Mutuelles et des IP : remarques d ordre actuariel

Changement de régime fiscal des Mutuelles et des IP : remarques d ordre actuariel Changement de régime fiscal des Mutuelles et des IP : remarques d rdre actuariel Jurnées d études du SACEI et de l IA Deauville, jeudi 20 septembre 2012 Nrbert Gautrn ngautrn@galea-asscies.eu Smmaire 1.

Plus en détail

Données macroéconomiques. Brève description du Burundi.

Données macroéconomiques. Brève description du Burundi. 1 Brève descriptin du Burundi. Le Burundi est situé dans la régin des Grands Lacs dans la zne intertrpicale entre l équateur et le trpique du capricrne.il est limité par la Tanzanie au sud et à l est,

Plus en détail

A toutes les Directrices et à tous les Directeurs des établissements scolaires de l enseignement secondaire et secondaire technique

A toutes les Directrices et à tous les Directeurs des établissements scolaires de l enseignement secondaire et secondaire technique SERVICE INFORMATIQUE Luxemburg, le 20 ctbre 2010 Référence: SI/DW/101020 A tutes les Directrices et à tus les Directeurs des établissements sclaires de l enseignement secndaire et secndaire technique Cncerne:

Plus en détail

RENOUVELLEMENT DU BUREAU D'ÉCOLO J APPEL À CANDIDATURES

RENOUVELLEMENT DU BUREAU D'ÉCOLO J APPEL À CANDIDATURES RENOUVELLEMENT DU BUREAU D'ÉCOLO J APPEL À CANDIDATURES Le Kern et une partie des membres du bureau d écl j arrivent à la fin de leur mandat de 2 ans. Nus smmes dnc à la recherche d une nuvelle équipe,

Plus en détail

Projet «Pour une Europe sociale, apprenons la MOC»

Projet «Pour une Europe sociale, apprenons la MOC» Prjet «Pur une Eurpe sciale, apprenns la MOC» Synthèse des échanges du cllectif cityen Plusieurs réunins nt eu lieu, entre juillet 2009 et juin 2010 en régin Nrd Pas de Calais, autur du prjet «Pur une

Plus en détail

Haut Conseil de la santé publique

Haut Conseil de la santé publique Haut Cnseil de la santé publique AVIS relatif à la vaccinatin par le vaccin pneumcccique cnjugué 11 décembre 2009 Vaccin pneumcccique cnjugué Un nuveau vaccin pneumcccique cnjugué (Prevenar 13 ), cmpsé

Plus en détail

PROJET DE CREATION ET DE MISE EN ŒUVRE D UN STANDARD RSE POUR LES INDUSTRIES EXTRACTIVES EN ZONE CEMAC

PROJET DE CREATION ET DE MISE EN ŒUVRE D UN STANDARD RSE POUR LES INDUSTRIES EXTRACTIVES EN ZONE CEMAC Prjet REMAP Prgramme de Renfrcement de la guvernance des Matières Premières en Afrique Centrale Bureau du Prjet à Bangui, Avenue des Martyrs B.P. 930 Bangui - République Centrafricaine PROJET DE CREATION

Plus en détail

REPUBLIQUE DE DJIBOUTI UNITE EGALITE - PAIX

REPUBLIQUE DE DJIBOUTI UNITE EGALITE - PAIX REPUBLIQUE DE DJIBOUTI UNITE EGALITE - PAIX SCHÉMA DIRECTEUR DE LA STATISTIQUE 2006-2010 Djibuti, Décembre 2005 Avant-Prps Partant du cnstat que le prcessus de l élabratin du Dcument Stratégique de Réductin

Plus en détail

Dossier de Presse. 1 ier guide Interactif pour créateurs et entrepreneurs

Dossier de Presse. 1 ier guide Interactif pour créateurs et entrepreneurs Dssier de Presse 1 ier guide Interactif pur créateurs et entrepreneurs «Une applicatin innvante accmpagnée par les leaders du marché» www.e-parcurs.fr (Micrsft, Gan Assurances, Cegid, Accr Services France,

Plus en détail

Proposition de Veille Internet Campagnes Electorales 2012

Proposition de Veille Internet Campagnes Electorales 2012 Prpsitin de Veille Internet Campagnes Electrales 2012 Pur tut savir sur ce que les respnsables plitiques, candidats à l électin Présidentielle, candidats aux électins législatives disent de vus et sur

Plus en détail

MINISTERE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTE

MINISTERE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTE MINISTERE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTE Directin générale de l ffre de sins Sus-directin de la régulatin de l ffre de sins Bureau du premier recurs (R2) Jcelyn Vidn-Buthin Tél. 01 40 56 64 86 jcelyn.vidn-buthin@sante.guv.fr

Plus en détail

"TSPM" «TENSTEP PROJECT MANAGER» ( * ) ACADEMIE TENSTEP USA GEORGIA FORMATEUR : Pr. Rodolfo CASABONNE D.G TENSTEP FRANCE

TSPM «TENSTEP PROJECT MANAGER» ( * ) ACADEMIE TENSTEP USA GEORGIA FORMATEUR : Pr. Rodolfo CASABONNE D.G TENSTEP FRANCE & ORGANISENT DU 29 NOVEMBRE AU 3 DECEMBRE 2010 UNE FORMATION EN GESTION DE PROJET ET UNE CERTIFICATION INTERNATIONALE : "TSPM" «TENSTEP PROJECT MANAGER» ( * ) ACADEMIE TENSTEP USA GEORGIA FORMATEUR : Pr.

Plus en détail

Vente de Capacités de Stockage de gaz du 13 mai 2015

Vente de Capacités de Stockage de gaz du 13 mai 2015 Vente de Capacités de Stckage de gaz Prduit & Quantité Prpsée SEDIANE NORD 120 90 JUIN 2015 1 TWh sur le Grupement Sediane Nrd. Type de prduit Capacité Nminale de Stckage : vlume dnnant drit à des capacités

Plus en détail

CONSEIL NATIONAL D ÉVALUATIONS DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE APPEL D OFFRES

CONSEIL NATIONAL D ÉVALUATIONS DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE APPEL D OFFRES Cnseil Natinal d Évaluatins de la Frmatin Prfessinnelle CONSEIL NATIONAL D ÉVALUATIONS DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE APPEL D OFFRES ÉVALUATION DES PRATIQUES D INGENIERIE DE FORMATION EN ENTREPRISE ET

Plus en détail

ÉCONOMIE SOCIALE ET POLITIQUES PUBLIQUES : LE CAS DU QUÉBEC

ÉCONOMIE SOCIALE ET POLITIQUES PUBLIQUES : LE CAS DU QUÉBEC ÉCONOMIE SOCIALE ET POLITIQUES PUBLIQUES : LE CAS DU QUÉBEC Marguerite Mendell, Université Cncrdia Nancy Neamtan, Chantier de l écnmie sciale Intrductin Au Québec, au curs de la dernière décennie, le muvement

Plus en détail

Utilisation de RAMSIS dans la conception automobile Lisa Denninger Apports et Limites des Mannequins Virtuels 18 Novembre 2014

Utilisation de RAMSIS dans la conception automobile Lisa Denninger Apports et Limites des Mannequins Virtuels 18 Novembre 2014 Utilisatin de RAMSIS dans la cnceptin autmbile Lisa Denninger Apprts et Limites des Mannequins Virtuels 18 Nvembre 2014 Préambule Prise en cmpte de l ergnmie dans la cnceptin autmbile Les marques Peuget,

Plus en détail

Document 10. Leadership du 21e siècle dans le Scoutisme

Document 10. Leadership du 21e siècle dans le Scoutisme Dcument 10 Leadership du 21e siècle dans le Scutisme Table des matières LEADERSHIP DU 21 e SIECLE DANS LE SCOUTISME 1 Résumé des activités du triennat 1 Dcument de réflexin (descriptin cmplète en page

Plus en détail

Project Portfolio Management

Project Portfolio Management Revue Cmparative des Référentiels en Prtfli Management PMI & MP Tls&Tip Frum 15 28 Janvier Mars 2013 Kickff 2013 - Management de prjet 3D Prject Prtfli Management Prject Prtfli Management Revue Cmparative

Plus en détail

INTRODUCTION AUX GRANDS PROBLEMES DE L ECOLOGIE

INTRODUCTION AUX GRANDS PROBLEMES DE L ECOLOGIE INTRODUCTION AUX GRANDS PROBLEMES DE L ECOLOGIE Plan : 1. Eclgie et Envirnnement Eclgie vs envirnnement Système Hmme envirnnement 2. Une planète dminée par l Hmme Effets des activités humaines Altératin

Plus en détail

POLITIQUE RELATIVE A LA SECURITE DE L INFORMATION

POLITIQUE RELATIVE A LA SECURITE DE L INFORMATION POLITIQUE RELATIVE A LA SECURITE DE L INFORMATION DIRECTION SYSTÈMES TECHNOLOGIQUES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION ADOPTÉE PAR LE CONSEIL D ADMINISTRATION LE 12 DÉCEMBRE 2014 PAR VOIE DE RÉSOLUTION NO 14

Plus en détail

CONVENTION DEPARTEMENTALE POUR LA LUTTE CONTRE LE TRAVAIL ILLEGAL DANS LE SECTEUR DU BATIMENT ET DES TRAVAUX PUBLICS DU DEPARTEMENT DE L ARDÈCHE

CONVENTION DEPARTEMENTALE POUR LA LUTTE CONTRE LE TRAVAIL ILLEGAL DANS LE SECTEUR DU BATIMENT ET DES TRAVAUX PUBLICS DU DEPARTEMENT DE L ARDÈCHE CONVENTION DEPARTEMENTALE POUR LA LUTTE CONTRE LE TRAVAIL ILLEGAL DANS LE SECTEUR DU BATIMENT ET DES TRAVAUX PUBLICS DU DEPARTEMENT DE L ARDÈCHE Le Préfet de l Ardèche, Le Prcureur de la République près

Plus en détail

CE QU IL FAUT RETENIR DE HITECHPROS UNE OPPORTUNITE POUR LES ACTEURS DU SECTEUR UN OBSERVATEUR PRIVILEGIE DU MARCHE

CE QU IL FAUT RETENIR DE HITECHPROS UNE OPPORTUNITE POUR LES ACTEURS DU SECTEUR UN OBSERVATEUR PRIVILEGIE DU MARCHE Décembre 2014 1 SOMMAIRE CE QU IL FAUT RETENIR DE HITECHPROS LE MARCHE UNE OPPORTUNITE POUR LES ACTEURS DU SECTEUR UN OBSERVATEUR PRIVILEGIE DU MARCHE UNE DEMARCHE STRATEGIQUE INSCRITE DANS LA DUREE LE

Plus en détail

RÈGLEMENT DE PARTICIPATION DES BOURSES "COOPÉRATIVES CITOYENNES"

RÈGLEMENT DE PARTICIPATION DES BOURSES COOPÉRATIVES CITOYENNES RÈGLEMENT DE PARTICIPATION DES BOURSES "COOPÉRATIVES CITOYENNES" L'Agence pur l'entreprise et l'innvatin (AEI) met en œuvre un nuveau dispsitif de sutien aux prjets de cpératives cityennes. Dès septembre

Plus en détail

PREPARATION DE VOTRE PFMP Réalisé et testé par Laurence Martin, enseignante au LP du Toulois et chargée de mission en économie et gestion option vente

PREPARATION DE VOTRE PFMP Réalisé et testé par Laurence Martin, enseignante au LP du Toulois et chargée de mission en économie et gestion option vente PREPARATION DE VOTRE PFMP Réalisé et testé par Laurence Martin, enseignante au LP du Tulis et chargée de missin en écnmie et gestin ptin vente Sus le piltage de Christine Françis IEN Définir PFMP :.. Vus

Plus en détail

Forum 3.0 de l industrie des médias interactifs

Forum 3.0 de l industrie des médias interactifs Frum 3.0 de l industrie des médias interactifs Rapprt des grupes de discussin: faits saillants Préparé par Harld Gendrn, Cnsultant Recherche et veille en médias interactifs et Jean-Pierre Faucher, Cnsultant

Plus en détail

Délibération n 01/2014

Délibération n 01/2014 Délibératin n 01/2014 instituant un régime de licence pur la pêche prfessinnelle autur des Dispsitifs Cncentrateurs de Pissns ancrés dans les eaux du département de la Réunin. Vu le règlement (CE) n 2371/2002

Plus en détail

FANTA 2. Revue de la mise en œuvre du programme de prise en charge à base communautaire de la malnutrition aiguë en Afrique de l Ouest

FANTA 2. Revue de la mise en œuvre du programme de prise en charge à base communautaire de la malnutrition aiguë en Afrique de l Ouest TECHNICAL REPORT FANTA 2 FOOD AND NUTRITION TECHNICAL A SSISTANCE Revue de la mise en œuvre du prgramme de prise en charge à base cmmunautaire de la malnutritin aiguë en Afrique de l Ouest Rapprt récapitulatif

Plus en détail

GUIDE DU PROGRAMME DE VÉRIFICATION DE LA CONFORMITÉ ET DE L UTILISATION DES DONNÉES DU FICHIER CENTRAL DES SINISTRES AUTOMOBILES

GUIDE DU PROGRAMME DE VÉRIFICATION DE LA CONFORMITÉ ET DE L UTILISATION DES DONNÉES DU FICHIER CENTRAL DES SINISTRES AUTOMOBILES GUIDE DU PROGRAMME DE VÉRIFICATION DE LA CONFORMITÉ ET DE L UTILISATION DES DONNÉES DU FICHIER CENTRAL DES SINISTRES AUTOMOBILES Nvembre 2009 Table des matières Intrductin...1 1. Règles de cnfrmité...3

Plus en détail

Point presse annuel du Régime social des indépendants (RSI) 25 février 2015

Point presse annuel du Régime social des indépendants (RSI) 25 février 2015 Dssier de presse Pint presse annuel du Régime scial des indépendants (RSI) 25 février 2015 Gérard Quevilln, président natinal du RSI et Stéphane Seiller, directeur général du RSI Smmaire : - 2015 : De

Plus en détail

COMPAGNIE GENERALE DES ETABLISSEMENTS MICHELIN Information financière au 30 juin 2014

COMPAGNIE GENERALE DES ETABLISSEMENTS MICHELIN Information financière au 30 juin 2014 COMPAGNIE GENERALE DES ETABLISSEMENTS MICHELIN Infrmatin financière au 30 juin 2014 INFORMATION PRESSE Clermnt-Ferrand, le 29 juillet 2014 1 er semestre 2014 : Slide résultat pératinnel avant éléments

Plus en détail

CANEVAS DE PRÉSENTATION D UN PROJET GEF Small Grants Programme Cameroun

CANEVAS DE PRÉSENTATION D UN PROJET GEF Small Grants Programme Cameroun CANEVAS DE PRÉSENTATION D UN PROJET GEF Small Grants Prgramme Camerun 1 GEF Small Grants Prgramme Prgramme de Micrfinancements du Fnds pur l Envirnnement Mndial PMF/FEM CANEVAS DE PRÉSENTATION D UN PROJET

Plus en détail

Division des Statistiques du Commerce Extérieur

Division des Statistiques du Commerce Extérieur Fnctin : Chef de Service Statistiques des Imprtatins Versin : FONCTION : CHEF DE SERVICE STATISTIQUES DES IMPORTATIONS DEPARTEMENT : DIVISION : SERVICE : RESPONSABLE HIERARCHIQUE : RESPONSABLE FONCTIONNEL

Plus en détail

APPEL A PROJETS. «Soutien aux structures d aide à la maturation de projets innovants en vue de la création d entreprises»

APPEL A PROJETS. «Soutien aux structures d aide à la maturation de projets innovants en vue de la création d entreprises» APPEL A PROJETS «Sutien aux structures d aide à la maturatin de prjets innvants en vue de la créatin d entreprises» Date d uverture : 7 mars 2014 Date limite de dépôt : 12 mai 2014 16h00 Validatin des

Plus en détail

Catalogue de formation des meilleures pratiques de la gestion des services informatiques

Catalogue de formation des meilleures pratiques de la gestion des services informatiques SPÉCIALISTE DE LA PRODUCTION INFORMATIQUE CONSULTING FORMATION SOFTWARE INFOGÉRANCE ITIL au cœur de ns méthdes Frt de sn expertise de la prductin et de la gestin des services infrmatiques depuis plus de

Plus en détail

Démarche Coaching Individuel

Démarche Coaching Individuel anma RECRUITMENT Tél. : 01 47 25 94 75 cntact@anma-recruitment.cm www.anma-recruitment.cm Démarche Caching Individuel 1 Ntre Visin du Caching LE COACHING est un accmpagnement sur mesure rienté résultats

Plus en détail

Stratégie Régionale d Innovation et de Spécialisation Intelligente. Compte-rendu du séminaire «Spécialisation Intelligente» n 1 : Mobilité

Stratégie Régionale d Innovation et de Spécialisation Intelligente. Compte-rendu du séminaire «Spécialisation Intelligente» n 1 : Mobilité Stratégie Réginale d Innvatin et de Spécialisatin Intelligente Cmpte-rendu du séminaire «Spécialisatin Intelligente» n 1 : Mbilité Etabli par : Christine Picard (2D2E), Philippe Furnand (Algé), Laure Piquemal

Plus en détail

«Enrichir l Organisation par les Hommes» CYCLE «LE MANAGEMENT DE PROJET ; SAVOIRS FAIRE ET SAVOIR ETRE»

«Enrichir l Organisation par les Hommes» CYCLE «LE MANAGEMENT DE PROJET ; SAVOIRS FAIRE ET SAVOIR ETRE» «Enrichir l Organisatin par les Hmmes» CYCLE CYCLE : Le management de prjet «LE MANAGEMENT DE PROJET ; SAVOIRS FAIRE ET SAVOIR ETRE» METHODOLOGIE ET OUTILS PRATIQUES EN GESTION DE PROJET Du 27 juin au

Plus en détail

Termes de références Projet de recherche sur le français dans l espace arabofrancophone

Termes de références Projet de recherche sur le français dans l espace arabofrancophone Termes de références Prjet de recherche sur le français dans l espace arabfrancphne L'Organisatin internatinale de la Francphnie (OIF) et l'agence universitaire de la Francphnie (AUF) lancent un appel

Plus en détail

CATALOGUE DE FORMATION «EXPERTS COMPTABLES ET AVOCATS»

CATALOGUE DE FORMATION «EXPERTS COMPTABLES ET AVOCATS» CATALOGUE DE FORMATION «EXPERTS COMPTABLES ET AVOCATS» APS Frmatin 15 Rue de Ngent 51100 REIMS Tel : 03.26.82.84.84 / Fax : 03.26.82.58.23 www.apscnsult.fr CONTEXTE Dans l Entreprise, le rôle de l Expert-Cmptable

Plus en détail

- culture - tourisme - sport - actions sociales

- culture - tourisme - sport - actions sociales NOTICE de demande de subventin - culture - turisme - sprt - actins sciales Le dssier de demande de subventin a été créé dans le but d harmniser les subventins accrdées par la COMPA (Cmmunauté de Cmmunes

Plus en détail

MISSIONS COMMERCIALES

MISSIONS COMMERCIALES DEVELOPPEMENT ET OBJECTIFS MISSIONS COMMERCIALES Prcédure et bjectifs Le but d'une missin cmmerciale est de distribuer et prmuvir les prduits u services d'une entreprise. Les démarches à suivre snt les

Plus en détail

IDENTIFICATION DU POSTE. N de l emploi : Contractuel. Intitulé du poste : Chargé de mission FC

IDENTIFICATION DU POSTE. N de l emploi : Contractuel. Intitulé du poste : Chargé de mission FC DIRECTION DES RESSOURCES HUMAINES 34, Avenue Carnt - B.P. 185-63006 CLERMONT-FERRAND CEDEX 1 FICHE DE POSTE IDENTIFICATION DU POSTE N de l empli : Cntractuel Intitulé du pste : Chargé de missin FC FILIERE

Plus en détail

Bourse Étienne-Beauclair Banque Nationale

Bourse Étienne-Beauclair Banque Nationale La Burse Étienne-Beauclair Banque Natinale Burse d' excellence destinée aux persnnes ayant une déficience visuelle pur la réalisatin de prjets nvateurs 15 000 $ Dépsez vs candidatures entre Le 15 décembre

Plus en détail

Sessions préparation à la retraite Formule Express 1 journée

Sessions préparation à la retraite Formule Express 1 journée OFFRE DE SERVICES Sessins préparatin à la retraite Frmule Express 1 jurnée SÉMINAIRES Par Cégep Marie-Victrin, Centre de services aux entreprises Mnsieur Jean Perrn, cnseiller en frmatin 767, rue Bélanger

Plus en détail

Retour à la rentabilité opérationnelle et résultat net de 4,4 M

Retour à la rentabilité opérationnelle et résultat net de 4,4 M Retur à la rentabilité pératinnelle et résultat net de 4,4 M 28-02-2007 Retur à la rentabilité pératinnelle et résultat net de 4,4 M Chiffre d affaires : 36,3 M en hausse de 71% Résultat net de 12% du

Plus en détail

PROCEDURE POUR UN BESOIN DE SANTE PARTICULIER «PBSP»

PROCEDURE POUR UN BESOIN DE SANTE PARTICULIER «PBSP» Département de la frmatin et de la sécurité Service de l'enseignement Departement für Bildung und Sicherheit Dienststelle für Unterrichtswesen PROCEDURE POUR UN BESOIN DE SANTE PARTICULIER «PBSP» 2 Table

Plus en détail

LE RVER EN UN COUP D ŒIL

LE RVER EN UN COUP D ŒIL LE RVER EN UN COUP D ŒIL Le terme RVER est l acrnyme pur Régime Vlntaire d Epargne-Retraite. C est un nuveau régime de retraite régi par la Li sur les régimes vlntaires d'épargneretraite (Li sur les RVER)

Plus en détail

GUIDE DU CANDIDAT REPRESENTANT EN ASSURANCE DE DOMMAGES DES PARTICULIERS. Préparation aux examens de l AMF. Pour : DESJARDINS ASSURANCES GENERALES

GUIDE DU CANDIDAT REPRESENTANT EN ASSURANCE DE DOMMAGES DES PARTICULIERS. Préparation aux examens de l AMF. Pour : DESJARDINS ASSURANCES GENERALES GUIDE DU CANDIDAT REPRESENTANT EN ASSURANCE DE DOMMAGES DES PARTICULIERS Préparatin aux examens de l AMF Pur : DESJARDINS ASSURANCES GENERALES Prfesseur : Jacques Bélanger 04-2012 TABLE DES MATIÈRES I.

Plus en détail

Scénario 2 : La promesse

Scénario 2 : La promesse Scénari 2 : La prmesse D enise est infirmière auxiliaire autrisée depuis 10 ans, Elle exerce dans une clinique externe d un grand hôpital général. Aujurd hui, elle est chargée de prendre sin d Amanda,

Plus en détail

Solutions de pilotage énergétique pour les bâtiments d activité professionnelle

Solutions de pilotage énergétique pour les bâtiments d activité professionnelle Slutins de piltage énergétique pur les bâtiments d activité prfessinnelle Efficiency Builder CONFIDENTIEL - Prpriété de Bnext Energy BNEXT ENERGY: HISTORIQUE ET CHIFFRES CLÉS Entrée à l incubateur Midi

Plus en détail

Consultation dans le cadre de la conférence nationale sur la logistique

Consultation dans le cadre de la conférence nationale sur la logistique Cnsultatin dans le cadre de la cnférence natinale sur la lgistique 31/03/15 Les répnses à cette cnsultatin se fnt directement en ligne à l adresse suivante : http://enqueteur.dgitm.develppement-durable.guv.fr/index.php?sid=15349&lang=fr

Plus en détail

Evaluation Environnementale Stratégique

Evaluation Environnementale Stratégique Evaluatin Envirnnementale Stratégique V2 mars-2014 Versin V3 du PO Parcurir L Eurpe Sandra Ungema ch-be nsaid, J eanne Geffr y, Charltte Guérin Guillaud, Da niel Pulenard 9 r u e d e l a L a q u e 3 1

Plus en détail

Plan stratégique pour la gestion des ressources humaines

Plan stratégique pour la gestion des ressources humaines Plan stratégique pur la gestin des ressurces humaines 2007-2008 à 2009-2010 Message du cmmissaire La gestin des ressurces humaines revêt de plus en plus d imprtance à la lumière des changements bservés

Plus en détail

Groupe ERAMET. MODIFICATION CGT - Rajouter avenant 1 et 2 Paris le 18 octobre 2012. Préambule. 1. Salariés bénéficiaires

Groupe ERAMET. MODIFICATION CGT - Rajouter avenant 1 et 2 Paris le 18 octobre 2012. Préambule. 1. Salariés bénéficiaires Grupe ERAMET Accrd Cmpte Epargne Temps Grupe MODIFICATION CGT - Rajuter avenant 1 et 2 Paris le 18 ctbre 2012 Préambule La Directin du Grupe ERAMET et les Organisatins Syndicales nt suhaité cmpléter les

Plus en détail

CONSOLIDATION DES COMPTES - PRINCIPES. Exposés des principes liés aux participations et aux contrôles des sociétés, Exercices corrigés, Synthèse.

CONSOLIDATION DES COMPTES - PRINCIPES. Exposés des principes liés aux participations et aux contrôles des sociétés, Exercices corrigés, Synthèse. CONSOLIDATION DES COMPTES - PRINCIPES Objectif(s) : Présentatin des principes écnmiques et juridiques relatifs à la cnslidatin des cmptes dans les grupes de sciétés, Ntins : périmètre de cnslidatin, purcentage

Plus en détail

Colloque 07-05-2015 Rapport de l'atelier 1

Colloque 07-05-2015 Rapport de l'atelier 1 Cllque 07-05-2015 Rapprt de l'atelier 1 P.1 MON PLAN D'URGENCE COMMUNAL: À QUEL NIVEAU EN EST-IL ET COMMENT CONCRÈTEMENT LE FAIRE AVANCER? QUESTION 1: COMMENT ÉTABLIR UN ÉTAT DES LIEUX DE MON PLAN D URGENCE

Plus en détail

Amandine CUER INDUSTRIELS! GAGNEZ DU TEMPS DANS VOS ECHANGES AVEC VOS INFORMATIQUE - INTERNET - TELECOMMUNICATIONS LA LETTRE D INFORMATION - MAI 2011

Amandine CUER INDUSTRIELS! GAGNEZ DU TEMPS DANS VOS ECHANGES AVEC VOS INFORMATIQUE - INTERNET - TELECOMMUNICATIONS LA LETTRE D INFORMATION - MAI 2011 Amandine CUER À: Amandine CUER Objet: Cyb@rdèche - Osez les nuvelles technlgies... Pièces jintes: image001.jpg; image001.jpg; image001.jpg; image001.jpg; image001.jpg; image001.jpg Imprtance: Haute Si

Plus en détail

Service de mobilité interbancaire - Règlement

Service de mobilité interbancaire - Règlement versin 1.0-28/10/2009 Service de mbilité interbancaire - Règlement Ce règlement cnstitue le cadre général dans lequel les banques participantes ffrent en Belgique au cnsmmateur un service de mbilité interbancaire

Plus en détail