Table des matières. Cristallographie. S.Boukaddid Cristallographie MP2

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Table des matières. Cristallographie. S.Boukaddid Cristallographie MP2"

Transcription

1 S.Boukddid Cristllogrphie MP Cristllogrphie Tble des mtières 1 Bses de l cristllogrphie 1.1 Définitions Crctéristiques des réseux cristllins Multiplicité d une mille Compcité C (densité de remplissge) Msse volumique du cristl Cristux métlliques.1 Structure cubique centrée (c.c) Reltion entre et R Indice de coordintion (coordinence) Compcité C Structure cubique à fces centrées (cfc) Déscription de l mille Reltion entre et R Coordinence Compcité Structure hexgonle compct (hc) Description de l mille Reltion entre et c Coordinence Compcité Sites octédriques et tétrédriques 8.1 Solutions solides d insertion ou de substitution Sites octédriques Sites tétrédriques Cristux ioniques 11.1 Structure de chlorure de cesium CsCl type (8,8) Structure de chlorure de sodium NCl type (6,6) Structure de l blende ZnS,type (,) Structure de fluorure de clcium,type (8,) Cristux covlents Molécule tridimentionnelle : Structure du dimnt Molécule bidimentionnelle : Structure du grphite Cohésion du cristux covlents Cristux moléculires Cristux moléculires de Vn der Wls Cristux moléculires à liison hydrogène Propriétés des cristux moléculires / 18

2 S.Boukddid Cristllogrphie MP On distingue entre trois étts physiques de l mtière : Ett gzeux : étt le plus désordonnée,les prticules sont réprties de mnière u hsrd Ett liquide : étt moins désordonné que l étt gzeux,les molécules sont en contct de mnière irrégulière Ett solide : étt compct et le plus ordonné,les molécules sont réprties de mnière régulière,elles sont en contct et rngées selon une périodicité tridimensionnelle. On distingue entre : Solides cristllins : ils correspondent à un ssemblge régulier sur une lrge domine à l échelle microscopique (10nm). Ils se crctérisent pr une tempérture de fusion nette. Solides morphes ou vitreux : le meilleur exemple est le verre. Désormis il n y ps d ordre mis une distribution u hsrd,on prle prfois de l étt liquide figé. 1 Bses de l cristllogrphie 1.1 Définitions Cristllogrphie : C est une brnche de l chimie qui permet de décrire l disposition dns l espce des éléments (tomes,ions...) constitunt un cristl. Motif : c est l plus petite entité discernble qui se répéte périodiquement pr trnsltion : Cu,Fe,NH +,SO. Mille : c est l unité de bse à prtir de lquelle on peut engendrer tout le cristl en fisnt subir à celle-ci différentes trnsltions suivnt les directions des trois xes cristllins (Ox, Oy, Oz). z C α Pour décrire cette mille il fut 6 prmètres = OA;b = OB;c = OC α,β,γ β O γ B y A Le volume de l mille x V = ( b ). c / 18

3 S.Boukddid Cristllogrphie MP Pour simplifier l déscription de l mille cristlline,on remplce les entités chimiques pr des points ppellés noeuds. Réseu : C est l rrngement tridimensionnel des noeuds. Structure cristlline= réseu + motif 1. Crctéristiques des réseux cristllins 1..1 Multiplicité d une mille un motif pprtennt à n milles simultnément se compte en 1 n dns l mille Définition : l multiplicité d une mille représente le nombre de motif qui contient cette mille. Définition : Une mille est dite simple ou élémentire s elle ne contient qu un seul motif Exemples Cubique simple (P) les tomes occupent les sommets du cube N = = 1 motif/mille donc il s git d une mille élémentire Cubique centré (c.c) les tomes occupent les sommets et le centre du cube N = = motif/mille il s git d une mille non élémentire Remrque : il est impossible de décrire un réseu utre que cubique simple (P) pr une mille élémentire. 1.. Compcité C (densité de remplissge) Définition : c est un nombre sns dimension qui mesure le tux d occuption de l espce pr les motifs,il est toujours compris entre 0 et 1. Dns le modéle des sphéres régides,l compcité C est le rpport entre le volume occupé pr les tomes (ou les ions) d une mille et le volume de l mille. C = V occ V mille / 18

4 S.Boukddid Cristllogrphie MP V occ : volume occupé pr les motifs V occ = N.v vec N nombre de motif et v volume du motif V mille : volume de l mille dns le cs où les noeuds sont occupés pr des tomes (ions) ssimilbles à des sphéres dures de ryon r : N. C = πr V mille 1.. Msse volumique du cristl l msse volumique ρ d un cristl est défini pr : N : nombre de motif pr mille N A : Constnte d Avogdro m : msse du motif M : msse molire du motif ( m ) ρ = = V mille N.M N A V mille Cristux métlliques.1 Structure cubique centrée (c.c) Il s git d un rrngement de type {A, B},les tomes sont en contct suivnt l digonle du cube,c est un empilement non compct. les couches A et B sont constituées des mêmes éléments couche B Couche A / 18

5 S.Boukddid Cristllogrphie MP : rête du cube où prmètre de l mille chque tome u sommet se compte en 1 8 un tome u centre se compte en 1 N = = tomes/mille Reltion entre et R Les tomes sont en contct suivnt l digonle : prmètre de l mille R : ryon du motif l digonle du fce : d = + = donc d = l digonle du cube : D = + d = donc D = D = R R = D d.1. Indice de coordintion (coordinence) Définition : l coordinence d un tome (ou d u ion) u sein d un réseu cristllin est le nombre de plus proches voisins que possède cet tome (ou cet ion). Chque tome est entouré pr 8 tomes à une distnce,donc l coordinence est 8.1. Compcité C C = V occ V mille C = N πr N = tomes/mille ( ) C =. π. = 16 π = 0,68 Pour l structure c.c : C = 68% Autrement : 68% du volume de l mille est remplie pr les tomes. l msse volumique ρ du cristl est 5 / 18

6 S.Boukddid Cristllogrphie MP ρ = M N A.. Structure cubique à fces centrées (cfc)..1 Déscription de l mille Il s git d un rrngement de type ABC. C est un empilement compct. Les tomes occupent les sommets du cube et les centres des fces A B C l mille conventionnelle est représenté pr : un tome u sommet se compte en 1 8 un tome u centre de fce se compte en 1 N = = tomes/mille donc il s git d une mille multiple d ordre.. Reltion entre et R les tomes sont tngentes suivnt l digonle du fce d = + = et d = R R = d.. Coordinence Chque tome est entouré pr 1 tomes à une distnce d = est 1 donc l coordinence 6 / 18

7 S.Boukddid Cristllogrphie MP.. Compcité ( C = V. occ = πr. π. ) V mille = = π. = 0,7 Pour une structure cfc l compcité : C = 7% l msse volumique ρ = M N A.. Structure hexgonle compct (hc)..1 Description de l mille Il s git d un rrngement de type {AB},c est un empilement compct C C B A Empilement AB Mille de hexgonl Mille de structure nombre de motif/mille : N = = tomes/mille 8.. Reltion entre et c = R ABC : tringle équiltérl : M : milieu de BC A H B AM + MC = AC = vec MC = C AM = D 7 / 18

8 S.Boukddid Cristllogrphie MP AH = AM AH = 9. donc AH = dns le tringle AHD : AD = AH + HD vec HD = c donc = + c vec = R c = c = R volume de l mille V = ( b ). c vec = b et c = b = sin π c c donc V =.c.sin π =.c =.. V = 8.R.. Coordinence Chque tome est entouré pr 1 tomes donc il s git de l coordinence 1 (propriété d une structure compct).. Compcité C = V occ = πr V mille 8 R = π = 0,7 l msse volumique pour une structure hc : C = 7% M ρ = N A. Sites octédriques et tétrédriques.1 Solutions solides d insertion ou de substitution Dns les structures métlliques compctes l compcité est 7%,il reste 6% de l espce inoccupé entre les tomes métlliques u contct. Alliges d insertion : Ce sont des cvités (sites) entre les tomes,lieux où l on pourr éventuellement plcer d utres tomes. Alliges de substitution : l tome etrnger vient remplcer l tome hôte en l un de ses noeuds Dns les lliges d insertion,on distingue entre deux types de stes : sites tétrédriques,et sites octédriques 8 / 18

9 S.Boukddid Cristllogrphie MP. Sites octédriques Définition : les sites octédriques sont des cvités situées u centre d un octédre régulier défini pr 6 tomes u contct. tome site octédrique Sites octédriques pour un cfc un site u centre du cube un site en milieu de chque rête N = = sites/mille tille du site octédrique pour un cfc site oct hbitbilité : c est l vleur mximle du ryon r 0 d une sphère que l on peut plcer u centre de l cvité (octédrique ou tétrédrique) sns déformer l structure. Soit r 0 le ryon de l cvité spérique défini pr le site octédrique et r le ryon de l tome r r 0 r = r 0 + r r 0 = r = r r 0 = ( 1)r = 0,1r cs du structure hc l hbitbilité du site octédrique est r 0 = 0,1r 9 / 18

10 S.Boukddid Cristllogrphie MP trois sites octédriques se trouvent dns le pln de côte c et trois se trouvent dns le pln c N = 6 sites oct/mille on montre ussi que l tille du site octédrique r = 0,1r. Sites tétrédriques Définition : les sites tétrédriques sont des cvités u centre d un tétrédre régulier défini pr tomes en contct (voir figure). tome site tétrédrique cs d une structure cfc / les sites tétrédriques sont les / centres des 8 cubes d rête N = 8 sites tétr/mille site tétrédrique tome hbitbilité du site tétrédrique N(sites tétr)=n(sites oct) l digonle du petit cube d rête est d = soient r l ryon de l tome et r T l ryon du site tétrédrique d = r + r T r T = r et = r ( ) r T = 1 = 0,5r cs d une structure hc 8 sites tétrédriques pprtiennent en propre à l mille et 1 sites sont sur les rêtes de l mille donc prtgés vec trois milles voisines 10 / 18

11 S.Boukddid Cristllogrphie MP N = = 1 sites tétr/mille l hbitbilité de ces sites est r T = 0,5r Cristux ioniques Définition : Un cristl ionique est un ssemblge électriquement neutre d ions positifs et d ions négtifs..1 Structure de chlorure de cesium CsCl type (8,8) Cl constitue un cubique simple Cs + occupe le centre du cube N Cl = = 1 ion/mille N Cs + = 1.1 = 1 ion/mille l mille est neutre éléctriquement coordinence (8,8) Cs + est entouré pr 8 Cl et de même pour Cl est entouré pr 8 Cs +,donc il s git de l coordinence (8,8) Stbilité de l structure Soient r + et r les ryons de Cs + et Cl l conditin de contct entre Cs + et Cl est : r + + r = on pose x = r + r donc x < 1 le contct nionique suivnt l digonle : = (r + + r ) le contct nionique limite : r x + 1 donc x 1 = 0,7 Conclusion : Pour une coordinence (8,8),l condition de stbilité est 0,7 x < 1 r + Cs + Cl Compcité C = V occ = π(r + + r ) V mille = π r (1 + x ) Pour CsCl : r + = r Cs + = 169pm;r = r Cl = 181pm donc x = 0,9 11 / 18

12 S.Boukddid Cristllogrphie MP = (r + + r ) = 0pm l compcité C = 0, 68. Structure de chlorure de sodium NCl type (6,6) Cl présente une structure c f c et N + occupe les sites octédriques N(N + ) = N + = N + = N + /mille N = N(Cl ) = N = Cl /mille N + Coordinence (6,6) Cl est entouré pr 6 ions N + et N + est entouré pr 6 ions Cl donc il s git d une coordinence (6,6) Stbilité de l structure r + = r (N + ) et r = r (Cl ) contct nionique limite : r contct mixte : (r + + r ) = donc 1 (1 + x) 1 Cl x 1 = 0,1 Conclusion : Pour une coordinence (6,6),l condition de stbilité est 0,1 x < 0,7 r Compcité ( ) N π(r + + r ) C = = (πr )(1 + x ) r + = 95pm;r = 181pm, x = 0,5 = (r + + r ) = 55pm l compcité C = 68% 1 / 18

13 S.Boukddid Cristllogrphie MP. Structure de l blende ZnS,type (,) S constitue un réseu cfc dit hôte,les ions Zn + occupent l moitié des sites tétrédriques non djcents N + = Zn + /mille N = S /mille Zn + Coordinence (,) S est entouré pr Zn +,et Zn + est entouré pr S,il s git d une coordinence (,) Stbilité de l structure S r + + r = on montre fcilement que x 0,5 Conclusion : pour l coordinence (,) l condition de stbilité est 0,5 x < 0,1 Compcité C = ( ) π(r + + r ) = 16πr (1 + x ) à l limite r = ; x = 0,5 donc C = 75% 1 / 18

14 S.Boukddid Cristllogrphie MP. Structure de fluorure de clcium,type (8,) les ions C + constituent un réseu cfc,les ions F occupnt tous les sites tétrédriques N + = N + = C + /mille N = 8F /mille l stoechiométrie : C +,F F Coordinence (8,) F est entouré pr ions de C + coordinence C + est entouré pr 8 ions de F coordinence 8 il s git de l coordinence (8,) Stbilité de l coordinence (8,) contct mixte : (r + + r ) = contct nionique : r donc 1 + x C + x 0,7 Conclusion : pour l coordinence (8,),l condition de stbilité 0,7 x < 1 Compcité ( ) ( ) πr πr C = r = 1pm;r + = 99pm C = 6% 5 Cristux covlents On peut distinguer entre trois types de cristux covlents : structures tridimensionnelles : mcromolécule se développnt en trois directions de l espce structures en feuillets : on peut grouper les tomes en plns structures linéires : on peut grouper les tomes en mcromolécules linéires 1 / 18

15 S.Boukddid Cristllogrphie MP 5.1 Molécule tridimentionnelle : Structure du dimnt Il s git d une structure c. f.c d tomes de crbone,vec une occuption d un site tétrédrique sur deux pr un tome de crbone N = = 8 l coordinence est l distnce entre deux tomes d C C = 15pm l ngle : CĈC=109 8 le ryon du crbone est : r = d C C = 15 = 77pm le prmètre de l mille : = d C C = r = 8r = 56pm C occupnt un site tétrédrique C du réseu c.f.c compcité : C = ( ) 8 πr = π 16 = 0, C = % 5. Molécule bidimentionnelle : Structure du grphite nombre ( d tome pr mille N = 8. 1 ) ( +. 1 ) ( +. 1 ) + 1 = 8 coordinence est pln C d C C = 1pm r = 1 = 71pm d = h vec h huteur du tringle équiltérle correspondnt à une demi-bse h = d = pln B pln A d c = d = 6pm l distnce entre deux plns successifs est 5pm c =.5 = 670pm 15 / 18

16 S.Boukddid Cristllogrphie MP l compcité : C = ( ) πr V mille V mille = ( b ). c = c sin60 = c C = 0,17 = 17% Conclusion : l structure du crbone grphite est beucoup moins compct que celle du crbone dimnt 5. Cohésion du cristux covlents Cs du dimnt propriétés électriques :le dimnt est un isolnt cr ses électrons sont loclisés propriétés optiques : l indice de réfrction du dimnt est très élevé,il est trnslucide (il ne peut bsorber de l lumière dns le visible) propriétés mécniques : le dimnt est régide et dur,du fit de son réseu à très fortes interctions Cs du grphite propriétés électriques : l grhpite est un conducteur (électrons libres de liison π) propriétés optiques : le grphite est noir cr il bsorbe toutes les rditions du visible propriétés mécniques : le grphite est mou,il peut fcilement être coupé Conclusion : l cohésion des cristux covlents est due à des liisons covlentes loclisées (dimnt) ou déloclisées (grphite) 6 Cristux moléculires Dns les cristux moléculires,les noeuds du réseu sont occupés pr des molécules simples,de fible tomicité,de même géométrie et de même nture qu à l étt gzeux.on distingue entre deux types : cristux moléculires de Vn der Wls cristux moléculires à liison d hydrogène 6.1 Cristux moléculires de Vn der Wls l cohésion intermoléculires est ssurée pr des liisons de Vn der Wls l exemple le plus simple est I Structure de I 16 / 18

17 S.Boukddid Cristllogrphie MP l molécule I n est ps sphérique mis linéire l mille ressemble à c f c,mis déformé selon à une direction du fit de l géométrie de I,on obtient un prisme droit à bse rectngle : mille orthorhombique d I I = 70pm d = 5pm entre tomes de molécules voisines l ngle d inclinison : le ryon de Vn der Wls : l moitié de l distnce d interction entre I voisins r VdW = 176pm b c 6. Cristux moléculires à liison hydrogène l cohésion intermoléculire est ssurée pr l liison hydrogène l exemple le plus importnt est celui de l glce molécule H O liison OH liison hydrogène l environnement de l molécule de l eu solide est tétrédrique l une des vriétés llotropiques correspond à une mille type dimnt : réseu c f c des oxygènes vec occuption de l moitié des sites tétrédriques ( en llternnce) pr les oxygènes : les hydrogènes pointent vers les sommets du cube d rête 6. Propriétés des cristux moléculires propriétés thermiques les liisons intermoléculires (Vn der Wls,liison hydrogène) sont fibles pr rpport à l liison covlente,ce qui explique l fible cohésion des cristux moléculires. 17 / 18

18 S.Boukddid Cristllogrphie MP les constntes physiques (tempérture de fusion,tempérture d ébullition...) ugmentent fortement dès qu il existe des liisons hydrogènes intermoléculires les constntes physiques ugmentent l tille d une molécule dns une série semblble (force de Vn der Wls croissnte vec nombre d électrons) Exemple : H O,H S,H Se,H Te : O,S,Se,Te sont dns l colonne 16 ux lignes n =,,,5 : l croissnce qusi-linéire de l tempérture de fusion de H Se à H Te est en ccord vec les forces de Vn der Wls,l nomlie de l eu s interpréte pr l existence dns l eu des liisons hydrogènes t f us ( C) 0 H O 5 H Te n -75 H S H Se propriétés électriques : les cristux moléculires sont tous des isolnts puisque les électrons restent loclisés u sein des molécules propriétés mécniques : l dureté est trop fible et le coefficient de dilttion thermique est trop fort 18 / 18

Chapitre 11 : L inductance

Chapitre 11 : L inductance Chpitre : inductnce Exercices E. On donne A πr 4π 4 metn N 8 spires/m. () Selon l exemple., µ n A 4π 7 (8) 4π 4 (,5) 5 µh (b) À prtir de l éqution.4, on trouve ξ ξ 4 3 5 6 6,3 A/s E. On donne A πr,5π 4

Plus en détail

Théorème de Poincaré - Formule de Green-Riemann

Théorème de Poincaré - Formule de Green-Riemann Chpitre 11 Théorème de Poincré - Formule de Green-Riemnn Ce chpitre s inscrit dns l continuité du précédent. On vu à l proposition 1.16 que les formes différentielles sont bien plus grébles à mnipuler

Plus en détail

Influence du milieu d étude sur l activité (suite) Inhibition et activation

Influence du milieu d étude sur l activité (suite) Inhibition et activation Influence du milieu d étude sur l ctivité (suite) Inhibition et ctivtion Influence de l tempérture Influence du ph 1 Influence de l tempérture Si on chuffe une préprtion enzymtique, l ctivité ugmente jusqu

Plus en détail

Synthèse de cours (Terminale S) Calcul intégral

Synthèse de cours (Terminale S) Calcul intégral Synthèse de cours (Terminle S) Clcul intégrl Intégrle d une onction continue positive sur un intervlle [;] Dns cette première prtie, on considère une onction continue positive sur un intervlle [ ; ] (

Plus en détail

Conseils et astuces pour les structures de base de la Ligne D30

Conseils et astuces pour les structures de base de la Ligne D30 Conseils et stuces pour les structures de bse de l Ligne D30 Conseils et stuces pour l Ligne D30 Ligne D30 - l solution élégnte pour votre production. Rentbilité optimle et méliortion continue des séquences

Plus en détail

/HVV\VWqPHVFRPELQDWRLUHV

/HVV\VWqPHVFRPELQDWRLUHV /HVV\VWqPHVFRPELQDWRLUHV I. Définition On ppelle système combintoire tout système numérique dont les sorties sont exclusivement définies à prtir des vribles d entrée (Figure ). = f(x, x 2,,, x n ) x x

Plus en détail

Université Paris-Dauphine DUMI2E. UFR Mathématiques de la décision. Notes de cours. Analyse 2. Filippo SANTAMBROGIO

Université Paris-Dauphine DUMI2E. UFR Mathématiques de la décision. Notes de cours. Analyse 2. Filippo SANTAMBROGIO Université Pris-Duphine DUMI2E UFR Mthémtiques de l décision Notes de cours Anlyse 2 Filippo SANTAMBROGIO Année 2008 2 Tble des mtières 1 Optimistion de fonctions continues et dérivbles 5 1.1 Continuité........................................

Plus en détail

ANALYSE NUMERIQUE NON-LINEAIRE

ANALYSE NUMERIQUE NON-LINEAIRE Université de Metz Licence de Mthémtiques - 3ème nnée 1er semestre ANALYSE NUMERIQUE NON-LINEAIRE pr Rlph Chill Lbortoire de Mthémtiques et Applictions de Metz Année 010/11 1 Tble des mtières Chpitre

Plus en détail

Correction de l épreuve CCP 2001 PSI Maths 2 PREMIÈRE PARTIE ) (

Correction de l épreuve CCP 2001 PSI Maths 2 PREMIÈRE PARTIE ) ( Correction de l épreuve CCP PSI Mths PREMIÈRE PARTIE I- Soit t u voisinge de, t Alors ϕt t s = ϕt ρt s ρs Pr hypothèse, l fonction ϕt ϕt est lorsque t, il en est donc de même de ρt s ρt s ρs cr ρ s est

Plus en détail

Turbine hydraulique Girard simplifiée pour faibles et très faibles puissances

Turbine hydraulique Girard simplifiée pour faibles et très faibles puissances Turbine hydrulique Girrd simplifiée pour fibles et très fibles puissnces Prof. Ing. Zoltàn Hosszuréty, DrSc. Professeur à l'université technique de Kosice Les sites hydruliques disposnt de fibles débits

Plus en détail

semestre 3 des Licences MISM annnée universitaire 2004-2005

semestre 3 des Licences MISM annnée universitaire 2004-2005 MATHÉMATIQUES 3 semestre 3 des Licences MISM nnnée universitire 24-25 Driss BOULARAS 2 Tble des mtières Rppels 5. Ensembles et opértions sur les ensembles.................. 5.. Prties d un ensemble.........................

Plus en détail

THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE

THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules

Plus en détail

CHAPITRE VI : HYBRIDATION GEOMETRIE DES MOLECULES

CHAPITRE VI : HYBRIDATION GEOMETRIE DES MOLECULES CAPITRE VI : YBRIDATION GEOMETRIE DES MOLECULES VI.1 : YBRIDATION DES ORBITALES ATOMIQUES. VI.1.1 : Introduction. La théorie d hybridation a été développée au cours des années 1930, notamment par le chimiste

Plus en détail

Chapitre 2 Le problème de l unicité des solutions

Chapitre 2 Le problème de l unicité des solutions Université Joseph Fourier UE MAT 127 Mthémtiques nnée 2009-2010 Chpitre 2 Le prolème de l unicité des solutions 1 Le prolème et quelques réponses : 1.1 Un exemple Montrer que l éqution différentielle :

Plus en détail

L'algèbre de BOOLE ou algèbre logique est l'algèbre définie pour des variables ne pouvant prendre que deux états.

L'algèbre de BOOLE ou algèbre logique est l'algèbre définie pour des variables ne pouvant prendre que deux états. ciences Industrielles ystèmes comintoires Ppnicol Roert Lycée Jcques Amyot I - YTEME COMBINATOIRE A. Algère de Boole. Vriles logiques: Un signl réel est une grndeur physique en générl continue, on ssocie

Plus en détail

Licence M.A.S.S. Cours d Analyse S4

Licence M.A.S.S. Cours d Analyse S4 Université Pris I, Pnthéon - Sorbonne Licence MASS Cours d Anlyse S4 Jen-Mrc Brdet (Université Pris 1, SAMM) UFR 27 et Equipe SAMM (Sttistique, Anlyse et Modélistion Multidisiplinire) Université Pnthéon-Sorbonne,

Plus en détail

Séquence 8. Probabilité : lois à densité. Sommaire

Séquence 8. Probabilité : lois à densité. Sommaire Séquence 8 Proilité : lois à densité Sommire. Prérequis 2. Lois de proilité à densité sur un intervlle 3. Lois uniformes 4. Lois exponentielles 5. Synthèse de l séquence Dns cette séquence, on introduit

Plus en détail

STI2D Logique binaire SIN. L' Algèbre de BOOLE

STI2D Logique binaire SIN. L' Algèbre de BOOLE L' Algère de BOOLE L'lgère de Boole est l prtie des mthémtiques, de l logique et de l'électronique qui s'intéresse ux opértions et ux fonctions sur les vriles logiques. Le nom provient de George Boole.

Plus en détail

Module 2 : Déterminant d une matrice

Module 2 : Déterminant d une matrice L Mth Stt Module les déterminnts M Module : Déterminnt d une mtrice Unité : Déterminnt d une mtrice x Soit une mtrice lignes et colonnes (,) c b d Pr définition, son déterminnt est le nombre réel noté

Plus en détail

Toyota Assurances Toujours la meilleure solution

Toyota Assurances Toujours la meilleure solution Toyot Assurnces Toujours l meilleure solution De quelle ssurnce vez-vous besoin? Vous roulez déjà en Toyot ou vous ttendez s livrison. Votre voiture est neuve ou d occsion. Vous vlez les kilomètres ou

Plus en détail

Guide d'utilisation Easy Interactive Tools Ver. 2

Guide d'utilisation Easy Interactive Tools Ver. 2 Guide d'utilistion Esy Interctive Tools Ver. 2 Guide d'utilistion Esy Interctive Tools Ver.2 Présenttion de Esy Interctive Tools 3 Crctéristiques Fonction de dessin Vous pouvez utiliser Esy Interctive

Plus en détail

Tout ce qu il faut savoir en math

Tout ce qu il faut savoir en math Tout ce qu il fut svoir en mth 1 Pourcentge Prendre un pourcentge t % d un quntité : t Clculer le pourcentge d une quntité pr rpport à une quntité b : Le coefficient multiplicteur CM pour une ugmenttion

Plus en détail

COURS D ANALYSE. Licence d Informatique, première. Laurent Michel

COURS D ANALYSE. Licence d Informatique, première. Laurent Michel COURS D ANALYSE Licence d Informtique, première nnée Lurent Michel Printemps 2010 2 Tble des mtières 1 Éléments de logique 5 1.1 Fbriquer des énoncés........................ 5 1.1.1 Enoncés élémentires.....................

Plus en détail

Algorithmes sur les mots (séquences)

Algorithmes sur les mots (séquences) Introduction Algorithmes sur les mots (séquences) Algorithmes sur les mots (textes, séquences, chines de crctères) Nomreuses pplictions : ses de données iliogrphiques ioinformtique (séquences de iomolécules)

Plus en détail

3- Les taux d'intérêt

3- Les taux d'intérêt 3- Les tux d'intérêt Mishkin (2007), Monnie, Bnque et mrchés finnciers, Person Eduction, ch. 4 et 6 Vernimmen (2005), Finnce d'entreprise, Dlloz, ch. 20 à 22 1- Mesurer les tux d'intérêt comprer les différents

Plus en détail

Techniques d analyse de circuits

Techniques d analyse de circuits Chpitre 3 Tehniques d nlyse de iruits Ce hpitre présente différentes méthodes d nlyse de iruits. Ces méthodes permettent de simplifier l nlyse de iruits ontennt plusieurs éléments. Bien qu on peut résoudre

Plus en détail

Partie 4 : La monnaie et l'inflation

Partie 4 : La monnaie et l'inflation Prtie 4 : L monnie et l'infltion Enseignnt A. Direr Licence 2, 1er semestre 2008-9 Université Pierre Mendès Frnce Cours de mcroéconomie suite 4.1 Introduction Nous vons vu dns l prtie introductive que

Plus en détail

LICENCE DE MATHÉMATIQUES DEUXIÈME ANNÉE. Unité d enseignement LCMA 4U11 ANALYSE 3. Françoise GEANDIER

LICENCE DE MATHÉMATIQUES DEUXIÈME ANNÉE. Unité d enseignement LCMA 4U11 ANALYSE 3. Françoise GEANDIER LICENCE DE MATHÉMATIQUES DEUXIÈME ANNÉE Unité d enseignement LCMA 4U ANALYSE 3 Frnçoise GEANDIER Université Henri Poincré Nncy I Déprtement de Mthémtiques . Tble des mtières I Séries numériques. Séries

Plus en détail

Chapitre VI Contraintes holonomiques

Chapitre VI Contraintes holonomiques 55 Chpitre VI Contrintes holonomiques Les contrintes isopérimétriques vues u chpitre précéent ne sont qu un eemple prticulier e contrintes sur les fonctions y e notre espce e fonctions missibles. Dns ce

Plus en détail

Transfert. Logistique. Stockage. Archivage

Transfert. Logistique. Stockage. Archivage Trnsfert Logistique Stockge Archivge Trnsfert, logistique, stockge Pour fire fce ux nouveux enjeux, il est importnt de pouvoir compter sur l'expertise d'un spéciliste impliqué à vos côtés, en toute confince.

Plus en détail

ANALYSE : FONCTIONS D UNE VARIABLE RÉELLE

ANALYSE : FONCTIONS D UNE VARIABLE RÉELLE Jen-Pierre Dedieu, Jen-Pierre Rymond ANALYSE : FONCTIONS D UNE VARIABLE RÉELLE Institut de Mthémtiques Université Pul Sbtier 31062 Toulouse cedex 09 jen-pierre.dedieu@mth.univ-toulouse.fr jen-pierre.rymond@mth.univ-toulouse.fr

Plus en détail

Cours d Analyse IV Suites et Séries de fonctions

Cours d Analyse IV Suites et Séries de fonctions Université Clude Bernrd, Lyon I Licence Sciences, Technologies & Snté 43, boulevrd 11 novembre 1918 Spécilité Mthémtiques 69622 Villeurbnne cedex, Frnce L. Pujo-Menjouet pujo@mth.univ-lyon1.fr Cours d

Plus en détail

Chapitre 1 : Fonctions analytiques - introduction

Chapitre 1 : Fonctions analytiques - introduction 2e semestre 2/ UE 4 U : Abrégé de cours Anlyse 3: fonctions nlytiques Les notes suivntes, disponibles à l dresse http://www.iecn.u-nncy.fr/ bertrm/, contiennent les définitions et les résultts principux

Plus en détail

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,

Plus en détail

INFORMATIONS TECHNIQUES

INFORMATIONS TECHNIQUES 0 INFORMATIONS TECHNIQUES tle des mtieres 06 Alimenttions et ccessoires 08 Postes extérieurs Sfer Postes extérieurs minisfer 9 Postes internes Accessoires d instlltion Centrux téléphoniques PABX Cmérs

Plus en détail

Application à l astrophysique ACTIVITE

Application à l astrophysique ACTIVITE Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.

Plus en détail

LITE-FLOOR. Dalles de sol et marches d escalier. Information technique

LITE-FLOOR. Dalles de sol et marches d escalier. Information technique LITE-FLOOR Dlles de sol et mrches d esclier Informtion technique Recommndtions pour le clcul et l pose de LITE-FLOOR Générlités Cette rochure reprend les règles de se à respecter pour grntir l rélistion

Plus en détail

Topologie dans un réseau : l exemple des points de Dirac

Topologie dans un réseau : l exemple des points de Dirac Chpitre 6 Topologie dns un réseu : l exemple des points de irc Sommire Points de irc dns une zone de Brillouin....... 2 - Reltion de dispersion linéire........... 2-2 Chirlité des points de irc............

Plus en détail

Electrovanne double Dimension nominale Rp 3/8 - Rp 2 DMV-D/11 DMV-DLE/11

Electrovanne double Dimension nominale Rp 3/8 - Rp 2 DMV-D/11 DMV-DLE/11 Electrovnne double Dimension nominle 3/8 - DMV-D/11 DMV-DLE/11 7.30 M Edition 11.13 Nr. 223 926 1 6 Technique L électrovnne double DUNGS DMV intère deux électrovnnes dns un même bloc compct : - vnnes d

Plus en détail

Sommaire. 6. Tableau récapitulatif... 10. Sophos NAC intégré Vs. NAC Advanced - 17 Février 2009 2

Sommaire. 6. Tableau récapitulatif... 10. Sophos NAC intégré Vs. NAC Advanced - 17 Février 2009 2 Sommire 1. A propos de Sophos... 3 2. Comprtif des solutions Sophos NAC... 4 3. Sophos NAC pour Endpoint Security nd Control 8.0... 4 3.1. Administrtion et déploiement... 4 3.2. Gestion des politiques

Plus en détail

INSTALLATION DE DETECTION INCENDIE

INSTALLATION DE DETECTION INCENDIE reglement > > instlltion E ETECTON NCENE NSTALLATON E ETECTON NCENE Une instlltion de détection incendie pour objectif de déceler et signler, le plus tôt possible, d une mnière fible, l nissnce d un incendie,

Plus en détail

Pour développer votre entreprise. Compta LES LOGICIELS EN LIGNE, VOUS ALLEZ DIRE OUI!

Pour développer votre entreprise. Compta LES LOGICIELS EN LIGNE, VOUS ALLEZ DIRE OUI! Pour développer votre entreprise Compt Avec EBP Compt, vous ssurez le suivi de l ensemble de vos opértions et exploitez les données les plus complexes en toute sécurité. Toutes les fonctionnlités essentielles

Plus en détail

BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1

BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 I. L ATOME NOTIONS EÉLEÉMENTAIRES DE CIMIE Les atomes sont des «petits grains de matière» qui constituent la matière. L atome est un système complexe que l on

Plus en détail

ManSafe. pour les Utilitiés. La Protection antichute pour les Industries de l'energie. Français. TowerLatch LadderLatch

ManSafe. pour les Utilitiés. La Protection antichute pour les Industries de l'energie. Français. TowerLatch LadderLatch MnSfe pour les Utilitiés L Protection ntichute pour les Industries de l'energie Frnçis TowerLtch LdderLtch Les questions de protection nti-chute Les chutes de huteur sont l cuse de mortlité l plus importnte

Plus en détail

SYSTEME DE TELEPHONIE

SYSTEME DE TELEPHONIE YTEME DE TELEPHOIE LE OUVEUTE PTIE MOITEU COULEU Le système de téléphonie comporte un moniteur vec un écrn couleurs de intégré u téléphone. Cette prtie est disponile en lnc, nthrcite et Tech. TLE DE MTIEE

Plus en détail

Statuts ASF Association Suisse Feldenkrais

Statuts ASF Association Suisse Feldenkrais Sttuts ASF Assocition Suisse Feldenkris Contenu Pge I. Nom, siège, ojectif et missions 1 Nom et siège 2 2 Ojectif 2 3 Missions 2 II. Memres 4 Modes d ffilition 3 5 Droits et oligtions des memres 3 6 Adhésion

Plus en détail

VIBRATIONS COUPLEES AVEC LE VENT

VIBRATIONS COUPLEES AVEC LE VENT VIBRATIONS OPLEES AVE LE VENT Pscl Hémon Lbortoire d Hydrodynmique, LdHyX Ecole Polytechnique, Pliseu Octobre 00 Vibrtions couplées vec le vent Si vous pense que j i révélé des secrets, je m en ecuse.

Plus en détail

Baccalauréat S Asie 19 juin 2014 Corrigé

Baccalauréat S Asie 19 juin 2014 Corrigé Bcclurét S Asie 9 jui 24 Corrigé A. P. M. E. P. Exercice Commu à tous les cdidts 4 poits Questio - c. O peut élimier rpidemet les réposes. et d. cr les vecteurs directeurs des droites proposées e sot ps

Plus en détail

1.2 Coordinence. Notion de liaison de coordinence : Cas de NH 3. et NH 4+ , 3 liaisons covalentes + 1 liaison de coordinence.

1.2 Coordinence. Notion de liaison de coordinence : Cas de NH 3. et NH 4+ , 3 liaisons covalentes + 1 liaison de coordinence. Règle de l octet : tendance qu on les atomes à s entourer de 8 électrons dans l édifice moléculaire. Ce n est pas une règle générale. Composés respectant la règle de l octet Composés ne respectant pas

Plus en détail

Magister en : Génie Mécanique

Magister en : Génie Mécanique الجمهورية الجزاي رية الديمقراطية الشعبية République Algérienne Démocrtique et Populire وزارة التعليم العالي و البحث العلمي Ministère de l enseignement supérieur et de l recherche scientifique Université

Plus en détail

Réalisation de sites Internet PME & Grandes entreprises Offre Premium. Etude du projet. Webdesign. Intégration HTML. Développement.

Réalisation de sites Internet PME & Grandes entreprises Offre Premium. Etude du projet. Webdesign. Intégration HTML. Développement. Rélistion de sites Internet PME & Grndes entreprises Offre Premium Etude du projet Réunions de trvil et étude personnlisée de votre projet Définition d une strtégie de pré-référencement Webdesign Définition

Plus en détail

Introduction à la modélisation et à la vérication p. 1/8

Introduction à la modélisation et à la vérication p. 1/8 Introduction à l modélistion et à l vériction Appliction ux systèmes temporisés Ptrici Bouyer LSV CNRS & ENS de Cchn Introduction à l modélistion et à l vériction p. 1/8 Modélistion & Vériction Introduction

Plus en détail

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices : Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur

Plus en détail

Systèmes de plafonds

Systèmes de plafonds Systèmes de plfonds Sommire Une connissnce ultime des systèmes 4 2 Présenttion 5 Types de plfonds Gyproc 5 Applictions et vntes 6 Choix de l structure du plfond 7 Choix de l plque de revêtement 8 Pose

Plus en détail

Avant d utiliser l appareil, lisez ce Guide de référence rapide pour connaître la procédure de configuration et d installation.

Avant d utiliser l appareil, lisez ce Guide de référence rapide pour connaître la procédure de configuration et d installation. Guide de référence rpide Commencer Avnt d utiliser l ppreil, lisez ce Guide de référence rpide pour connître l procédure de configurtion et d instlltion. NE rccordez PAS le câle d interfce mintennt. 1

Plus en détail

FIG. 1 Module de stockage en position horizontale ; positionnement des jauges de déformation.

FIG. 1 Module de stockage en position horizontale ; positionnement des jauges de déformation. Anlyse thermo-mécnique dun prototype de stockge hybride (solide-gzeux) dhydrogène D. CHAPELLE, O. GILLIA b, M. FELDIC. Institut FEMTO ST, UMR 6174, Déprt. Mécnique Appliquée, 24 rue de l Epitphe, 25000

Plus en détail

Notes de révision : Automates et langages

Notes de révision : Automates et langages Préprtion à l grégtion de mthémtiques 2011 2012 Notes de révision : Automtes et lngges Benjmin MONMEGE et Sylvin SCHMITZ LSV, ENS Cchn & CNRS Version du 24 octore 2011 (r66m) CC Cretive Commons y-nc-s

Plus en détail

CHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules

CHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules CHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules I. La liaison covalente 1) Formation d une liaison covalente Les molécules sont des assemblages d atomes liés par des liaisons chimiques résultant d interactions

Plus en détail

La pratique institutionnelle «à plusieurs»

La pratique institutionnelle «à plusieurs» L prtique institutionnelle «à plusieurs» mury Cullrd Février 2013 Nicols, inquiet: «Qund je suis seul vec quelqu un, il se psse des choses» Vlentin, à propos de l institution : «Ici, y beucoup de gens,

Plus en détail

1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.

1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples. Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste

Plus en détail

Le canal étroit du crédit : une analyse critique des fondements théoriques

Le canal étroit du crédit : une analyse critique des fondements théoriques Le cnl étroit du crédit : une nlyse critique des fondements théoriques Rfl Kierzenkowski 1 CREFED Université Pris Duphine Alloctire de Recherche Avril 2001 version provisoire Résumé A l suite des trvux

Plus en détail

Guide des bonnes pratiques

Guide des bonnes pratiques Livret 3 MINISTÈRE DE LA RÉFORME DE L'ÉTAT, DE LA DÉCENTRALISATION ET DE LA FONCTION PUBLIQUE 3 Guide des bonnes prtiques OUTILS DE LA GRH Guide des bonnes prtiques Tble des mtières 1. Introduction p.

Plus en détail

Physique Chimie. Utiliser les langages scientifiques à l écrit et à l oral pour interpréter les formules chimiques

Physique Chimie. Utiliser les langages scientifiques à l écrit et à l oral pour interpréter les formules chimiques C est Niveau la représentation 4 ème 2. Document du professeur 1/6 Physique Chimie LES ATOMES POUR COMPRENDRE LA TRANSFORMATION CHIMIQUE Programme Cette séance expérimentale illustre la partie de programme

Plus en détail

Pour développer votre entreprise LES LOGICIELS EN LIGNE, VOUS ALLEZ DIRE OUI!

Pour développer votre entreprise LES LOGICIELS EN LIGNE, VOUS ALLEZ DIRE OUI! Pour développer votre entreprise Gestion Commercile Gérez le cycle complet des chts (demnde de prix, fcture fournisseur), des stocks (entrée, sortie mouvement, suivi) et des ventes (devis, fcture, règlement,

Plus en détail

Rappels sur les couples oxydantsréducteurs

Rappels sur les couples oxydantsréducteurs CHAPITRE 1 TRANSFORMATIONS LENTES ET RAPIDES 1 Rappels sur les couples oxydantsréducteurs 1. Oxydants et réducteurs Un réducteur est une espèce chimique capable de céder au moins un électron Demi-équation

Plus en détail

Thèse Présentée Pour obtenir le diplôme de doctorat en sciences En génie civil Option : structure

Thèse Présentée Pour obtenir le diplôme de doctorat en sciences En génie civil Option : structure République Algérienne Démocrtique et Populire Ministère de l enseignement supérieur et de l recherche scientifique Université Mentouri de Constntine Fculté des sciences et sciences de l ingénieur Déprtement

Plus en détail

- Phénoméne aérospatial non identifié ( 0.V.N.I )

- Phénoméne aérospatial non identifié ( 0.V.N.I ) ENQUETE PRELIMINAIRE ANALYSE ET REFEREWCES : Phénoméne érosptil non identifié ( 0VNI ) B8E 25400 DEF/GEND/OE/DOlRENS du 28/9/1992 Nous soussigné : M D L chef J S, OPJ djoint u commndnt de l brigde en résidence

Plus en détail

Portiers audio et vidéo ABB-Welcome et ABB-Welcome M

Portiers audio et vidéo ABB-Welcome et ABB-Welcome M Portiers udio et vidéo ABB-Welcome et ABB-Welcome M Connectivité Votre regrd vers l'extérieur et ce, où que vous soyez Flexiilité Des esoins les plus simples ux instlltions les plus complexes Gmmes ABB-Welcome

Plus en détail

AUTOUR D UN MÉMOIRE INÉDIT : LA CONTRIBUTION D HERMITE AU DÉVELOPPEMENT DE LA THÉORIE DES FONCTIONS ELLIPTIQUES. Bruno BELHOSTE (*)

AUTOUR D UN MÉMOIRE INÉDIT : LA CONTRIBUTION D HERMITE AU DÉVELOPPEMENT DE LA THÉORIE DES FONCTIONS ELLIPTIQUES. Bruno BELHOSTE (*) Revue d histoire des mthémtiques, 2 (1996), p. 1 66. AUTOUR D UN MÉMOIRE INÉDIT : LA CONTRIBUTION D HERMITE AU DÉVELOPPEMENT DE LA THÉORIE DES FONCTIONS ELLIPTIQUES Bruno BELHOSTE (*) RÉSUMÉ. Dns cet rticle,

Plus en détail

Mario Geiger octobre 08 ÉVAPORATION SOUS VIDE

Mario Geiger octobre 08 ÉVAPORATION SOUS VIDE ÉVAPORATION SOUS VIDE 1 I SOMMAIRE I Sommaire... 2 II Évaporation sous vide... 3 III Description de l installation... 5 IV Travail pratique... 6 But du travail... 6 Principe... 6 Matériel... 6 Méthodes...

Plus en détail

EnsEignEmEnt supérieur PRÉPAS / BTS 2015

EnsEignEmEnt supérieur PRÉPAS / BTS 2015 Enseignement supérieur PRÉPAS / BTS 2015 Stnisls pour mbition de former les étudints à l réussite d exmens et de concours des grndes écoles de mngement ou d ingénieurs. Notre objectif est d ccompgner chque

Plus en détail

LANGAGES - GRAMMAIRES - AUTOMATES

LANGAGES - GRAMMAIRES - AUTOMATES LANGAGES - GRAMMAIRES - AUTOMATES Mrie-Pule Muller Version du 14 juillet 2005 Ce cours présente et met en oeuvre quelques méthodes mthémtiques pour l informtique théorique. Ces notions de bse pourront

Plus en détail

Calcul matriciel. Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes.

Calcul matriciel. Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes. 1 Définitions, notations Calcul matriciel Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes. On utilise aussi la notation m n pour le

Plus en détail

Correction : E = Soit E = -1,6. F = 12 Soit F = -6 3 + 45. y = 11. et G = -2z + 4y G = 2 6 = 3 G = G = -2 5 + 4 11

Correction : E = Soit E = -1,6. F = 12 Soit F = -6 3 + 45. y = 11. et G = -2z + 4y G = 2 6 = 3 G = G = -2 5 + 4 11 Correction : EXERCICE : Calculer en indiquant les étapes: (-6 +9) ( ) ( ) B = -4 (-) (-8) B = - 8 (+ 6) B = - 8 6 B = - 44 EXERCICE : La visite médicale Calcul de la part des élèves rencontrés lundi et

Plus en détail

Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire

Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire - Notre Galaxie - Amas stellaires - Milieu interstellaire - Où sommes-nous? - Types de galaxies - Interactions entre galaxies Notre Galaxie

Plus en détail

Sciences Industrielles Précision des systèmes asservis Papanicola Robert Lycée Jacques Amyot

Sciences Industrielles Précision des systèmes asservis Papanicola Robert Lycée Jacques Amyot Scence Indutrelle Précon de ytème erv Pncol Robert Lycée Jcque Amyot I - PRECISION DES SYSTEMES ASSERVIS A. Poton du roblème 1. Préentton On vu que le rôle d un ytème erv et de fre uvre à l orte (t) une

Plus en détail

Physique Chimie. Réaliser les tests de reconnaissance des ions Cl -,

Physique Chimie. Réaliser les tests de reconnaissance des ions Cl -, Document du professeur 1/5 Niveau 3 ème Physique Chimie Programme A - La chimie, science de la transformation de la matière Connaissances Capacités Exemples d'activités Comment reconnaître la présence

Plus en détail

Solutions IHM. Gammes Graphite et G3 Outils pour l'usine connectée

Solutions IHM. Gammes Graphite et G3 Outils pour l'usine connectée Solutions IHM Gmmes Grphite et G3 Outils pour l'usine connectée Des IHM ux fonctions étendues : > Conversion de plus de 250 protocoles > Serveur Web intégré > Enregistreur de données sécurisées > Modules

Plus en détail

Theorie des mrches Dns ce chpitre, on etudie l'interction de l'ore et de l demnde sur un mrche d'un bien donne. On etudier, en prticulier, l'equilibre du mrche. Etnt donne qu'on s'interesse uniquement

Plus en détail

Régression multiple : principes et exemples d application. Dominique Laffly UMR 5 603 CNRS Université de Pau et des Pays de l Adour Octobre 2006

Régression multiple : principes et exemples d application. Dominique Laffly UMR 5 603 CNRS Université de Pau et des Pays de l Adour Octobre 2006 Régression multiple : principes et eemples d ppliction Dominique Lffly UMR 5 603 CNRS Université de Pu et des Pys de l Adour Octobre 006 Destiné à de futurs thémticiens, notmment géogrphes, le présent

Plus en détail

Directives COV et alternative lipochimique : peintures, encres, nettoyage, dégraissage...

Directives COV et alternative lipochimique : peintures, encres, nettoyage, dégraissage... Directives COV et lterntive lipochimique : peintures, encres, nettoyge, dégrissge... Alin LEMOR Recherche & Développement, Novnce, BP 20609, Venette, 60206 Compiègne Cedex, Frnce, Fx. +33 (0)3 44 90 70

Plus en détail

Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS

Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Document du professeur 1/7 Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS Physique Chimie SPECTRES D ÉMISSION ET D ABSORPTION Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Les étoiles : l analyse de la lumière provenant

Plus en détail

Plan du chapitre «Milieux diélectriques»

Plan du chapitre «Milieux diélectriques» Plan du chapitre «Milieux diélectriques» 1. Sources microscopiques de la polarisation en régime statique 2. Etude macroscopique de la polarisation en régime statique 3. Susceptibilité diélectrique 4. Polarisation

Plus en détail

PHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Propriétés de l atome

PHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Propriétés de l atome PHYSIQUE-CHIMIE Ce sujet traite de quelques propriétés de l aluminium et de leurs applications. Certaines données fondamentales sont regroupées à la fin du texte. Partie I - Propriétés de l atome I.A -

Plus en détail

Chapitre 1 Cinématique du point matériel

Chapitre 1 Cinématique du point matériel Chapitre 1 Cinématique du point matériel 7 1.1. Introduction 1.1.1. Domaine d étude Le programme de mécanique de math sup se limite à l étude de la mécanique classique. Sont exclus : la relativité et la

Plus en détail

2.4 Représentation graphique, tableau de Karnaugh

2.4 Représentation graphique, tableau de Karnaugh 2 Fonctions binaires 45 2.4 Représentation graphique, tableau de Karnaugh On peut définir complètement une fonction binaire en dressant son tableau de Karnaugh, table de vérité à 2 n cases pour n variables

Plus en détail

LOGICIEL FONCTIONNEL EMC VNX

LOGICIEL FONCTIONNEL EMC VNX LOGICIEL FONCTIONNEL EMC VNX Améliortion des performnces des pplictions, protection des données critiques et réduction des coûts de stockge vec les logiciels complets d EMC POINTS FORTS VNX Softwre Essentils

Plus en détail

transforming tomorrow

transforming tomorrow AR006ExeBrochure24pV6:Mise en pge 1 3/03/11 10:35 Pge 1 Les pnneux isothermes trnsforming tomorrow AR006ExeBrochure24pV6:Mise en pge 1 3/03/11 10:35 Pge 2 Les pnneux isothermes Le meilleur pour toutes

Plus en détail

La réforme des soins de santé mentale en Belgique

La réforme des soins de santé mentale en Belgique 1 L réforme des soins de snté mentle en Belgique Isbel MOENS Cbinet de l Vice Première-Ministre Ministre des Affires sociles et de l Snté publique En prtenrit vec: Kristel KARLER Cbinet de l Ministre de

Plus en détail

Introduction au maillage pour le calcul scientifique

Introduction au maillage pour le calcul scientifique Introduction au maillage pour le calcul scientifique CEA DAM Île-de-France, Bruyères-le-Châtel franck.ledoux@cea.fr Présentation adaptée du tutorial de Steve Owen, Sandia National Laboratories, Albuquerque,

Plus en détail

La paye. La comptabilité. Comparez et choisissez votre logiciel. Comparez et choisissez votre logiciel. Paye Bâtiment 2012. Paye Agricole 2013

La paye. La comptabilité. Comparez et choisissez votre logiciel. Comparez et choisissez votre logiciel. Paye Bâtiment 2012. Paye Agricole 2013 L comptbilité Comprez et choisissez votre logiciel L pye Comprez et choisissez votre logiciel TABLEAUX COMPARATIFS Compt Prtic Pour les créteurs et les entrepreneurs novice en Compt Compt Clssic Pour l

Plus en détail

Guide de l'utilisateur

Guide de l'utilisateur Guide de l'utilisteur Symboles Utilisés Dns ce Guide Indictions de sécurité L documenttion et le projecteur utilisent des symboles grphiques qui indiquent comment utiliser l ppreil en toute sécurité. Veillez

Plus en détail

Molécules et Liaison chimique

Molécules et Liaison chimique Molécules et liaison chimique Molécules et Liaison chimique La liaison dans La liaison dans Le point de vue classique: l approche l de deux atomes d hydrogd hydrogènes R -0,9-1 0 0,5 1 1,5,5 3 3,5 4 R

Plus en détail

Classeur courtier d assurance. Comment organiser son activité et se préparer à un contrôle

Classeur courtier d assurance. Comment organiser son activité et se préparer à un contrôle Clsseur courtier d ssurnce Comment orgniser son ctivité et se préprer à un contrôle 67, venue Pierre Grenier 92517 BOULOGNE-BILLANCOURT CEDEX Tél : 01.46.10.43.80 Fx : 01.47.61.14.85 www.streevocts.com

Plus en détail

Les Angles. I) Angles complémentaires, angles supplémentaires. 1) Angles complémentaires. 2 Angles supplémentaires. a) Définition.

Les Angles. I) Angles complémentaires, angles supplémentaires. 1) Angles complémentaires. 2 Angles supplémentaires. a) Définition. Les Angles I) Angles complémentaires, angles supplémentaires 1) Angles complémentaires Deux angles complémentaires sont deux angles dont la somme des mesures est égale à 90 41 et 49 41 49 90 donc Les angles

Plus en détail

Commencer DCP-7055W / DCP-7057W /

Commencer DCP-7055W / DCP-7057W / Guide d instlltion rpide Commencer DCP-7055W / DCP-7057W / DCP-7070DW Veuillez lire ttentivement le livret Sécurité et réglementtion vnt d'effectuer les réglges de votre ppreil. Consultez ensuite le Guide

Plus en détail

Corrigé du baccalauréat S Pondichéry 12 avril 2007

Corrigé du baccalauréat S Pondichéry 12 avril 2007 Corrigé du baccalauréat S Pondichéry 1 avril 7 EXERCICE 1 Commun à tous les candidats 4 points 1 a Les vecteurs AB et AC ont pour coordonnées AB ; ; ) et AC 1 ; 4 ; 1) Ils ne sont manifestement pas colinéaires

Plus en détail

LE PRODUIT SCALAIRE ( En première S )

LE PRODUIT SCALAIRE ( En première S ) LE PRODUIT SCALAIRE ( En première S ) Dernière mise à jour : Jeudi 4 Janvier 007 Vincent OBATON, Enseignant au lycée Stendhal de Grenoble ( Année 006-007 ) 1 Table des matières 1 Grille d autoévaluation

Plus en détail

L EUROPE ET L EAU. «Quelle idée d appeler cette planète Terre alors qu elle est clairement océan». Arthur C. Clarke.

L EUROPE ET L EAU. «Quelle idée d appeler cette planète Terre alors qu elle est clairement océan». Arthur C. Clarke. L EUROPE ET L EAU L eu est indispensble à l vie. Elle soutient nos écosystèmes et régule le climt. Agriculture, limenttion, énergie, trnsports : l eu est u cœur de notre existence. Cependnt, elle est inéglement

Plus en détail