NUMERISATION ET TRANSMISSION DE L INFORMATION

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "NUMERISATION ET TRANSMISSION DE L INFORMATION"

Transcription

1 , Chapire rminale S NUMERISATION ET TRANSMISSION DE L INFORMATION I TRANSMISSION DE L'INFORMATION ) Signal e informaion ) Chaîne de ransmission de l informaion La chaîne de ransmission d informaions es l ensemble des élémens permean de ransférer de l informaion d un lieu à un aure. Elle comprend : un encodeur ; un canal de ransmission composé d un émeeur de l informaion ransmise, du milieu de ransmission e du récepeur ; un décodeur. Les echniques de ransmission d informaions se son développées au milieu du XX ème siècle avec l avènemen de l élecronique. Plusieurs évoluions echniques peuven êre soulignées : Le passage de l élecricié macroscopique à l élecronique a permis la miniaurisaion des disposiifs ; Le développemen de l informaique a permis de coder ous les ypes d informaions (sons, vidéos, données, exes ) e de les ransmere par les mêmes procédures e les mêmes réseaux ; Le passage du fil de cuivre à la fibre opique a permis d améliorer la qualié e le débi des ransmissions ; La éléphonie mobile, le Wifi, le Blueooh on permis de s affranchir des liaisons filaires. 3) Deux ypes de propagaion a) Propagaion libre La propagaion d'un signal es libre quand le signal peu se propager libremen suivan oues les direcions. Dans ce ype de propagaion, le milieu de ransmission es l air ambian, e les signaux ransmis son des ondes élecromagnéiques. Un canal de ransmission es caracérisé par sa bande passane, c es-à-dire la largeur des fréquences auorisées à êre uilisées. Selon la fréquence de cee onde, le ype d informaion qu elle ransme es différen : Grandes ondes Ondes moyennes Communicaions mariimes Ondes coures Radioéléphone Télévision FM VHF UHF Radioéléphone Communicaions faisceaux herziens e saellies TV direce par saellie Radar anicollision f khz MHz MHz MHz GHz GHz GHz 3 khz 3 MHz 3 MHz 3 MHz 3 GHz 3 GHz 3 GHz 3 km 3 m 3 m 3 m 3 cm 3 cm 3 mm km m m m cm cm mm Les possibiliés d uilisaion des bandes de fréquences herziennes arrivan à sauraion, la France es passée en à la élévision numérique erresre (TNT) qui uilise des bandes de fréquences plus éroies. b) Propagaion guidée La propagaion d'un signal es guidée quand le signal es conrain de se déplacer dans un espace limié. Il exise deux ypes de propagaion guidée : la ransmission par câble méallique e la ransmission par fibre opique. COMPRENDRE Page sur 9 Energie, maière e rayonnemen

2 Transmission par câbles méalliques Les câbles méalliques (ou câbles élecriques) son uilisés pour ransmere des informaions sous forme de signaux élecriques. Ce ype de ransmission es privilégié pour de coures disances pour deux raisons imporanes : l amorissemen des signaux augmene foremen avec la longueur du câble, les champs élecromagnéiques environnan les câbles déformen les signaux qui se propagen dans ces mêmes câbles. Plusieurs ypes de câbles son uilisés courammen : Le câble à paire orsadée, consiué de deux fils de cuivre enfermés dans une gaine isolane e enrelacés. (Ex. : le câble réseau RJ5) Le câble coaxial, consiué d un fil de cuivre cenral (appelé âme) e d une resse en cuivre séparés dans une gaine isolane e enrelacés. (Ex. : le câble enre une anenne e une TV) Câble à paire orsadée Câble coaxial Transmission par fibre opique Les fibres opiques son uilisées pour ransmere des informaions sous forme de signaux élecromagnéiques. Ce ype de ransmission es privilégié pour de grandes disances pour deux raisons imporanes : l aénuaion des signaux augmene rès faiblemen avec la longueur du câble, les signaux qui se propagen dans ces fibres son insensibles aux champs élecromagnéiques environnan. Une fibre opique se compose de rois paries : le cœur, la gaine e la proecion plasique. L indice de réfracion du cœur es supérieur à celui de la gaine : la surface limian le cœur e la gaine forme donc un diopre sur lequel un rayon lumineux se réfléchi. Plusieurs ypes de fibres son uilisés courammen : Les fibres mulimodales à sau d indice (fig. a ci-conre), consiuées d un cœur, milieu homogène d indice de réfracion consan ayan un for diamère (quelques dizaines voire cenaines de micromères). Ce son les premières fibres opiques uilisées à grande échelle. Ces fibres uilisen des rayons lumineux ayan des rajes (des modes) différens : des muliples réflexions successives engendren des longueurs de raje différenes e donc un éalemen de la récepion du signal de sorie, le signal ransmis es donc dégradé par ce ype de fibre. Ces fibres son donc uilisées pour de cours rajes, quelques cenaines de mères. Les fibres mulimodales à gradien d indice (fig. b ci-conre) on remplacé les fibres mulimodales à sau d indice : l uilisaion d un cœur ayan non pas un indice de réfracion homogène mais décroissans en s éloignan du cenre du cœur perme de diminuer l éalemen emporel de la récepion du signal de sorie e donc sa dégradaion. Ces fibres son donc uilisées pour de cours rajes, de l ordre du kilomère. Les fibres monomodales (fig. c ci-conre) consiuées d un cœur rès fin (le diamère es environ égal à la longueur d onde de l onde élecromagnéique uilisée, soi de quelques micromères). Dans ce ype de fibre, l onde subi peu de réflexions successives, car elle raverse la fibre quasimen dans la direcion de son axe. Les signaux ransporés son peu dégradés par ces fibres, qui son donc uilisées pour de rès longs rajes, noammen les liaisons inerconinenales. COMPRENDRE Page sur 9 mps, mouvemen e évoluion

3 ) Noion d aénuaion du signal Lors de sa propagaion, ou signal es aénué : la puissance lumineuse P S du signal à la sorie de la chaîne de ransmission es oujours inférieure à la puissance P e du signal à l enrée de la chaîne de ransmission. L aénuaion A d un signal es définie par : A =. log P e P s où A es exprimée en Décibel (db) Pour comparer les ransmissions enre elles, un coefficien d aénuaion linéique es défini : = A Soi α =. log P e d d P s avec d : la disance enre l émeeur e le récepeur en m, A en db e en db.m - Exemple : Une fibre opique uilisée pour de longues disances, à =,55 µm, a un coefficien proche de. - db.m - Un câble coaxial uilisé pour une anenne a un coefficien proche de, db.m - 5) Noion de débi binaire Le débi binaire mesure la quanié de données numériques ransmises par unié de emps. Il caracérise les ransmissions numériques. Si l informaion compore n bis émis pendan la durée, le débi binaire D es défini par la relaion : D = n (bis. s ) (bis) (s) = N nb. signaux k bis f e Hz N : nombre de signaux, k : nombre de bis uilisés e f e fréquence d échanillonnage (Cf. II-)) Exemples : Téléphone classique : kbis.s - Wi-Fi : Mbis.s - Fibre opique : Mbis.s - - Gbis.s - II NUMERISATION D UN SIGNAL La conversion d un signal analogique en un signal numérique es réalisée par un Converisseur Analogique Numérique ou CAN. La numérisaion d un signal analogique comprend oujours rois éapes imporanes : l échanillonnage - blocage, la quanificaion e le codage. ) Le signal binaire Le signal binaire présene l avanage d êre peu sensible aux perurbaions, les valeurs possibles de ension éan rès disinces. Ce ype de signal offre la possibilié d un raiemen informaisé, un ordinaeur ne pouvan effecuer des opéraions que sur des nombres binaires. Tou signal doi êre numérisé avan d êre exploié ou modifié informaiquemen. En revanche un signal recomposé à parir de sa version numérique présene des «échelees» donc n es pas une copie conforme du signal analogique de dépar. Un sysème numérique es consiué de nombreux composans élecroniques forman un circui élecrique complexe. À l image des deux éas possibles d un couran élecrique (il passe ou il ne passe pas), un sysème numérique uilise le langage binaire : un pour une ension basse (ou un couran qui ne passe pas) e un pour ension haue (ou un couran qui passe). L unié d informaion ne pouvan prendre que ces deux valeurs possibles es appelé un bi (conracion de BInary digit) COMPRENDRE Page 3 sur 9 mps, mouvemen e évoluion

4 Physique ) L échanillonnage - blocage Applicaion : 6 u 5 6 u 5 3 échanillonnage Signal analogique Signal échanillonné Signal bloqué u 5 blocage u (V) u (V),5,5,5,,5,,5,3,35,,5,5 (s) (s),5,,5,,5,3,35,,5,5 -,5 -,5 - Signal analogique convenablemen échanillonné - Signal analogique mal échanillonné f e >.f f e <.f 3) Quanificaion a) Résoluion du converisseur b) Pas de quanificaion Calibre Pour définir le pas de quanificaion, il fau connaîre la plage de mesure qui es la largeur de l inervalle de l ensemble des valeurs mesurables. Elle s exprime en Vol e défini le calibre à uiliser par l appareil de mesure. Définiion du pas de quanificaion Exemple : Converisseur de bis : Calibre (V) - ; ; ; + -, ; +, ; + 5 Plage de mesure (en V), 5 Pas (mv),9,,9,98, COMPRENDRE Page sur 9 mps, mouvemen e évoluion

5 Physique c) Qu es ce que la quanificaion? Exemple : Pour un converisseur de bis, un calibre de ; 5 V e donc un pas de, mv, les valeurs permises son : V,,mV,, mv, 3,6 mv,,8 mv, 6, mv Exemple : Pour l exemple précéden, si la valeur analogique de l échanillon prélevé es de 5,3 mv, la valeur permise la plus proche, e donc la valeur reenue, sera de,8 mv. Applicaion : d) Codage 6 u 5 3 quanificaion Signal bloqué p 6 u p 5 8p 36p p p Signal échanillonné. Commen passer d une écriure décimale à une écriure binaire? L écriure binaire repose sur le fai que ou nombre peu s écrire sous la forme d une somme de puissances de. Décimal binaire Décimal binaire Décimal binaire Décimal binaire Applicaion : p 6 u p 5 8p 6p 3 p p numérisaion Dae T e.t e 3.T e.t e 5.T e 6.T e 7.T e 8.T e 9.T e Valeur décimale Valeur binaire (bis) COMPRENDRE Page 5 sur 9 mps, mouvemen e évoluion

6 III - LES CARACTERISTIQUES D UNE IMAGE NUMERIQUE Une image es consiuée d une succession de aches colorées appelées pixel. Chaque pixel es subdivisé en rois aches correspondan aux rois couleurs primaires Rouge, Ver e Bleu. ) Le codage des pixels en couleur Le codage le plus uilisé es le codage RVB bis. Chaque couleur primaire es codée sur un groupe de 8 bis, appelé oce, pouvan prendre 56 valeurs différenes comprises enre e 55, correspondan à 56 niveaux d inensié lumineuse différens. Lorsque la couleur primaire es éeine, l oce prend sa plus peie valeur : Lorsque la couleur primaire a sa plus fore inensié lumineuse, l oce prend sa plus fore valeur : Chaque pixel (regroupan les 3 couleurs primaires) es donc codé sur 3 groupes de 8 bis (3 oces), soi bis. Chaque couleur primaire pouvan prendre 56 nuances différenes, chaque pixel peu en prendre plus de 6 millions : = ) Le codage des pixels en nuances de gris Le codage en nuances de gris consise à uiliser le codage RVB bis, en limian le nombre de valeurs possibles prises par un oce : à chaque couleur primaire sera affecée la même valeur de nombre binaire. Puisque un oce peu prendre 56 valeurs différenes, il es possible d obenir 56 niveaux de gris différens. Exemples : blanc : oues les couleurs primaires son allumées avec la plus fore inensié lumineuse : R V B noir : oues les couleurs primaires son éeines : R V B un gris foncé : oues les couleurs primaires allumées avec une assez faible inensié lumineuse : R V B un gris clair : oues les couleurs primaires allumées avec une assez fore inensié lumineuse : R V B ) Caracérisiques d une image numérique COMPRENDRE Page 6 sur 9 mps, mouvemen e évoluion

7 Exemples : Définiion : Une image possédan 6 colonnes e lignes compore 6 =,9. 6 pixels Cee image a une définiion d environ MPx. Résoluion : Si une image possède peu de pixels par unié de longueur, l image apparaîra pixellisée. Taille : Si l image précédene de,9. 6 pixels es codée en bis RVB (3 oces par pixel), sa aille es de : Taille = 3,9. 6 = 5,76. 6 oces. Si l image précédene de,9. 6 pixels es codée en bis N&B ( oce par pixel suffi alors), sa aille es de : Taille =,9. 6 =,9. 6 oces. Remarque : En réalié, le fichier a une aille légèremen supérieure car quelques oces son uilisés pour coder des informaions comme le forma, le nombre de lignes e de colonnes, le nom du fichier ) 5) Les préfixes de l unié de sockage informaique La quanié de mémoire uilisée dans les sysèmes numériques acuels es rès imporane : de nouveaux préfixes on alors éé définis. Les signaux analogiques uilisen des nombres en base ( caracères possibles de à 9) : Nom / Kilo Méga Giga Téra Symbole / k M G T valeur Exemples : 3,5 km = 3,5. 3 m Les sysèmes numériques uilisen des nombres en base ( valeurs possibles : ou ) : Nom / Kibi Mébi Gibi Tébi Symbole / Ki Mi Gi Ti Valeur ,99. Exemples : 3,5 Gio = 3,5. 3 oces Remarque : Le préfixe Gibi es la conracion de Gigabinaire L abréviaion du mo oce s écri oujours avec un «o» minuscule. C es un abus de langage de remplacer les préfixes binaires par les préfixes décimaux. IV - LE STOCKAGE OPTIQUE ) Définiion Exemples : Compac Disc (CD), Digial Versaile Disc (DVD), Blu-ray Disc (BD) ) La lecure opique a) Cas d un disque gravé indusriellemen La êe de lecure d un disque opique conien : Une diode laser, qui éme des ondes élecromagnéiques à une longueur d onde précise. Un miroir semi-réfléchissan, qui envoie une parie de l onde vers le disque opique. Des lenilles de focalisaion, qui concenre la lumière sur les alvéoles de la pise à lire. COMPRENDRE Page 7 sur 9 mps, mouvemen e évoluion

8 Une phoodiode, qui reçoi la lumière réfléchie par le disque opique. Un disque opique es formé d'un subsra en maière plasique e une fine couche méallique sur laquelle on éé creusées des alvéoles (à l'écriure des données), disposées le long d'une pise en spirale. Ces alvéoles permeen le codage numérique en binaire des informaions. Conrairemen à ce qu il es couran d enendre, les creux ne représenen pas les e les plas les. La lecure des informaions écries sur le disque opique es basée sur l uilisaion de deux phénomènes physiques : la réflexion e les inerférences. Lorsque le faisceau laser du leceur balaie la pise, la différence de marche enre deux rayons se réfléchissan sur la pise peu conduire à des inerférences consrucives ou desrucives selon deux cas : Si le faisceau laser frappe un creux ou un pla, la phoodiode reçoi les ondes réfléchies par le pla (ou le creux). Comme elles arriven oues en phase, l inensié lumineuse perçue es maximale e la valeur binaire es affecée à cee siuaion. Si le faisceau laser frappe une zone à cheval enre un creux e un pla, la phoodiode reçoi l onde réfléchie provenan du creux e celle provenan du pla. L onde se dirigean vers un creux doi parcourir plus de chemin que celle se dirigean vers un pla. En effe, l épaisseur du creux es par consrucion égale à de la radiaion du faisceau laser : l aller e le reour du chemin supplémenaire correspond donc à une disance égale donc les deux ondes reçues par la phoodiode arriven en opposiion de phase ; l inensié lumineuse perçue es quasi-nulle e la valeur binaire es affecée à cee siuaion. Remarque : Le codage binaire des données uilisées consise à aribuer : Un lors du passage d'un pla à un creux ou vice versa, c'es-à-dire lorsque la ension fournie par le capeur varie ; Un lorsque la ension es sable (soi dans un éa hau, soi dans un éa bas). b) Cas d un disque inscripible Un disque inscripible ype CD-R (Compac Disc Recordable) ne compore ni creux, ni pla. Ce disposiif es remplacé par une couche de coloran organique coincée enre une couche méallique e une aure en polycarbonae. L écriure de données sur ce suppor ne correspond pas à une gravure, mm Éiquee Acrylique Aluminium Coloran Polycarbonae mais à une brûlure du composé organique ; en effe, le faisceau laser opacifie la couche organique e crée ainsi un conrase enre les zones brûlées e celles qui ne le son pas. A la lecure, les zones brûlées absorben la lumière. Au conraire, les zones non brûlées réfléchissen la lumière COMPRENDRE Page 8 sur 9 mps, mouvemen e évoluion

9 du laser. La mesure des différenes inensiés de lumière réfléchies perme de décoder l informaion numérique. c) Cas d un disque réinscripible Un disque réinscripible ype CD-RW (Compac Disc ReWriable) ne compore ni creux, ni pla comme un CD-R. La couche organique du disque inscripible es remplacée par rois couches : une couche d un maériau crisallin coincée enre deux couches d un maériau élecriquemen isolan. L écriure de données sur ce suppor ne correspond pas non plus à une gravure mais à un changemen de phase du maériau crisallin : par chauffage, le faisceau laser fai fondre la srucure crisalline la ransforman en maériau amorphe (non srucuré). Les couches isolanes permeen le refroidissemen rapide e donc le mainien en l éa du maériau amorphe. La lecure des données reprend le principe du disque inscripible. L effacemen des données s obien en chauffan plus faiblemen la couche crisalline/amorphe e en la laissan refroidir plus lenemen afin que ou le maériau rerouve une srucure crisalline. Un graveur doi donc posséder une source laser capable de moduler l inensié lumineuse du faisceau lumineux qu elle éme. Éiquee Acrylique Aluminium Isolan Aluminium, mm Srucure crisalline / amorphe Polycarbonae Phase amorphe Phase crisalline 3) Capacié de sockage Pour accroîre la capacié de sockage d'un disque opique, ou en conservan le même forma, il fau que les inscripions sur les pises soien plus fines e rapprochées. Mais, lors de l'écriure e la lecure, la concenraion du faisceau laser par une lenille convergene es limiée par le phénomène de diffracion. En effe, le faisceau laser ne se concenre pas en un poin, mais en une âche de diffracion don les dimensions son proporionnelles à la longueur d'onde du laser. L'emploi de laser de longueur d'onde de plus en plus coure a permis d'accroîre la capacié de sockage des disques opiques. C es ainsi que son nés le DVD puis le BD. COMPRENDRE Page 9 sur 9 mps, mouvemen e évoluion

Université Technique de Sofia, Filière Francophone d Informatique Notes de cours de Réseaux Informatiques, G. Naydenov Maitre de conférence, PhD

Université Technique de Sofia, Filière Francophone d Informatique Notes de cours de Réseaux Informatiques, G. Naydenov Maitre de conférence, PhD LA COUCHE PHYSIQUE 1 FONCTIONS GENERALES Cee couche es chargée de la conversion enre bis informaiques e signaux physiques Foncions principales de la couche physique : définiion des caracérisiques de la

Plus en détail

Caractéristiques des signaux électriques

Caractéristiques des signaux électriques Sie Inerne : www.gecif.ne Discipline : Génie Elecrique Caracérisiques des signaux élecriques Sommaire I Définiion d un signal analogique page 1 II Caracérisiques d un signal analogique page 2 II 1 Forme

Plus en détail

Chapitre 22 : (Cours) Numérisation, transmission, et stockage de l information

Chapitre 22 : (Cours) Numérisation, transmission, et stockage de l information Chapitre 22 : (Cours) Numérisation, transmission, et stockage de l information I. Nature du signal I.1. Définition Un signal est la représentation physique d une information (température, pression, absorbance,

Plus en détail

Les circuits électriques en régime transitoire

Les circuits électriques en régime transitoire Les circuis élecriques en régime ransioire 1 Inroducion 1.1 Définiions 1.1.1 égime saionnaire Un régime saionnaire es caracérisé par des grandeurs indépendanes du emps. Un circui en couran coninu es donc

Plus en détail

Chapitre 18 : Transmettre et stocker de l information

Chapitre 18 : Transmettre et stocker de l information Chapitre 18 : Transmettre et stocker de l information Connaissances et compétences : - Identifier les éléments d une chaîne de transmission d informations. - Recueillir et exploiter des informations concernant

Plus en détail

Puis le convertisseur bloque en mémoire cette valeur pendant une période d échantillonnage.

Puis le convertisseur bloque en mémoire cette valeur pendant une période d échantillonnage. PATIE 7 CHAPITE (PHYSIQUE) NUMÉISATION, STOCKAGE ET TANSMISSION DE L INFOMATION TS I. LE SIGNAL NUMÉIQUE. Signal analogique ou numérique? Un signal est la représentation physique d une information qui

Plus en détail

TB 352 TB 352. Entrée 1. Entrée 2

TB 352 TB 352. Entrée 1. Entrée 2 enrées série TB logiciel d applicaion 2 enrées à émission périodique famille : Inpu ype : Binary inpu, 2-fold TB 352 Environnemen Bouon-poussoir TB 352 Enrée 1 sories 230 V Inerrupeur Enrée 2 Câblage sur

Plus en détail

Recueil d'exercices de logique séquentielle

Recueil d'exercices de logique séquentielle Recueil d'exercices de logique séquenielle Les bascules: / : Bascule JK Bascule D. Expliquez commen on peu modifier une bascule JK pour obenir une bascule D. 2/ Eude d un circui D Q Q Sorie A l aide d

Plus en détail

Rappels théoriques. -TP- Modulations digitales ASK - FSK. Première partie 1 INTRODUCTION

Rappels théoriques. -TP- Modulations digitales ASK - FSK. Première partie 1 INTRODUCTION 2 IUT Blois Déparemen GTR J.M. Giraul, O. Bou Maar, D. Ceron M. Richard, P. Sevesre e M. Leberre. -TP- Modulaions digiales ASK - FSK IUT Blois Déparemen du Génie des Télécommunicaions e des Réseaux. Le

Plus en détail

SYSTÈME HYBRIDE SOLAIRE THERMODYNAMIQUE POUR L EAU CHAUDE SANITAIRE

SYSTÈME HYBRIDE SOLAIRE THERMODYNAMIQUE POUR L EAU CHAUDE SANITAIRE SYSTÈME HYBRIDE SOLAIRE THERMODYNAMIQUE POUR L EAU CHAUDE SANITAIRE Le seul ballon hybride solaire-hermodynamique cerifié NF Elecricié Performance Ballon hermodynamique 223 lires inox 316L Plaque évaporarice

Plus en détail

Les solutions solides et les diagrammes d équilibre binaires. sssp1. sssp1 ssss1 ssss2 ssss3 sssp2

Les solutions solides et les diagrammes d équilibre binaires. sssp1. sssp1 ssss1 ssss2 ssss3 sssp2 Les soluions solides e les diagrammes d équilibre binaires 1. Les soluions solides a. Descripion On peu mélanger des liquides par exemple l eau e l alcool en oue proporion, on peu solubiliser un solide

Plus en détail

CANAUX DE TRANSMISSION BRUITES

CANAUX DE TRANSMISSION BRUITES Canaux de ransmissions bruiés Ocobre 03 CUX DE TRSISSIO RUITES CORRECTIO TRVUX DIRIGES. oyer Canaux de ransmissions bruiés Ocobre 03. RUIT DE FOD Calculer le niveau absolu de brui hermique obenu pour une

Plus en détail

La rentabilité des investissements

La rentabilité des investissements La renabilié des invesissemens Inroducion Difficulé d évaluer des invesissemens TI : problème de l idenificaion des bénéfices, des coûs (absence de saisiques empiriques) problème des bénéfices Inangibles

Plus en détail

MATHEMATIQUES FINANCIERES

MATHEMATIQUES FINANCIERES MATHEMATIQUES FINANCIERES LES ANNUITES INTRODUCTION : Exemple 1 : Une personne veu acquérir une maison pour 60000000 DH, pour cela, elle place annuellemen au CIH une de 5000000 DH. Bu : Consiuer un capial

Plus en détail

Chapitre 2 L investissement. . Les principales caractéristiques de l investissement

Chapitre 2 L investissement. . Les principales caractéristiques de l investissement Chapire 2 L invesissemen. Les principales caracérisiques de l invesissemen.. Définiion de l invesissemen Définiion générale : ensemble des B&S acheés par les agens économiques au cours d une période donnée

Plus en détail

B34 - Modulation & Modems

B34 - Modulation & Modems G. Pinson - Physique Appliquée Modulaion - B34 / Caracérisiques d'un canal de communicaion B34 - Modulaion & Modems - Définiions * Half Duplex ou simplex : ransmission un sens à la fois ; exemple : alky-walky

Plus en détail

Le mode de fonctionnement des régimes en annuités. Secrétariat général du Conseil d orientation des retraites

Le mode de fonctionnement des régimes en annuités. Secrétariat général du Conseil d orientation des retraites CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 28 janvier 2009 9 h 30 «Les différens modes d acquisiion des drois à la reraie en répariion : descripion e analyse comparaive des echniques uilisées»

Plus en détail

CARACTERISTIQUES STATIQUES D'UN SYSTEME

CARACTERISTIQUES STATIQUES D'UN SYSTEME CARACTERISTIQUES STATIQUES D'UN SYSTEE 1 SYSTEE STABLE, SYSTEE INSTABLE 1.1 Exemple 1: Soi un sysème composé d une cuve pour laquelle l écoulemen (perurbaion) es naurel au ravers d une vanne d ouverure

Plus en détail

Oscillations forcées en régime sinusoïdal.

Oscillations forcées en régime sinusoïdal. Conrôle des prérequis : Oscillaions forcées en régime sinusoïdal. - a- Rappeler l expression de la période en foncion de la pulsaion b- Donner l expression de la période propre d un circui RLC série -

Plus en détail

Chapitre 13 Numérisation de l information

Chapitre 13 Numérisation de l information DERNIÈRE IMPRESSION LE 2 septembre 2013 à 17:33 Chapitre 13 Numérisation de l information Table des matières 1 Transmission des informations 2 2 La numérisation 2 2.1 L échantillonage..............................

Plus en détail

MIDI F-35. Canal MIDI 1 Mélodie Canal MIDI 2 Basse Canal MIDI 10 Batterie MIDI IN. Réception du canal MIDI = 1 Reproduit la mélodie.

MIDI F-35. Canal MIDI 1 Mélodie Canal MIDI 2 Basse Canal MIDI 10 Batterie MIDI IN. Réception du canal MIDI = 1 Reproduit la mélodie. / VARIATION/ ACCOMP PLAY/PAUSE REW TUNE/MIDI 3- LESSON 1 2 3 MIDI Qu es-ce que MIDI? MIDI es l acronyme de Musical Insrumen Digial Inerface, une norme inernaionale pour l échange de données musicales enre

Plus en détail

Intégration de Net2 avec un système d alarme intrusion

Intégration de Net2 avec un système d alarme intrusion Ne2 AN35-F Inégraion de Ne2 avec un sysème d alarme inrusion Vue d'ensemble En uilisan l'inégraion d'alarme Ne2, Ne2 surveillera si l'alarme inrusion es armée ou désarmée. Si l'alarme es armée, Ne2 permera

Plus en détail

Documentation Technique de Référence Chapitre 8 Trames types Article 8.14-1

Documentation Technique de Référence Chapitre 8 Trames types Article 8.14-1 Documenaion Technique de Référence Chapire 8 Trames ypes Aricle 8.14-1 Trame de Rappor de conrôle de conformié des performances d une insallaion de producion Documen valide pour la période du 18 novembre

Plus en détail

Thème : Electricité Fiche 5 : Dipôle RC et dipôle RL

Thème : Electricité Fiche 5 : Dipôle RC et dipôle RL Fiche ors Thème : Elecricié Fiche 5 : Dipôle e dipôle Plan de la fiche Définiions ègles 3 Méhodologie I - Définiions oran élecriqe : déplacemen de charges élecriqes q a mesre d débi de charges donne l

Plus en détail

Sommaire de la séquence 12

Sommaire de la séquence 12 Sommaire de la séquence 12 Séance 1........................................................................................................ Je prends un bon dépar.......................................................................................

Plus en détail

CHAPITRE I : Cinématique du point matériel

CHAPITRE I : Cinématique du point matériel I. 1 CHAPITRE I : Cinémaique du poin maériel I.1 : Inroducion La plupar des objes éudiés par les physiciens son en mouvemen : depuis les paricules élémenaires elles que les élecrons, les proons e les neurons

Plus en détail

Annuités. I Définition : II Capitalisation : ( Valeur acquise par une suite d annuités constantes ) V n = a t

Annuités. I Définition : II Capitalisation : ( Valeur acquise par une suite d annuités constantes ) V n = a t Annuiés I Définiion : On appelle annuiés des sommes payables à inervalles de emps déerminés e fixes. Les annuiés peuven servir à : - consiuer un capial ( annuiés de placemen ) - rembourser une dee ( annuiés

Plus en détail

2. Quelle est la valeur de la prime de l option américaine correspondante? Utilisez pour cela la technique dite de remontée de l arbre.

2. Quelle est la valeur de la prime de l option américaine correspondante? Utilisez pour cela la technique dite de remontée de l arbre. 1 Examen. 1.1 Prime d une opion sur un fuure On considère une opion à 85 jours sur un fuure de nominal 18 francs, e don le prix d exercice es 175 francs. Le aux d inérê (coninu) du marché monéaire es 6%

Plus en détail

Cours d électrocinétique :

Cours d électrocinétique : Universié de Franche-Comé UFR des Sciences e Techniques STARTER 005-006 Cours d élecrocinéique : Régimes coninu e ransioire Elecrocinéique en régimes coninu e ransioire 1. INTRODUCTION 5 1.1. DÉFINITIONS

Plus en détail

Cahier technique n 114

Cahier technique n 114 Collecion Technique... Cahier echnique n 114 Les proecions différenielles en basse ension J. Schonek Building a ew Elecric World * Les Cahiers Techniques consiuen une collecion d une cenaine de ires édiés

Plus en détail

Sciences Industrielles pour l Ingénieur

Sciences Industrielles pour l Ingénieur Sciences Indusrielles pour l Ingénieur Cenre d Inérê 6 : CONVERTIR l'énergie Compéences : MODELISER, RESOUDRE CONVERSION ELECTROMECANIQUE - Machine à couran coninu en régime dynamique Procédés de piloage

Plus en détail

Transmission et stockage de l information

Transmission et stockage de l information Transmission et stockage de l information La transmission d informations peut être libre, c est-à-dire assurée par des ondes électromagnétiques émises dans toutes les directions de l espace (Wi-Fi, radio,

Plus en détail

VA(1+r) = C 1. VA = C 1 v 1

VA(1+r) = C 1. VA = C 1 v 1 Universié Libre de Bruxelles Solvay Business School La valeur acuelle André Farber Novembre 2005. Inroducion Supposons d abord que le emps soi limié à une période e que les cash flows fuurs (les flux monéaires)

Plus en détail

TRAVAUX PRATIQUES N 5 INSTALLATION ELECTRIQUE DE LA CAGE D'ESCALIER DU BATIMENT A

TRAVAUX PRATIQUES N 5 INSTALLATION ELECTRIQUE DE LA CAGE D'ESCALIER DU BATIMENT A UIMBERTEAU UIMBERTEAU TRAVAUX PRATIQUES 5 ISTALLATIO ELECTRIQUE DE LA CAE D'ESCALIER DU BATIMET A ELECTROTECHIQUE Seconde B.E.P. méiers de l'elecroechnique ELECTROTECHIQUE HABITAT Ver.. UIMBERTEAU TRAVAUX

Plus en détail

Ned s Expat L assurance des Néerlandais en France

Ned s Expat L assurance des Néerlandais en France [ LA MOBILITÉ ] PARTICULIERS Ned s Expa L assurance des Néerlandais en France 2015 Découvrez en vidéo pourquoi les expariés en France choisissen APRIL Inernaional pour leur assurance sané : Suivez-nous

Plus en détail

Cahier technique n 141

Cahier technique n 141 Collecion Technique... Cahier echnique n 141 Les perurbaions élecriques en BT R. Calvas Les Cahiers Techniques consiuen une collecion d une cenaine de ires édiés à l inenion des ingénieurs e echniciens

Plus en détail

Coaching - accompagnement personnalisé (Ref : MEF29) Accompagner les agents et les cadres dans le développement de leur potentiel OBJECTIFS

Coaching - accompagnement personnalisé (Ref : MEF29) Accompagner les agents et les cadres dans le développement de leur potentiel OBJECTIFS Coaching - accompagnemen personnalisé (Ref : MEF29) Accompagner les agens e les cadres dans le développemen de leur poeniel OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION Le coaching es une démarche s'inscrivan dans

Plus en détail

Texte Ruine d une compagnie d assurance

Texte Ruine d une compagnie d assurance Page n 1. Texe Ruine d une compagnie d assurance Une nouvelle compagnie d assurance veu enrer sur le marché. Elle souhaie évaluer sa probabilié de faillie en foncion du capial iniial invesi. On suppose

Plus en détail

Chap17 - CORRECTİON DES EXERCİCES

Chap17 - CORRECTİON DES EXERCİCES Chap17 - CORRECTİON DES EXERCİCES n 3 p528 Le signal a est numérique : il n y a que deux valeurs possibles pour la tension. Le signal b n est pas numérique : il y a alternance entre des signaux divers

Plus en détail

OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION

OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION Formaion assurance-vie e récupéraion: Quand e Commen récupérer? (Ref : 3087) La maîrise de la récupéraion des conras d'assurances-vie requalifiés en donaion OBJECTIFS Appréhender la naure d un conra d

Plus en détail

CHAPITRE 13. EXERCICES 13.2 1.a) 20,32 ± 0,055 b) 97,75 ± 0,4535 c) 1953,125 ± 23,4375. 2.±0,36π cm 3

CHAPITRE 13. EXERCICES 13.2 1.a) 20,32 ± 0,055 b) 97,75 ± 0,4535 c) 1953,125 ± 23,4375. 2.±0,36π cm 3 Chapire Eercices de snhèse 6 CHAPITRE EXERCICES..a), ±,55 b) 97,75 ±,455 c) 95,5 ±,475.±,6π cm.a) 44,, erreur absolue de,5 e erreur relaive de, % b) 5,56, erreur absolue de,5 e erreur relaive de,9 % 4.a)

Plus en détail

Programmation, organisation et optimisation de son processus Achat (Ref : M64) Découvrez le programme

Programmation, organisation et optimisation de son processus Achat (Ref : M64) Découvrez le programme Programmaion, organisaion e opimisaion de son processus Acha (Ref : M64) OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION Appréhender la foncion achas e son environnemen Opimiser son processus achas Développer un acha

Plus en détail

Les Comptes Nationaux Trimestriels

Les Comptes Nationaux Trimestriels REPUBLIQUE DU CAMEROUN Paix - Travail Parie ---------- INSTITUT NATIONAL DE LA STATISTIQUE ---------- REPUBLIC OF CAMEROON Peace - Work Faherland ---------- NATIONAL INSTITUTE OF STATISTICS ----------

Plus en détail

F 2 = - T p K 0. ... F T = - T p K 0 - K 0

F 2 = - T p K 0. ... F T = - T p K 0 - K 0 Correcion de l exercice 2 de l assisana pré-quiz final du cours Gesion financière : «chéancier e aux de renabilié inerne d empruns à long erme» Quesion : rappeler la formule donnan les flux à chaque échéance

Plus en détail

Transmission de données. A) Principaux éléments intervenant dans la transmission

Transmission de données. A) Principaux éléments intervenant dans la transmission Page 1 / 7 A) Principaux éléments intervenant dans la transmission A.1 Equipement voisins Ordinateur ou terminal Ordinateur ou terminal Canal de transmission ETTD ETTD ETTD : Equipement Terminal de Traitement

Plus en détail

UE 503 L3 MIAGE. Initiation Réseau et Programmation Web La couche physique. A. Belaïd

UE 503 L3 MIAGE. Initiation Réseau et Programmation Web La couche physique. A. Belaïd UE 503 L3 MIAGE Initiation Réseau et Programmation Web La couche physique A. Belaïd abelaid@loria.fr http://www.loria.fr/~abelaid/ Année Universitaire 2011/2012 2 Le Modèle OSI La couche physique ou le

Plus en détail

Finance 1 Université d Evry Val d Essonne. Séance 2. Philippe PRIAULET

Finance 1 Université d Evry Val d Essonne. Séance 2. Philippe PRIAULET Finance 1 Universié d Evry Val d Essonne éance 2 Philippe PRIAULET Plan du cours Les opions Définiion e Caracérisiques Terminologie, convenion e coaion Les différens payoffs Le levier implicie Exemple

Plus en détail

Estimation des matrices de trafics

Estimation des matrices de trafics Cédric Foruny 1/5 Esimaion des marices de rafics Cedric FORTUNY Direceur(s) de hèse : Jean Marie GARCIA e Olivier BRUN Laboraoire d accueil : LAAS & QoSDesign 7, av du Colonel Roche 31077 TOULOUSE Cedex

Plus en détail

Impact du vieillissement démographique sur l impôt prélevé sur les retraits des régimes privés de retraite

Impact du vieillissement démographique sur l impôt prélevé sur les retraits des régimes privés de retraite DOCUMENT DE TRAVAIL 2003-12 Impac du vieillissemen démographique sur l impô prélevé sur les rerais des régimes privés de reraie Séphane Girard Direcion de l analyse e du suivi des finances publiques Ce

Plus en détail

Chapitre 2 : communications numériques.

Chapitre 2 : communications numériques. Chapitre 2 : communications numériques. 1) généralités sur les communications numériques. A) production d'un signal numérique : transformation d'un signal analogique en une suite d'éléments binaires notés

Plus en détail

GUIDE DES INDICES BOURSIERS

GUIDE DES INDICES BOURSIERS GUIDE DES INDICES BOURSIERS SOMMAIRE LA GAMME D INDICES.2 LA GESTION DES INDICES : LE COMITE DES INDICES BOURSIERS.4 METHODOLOGIE ET CALCUL DE L INDICE TUNINDEX ET DES INDICES SECTORIELS..5 I. COMPOSITION

Plus en détail

Froid industriel : production et application (Ref : 3494) Procédés thermodynamiques, systèmes et applications OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION

Froid industriel : production et application (Ref : 3494) Procédés thermodynamiques, systèmes et applications OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION Froid indusriel : producion e applicaion (Ref : 3494) Procédés hermodynamiques, sysèmes e applicaions SUPPORT PÉDAGOGIQUE INCLUS. OBJECTIFS Appréhender les différens procédés hermodynamiques de producion

Plus en détail

LA COUCHE PHYSIQUE EST LA COUCHE par laquelle l information est effectivemnt transmise.

LA COUCHE PHYSIQUE EST LA COUCHE par laquelle l information est effectivemnt transmise. M Informatique Réseaux Cours bis Couche Physique Notes de Cours LA COUCHE PHYSIQUE EST LA COUCHE par laquelle l information est effectivemnt transmise. Les technologies utilisées sont celles du traitement

Plus en détail

EVALUATION DE LA FPL PAR LES APPRENANTS: CAS DU MASTER IDS

EVALUATION DE LA FPL PAR LES APPRENANTS: CAS DU MASTER IDS EVALUATION DE LA FPL PAR LES APPRENANTS: CAS DU MASTER IDS CEDRIC TAPSOBA Diplômé IDS Inern/ CARE Regional Program Coordinaor and Gender Specialiy Service from USAID zzz WA-WASH Program Tel: 70 77 73 03/

Plus en détail

Q6 : Comment calcule t-on l intensité sonore à partir du niveau d intensité?

Q6 : Comment calcule t-on l intensité sonore à partir du niveau d intensité? EXERCICE 1 : QUESTION DE COURS Q1 : Qu est ce qu une onde progressive? Q2 : Qu est ce qu une onde mécanique? Q3 : Qu elle est la condition pour qu une onde soit diffractée? Q4 : Quelles sont les différentes

Plus en détail

Ecole des HEC Université de Lausanne FINANCE EMPIRIQUE. Eric Jondeau

Ecole des HEC Université de Lausanne FINANCE EMPIRIQUE. Eric Jondeau Ecole des HEC Universié de Lausanne FINANCE EMPIRIQUE Eric Jondeau FINANCE EMPIRIQUE La prévisibilié des rendemens Eric Jondeau L hypohèse d efficience des marchés Moivaion L idée de base de l hypohèse

Plus en détail

Ecole Centrale d Electronique VA «Réseaux haut débit et multimédia» Novembre 2009

Ecole Centrale d Electronique VA «Réseaux haut débit et multimédia» Novembre 2009 Ecole Centrale d Electronique VA «Réseaux haut débit et multimédia» Novembre 2009 1 Les fibres optiques : caractéristiques et fabrication 2 Les composants optoélectroniques 3 Les amplificateurs optiques

Plus en détail

Files d attente (1) F. Sur - ENSMN. Introduction. 1 Introduction. Vocabulaire Caractéristiques Notations de Kendall Loi de Little.

Files d attente (1) F. Sur - ENSMN. Introduction. 1 Introduction. Vocabulaire Caractéristiques Notations de Kendall Loi de Little. Cours de Tronc Commun Scienifique Recherche Opéraionnelle Les files d aene () Les files d aene () Frédéric Sur École des Mines de Nancy www.loria.fr/ sur/enseignemen/ro/ 5 /8 /8 Exemples de files d aene

Plus en détail

TD/TP : Taux d un emprunt (méthode de Newton)

TD/TP : Taux d un emprunt (méthode de Newton) TD/TP : Taux d un emprun (méhode de Newon) 1 On s inéresse à des calculs relaifs à des remboursemens d empruns 1. On noera C 0 la somme emprunée, M la somme remboursée chaque mois (mensualié), le aux mensuel

Plus en détail

CHELEM Commerce International

CHELEM Commerce International CHELEM Commerce Inernaional Méhodes de consrucion de la base de données du CEPII Alix de SAINT VAULRY Novembre 2013 1 Conenu de la base de données Flux croisés de commerce inernaional (exporaeur, imporaeur,

Plus en détail

Le mécanisme du multiplicateur (dit "multiplicateur keynésien") revisité

Le mécanisme du multiplicateur (dit multiplicateur keynésien) revisité Le mécanisme du muliplicaeur (di "muliplicaeur kenésien") revisié Gabriel Galand (Ocobre 202) Résumé Le muliplicaeur kenésien remone à Kenes lui-même mais il es encore uilisé de nos jours, au moins par

Plus en détail

PRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS

PRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS PRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS Matériel : Un GBF Un haut-parleur Un microphone avec adaptateur fiche banane Une DEL Une résistance

Plus en détail

TD : Codage des images

TD : Codage des images TD : Codage des images Les navigateurs Web (Netscape, IE, Mozilla ) prennent en charge les contenus textuels (au format HTML) ainsi que les images fixes (GIF, JPG, PNG) ou animée (GIF animée). Comment

Plus en détail

SYSTEME D ALARME SANS FIL BI-DIRECTIONNEL

SYSTEME D ALARME SANS FIL BI-DIRECTIONNEL NOICE D UILISAION SYSEME D ALARME SANS FIL BI-DIRECIONNEL Version 4/05 Renseignements, conseils n hésitez pas à nous contacter au 0892 35 01 85 (0,34 / minute) 1 Vous trouverez au sein de votre kit d alarme

Plus en détail

THÈSE. Pour l obtention du grade de Docteur de l Université de Paris I Panthéon-Sorbonne Discipline : Sciences Économiques

THÈSE. Pour l obtention du grade de Docteur de l Université de Paris I Panthéon-Sorbonne Discipline : Sciences Économiques Universié de Paris I Panhéon Sorbonne U.F.R. de Sciences Économiques Année 2011 Numéro aribué par la bibliohèque 2 0 1 1 P A 0 1 0 0 5 7 THÈSE Pour l obenion du grade de Doceur de l Universié de Paris

Plus en détail

CULTe Le samedi 9 février2008 à 15h. Conf 1 : WIFI, les bases

CULTe Le samedi 9 février2008 à 15h. Conf 1 : WIFI, les bases CULTe Le samedi 9 février2008 à 15h Conf 1 : WIFI, les bases 1) Principes de fonctionnement (antennes, fréquences, emetteurs/recepteurs, point d'accés) a) Les grandes classes de fréquences HF, 300 Khz

Plus en détail

2. Couche physique (Couche 1 OSI et TCP/IP)

2. Couche physique (Couche 1 OSI et TCP/IP) 2. Couche physique (Couche 1 OSI et TCP/IP) 2.1 Introduction 2.2 Signal 2.3 Support de transmission 2.4 Adaptation du signal aux supports de transmission 2.5 Accès WAN 2.1 Introduction Introduction Rôle

Plus en détail

GESTION DU RÉSULTAT : MESURE ET DÉMESURE 1 2 ème version révisée, août 2003

GESTION DU RÉSULTAT : MESURE ET DÉMESURE 1 2 ème version révisée, août 2003 GESTION DU RÉSULTAT : MESURE ET DÉMESURE 1 2 ème version révisée, aoû 2003 Thomas JEANJEAN 2 Cahier de recherche du CEREG n 2003-13 Résumé : Depuis une vingaine d années, la noion d accruals discréionnaires

Plus en détail

Copules et dépendances : application pratique à la détermination du besoin en fonds propres d un assureur non vie

Copules et dépendances : application pratique à la détermination du besoin en fonds propres d un assureur non vie Copules e dépendances : applicaion praique à la déerminaion du besoin en fonds propres d un assureur non vie David Cadoux Insiu des Acuaires (IA) GE Insurance Soluions 07 rue Sain-Lazare, 75009 Paris FRANCE

Plus en détail

N d ordre Année 2008 THESE. présentée. devant l UNIVERSITE CLAUDE BERNARD - LYON 1. pour l obtention. du DIPLOME DE DOCTORAT. (arrêté du 7 août 2006)

N d ordre Année 2008 THESE. présentée. devant l UNIVERSITE CLAUDE BERNARD - LYON 1. pour l obtention. du DIPLOME DE DOCTORAT. (arrêté du 7 août 2006) N d ordre Année 28 HESE présenée devan l UNIVERSIE CLAUDE BERNARD - LYON pour l obenion du DILOME DE DOCORA (arrêé du 7 aoû 26) présenée e souenue publiquemen le par M. Mohamed HOUKARI IRE : Mesure du

Plus en détail

Exemples de résolutions d équations différentielles

Exemples de résolutions d équations différentielles Exemples de résoluions d équaions différenielles Table des maières 1 Définiions 1 Sans second membre 1.1 Exemple.................................................. 1 3 Avec second membre 3.1 Exemple..................................................

Plus en détail

AMPLIFICATEUR OPERATIONNEL EN REGIME NON LINEAIRE

AMPLIFICATEUR OPERATIONNEL EN REGIME NON LINEAIRE AMPLIFICATEUR OPERATIONNEL EN REGIME NON LINEAIRE Dans e hapire l'amplifiaeur différeniel inégré sera oujours onsidéré omme parfai, mais la ension de sorie ne pourra prendre que deux valeurs : V sa e V

Plus en détail

N 2008 09 Juin. Base de données CHELEM commerce international du CEPII. Alix de SAINT VAULRY

N 2008 09 Juin. Base de données CHELEM commerce international du CEPII. Alix de SAINT VAULRY N 2008 09 Juin Base de données CHELEM commerce inernaional du CEPII Alix de SAINT VAULRY Base de données CHELEM commerce inernaional du CEPII Alix de SAINT VAULRY N 2008-09 Juin Base de données CHELEM

Plus en détail

LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION

LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION ) Caractéristiques techniques des supports. L infrastructure d un réseau, la qualité de service offerte,

Plus en détail

Mathématiques financières. Peter Tankov

Mathématiques financières. Peter Tankov Mahémaiques financières Peer ankov Maser ISIFAR Ediion 13-14 Preface Objecifs du cours L obje de ce cours es la modélisaion financière en emps coninu. L objecif es d un coé de comprendre les bases de

Plus en détail

Mémoire présenté et soutenu en vue de l obtention

Mémoire présenté et soutenu en vue de l obtention République du Cameroun Paix - Travail - Parie Universié de Yaoundé I Faculé des sciences Déparemen de Mahémaiques Maser de saisique Appliquée Republic of Cameroon Peace Wor Faherland The Universiy of Yaoundé

Plus en détail

Etudier l influence de différents paramètres sur un phénomène physique Communiquer et argumenter en utilisant un vocabulaire scientifique adapté

Etudier l influence de différents paramètres sur un phénomène physique Communiquer et argumenter en utilisant un vocabulaire scientifique adapté Compétences travaillées : Mettre en œuvre un protocole expérimental Etudier l influence de différents paramètres sur un phénomène physique Communiquer et argumenter en utilisant un vocabulaire scientifique

Plus en détail

Numérisation du signal

Numérisation du signal Chapitre 12 Sciences Physiques - BTS Numérisation du signal 1 Analogique - Numérique. 1.1 Définitions. Signal analogique : un signal analogique s a (t)est un signal continu dont la valeur varie en fonction

Plus en détail

Relation entre la Volatilité Implicite et la Volatilité Réalisée.

Relation entre la Volatilité Implicite et la Volatilité Réalisée. Relaion enre la Volailié Implicie e la Volailié Réalisée. Le cas des séries avec la coinégraion fracionnaire. Rappor de Recherche Présené par : Mario Vázquez Velasco Direceur de Recherche : Benoî Perron

Plus en détail

Filtrage optimal. par Mohamed NAJIM Professeur à l École nationale supérieure d électronique et de radioélectricité de Bordeaux (ENSERB)

Filtrage optimal. par Mohamed NAJIM Professeur à l École nationale supérieure d électronique et de radioélectricité de Bordeaux (ENSERB) Filrage opimal par Mohamed NAJIM Professeur à l École naionale supérieure d élecronique e de radioélecricié de Bordeaux (ENSERB) Filre adapé Définiions Filre adapé dans le cas de brui blanc 3 3 Cas d un

Plus en détail

M1107 : Initiation à la mesure du signal. T_MesSig

M1107 : Initiation à la mesure du signal. T_MesSig 1/81 M1107 : Initiation à la mesure du signal T_MesSig Frédéric PAYAN IUT Nice Côte d Azur - Département R&T Université de Nice Sophia Antipolis frederic.payan@unice.fr 15 octobre 2014 2/81 Curriculum

Plus en détail

Correction des exercices. Ch20 p : 532 n 21 : NUMERISATION DE L INFORMATION

Correction des exercices. Ch20 p : 532 n 21 : NUMERISATION DE L INFORMATION Thème 3: AGIR Défis du XX ème siècle. Transmettre et stocker l information p : 1 Ch.20. Numérisation de l information Correction des exercices. Ch20 p : 532 n 21 : NUMERISATION DE L INFORMATION p : 532

Plus en détail

Séquence 2. Pourcentages. Sommaire

Séquence 2. Pourcentages. Sommaire Séquence 2 Pourcenages Sommaire Pré-requis Évoluions e pourcenages Évoluions successives, évoluion réciproque Complémen sur calcularices e ableur Synhèse du cours Exercices d approfondissemen 1 1 Pré-requis

Plus en détail

Chapitre 9. Contrôle des risques immobiliers et marchés financiers

Chapitre 9. Contrôle des risques immobiliers et marchés financiers Capire 9 Conrôle des risques immobiliers e marcés financiers Les indices de prix immobiliers ne son pas uniquemen des indicaeurs consruis dans un bu descripif, mais peuven servir de référence pour le conrôle

Plus en détail

CONTRIBUTION A L ANALYSE DE LA GESTION DU RESULTAT DES SOCIETES COTEES

CONTRIBUTION A L ANALYSE DE LA GESTION DU RESULTAT DES SOCIETES COTEES CONTRIBUTION A L ANALYSE DE LA GESTION DU RESULTAT DES SOCIETES COTEES Thomas Jeanjean To cie his version: Thomas Jeanjean. CONTRIBUTION A L ANALYSE DE LA GESTION DU RESULTAT DES SOCIETES COTEES. 22ÈME

Plus en détail

Numérisation de l information Transmission et stockage de l information

Numérisation de l information Transmission et stockage de l information Numérisation de l information Transmission et stockage de l information Atelier «images numériques» Sous quelle forme se présentent les fichiers images en informatique? Découverte du codage binaire de

Plus en détail

Risque associé au contrat d assurance-vie pour la compagnie d assurance. par Christophe BERTHELOT, Mireille BOSSY et Nathalie PISTRE

Risque associé au contrat d assurance-vie pour la compagnie d assurance. par Christophe BERTHELOT, Mireille BOSSY et Nathalie PISTRE Ce aricle es disponible en ligne à l adresse : hp://www.cairn.info/aricle.php?id_revue=ecop&id_numpublie=ecop_149&id_article=ecop_149_0073 Risque associé au conra d assurance-vie pour la compagnie d assurance

Plus en détail

Formation Administrateur Server 2008 (Ref : IN4) Tout ce qu'il faut savoir sur Server 2008 OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION

Formation Administrateur Server 2008 (Ref : IN4) Tout ce qu'il faut savoir sur Server 2008 OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION COMUNDICOMPETENCES-TECHNIQUESDEL INGÉNIEUR Formaion Adminisraeur Server 2008 (Ref : IN4) SUPPORT PÉDAGOGIQUE INCLUS. OBJECTIFS Gérer des ressources e des compes avec Acive Direcory e Windows Server 2008

Plus en détail

TS 35 Numériser. Activité introductive - Exercice et démarche expérimentale en fin d activité Notions et contenus du programme de Terminale S

TS 35 Numériser. Activité introductive - Exercice et démarche expérimentale en fin d activité Notions et contenus du programme de Terminale S FICHE Fiche à destination des enseignants TS 35 Numériser Type d'activité Activité introductive - Exercice et démarche expérimentale en fin d activité Notions et contenus du programme de Terminale S Compétences

Plus en détail

LE PARADOXE DES DEUX TRAINS

LE PARADOXE DES DEUX TRAINS LE PARADOXE DES DEUX TRAINS Énoné du paradoxe Déaillons ou d abord le problème dans les ermes où il es souen présené On dispose de deux oies de hemins de fer parallèles e infinimen longues Enre les deux

Plus en détail

La Fibre Optique J BLANC

La Fibre Optique J BLANC La Fibre Optique J BLANC Plan LES FONDAMENTAUX : LA FIBRE OPTIQUE : LES CARACTÉRISTIQUES D UNE FIBRE : TYPES DE FIBRES OPTIQUES: LES AVANTAGES ET INCONVÉNIENTS DE LA FIBRE : QUELQUES EXEMPLES DE CÂBLES

Plus en détail

Cisco Certified Network Associate

Cisco Certified Network Associate Cisco Certified Network Associate Version 4 Notions de base sur les réseaux Chapitre 8 01 Quelle couche OSI est responsable de la transmission binaire, de la spécification du câblage et des aspects physiques

Plus en détail

Pouvoir de marché et transmission asymétrique des prix sur les marchés de produits vivriers au Bénin

Pouvoir de marché et transmission asymétrique des prix sur les marchés de produits vivriers au Bénin C N R S U N I V E R S I T E D A U V E R G N E F A C U L T E D E S S C I E N C E S E C O N O M I Q U E S E T D E G E S T I O N CENTRE D ETUDES ET DE RECHERCHES SUR LE DEVELOPPEMENT INTER NATIONAL Pouvoir

Plus en détail

Sélection de portefeuilles et prédictibilité des rendements via la durée de l avantage concurrentiel 1

Sélection de portefeuilles et prédictibilité des rendements via la durée de l avantage concurrentiel 1 ASAC 008 Halifax, Nouvelle-Écosse Jacques Sain-Pierre (Professeur Tiulaire) Chawki Mouelhi (Éudian au Ph.D.) Faculé des sciences de l adminisraion Universié Laval Sélecion de porefeuilles e prédicibilié

Plus en détail

LES DIFFÉRENTS FORMATS AUDIO NUMÉRIQUES

LES DIFFÉRENTS FORMATS AUDIO NUMÉRIQUES LES DIFFÉRENTS FORMATS AUDIO NUMÉRIQUES Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : S'impliquer, être autonome. Compétence(s) spécifique(s) : Reconnaître des signaux de nature

Plus en détail

CHAPITRE 4 RÉPONSES AUX CHOCS D INFLATION : LES PAYS DU G7 DIFFÈRENT-ILS LES UNS DES AUTRES?

CHAPITRE 4 RÉPONSES AUX CHOCS D INFLATION : LES PAYS DU G7 DIFFÈRENT-ILS LES UNS DES AUTRES? CHAPITRE RÉPONSES AUX CHOCS D INFLATION : LES PAYS DU G7 DIFFÈRENT-ILS LES UNS DES AUTRES? Les réponses de la poliique monéaire aux chocs d inflaion mondiaux on varié d un pays à l aure Le degré d exposiion

Plus en détail

Pour 2014, le rythme de la reprise économique qui semble s annoncer,

Pour 2014, le rythme de la reprise économique qui semble s annoncer, En France, l invesissemen des enreprises reparira--il en 2014? Jean-François Eudeline Yaëlle Gorin Gabriel Sklénard Adrien Zakharchouk Déparemen de la conjoncure Pour 2014, le ryhme de la reprise économique

Plus en détail

Une union pour les employeurs de l' conomie sociale. - grande Conférence sociale - les positionnements et propositions de l usgeres

Une union pour les employeurs de l' conomie sociale. - grande Conférence sociale - les positionnements et propositions de l usgeres Une union pour les employeurs de l' conomie sociale - grande Conférence sociale - les posiionnemens e proposiions de l usgeres Juille 212 1 «développer l emploi e en priorié l emploi des jeunes» le posiionnemen

Plus en détail