1 Qu'est-ce que le déterminant d'une matrice?

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "1 Qu'est-ce que le déterminant d'une matrice?"

Transcription

1 UT2J Déprtement de Mthémtiques et Informtique Année Liene MIASHS 1 ère nnée Mthémtiques S2 (MI005AX) Chpitre III Les Déterminnts ve détermintion! emmnuel ureu GS256 tél : hllouin@univ-tlse2fr wwwmthuniv-toulousefr/ hllouin/eh-l1-s2-miashshtml hllouin 1 u'est-e que le déterminnt d'une mtrie? Nous générlisons ii l notion de déterminnt que vous onnissez déjà en dimension 2 et 3 L dénition que nous présentons, pr réurrene, n'est ps l dénition oielle Cette dernière, plus struturelle et sûrement plus stisfisnte, néessite l'introdution de nouvelles notions qu'il serit trop long de présenter ii D'où le hoix d'une dénition lterntive plus lultoire Rssurez vous les deux dénitions sont ien équivlentes! Rppelons l dénition du déterminnt d'une mtrie rrée de tille 2 ou 3 que vous vez vue u semestre dernier : = , = Si M désigne l mtrie, on note ussi det(m) e déterminnt Remrquons que le déterminnt 3 3 peut se ré-érire : = 11( ) + 12 ( ) + 13 ( ) = ( 1) ( 1) ( 1) Le déterminnt 3 3 peut don se rmener u lul de plusieurs déterminnts 2 2 ominés de fçon déqute En fit il en est de même du déterminnt 2 2, qui se rmène u lul de plusieurs déterminnts 1 1 ominés de l même fçon déqute Enore fut-il dénir e qu'est un déterminnt 1 1 ; rien de plus simple puisque, pr dénition, on pose 11 = 11 Ave ette dénition, l déterminnt 2 2 se ré-érit : = = ( 1) ( 1) En fit ei n'est que le pâle reet d'un phénomène générl Je seris tenté de vous lisser inventer vous même l dénition d'un déterminnt 4 4, puis n n Mis on, un soupçon de onsiene professionnelle m'olige à n'en rien fire Tout d'ord, quelques nottions Soit M = ( ij ) 1 i n M n (R) une mtrie rrée de tille n 2 n lui ssoie n 2 mtries 1 j n rrées de tille (n 1) : pour 1 i n et 1 j n, on note M ij l mtrie otenue à prtir de M en supprimnt l i-ème ligne et l j-ème olonne Voii les neuf mtries 2 2 ssoiées à une mtrie 3 3 : ( 13 M 11 = = ) ( 13 23, M 12 = = ) 21 23,

2 11 12 ( 13 M 13 = = ) ( 13 22, M 21 = = ) 12 13, ( 13 M 22 = = ) ( 13 13, M 23 = = ) 11 12, ( 13 M 31 = = ) ( 13 13, M 32 = = ) 11 13, ( 13 M = = ) Tout est prêt pour dénir le déterminnt pr réurrene Dénition 11 Soit M = ( ij ) 1 i n M n (R) une mtrie rrée de tille n 1 n dénit son 1 j n déterminnt, noté det(m), omme suit Si n = 1, 'est-à-dire si M = ( 11 ), on pose det(m) = 11 ; si n > 1, lors on pose : det(m) = 11 det(m 11 ) 12 det(m 12 ) + + ( 1) n 1 n 1 det(m 1 n 1 ) + ( 1) n+1 1 n det(m 1 n ) n = ( 1) 1+j 1j det(m 1j ) j=1 (les mtries M 1j sont rrées de tille (n 1), d'où le rtère réursif de l dénition) Listons les priniples propriétés stisfites pr le déterminnt roposition 12 Le déterminnt est linéire pr rpport à hune de ses olonnes : 11 λ 1 j + µ 1 j 1 n 11 1 j 1 n 11 1 j 1 n = λ + µ n1 λ n j + µ n j n n n1 n j n n n1 n j n n pour tout 1 j n reuve Je lisse ette preuve u leteur tout en lui onseillnt de se onvinre du résultt pour n = 2 et 3 puis d'essyer de générliser u s n quelonque En prtiulier, un déterminnt est nul dès lors qu'une des olonnes est identiquement nulle Il y d'utre s où un déterminnt s'vère nul, omme pr exemple : roposition 13 Le déterminnt d'une mtrie est nul dès lors que deux olonnes de ette mtrie sont identiques L preuve de ette proposition néessite deux résultts intermédiires Lemme 14 Le déterminnt d'une mtrie est nul dès lors que deux olonnes onséutives de ette mtrie sont identiques 2

3 reuve Montrons le résultt pr réurrene sur l tille n du déterminnt C'est vri pour n = 2 omme nous l'vons déjà vu Supposons que el soit vri pour les déterminnts de tille (n 1) et onsidérons un déterminnt de tille n Supposons pour xer les idées que les deux premières olonnes sont identiques (les utres s se tritent de l même fçon) r dénition du déterminnt, on : n n n = n 1 n 1 n 3 n n n 1 n 3 n n n 1 n 3 n n n n ( 1) n+1 1 n 21 n 1 n 4 n n 21 n 1 n 3 n n 1 Les deux premiers termes de l somme s'nnulent ; qunt ux utres, ils sont tous nuls pr hypothèse de réurrene Lemme 15 Un déterminnt hnge de signe lorsque l'on permute deux olonnes onséutives reuve L preuve se fit enore pr réurrene Une onne fçon de voir si vous vez ompris l préédente preuve, 'est d'essyer de fire elle-i C'est l même à quelques détils près! reuve de l proposition 13 En permutnt, éventuellement plusieurs fois, des olonnes onséutives, on se rmène u s où les deux olonnes identiques sont onséutives ; e fisnt seul le signe du déterminnt peut-être été modié n onlue en utilisnt le lemme 14 Dns les énonés préédents, prééminene été donnée ux olonnes des déterminnts u détriment des lignes ourtnt, il n'y ps lieu de le fire En eet, tous les résultts de ette setion sont enore vris qund on remple le mot olonne pr le mot ligne n peut retenir l mxime : our e qui onerne les déterminnts, tout e qui est vri pour les lignes l'est ussi pour les olonnes our étlir e phénomène, on fit ppel à un rtie : l trnsposée d'une mtrie Si M = ( ij ) 1 i n est une mtrie rrée d'ordre n, s trnsposé, noté t M, est l mtrie otenue en 1 j n symétrisnt les oeients de M pr rpport à l digonle qui prt du oin en hut à guhe pour desendre vers le oin en s à droite Un petit exemple pour lever tout équivoque : Trnsposée de l mtrie = Autrement dit, les olonnes de l mtrie M deviennent les lignes de s trnsposée roposition 16 Le déterminnt d'une mtrie est égl à elui de s trnsposée : si M M n (R), lors det(m) = det( t M) Non preuve C'est le point file de l dénition du déterminnt hoisie : elle ne permet ps d'étlir filement l'églité det(m) = det( t M) L seule fçon de fire que je onnisse est de retrouver, à prtir de l dénition 11, l dénition plus struturelle de lquelle on déduit ssez filement l'églité souhitée Je ne le feri ps et renvoie le leteur pointilleux à l'ouvrge de Grifone, théorème 412 pge 116 3

4 En remplçnt une mtrie pr s trnsposée, on montre que : roposition 17 Les énonés 12, 13, 14, et 15 sont enore vris qund on remple le mot olonne pr le mot ligne Une dernière formule onernnt les déterminnts ; je l'dmets roposition 18 Soit M et N deux mtries de M n (R) lors det(m N) = det(m) det(n) (noter que le premier produit est un produit de mtries tndis que le seond est un produit de slires) Corollire 19 Le déterminnt d'une mtrie M n (R) inversile est non nul et on det( 1 ) = det( ) 1 (où le premier inverse est elui d'une mtrie tndis que le seond est elui d'un slire) reuve Notons l'inverse de est inversile, si ien que = I n En prennt le déterminnt de hque ôté, on en déduit que det( ) = det(i n ) = 1 et d'près l proposition 18, il vient det( ) det() = 1 2 Comment on lule un déterminnt? L fçon l plus intelligente pour luler un déterminnt est de s'ider des deux propositions qui suivent roposition 21 Un déterminnt n'est ps hngé lorsque l'on joute à une de ses olonnes (respetivement lignes) une ominison linéire des utres olonnes (respetivement lignes) reuve our e qui onerne le résultt sur les olonnes, 'est une onséquene direte de l linérité pr rpport à hque olonne (proposition 12) et du fit qu'un déterminnt est nul qund deux de ses olonnes sont égles (proposition 13) unt u résultt sur les lignes, il résulte de elui sur les olonnes en remplçnt l mtrie pr s trnsposée roposition 22 Soit M = ( ij ) 1 i n 1 j n i n, on : M n (R) une mtrie rrée de tille n 2 our tout 1 det(m) = ( 1) i+1 i1 det(m i1 ) + ( 1) i+2 i2 det(m i2 ) + + ( 1) i+n i n det(m i n ) n = ( 1) i+j i j det(m i j ) j=1 ( ) De même, pour tout 1 j n, on : det(m) = ( 1) 1+j 1j det(m 1j ) + ( 1) 2+j 2j det(m 2j ) + + ( 1) n+j n j det(m n j ) n = ( 1) i+j i j det(m i j ) i=1 ( ) reuve our étlir l formule, l'idée de l preuve est de se rmener u s où i = 1 En eet, dns e s l'églité souhitée est vrie pr dénition même du déterminnt! our e fire, on permute les lignes en prennt veillnt u fit que l'éhnge de deux lignes onséutives hnge le signe du déterminnt omme 'est le s pour les olonnes (lemme 15) unt à l formule, elle résulte de l mxime du prgrphe préédent Si on ne roit ps ux mximes, on utilise l trnsposée! 4

5 Dénition 23 (Développement selon une ligne ou une olonne) L'opértion qui onsiste à déomposer le déterminnt omme dns s'ppelle le développement du déterminnt selon l i-ème ligne L'opértion qui onsiste à déomposer le déterminnt omme dns s'ppelle le développement du déterminnt selon l j-ème olonne Évidemment, développer un déterminnt selon une ligne ou une olonne est d'utnt plus intéressnt du point de vue des luls que ette ligne ou olonne ontient des oeients nuls En eet, hque oeient nul pporte une ontriution nulle à l somme, e qui diminue le nomres de déterminnts de tille inférieure à luler Le s le plus fvorle est elui où tous les oeients d'une ligne ou olonne sont nuls suf un (s'ils le sont tous, on sit que le déterminnt est nul et il n'y plus uun lul à fire) L strtégie pour luler eement un déterminnt à l min est don l suivnte n hoisit une ligne (ou une olonne) ; grâe à l proposition 21, on essye de fire pprître le plus de zéros possiles sur ette ligne (ou olonne) en lui joutnt une ominison linéire des utres lignes (ou olonnes) ; ensuite, grâe à l proposition 22, on développe selon ette ligne (ou olonne) ; puis on reommene ve les déterminnts de tille inférieure qui sont pprus dns le développement Exemple Voii un exemple de lul de déterminnt en suivnt ette strtégie : = C 2 C 2 2C 1, C 3 C 3 3C = développement selon l 1-ère ligne = C 2 C 2 2C 1 = 0 une olonne nulle 3 A quoi sert un déterminnt? 31 Le déterminnt tient son rng L'une des pplitions priniples des déterminnts est de mesurer l lierté d'une fmille n déjà vu omment, grâe ux déterminnts de tille 2 2 ou 3 3, il est file de svoir si une fmille onstituée de deux éléments de R 2 ou de deux ou trois éléments de R 3 est lire ou non Ce phénomène se générlise très ien en dimension supérieure et 'est l'ojet de ette setion Commençons pr introduire une terminologie ommode Soit M une mtrie (non néessirement rrée) n ppelle sous-mtrie ou mtrie extrite de M toute mtrie onstruite à prtir de M en en séletionnnt des lignes et des olonnes r exemple de : M =

6 on peut extrire les sous-mtries suivntes : ( 4 6 ) ( ) ( ) ( ) ( ) séletion de l 2-ère ligne et des olonnes 1 et 3 séletion de l 1-ère ligne et des trois olonnes séletion des trois lignes et de l 1-ère olonne séletion des lignes 1 et 3 et des olonnes 2 et 3 séletion des lignes et olonnes 1 et 3 séletion des deux premières lignes et des trois olonnes n ppelle mineur de tille r ou mineur r r d'une mtrie M M m,n (R) le déterminnt d'une mtrie rrée de tille r extrite de M ; pour qu'un tel mineur existe il fut que r min{m, n} Ave e lngge, le premier point de l rtéristion d'une fmille liée pour une fmille de deux éléments de R 3, peut s'énoner insi : deux veteurs de R 3 sont liés si et seulement si tous les mineurs 2 2 de l mtrie fite de l juxtposition de es deux veteurs sont nuls Cel se générlise insi : Théorème 31 Soit (( 11 n1 ) ( 1r )),, une fmille de r éléments de R n, ve r n Cette nr fmille est : liée si et seulement si tous les mineurs r r de l mtrie : 11 1r n1 nr sont nuls ; lire si et seulement si u moins un de es mineurs r r est non nul reuve Il sut de montrer le premier point, le seond s'en déduisnt pr ontrposée Supposons l fmille liée, lors il existe λ 1,, λ r non tous nuls tels que : λ 1 11 n1 Supposons, pr exemple, que λ 1 0 lors : 11 n1 + + λ r = λ 2 λ 1 12 n2 1r nr = λ 2 λ r nr Montrons que le mineur r r formé ve les r premières lignes est nul our el, posons µ j = λ j λ 1 pour 2 j r et remplçons l première olonne de e mineur pr son expression déduite de 6

7 l'églité préédente : 11 1r r j=2 µ j 1j 12 1r = r1 rr r j=2 µ j 1j r2 rr r 1j 12 1r = µ j j=2 rj r2 rr (linérité pr rpport à l 1-ère olonne) = 0 (déterminnts ve2 olonnes identiques) L preuve de nullité des utres mineurs est identique L preuve néessite un lemme préprtoire énoné et prouvé i-dessous D'près e lemme, si tous les mineurs de tille r sont nuls, lors el fournit plusieurs reltions linéires nulles du type : δ 1 11 n δ r 1 r n r = 0 0 où hque slire δ j est un mineur de tille (r 1) de l mtrie De plus tous les mineurs de tille (r 1) pprissent u moins une fois dns une des reltions De deux hoses l'une u ien l'un des mineurs de tille (r 1) est non nul uquel s, le lemme i-dessous permet d'exhier une reltion linéire nulle non trivile entre les r éléments de R n Cel prouve que l fmille est liée u ien tous les mineurs de tille (r 1) sont nuls uquel s toutes les reltions linéires nulles fournies pr le lemme i-dessous sont triviles u'à el ne tienne, puisque tous les mineurs de tilles (r 1) sont nuls, on v montrer que les (r 1) premiers éléments forment une fmille liée, e qui montre qu'il en est de même des r éléments our el, on reommene le même risonnement Si à hque fois, on onlue que tous les mineurs de tille un de moins sont enore nuls, on reommene Ce proessus s'rrête soit qund on trouvé une ominison linéire nulle non trivile entre quelques uns des premiers éléments, soit qund on onlu u fit que tous les mineurs de tille 1 de l mtrie où il ne reste plus que deux olonnes sont nuls Cel veut dire qu'un des éléments de l fmille est nul Dns tous les s, el montre que l fmille de déprt est liée Lemme 32 Soit M = ( ij ) 1 i n M n,r (R) ve 2 r n Si tous les mineurs de tille r de 1 j r ette mtrie sont nuls, lors on est en mesure d'exhier plusieurs ominisons linéires nulles des olonnes de ette mtrie dont les slires sont tous des mineurs (r 1) (r 1) de l mtrie De plus, hun de es mineurs pprît u moins une fois dns une des ominisons linéires insi onstruites reuve Choisissons les (r 1) lignes prmi les n our xer les idées, on hoisit les (r 1) premières Alors pour tout 1 i n, on : i1 i r 11 1 r = 0 r 1 1 r 1 r pour 1 i r 1, 'est dû u fit que deux lignes sont identiques, pour i r, el résulte de l'hypothèse sur l nullité des mineurs r r osons : ( ) déf δ j = ( 1) 1+j le mineur de tille (r 1) otenu en séletionnnt les (r 1) premières lignes et toutes les olonnes suf l j-ème 7

8 En développnt selon l première ligne, on otient les reltions : δ 1 i1 + + δ r i r = 0 1 i n Cei étnt vri pour tous 1 i n, on en déduit l ominison linéire nulle suivnte : 11 1 r 0 δ δ r = 0 n 1 En hoisissnt (r 1) utres lignes, on otient, ve le même risonnement d'utre reltions linéires nulles fisnt intervenir d'utre mineurs de tille (r 1) Il n'est ps diile de se onvinre du fit que l'on otient insi plusieurs reltions linéires nulles et que hque mineur de tille (r 1) de l mtrie de déprt pprît dns u moins une de es ominisons Remrques 1 L démrhe que l'on vient de suivre ne fit que générliser elle déjà vue dns R 3 ; on retrouve extement les mêmes lterntives 2 Il ne serit ps ien diile de ompter le nomre de reltions linéires que l'on otient ; mis peu nous importe! n1 nn En prtiulier, qund on onsidère n éléments de R n, on otient : (( 11 ) ( 1n )) Corollire Soit,, une fmille de n éléments de R n n les équivlenes : 11 1n = 0 l fmille est liée ; n1 nn 11 1n 0 l fmille est une se n1 nn (( ) ( ) ( )) Exemples 1) L fmille,, est liée r = 0, tndis que l (( ) ) )) fmille,, est une se r = ( ( n r ) Le déterminnt d'une mtrie de pssge est forément non nul 32 Le déterminnt prend du volume En vleur solue, le déterminnt est une quntité ynt une signition géométrique très forte : 'est une longueur en dimension n = 1, une ire en dimension n = 2, un volume en dimension n = 3 et un hyper-volume en dimensions supérieures C'est file à voir qund n = 1 ; nous llons nous ontenter de montrer ette rmtion qund n = 2 roposition 34 lçons dns le pln muni d'un repère orthonormé (, ı, j) En vleur solue, le déterminnt d est l'ire du prllélogrmme dont deux ôtés sont les segments [ ] et [], où est le point de oordonnées (, ) et elui de oordonnées (, d) reuve L preuve en imges 1! L'ire herhée n'est rien d'utre que le doule de l somme des ires des trois tringles oloriés suivnts : 1 Sur le we, en herhnt ien, sûrement que vous llez trouver des imges nimées illustrnt ette preuve eut-être même pouvez-vous trouver des imges en 3D 8

9 d n rppelle que l'ire d'un tringle reste inhngée qund on fit ouger l'un de ses sommets en suivnt une diretion prllèle u ôté opposé Nous llons déformer les deux tringles les plus fonés en déplçnt le sommet en suivnt dns les deux s l diretion du ôté opposé Voii quelques instntnés ; notez que les ires des tringles oloriés restent inhngées d d d d L'ire du prllélogrmme de déprt est don le doule de l somme des ires des trois derniers tringles oloriés C'est don ussi l somme des ires des trois retngles oloriés i-dessous : d Sur e dessin, il pprît lirement que l'ire herhée n'est rien d'utre que l'ire d du grnd retngle réunion des trois oloriés plus le petit en s à guhe, à lquelle on retrnhé l'ire du dit petit retngle en s à guhe Autrement dit, l'ire du prllélogrmme vut d, e qu'il fllit montrer De l même fçon, en vleur solue, un déterminnt 3 3 n'est rien d'utre que le volume du prllépipède retngle dont trois ôtés sont donnés pr les segments [ ], [] et [R] où désigne l'origine d'un repère orthonormé de l'espe et où,, R sont les points dont les oordonnées sont données pr les olonnes du déterminnt Cette vision géométrique du déterminnt nous permet de réinterpréter géométriquement les résultts onernnt les rtéristions du rtère lié d'une fmille d'éléments de R 2 ou R 3 n omprend mieux pourquoi le déterminnt est un outil de mesure de l lierté d'une fmille En eet, on sit ien que pour que l'ire d'un prllélogrmme soit nulle, il fut et il sut qu'il soit plt, 'est-à-dire (ve les nottions préédentes) que les points,, soient lignés (ontenus 9

10 dns une même droite) Autrement dit, il fut que les veteurs et soient olinéires, e qui revient à dire que les éléments ( ) et ( d ) sont liés dns R 2 De même, pour que le volume d'un prllépipède retngle soit nul, il fut et il sut que les points,,, R soient oplnires (ontenus dns un même pln) Autrement dit, il fut et il sut que R soit ominison linéire de et, e qui revient à dire que les trois olonnes du déterminnt forment une fmille liée de R 3 Le déterminnt inverse l vpeur Grâe u déterminnt, on peut exprimer l'inverse d'une mtrie M M n (R) inversile our el, on utilise enore les mtries extrites de M ; on rppelle que M ij désigne l mtrie rrée de tille (n 1) otenue à prtir de M en supprimnt l i-ème ligne et l j-ème olonne Dénition 35 (ofteur & omtrie) Soit M M n (R) our i et j ompris entre 1 et n, on ppelle (i, j)-ème ofteur de l mtrie M, et on note δ ij, le slire déni pr : déf δ ij = ( 1) i+j det(m ij ) n ppelle omtrie, et on note M, l mtrie rrée de tille n dont les oeients sont les déf ofteurs de M : M = (δ ij ) 1 i n 1 j n Théorème 36 our M M n (R), on l'identité : où I n désigne l mtrie identité de tille n M t M = det(m)in, reuve Je me propose de fire l preuve pour n = 3 et je lisse le soin ux leteurs de l générliser à tout n (exellent exerie!) Il s'git de vérier que : δ 11 δ 21 δ 31 det(m) δ 12 δ 22 δ 32 = 0 det(m) 0, δ 13 δ 23 δ 0 0 det(m) en prennt soin de le fire le plus stuieusement possile pour filiter l générlistion lissée ux leteurs Il y neuf véritions à eetuer en tout n distingue les trois véritions onernnt les oeients digonux égux à det(m), des utres our les oeients digonux, il s'git de vérier les églités : 11 δ δ δ 13 = det(m), 21 δ δ δ 23 = det(m), 31 δ δ 32 + δ = det(m) ; elles sont toutes vries, omme on s'en perçoit en développnt respetivement le déterminnt de M pr rpport à l 1-ère, 2-ème et 3-ème ligne Vérions, pr exemple, l nullité du oeient du produit en position (1, 2) Il s'git de prouver que : 11 δ δ δ 23 = 0 C'est le s, omme on peut s'en perevoir en développnt le déterminnt : selon l première ligne Notons que e déterminnt est ien nul, puisque ses deux premières lignes sont identiques L nullité des utres oeients se montre ve l même stue 10

11 Corollire 37 Si M M n (R) est telle que det(m) 0, lors on M 1 = 1 t M det(m) Cette identité, ussi expliite soit-elle, se prête peu ux luls à l min (et même en mhine) r le lul des ofteurs est très lourd En prtique, ette formule ne permet de luler l'inverse d'une mtrie que pour n = 2 ou 3 En prtiulier, pour n = 2 et M = ( d ) telle que det(m) = d 0, on retrouve l lssique formule de l'inverse, à svoir : ( ) 1 M 1 = = d 1 d 4 Déterminnt d'un endomorphisme ( ) d Dns le titre de l setion 1 gure l'djetif mtriiel entre prenthèses L rison est que jusqu'à présent, nous n'vons prlé que de déterminnts de mtries Nous llons voir que l'on peut ussi dénir le déterminnt d'un endomorphisme roposition 41 Soit E un K-espe vetoriel de dimension nie et u : E E un endomorphisme Alors toutes les mtries de u dressées dns une se quelonque de E (ve le même hoix de l se u déprt et à l'rrivée) ont le même déterminnt reuve Soit B et B deux ses de E Il s'git de prouver que : det (Mt(u, B)) = det (Mt(u, B )) n utilise évidemment l formule du hngement de ses, où l'on pprend que les deux mtries sont reliées pr le reltion : Mt(u, B ) = 1 B,B Mt(u, B) B,B où B,B désigne l mtrie de pssge de B à B En prennt le déterminnt de hque ôté, il vient : det (Mt(u, B )) = det ( ) 1 B,B Mt(u, B) B,B D'où le résultt = det ( 1 B,B ) det (Mt(u, B)) det (B,B ) proposition 18 = det ( B,B ) 1 det (Mt(u, B)) det ( B,B ) orollire 19 = det (Mt(u, B)) det ( B,B ) det ( B,B ) 1 les slires ommutent = det (Mt(u, B)) Il est don légitime de dénir : Dénition 42 Soit E un K-espe vetoriel de dimension nie et u : E E un endomorphisme n ppelle déterminnt de u, et on note det(u), l vleur ommune prise pr n'importe quel déterminnt d'une mtrie de u dressée dns une se quelonque de E (ve le même hoix de l se u déprt et à l'rrivée) 11

Techniques d analyse de circuits

Techniques d analyse de circuits Chpitre 3 Tehniques d nlyse de iruits Ce hpitre présente différentes méthodes d nlyse de iruits. Ces méthodes permettent de simplifier l nlyse de iruits ontennt plusieurs éléments. Bien qu on peut résoudre

Plus en détail

Chapitre 2 Le problème de l unicité des solutions

Chapitre 2 Le problème de l unicité des solutions Université Joseph Fourier UE MAT 127 Mthémtiques nnée 2009-2010 Chpitre 2 Le prolème de l unicité des solutions 1 Le prolème et quelques réponses : 1.1 Un exemple Montrer que l éqution différentielle :

Plus en détail

Intégrale et primitives

Intégrale et primitives Chpitre 5 Intégrle et primitives 5. Ojetif On herhe dns e hpitre à onstruire l opérteur réiproue de l opérteur de dérivtion. Les deux uestions suivntes sont lors nturelles. Question : Soit f une pplition

Plus en détail

Module 2 : Déterminant d une matrice

Module 2 : Déterminant d une matrice L Mth Stt Module les déterminnts M Module : Déterminnt d une mtrice Unité : Déterminnt d une mtrice x Soit une mtrice lignes et colonnes (,) c b d Pr définition, son déterminnt est le nombre réel noté

Plus en détail

Synthèse de cours (Terminale S) Calcul intégral

Synthèse de cours (Terminale S) Calcul intégral Synthèse de cours (Terminle S) Clcul intégrl Intégrle d une onction continue positive sur un intervlle [;] Dns cette première prtie, on considère une onction continue positive sur un intervlle [ ; ] (

Plus en détail

STI2D Logique binaire SIN. L' Algèbre de BOOLE

STI2D Logique binaire SIN. L' Algèbre de BOOLE L' Algère de BOOLE L'lgère de Boole est l prtie des mthémtiques, de l logique et de l'électronique qui s'intéresse ux opértions et ux fonctions sur les vriles logiques. Le nom provient de George Boole.

Plus en détail

Théorème de Poincaré - Formule de Green-Riemann

Théorème de Poincaré - Formule de Green-Riemann Chpitre 11 Théorème de Poincré - Formule de Green-Riemnn Ce chpitre s inscrit dns l continuité du précédent. On vu à l proposition 1.16 que les formes différentielles sont bien plus grébles à mnipuler

Plus en détail

Correction de l épreuve CCP 2001 PSI Maths 2 PREMIÈRE PARTIE ) (

Correction de l épreuve CCP 2001 PSI Maths 2 PREMIÈRE PARTIE ) ( Correction de l épreuve CCP PSI Mths PREMIÈRE PARTIE I- Soit t u voisinge de, t Alors ϕt t s = ϕt ρt s ρs Pr hypothèse, l fonction ϕt ϕt est lorsque t, il en est donc de même de ρt s ρt s ρs cr ρ s est

Plus en détail

La plateforme Next Generation Mini guide

La plateforme Next Generation Mini guide L plteforme Next Genertion Mini guie Ce guie onis été réé pour vous permettre e vous fmiliriser rpiement ve les nomreuses fontionnlités et outils isponiles sur l plteforme Next Genertion. Apprenez où trouver

Plus en détail

Université Paris-Dauphine DUMI2E. UFR Mathématiques de la décision. Notes de cours. Analyse 2. Filippo SANTAMBROGIO

Université Paris-Dauphine DUMI2E. UFR Mathématiques de la décision. Notes de cours. Analyse 2. Filippo SANTAMBROGIO Université Pris-Duphine DUMI2E UFR Mthémtiques de l décision Notes de cours Anlyse 2 Filippo SANTAMBROGIO Année 2008 2 Tble des mtières 1 Optimistion de fonctions continues et dérivbles 5 1.1 Continuité........................................

Plus en détail

Chapitre VI Contraintes holonomiques

Chapitre VI Contraintes holonomiques 55 Chpitre VI Contrintes holonomiques Les contrintes isopérimétriques vues u chpitre précéent ne sont qu un eemple prticulier e contrintes sur les fonctions y e notre espce e fonctions missibles. Dns ce

Plus en détail

semestre 3 des Licences MISM annnée universitaire 2004-2005

semestre 3 des Licences MISM annnée universitaire 2004-2005 MATHÉMATIQUES 3 semestre 3 des Licences MISM nnnée universitire 24-25 Driss BOULARAS 2 Tble des mtières Rppels 5. Ensembles et opértions sur les ensembles.................. 5.. Prties d un ensemble.........................

Plus en détail

Séquence 8. Probabilité : lois à densité. Sommaire

Séquence 8. Probabilité : lois à densité. Sommaire Séquence 8 Proilité : lois à densité Sommire. Prérequis 2. Lois de proilité à densité sur un intervlle 3. Lois uniformes 4. Lois exponentielles 5. Synthèse de l séquence Dns cette séquence, on introduit

Plus en détail

L'algèbre de BOOLE ou algèbre logique est l'algèbre définie pour des variables ne pouvant prendre que deux états.

L'algèbre de BOOLE ou algèbre logique est l'algèbre définie pour des variables ne pouvant prendre que deux états. ciences Industrielles ystèmes comintoires Ppnicol Roert Lycée Jcques Amyot I - YTEME COMBINATOIRE A. Algère de Boole. Vriles logiques: Un signl réel est une grndeur physique en générl continue, on ssocie

Plus en détail

LICENCE DE MATHÉMATIQUES DEUXIÈME ANNÉE. Unité d enseignement LCMA 4U11 ANALYSE 3. Françoise GEANDIER

LICENCE DE MATHÉMATIQUES DEUXIÈME ANNÉE. Unité d enseignement LCMA 4U11 ANALYSE 3. Françoise GEANDIER LICENCE DE MATHÉMATIQUES DEUXIÈME ANNÉE Unité d enseignement LCMA 4U ANALYSE 3 Frnçoise GEANDIER Université Henri Poincré Nncy I Déprtement de Mthémtiques . Tble des mtières I Séries numériques. Séries

Plus en détail

Cours d Analyse IV Suites et Séries de fonctions

Cours d Analyse IV Suites et Séries de fonctions Université Clude Bernrd, Lyon I Licence Sciences, Technologies & Snté 43, boulevrd 11 novembre 1918 Spécilité Mthémtiques 69622 Villeurbnne cedex, Frnce L. Pujo-Menjouet pujo@mth.univ-lyon1.fr Cours d

Plus en détail

- Phénoméne aérospatial non identifié ( 0.V.N.I )

- Phénoméne aérospatial non identifié ( 0.V.N.I ) ENQUETE PRELIMINAIRE ANALYSE ET REFEREWCES : Phénoméne érosptil non identifié ( 0VNI ) B8E 25400 DEF/GEND/OE/DOlRENS du 28/9/1992 Nous soussigné : M D L chef J S, OPJ djoint u commndnt de l brigde en résidence

Plus en détail

FONDATION CLEMENTINE ET MAURICE ANTILLE

FONDATION CLEMENTINE ET MAURICE ANTILLE FONDATION CLEMENTINE ET MAURICE ANTILLE Règlement d ttriution de ourses et de prêts d études et de formtion du déemre 006 Artile premier Ojet et hmp d pplition Le présent règlement est étli en pplition

Plus en détail

Turbine hydraulique Girard simplifiée pour faibles et très faibles puissances

Turbine hydraulique Girard simplifiée pour faibles et très faibles puissances Turbine hydrulique Girrd simplifiée pour fibles et très fibles puissnces Prof. Ing. Zoltàn Hosszuréty, DrSc. Professeur à l'université technique de Kosice Les sites hydruliques disposnt de fibles débits

Plus en détail

Tout ce qu il faut savoir en math

Tout ce qu il faut savoir en math Tout ce qu il fut svoir en mth 1 Pourcentge Prendre un pourcentge t % d un quntité : t Clculer le pourcentge d une quntité pr rpport à une quntité b : Le coefficient multiplicteur CM pour une ugmenttion

Plus en détail

RadioCommunications CDMA

RadioCommunications CDMA Conservtoire tionl es Arts et Métiers Cours u Conservtoire tionl es Arts et Métiers RioCommunitions CDMA (Version 7) Mihel Terré terre@nmfr Eletronique C4 / Conservtoire tionl es Arts et Métiers Les performnes

Plus en détail

Chapitre IV- Induction électromagnétique

Chapitre IV- Induction électromagnétique 37 Chapitre IV- Indution életromagnétique IV.- Les lois de l indution IV..- L approhe de Faraday Jusqu à maintenant, nous nous sommes intéressés essentiellement à la réation d un hamp magnétique à partir

Plus en détail

McAfee Firewall Enterprise Control Center

McAfee Firewall Enterprise Control Center Guie e émrrge rpie Révision A MAfee Firewll Enterprise Control Center version 5.3.1 Ce guie e émrrge rpie fournit es instrutions générles sur l onfigurtion e MAfee Firewll Enterprise Control Center. 1

Plus en détail

LANGAGES - GRAMMAIRES - AUTOMATES

LANGAGES - GRAMMAIRES - AUTOMATES LANGAGES - GRAMMAIRES - AUTOMATES Mrie-Pule Muller Version du 14 juillet 2005 Ce cours présente et met en oeuvre quelques méthodes mthémtiques pour l informtique théorique. Ces notions de bse pourront

Plus en détail

Chapitre 11 : L inductance

Chapitre 11 : L inductance Chpitre : inductnce Exercices E. On donne A πr 4π 4 metn N 8 spires/m. () Selon l exemple., µ n A 4π 7 (8) 4π 4 (,5) 5 µh (b) À prtir de l éqution.4, on trouve ξ ξ 4 3 5 6 6,3 A/s E. On donne A πr,5π 4

Plus en détail

COURS D ANALYSE. Licence d Informatique, première. Laurent Michel

COURS D ANALYSE. Licence d Informatique, première. Laurent Michel COURS D ANALYSE Licence d Informtique, première nnée Lurent Michel Printemps 2010 2 Tble des mtières 1 Éléments de logique 5 1.1 Fbriquer des énoncés........................ 5 1.1.1 Enoncés élémentires.....................

Plus en détail

l'appareil et vérifiez les composants Cartouches d'encre incluses [x4] CD-ROM d'installation CD-ROM de documentation

l'appareil et vérifiez les composants Cartouches d'encre incluses [x4] CD-ROM d'installation CD-ROM de documentation Guide d instlltion rpide Commener DCP-J35W Veuillez lire ttentivement e Guide d'instlltion rpide pour onnître l proédure de onfigurtion et d'instlltion vnt d'utiliser l'ppreil. AVERTISSEMENT ATTENTION

Plus en détail

Statuts ASF Association Suisse Feldenkrais

Statuts ASF Association Suisse Feldenkrais Sttuts ASF Assocition Suisse Feldenkris Contenu Pge I. Nom, siège, ojectif et missions 1 Nom et siège 2 2 Ojectif 2 3 Missions 2 II. Memres 4 Modes d ffilition 3 5 Droits et oligtions des memres 3 6 Adhésion

Plus en détail

INSTRUCTIONS POUR L INSTALLATION ET LE FONCTIONNEMENT DES SERRURES À POIGNÉE BÉQUILLE

INSTRUCTIONS POUR L INSTALLATION ET LE FONCTIONNEMENT DES SERRURES À POIGNÉE BÉQUILLE INSTRUCTIONS POUR L INSTALLATION ET LE FONCTIONNEMENT DES SERRURES À POIGNÉE BÉQUILLE POUR LES SERRURES D ENTRÉE À CLÉ EXTÉRIEURES VERROUILLABLES, À POIGNÉE DE BRINKS HOME SECURITY. POUR LES PORTES DE

Plus en détail

Notes de révision : Automates et langages

Notes de révision : Automates et langages Préprtion à l grégtion de mthémtiques 2011 2012 Notes de révision : Automtes et lngges Benjmin MONMEGE et Sylvin SCHMITZ LSV, ENS Cchn & CNRS Version du 24 octore 2011 (r66m) CC Cretive Commons y-nc-s

Plus en détail

LITE-FLOOR. Dalles de sol et marches d escalier. Information technique

LITE-FLOOR. Dalles de sol et marches d escalier. Information technique LITE-FLOOR Dlles de sol et mrches d esclier Informtion technique Recommndtions pour le clcul et l pose de LITE-FLOOR Générlités Cette rochure reprend les règles de se à respecter pour grntir l rélistion

Plus en détail

Projet INF242. Stéphane Devismes & Benjamin Wack. Pour ce projet les étudiants doivent former des groupes de 3 ou 4 étudiants.

Projet INF242. Stéphane Devismes & Benjamin Wack. Pour ce projet les étudiants doivent former des groupes de 3 ou 4 étudiants. Projet INF242 Stéphane Devismes & Benjamin Wak Pour e projet les étudiants doivent former des groupes de 3 ou 4 étudiants. 1 Planning Distribution du projet au premier ours. À la fin de la deuxième semaine

Plus en détail

Raisonnement par récurrence Suites numériques

Raisonnement par récurrence Suites numériques Chapitre 1 Raisonnement par récurrence Suites numériques Terminale S Ce que dit le programme : CONTENUS CAPACITÉS ATTENDUES COMMENTAIRES Raisonnement par récurrence. Limite finie ou infinie d une suite.

Plus en détail

Theorie des mrches Dns ce chpitre, on etudie l'interction de l'ore et de l demnde sur un mrche d'un bien donne. On etudier, en prticulier, l'equilibre du mrche. Etnt donne qu'on s'interesse uniquement

Plus en détail

AVENTICUM. Petit guide actif pour découvrir l ancienne capitale de l Helvétie romaine cycle 2 degré 5-6 PER. Un jour à. Moi c est Camillus, et toi?

AVENTICUM. Petit guide actif pour découvrir l ancienne capitale de l Helvétie romaine cycle 2 degré 5-6 PER. Un jour à. Moi c est Camillus, et toi? Petit guide tif pour déouvrir l nienne pitle de l Helvétie romine yle 2 degré 5-6 PER Moi est Cmillus, et toi? Dniel Stevn 2011 1 Mode d emploi Je suis un Romin d Aventium, une ville que j ime utnt que

Plus en détail

Probabilités sur un univers fini

Probabilités sur un univers fini [http://mp.cpgedupuydelome.fr] édité le 10 août 2015 Enoncés 1 Proailités sur un univers fini Evènements et langage ensemliste A quelle condition sur (a,, c, d) ]0, 1[ 4 existe-t-il une proailité P sur

Plus en détail

Partie 4 : La monnaie et l'inflation

Partie 4 : La monnaie et l'inflation Prtie 4 : L monnie et l'infltion Enseignnt A. Direr Licence 2, 1er semestre 2008-9 Université Pierre Mendès Frnce Cours de mcroéconomie suite 4.1 Introduction Nous vons vu dns l prtie introductive que

Plus en détail

ANALYSE : FONCTIONS D UNE VARIABLE RÉELLE

ANALYSE : FONCTIONS D UNE VARIABLE RÉELLE Jen-Pierre Dedieu, Jen-Pierre Rymond ANALYSE : FONCTIONS D UNE VARIABLE RÉELLE Institut de Mthémtiques Université Pul Sbtier 31062 Toulouse cedex 09 jen-pierre.dedieu@mth.univ-toulouse.fr jen-pierre.rymond@mth.univ-toulouse.fr

Plus en détail

McAfee Firewall Enterprise, Multi Firewall Edition

McAfee Firewall Enterprise, Multi Firewall Edition Guie e émrrge rpie Révision A MAfee Firewll Enterprise, Multi Firewll Eition version 8.3.x Ce guie e émrrge rpie fournit es instrutions générles sur l onfigurtion e MAfee Firewll Enterprise, Multi Firewll

Plus en détail

Guide d'utilisation Easy Interactive Tools Ver. 2

Guide d'utilisation Easy Interactive Tools Ver. 2 Guide d'utilistion Esy Interctive Tools Ver. 2 Guide d'utilistion Esy Interctive Tools Ver.2 Présenttion de Esy Interctive Tools 3 Crctéristiques Fonction de dessin Vous pouvez utiliser Esy Interctive

Plus en détail

COMPARAISON MULTIPLICATIVE DE GRANDEURS. schéma CE2 CM1 CM2

COMPARAISON MULTIPLICATIVE DE GRANDEURS. schéma CE2 CM1 CM2 référé ou orne supérieure référent ou orne inférieure COMPARAISON MULTIPLICATIVE DE GRANDEURS shém CE2 CM1 CM2 x : x : Il y 5 fois plus e hises à l ntine que ns l lsse. Il y en 25 ns l lsse. Comien y -t-il

Plus en détail

TOUT CE QU IL FAUT SAVOIR POUR LE BREVET

TOUT CE QU IL FAUT SAVOIR POUR LE BREVET TOUT E QU IL FUT SVOIR POUR LE REVET NUMERIQUE / FONTIONS eci n est qu un rappel de tout ce qu il faut savoir en maths pour le brevet. I- Opérations sur les nombres et les fractions : Les priorités par

Plus en détail

Fonctions de plusieurs variables : dérivés partielles, diérentielle. Fonctions composées. Fonctions de classe C 1. Exemples

Fonctions de plusieurs variables : dérivés partielles, diérentielle. Fonctions composées. Fonctions de classe C 1. Exemples 45 Fonctions de plusieurs variables : dérivés partielles, diérentielle. Fonctions composées. Fonctions de classe C 1. Exemples Les espaces vectoriels considérés sont réels, non réduits au vecteur nul et

Plus en détail

3- Les taux d'intérêt

3- Les taux d'intérêt 3- Les tux d'intérêt Mishkin (2007), Monnie, Bnque et mrchés finnciers, Person Eduction, ch. 4 et 6 Vernimmen (2005), Finnce d'entreprise, Dlloz, ch. 20 à 22 1- Mesurer les tux d'intérêt comprer les différents

Plus en détail

ANALYSE NUMERIQUE NON-LINEAIRE

ANALYSE NUMERIQUE NON-LINEAIRE Université de Metz Licence de Mthémtiques - 3ème nnée 1er semestre ANALYSE NUMERIQUE NON-LINEAIRE pr Rlph Chill Lbortoire de Mthémtiques et Applictions de Metz Année 010/11 1 Tble des mtières Chpitre

Plus en détail

638604 CTC Generic 815446 LITHO FLEXO. PANTONE 000 05a mm/dd/yy xxxxxx. PANTONE 000 06a mm/dd/yy xxxxxx PANTONE 000. 07a mm/dd/yy xxxxxx.

638604 CTC Generic 815446 LITHO FLEXO. PANTONE 000 05a mm/dd/yy xxxxxx. PANTONE 000 06a mm/dd/yy xxxxxx PANTONE 000. 07a mm/dd/yy xxxxxx. Trez un erle de po (5, mm) de dimètre u entre du ord de l porte. " /" 9/6" /8" 5 5 0 5 POUR DISTANCE D ENTRÉE de /8 po (60 mm) Pliez e grit sur l ligne pointillée et plez elle-i sur l ngle de l porte POUR

Plus en détail

Équations différentielles et systèmes dynamiques. M. Jean-Christophe Yoccoz, membre de l'institut (Académie des Sciences), professeur

Équations différentielles et systèmes dynamiques. M. Jean-Christophe Yoccoz, membre de l'institut (Académie des Sciences), professeur Équations différentielles et systèmes dynamiques M. Jean-Christophe Yooz, membre de l'institut (Aadémie des Sienes), professeur La leçon inaugurale de la haire a eu lieu le 28 avril 1997. Le ours a ensuite

Plus en détail

/HVV\VWqPHVFRPELQDWRLUHV

/HVV\VWqPHVFRPELQDWRLUHV /HVV\VWqPHVFRPELQDWRLUHV I. Définition On ppelle système combintoire tout système numérique dont les sorties sont exclusivement définies à prtir des vribles d entrée (Figure ). = f(x, x 2,,, x n ) x x

Plus en détail

l appareil et vérifier les composants Module tambour-cartouche de toner (pré-installé)

l appareil et vérifier les composants Module tambour-cartouche de toner (pré-installé) Guide d instlltion rpide Commener MFC-8510DN MFC-8520DN Commenez pr lire le Guide de séurité du produit, puis suivez ttentivement l proédure d instlltion et de onfigurtion dérite dns e Guide d'instlltion

Plus en détail

Chapitre 1 : Fonctions analytiques - introduction

Chapitre 1 : Fonctions analytiques - introduction 2e semestre 2/ UE 4 U : Abrégé de cours Anlyse 3: fonctions nlytiques Les notes suivntes, disponibles à l dresse http://www.iecn.u-nncy.fr/ bertrm/, contiennent les définitions et les résultts principux

Plus en détail

Licence M.A.S.S. Cours d Analyse S4

Licence M.A.S.S. Cours d Analyse S4 Université Pris I, Pnthéon - Sorbonne Licence MASS Cours d Anlyse S4 Jen-Mrc Brdet (Université Pris 1, SAMM) UFR 27 et Equipe SAMM (Sttistique, Anlyse et Modélistion Multidisiplinire) Université Pnthéon-Sorbonne,

Plus en détail

I. Ensemble de définition d'une fonction

I. Ensemble de définition d'une fonction Chapitre 2 Généralités sur les fonctions Fonctions de références et fonctions associées Ce que dit le programme : Étude de fonctions Fonctions de référence x x et x x Connaître les variations de ces deux

Plus en détail

Format UNIMARC Bibliographique abrégé

Format UNIMARC Bibliographique abrégé Formt UNIMARC Biliogrphiqe régé Ce doment donne l étt d formt près l dexième mise à jor de 1998. Il ontient en pls qelqes modifitions eptées pr le Comité permnent UNIMARC lors de s dernière rénion nnelle

Plus en détail

3. Veuillez indiquer votre effectif total :

3. Veuillez indiquer votre effectif total : 1 Métiers du marketing et de la ommuniation Questionnaire préalable d assurane Préambule Le présent questionnaire préalable d assurane Marketing et Communiation a pour objet de réunir des informations

Plus en détail

Conditions Générales d Assurances Edition 2012.10

Conditions Générales d Assurances Edition 2012.10 Assurne ménge Etudints Conditions Générles d Assurnes Edition 2012.10 Index Pge Art. A Couverture de se...... 2 Choses ssurées, risques ssurles... 2 Presttions et sommes d ssurne....... 4 Art. B Couverture

Plus en détail

Cours 02 : Problème général de la programmation linéaire

Cours 02 : Problème général de la programmation linéaire Cours 02 : Problème général de la programmation linéaire Cours 02 : Problème général de la Programmation Linéaire. 5 . Introduction Un programme linéaire s'écrit sous la forme suivante. MinZ(ou maxw) =

Plus en détail

Sciences Industrielles Précision des systèmes asservis Papanicola Robert Lycée Jacques Amyot

Sciences Industrielles Précision des systèmes asservis Papanicola Robert Lycée Jacques Amyot Scence Indutrelle Précon de ytème erv Pncol Robert Lycée Jcque Amyot I - PRECISION DES SYSTEMES ASSERVIS A. Poton du roblème 1. Préentton On vu que le rôle d un ytème erv et de fre uvre à l orte (t) une

Plus en détail

Conseils et astuces pour les structures de base de la Ligne D30

Conseils et astuces pour les structures de base de la Ligne D30 Conseils et stuces pour les structures de bse de l Ligne D30 Conseils et stuces pour l Ligne D30 Ligne D30 - l solution élégnte pour votre production. Rentbilité optimle et méliortion continue des séquences

Plus en détail

La pratique institutionnelle «à plusieurs»

La pratique institutionnelle «à plusieurs» L prtique institutionnelle «à plusieurs» mury Cullrd Février 2013 Nicols, inquiet: «Qund je suis seul vec quelqu un, il se psse des choses» Vlentin, à propos de l institution : «Ici, y beucoup de gens,

Plus en détail

Wieland-Werke AG, 89070 Ulm, Allemagne Février 2012

Wieland-Werke AG, 89070 Ulm, Allemagne Février 2012 Wieln-Werke AG, 89070 Ulm, Allemgne Février 2012 Conitions générles e livrison 1. Conitions ontrtuelles, roit pplile Nous livrons et fournissons es presttions onformément à notre onfirmtion e ommne érite

Plus en détail

* très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile ***** très difficile I : Incontournable

* très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile ***** très difficile I : Incontournable Eo7 Fonctions de plusieurs variables Eercices de Jean-Louis Rouget Retrouver aussi cette fiche sur wwwmaths-francefr * très facile ** facile *** difficulté moenne **** difficile ***** très difficile I

Plus en détail

PRÉPARATIFS NOTIONS ÉLÉMENTAIRES DE COUTURE POINTS DE COUTURE COURANTS ANNEXE. Manuel d instructions. Machine à coudre informatisée

PRÉPARATIFS NOTIONS ÉLÉMENTAIRES DE COUTURE POINTS DE COUTURE COURANTS ANNEXE. Manuel d instructions. Machine à coudre informatisée PRÉPARATIFS NOTIONS ÉLÉMENTAIRES DE COUTURE POINTS DE COUTURE COURANTS ANNEXE Mnuel d instrutions Mhine à oudre informtisée Instrutions de séurité importntes Veuillez lire es instrutions de séurité vnt

Plus en détail

AUTOUR D UN MÉMOIRE INÉDIT : LA CONTRIBUTION D HERMITE AU DÉVELOPPEMENT DE LA THÉORIE DES FONCTIONS ELLIPTIQUES. Bruno BELHOSTE (*)

AUTOUR D UN MÉMOIRE INÉDIT : LA CONTRIBUTION D HERMITE AU DÉVELOPPEMENT DE LA THÉORIE DES FONCTIONS ELLIPTIQUES. Bruno BELHOSTE (*) Revue d histoire des mthémtiques, 2 (1996), p. 1 66. AUTOUR D UN MÉMOIRE INÉDIT : LA CONTRIBUTION D HERMITE AU DÉVELOPPEMENT DE LA THÉORIE DES FONCTIONS ELLIPTIQUES Bruno BELHOSTE (*) RÉSUMÉ. Dns cet rticle,

Plus en détail

NCCI : Calcul d'assemblages de pieds de poteaux encastrés

NCCI : Calcul d'assemblages de pieds de poteaux encastrés NCCI : Calul d'assemblages de pieds de poteaux enastrés Ce NCCI fournit les règles relatives au alul d'assemblages de pieds de poteaux enastrés. Ces règles se ontentent de ouvrir la oneption et le alul

Plus en détail

Commencer MFC-J4410DW

Commencer MFC-J4410DW Guie instlltion rpie Commener MFC-J440DW MFC-J460DW Veuillez lire le Guie e séurité u prouit vnt 'instller l'ppreil. Lisez ensuite e Guie 'instlltion rpie pour onnître l proéure e onfigurtion et 'instlltion

Plus en détail

SYSTEME DE TELEPHONIE

SYSTEME DE TELEPHONIE YTEME DE TELEPHOIE LE OUVEUTE PTIE MOITEU COULEU Le système de téléphonie comporte un moniteur vec un écrn couleurs de intégré u téléphone. Cette prtie est disponile en lnc, nthrcite et Tech. TLE DE MTIEE

Plus en détail

Annexe II. Les trois lois de Kepler

Annexe II. Les trois lois de Kepler Annexe II es tois lois de Keple écnique & 4 èe - Annexe II es tois lois de Keple Johnnes Keple (57-6), pulie en 596 son peie ouge, ysteiu Cosogphicu Teize nnées plus td, en 69, il pulie Astonoi No, dns

Plus en détail

BASE DE BIOÉTHIQUE SECTION 1 : SYLLABUS PROGRAMME D ÉDUCATION EN ÉTHIQUE

BASE DE BIOÉTHIQUE SECTION 1 : SYLLABUS PROGRAMME D ÉDUCATION EN ÉTHIQUE COURS DE BASE DE BIOÉTHIQUE SECTION 1 : SYLLABUS PROGRAMME D ÉDUCATION EN ÉTHIQUE Seteur es sienes soiles et humines Division e l éthique es sienes et es tehnologies Design & Proution: Juli Cheftel SHS/EST/EEP/2008/PI/1

Plus en détail

Baccalauréat S Asie 19 juin 2014 Corrigé

Baccalauréat S Asie 19 juin 2014 Corrigé Bcclurét S Asie 9 jui 24 Corrigé A. P. M. E. P. Exercice Commu à tous les cdidts 4 poits Questio - c. O peut élimier rpidemet les réposes. et d. cr les vecteurs directeurs des droites proposées e sot ps

Plus en détail

I. RACINE CARREE D UN NOMBRE POSITIF : La racine carrée d un nombre positif a est le nombre positif noté a dont le carré est a.

I. RACINE CARREE D UN NOMBRE POSITIF : La racine carrée d un nombre positif a est le nombre positif noté a dont le carré est a. OURS 3 EME RINES RREES PGE 1/1 ONTENUS OMPETENES EXIGILES OMMENTIRES alculs élémentaires sur les radicaux Racine carrée d un nombre positif Savoir que si a désigne un nombre positif, a est le nombre positif

Plus en détail

GABARIT À PÊNE DORMANT ÉLECTRONIQUE

GABARIT À PÊNE DORMANT ÉLECTRONIQUE Trez un erle de 1 po (25,4 mm) de dimètre u entre du ord de l porte. 2" 1 3/4" 1 9/16" 1 3/8" 51 45 40 35 POUR DISTANCE D'ENTRÉE de 2 3/8 po (60 mm) Pliez e grit sur l ligne pointillée et plez elle-i sur

Plus en détail

Magister en : Génie Mécanique

Magister en : Génie Mécanique الجمهورية الجزاي رية الديمقراطية الشعبية République Algérienne Démocrtique et Populire وزارة التعليم العالي و البحث العلمي Ministère de l enseignement supérieur et de l recherche scientifique Université

Plus en détail

Classeur courtier d assurance. Comment organiser son activité et se préparer à un contrôle

Classeur courtier d assurance. Comment organiser son activité et se préparer à un contrôle Clsseur courtier d ssurnce Comment orgniser son ctivité et se préprer à un contrôle 67, venue Pierre Grenier 92517 BOULOGNE-BILLANCOURT CEDEX Tél : 01.46.10.43.80 Fx : 01.47.61.14.85 www.streevocts.com

Plus en détail

Correction de l exercice 2 du quiz final du cours Gestion financière (2010-2011 T2) : «Augmentation de capital de Carbone Lorraine»

Correction de l exercice 2 du quiz final du cours Gestion financière (2010-2011 T2) : «Augmentation de capital de Carbone Lorraine» Correction de l exercice 2 du quiz final du cours Gestion financière (2010 2011 T2) : «Augmentation de capital de Carone Lorraine» Question 1 : déterminer formellement la valeur du droit préférentiel de

Plus en détail

Eteindre. les. lumières MATH EN JEAN 2013-2014. Mme BACHOC. Elèves de seconde, première et terminale scientifiques :

Eteindre. les. lumières MATH EN JEAN 2013-2014. Mme BACHOC. Elèves de seconde, première et terminale scientifiques : MTH EN JEN 2013-2014 Elèves de seconde, première et terminale scientifiques : Lycée Michel Montaigne : HERITEL ôme T S POLLOZE Hélène 1 S SOK Sophie 1 S Eteindre Lycée Sud Médoc : ROSIO Gauthier 2 nd PELGE

Plus en détail

USB cable users: Do not connect the USB cable until step A2.

USB cable users: Do not connect the USB cable until step A2. Bsis Guide Strt Here Commenez ii 1 USB ble users: Do not onnet the USB ble until step A2. Utilisteurs de âble USB : Ne onnetez ps le âble USB vnt l étpe A2. Use this guide to set up the hrdwre nd onnet

Plus en détail

Introduction à la modélisation et à la vérication p. 1/8

Introduction à la modélisation et à la vérication p. 1/8 Introduction à l modélistion et à l vériction Appliction ux systèmes temporisés Ptrici Bouyer LSV CNRS & ENS de Cchn Introduction à l modélistion et à l vériction p. 1/8 Modélistion & Vériction Introduction

Plus en détail

Calcul matriciel. Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes.

Calcul matriciel. Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes. 1 Définitions, notations Calcul matriciel Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes. On utilise aussi la notation m n pour le

Plus en détail

L éditorial. rapport d activité 2010-2012. Francis Daumas. décembre 2014 éditorial

L éditorial. rapport d activité 2010-2012. Francis Daumas. décembre 2014 éditorial déemre 2014 éditoril L éditoril Frnis Dums Direteur Conernnt l onservtion à long terme des Un premier oup d œil dns le rétroviseur nous L onstrution du nouveu «pôle énergie» données numériques, à ôté des

Plus en détail

Mesures du coefficient adiabatique γ de l air

Mesures du coefficient adiabatique γ de l air Mesures du oeffiient adiabatique γ de l air Introdution : γ est le rapport des apaités alorifiques massiques d un gaz : γ = p v Le gaz étudié est l air. La mesure de la haleur massique à pression onstante

Plus en détail

Toyota Assurances Toujours la meilleure solution

Toyota Assurances Toujours la meilleure solution Toyot Assurnces Toujours l meilleure solution De quelle ssurnce vez-vous besoin? Vous roulez déjà en Toyot ou vous ttendez s livrison. Votre voiture est neuve ou d occsion. Vous vlez les kilomètres ou

Plus en détail

Introduction a l'algorithmique des objets partages. Robert Cori. Antoine Petit. Lifac, ENS Cachan, 94235 Cachan Cedex. Resume

Introduction a l'algorithmique des objets partages. Robert Cori. Antoine Petit. Lifac, ENS Cachan, 94235 Cachan Cedex. Resume Introduction a l'algorithmique des objets partages Bernadette Charron{Bost Robert Cori Lix, Ecole Polytechnique, 91128 Palaiseau Cedex, France, charron@lix.polytechnique.fr cori@lix.polytechnique.fr Antoine

Plus en détail

Compte rendu de la validation d'un observateur cascade pour la MAS sans capteurs mécaniques sur la plate-forme d'essai de l'irccyn

Compte rendu de la validation d'un observateur cascade pour la MAS sans capteurs mécaniques sur la plate-forme d'essai de l'irccyn Compte rendu de l vlidtion d'un oservteur cscde pour l MAS sns cpteurs mécniques sur l plte-forme d'essi de l'irccyn Mlek GHANES, Alin GLUMINEAU et Roert BOISLIVEAU Le 1 vril IRCCyN: Institut de Recherche

Plus en détail

Planche n o 22. Fonctions de plusieurs variables. Corrigé

Planche n o 22. Fonctions de plusieurs variables. Corrigé Planche n o Fonctions de plusieurs variables Corrigé n o : f est définie sur R \ {, } Pour, f, = Quand tend vers, le couple, tend vers le couple, et f, tend vers Donc, si f a une limite réelle en, cette

Plus en détail

ManSafe. pour les Utilitiés. La Protection antichute pour les Industries de l'energie. Français. TowerLatch LadderLatch

ManSafe. pour les Utilitiés. La Protection antichute pour les Industries de l'energie. Français. TowerLatch LadderLatch MnSfe pour les Utilitiés L Protection ntichute pour les Industries de l'energie Frnçis TowerLtch LdderLtch Les questions de protection nti-chute Les chutes de huteur sont l cuse de mortlité l plus importnte

Plus en détail

6. Les différents types de démonstrations

6. Les différents types de démonstrations LES DIFFÉRENTS TYPES DE DÉMONSTRATIONS 33 6. Les différents types de démonstrations 6.1. Un peu de logique En mathématiques, une démonstration est un raisonnement qui permet, à partir de certains axiomes,

Plus en détail

Influence du milieu d étude sur l activité (suite) Inhibition et activation

Influence du milieu d étude sur l activité (suite) Inhibition et activation Influence du milieu d étude sur l ctivité (suite) Inhibition et ctivtion Influence de l tempérture Influence du ph 1 Influence de l tempérture Si on chuffe une préprtion enzymtique, l ctivité ugmente jusqu

Plus en détail

Le canal étroit du crédit : une analyse critique des fondements théoriques

Le canal étroit du crédit : une analyse critique des fondements théoriques Le cnl étroit du crédit : une nlyse critique des fondements théoriques Rfl Kierzenkowski 1 CREFED Université Pris Duphine Alloctire de Recherche Avril 2001 version provisoire Résumé A l suite des trvux

Plus en détail

D'UN THÉORÈME NOUVEAU

D'UN THÉORÈME NOUVEAU DÉMONSTRATION D'UN THÉORÈME NOUVEAU CONCERNANT LES NOMBRES PREMIERS 1. (Nouveaux Mémoires de l'académie royale des Sciences et Belles-Lettres de Berlin, année 1771.) 1. Je viens de trouver, dans un excellent

Plus en détail

Pour développer votre entreprise. Compta LES LOGICIELS EN LIGNE, VOUS ALLEZ DIRE OUI!

Pour développer votre entreprise. Compta LES LOGICIELS EN LIGNE, VOUS ALLEZ DIRE OUI! Pour développer votre entreprise Compt Avec EBP Compt, vous ssurez le suivi de l ensemble de vos opértions et exploitez les données les plus complexes en toute sécurité. Toutes les fonctionnlités essentielles

Plus en détail

Corps des nombres complexes, J Paul Tsasa

Corps des nombres complexes, J Paul Tsasa Corps des nombres complexes, J Paul Tsasa One Pager Février 2013 Vol. 5 Num. 011 Copyright Laréq 2013 http://www.lareq.com Corps des Nombres Complexes Définitions, Règles de Calcul et Théorèmes «Les idiots

Plus en détail

LOGICIEL FONCTIONNEL EMC VNX

LOGICIEL FONCTIONNEL EMC VNX LOGICIEL FONCTIONNEL EMC VNX Améliortion des performnces des pplictions, protection des données critiques et réduction des coûts de stockge vec les logiciels complets d EMC POINTS FORTS VNX Softwre Essentils

Plus en détail

Sommaire. 6. Tableau récapitulatif... 10. Sophos NAC intégré Vs. NAC Advanced - 17 Février 2009 2

Sommaire. 6. Tableau récapitulatif... 10. Sophos NAC intégré Vs. NAC Advanced - 17 Février 2009 2 Sommire 1. A propos de Sophos... 3 2. Comprtif des solutions Sophos NAC... 4 3. Sophos NAC pour Endpoint Security nd Control 8.0... 4 3.1. Administrtion et déploiement... 4 3.2. Gestion des politiques

Plus en détail

Chapitre 2 : Vecteurs

Chapitre 2 : Vecteurs 1 Chapitre 2 : Vecteurs Nous allons définir ce qu'est un vecteur grâce à une figure (le parallélogramme), mais au préalable nous allons aussi définir une nouvelle transformation (la translation). Nous

Plus en détail

Avant d utiliser l appareil, lisez ce Guide de référence rapide pour connaître la procédure de configuration et d installation.

Avant d utiliser l appareil, lisez ce Guide de référence rapide pour connaître la procédure de configuration et d installation. Guide de référence rpide Commencer Avnt d utiliser l ppreil, lisez ce Guide de référence rpide pour connître l procédure de configurtion et d instlltion. NE rccordez PAS le câle d interfce mintennt. 1

Plus en détail

Seconde et première Exercices de révision sur les probabilités Corrigé

Seconde et première Exercices de révision sur les probabilités Corrigé I_ L'univers. _ On lance simultanément deux dés indiscernables donc il n'y a pas d'ordre. Il y a répétition, les dbles. On note une issue en écrivant le plus grand chiffre puis le plus petit. 32 signifie

Plus en détail

NCCI : Modèle de calcul pour les pieds de poteaux articulés Poteaux en I en compression axiale

NCCI : Modèle de calcul pour les pieds de poteaux articulés Poteaux en I en compression axiale NCCI : Modèle de alul pour les pieds de poteaux artiulés Poteaux en I en Ce NCCI présente les règles permettant de déterminer soit la résistane de alul, soit les dimensions requises des plaques d'assise

Plus en détail

Outils pour un. partenariat. renouvelé. entre propriétaires et gestionnaires. résidences sociales et logements-foyers

Outils pour un. partenariat. renouvelé. entre propriétaires et gestionnaires. résidences sociales et logements-foyers Outils pour un prtenrit renouvelé entre propriétires et gestionnires résienes soiles et logements-foyers éition septemre 2011 Outils pour un prtenrit renouvelé entre propriétires et gestionnires résienes

Plus en détail

CNAM UE MVA 210 Ph. Durand Algèbre et analyse tensorielle Cours 4: Calcul dierentiel 2

CNAM UE MVA 210 Ph. Durand Algèbre et analyse tensorielle Cours 4: Calcul dierentiel 2 CNAM UE MVA 210 Ph. Duran Algèbre et analyse tensorielle Cours 4: Calcul ierentiel 2 Jeui 26 octobre 2006 1 Formes iérentielles e egrés 1 Dès l'introuction es bases u calcul iérentiel, nous avons mis en

Plus en détail