Précis DÉPARTEMENT DE L ÉVALUATION DES OPÉRATIONS PRINTEMPS 1999 N U M É R O La santé au Mali : Miser sur la participation locale

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Précis DÉPARTEMENT DE L ÉVALUATION DES OPÉRATIONS PRINTEMPS 1999 N U M É R O 1 8 8. La santé au Mali : Miser sur la participation locale"

Transcription

1 Précis DÉPARTEMENT DE L ÉVALUATION DES OPÉRATIONS PRINTEMPS 1999 N U M É R O La saté au Mali : Miser sur la participatio locale AIDE FOURNIE PAR LA BANQUE MONDIALE AU secteur de la saté du Mali a cotribué à améliorer l accès aux services de saté e milieu rural et redu les médicamets Lessetiels plus largemet dispoibles à u prix abordable, coclut ue étude récete du Départemet de l évaluatio des opératios. Les leços tirées d u précédet projet de saté, dot les résultats ot été décevats, ot aidé la Baque et ses parteaires à défiir les grades orietatios stratégiques, otammet la créatio d u secteur de la saté géré à l échelo local, et fiacé par le recouvremet des coûts, la réforme de l office pharmaceutique d État et l adoptio d u régime réglemetaire favorable à l utilisatio des médicamets géériques essetiels. Il reste des progrès à accomplir, pricipalemet pour augmeter l utilisatio des services de saté, lutter cotre la malutritio, remédier au maque de persoel das le secteur commuautaire et itroduire davatage d équité das les dépeses publiques de saté. Gééralités Le Mali est l u des pays les plus pauvres du mode. La majeure partie de sa populatio pratique l agriculture de subsistace o irriguée mais le climat est rude et imprévisible, et les Malies vivet e permaece sous la meace de la sécheresse. Le taux d alphabétisatio des adultes, qui est iférieur à 20 %, figure parmi les plus bas du mode. Les services d éducatio sot peu développés, surtout au iveau primaire. La scolarisatio des filles atteit pas le tiers de la moyee pour l Afrique subsahariee et, e milieu rural, jusqu à 80 % des efats d âge scolaire e fréquetet pas l école primaire. Ces idicateurs sot importats, car la situatio écoomique défavorable et la

2 2 Départemet de l évaluatio des opératios de la Baque modiale faiblesse des reveus bridet la demade de services de saté et favoriset l existece de coditios qui prédisposet la populatio à la maladie et à la mauvaise saté. Le maque d istructio, spécialemet parmi les filles, pèse sur le iveau des idicateurs de saté et de utritio pour les efats et explique e partie la faible utilisatio des moyes cotraceptifs et les taux de fécodité élevés. Comme das la plupart des autres pays d Afrique subsahariee, les maladies ifectieuses et parasitaires sot les pricipaux problèmes saitaires, et les premières causes de décès sot des maladies évitables comme le paludisme, la rougeole, le tétaos, les ifectios respiratoires aiguës et la diarrhée. La maladie frappe de faço disproportioée les efats et les femmes e âge de procréer, et les idicateurs saitaires sot plus défavorables e milieu rural que das les agglomératios. La malutritio est u problème grave : u tiers des efats de mois de ciq as et u quart des ourrissos de mois de six mois souffret d isuffisace staturale. Il faut, e plus, réagir aujourd hui à la propagatio du VIH qui atteit actuellemet 5 % de la populatio et dot la fréquece augmete. Quad la Baque est iterveue pour la première fois das le secteur de la saté au Mali, il y a 20 as, le pays avait u système de saté cetralisé, peu sesible aux besois de la populatio. La politique officielle favorisait les sois de saté curatifs destiés à la populatio urbaie et il e résultait u système éparpillé et iaccessible à la majorité rurale de la populatio. U moopole d État cotrôlait la distributio et le prix des médicamets, à la portée seulemet d u tout petit ombre. Au milieu des aées 80, les autorités ot mis fi à la garatie de l emploi pour les diplômés de l école de médecie et ouvert le secteur à la pratique privée, mais elles ot fixé les hooraires à des tarifs hors d atteite pour la plupart, créat toute ue catégorie de médecis au chômage. Pour compléter cette descriptio, il faut ajouter l attitude géérale evers les sois de saté : la populatio avait l habitude de se soiger e suivat les pratiques et les croyaces autochtoes. L aide fourie par la Baque pour remédier à ces problèmes a permis d obteir des résultats cosidérables, mais certais obstacles résistet aux efforts. Le dialogue de politique écoomique meé par la Baque et ses études sectorielles ot aidé les autorités à défiir ue politique atioale de la saté qui a permis d élargir l accès aux services de saté e milieu rural et aux médicamets géériques essetiels à u prix abordable. Cepedat, les autorités ot toujours pas corrigé le déséquilibre e faveur des villes et e cosacret pas ue part suffisate des dépeses aux sois de saté primaires i au secteur rural. Les opératios de prêt et les projets de la Baque ot aussi aidé les pouvoirs publics à créer u système de sois de saté de proximité raisoablemet efficace, qui a élargi la couverture aux régios rurales à travers u réseau plus coordoé de doateurs et d ONG. Das l esemble, cepedat, l utilisatio reste faible et les dispesaires ot du mal à recruter des médecis et à offrir u pla de carrière bie défii aux professioels de la saté. La Baque, les autorités publiques et les autres parteaires sot cosciets de ces problèmes et ils ot etrepris u programme d ivestissemets sectoriels pour y remédier. L activité de la Baque das le secteur de la saté du Mali Le dialogue de politique écoomique et les travaux préparatoires qui ot précédé l approbatio, e 1983, du premier projet de la Baque pour la saté au Mali (le Programme de développemet du secteur de la saté - PDS) ot, pour la première fois, doé aux autorités maliees l occasio de participer directemet à la préparatio d u projet fiacé par u bailleur de fods. Le projet et sa stratégie s appuyaiet sur ue étude épidémiologique faite e 1981, révélat que les villageois e fréquetaiet les dispesaires publics qu ue fois tous les deux as, e moyee. Les trois quarts de l échatillo de populatio e s étaiet pas adressés ue seule fois à u dispesaire durat l aée précédat l equête. L étude costatait égalemet que le ombre moye de visites était foctio de la distace par rapport au dispesaire, paramètre d ue importace essetielle das u pays pricipalemet rural. Elle motrait aussi que la populatio la plus exposée aux maladies, c est-à-dire les efats et les femmes eceites, était pas traitée e priorité. Les ges s adressaiet avat tout aux guérisseurs traditioels et utilisaiet des herbes médiciales e cas de maladie. Certes, les pharmacies publiques vedaiet des médicamets moderes, mais ces produits étaiet commercialisés à des prix trop élevés et étaiet souvet e rupture de stock. D autre part, des orgaismes doateurs et des ONG cherchaiet à élargir les services e milieu rural, mais le maque de coordiatio, de persoel et de ressources pour fiacer les coûts reouvelables uisait à l efficacité et à la péreité de leur actio. Le PDS a cherché à reforcer la fouriture des services e travaillat avec le système de saté public e place pour costruire des dispesaires supplémetaires et former du persoel ouveau. Cepedat, les retards d exécutio ot été cosidérables pour presque toutes les composates. Les difficultés veaiet otammet de l isuffisace des prestatios fouries par les ONG egagées pour costruire les istallatios. Le projet a itroduit à titre pilote la formule des fods reouvelables à gestio locale pour les

3 Précis 3 Réforme du secteur pharmaceutique Quad la Baque a commecé à s occuper du secteur de la saté au Mali, au début des aées 80, il était déjà évidet qu ue réforme du secteur pharmaceutique s imposait. La demade de médicamets était suffisammet forte pour que les pharmacies paraétatiques du Mali (PPM) réaliset des bééfices malgré leurs politiques d achat iefficaces. Cepedat, les médicamets importés par les PPM étaiet des préparatios de spécialité de marque qui coûtaiet cher et qui, souvet, étaiet dispoibles qu e trop petites quatités. Vu leur persoel pléthorique, les PPM étaiet largemet exposées au risque de vetes illicites de médicamets et d autres formes de corruptio. Les médicamets étaiet vedus à u prix subvetioé aux établissemets relevat du secteur public, alors que le reste de la clietèle les achetait au prix fort. Ces pratiques, ajoutées aux importatios illégales, alimetaiet u marché oir des médicamets florissat, qui offrait souvet des produits d ue qualité douteuse. Das u premier temps, les autorités ot beaucoup hésité à reocer aux bééfices procurés par les PPM qui, de leur côté, étaiet aturellemet très hostiles à la moidre réforme. Cepedat, à la fi des aées 80, l échec du PDS fiacé par la Baque et celui d autres iitiatives similaires ot aidé à covaicre les hauts resposables du miistère de la Saté qu ue réforme du secteur pharmaceutique s imposait. La Baque a compris que les obstacles à la réforme e veaiet pas simplemet d u maque de capacités et, das le dialogue de politique écoomique pour le Deuxième projet saté, populatio et hydraulique rurale, elle a isisté sur la écessité de modifier le cadre réglemetaire. Les autres doateurs et les ONG demadaiet l élimiatio des PPM, dot l iefficacité les irritait. Cepedat, le persoel de la Baque était hostile à ue telle solutio, estimat qu elle était pas politiquemet réalisable et qu ue ONG e pourrait pas se charger du jour au ledemai des gros achats de médicamets prévus pour le Deuxième projet saté, populatio et hydraulique rurale. Das le cadre de la Politique atioale de la saté, le gouveremet, la Baque et les autres parteaires ot mis au poit u cotrat de pla, prévoyat, à terme, quatre réformes : l itroductio de la cocurrece privée das les vetes de médicamets au détail, l adoptio d ue proportio plus élevée de médicamets géériques das le secteur saitaire d État et das le secteur commuautaire, le plafoemet des marges commerciales et la restructuratio des PPM, moyeat la suppressio de 200 emplois. Au début des aées 90, la libéralisatio a reçu u plus large appui du fait que de ouvelles filières d importatio des médicamets sot apparues et ot stimulé la cocurrece das le secteur. De so côté, le Deuxième projet saté, populatio et hydraulique rurale a commecé à élargir le secteur de la saté commuautaire, si bie que la demade de médicamets géériques a augmeté, accetuat la pressio qui s exerçait sur les autorités e faveur de la pleie applicatio des réformes. Dès 1993, les PPM avaiet commecé à acheter les médicamets géériques essetiels suivat la méthode de l appel d offres iteratioal (AOI). Au milieu des aées 90, le prix des médicamets avait dimiué, tombat, pour certais, à 20 % de leur iveau atérieur, et il a cotiué à baisser, même après la dévaluatio du frac CFA e Das u premier temps, les troubles civils ot retardé l exécutio du projet, mais la trasitio démocratique de 1994 a relacé la décetralisatio du service de saté, reforcé la participatio de la populatio locale et affaibli l oppositio systématique à la réforme du secteur pharmaceutique. médicamets, das l idée de remédier aux péuries chroiques e milieu rural. Toutefois, ces tetatives de réforme et de réductio du prix des médicamets ayat échoué, les prix des médicamets vedus das les pharmacies villageoises sot restés trop élevés pour la plupart et les pharmacies ot jamais été retables. L expériece a été décevate pour les autorités comme pour la Baque, mais le PDS et les programmes pilotes parraiés par d autres parteaires ot apporté des eseigemets utiles, qui ot ouvert la voie à u profod chagemet de stratégie de la part de la Baque et des autorités au début des aées 90. Recouvremet des coûts L échec du premier projet de la Baque et l évolutio des idées das le domaie du développemet saitaire ot provoqué ue révisio de la stratégie de saté publique du pays. La ouvelle orietatio s ispirait des formules de participatio locale et de recouvremet des coûts éocées das l iitiative de Bamako, etériée par les miistres africais de la Saté e Comme prévu par cette iitiative, le miistère de la Saté a commecé à collaborer avec l UNICEF e 1989 pour mettre au poit u pla d actio pour le Mali icluat la gestio des coûts par la populatio locale afi d élargir l accès

4 4 Départemet de l évaluatio des opératios de la Baque modiale aux services de saté. La première étape compreait l adoptio d u pla atioal de décetralisatio de la plaificatio et de la gestio saitaires et le développemet de la fouriture des médicamets essetiels et de la participatio de la populatio locale à la gestio et au fiacemet des dispesaires locaux. Forts de l expériece du PDS, les services de la Baque étaiet covaicus que la formule du dispesaire fiacé par la commuauté pouvait réussir, à coditio qu u approvisioemet sûr e médicamets essetiels à bo marché puisse être garati. La Baque a etrepris de ouer des alliaces solides avec les istaces dirigeates et avec l UNICEF et les autres bailleurs de fods. Elle a procuré des avis et ue assistace techique durat la phase de mise au poit de la politique et, ce qui est peut-être plus importat, a subordoé l octroi d u soutie supplémetaire à l adoptio d ue politique atioale de la saté clairemet défiie. L impositio de cette coditio a stimulé le processus de défiitio de la politique atioale et créé u lie etre celle-ci et le ouveau projet. La politique atioale a été mise au poit par ue petite équipe de spécialistes du miistère de la Saté, mais, à cause des lies étroits etre les services de l admiistratio atioale et la Baque, certais bailleurs de fods ot voulu y voir ue «politique de la Baque». E fait, cette politique a survécu aux troubles civils et aux trasitios politiques du début des aées 90, y compris au passage de quatre miistres successifs au miistère de la Saté et à l istallatio d u gouveremet issu d électios démocratiques e 1994, grâce au ferme soutie des hauts foctioaires du miistère de la Saté. E vertu de la ouvelle politique, l orgaisatio de la fouriture des services e milieu rural a été détachée des structures admiistratives de l État. Le secteur public s est associé aux populatios locales pour élargir l accès aux services de saté, otammet e cofiat à ces derières la gestio des dispesaires et des recettes proveat du recouvremet des coûts. La politique prévoyait aussi la réforme du secteur pharmaceutique, e particulier la restructuratio des pharmacies paraétatiques qui e fouriraiet désormais plus que les médicamets essetiels et géériques, cepedat que le secteur privé était autorisé à importer et à vedre des médicamets. Mesures pour remédier aux problèmes essetiels Le Projet saté, populatio et hydraulique rurale, lacé e 1991, visait à régler les problèmes complexes de l accès aux services de saté e milieu rural, du coût des médicamets et de la coordiatio des sois. Il a cotribué à établir et à étedre le ouveau système de proximité das quatre districts et das la capitale et a été cofiacé par plusieurs autres bailleurs de fods, avec u fiacemet et u soutie techique parallèles de l UNICEF. La participatio de l UNICEF, surtout la présece d u spécialiste techique seior de cette orgaisatio das chaque régio, a eu ue importace cruciale pour l établissemet des plas saitaires de district et pour la supervisio des ouveaux dispesaires commuautaires. Le projet a sesiblemet élargi l accès aux établissemets de saté et, grâce à la réforme du secteur pharmaceutique, il a accru l offre de médicamets à des prix abordables. E 1998, près de 300 ouveaux dispesaires avaiet été créés, dot u tiers fiacé par le PSPHR, et le pourcetage de la populatio vivat das u rayo de 15 km autour d u dispesaire était passé à 39 %, au lieu de 17 % e Les dispesaires avaiet largemet réussi à améliorer la couverture du service et la satisfactio de la clietèle et ils étaiet parveus à fiacer la majeure partie des dépeses reouvelables, salariales et o salariales, au moye des ressources proveat du recouvremet des coûts. De plus, des comités de gestio avaiet été créés pour certais dispesaires publics existats, bie que le persoel soit toujours employé par l État. Près de la moitié des dispesaires du pays appartieet toujours au miistère de la Saté, qui e assure la gestio. La Baque a poussé à la restructuratio des PPM, à l élimiatio des obstacles à la cocurrece privée et à la spécialisatio des PPM das l achat des médicamets géériques essetiels, e faisat de ces mesures des coditios d approbatio du projet. Les progrès ot d abord été lets, jusqu à ce que l utilisatio de la méthode des appels d offres iteratioaux fasse baisser fortemet les prix officiels des médicamets. Les prix ot cotiué à dimiuer même après la dévaluatio du frac CFA e Les médicamets géériques sot aujourd hui largemet dispoibles et les prix sot suffisammet bas pour que les dispesaires commuautaires réussisset à fiacer les dépeses reouvelables à partir des recettes des vetes de médicamets. La plupart des médicamets spécialisés sot fouris par le secteur privé. Efi, la méthode de plaificatio décetralisée itroduite par le projet a permis d associer de plus près les bééficiaires à la plaificatio et à la prestatio des services, ce qui a allégé les tâches et réduit les goulets d étraglemet das l admiistratio cetrale. Le PSPHR a servi de cadre gééral pour l apport des cocours de plusieurs bailleurs de fods agissat de cocert avec la Baque ; combié à la politique atioale, il a cotribué à améliorer la coordiatio des activités des bailleurs de fods et des pouvoirs publics. Les défis futurs Les premiers dispesaires gérés localemet ot été créés au milieu des aées 90, juste avat la derière equête

5 Précis 5 démographique et saitaire. Il est doc trop tôt pour attribuer aux effets du PSPHR les variatios des idicateurs de saté du Mali. Cepedat, les doées recueillies fot apparaître de modestes amélioratios das les dix derières aées. La mortalité juvéile et ifatile a légèremet reculé, bie qu elle reste ecore élevée, même par rapport aux taux régioaux plutôt forts. U efat sur quatre meurt toujours avat l âge de ciq as. E milieu rural, le pourcetage des efats totalemet vacciés est passé de 0 % à 24 %, e grade partie grâce à l élargissemet de la couverture par le DTC3 e milieu rural. La proportio des femmes qui passet au mois ue visite préatale e cours de grossesse était de la moitié e 1995, cotre eviro u tiers e 1987, et la couverture par le vacci atitétaique est passée de 18 % à 50 %. L equête idique aussi que certaies pratiques saitaires se sot améliorées, otammet pour l accompagemet médical des aissaces par du persoel formé et pour le pourcetage d efats soigés cotre la diarrhée. La prévalece et la gravité de la malutritio chez les efats cotrastet vivemet avec ces amélioratios. Le ombre d efats atteits de malutritio est extrêmemet préoccupat (23 % des efats malies souffret d u retard de croissace, selo l equête démographique et de saté de 1995/96) et la prévalece de la malutritio est comparable à celle observée das les pays qui sortet tout juste d ue période de famie ou de coflit civil (voir le tableau ci-dessous). L isuffisace staturale et podérale est largemet répadue depuis la fi des aées 80 et a peut-être augmeté das les dix derières aées (bie que les chiffres de l equête démographique et de saté de 1987 e soiet pas forcémet fiables). Ue aalyse des résultats de l equête de 1995/96 idique que plus de la moitié de la mortalité chez les efats de mois de ciq as pourrait être due à la malutritio (15 % de malutritio grave et 42 % de malutritio légère à modérée). Il est tout à fait évidet que l élargissemet de l accès aux services de saté sas ue amélioratio de la utritio e fera pas progresser sesiblemet la saté juvéile. Pourquoi des progrès sot absolumet écessaires : L augmetatio de la malutritio au Mali Isuffisace staturale 24 % 27 % 30 % (taille/âge) Isuffisace podérale 11 % 18 % 23 % (poids/taille) Déutritio 31 % 43 % 40 % (poids/taille) L utilisatio doit suivre l accessibilité Malgré tout ce que la Baque et les pouvoirs publics ot fait pour améliorer l accès matériel aux services de saté e milieu rural et pour augmeter l utilisatio des services de sois curatifs et prévetifs das les zoes desservies par les dispesaires commuautaires, les taux d utilisatio restet bas. E 1996, les Malies ot fréqueté u dispesaire relevat de l État ou géré par la commuauté que 0,16 fois e moyee. Les taux d utilisatio sot légèremet supérieurs das les dispesaires à gestio commuautaire, mais ils restet bie loi du taux moye prévu d ue visite par a. Le PSPHR comportait égalemet des mesures pour reforcer le mécaisme d orietatio iitiale des patiets à l échelo du district, mais plusieurs difficultés subsistet das le dispositif d orietatio etre les dispesaires commuautaires et les établissemets de district, otammet à cause du maque de trasport ou du coût très élevé des déplacemets, du maque de formatio du persoel des dispesaires au sujet des protocoles d orietatio et, parfois, de l isuffisace des compéteces à l échelo du district pour traiter les cas revoyés par les autres établissemets. La faiblesse persistate des taux d utilisatio, malgré les mesures prises pour améliorer l accès géographique, a plusieurs causes. Les coûts restet u obstacle ifrachissable pour beaucoup, malgré la baisse du prix des médicamets géériques essetiels. L accès matériel est toujours u problème, surtout à la saiso des pluies, car ue grade partie de la populatio doit ecore parcourir à pied de logues distaces pour parveir à u dispesaire. L actio de promotio auprès des commuautés reste isuffisate : le persoel des établissemets de sois se cotete souvet d attedre les cliets. La composate plaig familial du PSPHR (fiacée par l USAID et faisat appel à des ONG pour assurer les services) a pas été bie itégrée à la composate dispesaires commuautaires. De ombreux cliets potetiels préfèret toujours la médecie traditioelle, et les attitudes évoluet letemet das ue société rurale traditioelle. Efi, la décisio de se faire soiger déped de celui qui cotrôle les ressources du méage, qui est souvet l homme. Le recrutemet du persoel a ue importace majeure État doé que les dispesaires qui appartieet à l État cotiuet de foctioer parallèlemet aux dispesaires commuautaires, le secteur commuautaire de la saté a beaucoup de mal, etre autres, à attirer et à reteir du persoel de saté qualifié. Il offre i sécurité de l emploi, i assurace retraite i perspectives de carrière, et les dispesaires sot souvet situés das des régios isolées. Le persoel employé par les dispesaires commuautaires se

6 6 Départemet de l évaluatio des opératios de la Baque modiale motre souvet plus attetif aux besois de la populatio, mais la plupart des professioels de la saté exprimet ue forte préférece pour le service de l État. Pour toutes ces raisos, de ombreux postes restet vacats. Certais établissemets ot pas d ifirmier depuis plus d u a. Comme la rémuératio est fixée par les resposables locaux, les professioels de la saté sot attirés par les zoes urbaies ou par les régios les plus prospères. De plus, la formatio professioelle doe ue plus grade place aux services curatifs qu à la promotio de la saté publique. Les dépeses de saté de l État cotiuet d avatager les zoes urbaies Le fiacemet des services de saté de base et des sois prévetifs au Mali se heurte à u certai ombre de difficultés fodametales. La pricipale viet de la capacité limitée des pouvoirs publics de mobiliser les ressources écessaires pour la saté, alors que le pays a u reveu auel de 250 dollars par habitat. Jusqu à préset, les recettes que l État parviet à lever ot jamais dépassé 10 % eviro du PIB. L État fourit mois du ciquième du total des ressources cosacrées à la saté, soit beaucoup mois que les méages (50 %) ou que l aide extérieure (25 %). Cepedat, même les fods que l État cosacre effectivemet aux dépeses de saté e sot pas utilisés efficacemet i équitablemet. La majeure partie des modestes ressources publiques est dépesée pour les sois tertiaires e milieu urbai et pour l admiistratio cetrale. Les subvetios publiques atteiget leur maximum, et le recouvremet des coûts so miimum, das les établissemets tertiaires urbais. L iverse est vrai das les établissemets ruraux. Certes, les subvetios publiques pour les sois de plus haut iveau pourraiet être cosidérées comme ue forme d assurace sociale e cas de maladie grave, mais, e pratique, les bééficiaires de ces services appartieet largemet aux catégories à reveu élevé. D autre part, malgré l augmetatio des cocours des bailleurs de fods au profit des régios rurales durat les dix derières aées, la place croissate qu ils occupet e va pas sas poser de problèmes. Fait surpreat, les programmes de sois de saté primaires et d éducatio saitaire ot été fiacés itégralemet par les bailleurs de fods e Prochaies étapes Grâce au cadre solide qui a été mis e place, caractérisé par l existece d u système de prestatio des services accessible e milieu rural et coordoé par l approvisioemet plus abodat e médicamets géériques essetiels, les pouvoirs publics peuvet aujourd hui poursuivre l objectif plus vaste cosistat à établir u système de sois de saté pour tous, pratique et adapté aux besois de la populatio. Les perspectives sot boes. Les autorités atioales ot été aux commades d u bout à l autre des préparatifs du projet et de la défiitio de la politique de saté. Cette expériece a reforcé le développemet des capacités au miistère de la Saté et doé à l esemble du secteur l occasio d appredre sur le tas. E 1998, les autorités ot achevé la mise au poit d u pla stratégique déceal pour le secteur, accompagé d u programme d ivestissemet quiqueal ; ces deux documets doivet servir de référeces pour les programmes de l État et ceux des bailleurs de fods. Les plas ot été établis e prévisio de la prochaie phase des opératios de la Baque (le Programme d ivestissemet sectoriel) qui fiacera la stratégie défiie par les autorités et tâchera de remédier aux problèmes sectoriels qui demeuret. Le programme d ivestissemet sectoriel servira à structurer plusieurs programmes fiacés par des bailleurs de fods, mais das la plupart des cas, ceux-ci cotiuerot à gérer leurs fods séparémet. Le programme d ivestissemet sectoriel a quatre grades composates. La première porte sur la costructio, la réovatio et l améagemet des dispesaires commuautaires à l échelo des villages et des districts, plus certais travaux de réovatio et d améagemet des hôpitaux régioaux et atioaux. La secode porte sur la formatio techique et la gestio du persoel du secteur de la saté. La troisième prévoit l élargissemet des mécaismes d assurace médicale et de partage des coûts, et la quatrième cocere la restructuratio des hôpitaux publics pour améliorer le recouvremet des coûts, l efficacité par rapport au coût et l efficacité techique. Le programme vise égalemet à perfectioer la gestio de la saté à l échelo des districts, y compris les services d orietatio, à reforcer l iformatique de gestio, à augmeter la participatio commuautaire das les établissemets de sois et à créer des modules de gestio pour les hôpitaux. Leços à reteir pour les iitiatives futures L aide de la Baque a progressé au log des 20 derières aées : elle est partie d u projet pilote pour la saté das ue seule régio (qui a pas réussi), puis elle est passée à u «projet cadre», correspodat à ue ouvelle politique de la saté, qui a été cofiacé par plusieurs bailleurs de fods, et esuite à u programme d ivestissemet sectoriel, coforme à ue stratégie atioale qui doit eglober tous les ivestissemets das le secteur. Cette progressio est allée de pair avec u reforcemet de la voloté, chez les pouvoirs publics, de défiir des stratégies et des priorités sectorielles.

7 Précis 7 La Baque a vivemet ecouragé les autorités à adopter ue approche globale du secteur, mais les autorités elles-mêmes sot etièremet aux commades. Auprès des bailleurs de fods, la Baque a joué u rôle de chef de file, tout e s efforçat d attirer d autres parteaires. De l avis des resposables publics, la Baque a réussi à établir u lie etre so aide et les réformes et autres mesures sectorielles clés. Cepedat, selo certais parteaires bailleurs de fods, la défiitio de la politique géérale et les procédures d évaluatio du Programme d ivestissemet sectoriel ot été exagérémet ifluecées par le caledrier et le programme propres de la Baque. État doé l ifluece que la Baque exerce das le secteur de la saté au Mali, il faut qu elle agisse avec prudece et das u esprit de collaboratio, et qu elle veille à e pas jouer u rôle domiat das le choix des grades orietatios. La Baque doit aussi faire preuve d ue plus grade rigueur das le suivi et l évaluatio, spécialemet quad de ouveaux mécaismes de prestatio des services sot appliqués à titre pilote avat d être étedus à tout le pays. L expériece de la Baque au Mali apporte aussi d autres eseigemets qui peuvet lui être utiles pour le déroulemet de so ouveau Programme d ivestissemet sectoriel : Les services de sois curatifs améliorerot pas à eux seuls les résultats du secteur de la saté. Il faut leur adjoidre des programmes appropriés d éducatio saitaire et d iformatio, des activités de plaig familial et des mesures de surveillace et d itervetio e matière de utritio, et itégrer cocrètemet ces services avec ceux qui sot offerts par les ONG. Le mécaisme de recouvremet des coûts des établissemets à gestio commuautaire pour les sois de saté e crée pas d icitatios e faveur d activités d origie locale pour promouvoir l usage des services de saté. Il faut cepedat reforcer les activités de ce type pour améliorer ecore la situatio saitaire et utritioelle. L icorporatio cocrète des besois du secteur de la saté das le dialogue macroécoomique et budgétaire cotiuera à écessiter des échages costats etre les spécialistes macroécoomiques et sectoriels de la Baque, aisi qu u esemble d études sectorielles pour faire cocorder les priorités et les budgets et tableaux d effectifs sectoriels. Les objectifs de l actio à base commuautaire doivet être élargis au-delà des questios d accès, e ciblat les problèmes de coût qui cotiuet à se poser, l isuffisace des efforts d iformatio et la préférece persistate pour la médecie traditioelle ou l automédicatio. La créatio d u secteur commuautaire idépedat de l État a probablemet redu les prestataires de services plus attetifs aux besois des dispesaires locaux, mais il faut remédier au maque de sécurité de l emploi et à l icertitude des perspectives de carrière pour que les établissemets à gestio commuautaire puisset attirer et reteir tous les professioels de la saté dot ils ot besoi. Ce Précis s ispire de The World Bak ad the Health Sector i Mali par Timothy Johsto, Sheila Dohoo Faure et Laura Raey, Rapport o 18112, jui Les admiistrateurs et le persoel de la Baque peuvet se procurer ce rapport auprès de l Uité de documetatio itere et des cetres d iformatio régioaux, et le public auprès de l IfoShop de la Baque modiale.

La France, à l écoute des entreprises innovantes, propose le meilleur crédit d impôt recherche d Europe

La France, à l écoute des entreprises innovantes, propose le meilleur crédit d impôt recherche d Europe 1/5 Trois objectifs poursuivis par le gouveremet : > améliorer la compétitivité fiscale de la Frace > péreiser les activités de R&D > faire de la Frace u territoire attractif pour l iovatio Les icitatios

Plus en détail

LES MESURES CLÉS DU PROJET DE LOI ÉCONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE

LES MESURES CLÉS DU PROJET DE LOI ÉCONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE LES MESURES CLÉS DU PROJET DE LOI ÉCONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE Qu est-ce que l Écoomie sociale et solidaire? Coopératives Etreprises sociales Scop Fiaceurs sociaux Scic CAE Mutuelles Coopératives d etreprises

Plus en détail

Création et développement d une fonction audit interne*

Création et développement d une fonction audit interne* Créatio et développemet d ue foctio audit itere* Ue démarche e 10 étapes [ Sommaire] Dix étapes pour réussir... 7 Étapes 1 à 4 Défiitio du cadre d itervetio... 9 1 Idetifier les attetes des parties preates...

Plus en détail

Chap. 6 : Les principaux crédits de trésorerie et leur comptabilisation

Chap. 6 : Les principaux crédits de trésorerie et leur comptabilisation 1 / 9 Chap. 6 : Les pricipaux crédits de trésorerie et leur comptabilisatio Le cycle d exploitatio des etreprises (achats stockage productio stockage vetes) peut etraîer des décalages de trésorerie plus

Plus en détail

Chap. 6 : Les principaux crédits de trésorerie et leur comptabilisation

Chap. 6 : Les principaux crédits de trésorerie et leur comptabilisation Chap. 6 : Les pricipaux crédits de trésorerie et leur comptabilisatio Les etreprises ot souvet besoi de moyes de fiacemet à court terme : elles ot alors recours aux crédits bacaires (découverts bacaires

Plus en détail

STRATÉGIE DE REMPLACEMENT DE LUTTE CONTRE LA PUNAISE TERNE DANS LES FRAISERAIES DE L ONTARIO

STRATÉGIE DE REMPLACEMENT DE LUTTE CONTRE LA PUNAISE TERNE DANS LES FRAISERAIES DE L ONTARIO Des résultats du Programme de réductio des risques STRATÉGIE DE REMPLACEMENT DE LUTTE CONTRE LA PUNAISE TERNE DANS LES FRAISERAIES DE L ONTARIO 1. Cotexte La puaise tere Lygus lieolaris (figure 1) est

Plus en détail

Faites prospérer vos affaires grâce aux solutions d épargne et de gestion des dettes

Faites prospérer vos affaires grâce aux solutions d épargne et de gestion des dettes Faites prospérer vos affaires grâce aux solutios d éparge et de gestio des dettes Quelques excelletes raisos d offrir des produits bacaires et de fiducie à vos cliets Vous avez la compétece écessaire pour

Plus en détail

Le chef d entreprise développe les services funéraires de l entreprise, en

Le chef d entreprise développe les services funéraires de l entreprise, en Le chef d etreprise développe les services fuéraires de l etreprise, e assurat lui-même tout ou partie des activités de vete et e ecadrat directemet le persoel techique et commercial et d exploitatio.

Plus en détail

Deuxième partie : LES CONTRATS D ASSURANCE VIE CLASSIQUES

Deuxième partie : LES CONTRATS D ASSURANCE VIE CLASSIQUES DEUXIEME PARTIE Deuième partie : LES CONTRATS D ASSURANCE VIE CLASSIQUES Chapitre. L assurace de capital différé Chapitre 2. Les opératios de retes Chapitre 3. Les assuraces décès Chapitre 4. Les assuraces

Plus en détail

Renseignements et monitoring. Renseignements commerciaux et de solvabilité sur les entreprises et les particuliers.

Renseignements et monitoring. Renseignements commerciaux et de solvabilité sur les entreprises et les particuliers. Reseigemets et moitorig. Reseigemets commerciaux et de solvabilité sur les etreprises et les particuliers. ENSEMBLE CONTRE LES PERTES. Reseigemets Creditreform. Pour plus de trasparece. Etreteir des rapports

Plus en détail

Économie sociale Pour des communautés plus solidaires PLAN D ACTION GOUVERNEMENTAL POUR L ENTREPRENEURIAT COLLECTIF

Économie sociale Pour des communautés plus solidaires PLAN D ACTION GOUVERNEMENTAL POUR L ENTREPRENEURIAT COLLECTIF Écoomie sociale Pour des commuautés plus solidaires PLAN D ACTION GOUVERNEMENTAL POUR L ENTREPRENEURIAT COLLECTIF Ce documet a été réalisé par le miistère des Affaires muicipales et des Régios (MAMR) e

Plus en détail

Comment les Canadiens classent-ils leur système de soins de santé?

Comment les Canadiens classent-ils leur système de soins de santé? Novembre Les sois de saté au Caada, c est capital bulleti o 4 Commet les Caadies classet-ils leur système de sois de saté? Résultats du sodage iteratioal du Fods du Commowealth sur les politiques de saté

Plus en détail

PLAN D ORGANISATION RÉGIONALE DE SÉCURITÉ CIVILE du SAGUENAY LAC-SAINT-JEAN MISSION SANTÉ

PLAN D ORGANISATION RÉGIONALE DE SÉCURITÉ CIVILE du SAGUENAY LAC-SAINT-JEAN MISSION SANTÉ PLAN D ORGANISATION RÉGIONALE DE SÉCURITÉ CIVILE du SAGUENAY LAC-SAINT-JEAN MISSION SANTÉ Adopté par le coseil d admiistratio le jr/ms/2004 AVANT-PROPOS Pour le réseau de la saté et des services sociaux

Plus en détail

Etude Spéciale SCORING : UN GRAND PAS EN AVANT POUR LE MICROCRÉDIT?

Etude Spéciale SCORING : UN GRAND PAS EN AVANT POUR LE MICROCRÉDIT? Etude Spéciale o. 7 Javier 2003 SCORING : UN GRAND PAS EN AVANT POUR LE MICROCRÉDIT? MARK SCHNEIDER Le CGAP vous ivite à lui faire part de vos commetaires, de vos rapports et de toute demade d evoid autres

Plus en détail

FEUILLE D EXERCICES 17 - PROBABILITÉS SUR UN UNIVERS FINI

FEUILLE D EXERCICES 17 - PROBABILITÉS SUR UN UNIVERS FINI FEUILLE D EXERCICES 7 - PROBABILITÉS SUR UN UNIVERS FINI Exercice - Lacer de dés O lace deux dés à 6 faces équilibrés. Calculer la probabilité d obteir : u double ; ue somme des deux dés égale à 8 ; ue

Plus en détail

Le marché du café peut être segmenté en fonction de deux modes de production principaux : la torréfaction et la fabrication de café soluble.

Le marché du café peut être segmenté en fonction de deux modes de production principaux : la torréfaction et la fabrication de café soluble. II LE MARCHE DU CAFE 1 L attractivité La segmetatio selo le mode de productio Le marché du café peut être segmeté e foctio de deux modes de productio pricipaux : la torréfactio et la fabricatio de café

Plus en détail

RECHERCHE DE CLIENTS simplifiée

RECHERCHE DE CLIENTS simplifiée RECHERCHE DE CLIENTS simplifiée Nous ous occupos d accroître votre clietèle avec le compte Avatage d etreprise Pour trouver des cliets potetiels grâce à u simple compte bacaire Vous cherchez des idées

Plus en détail

CPNEFP Commission Paritaire Nationale pour l'emploi et la Formation Professionnelle de la branche des services funéraires

CPNEFP Commission Paritaire Nationale pour l'emploi et la Formation Professionnelle de la branche des services funéraires Coceptio : Boréal > 01 48 03 99 99 CPNEFP Commissio Paritaire Natioale pour l'emploi et la Formatio Professioelle de la brache des services fuéraires Sommaire Itroductio p 2-3 Les objectifs de cette étude

Plus en détail

Les solutions mi-hypothécaires, mi-bancaires de Manuvie. Guide du conseiller

Les solutions mi-hypothécaires, mi-bancaires de Manuvie. Guide du conseiller Les solutios mi-hypothécaires, mi-bacaires de Mauvie Guide du coseiller 1 2 Table des matières Itroductio... 5 La Baque Mauvie...5 Le compte Mauvie U...5 Le compte Sélect Baque Mauvie...5 1. Les solutios

Plus en détail

Compte Sélect Banque Manuvie Guide du débutant

Compte Sélect Banque Manuvie Guide du débutant GUIDE DU DÉBUTANT Compte Sélect Baque Mauvie Guide du débutat Besoi d aide? Preez quelques miutes pour lire attetivemet votre Guide du cliet. Le préset Guide du débutat vous facilitera l utilisatio de

Plus en détail

Guide du suivi et de l évaluation axés sur les résultats P ROGRAMME DES NATIONS UNIES POUR LE DÉVELOPPEMENT B U R E AU DE L É VA L UATION

Guide du suivi et de l évaluation axés sur les résultats P ROGRAMME DES NATIONS UNIES POUR LE DÉVELOPPEMENT B U R E AU DE L É VA L UATION Guide du suivi et de l évaluatio axés sur les résultats P ROGRAMME DES NATIONS UNIES POUR LE DÉVELOPPEMENT B U R E AU DE L É VA L UATION P ROGRAMME DES NATIONS UNIES POUR LE DÉVELOPPEMENT B U R E AU DE

Plus en détail

MUTUELLE D&O MUTUELLE D&O. Copilote de votre santé. AGECFA-Voyageurs CARCEPT CARCEPT-Prévoyance CRC CRIS CRPB-AFB

MUTUELLE D&O MUTUELLE D&O. Copilote de votre santé. AGECFA-Voyageurs CARCEPT CARCEPT-Prévoyance CRC CRIS CRPB-AFB MUTUELLE D&O MUTUELLE D&O Copilote de votre saté AGECFA-Voyageurs CARCEPT CARCEPT-Prévoyace CRC CRIS CRPB-AFB DOMISSIMO-Assuraces DOMISSIMO-Services FONGECFA-Trasport IPRIAC MUTUELLE D&O OREPA-Prévoyace

Plus en détail

LE WMS EXPERT DE LA SUPPLY CHAIN DE DÉTAIL

LE WMS EXPERT DE LA SUPPLY CHAIN DE DÉTAIL LE WMS EXET DE LA SULY HAIN DE DÉTAIL QUELS SNT LES ENJEUX DE LA SULY HAIN? garatir la promesse cliet es derières aées, la distributio coaît ue véritable mutatio avec l évolutio des modes de cosommatio.

Plus en détail

La maladie rénale chronique

La maladie rénale chronique La maladie réale chroique Qu est-ce que cela veut dire pour moi? Natioal Kidey Disease Educatio Program La maladie réale chroique: l essetiel Vous avez été iformé(e) que vous êtes atteit(e) de la maladie

Plus en détail

Logiciel de synchronisation de flotte de baladeurs MP3 / MP4 ou tablettes Androïd

Logiciel de synchronisation de flotte de baladeurs MP3 / MP4 ou tablettes Androïd easylab Le logiciel de gestio de fichiers pour baladeurs et tablettes Visualisatio simplifiée de la flotte Gestio des baladeurs par idividus / classes / groupes / activités Activatio des foctios par simple

Plus en détail

UNIVERSITÉ DE SFAX École Supérieure de Commerce

UNIVERSITÉ DE SFAX École Supérieure de Commerce UNIVERSITÉ DE SFAX École Supérieure de Commerce Aée Uiversitaire 2003 / 2004 Auditoire : Troisième Aée Études Supérieures Commerciales & Scieces Comptables DÉCISIONS FINANCIÈRES Note de cours N 3 Première

Plus en détail

L Objectif National des Dépenses d Assurance Maladie : d un outil global de régulation à une simple prévision des dépenses.

L Objectif National des Dépenses d Assurance Maladie : d un outil global de régulation à une simple prévision des dépenses. L Objectif Natioal des Dépeses d Assurace Maladie : d u outil global de régulatio à ue simple prévisio des dépeses. Isabelle Hirtzli To cite this versio: Isabelle Hirtzli. L Objectif Natioal des Dépeses

Plus en détail

MÉMENTO 2014. Aide-mémoire à l usage des administrateurs des coopératives PSBL-P. Programme de logement sans but lucratif privé

MÉMENTO 2014. Aide-mémoire à l usage des administrateurs des coopératives PSBL-P. Programme de logement sans but lucratif privé MÉMENTO 2014 Aide-mémoire à l usage des admiistrateurs des coopératives PSBL-P Programme de logemet sas but lucratif privé INTRODUCTION Cet outil a été coçu pour guider les admiistrateurs des coopératives

Plus en détail

One Office Voice Pack Vos appels fixes et mobiles en un seul pack

One Office Voice Pack Vos appels fixes et mobiles en un seul pack Uique! Exteded Fleet Appels illimités vers les uméros Mobistar et les liges fixes! Oe Office Voice Pack Vos appels fixes et mobiles e u seul pack Commuiquez et travaillez e toute liberté Mobistar offre

Plus en détail

UNIVERSITE MONTESQUIEU BORDEAUX IV. Année universitaire 2006-2007. Semestre 2. Prévisions Financières. Travaux Dirigés - Séances n 4

UNIVERSITE MONTESQUIEU BORDEAUX IV. Année universitaire 2006-2007. Semestre 2. Prévisions Financières. Travaux Dirigés - Séances n 4 UNVERSTE MONTESQUEU BORDEAUX V Licece 3 ère aée Ecoomie - Gestio Aée uiversitaire 2006-2007 Semestre 2 Prévisios Fiacières Travaux Dirigés - Séaces 4 «Les Critères Complémetaires des Choix d vestissemet»

Plus en détail

La fibre optique arrive chez vous Devenez acteur de la révolution numérique

La fibre optique arrive chez vous Devenez acteur de la révolution numérique 2 e éditio Edité par l Autorité de régulatio des commuicatios électroiques et des postes RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DÉCEMBRE 2010 La fibre optique arrive chez vous Deveez acteur de la révolutio umérique Petit

Plus en détail

Une action! Un message!

Une action! Un message! Ue actio! U message! Cotact Master est u service exclusif de relaces automatiques de vos actes vers vos cliets, par SMS, messages vocaux, e-mails, courrier... Il se décleche lorsque vous réalisez ue actio

Plus en détail

for a living planet WWF ZOOM: votre carte de crédit personnalisée

for a living planet WWF ZOOM: votre carte de crédit personnalisée for a livig plaet WWF ZOOM: votre carte de crédit persoalisée Le meilleur pour vous. Le meilleur pour l eviroemet. Ue carte de crédit du WWF. Vous faites u geste e faveur de la ature. Sas frais supplémetaires.

Plus en détail

Working Paper RETAIL RÉGIONAL RESPONSABLE

Working Paper RETAIL RÉGIONAL RESPONSABLE «BANQUE DE DÉTAIL DE MASSE» : COMMENT LES CAISSES D ÉPARGNE EN AFRIQUE, ASIE ET AMÉRIQUE LATINE PEUVENT FOURNIR DES SERVICES ADAPTÉS AUX BESOINS DES POPULATIONS DÉFAVORISÉES Travailler avec les caisses

Plus en détail

3.1 Différences entre ESX 3.5 et ESXi 3.5 au niveau du réseau. Solution Cette section récapitule les différences entre les deux versions.

3.1 Différences entre ESX 3.5 et ESXi 3.5 au niveau du réseau. Solution Cette section récapitule les différences entre les deux versions. 3 Réseau Le réseau costitue u aspect essetiel d u eviroemet virtuel ESX. Il est doc importat de compredre la techologie, y compris ses différets composats et leur coopératio. Das ce chapitre, ous étudios

Plus en détail

GUIDE METHODOLOGIQUE INDUSTRIES, OUVREZ VOS PORTES

GUIDE METHODOLOGIQUE INDUSTRIES, OUVREZ VOS PORTES GUIDE METHODOLOGIQUE INDUSTRIES, OUVREZ VOS PORTES SOMMAIRE Les visites d etreprises : pourquoi ouvrir ses portes?.... 8 1.1 Des motivatios variées pour les etreprises... 8 1.2 Les freis à l ouverture

Plus en détail

Ouverture à la concurrence du transport ferroviaire de voyageurs

Ouverture à la concurrence du transport ferroviaire de voyageurs Ouverture à la cocurrece du trasport ferroviaire de voyageurs COMPLÉMENTS Claude Abraham Présidet Thomas Revial Fraçois Vielliard Rapporteurs Domiique Auverlot Christie Rayard Coordiateurs Octobre 2011

Plus en détail

Divorce et séparation

Divorce et séparation Coup d oeil sur Divorce et séparatio Être attetif aux besois de votre efat Divorce et séparatio «Les premiers mois suivat u divorce ou ue séparatio sot très stressats. Votre patiece, votre cohérece et

Plus en détail

2 ième partie : MATHÉMATIQUES FINANCIÈRES

2 ième partie : MATHÉMATIQUES FINANCIÈRES 2 ième partie : MATHÉMATIQUES FINANCIÈRES 1. Défiitios L'itérêt est l'idemité que doe au propriétaire d'ue somme d'arget celui qui e a joui pedat u certai temps. Divers élémets itervieet das le calcul

Plus en détail

Mobile Business. Communiquez efficacement avec vos relations commerciales 09/2012

Mobile Business. Communiquez efficacement avec vos relations commerciales 09/2012 Mobile Busiess Commuiquez efficacemet avec vos relatios commerciales 9040412 09/2012 U choix capital pour mes affaires Pour gérer efficacemet ses affaires, il y a pas de secret : il faut savoir predre

Plus en détail

Examen final pour Conseiller financier / conseillère financière avec brevet fédéral. Recueil de formules. Auteur: Iwan Brot

Examen final pour Conseiller financier / conseillère financière avec brevet fédéral. Recueil de formules. Auteur: Iwan Brot Exame fial pour Coseiller fiacier / coseillère fiacière avec brevet fédéral Recueil de formules Auteur: Iwa Brot Ce recueil de formules sera mis à dispositio des cadidats, si écessaire. Etat au 1er mars

Plus en détail

STATISTIQUE : TESTS D HYPOTHESES

STATISTIQUE : TESTS D HYPOTHESES STATISTIQUE : TESTS D HYPOTHESES Préparatio à l Agrégatio Bordeaux Aée 203-204 Jea-Jacques Ruch Table des Matières Chapitre I. Gééralités sur les tests 5. Itroductio 5 2. Pricipe des tests 6 2.a. Méthodologie

Plus en détail

Managed File Transfer. Managed File Transfer. Livraison express des f ichiers d entreprise

Managed File Transfer. Managed File Transfer. Livraison express des f ichiers d entreprise Maaged File Trasfer Maaged File Trasfer Livraiso express des f ichiers d etreprise Gestio du trasfert de fichiers Livraiso express des fichiers d etreprise Fiaces igéierie photos marketig express [eterprise]

Plus en détail

Dares Analyses. Plus d un tiers des CDI sont rompus avant un an

Dares Analyses. Plus d un tiers des CDI sont rompus avant un an Dares Aalyses javier 2015 N 005 publicatio de la directio de l'aimatio de la recherche, des études et des statistiques Plus d u tiers des CDI sot rompus avat u a Le cotrat de travail à durée idétermiée

Plus en détail

Opérations bancaires avec l étranger *

Opérations bancaires avec l étranger * Opératios bacaires avec l étrager * Coditios bacaires au 1 er juillet 2011 Etreprises et orgaismes d itérêt gééral Opératios à destiatio de l étrager Viremets émis vers l étrager : viremet e euros iférieur

Plus en détail

Sommaire Chapitre 1 - L interface de Windows 7 9

Sommaire Chapitre 1 - L interface de Windows 7 9 Sommaire Chapitre 1 - L iterface de Widows 7 9 1.1. Utiliser le meu Démarrer et la barre des tâches de Widows 7...11 Démarrer et arrêter des programmes...15 Épigler u programme das la barre des tâches...18

Plus en détail

Consolidation. C r é e r un nouveau classeur. Créer un groupe de travail. Saisir des données dans un groupe

Consolidation. C r é e r un nouveau classeur. Créer un groupe de travail. Saisir des données dans un groupe Cosolidatio La société THEOS, qui commercialise des vis, exerce so activité das trois villes : Paris, Nacy et Nice. Le directeur de la société souhaite cosolider les résultats de ses vetes par ville das

Plus en détail

La population jeune en Afrique sera le moteur

La population jeune en Afrique sera le moteur P O P U L A T I O N R E F E R E N C E B U R E A U La populatio jeue e Afrique : risque ou opportuité? Par Lori S. Ashford Figure 1 La populatio jeue e Afrique sera le moteur de la prospérité écoomique

Plus en détail

TARIFS BANCAIRES. Opérations bancaires avec l étranger Extrait des conditions bancaires au 1 er juillet 2014. Opérations à destination de l étranger

TARIFS BANCAIRES. Opérations bancaires avec l étranger Extrait des conditions bancaires au 1 er juillet 2014. Opérations à destination de l étranger Opératios bacaires avec l étrager Extrait des coditios bacaires au 1 er juillet Opératios à destiatio de l étrager Viremets émis vers l étrager : Frais d émissio de viremets e euros (3) vers l Espace écoomique

Plus en détail

S-PENSION. Constituez-vous un capital retraite complémentaire pour demain tout en bénéficiant d avantages fiscaux dès aujourd hui.

S-PENSION. Constituez-vous un capital retraite complémentaire pour demain tout en bénéficiant d avantages fiscaux dès aujourd hui. S-PENSION Costituez-vous u capital retraite complémetaire pour demai tout e bééficiat d avatages fiscaux dès aujourd hui. Sommaire 1. Il est temps de predre l iitiative 4 2. Profitez dès aujourd hui des

Plus en détail

Chap. 5 : Les intérêts (Les calculs financiers)

Chap. 5 : Les intérêts (Les calculs financiers) Chap. 5 : Les itérêts (Les calculs fiaciers) Das u cotrat de prêt, le prêteur met à la dispositio de l empruteur, à u taux d itérêt doé, ue somme d arget (le capital) qu il devra rembourser à ue certaie

Plus en détail

Remboursé par l assurance maladie obligatoire 100% 100% 200%

Remboursé par l assurance maladie obligatoire 100% 100% 200% Mutuelle Saté pompiers - pats Offre reservee SPASDIS prévi POMPIERS surcomplemetaire spasdis CUMUL maladie (1) Cosultatios, visites (gééralistes / spécialistes) 130% 70 % 200 % Pharmacie : médicamets remboursés

Plus en détail

Choisissez la bonne carte. Contribuez au respect de la nature avec les cartes Visa et MasterCard WWF. Sans frais supplémentaires.

Choisissez la bonne carte. Contribuez au respect de la nature avec les cartes Visa et MasterCard WWF. Sans frais supplémentaires. Toutes les cartes de crédit e se ressemblet pas. Les cartes Visa et MasterCard WWF vous offret tous les avatages d ue carte de crédit classique. Vous disposez toujours et partout d ue réserve d arget das

Plus en détail

Dénombrement. Chapitre 1. 1.1 Enoncés des exercices

Dénombrement. Chapitre 1. 1.1 Enoncés des exercices Chapitre 1 Déombremet 1.1 Eocés des exercices Exercice 1 L acie système d immatriculatio fraçais était le suivat : chaque plaque avait 4 chiffres, suivis de 2 lettres, puis des 2 uméros du départemet.

Plus en détail

Protection de votre réseau d entreprise:

Protection de votre réseau d entreprise: Protectio de votre réseau d etreprise: Que savez-vous exactemet de vos postes fixes et mobiles? White Paper LIVRE BLANC LANDESK: Protectio de votre réseau d etreprise: Que savez-vous exactemet de vos postes

Plus en détail

PageScope Enterprise Suite. Gestion des périphériques de sortie de A à Z. i-solutions PageScope Enterprise Suite

PageScope Enterprise Suite. Gestion des périphériques de sortie de A à Z. i-solutions PageScope Enterprise Suite Eterprise Suite Gestio des périphériques de sortie de A à Z i-solutios Eterprise Suite Eterprise Suite Ue gestio cetralisée, ue admiistratio harmoisée, l'efficacité absolue Le temps est u élémet essetiel

Plus en détail

c. Calcul pour une évolution d une proportion entre deux années non consécutives

c. Calcul pour une évolution d une proportion entre deux années non consécutives Calcul des itervalles de cofiace our les EPCV 996-004 - Cas d u ourcetage ou d ue évolutio e oit das la oulatio totale des méages - Cas d u ourcetage ou d ue évolutio das ue sous oulatio das les méages

Plus en détail

Options Services policiers à Moncton Rapport de discussion

Options Services policiers à Moncton Rapport de discussion Optios Services policiers à Mocto Rapport de discussio Le 22 ovembre 2010 Also available i Eglish TABLE DES MATIÈRES Chapitre 1.0 Sommaire 3 Chapitre 2.0 Problématique 4 Chapitre 3.0 Cotexte 5 Chapitre

Plus en détail

La tarification hospitalière : de l enveloppe globale à la concurrence par comparaison

La tarification hospitalière : de l enveloppe globale à la concurrence par comparaison ANNALES D ÉCONOMIE ET DE STATISTIQUE. N 58 2000 La tarificatio hospitalière : de l eveloppe globale à la cocurrece par comparaiso Michel MOUGEOT * RÉSUMÉ. Cet article cosidère différetes politiques de

Plus en détail

Les études. Recommandations applicables aux appareils de levage "anciens" dans les ports. Guide Technique

Les études. Recommandations applicables aux appareils de levage anciens dans les ports. Guide Technique es Cetre d Etudes Techiques Maritimes et Fluviales Les études Recommadatios applicables aux appareils de levage "acies" das les ports Guide Techique PM 03.01 Cetre d Etudes Techiques Maritimes et Fluviales

Plus en détail

CPNEFP Commission Paritaire Nationale pour l'emploi et la Formation Professionnelle de la branche des services funéraires

CPNEFP Commission Paritaire Nationale pour l'emploi et la Formation Professionnelle de la branche des services funéraires Coceptio : Boréal > 01 48 03 99 99 CPNEFP Commissio Paritaire Natioale pour l'emploi et la Formatio Professioelle de la brache des services fuéraires Sommaire Maagemet gééral du fuéraire Chef d etreprise

Plus en détail

Donnez de la liberté à vos données. BiBOARD. www.biboard.fr

Donnez de la liberté à vos données. BiBOARD. www.biboard.fr Doez de la liberté à vos doées BiBOARD www.biboard.fr Le décisioel pour tous Le décisioel évolue. L etreprise quelle que soit sa taille, a besoi de piloter so activité à l aide d outils simples, fiables,

Plus en détail

ÉTUDE. SECTEUR Santé LABORATOIRES DE BIOLOGIE MEDICALE. Etude pour l élaboration d une GPEC

ÉTUDE. SECTEUR Santé LABORATOIRES DE BIOLOGIE MEDICALE. Etude pour l élaboration d une GPEC ÉTUDE SECTEUR Saté LABORATOIRES DE BIOLOGIE MEDICALE Etude pour l élaboratio d ue GPEC 02 ÉTUDE - juillet 2012 Laboratoires de biologie médicale : étude pour l élaboratio d ue GPEC Sommaire 03 Pricipaux

Plus en détail

Université Victor Segalen Bordeaux 2 Institut de Santé Publique, d Épidémiologie et de Développement (ISPED) Campus Numérique SEME

Université Victor Segalen Bordeaux 2 Institut de Santé Publique, d Épidémiologie et de Développement (ISPED) Campus Numérique SEME Uiversité Victor Segale Bordeaux Istitut de Saté Publique, d Épidémiologie et de Développemet (ISPED) Campus Numérique SEME MODULE Pricipaux outils e statistique Versio du 8 août 008 Écrit par : Relu par

Plus en détail

. (b) Si (u n ) est une suite géométrique de raison q, q 1, on obtient : N N, S N = 1 qn+1. n+1 1 S N = 1 1

. (b) Si (u n ) est une suite géométrique de raison q, q 1, on obtient : N N, S N = 1 qn+1. n+1 1 S N = 1 1 Premières propriétés des ombres réels 2 Suites umériques 3 Suites mootoes : à faire 4 Séries umériques 4. Notio de série. Défiitio 4.. Soit (u ) ue suite de ombres réels ou complexes. Pour N N, o ote S

Plus en détail

Formation d un ester à partir d un acide et d un alcool

Formation d un ester à partir d un acide et d un alcool CHAPITRE 10 RÉACTINS D ESTÉRIFICATIN ET D HYDRLYSE 1 Formatio d u ester à partir d u acide et d u alcool 1. Nomeclature Acide : R C H Alcool : R H Groupe caractéristique ester : C Formule géérale d u ester

Plus en détail

Augmentation de la demande du produit «P» Prévision d accroître la capacité de production (nécessité d investir) Investissement

Augmentation de la demande du produit «P» Prévision d accroître la capacité de production (nécessité d investir) Investissement Augmetatio de la demade du produit «P» Prévisio d accroître la capacité de productio (écessité d ivestir) Ivestissemet Etude de retabilité du produit «P» Jugemet de l opportuité et de la retabilité du

Plus en détail

Un accès direct à vos comptes 24h/24 VOTRE NUMÉRO CLIENT. www.bnpparibas.net. Centre de Relations Clients 0 820 820 001 (0,12 /min)

Un accès direct à vos comptes 24h/24 VOTRE NUMÉRO CLIENT. www.bnpparibas.net. Centre de Relations Clients 0 820 820 001 (0,12 /min) * selo coditios cotractuelles e vigueur. U accès direct à vos comptes 24h/24 VOTRE NUMÉRO CLIENT + VOTRE CODE SECRET * : www.bpparibas.et Cetre de Relatios Cliets 0 820 820 001 (0,12 /mi) Appli Mes Comptes

Plus en détail

Principes et Méthodes Statistiques

Principes et Méthodes Statistiques Esimag - 2ème aée 0 1 2 3 4 5 6 7 0 5 10 15 x y Pricipes et Méthodes Statistiques Notes de cours Olivier Gaudoi 2 Table des matières 1 Itroductio 7 1.1 Défiitio et domaies d applicatio de la statistique............

Plus en détail

55 - EXEMPLES D UTILISATION DU TABLEUR.

55 - EXEMPLES D UTILISATION DU TABLEUR. 55 - EXEMPLES D UTILISATION DU TABLEUR. CHANTAL MENINI 1. U pla possible Les exemples qui vot suivre sot des pistes possibles et e aucu cas ue présetatio exhaustive. De même je ai pas fait ue étude systématique

Plus en détail

LES ÉCLIPSES. Éclipser signifie «cacher». Vus depuis la Terre, deux corps célestes peuvent être éclipsés : la Lune et le Soleil.

LES ÉCLIPSES. Éclipser signifie «cacher». Vus depuis la Terre, deux corps célestes peuvent être éclipsés : la Lune et le Soleil. Qu appelle-t-o éclipse? Éclipser sigifie «cacher». Vus depuis la Terre, deu corps célestes peuvet être éclipsés : la Lue et le Soleil. LES ÉCLIPSES Pour qu il ait éclipse, les cetres de la Terre, de la

Plus en détail

Chapitre 3 : Transistor bipolaire à jonction

Chapitre 3 : Transistor bipolaire à jonction Chapitre 3 : Trasistor bipolaire à joctio ELEN075 : Electroique Aalogique ELEN075 : Electroique Aalogique / Trasistor bipolaire U aperçu du chapitre 1. Itroductio 2. Trasistor p e mode actif ormal 3. Courats

Plus en détail

L'ACTION SOCIALE DES SERVICES DE L'ÉTAT

L'ACTION SOCIALE DES SERVICES DE L'ÉTAT 24 Joural bimestriel Novembre/Décembre 2013 2 2 7 9 12 12 SOMMAIRE» ÉDITO Le mot du préfet» L'actio sociale des services de l'état Pla départemetal d actio pour le logemet des persoes défavorisées PDALPD

Plus en détail

ISSN 1146-6766 N 209 juillet / août / septembre 2011. www.anaafa.fr L E M E N S U E L D E L A V O C A T. N 209 juillet / août / septembre 2011-1

ISSN 1146-6766 N 209 juillet / août / septembre 2011. www.anaafa.fr L E M E N S U E L D E L A V O C A T. N 209 juillet / août / septembre 2011-1 ISSN 1146-6766 N 209 juillet / août / septembre 2011 www.aaafa.fr L E M E N S U E L D E L A V O C A T N 209 juillet / août / septembre 2011-1 VOTRE GARDE...ROBE! ASSOCIATION NATIONALE D'ASSISTANCE ADMINISTRATIVE

Plus en détail

Télé OPTIK. Plus spectaculaire que jamais.

Télé OPTIK. Plus spectaculaire que jamais. Télé OPTIK Plus spectaculaire que jamais. Vivez toute la puissace de la télévisio sur IP grâce au réseau OPTIK 1 de TELUS et découvrez-e l extraordiaire potetiel. Télé OPTIK MC vous doe la parfaite maîtrise

Plus en détail

Définir sa problématique, son besoin. Présélectionner son agence conseil en communication. Organiser une compétition

Définir sa problématique, son besoin. Présélectionner son agence conseil en communication. Organiser une compétition sommaire Défiir sa problématique, so besoi Pourquoi faire u brief (cahier des charges)? Présélectioer so agece coseil e commuicatio Quel type d agece coseil recherchez-vous? Vous avez trouvé l agece coseil

Plus en détail

BARÈMES. i n d i c a t i f s. Œuvres préexistantes Œuvres de commande

BARÈMES. i n d i c a t i f s. Œuvres préexistantes Œuvres de commande BARÈMES i d i c a t i f s 2010 Œuvres préexistates Œuvres de commade droit d auteur pour les œuvres préexistates DROIT D AUTEUR POUR LES ŒUVRES PRÉEXISTANTES UNION DES PHOTOGRAPHES PROFESSIONNELS 2 121

Plus en détail

Chapitre 3 : Fonctions d une variable réelle (1)

Chapitre 3 : Fonctions d une variable réelle (1) Uiversités Paris 6 et Paris 7 M1 MEEF Aalyse (UE 3) 2013-2014 Chapitre 3 : Foctios d ue variable réelle (1) 1 Lagage topologique das R Défiitio 1 Soit a u poit de R. U esemble V R est u voisiage de a s

Plus en détail

Neolane Leads. Neolane v6.0

Neolane Leads. Neolane v6.0 Neolae Leads Neolae v6.0 Ce documet, aisi que le logiciel qu'il décrit, est fouri das le cadre d'u accord de licece et e peut être utilisé ou copié que das les coditios prévues par cet accord. Cette publicatio

Plus en détail

ACTUalités. Comment transformer notre modèle? 29-30/08 Lille Comment réussir la mobilisation des professionnels? www.anap.fr

ACTUalités. Comment transformer notre modèle? 29-30/08 Lille Comment réussir la mobilisation des professionnels? www.anap.fr cotact : c.bohomme@fhf.fr Jourée d étude Ue stratégie de groupe pour la chirurgie ambulatoire La chirurgie ambulatoire progresse das les hôpitaux publics (cf. os précédetes éditios). Elle est aussi très

Plus en détail

Le Sphinx. Enquêtes, Sondages. Analyse de données. Internet : http://www.lesphinxdeveloppement.fr/club/index.html

Le Sphinx. Enquêtes, Sondages. Analyse de données. Internet : http://www.lesphinxdeveloppement.fr/club/index.html Equêtes, Sodages Aalyse de doées Le Sphix! Iteret : http://www.lesphixdeveloppemet.fr/club/idex.html Lagarde J. Aalyse statistique de doées, Duod. Réaliser vos equêtes Questioaire Traitemets et aalyses

Plus en détail

L E M E N S U E L D E L A V O C A T. Regretter d avoir fini le tube d aspirine. Comparer les offres AGA. Trier le mauvais courrier commercial du bon

L E M E N S U E L D E L A V O C A T. Regretter d avoir fini le tube d aspirine. Comparer les offres AGA. Trier le mauvais courrier commercial du bon ISSN 1146 6766 N 228 JUILLETAOÛT 2014 ère 1 plaidoirie L E M E N S U E L D E L A V O C A T Regretter d avoir fii le tube d aspirie Trouver des somifères ère 1 GAV Achat de THE robe Selfie Comparer les

Plus en détail

[http://mp.cpgedupuydelome.fr] édité le 10 juillet 2014 Enoncés 1. Exercice 6 [ 02475 ] [correction] Si n est un entier 2, le rationnel H n =

[http://mp.cpgedupuydelome.fr] édité le 10 juillet 2014 Enoncés 1. Exercice 6 [ 02475 ] [correction] Si n est un entier 2, le rationnel H n = [http://mp.cpgedupuydelome.fr] édité le 1 juillet 14 Eocés 1 Nombres réels Ratioels et irratioels Exercice 1 [ 9 ] [correctio] Motrer que la somme d u ombre ratioel et d u ombre irratioel est u ombre irratioel.

Plus en détail

Rêver, y croire, réussir! Un guide de planification d'études supérieures pour les apprenants de l anglais et leurs familles

Rêver, y croire, réussir! Un guide de planification d'études supérieures pour les apprenants de l anglais et leurs familles Rêver, y croire, réussir! U guide de plaificatio d'études supérieures pour les appreats de l aglais et leurs familles Notes Itroductio Itroductio 4 Iformatios pratiques permettat aux ELL de s'y retrouver

Plus en détail

Nous imprimons ce que vous aimez!

Nous imprimons ce que vous aimez! Nous imprimos ce que vous aimez! Persoalisé simple différet Catalogue de produits Tapis stadard tapis logo tapis publicitaire Nous imprimos ce que vous aimez! 2 I JOBET JOBET Vous et vos cliets serez coquis...

Plus en détail

Échantillonnage et estimation

Échantillonnage et estimation Stage «Nouveaux programmes de Termiale S» - Ho Chi Mih-Ville Novembre 202 Échatilloage et estimatio Partie C - Frédéric Barôme page Échatilloage et estimatio Partie C : Capacités et exercices-types. Rappelos

Plus en détail

Séquence 5. La fonction logarithme népérien. Sommaire

Séquence 5. La fonction logarithme népérien. Sommaire Séquece 5 La foctio logarithme épérie Objectifs de la séquece Itroduire ue ouvelle foctio : la foctio logarithme épérie. Coaître les propriétés de cette foctio : sa dérivée, ses variatios, sa courbe, sa

Plus en détail

Pour l inclusion : Appuyer les comportements positifs dans les classes du Manitoba

Pour l inclusion : Appuyer les comportements positifs dans les classes du Manitoba Pour l iclusio : Appuyer les comportemets positifs das les classes du Maitoba P o u r l i c l u s i o : A P P u y e r l e s c o m P o r t e m e t s P o s i t i f s d A s l e s c l A s s e s d u m A i t

Plus en détail

Lorsque la sécurisation des paiements par carte bancaire sur Internet conduit à une concurrence entre les banques et les opérateurs de réseau

Lorsque la sécurisation des paiements par carte bancaire sur Internet conduit à une concurrence entre les banques et les opérateurs de réseau Lorsque la sécurisatio des paiemets par carte bacaire sur Iteret coduit à ue cocurrece etre les baques et les opérateurs de réseau David Bouie Das cet article, ous ous iterrogeos sur l issue de la cocurrece

Plus en détail

20. Algorithmique & Mathématiques

20. Algorithmique & Mathématiques L'éditeur L'éditeur permet à l'utilisateur de saisir les liges de codes d'u programme ou de défiir des foctios. Remarque : O peut saisir directemet des istructios das la cosole Scilab, mais il est plus

Plus en détail

capital en fin d'année 1 C 0 + T C 0 = C 0 (1 + T) = C 0 r en posant r = 1 + T 2 C 0 r + C 0 r T = C 0 r (1 + T) = C 0 r 2 3 C 0 r 3...

capital en fin d'année 1 C 0 + T C 0 = C 0 (1 + T) = C 0 r en posant r = 1 + T 2 C 0 r + C 0 r T = C 0 r (1 + T) = C 0 r 2 3 C 0 r 3... Applicatios des maths Algèbre fiacière 1. Itérêts composés O place u capital C 0 à u taux auel T a pedat aées. Quelle est la valeur fiale C de ce capital? aée capital e fi d'aée 1 C 0 + T C 0 = C 0 (1

Plus en détail

Neolane Message Center. Neolane v6.0

Neolane Message Center. Neolane v6.0 Neolae Message Ceter Neolae v6.0 Ce documet, aisi que le logiciel qu'il décrit, est fouri das le cadre d'u accord de licece et e peut être utilisé ou copié que das les coditios prévues par cet accord.

Plus en détail

14 Chapitre 14. Théorème du point fixe

14 Chapitre 14. Théorème du point fixe Chapitre 14 Chapitre 14. Théorème du poit fixe Si l o examie de plus près les méthodes de Lagrage et de Newto, étudiées au chapitre précédet, elles revieet das leur pricipe à remplacer la résolutio de

Plus en détail

Chapitre 2 SONDAGE ALEATOIRE SIMPLE OU A PROBABILITES EGALES. 2.1 DEFINITIONS 2.2 SONDAGE ALEATOIRE SIMPLE SANS REMISE (PESR) 2.2.

Chapitre 2 SONDAGE ALEATOIRE SIMPLE OU A PROBABILITES EGALES. 2.1 DEFINITIONS 2.2 SONDAGE ALEATOIRE SIMPLE SANS REMISE (PESR) 2.2. Chapitre 2 SONDAGE ALEATOIRE SIMPLE OU A PROBABILITES EGALES PLAN DU CHAPITRE 2 2.1 DEFINITIONS 2.2 SONDAGE ALEATOIRE SIMPLE SANS REMISE (PESR) 2.2.1 Pla de sodage 2.2.2 Probabilités d iclusio 2.3 SONDAGE

Plus en détail

Code d éthique et de conduite professionnelle

Code d éthique et de conduite professionnelle Code d éthique et de coduite professioelle 2015 RELX Group Code d éthique et de coduite professioelle 2 Table des matières Notre egagemet e faveur de l itégrité U message de otre Présidet-Directeur Gééral

Plus en détail

La Logistique en France : une force en progrès

La Logistique en France : une force en progrès 1/4 La logistique 1, istrumet idispesable de la modialisatio, est u ejeu stratégique pour les etreprises. Les lieux de productio et de distributio état de plus e plus séparés et dispersés à travers le

Plus en détail

Règlement Général des opérations

Règlement Général des opérations Deutsche Bak Règlemet Gééral des opératios AVRIL 2015 Deutsche Bak AG est u établissemet de crédit de droit allemad, dot le siège social est établi 12, Tauusalage, 60325 Fracfort-sur-le-Mai, Allemage.

Plus en détail

Code de Déontologie Commercial Changer les choses avec intégrité

Code de Déontologie Commercial Changer les choses avec intégrité Code de Déotologie Commercial Chager les choses avec itégrité U message du Directeur gééral de Hospira Chers collaborateurs de Hospira, Je souhaite vous préseter le Code de Déotologie Commercial de Hospira.

Plus en détail

AIDE-MÉMOIRE SUR L ACHAT D UNE MAISON Guide pratique pour le nouvel arrivant

AIDE-MÉMOIRE SUR L ACHAT D UNE MAISON Guide pratique pour le nouvel arrivant AIDE-MÉMOIRE SUR L ACHAT D UNE MAISON Guide pratiue pour le ouvel arrivat AU CŒUR DE L HABITATION Microsite pour les ouveaux arrivats La plupart des ouveaux arrivats au Caada se touret vers l Iteret pour

Plus en détail

TRANSFERT DE CHARGE DANS UN RÉSEAU DE PROCESSEURS TOTALEMENT CONNECTÉS (*) par Maryse BÉGUIN ( 1 )

TRANSFERT DE CHARGE DANS UN RÉSEAU DE PROCESSEURS TOTALEMENT CONNECTÉS (*) par Maryse BÉGUIN ( 1 ) RAIRO Operatios Research RAIRO Oper. Res. 34 (2000) 99-129 TRANSFERT DE CHARGE DANS UN RÉSEAU DE PROCESSEURS TOTALEMENT CONNECTÉS (*) par Maryse BÉGUIN ( 1 ) Commuiqué par Berard LEMAIRE Résumé. L étude

Plus en détail