MÉMOIRES PLUSIEURS ESPÈCES DE MAMMIFÈRES FOSSILES

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1 MÉMOIRES DE LA SOCIÉTÉ DE GÉOLOGIQUE FRANGE DEUXIÈME SÉRIE. TOME NEUVIÈME. V. MÉMOIRE SUR PLUSIEURS ESPÈCES DE MAMMIFÈRES FOSSILES PROPRES A L'AMÉRIQUE MÉRIDIONALE PAR M. PAUL G E R V A I S PARIS AU LOCAL DE LA SOCIÉTÉ, RUE DES GRANDS-AUGUSTINS, 7 ET CHEZ F. SAYY, LIBRAIRE RUE HAUTEFEUILLE

2 V. MÉMOIRE SUR PLUSIEURS ESPÈCESDEMAMMIFÈRESFOSSILES PROPRES A L'AMÉRIQUE MÉRIDIONALE PAR M. PAUL GERVAIS. Ce Mémoire est le troisième de ceux que m' fournis l'étude des Mmmifères, d'espèces pour l pluprt éteintes, que l'on trouve prmi les fossiles enfouis dns les dépôts quternires de l'amérique méridionle. Le premier, qui pru en 1855 (1), eu principlement pour objet l description d'une importnte collection d'ossements de ces Mmmifères recueillie en Bolivie pr M. Weddel. J'y i jouté des détils sur quelques utres pièces, églement fort intéressntes, provennt pour l pluprt de l région de l Plt, qui sont déposées u Muséum d'histoire nturelle, et j'i profité de cette occsion pour psser en revue l'ensemble des espèces retrouvées dns des conditions nlogues sur les différents points du continent sud-méricin observés jusqu'lors, que les ossements de ces nimux se rencontrent dns les cvernes ou dns le terrin pmpéen. C'est dns ce premier Mémoire que j'i signlé l'ursus bonriensis, u sujet duquel on trouver des détils plus circonstnciés dns les pges qui vont suivre. Je m'y suis églement occupé des Mstodontes, du Toxodon dont j'i fit connître les membres, des Che- (1) Expédition de M. de Cstelnu dns l'amérique du Sud; Antomie, p. 1 à 66, pl. 4 à 13. SOC. GÉOL. 2 e SÉRIE. T. IX. MÉM. N 5. 1

3 vux, du Mcrucheni, des Lms dont j'i indique une grnde espèce, type d'un sous-genre prticulier uquel j'i donné, en 1867, le nom de Plæolm (1), et de plusieurs Édentés, u nombre desquels figurent le genre ppelé pr moi Lestodon, le Scelidotherium et le Megtherium. Mon second Mémoire sur les nimux des mêmes gisements pru en 1868 (2). Après y voir reproduit, en l'ccompgnnt de quelques remrques explictives, le Ctlogue publié à Prn, en 1860, pr M. Brvrd, j'i donné des détils sur le genre- Typotherium de ce nturliste (Mesotherium, Serres), qui est un des plus singuliers que l'on it encore découverts dns l même région du globe, et j'i reproduit les données reltives à l seconde collection de M. Seguin, que j'vis, peu de temps uprvnt, insérées dns les Comptes-rendus de l'acdémie des Sciences (3). Je dois églement rppeler ici, comme se rttchnt u même ordre de recherches, les remrques que j'i publiées illeurs, concernnt les formes cérébrles des différents genres éteints des Mmmifères sud-méricins. Ceux de ces nimux dont je me suis occupé sous ce rpport sont les suivnts : Megtherium, Mylodon, Scelidotherium, Glyptodon, Toxodonet Typotherium (4). Dns le présent Mémoire je triteri d'une mnière prticulière de qutre espèces pprtennt à qutre genres différents, dont l seconde collection recueillie pr M. Seguin m' fourni des pièces très-crctéristiques. Ce sont : 1 le Mcrucheni ptchonic, dont j'étudieri le système dentire dns ses deux conditions de premier âge ou dentition de lit et de second âge ou dentition permnente, insi que certines prties du squelette, principlement le clcnéum qu'ucun uteur n'vit encore observé ; 2 le grnd Ours éteint de l région de l Plt, Ursus bonriensis, type du genre Arctotherium de M. Brvrd; 3 le grnd Édenté encore incomplétement décrit, uquel j'i donné le nom de Lestodon ; et 4 le grnd Ttou signlé, dns m Note de 1867, sous l dénomintion d'euttus Seguini. (4) Plucheni, Owen (1;869). (2) Zoologie et Pléontologie générles, 4 série, p à 147, pl. 22 à 25 (Typotherium) et pl. 37 e (Schislopleurum). (3) T. XLIV, p (4) Voir, pour les qutre premiers de ces genres, les Nouvelles Archives du Muséum, T. V, p. 1, pl. 3 à S, ; et, pour les deux derniers, le Journl de Zoologie, T. I, p. 426 et 430, pl. 20 et pl. 21, fig. 11, 1872.

4 CHAPITRE I. DU M A C R A U C H E N I A. Publictions uxquelles son étude donné lieu; crctères générux qui le distingunt ; description de s dentition ; principux os de son squelette et plus prticulièrement son clcnéum ; remrques u sujet de ses ffinités. On doit à M. Owen et à M. Burmeister les principles indictions que l science possède u sujet de ce genre remrquble des grnds Mmmifères. Le premier de ces nturlistes le regrde comme pprtennt ux Pchydermes, et il le clsse prmi les Jumentés ou Périssodetyles, mis en lui reconnissnt en même temps des ffinités vec les Cmélidés ; le second en fit églement un Jumenté, mis il le clsse entre les Chevux et les Tpirs. En signlnt à l'acdémie des Sciences de Pris, le 12 oût 1867, les principles pièces de l seconde collection d'ossements fossiles recueillie pr M. Seguin dns l Confédértion Argentine, je m'exprimis insi qu'il suit : «L nouvelle collection de M. Seguin renferme des débris très-crctéristiques et en fort bon étt de conservtion, qui pprtiennent u Mesotherium insi qu'u Toxodon, deux des types berrnts les plus remrqubles de l fune sud-méricine. On y voit ussi des pièces osseuses et des séries dentires provennt d'un niml non moins curieux, le Mcrucheni ptchonic.» Cette espèce, u sujet de lquelle M. Owen le premier donné des renseignements et que M. Brvrd depuis ppelée Opistorhinus Flconeri, tteignit à peu près les dimensions des Chmeux ; mis des ffinités l rttchient ux Pchydermes jumentés, et elle présentit, en effet, dns s dentition insi que dns l conformtion dé ses membres, les principux trits crctéristiques des Mmmifères de cet ordre. C'est uprès des Rhinocéros et des Chevux qu'elle doit être plcée ; mis son système dentire offrit cette prticulrité curieuse, qu'u lieu d'être incomplet dns l région des incisives et des cnines, comme il l'est chez les Rhinocéros, il possédit u confire l formule normle et typique des Jumentés :3/3i., 1/1 c., 7/7 m. On n'observe dns le Mcrucheni ucune trce de l brre crctéristique des Chevux ; les dents étient rngées en série continue comme chez les Anoplothériums, qui sont cependnt des nimux d'un utre ordre.» Une utre singulrité de ce genre résidit dns l forme des dents incisives,

5 qui étient en plmettes, proclives et un peu excvées sur leur fce interne, et dont les bords, vnt d'voir été entmés pr l'usure, étient festonnés, ce qui leur donnit jusqu'à un certin point le fciès de celles des Igunodons et de certines espèces ctuelles de l fmille des Igunes. Cette curieuse conformtion est fcile à constter sur une mâchoire inférieure réunissnt à l fois les dents de l première dentition et une prtie de celles de l seconde. «A en juger pr l forme des molires du Mcrucheni, on doit supposer que c'est sur l'observtion de quelques-unes d'entre elles prises isolément, que repose l'indiction donnée pr M. Brvrd de l'ncienne existence, dns l'amérique méridionle, des genres Pléothérium et Anoplothérium (1).» Je me propose de donner ici vec détil l description des pièces reltives u système dentire du Mcrucheni que renferme l nouvelle collection de M. Seguin ; j'y jouteri des remrques tirées de diverses portions d'un squelette de cet niml, églement rpportées pr le môme voygeur, qui proviennent du sujet dont l première dentition nous fourni les remrques qu'on vient de lire. Ce chpitre ser terminé pr une pprécition des ffinités nturelles de ce singulier genre éteint, qui, mlgré de nombreux points de contct vec les Rhinocéros et les utres Pchydermes impridigités, c'est-à-dire vec les Jumentés, se rttchit ussi, pr diverses prticulrités importntes, ux Bisulques, soit ux Chmeux, insi que le dit M. Owen, soit ux Anoplothériums, et se trouvit insi unir ux crctères principux des premiers de ces nimux une prtie de ceux qui distinguent les Ruminnts et les Porcins. C'est ce que l'on peut inférer de l présence u bord du clcnéum d'une sillie rticulire destinée à l'extrémité inférieure du péroné et présentnt une disposition ssez semblble à celle que l'on croyit spécile ux Bisulques. Avnt de procéder à cet exmen, je rppelleri, sous forme d'indictions synoptiques et bibliogrphiques, les principux trvux dont le Mcruchéni été l'objet : Mcrucheni ptchonic, Owen, Zool. of the Voyge of Begle, Fossil Mmmli, p. 35, pl. 6 à 15; M. ptchonic, P. Gervis, Expéd. de M. de Cstelnu dns l'amérique du Sud, Ant., p. 36, pl. 8; Opistorhinus Flconeri et O. minus, Brvrd, Ctl. foss. Amér. du Sud, p. i ; M. boliviensis, Huxley, Proceed, geol. Soc. London, T. XVII, p. 73, pl. 6 ; M. ptchonic (O. Flconeri, Brv.), Burmeister, Ann. Mus. Buenos-Aires, 1 T. I, p. 32, pl. 1-4 (pr M. Brvrd). Id., ibid., p. 252, pl. 12 (squelette restitué). Id., Beschreibung der Mcrucheni ptchonic, in-4, v. 4 pl. ; Hlle, M. ptchonic, P. Gervis, Comptes-rendus hebd., T. LXV, p. 280; Id., British Assocition, Brighton, (1) Comptes-rendus hebd., T. LXV.

6 1. Système dentire. D'près MM. Brvrd et Burmeister, le Mcrucheni présente l formule dentire suivnte pendnt l'âge dulte : 3/3i.,1/1c.,7/7m., et non7/7 comme on l'vit dit ntérieurement, u totl 46 dents, ce qui dépsse le nombre le plus considérble jusqu'ici observé chez les Pchydermes, lequel est de 44. Ces dents sont en série continue, sns intervlle ou brre entre les cnines et les molires, ce qui rppelle l disposition propre à l'anoplothérium. Elles sont, comme chez ce dernier, toutes d'égle huteur, et, pour l prtie ntérieure des mâchoires, peu différentes entre elles, ce qui rend les incisives, les cnines et les vnt-molires ssez difficiles à distinguer les unes des utres. Pr ce double crctère d'voir les dents en série continue et d'égle huteur, le Mcruchéni se sépre de prime-bord de tous les Jumentés, soit Chevux, Rhinocéros, Tpirs, Pléothériums, Lophiodons ou même Dmns ; mis l forme de ses vries molires supérieures, creusées de fossettes profondes, comme on en voit chez les Rhinocéros, semble le rmener u groupe de ces nimux et le rpprocher en même temps de celui des Pléothériums, quoique, dns ces derniers, les fossettes dont nous prlons soient moins profondes, ce qui églement lieu chez les Dmns. Les mêmes dents, exminées à l mâchoire supérieure, ont d'illeurs une ssez grnde nlogie vec celles des Pléothériums, pr suite de l présence d'un bourrelet entournt l double ogive formée pr leur proi externe. On sit que chez les Rhinocéros, leurs deux lobes sont très-inégux sous ce rpport, le postérieur l'emportnt notblement en dimension sur l'ntérieur. Nous ne possédons ps l série entière des dents du Mcruchéni dulte, ni môme une pièce pouvnt permettre de s'en fire une idée pr l'inspection des lvéoles qui servent à l'insertion de ces dents; ussi renverri-je, pour ce qui les concerne, à l description qu'en donnée M. Burmeister. Il en est de même pour les inférieures, dont quelques-unes ont ussi été décrite pr M. Owen (1). Ce qui crctérise tout d'bord le système dentire, c'est l'églité des dents, quel qu'en soit Tordre, incisives, cnines ou molires, et leur position contiguë; de telle sorte qu'il n'y, comme nous l'vons déjà dit, entre les cnines et les molires (1) Philosoph. Trns., 1870, p. 79, fig. 8.

7 ucun intervlle comprble à l brre propre ux utres Jumentés. Sous ce rpport, le Mcrucheni ressemble donc à l'anoplothérium, et certins détils de s dentition rppellent églement ce genre éteint, qu'il s'gisse des incisives, des cnines ou même des molires; en effet, les incisives, les cnines et les premières molires diffèrent moins entre elles que cel n' lieu chez les Jumentés, et les rrière-, molires supérieures ont ussi, comme celles des Anoplothériums, et, mieux encore, comme celles des Pléothériums, leur tble externe divisée en deux lobes pr un cordon ou sillie formnt une double ogive. Toutefois, le bord inférieur de chcun de leurs lobes est plus sillnt encore que chez les Pléothériums eux-mêmes. Qunt ux molires inférieures, elles sont formées de deux lobes bien séprés entre eux, et sous ce rpport, elles s'éloignent moins de ce que l'on observe chez les Rhinocéros que ne le font les supérieures ; mis elles se rpprochent plus encore de celles des Pléothériums pr l forme des lobes de leurs couronnes en rcs de cercles plcés bout à bout. On sit que ces rcs de cercles forment des croissnts obliques dns les Rhinocéros, et que, chez les Tpirs, ils sont u contrire trnsformés en collines trns verses. D'utre prt, les molires supérieures montrent à leur couronne des excvtions de l'émil que l'usure de ces dents trnsforme en fossettes rppelnt celles uxquelles on donné le nom de puits chez les Rhinocéros et les Pléothériums. Il y plusieurs de ces fossettes. Une preille disposition se retrouve dns les Nésodons, genre églement éteint, qui est propre à l'amérique méridionle comme l'est ussi celui des Mcruchéni, et dont l description est églement due à M. Owen (1). Il n'y ps de troisième lobe à l dernière molire inférieure (2), et les utres molires de cette mâchoire mnquent de l sillie conique qui est l crctéristique des mêmes dents chez les Anoplothériums. Ce que nous vons dit précédemment de l couronne des dernières, molires supérieures nous dispense d'insister sur les crctères pr lesquels ces dents s'éloignient de l forme propre à celles des Anoplothériums, et il en est églement de même des molires inférieures chez l'dulte. Le petit tubercule interne plcé udessus de l séprtion des deux rcs dentires ne peut être regrdé comme représentnt l pointe crctéristique des Anoplothériums. Ainsi que nous l'vons dit déjà, M. Burmeister donne u Mcruchéni huit pires de molires supérieures et sept inférieures; mis ucune de nos pièces ne nous offrnt l série de ces dents, je suis dns l'impossibilité de discuter cette formule, qui se retrouve d'illeurs quelquefois dns les Dmns; ussi ces derniers peuventils voir qutre pires de molires supérieures pour l dentition de lit (3). (1) Philosophicl Trnsctions, 1853, p. 290, pl. 44 à 48. (2) Voir Pl. I, fig. 2 et 2, l dernière des dents en plce. (3) De Blinv., Ostéogr., Genre Dmn, pl. 2.

8 Des mâchoires encore pourvues de dents, qui proviennent sns doute de l'exemplire jeune dont nous décrirons plus loin une prtie du squelette, nous donnent l première dentition du Mcruchéni, principlement pour les dents inférieures, et le mode suivnt lequel pprissent les dents de remplcement dns ce curieux genre d'nimux. Elles font l'objet de l plnche I de ce Mémoire. Dents de l mâchoire inférieure. L prtie l plus complète pprtient, insi que cel vient d'être dit, à l mâchoire inférieure ; c'est pr elle que nous commencerons. Les figures 2 et 2 nous représentent ces dents en plce sur le mxillire inférieur, près l'enlèvement de l tble externe de cet os, ce qui permet de montrer leurs rpports, les rcines u moyen desquelles certines d'entre elles sont implntées, et l forme des dents de remplcement encore cchées dns l profondeur de leurs lvéoles. Les sept premières dents, en commençnt pr l droite, ont u-dessous d'elles huit, dents de remplcement en trin de les chsser, et il y en rrière trois dents qui sont les rrière-molires proprement dites de l seconde dentition; celles-ci n'ont point été précédées pr des dents de lit. Si nous prenons successivement celles de ces dents inférieures qui pprtiennent à l première dentition ou dentition de lit, nous voyons que les trois premières sont des incisives. Leur couronne, entmée pr l'usure, est en plmette à peu près verticle, et elles croissent en dimension de l première à l troisième, lquelle présente l prticulrité d'voir s rcine en, prtie dédoublée et pr suite presque bi-prtie. L'usure rendu tringulire l couronne de l cnine, et l rcine en est évidemment prtgée en deux, ce qui est une disposition tout à fit exceptionnelle pour cette sorte de dents. Viennent ensuite trois molires de l première dentition; leurs deux rcines sont écrtées l'une de l'utre, et leurs couronnes, ici usées, vont en ugmentnt de dimension de l première à l troisième. Les deuxième et troisième de ces dents ont chcune deux lobes; l première n'en qu'un seul. Ces trois molires présentent u-dessous d'elles trois dents de remplcement encore en germe, et il y en églement trois u-dessous des trois incisives de l dentition de lit que nous vons décrites précédemment : ce sont les incisives inférieures de remplcement. Deux dents de remplcement nous ont pru se plcer u-dessous de l cnine, et elles sont représentées dns cette position sur notre figure 2. De ces deux dents, l'ntérieure, qui touche en rrière l troisième incisive de lit, serit l vrie cnine de remplcement; l'utre, située imméditement u-dessous de l cnine de lit, serit une première fusse molire. Ces huit dents en germe, jointes ux trois molires plcées en rrière d'elles, les

9 quelles sont les rrière-molires de l dentition définitive, répondent à l'ensemble des dents de l seconde dentition ou dents permnentes de l mâchoire inférieure, svoir : 3 I., 1 C. et 7 M., dont 4 v.-m. et 3 rr.-m. Elles ont été représentées en 2, vues de profil et en plce. L figure 2, qui est une vue de l couronne, ne permet plus de voir celles de ces dents qui sont encore dns les lvéoles u-dessous des sept dents de lit, et les dents qu'on y perçoit se prtgent insi : 7 dents de lit plcées en vnt, svoir : 3i'., 1 c'., 3 m.'., et, près elles, 3 rrière-molires, dont l première déjà usée devit fonctionner concurremment vec les dents de lit et vec celles de remplcement. Une prticulrité remrquble des huit premières dents de remplcement, qui répondent à 3 incisives, 1 cnine et 4 fusses molires (fig. 2 et fig. 3 à 9), consiste dns l disposition festonnée de leurs couronnes, disposition bien plus exgérée que tout ce que l'on peut voir d'nlogue dns ucun utre groupe de Mmmifères. Ces dents vont en décroissnt de l première incisive à l première vnt-molire (fig. 3 à 7), et en croissnt de l première vnt-molire à l qutrième dent de cette ctégorie (fig. 2 et fig. 7 à 18). L huitième, qui deviendr l qutrième vnt-molire, est notblement plus forte que les utres. Les deux lobes de l couronne de ces dents ne sont ps séprés pr une rinure verticle, comme cel lieu pour les vries rrière-molires. Les festons de leur couronne sont ussi moins forts que ceux des dents qui les précèdent dns l série. A cet égrd, ce sont les incisives qui sont surtout remrqubles. Ainsi que nous en vons fit l'observtion, ces dents rppellent jusqu'à un certin point celles des Suriens ctuels de l fmille des Igunidés et celles des grnds Suriens fossiles uxquels on donné le nom d'igunodon. Les figures 13 et 13 représentent deux dents que l'on peut considérer comme étnt les deuxième et troisième molires de l première dentition; elles sont vues pr l couronne (fig. 13) et pr leur fce interne (fig. 13 ). Ces dents proviennent d'un utre sujet que celles représentées sous les n 2 à 12. Elles ressemblent encore os ssez bien à leurs correspondntes prises chez les Pléothériums, et même jusqu'à un point chez les Rhinocéros, mis leur croissnt ntérieur présente intérieurement, à s prtie ntéro-interne, et leur croissnt postérieur, à s prtie postéro-interne, une sillie conique mnqunt chez ces nimux, mis qui rppelle une disposition propre ux Anoplothériums. Il fut toutefois remrquer que l dernière de ces deux dents, qui répond à l'rrière-molire de lit, est à deux lobes, comme chez les Jumentés, et non à trois, comme chez les Porcins et les Ruminnts, ce qui vient à l'ppui du clssement des Mcruchénis prmi les Jumentés. Les Mcruchénis vient trois molires inférieures de lit, tndis que certins Jumentés, les Rhinocéros et les Tpirs, entre utres, n'en ont que deux. En rrière des deuxième et troisième molires de lit de l pièce figurée en 13 et 13, se voit encore dns l'lvéole une dent qui est l première rrière-molire de l seconde dentition (fig. 11, vue pr s fce interne) ; elle plus de ressemblnce

10 vec celle des Rhinocéros et surtout des Pléothériums, qu'vec celle d'ucun utre genre d'nimux. L seconde rrière-molire, qui est ussi une dent de l seconde dentition, est représentée, fig. 12, pr s fce externe, d'près un exemplire non entmé pr l'usure, et l dernière dent de l pièce fig. 2 et 2 est, à son tour, l dernière de l série dentire ; elle est montrée pr s couronne et pr s fce externe. L forme de s couronne indique ussi une plus grnde ressemblnce vec les Pléothériums qu'vec les Rhinocéros, puisque ses lobes sont plcés en succession et non obliquement l'un pr rpport à l'utre ; il fut toutefois remrquer que cette dernière dent mnque de troisième lobe, ce qui églement lieu chez les Rhinocéros mis ne se voit ps chez les Pléothériums. Dents de l mâchoire supérieure, Nous vons déjà dit que M. Burmeister vit constté l présence de huit molires à l mâchoire supérieure du Mcruchéni, fit déjà reconnu pr M. Brvrd et qui se trouve indiqué dns les figures lissées pr lui. Le même nombre de dents mâchelières n'vit encore été observé, pour les Jumentés, que chez les Dmns, et il n'est ps même constnt chez ces nimux, puisque l pluprt des crânes conservés dns nos collections n'en montrent que sept. Notre collection est très-puvre en dents supérieures de Mcruchéni pprtennt à l'âge dulte, et nous devons nous en remettre pour l description de cette prtie du système dentire ux détils fournis pr le svnt nturliste de Buenos-Ayres. Nous possédons cependnt les mxillires supérieurs droit et guche d'un sujet encore jeune, qui prît être le même que celui dont deux molires inférieures sont représentées pr les figures 13 et 13 de notre pl. I. L'un de ces mxillires, moins incomplet que les utres, porte six dents en plce, dont l dernière est encore en germe et dont l première en prtie usée n'est ps entièrement conservée ; mis l correspondnte de celle-ci est complète sur le mxillire opposé, tndis que l sixième, c'est-à-dire l dernière, mnque de ce dernier côté. On complété ces deux séries de dents l'une pr l'utre pour obtenir l figure à lquelle nous renvoyons. Des six dents que nous llons décrire, l première est l dernière incisive de lit qui ne serit ps encore tombée ; elle est suivie de l cnine de l même dentition. Les trois dents suivntes constituerient l'ensemble des molires de lit, et en effet il y hbituellement un preil nombre de ces dents chez les utres nimux de l'ordre des jumentés. Dns cette interpréttion, l dernière dent en plce, qui est en effet une vrie molire, représenterit l première des trois rrière-molires, les dents de cette ctégorie étnt ici plus différentes des vnt-molires qu'elles ne le sont chez lu pluprt des Jumentés, pr exemple chez les Chevux, chez les Rhinocéros, chez les Tpirs, chez les Dmns et chez l pluprt des genres éteints pprtennt u même ordre. Socg. GÉOL. 2 e SÉRIE, T IX. MÉM. N 5. 2

11 Les troisième, qutrième et cinquième de nos six dents supérieures s'dptent d'illeurs très-bien vec les deux molires inférieures de nos figures 13 et 13,qui sont ussi des dents de lit. Elles lissent en dehors l sillie externe du lobe ntérieur de l première de celles-ci et les sillies de chcun des deux lobes de l seconde, tndis qu'elles reçoivent dns les puits de leurs couronnes leurs sillies internes visibles dns l figure 13. Celle des dents supérieures qui occupe l première plce s couronne à peine usée sur le bord ntérieur et u contrire festonnée sur le bord postérieur ; s rcine prît voir été incomplétement double. Je ne puis cependnt ssurer qu'il en étit bien insi, cette prtie n'étnt ps entière. L seconde dent figurée, qui serit l première des qutre molires de lit, est unilobée, à pointe plus rpprochée du bord ntérieur que du bord postérieur, ces deuxbords églement entmés pr l'usure. A l bse interne existe une crête rccourcie, qui, en se relevnt sur les dents suivntes presque à l'égl du bord externe, former l proi interne de ces dents et contribuer à limiter, les excvtions visibles à leur fce triturnte. L première molire de première dentition, qui se trouve occuper l troisième plce sur nos figures 1 et 1, ne présente en dehors qu'une fible crête verticle, plus rpprochée du bord ntérieur que du postérieur pour l séprtion de ses deux lobes, et boutissnt à l pointe unique qu'elle porte de ce côté. Un bourrelet sillnt contourne cette dent sur toute l'étendue du même bord, et, à s couronne, se remrquent deux grndes excvtions dont l postérieure dépsse un peu l'ntérieure en dimension. Cette dent est un peu plus longue que celle qui l précède et que celle qui l suit. S longueur totle est de 0,039, tndis que l précédente mesure 0,028, et celle qui suit 0,037. Cette dernière est encore une dent unilobée et ceinte d'un bourrelet sillnt, à s fce externe. Elle diffère à quelques égrds, pr les dispositions de s couronne, de celle qui vient d'être décrite. Les deux puits y sont plus limités et plus profonds, et il y une ou deux utres petites excvtions sur le trvers du tlon postérieur. Vient ensuite, du moins dns l mnière dont nous envisgeons les choses, une troisième molire de lit (l cinquième des dents figurées en 1 et 1 ). Cette dent ses deux lobes bien visibles en dehors comme en dedns. En dehors, ils sont subégux entre eux et limités l'un et l'utre pr un bourrelet ogivl, formnt une. triple crête dns ses prties verticles, ce qui donne à l dent une grnde nlogie vec les rrière-molires des Pléothériums. L couronne présente qutre excvtions : deux ntérieures plus petites, une troisième médine, de plus grnde dimension, et une qutrième, églement grnde, creusée en rrière de celle-ci, mis un peu plus en dedns. L dernière des dents conservées est, comme nous l'vons fit remrquer plus hut, une vrie molire à deux lobes, montrnt bien à s fce externe l double ogive

12 propre ux Pléothériums, et à s couronne des excvtions en forme de puits. A cet égrd elle est comprble à l dent qui l précède. Si donc notre clssement est exct, cette dent en germe répondrit à l première des rrière-molires permnentes, tndis que celle qui est plcée en vnt d'elle serit l'rrière-molire de l première dentition ou dentition de lit. De nouvelles pièces et une comprison ttentive de nos figures vec le crâne du Mcruchéni que M. Brvrd vit dessiné et dont M. Burmeister donné l description, permettront de rectifier isément les fusses ttributions que nous vons pu fire ici fute de documents plus complets. 2. Squelette. 1 Chez l'dulte. Nous ne possédons qu'un petit nombre de pièces provennt du squelette du Mcruchéni qui pprtiennent à l'âge dulte, et l pluprt ont déjà été décrites pr les uteurs ; il y cependnt prmi elles un pied de devnt bien entier, et l'extrémité inférieure d'un vnt-brs s'dptnt prfitement à ce pied ; c'est l répétition du pied ntérieur provennt de Bolivie que j'i publié dns l'expédition de M. de Cstelnu, et les phlnges onguéles qui existent ux trois doigts ne sont ps très-éloignées de l forme propre ux Rhinocéros et ux Tpirs. Leur disposition indique bien un niml du groupe des Jumentés ; elles sont en effet courtes et élrgies, u lieu d'être plus ou moins mincies comme chez l pluprt des Bisulques ; celle du doigt du milieu dépsse les deux utres en lrgeur. L'vntbrs correspondnt n'est ps brisé ussi près du crpe que dns l'exemplire rpporté de Bolivie que je viens de rppeler. Il est remrquble pr l'élrgissement et l'pltissement des deux os qui le constituent, lesquels os sont soudés ltérlement l'un à l'utre. Leur élrgissement, qui est reltivement considérble, semble en rpport vec des hbitudes qutiques, et je seris ssez porté à croire que le Mcruchéni llit fréquemment dns l'eu, comme le font les Hippopotmes. C'est ussi ce que l'on pourrit inférer de l position reculée des orifices extérieurs de ses nrines, séprées de l région ntérieure du crâne pr une longue symphyse intermxillire. Il est d'illeurs dmis que le Mcruchéni étit pourvu d'une trompe, lquelle dépssit sns doute en longueur celle des Tpirs, et tout, dns l forme de ses orifices nsux, semble confirmer cette supposition. Mlgré s rinure persistnte, l longue symphyse mxillire et intermxillire du Tpir de Bird (1) (1) P. Gervis, Journl de Zoologie, T. II, p. 22, pl. 1 ; 1873.

13 indique une plus grnde ressemblnce entre cette espèce et le Mcrucheni que cel n' lieu pour les utres nimux du même genre. L région prénsle est déjà un peu moins longue chez le Nésodon, qui se rpproche cependnt du Mcruchéni pr plusieurs prticulrités importntes. Une utre pièce non moins intéressnte que l'vnt-brs est un clcnéum, os que ni M. Owen ni M. Burmeister n'ont eu l'occsion d'exminer. Il est plus fort que celui du Chevl, mis pr s forme générle il en diffère moins que de celui des Rhinocéros. Cependnt il est bien loin d'en reproduire les différents crctères. On ne lui reconnît ps non plus les dispositions propres u clcnéum des Tpirs. Il, u contrire, une ssez grnde nlogie vec celui des Bisulques, soit Porcins, soit Ruminnts, pr l sillie convexe plcée sur son bord externe, sillie pr lquelle il s'rticulit vec une concvité correspondnte de l'extrémité inférieure du péroné. Cette fcette rticulire est rquée, dirigée d'vnt en rrière, plus lrge que chez les Cmélidés, un peu moins que chez l'anoplothérium, et d'illeurs différente de ce dernier pr ses détils ; son étendue ntéro-postérieure est plus grnde proportionnellement que chez l'hippopotme, le Porc, le Chmeu et le Lm. Une semblble fcette n'existe ps chez les Jumentés, dont le péroné, qu'il soit entier ou réduit inférieurement à l petite pièce lors soudée à l'extrémité correspondnte du tibi qui en représente l portion inférieure, ne descend jmis u-delà de l'strgle, et glisse sur le bord externe de s poulie. Les deux fcettes clcnéennes sur lesquelles repose l'strgle ont ussi une utre forme que dns le Chevl, le Rhinocéros et le Tpir, mis sns ressembler dvntge pour cel à ce que nous présentent les Bisulques. L fcette supérieure est en continuité vec celle destinée u péroné, et l'inférieure, qui est ovlire-trnsverse et à peu près réniforme, en est nettement séprée. Ce n'est ps là non plus l forme propre à l'anoplothérium. Qunt à l surfce d'rticultion vec le cuboïde, elle offre ussi une disposition prticulière ; elle constitue en effet un espce reltivement considérble, ovlire, à grnd dimètre verticl, et qui s'infléchit un peu en rrière dns s prtie inférieure. On peut donc dire que, si le clcnéum du Mcruchéni diffère de celui des Jumentés pour se rpprocher à certins égrds de celui des Bisulques, il ne présente ps non plus vec ce dernier une identité bsolue. Ce qu'il importe de signler, c'est l présence, dns s région péronéenne, d'une sillie pr lquelle il est en rpport d'rticultion vec le péroné, ce qui constitue un mode plus pprochnt de celui qui est propre ux Bisulques que de tout utre. Le clcnéum de Mcruchéni qui vient d'être décrit est long de 0,14. S plus grnde lrgeur est de 0,07. S poulie péronéenne représente un rc de cercle dont l corde égle 0,045. On sit que l'strgle du même niml ressemble à celui des Jumentés et n'offre ps pr conséquent l'pprence dite en osselet, qui reste propre ux Bisulques. M. Owen mis ce fit hors de doute. L'extrémité inférieure de cet strgle, u

14 lieu de constituer une seconde poulie, n'est donc que très-légèrement convexe, et l concvité correspondnte du scphoïde est ussi très-fible. Elle n'excède ps ce que l'on voit chez les Jumentés; mis ses contours sont différents de ceux que l'on observe dns les Rhinocéros et les Tpirs. Ce n'est ps non plus l disposition crctéristique des Cmélidés, et, si le nviculire et le cuboïde du Mcruchéni sont séprés l'un de l'utre, comme c'est ussi le cs pour les Cmélidés, u lieu d'être réunis entre eux, insi que cel se voit dns l pluprt des Ruminnts, il fut se rppeler que c'est là une prticulrité pr lquelle le Mcrucheni ressemble, nonseulement ux Cmélidés, mis ussi à tous les Jumentés. 2 Dns le jeune âge, Les pièces de cette seconde ctégorie sont plus nombreuses que celles dont il vient d'être question. Les os longs sont épiphysés, et il en est de même des vertèbres insi que du clcnéum, des méttrsiens et des phlnges. Prmi les os longs figurent les suivnts : L'humérus (1), dont l diphyse indique déjà l forme robuste; Le rdius (2), encore distinct du cubitus (3), lequel pprochit pr ses proportions de celui du Rhinocéros et vit même son pophyse olécrhe plus épisse, tndis qu'il est grêle et minci dns l plus grnde prtie de s longueur chez le Chevl. Ce rdius prît cependnt plus épis que celui de l'dulte, son bord externe ou de contct vec le cubitus est plus lrge, et il y là une différence qui ne lisse ps de jeter quelque doute sur l'exctitude de l détermintion générique de cet os; L diphyse du fémur (4), où le troisième trochnter est encore peu indiqué. Les condyles séprés du même os sont moins égux entre eux que chez les Cmélidés ; l poulie y est ussi plus oblique ; L diphyse du tibi et son épiphyse inférieure, vec lquelle se confond déjà celle du péroné. L surfce d'rticultion de celle-ci vec le clcnéum se voit en dehors de l double gorge répondnt à l poulie destinée à l'strgle. Les pieds du jeune sujet sont représentés pr un clcnéum montrnt les prticulrités précédemment décrites (5), insi que pr trois méttrsiens, dont un médin (6), et pr un petit nombre de phlnges. Le clcnéum est épiphysé à son extrémité supérieure ou chilléenne, les méttrsiens à leur extrémité inférieure, et les phlnges à leur extrémité supérieure. Des sternèbres séprées indiquent que le sternum vit une forme pltie. (1) Pl. III, fig. 2 et 2. 2 Ibid., fig. 3, 3 et 3. b (3) Ibid., fig. 4. Celui-ci encore distinct du rdius, quoique provennt d'un sujet plus vncé en âge et dont les épiphyses étient déjà synostosées vec l diphyse. (4) Ibid., fig. 5. (5) Ibid., fig. 7 et 7. (6) Ibid., fig. 9.

15 Les côtes étient églement plus pltes que chez les Rhinocéros, et à cet égrd le Mcruchéni tenit à l fois des Chevux et des Cméliens. Les os des hnches, qui viennent ussi (1) du sujet jeune, ne s'éloignient ps trop pr leur forme générle de ceux des Jumentés ; ils ressemblient u contrire moins à ceux des Hippopotmes, qui sont plus llongés. Il y d'utres prticulrités distinctives du Mcruchéni dns l forme des vertèbres de cet niml. Ainsi que l' fit remrquer M. Owen, les cervicles présentent, comme celles des Cmélidés, le crctère d'voir le cnl de l'rtère vertébrle plcé dns le trou rchidien. Ce crctère est très-évident dns une de celles que nous vons sous les yeux. Les dorsles (2) ont leurs trous intervertébrux ouverts dns les pophyses trnsverses. Les premières, quoique pourvues d'pophyses épineuses plus longues, concordent mieux vec l forme propre ux Jumentés qu'vec celle connue chez l'hippopotme, le seul des Porcins ctuels que s tille puisse fire comprer u Mcruchéni. Les dernières vertèbres lombires s'rticulient entre elles, pr une prtie de leurs pophyses trnsverses, et l plus rpprochée de l première scrée étit mise en rpport vec l prtie correspondnte du scrum pr une semblble rticultion. Une prtie plus remrquble de l colonne vertébrle est l région cudle. Nous vons pu en étudier quelques-unes des premières vertèbres (3). Elies sont plties, à rc sternl incomplet ou nul, et pourvues d'pophyses trnsverses à l fois lrges et plties. Il est difficile de ne ps supposer des hbitudes qutiques à l'niml dont ces vertèbres proviennent. 3. Remrques u sujet des ffinités du Mcruchéni. En décrivnt le pied ntérieur du Mcruchéni (4) d'près une pièce rpportée de Bolivie pr M. Weddel, je proposis de fire de ce genre singulier le type d'une fmille à prt de Jumentés, sous le nom de Mcruchénidés. C'est peut-être là l'opinion qu'il fut en voir encore. Et, en effet, tout en montrnt dns ses principux crctères certines nlogies vec les Equidés, les Rhinocéridés, les Tpiridés, les (1) Pl. II, fig. 8. (2) Ibid., fig. 1, 1 et 1, et 2, 2 et 2. b b (3) Ibid., fig. 3 à 5. (4) Expéd. de Cstelnu dns l'amérique du Sud; Antomie, p. 36.

16 Pléothéridés et même les Hyrcidés, ce qui doit le fire clsser dns le même ordre que ces nimux, le Mcrucheni diffère de tous les utres genres ttribués u même groupe, pr des crctères importnts qui ne permettent de l'ttribuer à ucune des fmilles dns lesquelles ces genres ont été distribués. L conformtion de ses vertèbres cervicles l'en écrte notblement, pour rppeler ce que l'on voit chez les Chmeux et les Lms, et il fut jouter que son clcnéum présente dns s fcette péronière une prticulrité spécile ux Bisulques, bien que l'strgle et l disposition des doigts reproduisent les crctères distinctifs des Jumentés. A en juger pr les dents, le Mcruchéni offre les plus grnds rpports vec les Nésodons, qui sont ussi des Ongulés fossiles propres à l'amérique méridionle, et je ne doute ps qu'on ne doive rpporter les Nésodons à l même fmille que lui. Mis comme on ne connît les Nésodons que pr quelques prties de leur système dentire, ce rpprochement n'joute rien à ce que le Mcruchéni lui-même nous pprend u sujet des ffinités des Mcruchénidés. Le crâne du Mcruchéni ressemble à certins égrds à celui des Chevux ; mis l symphyse des os incisifs y est bien plus longue, et les nrines, très-reculées, sont ouvertes en-dessus, presque entre les yeux, ce qui porte à penser que ces nimux étient pourvus d'une trompe. Sous ce rpport encore le Mcruchéni reste donc isolé des utres Jumentés, cr mlgré l trompe qu'il possédit sns doute, il ne prit ps voir eu des nlogies bien prononcées vec les Tpirs. Ses dents vient encore moins l forme de celles de ces nimux, et elles n'étient ps non plus comprbles à celles des Chevux. C'est ux dents des Rhinocéros et à celles des Pléothériums qu'il fut les comprer, du moins en ce qui concerne les molires. Elles rppellent celles des premiers pr les excvtions en forme de puits creusées à l couronne des molires supérieures, et celles des seconds pr les doubles lobes en forme d'ogive et égux entre eux de l fce externe des rrière-molires supérieures, insi que pr les deux croissnts plcés bout à bout qui forment l couronne des molires inférieures. Les Mcruchénis n'ont, il est vri, que deux lobes à l dernière molire inférieure, ce qui rppelle les Rhinocéros, mis sns les relier dvntge à ces nimux, puisque l'rrngement et l'églité de leurs dents et leur formule ne sont comprbles qu'à ce que l'on voit chez les Anoplothériums, fit d'utnt plus remrquble que l forme de leur clcnéum rttchit ussi les Mcruchénis ux Porcins, dont les Anoplothériums font prtie, et ux Ruminnts, groupe uquel pprtiennent les Cmélidés. Ces prticulrités prîtront tout à fit dignes d'ttention, si l'on considère que c'est dns un niml d'une époque peu reculée et propre à une région du globe différente de celle à lquelle pprtiennent l pluprt des genres uxquels on peut le comprer, qu'ils se trouvent réunis. En effet, le Mcruchéni vécu dns l'amérique du Sud, et il pprtient à l Fune quternire. Les Pléothériums et les Anoplothériums, entre lesquels il semble constituer un trit d'union, vient donc

17 depuis longtemps dispru, lorsqu'il lui-même existé, du moins si l'on s'en rpporte à l'étt ctuel de nos connissnces sur ce point. A n'envisger que ses crctères et l'infériorité dont plusieurs d'entre eux sont mrqués, le Mcruchéni semblerit plutôt être un point de déprt que l'un des termes finux du grnd groupe des Mmmifères ongulés uquel il pprtient; d'un utre côté, l disposition singulière de ses dents et l formule d'près lquelle elles sont groupées semblerient ppuyer cette opinion, qui pourtnt ne concorde ps vec l précédente. C'est insi que les fits et l théorie se trouvent souvent en désccord, lorsqu'u lieu de chercher simplement les ffinités qui relient un niml à ceux qui composent le groupe prticulier uquel il pprtenu, on l prétention d'exprimer les liens de filition pr lesquels lui et ces derniers se sont rttchés les uns ux utres dns l succession des temps géologiques. CHAPITRE II. DU G R A N D O U R S fossile de l République Argentine. L première mention de cette grnde espèce été fite pr moi, sous le nom qui vient d'être rppelé, dns l première édition de m Zoologie et Pléontologie frnçises (1), et, peu de temps près, dns l prtie ntomique de l'expédition dns l'amérique du Sud de M. Frncis de Cstelnu (2), ouvrge clns lequel j'i décrit et fit figurer les pièces suivntes, provennt de l République Argentine, qui vient été données u Muséum pr feu l'mirl Dupotet : 1 Un frgment de mxillire inférieur, portnt encore l dent crnssière et l'vnt-dernière molire (3); (1) T. I, p (2) Antomie, p. 7; (3) Ibid., pl. 4, fig. 1.

18 2 Un strgle (1); 3 Qutre os méttrsiens (2). Plus récemment j'i indiqué (3) l formule dentire du même niml, d'près des fossiles conservés u Musée britnnique, en fisnt remrquer que cette formule est identique vec celle de l'ursus orntus, espèce ctuellement propre à l'amérique équtorile; elle comprend en effet3/3i.1/1c. et7/7m., et j'i signlé (4) l présence chez l'ursus bonriensis, u-dessus du condyle interne, d'une perfortion nlogue à celle qui s'observe chez l'u. orntus, espèce type de sous-genre Tremrctos (5). l'ursus bonriensis est sns doute le même niml que M. Brvrd signlé dns son Ctlogue des fossiles de l'amérique du Sud (6), publié à Prn, en 1860, sous le nom générique d'arctotherium. M. Brvrd distinguit deux espèces d'arctothérium, VA. ltidens et l'a. ngustidens ; il n' publié de description ni de l'une ni de l'utre. L deuxième collection de M. Seguin renferme plusieurs belles pièces pprtennt à l'ursus bonriensis, et ces pièces, jointes à celles conservées u Musée de Londres que j'i pu églement étudier, me permettent de donner ujourd'hui des renseignements plus circonstnciés sur cette espèce de l fmille des Ursidés, dont l tille dépssit celle du grnd ours des cvernes européennes (Ursus spelæeus). L'Ursus bonriensis pprtenit d'illeurs à un sous-genre différent de celui dns lequel rentre l'ours des cvernes, et l forme de ses dents indique que son régime étit plus frugivore. Du système dentire. Les incisives supérieures (7) sont fortes ; mis leur forme ne se distingue de celle des utres Ursidés pr rien de bien prticulier. Gomme d'hbitude, elles croissent en volume de l première pire ou pire interne à l troisième ou externe. Les cnines supérieures sont très-fortes. Il y six pires de molires à l même mâchoire, dont trois vnt-molires, uno principle ou crnssière et deux rrière-molires tuberculeuses. Les fusses molires (8) sont permnentes, comme cel églement lieu chez les Ursus orntus et mlynus. L seconde est implntée un peu en dehors des deux (1) Antomie, pl. IV, fig. 2. (2) Ibid, fig. 3. M. Burmeister (Ann. Mus. publ. Buenos-Ayres, T. I, p. 144) émis l'opinion que les méttrsiens dont il s'git sont ceux d'un Mchærodus et non ceux d'un Ours; c'est un point que je n'i ps pu vérifier. (3) Zool. et Pl. génér., p (4) Compt.-rend. hebd., T. LXV, p. 282 ; (5) P. Gerv., Hist. nt. des Mmmif., T. II, p 20. (6) P. 1. On trouver l reproduction de ce Ctlogue, en ce qui concerne les Mmmifères, dns m Zoologie et Pléontologie générles, p (7) Pl. IV, fig. 4 à 3. (81 Fig. 4 à 6. SOC. GÉOL. 2 SÉRIE, T. IX. MÉM. N 5. 3 e

19 utres; l troisième est plus forte et plus en dedns. L crnssière, plus grosse que celle des ours, tend à ressembler à celle des Hyénrctos et de l'ailuropode, mis elle n' que deux pointes en cônes en dehors, u lieu de trois, et son tubercule interne est plus reculé que chez ces nimux, ce qui revient à l condition ordinire des Ursidés. Les tuberculeuses supérieures (1) ou les deux rrière-molires, qui terminent l série des dents pour cette mâchoire, sont ssez peu différentes de celles des ours, et l seconde n'est ps rccourcie comme cel lieu chez les Hyénrctos ; elle est toutefois coupée plus obliquement à son bord postéro-externe que chez les utres ours, et s longueur est moindre que chez ces nimux, ce qui constitue un crctère digne d'être noté. L première tuberculeuse ou l'vnt-dernière molire est plus crrée et pr conséquent plus courte que celle des ours, et ses deux mmelons externes sont plus sillnts. L surfce triturnte de ces deux dents est ussi moins finement guillochée et plus simple que chez les utres ours, l'u. orntus compris, ce qui justifie l remrque fite précédemment que l'u. bonriensis devit être trèsfrugivore. Quelque chose d'nlogue se remrque dns VU. mlynus, bien qu'vec une fible différence. L pluprt des dents de l mâchoire inférieure sont ussi représentées sur notre plnche IV. On remrque dns leurs porpprtions et dns les prticulrités de leur couronne des dispositions nlogues à celles qui distinguent les dents supérieures. Les incisives croissent ussi de l première à l troisième, et les cnines sont très-fortes. L'implnttion des incisives de l deuxième pire est plus régulière que celle des deux utres. Les vnt-molires sont u nombre de qutre, comme dns l'ursus orntus et VU. lbitus, tndis qu'il n'y en ordinirement que trois chez les utres ours (2), soit chez celles do leurs espèces qui pprochent le plus de l'u. rctos, soit chez l'u. rctos luimême, l seconde fusse molire (3), et, dns le cs où il y qutre de ces dents, l troisième étnt hbituellement cduques. L première mnque presque constmment chez l'ursus spelæus, ussi bien à l mâchoire supérieure qu'à l'inférieure, ce qui élrgit encore l brre. Les trois premières vnt-molires de l'u. bonriensis sont ssez petites et gemmiformes à leur couronne; l qutrième est notblement plus grosse, et relevée u milieu en forme de mmelon sillnt. L crnssière ou dent principle de l même mâchoire (4) est l plus forte des sept (4) Pl. IV, fig. c. (2) Un de nos U. mlynus en 5 d'un côté et 7 de l'utre, mis elles sont lors de volume très-inégl. (3) Il est rre do trouver les trois petites molires chez les ours du sous-genre de YUrsus rctos. (4) Pl. IV, fig. 12.

20 molires. Elle ne se divise ps ussi nettement à s couronne en prtie ntérieure ou tricuspide et en prtie postérieure ou tlon que chez les ours des utres sous-genres, et, de ses trois pointes ntérieures, l seconde ou l'externe prime notblement les utres pr son développement. En vnt d'elle et sur s déclivité ntérieure est un petit tubercule, qui représente l pointe ntérieure propre à l même dent chez les utres espèces. S troisième pointe ou l'interne est églement petite; à peine dépsse-t-elle en volume le premier des deux mmelons qui bordent du même côté le tlon ici très-épissi de l même dent. Ces détils sont différents de ceux que l'on observe chez l'ursus orntus, et il fut recourir à l'u. mlynus pour retrouver une disposition à peu près semblble, bien que chez ce dernier les pointes ntérieures soient moins inégles entre elles. L'épississement de l couronne se remrque sur les deux dents postérieures qui sont de forme tuberculeuse. L dernière est plus rrondie que d'hbitude, et sous ce rpport encore l comprison se soutient vec l'u. mlynus. On trouver sur notre plnche une figure de l couronne des deux rrière-molires telles qu'elles sont sur l mâchoire inférieure recueillie pr M. Seguin (1), lquelle mâchoire provient d'un sujet vncé en âge et de forte tille. L couronne de l dernière molire est en outre représentée d'près un germe dentire dont le fût n'étit ps encore entièrement solidifié (2). Voici les dimensions de plusieurs des dents, soit supérieures, soit inférieures, qui viennent d'être décrites : Avnt-dernière molire supérieure : plus grnde longueur : 0,028 ; plus grnde lrgeur : 0,028. Dernière molire supérieure : plus grnde longueur : 0,034; plus grnde lrgeur : 0,025. Cnine inférieure : dimètre ntéro-postérieur, mesuré u collet : 0,036 ; dimètre trnsversl : 0,028. Autres dents en plce sur l mâchoire du sujet très-dulte représenté figure 8 : troisième vnt-molire : 0,011 et 0,018; qutrième vnt-molire : 0,020 et 0,012 ; crnssière : 0,041 et 0,029; première tuberculeuse : 0,037 et 0,021 ; deuxième tuberculeuse : 0,023 et 0,020. Du squelette. On possède à Londres une prtie considérble du crâne de YUrsus bonriensis. L fce est courte, le plis élrgi, insi que l'orifice des rrière-nrines, ce qui étblit de nouvelles différences vec l'hyénrctos, l'ailuropode et l'ours ordinire. L'U. bonriensis vit cependnt quelque chose de l'hyène, dns l forme de s tête osseuse, mis à un moindre degré que l'ailuropode ; ses rcdes zygomtiques étient églement fortes et écrtées; mis il n'offrit ps l grnde crête sgittle (4) Pl. iv, fig. 8. (2) Fig. 13.

21 des Hyènes et de l'ailuropode, du moins sur le sujet pprtennt u Musée de Londres, cr on peut supposer que cette disposition existit u moins en prtie dns celui de Pris, qui étit beucoup plus vncé en âge et prît voir été du sexe mâle. L mâchoire inférieure (1) est robuste, épisse, pourvue ltérlement d'une crête osseuse descendnt du bord ntérieur de l'pophyse coronoïde et limitnt en vnt l surfce mssétérienne, disposition que l'on remrque ussi chez l'ursus orntus. L'pophyse ngulire est un peu relevée, et le condyle présente une étendue trnsversle considérble. Il y plusieurs petits trous à l région mentonnière et sur l fce ltérle u-dessous des cinq premières molires. L longueur totle de cette mâchoire est de 0,33, mesurée de l sillie ntérieure de l symphyse à l pointe de l'pophyse ngulire. Les condyles ont 0,095 chcun, mesurés trnsverslement. L huteur de l tble externe u-dessous de l crnssière est de 0,076. L symphyse mesurée en rrière des cnines 0,090 de lrgeur trnsversle. L'écrtement des deux condyles entre leurs sillies internes est de 0,10. L'lts de l'ursus bonriensis ressemble beucoup à celui des ours pr s forme générle. Un humérus entier de cette espèce rpporté pr M. Seguin est long de 0,49, et s poulie rticulire mesure 0,10. Son pprence générle est celle de l'humérus des Ursidés plutôt que de celui des Félis, qui est rqué et plus oblique à s région condylienne ; mis, insi que nous l'vons déjà fit remrquer, il présente une perfortion u-dessus du condyle interne, insi que cel existe chez les Félis; l même disposition se remrque d'illeurs sur l'humérus de l'u. orntus. L moitié inférieure d'un second humérus de l même espèce indique un sujet beucoup plus fort. L poulie rticulire mesure 0,12, et l lrgeur entre l sillie de l'épicondyle et celle de l'épitrochlée est de 0,18. Un cubitus rentre ussi dns l forme des Ours; celui que nous possédons mesure 0,35, ce qui indique un vnt brs un peu plus court reltivement que dns ces derniers. Le tibi rppelle églement celui des Ours pr ses principux crctères. Il est long de 0,36 (2). Quelques os des pieds prmi lesquels se trouvent un pisiforme et un strgle, semblble à celui dont nous vons utrefois donné l figure, et quelques utres pièces encore confirment les rpports vec les Ursidés du grnd crnssier omnivore propres ux dépôts quternires de l République Argentine. L'Ursus bonriensis été quelquefois indiqué comme étnt une espèce d'hyé- (1) Pl. iv, fig. 8, 8 et 8. b (2) Voici les dimensions des os dont il vient d'être prlé dns l'ursus spœleus et dns notre plus grnd squelette d'ours ctuel, l'ursus ferox de Monterey. Ursus spelœus : humérus, 0,32; cubitus, 0,39; tibi, 0,31. Ursus ferox : humérus, 0,36 ; cubitus, 0,37 ; tibi, 0,31.

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