Nous avons placé nos idéaux bien plus haut que les plus hauts des idéaux. (Francis Blanche)

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Nous avons placé nos idéaux bien plus haut que les plus hauts des idéaux. (Francis Blanche)"

Transcription

1 1 Unversté Claude Bernard Lyon I Agrégaton de Mathématques : Algèbre & géométre Année Anneaux Z/nZ Nous avons placé nos déaux ben plus haut que les plus hauts des déaux. (Francs Blanche) A ne pas rater Z est euclden, donc prncpal ; théorème de Bézout et lemme chnos (y comprs la récproque, vor c-dessous) ; pett théorème de Fermat/Euler/Lagrange (a ϕ(n) = 1 mod n s a n = 1) et Wlson. nversbles de Z/nZ, nombre et structure de groupe, (Z/pZ) est cyclque, applcaton aux carrés de Z/pZ : vor Perrn, Cours d algèbre ; automorphsmes de Z/nZ (comme groupe, pus comme anneau) ; vor [Perrn] ; quelques applcatons de la réducton modulo un nombre premer ; l évocaton de RSA semble presque oblgatore. Extrats de rapports du jury (recuells sur le ste de la préparaton de Rennes) 2008 : Cette leçon classque demande toutefos une préparaton mnuteuse. Ben maîtrser le lemme chnos et sa récproque. Dstnguer clarement proprétés de groupes addtfs et d anneaux. Connaître les automorphsmes, les dempotents : On attend la descrpton des sous-groupes addtfs de Z/nZ. Attenton en général s d n, Z/dZ n est pas un sous-ensemble de Z/nZ. La descrpton des éléments nversbles pour la structure multplcatve dot être connue. La structure des groupes abélens de type fn dot être connue, l y a deux présentatons dstnctes (dvseurs élémentares ou va les p-sylow) ; l faut savor passer de l une à l autre : Certanes dentfcatons rendent les exposés confus, vore faux : Z/nZ dentfé au sous-ensemble {0, 1, 2,..., n 1} de Z. Dans ces leçons, la lo de récprocté quadratque est souvent proposée, mas ( les canddats ne proposent aucune applcaton et ne savent pas calculer le symbole 2 p). Par alleurs l faut fare très attenton à l extenson dans laquelle on travalle. En bref, on assste souvent à une sute de calculs ncompréhensbles. Il faudrat connaître les déaux de Z/nZ. Il serat bon de ne pas donner des résultats tels que la caractérsaton des nombres de Carmchaël s l on ne peut : en exhber un et savor (au mons) qu l en exste une nfnté. À l énoncé d un résultat, l est toujours utle de se poser la queston de la récproque. Ans, certans canddats ont retrouvé (découvert?) avec l ade du jury le plus souvent la récproque du lemme chnos : Pour le codage RSA, l serat utle de connaître la talle des nombres premers ntervenant et une méthode de calcul de a k mod N effcace : l exponentaton rapde : Le jury reste perplexe [... ] quand un canddat montre l rréductblté des polynômes cyclotomques en passant dans le corps Z/pZ, mas ne sat pas explquer l mportance du chox de p premer : Un homomorphsme d anneaux envoe, par défnton, l élément unté de A sur celu de B. On peut alors trouver sans dffculté tous les homomorphsmes d anneaux de Z/mnZ dans Z/mZ Z/nZ.

2 2 Applcatons (à peu près autant de développements possbles) Réducton mod p et applcaton à l rréductblté des polynômes ; polynômes cyclotomques et racnes de l unté : rréductblté comme applcaton du pont précédent ; vor auss Demazure, Cours d algèbre, 4.1 ; théorème de Drchlet fable ; noter que les facteurs premers p de Φ d (10) sont les nombres dont la longueur du développement décmal de 1/p est d (avec p d = 1) ; algorthme RSA ; vor par exemple [Demazure], ; test de prmalté de Mller-Rabn : [Demazure], et (utlse (Z/nZ) ) ; transformaton de Fourer dscrète/rapde : [Demazure], chap. 4 ; peut-être [Peyré]? sommes de Gauss et récprocté quadratque : vor la leçon Racnes de l unté et [Demazure], 5.2 ; ce pont et le précédent ont l ntérêt d utlser des Z/NZ avec N non premer ; (très jol, mas pas de source publée) théorème de Frobenus-Zolotarev et récprocté quadratque : vor le court texte de J.-C. Raoult, fr/documentaton/docs/quadratque.pdf. théorème des deux carrés : pour p premer, p 1 [4], l exste u, v Z tels que p = u 2 +v 2 ; attenton au hors-sujet : pour coller ce théorème à la leçon, l faut explquer que Z[] est prncpal (car euclden), s ben que ses quotents sont des analogues des Z/nZ ; on dot alors décder, pour p premer, s l déal (p) = pz[] est premer,.e. s le quotent Z[]/(p) Z[X]/(p, X 2 + 1) F p [X]/(X 2 + 1) est ntègre, ce qu revent à savor s 1 a une racne dans F p ; c est le cas SSI p 1 [4], et alors p n est pas premer dans Z[], et une factorsaton de p donne une relaton p = u 2 +v 2 ; plus anecdotque : développement décmal de 1/p. Questons 1. Quels sont les déaux de Z/nZ? les quotents de Z/nZ? 2. Quels sont les éléments nlpotents de Z/nZ? 3. Quand a-t-on Z/nZ Z/aZ Z/bZ? 4. Pour p 1 [4], donner une racne carrée explcte de 1 dans Z/pZ. 5. Quels sont les carrés dans Z/pZ? dans Z/p α Z? dans Z/nZ? Vor [Demazure], On donne p premer et a (Z/pZ). Quelle est la sgnature de Z/pZ Z/pZ, x ax? Comme 0 est fxe, la sgnature est la même que celle de la restrcton à F p. S σ est la permutaton de {1,..., p 1} ndute par la multplcaton par a, la sgnature de σ est : x y σ(x) σ(y) x y x y ax ay x y ap(p 1)/2 a (p 1)/2 mod p.

3 3 Varante : Dans F p, tous les cycles de a sont de longueur e, l ordre de a, car a k x = x donne e k. Par sute, la sgnature de a est : ( 1) p 1 e (e 1) = ( 1) p 1 e, et on conclut en remarquant que 2 p 1 e p 1 e a (p 1)/2 = 1 a est un carré dans F p Quels sont les automorphsmes de corps de F q? 8. Quand est-ce que (Z/nZ) est cyclque? 9. Quelle est la longueur de la pérode du développement décmal de 1/81? de 1/9801? 10. (a) Montrer que le développement décmal de 1/n est pérodque, et détermner sa longueur. (b) Montrer que le nombre de pérodes possbles de k/n, pour k premer à n, est l ndce de 10 dans Z/nZ. (c) Quels sont tous les nombres dont le dévelopement décmal a pour pérode 6? I À propos du plan 1 Sous-groupes et déaux de Z/nZ Lemme Sot n Z. Tout sous-groupe de Z/nZ est un déal. Pour tout dvseur d de n, l exste un unque sous-groupe d ndce d dans Z/nZ, le quotent par ce sous-groupe est somorphe à Z/dZ. Sot H un sous-groupe de Z/nZ. Notons π : Z Z/nZ la projecton canonque. L mage récproque π 1 (H) est un sous-groupe de Z, donc l est de la forme dz pour d Z convenable. Comme la classe de 0 appartent à H, son mage récproque Ker π = nz est ncluse dans dz, s ben que d dvse n. Par surjectvté de π, on a : H = π(π 1 (H)) = dz/nz : c est un déal de Z/nZ. L applcaton Z dz/nz, k dk est surjectve. Son noyau est mz, où m = n/d. Par sute, le groupe H = dz/nz est somorphe à Z/mZ. Enfn, on vérfe 1 que, comme anneaux : (Z/nZ)/(dZ/nZ) Z/dZ. Remarque : Comme Z/nZ n est pas ntègre (sauf s n est premer), ce n est pas un anneau prncpal ben que ses déaux soent monogènes. 2 Ade-mémore : nversbles de Z/nZ 1. (Z/pZ) Z/(p 1)Z. 2. (1 + p) pk = 1 + l p k+1, avec l premer à p. 3. Par sute, 1 + p est d ordre p α 1 dans Z/p α Z. 4. La projecton naturelle ndut 1 Z/p α 1 Z = 1 + p Z/p α Z Z/pZ k = 1 + l 2 k+2, avec l mpar, donc l ordre de 5 dans (Z/2 α Z) est 2 α (Z/2Z) {1} ; (Z/4Z) Z/2R ; (Z/2 α Z) Z/2 Z/2 α 2 Z (où α 3)? 7. Complément : Aut(Z/nZ) (Z/nZ) en tant que groupes. 8. Applcaton : groupes d ordre pq. 1 De façon générale, s J I sont deux déaux d un anneau R, alors (R/J)/(I/J) A/I. Pour le montrer, vérfer que le morphsme naturel R (R/J)/(I/J) a pour noyau I.

4 4 3 Idempotents Confesson d un membre du jury : la préconsaton connaître les dempotents est exagérée. Mas l est bon d avor déjà rencontré ce vocabulare, you know, just n case... Idempotents en général Sot R un anneau untare, commutatf ou pas. On a prncpalement tros exemples en tête : Z/nZ, K[X]/(P ) où K est un corps et P K[X] et les matrces carrées M n (K). Un dempotent de R est un élément e tel que e 2 = e. Idée clé : Dans les matrces, les dempotents sont exactement les projecteurs. Ils servent à décomposer l espace en produts d espaces plus petts à casser en morceaux, pourrat-on dre. On remarque une évdence : s e 2 = e, alors (1 e) 2 = 1 e. Les dempotents vont par pares. En termes de projecteurs, l échange de e = p et 1 e = Id p correspond à l échange du noyau et de l mage ou, de façon équvalente, à l échange des valeurs propres 0 et 1. Lemme Sot R un anneau et e = e 2 un dempotent central (qu commute à tous les éléments de R) et f = 1 e. () L ensemble er = {er, r R} est un déal de R et un anneau pour la restrcton des opératons de R ; le neutre de la multplcaton est e. () Les applcatons R er fr, r (er, fr) et er fr R, (u, v) u + v sont des somorphsmes. Applcaton : lemme chnos Le lemme chnos est un somorphsme entre deux anneaux. Pour le démontrer, on peut défnr le morphsme naturel Z/abZ Z/aZ Z/bZ (facle), montrer qu l est njectf (ça résulte de l dentté de Bezout ou du lemme de Gauss) et en dédure qu l est surjectf par cardnalté. Il est plus constructf d exhber le morphsme nverse, ce qu utlse plus ou mons explctement des dempotents fourns par le lemme de Bezout. La remarque-clé est la suvante : sot (a, b) Z 2 deux enters premers entre eux. Sot (u, v) Z 2 tels que au+bv = 1. Alors (les classes de) bv et au = 1 bv sont des dempotents de Z/abZ. En effet, on a par exemple : (bv) 2 = bv(1 au) = bv uv ab = au mod ab, le reste en résulte. Examnons l anneau er, où e est la classe de bv dans R = Z/abZ. L applcaton Z er, qu à x Z assoce la classe de bv x modulo ab, est un morphsme d anneaux surjectf (vérfer!). Son noyau est az car ab bvx équvaut à a vx, ou encore à a x en remarquant que a et v sont premers entre eux. On a donc un somorphsme Z/aZ er. (Attenton, Z/aZ n est pas, à proprement parler, un sous-anneau de Z/nZ.) Ans, s a et b sont premers entre eux, on a en notant R = Z/abZ et e = bv : Z/abZ = R er (1 e)r Z/aZ Z/bZ. Dans le plan, ne pas oubler la récproque (et sa preuve). On a souvent à utlser ce lemme de façon répétée dans Z/a 1 a r Z avec les a premers entre eux deux à deux. Analoge avec le lemme des noyaux Plaçons-nous sur K[X], où K est un corps. On fxe un espace vectorel E et un endomorphsme ϕ de E. Sot A et B deux polynômes premers entre eux. Le lemme des noyaux (verson basque) s écrt : Ker AB(ϕ) = Ker A(ϕ) Ker B(ϕ). Qutte à restrendre ϕ à Ker AB(ϕ), ce qu sufft pour la preuve, on peut supposer que AB(ϕ) est nul. Chosssons deux polynômes U et V tels que AU + BV = 1. La clé du lemme, c est de constater que BV (ϕ) (resp. AU(ϕ)) est le projecteur sur Ker A(ϕ) parallèlement à Ker B(ϕ) (resp. sur Ker B(ϕ) parallèlement à Ker A(ϕ)) c est très facle à vérfer.

5 5 La verson complète (ndspensable pour la décomposton de Dunford), c est d ajouter que les projecteurs sur chacun des noyaux est un polynôme en ϕ. Interprétons tout cela en termes de modules. On peut consdérer E comme un K[X]-module, où l acton de P K[X] sur v E est donnée par : P v = P (ϕ)(v). Supposer que l on a AB(ϕ) = 0, cela revent à dre que E est en fat un K[X]/(AB) module. Mas le lemme chnos démontré c-dessus se démontre sans modfcaton pour K[X] (l ngrédent essentel, l dentté de Bezout, est dsponble). Avec e = BV, on a donc : K[X]/(AB) = R er (1 e)r K[X]/(A) K[X]/(B). (L somorphsme K[X]/(A) er est ndut par P BV P.) Ans, la décomposton donnée par le lemme des noyaux est la trace de la décomposton de l anneau donnée par le lemme chnos dans le R-module E, au sens où Ker A(ϕ) = Im BV (ϕ) = er E. La décomposton en sous-espaces caractérstques a l nterprétaton suvante. On écrt le polynôme caractérstque P de ϕ dans E comme produt de facteurs rréductbles : P = r =1 P α. Pour tout, on note Q = P/P α et on chost U, V tels que P U + Q V = 1. Par récurrence sur r, on a alors une décomposton de l unté, en notant e = Q V : 1 = e e r mod P. Elle ndut une décomposton comme produt d anneaux : R = K[X]/(P ) e 1 R e r R, où e R K[X]/(P α ). Par le théorème de Cayley-Hamlton (P (ϕ) = 0), le K[X]-module E ndut une structure de K[X]/(P )-module. La décomposton précédente de R = K[X]/(P ) ndut une décomposton lnéare E = e 1 E e r E, où e E = Im Q V (ϕ) = Ker P α (ϕ). À ce ttre, la décomposton en sous-espaces caractérstques est une manfestaton du lemme chnos. Idempotents de Z/nZ Sot p premer et α N. On montre que les dempotents de Z/p α Z sont 0 et 1. 2 On procède par récurrence sur α. Comme Z/pZ est un corps, c est clar pour α = 1. Sot α 2 et e Z tel que e 2 = e mod p α. Alors p dvse e ou (1 e). Qutte à remplacer e par 1 e, on peut supposer que e = pe, e Z. On a donc e (1 pe ) = 0 mod p α 1. Mas d évdence, p α 1 et 1 pe sont premers entre eux, s ben que p α 1 dvse e. En d autres termes, e = 0 mod p α. Sot n Z, dsons n > 0. On décompose n en produt de facteurs premers, n = r lemme chnos précédent donne un somorphsme r Z/nZ Z/p α Z, x (x ) =1,...,r =1 =1 pα défn par la famlle des classes modulo p α d un élément de Z/nZ. S e = e 2 Z/nZ, chacun des e satsfat auss e = e 2 Z/pα Z, donc e vaut 0 ou 1. On a donc 2 r dempotents paramétrés par les partes I {1,..., r}, correspondant à autant de projectons sur des déaux qu sont auss des anneaux somorphes à Z/ I pα Z. La sute donne deux applcatons de l arthmétque élémentare à la cryptographe. Merc à Chrstophe Delaunay pour les nfos. 2 Argument heurstque : un autre dempotent donnerat une décomposton non trvale de Z/p α Z comme produt d anneau : on la connaîtrat déjà! Mas, méfance avec ce genre d arguments.... Le

6 6 II Cryptographe à clé publque : le protocole RSA Alce et Bob veulent échanger des messages secrets. Voc un protocole : 1. Préparatfs chez Alce : Alce chost deux (grands) nombres premers p et q ; Alce calcule n = pq et ϕ(n) = (p 1)(q 1) ; Alce chost un enter e (encodage) nversble modulo ϕ(n) ; Alce calcule, avec l algorthme d Euclde étendu, d (décodage) et f tels que Alce puble (n, e) (la clé publque). 2. Bob veut écrre un message à Alce : ed + fϕ(n) = 1 ; Bob transforme son message en un enter m n avec un codage entendu 3 ; Bob calcule M = m e [n] (le message codé) et l envoe à Alce par téléphone, sans précauton partculère. 3. Alce reçot le message codé M : pour le tradure, elle calcule A d = (m e ) d = m de = m [n]. Dans ce protocole, le seul secret est la factorsaton de n, c est-à-dre p et q. Ce secret est conservé par Alce : même Bob n est pas capable de décoder le message qu l envoe. La sécurté de cet algorthme provent de ce que la factorsaton de n est un problème réputé dffcle plus précsément, de grande complexté algorthmque,.e. qu prend un temps dérasonnable, auss dffcle que le calcul de ϕ(n). Mse en garde : Il peut y avor des pèges s on chos p et q au hasard. Plus précsément, s p 1 et q 1 n ont pas de grand facteur premers, ls sont asément factorsables et, par sute, n l est également. (Pourquo?) (Je ne sas pas.) III Protocole de Dffe-Helman, logarthme dscret et baby steps gant steps 1 Protocole de Dffe-Helman Alce et Bob décdent de partager un secret, ce qu leur permettra d élaborer un code pour échanger des messages. 1. Alce et Bob chosssent ensemble un grand nombre premer p, et trouvent un générateur g du groupe cyclque (Z/pZ) ; tout cec peut être publc ; 2. Alce chost un nombre n A au hasard, 1 n A p 1, calcule et envoe P A à Bob ; P A = n A g [p], 3 Par exemple, l tradut chacune des 26 lettres et des 6 symboles de ponctuaton en un nombre comprs entre 0 et 31, et l découpe son message en mots de k lettres : son message est donc une sute d enters ayant k chffres en base 32.

7 7 3. Bob chost un nombre n B au hasard, 1 n B p 1, calcule et envoe P B à Alce ; 4. Alce calcule n A P B = n A n B g [p] ; 5. Bob calcule n B P A = n A n B g [p]. P B = n B g [p], Au blan, Alce et Bob partagent n A n B g comme secret. 2 Problème du logarthme dscret L dée de ce protocole est la suvante : connassant g et n, l est très facle de calculer g n envron log(n) multplcatons ; connassant g et y, on pense qu l est dffcle de trouver n tel que g n = y. C est le problème du logarthme dscret. Pour le résoudre, on peut calculer g, g 2, g 3,... jusqu à trouver g n = y. Cette méthode naïve demander n opératons, ce qu est très coûteux s n est de l ordre de grandeur de p. 3 Baby steps, gant steps Il y a cependant une méthode smple qu demande envron 2 p multplcatons, ce qu est ben meux. Rappelons que g est un générateur de (Z/pZ) ; on donne y (Z/pZ) et on cherche n tel que g n = y [p] : on calcule q = p, et on écrt n = lq + r, avec 0 r < q et 0 l q ; on a donc : (g q ) l = yg r [p] ; on calcule et on stocke (g q ) 0, (g q ) 1,..., (g q ) q les pas de géant ; on calcule yg 0, yg 1, yg 2,... les pas de bébé jusqu à obtenr une collson ; on a alors : yg r = (g q ) l [p] ; on a enfn : n = lq + r. IV Une devnette cryptologque pour votre neveu de 8 ans Alce, qu habte à Wonderland, veut envoyer un cols à Bob, qu habte à Morane. Or, tous les facteurs de la régon sont corrompus : s on envoe un cols non cadenassé, ls en prennent le contenu. Le problème, c est que Bob n a pas la clé du ou des cadenas d Alce. Comment peut-on procéder? Réponse : Alce envoe un cols cadenassé à Bob. Bob ajoute un cadenas au cols et renvoe le tout à Alce. Alce enlève son cadenas et renvoe le cols à Bob. Bob peut ouvrr le cols, qu est protégé par son seul cadenas.

Corrigé du problème de Mathématiques générales 2010. - Partie I - 0 0 0. 0.

Corrigé du problème de Mathématiques générales 2010. - Partie I - 0 0 0. 0. Corrgé du problème de Mathématques générales 2010 - Parte I - 1(a. Sot X S A. La matrce A est un polynôme en X donc commute avec X. 1(b. On a : 0 = m A (A = m A (X n ; le polynôme m A (x n est annulateur

Plus en détail

Q x2 = 1 2. est dans l ensemble plus grand des rationnels Q. Continuons ainsi, l équation x 2 = 1 2

Q x2 = 1 2. est dans l ensemble plus grand des rationnels Q. Continuons ainsi, l équation x 2 = 1 2 Exo7 Nombres complexes Vdéo parte. Les nombres complexes, défntons et opératons Vdéo parte. Racnes carrées, équaton du second degré Vdéo parte 3. Argument et trgonométre Vdéo parte 4. Nombres complexes

Plus en détail

Plan. Gestion des stocks. Les opérations de gestions des stocks. Les opérations de gestions des stocks

Plan. Gestion des stocks. Les opérations de gestions des stocks. Les opérations de gestions des stocks Plan Geston des stocks Abdellah El Fallah Ensa de Tétouan 2011 Les opératons de gestons des stocks Les coûts assocés à la geston des stocks Le rôle des stocks Modèle de la quantté économque Geston calendare

Plus en détail

Remboursement d un emprunt par annuités constantes

Remboursement d un emprunt par annuités constantes Sére STG Journées de formaton Janver 2006 Remboursement d un emprunt par annutés constantes Le prncpe Utlsaton du tableur Un emprunteur s adresse à un prêteur pour obtenr une somme d argent (la dette)

Plus en détail

Les jeunes économistes

Les jeunes économistes Chaptre1 : les ntérêts smples 1. défnton et calcul pratque : Défnton : Dans le cas de l ntérêt smple, le captal reste nvarable pendant toute la durée du prêt. L emprunteur dot verser, à la fn de chaque

Plus en détail

STATISTIQUE AVEC EXCEL

STATISTIQUE AVEC EXCEL STATISTIQUE AVEC EXCEL Excel offre d nnombrables possbltés de recuellr des données statstques, de les classer, de les analyser et de les représenter graphquement. Ce sont prncpalement les tros éléments

Plus en détail

Généralités sur les fonctions 1ES

Généralités sur les fonctions 1ES Généraltés sur les fonctons ES GENERALITES SUR LES FNCTINS I. RAPPELS a. Vocabulare Défnton Une foncton est un procédé qu permet d assocer à un nombre x appartenant à un ensemble D un nombre y n note :

Plus en détail

Chapitre IV : Inductance propre, inductance mutuelle. Energie électromagnétique

Chapitre IV : Inductance propre, inductance mutuelle. Energie électromagnétique Spécale PSI - Cours "Electromagnétsme" 1 Inducton électromagnétque Chaptre IV : Inductance propre, nductance mutuelle. Energe électromagnétque Objectfs: Coecents d nductance propre L et mutuelle M Blan

Plus en détail

Contrats prévoyance des TNS : Clarifier les règles pour sécuriser les prestations

Contrats prévoyance des TNS : Clarifier les règles pour sécuriser les prestations Contrats prévoyance des TNS : Clarfer les règles pour sécurser les prestatons Résumé de notre proposton : A - Amélorer l nformaton des souscrpteurs B Prévor plus de souplesse dans l apprécaton des revenus

Plus en détail

Page 5 TABLE DES MATIÈRES

Page 5 TABLE DES MATIÈRES Page 5 TABLE DES MATIÈRES CHAPITRE I LES POURCENTAGES 1. LES OBJECTIFS 12 2. LES DÉFINITIONS 14 1. La varaton absolue d'une grandeur 2. La varaton moyenne d'une grandeur (par unté de temps) 3. Le coeffcent

Plus en détail

Editions ENI. Project 2010. Collection Référence Bureautique. Extrait

Editions ENI. Project 2010. Collection Référence Bureautique. Extrait Edtons ENI Project 2010 Collecton Référence Bureautque Extrat Défnton des tâches Défnton des tâches Project 2010 Sasr les tâches d'un projet Les tâches représentent le traval à accomplr pour attendre l'objectf

Plus en détail

Dirigeant de SAS : Laisser le choix du statut social

Dirigeant de SAS : Laisser le choix du statut social Drgeant de SAS : Lasser le chox du statut socal Résumé de notre proposton : Ouvrr le chox du statut socal du drgeant de SAS avec 2 solutons possbles : apprécer la stuaton socale des drgeants de SAS comme

Plus en détail

1 Introduction. 2 Définitions des sources de tension et de courant : Cours. Date : A2 Analyser le système Conversion statique de l énergie. 2 h.

1 Introduction. 2 Définitions des sources de tension et de courant : Cours. Date : A2 Analyser le système Conversion statique de l énergie. 2 h. A2 Analyser le système Converson statque de l énerge Date : Nom : Cours 2 h 1 Introducton Un ConVertsseur Statque d énerge (CVS) est un montage utlsant des nterrupteurs à semconducteurs permettant par

Plus en détail

EH SmartView. Identifiez vos risques et vos opportunités. www.eulerhermes.be. Pilotez votre assurance-crédit. Services en ligne Euler Hermes

EH SmartView. Identifiez vos risques et vos opportunités. www.eulerhermes.be. Pilotez votre assurance-crédit. Services en ligne Euler Hermes EH SmartVew Servces en lgne Euler Hermes Identfez vos rsques et vos opportuntés Plotez votre assurance-crédt www.eulerhermes.be Les avantages d EH SmartVew L expertse Euler Hermes présentée de manère clare

Plus en détail

BTS GPN 2EME ANNEE-MATHEMATIQUES-MATHS FINANCIERES MATHEMATIQUES FINANCIERES

BTS GPN 2EME ANNEE-MATHEMATIQUES-MATHS FINANCIERES MATHEMATIQUES FINANCIERES MATHEMATIQUES FINANCIERES I. Concepts généraux. Le référentel précse : Cette parte du module M4 «Acquérr des outls mathématques de base nécessares à l'analyse de données économques» est en relaton avec

Plus en détail

Montage émetteur commun

Montage émetteur commun tour au menu ontage émetteur commun Polarsaton d un transstor. ôle de la polarsaton La polarsaton a pour rôle de placer le pont de fonctonnement du transstor dans une zone où ses caractérstques sont lnéares.

Plus en détail

Exercices d Électrocinétique

Exercices d Électrocinétique ercces d Électrocnétque Intensté et densté de courant -1.1 Vtesse des porteurs de charges : On dssout une masse m = 20g de chlorure de sodum NaCl dans un bac électrolytque de longueur l = 20cm et de secton

Plus en détail

GEA I Mathématiques nancières Poly. de révision. Lionel Darondeau

GEA I Mathématiques nancières Poly. de révision. Lionel Darondeau GEA I Mathématques nancères Poly de révson Lonel Darondeau Intérêts smples et composés Voc la lste des exercces à révser, corrgés en cours : Exercce 2 Exercce 3 Exercce 5 Exercce 6 Exercce 7 Exercce 8

Plus en détail

Calculer le coût amorti d une obligation sur chaque exercice et présenter les écritures dans les comptes individuels de la société Plumeria.

Calculer le coût amorti d une obligation sur chaque exercice et présenter les écritures dans les comptes individuels de la société Plumeria. 1 CAS nédt d applcaton sur les normes IAS/IFRS Coût amort sur oblgatons à taux varable ou révsable La socété Plumera présente ses comptes annuels dans le référentel IFRS. Elle détent dans son portefeulle

Plus en détail

hal-00409942, version 1-14 Aug 2009

hal-00409942, version 1-14 Aug 2009 Manuscrt auteur, publé dans "MOSIM' 008, Pars : France (008)" 7 e Conférence Francophone de MOdélsaton et SIMulaton - MOSIM 08 - du mars au avrl 008 - Pars - France «Modélsaton, Optmsaton et Smulaton des

Plus en détail

LE RÉGIME DE RETRAITE DU PERSONNEL CANADIEN DE LA CANADA-VIE (le «régime») INFORMATION IMPORTANTE CONCERNANT LE RECOURS COLLECTIF

LE RÉGIME DE RETRAITE DU PERSONNEL CANADIEN DE LA CANADA-VIE (le «régime») INFORMATION IMPORTANTE CONCERNANT LE RECOURS COLLECTIF 1 LE RÉGIME DE RETRAITE DU PERSONNEL CANADIEN DE LA CANADA-VIE (le «régme») INFORMATION IMPORTANTE CONCERNANT LE RECOURS COLLECTIF AVIS AUX RETRAITÉS ET AUX PARTICIPANTS AVEC DROITS ACQUIS DIFFÉRÉS Expédteurs

Plus en détail

Fiche n 7 : Vérification du débit et de la vitesse par la méthode de traçage

Fiche n 7 : Vérification du débit et de la vitesse par la méthode de traçage Fche n 7 : Vérfcaton du débt et de la vtesse par la méthode de traçage 1. PRINCIPE La méthode de traçage permet de calculer le débt d un écoulement ndépendamment des mesurages de hauteur et de vtesse.

Plus en détail

Introduction à l étude des Corps Finis

Introduction à l étude des Corps Finis Introduction à l étude des Corps Finis Robert Rolland (Résumé) 1 Introduction La structure de corps fini intervient dans divers domaines des mathématiques, en particulier dans la théorie de Galois sur

Plus en détail

ÉLÉMENTS DE THÉORIE DE L INFORMATION POUR LES COMMUNICATIONS.

ÉLÉMENTS DE THÉORIE DE L INFORMATION POUR LES COMMUNICATIONS. ÉLÉMETS DE THÉORIE DE L IFORMATIO POUR LES COMMUICATIOS. L a théore de l nformaton est une dscplne qu s appue non seulement sur les (télé-) communcatons, mas auss sur l nformatque, la statstque, la physque

Plus en détail

Économétrie. Annexes : exercices et corrigés. 5 e édition. William Greene New York University

Économétrie. Annexes : exercices et corrigés. 5 e édition. William Greene New York University Économétre 5 e édton Annexes : exercces et corrgés Wllam Greene New York Unversty Édton françase drgée par Dder Schlacther, IEP Pars, unversté Pars II Traducton : Stéphane Monjon, unversté Pars I Panthéon-Sorbonne

Plus en détail

Système solaire combiné Estimation des besoins énergétiques

Système solaire combiné Estimation des besoins énergétiques Revue des Energes Renouvelables ICRESD-07 Tlemcen (007) 109 114 Système solare combné Estmaton des besons énergétques R. Kharch 1, B. Benyoucef et M. Belhamel 1 1 Centre de Développement des Energes Renouvelables

Plus en détail

CHAPITRE 14 : RAISONNEMENT DES SYSTÈMES DE COMMANDE

CHAPITRE 14 : RAISONNEMENT DES SYSTÈMES DE COMMANDE HAITRE 4 : RAISONNEMENT DES SYSTÈMES DE OMMANDE RAISONNEMENT DES SYSTÈMES DE OMMANDE... 2 INTRODUTION... 22 RAELS... 22 alcul de la valeur ntale de la répone à un échelon... 22 alcul du gan tatque... 22

Plus en détail

Paquets. Paquets nationaux 1. Paquets internationaux 11

Paquets. Paquets nationaux 1. Paquets internationaux 11 Paquets Paquets natonaux 1 Paquets nternatonaux 11 Paquets natonaux Servces & optons 1 Créaton 3 1. Dmensons, pods & épasseurs 3 2. Présentaton des paquets 4 2.1. Face avant du paquet 4 2.2. Comment obtenr

Plus en détail

Assurance maladie et aléa de moralité ex-ante : L incidence de l hétérogénéité de la perte sanitaire

Assurance maladie et aléa de moralité ex-ante : L incidence de l hétérogénéité de la perte sanitaire Assurance malade et aléa de moralté ex-ante : L ncdence de l hétérogénété de la perte santare Davd Alary 1 et Franck Ben 2 Cet artcle examne l ncdence de l hétérogénété de la perte santare sur les contrats

Plus en détail

BUREAU D'APPLICATION DES METHODES STATISTIQUES ET INFORMATIQUES

BUREAU D'APPLICATION DES METHODES STATISTIQUES ET INFORMATIQUES BUREAU DAPPLICATION DES METHODES STATISTIQUES ET INFORMATIQUES BAMSI REPRINT 04/2003 Introducton à l analyse des données Samuel AMBAPOUR BAMSSI I BAMSI B.P. 13734 Brazzavlle BAMSI REPRINT 04/2003 Introducton

Plus en détail

IDEI Report # 18. Transport. December 2010. Elasticités de la demande de transport ferroviaire: définitions et mesures

IDEI Report # 18. Transport. December 2010. Elasticités de la demande de transport ferroviaire: définitions et mesures IDEI Report # 18 Transport December 2010 Elastctés de la demande de transport ferrovare: défntons et mesures Elastctés de la demande de transport ferrovare : Défntons et mesures Marc Ivald Toulouse School

Plus en détail

Terminal numérique TM 13 raccordé aux installations Integral 33

Terminal numérique TM 13 raccordé aux installations Integral 33 Termnal numérque TM 13 raccordé aux nstallatons Integral 33 Notce d utlsaton Vous garderez une longueur d avance. Famlarsez--vous avec votre téléphone Remarques mportantes Chaptres à lre en prorté -- Vue

Plus en détail

TD 1. Statistiques à une variable.

TD 1. Statistiques à une variable. Danel Abécasss. Année unverstare 2010/2011 Prépa-L1 TD de bostatstques. Exercce 1. On consdère la sére suvante : TD 1. Statstques à une varable. 1. Calculer la moyenne et l écart type. 2. Calculer la médane

Plus en détail

Mesure avec une règle

Mesure avec une règle Mesure avec une règle par Matheu ROUAUD Professeur de Scences Physques en prépa, Dplômé en Physque Théorque. Lycée Alan-Fourner 8000 Bourges ecrre@ncerttudes.fr RÉSUMÉ La mesure d'une grandeur par un système

Plus en détail

LE PRINCIPE DU RAISONNEMENT PAR RÉCURRENCE

LE PRINCIPE DU RAISONNEMENT PAR RÉCURRENCE LE PRINCIPE DU RAISONNEMENT PAR RÉCURRENCE. Exemple troductf (Les élèves qu coasset déà be le prcpe peuvet sauter ce paragraphe) Cosdéros la sute (u ), défe pour tout, par : u u u 0 0 Cette sute est défe

Plus en détail

Calcul de tableaux d amortissement

Calcul de tableaux d amortissement Calcul de tableaux d amortssement 1 Tableau d amortssement Un emprunt est caractérsé par : une somme empruntée notée ; un taux annuel, en %, noté ; une pérodcté qu correspond à la fréquence de remboursement,

Plus en détail

Développement décimal d un réel

Développement décimal d un réel 4 Développement décimal d un réel On rappelle que le corps R des nombres réels est archimédien, ce qui permet d y définir la fonction partie entière. En utilisant cette partie entière on verra dans ce

Plus en détail

P R I S E E N M A I N R A P I D E O L I V E 4 H D

P R I S E E N M A I N R A P I D E O L I V E 4 H D P R I S E E N M A I N R A P I D E O L I V E 4 H D Sommare 1 2 2.1 2.2 2.3 3 3.1 3.2 3.3 4 4.1 4.2 4.3 4.4 4.5 4.6 5 6 7 7.1 7.2 7.3 8 8.1 8.2 8.3 8.4 8.5 8.6 Contenu du carton... 4 Paramétrage... 4 Connexon

Plus en détail

MÉTHODES DE SONDAGES UTILISÉES DANS LES PROGRAMMES D ÉVALUATIONS DES ÉLÈVES

MÉTHODES DE SONDAGES UTILISÉES DANS LES PROGRAMMES D ÉVALUATIONS DES ÉLÈVES MÉTHODES DE SONDAGES UTILISÉES DANS LES PROGRAMMES D ÉVALUATIONS DES ÉLÈVES Émle Garca, Maron Le Cam et Therry Rocher MENESR-DEPP, bureau de l évaluaton des élèves Cet artcle porte sur les méthodes de

Plus en détail

Quelques tests de primalité

Quelques tests de primalité Quelques tests de primalité J.-M. Couveignes (merci à T. Ezome et R. Lercier) Institut de Mathématiques de Bordeaux & INRIA Bordeaux Sud-Ouest Jean-Marc.Couveignes@u-bordeaux.fr École de printemps C2 Mars

Plus en détail

CREATION DE VALEUR EN ASSURANCE NON VIE : COMMENT FRANCHIR UNE NOUVELLE ETAPE?

CREATION DE VALEUR EN ASSURANCE NON VIE : COMMENT FRANCHIR UNE NOUVELLE ETAPE? CREATION DE VALEUR EN ASSURANCE NON VIE : COMMENT FRANCHIR UNE NOUVELLE ETAPE? Boulanger Frédérc Avanssur, Groupe AXA 163-167, Avenue Georges Clémenceau 92742 Nanterre Cedex France Tel: +33 1 46 14 43

Plus en détail

Grandeur physique, chiffres significatifs

Grandeur physique, chiffres significatifs Grandeur physque, chffres sgnfcatfs I) Donner le résultat d une mesure en correspondance avec l nstrument utlsé : S avec un nstrument, ren n est ndqué sur l ncerttude absolue X d une mesure X, on consdère

Plus en détail

1.0 Probabilité vs statistique...1. 1.1 Expérience aléatoire et espace échantillonnal...1. 1.2 Événement...2

1.0 Probabilité vs statistique...1. 1.1 Expérience aléatoire et espace échantillonnal...1. 1.2 Événement...2 - robabltés - haptre : Introducton à la théore des probabltés.0 robablté vs statstque.... Expérence aléatore et espace échantllonnal.... Événement.... xomes défnton de probablté..... Quelques théorèmes

Plus en détail

GENESIS - Generalized System for Imputation Simulations (Système généralisé pour simuler l imputation)

GENESIS - Generalized System for Imputation Simulations (Système généralisé pour simuler l imputation) GENESS - Generalzed System for mputaton Smulatons (Système généralsé pour smuler l mputaton) GENESS est un système qu permet d exécuter des smulatons en présence d mputaton. L utlsateur fournt un ensemble

Plus en détail

Integral T 3 Compact. raccordé aux installations Integral 5. Notice d utilisation

Integral T 3 Compact. raccordé aux installations Integral 5. Notice d utilisation Integral T 3 Compact raccordé aux nstallatons Integral 5 Notce d utlsaton Remarques mportantes Remarques mportantes A quelle nstallaton pouvez-vous connecter votre téléphone Ce téléphone est conçu unquement

Plus en détail

Prêt de groupe et sanction sociale Group lending and social fine

Prêt de groupe et sanction sociale Group lending and social fine Prêt de roupe et sancton socale Group lendn and socal fne Davd Alary Résumé Dans cet artcle, nous présentons un modèle d antsélecton sur un marché concurrentel du crédt. Nous consdérons l ntroducton de

Plus en détail

La Quantification du Risque Opérationnel des Institutions Bancaires

La Quantification du Risque Opérationnel des Institutions Bancaires HEC Montréal Afflée à l Unversté de Montréal La Quantfcaton du Rsque Opératonnel des Insttutons Bancares par Hela Dahen Département Fnance Thèse présentée à la Faculté des études supéreures en vue d obtenton

Plus en détail

COMPARAISON DE MÉTHODES POUR LA CORRECTION

COMPARAISON DE MÉTHODES POUR LA CORRECTION COMPARAISON DE MÉTHODES POUR LA CORRECTION DE LA NON-RÉPONSE TOTALE : MÉTHODE DES SCORES ET SEGMENTATION Émle Dequdt, Benoît Busson 2 & Ncolas Sgler 3 Insee, Drecton régonale des Pays de la Lore, Servce

Plus en détail

Interface OneNote 2013

Interface OneNote 2013 Interface OneNote 2013 Interface OneNote 2013 Offce 2013 - Fonctons avancées Lancer OneNote 2013 À partr de l'nterface Wndows 8, utlsez une des méthodes suvantes : - Clquez sur la vgnette OneNote 2013

Plus en détail

Le produit semi-direct

Le produit semi-direct Le produit semi-direct Préparation à l agrégation de mathématiques Université de Nice - Sophia Antipolis Antoine Ducros Octobre 2007 Ce texte est consacré, comme son titre l indique, au produit semi-direct.

Plus en détail

De même, le périmètre P d un cercle de rayon 1 vaut P = 2π (par définition de π). Mais, on peut démontrer (difficilement!) que

De même, le périmètre P d un cercle de rayon 1 vaut P = 2π (par définition de π). Mais, on peut démontrer (difficilement!) que Introduction. On suppose connus les ensembles N (des entiers naturels), Z des entiers relatifs et Q (des nombres rationnels). On s est rendu compte, depuis l antiquité, que l on ne peut pas tout mesurer

Plus en détail

DES EFFETS PERVERS DU MORCELLEMENT DES STOCKS

DES EFFETS PERVERS DU MORCELLEMENT DES STOCKS DES EFFETS PERVERS DU MORCELLEMENT DES STOCKS Le cabnet Enetek nous démontre les mpacts négatfs de la multplcaton des stocks qu au leu d amélorer le taux de servce en se rapprochant du clent, le dégradent

Plus en détail

La théorie classique de l information. 1 ère partie : le point de vue de Kolmogorov.

La théorie classique de l information. 1 ère partie : le point de vue de Kolmogorov. La théore classque de l nformaton. ère parte : le pont de vue de Kolmogorov. La sute de caractères comme outl de descrpton des systèmes. La scence peut être vue comme l art de compresser les données quelles

Plus en détail

Impôt sur la fortune et investissement dans les PME Professeur Didier MAILLARD

Impôt sur la fortune et investissement dans les PME Professeur Didier MAILLARD Conservatore atonal des Arts et Méters Chare de BAQUE Document de recherche n 9 Impôt sur la fortune et nvestssement dans les PME Professeur Dder MAILLARD Avertssement ovembre 2007 La chare de Banque du

Plus en détail

Projet de fin d études

Projet de fin d études Unversté Franços Rabelas Tours Ecole Polytechnque Unverstare de Tours Département Informatque Projet de fn d études Ordonnancement Juste à Temps avec geston des stocks Chopn Antone Mrault Arnaud 3ème année

Plus en détail

Nombres premiers. Comment reconnaître un nombre premier? Mais...

Nombres premiers. Comment reconnaître un nombre premier? Mais... Introduction Nombres premiers Nombres premiers Rutger Noot IRMA Université de Strasbourg et CNRS Le 19 janvier 2011 IREM Strasbourg Definition Un nombre premier est un entier naturel p > 1 ayant exactement

Plus en détail

Chapitre 3 : Incertitudes CHAPITRE 3 INCERTITUDES. Lignes directrices 2006 du GIEC pour les inventaires nationaux de gaz à effet de serre 3.

Chapitre 3 : Incertitudes CHAPITRE 3 INCERTITUDES. Lignes directrices 2006 du GIEC pour les inventaires nationaux de gaz à effet de serre 3. Chaptre 3 : Incerttudes CHAPITRE 3 INCERTITUDES Lgnes drectrces 2006 du GIEC pour les nventares natonaux de gaz à effet de serre 3.1 Volume 1 : Orentatons générales et établssement des rapports Auteurs

Plus en détail

En vue de l'obtention du. Présentée et soutenue par Meva DODO Le 06 novembre 2008

En vue de l'obtention du. Présentée et soutenue par Meva DODO Le 06 novembre 2008 THÈSE En vue de l'obtenton du DOCTORAT DE L UNIVERSITÉ DE TOULOUSE Délvré par l'unversté Toulouse III - Paul Sabater Spécalté : Informatque Présentée et soutenue par Meva DODO Le 06 novembre 2008 Ttre

Plus en détail

Faire des régimes TNS les laboratoires de la protection sociale de demain appelle des évolutions à deux niveaux :

Faire des régimes TNS les laboratoires de la protection sociale de demain appelle des évolutions à deux niveaux : Réformer en profondeur la protecton socale des TNS pour la rendre plus effcace Résumé de notre proposton : Fare des régmes TNS les laboratores de la protecton socale de deman appelle des évolutons à deux

Plus en détail

Les déterminants de la détention et de l usage de la carte de débit : une analyse empirique sur données individuelles françaises

Les déterminants de la détention et de l usage de la carte de débit : une analyse empirique sur données individuelles françaises Les détermnants de la détenton et de l usage de la carte de débt : une analyse emprque sur données ndvduelles françases Davd Boune Marc Bourreau Abel Franços Jun 2006 Département Scences Economques et

Plus en détail

Exo7. Matrice d une application linéaire. Corrections d Arnaud Bodin.

Exo7. Matrice d une application linéaire. Corrections d Arnaud Bodin. Exo7 Matrice d une application linéaire Corrections d Arnaud odin. Exercice Soit R muni de la base canonique = ( i, j). Soit f : R R la projection sur l axe des abscisses R i parallèlement à R( i + j).

Plus en détail

Résumé du cours d algèbre 1, 2013-2014. Sandra Rozensztajn. UMPA, ENS de Lyon, sandra.rozensztajn@ens-lyon.fr

Résumé du cours d algèbre 1, 2013-2014. Sandra Rozensztajn. UMPA, ENS de Lyon, sandra.rozensztajn@ens-lyon.fr Résumé du cours d algèbre 1, 2013-2014 Sandra Rozensztajn UMPA, ENS de Lyon, sandra.rozensztajn@ens-lyon.fr CHAPITRE 0 Relations d équivalence et classes d équivalence 1. Relation d équivalence Définition

Plus en détail

Avez-vous vous aperçu cette drôle de trogne? Entre nature et histoire autour de Mondoubleau

Avez-vous vous aperçu cette drôle de trogne? Entre nature et histoire autour de Mondoubleau Avez-vous vous aperçu cette drôle de trogne? Entre nature et hstore autour de Mondoubleau Thème de la cache : NATURE ET CULTURE Départ : Parkng Campng des Prés Barrés à Mondoubleau Dffculté : MOYENNE Dstance

Plus en détail

Le Prêt Efficience Fioul

Le Prêt Efficience Fioul Le Prêt Effcence Foul EMPRUNTEUR M. Mme CO-EMPRUNTEUR M. Mlle Mme Mlle (CONJOINT, PACSÉ, CONCUBIN ) Départ. de nass. Nature de la pèce d dentté : Natonalté : CNI Passeport Ttre de séjour N : Salaré Stuaton

Plus en détail

Les déterminants de la détention et de l usage de la carte de débit : une analyse empirique sur données individuelles françaises

Les déterminants de la détention et de l usage de la carte de débit : une analyse empirique sur données individuelles françaises Les détermnants de la détenton et de l usage de la carte de débt : une analyse emprque sur données ndvduelles françases Davd Boune a, Marc Bourreau a,b et Abel Franços a,c a Télécom ParsTech, Département

Plus en détail

Pour l épreuve d algèbre, les calculatrices sont interdites.

Pour l épreuve d algèbre, les calculatrices sont interdites. Les pages qui suivent comportent, à titre d exemples, les questions d algèbre depuis juillet 003 jusqu à juillet 015, avec leurs solutions. Pour l épreuve d algèbre, les calculatrices sont interdites.

Plus en détail

Pro2030 GUIDE D UTILISATION. Français

Pro2030 GUIDE D UTILISATION. Français Pro2030 GUIDE D UTILISATION Franças Contents Garante... Introducton... 1 Artcle nº 605056 Rév C Schéma nº A605056 Novembre 2010 2010 YSI Incorporated. Le logo YSI est une marque déposée de YSI Incorporated.

Plus en détail

Semestre : 4 Module : Méthodes Quantitatives III Elément : Mathématiques Financières Enseignant : Mme BENOMAR

Semestre : 4 Module : Méthodes Quantitatives III Elément : Mathématiques Financières Enseignant : Mme BENOMAR Semestre : 4 Module : Méthodes Quattatves III Elémet : Mathématques Facères Esegat : Mme BENOMAR Elémets du cours Itérêts smples, précompte, escompte et compte courat Itérêts composés Autés Amortssemets

Plus en détail

Coefficient de partage

Coefficient de partage Coeffcet de partage E chme aque, la sythèse d'u composé se fat e pluseurs étapes : la réacto propremet dte (utlsat par exemple u motage à reflux quad la réacto dot être actvée thermquemet), les extractos

Plus en détail

ACTE DE PRÊT HYPOTHÉCAIRE

ACTE DE PRÊT HYPOTHÉCAIRE - 1 - ACTE DE PRÊT HYPOTHÉCAIRE 5453F QC FR-2010/01 Taux fxe Le. Devant M e, notare soussgné pour la provnce de Québec, exerçant à. ONT COMPARU : ET : (C-après parfos appelé dans le présent Acte l «emprunteur»

Plus en détail

Groupe symétrique. Chapitre II. 1 Définitions et généralités

Groupe symétrique. Chapitre II. 1 Définitions et généralités Chapitre II Groupe symétrique 1 Définitions et généralités Définition. Soient n et X l ensemble 1,..., n. On appelle permutation de X toute application bijective f : X X. On note S n l ensemble des permutations

Plus en détail

L enseignement virtuel dans une économie émergente : perception des étudiants et perspectives d avenir

L enseignement virtuel dans une économie émergente : perception des étudiants et perspectives d avenir L ensegnement vrtuel dans une économe émergente : percepton des étudants et perspectves d avenr Hatem Dellag Laboratore d Econome et de Fnances applquées Faculté des scences économques et de geston de

Plus en détail

Probabilités sur un univers fini

Probabilités sur un univers fini [http://mp.cpgedupuydelome.fr] édité le 7 août 204 Enoncés Probabilités sur un univers fini Evènements et langage ensembliste A quelle condition sur (a, b, c, d) ]0, [ 4 existe-t-il une probabilité P sur

Plus en détail

Be inspired. Numéro Vert. Via Caracciolo 20 20155 Milano tel. +39 02 365 22 990 fax +39 02 365 22 991

Be inspired. Numéro Vert. Via Caracciolo 20 20155 Milano tel. +39 02 365 22 990 fax +39 02 365 22 991 Ggaset SX353 / französsch / A31008-X353-P100-1-7719 / cover_0_hedelberg.fm / 03.12.2003 s Be nspred www.onedrect.fr www.onedrect.es www.onedrect.t www.onedrect.pt 0 800 72 4000 902 30 32 32 02 365 22 990

Plus en détail

santé Les arrêts de travail des séniors en emploi

santé Les arrêts de travail des séniors en emploi soldarté et DOSSIERS Les arrêts de traval des sénors en emplo N 2 2007 Les sénors en emplo se dstnguent-ls de leurs cadets en termes de recours aux arrêts de traval? Les sénors ne déclarent pas plus d

Plus en détail

NOTATIONS PRÉLIMINAIRES

NOTATIONS PRÉLIMINAIRES Pour le Jeudi 14 Octobre 2010 NOTATIONS Soit V un espace vectoriel réel ; l'espace vectoriel des endomorphismes de l'espace vectoriel V est désigné par L(V ). Soit f un endomorphisme de l'espace vectoriel

Plus en détail

INTERNET. Initiation à

INTERNET. Initiation à Intaton à INTERNET Surfez sur Internet Envoyez des messages Téléchargez Dscutez avec Skype Découvrez Facebook Regardez des vdéos Protégez votre ordnateur Myram GRIS Table des matères Internet Introducton

Plus en détail

Professionnel de santé équipé de Médiclick!

Professionnel de santé équipé de Médiclick! Professonnel de santé équpé de Médclck! Dosser Médcal Partagé en Aqutane Ce gude vous présente les prncpales fonctonnaltés réservées aux professonnels de santé membres du réseau AquDMP. Sommare Connexon

Plus en détail

Cours arithmétique et groupes. Licence première année, premier semestre

Cours arithmétique et groupes. Licence première année, premier semestre Cours arithmétique et groupes. Licence première année, premier semestre Raphaël Danchin, Rejeb Hadiji, Stéphane Jaffard, Eva Löcherbach, Jacques Printems, Stéphane Seuret Année 2006-2007 2 Table des matières

Plus en détail

UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL L ASSURANCE AUTOMOBILE AU QUÉBEC : UNE PRIME SELON LE COÛT SOCIAL MARGINAL MÉMOIRE PRÉSENTÉ COMME EXIGENCE PARTIELLE

UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL L ASSURANCE AUTOMOBILE AU QUÉBEC : UNE PRIME SELON LE COÛT SOCIAL MARGINAL MÉMOIRE PRÉSENTÉ COMME EXIGENCE PARTIELLE UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL L ASSURANCE AUTOMOBILE AU QUÉBEC : UNE PRIME SELON LE COÛT SOCIAL MARGINAL MÉMOIRE PRÉSENTÉ COMME EXIGENCE PARTIELLE DE LA MAÎTRISE EN ÉCONOMIQUE PAR ERIC LÉVESQUE JANVIER

Plus en détail

CHAPITRE DEUX : FORMALISME GEOMETRIQUE

CHAPITRE DEUX : FORMALISME GEOMETRIQUE CHPITRE DEUX FORMLISME GEOMETRIQUE. CHPITRE DEUX : FORMLISME GEOMETRIQUE verson.3, -8 I. GEOMETRIE DNS L ESPCE-TEMPS ) Prncpe de relatvté Le prncpe de relatvté peut s exprmer ans : toutes les los physques

Plus en détail

VIELLE Marc. CEA-IDEI Janvier 1998. 1 La nomenclature retenue 3. 2 Vue d ensemble du modèle 4

VIELLE Marc. CEA-IDEI Janvier 1998. 1 La nomenclature retenue 3. 2 Vue d ensemble du modèle 4 GEMINI-E3 XL France Un outl destné à l étude des mpacts ndustrels de poltques énergétques et envronnementales VIELLE Marc CEA-IDEI Janver 1998 I LA STRUCTURE DU MODELE GEMINI-E3 XL FRANCE 3 1 La nomenclature

Plus en détail

I. Présentation générale des méthodes d estimation des projets de type «unité industrielle»

I. Présentation générale des méthodes d estimation des projets de type «unité industrielle» Evaluaton des projets et estmaton des coûts Le budget d un projet est un élément mportant dans l étude d un projet pusque les résultats économques auront un mpact sur la réalsaton ou non et sur la concepton

Plus en détail

Pour plus d'informations, veuillez nous contacter au 04.75.05.52.62. ou à contact@arclim.fr.

Pour plus d'informations, veuillez nous contacter au 04.75.05.52.62. ou à contact@arclim.fr. Régulaton Sondes & Capteurs Détente frgo électronque Supervson & GTC Humdfcaton & Déshu. Vannes & Servomoteurs Comptage eau, elec., énerge Ancens artcles Cette documentaton provent du ste www.arclm.eu

Plus en détail

RAPPORT DE STAGE. Approcher la frontière d'une sous-partie de l'espace ainsi que la distance à cette frontière. Sujet : Master II : SIAD

RAPPORT DE STAGE. Approcher la frontière d'une sous-partie de l'espace ainsi que la distance à cette frontière. Sujet : Master II : SIAD UFR SCIENCES ET TECHNOLOGIES DEPARTEMENT DE MATHEMATIQUES ET INFORMATIQUE 63 177 AUBIERE CEDEX Année 2008-2009 Master II : SIAD RAPPORT DE STAGE Sujet : Approcher la frontère d'une sous-parte de l'espace

Plus en détail

Des solutions globales fi ables et innovantes. www.calyon.com

Des solutions globales fi ables et innovantes. www.calyon.com Des solutons globales f ables et nnovantes www.calyon.com OPTIM Internet: un outl smple et performant Suv de vos comptes Tratement de vos opératons bancares Accès à un servce de reportng complet Une nterface

Plus en détail

METHODE AUTOMATIQUE POUR CORRIGER LA VARIATION LINGUISTIQUE LORS DE L INTERROGATION DE DOCUMENTS XML DE STRUCTURES HETEROGENES

METHODE AUTOMATIQUE POUR CORRIGER LA VARIATION LINGUISTIQUE LORS DE L INTERROGATION DE DOCUMENTS XML DE STRUCTURES HETEROGENES METHODE AUTOMATIQUE POUR CORRIGER LA VARIATION LINGUISTIQUE LORS DE L INTERROGATION DE DOCUMENTS XML DE STRUCTURES HETEROGENES Ourda Boudghaghen(*),Mohand Boughanem(**) yugo_doudou@yahoo.fr, bougha@rt.fr

Plus en détail

Dynamique du point matériel

Dynamique du point matériel Chaptre III Dynaqe d pont atérel I Généraltés La cnéatqe a por objet l étde des oveents des corps en foncton d teps, sans tenr copte des cases q les provoqent La dynaqe est la scence q étde (o déterne)

Plus en détail

Cryptographie et fonctions à sens unique

Cryptographie et fonctions à sens unique Cryptographie et fonctions à sens unique Pierre Rouchon Centre Automatique et Systèmes Mines ParisTech pierre.rouchon@mines-paristech.fr Octobre 2012 P.Rouchon (Mines ParisTech) Cryptographie et fonctions

Plus en détail

Contact SCD Nancy 1 : theses.sciences@scd.uhp-nancy.fr

Contact SCD Nancy 1 : theses.sciences@scd.uhp-nancy.fr AVERTISSEMENT Ce document est le frut d'un long traval approuvé par le jury de soutenance et ms à dsposton de l'ensemble de la communauté unverstare élarge. Il est soums à la proprété ntellectuelle de

Plus en détail

Polynômes à plusieurs variables. Résultant

Polynômes à plusieurs variables. Résultant Polynômes à plusieurs variables. Résultant Christophe Ritzenthaler 1 Relations coefficients-racines. Polynômes symétriques Issu de [MS] et de [Goz]. Soit A un anneau intègre. Définition 1.1. Soit a A \

Plus en détail

GUIDE D ÉLABORATION D UN PLAN D INTERVENTION POUR LE RENOUVELLEMENT DES CONDUITES D EAU POTABLE, D ÉGOUTS ET DES CHAUSSÉES

GUIDE D ÉLABORATION D UN PLAN D INTERVENTION POUR LE RENOUVELLEMENT DES CONDUITES D EAU POTABLE, D ÉGOUTS ET DES CHAUSSÉES GUIDE D ÉLABORATION D UN PLAN D INTERVENTION POUR LE RENOUVELLEMENT DES CONDUITES D EAU POTABLE, D ÉGOUTS ET DES CHAUSSÉES Gude destné au mleu muncpal québécos NOVEMBRE 2013 Coordnaton : Martn Cormer,

Plus en détail

Corrections adiabatiques et nonadiabatiques dans les systèmes diatomiques par calculs ab-initio

Corrections adiabatiques et nonadiabatiques dans les systèmes diatomiques par calculs ab-initio Correctons adabatques et nonadabatques dans les systèmes datomques par calculs ab-nto Compte rendu du traval réalsé dans le cadre d un stage de quatre mos au sen du Groupe de Spectroscope Moléculare et

Plus en détail

Fonctions de plusieurs variables, intégrales multiples, et intégrales dépendant d un paramètre

Fonctions de plusieurs variables, intégrales multiples, et intégrales dépendant d un paramètre IUFM du Limousin 2009-10 PLC1 Mathématiques S. Vinatier Rappels de cours Fonctions de plusieurs variables, intégrales multiples, et intégrales dépendant d un paramètre 1 Fonctions de plusieurs variables

Plus en détail

Rappels et compléments, première partie : Nombres complexes et applications à la géométrie

Rappels et compléments, première partie : Nombres complexes et applications à la géométrie Rappels et compléments, première partie : Nombres complexes et applications à la géométrie 1 Définition des nombres complexes On définit sur les couples de réels une loi d addition comme suit : (x; y)

Plus en détail

Stéganographie Adaptative par Oracle (ASO)

Stéganographie Adaptative par Oracle (ASO) Stéganographe Adaptatve par Oracle ASO Sarra Kouder, Marc Chaumont, Wllam Puech To cte ths verson: Sarra Kouder, Marc Chaumont, Wllam Puech. Stéganographe Adaptatve par Oracle ASO. CORESA 12: COmpresson

Plus en détail

LICENCE DE SCIENCES PHYSIQUES UV 3LSPH50. Année 2004-2005 MODÉLISATION. Recherche des paramètres d'une représentation analytique J.P.

LICENCE DE SCIENCES PHYSIQUES UV 3LSPH50. Année 2004-2005 MODÉLISATION. Recherche des paramètres d'une représentation analytique J.P. LICENCE DE SCIENCES PHYSIQUES UV 3LSPH50 Année 004-005 MODÉLISATION Recherche des paramètres d'une représentaton analytque JP DUBÈS 3 MODÉLISATION Recherche des paramètres d'une représentaton analytque

Plus en détail

Structures algébriques

Structures algébriques Structures algébriques 1. Lois de composition s Soit E un ensemble. Une loi de composition interne sur E est une application de E E dans E. Soient E et F deux ensembles. Une loi de composition externe

Plus en détail

UNIVERSITE IBN ZOHR Faculté des sciences Agadir. Filière SMA & SMI. Semestre 1. Module : Algèbre 1

UNIVERSITE IBN ZOHR Faculté des sciences Agadir. Filière SMA & SMI. Semestre 1. Module : Algèbre 1 UNIVERSITE IBN ZOHR Faculté des sciences Agadir Filière SMA & SMI Semestre 1 Module : Algèbre 1 Année universitaire : 011-01 A. Redouani & E. Elqorachi 1 Contenu du Module : Chapitre 1 : Introduction Logique

Plus en détail

Prise en compte des politiques de transport dans le choix des fournisseurs

Prise en compte des politiques de transport dans le choix des fournisseurs INSTITUT NATIONAL POLYTECHNIQUE DE GRENOBLE N attrbué par la bblothèque THÈSE Pour obtenr le grade de DOCTEUR DE L I.N.P.G. Spécalté : Géne Industrel Préparée au Laboratore d Automatque de Grenoble Dans

Plus en détail