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1 Global Joural of Maagemet ad Busiess Research Volume Issue Versio.0 November 20 Type: ouble Blid eer Reviewed Iteratioal Research Joural ublisher: Global Jourals Ic. (USA Olie ISSN: & rit ISSN: Le ricipe e artage es rofits Ou es ertes as Le Cadre es Baques Islamiques : Illustratio Modélisée es Cotrats e Fiacemet articipatifs Moudaraba Et Moucharaka By Elmelki Aas Résumé - Les opératios bacaires islamiques se fodet sur le pricipe de l iterdictio de l itérêt, de l icertitude, de la spéculatio et du marché secodaire de la dette. Elle favorise plutôt les activités de productio créatrices de valeurs ajoutée se rattachat directemet à la sphère réelle et la prise de risque comme ue coditio écessaire pour la réalisatio du profit. Aisi, les baques islamiques agisset pas comme de simples prêteurs, mais elles s impliquet activemet das les opératios de commerce e exerçat la propriété direct des actifs tagibles et les opératios d ivestissemet à travers le pricipe de partage des profits ou des pertes qui favorise le parteariat et u partage plus équitable du risque etre les diverses parties preates à l activité bacaire islamique. e ce fait la baque islamique est appelé égalemet baque participative vue qu elle assure la foctio d itermédiatio avec u rôle de fiacemet actif via les coseils et l assistace das les prises de décisios des etreprises fiacés. Mots clés : baques islamiques, fiacemets participatifs, Moudaraba, Moucharaka, asymétrie GJMBR-B Classificatio : FOR Code: 50203, 50205, JEL Code: G2,G32, H25 Le ricipe e artage es rofits Ou es ertes as Le Cadre es Baques Islamiques Illustratio Modlis es Cotrats e Fiacemet articipatifs Moudaraba Et Moucharaka Strictly as per the compliace ad regulatios of: 20. Elmelki Aas. This is a research/review paper, distributed uder the terms of the Creative Commos Attributio- Nocommercial 3.0 Uported Licese permittig all o-commercial use, distributio, ad reproductio i ay medium, provided the origial work is properly cited.

2 Le ricipe e artage es rofits Ou es ertes as Le Cadre es Baques Islamiques : Illustratio Modélisée es Cotrats e Fiacemet articipatifs Moudaraba Et Moucharaka Résumé - Les opératios bacaires islamiques se fodet sur le pricipe de l iterdictio de l itérêt, de l icertitude, de la spéculatio et du marché secodaire de la dette. Elle favorise plutôt les activités de productio créatrices de valeurs ajoutées se rattachat directemet à la sphère réelle et la prise de risque comme ue coditio écessaire pour la réalisatio du profit. Aisi, les baques islamiques agisset pas comme de simples prêteurs, mais elles s impliquet activemet das les opératios de commerce e exerçat la propriété direct des actifs tagibles et les opératios d ivestissemet à travers le pricipe de partage des profits ou des pertes qui favorise le parteariat et u partage plus équitable du risque etre les diverses parties preates à l activité bacaire islamique.e ce fait la baque islamique est appelée égalemet baque participative vue qu elle assure la foctio d itermédiatio avec u rôle de fiacemet actif via les coseils et l assistace das les prises de décisios des etreprises fiacés. as ce cadre, le modèle d itermédiatio des baques islamiques se présete comme ue iovatio fiacière qui itègre l éthique et la dimesio sociale aux pratiques bacaires cotemporaies. Les trasactios fiacières islamiques e doivet pas aboutir à l exploitatio d aucue des parties preates. Notre travail sera cosacrée à l explicatio des produits de fiacemet participatifs avec ue réflexio sur l illustratio modélisée des cotrats Moudaraba et Moucharaka. Le travail est orgaisé comme suit : après l itroductio ue deuxième sectio présetera les ciq piliers de la fiace islamique, la troisième sectio sera l occasio d expliciter avec détail les modes de fiacemets participatifs et plus particulièremet les iveaux des taux de partage des profits ou des pertes à fixer par la baque islamique pour être compétitive et gager au mois ce que gage ue baque covetioelle. Sous quelles coditios les baques islamiques peuvet attirer des etrepreeurs qui e sot pas véhiculés uiquemet par des motifs religieux et les iciter à opter pour u fiacemet islamique? Nous préseteros ue Modélisatio de la moucharaka dégressive avec ue aalyse des aspects de l asymétrie d iformatio das le cadre du fiacemet participatif des baques islamiques. Mots clés : baques islamiques, fiacemets participatifs, Moudaraba, Moucharaka, asymétrie Author : h, B. 53 Gafsa Gare 2 Tuisia. Elmelki.aas@hotmail.com Elmelki Aas d iformatio, taux de partage des profits ou des pertes. I. INTROUCTION L a fiace islamique, qui implique l absece d itérêt, est deveue, au cours de ces quarate derières aées, ue activité d evergure. Toutefois, elle reste relativemet peu coue et peu expérimetée même par les musulmas du milieu professioel de la fiace. Au mieux, cette coaissace reste limitée au pricipe de l iterdictio du taux d itérêt, et au pire elle alimete, par igorace les prés jugemets égatifs. Le rejet de la variable taux d'itérêt des pratiques bacaires islamiques est ue idée révolutioaire das la théorie d itermédiatio bacaire. our u observateur extérieur, das la visio de l Islam, ce qui frappe de prime abord est le rôle des ormes et de leurs applicatios, ou ecore l évolutio de l islam au cours des vigt à trete derières aées. avec l émergece de certais courats extrémistes Cela amèe certais à cosidérer qu Islam et moderisme sot atiomiques, et qu Islam est syoyme de faible développemet écoomique, voire de régressio écoomique et sociale. as so article ititulé Religio ad Ecoomic erformace 2, Marcus Nolad, motre qu à u iveau de développemet écoomique doé, l Islam e réduirait pas la croissace mais plutôt la favoriserait. as la pratique, l islam est loi d être moolithique. La place laissée à l iterprétatio par les autorités religieuses des textes de la loi islamique est u phéomèe qui doit être compris pour bie appréheder la relatio etre fiace et islam. L Islam est la religio du juste-milieu et de la modératio, c est la religio qui combat et iterdit l extrémisme. Et aussi Nous avos fait de vous ue commuauté de justes pour que vous soyez témois aux ges, comme le Messager sera témoi à vous Cora Sourate 2 : Al- Baqarah, verset Marcus Nolad [2005] Religio ad Ecoomic erformace World evelopmet Vol. 33, No. 8, pp , 2005 ublished by Elsevier. 20 Global Jourals Ic. (US Global Joural of Maagemet ad Busiess Research Volume XI Issue XI Versio I November 20

3 Global Joural of Maagemet ad Busiess Research Volume XI Issue XI Versio I November 20 2 Après plus de quatre déceies de leur aissace, les baques islamiques se sot positioées comme des istitutios qui e jouet pas uiquemet u rôle importat das la mobilisatio et l allocatio des ressources mais elles sot activemet itégrées das les écoomies des pays respectifs où elles opèret 3. Le fiacemet islamique est cosidéré comme u compartimet de l ivestissemet éthique et socialemet resposable d ue part et égalemet comme ue iovatio fiacière d autre part. L importace du volume des opératios bacaires islamiques, reflété das le taux de croissace de leurs actifs qui dépasse 0% par a depuis le début des 4 aées 990, impose u besoi de s attarder sur leurs modes de foctioemet essetiellemet la logique participative sur la quelle se base la foctio d itermédiatio fiacière qui est ue foctio de base partagée par les deux systèmes bacaires, islamique et covetioel. Coceptuellemet les opératios bacaires islamiques se fodet sur le pricipe de la prise de risque comme ue coditio écessaire pour la réalisatio du profit. Egalemet, l obligatio que toute trasactio fiacière doit être adossée à u actif tagible red la fiace islamique au service de l écoomie réelle et établit u lie itime etre la sphère réelle et la sphère fiacière et moétaire. Aisi, les baques islamiques se présetet comme ue forme de baque modere pour laquelle le processus d itermédiatio fiacière est basé sur u certai ombre de pricipes juridiques et légaux de la loi islamique 5 qui privilégiet les méthodes de partages des risques et des profits au lieu du fiacemet basé sur la variable taux d itérêt. ar coséquet, il existe u parteariat etre, d ue part, les déposats et la baque islamique et d autre part etre les etrepreeurs ivestisseurs et la baque islamique. La raiso d être des baques, qu elles soiet islamiques ou pas, est la maximisatio du profit, et afi de réaliser cet objectif ultime les moyes et les techiques employés par les baques covetioelles et les baques islamiques variet du fait que ces deux types de baques différet das leurs philosophies et leurs pricipes de foctioemet. e poit de vue islamique, la moaie e présete aucue valeur propre e elle-même, celle-ci e doit costituer qu u moye d échage et est 3 Marti Čihák ad Heiko Hesse [2008] Islamic Baks ad Fiacial Stability: A Empirical Aalysis. IMF Workig paper Moetary ad Capital Markets epartmet W/ 08/ 6. 4 Estimatio de l agece de ratig Stadard&oor s selo laquelle le total des actifs compatibles à la Charia au iveau modial s élève à 700 billio$ avec u taux de croissace auel dépassat les 0% durat la derière déceie. Islamic Fiace outlook Fouad Adbelmouim Ahmed [2002]. La politique législative islamique ses rapports avec le développemet écoomique et ses applicatios cotemporaies. Istitut Islamique de Recherche et de Formatio N 24 ére éditio 2002 ISBN géératrice de reveus que quad elle est cojuguée à u effort et u partage de risque. E vertu des eseigemets de la loi islamique, ces baques et istitutios fiacières e sot pas autorisées à recevoir des itérêts sur les fods qu elles mettet à la dispositio de leurs cliets, i à rémuérer leurs dépôts sur la base d u taux d itérêt. E revache, et pour assurer la foctio d itermédiatio elles ot développé toute ue gamme de produits et services fiaciers fodés sur ue logique cotractuelle qui rejette la variable taux d itérêt et assure plutôt la rémuératio par marges et commissios ou par le partage des profits das le cadre des cotrats participatifs. Ce travail s iscrit das le cadre de l étude d u phéomèe relativemet ouveau pour l idustrie bacaire. Il s agit de la aissace des baques islamiques avec ue logique d itermédiatio atypique, des structures, des produits et des modes de foctioemet tout à fait ouveaux. II. LES CINQ ILIERS E LA FINANCE ISLAMIQUE 6 La fiace islamique est ue forme d iovatio fiacière avec de ouvelles techiques de fiacemet qui présetet des spécificités particulières. La fiace islamique, et e particulier les baques islamiques, se proposet de fiacier les projets socialemet resposables et écoomiquemet performats. Lors de leurs processus d itermédiatio fiacière, les baques islamiques doivet se coformer à ciq pricipes 7 que ous pouvos scider e trois iterdictios et deux obligatios. a Les trois iterdictios L iterdictio de l itérêt : Le prêt à itérêts est cosidéré comme de l usure (Al-Riba 8. La coceptio islamique de l ivestissemet iterdit pas de réaliser des profits, qui sot syoymes de créatio de valeurs ajoutées, mais cette même coceptio e permet pas de géérer des profits à partir des opératios fiacières itégrat les taux d itérêt qui sot cosidérés comme des coûts à supporter quelque soit l issue de l ivestissemet. E cas de perte, les taux d itérêt représetet plutôt ue destructio de la valeur. ar coséquet, le parteariat etre prêteur et empruteur et le partage équitable aussi bie des gais 6 Aouar Hassoue V-Seior Credit Officer aris, Khaled Howaladar V-Seior Credit Officer ubai Iteratioal Fiacial Cetre, April 2008 Islamic Baks ad Sukuk: Growig Fast, but Still Fragmeted pp3 Ratig Methodology Report Number: 0833 Moody s Global Bakig 7 Aouar Hassoue V-Seior Credit Officer aris Moody s Global Credit Research: Risk Issues at Islamic Fiacial Istitutios Special Commets Jauary Le rophète Med (SAWS «Sera maudit par ieu celui qui pred l'usure, celui qui a doé, le greffier du cotrat usuraire, aisi que les témois de ce cotrat». 20 Global Jourals Ic. (US

4 que des pertes cocrétiset le pricipe de justice sociale. Egalemet le processus de créatio et de distributio des richesses das l écoomie représete les iveaux de productivité réelle. as ce cadre le bailleur de fods e peut pas retirer d avatages sous forme d itérêts de so fiacemet, sauf si cet avatage est libremet accordé par l empruteur et sas e costituer ue coditio tacite ou explicite. L iterdictio du Gharar 9 et du Maysir : Le degré d icertitude ou de risque se rattachat à ue trasactio e doit pas être excessif tel que la coclusio du cotrat ou so exécutio soit susceptible d être compromise. Aisi, les termes cotractuels doivet être les plus clairs possibles et e comportat aucue ambiguïté. La loi islamique favorise alors la trasparece etre les diverses parties preates à ue trasactio e veillat à fourir toute l iformatio écessaire avat la coclusio d u cotrat. Le hasard (Al-Gharar compred les activités qui ot u élémet d icertitude, d ambiguïté ou de déceptio das les termes cotractuels. as u échage commercial, le Ghara réfère au caractère aléatoire et flou de l échage ou de l ue de ses composates, aux tromperies ou à ue igorace sur l objet du cotrat (l icertitude sur les matières, ature du bie, ses caractéristiques, so prix.. La vete "Gharar" est celle où il y a icertitude quat à l'objet (so existace, sa quatité, ou s'il sera possible de le livrer ou o. Le "Gharar" est iterdit s il affecte la légalité d ue trasactio. ar exemple, les cotrats d assurace traditioels sot la plupart du temps cosidérés cotraires à la loi islamique car le motat du remboursemet (idemité est icertai ( est pas cou et déped de la surveace d évéemets spécifiques et aléatoire das le futur (momet où le paiemet se fera est icou : surveace du siistre. La loi islamique a clairemet iterdit toutes les trasactios, qui causet l'ijustice sous 'importe quelle forme à l ue des parties du cotrat. Il peut être sous forme de risque ou péril meat à l'icertitude das 'importe quelles affaires, fraude ou avatage aormal 0. L Islam codame égalemet la spéculatio (Al-Maysir tout pari sur l aveir ou toute forme d arragemet etre parties où le droit des cotractats déped d u évéemet aléatoire. C est otammet ce pricipe que l o retrouve das les jeux de hasard et les paris avec mise. Egalemet les cotrats d assuraces traditioelles présetet des élémets de Maysir du momet que l assuré paie ue prime de faible motat das l espoir d ecaisser des sommes d idemité largemet 9 hareer, Siddiq al- (997, Al-Gharar i Cotracts ad its Effects o Cotemporary Trasactios, Jeddah: Islamic Research ad Traiig Istitute. 0 El-Gamal, M. (200. A Ecoomic Explicatio of the rohibitio of Gharar i Classical Islamic Jurisprudece, Islamic Ecoomic Studies, 8(2. supérieurs. as le même ordre d idée l assuré e bééficie pas des primes payées au cas où le siistre e se réalise pas. La spéculatio est iterdite car elle divertit les idividus des activités productives et favorise évetuellemet l accumulatio de richesses sas effort. Il est égalemet cosidéré comme immoral que l u fasse u profit au détrimet d u autre (exploitatio. Aisi, les systèmes de vete à découvert, les produits dérivés : optios, swaps, sot iterdits das u système fiacier islamique. Toutefois il existe pas u cadre référetiel e terme de critères permettat de juger si ue trasactio présete u élémet de gharar ou maysir, ue aalyse au cas par cas s impose. L iterdictio d ivestissemet o éthique ou illicite : l iterdictio d ivestir das des activités iterdites par l Islam comme l alcool, le tabac, l armemet, la prostitutio, le porc, les casios, les jeux d argets et toute etreprise dot le levier fiacier taux d edettemet serait cosidéré comme excessif > 30%. Les produits fiaciers islamiques représetet doc ue classe d actifs qui peut attirer les ivestisseurs à la recherche d ivestissemets éthiques et socialemet resposables. b B- Les deux obligatios L obligatio de partage des profits ou des pertes : le pricipe de partage des profits ou des pertes a été préseté comme ue alterative à l élimiatio de la variable taux d itérêt du processus de l itermédiatio fiacière bacaire. Les parties preates à l activité bacaire sot das l obligatio de partager les risques et par coséquet les profits ou les pertes et ecouret aisi u certai degré de risque afi de légitimer la rémuératio issue du projet d ivestissemet. E. référece à ce pricipe, la fiace islamique est appelée égalemet Fiace articipative. Ce pricipe sigifie qu u cotrat e doit pas être coclu de faço à ce que l esemble de ses clauses serait e faveur d ue seule des parties cotractates. Aisi, les termes cotractuels doivet être équitables afi d éviter les positios d abuse de force de l ue des parties cotractuel pour parveir à la réalisatio de la cohésio de la commuauté. Cela red écessaire le partage des risques et par coséquet le partage des profits ou des pertes cocrétisé par les arragemets sous forme de parteariats e vue de la coclusio de trasactios commerciales ou fiacières. Adossemet de toute opératio fiacière à u actif tagible : Toute opératio fiacière doit être adossée à des actifs réels et tagibles. L existece d u actif sousjacet permet d établir le lie etre la sphère réelle et la Aouar Hassoue V-Seior Credit Officer aris, Khaled Howaladar V-Seior Credit Officer ubai Iteratioal Fiacial Cetre, Moody s Global Credit Research: The Beefits of Ratigs for Islamic Fiacial Istitutios ad What They Address Special Commet February Global Jourals Ic. (US Global Joural of Maagemet ad Busiess Research Volume XI Issue XI Versio I November 20 3

5 Global Joural of Maagemet ad Busiess Research Volume XI Issue XI Versio I November 20 4 sphère fiacière. E effet il s agit d u système attaché à l écoomie réelle favorisat aisi l istauratio d ue écoomie plus stable 2 basée sur ue sphère fiacière itimemet relié à la sphère réelle. III. MOELE ISLAMIQUE E 3 FINANCEMENT La baque islamique ue fois qu elle dispose des fods collectés, elle doit les allouer efficacemet das des projets écoomiquemet performats et socialemet resposables tout e évitat la variable taux d itérêt. Les baques islamiques assuret le fiacemet e utilisat pricipalemet deux méthodes. La première méthode s applique aux opératios de partage des profits ou des pertes. as ce cas, la rémuératio est pas fixée à l avace mais déped des résultats réalisés e aval de l opératio de fiacemet. La secode s applique aux opératios de vetes/locatio de bies sur la base d ue marge fixe, la rémuératio de la baque das ce cas est ue partie du prix de vete. a Opératios de type participatif 4 Ces opératios cosistet e la mise e place de parteariats. Ces produits sot plus assimilables à des opératios de capital risque de type private equity. Les titulaires de comptes d ivestissemet sot assimilés à des actioaires de la baque islamique dot ses activités doivet se baser essetiellemet sur des opératios d ivestissemet réelles. Le pricipe de 3 (artage des rofits ou des ertes se cocrétise essetiellemet via deux types de cotrats qui répodet pleiemet aux exigeces de la Charia et qui sot les cotrats de Moudaraba et Mousharaka. Il s agit de trasactios où les parties impliquées partaget les pertes et les profits des activités das lesquelles elles s egaget. i. Moudaraba (Capital risque ou cotrat d agece Ce terme désige le cotrat coclu etre d ue part u ou plusieurs ivestisseurs ((RabElmel le pricipal, le bailleur de fods ou propriétaire du capital qui fourisset le capital et u etrepreeur qui assure le travail écessaire pour fructifier ces fods (Moudareb ou l Aget. Les profits dégagés de cet ivestissemet sot partagés selo ue clé de partage prédétermiée. 2 Marti Čihák ad Heiko Hesse [2008] Islamic Baks ad Fiacial Stability: A Empirical Aalysis. IMF Workig paper Moetary ad Capital Markets epartmet W/ 08/ 6. 3 Aexe 0 Schéma gééral du fiacemet des baques islamiques. A-Tableau 0 Récapitulatio des modes de fiacemets de la firme bacaire islamique. 4 Heie va Greuig ad Zamir Iqbal [2008] Risk Aalysis for Islamic Baks The World Bak Washigto,.C.The Iteratioal Bak for Recostructio ad evelopmet / The World Bak 88 H Street NW Washigto C Telephoe: Iteret: Suivat cette défiitio, la baque islamique peut iterveir, soit e tat que Moudareb si so rôle cosiste à placer et retabiliser les capitaux pour le compte des ivestisseurs, soit e tat que RabElmel si elle viet de participer à ue opératio de fiacemet. as le cadre du premier rôle ci-dessus metioé, l itervetio de la baque e tat que Moudareb s effectue sas recours sur elle (excepté e cas de égligece, le risque de perte état supporté par les ivestisseurs (déteteurs de comptes d ivestissemet et le profit est partagé etre ceux-ci et le Moudareb (baque islamique das ce cas selo ue formule pré agréée. Le cotrat de moudaraba se présete, das la pratique, sous deux formes : - Le cotrat de moudaraba limitée appelé égalemet épôt articipatif Affecté (A c est u cotrat qui porte sur ue opératio de fiacemet précise (projet bie détermié ; - Le cotrat de moudaraba illimitée, appelé égalemet épôt articipatif o Affecté (NA das ce cas le Moudareb est libre das le choix des ivestissemets qu il etrepred et qu il juge retables et il est pas teu d iformer les ivestisseurs de ses choix d ivestissemets. as le cadre d u cotrat de fiacemet Moudaraba la baque islamique fiace totalemet le projet et le cliet lui apporte so travail, so expertise et so savoir faire das ue activité productive e échage du partage des profits à réaliser selo u certai pourcetage. Le droit et la resposabilité de la gestio de l activité revieet etièremet à ue seule des parties à savoir l etrepreeur (parteariat passive de la baque islamique das ce cas. Les bééfices résultat du projet sot répartis suivat des proportios coveues à l avace après que l ivestisseur récupère so capital et que les frais de gestio de l etrepreeur ot été acquittés. E cas de perte, qui e sera pas due à ue faute ou à ue mauvaise gestio, c est la baque qui assumera le préjudice et plus précisémet le cliet (déposat à travers les comptes d ivestissemet et l etrepreeur (fiacié par la baque islamique e perdra que sa rémuératio évetuelle cocrétisée par le temps et l effort ivestis das l etreprise. Le cotrat de moudaraba favorise la justice à travers le pricipe de 3. E effet, si après l ivestissemet des fods l opératio e dégage pas de bééfices, les pertes sot supportés e totalité par le bailleur de fods (RabElmel le pricipal sauf e cas de égligece du Moudareb (Aget qui sera resposable d ue partie ou de la totalité des pertes si sa égligece est prouvée. Alors qu e cas de gais l aget (Moudarib est rémuéré par ue partie des gais aisi réalisé. La justice se cocrétise das le fait que le gai du bailleur de fods (RabElmel représete la rémuératio de so capital tadis que la rémuératio du Moudarib (aget etrepreeur représete la 20 Global Jourals Ic. (US

6 cotrepartie de so effort fourie (travail tout les deux associé à u certai degré de risque ecouru.. Figure 0 : Le fiacemet par Moudaraba Etape : La baque islamique mobilise les fods sur la base de la Moudaraba éposats ivestisseurs La baque islamique (2 La baque islamique Ivestissemet e Capital art de la baque a. La pratique du cotrat moudaraba par les baques islamiques La moudaraba est pratiquée par les baques islamiques e deux ses (moudaraba two tiers, ce qui leurs permet d assurer ue itermédiatio proche de celle des baques covetioelles. Selo cette approche, la baque joue à la fois le rôle d ivestisseur et d etrepreeur. u côté du passif, e tat que moudarib, elle gère des dépôts qui lui sot cofiés par ses cliets. u côté de l actif, elle assure ue meilleure allocatio des fods aisi collectés e les mettat à la dispositio d autres ivestisseurs abord das le ses cliet (déposat - baque islamique : la relatio qui lie la baque islamique et ses cliets dépositaires sera basée sur u cotrat Moudaraba. Autremet dit, la rémuératio des cliets déposats e se fait pas e foctio d u taux Ivestissemet du capital sur la base 3 ( Ivestissemet e capital Résultat Etrepreeur Aget gestioaire des fods de la baque Ivestissemet des fods avacés par la baque associé à so savoir faire Capital + la part des rofits ou des pertes Résultat La baque islamique Etape 2 : La baque islamique participe soit ( directemet aux projets d ivestissemets soit (2 elle met les fods à la dispositio des etrepreeurs sur la base d u cotrat Moudaraba. rojet d ivestissemet rojet d ivestissemet Etape 3 : La baque islamique partage les profits ou les pertes issues de l ivestissemet du capital. éposat ivestisseur d itérêt fixé d avace sur le capital mais plutôt elle sera basée sur la participatio aux résultats de la baque. Aisi, le cliet déposat, das ce cas, est le bailleur de fods (RabElmel le pricipal et la baque, compte teu de so expériece et de so savoir faire est désormais l aget Moudarib. Esuite, das le ses baque islamique cliet (etrepreeur : La baque islamique participe das certais projets viables qui lui sot soumis par les cliets ayat le savoir faire et dépourvus de capitaux. Elle y participe e fourissat tout le capital requis et partage les profits géérés par cet ivestissemet. as ce cas, la baque islamique est le bailleur de fods (le pricipal et le cliet etrepreeur est l aget (Moudarib.. Global Joural of Maagemet ad Busiess Research Volume XI Issue XI Versio I November Global Jourals Ic. (US

7 Le ricipe e artage es rofits Ou es ertes as Le Cadre es Baques Islamiques : Global Joural of Maagemet ad Busiess Research Volume XI Issue XI Versio I November 20 6 b. Relatio etre baque islamique et etrepreeur Nous essayos de préseter à travers ce modèle 5, qui igore l existece d impôts sur le reveu, les iveaux des taux de partage des profits ou des pertes à fixer par la baque islamique pour être compétitive et gager au mois ce que gage ue baque covetioelle. Sous quelles coditios les baques islamiques peuvet attirer des etrepreeurs qui e sot pas véhiculés uiquemet par des motifs religieux et les iciter à opter pour u fiacemet islamique? Modèle illustratif à ue seule période du fiacemet par cotrat Moudaraba L etrepreeur e choisira pas la modalité de fiacemet participatif que si le profit dégagé, après déductio de la part de la baque islamique, sera supérieur au profit gééré s il aura à traiter avec ue baque covetioelle et rembourser aisi le pricipal de l emprut augmeté de ses charges fiacières (itérêts. our l etrepreeur ( ~ ~ r α T ppp : Taux de partage des profits ou des pertes ~ : rofit à réaliser de la période : motat de l emprut cotracté r : Taux de l itérêt α : Fractio de la pricipale de la dette à rembourser ; our le modèle à ue seule période α. ~ ( r + α our la baque islamique E supposat que le profit à réaliser ~ peut être aticipé ou calculé approximativemet, les égociatios etre la baque islamique et l etrepreeur se focaliserot sur le iveau de Tppp et par coséquet la baque islamique e sera pas libre à fixer u iveau de Tppp qui e predra pas e cosidératio les itérêts de l etrepreeur qui risque de préférer le fiacemet covetioel. ~ r + α ~ ( r + α 5 Nous ous sommes basés sur l idée de Hassoue Aouar qui propose u modèle simple de comparaiso de retabilité des baques islamiques et baques covetioelles, mais ous avos développé ue autre logique valable pour le cadre d aalyse du cotrat de fiacemet participatif Moudaraba. Hassoue Aouar (2003, «La Solvabilité es Baques Islamiques: Forces et Faiblesses», Revue d Ecoomie Fiacière º 72. A l équilibre ~ ( r + α our le modèle à ue seule période α. ~ r + ~ ( r + A l équilibre ~ ( r + Stratégies des baques islamiques vis à vis des réalisatios de profits : La baque islamique accordera plus d importace à la crédibilité des aticipatios des profits. Les aticipatios optimistes des profits, serot favorables à l etrepreeur et la baque aura u taux de partage moidre. Statistiquemet parlat, la baque islamique doit dimiuer les différeces de variabilité etre le profit réellemet réalisé et celui aticipé, et obteir aisi ue variace V ( ~ 0. lus les aticipatios des baques islamiques serot optimistes plus elles aurot u impact égative sur leurs iveaux de profitabilité. ar coséquet ous pouvos dire que la stratégie de la baque islamique est basée sur la réductio de la valeur estimée des profits (sous estimatio des profits. Cotrairemet à cette logique, l etrepreeur fode sa stratégie sur ue logique de sur estimatio des profits. Nous pouvos distiguer trois scéarios possibles selo le rapprochemet ou l éloigemet des valeurs estimés des valeurs réellemet réalisés du profit. remier scéario : la valeur estimée du profit ~ coïcide avec la valeur réellemet réalisée du profit : C est le cas du cotexte de certitude ~ π as ce cas : ( r + π L etrepreeur est idifféret de la source de fiacemet (islamique ou covetioelle. euxième scéario : la valeur estimée du profit ~ est supérieure à la valeur réellemet réalisée du profit : as ce cas ~ > π Le taux ~ ( r + est fixé de faço prédétermié sur la base d u iveau de profit aticipé ~, mais si la baque islamique coaissait que le iveau de profit se limiterait à π < ~ elle aurait fixé u taux de partage : 20 Global Jourals Ic. (US

8 ( r + > ~ ( r + π as ce cas, le fiacemet participatif sera favorable à l etrepreeur. Mais la baque rate l opportuité de réaliser des profits additioels si elle surestime les iveaux de profits à réaliser par l etrepreeur. Troisième scéario : la valeur estimée du profit ~ est iférieure à la valeur réellemet réalisée du profit : as ce cas ~ < π Le taux ~ ( r + est fixé de faço prédétermié sur la base d u iveau de profit aticipé ~, mais si la baque islamique coaissait que le iveau de profit dépassera ~ π > ~ elle aurait due fixée u taux de partage : ( r + < ~ ( r + π as ce cas, l etrepreeur va voir le motat de ses reveues dimiuer ce qui peut l iciter à faire recours aux fiacemets auprès des baques covetioelles du momet qu il se red compte que le fiacemet participatif réduira so iveau de profit. es trois scéarios exposés précédemmet, ous pouvos coclure qu il est pas das l itérêt de la baque islamique de fixer des coditios qui s avèret plus rigides que celles fixées par les baques covetioelles. ositio de égociatio de l etrepreeur et la baque islamique : Nous avos pu compredre de ce qui précède que c est das l itérêt de l etrepreeur qu il favorise les aticipatios les plus optimistes même e sachat que le profit qu il réalisera sera iférieur au iveau déclaré à la baque islamique lors de la demade de fiacemet. Ue fois le iveau de profit réalisé s avère iférieur à l aticipatio, l etrepreeur cédera ue part des profits à la baque islamique, et qui sera certaiemet iférieur au motat des charges fiacières (somme des itérêts et du pricipal de l emprut cotracté et payé à la baque covetioelle. ar coséquet, la baque islamique doit être vigilate et rigoureuse e traitat avec les aticipatios de l etrepreeur parce que l objectif de ce derier est d atteidre le miimum possible du taux de participatio das les profits ou les pertes. E étudiat les dossiers des etrepreeurs, la baque islamique evisage les aticipatios les mois optimistes, e se basat sur la positio de l etrepreeur. E d autre termes la baque islamique doit foder sa stratégie e supposat que le profit réellemet réalisé sera largemet iférieur à celui aticipé par l etrepreeur parce que si l etrepreeur était sure des iveaux élevés des profits il aurait, peut être, choisi le fiacemet covetioel. Nous e pouvos pas cosidérer que le fiacemet participatif représete le refuge des etrepreeurs les mois efficiets parce qu e cas d échec du projet et la réalisatio des pertes, l etrepreeur supportera ue partie de ces pertes, et qui se cocrétise das so effort fouris et so temps cosacré qui e serot pas rémuérés. Lors de l aalyse précédete, ous avos supposés la réalisatio du profit et ous avos igoré le cas de l échec du projet et les pertes ihéretes. Nous avos égalemet igoré l impact de la variable religieuse cotrairemet à la réalité qui motre l importace de cette variable et so ifluece sur les décisios d ivestissemet. Cela e veut pas dire que l ivestisseur musulma est pas ratioel et les baques islamiques doivet predre e cosidératio la ratioalité des ivestisseurs et doivet fourir u effort e matière de Recherche et éveloppemet et d igéierie fiacière afi de les satisfaire. Cette aalyse du choix de fiacemet et des ivestisseurs a été effectuée das u cotexte qui suppose l existece d u système bacaire dual où la cocurrece est de plus e plus itese o pas uiquemet etre les baques islamiques mais égalemet etre baques islamiques et baques covetioelles qui vieet cofroter les baques islamiques das leurs propres terrai e offrat à leur tour des produits et des services fiaciers compatibles avec la Charia. 2 Modèle multi périodique avec costate jusqu à l ifii : T : Taux de partage des profits et des pertes est. ppp supposé être costat α : Fractio du pricipal de la dette à rembourser ; α est costate amortissemet costat doc α / r : Taux de l itérêt costat. : Capital restat due avec i,2,., i ; 3 ; 4 ( ériode : ~ ~ r ( ériode 2 : ~ ~ 2 2 r ( 2 ériode 3 : et 20 Global Jourals Ic. (US Global Joural of Maagemet ad Busiess Research Volume XI Issue XI Versio I November 20 7

9 Global Joural of Maagemet ad Busiess Research Volume XI Issue XI Versio I November 20 8 ~ ~ 3 3 r ( 3 Et ériode : ~ ~ ( T ppp r E faisat la somme des termes des deux cotés de l iéquatio ous obteos : ( T ppp i ~ i i ~ r i i i i Le iveau des taux d itérêt affecte le taux de redemet des cotrats de fiacemet participatifs aisi que les rémuératios des comptes participatifs [(Chog&Liu (2009; Rachmawati&Syamsulhakim (2004; Kaleem&Masoor (2003; Sudi&Norafifah (2000; Haro & Schamuga (995] 6. La majorité des études révèlet ue corrélatio sigificative etre la fluctuatio de la valeur des taux d itérêt et la variabilité des taux de partage des profits et des pertes des baques islamiques. Les baques islamiques e se baset pas exclusivemet sur le modèle de moudaraba, malgré qu il costitue la cocrétisatio de la logique de fiacemet participatif sur laquelle se base la baque 7 islamique. Mais sur le pla pratique, le fiacemet par cotrat moudaraba représete ue part miime das l esemble des activités des baques islamiques cela est dû essetiellemet au degré de risque élevé qui émae des problèmes d asymétrie iformatioelle et qui egedret u coût de gestio plus élevé que celui egagé par les baques covetioelles. 3 Modèle illustratif du iveau d effort et les problèmes d icitatio das le cadre du cotrat Moudaraba as le cadre de l allocatio des fods, le cotrat de Moudaraba est itimemet lié aux problèmes 6 Sudi, H., Norafifah, A (2000, The effet of covetioal iterest rates ad rate of profit o fuds deposited with islamic bakig system i Malaysia, Iteratioal Joural for Islamic Fiacial Sercvices, (4. Haro, S., Shamugam, B. (995, The Effects of Rates of rofit o Islamic Bak s eposits: A Note, Joural of Islamic Bakig ad Fiace, 2 (2, pp Kaleem. A., Masor. Md Isa (2003, Causality relatioship betwee Islamic ad covetioal bakig istrumets i Malaysia, Iteratioal Joural of Islamic Fiacial Services, 4(4. Era Rachmawati, Ekki Syamsulhakim, [2004], Factors Affectig Mudaraba eposits i Idoesia, Workig apers i Ecoomics ad evelopmet Studies (WoES, , epartmet of Ecoomics, adjadjara Uiversity, revised Aug Chog B. S., Liu M.H., (2009, Islamic Bakig: iterest free or iterest based, acific Basi Fiace Joural, N 7, pp Aexe 02 : istributio Globale des modes de fiacemet islamique 2008 (000 US$ : Le volume des cotrats Moudarabah + Mousharakah e dépasse pas.28% du volume total des opératios de fiacemets islamiques das le processus d allocatios des fods. i d agece. E effet la baque islamique e peut pas forcer l etrepreeur à effectuer des actios qu elle juge appropriées (le iveau optimum d effort à fourir. Selo ce cotrat, la rémuératio de l etrepreeur pred la forme d u pourcetage prédétermié du reveu total du projet. Ce schéma de payemet offre pas d icitatio à l etrepreeur pour qu il fourisse le iveau d effort écessaire afi de maximiser le profit. Aisi, l effort fourit par l etrepreeur égalise sa part du reveu margial au lieu du reveu margial total de l effort. E costruisat u modèle simple les problèmes icitatifs associés au cotrat Moudaraba serot discutés das ce qui suit : as le cadre de fiacemet participatif par cotrat Moudaraba l etrepreeur reçoit ( Tppp du profit et π alors que la baque reçoit du profit etπ. L etrepreeur peut choisir le iveau d effort (e qu il fourira et la baque islamique e peut pas cotrôler ce iveau d effort. Elle observe uiquemet le résultat de cet effort qui se cocrétise das du profit et π. our simplifier le modèle quelques hypothèses s avèret essetiels : Le profit et déped exclusivemet du iveau d effort fouri par l etrepreeur π f (e. π (e est ue foctio croissate de l effort avec taux margial décroissat. lus l effort fouri par l etrepreeur est élevé plus le iveau de profit augmetera. La foctio π (e est cotiue strictemet croissate dérivable et cocave. L etrepreeur est eutre au risque, si o s il était averse au risque il optera pour u salaire fixe (u poste de travail. Cette hypothèse implique que la foctio d utilité de l etrepreeur déped de ce qu il va recevoir comme reveu et de ce qu il va fourir comme effort. L uivers d aalyse de la productio est certai il existe ue relatio positive etre l effort et l output. Notre aalyse est axée sur le iveau d effort et o pas sur le partage des risques. π '( e 0 π ''( e 0 π (e 0 0 ( A partir du momet où l etrepreeur sige le cotrat et s accorde avec la baque sur le taux de partage, so soucis sera de maximiser so utilité compte teue de so iveau d effort fourie (e : Max ( e ( π ( e a e (2 Avec ( π ( e la part de l etrepreeur das le profit et réalisé π (e 20 Global Jourals Ic. (US

10 et a la désutilité margial de l effort qui est supposé être costate. La maximisatio de l utilité de l etrepreeur est doée par les coditios du premier ordre : ( T ppp a π '( e a 0 π '( e (3 ( T La baque islamique s itéresse égalemet à sa part de reveu so problème est comme suit : Max ( π ( e (4 ( e Cela doe e coditio de premier ordre : ( π '( e 0 π '( e 0 (5 π (e O ppp Toutefois, le iveau de l optimum social est maximisé ue fois le taux de reveu margial égalise le coût margial (coûts de désutilité : π ( e a e (6 Max ( e Cela doe Figure 02 : Niveau d effort, icitatio et profit a ete Les problèmes d agece et d asymétrie d iformatio e sot pas sesés être se posés das u cotexte de fiacemet islamique qui se base sur des covictios morales et religieuses des diverses parties preates 8 dot chacue d etre elles traite les autres parties avec sicérité et loyauté, aime pour eux ce qu elle aime pour elle-même. La cocrétisatio de ces covictios morales et religieuses miimisera les coûts de trasactios. Mais le problème est que les valeurs éthiques et religieuses e sot pas toujours au redez 8 Les parties preates Stakeholders e doivet pas être forcémet des Musulmas. Le fait que le o-musulma e partage pas la même foi que le musulma e sigifie pas que le musulma doit être méprisable vis-à-vis de lui, bie au cotraire, il doit bie se comporter evers lui équitablemet tat par la parole que par l acte. L équité est la base des divers rapports avec les o musulmas. ete a π '( e a 0 π '( e a (7 Cela implique que l etrepreeur maximisera so utilité e égalisat so coût margial de désutilité à so reveu margial et o au reveu margial social. Cela sigifie que l etrepreeur e va pas fourir le iveau optimum d effort pour parveir au iveau de l optimum social de reveu. Cela peut être illustré das la figure suivate : ete 0 * e e e2 vous et même leurs applicatios et leurs compréhesios e sot pas homogèes. ii. Moucharaka (Capital ivestissemet : participatio e joit-veture ou copropriété La moucharaka (parteariat actif est u cotrat etre deux parties (ou plus pour le fiacemet d u projet dot les pertes ou les profits sot distribués au prorata des cotributios respectives au capital. Ce cotrat est basé sur la moralité du cliet, la relatio de cofiace et la retabilité du projet ou de l activité fiacée. La clé de partage des profits ou des pertes est détermiée au momet de la sigature du cotrat. Aisi le taux de partage peut être fixé soit sur la base de égociatio et de cosetemet mutuel (thèse de e Global Joural of Maagemet ad Busiess Research Volume XI Issue XI Versio I November Global Jourals Ic. (US

11 Global Joural of Maagemet ad Busiess Research Volume XI Issue XI Versio I November 20 0 l école Habalite et Haafite 9, soit sur la base de la mise de chacue des parties cotractates (thèse de l école Malikite et Chaféite 20. as u motage Moucharaka, la baque islamique et l etrepreeur cotribuet tous deux, à différets degrés au capital écessaire au démarrage d'ue activité. La cotributio au capital peut se faire soit par apport e uméraire ou/et e ature. Ce cotrat cofère à chacu des associés le droit d'admiistrer les affaires de la société, aisi que le droit de participer aux bééfices ou aux pertes proportioellemet à leurs apports. Les parties cotractates assumet cojoitemet les risques. La moucharaka peut être pratiquée par les baques islamiques das le ses cliet déposat baque islamique ou bie das le ses baque islamique- cliet La baque islamique Cliet art des profits ou des pertes Avace ue partie du fiacemet Avace ue partie du fiacemet art des profits ou des pertes 9 Il existe pricipalemet quatre écoles juridiques islamiques faisat autorité pour détermier ce qui est ou est pas coforme à la Charia. L école Haafite et Habalite sot plutôt coservatrice ils prévalet essetiellemet au moye oriet pays de golf. 20 L école Chaféite prévaut das les pays sud est asiatique et l école Malikite prévaut e Afrique du ord. Ces deux écoles sot plutôt libérales. Figure 03 : Le fiacemet par Moucharaka ool de Fods Il y a pas ue forme uique de moucharaka mais plutôt plusieurs variates et de ouvelles modalités pourraiet être imagiées. Les classificatios peuvet être faites par exemple selo les degrés de participatio au capital et ous pouvos distiguer à ce iveau deux cas. Le premier cas est celui où toutes les parties associées cotribuet iitialemet avec les mêmes proportios, et jouisset des mêmes privilèges, et reçoivet (assumet la même part das les profits (pertes. Le secod cas est celui où les parties associées cotribuet différemmet au capital écessaire pour etrepredre le projet. ar coséquet, leurs droits et leurs parts das le bééfice serot égalemet différets. etrepreeur. ue part, das le cadre de la relatio cliet déposat - baque islamique qui est régie par u cotrat moucharaka, le cliet participe au résultat de la baque islamique et e reçoit ue partie e foctio du motat qu il a avacé. autre part, la relatio etre baque islamique et cliet etrepreeur, et qui est régit par u cotrat du type moucharaka, vise essetiellemet à fiacier u projet d ivestissemet jugé retable et compatible aux pricipes de la fiace islamique. Les fods aisi écessaires fot l objet d u apport des deux parties cotractates qui serot solidaires e cas de perte et partagerot les profits si l issue de cet ivestissemet est u gai. Ivestissemet e capital Résultat rojet d ivestissemet L egagemet des fods sous u cotrat de moucharaka, pred trois aspects différets : Ue participatio permaete au capital des etreprises. Ue participatio dégressive au capital des etreprises. Ue participatio temporaire das ue opératio détermiée. a. articipatio permaete au capital des etreprises Cette participatio peut predre plusieurs formes : la participatio d ue baque das le capital d ue etreprise e cours de créatio ou ecore ue société déjà existate. Aisi, ue société e participatio se forme etre la baque et le propriétaire de l etreprise. La participatio de la baque au fiacemet du projet de faço durable lui permet de recevoir régulièremet ue part des bééfices e sa qualité d associé copropriétaire. Il s agit e l occurrece pour la baque d u emploi à moye ou log terme de 20 Global Jourals Ic. (US

12 ses ressources stables (fods propres, dépôts participatifs affectés et o affectés... L apport de la baque peut revêtir la forme d ue prise de participatio das des sociétés déjà existates, d u cocours à l augmetatio de leur capital social ou la cotributio das la formatio du capital de sociétés ouvelles (achat ou souscriptio d actios ou de parts sociales. Ce type de Moucharaka correspod das les pratiques bacaires classiques aux placemets stables que les baques effectuet pour aider à la costitutio d etreprises ou tout simplemet pour la prise de participatio das des etreprises existates. b. articipatio dégressive au capital des etreprises La Moucharaka décroissate est ue variate de la Moucharaka. Il s agit d ue techique pour laquelle la participatio iitiale du fiacier das le projet d ivestissemet à base de Moucharaka dimiue au fur et à mesure que sa part de cotributio das la Moucharaka est trasférée à la société et que so ivestissemet iitial est remboursé, aisi que la rémuératio évetuelle y afférete. La baque islamique Achat des parts Moucharaka Cessio de Moucharaka Cliet s parts Figure 04 : Le fiacemet par Moucharaka dégressive art des profits ou des pertes vace ue partie du fiacemet Avace ue partie du fiacemet art des profits ou des pertes ool de Fods Modélisatio de la participatio dégressive et acquisitio du capital par l etrepreeur e fi de période Soit C le capital écessaire pour etrepredre le projet C E B : cotributio de l etrepreeur au Capital C BI K N*B cotributio de la baque islamique au Capital. Avec N : coefficiet de proportioalité de K par rapport à B, N >. C C E + C BI C (N + B Nous cosidéros l hypothèse de réivestissemet des profits avec deux cas :. Le projet rapporte u reveu costat périodiquemet auel. as ce cadre, la baque islamique participe au fiacemet d u projet ou d ue opératio avec l itetio de se retirer progressivemet du projet. Le cotrat de fiacemet Moucharaka par participatio dégressive, doe la possibilité pour les associés de récupérer la totalité du capital e remboursat la quotepart de la baque progressivemet par cessio d ue partie ou de la totalité de leurs dividedes sur ue période détermiée. La baque vedra à terme ses parts das le capital à l etrepreeur et se retirera défiitivemet du projet. Ce type de cotrat de fiacemet avec associatio par participatio dégressive, stipule ue vete graduelle de la part de la baque à l etrepreeur. Ce derier peut régler le prix de ces parts, e cédat soit ue partie de so bééfice, soit la totalité de celuici. Ivestissemet e capital Résultat rojet d ivestissemet 2. Le projet rapporte u reveu variable d ue aée à ue autre. remier cas 2 : Soit le profit de la période : aée. Et supposos que la partie du profit reveat à l etrepreeur est proportioelle à sa part déteue das le capital. remière aée : la partie du capital déteu par l etrepreeur est : B C E 2 Boualem Bedjilali & Tariqullah Kha Ecoomics Of imiishig Musharakah [Research aper No:3] First editio H Islamic Research ad Traiig Istitute, Islamic evelopmet Bak. Jeddah - Saudi Arabia. Global Joural of Maagemet ad Busiess Research Volume XI Issue XI Versio I November Global Jourals Ic. (US

13 Global Joural of Maagemet ad Busiess Research Volume XI Issue XI Versio I November 20 2 La partie du profit à la dispositio de l etrepreeur R N + euxième aée : la partie du capital déteu par l etrepreeur est : : C 2 B + B(+ E N + ( N + B La partie du profit à la dispositio de l etrepreeur : R2 (+ N + ( N + B Troisième aée : la partie du capital déteu par l etrepreeur est : : C 3 B(+ + (+ E ( N + B N + ( N + B ( B + (+ N + ( N + B 2 B (+ ( N + B La partie du profit à la dispositio de l etrepreeur : 2 R3 (+ N + ( N + B e faço géérale ous pouvos écrire : la partie du profit à la dispositio de l etrepreeur à la période j s écrit sous la forme suivate : j R j + ( N + ( N + B Nous supposos que la part de l etrepreeur das le profit total est etièremet réivestit das le projet sous forme d acquisitio d ue partie du capital se matérialisat e actios de so parteaire à savoir la baque. O ote CEj la cotributio de l etrepreeur au capital à la période j- et R j la part de l etrepreeur das le profit qui sera réivesti à la période j. La cotributio totale de l etrepreeur au capital C à la période j : C Ej C Ej + R j C Ej C Ej 2 + R j 2 Ce qui fait : C E B j C C + R (2 avec E E j Comme la part de l etrepreeur das le profit total augmete et celle de la baque dimiue chaque aée, cela reseige sur u chagemet das la structure de propriété. Lorsque le projet appartiedra e totalité à l etrepreeur à la période j sa part de profit égalisera la totalité du profit dégagé par le projet. E d autre terme ous devros avoir l égalité suivate : j + R j N + ( N + B j + + ( N N + B ( j log + log ( N + ( N + B log ( N + j log + ( N + B ( (3 L équatio (3 reseige sur le temps écessaire pour l etrepreeur afi de racheter la totalité du projet. E d autre terme lorsque augmete le temps écessaire pour que le projet appartiee e totalité à l etrepreeur dimiue. E dérivat (3 par rapport à : ( j log ( N B ( N + log + ( N + B (4 Le sige égatif de l équatio (4 illustre la relatio iverse etre la période j et le iveau de profit. euxième cas 22 : Le projet rapporte u reveu variable d ue aée à ue autre. Soit 2 3 j. le profit de la période aée. Et supposos que la partie du profit reveat à l etrepreeur est proportioelle à sa part déteue das le capital. remière aée : la partie du capital déteu par l etrepreeur est : C E B La partie du profit à la dispositio de l etrepreeur : R N + 22 Extesio du premier cas, otre propre travail. 20 Global Jourals Ic. (US

14 euxième aée : la partie du capital déteu par l etrepreeur est : C 2 B + B(+ E N + ( N + B La partie du profit à la dispositio de l etrepreeur : 2 R2 (+ N + ( N + B Troisième aée : la partie du capital déteu par l etrepreeur est : C 2 3 B(+ + (+ E ( N + B N + ( N + B Quatrième aée : la partie du capital déteu par l etrepreeur est : C E 4 R 4 2 B (+ ( + + ( N + B B( N (+ ( + (+ + N ( N + B B( N + ( N + B e faço géérale ous pouvos écrire : la partie du profit à la dispositio de l etrepreeur à la période j s écrit sous la forme suivate : j j i ( + N + ( N + B R j ( i Nous supposos que la part de l etrepreeur das le profit total est etièremet réivestit das le projet sous forme d acquisitio d ue partie du capital se matérialisat e actios de so parteaire à savoir la baque. O ote CEj la cotributio de l etrepreeur au capital à la période j- et R j la part de l etrepreeur das le profit qui sera réivesti à la période j. La cotributio totale de l etrepreeur au capital C à la période j : C + Ej CEj R j C C R Ej Ej 2 + j 2 Ce qui fait : C E B j C E CE + R j (2 avec Lorsque le projet appartiedra e totalité à l etrepreeur à la période j sa part de profit égalisera la totalité du profit dégagé par le projet. E d autre terme ous devros avoir l égalité suivate : + 2 B ( + (+ ( N + B B( N + ( N + B + 2 B ( ( + ( N + B B( N + La partie du profit à la dispositio de l etrepreeur : R (+ ( + N + ( N + B B( N (+ ( + N + ( N + B B( N + j j i ( + R j N + i ( + N B j j j i ( + N + i ( N + B e ce qui précède, le iveau du profit gééré par le projet d ivestissemet coditioe la cotributio de l etrepreeur das le capital. Ce qui l icite à augmeter so iveau d effort et par coséquet so iveau de productivité et de profit afi de disposer de la totalité du capital das le cadre du cotrat de fiacemet participatif dégressif et qui se présete comme u moye icitatif afi de résoudre les problèmes d agece recotré lors des cotrats participatifs moucharaka e impliquat l etrepreeur das le projet via les part de capital. Global Joural of Maagemet ad Busiess Research Volume XI Issue XI Versio I November Global Jourals Ic. (US

15 Figure 05 : lace des comptes participatifs das le processus d itermédiatio bacaire islamique Global Joural of Maagemet ad Busiess Research Volume XI Issue XI Versio I November 20 4 Sources de fods Allocatio de fods istributio des profits Capitaux propres Reveus des actioaires rojet d ivestissemet La rémuératio de la baque, loi de costituer ue charge fiacière fixe, elle est ue cotributio variable directemet liée au résultat d exploitatio. E cas de résultat déficitaire, o seulemet la baque e peut prétedre à ue quelcoque rémuératio, mais elle est égalemet teue d assumer sa quote-part das la perte e sa qualité d associé. ar coséquet ue importace majeure est accordée à l étude des risques et de la retabilité des projets et opératios objet de ce type de fiacemet. iii. Les baques islamiques et les modes de fiacemet participatifs La pratique bacaire islamique révèle la o popularité des cotrats de fiacemet de type Moudaraba et que les modes de fiacemet o participatifs (Mourabaha, Ijara, Salam, Ist isaa sot plus répadus au détrimet des modes participatif. Cela est du essetiellemet aux problèmes d hasard moral qui etachet ce type de cotrat. ar coséquet le succès de mode de fiacemet participatif dépedra e grade partie de la résolutio des problèmes d asymétrie iformatioelle qui y sot associés. Ce qui écessite la prise e cosidératio das les termes cotractuels des mesures icitatives. L itermédiatio fiacière reforce l efficiece du processus d éparge/ivestissemet grâce à la réductio des coûts de trasactio et à l élimiatio des icompatibilités das les besois des agets à surplus + rojet d ivestissemet rofit Equalizatio Reserves (ER Frais et commissios Capitaux d ivestissemet participatifs ( Ivestmet Risk Reserves (IRR éposats titulaires des comptes d ivestissemet participatifs et ceux à déficit de fiacemet das ue écoomie. u momet que les épargats et les ivestisseurs sot souvet des agets différets, les us ot besoi d u volume importat d iformatios sur les autres. e telles iformatios e sot pas gratuites. ar suite, le processus d achemiemet des fods des épargats vers les ivestisseurs implique des coûts de trasactio. e plus, compte teu de l asymétrie iformatioelle, ce processus soulève des questios de sélectio adverse et de risque moral. Les itermédiaires fiaciers peuvet bééficier d écoomies d échelle et réduire aisi les coûts de trasactios das le trasfert des fods des agets excédetaires à ceux déficitaires. Egalemet, ils sot bie placés pour faire face aux problèmes découlat de l asymétrie de l iformatio. Il existe ue grade différece etre u cotrat de fiacemet de type participatif et u cotrat de fiacemet par dette classique. Les baques islamiques dépasset l itermédiatio fiacière pure das so ses traditioel et preet des participatios directes das des projets d ivestissemet via le taux de partage des profits ou des pertes. Commet elles arrivet à surmoter et dépasser les problèmes icitatifs? Cotrat Moudaraba et relatio ricipal Aget La théorie de l agece et des icitatios s est essetiellemet développée au cours des aées soixate-dix, avec les travaux de Ross (973 et Jese et Mecklig (976. Elle s itéresse à la relatio d agece qui s établit etre u pricipal (madat et u 20 Global Jourals Ic. (US

16 aget (madataire. Cette théorie eglobe toute relatio cotractuelle, même implicite etre deux parties, telle que la situatio de l ue dépede de l actio de l autre. ar sa ature, le cotrat de Moudaraba précoise la séparatio etre propriété et décisio. Il régule des situatios où les actios et l'effort fouri par l'etrepreeur affectet le bie-être de la baque et das u secod tour le cliet déposat (déteteur de compte d ivestissemet. ar coséquet le cotexte de ricipal Aget s avère adéquat pour aalyser les particularités de ce type de cotrat. u poit de vue pratique, les problèmes d'asymétrie d'iformatio et les problèmes de ricipal Aget s iterfèret. La partie iitiative est celle qui cherche à réduire cette asymétrie e evisageat certaies mesures das otre cas la baque islamique. E effet, das le cotrat de Moudaraba la baque agit comme le ricipal du momet qu elle fourisse les fods à l etrepreeur qui agit à so tour comme aget e possédat aucue part das le projet. Il fourit uiquemet so effort et so savoir faire écessaires pour le bo déroulemet du projet. Le reveu issu du projet d ivestissemet sera partagé etre les deux parties selo T ppp : Taux de partage des profits ou des pertes. Ce est pas toujours possible pour la baque islamique de cotrôler et vérifier parfaitemet (sas egager des coûts élevés les actios de l etrepreeur ue fois le cotrat est sigé. Cela e fait que favoriser les coflits d itérêts etre les deux parties. lus précisémet, das le cadre du cotrat Moudaraba u etrepreeur malhoête peut être icité via des mauvais comportemets à distordre la réalité et déclarer aisi u iveau moidre de profit pour se procurer la part la plus grade des gais. Egalemet ce qui peut aggrave les problèmes d asymétrie d iformatio das le cadre des cotrats participatifs de types Moudaraba ous pouvos citer: La o exigece de garaties das certaies opératios de fiacemet islamiques tel que la Moudaraba et la Moucharaka risque d aggraver les problèmes d ageces. L icapacité des baques islamiques de cotrôler ou de forcer l etrepreeur à se coformer à certaies covictios ou à etrepredre certaies actios postcotractuelles icite ce derier à e pas fourir le iveau optimal d effort. L obligatio icombat aux baques islamiques de supporter certaies charges ihéretes à l échec des projets fiacés e mode participatif. E effet, ces cotrats participatifs (Moudaraba, Moucharaka sot relativemet risqués avec la difficulté pratique que recotre la baque pour cotrôler et superviser u ombre assez élevé de projets fiacés selo le mode participatif. ar exemple das le cadre du cotrat Moudaraba l aget (cliet etrepreeur peut être ameé à augmeter les charges au-delà du iveau écessaire permettat la maximisatio du profit du momet qu il aura à partager les profits ou les pertes avec la baque. E cas de perte, c est la baque qui supportera la totalité des coûts ce qui peut doer lieu à u problème d agece. our le cliet etrepreeur, le fiacemet participatif sous la forme Moudaraba est mois risqué que le fiacemet bacaire classique (emprut bacaire qui écessite, e cas de perte le remboursemet des motats fixes. u fait que la majorité des baques islamiques opèret das u système bacaire et fiacier covetioel et sous l effet de la cocurrece, les problèmes d ageces peuvet meer à la cocetratio des mauvais risques du côté des baques islamiques. our éviter de telles situatios, les baques islamiques sot ivitées à effectuer des évaluatios rigoureuses et supplémetaires écessitat u volume d iformatio assez élevé ce qui iduit forcémet l egagemet des coûts d itermédiatios plus élevés que ceux des baques covetioelles et ayat pour sources les coûts de cotrôle. Aisi, la viabilité et la profitabilité de chaque projet doivet être évaluées séparémet avat même la égociatio du taux de partage des profits ou des pertes. Sélectio adverse as le cas où l'iformatio est cachée, le type ou la caractéristique de l'etrepreeur 'est pas parfaitemet idetifiable par le créacier, à savoir la baque islamique, alors cette derière doit mettre e place des techiques de prévetio cotre les effets éfastes de la sélectio adverse. E effet la baque islamique (le pricipal peut offrir des cotrats qui séparet les différetes sortes d'etrepreeurs (agets. L'itetio est de former u meu de cotrats différets, où chacu des etrepreeurs (agets choisira volotairemet le cotrat qui lui coviet et désigé par la baque islamique. Aisi, et selo le cotrat choisi, la baque islamique (le pricipal sera capable de cerer les caractéristiques de l'aget. E procédat aisi la baque islamique a mis e place u modèle appelé de discrimiatio (screeig. Les baques islamiques disposet de la variable taux de partage des profits ou des pertes pour distiguer les bos (faible risque des mauvais (risque élevé ivestisseurs. Aisi la baque peut offrir aux ivestisseurs ayat u faible risque et de bos reveus u ratio de partage élevé. 2 Hasard moral as le cadre où l'actio est cachée, la baque islamique cherche à miimiser les coséqueces de l'aléa moral. E effet la baque islamique (le pricipal Global Joural of Maagemet ad Busiess Research Volume XI Issue XI Versio I November Global Jourals Ic. (US

17 Global Joural of Maagemet ad Busiess Research Volume XI Issue XI Versio I November 20 6 coçoit des cotrats qui icitet l'etrepreeur (aget à offrir u iveau d effort optimal et effectuer des actes plus avatageux vis à vis de lui. L existece de problèmes de hasard moral das les modes de fiacemet participatifs est l u des facteurs les plus importats etravat la popularité de ces modes. E effet, le problème de hasard moral caractérise deux situatios, d'ue part si deux agets s'accordet sur u cotrat mais que l'u d etre eux etrepred esuite ue actio qui 'est pas observée par l'autre aget, ous avos affaire à u problème de hasard moral actio cachée. as ce cas, u aget peut profiter de sa situatio pour meer des actios qui augmetet so bie être au détrimet du bie être de l'autre. 'autre part, si deux agets s'accordet sur u cotrat mais que, par la suite, il se produit u état de la ature observé par l'u des agets mais pas par l'autre, c est le problème de hasard moral avec coaissace cachée. L'aget peut e effet e pas révéler la véritable réalisatio de l'état de la ature et tirer profit de la situatio au déped de l'autre. oc le comportemet et l'attitude de l'empruteur après l'etrée e vigueur du cotrat peuvet totalemet déséquilibrer les termes du dit cotrat, o est e présece du risque moral. Commet la baque islamique doit procéder afi de réduire voir même élimier les coséqueces égatives issues des problèmes iformatioels? Le cotrat Moudaraba attire u grad ombre d etrepreeurs avec des richesses limitées vu la o exigece de garaties. lusieurs projets présetat des retabilités faibles et des risques élevés serot proposés à la baque islamique. Supposos qu u etrepreeur dispose de deux projets ayat le même iveau de retabilité attedue mais avec des degrés de risque différets. Le projet A a u degré de risque acceptable alors que le projet B tout e ayat le même taux de retabilité futur se caractérise par u degré de risque plus élevé. Il est pas évidet pour la baque islamique de caractériser avec précisio les deux propositios A et B e terme de couple retabilité risque. as u système bacaire dual où cohabitet les baques islamiques et les baques covetioelles, l etrepreeur 23 choisira de fiacier le projet A par u cotrat de dette auprès d ue baque covetioelle et réalise aisi ue part de gai élevée. Alors que pour le projet B il préférera le fiacier auprès d ue baque islamique via u cotrat de Moudaraba pour que, e cas de faillite la baque islamique supporte les pertes. ar coséquet, la o exigece des garaties das le cadre de fiacemet par Moudaraba favorise la cocetratio des etrepreeurs à risque élevé. as ce cotexte à quel mécaisme la baque islamique aura 23 Etrepreeur ratioel qui est pas véhiculé uiquemet par des motifs religieux ou éthique ; ses critères de choix sot puremet écoomiques. recours pour surmoter le problème de sélectio adverse? Autremet dit, commet la baque islamique arrive à discrimier etre les projets à risque élevé et les projets à faible risque? E absece de garatie la baque islamique peut procéder au ratioemet de l offre des fods 24 pour résoudre le problème de sélectio adverse. as le processus de ratioemet, la baque islamique doit employer ue variété de techique de discrimiatio (screeig afi d idetifier les crédibilités et les expérieces des etrepreeurs. La première étape etreprise par la baque islamique et qui vise la réductio des problèmes de sélectio adverse cosiste à sélectioer les etrepreeurs e les classifiat e deux catégories : Ceux qui ot déjà eu des relatios et des expérieces réussites avec les baques. Et les ouveaux. E comparat les deux groupes, le premier peut être cosidéré comme état le mois risqué vu que les iformatios cocerat leurs habilités, leurs crédibilités et leurs réputatios peuvet être obteues à u iveau de coûts acceptable à partir de leurs historiques. Le fiacemet des projets proposés par les ouveaux etrepreeurs peut alimeter les problèmes de sélectio adverses du momet que les iformatios qui les coceret sot rares et o dispoibles ou plus coûteux. Ayat déjà distigué les etrepreeurs expérimetés de ceux qui e le sot pas et ayat estimé leurs crédibilités, la baque islamique doera la priorité aux projets selo leurs iveaux de retabilité attedue et leurs degrés de risques. Afi de se protéger cotre les etrepreeurs malhoêtes, la baque islamique procède à la surestimatio du degré du risque associé à chaque projet de fiacemet et comme compesatio de cela, elle choisira les projets avec les taux de retabilité les plus élevés. Toutefois, le taux de retabilité élevé recherché par la baque islamique sigifie que les projets ayat des taux de retabilité futurs relativemet faibles associés à des faibles degrés de risque serot jugés comme o profitables et par coséquet e serot pas reteus par la baque islamique. Chaque fois que la baque accepte u projet à des taux de retabilité élevés u autre projet risqué sera attiré et sera élimié u projet à moidre risque. Afi de miimiser la possibilité de s egager das le fiacemet des projets à risque élevé et pour parveir 24 ar aalogie au cocept de ratioemet des crédits. Stiglitz, J. et A. Weiss [98]: Credit Ratioig i Markets with Imperfect Iformatio America Ecoomic Review 7, Jaffee,. ad T. Russell (976, Imperfect Iformatio ad Credit Ratioig. Quarterly Joural of Ecoomics, vol Global Jourals Ic. (US

18 à la réductio des coûts d iformatio associés à l idetificatio des caractéristiques de chaque projet, la baque va accorder e premier lieu les fiacemets aux projets qui sot similaires à ceux déjà fiacés et réussis. as ce ses le champ d itervetio de la baque islamique sera limité et elle se trouvera cocetré sur u secteur d activité uique. ar coséquet la baque e parviet pas écessairemet à l optimum de l allocatio des fods et arrive pas à promouvoir les ouveaux etrepreeurs et risque de se priver d opportuités de gais. Même si la baque islamique parviet à idetifier le couple retabilité risque des projets qu elle souhaite fiacier, la ature participatif du cotrat Moudaraba peut doer aissace a des problèmes de hasard moral tel que les problèmes icitatifs d effort (iveau d effort à fourir et les problèmes d agece. IV. CONCLUSION Ue des caractéristiques de base qui distigue les baques islamiques des baques covetioelles est que le rapport cotractuel des baques islamiques avec les déteteurs de comptes d'ivestissemet e stipule aucu reveu prédétermié sur le motat iitial du fiacemet de l ivestissemet. as ce rapport cotractuel le capital iitial est pas garati mais u pourcetage des bééfices qui se réaliserot sur l ivestissemet de ces fods est fixé ex-ate. L itermédiatio fiacière islamique s efforce de remplacer l itérêt par d autres modes et istrumets aussi bie pour mobiliser les éparges que pour les allouer à des emplois productifs. Les baques islamiques appréhedet doc la fiace d'u poit de vue fortemet éthique. Leurs dirigeats doivet faire preuve d'u comportemet hoête, sicère, et respectat les préceptes de la religio. Le fait que la loi islamique iterdise de verser ou de toucher les itérêts implique pas qu elle défavorise et igore la réalisatio des gais ou ecourage le retour à ue écoomie fodée uiquemet sur les espèces ou le troc. Elles icitet toutes les parties à partager le risque et le bééfice ou à la limite la perte évetuelle ihérete à l ivestissemet. Nous pouvos comparer les déposats des baques islamiques à des ivestisseurs ou actioaires, qui reçoivet des dividedes quad la baque fait u bééfice ou perdet ue partie de leurs écoomies quad elle subit ue perte. Le pricipe cosiste à lier le redemet du cotrat islamique à la productivité et à la qualité du projet, pour assurer ue répartitio plus équitable de la richesse. Comme le pricipe du rejet du prêt à itérêt est ue caractéristique fodametale du système bacaire islamique, il a fallu doc développer de ouveaux istrumets de crédit permettat aux baques islamique de remplir coveablemet leur rôle d itermédiaire tout e respectat les prescriptios islamiques. E tat que mécaisme d allocatio de ressources, le taux d itérêt qui est prohibé, a été remplacé par le taux de redemet sur des activités réelles. A cet effet, u esemble de techiques et d istrumets, basés sur le partage des risques et des profits a été développé das le cadre de ce système. as le cadre de ce travail ous avos aalysés essetiellemet les cotrats de fiacemet participatifs à savoir la moudaraba et la moucharaka. as u cotexte cocurretiel, la baque islamique fixe les iveaux des taux de partage des profits ou des pertes des cotrats de fiacemet moudaraba de faço à être compétitive et gage au mois ce que gage ue baque covetioelle. La baque islamique procède à ue étude rigoureuse du projet à fiacier et proposé par l etrepreeur puisqu il est das l itérêt de ce derier de favoriser les aticipatios les plus optimistes même e sachat que le profit qu il réalisera sera iférieur au iveau déclaré à la baque islamique lors de la demade de fiacemet. Notre aalyse du mode de fiacemet par moucharaka dégressive, le iveau du profit gééré par le projet d ivestissemet coditioe la cotributio de l etrepreeur das le capital. Ce qui l icite à augmeter so iveau d effort et par coséquet so iveau de productivité et de profit afi de disposer de la totalité du capital das le cadre du cotrat de fiacemet participatif dégressif et qui se présete comme u moye icitatif afi de résoudre les problèmes d agece recotré lors des cotrats participatifs moucharaka e impliquat l etrepreeur das le projet via les part de capital. L emploi des techiques de fiacemet basé sur le partage des profits ou des pertes du coté de l actif ou du coté du passif a des implicatios importates se rattachat à la stabilité et la gestio de la baque islamique. La réactio des cliets déposats face à des faibles rémuératios de leurs dépôts ou le cas échéat la dégradatio du pricipal de leurs dépôts, peut aller jusqu à u retrait massifs des fods cela agit comme u outil discipliaire qui puit les iefficieces d ue telle ou telle baque islamique ar ailleurs, e théorie, les cotrats participatifs du type moucharaka permettet de réduire les coûts d agece pour l ivestisseur fial e favorisat le mécaisme de cotrôle itere du fait que le reveu de l etrepreeur déped directemet du redemet de so projet d ivestissemet, ce qui l icite à fourir u effort élevé et gérer au mieux les fods qui lui sot cofiés. Aisi das le cadre des cotrats participatifs, l accet est mis o pas uiquemet sur la solvabilité globale de l empruteur mais égalemet sur le potetiel écoomique (la retabilité du projet d ivestissemet à fiacier. Sur le pla pratique, u costat peut être souligé cocerat l emploi des cotrats Moudaraba et Moucharaka, la plus part des baques islamiques utiliset le cotrat Moudaraba pour rémuérer les déposats c'est-à-dire das le ses cliets déposat- 20 Global Jourals Ic. (US Global Joural of Maagemet ad Busiess Research Volume XI Issue XI Versio I November 20 7

19 Global Joural of Maagemet ad Busiess Research Volume XI Issue XI Versio I November 20 8 baque islamique. Tadis qu elles favoriset l emploi du cotrat mouchrakah pour fiacier les cliets etrepreeurs das le ses baque islamique- cliet etrepreeur. REFERENCES RÉFÉRENCES REFERENCIAS. Aouar Hassoue V-Seior Credit Officer aris, Khaled Howaladar V-Seior Credit Officer ubai Iteratioal Fiacial Cetre, April 2008 Islamic Baks ad Sukuk: Growig Fast, but Still Fragmeted pp3 Ratig Methodology Report Number: 0833 Moody s Global Bakig 2. Aouar Hassoue V-Seior Credit Officer aris Moody s Global Credit Research: Risk Issues at Islamic Fiacial Istitutios Special Commets Jauary Aouar Hassoue (2003, «La Solvabilité es Baques Islamiques: Forces et Faiblesses», Revue d Ecoomie Fiacière º Aouar Hassoue V-Seior Credit Officer aris, Khaled Howaladar V-Seior Credit Officer ubai Iteratioal Fiacial Cetre, Moody s Global Credit Research: The Beefits of Ratigs for Islamic Fiacial Istitutios ad What They Address Special Commet February Boualem Bedjilali & Tariqullah Kha Ecoomics Of imiishig Musharakah [Research aper No:3] First editio H Islamic Research ad Traiig Istitute, Islamic evelopmet Bak. Jeddah -Saudi Arabia. 6. Chog B. S., Liu M.H., (2009, Islamic Bakig: iterest free or iterest based?, acific Basi Fiace Joural, N 7, pp hareer, Siddiq al- (997, Al-Gharar i Cotracts ad its Effects o Cotemporary Trasactios, Jeddah: Islamic Research ad Traiig Istitute. 8. El-Gamal, M. (200. A Ecoomic Explicatio of the rohibitio of Gharar i Classical Islamic Jurisprudece, Islamic Ecoomic Studies, 8(2. 9. Era Rachmawati, Ekki Syamsulhakim, [2004], Factors Affectig Mudaraba eposits i Idoesia, Workig apers i Ecoomics ad evelopmet Studies (WoES, , epartmet of Ecoomics, adjadjara Uiversity, revised Aug Fouad Adbelmouim Ahmed [2002]. La politique législative islamique ses rapports avec le développemet écoomique et ses applicatios cotemporaies. Istitut Islamique de Recherche et de Formatio N 24 ére éditio 2002 ISBN Haro, S., Shamugam, B. (995, The Effects of Rates of rofit o Islamic Bak s eposits: A Note, Joural of Islamic Bakig ad Fiace, 2 (2, pp Haro, S., Norafifah, A (2000, The effet of covetioal iterest rates ad rate of profit o fuds deposited with islamic bakig system i Malaysia, Iteratioal Joural for Islamic Fiacial Sercvices, (4. 3. Heie va Greuig ad Zamir Iqbal [2008] Risk Aalysis for Islamic Baks The World Bak Washigto,.C.The Iteratioal Bak for Recostructio ad evelopmet / The World Bak 88 H Street NW Marcus. 4. Jese, M. W, Mecklig [976] : Theory of the Firm: Maagerial Behavior, Agecy Costs ad Owership Structure Joural of Fiacial Ecoomics 3, Kaleem. A., Masor. Md Isa (2003, Causality relatioship betwee Islamic ad covetioal bakig istrumets i Malaysia, Iteratioal Joural of Islamic Fiacial Services, 4(4. 6. Marti Čihák ad Heiko Hesse [2008] Islamic Baks ad Fiacial Stability: A Empirical Aalysis. IMF Workig paper Moetary ad Capital Markets epartmet W/ 08/ Washigto C Telephoe: Iteret: 8. Nolad [2005] Religio ad Ecoomic erformace World evelopmet Vol. 33, No. 8, pp , 2005 ublished by Elsevier. 9. Stiglitz, J. et A. Weiss [98]: Credit Ratioig i Markets with Imperfect Iformatio America Ecoomic Review 7, Jaffee,. ad T. Russell (976, Imperfect Iformatio ad Credit Ratioig. Quarterly Joural of Ecoomics, vol Global Jourals Ic. (US

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