Comportements de santé des étudiants de première année inscrits dans les universités de la région Provence-Alpes- Côte d Azur

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1 N RepèreSnté est le bulletin sur l snté de l popultion régionle qui présente les données cquises dns le cdre du réseu prtenril de l Observtoire régionl de l snté Provence-Alpes-Côte d Azur. SANTE ETUDIANTS Comportements de snté des étudints de première nnée inscrits dns les universités de l région Provence-Alpes- Côte d Azur L E S S E N T I E L L Observtoire régionl de l snté Provence-Alpes- Côte d Azur rélisé, à l inititive du Conseil Régionl, un Bromètre sur les conditions de vie et l snté des étudints de notre région. En Provence-Alpes-Côte d Azur, 25 % des étudints en première nnée d université fument quotidiennement. Les consommtions régulières d lcool et de cnnbis sont moins fréquentes, mis 31 % des grçons et 17 % des fi lles déclrent une ivresse u moins une fois dns le mois précédnt l enquête. Les hbitudes limentires des étudints s écrtent des recommndtions du progrmme ntionl nutrition snté : moins d un étudint sur 6 déclre consommer quotidiennement u moins 5 fruits ou légumes. L migreur est plus fréquente chez les étudintes (16 %) que chez les étudints (6 %). Elle constitue une lerte sur l possibilité de troubles de l limenttion. Enfi n, 14 % des grçons sont en surpoids ou obèses (9 % chez les fi lles). Actuellement, les prtiques sexuelles à risque persistent, voire reprennent : chez les étudints ynt des prtenires sexuels occsionnels, 19 % des grçons et 31 % des fi lles n utilisent ps le préservtif systémtiquement ; 3 % des étudintes ont eu recours à une interruption volontire de grossesse u cours de leur vie. Enfi n, 26 % des étudints exprime une souffrnce psychologique : ceux-ci consomment des médicments psychotropes huit fois plus souvent que les utres ; 3 % déclrent voir fit une tenttive de suicide u cours de leur vie. L répétition de cette enquête permettr de suivre ces comportements dns les nnées à venir. L snté des étudints préoccupe les instnces décisionnelles du monde de l éduction. L vie étudinte constitue une période de chngement, essentielle du point de vue du rpport à l snté : c est à l fin de l dolescence que se prennent certines hbitudes, tnt en ce qui concerne les comportements à risques que les prtiques positives vis-à-vis de l snté et du recours ux soins. Cependnt les décideurs publics et les professionnels mnquent de données pour guider et suivre, ux niveux régionl et locl, les politiques de snté dptées ux étudints. Ainsi le Conseil Régionl Provence-Alpes-Côte d Azur, qui se mobilise utour de l ccompgnement des étudints dns leur vie quotidienne, pris l inititive, en mi 2005, des premières ssises régionles de l vie étudinte qui ont fit émerger l nécessité de disposer d un véritble «Bromètre sur les conditions de vie et l snté des étudints en région Provence-Alpes- Côte d Azur». Ce document présente les premiers résultts de cette enquête rélisée pr l Observtoire Régionl de l Snté prmi les étudints primo-inscrits en première nnée dns les universités de l région en

2 D une recherche-ction vers une démrche scientifique Pour mettre en œuvre le bromètre étudints, un comité scientifique été mis en plce pour l rélistion et le suivi du protocole, des questionnires et des nlyses. Ouvert ux cteurs de l région, notmment ux mutuelles, ux services de l médecine préventive universitire, ux représentnts des étudints, des Conseils des Etudes et de l Vie Universitire, il rssemblit ussi des spécilistes réputés pour leur expertise scientifique dns différents domines : snté des étudints, nutrition, comportements à risque, méthodologie des bromètres, épidémiologie psychitrique, sociologie Cette double représenttion permis une interction riche entre les questions de terrin et les pproches et connissnces scientifiques. Un étudint sur qutre, filles et grçons, fume quotidiennement L prévention de l usge de tbc, d lcool et de cnnbis, surtout chez les jeunes, est u cœur de l politique de snté publique frnçise. Prmi les étudints de première nnée de l région, 24 % des grçons et 25 % des filles fument quotidiennement. En 2005, l usge d lcool est plus fréquent chez les étudints que chez les étudintes : 11 % des gr- çons et 5 % des filles déclrent boire de l lcool u moins 10 fois pr mois. S gissnt des ivresses, qui constituent un déterminnt de problèmes comportementux et sociux sévères, 31 % de nos étudints et 17 % des étudintes en rpportent u moins une dns le mois précédnt l enquête. Enfin, 10 % des étudints et 4 % des étudintes déclrent consommer du cnnbis u moins 10 fois u cours des 30 derniers jours [Tbleu 1]. Les consommtions de tbc, d lcool et de cnnbis de nos étudints sont inférieures à celles observées dns l région lors des enquêtes ESCAPAD 2003 et 2005 rélisées uprès d dolescents de 17 ns [1] [Tbleu 2]. Cette différence s explique prtiellement pr le fit que prmi les dolescents de l enquête ESCAPAD se trouvent des lycéens mis ussi des ctifs, lesquels ont souvent des consommtions de drogues plus fréquentes que les jeunes du même âge poursuivnt des études. L moindre consommtion de tbc, d lcool et de cnnbis des étudints primo-inscrits pourrit être liée u fit que l trnsition du lycée à l université engendre de nouvelles contrintes et exigences, ps ou peu comptibles vec les usges de drogues. Les étudints universitires consommnt ces substnces sont donc probblement prticulièrement frgilisés. Usges de tbc, lcool et cnnbis chez les étudints de première nnée inscrits dns les universités de l région Provence-Alpes-Côte d Azur (%) Usge de tbc Usge occsionnel ou quotidien 32,7 31,3 31,9 Usge quotidien b 23,5 24,6 24,1 Usge d lcool 5 fois / mois 30,0 13,5 20,4 10 fois / mois 11,0 4,6 7,3 Ivresse 1 fois / mois 31,3 16,6 22,8 Usge de cnnbis 1 fois / 12 derniers mois 36,8 26,5 30,9 1 fois / mois 24,6 14,9 19,0 10 fois / mois 10,4 3,6 6,4 Fumer, u moment de l enquête, u moins 1 cigrette de temps en temps ou fumer l pipe ou le cigre b Fumer, u moment de l enquête, u moins 1 cigrette pr jour Tbleu 1 Usges de tbc, lcool et cnnbis chez les dolescents âgés de 17 ns en région Provence-Alpes-Côte d Azur en 2003 et 2005 (%) Usge de tbc Usge occsionnel ou quotidien Usge quotidien Grçons Filles Usge d lcool 10 fois / mois 19,2 16,7 6,9 7,6 48,1 39,8 42,0 34,3 47,3 37,0 43,0 35,0 Usge de cnnbis 1 fois / 12 derniers mois 1 fois / mois 52,1 41,9 49,0 36,2 43,7 29,0 41,2 26,5 Tbleu 2 Source : OFDT, enquêtes ESCAPAD 2003 et exploittion ORS PACA

3 Les hbitudes limentires s écrtent nettement des recommndtions ntionles Le progrmme ntionl nutrition snté défini 9 objectifs nutritionnels [3] dont l ugmenttion de l consommtion de fruits et légumes (u moins 5 pr jour) et de fibres, et l réduction de l contribution moyenne d pports lipidiques. Les comportements limentires de nos étudints sont eux ussi sexuellement différenciés : 58 % des grçons déclrent consommer de l vinde ou du poisson u moins une fois pr jour contre 47 % des filles. Seuls 12 % des grçons et 17 % des filles déclrent mnger u moins 5 fruits ou légumes pr jour. Les filles consomment moins de sel et elles sont plus vigilntes vis-à-vis de l consommtion d liments riches en grisse et en cholestérol que les grçons. Seulement 16 % des étudints et 28 % des étudintes déclrent fire ttention à l consommtion des liments riches en fibres [Tbleu 3]. Ces différences entre filles et grçons ont ussi été observées en 2000 chez des étudints âgés de 18 à 30 ns interrogés dns 21 pys européens [4]. Pr rpport à ces derniers, nos étudint(e)s de l région Provence-Alpes-Côte d Azur sont plus souvent vigilnt(e)s vis-à-vis des grisses mis moins vis-à-vis des fibres et du sel. Les résultts observés ici indiquent des hbitudes limentires ssez éloignées des recommndtions du progrmme ntionl nutrition snté et mènent à s interroger sur l efficcité des cmpgnes ntionles de prévention dns le domine nutritionnel depuis 2001, insi que des interventions conduites spécifiquement en milieu étudint. Le surpoids est plus fréquent chez les étudints et l migreur chez les étudintes L lutte contre l obésité constitue un utre enjeu mjeur de snté publique. Là encore, des différences pprissent entre étudints et étudintes [Tbleu 3] de l région Provence-Alpes-Côte d Azur : 12 % des grçons et 6 % des filles sont en surpoids, 2 % des grçons et 3 % des filles sont obèses. Dns une enquête ntionle rélisée récemment uprès d un échntillon de foyers [5], les fréquences du surpoids chez les ns étient de 9 % chez les grçons et 8 % chez les filles, et celles de l obésité étient de 2 % chez les grçons et 4 % chez les filles. L fréquence élevée de l migreur chez les étudintes de notre région (16 %) pr rpport ux étudints (6 %) nous interpelle sur les troubles de l limenttion, plus fréquents chez les filles. Dns notre étude, l proportion d étudints ynt des comportements limentires perturbés u cours des 12 derniers mois (mnger énormément vec de l peine à s rrêter, se fire vomir volontirement, redouter de commencer à mnger de peur de ne ps pouvoir s rrêter ou enfin mnger en cchette) est de 24 % chez les filles et 14 % chez les grçons. Ces comportements n impliquent ps l présence d une pthologie, mis ils constituent des signux pouvnt lerter sur un risque d norexie mentle ou de boulimie. Les études épidémiologiques indiquent que ces mldies touchent chcune environ 1 % des jeunes femmes âgées de 16 à 35 ns. Comportements limentires et corpulence déclrée des étudints de première nnée inscrits dns les universités de l région Provence-Alpes-Côte d Azur (%) Consommtion quotidienne - Vinde ou poisson - Au moins 5 fruits ou légumes / jour Au moins 1 fois / jour 58,0 46,6 51,4 Tous les 2 à 3 jours 33,6 38,8 36,6 1 fois / semine 7,8 13,8 11,3 Jmis 0,6 0,8 0,7 Tous les jours 11,9 16,8 14,7 Environ 2 à 3 fois / semine 28,6 36,4 33,1 1 fois / semine 33,0 24,4 28,0 Jmis 26,5 22,4 24,2 Comportements limentires - Fit ttention pour éviter les liments qui contiennent de l grisse 24,6 50,3 39,5 et du cholestérol - Fit ttention pour consommer des liments riches en fibres 16,4 27,5 22,8 - Rjoute du sel ux reps l pluprt du temps 39,2 33,2 35,7 Corpulence déclrée Migreur (IMC < 18,5) 5,5 15,5 11,3 Norml (18,5 < IMC < 24,9) 80,5 75,6 77,6 Surpoids (25 < IMC < 29,9) 12,4 6,3 8,9 Obésité (IMC 30) 1,6 2,6 2,2 Problème de comportements limentires b 13,7 24,1 19,7 Corpulence déterminée d près l indice de msse corporelle (IMC) clculé en divisnt le poids (kg) pr le crré de l tille (m 2 ) b Survenue ssez souvent ou très souvent, u cours des 12 derniers mois, d u moins un des comportements suivnts : mnger énormément vec de l peine à s rrêter, se fire vomir volontirement, redouter de commencer à mnger de peur de ne ps pouvoir s rrêter, mnger en cchette Tbleu 3

4 Un relâchement est observé dns l utilistion du préservtif Plus de deux tiers des étudints déclrent voir eu des rpports sexuels u cours des 12 derniers mois [Tbleu 4]. Environ l moitié des fi lles et un tiers des grçons vient un prtenire stble u moment de l enquête. Chez les étudints ynt eu des rpports sexuels vec des prtenires occsionnels, 19 % des grçons et 31 % des filles ont déclré ne ps voir toujours utilisé un préservtif. Cel tteste d une persistnce ou d une reprise de prtiques sexuelles à risque. Ce comportement, plus souvent féminin, été souligné dns l enquête ntionle «Contexte de l Sexulité en Frnce» rélisée en [6]. L écrt entre les déclrtions des grçons et des filles suggèrent que celles-ci sont confrontées à des difficultés lorsqu il s git de négocier l utilistion du préservtif vec le prtenire. Enfin, 3 % des étudintes de l échntillon ont déjà eu recours à une interruption volontire de grossesse (IVG) u cours de leur vie. Ce résultt est identique à celui observé dns notre région à prtir de l nlyse régionle des données recueillies dns les étblissements hospitliers en 2005 chez des filles âgées de 18 à 24 ns (3 %) 1. Si l on ne considère que les étudintes sexuellement ctives et âgées de ns, pour permettre une comprison vec le Bromètre snté ntionl, l proportion de celles déclrnt voir eu recours à l IVG u cours de leur vie tteint 8 % (9 % dns le Bromètre snté 2005 chez les ns). Les femmes sont souvent confrontées à des difficultés dns l gestion quotidienne ou à long terme d une contrception (oubli de l pilule, muvise utilistion ou rupture du préservtif, échec des méthodes nturelles). Elles Vie sexuelle et comportements à risque des étudints de première nnée inscrits dns les universités de l région Provence-Alpes-Côte d Azur (%) A déjà eu des rpports sexuels 77,4 69,4 72,5 A déjà eu des rpports sexuels u cours des 12 derniers mois 68,9 67,5 68,1 A un prtenire stble ctuellement 33,9 49,3 43,4 mnquent ussi d informtion et de connissnces sur le risque de grossesse et les diverses méthodes de contrception (y compris l contrception d urgence). Le mnque de communiction intr-fmilil, ou un sentiment de culpbilité lié à un questionnement sur l légitimité de s sexulité, peuvent fire obstcle à une démrche informtive sur l contrception, prticulièrement chez les dolescentes et les jeunes dultes. Un étudint sur qutre se déclre en sitution de ml être L entrée à l université implique souvent une coupure vis-àvis du milieu fmilil, ps toujours choisie, l rencontre d un nouvel environnement, et prfois un isolement ffectif. Il peut donc s gir d une période de vulnérbilité psychologique. Plusieurs indicteurs ttestent d un ml être chez nos étudints : 16 % des filles et 10 % des grçons déclrent voir des difficultés d endormissement ou de mintien du sommeil ou un sommeil non réprteur depuis u moins un mois, entrînnt une perturbtion des ctivités quotidiennes [Tbleu 5]. Cette proportion ne vrie ps selon l âge mis elle est plus importnte prmi les étudints inscrits dns les filières médicles (snté ou phrmcie) que dns les utres disciplines (18 % contre 13 %). Le ml être se trduit églement pr l expression d une souffrnce psychologique. S fréquence est estimée à 16 % et 33 % respectivement chez les grçons et les filles. Cette différence n implique ps nécessirement que les grçons soient en meilleure snté psychologique que les filles. En effet, les filles et les grçons perçoivent et expriment leur étt psychologique différemment, les grçons étnt moins enclins à verbliser des difficultés de cet ordre. L consommtion de médicments psychotropes est plus élevée chez les étudints qui expriment une souffrnce psychologique que chez les utres (respectivement 8 % et 1 %). A eu un ou plusieurs prtenires occsionnels u cours des 12 derniers mois 33,6 18,3 24,2 Utilistion non systémtique du préservtif vec un ou plusieurs prtenires occsionnels 18,9 31,3 24,7 u cours des 12 derniers mois A déjà eu (ou une de ses prtenires) une interruption volontire de grossesse (IVG) 1,8 3,0 2,5 Pourcentges clculés prmi les étudints qui ont déclré voir un ou plusieurs prtenires occsionnels Tbleu 4 1 Source : PMSI/MCO DHOS exploittion ORS PACA pour les données de 2005

5 Près d un étudint sur dix un risque ccru de crise suicidire Une des mnifesttions extrêmes de l souffrnce psychologique est l crise suicidire. Un progrmme ntionl de prévention et de prise en chrge de l crise suicidire été enggé en 1998 en Frnce. Il s git de mieux repérer l souffrnce psychique et l crise suicidire, d éviter les tenttives de suicide et leur récidive. Pour ce fire, ce progrmme vise à mieux orienter les personnes en crise suicidire vers les professionnels ressource et à éviter les discontinuités de prise en chrge en fvorisnt les pproches de réseu. Le risque de suicide peut être évlué, en prticulier, pr l déclrtion de projets de suicide échfudge d un pln pour se suicider et celle d ntécédents de tenttive de suicide. Prmi nos étudints, 8 % déclrent voir fit un projet de suicide u cours de leur vie et 3 % une tenttive de suicide [Tbleu 5]. Les ntécédents de tenttive de suicide sont moins fréquemment déclrés pr les grçons Snté mentle et consommtion de médicments psychotropes chez les étudints de première nnée inscrits dns les universités de l région Provence-Alpes-Côte d Azur (%) Sommeil perturbé 10,1 16,1 13,6 Souffrnce psychologique b 16,3 33,0 25,7 Consommtion de psychotropes c 1,0 3,7 2,6 Idées suicidires Idées suicidires près l rentrée universitire Projet de suicide Tenttive de suicide 16,7 24,3 21,1 4,0 4,1 4,1 6,2 8,7 7,6 1,3 4,6 3,2 A des difficultés d endormissement ou de mintien du sommeil ou un sommeil non réprteur depuis u moins un mois vec une ftigue qui perturbé les ctivités (trvil, loisirs ) ssez souvent ou fréquemment, tout le temps b Evluée à l ide de 5 items présents dns l échelle de qulité de vie du SF-36 (Voir l prtie «Repères méthodologiques») c Avoir consommé des somnifères ou des nxiolytiques ou des nti-dépresseurs ou des médicments thymorégulteurs pendnt u moins 1 mois u cours des 12 derniers mois vec une fréquence de prise d u moins plusieurs fois pr semine Tbleu 5 (1 %) que pr les filles (5 %), comme cel est observé dns les enquêtes uprès des dolescents et des jeunes dultes. Pr contre, ces chiffres sont moins élevés que ceux obtenus en 2000 dns le Bromètre snté ntionl uprès de jeunes dultes âgés de ns : 4 % chez les grçons et 8 % chez les filles. Une expliction de cette différence peut venir de ce que dns le Bromètre snté ntionl, toutes les ctégories de jeunes sont représentées y compris celles ne fisnt ps d étude et inctives, plus à risque de comportements suicidires. En dépit de cette différence, les résultts de notre enquête indiquent que près d un étudint en première nnée sur dix un risque ccru de crise suicidire. Ceci devrit être pris en compte pour méliorer les services d ide et de soutien ux étudints. Conclusion Cette première tenttive pour mieux connître l snté et ses déterminnts en popultion étudinte permettr de mieux définir les ctions de prévention. Nos résultts confirment que l entrée à l université peut constituer une période de forte vulnérbilité. Ils mettent ussi en évidence de fortes disprités de genre, hormis pour le tbgisme, disprités qui prolongent celles observées à l dolescence. Des nlyses plus pprofondies sur les comportements de snté, le ml être et les troubles de snté mentle sont ctuellement en cours. L influence du mode de vie des étudints, leurs croynces vis-à-vis de différents risques, leurs ressources personnelles (estime de soi) et sociles insi que le contexte universitire seront pris en compte. L mise en plce du Bromètre vec l rélistion d enquêtes répétées dns le temps permettr d ppréhender les effets d âge et de génértion.

6 SANTE ETUDIANTS N RepèreSnté est le bulletin sur l snté de l popultion régionle qui présente les données cquises dns le cdre du réseu prtenril de l Observtoire régionl de l snté Provence-Alpes-Côte d Azur. Remerciements Cette étude été mise en œuvre à l inititive du Conseil Régionl Provence-Alpes-Côte d Azur, vec son soutien finncier insi que ceux de l Institut Ntionl de Prévention et d Eduction pour l Snté et de l Ville de Mrseille. Nous remercions, pour leur collbortion, les présidents des six universités de l région Provence-Alpes-Côte d Azur, les vices-présidents des Conseils des Etudes et de l Vie Universitire, les différents services des universités vec lesquels nous vons prépré l enquête, les directeurs et le personnel médicl des sept services de médecine préventive universitire de l région et les étudints pour leur lrge prticiption à l enquête. Enfin, nous remercions les membres du conseil scientifique, son président Frédéric Rouillon et s vice-présidente Vivine Kovess. RepèreSnté est le bulletin qui présente régulièrement les trvux sttistiques menés en commun dns le cdre du prtenrit entre l Unité INSERM 379 (Epidémiologie & Sciences Sociles Appliquées à l Innovtion Médicle) dirigée pr le Pr JP. Motti et l Observtoire régionl de l snté Provence-Alpes-Côte d Azur dirigé pr le Dr Y. Obdi. Repères méthodologiques L enquête été rélisée uprès d un échntillon représenttif d étudints âgés de 18 à 24 ns, primo inscrits en première nnée, en , dns l une des six universités de l région Provence-Alpes-Côte d Azur. Les étudints ont été sélectionnés pr un tirge u sort strtifi é sur le service de médecine préventive universitire (SMPU) et sur le secteur de formtion. Les données ont été recueillies à l ide d un uto-questionnire nonyme complété pendnt l visite médicle dns le SMPU. Pour les étudints bsents lors de cette visite, l uto-questionnire leur été dressé pr voie postle. Enfi n, les étudints n ynt ps répondu lors des deux étpes précédentes ont été contctés pr téléphone. Prmi les étudints tirés u sort, 81 (3 %) étient inéligibles, 87 (3 %) ont refusé de prticiper à l étude. Au totl, étudints ont complété le questionnire (71 %). Vingt questionnires ont été exclus des nlyses cr ils étient incomplets et, pour voir un échntillon homogène en terme d âge, les questionnires des étudints âgés de plus de 24 ns (n=21) n ont ps été retenus. L nlyse porte fi nlement sur étudints. L instrument utilisé pour mesurer l souffrnce psychologique est le Mentl Helth Inventory - 5 (MHI-5), un module du questionnire de qulité de vie SF-36 qui comprend 5 questions permettnt d étblir un score de fréquence et de grvité de symptômes nxio-dépressifs vrint de 0 (symptômes fréquents) à 100 (ps de symptômes). Un score inférieur ou égl u seuil interntionl de 52, défi nit l présence d une souffrnce psychologique [7]. Pour en svoir plus [1] Beck F., Legleye S., Spilk S. (2005). Atls régionl des consommtions de produits psychoctifs des jeunes Frnçis. OFDT. 222 p. [2] Beck F., Legleye S., Guilbert P., Peretti-Wtel P. (2005). Les usges de produits psychoctifs des étudints. Psychotropes, 11, p [3] Ministère de l snté et des solidrités (2006). Deuxième Progrmme ntionl nutrition snté Actions et mesures. [4] Steptoe A., Wrdle J., Cui W., Bellisle F., Zotti A.M., Brnyi R., et l. (2002). Trends in smoking, diet, physicl exercise, nd ttitudes towrd helth in Europen university students from 13 countries, Prev Med, 35, p [5] Roche (2006). Obépi Enquête épidémiologique ntionle sur le surpoids et l obésité. Une enquête INSERM / TNS HEALTHCARE SOFRES / ROCHE. 52 p. [6] ANRS, INSERM, INED (2007). Premiers résultts de l enquête CSF «Contexte de l Sexulité en Frnce». [7] Korkeil J., Lehtinen V., Bijl R., Dlgrd O., Kovess V., Morgn A., Slize H.J. (2000). Estblishing set of mentl helth indictors for Europe. Scndinvin Journl of Public Helth, 31, p.1-8. [8] Verger P., Brbis P.A., Kovess V., Lovell A., Sebbh R., Villni P., Prponris A., Rouillon F. (2007). Determinnts of erly identifi ction of suicidl idetion in ptients treted with ntidepressnts or nxiolytics in generl prctice: multilevel nlysis. Journl of Affective Disorders, 99, p [9] Observtoire de l snté des étudints de Grenoble. (2007). L snté des étudints à l entrée à l université. RepèreSnté N 14 - Novembre 2007 Editeur : ORSPACA - INSERM U rue Stnisls Torrents Mrseille Directeur de l publiction : Dr Y. OBADIA Mquette : C. JUIN - N d ISSN : Tirge : 2000 exemplires Imprimeur : Espce Imprimerie - Mrseille Observtoire Régionl de l Snté Provence-Alpes-Côte d Azur 23, rue Stnisls Torrents Mrseille.Frnce Tél.:(+33) / Fx :(+33) Courriel : ccueil@orspc.org / Site Internet :

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