Résumé. Introduction. N. D. Riediger, M. Sc. (1); S. G. Bruce, Ph. D. (1); T. K. Young, M.D., Ph. D. (2)

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1 Risque de mldies crdiovsculires en fonction des profils plsmtiques d polipoprotéines et de lipides chez une communuté des Premières ntions du Cnd* N. D. Riediger, M. Sc. (1); S. G. Bruce, Ph. D. (1); T. K. Young, M.D., Ph. D. (2) * Cet rticle fit l ojet d une puliction conjointe pr Preventing Chronic Disese et Mldies chroniques u Cnd. Preventing Chronic Disese en est le premier éditeur, Mldies chroniques u Cnd le second. L puliction originle est : Riediger ND, Bruce SG, Young TK. Crdiovsculr risk ccording to plsm polipoprotein nd lipid profiles in Cndin First Ntion. Prev Chronic Dis 2011;8(1). Consultle en ligne à l pge : http/ Résumé Introduction : Bien que le lourd frdeu du diète chez les memres des Premières ntions du Cnd soit un fit connu, on en sit peu sur le risque de mldies crdiovsculires uquel ce groupe est exposé. Notre ojectif étit de décrire le profil polipoprotéique des memres d une communuté cndienne des Premières ntions et l incidence de celui-ci sur le risque de mldies crdiovsculires. Méthodologie : En 2003, un échntillon représenttif d dultes d une Première ntion du Mnito (N = 483) prticipé à une étude de dépistge du diète et des complictions ssociées à cette mldie, dns le cdre de lquelle les fcteurs de risque de mldies crdiovsculires des prticipnts ont été évlués. Résultts : Soixnte pour cent des femmes présentient un risque crdiovsculire ccru ssocié à de files concentrtions d polipoprotéines A1 (po A1), comprtivement à 35 % des hommes. L proportion de femmes chez lesquelles on relevé de files concentrtions d po A1 diminuit vec l âge, mis l proportion chez lesquelles de files tux de lipoprotéines de hute densité ont été relevés étit stle dns tous les groupes d âge. L po B et l po A1 étient toutes deux significtivement corrélées à l oésité, une fois contrôlées les vriles liées à l âge, u sexe, à l pression rtérielle distolique, u tux d homocystéine, u diète et à l insulinorésistnce. Conclusion : Les profils polipoprotéique et lipidique de cette popultion des Premières ntions semlent indiquer un risque de mldies crdiovsculires élevé. Les recherches à venir devrient viser à définir l dimension des prticules de lipoprotéines chez cette popultion. Mots clés : crdiovsculire, snté communutire, diète, épidémiologie, oésité, dépistge, minorité, Première ntions, Indiens d Amérique du Nord Introduction Au cours des dernières nnées, l prévlence des mldies crdiovsculires chez les Autochtones du Cnd ugmenté et est mintennt plus élevée que chez les non -Autochtones. Dns un échntillon rndomisé d Autochtones cndiens, l prévlence des mldies crdiovsculires étit de 18 %, comprtivement à 8 % chez les Cndiens de des cendnce européenne 1. L polipoprotéine A1 (po A1) est le principl constitunt des lipoprotéines de hute densité (HDL), tndis que l po B est l une des principles protéines composnt les lipoprotéines de très sse densité, les lipoprotéines de sse densité (LDL) et les lipoprotéines de densité intermédiire. En rison de leur ssocition respective vec ces lipoprotéines, l po A1 est inversement corrélée u risque de mldies crdiovsculires, lors que l po B l est positivement 2. Les données semlent d illeurs indiquer que l po A1 et l po B sont de meilleurs prédicteurs de risque de mldies crdiques que le cholestérol HDL et le cholestérol LDL 3-5. Les mesures des polipoprotéines pourrient églement offrir des vntges pr rpport à celle des lipoprotéines, puisqu elles sont mesurées directement, contrirement u cholestérol LDL, pr exemple, qui doit être mesuré à prtir d utres lipoprotéines à l ide d un échntillon snguin prélevé à jeun. Mlgré les tux élevés de diète et de mldies crdiovsculires chez les Autochtones cndiens, peu de chercheurs se sont venturés u -delà de l exmen des fcteurs de risque clssiques. De plus, les recherches étient générlement fondées sur l nlyse des dossiers, et les quelques études en popultion qui ont été rélisées étient limitées à une seule communuté des Premières ntions 6-8. Notre ojectif étit de décrire le profil polipoprotéique et ses liens vec les fcteurs de risque de mldies crdiovsculires chez une communuté des Premières ntions. Rttchement 1. Université du Mnito, Winnipeg (Mnito) Cnd 2. Université de Toronto, Toronto (Ontrio) Cnd Correspondnce : Ntlie D. Riediger, M. Sc., Université du Mnito, ureu S113, Medicl Services Bldg, 750 Bnntyne Ave, Winnipeg (Mnito) Cnd R3E 0W3; tél. : ; courriel : umriedin@cc.umnito.c 39 Vol. 31, n o 1, décemre 2010 Mldies chroniques u Cnd

2 Méthodologie L présente étude s est ppuyée sur des données recueillies dns le cdre d une vste étude de dépistge portnt sur les complictions ssociées u diète 9. L échntillon, composé de 483 hommes et femmes d une communuté des Premières ntions du Mnito, étit représenttif en ce qui trit à l âge et u sexe. Les prticipnts dmissiles (n = 1 356) étient des hommes et des femmes (non enceintes) de 18 ns ou plus, possédnt le sttut d Indien inscrit et vivnt dns l communuté. Celle-ci se situe à environ 200 km u nord-ouest de Winnipeg (Mnito). L étude été rélisée entre jnvier et décemre 2003, et les données pour chcun des prticipnts ont été recueillies u cours de l même journée. Les détils u sujet de l étude sont décrits illeurs 9. Cette étude été pprouvée pr le conseil d éthique de l recherche en snté de l Université du Mnito. Une infirmière utorisée prélevé des échntillons de sng à jeun, à prtir desquels les concentrtions plsmtiques en glucose, en insuline, en triglycérides, en cholestérol HDL, en cholestérol LDL, en cholestérol totl, en po B totle et en po A1 ont été mesurées. L infirmière églement mesuré l pression rtérielle, le tux d lumine et de crétinine dns les urines, et les crctéristiques nthropométriques de chque prticipnt 9. Nous vons utilisé le modèle d évlution homéosttique (HOMA), qui permet, à prtir des mesures de glucose et d insuline, d évluer l insulinorésistnce en ppliqunt l formule suivnte : (insuline [pmol] 0,139) (glucose [mmol/l]/22,5). Les fcteurs de risque évlués dns cette étude figurent u tleu 1. Toutes les données ont été nlysées à l ide du logiciel SPSS version 16.0 pour Windows (IBM, Chicgo, Illinois). Nous vons compré les concentrtions plsmtiques en lipides à l ide du test t et du test U de Mnn-Whitney (non prmétrique). Pour les vriles qui ne suivent ps une distriution normle ou pour les cs de vrince inégle, nous vons compré les différences entre les concentrtions en polipoprotéines pour TleAU 1 Fcteurs de risque évlués dns une étude sur les fcteurs de risque de mldies crdiovsculires rélisée uprès d une communuté des Premières ntions du Cnd, 2003 Définition Fcteur de risque Hommes Femmes Oésité IMC 30,0 kg/m 2 TT ssocié à un risque élevé Diète Hypertension Dyslipidémie TT> 102 cm TT > 88 cm Dignostic utodéclré, prise d un hypoglycémint orl ou glycémie à jeun 7,0 mmol/l Dignostic utodéclré, PAS > 140 mm Hg ou PAD > 90 mm Hg TG plsmtiques à jeun 1,7 mmol/l et cholestérol HDL plsmtique à jeun 1,03 mmol/l TG plsmtiques à jeun 1,7 mmol/l et cholestérol HDL plsmtique à jeun 1,3 mmol/l Microluminurie RAC > 2,0 mg/mmol RAC > 2,8 mg/mmol Syndrome métolique Critères du Adult Tretment Pnel III 10 Risque crdiométolique TT à risque et TG plsmtiques 1,7 mmol/l Apo A1 file ApoA1 < 1,07 g/l ApoA1 < 1,22 g/l Apo B élevée ApoB > 1,2 g/l Rpport po B-po > 0,8 > 0,7 A1 élevé 5 Arévitions : IMC, indice de msse corporelle; TT, tour de tille; PAS, pression rtérielle systolique; PAD, pression rtérielle distolique; TG, triglycérides; HDL, lipoprotéines de hute densité; RAC, rpport lumine-crétinine; po, polipoprotéine. Déterminé à l ide du Byer DCA 2000 point-of-cre nlyzer (Elkhrt, Indin). TleAU 2 Concentrtions plsmtiques en lipides chez 483 dultes d une communuté des Premières ntions du Cnd, 2003 Lipides Hommes (n = 230), Femmes (n = 253), Vleur p Hommes et femmes, 2,2 (2,3) Triglycérides, mmol/l 2,3 (2,5) 2,1 (2,0) 0,86 1,7 (1,1-2,6) c 1,7 (1,2-2,5) c 1,7 (1,2-2,6) c Cholestérol LDL, mmol/l 2,9 (0,9) 2,6 (0,9) 2,7 (0,9) Cholestérol HDL, mmol/l 1,2 (0,3) 1,2 (0,3) < 0,04 d 1,2 (0,3) Cholestérol totl, mmol/l 5,0 (1,2) 4,8 (1,1) 0,07 4,9 (1,2) Arévitions : ET, écrt-type; LDL, lipoprotéines de sse densité; HDL, lipoprotéines de hute densité. Les tux moyens de cholestérol LDL et de cholestérol totl sont indiqués, même si ces vleurs ne font ps prtie de l définition de l dyslipidémie, puisque leur niveu recommndé vrie en fonction d utres fcteurs de risque ( Test t indépendnt utilisé pour déterminer les différences entre les sexes, à moins d indiction contrire. c Les données présentées sont une médine (intervlle interqurtile) en rison de l distriution symétrique; nlyse sttistique rélisée à l ide du test de Mnn -Whitney. d Test de Mnn-Whitney (vrinces inégles). Mldies chroniques u Cnd Vol. 31, n o 1, décemre

3 TleAU 3 Concentrtions plsmtiques d polipoprotéines selon le sexe et les fcteurs de risque de mldies crdiovsculires chez 483 dultes d une communuté des Premières ntions du Cnd, 2003 Crctéristique n (%) ApoB (g/l) Vleur p ApoA1 (g/l) Vleur p ApoB:ApoA1 Rtio Vleur p Sexe Hommes 230 (48) 0,94 (0,28) 1,14 (1,03-1,23) c 0,84 (0,63-1,02) c 0,046 0,004 d Femmes 253 (52) 0,89 (0,26) 1,17 (1,05-1,31) c 0,75 (0,59-0,91) c 0,001 d Oésité Oui 265 (56) 0,97 (0,96) 1,13 (0,17) 0,87 (0,24) Non 204 (44) 0,83 (0,79) 1,20 (0,19) 0,71 (0,24) Tour de tille ssocié à un risque Oui 313 (68) 0,96 (0,26) 1,15 (0,18) 0,85 (0,25) 0,006 Non 151 (32) 0,82 (0,26) 1,20 (0,18) 0,70 (0,23) Diète Oui 140 (29) 1,05 (0,29) 1,16 (0,19) 0,91 (0,26) 0,92 Non 343 (71) 0,86 (0,25) 1,17 (0,18) 0,75 (0,23) Hypertension Oui 201 (43) 0,99 (0,28) 1,18 (0,19) 0,85 (0,27) 0,10 Non 271 (57) 0,86 (0,25) 1,15 (0,18) 0,76 (0,23) Microluminurie Oui 94 (20) 1,01 (0,81-1,26) c 1,15 (0,17) 0,90 (0,26) d 0,49 Non 372 (80) 0,86 (0,68-1,05) c 1,17 (0,18) 0,77 (0,24) Risque crdiométolique Oui 212 (45) 1,05 (0,25) 1,16 (0,19) 0,93 (0,24) 0,54 Non 255 (55) 0,80 (0,23) 1,17 (0,18) 0,70 (0,21) Dyslipidémie Oui 155 (32) 1,03 (0,90-1,19) c 1,07 (0,98-1,18) c 0,98 (0,23) d d Non 328 (68) 0,81 (0,65-1,01) c 1,19 (1,09-1,31) c 0,72 (0,22) Syndrome métolique Oui 252 (53) 1,02 (0,26) 1,13 (0,17) 0,91 (0,75-1,05) c Non 223 (47) 0,80 (0,23) 1,20 (0,18) 0,64 (0,53-0,80) c d Arévitions : po, polipoprotéine. Les vleurs présentées pour l po A1 et l po B et le rpport po B-po A1 sont une moyenne (écrt-type), et les différences ont été évluées à l ide du test t sur des échntillons indépendnts, à moins d indiction contrire. Les définitions des crctéristiques figurent u tleu 1. Les données pour certines crctéristiques n étient ps disponiles pour certins prticipnts. c Les données présentées sont une médine (intervlle interqurtile) en rison de l distriution symétrique. d Test U de Mnn-Whitney (non prmétrique). chque fcteur de risque de mldies crdiovsculires à l ide du test t et du test U de Mnn-Whitney. Nous vons utilisé le test χ 2 pour déceler les différences entre les risques de mldies crdiovsculires pour chque ctégorie d polipoprotéine. Les tests étient iltérux, et les vleurs p < 0,05 ont été jugées significtives. Afin de déterminer les tendnces linéires pour les vleurs moyennes d polipoprotéines de chque groupe d âge, nous vons utilisé l nlyse de vrince à un fcteur vec contrste linéire. Nous vons estimé les rpports de cote pour l oésité à l ide du modèle de régression logistique multivriée descendnte. Nous vons inclus, dns le modèle, des vriles qui vient été significtivement corrélées vec l oésité u moyen d nlyses ivriées. Ces vriles étient l âge, le sexe, le tgisme (présent ou pssé), l pression rtérielle systolique et distolique, le diète, le tux de triglycérides, les concentrtions d po A1 et d po B, l insulinorésistnce, le tux d homocystéine et l microluminurie. Résultts Le risque de mldies crdiovsculires chez l popultion à l étude étit élevé si l on se fie ux fcteurs de risque clssiques tels que les tux de cholestérol HDL et de triglycérides (tleu 2). Les tux d oésité, de diète, d hypertension et de microluminurie étient églement élevés (tleu 3). Il y vit significtivement plus de femmes que d hommes (60 % c. 35 %; 41 Vol. 31, n o 1, décemre 2010 Mldies chroniques u Cnd

4 TleAU 4 Concentrtions plsmtiques d polipoprotéines selon le sexe et l âge chez 481 dultes d une communuté des Premières ntions du Cnd, 2003 Sexe et âge (ns) po B Vleur p po A1 Vleur p rpport pob po A1 Vleur p Hommes (n = 229) (n = 72) 0,79 (0,26) 1,12 (0,14) 0,71 (0,25) (n = 65) 0,95 (0,25) 1,14 (0,15) 0,85 (0,25) 0, (n = 49) 1,09 (0,26) 1,13 (0,16) 0,97 (0,24) 50 (n = 43) 1,01 (0,25) 1,17 (0,17) 0,88 (0,24) Femmes (n = 252) (n = 70) 0,78 (0,24) 1,15 (0,20) 0,69 (0,22) (n = 78) 0,89 (0,22) 1,20 (0,17) 0,75 (0,21) 0, (n = 59) 0,96 (0,27) 1,21 (0,21) 0,81 (0,25) 0, (n = 45) 0,99 (0,29) 1,22 (0,22) 0,83 (0,28) Arévitions : é.-t., écrt-type; po, polipoprotéine. L échntillon snguin de deux prticipnts étit insuffisnt pour évluer l concentrtion en po A1 et en po B; les utres lipides plsmtique (cholestérol totl, cholestérol LDL, cholestérol HDL et triglycérides) ont été mesurés en priorité. Anlyse de l vrince vec contrste linéire. TleAU 5 Adultes d une communuté des Premières ntions du Cnd à risque de mldies crdiovsculires en fonction des concentrtions plsmtiques d polipoprotéines, 2003 (N = 481) n (%) rpport Sexe et âge (ns) n (%) pob Vleur p n (%) po A1 Vleur p po B-po A1 Vleur p Hommes (n = 229) (n = 72) 5 (7) 25 (35) 20 (29) (n = 65) 10 (15) 24 (37) 37 (57) 0,003 0, (n = 49) 15 (31) 18 (37) 40 (82) 50 (n = 43) 10 (23) 14 (33) 25 (58) Femmes (n = 252) (n = 70) 5 (7) 52 (74) 30 (43) (n = 78) 6 (8) 43 (55) 45 (58) 0,006 0, (n = 59) 10 (17) 37 (63) 38 (65) 0,01 50 (n = 45) 10 (22) 20 (44) 29 (64) Arévitions : po, polipoprotéine. Les seuils de coupure pour le risque de mldies crdiovsculires ccru sont présentés dns le tleu 1. L échntillon snguin de deux prticipnts étit insuffisnt pour évluer l concentrtion en po A1 et en po B; les utres lipides du plsm (cholestérol totl, cholestérol LDL, cholestérol HDL et triglycérides) ont été mesurés en priorité. Test χ 2 vec ssocition linéire. p ) qui présentient des concentrtions d po A1 ssociées à un risque de mldies crdiovsculires. Près de 18 % des hommes et 12 % des femmes vient des concentrtions d po B ssociées à un risque de mldies crdiovsculires, mis l différence n étit ps significtive. L proportion des prticipnts dont le rpport po B-po A1 révélit un risque ccru étit de 54 % chez les hommes et de 57 % chez les femmes, mis cette différence n ps tteint le seuil de significtion. Les concentrtions moyennes d po B et le rpport po B-po A1 étient significtivement plus élevés chez les hommes et chez les prticipnts présentnt un quelconque fcteur de risque crdiovsculire (tleu 3). Les concentrtions moyennes d po A1 étient moins élevées chez les ptients présentnt l pluprt des fcteurs de risque de mldies crdiovsculires, mis l écrt n ps tteint le seuil de significtion chez les ptients souffrnt de diète, d hypertension ou de microluminurie, ou ynt des risques crdiométoliques. Le risque de mldies crdiovsculires tendit à ugmenter vec l âge (tleux 4 et 5). Chez les hommes, nous vons oservé une tendnce linéire significtive dns l ssocition entre l âge et le tux d po B et le rpport po B-po A1. Nous vons églement noté une tendnce linéire positive significtive dns l ssocition entre l âge des femmes et le tux d po B et le rpport po B-po A1. Inversement, le risque de mldies crdiovsculires en fonction du tux d po A1 diminuit vec l âge chez les femmes, et Mldies chroniques u Cnd Vol. 31, n o 1, décemre

5 les concentrtions moyennes d po A1 ugmentient vec l âge. Chez les femmes, les tux de cholestérol HDL n ont ni ugmenté ni diminué de fçon significtive vec l âge (données non présentées). Dns les cs d oésité, le modèle logistique finl inclus l âge, le sexe, l pression rtérielle distolique, l présence ou non de diète, le tux d homocystéine, l insulinorésistnce et les concentrtions d po A1 et d po B. Un sujet chez qui l concentrtion d po A1 étit de 1,14 g/l étit 1,2 fois plus susceptile d être oèse qu un sujet chez qui l concentrtion d po A1 étit de 1,20 g/l. De plus, l proilité d oésité étit 1,35 fois plus élevée pour un sujet chez qui l concentrtion en po B étit de 1,00 g/l que pour une personne chez qui cette concentrtion étit de 0,80 g/l. Anlyse Le risque de mldies crdiovsculires est élevé chez les memres des Premières ntions du Cnd, si l on se fie ux profils plsmtiques de lipides et d polipoprotéines. Les concentrtions plsmtiques en polipoprotéines normles qui ont été relevées concordent vec l prévlence de l oésité et du diète dns cette communuté. En règle générle, les tux de cholestérol HDL et d po A1 des prticipnts étient s, tndis que leur tux de triglycérides étit élevé, ce qui est normlement le cs chez les personnes insulinorésistntes. Le profil lipidique moyen de l communuté à l étude différit considérlement de celui de l popultion des É.-U. en générl 11, vrisemllement en rison de l prévlence élevée du diète dns ce groupe. Pr exemple, les tux plsmtiques moyens de cholestérol LDL des prticipnts de l présente étude étient moins élevés que ceux des prticipnts de l NHANES*, et ce, pour les deux sexes. Cependnt, les tux plsmtiques de cholestérol HDL étient moins élevés et les tux plsmtiques de triglycérides étient eucoup plus élevés chez les sujets de notre étude que dns l popultion méricine en générl. Comprtivement ux Aorigènes d Austrlie et ux hitnts du détroit de Torres 12, les tux de triglycérides * Ntionl Helth nd Nutrition Exmintion Survey chez les prticipnts de l présente étude étient légèrement inférieurs et les tux de cholestérol HDL, légèrement supérieurs. Pr contre, ces tux sont tout de même pires que ceux des Autochtones crisojiwés, des Inuits et des non- Autochtones du Cnd, d près une étude rélisée u déut des nnées De plus, les tux de triglycérides et de cholestérol HDL étient plus élevés, et les tux de cholestérol LDL moins élevés, chez l communuté à l étude que chez une utre communuté des Premières ntions du Cnd 1 ; cependnt, les prticipnts de cette utre communuté utochtone étient âgés de 35 à 75 ns, tndis que ceux de notre étude étient âgées de 18 ns ou plus (vec une moyenne d âge de 38 ns). Ni les vleurs lipidiques ni les utres vleurs présentées dns ce prgrphe n ont été normlisées en fonction de l âge ou du sexe. Prdoxlement, l proportion des femmes qui présentient de files concentrtions d po A1 (ssociées à un risque de mldies crdiovsculires élevé) diminuit significtivement vec l âge, et l on oservit une tendnce linéire positive significtive dns l ssocition entre les concentrtions moyennes d po A1 et l âge. L vrition des concentrtions d po A1 en fonction de l âge chez les femmes semle indiquer une prévlence plus élevée de l dyslipidémie chez les jeunes femmes. Cependnt, l proportion de femmes ffichnt un tux de cholestérol HDL ssocié à un risque élevé est demeurée stle dns tous les groupes d âge. Pour un même tux de cholestérol HDL, les femmes âgées ( 50 ns) présentient des concentrtions d po A1 moins élevées que les femmes plus jeunes (< 50 ns). Ce phénomène pourrit s expliquer pr un chngement dns l tille des prticules de HDL qui se produit chez les groupes d âge plus vncé, c est-à-dire que l proportion des petites prticules denses de HDL ugmente pr rpport à celle des prticules de HDL de grnde tille. Le fit que, dns le cdre de notre étude, l prévlence du diète ugmentit vec l âge vient ppuyer cette expliction. Mlgré l existence vrisemlle d une prédisposition génétique u diète et à ses troules concomitnts chez l communuté des Premières ntions à l étude, nous supposons que l mjeure prtie des cs de dyslipidémie sont ttriules à une muvise limenttion et à l inctivité physique. Pr le pssé, d utres communutés utochtones, tels les Inuits du Groenlnd, présentient en fit des profils lipidiques plus vntgeux que les non-autochtones, prolement en rison de leur mode de vie trditionnel 14. En effet, comprtivement à un groupe témoin de Dnois, les Inuits ffichient des concentrtions d po A1 significtivement plus élevées et des tux d po B, de cholestérol LDL, de cholestérol totl et de triglycérides significtivement plus s. Même si les concentrtions en po A1 étient significtivement supérieures chez les Inuits, les tux de cholestérol HDL qunt à eux ne l étient ps, ce qui porte à croire qu il pourrit exister des différences (liées à l tille) entre les types de prticules de HDL présentes chez ces deux groupes. Il est possile que les Inuits ient un nomre disproportionné de petites prticules denses de HDL à crctère thérogène pr rpport u nomre de prticules de HDL de grnde tille, qui sont énéfiques pour l snté. Nous croyons que cette hypothèse pourrit églement s ppliquer à l communuté qui fit l ojet de notre étude, prticulièrement ux femmes. De plus, chez une communuté de l Première ntion oji -crie du Cnd, même si les concentrtions en po A1 étient significtivement plus sses chez les hommes ynt un tour de tille hypertriglycéridémique, ces concentrtions étient en fit plus élevées, mis de mnière non significtive, chez les femmes présentnt l même crctéristique 15. Cette différence qunt à l po A1 entre les sexes pourrit expliquer, en prtie, le fit que les femmes tteintes de diète sont dvntge à risque de coronropthie que les hommes souffrnt de l même mldie 16. Une prépondérnce de petites prticules denses de LDL et de petites prticules de HDL est ssociée à l oésité 17, à un risque ccru de coronropthie 18 et à l insulinorésistnce, qu il y it ou non présence de diète 19. L réduction spécifique des prticules de HDL de grnde tille (insi que l ugmenttion possile des prticules de HDL de petite tille), 43 Vol. 31, n o 1, décemre 2010 Mldies chroniques u Cnd

6 ne résultnt ps nécessirement en une réduction significtive des concentrtions en po A1, pourrit expliquer les files tux de cholestérol HDL chez les diétiques 19. Dns le cdre de notre étude, l forte prévlence du diète nous menés à penser que les files tux de cholestérol HDL relevés pouvient être ttriules à l chute du nomre de prticules de HDL de grnde tille, prticulièrement chez les femmes âgées. De plus, les tux de cholestérol HDL dns les cs d oésité pourrient être moins élevés chez les femmes que chez les hommes 20, et les concentrtions en po A1 pourrient donc églement différer entre les deux sexes en réction à l oésité. Les résultts ppremment contrdictoires otenus pour les tux d po A1 et de cholestérol HDL pourrient voir une incidence sur le rôle que jouent l po A1 et le rpport po B-po A1 dns l prédiction du risque de mldies crdiovsculires chez cette popultion. Les recherches à venir devrient viser à déterminer les effets sur l snté crdiovsculire de l concentrtion d po A1 et du rpport po B-po A1 chez les Autochtones souffrnt de diète. Le rpport po B-po A1 s est révélé un fcteur prédictif du syndrome métolique chez les prticipnts non oèses, mis ps chez les prticipnts oèses 21. Cel pourrit s expliquer pr le fit que les personnes oèses sont dvntge sujettes u diète. Les vleurs moyennes pour l po A1 relevées chez les prticipnts diétiques de l communuté à l étude étient prtiquement identiques à celles des ptients non diétiques, mis les tux moyens de cholestérol HDL étient significtivement inférieurs chez les prticipnts tteints de diète. Cette constttion vient ppuyer l hypothèse selon lquelle le profil de HDL des memres de cette communuté est essentiellement composé de prticules de petite tille, ce qui mintiendrit les tux plsmtiques de HDL peu élevés mis ferit ugmenter les concentrtions d po A1. Notre étude comporte plusieurs limites. Même si nous ne sommes ps en mesure de déterminer si l échntillon étit entièrement représenttif de l popultion, nous pouvons ffirmer qu il l étit sur le pln de l âge et du sexe, et qu il n étit ps constitué de sujets ffichnt le pire étt de snté. Seuls 105 des 275 memres de l communuté ynt préllement reçu un dignostic de diète ont prticipé à l étude. De plus, seulement 3 des 10 memres de l communuté ynt sui une mputtion et ucun des 15 memres souffrnt d insuffisnce rénle terminle ont colloré vec nous. Nous n vons ps évlué l tille des prticules de lipoprotéines ni l réprtition de l tille des prticules selon le type de lipoprotéine. En rison de l nture trnsversle des données, nous n vons pu produire ucun résultt en terme d éqution. En conclusion, les profils plsmtiques des lipides tout comme ceux des polipoprotéines chez les memres de l communuté à l étude révèlent un risque de mldies crdiovsculires élevé. L mjeure prtie du risque est ttriule u nomre élevé de personnes souffrnt de diète et d oésité et à l modifiction du profil lipoprotéique ssociée à ces fcteurs. Il nous fut dvntge de données sur l tille des prticules de lipoprotéines et sur l réprtition des prticules de HDL et de LDL de petite, moyenne et grnde tille fin de confirmer notre hypothèse. Les données préliminires recueillies peuvent tout de même être utilisées pour orienter les interventions visnt à réduire l prévlence des mldies chroniques chez les Autochtones cndiens. Remerciements Cette recherche été ppuyée finncièrement pr les Instituts de recherche en snté du Cnd (IRSC) et le Conseil mnitoin de l recherche en mtière de snté. Ntlie Riediger est titulire d une ourse d études doctorles des Instituts de recherche en snté du Cnd. Références 1. Annd SS, Yusef S, Jcos R, Dvis AD, Yi Q, Gerstein H, et l. 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