QUELQUES ASPECTS DE LA PETITE IRRIGATION - DANS LE NORDESTE ~RESIL~EN -,

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1 '5 Les Cahers de la Recherche Développement no 19 Septembre QUELQUES ASPECTS DE LA PETTE RRGATON DANS LE NORDESTE ~RESL~EN,. F. MOLLE*, R.COURCER*, E. CADER" r 'élevage et d'agrculture plbvale de subsstance, le Sertão es, une mportante vague d'expanson de l'rrgaton : cette NTRODUCTON Depus les années 60, la coopératon scentfque et technque françase apartcpé aux travaux du gouvernement bréslen vsantà meux connatre et meux utlser les ressources en eau de la régon semarde du Nordeste. Commencés avec la partcpaton à un vaste projet de mse en valeur d'une régon arde de 'Etat du Ceara, et poursuvs par des études hydrologques fondamentales, les travaux se concentret, depus quelques années, sur l'étude des ressources et des technques adaptées à la pette rrgaton. Cette voe de développement, décentralsée et adaptée à la stuaton socale, écol6gque et économque du Nordeste, n'a que dx ans. Elle a démontré un réel dynamsme, mas se trouve auss confrontée à une stuaton complexe. Cet artcle se propose de présenter quelques déments permettant une melleure compréhenson des problèmes et évolutons de ce projet. DlSPONlBlLlTES ET UTLSATON DE L'EAU La carte géologque du Nordeste fat apparaître deux zones prncpales, sensblement égales quant à leur superfce : une zone crstallne et une zone sédmentare couvrant l'essentel de 'Etat du Pau, du Maranhão, une parte de la Baha, et du Ro Grande do Norte (fg.1). 1. Les ressources en eau Les ressources en eau souterranes des zones sédmentares sont consdérables et accessbles par des puts classques et l'on estme à 400 mllards de m31es volumes explotables annuellement. En revanche, dans le socle crstaln, largement mperméable, en dehors des grands cours d'eau, les ressources en eau provennent prncpalement des barrages et des retenues collnares dont le nombre avosnerat On évalue à 20 mllards de m3 le volume d'eau ans stocké, dont plus de la moté (57%) correspond 8257grands barragespublcs (données de 1985 excluant le barrage de Sobradnho sur le fleuve São Francsco : 37 mllards de m3). * ATD MAE Brbs '* ORSTOM Brbsl l

2 l ~~ Quelques donnees hstorques :. 'hstore de la colonsaton du Nordeste et partant celle du Brésl, 3commencé par le défrchage et l'explotaton (pour la culture de a canne à sucre) des zones c6tères dont les sols tropcaux nuges et épas étaent recouverts par une forêt dense. La parte ntéreure du Nordeste, le Sertão, dont la poston géographque jevrat lu conférer un clmat tropcal, est en fat, de par un comexe phénomène clmatologque, une r6gon semarde mons xcuellante : elle ne fut mse en valeur qu'à partr du 17bmsècle, quand l'augmentaton de la populaton mplqua la nécessté de :réer un Blevage bovn pourvoyeur de vande et d'anmaux de trat. a ve s'y est aloes développée autour des grandes proprétés j'élevage extensf tands que l'agrculture de subsstance restat mtée aux zones écologquement favorables. 9u sècle derner, le développement de la culture du coton a 3erms un nouvel essor de la régon et favorsé la crossance atfundare sur la base de l'assocaton élevage bovn + coton,érenne, en utlsant le plus souvent le traval de métayers. Au 2ff" sècle la stuaton nternatonale du coton et de 'ntégraton progressve de la régon dans le contexte natonal provoque me crse des systèmes agrares caractérsée par l'exode rural et a paupérsaton des paysans. Cette structure tradtonnelle s'est perpétuée au long des sècles, durement mse à l'épreuve par les sécheresses récurrentes que l'on connat, la demhre dentre elles ( ) Btant encore Den présente dans les esprts.. Quelques aspects de la pette rrgaton dans le Nordeste Brblen Un problème socal et foncer. En dépt d'un gros effort d'nvestssement dans les nfrastructures de base (routes, eau potable, électrfcaton...) la stuaton socale du Sertäo reste excessvement préoccupante. Avec son taux d'analphabétsme, son taux de crossance démographque et sa mortalté nfantle record, le Nordeste consttue un réservor de mand'œuvre pour le Sud du pays, ndustralsé et prospère. Dans le Sertão, en dehors de certans pôles de développement comme la vallée du São Francsco, 'économe reste centrée.sur les productons tradtonnelles : mak, harcots, brques, tules, bos, cur, vande, dont dépend 80 Yo de la populaton. La stuaton foncère, notorement nque et déséqulbrb se résume en quelques chffres : 5 % des proprétares concentrent entre leurs mans 70 % des terres. S les proprétés de mons de 10 ha n'occupent que 4 % de la superfce du Nordeste, elles sont en revanche la base de la producton almentare. Les grandes proprétés, de plus de 1.O00 ha, n'y contrbuent pour leur part que &ans une proporton de 7,5 %. Les premères produsent 72 Yo du rz, 68 % des harcots, 67 % du manoc, 57 % du maïs alors que pour les proprétés de plus de 500 ha les productons respectves sont dérsores : 3 %, 3 %, 2 %, 5 %. Fg. 1 Les ensembles gfologqucs du NordcstQ Fg. 2 solhyetes et polygone de la skheresse 90

3 Pour un apport pluval annuel moyen de mlle mllards de mètres cubes. on estme qu on pourrat, apres stockage et déducton des pertes par Qvaporaton, dsposer d un volume utle de 40 mllards de m3. Ces chffres mettent en Qvdence la fable proporton des russellements et des nfftratons profondes, de l ordre de 8 %. Le reste des apports hydrques est reprs par Mvapotranspraton. Dans les zones les plus ardes les *coule Ants ne sont.qu exceptonnels alors pue, par exemple, pour le bassn parsen ce taux est de 47!. En dehors des r&servors superfcels, la Fane crstallne possede des ressources souterranes lmtées aux falles et aux fractures du socle ; elles sont souvent peu abondantes, salns8es etd accès dffcle. exste toutefos une excepton notable : 5 % du crstalln, sot à peu pres km*est recouvert de pettes formatons alluvales, d une profondeur moyenne de 3 m&res et en general tres fertles ; stues Qvdemment dans le fond des vallées, ls sont assoces à des nappes phreatques peu profondes et auxquelles, dans la pratque, on accède par des puts larges et de fable profondeur (appelés puts aamazone*) ou de smples trous (ucacmbas*). Ces reserves specfques correspondraent à un volume de 5 mllards de m3ce qu, en foncton de la réalmentaton annuelle, devrat permettre de dsposer de 1 ou 2 mllards de mvan. Pourcomplétercet nventare l convent d &oquer lefacteurprncpal qu permettrade dmprendre la problématque de l utlsaton de l eau dans le Nordeste breslen : l s agt de la grande rregularté des précptatons, d une part au sen d une même année, pusqu l n est pas rare de ver 60 % ou 50 % du total annuel tomber en mons d une semane, d autre part dans la varablté ntérannuelle, comme le prouvent les nondatons de 1985 fasant sute a 5 ans de srscheresse. Cette rrégularté rend le stockage et la geston de l eau problématques et, en partculer dans la zone crstallne où les problèmes sont plus agüs et où se concentre notre traval. 2. Utllsatlon de l eau. :.::.: :. A :; :; :..... : ::..;:j:.:.:. :. : : ~+des amenagemenls: De l amont vers l aval des bassns versants, on trouvera tout d abord, sur les russeaux et les pettes :,,,.<. :::,:::;:<.: qdajté&y.; j,;:, :./..,., :./ rvères ntermttents, des retenues collnares appelées rbarrerom ou pett waçudem (fgure 3). : Fg. 3 Les dverses stuatons de l utlsaton de l eau t 91

4 Ces retenues, de volume en général nféreur à m3, consttuent des ponts d eau temporares pour le bétal et se trouvent généralement à sec à la fn de la pérode sèche. Elles servent auss, plus rarement, à paller les rrégulartés de la sason des plues et sont alors utlsées pour sauver les cultures pluvales (rrgaton da cesalvação))). Plus en aval, on trouvera des retenues un peu plus consequenes, les ccaçudesu moyens ; ces réservors, d une capacté de l ordre de à m3, même utlsés de façon contrôlée demeurent le plus souvent en eau toute l année, en dehors des pérodes crtques de pluseurs années consécutves de sécheresse. Notons que cet ordre de grandeur relatf aux volumes n est qu ndcatf car la ccrésstancen de açude dépendra ben sûr prncpalement de sa profondeur (pour Pévaporaton) et de son bassn versant (pour la réalmentaton), sans parler des caractérstques pluvométrques locales. Ces açudes moyens sont utlsés pour l almentaton humane et anmale et commencent a l être pour l rrgaton. Tradtonnellement, et cec d autant plus s ls sont stués sur une de.ces pettes formatons alluvales, les terres drectement à l aval de la retenue sont plantées d arbres fruters, de fourrage ou de canne à sucre. Ces cultures bénéfcent de l humdté naturelle des alluvons et surtout des nfltratons provenant de açude. La culture de décrue sur les bords humdes des retenues est auss, selon les régons, assez couramment pratquée et l on plantera volonter des fourrages, des patates douces, des pastèques ou des melons. L rrgaton, quand elle est pratquée, se fat, sot sur les versants de la retenue, par pompage, sot dans la parte aval, des technques gravtares par sphons peu couteuses pouvant alors être utlsées. L rrgaton se fat auss très souventà partr de puts amazone stués dans desjormatons alluvales un peu plus larges. Ces puts, souvent fats à la man avec des brques artsanales, permettent généralement l rrgaton de 1 à 2 ha avec,des débts avosnant 4 m3/h. Les grands açudes en general publcs, sont des ouvrages d une talle suffsante pour assurer la pérennté de la ressource en eau :ls sont généralement conçus pour l almentaton des vlles, la régulaton des crues, la pérennsaton des rvères et parfos l rrgaton de grands pérmètres. La pette rrgaton prvée sur les bords des grands açudes est en plene expanson. Un phénomène smlare se produt sur les berges des rvères pados pérennsées par les barrages. Le pompage se fat sot dredement dans le cours d eau, sot dans les puts amazone stués dans le ltmajeur. En dehors de cettte rrgaton à caractère décentralsé, l faut rappeler que plus d un ters de l rrgaton dans le Nordeste se fat àpartr du São Francsco, grand fleuve qu prend sa source dans Etat du Mnas Ceras et traverse le Sertão sur plus de km.. LES CONDTONS DU DEVELOPPEMENT DE LA PETTE RRGATON 1. Stuaton nsttutonnelle L rrgaton dans le Nordeste n a vrament commencé que très tardvement, vers 1970, et on n y comptat àcette époque que ha rrgués. (De manère générale, le Brésl, qu se place au geme randmondal pour les ressourcesen eau, ne se trouve qu au 31emme pour ce qu est de leur utls aton). Le Nordeste possède actuellement envron hectares rrgués : par des grands 3 organsmes d rrgaton publque et le reste par l rrgaton prvbe. Au Brésl, on regroupe sous 3 l appellaton cerrgaton publque. l ensemble des pérmètres qu ont été fnancés et sont gérés par Etat. Au contrare on appelle e rrgaton prvée),, les pérmètres fnancés et gérés par les agrculteurs, même s ls ont été largement subventonnés. faut sgnaler que les deux ters de cette dernère sont consttués de petts projets mplant& ces dernères années, dans le cadre de programmes spécaux (Sertanejo, Prohdro, Provarzeas, etc...) qu offraent des crédts subventon nés. Ces projets régonaux, par leur superposton quelque peu archaïqüe et la multplcaton des organsmes et des nfrastructures qu ls engendraent, n ont été que des réusstes partelles et d alleurs successvement abandonnés. Lancé en 1987 par le gouvernement actuel, le Programme Natonald lrrgaton (PRON) s est donne comme objectf de porter la superfce rrguée du pays, à la fn de 1990, à 3 mllons d hectares, dont.., un mllon pour le Nordeste (PRQNE). : Ce projet ambteux S est vtëtroupé confronté à la réalté et, pour annéel 987, n a attent que 5.. de l objectf annuel prévu. Dans b Nordeste, la pette rrgaton prvée est prncpalement prse en compte par le Projet d Appu a0 Pett Producteur (PAPP), fnancé sur 15 ans par la Banque. Mondale. s agt de petts systèmes ne dépassant pas généralement 4 hectares rrgués par famlle, qu sont nstallés sot chez des proprétares solés, sot dans des communautés rurales organsées. 92

5 u Les avantages de la pette rrgaton prvbe._ * La pette rrgaton prvée, qu se conçot comme une dversfcaton du système de producton de l agrculteur, favorse une melleure valorsaton de la force de traval famlale, employée ans tout au long de l année, et dont la producton ne dépend plus autant de l rrégularté des plues. Les bénéfces provenant de la pet_te rgaton, même s ls permettent de doubler le revenu famlal, restent modestes ; ls hdukent néanmons une certane sécurté et un jébut de captalsayon qu favorsent de façon déterdnante la fxaton des famlles rurales dans leurs localtés.. De plus, la pette rrgaton prvée ne demande que des nvestssements productfs modestes (500 à $/ha pour les systèmes les plus courants et 3 h $ pour une rrgaton localsée). Elle permet, par rapport B la grande rrgaton publque, l économe des transformatons foncbres, des nfrastructures d nstallaton des rrgants et de la geston des nouveaux ensembles, sans oubler les drames provoqués par les expropratons, les déplacements de populatons et les dscontnutés socales ntrodutes. ~. Ladsperson des rrgants pose ben sûr des problèmes partculers (commercalsaton, assstance technque, électrfcaton...). Mas la pette rrgaton, mons chère et plus ntégrée aux réaltés socales, consttue une des voes prortares du développement du Nordeste et complète les grands projets d rrgaton comme ceux du Ro São Francsco. Son extenson dépend aujourd hu de nombreux facteurs do t la conjoncton est ndspensable. 3. La stablsaton de la poltque du credt rural. r Apes deux tentatves2e contrôle de l nflaton en 1986 et 1987, cellec a attent quasmenf400 YO en Dans ces condtons, Etat Bréslen a du, après 15 ans d une poltque de crédt rural non ndexé sur l nflaton qu correspondat en fat à de très mpotantes subventons aux agrculteurs, mettre au pont des condtons de credt plus contrôlables en séparant subventons, ntérêts et actualsaton en foncton de l nflaton. Les agrculteurs, B quon avat donné l habtude de mêler ces tros déments, en ne fasant apparaître que des ntérêts souvent nféreursà la moté de l nflaton, ont fu en masse tous les programmes de crédt rural. Même le programme du PAPP, qu offre 50 % de subventon pour les petts agrculteurs, n est pas accepté par les producteurs qu cragnent que les prx agrcoles ne pussent suvre l nflaton, c estàdre quadrupler ou quntupler en un an comme en On peut penser auss que les agrculteurs ayant connu des condtons plus avantageuses, lorsque l nflaton rédusat leurbett e entermes réels de 30 à40yochaque année, attendent un retour à de plus mportantes subventons. L ncerttude quantà évoluton de l nflaton et quant aux adaptatons des condtons de crédt est totale, début 1988, et le rsque d une paralyse durable des crédts d nvestssements n est pas à écarter. 4. Les perspectves de commercalsaton des produts agrcoles ou transformés Des revenus monétares mportants sont ndspensables pour fare face aux nvestssements ntaux et aux coûts d opératch desystème2 d rrgaton, même les plus smples et les plus petts. Les agrculteurs du Nordeste peuvent dffclement compter, pour garantr ces revenus, sur la commercalsaton des produts almentares tradtonnels (maïs, harcots, manoc, rz...) qu sont largement concurrencés par les produts du Sud et du Centre Ouest. Par contre, la producton de légumes et de fruts rrgués (tomates, ognons, povrons, melons, pastèques, rasns, mangues..,) s est beaucoup développée depus dx ans en proftant de la stuaton géographque, des condtons écologques et du fable coût de la mand œuvre focale, et consttue une des melleures optons pour les nouveaux rrgants. Jusqu à présent, en dehors des petts marchés locaux dont la capacté d absorpton est lmtée, les petts rrgants n ont pas la possbltéd écouler leurs produts fras sur les grands marchés natonaux et nternatonaux. Pour les produts transformés localement (concentré de tomates, conftures de banane et de goyave...) des agrondustres de toutes talles s approvsonnent déjà dans certanes régons semardes. On peut penser àfavorser l nstallaton de nouvelles agrondustres et, surtout favorser l organsaton des rrgants en coopbratves (formaton, appu technque, fnancements et équpements) pour, d une part renforcer les producteurs dans leurs négocatons avec les ndustrels, et, d autre part prendre en charge une parte du ramassage ou le premer tratement des productons et organser des débouchés sûrs pour les produts fras. En dehors de ces produts à haute valeur ajoutbe, l faut cter la culture des fourrages rrgués dont le dynamsme est spectaculare. Cette pratque permet notamment la soudure entre la fn de sason sèche 4t les premères plues, élmnant la nécessté de l achat de ratons. 93

6 ~ mas 5. Les nterventons fonchres... & La geston des ressources en eau... D autres produts agrcoles exgeant une mand œuvre mportante, comme le coton herbacé, le rasn, le tabac, pourraent être plus dffusés dans le cadre du développement de la pette rrgaton. Laconcentraton des populatons le long des rvères et prèsdes ressources en eau en général, pour garantr l accès à l eau potable, est une tendance de fond dans l occupaton de la zone semarde. Ans les zones qu sont utlsables pour la pette rrgaton sont souvent socalement meux dstrbuées que l ensemble des terres. Cependant les terres explotées par les petts agrculteurs le sont trop souvent sans reconnassance légale, alors que les crédts subventonnés ne sont, en pratque, accessbles qu àceux qu prouvent légalement leur drot sur la terre. est donc prortare d étendre les programmes de légalsaton des stuatons foncères à où la pette rrgaton peut être développée. mporte auss d organser la dstrbuton des terres récupérées par le programme natonal de reforme agrare en foncton de l utlsaton possble des ressources en eau, en prévoyant de donnerà chacun l accès à la pette rrgaton pour dversfer son système de producton. Enfn la créaton de grands barrages nondant généralement des terres largement occupées, justferat une redstrbuton foncère systématque du bord des plans d eau pour rénstaller les populatons déplacées et maxmser l usage socal des ressources créées. Déjà, apparassent dans certanes stuatons de séreux conflts pour l utlsaton de eau. se pose donc un double problème de planfcaton de l utlsaton des ressources hydrques et d équté dans leur dstrbuton. Aujourd hu, payexemple, la geston de certans barrages esttrés aléatore et dépeng d nsttutons varées qu réagssent, quand elles le peuvent, aux sollctatons des rrgants, en dehors de toute planfcaton préalable et sans technque de geston. Pour lmter ces dffcultés, l faut prévor : Une réglementaton qu exgera des autorsatons pour l mplantaton de nouveaux systèmes et la constructon de nouveaux ouvrages ; L organsaton des utlsateurs qu devront meux défnr et exprmer leurs besons, de façon à amélorer la geston des retenues et des ressources en général ; La fxaton des mécansmes nsttutonnels nécessares aux arbtrages entre les dvers utlsateurs (rgaton, eau potable, psccukure, électrcté, amont et aval...). Actuellement pluseurs mnstères de la Fédératon et de pluseurs Etats du Nordeste admettent la nécessté de la geston des bassns hydrographques et des efforts sont en cours pour en défnr les moyens et les méthodes. En l absence d un règlement global, ndéfnton nsttutonnelle et légale rsque malheureusement de perdurer. 7. L Blectrfcaton rurale.. Au Brésl et dans la régon Nordeste, les rapports de prx sont très favorables à l énerge électrque, ce qu est logque étant données les ressources hydroélectrques et la dépendance en carburants mportés. Le coût du pompage avec des moteurs électrques est près du ters dum@ du pompage avec :des moteurs desel, les autres carburants étant encore mons. ntéressants. Les Qnerges alternatves n ont pas eu de développement séreux du fat de leurs coûts prohbtfs (cellules photovoltaques) ou de lmtatons de pussance et de problèmes de réparaton3(éolennes et bodgesteurs). La motorsaton des pompages étant déjà largement dffusée, l ntroducton de.....~..., L..._.. L... ) systèmes de pompage à energe humane ou anmale, malgré les fables nvestssements ntaux qu ls permettent, semble peu adaptée à la stuaton. Les programmes d électrfcaton rurale spécfquement orentés vers l rrgaton semblent en bonne voe et des projets de grande envergure vennent d être fnancés dans le cadre du programme natonal d rrgaton. que et la formaton La culture de nouvelles plantes, l utlsaton des équpements d rrgaton et la condute de l eau : représentent une masse de connassances pratques à transmettre aux nouveaux rrgants. e Les organsmes, d assstance technque et de vulgarsajon prennent généralement en charge ces tâches de formaton et élaborent les projets technques pour chaque nouvel rrgant. Le développement et le succ$s de la pete rrg&on dépend donc drectement descapäctés d exécuton des techncens de terran et de leur dsponblté pour en assurer le suv. De façon plus générale de nombreuxprofessonnels devront être formés dans les Etats au nveau des equpes de vulgarsaton auss de concepton, de planfcaton, de réalsaton et d op6raton des projets d rrgaton. 94

7 L expérence récente a montré qu l est préférable de former, notamment par des exercces pratques, quelques professonnels trés sur le volet, plutôt que de pulvérser des connassances théorques de nombreux techncens dont une mnorté seulement aura des chances de les valorser. 9. La $sponblt6 de materds fables et adaptes La nouveauté du marché des équpements d rrgaton a faclté l appartode matérels de qualté nsuffsante. On rencontre ansj des tuyaux de polyéthylene qu se fendent ou se cassent après dkux ou tros ans ou des asperseurs qu s usent en un an... Heureusement les projets actuels de défnton de nouvelles normes technques et d organsaton de tests de matérel nous permettent d espérer une améloraton de la qualté des produts. De plus, la maturaton et le développement du marché de matérels d rrgaton et des travaux de recherche et d adaptaton permettront de dversfer les optons technologques dsponbles. 111 LES TRAVAUX DE COOPERATON TECHNQUE FRANCOBRESLENNE 1. Les technologes pour la pette rrgaton Depus 1980 le projet TAP, utechnologes Approprées à la Pette rrgatons, s attache à la mse au pont, l adaptaton et la dffuson de technologes d rrgaton adaptées aux condtons écologques et socoéco omques ds la régon semarde du Nordeste Bréslen. A l heure actuelle, le proje 9 se dvse en deux branches prncpales : étudeet le test de technologes de mcrorrgaton et un projet de mse en valeur des açudes, réalsé en collaboraton avec une equpe de ORSTOM. g nsere dans le grand Prog ramme régonal d Appu au Pett Producteur (PAPP), le projet se consacre auss 21 des travaux méthodologques pour les composantes de crédt rural, de formaton des agrculteurs, de vulgarsaton et de recherche et afn appuye les dvers programmes nécessares au développement de la pette rrgaton. Lors du démarrage du Projet, de nombreuses technques ont été testées : l utlsaton de l énerge solare pour le pompage, l rrgaton par asperson (canon, asperseur moble), par gravté (tubes à vannettes) et localsées (rampesperlorées, mcroasperson, goutte A goutte,..). Très vte l ntérêt s est concentrésur un Systeme d rrgaton locals6e, dérvé du système BasRhdneLanguedoc, dénommé localement.xquexque* et spécalement bon marché pusque, après smplfcaton, l fonctonne sans fltre et sans dstrbuteur. Un manuel de concepton des projets et d utlsaton de ce système smplfé de rampes perforées, la mse au pont de systèmes adaptés de cultures assocées de fruters et de cultures annuelles et la réalsaton de nombreuses démonstratons à l ade de pluseurs programmes de développement, ont perms la dffuson de cette technologe. Aujourd hu le uxquexque. fat parte de l évental des optons offertes à l agrculteur nordestn. La dffuson du <<XqueXjque,B a perms de démgntrer l ntérêt des systèmes à haute effcence et cec spécalement dans les cas où la ressource en eau est très lmtée (cas des forages ou des puts à petts débts) ou d utlsaton délcate (cas des eaux chargées en sels utlsées dans des sols dranants). Le plus grand fren au développement des systèmes d rrgaton localsées au nveau des plus petts producteurs est le codt ntal des Qqupements. Mas l expérence de dffuson lmtée a pu montrer qu avec des crédts subventonnés et un appu technque suffsant, ces systèmes peuvent être très ntéressants pour des petts producteurs famlaux notamment du fat des économes d eau, d énerge et de mand œuvre pour l rrgaton. Depus 1986, ayant constaté que les smplfcatons apportées au système.xquexque>> avaent fortement lmté les avantages de la technque ntale (unformté de l rrgaton et longueur des rampes), le projet TAP teste en mleu réel sx systèmes orgnaux d rrgaton localsée et dvers matérels déjà dffusés en France et devant pouvor s adapter aux condtons du Nordeste. D après les premères observatons on peut cter l ntérêt suscté par des goutteurs autorégulants, un fltre flottant utlsé à l aspraton en guse de crépne, un fltre performant utlsant un textle à pols synthétques, les mcrotubes et mndffuseurs d un emplo smple. Pour la dffuson des nouveaux systbmes, le projet prévot de partcperà la rédacton de manuels, la créaton d untés d observaton et de démonstraton, et la formaton de techncens à l rrgaton localsée. Parallèlementà ces études, des tentatves sont fates pour utlser des tules et des tuyaux en Potere pour les systbmes gravtares en aval des <<açudes.. Les très nombreuses pettes brqueteres artsanales permettraent alors de produre localement des matérels très bon marché. 95

8 2. Mse en valeur des açudes Le nombre mpressonnant d açudes exstants dans le Nordeste (de l ordre de ), alors que leur densté peut attendre 0,6 açudes/km2, contraste très vvement avec le peu d utlsaton qu l en estfat. Dans une régon où évaporaton moyenne annuelleest de ordrede 2,OO m et peut attendre près de 3,OO m., où les ressources en eau sont fables et préceuses, on comprend mal cette sousutlsaton. On se souvendra premèrement qu l n exste aucune tradton de l rrgaton dans le Nordeste et que cette actvté ne s mpose réellement que depus peu, en commençant ben sûr, par ceux qu dsposent de l accès au crédt et au captal et de l ouverture d esprt nécessare. Une deuxème explcaton nous est fourne par l hstore des sècheresses pérodques qu a profondément marqué les mentaltés et qu se tradut par des rétcences psychologquestout àfat naturelles : on n utlse pas l eau pour évter de la gaspller. Enfn l on pourra cter des rasons d ordre technque, spécfques des açudes, et qu se rapportent à la dffculté d évaluer les volumes dsponbles, les pertes par évaporaton, les quanttés nécessares pour rrguer une superfce détermnée, etc...! l ì 4 a) Le programme ccdbveloppement de la pette rrgaton B partr des açudesu : est né de la constataton d une évdente sousutlsaton et de la conjoncton des travaux hydrologques menés par ORSTOM sur les écoulements dans des petts bassns versants représentatfs et ceux de la Coopératon Françase sur les technologes adaptées à la pette rrgaton. On peut résumer le projet en quatre phases dont les deux premères sont en voe de concluson : PHASE 1 : Etude théorque approfonde de l ensemble <(plue bassn versaht açude pérmètre rrgué* : en utlsant les données d écoulement sur les petts bassns, ORSTOM a élaboré une synthès; hydrologque permettant d obtenr les lame s d eau annuenes (de dverses pérodes de retour) àpartr de lá pluvométre moyenne et de la classfcaton du bassn versant en foncton de sa pédologe, de son relef et de sa couverture végétale. D autres études ont kté menées sur la géométre des açudes pour exprmer analytquement les relatons hauteurlvolume et hauteur/superfce. La détermnaton des constantes géométrques, de ces relatons se fat en foncton de releves topographquement hauteur/superfce et leur précson augmente évdemment avec!e nombre de relevés dont on dspose. Un modèle de smulaton nformatque (P.O.M.A.C.) a été élaboré pour prévor la geston des réservors, dmensonner les açudes et les pérmètres rrgués en foncton d un rsque détermné. D autres petts programmes de calcul ont été conçus comme ade de décson à la plantaton (SPAC) ou pour élaboraton des projets exécutfs (SNELA, SFAO...). PHASE2 : Dans un deuxème temps, 1 O projets plote d rrgaton à partrd açudes ont été nstallés et équpés de manère à pouvor accompagner le blan hydrque de açude et les phénomènes hydrologques (pluvomètres, règles lmnmétrques, hydromètres). Par alleurs, un suv agroéconomque et des collectes mensuelles d eau sont réalsés. Cette expérence pratque permet : de rassembler des données propres à caler le modèle P.O.M.A.C., de recuellr des données hydrologques supplémentares (plueécoulemen4 et des données sur évoluton de la salnté dans les réservors, d acquérr une expérence technque en ce qu concerne la mse en?uvre des systèmes d rrgaton (sphon, tubes à vannettes, etc...), de détermner les ponts sensbles quant à l acceptaton et l applcaton de la méthodologe par le paysan, de dsposer d une base de démonstraton pour une phase de dffuson ultéreure. PHASE 3 : Dffuson lmtée : pour teser la méthodologe élaborée sur une zone plote plus conséquente, un projet de mse en valeur des açudes de la régon du HautPajeu a été lancé avec la collaboraton de Etat de Pernambouc. Cette régon de km2 possède plus de 700 açudes, et prèsde 300 <<barreros*,. y est prévu l mplantaton d une soxantane de projets. Dans un premer temps, une enquête de terran (50 proprétés, trées au sort, ont été vstées et étudées) a perms une melleure compréhenson des systèmes de producton locaux et surtout durôle de açude dans la propré$é, les rasons et les dffcultés de son utlsaton ou de sa sous+tlsaton. PHASEt : Dffusongénérde : parallèlement à l mplantaton des projets sera rédgé le.manuel du pett açude., destné à EMATER, organe de vulgarsaton et de développement rural: CS_ manuel contendra toute l nformaton nécessare au calcul des projets et à la geston des açudes, en ncluant l élevage psccole et les cultures de décrue. 96 l

9 Après l expérence pratque précédente et rajustement des méthodes et du manuel, une phase de dffuson générale dans les dvers Etats nordestns sera lancée. L équpe de la SUDENE devra partcperà la formaton de techncens dans chaque Etat (vdeo, vstes de terran, exercces, etc...) et s assocera aux projets locaux de mse en valeur des petts açudes.. b) Les experences apport& par le projet 5. Revenant à pexpérence présete, on peut dégager un certan nombre d observ&ons générales : *Tros types d utlsaton des açudes Le type de mse en valeur adaptée à un açude donné dépend d un grand nombre de paramètres et, dans la pratque, chaque cas est dfférent ; néanmons, pour les açudes les plus petts et les barrer r os^^, on sera amené àfare laconstataton suvante : avec deux àtros mètres d évaporaton par an et des nfltratons parfos très elevées, pour des ouvrages rudmentares, on ne peut consdérer ces réservors peu profonds comme des ponts d eau sûrs. En conséquence, l est préférable de les utlser tout de sute après la sason des plues de manère à mnmser les pertes par évaporaton. l faut en effet se rappeler que pour un açude de géométre moyenne et de 4 mètres de profondeur, la couche d eau supéreure, stuée entre tros et quatre mètres représente 54 % du volume total. C est ce volume qp sera perdu s l on attend que cette couche $ un mètre s évapore. L agrculteur qu n a pas de bétal ou qu dspose d une autre source d almentaton (açude, put Namazone,, ucacmba, cours d eau...) qu dans la quas totalté des cas, offre une plus grande sécurté, peut alors utlser entèrement l ëau de son pett açude pour l rrgatc;n d un ou deux cycles après lasason des plues. Ans de cet açude de h3 de la régon de Jérco, Parabe, permet l rrgaton de deux cultures successves sur un pett pérmètre de 1,2 ha. Pour les açudes moyens, susceptbles d assurer une régulaton nterannuelle avec une probablté suffsante pourconsttuerdes réservesd eau encasde sécheresse prolongée ;l rrgaton devraêtre chose et dmensonnée de manère à conserver la sécurté de l almentaton. Certans açudes, & vocaton communautare et offrant une certane sécurté d almentaton, consttuent parfos les seuls ponts d eau dsponbles pendant les pérodes crtques et acquèrent de ce fat une mportance partculère, justfant un coût élevé. La culture de décrue, quantà elle, est tradtonnelle dans pluseursrégons et s adapte ben sûr aux réservors les plus évasés. Rappelons toutefos, qu en été, un plan d eau d un hectare évapore chaque jour àpeu près ltres, c estàdre équvalent de l almentaton en eau de bovns : les volumes utlsés pour le bétal sont toujours dérsores dans le blan hydrque de açude. De cette remarque l découle que la constructon d un grand açude pour le seul abreuvage anmal sera antéconomque surtout, répétonsle, quand d autres sources exstent. Problh de geston et solutons La prncpale dffculté rencontrée par le paysan, dans lageston de açude, résde dans évaluaton des volumes et leurs rapports entre eux : volume dsponble, volume évapolé, volume nécéssare pour le bétal ou l rrgaton. Ans cet agrculteur qu estmat que son açude de m3 ne pourrat rrguer plus qu un hectare de banane parce qu l avat 50 bêtes qu s y abreuvaent, ou cet autre qu lassa son sphon ouvert 1 O jours durant pour amouller son herbe à éléphant. Dans la pratque le contrôle des volumes applqués et doncde l effcence de l rrgaton, est dffcle àobtenr sans une orentaton technque régulère. Des règles smplfées devront être élaborées pour donner des ndcatons susceptbles d être assmlées et applquées (en partculer pour l rrgaton gravtare). Le calcul des dsponbltés en eau est souvent complqué quand exste l assocaton açudeformaton alluvaleputs amazone, ce derner peut alors paller. les défcences de açude, en partculer pour des cultures pérennes. Dans la pratque, cette assocaton est extrêmement ntéressante et contrbue à conférer àces pettes formatons alluvales une mportance de premer ordre. Un autre aspect de cette dffculté est le dmensonnement de la superfce a planter et rrguer en foncton du nveau d eau dans açude, des cultures choses et des caractérstques locales (forme de açude, évaporaton, etc..). Des petts programmes de calcul et des abaques permettent de répondre à cette queston. Au nveau de la pratque de l rrgaton, on retrouve le problème du dranage. Les bas fonds en aval des retenues sont souvent mal dranés et on y vot parfos apparaître des phénomènes de concentraton des sels. f 97!

10 Coots et materels Le coût de l rrgaton est extrêmement varable : pour un smple sphon de 3 pouces de damètre (avec vanne et clapet) on peut rrguer 2 hectares pour francs. S un planage est nécessare (3.000 FF par hectare) ou qu un aducteur, vore des tubes à vannettes, mènent l eau à la parcelle et la dstrbuent (1 O0 francs le tube de 6 mètres de PVC), l nvestssement en sera augmenté d autant. S l rrgaton se fat par asperson, les coûts ne sont pas dfférents des projets d rrgaton classques. faut ajouter àcec ladépense consttuée par le jeu de règles lmnmètrques de açude (ou de poteaux ndcateurs). L accent a donc été ms sur le développement des technques gravtares non consommatrces d énerge et bon marché. La technque du sphon a donné, en partculer, d excellents résultats. CON CLUSON L rrgaton, qu elle sot grande ou pette, publque ou prvée, représente surtout depus les dx dernères années un Blhment de soluton, malheureusement partel et lmté, à la msere endémque du Nordeste bréslen. Sans néglger les possbltés d améloraton de l élevage et des cultures pluvales, la maîtrse de l eau demeure un objectf prncpal pour se soustrare aux rregulart6s clmatques. La pette rrgaton, tant de nouvelles cultures que de fourrages supplémentares, peut être consdérée comme très ben adaptée à la réalté socale. On peut cependant redouter certans effets pervers dûs au manque de planfcaton et de contrôle technque (surrrgaton, salnsaton, problèmes de geston de l eau ou de commercalsaton...) et espérer que certans obstacles structurels (réalt8 foncère, crédt rurd, légslaton...) vennent à dsparaître progressvement. Amélorer l utlsaton de l eau en adaptant des technques d rrgaton localsée, mettre en valeur le formdable potentel des nnombrables açudes consttuent deux axes de recherches qu devraent contrbuer à un melleur usage des ressources hydrques du Nordeste. 98

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