Précis DÉPARTEMENT DE L ÉVALUATION DES OPÉRATIONS PRINTEMPS 1999 N U M É R O Renforcement des capacités de suivi et d évaluation en Afrique

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Précis DÉPARTEMENT DE L ÉVALUATION DES OPÉRATIONS PRINTEMPS 1999 N U M É R O Renforcement des capacités de suivi et d évaluation en Afrique"

Transcription

1 Précis DÉPARTEMENT DE L ÉVALUATION DES OPÉRATIONS PRINTEMPS 1999 N U M É R O Reforcemet des capacités de suivi et d évaluatio e Afrique N SÉMINAIRE DE HAUT NIVEAU, TENU À ABIDJAN (Côte d Ivoire) e ovembre 1998, a rassemblé des équipes de hauts foctioaires de 12 pays d Afrique et de U21 istitutios iteratioales d aide au développemet. Elles avaiet pour tâche d étudier l état actuel et d aider à plaifier l aveir du développemet des capacités de suivi et d évaluatio (S&E) e Afrique. Les participats ot recou que le S&E était cosidéré auparavat comme ue activité meée essetiellemet par les bailleurs de fods, mais que tel était plus le cas. Plusieurs pays d Afrique à l istar de ceux d Asie, d Amérique latie et des Caraïbes cherchet à reforcer les capacités atioales de S&E afi d e retirer les avatages das le cadre de leurs propres programmes de développemet. La tedace modiale à u mode d admiistratio plus resposable, plus proche des citoyes et plus efficace a rehaussé l attrait des programmes de S&E, qui sot par ailleurs d ue utilité évidete lorsqu il s agit de souteir les réformes evisagées das le secteur public et de tirer le meilleur parti possible de ressources limitées. Abidja 1990, Abidja 1998 E mars 1987, ue coférece a été orgaisée sous les auspices du Comité d aide au développemet (CAD) de l Orgaisatio de coopératio et de développemet écoomiques (OCDE) pour permettre aux bailleurs de fods et aux bééficiaires de procéder à des échages

2 2 Départemet de l évaluatio des opératios de la Baque modiale de vues sur l évaluatio. Cette coférece a fait ressortir la écessité de reforcer les capacités d évaluatio des pays e développemet. C est de cette réuio qu est issu le projet d orgaisatio du premier sémiaire d Abidja, qui s est teu du 2 au 4 mai Celui-ci avait otammet pour objectifs d idetifier clairemet les besois d évaluatio tels que les percevaiet les pays eux-mêmes et d étudier les moyes qui permettraiet de reforcer les capacités d auto-évaluatio. La deuxième réuio d Abidja avait pour objet de faire le bila des ombreuses questios abordées e 1990, mais aussi d aller plus loi. Ce sémiaire était orgaisé par la Baque africaie de développemet, avec l appui de la Baque modiale et e cosultatio avec le Groupe de travail du Comité d aide au développemet sur l évaluatio de l aide. Ordre du jour Les objectifs du sémiaire teu à Abidja e 1998 étaiet ambitieux. E effet, o attedait du sémiaire les résultats suivats : Bila des progrès accomplis das le développemet des capacités de S&E e Afrique, das le cotexte de la réforme du secteur public et de la gestio des dépeses publiques. Cosesus au sujet des élémets costitutifs du S&E, de ses buts et des méthodes de S&E à suivre pour promouvoir les activités de développemet. Sythèse de l expériece acquise e ce qui cocere l élaboratio des cocepts relatifs au reforcemet des capacités de S&E, les cotraites recotrées et les approches suivies e Afrique. Idetificatio des stratégies et ressources à mettre e oeuvre pour accroître l offre et la demade de S&E das les pays d Afrique. Défiitio des méthodes d élaboratio d u pla d actio atioal e matière de S&E. Trasmissio aux équipes atioales, représetat 12 pays, des coaissaces et des compéteces écessaires pour élaborer des plas d actio prélimiaires e matière de S&E, compte teu de la situatio particulière de chaque pays. Créatio de réseaux atioaux et régioaux afi d ecourager la poursuite des activités. Afi de réaliser ces objectifs, le sémiaire a réui de hauts foctioaires de l Afrique du Sud, du Burkia Faso, de la Côte d Ivoire, de l Éthiopie, du Ghaa, de la Guiée, du Malawi, du Maroc, du Mozambique, de l Ougada, de la Tazaie et du Zimbabwe aisi qu u grad ombre de représetats d istitutios d aide au développemet, dot la Baque Ecadré 1 : La ouvelle coceptio du S&E LE S&E A LONGTEMPS ÉTÉ CONSIDÉRÉ COMME u processus d aalyse des projets etrepris pour le compte des bailleurs de fods, axé sur les activités fiacées par l assistace extérieure et mettat l accet sur la resposabilité fiacière. L étroitesse de cette coceptio est peut-être à l origie de la faible priorité que ombre de gouveremets et d orgaismes d aide au développemet ot accordée au reforcemet des capacités de S&E. Aujourd hui, o met l accet sur les résultats obteus o seulemet au iveau des projets mais aussi au iveau des programmes, des secteurs et des pays. Le S&E est égalemet cosidéré comme u moye de faciliter l allocatio des ressources, d établir des ordres de priorité et d améliorer la gestio : il offre l expériece passée comme guide et ecourage l expressio et la participatio de la société civile. africaie de développemet (BAfD), la Baque modiale, le Groupe de travail du CAD sur l évaluatio de l aide, le Programme des Natios Uies pour le développemet (PNUD), le Départemet du développemet iteratioal du Royaume-Ui, l Agece daoise pour le développemet iteratioal (DANIDA), le miistère orvégie des Affaires étragères, l Agece suédoise de coopératio iteratioale au développemet, la Directio suisse du développemet et de la coopératio, le miistère fraçais des Affaires étragères et la Baque iteraméricaie de développemet (BID). Qu apportet le suivi et l évaluatio? Les participats au sémiaire ot exprimé des avis divers sur ce que les pays e développemet peuvet attedre du reforcemet des capacités atioales de S&E. Ils ot oté que les coclusios des évaluatios peuvet, e permettat aux pouvoirs publics de predre des décisios mieux iformées e matière d allocatio des ressources, clarifier le processus de décisio, particulièremet e matière budgétaire. Elles permettet égalemet d utiliser plus efficacemet et plus judicieusemet les ressources limitées dot disposet les pays. Cette coceptio est, par coséquet, plus large que la otio traditioelle de S&E au iveau des projets. Le S&E apparaît aujourd hui plutôt comme u processus qui permet aux pouvoirs publics d évaluer leurs ressources et d établir u ordre de priorité budgétaire pour l utilisatio des ressources, aussi bie extérieures que atioales. Le S&E offre égalemet aux décideurs u moye de suivre l exécutio des activités e cours aux iveaux atioal ou sectoriel, ou au iveau des programmes ou des

3 Précis 3 projets. Aisi, il costitue u outil de gestio axé sur les résultats, qui peut favoriser le développemet du savoir et d améliorer les résultats. La possibilité de predre coaissace des coclusios du S&E permet égalemet aux citoyes d être iformés de l efficacité des efforts de développemet meés par les autorités atioales et de la qualité de la gestio des affaires de l État. Le devoir de trasparece s applique aussi à la qualité de l actio des orgaismes d aide au développemet : les résultats sot-ils à la hauteur des ressources utilisées? E outre, les gouveremets doivet redre compte aux orgaismes d aide au développemet et à la commuauté iteratioale tout etière de l utilisatio qu ils fot des flux d assistace. Das u mode où l itégratio e cesse de croître, il apparaît de plus e plus clairemet que la covergece des politiques et de boes politiques macroécoomiques e peuvet pas à elles seules alimeter l expasio à log terme : la qualité des dépeses publiques est tout aussi importate. E effet, les projets de grade evergure et à faible retabilité (que l o voit gééralemet fleurir lorsque l évaluatio est déficiete) aggravet souvet les crises fiacières. Reforcemet des capacités de S&E eseigemets de l expériece des pays L u des pricipaux thèmes du sémiaire d Abidja était l expériece acquise par les gouveremets des pays aussi bie développés qu e développemet das le domaie des systèmes et des cadres de S&E. Le cas des pays développés est u excellet exemple de la corrélatio qui peut exister etre les capacités atioales de S&E et ue boe gestio des affaires publiques. Il illustre égalemet les opportuités qui s offret d ifléchir l attitude des pouvoirs publics aisi que les difficultés pratiques à cet égard. Efi, il motre les élémets qui doivet être développés das des domaies comme la demade, l offre et les ifrastructures d iformatio pour mettre e place u cadre de S&E solide. La pricipale coditio à remplir pour mettre e place u cadre de S&E est que le pays le demade. Certes, les orgaismes d aide au développemet peuvet predre l iitiative de vater les mérites du S&E, mais tat qu u pays est pas itéressé, tat qu il est pas covaicu qu u cadre de S&E a beaucoup à offrir, l effort ira pas loi. Deux élémets sot idispesables pour que la demade apparaisse : la sesibilisatio des pricipales parties preates à la écessité du S&E et des avatages qu ils offret, et la coaissace des techiques et des approches à utiliser. À e juger par l expériece, les pricipaux obstacles à la mise e place de mécaismes de S&E das les pays e développemet sot otammet l absece d itérêt et de demade véritables ; l absece de culture de resposabilité, problème souvet lié à des questios de déotologie ou de corruptio ; le maque de compéteces das des domaies comme l évaluatio, la comptabilité et l audit (lesquelles doivet être développées à mesure que la demade augmete) ; la médiocrité des iformatios fiacières et des autres doées sur les performaces aisi que des ormes et des systèmes de comptabilité et d audit ; le maque de mécaismes permettat d itégrer les résultats du S&E aux processus de prise de décisios ; et la écessité pour les cadres de S&E d atteidre la masse critique miimale qui e assurera la péreité. Il est clair aussi que la mise e place d u cadre de S&E e doit pas être cosidérée comme ue activité isolée : il serait vai d essayer de greffer u tel cadre sur les structures admiistratives existates, si le cotexte istitutioel et les icitatios y sot pas propices. E pareil cas, il est d autat plus importat de veiller à ce que l élaboratio d u cadre de S&E fasse partie itégrate d u programme plus large d amélioratio de la gouverace. Cette approche tiet compte du puissat effet de syergie etre le S&E des performaces et ue gestio axée sur les résultats. Reforcemet des capacités de S&E les facteurs de succès Il est apparu clairemet que plusieurs facteurs sot idispesables à la mise e place d u cadre de S&E efficace et qu il e faut s egager sur cette voie que si ces élémets sot présets ou que si l o peut raisoablemet compter les développer ou les créer. Ecadré 2 : Favoriser le développemet du S&E LES ORGANISMES D AIDE AU DÉVELOPPEMENT peuvet aider puissammet les pays à reforcer leurs capacités de S&E. La difficulté, pour la Baque modiale et les autres istitutios, cosiste à allier de faço coordoée l expériece et le savoir respectifs de leurs services d évaluatio et de coseil et de leurs services opératioels. La Baque a créé u parteariat structuré à l échelo itere, qui compred les services opératioels essetiels, l Istitut de la Baque modiale (le service de la Baque chargé de la formatio), et le Départemet de l évaluatio des opératios. Ce parteariat l aidera à fourir ce type d appui, e collaboratio étroite avec les services opératioels, tels que la régio Afrique, et des parteaires extérieurs.

4 4 Départemet de l évaluatio des opératios de la Baque modiale Miistères ou orgaismes «porte-étedard» U miistère ou u orgaisme «porte-étedard» peut beaucoup cotribuer à appuyer et à ecourager la mise e place d u cadre de S&E, e s attachat à persuader et à covaicre les différets iveaux de l admiistratio. Le «porte-étedard» doit par coséquet être ue istitutio chef de file puissate et ifluete, par exemple le miistère des Fiaces ou du Pla (comme e Australie ou au Caada), ou u service atioal de vérificatio des comptes. Des pays comme l Idoésie ot utilemet su mobiliser le soutie de puissats orgaismes cetraux et créer u groupe ou u réseau de partisas résolus au sei des différets miistères. Ue stratégie clairemet exprimée et visible de promotio du S&E peut égalemet cotribuer à faire «passer le message», tout comme l appui de miistres ou du cabiet das so esemble, particulièremet sous forme d arrêtés miistériels ou de décrets présidetiels. La costitutio colombiee, par exemple, stipule expressémet que l activité de l État doit être suivie et évaluée et que les résultats de cette aalyse doivet être redus publics, et u arrêté miistériel semblable a été promulgué e Idoésie. U egagemet durable L egagemet durable des pouvoirs publics est importat aussi. U cadre de S&E e se crée pas du jour au ledemai : il faut parfois au mois dix as pour acrer durablemet u tel système au iveau de l esemble de l admiistratio. Il faut e effet du temps pour covaicre, pour développer les compéteces et pour mettre e place das la foctio publique les structures et les systèmes écessaires pour exploiter pleiemet les résultats des activités de S&E. À cet egagemet durable des pouvoirs publics doit faire pedat u appui sas faille de la part des orgaismes d aide au développemet. Les orgaismes bailleurs de fods multilatéraux et bilatéraux représetés au sémiaire d Abidja ot appuyé le reforcemet des capacités atioales de S&E et se sot egagés à e promouvoir le développemet. Cosciets des problèmes suscités par le passé par des approches poctuelles et o coordoées, ils se sot egagés à collaborer das u esprit de coopératio beaucoup plus étroit afi de souteir les efforts déployés par les pays pour reforcer leurs capacités de S&E. Nécessité d approches idividualisées Ue approche s appliquat à l esemble de l admiistratio (comme celles suivies e Australie, au Caada, au Chili et e Idoésie) présete des avatages e ce ses qu elle crée ue dyamique et qu elle aide à faire e sorte que les miistères à la traîe fasset le écessaire pour suivre ceux qui les ot devacés. Ue telle approche peut être particulièremet idiquée si l o evisage ue série majeure de réformes, par exemple des chagemets substatiels das la gestio des dépeses publiques (processus et prise de décisios e matière budgétaire) du fait d impératifs budgétaires. Toutefois, cette approche globale risque d échouer das u certai ombre de pays e développemet e raiso des difficultés qu elle pose. Das bie des pays, o pourra commecer à ue échelle plus réaliste et plus modeste, e mettat l accet, das u premier temps, sur le suivi des activités e cours le cas échéat, das u petit ombre de miistères ou de secteurs doés, afi de créer u effet de démostratio avat d élargir l approche à d autres secteurs et miistères et à d autres outils de mesure et d évaluatio des résultats, à mesure que cela deviet possible. Pour que cette approche par étapes puisse aboutir, il faut que l étape iitiale, plus modeste, semble doer des résultats satisfaisats par rapport à so coût. Le Chili a adopté cette démarche, après avoir iitialemet mis l accet sur la collecte d iformatios sur les résultats, ce qui a suscité u itérêt pour les résultats des programmes et les lies de cause à effet. Il s agit là de questios auxquelles seuls peuvet pleiemet répodre les résultats des évaluatios. Iitiatives atioales Lors du sémiaire, chacu des 12 groupes représetat des pays e développemet a été ivité à idiquer l iitiative qui semblait la plus facile à icorporer à u pla d actio sur le S&E das so pays (ecadré 3). Les thèmes commus sot apparus : U appui istitutioel (d origie africaie et aussi étragère) est idispesable au développemet des capacités de S&E. L amélioratio de la législatio, la promulgatio de ouvelles directives admiistratives e matière d évaluatio et ue sesibilisatio accrue des gouveremets atioaux, des bailleurs de fods ou des orgaisatios iteratioales aux problèmes qui se poset, e sot que quelques-ues des mesures à evisager : il importe d exploiter toutes les sources d appui possibles. Si l o doit maiteir l éla doé au reforcemet des capacités de S&E, ce e sot sas doute pas les seuls gouveremets africais, mais aussi les orgaismes bailleurs de fods, qui aurot itérêt à élaborer et à mettre e oeuvre des plas d actio. La écessité de fourir u appui à la formatio e Afrique (aux cocepts, méthodes et pratiques de S&E) a été fréquemmet citée. Les groupes ot suggéré de costituer des bases de doées, et otammet u répertoire d évaluateurs

5 Précis 5 Ecadré 3 : Résumé des iitiatives présetées das les plas d actio proposés Pricipales iitiatives présetées Nombre de plas d actio où l iitiative est citée Réformes istitutioelles : Adoptio et applicatio de lois appropriées cocerat la productio de mauels, de guides et d autres outils 6 Réalisatio d u cosesus, sesibilisatio et acceptatio des activités de S&E au iveau des pricipaux cetres de décisio 8 Applicatio de règles de trasparece aux évaluatios afi de reforcer la resposabilité 1 Développemet des ressources humaies : Formatio de formateurs, de foctioaires et de techicies ayat des foctios de S&E 10 Participatio à des évaluatios cojoites avec des istitutios extérieures de fiacemet 1 Créatio d u réseau d évaluateurs pour faciliter les échages 3 Gestio des ressources : Allocatio de ressources au suivi et à l évaluatio 4 Créatio d ue base de doées sur les résultats du S&E aisi que d outils de gestio appropriés afi de faire coaître les pratiques optimales 9 (professioels, cosultats, foctioaires resposables du S&E, orgaes de vérificatio des comptes et etreprises du secteur privé). Ils ot égalemet suggéré de costituer ue base de doées cetralisat les iformatios sur les eseigemets retirés et les pratiques optimales. Après Abidja E quittat Abidja, les participats se sot dit cosciets que le cotexte du développemet des capacités de S&E avait chagé. Le développemet e Afrique a pris u ouvel éla, tadis que les perspectives des parteariats pour le développemet sot plus prometteuses que jamais. À mesure que la gestio axée sur les résultats se gééralise, la demade de programmes de reforcemet des capacités d évaluatio de ature à faciliter la réforme du secteur public augmete. Le dyamisme croissat de la société civile doe ue importace accrue à cette activité, car il met au premier pla les questios relatives à la gestio des affaires publiques et à l efficacité de l admiistratio. La diversité des situatios vécues par les participats a fait apparaître clairemet qu il existait pas d approche uique du développemet des capacités d évaluatio. Les pratiques admiistratives, la demade de services d évaluatio et le iveau de coaissaces techiques variet d u pays à u autre, et chacu doit élaborer so propre pla e ayat à l esprit ses particularités propres. Ce Précis est fodé sur l étude ititulée Reforcemet des capacités d évaluatio e Afrique, publiée cojoitemet par la Baque modiale et la Baque africaie de développemet. Pour plus d iformatios sur le reforcemet des capacités d évaluatio, cotacter Keith Mackay, tél. : 1-202/ Les Admiistrateurs et le persoel de la Baque peuvet se procurer ce rapport auprès de l Uité de documetatio itere et des cetres d iformatio régioaux, et le public auprès de l IfoShop de la Baque modiale.

La France, à l écoute des entreprises innovantes, propose le meilleur crédit d impôt recherche d Europe

La France, à l écoute des entreprises innovantes, propose le meilleur crédit d impôt recherche d Europe 1/5 Trois objectifs poursuivis par le gouveremet : > améliorer la compétitivité fiscale de la Frace > péreiser les activités de R&D > faire de la Frace u territoire attractif pour l iovatio Les icitatios

Plus en détail

Guide du suivi et de l évaluation axés sur les résultats P ROGRAMME DES NATIONS UNIES POUR LE DÉVELOPPEMENT B U R E AU DE L É VA L UATION

Guide du suivi et de l évaluation axés sur les résultats P ROGRAMME DES NATIONS UNIES POUR LE DÉVELOPPEMENT B U R E AU DE L É VA L UATION Guide du suivi et de l évaluatio axés sur les résultats P ROGRAMME DES NATIONS UNIES POUR LE DÉVELOPPEMENT B U R E AU DE L É VA L UATION P ROGRAMME DES NATIONS UNIES POUR LE DÉVELOPPEMENT B U R E AU DE

Plus en détail

Renseignements et monitoring. Renseignements commerciaux et de solvabilité sur les entreprises et les particuliers.

Renseignements et monitoring. Renseignements commerciaux et de solvabilité sur les entreprises et les particuliers. Reseigemets et moitorig. Reseigemets commerciaux et de solvabilité sur les etreprises et les particuliers. ENSEMBLE CONTRE LES PERTES. Reseigemets Creditreform. Pour plus de trasparece. Etreteir des rapports

Plus en détail

Création et développement d une fonction audit interne*

Création et développement d une fonction audit interne* Créatio et développemet d ue foctio audit itere* Ue démarche e 10 étapes [ Sommaire] Dix étapes pour réussir... 7 Étapes 1 à 4 Défiitio du cadre d itervetio... 9 1 Idetifier les attetes des parties preates...

Plus en détail

Économie sociale Pour des communautés plus solidaires PLAN D ACTION GOUVERNEMENTAL POUR L ENTREPRENEURIAT COLLECTIF

Économie sociale Pour des communautés plus solidaires PLAN D ACTION GOUVERNEMENTAL POUR L ENTREPRENEURIAT COLLECTIF Écoomie sociale Pour des commuautés plus solidaires PLAN D ACTION GOUVERNEMENTAL POUR L ENTREPRENEURIAT COLLECTIF Ce documet a été réalisé par le miistère des Affaires muicipales et des Régios (MAMR) e

Plus en détail

Chap. 6 : Les principaux crédits de trésorerie et leur comptabilisation

Chap. 6 : Les principaux crédits de trésorerie et leur comptabilisation Chap. 6 : Les pricipaux crédits de trésorerie et leur comptabilisatio Les etreprises ot souvet besoi de moyes de fiacemet à court terme : elles ot alors recours aux crédits bacaires (découverts bacaires

Plus en détail

Chap. 6 : Les principaux crédits de trésorerie et leur comptabilisation

Chap. 6 : Les principaux crédits de trésorerie et leur comptabilisation 1 / 9 Chap. 6 : Les pricipaux crédits de trésorerie et leur comptabilisatio Le cycle d exploitatio des etreprises (achats stockage productio stockage vetes) peut etraîer des décalages de trésorerie plus

Plus en détail

LES MESURES CLÉS DU PROJET DE LOI ÉCONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE

LES MESURES CLÉS DU PROJET DE LOI ÉCONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE LES MESURES CLÉS DU PROJET DE LOI ÉCONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE Qu est-ce que l Écoomie sociale et solidaire? Coopératives Etreprises sociales Scop Fiaceurs sociaux Scic CAE Mutuelles Coopératives d etreprises

Plus en détail

GUIDE METHODOLOGIQUE INDUSTRIES, OUVREZ VOS PORTES

GUIDE METHODOLOGIQUE INDUSTRIES, OUVREZ VOS PORTES GUIDE METHODOLOGIQUE INDUSTRIES, OUVREZ VOS PORTES SOMMAIRE Les visites d etreprises : pourquoi ouvrir ses portes?.... 8 1.1 Des motivatios variées pour les etreprises... 8 1.2 Les freis à l ouverture

Plus en détail

Donnez de la liberté à vos données. BiBOARD. www.biboard.fr

Donnez de la liberté à vos données. BiBOARD. www.biboard.fr Doez de la liberté à vos doées BiBOARD www.biboard.fr Le décisioel pour tous Le décisioel évolue. L etreprise quelle que soit sa taille, a besoi de piloter so activité à l aide d outils simples, fiables,

Plus en détail

Le chef d entreprise développe les services funéraires de l entreprise, en

Le chef d entreprise développe les services funéraires de l entreprise, en Le chef d etreprise développe les services fuéraires de l etreprise, e assurat lui-même tout ou partie des activités de vete et e ecadrat directemet le persoel techique et commercial et d exploitatio.

Plus en détail

Dénombrement. Chapitre 1. 1.1 Enoncés des exercices

Dénombrement. Chapitre 1. 1.1 Enoncés des exercices Chapitre 1 Déombremet 1.1 Eocés des exercices Exercice 1 L acie système d immatriculatio fraçais était le suivat : chaque plaque avait 4 chiffres, suivis de 2 lettres, puis des 2 uméros du départemet.

Plus en détail

Faites prospérer vos affaires grâce aux solutions d épargne et de gestion des dettes

Faites prospérer vos affaires grâce aux solutions d épargne et de gestion des dettes Faites prospérer vos affaires grâce aux solutios d éparge et de gestio des dettes Quelques excelletes raisos d offrir des produits bacaires et de fiducie à vos cliets Vous avez la compétece écessaire pour

Plus en détail

Définir sa problématique, son besoin. Présélectionner son agence conseil en communication. Organiser une compétition

Définir sa problématique, son besoin. Présélectionner son agence conseil en communication. Organiser une compétition sommaire Défiir sa problématique, so besoi Pourquoi faire u brief (cahier des charges)? Présélectioer so agece coseil e commuicatio Quel type d agece coseil recherchez-vous? Vous avez trouvé l agece coseil

Plus en détail

UNIVERSITE MONTESQUIEU BORDEAUX IV. Année universitaire 2006-2007. Semestre 2. Prévisions Financières. Travaux Dirigés - Séances n 4

UNIVERSITE MONTESQUIEU BORDEAUX IV. Année universitaire 2006-2007. Semestre 2. Prévisions Financières. Travaux Dirigés - Séances n 4 UNVERSTE MONTESQUEU BORDEAUX V Licece 3 ère aée Ecoomie - Gestio Aée uiversitaire 2006-2007 Semestre 2 Prévisios Fiacières Travaux Dirigés - Séaces 4 «Les Critères Complémetaires des Choix d vestissemet»

Plus en détail

2 ième partie : MATHÉMATIQUES FINANCIÈRES

2 ième partie : MATHÉMATIQUES FINANCIÈRES 2 ième partie : MATHÉMATIQUES FINANCIÈRES 1. Défiitios L'itérêt est l'idemité que doe au propriétaire d'ue somme d'arget celui qui e a joui pedat u certai temps. Divers élémets itervieet das le calcul

Plus en détail

PLAN D ORGANISATION RÉGIONALE DE SÉCURITÉ CIVILE du SAGUENAY LAC-SAINT-JEAN MISSION SANTÉ

PLAN D ORGANISATION RÉGIONALE DE SÉCURITÉ CIVILE du SAGUENAY LAC-SAINT-JEAN MISSION SANTÉ PLAN D ORGANISATION RÉGIONALE DE SÉCURITÉ CIVILE du SAGUENAY LAC-SAINT-JEAN MISSION SANTÉ Adopté par le coseil d admiistratio le jr/ms/2004 AVANT-PROPOS Pour le réseau de la saté et des services sociaux

Plus en détail

S-PENSION. Constituez-vous un capital retraite complémentaire pour demain tout en bénéficiant d avantages fiscaux dès aujourd hui.

S-PENSION. Constituez-vous un capital retraite complémentaire pour demain tout en bénéficiant d avantages fiscaux dès aujourd hui. S-PENSION Costituez-vous u capital retraite complémetaire pour demai tout e bééficiat d avatages fiscaux dès aujourd hui. Sommaire 1. Il est temps de predre l iitiative 4 2. Profitez dès aujourd hui des

Plus en détail

Options Services policiers à Moncton Rapport de discussion

Options Services policiers à Moncton Rapport de discussion Optios Services policiers à Mocto Rapport de discussio Le 22 ovembre 2010 Also available i Eglish TABLE DES MATIÈRES Chapitre 1.0 Sommaire 3 Chapitre 2.0 Problématique 4 Chapitre 3.0 Cotexte 5 Chapitre

Plus en détail

STRATÉGIE DE REMPLACEMENT DE LUTTE CONTRE LA PUNAISE TERNE DANS LES FRAISERAIES DE L ONTARIO

STRATÉGIE DE REMPLACEMENT DE LUTTE CONTRE LA PUNAISE TERNE DANS LES FRAISERAIES DE L ONTARIO Des résultats du Programme de réductio des risques STRATÉGIE DE REMPLACEMENT DE LUTTE CONTRE LA PUNAISE TERNE DANS LES FRAISERAIES DE L ONTARIO 1. Cotexte La puaise tere Lygus lieolaris (figure 1) est

Plus en détail

Nous imprimons ce que vous aimez!

Nous imprimons ce que vous aimez! Nous imprimos ce que vous aimez! Persoalisé simple différet Catalogue de produits Tapis stadard tapis logo tapis publicitaire Nous imprimos ce que vous aimez! 2 I JOBET JOBET Vous et vos cliets serez coquis...

Plus en détail

Comment les Canadiens classent-ils leur système de soins de santé?

Comment les Canadiens classent-ils leur système de soins de santé? Novembre Les sois de saté au Caada, c est capital bulleti o 4 Commet les Caadies classet-ils leur système de sois de saté? Résultats du sodage iteratioal du Fods du Commowealth sur les politiques de saté

Plus en détail

Chap. 5 : Les intérêts (Les calculs financiers)

Chap. 5 : Les intérêts (Les calculs financiers) Chap. 5 : Les itérêts (Les calculs fiaciers) Das u cotrat de prêt, le prêteur met à la dispositio de l empruteur, à u taux d itérêt doé, ue somme d arget (le capital) qu il devra rembourser à ue certaie

Plus en détail

MÉMENTO 2014. Aide-mémoire à l usage des administrateurs des coopératives PSBL-P. Programme de logement sans but lucratif privé

MÉMENTO 2014. Aide-mémoire à l usage des administrateurs des coopératives PSBL-P. Programme de logement sans but lucratif privé MÉMENTO 2014 Aide-mémoire à l usage des admiistrateurs des coopératives PSBL-P Programme de logemet sas but lucratif privé INTRODUCTION Cet outil a été coçu pour guider les admiistrateurs des coopératives

Plus en détail

Etude Spéciale SCORING : UN GRAND PAS EN AVANT POUR LE MICROCRÉDIT?

Etude Spéciale SCORING : UN GRAND PAS EN AVANT POUR LE MICROCRÉDIT? Etude Spéciale o. 7 Javier 2003 SCORING : UN GRAND PAS EN AVANT POUR LE MICROCRÉDIT? MARK SCHNEIDER Le CGAP vous ivite à lui faire part de vos commetaires, de vos rapports et de toute demade d evoid autres

Plus en détail

Deuxième partie : LES CONTRATS D ASSURANCE VIE CLASSIQUES

Deuxième partie : LES CONTRATS D ASSURANCE VIE CLASSIQUES DEUXIEME PARTIE Deuième partie : LES CONTRATS D ASSURANCE VIE CLASSIQUES Chapitre. L assurace de capital différé Chapitre 2. Les opératios de retes Chapitre 3. Les assuraces décès Chapitre 4. Les assuraces

Plus en détail

Les nouveaux relevés de compte

Les nouveaux relevés de compte Ifo CR Les ouveaux relevés de compte Les relevés de compte actuels du Crédit Agricole de Champage-Bourgoge sot issus de la migratio iformatique sur le GIE AMT e 2001 : petit format (mais A4 pour les Professioels),

Plus en détail

RECHERCHE DE CLIENTS simplifiée

RECHERCHE DE CLIENTS simplifiée RECHERCHE DE CLIENTS simplifiée Nous ous occupos d accroître votre clietèle avec le compte Avatage d etreprise Pour trouver des cliets potetiels grâce à u simple compte bacaire Vous cherchez des idées

Plus en détail

3.1 Différences entre ESX 3.5 et ESXi 3.5 au niveau du réseau. Solution Cette section récapitule les différences entre les deux versions.

3.1 Différences entre ESX 3.5 et ESXi 3.5 au niveau du réseau. Solution Cette section récapitule les différences entre les deux versions. 3 Réseau Le réseau costitue u aspect essetiel d u eviroemet virtuel ESX. Il est doc importat de compredre la techologie, y compris ses différets composats et leur coopératio. Das ce chapitre, ous étudios

Plus en détail

LE WMS EXPERT DE LA SUPPLY CHAIN DE DÉTAIL

LE WMS EXPERT DE LA SUPPLY CHAIN DE DÉTAIL LE WMS EXET DE LA SULY HAIN DE DÉTAIL QUELS SNT LES ENJEUX DE LA SULY HAIN? garatir la promesse cliet es derières aées, la distributio coaît ue véritable mutatio avec l évolutio des modes de cosommatio.

Plus en détail

Les solutions mi-hypothécaires, mi-bancaires de Manuvie. Guide du conseiller

Les solutions mi-hypothécaires, mi-bancaires de Manuvie. Guide du conseiller Les solutios mi-hypothécaires, mi-bacaires de Mauvie Guide du coseiller 1 2 Table des matières Itroductio... 5 La Baque Mauvie...5 Le compte Mauvie U...5 Le compte Sélect Baque Mauvie...5 1. Les solutios

Plus en détail

Mobile Business. Communiquez efficacement avec vos relations commerciales 09/2012

Mobile Business. Communiquez efficacement avec vos relations commerciales 09/2012 Mobile Busiess Commuiquez efficacemet avec vos relatios commerciales 9040412 09/2012 U choix capital pour mes affaires Pour gérer efficacemet ses affaires, il y a pas de secret : il faut savoir predre

Plus en détail

PageScope Enterprise Suite. Gestion des périphériques de sortie de A à Z. i-solutions PageScope Enterprise Suite

PageScope Enterprise Suite. Gestion des périphériques de sortie de A à Z. i-solutions PageScope Enterprise Suite Eterprise Suite Gestio des périphériques de sortie de A à Z i-solutios Eterprise Suite Eterprise Suite Ue gestio cetralisée, ue admiistratio harmoisée, l'efficacité absolue Le temps est u élémet essetiel

Plus en détail

Sommaire Chapitre 1 - L interface de Windows 7 9

Sommaire Chapitre 1 - L interface de Windows 7 9 Sommaire Chapitre 1 - L iterface de Widows 7 9 1.1. Utiliser le meu Démarrer et la barre des tâches de Widows 7...11 Démarrer et arrêter des programmes...15 Épigler u programme das la barre des tâches...18

Plus en détail

ÉTUDE. SECTEUR Santé LABORATOIRES DE BIOLOGIE MEDICALE. Etude pour l élaboration d une GPEC

ÉTUDE. SECTEUR Santé LABORATOIRES DE BIOLOGIE MEDICALE. Etude pour l élaboration d une GPEC ÉTUDE SECTEUR Saté LABORATOIRES DE BIOLOGIE MEDICALE Etude pour l élaboratio d ue GPEC 02 ÉTUDE - juillet 2012 Laboratoires de biologie médicale : étude pour l élaboratio d ue GPEC Sommaire 03 Pricipaux

Plus en détail

Le marché du café peut être segmenté en fonction de deux modes de production principaux : la torréfaction et la fabrication de café soluble.

Le marché du café peut être segmenté en fonction de deux modes de production principaux : la torréfaction et la fabrication de café soluble. II LE MARCHE DU CAFE 1 L attractivité La segmetatio selo le mode de productio Le marché du café peut être segmeté e foctio de deux modes de productio pricipaux : la torréfactio et la fabricatio de café

Plus en détail

Working Paper RETAIL RÉGIONAL RESPONSABLE

Working Paper RETAIL RÉGIONAL RESPONSABLE «BANQUE DE DÉTAIL DE MASSE» : COMMENT LES CAISSES D ÉPARGNE EN AFRIQUE, ASIE ET AMÉRIQUE LATINE PEUVENT FOURNIR DES SERVICES ADAPTÉS AUX BESOINS DES POPULATIONS DÉFAVORISÉES Travailler avec les caisses

Plus en détail

STATISTIQUE : TESTS D HYPOTHESES

STATISTIQUE : TESTS D HYPOTHESES STATISTIQUE : TESTS D HYPOTHESES Préparatio à l Agrégatio Bordeaux Aée 203-204 Jea-Jacques Ruch Table des Matières Chapitre I. Gééralités sur les tests 5. Itroductio 5 2. Pricipe des tests 6 2.a. Méthodologie

Plus en détail

Compte Sélect Banque Manuvie Guide du débutant

Compte Sélect Banque Manuvie Guide du débutant GUIDE DU DÉBUTANT Compte Sélect Baque Mauvie Guide du débutat Besoi d aide? Preez quelques miutes pour lire attetivemet votre Guide du cliet. Le préset Guide du débutat vous facilitera l utilisatio de

Plus en détail

Une action! Un message!

Une action! Un message! Ue actio! U message! Cotact Master est u service exclusif de relaces automatiques de vos actes vers vos cliets, par SMS, messages vocaux, e-mails, courrier... Il se décleche lorsque vous réalisez ue actio

Plus en détail

Consolidation. C r é e r un nouveau classeur. Créer un groupe de travail. Saisir des données dans un groupe

Consolidation. C r é e r un nouveau classeur. Créer un groupe de travail. Saisir des données dans un groupe Cosolidatio La société THEOS, qui commercialise des vis, exerce so activité das trois villes : Paris, Nacy et Nice. Le directeur de la société souhaite cosolider les résultats de ses vetes par ville das

Plus en détail

for a living planet WWF ZOOM: votre carte de crédit personnalisée

for a living planet WWF ZOOM: votre carte de crédit personnalisée for a livig plaet WWF ZOOM: votre carte de crédit persoalisée Le meilleur pour vous. Le meilleur pour l eviroemet. Ue carte de crédit du WWF. Vous faites u geste e faveur de la ature. Sas frais supplémetaires.

Plus en détail

TARIFS BANCAIRES. Opérations bancaires avec l étranger Extrait des conditions bancaires au 1 er juillet 2014. Opérations à destination de l étranger

TARIFS BANCAIRES. Opérations bancaires avec l étranger Extrait des conditions bancaires au 1 er juillet 2014. Opérations à destination de l étranger Opératios bacaires avec l étrager Extrait des coditios bacaires au 1 er juillet Opératios à destiatio de l étrager Viremets émis vers l étrager : Frais d émissio de viremets e euros (3) vers l Espace écoomique

Plus en détail

COMMENT ÇA MARCHE GUIDE DE L ENSEIGNANT 9 E ANNÉE

COMMENT ÇA MARCHE GUIDE DE L ENSEIGNANT 9 E ANNÉE GUIDE DE L ENSEIGNANT 9 E ANNÉE TROUSSE PÉDAGOGIQUE 9 E ANNÉE Le préset Guide de l eseigat, qui accompage la trousse pédagogique COMMENT ÇA MARCHE : PRODUCTION D ÉLECTRICITÉ 9 e aée a été coçu à l itetio

Plus en détail

Règlement Général des opérations

Règlement Général des opérations Deutsche Bak Règlemet Gééral des opératios AVRIL 2015 Deutsche Bak AG est u établissemet de crédit de droit allemad, dot le siège social est établi 12, Tauusalage, 60325 Fracfort-sur-le-Mai, Allemage.

Plus en détail

UNIVERSITÉ DE SFAX École Supérieure de Commerce

UNIVERSITÉ DE SFAX École Supérieure de Commerce UNIVERSITÉ DE SFAX École Supérieure de Commerce Aée Uiversitaire 2003 / 2004 Auditoire : Troisième Aée Études Supérieures Commerciales & Scieces Comptables DÉCISIONS FINANCIÈRES Note de cours N 3 Première

Plus en détail

Code de Déontologie Commercial Changer les choses avec intégrité

Code de Déontologie Commercial Changer les choses avec intégrité Code de Déotologie Commercial Chager les choses avec itégrité U message du Directeur gééral de Hospira Chers collaborateurs de Hospira, Je souhaite vous préseter le Code de Déotologie Commercial de Hospira.

Plus en détail

Managed File Transfer. Managed File Transfer. Livraison express des f ichiers d entreprise

Managed File Transfer. Managed File Transfer. Livraison express des f ichiers d entreprise Maaged File Trasfer Maaged File Trasfer Livraiso express des f ichiers d etreprise Gestio du trasfert de fichiers Livraiso express des fichiers d etreprise Fiaces igéierie photos marketig express [eterprise]

Plus en détail

Divorce et séparation

Divorce et séparation Coup d oeil sur Divorce et séparatio Être attetif aux besois de votre efat Divorce et séparatio «Les premiers mois suivat u divorce ou ue séparatio sot très stressats. Votre patiece, votre cohérece et

Plus en détail

ACTUalités. Comment transformer notre modèle? 29-30/08 Lille Comment réussir la mobilisation des professionnels? www.anap.fr

ACTUalités. Comment transformer notre modèle? 29-30/08 Lille Comment réussir la mobilisation des professionnels? www.anap.fr cotact : c.bohomme@fhf.fr Jourée d étude Ue stratégie de groupe pour la chirurgie ambulatoire La chirurgie ambulatoire progresse das les hôpitaux publics (cf. os précédetes éditios). Elle est aussi très

Plus en détail

Les études. Recommandations applicables aux appareils de levage "anciens" dans les ports. Guide Technique

Les études. Recommandations applicables aux appareils de levage anciens dans les ports. Guide Technique es Cetre d Etudes Techiques Maritimes et Fluviales Les études Recommadatios applicables aux appareils de levage "acies" das les ports Guide Techique PM 03.01 Cetre d Etudes Techiques Maritimes et Fluviales

Plus en détail

La maladie rénale chronique

La maladie rénale chronique La maladie réale chroique Qu est-ce que cela veut dire pour moi? Natioal Kidey Disease Educatio Program La maladie réale chroique: l essetiel Vous avez été iformé(e) que vous êtes atteit(e) de la maladie

Plus en détail

One Office Voice Pack Vos appels fixes et mobiles en un seul pack

One Office Voice Pack Vos appels fixes et mobiles en un seul pack Uique! Exteded Fleet Appels illimités vers les uméros Mobistar et les liges fixes! Oe Office Voice Pack Vos appels fixes et mobiles e u seul pack Commuiquez et travaillez e toute liberté Mobistar offre

Plus en détail

LES ÉCLIPSES. Éclipser signifie «cacher». Vus depuis la Terre, deux corps célestes peuvent être éclipsés : la Lune et le Soleil.

LES ÉCLIPSES. Éclipser signifie «cacher». Vus depuis la Terre, deux corps célestes peuvent être éclipsés : la Lune et le Soleil. Qu appelle-t-o éclipse? Éclipser sigifie «cacher». Vus depuis la Terre, deu corps célestes peuvet être éclipsés : la Lue et le Soleil. LES ÉCLIPSES Pour qu il ait éclipse, les cetres de la Terre, de la

Plus en détail

Ouverture à la concurrence du transport ferroviaire de voyageurs

Ouverture à la concurrence du transport ferroviaire de voyageurs Ouverture à la cocurrece du trasport ferroviaire de voyageurs COMPLÉMENTS Claude Abraham Présidet Thomas Revial Fraçois Vielliard Rapporteurs Domiique Auverlot Christie Rayard Coordiateurs Octobre 2011

Plus en détail

Statistique descriptive bidimensionnelle

Statistique descriptive bidimensionnelle 1 Statistique descriptive bidimesioelle Statistique descriptive bidimesioelle Résumé Liaisos etre variables quatitatives (corrélatio et uages de poits), qualitatives (cotigece, mosaïque) et de types différets

Plus en détail

CPNEFP Commission Paritaire Nationale pour l'emploi et la Formation Professionnelle de la branche des services funéraires

CPNEFP Commission Paritaire Nationale pour l'emploi et la Formation Professionnelle de la branche des services funéraires Coceptio : Boréal > 01 48 03 99 99 CPNEFP Commissio Paritaire Natioale pour l'emploi et la Formatio Professioelle de la brache des services fuéraires Sommaire Maagemet gééral du fuéraire Chef d etreprise

Plus en détail

Comportement d'une suite

Comportement d'une suite Comportemet d'ue suite I) Approche de "ses de variatio et de ite d'ue suite" : 7 Soit la suite ( ) telle que = 5 ( + ) 2 Représetos graphiquemet la suite das u pla mui d' u repère. Il suffit de placer

Plus en détail

La Journée de l Innovation Collaborative

La Journée de l Innovation Collaborative Dossier de Presse 2013 La Jourée de l Iovatio Collaborative 28 mars 2013 Avec le soutie d Quaero - L iovatio collaborative Iover, ue écessité autat qu u ivestissemet d aveir! 2 Etamée das les aées 1950-1960

Plus en détail

L'ACTION SOCIALE DES SERVICES DE L'ÉTAT

L'ACTION SOCIALE DES SERVICES DE L'ÉTAT 24 Joural bimestriel Novembre/Décembre 2013 2 2 7 9 12 12 SOMMAIRE» ÉDITO Le mot du préfet» L'actio sociale des services de l'état Pla départemetal d actio pour le logemet des persoes défavorisées PDALPD

Plus en détail

CPNEFP Commission Paritaire Nationale pour l'emploi et la Formation Professionnelle de la branche des services funéraires

CPNEFP Commission Paritaire Nationale pour l'emploi et la Formation Professionnelle de la branche des services funéraires Coceptio : Boréal > 01 48 03 99 99 CPNEFP Commissio Paritaire Natioale pour l'emploi et la Formatio Professioelle de la brache des services fuéraires Sommaire Itroductio p 2-3 Les objectifs de cette étude

Plus en détail

FEUILLE D EXERCICES 17 - PROBABILITÉS SUR UN UNIVERS FINI

FEUILLE D EXERCICES 17 - PROBABILITÉS SUR UN UNIVERS FINI FEUILLE D EXERCICES 7 - PROBABILITÉS SUR UN UNIVERS FINI Exercice - Lacer de dés O lace deux dés à 6 faces équilibrés. Calculer la probabilité d obteir : u double ; ue somme des deux dés égale à 8 ; ue

Plus en détail

La tarification hospitalière : de l enveloppe globale à la concurrence par comparaison

La tarification hospitalière : de l enveloppe globale à la concurrence par comparaison ANNALES D ÉCONOMIE ET DE STATISTIQUE. N 58 2000 La tarificatio hospitalière : de l eveloppe globale à la cocurrece par comparaiso Michel MOUGEOT * RÉSUMÉ. Cet article cosidère différetes politiques de

Plus en détail

Statistiques appliquées à la gestion Cours d analyse de donnés Master 1

Statistiques appliquées à la gestion Cours d analyse de donnés Master 1 Aalyse des doées Statistiques appliquées à la gestio Cours d aalyse de doés Master F. SEYTE : Maître de coféreces HDR e scieces écoomiques Uiversité de Motpellier I M. TERRAZA : Professeur de scieces écoomiques

Plus en détail

Code d éthique et de conduite professionnelle

Code d éthique et de conduite professionnelle Code d éthique et de coduite professioelle 2015 RELX Group Code d éthique et de coduite professioelle 2 Table des matières Notre egagemet e faveur de l itégrité U message de otre Présidet-Directeur Gééral

Plus en détail

Pour l inclusion : Appuyer les comportements positifs dans les classes du Manitoba

Pour l inclusion : Appuyer les comportements positifs dans les classes du Manitoba Pour l iclusio : Appuyer les comportemets positifs das les classes du Maitoba P o u r l i c l u s i o : A P P u y e r l e s c o m P o r t e m e t s P o s i t i f s d A s l e s c l A s s e s d u m A i t

Plus en détail

. (b) Si (u n ) est une suite géométrique de raison q, q 1, on obtient : N N, S N = 1 qn+1. n+1 1 S N = 1 1

. (b) Si (u n ) est une suite géométrique de raison q, q 1, on obtient : N N, S N = 1 qn+1. n+1 1 S N = 1 1 Premières propriétés des ombres réels 2 Suites umériques 3 Suites mootoes : à faire 4 Séries umériques 4. Notio de série. Défiitio 4.. Soit (u ) ue suite de ombres réels ou complexes. Pour N N, o ote S

Plus en détail

II LES PROPRIETES DES ESTIMATEURS MCO 1. Rappel : M1 LA REGRESSION : HYPOTHESES ET TESTS Avril 2009

II LES PROPRIETES DES ESTIMATEURS MCO 1. Rappel : M1 LA REGRESSION : HYPOTHESES ET TESTS Avril 2009 M LA REGRESSION : HYPOTHESES ET TESTS Avril 009 I LES HYPOTHESES DE LA MCO. Hypothèses sur la variable explicative a. est o stochastique. b. a des valeurs xes das les différets échatillos. c. Quad ted

Plus en détail

Guide pratique à l usage des fédérations. transparence dans le sport structuré

Guide pratique à l usage des fédérations. transparence dans le sport structuré Guide pratique à l usage des fédératios trasparece das le sport structuré les sept pricipes de la Charte d éthique dusport Esemble e faveur d u sport sai, respectueux et correct! 1 Traiter toutes les persoes

Plus en détail

Rêver, y croire, réussir! Un guide de planification d'études supérieures pour les apprenants de l anglais et leurs familles

Rêver, y croire, réussir! Un guide de planification d'études supérieures pour les apprenants de l anglais et leurs familles Rêver, y croire, réussir! U guide de plaificatio d'études supérieures pour les appreats de l aglais et leurs familles Notes Itroductio Itroductio 4 Iformatios pratiques permettat aux ELL de s'y retrouver

Plus en détail

Microscope de mesure sans contact pour inspection et mesures de précision

Microscope de mesure sans contact pour inspection et mesures de précision KESTREL ELITE KESTREL ELITE Microscope de mesure sas cotact pour ispectio et mesures de précisio Microscope à deux axes sas cotact, idéal pour la mesure de caractéristiques 2-D de pièces techiques de petite

Plus en détail

MErKUr. JUiN 2012. 158 exposants 1.650 visiteurs 3.000 rendez-vous d affaires. www.cc.lu. international

MErKUr. JUiN 2012. 158 exposants 1.650 visiteurs 3.000 rendez-vous d affaires. www.cc.lu. international JUiN 2012 MErKUr de lëtzebuerger MErKUr BUllEtiN de la CHaMBrE de CoMMErCE du GraNd-dUCHÉ de luxembourg www.cc.lu 158 exposats 1.650 visiteurs 3.000 redez-vous d affaires FlaSH CC-tV: la Chambre de Commerce

Plus en détail

Neolane Leads. Neolane v6.0

Neolane Leads. Neolane v6.0 Neolae Leads Neolae v6.0 Ce documet, aisi que le logiciel qu'il décrit, est fouri das le cadre d'u accord de licece et e peut être utilisé ou copié que das les coditios prévues par cet accord. Cette publicatio

Plus en détail

Mécanismes de protection contre les vers

Mécanismes de protection contre les vers Mécaismes de protectio cotre les vers Itroductio Au cours de so évolutio, l Iteret a grademet progressé. Il est passé du réseau reliat quelques cetres de recherche aux États-Uis au réseau actuel reliat

Plus en détail

Gérer les applications

Gérer les applications Gérer les applicatios E parcourat les rayos du Widows Phoe Store, vous serez e mesure de compléter les services de base de votre smartphoe à travers plus de 10 000 applicatios. Gratuites ou payates, ces

Plus en détail

La fibre optique arrive chez vous Devenez acteur de la révolution numérique

La fibre optique arrive chez vous Devenez acteur de la révolution numérique 2 e éditio Edité par l Autorité de régulatio des commuicatios électroiques et des postes RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DÉCEMBRE 2010 La fibre optique arrive chez vous Deveez acteur de la révolutio umérique Petit

Plus en détail

n tr tr tr tr tr tr tr tr tr tr n tr tr tr Nom:... Prénom :...

n tr tr tr tr tr tr tr tr tr tr n tr tr tr Nom:... Prénom :... Nom:... Préom :... Chaque répose peut valoir : c) 2 poits si le choix est totalemet exact + poit si le choix est partiellemet exact + 0 poit si le choix est erroé + -i poit si le choix est u coeses Ue

Plus en détail

Investir en Bourse. Sicav, FCP... Vous avez droit à une vraie sélection en architecture ouverte. PEA, compte-titres ordinaire, assurance-vie

Investir en Bourse. Sicav, FCP... Vous avez droit à une vraie sélection en architecture ouverte. PEA, compte-titres ordinaire, assurance-vie Ivestir e Bourse Sicav, FCP... Vous avez droit à ue vraie sélectio e architecture ouverte. PEA, comptetitres ordiaire, assuracevie SICAV, FCP Vous avez droit à ue vraie sélectio Page Libellé du fods Société

Plus en détail

Logiciel de synchronisation de flotte de baladeurs MP3 / MP4 ou tablettes Androïd

Logiciel de synchronisation de flotte de baladeurs MP3 / MP4 ou tablettes Androïd easylab Le logiciel de gestio de fichiers pour baladeurs et tablettes Visualisatio simplifiée de la flotte Gestio des baladeurs par idividus / classes / groupes / activités Activatio des foctios par simple

Plus en détail

PREPARER SA RETRAITE

PREPARER SA RETRAITE PREPARER SA RETRAITE Combie éparger pour compléter sa retraite? Pour répodre à cette questio, la première étape cosiste à imagier so trai après 65 as. Des postes de dépeses aurot disparu (otammet ceux

Plus en détail

omme dans tous les milieux de vie, une

omme dans tous les milieux de vie, une la gestio des sois 1 itroductio omme das tous les milieux de vie, ue C équipe d aimatio peut être ameée à devoir gérer des icidets de saté plus ou mois importats. Il faudra être capable de predre les boes

Plus en détail

L Objectif National des Dépenses d Assurance Maladie : d un outil global de régulation à une simple prévision des dépenses.

L Objectif National des Dépenses d Assurance Maladie : d un outil global de régulation à une simple prévision des dépenses. L Objectif Natioal des Dépeses d Assurace Maladie : d u outil global de régulatio à ue simple prévisio des dépeses. Isabelle Hirtzli To cite this versio: Isabelle Hirtzli. L Objectif Natioal des Dépeses

Plus en détail

Choisissez la bonne carte. Contribuez au respect de la nature avec les cartes Visa et MasterCard WWF. Sans frais supplémentaires.

Choisissez la bonne carte. Contribuez au respect de la nature avec les cartes Visa et MasterCard WWF. Sans frais supplémentaires. Toutes les cartes de crédit e se ressemblet pas. Les cartes Visa et MasterCard WWF vous offret tous les avatages d ue carte de crédit classique. Vous disposez toujours et partout d ue réserve d arget das

Plus en détail

La Journée de la Famille en Entreprise Son Guide Pratique

La Journée de la Famille en Entreprise Son Guide Pratique La Jourée de la Famille e Etreprise So Guide Pratique Le 7 mai 2009, sous le haut patroage et e présece de Nadie Morao, Secrétaire d Etat chargée de la Famille, Jérôme Ballari, Présidet de l Observatoire

Plus en détail

Opérations bancaires avec l étranger *

Opérations bancaires avec l étranger * Opératios bacaires avec l étrager * Coditios bacaires au 1 er juillet 2011 Etreprises et orgaismes d itérêt gééral Opératios à destiatio de l étrager Viremets émis vers l étrager : viremet e euros iférieur

Plus en détail

Université Victor Segalen Bordeaux 2 Institut de Santé Publique, d Épidémiologie et de Développement (ISPED) Campus Numérique SEME

Université Victor Segalen Bordeaux 2 Institut de Santé Publique, d Épidémiologie et de Développement (ISPED) Campus Numérique SEME Uiversité Victor Segale Bordeaux Istitut de Saté Publique, d Épidémiologie et de Développemet (ISPED) Campus Numérique SEME MODULE Pricipaux outils e statistique Versio du 8 août 008 Écrit par : Relu par

Plus en détail

Les Nombres Parfaits.

Les Nombres Parfaits. Les Nombres Parfaits. Agathe CAGE, Matthieu CABAUSSEL, David LABROUSSE (2 de Lycée MONTAIGNE BORDEAUX) et Alexadre DEVERT, Pierre Damie DESSARPS (TS Lycée SUD MEDOC LETAILLAN MEDOC) La première partie

Plus en détail

La population jeune en Afrique sera le moteur

La population jeune en Afrique sera le moteur P O P U L A T I O N R E F E R E N C E B U R E A U La populatio jeue e Afrique : risque ou opportuité? Par Lori S. Ashford Figure 1 La populatio jeue e Afrique sera le moteur de la prospérité écoomique

Plus en détail

POLITIQUE ECONOMIQUE ET DEVELOPPEMENT

POLITIQUE ECONOMIQUE ET DEVELOPPEMENT POLTQU ONOMQU T DVLOPPMNT TRUTUR DU MAR NATONAL DU AF-AAO T PR AU PRODUTUR MALAN Beïla Beoit osultat PD N 06/008 ellule d Aalyse de Politiques coomiques du R Aée de pulicatio : Avril 009 Résumé e papier

Plus en détail

LA NOUVELLE IDENTITÉ DE L AGESSS SE DÉVOILE!

LA NOUVELLE IDENTITÉ DE L AGESSS SE DÉVOILE! l itermédiaire Le joural de l Associatio des gestioaires des établissemets de saté et de services sociaux VOLUME 20, NUMÉRO 1 MAI 2011 LA NOUVELLE IDENTITÉ DE L AGESSS SE DÉVOILE! Fraçois Jea Présidet-directeur

Plus en détail

Un accès direct à vos comptes 24h/24 VOTRE NUMÉRO CLIENT. www.bnpparibas.net. Centre de Relations Clients 0 820 820 001 (0,12 /min)

Un accès direct à vos comptes 24h/24 VOTRE NUMÉRO CLIENT. www.bnpparibas.net. Centre de Relations Clients 0 820 820 001 (0,12 /min) * selo coditios cotractuelles e vigueur. U accès direct à vos comptes 24h/24 VOTRE NUMÉRO CLIENT + VOTRE CODE SECRET * : www.bpparibas.et Cetre de Relatios Cliets 0 820 820 001 (0,12 /mi) Appli Mes Comptes

Plus en détail

Le Management Interculturel : Esquisse d un concept paradigmatique actuel

Le Management Interculturel : Esquisse d un concept paradigmatique actuel Iterculturel et Travail Social Le Maagemet Iterculturel : Esquisse d u cocept paradigmatique actuel La modialisatio des échages, les situatios de égociatios iteratioales qu'elle egedre, écessite de réfléchir

Plus en détail

Module 3 : Inversion de matrices

Module 3 : Inversion de matrices Math Stat Module : Iversio de matrices M Module : Iversio de matrices Uité. Défiitio O e défiira l iverse d ue matrice que si est carrée. O appelle iverse de la matrice carrée toute matrice B telle que

Plus en détail

Copyright 2001 2006 Hewlett-Packard Development Company, L.P.

Copyright 2001 2006 Hewlett-Packard Development Company, L.P. Guide des logiciels Media Ceter Les garaties des produits et services HP sot exclusivemet présetées das les déclaratios expresses de garatie accompagat ces produits et services. Aucu élémet de ce documet

Plus en détail

EXPERT. www.ort-lyon.fr NUMÉRIQUE BTS SN-IR CONCEPTEUR MANAGER BAC + 2 BAC + 3 BAC + 5. école supérieure d'informatique

EXPERT. www.ort-lyon.fr NUMÉRIQUE BTS SN-IR CONCEPTEUR MANAGER BAC + 2 BAC + 3 BAC + 5. école supérieure d'informatique EXPERT NUMÉRIQUE BAC + 2 BTS SN-IR BAC + 3 CONCEPTEUR BAC + 5 MANAGER école supérieure d'iformatique www.ort-lyo.fr C Costruisez l uivers L uivers umérique est aujourd hui et restera pour logtemps u des

Plus en détail

Intégration et probabilités ENS Paris, 2012-2013. TD (20)13 Lois des grands nombres, théorème central limite. Corrigé :

Intégration et probabilités ENS Paris, 2012-2013. TD (20)13 Lois des grands nombres, théorème central limite. Corrigé : Itégratio et probabilités EN Paris, 202-203 TD 203 Lois des grads ombres, théorème cetral limite. Corrigé Lois des grads ombres Exercice. Calculer e cet leços Détermier les limites suivates : x +... +

Plus en détail

Télé OPTIK. Plus spectaculaire que jamais.

Télé OPTIK. Plus spectaculaire que jamais. Télé OPTIK Plus spectaculaire que jamais. Vivez toute la puissace de la télévisio sur IP grâce au réseau OPTIK 1 de TELUS et découvrez-e l extraordiaire potetiel. Télé OPTIK MC vous doe la parfaite maîtrise

Plus en détail

TRANSFERT DE CHARGE DANS UN RÉSEAU DE PROCESSEURS TOTALEMENT CONNECTÉS (*) par Maryse BÉGUIN ( 1 )

TRANSFERT DE CHARGE DANS UN RÉSEAU DE PROCESSEURS TOTALEMENT CONNECTÉS (*) par Maryse BÉGUIN ( 1 ) RAIRO Operatios Research RAIRO Oper. Res. 34 (2000) 99-129 TRANSFERT DE CHARGE DANS UN RÉSEAU DE PROCESSEURS TOTALEMENT CONNECTÉS (*) par Maryse BÉGUIN ( 1 ) Commuiqué par Berard LEMAIRE Résumé. L étude

Plus en détail

Neolane Message Center. Neolane v6.0

Neolane Message Center. Neolane v6.0 Neolae Message Ceter Neolae v6.0 Ce documet, aisi que le logiciel qu'il décrit, est fouri das le cadre d'u accord de licece et e peut être utilisé ou copié que das les coditios prévues par cet accord.

Plus en détail

Chapitre 2 SONDAGE ALEATOIRE SIMPLE OU A PROBABILITES EGALES. 2.1 DEFINITIONS 2.2 SONDAGE ALEATOIRE SIMPLE SANS REMISE (PESR) 2.2.

Chapitre 2 SONDAGE ALEATOIRE SIMPLE OU A PROBABILITES EGALES. 2.1 DEFINITIONS 2.2 SONDAGE ALEATOIRE SIMPLE SANS REMISE (PESR) 2.2. Chapitre 2 SONDAGE ALEATOIRE SIMPLE OU A PROBABILITES EGALES PLAN DU CHAPITRE 2 2.1 DEFINITIONS 2.2 SONDAGE ALEATOIRE SIMPLE SANS REMISE (PESR) 2.2.1 Pla de sodage 2.2.2 Probabilités d iclusio 2.3 SONDAGE

Plus en détail