S.D.R. ou S.R.I. WALLONIE NUCLEAIRE 36 HEURES. LES travailleurs se sont battus en Wallonie pendant pîus d» Pas de petite soeur pauvre!

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1 FONDATEUR ANDRE RENARD HEBDOMADAIRE * 12 PAGES PRIX 10 F NUMERO SEPTEMBRE ANNEE S.D.R. ou S.R.I. NUCLEAIRE Andenne prépare son référendum sur le thème pour ou contre le nucléare. 36 HEURES (PAGES 6 et 7) La réducton du temps de traval permettrat auss de relancer l'économe. WALLONIE N Bruxelles n la Wallone n'ont la vocaton d'être ou de devenr des colones, a déclaré J.-M. Dehousse, à l'occason des Fêtes de la Communauté francophone* (PAGE 10} tu LES travalleurs se sont battus en Wallone pendant pîus d» dx ans pour que sot créée une Socété de Développement régonal (S.D.R.) capable de promouvor des ntatves ndustrelles. La lo Terwagrte fut votée fnalement en jullet Il fallut encore attendre tros ans avant que ne sot créée la S.D.R. wallonne et. quatre nouvelles années avant qu'elle ne devenne opératonnelle. Cela- n'empêche pas que dans le cadre- de ses pouvors spécaux, le gouvernement se prépare mantenant à ta supprther pîour y substtuer une Socété régonale d'investssement* N'éptoguons pas sur les vértables rasons de «haute poîtïqùe qu ont joué en l'occurrence. La S.D.R. état paralysée, l est vra, par la présence en son Consel d'admnstraton de délégués patronaux. Ge fut un tort de les y Introdure et de leur donner des pouvors. Nous Pavons dt à l'époque. H n'en reste pas mons que fes travalleurs à qu on avat vanté (es mértes dé la S.D.R. rsquent de ne pas comprendre grand-chose au changement de cap qu vent d'ntervenr. Oh leur demande de reporter leurs espors déçus sur une nouvelle nsttuton, la S.R.I. Qu'on ne s'étonne pas dès lors s'ls se désntéressent fnalement d'une régonalsaton dont les gouvernants font- apparemment s peu de cas. Pas de pette soeur pauvre On nous assure heureusement que la S.R.I. wallonne reprendra les mssons dévolues à la S.D.R. en matère d'ntatve ndustrelle. Fort ben. Espérons, comme le fasat c-même U. Destrèe dans son derner édtoral, que la S.R.I. sera réellement dotée de moyens fnancers mportants de façon à ce qu el e ne devenne pas la «pette sœur pauvre» de la Socété natonale d'investssement. Mas l'actuelle S.D.R. appelée à dsparaître exerçat auss d'autres mssons. C'est ans que des cellules avaent été consttuées en son sen pour s'occuper des problèmes d'ndustralsaton et de technologe, de promoton des entreprses ndépendantes^ dés déchets, du chauffage urban, de l'aménagement et du logement et de la dorsale wallonne. Il y a là des équpes de jeunes fonctonnares qu, nous dt-on, pourront être ms à la dsposton des futures admnstratons qu devront être créées en Wallone lorsque a phase transtore de la régonalsaton entrera en applcaton. Tant meux. Lors de la phase transtore prévue en prncpe pour le début 1979, l y aura en effet un Exécutf wallon fort () de sept mnstres. Ces mnstres s'occuperont, s nos nformatons sont exactes, des départements suvants affares générales, logement et équî pement, technologes nouvelles, pouvors subordonnés, économe et emplo, aménagement du terrtore et ressources naturelles^ Selon des accords plus ou mons secrets, une 'répartton aurat déjà été fate les quatre premers revendraent au P.S.B., les tros autres au P.S.C, Une Wallone semblable à la Belgque Nous avons déjà dénoncé le caractère nadmssble de ca comproms poltque. Il va clcher en effet la composton de l'exécutf wallon sur celle de l'exécutf natonal où une majorté apparemment de centre-gauche mène en fat une poltque conservatrce. Il faut dès lors se réjour de la décson prse par les fédératons socalstes wallonnes de consttuer des groupes de traval correspondant aux sept départements mnstérels wallons. Ces groupes pourront s'nsprer utlement des travaux du congrès des Socalstes wallons de Jolmont et de Serang en 1976 et de l'interrégonale wallonne de la F.G.T.B. de mars 1978< Oes travaux peuvent servr de base à une acton résolue des travalleurs capable de fare échec à 4a poltque de drote qua le P.Q.C. assocé par un pacte secret au P.9.B. dans te cadra de (a future régon wallonne» ne manquera pas de développée*, Jacques YEIRNA

2 Le serpent de mer... L'ntermnable batalle parlementare autour de la régonalsaton se poursut. Le vendred 22 septembre, après un nouvel «accord» durant la nut entre les présdents de part et chefs de groupe, la commsson spécale de la Chambre s'efforçat à nouveau d'aller de l'avant malgré une nouvelle manœuvre dlatore de M. Ferdnand De Bondt, le secrétare d'etat flamand à la Réforme des Insttutons. Le drot d'nscrpton à Bruxelles a été voté par la majorté, avec abstenton du C.V.P. bruxellos (ce qu a rrté la V.U. toujours la surenchère électorale...). Une deuxème lecture de cer." tans artcles état encore envsagée pour le mard 25 Entretemps, M, Tndemans devat rentrer du Japon. Un fat est certan l'opposton aux accords d'egmont ne cesse de se révéler, plus pussante au sen du C.V.P. Prudente en surface, elle se manfeste avec mpétuosté en profondeur. Mas elle refat surface, de proche en proche, constamment, comme un vra serpent de mer. ' ' Au pont qu'on n'ose pas exclure, absolument, un naufrage du gouvernement. P.S.B. les électons européennes Le consel général que le P.S.B. a ter.u sur les électons européennes va-t-l sortr les mltants d'une certane létharge, vore d'une létharge certane, face à une échéance qu pourtant se rapproche? Il est à prévor et à crandre que la campagne- ne s'anmera que vers avrl ma - jun, tout près de l'événement. A la trbune de ce consel général, Ernest Glnne a posé la seule queston qu ntéresse vrament les travalleurs quel len établr entre l'europe et la défense de l'emplo? On peut espérer, pusque le PS.B. veut un programme «spécfquement socalste» et belge, que la campagne socalste' va se dfférencer radcalement 8e la campagne «à l'amércane '> que le P.S.C. - C.V.P. P.P.E. s'apprête à condure. Dans les fédératons qu vont dscuter les documents, la tendance sera peut-être de «refare ]e congrès doctrnal». C'est postf pour la ve du part, mas l est ^essentel que les propostons soent en prse drecte sur la réalté, européenne. Il faut un len entre la ve de tous les jours-et les problèmes agtés au nveau de la C.E.E. (prx, défense du consommateur, transports, chômage, femmes stab-' «té monétare, etc.). Enfn, l y a là «grosse» queston des canddatures. S le P.S.C. C.V.P. lance dans l'arène ses «vedettes à l'amércane», le P.S.B, rsque de «devor» suve. La batalle de poltque, natonale avec tous ses aspects tradtonnels y gagnera dn vgueur, mas le débat européen y perdra certanement l -. "'.Autre conséquence ~ pour Bruxelles dès électonseuropéennes comment le chox entre «.collège francophone» et & collège néerlandophone» ne déboucherat-l pas sur une lutté lngustque au.toùr de ce trecensement»? «Réformes de structure» satsfactons psychologques? En «Trbune lbre» du Sor (22 septembre), Paul-Henry Gendeben, présdent du R.W., met fortement en doute la réalté des «réformes de structure» escomptées par les mnstres socalstes. Et voc des réflexons qu nous semblent pertnentes Dans l'esprt de M. Claes, le trosème prncpe qu fonde les «réformes de structures, c'est celu du mélange du secteur publc avec le secteur prvé, et même «la. mxtfcatlon» du secteur.. publc pur avec un très large secteur prvé exstant. Je crans que ce système n'aboutsse en réalté, comme nous l'avons montré au Parlement, à la prse en charge par le secteur publc d'mvmoblsctons en captaux qu pèsent lourd sur les épaules du secteur prvé. C'est tout partculèrement vra dans la secteur de l'énerge. Il eût été préférable, à mon sens, plutôt que de noyer le secteur publc dans un large secteur prvé, de développer un secteur publc pur parallèlement au prvé, même s le secteur publc dot au départ être, de talle modeste. On tot ans que l'un des objectfs des réformes de struètures, c'est-à-dre le changement' du rapport de forces- entre la pussance publque et les pussamùs prvées, n'est pas attent. Il faut certanement le regretter car je crans qu'on ne se contente, à l'occason, de ces prétendues réformes psychologques. O\\ on sat que les satsfactons psychologques sont nversement proportonnelles aux satsfactons poltques. Dans un esprt tradtonnel Enfn les réformes contenues dans la lo antcrse ont un caractère natonal. Elles se fondent auss sur un esprt tout à fat tradtonnel et conservateur. Là où on aurat pu nnover, fare appel à des forces nouvelles, on s'est contenté de se référer aux grands partenares socaux tradtonnels, les grands Syndcats et les. grandes entreprses organsées, gnorant de ce fat des forces mportantes et tout auss représentatves de l'opnon telles que, par exemple, les consommateurs, que l'on aurat dû ntrodure, dans le Comté natonal de l'energe ou dans le Comté de Contrôle, du.. Gaz et de. l'électrcté. On ne l'a pas fat..fi faut le, regretter. En vérté, ces réformes, de structures n'effraent. pas vrament. les mïleïx économques prvés.n la. parte cmservatrce du CW.P. - P.S.C. Crs d'orfrae. Pour M. Gendeben, la campagne, du P.R.L,(w..), est. à-dou-. W e - f a c e?,... -.<.., - Quant aux crs des lbéraux, ce sont des crs d'orfrae. Ils ne sont pas p)s au séreux. Cest de la mse en scène. Moyennant peu de retouches, l est certan que les lbéraux, partcpant à un gouvernement, eussent voté la lo antcrse. Ils mènent essentellement un combat déologque, électorâlste. fs veulent fare peur à propos d'un loup en carton-pâte. Malheureusement, une parte de l'opnon publque prend peur, crot qu'l s'agt de natonalsaton ou d'une manmse de l'etat sur les ntérêts prvés, alors qu'l n'en est ren. «Majortés clares et décdées» II n'est, dt-l enfn, de soluton progressste qu'au nveau de la régon Donc, je le répète, l'opposton lbérale se nourrt de démagoge. Le part socalste se contente de satsfactons psychologques. Il ne peut donc, et ce sera ma concluson, exster de vértables majortés, clares et décdées, que dans les régons. Ces majortés clares et décdées pourront mener, elles, s elles le veulent mas l n'est pas démontré qu'l y a actuellement une telle volonté de vértables réformes de structures, démocratques et effcaces. La campagne ant-egmont ë.t la Wallone. La drote francophone s'nquète de la campagne «flamngante» contre le pacte d'egmont et sans doute de l'effet de ressac qu'elle peut provoquer en Wallone. Dans Le Rappel, M. Pol Vandromme suggère une parade aux parts franco 1 phones Les maîtres à penser du flamngantsme sont trop ntellgents pour ne pus savor à quelle extrémté leur campagne entraîne le pays à la chute du gouvernement et à une crse poltque grave. Leur dessen, c'est qu'après des électons, sans doute favorables au C.V.P. qu entamerat les postons de la Volksune, on tourne la page écrte au palas d'egmont et qu'on renégoce un accord qu répuderat le régonalsme, à tros en consa,- crant totalement le fédéralsme à deux. Déloyal, domnateur, totaltare et machavélen, volà le flamngantsme. Il n'y a qu'une réplque effcace à ce coup qu serat meurtrer pour l'etat que le P.S.C. et le P.SB. fassent savor qu'ls n'entreront dans aucun gouvernement qu n'aurat pas à son programme ïe régonalsme à tros tel qu'l a été défn au palas d'egmont en foncton de l'autonome culturelle. Ans, l 'S'erat ' entendu qu'l n'y aurat pas de majorté^ dans la parte francophone du 'pays pour accept&r que Bruxelles et la Wallone soent des sortes de réserves ndenes dans un Etat aux- mans du flamngantsme Il serat également effcace de précser que le P.S.B. se retrouverat les mans tout à fat lbres en Wallone SEMAIN D o QU L'assemblée organsée par la F.G.T.B. de Lège avecw. Peers a tradut une grande volonté d'acton Défense natonale état d'alerte... Le Drapeau Rouge du 22 septembre se fat l'écho d'nquétudes de la C.G.S.P. concernant les projets de la Défense natonale vs-à-vs de l'ecole de Guerre Les canddats, dans l'ancenne école mltare, sont sélectonnés en foncton de de leurs résultats à un concours. Dans le système que veut mettre en place VdB, le chef d'état-major chosra de manère arbtrare les élèves mltares. D'autre part, l'actuelle école, de guerre a comme but de dspetseï- une formaton dans le seul domane mltare. La now velle légslaton déborde largement de ce, cadre. Ans, l'artcle 16 du projet d'arrêté royal organsant le nouvel nsttut précse sa nouvelle msson «. Organser au sen du centre d'études de défense l'étude permanente des problèmes que posent la sécurté et la surve du pays, consdérées dans leur accepton la -plus lar-.ge. Mettre en lumère les facteurs, les.moyeys et les besons qu condto>vnent cette sécurté et cette surve».... Cec est commenté en ces. termes par le journal Que recouvrent ces termes vagues de * sécurté» et de «surve» du pays? Le centre se propose même d'étuder les «moyens» nécessares à cette «surve». Dot-on, par exemple, entendre par là l'étu-.., de. de. moyens extra-parle-..,, mentares pour manïénrj en cas, de troubles socaux le régme en place? Tout cec est d'autant. plus grave que le projet d'arrêté royal prévot explctement en son artcle premer de placer l'nattut sous l'autorté du chef d'état-major général,, et non plus comme dans le pusse, sous le commandement drect du mnstre de la Défense natonale. L'nsttut' échapperat donc' au contrôle drect du gouvernement et du Parlement. Comme s cela ne suffsat pas, un trosème projet^ d'arrêté mnstérel prévot d'nstaurer à la Défense natonale un comté de l'nformatque, qu serat relé à la polce et à la gendarmere. La tâche de l'armée, fat observer le journal, n'est pas de recuellr des données sur les ndvdus. ' Décdément, partout où passe VdB, l y a de l'attente à la démocrate dans l'ar Index d'août 128,26 ponts On trouvera, c-dessous, un tableau reprenant l'évoluton de l'ndex en 1976, en 1977 et en 197& INDICE DES PRIX A LA CONSOMMATION (jullet un 1975 = 100) J Janver ,50 119,01 125,88 Févrer 110,88 119,91 126,38 Mars 111,58 119,80 126J0 Avrl 112,61 120, ÏMa ,61 122,42 126,97 Jun ,42 126,98 Jullet 114,53 122,79 127,68 Août ,18 12,8,26 Septembre 116,46 124,05 Octobre...,. 116,72 124,31 { Novembre. 117,16 124,76 Décembre......'...,117,80 125,25 Les Indces (base 71» 100) antéreurs à Jun 1976, on été converts <e nouvel ndce (base 74/75-100) en lés multplant j par'0,72993, taux de converson reténu par le Consel>.ratonâl du TravaL>. '. ' >» # «La F.G.T.B. est un mouvement pluralste l n'est donc pas dans ses ntentons dmpeser un type partculer de morale à ses afflés. Mas, parce qu'elle est pluralste, la F.G.T.B. ne peut non plus accepter que l'on mpose un type de morale à ses afflés qu souhatent la dépénalsaton de l'avortement. D'où la nécessté d'ntatves concrètes pour fare changer la lo.» C'est ce que devat déclarer Robert Gllon, présdent de la F.G.T.B. de Lège-Kuy-Warenme en trant la concluson de la conférence-débat qu s'est tenue mercred sor dans la grande salle de la F.G.T.B. trop pette pourtant pour accuellr la totalté des partcpants à l'ntatve de la Commsson «Traval des Femmes». Surmontant la trbune, un grand calcot «Non à l'avortement clandestn». Car c'est ben de cela qu'l s'agt en fat des centanes d'avortements sont pratqués chaque jour dans notre pays mas étant donné la légslaton rétrograde qu y est, encore en vgueur, la plupart sont réalsés dans des condtons physques et psychques désastreuses. La lo belge devat dre Marcelle Hoens en ouvrant la séance est mprégnée de la concepton tradtonnelle qu amène les êtres à subr la fatalté. La F.G.T.B., qu lutte pour la lberté des hommes et des femmes réfute cette concepton. La parenté est un acte qu dot être un acte responsable car l'enfant a drot à une ve bologque autant, qu'affectve. D'où le souhat d'une éducaton à la sexualté, à la contracepton. D'où auss la revendcaton de la dépénalsaton de l'avortement, celu-c ne pouvant toutefos être consdéré comme un moyen contraceptf mas ben comme un moyen ultme à utlser en cas d'échec de la contracepton. Et de réclamer la suspenson mmédate des.artcles du «Code pénal» réprmant l'avortement, pour évter des poursutes contre le docteur Peers notamment sur la base d'une légslaton dont on sat qu'elle va être changée. A l'écoute des couples Le docteur Wlly Peers, fort applaud, explque pourquo, s'étant ms à l'écoute des couples l en est venu à pratquer des avortements. Tout a commencé avec l'accouchement sans douleur, ntrodut dans notre pays voc un quart de sècle par des femmes, dont une Légeose, Jeanne Renotte. Avant, les femmes subssaent l'accouchement et se confaent aux médecns. Les mars, eux, étaent exclus des materntés. Avec l'accouchement sans douleur, un rôle actf a été rendu au couple. Un dalogue s'est ouvert, avec l'équpe médcale et, dt W. Peers, nous avons vte comprs que pour beaucoup la grossesse n'état pas voulue. «Nous avons poursuv le dalogue après l'accouchement et nous avons décdé d'ader les couples à ne plus se retrouver dans la même stuaton, cftlle d'une grossesse ndésrée. A ce moment, ce n'état pas facle les contraceptfs étaent mons effcaces qu'aujourd'hu et les rétcences nombreuses, y comprs parm ceux qu devaent les délvrer. Un pharmacen a ans lvré à une de mes consultantes un daphragme sans membrane, qu'elle a utlsé et qu ne l'a évdemment pas protégé d'une grossesse.» Bref, poursut le docteur Peers, beaucoup de femmes avec lesquelles nous avons dscuté des méthodes contraceptves revenaent nous vor encentes. Et nous qu depus le début dscutons avec elles, pour trouver la melleure soluton pour leur ve de couple, nous devons les renvoyer seules, pour fare face à leurs problèmes.» Ces femmes, nous les revoyons souvent, le samed, elles avaent des pertes de sang abondantes ou souffraent d'abomnables maux de ventre. Elles revenaent d'avor été se fare avorter.»nous voyons auss ce que devenaent ces enfants qu n'avaent pas été désrés. Ben sûr, certans fnssaent par être acceptés, mas d'autres peuplaent les consultatons pour enfants à problèmes». La santé, c'est le ben-être, et le médecn est au servce de la santé «Alors reprend le docteur Peers, nous nous sommes ms à réfléchr. Comme l'organsaton Mondale de la Santé (O.M.S.) nous sommes arrvés à la concluson que la santé n'est pas l'absence de malade mas un état de ben-être physque et psychque.» Les femmes devant fare face à une grossesse ndésrée ne connassent pas cet état et nous avons estmé qu'l état de notre devor de travalleurs de la santé de les ader. C'est alors que nous avons décdé de pratquer des nterruptons de grossesses car à ce moment l'opératon présentat déjà pour la femme un rsque mons élevé que l'accouchement. Il n'y avat donc plus de contre-ndcatons médcales. L'accuel de la socété Le docteur Peers conclut son exposé chaleureux en montrant qu'un enfant, pour s'épanour, dot avor été désré par ses parents mas auss par la socété. Et aujourd'hu, avec le chômage qu sévt, nombre de femmes peuvent se demander s la collectvté a vrament voulu qu'ls vennent, au monde. Des avortements dans de bonnes condtons, à Lège Tros porte-parole du collectf «Contracepton», de Lège, exposent ensute leurs optons et actons. Optons d'abord. Elles sont au nombre de cnq l'avortement est un acte médcal qu n'a pas sa place dans le «Code pénal» l'avortement dot être remboursé par la mutuelle les structures d'accuel envsagées pour les femmes qu souhatent se fare avorter ne peuvent être contragnantes, des centres non hosptalers pratquant des nterruptons de grossesse dovent être ms sur ped l'éducaton à la contracepton dot être amplfée. Actons ensute. Le collectf, composé exclusvement de bénévoles, médecns comprs, pratque des avortements par la méthode d'aspraton. L'opératon se fat sous anesthése locale et dure 15 à 30 mnutes. Le collectf «Contracepton» est stué rue Vllette, 7, 4020 à Lège. Téléphone 041/ Le 30 septembre, à Lège Le docteur Jacques Damoseau nvte ensute tous les partcpants à se rendre place Cockerll, à Lège, le samed 30 septembre, à 14 heures 30, pour y partcper à un après-md de témognage sur l'avortement. Après le débat, anmé par Josette Dumont, la parole est donnée à Robert Gllon, qu tre les conclusons de la séance. L'acton de la F.G.T.B. Le ttre du chaptre dans lequel se trouvent les artcles réprmant l'avortement est révélateur, dt Robert Gllon «Crmes et délts contre l'ordre des famlles et contre la moralté publque». Il s'agt donc ben de protéger la noton captalste de famlle et de patrmone, sans égard pour la lberté des êtres. La légslaton belge est, archaïque, réservée de surcrot à celles qu n'ont pas les Une vue de la trbune pendant l'assemblée. moyens de la tourner. Selon le professeur Lambotte, dt Robert Gllon, l y aurat à Lège un avortement pour deux nassances. Notre but n'est pas de fare l'apologe de l'avortement, mas de permettre que ce qu dot rester une soluton ultme se pratque dans de bonnes condtons. Et l faut ben dre qu'avec la lo actuelle ce sont les femmes des mleux défavorsés qu prennent des rsques pour pratquer une nterrupton de grossesse. Robert, Gllon évoque ensute les prses de poston de la F.G.T.B. en faveur de la parenté responsable et de la lbéralsaton de l'avo'tement qu se sont succédé depus Sans doute n'est-ce pas assez, dt-l, et Anne Massay, au cours du débat, a posé une queston précse aux sectons professonnelles «le secteur des grands magasns ade concrètement ses afflées confrontées à une grossesse non désrée. Que font les autres centrales?». Ces questons qu mettent en lumère un problème plus vaste, celu du statut de la femme, conclut Robert Gllon, devront fare l'objet, de décsons lors de notre Congrès statutare du 4 novembre. Le Bureau de la Régonale F.G.T.B. de Lège, composé de R. Gllon, E. Mags, U. Destrée, J. Yerna, S. Goblet et Ch. Purper état présent à cette manfestaton, de même que de nombreux secrétares permanents, on reconnassat également les docteurs Delvgne et Decorts, ans qu'e. Hamont, présdent de la C.G.S.P., venu tout exprès de Namur. H. V. [combat

3 Pour un accord nterprofessonnel Prorté à l'emplo, défense du pouvor d'achat des travalleurs et des allocatares socaux et volonté de vor se réalser les réformes économques annoncées dans la lo «antcrse» sont les grands thèmes abordés par Georges Debnnne, secrétare général, lors de la conférence de presse de rentrée de la P.G.T.B. qu s'est tenue jeud à Bruxelles, et dont un des thèmes a été la concluson d'un accord nterprofessonnel. La F.G.T.B. constate que la sécurté d'emplo et le drot au traval sont de plus en plus revendqués par l'ensemble des travalleurs. Auss la F.G.T.B. réclame-telle une répartton équtable du traval dsponble et revendque prortarement à toutes autres demandes la programmaton de la semane de 36 h. pour tous, au plus tard pour le Dans le même ordre d'dées, la F.G.T.B. estme que l'évoluton économque et socale actuelle mpose une soldarsaton en cas de fermetures d'entreprses et de lcencements collectfs, tout en smplfant le système et en donnant une effcacté accrue à la protecton de tous les travalleurs, cl plus partculèrement des ouvrers, quelle que sot la dmenson de l'entreprse. En effet La condton de 20 travalleurs dans les los de l'jftf (prmes de fermetures), de 1908 (ndemntés (l'attente) et dans la conventon collectve numéro 10 (lcencement collectf) lmte de façon consdérable le champ d'applcaton de ces dspostons. Le système des ndemntés d'attente avec un plafond de F pour la rémunératon de référence est complètement dépassé. Les avantages octroyés par lo ou conventon ne font pas obstacle à la nassance de fonds socaux «su-geners M généralement fnancés par la collectvté. Il semble, dès lors, nécessare de revor l'ensemble de ces dspostons, dans un souc d'effcacté et de smplfcaton. L'avs numro 484 du C.N.T. (15 ma 1975) pourrat consttuer une base de dscusson dans cette perspectve. Une augmentaton du taux de cotsaton vacances annuelles pour fare face aux oblgatons légales et conventonnelles de 1979 est devenue ndspensable ce taux devrat Ctre porté de 14,75 pour-cent à 15 pour-cent dès La F.G.T.B. demande la revalorsaton du montant du salare mnmum garant fxé par la conventon collectve nterprofessonnelle ( F au ). I combat Défendre la sécurté socale Prorté à l'emplo, défense du pouvor d'achat des travalleurs et des notamment le drot aux allocatons de chômage, allocatares socaux et volonté de vor en cas d'ndsponblté pour le se réalser les réformes économques marché de l'emplo annoncées dans la lo «antcrse» par une applcaton plus strcte des sont le s grands thèmes abordés par dspostons qu concernent la noton d'emplo convenable. Georges Debunne, secrétare général, lors de la conférence de presse de En outre, la F.G.T.B. ne peut accepter que la réglementaton du chômage rentrée de la F.G.T.B. qu s'est tenue jeud à Bruxelles. sot utlsée arbtrarement par les drecteurs des bureaux régonaux pour La F.G.T.B., qu tent tout d'abord à rappeler qu'elle n'a pas cautonné élmner des chômeurs sans tenr le projet «antcrse», s'nquète des mesures gouvernementales arrêtées en matère de subsdes de l'etat à la Sécurté socale. Le non-respect des los de base durant les années 76, 77, 78 et 79 (prévsons) a ans coûté 36 mllards aux casses de penson et un peu plus de 9 mllards à l'assurance-malade-invaldté. En matère de Sécurté socale, la F.G.T.B. dstngue deux types de problèmes, ceux qu se posent dans l'mmédat et ceux qu sont lés à la réforme, annoncée dans les los antcrse. LIAISON AU BIEN-ETRE La F.G.T.B. constate que, contrarement aux années précédentes, le Consel natonal du Traval n'a été sas d'aucune demande d'avs sur la lason au ben-être des prestatons socales pour Elle rappelle que la prme octroyée en 1978 devrat être ntégrée dans le montant de la prestaton socale à partr du 1er janver SOINS DE SANTE En matère de so «s de santé, la F.G.T.B. rappelle qu'elle s'est opposée à l'nstauraton d'une cotsaton pour les pensonnés qu'elle ne peut souscrre à une majoraton du tcket modérateur pour les vstes et consultatons des médecns et constate à ce propos qu'l n'y a plus de conventon médcomutualste et que les malades ne sont plus protégés qu'elle ne peut accepter une modfcaton de6 modaltés de remboursement de certans médcaments qu aurat pour effet de préjudcel' gravement certans malades qu'elle rejette, en l'absence rte conventon médco-mutualste, une révson des tarfs d'une s é r o de prestatons médcales dont les malades seuls feraent les fras. CHOMAGE En matère de réglementaton de chômage, la F.G.T.B. rappelle qu'elle s'oppose à toute mesure qu aurat pour objectf de lmter arbtrarement La F.G.T.B. a toujours donné la prorté à l'ndexaton des barèmes fscaux pour les revenus modestes et moyens. La pérode d'nflaton des années a augmenté sensblement les revenus nomnaux des salarés. Un nombre mportant parm eux est passé dans des tranches de revenus ne bénéfcant pas d'une ndexaton complète ( F) ou d'une ndexaton partelle ( F). En outre, la crse a frené l'accrossement des revenus réels et une augmentaton sensble du plafond de l'ndexaton des barèmes fscaux est donc une condton mportante au manten du pouvor d'achat. DECUMUL JUSQU'A F. Le mnstre de s Fnances propose de porter le plafond, au-dessous duquel les revenus des époux qu tra- compte de la réalté socale. LE RATTRAPAGE DES ANCIENNES PENSIONS La F.G.T.B. demande l'exécuton de la déclaraton gouvernementale, laquelle prévoyat des mesures de rattrapage pour les ancennes pensons. La lo dte «antcrse» prévot le prncpe de ce rattrapage. La F.G.T.B. rappelle à ce sujet que le Consel natonal du Traval proposat les coeffcents suvant^ de revalorsaton au pour les hommes Pensons ayant Hommes prs cours avant ,5 % en % en ,5 % en ,5 % en % en % en % Ces chffres sont modérés l'écart moyen le plus mportant en foncton de la date de prse en cours est de 15 %. Pour les pensons de refate et de surve de f femmes, la hausse proposée état de 3 %, quelle que sot la date de prse de cours de la penson. LA REFORME DE LA SECURITE SOCIALE Pour la F.G.T.B., l est exclu que la réforme de la Sécurté socale se fasse sans les représentants des travalleurs qu fnancent les 3/4 du régme. Pour la F.G.T.B., la Sécurté socale dot avant tout répondre à la noton de «revenu de remplacement». Cec mplque une fscalsaton progressve des sons de 6anté et des allocatons famlales lesquelg dovent être fnancés par l'ensemble de la communauté, parallèlement à l'adaptaton de la légslaton fscale. Par contre, les régmes accdents du traval et malades professonnelles dovent être ntégrés dans la Sécurté socale. QUANT AUX INDEMNITES DE SECURITE SOCIALE La F.G.T.B. demande une harmonsaton des taux d'ndemnsaton des ndemntés mnmales pour tous les secteurs un plafond d'ndemnsaton unforme une_ adaptaton annuelle des ndemntés socales à l'évoluton des salares après concertaton avec U?s nterlocuteurs socaux. QUANT AU FINANCEMENT Celu-c dot se fare par des cotsatons du patronat et des salarés (salare soldarsé) sur les salares non plafonnés pour tous les secteurs, en lason avec la réducton de certans taux de cotsatons avec compensatons fnancères entre les régmes avec compensatons entre certanes entreprses à haute ntensté de man-d'œuvre et certanes entreprses à haute ntensté de captal avec révson des subsdes de l'etat QUANT A LA GESTION Le salare soldarsé est une parte ntégrante de la rémunératon. Il est donc logque que la geston de la Sécurté socale sot réservée aux seule représentants des travalleurs. Organser le contrôle ouvrer dans l'entreprse La démocrate dans l'entreprse fat parte de la démocrate économque en général. Les travalleurs dovent avor leur mot à dre au sujet des objectfs vsés par l'entreprse. La F.G.T.B. rejette la cogeston et exge le contrôle ouvrer à tous les nveaux. Elle revendque la révson de la lo de 1948 portant organsaton de l'économe, dans le sens détermné par ses Congrès de 1971 et de Electons socales Elle demande que les électons socales prévues pour 1979 aent leu à la date prévue par la légslaton exstante (c'est-à-dre fn avrl-ma). Le cumul des revenus pénalse le traval de la femme vallent sont mposés séparément, à F. La F.G.T.B. constate que ce montant ne correspond nullement aux revenus d'un ménage moyen de travalleurs. Partant d'hypothèses plus réalstes, comme pour l'ndexaton des barèmes fscaux, le plafond devrat être porté à F. LES ABATTEMENTS SUR LES REVENUS DE REMPLACEMENT Au moment de l'nstauraton de la taxaton des revenus de remplacement, la F.G.T.B. a exgé de s abattements spécaux qu devaent garantr le manten du revenu net (lorsque les allocatons ne dépassaent pas le montant maxmum de la prépenson ou de l'ndemnté de chômage et consttuaent le seul revenu mposable). Les propostons du mnstre des Fnances réduraent les abattements pour un nombre mportant d'allocatares socaux et entraîneraent une dmnuton de leur pouvor d'achat. Cec est contrare à la revendcaton de la sauvegarde du pouvor d'achat d'un grand nombre d'allocatares socaux. LUTTE CONTRE LA FRAUDE La F.G.T.B. demande un précompte professonnel sur le pécule de vacances plus correct, souhate le relèvement du plafond de F mmunsé pour le remboursement des fras de transport et rappelle que la lutte contre la fraude fscale pourrat rapport ter 100 mllards et même plus. \eancer Aujourd'hu, près d'un dem-mllon de travalleurs sont touchés, d'une manère ou d'une autre, par le manque d'emplos et de traval. Le pods, non seulement fnancer ma s auss socal et moral, d'un tel nveau de chômage est malsan et dangereux dans notre socété, surtout s'l prend un caractère permanent. Jullet 1978 stuaton du chômage Chômeurs complets ndemnsés Chômeurs partels Chômeurs occupés par les pouvors publcs Stagares Prépensonnés Demandeurs d'emplo non ndemnsés % DE L'EMPLOI INDUSTRIEL PERDUS EN 3 ANS A l'occason de la crse, le patronat a écarté de la producton de nombreux travalleurs afn d'accroître rapdement la productvté de l'ndustre. Quelque emplos, 10 % de l'emplo ndustrel, ont été ans perdus en tros années, de 1974 à Et l'hémorrage rsque ben de ne pas s'arrêter là De cette manère, la charge da la collectvté sur laquelle pèse lourdement le pods du chômage ra crossant et obérera de plus en plus les fnances publques. La productvté ne cesse d'augmenter' et cette augmentaton s'est poursuve malgré la crse. Avant la crse, l'augmentaton de la producton compensat l'accrossement de la productvté et permettat de mantenr l'emplo. de répartton du volume de traval dsponble Par l'applcaton à partr du 1" janver 1979 des dspostons concernant le traval autorsé a tous les pensonnés (180 heures par trmestre) et la précson de la noton «actvté professonnelle», comme prévu dans la lo anlcrse. Par le renforcement de la lutte contre les cumuls et les heures supplémentares. Par une améloraton de la lo sur les crédts d'heures (pourcentages d'ndemnsaton, âge, extenson aux servces publcs). Par l'encouragement fnancer des pouvors publcs de la mse au traval des chômeurs par les servces publcs, ans que l'améloraton du statut du chômeur ans ms au traval. Par l'améloraton des condtons de traval, spécalement dans les actvtés où l y a pénure de man-d'œuvre et dans les actvtés où une humansaton de traval dot être réalsée, ce qu mplque l'organsaton du traval en équpes sur une base plus humane. Aujourd'hu, avec la crse, la crossance est nsuffsante et la haussa de la productvté se solde par des lcencements. De plus, un certan nombre de secteurs tertares qu semblaent rester à l'écart de ces hausses de productvté sont aujourd'hu touchés à leur tour. Or, aucune perspectve de crossance suffsante n'exste pour évter fes pertes d'emplos. Des rythmes de crossance de l'ordre de 2 à 3,5 % par an sont nsuffsants. Il est dès lors clar que de nouveaux emplos seront perdus chaque année sute à l'accrossement rapde de la productvté sans augmentaton équvalente ou suffsante de la producton. CHAQUE ANNEE DES MILLIERS DE DEMANDEURS D'EMPLOI SUPPLEMENTAIRES Aujourd'hu, le s données démographques ndquent que la populaton actve contnuera à s'accroître de pluseurs dzanes de mllers d'untés par an İl faudrat, pour absorber les demandeurs d'emplo supplémentares, créer chaque année smplos supplémentares. Un tel rythme de créaton d'emplos, largement supéreur à ceux enregstrés dans les années de forte crossance, ne ferat que mantenr le chômage à son nveau actuel. On peut dès lors affrmer que, sans mesures exceptonnelles, le chômage complet progressera chaque année de à untés par an, à condton que l'hémorrage actuelle dans l'ndustre s'arrête et pour autant que l'on retrouve les rythmes antéreurs de créaton d'emplos. S cette hémorrage devat ne pas s'arrêter, l'augmentaton du chômage serat de moté supéreure par an. A cet égard (pertes d'emplos), des questons graves se posent. Il exste, en effet, dans une sére de secteurs tant ndustrels que tertares, une profonde nquétude, fondée dans les fats, sur le rôle du progrès technque par rapport à l'emplo et sur les gans de productvté. Dans l'mmédat, l'horzon est donc bouché en matère d'emplo. Les jeunes savent que le rsque de chômage à la sorte de l'école les guette encore pour des années. Une telle stuaton est nacceptable. L'exstence d'un système de Sécurté socale effcace sauve quelque peu des dangers auxquels la socété est exposée, mas ce serat fole de penser que ce système de Sécurté socale suffse à élmner tous les rsques socaux et moraux las à une socété où économe 36 neures un chômage auss mportant est endémque. Au début de la crse, la F.G.T.B. a d'abord défendu un système de prépenson qu consstat à permettre aux travalleurs de 60 ans et aux travalleuses de 55 ans de qutter le traval avec des revenus décents. Toute mse à la prépenson devat s'accompagner de l'embauche d'un jeune chômeur de mons de 30 ans. C'est avec éclat, le 13 mars 197l, qu'elle a réclamé la généralsaton de ce système. Aujourd'hu, quelque travalleurs âgé s ont bénéfcé des dvers régmes dont de la prépenson légale. L'ampleur prévsble des problèmes de l'emplo exgera le manten de cette mesure. 36 HEURES Pour bénéfque qu'elle sot, la prepenson n'est pas suffsante pour élogner le chômage. Face au rythme de la productvté, l fallat une mesure plus ample de répartton du volume du traval. Auss, la F.G.T.B. n'a-t-elle pas hésté à fare de la réducton de la durée du traval à 36 heures pour la fn de 1980, sa revendcaton prortare, En décdant de lu donner la prorté, la F.G.T.B. ndquat que l'objectf état de répartr, par prorté, les fruts de la crossance sous la forme d'une réducton du temps de traval afn de sauver des emplos et do remettre des chômeurs au traval. La réducton de la durée hebdomadare du traval (R.D.H.T.) sauvegarde des emplos et met des chômeurs au traval, mas elle n'a pas que des effets sur l'emplo. Elle contrbue également a la crossance de la masse salarale. Etant une mesure générale, elle touche tous les secteurs et resserre l'évental des revenus entre travalleurs touchés par la crse et ceux qu ne le sont pas. UN EFFET DE RELANCE De l'applcaton de la R.D.H.T... l résulte également un effet de relance non néglgeable. On ne peut ner que l'accrossement de la consommaton prvée, due à une grande confance dans l'évoluton favorable du chômage et à l'accrossement de la masse salarale, entraînera une propenson à consommer plus. Faut-l nsster sur le fat chômeurs en mon s représen* tent pour la collectvté l'etat une dépense en mons de l'ordre da quelque 30 mllards auxquels l faut ajouter 20 mllards de recettes fcotsatons socales + fscalté), sot em semble 50 mllards. Les propostons budgétares pour 1979 annoncent un défct de 80 mllards. En défendant la R.D.H.T., la F.G.T.B. défend nécessarement une lutte pour l'emplo et contre le chô* mage, et non une chasse aux chômeurs (à des fns de stablsaton budgétare). La poltque préconsée par la F.G. T.B., non seulement lmte l'accrossement du chômage ce qu est mpon tant en so mas elle permet auss une stablsaton de la presson fscale sur les revenus des travalleurs et un redressement sur le plan du fb nancement de la Sécurté socale.

4 '.' * $ J - ". / * " <JÏW<1 /fpf m» f- H». -, l' ' 1 l-t ANDENNE, pette vlle de la provnce de Namur, nstallée de par et d'autre de la Meuse entre Huy et Namur connaît ' ' en ce moment une anmaton, une agtaton même tout à fat extraordnare. Cela trouvé sa source dans le ' référendum organsé ce 1" octobre à l'ntatve dé la commune sur l'mplantaton éventuelle d'une centrale nucléare, ' ' '' - ' " '' -.» - -,.. h Une anmaton hors du commun Cette ambance assez passonnelle a été provoquée par le clmat de duel qu entoure ce scrutn duel entre Intercom, socété prvée d'électrcté, et la vlle d'andenne,, Les communqués, les prses de poston se sont succédés des débats, chauds suvent des débats tumultueux Bref, a fjèvre s'est emparée de cette régon calme. Pour la premère, fos, semble-t-l, la démocrate va avancer un pas. dans un domane où sa progresson est ben dffcle s le dpmane économque. Aller dans ce sens c'est s'opposer à des forces dffuses, souvent anonymes mas comben passonnantes. Et ces forces se sont manfestées, sont sorjtes de leur trou. Le débat gagne auss en ntensté parce que les Andennaïs se sentent observés de partout la procédure est orgnale l'avs donné peut avor de lourdes conséquences un débat natonal dot bentôt fxer les grands axes de la poltque énergétque. Et même s'l est déjà en parte bloqué (à cause des réalsatons en place), des programmes sont encore à décder. Inévtablement, le scrutn d'andenne nfluencera les sphères poltques s un refus massf se dégage, les parlementares de tout le pays ne pourront néglger que leurs électeurs propres ont peut-être les mêmes réactons et qu'l serat dangereux de se mettre en dscordance avec cet avs potentel. L'objet du référendum En 1969, par une conventon passée avec le Consel communal d'andenne, Intercom acquérat un terran stué tel >0,\ l s f l 1 S 11 ' II s'agt du mode de consultaton de la populaton sur un thème détermné. Dans certans pays, cette procédure est très mportante l'ssue du scrutn consttue la décson qu devra être applquée. L'exemple le plus marquant est celu de la Susse, où, régulèrement, les ctoyens sont nvtés à se prononcer drectement sur certanes orentatons poltques lé vote des femmes, le refoulement des étrangers aux frontères ont été des ponts récemment soulevés. Ce 24 septembre, le Jura vent d'accéder à l'autonome à la sute d'un référendum organsé à l'échelon confédéral (tout le pays). Cette pratque est auss connue en France mas fut surtout utlsée par le général de Gaulle. En Belgque, cette procédure n'est pas reconnue légalement l serat llégal, nsttutonnel même, de fare décder d'une chose par référendum l'autorté de tutelle (c le gouverneur de provnce) pourrat annuler la mse sur ped d'un référendum s la commune le rendat oblgatore ou prétendat en fare une décson communale. Chez nous, la populaton délègue ses pouvors à des élus locaux (communes), régonaux (provnces) ou natonaux (Parlement). Ce sont eux qu décdent, dans les domanes où la lo leur donne compétence. Des tentatves ont pourtant déjà été menées pour fare du référendum un moyen de gouvernement c'est même ce moyen que les mleux wallons ont voulu utlser en 1963 pour gagner le fédéralsme. Sx cent mlle sgnatures avaent appuyé la revendcale long de la Meuse proche de la zone d'habtat. Des pressons s'organsaent progressvement, on commença à parler, de centrales, nucléares... l. y eut fuson de communes, nouvelles électons, à nouveau majorté socalste. Les parts avaent proms de s'opposer à toute centrale nucléare...,,,....,,,.., En 1977, déjà, des bruts avaent crculé sur l'organsa-. tîon d'un référendum proposée par des 1 groupements éco-v logstes cette proposton n'avat pourtant pas reçu un accuel suffsant auprès des autortés qu, arguant de l'mmnence d'un débat natonal, avaent préféré attendre. Accufé par une moblsaton crossante des popula- > tons, le Consel communal ft annuler la Conventon de 1969 et proposa un autre ste à Intercom qu, acceptant l'argument de l'effet malheureux d'une constructon volumneuse près de la vlle, demanda une autre zone, plus vaste, sur le terrtore communal. Le ste de Coutsse fut chos. Cette nouvelle Conventon, sgnée en ma 78, cédat à Intercom la proprété de plus de 100 hectares, en zone agrcole la vlle promettat de fare des demandes pour obtenr un statut de zone ndustrelle, recevat une compensaton fnancère mas stpulat que cet accord ne sgnfat pas son acceptaton de l'nstallaton d'une centrale nucléare. Les autortés estmaent peut-être s'être débarrassées ans du pérl l'élognement de la Meuse (3 klomètres) allat rendre complexe l'approvsonnement massf en eau. de refrodssement. En fat, aujourd'hu, une centrale pourrat fonctonner avec un apport d'eau de près d'un mètre cube/seconde, ce qu ne serat pas un grand problème. En 1978, l'dée du référendum progressa encore, s ben que le Consel communal unanme décda de le provoquer ce 1er octobre. ton du prncpe de référendum d'ntatve populare, mas ce vaste effort s'état vu bloqué par les sphères poltques natonales. Un référendum, comme celu d'andenne, sert donc à fare connaître l'avs'de la populaton sur un sujet détermné. ) <..,> Cet avs ndquera, le sentment ttes gens, ce qu permettra aux élus de se savor suvs où désavoués. Il correspond en fat à une large pétton. Le recours au référendum est exceptonnel l a serv récemment dans le cadre des fusons de communes à détermner vers quelle entté centrale certanes ancennes communes entendaent se rattacher ce recours a eu leu là où seulement les élus locaux ne pouvaent se mettre d'accord sur le chox à opérer. Ce mécansme pourrat même se révéler un dangereux outl favorsant plus le conservatsme que le progresssme s, aux mans de démagogues, les populatons consultées très localement et sur des objets très lmtés, étaent amenées à refouler toute nnovaton technque ou nouveaux développements ndustrels. Ans en est-l à Ohey, commune vosne d'andenne, organsant son propre référendum ce même 1er octobre. Le thème en est «acceptaton ou refus de centrale nucléare ou de tout autre nvestssement ndustrel». Il s'agt là de menées rresponsables tendant à empêcher tout développement économque, tout progrès de l'emplo. ff ïrj II m $ 1 1. J >. 1.., " l m M PI f--*% û' A VIS Habtants d IN *s«*<«wîïssï«>s*œss>w.sïïg?j Cette quantté sera très-fable, et ctcajtvt, II stuthlt ten ntfnfas» ttuatttt là nhultet.-nftos tmttt,, \ ût *.««>>««/», ft'ett par,11 ft s ItUthtas Aecfottts, II man - II, t fontfttu»t Ht mtmifs (WSéllaUs est ptm ltrt W tf«ctttl* nwluur» plm 'Inla-" matont t Cë tujel. Vwn <t n* «Ifà four/». net ttpxu et* fft LES INTERLOCUTElS Golath à l'assaut 'Ândenne Le référendum d'andenl apparaît de plus en plus comme un duel acharné entrdeux forces. D'un côté, l y a la socété Intercom. Cette océté prvée possède déjà les tros centrales nucléaresje Thange (la premère en co-proprété avec un groupe anças) elle dspose auss d'nnombrables centrales au arbon, gaz ou pétrole elle est en fat un des tros géanjde l'électrcté en Belgque, avec Ehes et Unerg ls se rtagent plus de 95 % de la producton et près de 80 /o la dstrbuton en Belgque. Intercom n'a pas prs lejcrutn d'andenne à la légère elle crant que ce test ncfasse des petts ou que l'mpact ne sot trop vf dans lut le pays. Auss Intercom a-t-l jeté beaucoup de forceldans la batalle. Des tracts toutes boîtes, beaux aet, rassants, sont, dstrbués à sx reprses dans toute la commpe un autocar statonne en permanence sur la place dmdenne. des déplants, des démonstratons technques,tes flms, sont proposés au publc par des ngéneurs, décadrés d'intercom, qu tentent d'approcher la popuïatd). d'amenuser ses crantes. Le samed, Intercom affrète jes autocars et emmène les cureux à une vste de Thante. En fat, l s'agt davantage que d'une vste de la cehtrae, d'un exposé par un ngéneur, publc-relatons. On n'ydscute, dt-on que technque. Et, flms à l'appu, on y prouve l'ndspensable crossance énergétque, l'absolue nécessté du nucléare deux heures de bourrage de crâne très technque les gens en sortent sot hébétés, se dsar que ces gens s ntellgents savent sûrement ben ce qu'ls font, sot effrayés par l'énormté de l'nvestssement, par es mesures de sécurté, de survellance. Tous les débats organses à Andenne ou dans les petts vllages du grand Andene sont suvs par des ngéneurs ou des représentants d'intercom parfos même, des gens de Westnghouse a d'electrobel (socété fnancère et d'études proprétare d'intercom). On suppose que le volontarat a été organsé Intercom a procédé à des sondages d'opnon pendant cet été l a recruté des nterveweurs, provoqué des assemblées d'échantllons-de la populaton en les rétrbuant. En bref, lestmoyens sont énormes, près.de 10 mllons, avoua un ngérteuty-bén au-delà sfetdyheétïçpmptablsé,. Tout cela écœure une parte de la populaton, qu trouve ndécent une. telle débauche d'efforts et qu, par conséquent soupçonne la campagne d'intercom d'ntérêts et d'objectfs navouables. ffhefflb fntçrcom restez chez _ vous Ayant testé la populaton et sentant un sentment de p, rejet Intercom, dans une 1 conférence de presse, a prôné l'abstenton. Il a dt aux gens restez chez vous, ce scru- ' tn f'â pas d'objet la poltque nucléare dot se décder au nveau natonal et là, le début n'est pas encore program-' > mér de toute façon, aucun projet n'exste.avant, de nombreuses années^ et dans saconventon avec la vlle, ïlhterr - com s'est engagé à ne pas demander une autorsaton de..v bâtr avant Ce débat est donc précoce et van. Les thèses d'intercom sont relayées en sourdne par, certans commerçants, les mleux bancares prvés, certans groupements d'employeurs et de cadres (Kwan's, Club, Rotary, Lon's Club)., Davd une volonté s'opposer au fatalsme En face de ce groupe prvé, l y a, regroupés dans le Front du Refus, tous les parts poltques présents au Consel communal et les tros mouvements écologstes. En collaboraton étrote avec l'admnstraton communale, ce Front a ms au pont ur très séreux programme de sensblsaton et d'nformaton. S les moyens fnancers sont très lmtés (quelques dzanes de mllers de francs), les bonnes volontés et les dévouements se manfestent avec beaucoup de sympathe. Des débats sont organsés presque chaque Sor, dans'tous les" vllages chaque fos les salles sont combles et l'ambance enfévrée. C'est là, sur le terran, que l'on vot se développer un réel espor de démocrate. Peut-être le clmat passonné empêche-t-l un vértable traval de formaton, mas l paraît évdent qu'auront été démystfées un certan nombre de wh TWvft»*'tï' choses sur l'ambguïté desquelles se bâtt la force des groupes prvés. Ou' Intercom apparasse sous son vra jour, que soent démasqués ses plantureux bénéfces au détrment des consommateurs et des communes (une socété publque A.L.E. rstourne plus du double aux communes que ne le fat le prvé). S une bonne parte du débat porte sur les aspects «dangers pour la santé», on peut estmer que cela n'est pas les ponts où Intercom et les patrons électrcens sont les plus vulnérables. Mas, même sur ces ponts lmtés, l paraît évdent que les défenseurs du nucléare ne savent pas apporter aux populatons tout l'apasement qu'ls sont en drot d'attendre. La poston d'intercom de préconser l'abstenton a été souvent ressente comme une gfle c'est consdérer que les gens n'ont ren à dre ou ben qu'ls ne savent, pas, quand ou, comment le dre, Ce- camouflet, à la démocra te a provoqué dés réactons vrulentes et,' parfos, les, représentants d'intercom ont dû être protégés contre les mena* ces pressantes et précses des populatons., Cqs. gens venus d'alleurs ne savent ren des, problèmes, locaux n des mentaltés régonales pourtant, ls font,des,,efforts louables, mas peut-on à l'ase concler calcul économque des groupes prvés et volonté populare de maîtrser son sol et son destn? (Entendu dans un débat «Tous les M pouvors émanent de la naton, et c, ça se passera corrk j, me ça»). ' Une formaton à contnuer logque rappelée 1 par le patronat seon aqumm rau puo d'énerge pour attendre plus de crossance et de confort' 1 n'a aucune base valable. S ce n'est celle pour eux de vendre toujours plus. On sat aujourd'hu que des amélo- ratons technques, lmtées parfos, permettraent de rédu- ' ' re consdérablement les gaspllages. Un champ tott neuf ' s'ouvre sur tout un secteur neuf celu de la récupératon ou de l'économe d'énerge des solutons se précsent,-, des alternatves apparassent. L'solaton, les énerges douces ouvrent auss de nouveaux horzons. Et dans ces domanes l serat possble de relancer des nvestssements ndustrels adaptés à nôtre régon. C'est auss par ce bas que la dmenson «emplo» du problème énergétque peut être abordé avec le plus d'espor. D'un autre côté, nous vvons aujourd'hu déjà dans un relatf suréqupement en électrcté et cela se vérfe plus encore en Wallone. Thange 1 suffsat jusqu'à 1985, l y a déjà Thange 2 et 3 Où allons-nous? En outre, la domnaton du secteur par quelques groupes prvés, très lés entre eux, en plus, rend pérlleux tout accrossement de leur pouvor les prx chez nous sont déjà les plus élevés du monde occdental cela ne se justfe en aucune façon. Enfn, le développement massf du nucléare condut à une démocrate de plus en plus dffcle. Tout le monde dépend du bon voulor d'un ou deux groupes, l faut passer par tous leurs caprces (ex. le pétrole) et se lvrer peds et pongs lés à leurs volontés. la démocrate à construre S nous ne pouvons pas, dans l'absolu, rejeter le nucléare comme source d'énerge mportante, nous devons tout de même aujourd'hu émettre beaucoup de réserves quant à son utlsaton massve beaucoup de ponts restent dan sle nor (déchets, contrôle, santé...) et sa maîtrse technque favorse un renforcement du pouvor du captalsme sur les masses son contrôle échappe aux représentants des populatons. A tous ces ttres, la lutte menée à Andenne sera sgnfcatve et plene d'ensegnements. Il appartendra cependant aux Andennas d'être vglants et de porter auss le déb.gt en.dehors d'eux s'ls veulent évter que leur décson re sot bafouée ou qu'elle mpose" à d'autres régons de m,êmes. dffcultés. ' José VERDIR La centrale nucléare do Thange V et ses barbelés. Termnera-t-on Thange 2.?

5 Sdérurge mse en garde des Métallurgstes FGTB et du SETCa de Lège L'acton courageuse condute pour sauvegarder l'emplo à la R.B.P. n'a pas perturbé fortement l'approvsonnement en essence. C'est peut-être tant meux pour le consommateur, mas c'est tant ps pour l'emplo... Et la dureté de la fédératon pétrolère belge s'en trouve renforcée. On sat qu'en gros les pompes ont été almentées à partr des dépôts pétrolers de J'étranger. Dans un pays auss pett que la Belgque, qu'on traverse en tros heures, quo de plus facle? C'est au pont que les «perturbatons» constatées la premère semane étaent pratquement elacées durant la seconde. Le temps de mettre les flères en place. Cec reposa une fos de plus le problème de l'organsaton nternatonale des travalleurs dans les conflts socaux. Et d'une soldarté qu ne peut s'arrêter à la frontère... Remous autour de l'o.r.i. Dverses provnces, communes et ntercommunales de Wallone ont créé des centres d'nformatque localsés à Lège, le CX.I.O., à Mons, l'ajjh.m., et à Namur, la C.I.G.E.R. Par la sute, les mleux P.S.C. ont créé, à Louvan-la- Neuve, c'est-à-dre à Ottgnes, dans le Brabant wallon, un Offce régonal d'informatque (O.R.I.) chargé d'emblée de trater les problèmes régonaux, les autres centres émanant de pouvors publcs étant chargés des problèmes sous-régonaux. La semane dernère, nous avons défn le pont de vue du S.E.T.Ca. sur l'avenr de l'o.r.i. Cet avs a amené les responsables du centre de Louvan-la- Neuve à organser à leur tour une conférence de presse. D'où les nouvelles précsons apportées par le S.E.T.Ca. sur cet mportant dosser. Selon la drecton de l'o.r.i., une conventon permettant de payer 14 analystes sur 26 vent a échéance ce 30 septembre. Ce fat justfe cnq lcencements, dont tros vsant les afflés du S.E.T.Ca ces chffres ne sont contestés par aucune des partes. Toutefos, le S.E.T.Ca. fat remarquer les éléments suvants 60 % des préavs touchent les afflés du S.E.T.Ca. qu ne représentent que 22 % de l'ensemble du personnel de ro.r.i. Les comtés syndcaux ouvrers, appontés et cadres F.G.T.B. de la sdérurge légeose se sont réuns le 26 septembre afn de fare le pont de l'évoluton de la stuaton dans le secteur, en partculer dans la régon légeose. Les comtés ont constaté que depus la Conférence de la Sdérurge de ma derner, tout le problème posé par la restructuraton technque, commercale, fnancèredu secteur n'a marqué aucun progrès, aucun échange entre les nterlocuteurs n'étant depus lors plus ntervenu. Les représentants F.G.T.B. adressent aux responsables patronaux et gouvernementaux les plus formelles mses en garde à l'égard du préjudce que ces nouveaux retards pourraent occasonner aux entreprses. Alors qu'l semble que le gouvernement pourrat prochanement provoquer une reprse de contact, les délégués F.G.T.B. de la sdérurge légeose entendent affrmer publquement et avec force que la prse en consdératon légtme des ntérêts des travalleurs des dverses entreprses sdérurgques belges mplque une répartton précse et rgoureuse des actvtés ndustrelles entre les bassns conservant à chacun d'eux sa capacté de producton relatve. A cet effet, les plans d'nvestssement de chaque entreprse dovent être rendus publcs, adprouvés, programmé, et s beson le délégué syndcal est lcencé la preuve des dffcultés fnancères de l'o.r.i. n'esl toujours pas étable. Le crtère technque nvoqué par la drecton de l'o.r.i. pour détermner les personnes l'cencées est des plus séreux. Rappelons que le Consel d'admnstraton de l'o.r.i. retent comme crtère «technque» de lcencement les analystes bénéfcant des barèmes les mons élevés. Or l faut savor que la drecton de l'o.r.i.a mené une poltque de dscrmnaton salarale (jusqu'à cnq éch-elles barémques dfférentes de nveau I pour un môme type de traval d'analyse) aboutssant à la stuaton suvante les me-'nbres du S.E.T.Ca. n'ont jamas bénéfcé des tros échelles barémques les plus élevées donc en lcencant les personnes ayant les échelles barémques les plus basses, on de vat fatalement décmer l'effectf du S.E.T.Ca. L'INFORMATIQUE EN WALLONIE La stuaton de l'emplo à l'o.r.i. a amené le S.E.T.Ca. à poser le problème de l'nformatque publque régonale. A cet égard, rappelons que d'après le plan la répartton des moyens nformatques dot s'adapter à la répartton des compétences entre les dfférentes nstances poltques et admnstratves. fnancés dans la clarté - le gouvernement et la C.E.C.A. dovent se porter garants du respect de cette programmaton et de l'exécuton des engagements prs le secteur et les entreprses sdérurgques belges fortement dégradés, endettés et sans moyen fnancer, requèrent l'adopton de nouvelles structures jurdques et fnancères qu fassent offcellement au secteur publc la part prépondérante qu est, dans la réalté, la senne la compensaton des emplos perdus en sdérurge par la dversfcaton et la créaton d'emplos- de remplacement est ndspensable à la surve de la régon. Pour cela, les moyens Un pquet de grève au port pétroler de Wandre. Quatre nveaux sont à prendre en consdératon le nveau central le nveau régonal le nveau sous-régonal le nveau local. Le S.E.T.Ca. ne s'nscrt pas dans un débat qu mélange les dfférents nveaux. Le cadre du débat est ben la régon wallonne et les outls qu'l convent de mettre en place pour assurer son développement. Le S.E.T.Ca. estme que l'nformatque régonale et l'nformatque communautare ont des objets propres et spécfques ls dovent en conséquence être tratés comme des ensembles cohérents ndépendamment de l'avenr des centres sous-régonaux. Cette poston se justfe par pluseurs motfs les systèmes d'nformaton qu seront ms en œuvre dans le cadre de la régon wallonne concernent des pouvors légslatf, exécutf et des admnstratons dstnctes, des organes spécfques de concertaton, de planfcaton et d'opératonnalsaton (parlement régonal, comté mnstérel du Bureau du Plan, C.E.R.W., S.DJR.W.) les applcatons mses en œuvre au nveau régonal s'nscrvent dans 1«cadre des matères régonalsées. technques et fnancers nécessares dovent être rendus dsponbles de manère opératonnelle et à la dsposton de la régon elle-même. Dans le même temps que sera trate ce volet économque, le volet socal avec lequel l forme un tout et qu a été ms en place par les conventons collectves des 27 et 28 jun derners sera applqué selon les modaltés prévues et négocé partarement dans les entreprses. Les délégués syndcaux F.G.T.B. de la sdérurge légeose nvtent tous leurs adhérents, ouvrers, appontés, cadres, à suvre avec la plus grande attenton, les événements des prochanes semanes. Elles concourent à la prse de décson, la geston, le contrôle des poltques menées, elles peuvent ader la concertaton et la planfcaton. Le contrôle d'nstruments auss pussante que l'outl nformatque dot être exercé de manère pluralste. Afn que ce contrôle sot effcace et réel, H est ndspensable que le pluralsme s'nstaure à tous les nveaux (consel d'admnstraton, drecton, chefs de projet). Il apparaît aberrant au S.E.T.Ca. de ler le problème de l'emplo à l'o.r.i. avec le problème des organes de geston des centres sous-régonaux. La drecton de l'o.r.i. affrme qu'elle es tfavorable à des structures et statut publcs dans tout le secteur de l'nformatque régonale le S.E.T.Ca. s'en réjout et exge qu'elle formule des propostons concrètes. Le S.E.T.Ca. attend un plan pour la phase transotre précédant la mse en place d'un centre publc d'nformatque pour la régon wallonne et détallant les problèmes de l'emplo, des statuts, du pluralsme, de la place des organsatons représentatves des travalleurs. Le S.E.T.Ca. espère qu'un accord pourra ntervenr rapdement entre les responsables wallons concernés afn de formatque régonale en attendant la garantr l'emplo dans le secteur de l'nmse en place des futures nsttutons wallonnes. BANQUES ECHEC DES NEGOCIATIONS Les négocatons en vue d'aboutr à une nouvelle conventon collectve dans le secteur des banques ont échoué. On déclarat de source syndcale qu'au début de la réunon de jeud, les négocatons se déroulaent ben jusqu'au moment où on aborda le pont de la garante de l'emplo. Sur ce pont, déclarent les syndcats, les représentants patronaux refusèrent de fare des concessons, tout comme ls refusèrent la revendcaton de rédure la durée du traval à 36 heures. Ils proposèrent d'accorder 37 heures aux termes d'une conventon valable pour deux ans, mas les syndcats revendquaent 36 h. 45 augmentées de quelques jours de vacances supplémentares. La dscusson Commerce de détal ndépendant contreproposton patronale Les négocatons dans le secteur du Commerce de détal ndépendant avaent débuté à la velle de la pérode de vacances, sur la base du caher de revendcatons déposé en front commun à la fn ma. Y fgurat une augmentaton salarale de F., la programmaton d'un trezème mos, la réalsaton progressve de la semane des 36 heures, l'obtenton d'un sursalare pour les prestatons effectuées après 18 heures, la lason à l'ndex sur les salares réels, etc. On s'est revu le 13 septembre en commsson partare et, fat sallant de cette nouvelle réunon, les patrons ont formulé une contreproposton sous la réserve, toutefos, que certanes organsatons n'avaent pas oncore donné mandat. Voc le détal de lacontreproposton patronale 1) augmentaton 200 F au et 200 F au pour les employés majeurs, avec applcaton du barème dégressf pour les jeunes 2) trezème mos 50 % fn % fn ) nouvelle formule d'ndexaton 2 % sur le barème précédent en cas d'augmentaton de 2 % sur l'ndex pvot précédent. Ajouter l'ndex sur barème aux salares réellement payés 4) dégressvté des jeunes 5 % sur le barème 5) classfcaton en groupe I ou groupe II au leu des mots * à la vente» référer aux fonctons qu se trouvent sou 6 le compte d'une domunté pour les employés à temps partel ayant mons de 20 heures de prestatons par semane, et une unté complète pour ceux ayant 20 heures et plus 6) relèvement du plafond des gérants des flales dont l est queston à l'artcle 11 de la C.C.T du de F à F. Les autres ponts du caher de revendcatons ont été rejetés. Les représentants syndcaux ne pouvaent accepter cette proposton et, après un échange de vues entre les partes, le présdent de la Commsson partare a demandé que l'on poursuve les négocatons le 11 octobre prochan, suggérant que l'on mette à proft ce répt pour consultaton des mandants. Secteur Fnance problèmes posés par les termnaux d'ordnateur Rn collaboraton avec le Commssarat général à la Promoton du Traval, le C.R.E.S.E.P.T. (Centre de Recherche et d'etudes sur la Sécurté, l'ergonome et l Promoton des Condtons de Traval) a organsé, à Bruxelles, les 15 et 16 septembre 1978, des journées d'études sur les problèmes posés par les termnaux d'ordnateur. La délégaton du S.E.T.Ca comprenant le- camarades Clajot Glbert, sécréta e général du S.E.T.Ca De Block Claude, secrétare régonal Wltebrouck Robert secrétare régonal adjont Teller Paul, délégué cadre à la Banque natonale de Belgque. Au cours de ce sémnare, où ont été abordés les problèmes de la charge mentale.'de la durée du traval, de la fatgue, de l'organsaton du traval, le secrétare général de du S.E.T.Ca a fat u'<> communcaton qu dépassat le cadre strct de l'ergonome. ' Voc le texte de l'nterventon de Glbet Clajot «Le secteur fnancer a connu de pol'ondes mutatons clans ses structures, dans ses actvtés, dans les travaux admnstratfs. Ces changements ont créé un terran favorable à l'automatsatoa. L'outl nformatque est, dès lors, dp. plus en plus largement utlsé, auss ben clans les banques que clans les assurances.» Vn> nouvelle étape du développement de l'outl nformatque est l'extenson des termnaux à une échelle très mportante. L'exstence de cet équpement nformatque permet la recherche de nouvelles possbltés commercales «cash dspenser», connexon avec les casses enregstreuses des grands magasns. Elle permet auss la recherche de smplfcatons admnstratves qu ont pour conséquences des modfcatons des condtons de traval. Il n'est pas possble de dvser ces conséquences en closons ben compartmentées. En voc quelques-unes à ttre d'llustraton. Nous assstons parallèlement à la spécalsaton, la parcellsaton, la banalsaton du traval au nveau, plus spécalement, de la sase des données.»pa contre, l'ntroducton des termnaux clans certans servces ou certans ponts de contact avec la clentèle pern.t de revalorser le traval. Dans ce derner cas. les conséquences pratques sont de deux ordres au mons d'une part, la dsparton progressve de certans postes de traval (enregstrement ou vérfcaton manuelle) d'autre part, ls», déqualfcalon des agents qu assument, de plus en plus, des fonctons de mondre qualfcaton.» En ce qu concerne plus partculèrement les termnaux d'affchage, nous nsstons, plus partculèrement, sur les répercussons admnstratves mportantes comme la suppresson de documents et le rassemblement d'nfor-. matunb générales.»i1 exste toutefos des problèmes d'ordre physologque. Dfférentes étud(-s menées sur le plan nternatonal, notamment par l'organsaton nterna- Uodlb des Employés, révèlent des phénomènes de fatgue vsuelle, nerveuse et même corporelle en général.» Sons de santé Une «premère» dans le secteur Pour la premère fos dans le secteur des sons de santé, le personnel d'une nsttuton obtent la semane des 38 houres. Il s'agt de l'insttut Beauvallon à Sanî-Servas, où un accord s'est fat sur ce pont et sur d'autres, après conclaton. Les 38 heures y seront effectves le 1" avrl 1979, tourna court devant le refus de la délégaton patronale. Les syndcats vont mantenant consulter leurs afflés en vue de fxer leur atttude. On peut s'attendre, dans la semane qu vent, dt-on de source syndcale, à la poursute des actons qu avaent débuté avant les vacances sur le plan de l'entreprse. L'employé à l'essa En cas d'ncapacté de traval, l'employé à l'essa a drot à une rémunératon dans des condtons que la lo défnt. Les voc L'employé engagé à l'essa, pour une durée détermnée de mons de tros mos ou pour un traval nettement défn dont l'exécuton requert normalement une occupaton de mons de tros mos, a drot, en cas d'ncapacté de traval résultant d'une malade autre qu'une malade professonnelle ou d'un accdent autre qu'un accdent du traval ou un accdent survenu sur le chemn du traval, à 100 % de sa rémunératon pour une pérode de sept jours. Le premer jour ouvrable de la pérode d'ncapacté de traval est un jour de carence la pérode de sept jours prend cours le lendeman. Toutefos, lorsque l'employeur est tenu en applcaton de l'artcle 27 au paement de la rémunératon pour la journée au cours de laquelle a débuté l'ncapacté de traval, le jour de carence se stue le premer jour ouvrable qu sut et la pérode ne comprend que sx jours. Ce jour de carence ne s'applque pas lorsque la durée de l'ncapacté de traval est de quatorze jours au mons. Pour la détermnaton du jour de carence, le jour d'nactvté habtuelle, résultant de la répartton hebdomadare du traval sur cnq jours n'est pas consdéré comme jour ouvrable. Le drot à la rémunératon est subordonné à la condton que l'employé à l'essa sot demeuré sans nterrupton au servce de la même entreprse pendant au mons un mos. Lorsque l'employé à l'essa attent cette ancenneté pendant la pérode de sept jours vsée à l'alnéa premer, l peut prétendre à la rémunératon vsée audt alnéa, pour les jours restants. Rappelons également que la Commsson partare compétente peut proposer 1) de modfer la durée de l'ancenneté prévue c-dessus 2) de remplacer la condton d'ancenneté dans l'entreprse par d'autres condtons 3) de fxer les condtons supplémentares à celles prévues c-avant. La Commsson partare fat connaître son avs dans les deux mos de la demande qu lu est fate à l'expraton de ce déla, l pourra être passé outre. G T stes en pharmace L'affare des prestatons du samed Une conventon collectve du traval, datée du 30 septembre 1975 et rendue oblgatore par un arrêté royal a la date du 8 jullet 1976, règle l'organsaton du traval chez les grossstes-répartteurs de médcaments. Par cette conventon frut d'une longue et patente approche les travalleurs de ce secteur bénéfcaent enfn, autant que fare se peut, de weekends complets. Toutes les précautons avaent été évdemment prses pour qu'un bon approvsonnement en médcaments sot assuré par l'organsaton de servces de garde. Pour répondre à certanes stuatons exceptonnelles, des dérogatons ont même été octroyées. Ans, tout avat été prévu pour que la mse en œuvre de l'accord ne pose aucun problème. Pourtant, dès le départ, des rétcenses se frent jour de la part de certans grossstes-répartteurs. Mas surtout, un certan nombre de pharmacens manfestèrent une ncroyable mauvase volonté Cela aboutt de leur part à un recours devant le Consel d'etat, qu, malheureusement, parat leur avor donné rason. Or, l convent de fare remarquer c que s les pharmacens drapent volonters leur pont de vue de prétextes humantares comme s la santé publque avat jamas été mse un danger par les dspostons prses l se peut auss que les motvatons de quelques-uns d'entre eux soent plus ntéressées qu'ls veulent ben le fare paraître. Personne n'gnore en effet que la professon encombre quelque peu les consels d'admnstraton des grossstes-répartteurs. De là à penser que certans de ces pharmacens-admnstrateurs répugnent à s'approvsonner alleurs que dans la frme où ls sègent, l n'y a qu'un pas que nous n'oserons franchr s leur atttude n'avat été auss explcte. En d'autres termes, l n'a jamas été queston dans l'esprt de ceux-là de commercer avec un grossste qu ne serat pas le leur. Affare de trorcas.se dès lors et non de santé publque Certes, l ne faut pas généralser. Tous les pharmacens ne sont pas dans le cas. On aurat même plutôt tendance à crore que la déclaraton de guerre est venue d'une facton dure, plus décdée qu'mportante, mas qu a fn par dcter sa lo. Ces rréductbles n'ont a alleurs même pas attendu que l'annulaton de l'arrêté royal at prs ses effets (au moment de mettre sous presse, l n'avat pas encore paru au Moneur) pour relancer l'offensve et contrandre les grossstes à ouvrr le samed. C'est donc sans respect de la légalté en vgueur à ce jour, que certans grossstes ont réouvert le samed. D'où une premère acton syndcale samed derner à Bruxelles devant les locaux de l'entreprse dans laquelle, notons-le au passage le présdent de l'a.p.b. est membre du consel d'admnstraton. D'autres ponts restent obscurs dans cette pénble afare, au bout de laquelle les travalleurs de tout un secteur rsquent do se vor brutalement ramenés en matère de congés hebdomadares à la désavantageuse stuaton qu'l connassaent quelque tros ans plus tôt. Il semblerat notamment que la cause des travalleurs n'a été que mollement défendue- devant le Consel d'etat. Ma's le ps est encore d'magner comb'e.» rsque d'être dffcle toute amorce vers un nouvel accord, face à des gens qu parassent allergques à toute forme de négocaton. Et encore faut-l même qu'ls entendent quelque chose I

6 " N Bruxelles n la Wallone n'ont la volonté de rester ou de devenr des colones déclare Jean-Mare Dehousse «Ceux qu, à présent, chosraent de remettre en cause l'accord communautare, dovent savor qu'ls assumeraent le rsque d'une crse très grave pour l'etal.» C'est là la mse en garde fate par le mnstre Jean-Maurce Dehousse, à l'occason do la fête de la communauté francophone du pays. Voc de larges extrats de cette déclaraton. «Dans le domane économque et socal, beaucoup de choses dépendent de la réforme de nos nsttutons, réforme réclamée depus plus de quarante ans. A cot égard, je n'avas pas caché, l'an derner, comben nos espérances d'avenr étaent lées à la réalsaton du pacte communautare et régonal. Voc un an, en effet, je vous confrmas que le gouvernement entendat ben s'atteler à la soluton des problèmes que nous pose la crse, mas je précsas «II ne faut pas le fare s l'apparel de l'etat n'est pas soldement nstallé sur une base communautare et régonale, s la Belgque n'apparaît pas clarement comme l'allance volontare et acceptée de tros communautés et de tros régons. C'est pourquo la réforme des nsttutons demeure une tâche absolument prortare.» Il faut donc soulgner l'extrême mportance que revêt le projet de lo n" 461. déposé par le gouvernement devant la Chambre. Ben entendu, ce projet offre des avantages à la Flandre, ce qu est très normal. Mas pour la Communauté françase en tant que telle, pour la Wallone et pour Bruxelles en tant que régon ce projet est porteur de très grandes espérances. C'eft certanement ce qu explque le déchaînement des passons qu'l a provoqué c'est auss ce qu explque l'mportance des travaux parlementares consacrés à ce texte, dont la dscusson a débuté voc deux mos et dem. Ces passons n'ont donc, en ellesmêmes, ren d'étonnant. Mas l est plus surprenant de vor comben certanes personnaltés, qu ne pouvaent pas gnorer ce que content le pacte communautare et régonal, semblent découvrr aujourd'hu que derrère le Léonard-Got-Allard 7 drecteurs ((nterdts Depus lund matn, sept membres du comté de drecton de l'acére de moulage «Léonard Got - Allard», à Mont-sur-Marchenne, sont «nterdts de séjour» dans l'entreprse, par décson du Front commun syndcal. «Léonard Got Allard», on le sat, est. une entreprse gravement menacée. Une requête en concordat par abandon d'actf a été ntrodute devant le Trbunal de Commerce. Provsorement, les actvtés sont mantenues, au rythme très rédut qu'elles connassent depus pluseurs mos. Les salares sont assurés jusqu'au 30 septembre. Les syndcats souhatent que l'actvté pusse être mantenue au mons jusqu'au terme d'une étude que devraent mener à ben les départements de l'économe régonale wallonne et des Affares économques, à partr d'un projet de la F.G.T.B. tendant à ntégrer le problème de «Léonard-Got-Allard» dans le cadre global de la sdérurge. Pour assurer l'actvté durant cette étude, qu devrat prendre deux mos, l faudrat dt le Front commun F.G.T.B.-C.S.C. un crédt supplémentare de 40 mllons. Or, l'économe régonale wallonne a très récemment avsé la drecton de «Léonard-Got- Allard» que les derners crédts étaent épusés. Selon les délégués syndcaux, le présde t du Trbunal de Commerce a annonce son ntenton de fare défntvemen 1 cesser les actvtés de l'entreprse dès vendred s des moyens fnancers nouveaux ne sont pas dégagés d'c lu. Lund, les travalleurs ont par conséquent décdé de «démettre sept cadres supéreures de leurs fonctons, de leur nterdre l'accès à l'entreprse et à ses dépendances jusqu'à nouvel ordre, et de les charger d'une msson trouver une soluton pour le manten des actvtés» Seuls sont mantenus à leurs postes les cadres ndspensables à la poducton ou au servce commercal. Les travalleurs ne sont en effet pas en grève, et ls n'occupent pas l'entre-, prse, «Dans le passé, les organsatons syndcales ont souvent été oblgées de cherche des solutons pour la surve de l'entreprse, dsent les délégués. Aujourd'hu, nous sommes tous vrament le dos au mur, Les cadres supéreurs peuvent ben se démener un peu de séjour» plutôt que de rester c à ren fare, comme c'est le cas depus toujours. Les sept cadres que nous avons déms lund n'ont jamas serv à grand-chose. En un sens, ls ont mantenant l'occason de mérte les plantureux salares qu leur ont été versés.» COMBAT Hebdomadare syndcal et wallon fondé par André Renard. Rédacton e publcté, 55, rue de la Régence LIEGE. Tél. 041/ Edteur responsable Socété Coopératve d'imprlmerïe et d'edton 55. rue de la Régence, Lège Abonnements 9, place Sant-Paul. T. 041/ SOLVAY unté syndcale Les représentants régonaux et les délégués syndcaux des quatre sèges des usnes Solvay et Solvc, afflés au S.E.T.Ca. et à la Centrale générale F.G.T.B., se sont réuns en commun ce lund 25 septembre 1978 sous la présdence de Maurce Versehoren, secrétare natonal du S.E.T.Ca., et Mchel Nollet, secrétare natonal de la Centrale générale. Conscentes de la nécessté d'organser un contrepouvor syndcal nternatonal, les deux centrales de la F.G.T.B. décdent d'unr leurs efforts au nveau de l'acton nternatonale. D'autre part, les délégués se sont nquétés de l'évoluton de la stuaton économque, des perspectves de développement de l'emplo, du démantèlement possble d'un secteur verrer qu aurat des conséquences dommageables sur l'emplo, y comprs pour les travalleurs ocoupés dans les usnes Solvay. Les délégués réaffrment leur volonté commune de mantenr le volume d'emplo tant qualtatf que quanttatf, dans tous les sèges Solvay et se déclarent s nécessare moblsés. Des nformatons au personnel sont prévues. pavllon de cet accord, l n'y avat pas que du paper, de l'encre et des phrases, mas une volonté certane de vor honorer le pacte du prntemps Ceux qu, à présent, chosraent de remettre en cause cet accord mportant, dovent savor qu'ls assumeraent le rsque d'une crse très grave pour l'ta t. Il y a trop longtemps que nous entendons formuler des promesses mantenant, ce sont des réaltés qu'l nous faut. Quand vent le moment toujours délcat de l'accouchement, l n'est plus temps de phlosopher, l faut agr. L'élément majeur de l'année écoulée, au pont de vue poltque, apporte du reste une grande satsfacton à la Communauté françase c'est l'unanmté dont ont fat preuve ses représentants dans les heures dffcles de la négocaton communautare. Cette unanmté consttue à la fos un encouragement pusqu'elle démontre les qualtés du pacte communautare et régonal mas auss un outl préceux pour l'avenr. Trop souvent dans le passé, on a dvsé les Francophones et les Wallons pour tenter de meux les asservr aujourd'hu, Bruxellos et Wallons répondent d'une même vox qu n Bruxelles n la Wallone n'ont la volonté de rester ou de devenr des colones. Notre fermeté en tant que communauté vent du reste de recevor un appu, ndrect mas sgnfcatf, dans la vctore d'autres francophones ceux du Jura susse qu, à force d'opnâtreté, vennent de vor reconnaître leur drot à exster en tant que tels et à former un canton qu sot plenement le leur au sen de la Conférence helvétque. Un jour vendra où, nous auss, nous pourro's crer vctore. En attendant, au terme de douze mos d'efforts, à la velle de ce 27 septembre dont la célébraton marque pour la quatrème fos l'exstence de notre Communauté françase, quel est le sentment qu s'mpose? Il est à m-chemn de la satsfacton devant les résultats obtenus et du réalsme devant les dffcultés qu restent à franchr. En fran,-. ças, cela s'appelle la vglance. Chômage et qualfcaton Le tableau c-dessus esl extrat du derner rapport annuel de l'o.n.em. ïl montre que le nveau de qualfcaton des chômeurs augmente progressvement tout en restant peu ôlevé. Plus de 40 % des chômeurs de mons de 25 ans n'ont pas dépassé l'école prmare, contre près, de 75 % pour les plus de 25 ans. Les dplômés de l'ensegnement supéreur ntervennent à concurrence d'un puu plus de 5 % dans le nombre des chômeurs. Le total de représente l moyenne annuelle des chômeurs complets ndemnsés. Le nombre de travalleurs qu ont été touchés à un moment ou l'autre par îe chômage est beaucoup plus élevé. Ils étaent en 1976, année durant laquelle la moyenne annuelle des chômeurs n'état «que» de S les proportons étaent restées les mêmes, le nombre de travalleurs dfférent touchés par le chômage complet ou partel en 1977 serat donc proche de Ce chffre prend toute sa sgnfcaton lorsqu'on sat que le pays compte 2,3 mllons d'ouvrer et d'employés. Etudes fates (ensegnement) Formaton générale «prmare secondare Technque secondare nféreur» secondare supéreur supéreur Professonnel» secondare nféreur - secondare supéreur + complémentare Normal pré-prmara et prmara autres Unverstare Apprentssage termna Autres études Total -25 Nombre 37,248 10,251 7, , S sns % 41,6 11,4 8,8 7,9 2,9 14,4 6,5 2,0 2^3 1,4 1,5 0,3.100, ms Nombre t % 74,1 8,2 3,9 2, ,8 1,3 0,8 0,5 1,3 0,5 0,7 100,0 Nombre Total % 63,1 9,3 6,6 4,2 2,0 8,1 2,7 1,2 1, ,6 100,0 Agenda mltant Le 30 septembre, à 15 h., en Vnâve d'ile, à Lège AU «FORUM AVORTERENT» LES FEMMES AURONT LA PAROLE AFIN DE TEMOIGNER EN FAVEUR DE LA DEPENALISATION DE L'AVORTERENT Emsson T.V. de la F.G.T.B., le mard 3 octobre, à I 8 h. 50, sur R.T.B.F. Bs LES 24 H. D'UN DELEGUE SYNDICAL Né en A 14 ans engagé pour le trage du charbon dans une mne du Bornage. Cours du sor l devent soudeur. En 1962, la mne ferme le soudeur entre chez Boël à La Louvère. Aujourd'hu, Henr CHEVALIER est délégué prncpal F.G.T.B. pour 650 à 700 travalleurs. De lu-même, l se dt franc, sensble et... explosf. Il cultve la fraternté comme une fleur préceuse. Pncesans-rre, c'est lu qu dérde les assemblées syndcales quand l'atmosphère devent orageuse. «Les 24 heures» le montrent dans son acton quotdenne. Patent et attentf. Avec ce dévouement désntéressé mas permanent qu caractérse ceux qu consacrent vértablement le melleur d'eux-mêmes à leurs camarades. A travers celte fgure syndcale, ce sont tous les délégués qu sont llustrés dans la mse en pratque de leur 'déal. Emplo Bureau régonal de Charlero de l'offce nctfonal de l'emplo On demande dans la régon Des bouchers qualfés. Des nfrmèr(e)s de nveau Al ou A2. 1 acheteur avaton nveau humantés connassances commercales bonne cou- nassance anglas technque et commercal écrt et parlé expérence souhatée en produts aéronaulques. 1 agent admnstratf nveau humantés bonne connassance anglas commercal expérence en tenue d'échéancer de commandes.- 3 agents technco-admnstratl's nveau humantés - A2 bonne connassance anglas expérence souhatée en geston de stocks, lancement de fabrcaton. 5, agents technco-admnstratfs nveau secondare supéreur A2/B1 bonne connassance anglas technque écrt et parlé bonne formaton en lecture de plan et utlsaton de documentaton technque bonne expérence souhatée en préparaton, plannng s possble aéronautque. '-7-1 agent technco-admnslratf nveau secondare supéreur A2/B1 bonne connassance de l'allemand écrt et parlé bonne formaton en lecture de plan et utlsaton de documentaton technque bonne expérence souhatée en préparaton, plannng s possble aéronautque. Concernant la recherche de cadres 1) Ingéneur nvestssements (ngéneur/archtecte). Connassance en anglas. 2) Ingéneur tarfcateur (ngéneur techncen pour la remse des prx). Connassance de l'anglas technque. 3) Ingéneur techncen (plannng) ayant des connassances en anglas. 4) Expert comptable ou ngéneur commercal (contrôle fnancer). Connassance de l'anglas. 5) Un cadre de formaton supéreure capable de développer des systèmes comptables.connassance de l'anglas. 6) Un cadre de formaton supéreure, unverstare ou équvalente, en geston socale ou communcatons socales, avec connassance de l'anglas, 7') Une usne de la régon de Charlero recherche un employé technque -expérmenté pour salle d'éc.oute d'essas envol, genre contrôleur de trafc, aéren. Ce canddat devra connaître l'anglas usuel concernant l'avaton. Horare de traval 8 h a 17 h 30, cnq jours par semane. LA BANQUE NATIONALE DE BELGIQUE Organsera prochanement pro-' chanement un examen en vue de l'engagement de stagares francophones ttulares d'une lcence en scences économques-(économe pure). Canddatures à présenter au plu stard pour le 29 septembre 1978 auprès de M. le Gouverneur de la Banque natonale de Belgque, boulevard Berlamont, 5, à 1000 Bruxelles. LA C.G.E.R. Organsera dans le courant du mos d'octobre 1978 un concours pour consttuer une réserve de recrutement de comms technques pour les agences de l'agglomératon bruxellose. Les demandes de partcpaton devront parvenr au plus tard le 18 septembre 1978 au servce du personnel de l'nsttuton, rue du Fossé-aux- Loups, 48, 1000 Bruxelles. LE SECRETARIAT PERMANENT " DU PERSONNEL DE L'ETAT RECRUTE Des ngéneurs cvls archtectes. Date lmte d'nscrpton le 31 octobre Des psychologues. Date lmte d'nscrpton le 10 oc tobre Des commssares d'etat (docteurs en drot). Date lmte d'nscrpton le 10 octobre Des nspecteurs - ngéneurs chmstes (ngéneur cvl chmste). Date lmte d'nscrpton le 10 octobre Des rédacteurs (études du degré supéreur). Date lmte d'nscrpton le 5 octobre Des ngéneurs technques travaux publcs. Date lmte d'nscrpton le 3 octobre Des comms - dactylographes (études moyennes du degré nféreur). Date lmte d'nscrpton le 3 octobre, Pour tout rensegnement complémentare, adressez-vous à l'un ou l'autre bureau dés-> gné c-dessous 6000 CHARLEROI, rue de Montgnes, 91, téléphone ' 6370 MARIEMBOURG, rue du Démasqué, 2-, téléphone [combat

7 Chronque du Pacte communautare Composton et pouvors des Consels régonaux r El volà La premère tranche des trayaux de la Commsson spécale des réformes consttuton-,". nelcs de la Chambre sont termnés. Tous lès' artcles du' projet de lo du 11 jullet 1978 ont été passés en revue. L'ensemble vent ans d'être adopté après une premère lecture et toutes les dff- )' édtes que l'on attendat à propos de Bruxelles, II reste une seconde lecture du texte et l'approbaton du rapport des travaux de la Commsson. Le texte passera ensute à la dscusson publque à la Chambre. Certans s'magnent qu'l y aura des dffcultés lorsque le projet amendé sera soums sous peut au Sénat. Le Pacte d'egmont prévot en effet la dsparton du Sénat actuel et son remplacement par un Sénat dont les membres seront les membres des Consels de Communautés On pense donc dans certans mleux que les sénateurs feront un derner baroud. Il semble toutefos que les présdents des parts de la majorté soent décdés à ce que la régonalsaton transtore sot effectvement applqué. Wat and see Dans l'attente de la rédacton et de l'approbaton du rapport de la Commsson spécale des réformes nsttutonnelles, l est souvent malasé de fare exactement le pont sur les dvers amendements qu furent adoptés. Auss, allons-nous dans un premer temps, exposer et commenter les prncpales dspostons du projet de lo ans que'les prses de postons dû Consel d'etat. Enfn on réservera une chronque partculère à Bruxelles en rason de la complexté des problèmes qu s'y posent. nrtes L'artcle premer du projet de lo fxe les lmtes des tros régons prévues à l'artcle 107 quater de la Consttuton. Il s'agt, ben entendu de la Régon flamande, de la Régon wallonne et de la régon bruxellose'. La régon flamande comprend les provnces d'anvers, de Flandre-Occdentale, de Flandre- Oentale et de Lmbourg ans que les arrondssements admnstratfs de Hal-Vlvorde et de Louvan. La régon wallonne comprend les provnces de Hanaut, de Lège, de Namur et de Luxembourg ans que l'arrondssement admnstratf de Nvelles. La régon bruxellose comprend l'arrondssement admnstratf de Bruxelles-Captale. Les lmtes de la régon bruxellose sont donc défnes. Il s'agt donc des 19 communes. C'est plus clar que dans la lo Terwagne, où l faut se souvenr que le Brabant flamand, d'une part, et le Brabant wallon, d'autre part, fasaent l'objet d'une double jurdcton. Le Brabant flamand ressortssant à la fos des Consels économques régonaux pour la Flandre et le Brabant. Il en allat de même pour le Brabant wallon qu «dépendat» du Consel Econo* nque régonal pour la Wallone et celu du Br* foant. Volà una ambguïté levée. t Les organes te rég». Les régons dsposeront d'un Consel Régonal et d'un Collège exécutf régonal. a) Composton des Consels régonaux Dans la phase transtore qu fat l'objet du projet de lo tant dscuté actuellement et jusqu'à l'électon drecte et au suffrage unversel de leurs membres dans la phase défntve (Chaptre IV du Pacte), les Consels régonaux seront composés des parlementares députés et sénateurs représentant les régons concernées. Le projet de lo fat plus précsément référence en ce qu concerne les Consels l'égonaux wallons et flamands aux députés et sénateurs du groupe lngustque franças et néerlandas qu ne font pas parte du Consel régonal bruxellos, c'est-à-dre élus à Bruxelles et domclés dàrts l'arrondssement de Bruxelles. " '. ',,t S certans ont contesté la consttutonalté de ce mode de composton des Consels régonaux, le Consel d'etat a adms du bout des lèvres qu'l n'en état ren et que les pouvors accordés au légslateur par le 107 quater lu permettat de procéder de la sorte. Il reste toutefos le problème des sénateurs provncaux et cooptés à Bruxelles. b) Fonctonnement des Consels régonaux Alors que le Parlement se réunt le deuxème mard d'octobre, les Consels régonaux se réunront de plen drot le trosème mard d'octobre (art. 8). Ils dovent se réunr au mons quarante jours. Toute résoluton est prse à la majorté absolue des suffrages. Le drot d'ntatve appartent au Collège (projet d'ordonnance) et aux membres du Consel (proposton d'ordonnance). Les projets ou propostons d'ordonnance sont votés artcle par artcle. Les modaltés de fonctonnement des Consels régonaux s'nsprent largement de celles du Parlement et des Consels culturels. Faut-l ajouter qu'l eût été logquement prévu à l'artcle 21 que chaque Consel régonal dspose de personnel pour ses servces admnstratfs. a) Le Pacte conunnauta, La revendcaton régonale est clare. Les régons dovent pouvor fare des los équvalentes aux los natonales et aux décrets culturels. Le Pacte communautare l'est tout autant En effet, l dspose (en. l«r. 1) que l'etat, les communautés et les régons ont, en ce qu concerne les matères relevant de leur compétence exclusve, un pouvor de même nveau. La seule restrcton concède le fat qu'en régme trans* tore les ordonnances sont soumses à l'artcle m de la Consttuton. II' faut rappeler en outre que le Pacte prévoyat tros lstes de matères natonales, culturelles et régonales où chacun des pouvors concernés dspose d'une compétence exclusve. Dans les matères non reprses par une des tros lstes, le pouvor régonal et le pouvor natonal dspose d'un pouvor concurrent mas le pouvor natonal l'emporte en derner recours. b) Le régme transtore La lo du 11 jullet 1978 dstngue tros hypothèses les matères natonales exclusves, les matères régonales exclusves et les matères «d'ntérêt régonal». En ce qu concerne les matères natonales, le texte est clar. Les 11 matères énumérées sont de la compétence exclusve du Pouvor natonal. Il en va de même pour les 23 matères consdérés comme régonales, seul le pouvor régonal peut y ntervenr à l'ntéreur de sa régon Les ordonnances peuvent abroger, compléter, modfer ou remplacer les dspostons légales en vgueur. Toutefos, les Cours et Trbunaux peuvent chaque fos qu'l y a leu vérfer s les ordonnances sont conformes à la lo du 11 jullet C'est une forme de vérfcaton des «délégatons de pouvors». < <, Enfn, le 3 de l'artcle 28 prévot que. «Chaque Consel règle également par ordonnance toute matère d'ntérêt régonal, auss longtemps que et dans la mesure où elle n'esjt pas réglée par la lo., '.,» La lo peut modfer ou abroger ces ordonnances sans effet rétroactf..» Les mêmes ordonnances sont soumses au contrôle prévu à..l'artcle 107 de la Consttuton.» On notera enfn que les ordonnances pourront fonder des dspostons ou drots admnstratfs, cvl et fscal, dans la mesure où ceux-c sont ndspensables à l'exercce des compétences régonales. Elles pourront prévor des penes. c) La foncton rétrograde du Consel d'etat Le Consel d'etat a prétendu dans son avs du 26 jullet 1978 que l'artcle 107 quater ne permettat pas que les régons dsposent d'un pouvor légslatf équvalent à celu du pouvor natonal, contrarement à ce qu'ndque nettement l'exposé des motfs de la lo du 11 jullet Le Consel d'etat trant notamment argument du fat que les ordonnances sont soumses à l'artcle 107 de la Consttuton qu permet1 contrôle de légalté. d) Et le gouvernement? Tout ndque que les présdents de part et le gouvernement ont rejeté la poston du Consel d'etat en cette matère. Les régons auront done un vra pouvor légslatf, mas.., LE POUVOIR, SOIT l MAIS DANS QUELLES MATIERES? (Sute au prochan numéro,}' 12 combat]

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