Foreign direct investment vector of industrialisation case of the cfa franc

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1 MPRA Munch Personal RePEc Archve Foregn drect nvestment vector of ndustralsaton case of the cfa franc zone Oscar Kukeu 12. July 2012 Onlne at MPRA Paper No , posted 12. July :25 UTC

2 L INVESTISSEMENT DIRECT ÉTRANGER FACTEUR D INDUSTRIALISATION CAS DE LA ZONE FRANC Oscar KUIKEU 1 École Supéreure des Scences Économques et Commercales (ESSEC), Unversé de Douala, CAMEROUN Résumé : L objectf de ce paper est d examner s l Investssement Drect Etranger (IDE) pourra être une cause de la concentraton des exportatons d économes afrcanes au sud du sahara dans les produs de base, à cet effet, pusque les PAZF (Pays Afrcans membres de la Zone Franc) est un sous-ensemble représentatf de la régon Afrque Sub Saharenne (ASS), nous examnons, en données de panel, l effet des IDE en zone franc sur ses exportatons manufacturères. Keywords : Afrque Sub-Saharenne (ASS), franc cfa, nvestssement drect étranger, données de panel JEL Classfcaton : C23, F21 Abstract : The man am of ths paper s to know f foregn drect nvestment can be consder lke a cause of sub Saharan Afrcan export s dependence aganst raw materals, and, for ths purpose, we have assessed, n panel data, the effect of foregn drect nvestment n cfa franc zone on her manufactured exports. Keywords : Sub-Saharan Afrca, cfa franc, foregn drect nvestment, panel data JEL Classfcaton : C23, F21 1 BP 1931 douala (Cameroun), emal : projetlvre@yahoo.fr. 1

3 1. INTRODUCTION Alors que, en 1965, les exportatons des économes émergentes étaent encore concentrées dans les produs de base, pusque les produs manufacturés ne représentaent que ¼ de l ensemble des exportatons de bens et servces des économes émergentes, en 1996, les produs manufacturés représentent déjà ¾ de l ensemble des exportatons de bens et servces des économes émergentes (Hertel et Martn (1999), p.2), cependant, malgré cette ascenson de la part des produs manufacturés dans les exportatons de bens et servces des économes émergentes, les exportatons des économes d Afrque Sub-Saharenne (ASS) sont restées concentrées dans les produs de base, contrarement aux économes d Ase de l est (Hong-Kong, Corée, Sngapour, Taïwan, Indonése, Malase, Thaïlande), en effet, la fgure 1 c-dessous donne, pour tros catégores de produ, la composon des exportatons de sept groupe de pays, tel qu l y apparaît, l ASS est la régon du monde où la part dans les exportatons de produs manufacturés est la plus fable. Fgure 1 : Composon régonale des exportatons, Source : CNUCED D autre part, le tableau 1 c-dessous qu donne la part, en % du PIB, de la Valeur Ajouté (VA) de l agrculture et de l ndustre, pour les régons Ase de l est et ASS, montre que, entre 2

4 1998 et 2002, so, sur les cnq années les plus récentes de notre échantllon de données sur les exportatons manufacturères des économes d ASS, la VA de l agrculture (respectvement, la VA de l ndustre) de la régon ASS est, quelque so l année, toujours supéreure (respectvement, toujours nféreure) à celle de la régon Ase de l est. Tableau 1 : Valeur Ajoutée de l agrculture et de l ndustre en % du produ ntéreure brut Moyenne Valeur Ajoutée 17,79 (1) 17,16 15,74 14,85 14,72 16,058 de l agrculture en % du PIB. Valeur Ajoutée de l ndustre en % du PIB. 18,58 (2) 18,18 17,17 17,65 17,71 17,998 45,32 (1) 45,41 46,84 46,95 47,44 46,392 28,5 (2) 28,4 29,47 28,92 28,66 28,79 Source : Banque Mondale. Notes : (1) régon Ase de l est, (2) régon Afrque Sub-Saharenne D un rasonnement heurstque, on dédu assez asément que cette concentraton des exportatons d économes d ASS dans les produs de base est à l orgne d un certan nombre de problèmes pour ces économes, en effet, d une part, contrarement au prx des produs manufacturés ou même des servces, les prx des produs de base sont extrêmement volatles (Coller et Dehn (2001), p.5) et, de ce fa, l augmentaton des prx de produs de base n entraîne pas d augmentaton du revenu, pusque, l augmentaton perçue du revenu n est que temporare, d autre part, comme le montre l expérence encore récente du Lbéra du temps de Charles Taylor à propos des damants, elle expose les économes d ASS au rsque de guerre cvle, enfn, Lews (1954) montre que la réallocaton de la man d œuvre de l agrculture vers l ndustre s accompagne d une hausse du produ par tête. Pour l ensemble de ces rasons, c-dessus, évoquées, une problématque majeure est celle d dentfer des stratéges d ndustralsaton pour l Afrque, c, l on s ntéresse au rôle de l Investssement Drect Etranger (IDE), en effet, du fa de l IDE, la technologe n est pas seulement ncorporée aux systèmes de machnes nstallés dans le pays récepteur, elle est auss l occason d un transfert de savor-fare, d un apprentssage, vore d une appropraton des technologes étrangères, à preuve, lorsqu à partr des années trente, l Amérque Latne entrepr de développer son secteur ndustrel, par substuton des mportatons, la technologe nécessare sera apportée par les FM sous la forme d IDE (Adda (2001), p.10, p.18). Cec d, cet artcle sera organsé ans, qu l su, à la secton suvante, secton 2, nous estmerons, en données de panel, l effet sur les exportatons manufacturères des PAZF (Pays 3

5 Afrcans membres de la zone Franc) 2 des IDE au sen de la zone franc, pusque nous avons restrent l ASS aux PAZF, la secton 3 conclut cet artcle. Encart 1 : Brève présentaton de la zone franc La zone franc constue un espace monétare qu rassemble les quatorze pays d Afrque Sub Saharenne qu sgnent en 1972 et 1973 des accords de coopératon monétare avec la France. Hu des pays membres sont en Afrque de l Ouest : Bénn, Burkna Faso, Côte d vore, Gunée Bssau, Mal, Nger, Sénégal, Togo. Les sx pays restants sont en Afrque Centrale : Cameroun, Congo, Gabon, Gunée-équatorale, Tchad, Républque Centrafcane. La zone dspose d une monnae commune le FCFA Franc de la Coopératon Fnancère en Afrque en Afrque Centrale et Franc de la Communauté Fnancère Afrcane en Afrque de l Ouest émse par la BCEAO (Banque Centrale des Etats de l Afrque de l Ouest) en Afrque de l Ouest et par la BEAC (Banque des Etats de l Afrque Centrale) en Afrque Centrale. Le qunzème membre afrcan de la zone franc, la Républque slamque des Comores, a sa propre monnae et sa propre banque centrale. La coopératon monétare avec la France s artcule autour de quatre axes prncpaux : La stablé, la convertblé, la transférablé, la soldaré. La stablé résulte de l exstence d une paré fxe entre le FCFA et le franc franças (FF). La convertblé du FCFA est réalsée à travers le mécansme d du «compte des opératons», compte domclé auprès de la drecton françase du trésor, où les Etats membres sont tenus d y verser au mons 65% de leurs avors extéreurs. La lbre transférablé est llmée entre les membres de la zone. Enfn, la soldaré est garante entre les membres par la mse en commun de leurs réserves de change. La paré du FCFA par rapport au FF est restée nchangée jusqu au 12 janver 1994, date à laquelle, le FCFA a été dévalué de 50% pour s établr désormas à 1 FF pour 100 FCFA. Dans le même temps, le franc comoren éta dévalué de 33,3%. Depus l avènement de l euro (janver 2002), la monnae unque européenne, les dfférents francs y sont rattachés au taux de 1 euro pour 655,957 FCFA (so 1 euro pour 6,55957 FF) et ls contnuent de bénéfcer de la garante llmée du Trésor franças. 2. IDE et exportatons manufacturères : cas des PAZF 2 Vor Encart 1 c-dessous, pour une brève présentaton de la zone franc. 4

6 Les PAZF n apparassent pas comme un cas solé des économes d ASS au sujet de la performance des exportatons manufacturères (2.1), malgré tout, ces économes ont toujours consdéré l ndustre comme la voe oblgée vers le développement, en effet, ces économes ont, d une part, accordé des avantages consdérables aux ndustrels avec les codes natonaux d nvestssement, par exemple, pour les actvés ndustrelles, les matères premères et équpements de producton bénéfcent d un taux modéré de dro de douane (les équpements sont exonérés de taxes sur le chffre d affare à l mportaton et ls peuvent être soums au régme d amortssement dégressf), d autre part, ces économes ont opté pour la polque ndustrelle d mport-substuton pour rédure leur dépendance vs-à-vs des mportatons, enfn, ces économes ont accordé aux productons natonales un nveau élevé de protecton avec les barrères douanères et les barrères quantatves Etat des leux au sen des PAZF : performance des exportatons manufacturères de la zone franc La lecture du tableau 2, c-dessous, ndque que, tout comme les économes d ASS, les exportatons des PAZF sont concentrées dans les produs de base, en effet, l y apparaît que, excepton fae du Congo, du Gabon, de la Gunée-Equatorale, du Sénégal, la VA de l ndustre, en % du PIB, des PAZF est nféreure à celle de l agrculture. Tableau 2 : VA de l agrculture et de l ndustre en % du PIB des PAZF. PAYS Bénn 38,21 (1) 37,85 36,53 35,53 35,97 13,5 (2) 13,69 13,88 14,44 14,33 Burkna - Faso 34,48 35,5 33,87 33,34 17,2 16,91 16,22 17,44 18,49 Cameroun 41,2 42,32 42,59 42,7 42,58 20,99 19,68 19,7 19,6 19,59 Centrafrque 53,34 53,87 55,24 55,36 56,54 18,87 18,91 19,88 20,93 22,25 Chad 39, ,2 38,11 38,04 14,8 14,35 13,82 16,87 16,84 Comores 40,89 40,89 40,89 40,89 35,41 11,93 11,93 11,94 11,12 10,58 Congo 10,96 8,36 5,3 5,81 6,27 46,07 61,27 72,15 65,56 63,29 Côte d vore 24,12 21,99 24,22 24,74 26,22 22,98 24,18 22,2 21,39 20,41 Gabon 7,38 7,77 6,44 7,64 7,55 43,51 41,18 53,2 50,64 46,44 Gunée - Equato 21,19 12,84 7,02 8,49 8,93 66,47 79,99 88,03 88,95 86,04 5

7 Gunée - Bssau 62,38 60,55 58,79 56,17 62,42 12,68 12,31 12,29 12,72 13,07 Mal 46,47 46,51 41,61 37,8 34,16 17,29 16,7 20,48 26,36 29,73 Nger 42,62 40,73 37,84 40,55 39,94 16,72 17,16 17,76 16,97 16,89 Sénégal 17,94 18,59 19,39 19,63 15,03 20,37 20,47 20,55 20,58 21,59 Togo 39,16 40,88 37,76 39,44 40,07 22,06 20,45 22,14 21,13 21,62 Source : Banque Mondale. Notes : (1) VA de l agrculture, (2) VA de l ndustre. Contrarement aux économes d Ase de l est où la VA de l ndustre, en % du PIB, est supéreure à celle de l agrculture, d après le tableau 3 c-dessous. Tableau 3 : VA de l agrculture et l ndustre en % du PIB des pays de l Ase de l est. Pays Chne 18,57 (1) 17,63 16,35 15,84 15,38 49,29 (2) 49,42 59,22 50,1 51,09 Hong - Kong 0,13 0,1 0,67 0,08 0,08 14,93 14,63 14,22 13,31 12,77 Indonése 18,08 19,61 17,23 16,99 17,47 45,23 43,36 46,11 45,55 44,47 Korée 4,95 5,07 4,7 4,34 3,96 43,81 42,51 42,39 41,98 40,94 Sngapour 0,15 0,15 0,13 0,13 0,11 36,56 35,48 37,05 34,25 35,73 Thaïlande 10,78 9,39 9,02 9,12 9,37 39,63 40,93 41,97 42,12 42,67 Source : Banque Mondale. Notes : (1) VA de l agrculture, (2) VA de l ndustre Modélser les exportatons manufacturères des PAZF : le rôle des IDE Comme c est la théore des dotatons factorelles qu permet de comprendre la structure des exportatons du commerce Nord-Sud (Wood et Mayer (2001), p.4), afn d appréhender l effet des IDE reçues par les PAZF sur leurs exportatons manufacturères, nous allons, d une part, vérfer que la théore des dotatons factorelles est vrae, c est-à-dre, ( h n) X mn / (1), + où X mn est le volume des exportatons manufacturères, h est le capal human, n la quanté de terre dsponble, d autre part, appréhender l effet de l IDE en zone franc sur le rato h/n des PAZF, 6

8 h ( IDE) n? (2) Données Ic, l on consdère un échantllon de 09 pays de la zone franc (Bénn, Burkna-Faso, Cameroun, Côte-d Ivore, Gabon, Mal, Nger, Senegal, Togo) observés entre 1981 et Le volume des exportatons manufacturères des PAZF est mesuré comme les exportatons manufacturères en pourcentage des exportatons totales de marchandses, cette mesure du volume des exportatons manufacturères est extrae du WDI. Le capal human est mesuré comme le nombre d années d études au prmare et au secondare de la populaton totale adulte 3, cette mesure du capal human est extrae de la base de données des Natons Unes. La quanté de terre est ndsponble et, de ce fa, n est normalsé à 1. du WDI. Le volume des IDE (Investssements Drects Etrangers) 4 en pourcentage du PIB est extra Résultats MCO, L estmaton de (1) donne les résultats suvants 5, l estmaton est effectuée par la méthode des Tableau 4 : la théore des dotatons factorelles ln(x mn ) Coeffcents T-stat ln(h) * Constant * Statstques de l équaton R 2 ajusté 0.08 Nobs 51 Notes : * (**, ***) l hypothèse nulle est rejetée au seul de 1% (5%, 10%), Nobs est le nombre d observatons, ln(x mn ) le logarhme des exportatons manufacturères, ln(h) le logarhme du capal human. 3 Le capal human est une varable dffcle à mesurer et l se pourra que, c, la mesure employée n est tout à fa pas adéquate, en effet, elle ne tent pas compte de dfférences entre pays de la qualé de l éducaton (dans la mesure où, s l on consdère deux ndvdus A et B placés dans deux systèmes d éducaton dfférents, le fa, par exemple, pour A d avor eu plus d années d études que B ne sgnfe pas que A dspose d un savor-fare supéreur à celu de B), autrement d, cette mesure du capal human néglge les autres sources d acquson du savor, autre que l éducaton, comme, par exemple, l expérence professonnelle, l apprentssage sur le terran. 4 L dée est que, l augmentaton du volume de l IDE sgnfe l accrossement des ncatons à fare affare, autrement d, l augmentaton du volume de l IDE sgnfe l améloraton du clmat des affares. 5 Vor Encart 2 pour une brève présentaton des données de panel. 7

9 L estmaton de (2) donne les résultats suvants, Tableau 5 : IDE et dotaton factorelle ln(h) Coeffcents T-stat ln(ide) ** Constant * Statstques de l équaton R 2 ajusté 0.07 Nobs 68 Notes : * (**, ***) l hypothèse nulle est rejetée au seul de 1% (5%, 10%), Nobs est le nombre d observatons, ln(h) le logarhme du capal human, ln(ide) le logarhme du volume des Investssements Drects Etrangers en pourcentage du PIB.. En concluson, conformément au rasonnement heurstque, l améloraton du volume de l IDE accroît le volume des exportatons manufacturères, autrement d, l IDE est un vecteur d ndustralsaton. Encart 2 : les données de panel Les données de panel est le terme employé pour désgner des données où l on dspose, au sujet de varables, d observatons successves (séres temporelles) - les observatons sont généralement représentées par l ndex t avec t = 1, 2,... T - sur plus d un ndvdu (coupe transversale) - les ndvdus sont généralement représentés par l ndex avec = 1, 2,... N - 7, ans, les données de panel est un mélange de séres temporelles (une pour chacune des varables) et d une coupe transversale (les dfférents ndvdus). L avantage des données de panel est de pouvor tenr compte, lors de l estmaton des paramètres, de l hétérogénéé non observée et ndvduelle des comportements, so, à l ade, d effets fxes, so, d effets aléatores, so, de coeffcents aléatores. 1. Les effets fxes Le modèle à effets fxes est le suvant : y = β x + η + ε avec 1,2,..., N =, t 1,2,..., T 1 2 K x = ( x, x,..., x ) =, β = ( β β,..., ) 1, 2 β k (1) Pour estmer les paramètres de ce modèle, l suff d adjondre des varables ndcatrces (1), pour obtenr (2) c-dessous, et d y applquer les MCO : z j à y = β x + η z + ε avec j = 1,2,..., N, j j 1s = j z j = (2) 0 snon Il s ag de l estmateur LSDV (Least Squares (wh) Dummy Varables). 6 L estmaton est effectuée par la méthode LSDV (Least Squares wh Dummy Varables) du modèle, de données de panel, à effets fxes avec un coeffcent de d autocorrélaton d ordre 1 du terme d erreur. 7 Jusqu à avor un panel non cylndré, où le nombre d observatons NT n est pas le même pour chaque ndvdu, l estmaton économétrque des paramètres est généralement effectuée avec un même nombre T d observatons successves (séres temporelles) pour chaque ndvdu. 8

10 2. Les effets aléatores Le modèle à effets aléatores est le suvant : y + ε η + ν = β x ε avec où ν est Bru Blanc. = avec E( ν ) = 0 η (3) Comme le terme d erreur n est plus sphérque, en effet, on peut vérfer que 2 E( η ) s t t Cov( ε ε ) = Ω =, pour estmer les paramètres de ce modèle, l 2 2 η ) + E( ) t = t ν s suff d applquer les MCO à (4) Ω Y = β ΩX + Ωε avec Y ( y, 1 y2,..., yt ) k 1,2,..., K ε = ε ε,..., ε = ( ), 1 2 Il s ag de l estmateur GLS (Generalzed Least Squares). 3. Coeffcents aléatores Le modèle à coeffcents aléatores est le suvant : 1 2 K k k k k = X = ( X, X,..., X ) X = ( x x,..., x ) T, 1 2 T (4) y = β x + η + ε (5) Pour estmer les paramètres de ce modèle, on suppose que chaque estmaton ndvduelle est une estmaton non basée de la vrae valeur du paramètre nconnue et commune à tous les ndvdus, c est-à-dre, β = β + ν, η = η + ϑ où ν et ϑ sont des Brus Blancs. Pour estmer le modèle à coeffcents aléatores, l un des estmateurs le plus souvent employé est l estmateur Hldreth-Houck qu s exécute selon les deux étapes successves suvantes : à la premère étape, l on applque les MCO à (5), à la seconde étape, on calcule la moyenne des N N 1 estmatons ndvduelles β = ( ˆ 1 β ), η = ( ˆ η ) où βˆ et ηˆ sont les estmateurs N = 1 N = 1 MCO, obtenus à la premère étape, des paramètres β et η. 3. CONCLUSION Comme les Frmes Multnatonales (FM) demeurent extrêmement sélectves dans leurs décsons d mplantaton dans les Pays en développement (PED), dans la mesure où, elles prvlégent les pays où l exste un potentel de crossance mportant dont un mnmum de stablé polque (Adda (2001), p.11), à la lumère des résultats de cette étude, ne convent-l pas de félcer l mportance accordée par la Nouvelle Inatve Afrcane Pour le Développement en Afrque NOPADA (Nouveau Partenarat pour le Développement en Afrque) plus connu sous 9

11 son vocable anglo - saxon NEPAD (New Parternershp for Afrca s Developement) 8 à la bonne gouvernance publque («La démocrate se tradusant par des électons lbres et honnêtes ans que par des nstutons démocratques, le respect des dros de l homme, de la femme et de l enfant, la transparence dans la geston du patrmone publc», extra du programme d acton du NEPAD) et de l économe prvée («L objectf est d atténuer les flux de capaux grâce à une justce ndépendante et honnête dans les lges mplquant les nvestsseurs étrangers, la geston honnête et transparente des socétés prvées, etc.», extra du programme d acton du NEPAD). 4. BIBLIOGRAPHIE Adda, J. (2001) La mondalsaton de l économe - 2, Problèmes, Pars : La Découverte. Coller, P. et Dehn, J. (2001) «Ad, Shocks, and Growth», World Bank Polcy Research Workng Paper, N Hertel, T.W. et Martn, W. (1999) «Would developng countres gan from ncluson of manufactures n the WTO negotatons», GTAP Workng Paper n 07. Lews, A. (1954) «Economc Development wh Unlmed Supples of Labor», Manchester School of Economc and Socal Studes, vol. 22, pp Wood, A. et Mayer, J. (2001) «Afrca s export structure n a comparatve perspectve», Cambrdge Journal of Economcs, vol. 25, N 3, pp Le NEPAD est le résultat de la fuson de deux plans de sorte de crse économque pour l Afrque proposés par deux groupes de Chef d Etat Afrcan, à savor, d une part, le MAP (Mllenum Afrcan Plan) des présdents Thabo Mbek, d Afrque du sud, Olesegun Obasanjo, du Ngera, et Abdelazz Bouteflka, d Algére, d autre part, le plan Oméga d Abdoulaye Wade, présdent du Sénégal. Il (NEPAD) a été adopté au sommet des chefs d Etat de Lusaka en jullet Pour en savor plus, consulter le se web du NEPAD, 10

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