Résonance d une poutre en vibration transversale

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Résonance d une poutre en vibration transversale"

Transcription

1 Résonance d une poutre en vbraton transversale Des fns levers oscllants consttuent les éléments clé du fonctonnement de nombreu objets tels que les nstruments à anche (clarnette, sao, accordéon, ), du mcroscope à force atomque, de capteurs envronnementau, eur vbraton est très sensble au perturbatons etéreures et elle peut être parfos très régulère et parfos très complee. a vbraton d une structure élastque est ben plus complee que celle d un smple oscllateur harmonque. es équatons de l élastodnamque dovent être respectées sur un solde déformable étendu, à géométre potentellement complee et sujet à des condtons au contour ben détermnées. Néanmons, pour des pettes vbratons et en présence d un éventuel fable amortssement, le mouvement global peut être décomposé en la somme de modes propres, chacun se comportant en bonne appromaton comme un oscllateur harmonque smple. Nous allons c étuder les fréquences des premers modes propres d un lever oscllant. Comprendre leur dépendance de la géométre de la poutre et de la nature du matérau. Approche théorque Analser les équatons régssant le mode vbratore d une poutre lbre à une etrémté, encastrée à l autre (vor annee théore). Comprendre la nature des modes propres et estmer l ordre des grandeurs des fréquences attendues pour les poutres dsponbles. Comprendre l effet d un fable amortssement ans que d un forçage snusoïdal. Estmer l entté des appromatons effectuées pour l estmaton des fréquences propres. Approche epérmental Pour mesurer les fréquences de résonance d une poutre l este essentellement deu méthodes epérmentales : () on stmule l etrémté de la poutre par une force oscllante et l on cherche la fréquence de stmulaton pour la quelle l ampltude de vbraton est mamale ; () on met la poutre en vbraton lbre en la sollctant par une percusson ou par le relâchement rapde d une force applquée (avec un dot), on mesure alors drectement la fréquence de vbraton spontanément acquse par la poutre. On décrt c les deu méthodes, mas on utlsera dans ce TP essentellement la deuème, qu permet des résultats plus propres. Montage epérmental : oscllatons forcées e banc epérmental (vor fgure) est consttué d un générateur de fréquence équpé d un déphaseur et d un ampl de pussance qu ectent un pot vbrant dont les fréquences propres de résonance sont Hz et 6 Hz. a poutre est relée au sstème d ectaton par un équpage moble de masse 4 g.

2 a mesure de l ampltude s effectue à l ade d un accéléromètre (l accélératon étant proportonnelle à l ampltude), dont on compare le sgnal de sorte avec le sgnal du générateur sur un osclloscope. Il n est pas utle (et même dangereu pour le matérel) d mposer (va l amplfcateur) un courant trop élevé dans la bobne du pot vbrant, seule la vsualsaton de l ampltude de vbraton de la poutre étant nécessare. Un réglage d un quart de tour sur le bouton de gan de l amplfcateur sufft à détecter les résonances des dfférentes poutres. Amplfcateur de charge Accéléromètr Osclloscope Montage epérmental : oscllatons lbres Pot vbrant Amplfcateur de pussance Générateur de fréquence es poutres sont smplement encastrées sur une base stable de grande masse (à l ade de la faton à vs s la poutre est percée, ou smplement en entreposant la poutre entre deu partes plates de la base et en resserrant les vs s la poutre est plate). On mettra la poutre en vbraton en la percutant sèchement avec un objet rade (clé Allen..?) ou alors en appuant fortement avec un dot et en relâchant brusquement. Vous êtres lbres d amélorer la technque de stmulaton pour produre un melleur son de vbraton! Cec parce que la mesure de l oscllaton de la poutre se fera justement par enregstrement à l ade d un mcrophone des ondes sonores produtes dans l are par la vbraton de la poutre. e sgnal sonore sera enregstré à l ade de la carte son de l ordnateur et d un logcel d enregstrement et d analse des sgnau. Détermnaton epérmentale des fréquences de résonance Etude prélmnare sur un réglet métallque Un réglet métallque encastré entre les deu partes du mors consttue un prototpe très smple pour étuder les fréquences de résonnance des modes propres d une poutre élancée en foncton de la longueur de la poutre. Il sufft pour cela de fare avancer progressvement le réglet entre les mors. a forme aplate du réglet et la nature peut dsspatve du métal permettent à la fos des oscllatons durables de forte ampltude et la producton effcace d ondes sonores (même s peu audbles, les ntenses varatons de presson sont ben enregstrés par un mcrophone ordnare). Avant de commencer la manpulaton, estmer le module d Young du métal en queston à l ade d une mesure de fleon statque. Après avor optmsé les condtons de stmulaton et d enregstrement sur une longueur de poutre d envron cm, procéder à un enregstrement sstématque pour une dzane de longueurs dfférentes. En utlsant les outls d analse de Fourer nclus dans le logcel fourn, dentfer dans les spectres de pussance les fréquences des premers modes propres de la poutre. Vérfer l accord avec la théore en

3 appendce : êtes-vous en mesure d dentfer tous les pcs observés? Détermner pour chaque longueur autant de fréquences propres que possble et vérfer s leur dépendance de la longueur de la poutre est en accord avec les los théorques. Influence de la géométre et du matérau En utlsant les sets de poutres an Dural et PMMA mses à votre dsposton (poutres ntalement prévues pour le montage en oscllaton forcée), montrer l nfluence de la géométre et des proprétés du matérau sur la valeur de la fréquence de résonance fondamentale. NB : au fur et à mesure que les poutres devennent épasses et courtes (donc mons élancées), leur ectaton et l enregstrement acoustque devennent mons effcaces. Commencez plutôt par les poutres longues et fnes et mettez à proft l epérence acquse pendant l étude prélmnare pour réussr vos mesures dans le plus grand nombre de poutres possble. Essaez d estmer les correctons dues au rrégulartés de forme des poutres (partes en eces et trous). Estmez en tout cas l ncerttude globale sur votre mesure. Représenter (dans un dagramme log-log) l évoluton de la fréquence fondamentale en fonctons des paramètres que vous avez fat varer. Comment se comparent les résultats epérmentau vs à vs de la lo théorque retenue. Donner vos conclusons notamment sur les dfférences de comportement dural pleglas. Quelles sont les causes des écarts constatés dans le cas du dural? es mêmes causes peuvent-elles eplquer les écarts constatés dans le cas du pleglas? Défnton des paramètres : h hauteur de la poutre (suvant G) b largeur de la poutre (suvant Gz) mm pour toutes les poutres longueur lbre de la poutre (suvant G) bh I= moment d nerte de secton drote par rapport à Gz h b z G E module d Young Dural : 7 Gpa Ple : GPa masse volumque Dural : 5 kg.m - Ple : kg.m -

4 Annee théorque : Modes propres de vbraton de fleon d une poutre Equatons pour la fleon d une poutre dans l hpothèse de la résstance des matérau Une poutre élancée rectlgne d ae, de longueur et de secton drote d are S (hauteur h et largeur b vérfant h,b<< flécht sous l acton d un chargement lnéque transversal q() et prend une déformée (). Pour des chargements modérés, ndusant une déformée telle que le déplacement transversal reste pett devant les dmensons transversales de la poutre : () << b,h, les sectons drotes restent drotes (ne gauchssent pas) et tournent smplement l une par rapport à l autre. M() caractérsant le moment de fleon à l abscsse résultant du chargement q(), écrvons, dans cette hpothèse de fleon fable, l équlbre mécanque d un pett tronçon de longueur M M sous l acton du moment M(). En traçant au centre de la secton drote termnale la parrallèle à la secton drote d entrée, l angle caractérsant la rotaton relatve des deu sectons par rapport à l état non fléch s écrt R sous la forme : = =, sot =. e rapport R R n est autre que la déformaton d allongement de sorte que la déformaton d allongement des fbres de la poutre s écrt : = R. E caractérsant le Module d Young du matérau consttutf de la poutre, la contrante de tracton s écrt : = R E. a force résultante F ndute par ces contrantes et le moment de fleon résultant M sont donnés par : F= ds = E h / S R bd = M= ds h / = E h / EI S R b d = h / R bh I= étant le moment quadratque (couramment appelé moment d nerte de fleon) de la secton drote par rapport à l ae de fleon z. F= tradut l absence de force applquée et la seconde relaton eprme la proportonnalté entre la courbure locale R de la déformée et le moment de fleon applqué M et consttue l équaton dfférentelle de la déformée. Dans l hpothèse des petts déplacement envsagée c, la courbure / d est = d d R. équaton dfférentelle de la déformée se rédut à : d EI =-M() e sgne - provent du fat que la déformée () est repérée dans le référentel,,z alors que le moment de fleon M() est défn dans le trèdre de Frenet : tangente t, normale n et bnormale r avec t=, r=-z et n=-

5 Déformée d une poutre encastrée chargée par une force d etrémté Dans une secton d abscsse le moment fléchssant est : F M()=F(-) d ntégraton de l équaton dfférentelle EI =-F(-) avec les condtons au lmtes mposées par l encastrement ()= (pas de déplacement possble au nveau de d l encastrement) et ()= (la poutre dot rester perpendculare à l encastrement) condut à la déformée : F F ()= (- ) avec flèche d etrémté donnée par = = EI K EI K Équaton dfférentelle de la déformée en terme de chargement lnéque q() Dans le trèdre de Frenet, écrvons l équlbre mécanque du tronçon de longueur soums au chargement lnéque q(). équlbre des forces (nullté de la résultante) s écrt : n -V+q+V+dV= sot q()= - dv équlbre des moments par rapport à l orgne du trèdre s écrt : - M +( V +d V ) t + M +d M = sot en projecton sur l ae z : -M-(V+dV)+M+dM=. Sot en et donc q()= - dv = - d M néglgeant le terme du second ordre dv : V()= dm d En dfférentant deu fos l équaton dfférentelle de la déformée EI =-M() écrte en terme de moment fléchssant et en tenant compte des deu relatons précédentes, l équaton s écrt fnalement en terme de chargement lnéque : 4 d EI = q(). 4 Équaton dfférentelle d une poutre vbrante et détermnaton des modes propres a masse lnéque m() étant égale à S, la force d nerte lnéque q() ndute par la vbraton sera : q()=-m()() =-S d, ()= d étant l accélératon ndute par la vbraton, d où l équaton dt dt dfférentelle des vbratons lbres : -M -V z t q V+dV M+dM

6 EI d 4 4 =-S d dt 4 d S 4 + EI d = dt Compte tenu des hpothèses de fleon fable, la soluton de cette équaton ne sera acceptable que dans la mesure où l ampltude de vbraton a reste pette devant l épasseur h : a << h. En posant k 4 S = et en séparant les partes temporelles et spatales (,t)=y()ep(t) l équaton EI dfférentelle donnant l ampltude Y() de la déformée à la pulsaton s écrt : 4 dy 4 +k 4 Y= a soluton de cette équaton s écrt sous la forme générale : Y()=A ep(k )+A ep(k )+A ep(k )+A 4 ep(k 4 ) k =k, k =-k,k =k et k 4 =-k étant les racnes de l équaton k 4 S S =. Avec k= EI EI Elle s écrt donc également sous la forme plus commode : Y=asn(k)+bcos(k)+csh(k)+dch(k) Modes et fréquences propres es valeurs admssbles de la quantté k seront données par les racnes k = d une équaton f(k)=, la foncton f étant elle même défne par les 4 condtons au lmtes nécessares pour détermner les relatons entre les 4 constantes d ntégraton a,b,c,d. Il en résulte que seule une sére de pulsatons dscrètes (fréquences propres de vbraton) sera autorsée, ces pulsatons étant obtenues sous la forme générale : = E I S = E I S / 4 k = A chacune de ces fréquences sera assocé un profl d ampltude de déformée Y(, )=Y () appelé mode propre de vbraton. es fréquences propres (fréquences de résonance) résultent dans ce modèle de la compétton entre les forces d nerte et les forces de rappel élastque. équaton au vbratons ne content aucun terme susceptble de lmter l ampltude des oscllatons de sorte que la soluton en ampltude ne sera défne qu à une constante multplcatve arbtrare près. E es fréquences propres sont la combnason d un terme caractérsant les proprétés ntrnsèque du matérau (élastcté E, nerte ) qu s dentfe à la vtesse de propagaton du son dans la poutre et d un terme géométrque I S qu caractérse la géométre de la structure.

7 Modes propres de vbraton d une poutre encastrée élancée de secton rectangulare bh Avec S=bh et I=, les fréquences propres sont données par : et les modes propres par : = E h k 4 = Eh Y ()=asn(k )+bcos(k )+csh(k )+dch(k ) Dans le cas d une poutre encastrée, les condtons au lmtes sont : Y ()==b+d Déplacement d encastrement nterdt dy ()==a+c Rotaton nterdte à l encastrement dy ()==k {-asn(k )-bcos(k )+csh(k )+dch(k )} Absence de moment de fleon à l etrémté lbre dy ()==k {-acos(k )+bsn(k )+cch(k )+dsh(k )} Absence d effort tranchant à l etrémté lbre a,b,c,d sont soluton du sstème lnéare : sn( k ) cos( k ) cos( k ) sn( k ) sh( k ) ch( k ) ch( k ) sh( k ) a b = c d Ce sstème n admet une soluton (a,b,c,d proportonnels à une constante arbtrare) que s son détermnant est nul, ce qu donne l équaton au pulsatons propres défnes par les condtons au lmtes : ch(k )cos(k )=- qu dot être résolue numérquement ou à l ade de la représentaton graphque en page suvante. es racnes sont : =.875, = 4.695, = 7.85,, =(+) pour >. Au delà du mode fondamental, les fréquences propres (spatales) sont presque régulèrement espacées car ch(k )cos(k )= s écrt cos(k )=/ch(k ) avec /ch(k ) décrossant très rapdement vers zéro de sorte que l équaton au fréquences propres se rédut à cos(k )=. NB : comme les fréquences temporelles sont proportonnelles à elle ne sont pas régulèrement espacées! eur rapport à la fondamentale est : v v, 6.7, 7.55, 4.9, 56.85,

8 .5 cos(k ) k /ch(k ) es relatons : b+d= -asn(k )-bcos(k )+csh(k )+dch(k )= condusent à : c=-a -a{sn(k )+sh(k )}=b{cos(k )+ch(k )} a+c= -acos(k )+bsn(k )+cch(k )+dsh(k )= d=-b a{cos(k )+ch(k )}=b{sn(k )-sh(k )} sot, en conservant a comme constante multplcatve arbtrare d ampltude : sn( k) sh( k) cos( k) ch( k) c=-a b=- = d=-b cos( k) ch( k) sn( k) sh( k) les deu epressons de b condusant à la relaton ch(k )cos(k )=-. équaton Y ()=asn(k )+bcos(k )+csh(k )+dch(k ) du mode propre d ordre s écrt : cos( k) ch( k) Y ()=a{sn(k )-sh(k )+ [cos(k )-ch(k )]} sn( k) sh( k) sn( k)sh( k) En notant =Y ()=-a l ampltude de la flèche à l etrémté lbre : sn( k) sh( k) sn( k) sh( k) cos( k) ch( k) Y ()= {sn(k )-sh(k )+ [cos(k )-ch(k )]} sn( k)sh( k) sn( k) sh( k) Y ()= {(sn -sh )(sn( )-sh( ))+(cos +ch )[cos( )-ch( )} snsh

9 Mode fondamental E h E h S =.875 = =,6 k = = EI A.N. Dural : =5 mm, h=5mm, E=7 GPa, =.7 kg.m - =8.8 Hz / 4 a fgure suvante compare en coordonnées rédutes (, ) les déformées du mode statque sous charge ponctuelle à l etrémté lbre et du mode fondamental de vbraton lbre (d ordre ).,9,8,7,6,5,4,,, Mode Statque,,,,4,5,6,7,8,9 Modes propres d ordre supéreur e nombre de nœuds est égal à l ordre du mode. a fgure c dessous schématse l allure des premers modes. e mode fondamental est le plus facle à ecter. a théore des modes propres montre que la déformée statque peut être obtenue par la somme pondérée (les facteurs de pondératon étant foncton du chargement statque mposé) des déformées des dfférents modes propres de vbraton lbre. Cependant, plus l ordre du mode est élevé et plus fable est son coeffcent pondérateur. Quelles sont les conséquences sur l ectaton du lever par chargement statque et relâche brusque?,8,6,4 Mode,,,,,4,5,6,7,8,9 -, -,4 -,6 -,8 - Mode Mode

10 Appromaton de Ralegh a déformée statque sous charge ponctuelle d etrémté est très vosne de la déformée de vbraton lbre du mode, ce qu sgnfe que le mode est le mode prépondérant dans la décomposton en modes propres pour ce tpe de chargement, Ralegh a détermné une méthode approchée de calcul de la fréquence de résonance du fondamental sous les deu hpothèses suvantes : a déformée du fondamental est assmlée à la déformée statque sous l acton d un masse équvalente M e placée à l etrémté d une poutre supposée non pesante dont la radeur K est EI donnée par l analse statque F=K, sot K= d après un calcul précédent. a masse équvalente de l éprouvette (de masse M) du pont de vue des effets nertels est obtenue par égalté des énerge cnétques dans les deu confguratons : masse unformément réparte sur la longueur et masse concentrée à l etrémté lbre. M e S w F d égalté des énerges cnétques condut à la relaton Me = dt Sot, avec w(,t)= M e = dw S =S dt 4 (- )ep(t) : dw S. dt = S 4 4 = S= M M e a fréquence est la fréquence propre d un ressort de radeur K supportant une masse M e, sot : K 4 E h E h = = =,64 4* à comparer avec la soluton eacte = E h =,6 E h, sot une erreur relatve : =,8 % Montrer que s on lasse tomber le préfacteur, la forme de l équaton pour les fréquences propres aurat pu se détermner par analses dmensonnelle ou en lo d échelle. Correcton de masse ajoutée S on rajoute (ou on enlève ) une masse M a à l etrémté d une poutre homogène la formule de Ralegh devent smplement : K = M e M a

11 Tratement des modes supéreures Pour les modes propres d ordre supéreur on ne peut pas utlser smplement la méthode de Ralegh parce que ces modes n ont pas d analogue statque avec une forme smlare. Dans le domane de pettes déformatons on peut néanmons les consdérer chacun comme un oscllateur harmonque ndépendant, analogue à un sstème masse ressort, chacun avec des valeurs équvalents M e et K e tels que : Ke = M e Nous n effectuerons pas c ce calcul, mas l est mportant de retenr que dans l appromaton de pettes oscllatons (et éventuellement en présence d un fable amortssement), on peut trater chaque mode propre comme un oscllateur undmensonnel masse/ressort ndépendant. état de vbraton globale sera la somme des vbratons de tous les modes propres, chacun étant présent en proporton d un coeffcent pondéral détermné par les condtons ntales (par eemple par la méthode de stmulaton de la poutre). Cette mportante appromaton nous permettra de trater le cas plus complee d une poutre vbrante en présence d amortssement et d un forçage etéreur, tout smplement en tratant chaque mode propre ndvduellement comme on oscllateur harmonque ndépendant. Résonance d une structure réelle (oscllatons amortes et forcées) es théores précédentes ne comportent pas de terme susceptble de lmter l ampltude de la résonance dont le facteur de qualté Q est nfn. Or tous les matérau présentent des frottements nternes (analogues au pertes vsqueuses) caractérsés par le coeffcent de perte f. Dans l appromaton de Ralegh le modèle de résonance comporte un amortsseur vsqueu de coeffcent de perte f en parallèle à un ressort de radeur K supportant la masse M. équaton de la dnamque s écrt alors : d d f K F M +f +K=Fep(t) + dt dt + = ep(t) dt M dt M M F étant l ampltude de la force ectatrce. En posant r = M K, r étant la fréquence de résonance de l oscllateur non amort, et β = M f, la soluton s écrt sous la forme =X ep(t+) vérfant en ampltude K M f et en phase : X o = Fo ( r ) tg= - r allure de la réponse autour de la résonance est donnée dans la fgure c dessous :

12 Elastcté : A basse fréquence,, le terme domnant de l équaton d M +f +K =F ep(t) est le terme de rappel élastque et l équaton se rédut à : dt dt K=F ep(t) << r X o K F o Régme quas statque : plotage en élastcté Inerte : A haute fréquence, >> r, le terme domnant de l équaton d M +f +K =F ep(t) est le terme d nerte et l équaton se rédut à : dt dt d F M =F ep(t) << r X o o dt M Régme nertel: l effet de la masse est celu d un fltre passe bas avec une coupure en. Vscosté : Au vosnage de la fréquence de résonance, r, le terme domnant de d l équaton M +f +K =Fep(t) est le terme d amortssement car les termes d nerte dt dt et de rappel élastque se compensent et l équaton se rédut à : F f =F ep(t) r X o o - dt f Régme d amortssement : lmtaton du facteur de surtenson Q et élargssement du pc de la résonance qu s accompagne d un léger décalage de la résonance en général néglgeable, l amortssement étant en général fable. e facteur de qualté est défn à partr de la largeur du pc de résonnance à m hauteur. Comme la «m hauteur» se réfère à l énerge mécanque assocée à l oscllaton, et que celle-c dépend du carré de l ampltude X, l faut calculer la largeur pour la quelle l ampltude se rédut d un facteur : X o X o X (r )= (r ) o = (r )= = Fo r Fo Fo r r r et le facteur de qualté (ou de surtenson) Q = = r décroît lorsque l amortssement augmente. X F Amortssement Elastcté /Q Inerte r

13 Oscllatons lbres amortes En l absence d un forçage etéreur, l équaton dnamque s écrt : d dt f avec β = M forme : + β + r = dt et r = M K. En utlsant le formalsme complee on peut encore écrre la soluton en (t) = X ep(t+) en substtuant dans l équaton dfférentelle et en smplfant le terme X ep(t+) on a : ( β( r = β r = r 4 On revent fnalement à la parte réelle de la soluton : (t) = X ep(- t) cos(l t + l r r Q = r 4 4Q a soluton est consttué par le produt d une oscllaton harmonque avec une fréquence «lbre» l et d un terme d amortssement eponentel. S l amortssement est fable (/Q = β r << ) la fréquence lbre l n est que légèrement nféreure à la fréquence de résonance r et l amortssement de tradut en une réducton eponentelle de l ampltude d oscllaton. r T = / l

Montage émetteur commun

Montage émetteur commun tour au menu ontage émetteur commun Polarsaton d un transstor. ôle de la polarsaton La polarsaton a pour rôle de placer le pont de fonctonnement du transstor dans une zone où ses caractérstques sont lnéares.

Plus en détail

Exercices d Électrocinétique

Exercices d Électrocinétique ercces d Électrocnétque Intensté et densté de courant -1.1 Vtesse des porteurs de charges : On dssout une masse m = 20g de chlorure de sodum NaCl dans un bac électrolytque de longueur l = 20cm et de secton

Plus en détail

Remboursement d un emprunt par annuités constantes

Remboursement d un emprunt par annuités constantes Sére STG Journées de formaton Janver 2006 Remboursement d un emprunt par annutés constantes Le prncpe Utlsaton du tableur Un emprunteur s adresse à un prêteur pour obtenr une somme d argent (la dette)

Plus en détail

Chapitre IV : Inductance propre, inductance mutuelle. Energie électromagnétique

Chapitre IV : Inductance propre, inductance mutuelle. Energie électromagnétique Spécale PSI - Cours "Electromagnétsme" 1 Inducton électromagnétque Chaptre IV : Inductance propre, nductance mutuelle. Energe électromagnétque Objectfs: Coecents d nductance propre L et mutuelle M Blan

Plus en détail

Fiche n 7 : Vérification du débit et de la vitesse par la méthode de traçage

Fiche n 7 : Vérification du débit et de la vitesse par la méthode de traçage Fche n 7 : Vérfcaton du débt et de la vtesse par la méthode de traçage 1. PRINCIPE La méthode de traçage permet de calculer le débt d un écoulement ndépendamment des mesurages de hauteur et de vtesse.

Plus en détail

Généralités sur les fonctions 1ES

Généralités sur les fonctions 1ES Généraltés sur les fonctons ES GENERALITES SUR LES FNCTINS I. RAPPELS a. Vocabulare Défnton Une foncton est un procédé qu permet d assocer à un nombre x appartenant à un ensemble D un nombre y n note :

Plus en détail

Mesure avec une règle

Mesure avec une règle Mesure avec une règle par Matheu ROUAUD Professeur de Scences Physques en prépa, Dplômé en Physque Théorque. Lycée Alan-Fourner 8000 Bourges ecrre@ncerttudes.fr RÉSUMÉ La mesure d'une grandeur par un système

Plus en détail

CHAPITRE 14 : RAISONNEMENT DES SYSTÈMES DE COMMANDE

CHAPITRE 14 : RAISONNEMENT DES SYSTÈMES DE COMMANDE HAITRE 4 : RAISONNEMENT DES SYSTÈMES DE OMMANDE RAISONNEMENT DES SYSTÈMES DE OMMANDE... 2 INTRODUTION... 22 RAELS... 22 alcul de la valeur ntale de la répone à un échelon... 22 alcul du gan tatque... 22

Plus en détail

DES EFFETS PERVERS DU MORCELLEMENT DES STOCKS

DES EFFETS PERVERS DU MORCELLEMENT DES STOCKS DES EFFETS PERVERS DU MORCELLEMENT DES STOCKS Le cabnet Enetek nous démontre les mpacts négatfs de la multplcaton des stocks qu au leu d amélorer le taux de servce en se rapprochant du clent, le dégradent

Plus en détail

Assurance maladie et aléa de moralité ex-ante : L incidence de l hétérogénéité de la perte sanitaire

Assurance maladie et aléa de moralité ex-ante : L incidence de l hétérogénéité de la perte sanitaire Assurance malade et aléa de moralté ex-ante : L ncdence de l hétérogénété de la perte santare Davd Alary 1 et Franck Ben 2 Cet artcle examne l ncdence de l hétérogénété de la perte santare sur les contrats

Plus en détail

Plan. Gestion des stocks. Les opérations de gestions des stocks. Les opérations de gestions des stocks

Plan. Gestion des stocks. Les opérations de gestions des stocks. Les opérations de gestions des stocks Plan Geston des stocks Abdellah El Fallah Ensa de Tétouan 2011 Les opératons de gestons des stocks Les coûts assocés à la geston des stocks Le rôle des stocks Modèle de la quantté économque Geston calendare

Plus en détail

1 Introduction. 2 Définitions des sources de tension et de courant : Cours. Date : A2 Analyser le système Conversion statique de l énergie. 2 h.

1 Introduction. 2 Définitions des sources de tension et de courant : Cours. Date : A2 Analyser le système Conversion statique de l énergie. 2 h. A2 Analyser le système Converson statque de l énerge Date : Nom : Cours 2 h 1 Introducton Un ConVertsseur Statque d énerge (CVS) est un montage utlsant des nterrupteurs à semconducteurs permettant par

Plus en détail

Q x2 = 1 2. est dans l ensemble plus grand des rationnels Q. Continuons ainsi, l équation x 2 = 1 2

Q x2 = 1 2. est dans l ensemble plus grand des rationnels Q. Continuons ainsi, l équation x 2 = 1 2 Exo7 Nombres complexes Vdéo parte. Les nombres complexes, défntons et opératons Vdéo parte. Racnes carrées, équaton du second degré Vdéo parte 3. Argument et trgonométre Vdéo parte 4. Nombres complexes

Plus en détail

Corrections adiabatiques et nonadiabatiques dans les systèmes diatomiques par calculs ab-initio

Corrections adiabatiques et nonadiabatiques dans les systèmes diatomiques par calculs ab-initio Correctons adabatques et nonadabatques dans les systèmes datomques par calculs ab-nto Compte rendu du traval réalsé dans le cadre d un stage de quatre mos au sen du Groupe de Spectroscope Moléculare et

Plus en détail

LE RÉGIME DE RETRAITE DU PERSONNEL CANADIEN DE LA CANADA-VIE (le «régime») INFORMATION IMPORTANTE CONCERNANT LE RECOURS COLLECTIF

LE RÉGIME DE RETRAITE DU PERSONNEL CANADIEN DE LA CANADA-VIE (le «régime») INFORMATION IMPORTANTE CONCERNANT LE RECOURS COLLECTIF 1 LE RÉGIME DE RETRAITE DU PERSONNEL CANADIEN DE LA CANADA-VIE (le «régme») INFORMATION IMPORTANTE CONCERNANT LE RECOURS COLLECTIF AVIS AUX RETRAITÉS ET AUX PARTICIPANTS AVEC DROITS ACQUIS DIFFÉRÉS Expédteurs

Plus en détail

Calculer le coût amorti d une obligation sur chaque exercice et présenter les écritures dans les comptes individuels de la société Plumeria.

Calculer le coût amorti d une obligation sur chaque exercice et présenter les écritures dans les comptes individuels de la société Plumeria. 1 CAS nédt d applcaton sur les normes IAS/IFRS Coût amort sur oblgatons à taux varable ou révsable La socété Plumera présente ses comptes annuels dans le référentel IFRS. Elle détent dans son portefeulle

Plus en détail

Système solaire combiné Estimation des besoins énergétiques

Système solaire combiné Estimation des besoins énergétiques Revue des Energes Renouvelables ICRESD-07 Tlemcen (007) 109 114 Système solare combné Estmaton des besons énergétques R. Kharch 1, B. Benyoucef et M. Belhamel 1 1 Centre de Développement des Energes Renouvelables

Plus en détail

Grandeur physique, chiffres significatifs

Grandeur physique, chiffres significatifs Grandeur physque, chffres sgnfcatfs I) Donner le résultat d une mesure en correspondance avec l nstrument utlsé : S avec un nstrument, ren n est ndqué sur l ncerttude absolue X d une mesure X, on consdère

Plus en détail

THESE. Khalid LEKOUCH

THESE. Khalid LEKOUCH N d ordre : /2012 THESE Présentée à la FACULTE DES SCIENCES D AGADIR En vue de l obtenton du GRADE DE DOCTEUR EN PHYSIQUE (Spécalté : Energétque, Thermque et Métrologe) Par Khald LEKOUCH MODELISATION ET

Plus en détail

Contrats prévoyance des TNS : Clarifier les règles pour sécuriser les prestations

Contrats prévoyance des TNS : Clarifier les règles pour sécuriser les prestations Contrats prévoyance des TNS : Clarfer les règles pour sécurser les prestatons Résumé de notre proposton : A - Amélorer l nformaton des souscrpteurs B Prévor plus de souplesse dans l apprécaton des revenus

Plus en détail

CONSERVATOIRE NATIONAL DES ARTS ET METIERS

CONSERVATOIRE NATIONAL DES ARTS ET METIERS ONSEVAOIE NAIONAL DES AS E MEIES ELEONIQUE ANALOGIQUE PH / ELE 4 / DU GEII ere année ------------------------- ------------------------- Dder LE UYE / Perre POVEN Janer ABLE DES MAIEES APPELS D ELEOINEIQUE...5.

Plus en détail

EH SmartView. Identifiez vos risques et vos opportunités. www.eulerhermes.be. Pilotez votre assurance-crédit. Services en ligne Euler Hermes

EH SmartView. Identifiez vos risques et vos opportunités. www.eulerhermes.be. Pilotez votre assurance-crédit. Services en ligne Euler Hermes EH SmartVew Servces en lgne Euler Hermes Identfez vos rsques et vos opportuntés Plotez votre assurance-crédt www.eulerhermes.be Les avantages d EH SmartVew L expertse Euler Hermes présentée de manère clare

Plus en détail

Les jeunes économistes

Les jeunes économistes Chaptre1 : les ntérêts smples 1. défnton et calcul pratque : Défnton : Dans le cas de l ntérêt smple, le captal reste nvarable pendant toute la durée du prêt. L emprunteur dot verser, à la fn de chaque

Plus en détail

STATISTIQUE AVEC EXCEL

STATISTIQUE AVEC EXCEL STATISTIQUE AVEC EXCEL Excel offre d nnombrables possbltés de recuellr des données statstques, de les classer, de les analyser et de les représenter graphquement. Ce sont prncpalement les tros éléments

Plus en détail

I. Présentation générale des méthodes d estimation des projets de type «unité industrielle»

I. Présentation générale des méthodes d estimation des projets de type «unité industrielle» Evaluaton des projets et estmaton des coûts Le budget d un projet est un élément mportant dans l étude d un projet pusque les résultats économques auront un mpact sur la réalsaton ou non et sur la concepton

Plus en détail

TD 1. Statistiques à une variable.

TD 1. Statistiques à une variable. Danel Abécasss. Année unverstare 2010/2011 Prépa-L1 TD de bostatstques. Exercce 1. On consdère la sére suvante : TD 1. Statstques à une varable. 1. Calculer la moyenne et l écart type. 2. Calculer la médane

Plus en détail

IDEI Report # 18. Transport. December 2010. Elasticités de la demande de transport ferroviaire: définitions et mesures

IDEI Report # 18. Transport. December 2010. Elasticités de la demande de transport ferroviaire: définitions et mesures IDEI Report # 18 Transport December 2010 Elastctés de la demande de transport ferrovare: défntons et mesures Elastctés de la demande de transport ferrovare : Défntons et mesures Marc Ivald Toulouse School

Plus en détail

Calcul de tableaux d amortissement

Calcul de tableaux d amortissement Calcul de tableaux d amortssement 1 Tableau d amortssement Un emprunt est caractérsé par : une somme empruntée notée ; un taux annuel, en %, noté ; une pérodcté qu correspond à la fréquence de remboursement,

Plus en détail

Chapitre 3 : Incertitudes CHAPITRE 3 INCERTITUDES. Lignes directrices 2006 du GIEC pour les inventaires nationaux de gaz à effet de serre 3.

Chapitre 3 : Incertitudes CHAPITRE 3 INCERTITUDES. Lignes directrices 2006 du GIEC pour les inventaires nationaux de gaz à effet de serre 3. Chaptre 3 : Incerttudes CHAPITRE 3 INCERTITUDES Lgnes drectrces 2006 du GIEC pour les nventares natonaux de gaz à effet de serre 3.1 Volume 1 : Orentatons générales et établssement des rapports Auteurs

Plus en détail

Interface OneNote 2013

Interface OneNote 2013 Interface OneNote 2013 Interface OneNote 2013 Offce 2013 - Fonctons avancées Lancer OneNote 2013 À partr de l'nterface Wndows 8, utlsez une des méthodes suvantes : - Clquez sur la vgnette OneNote 2013

Plus en détail

hal-00409942, version 1-14 Aug 2009

hal-00409942, version 1-14 Aug 2009 Manuscrt auteur, publé dans "MOSIM' 008, Pars : France (008)" 7 e Conférence Francophone de MOdélsaton et SIMulaton - MOSIM 08 - du mars au avrl 008 - Pars - France «Modélsaton, Optmsaton et Smulaton des

Plus en détail

Dirigeant de SAS : Laisser le choix du statut social

Dirigeant de SAS : Laisser le choix du statut social Drgeant de SAS : Lasser le chox du statut socal Résumé de notre proposton : Ouvrr le chox du statut socal du drgeant de SAS avec 2 solutons possbles : apprécer la stuaton socale des drgeants de SAS comme

Plus en détail

AVERTISSEMENT. Contact SCD INPL: mailto:scdinpl@inpl-nancy.fr LIENS

AVERTISSEMENT. Contact SCD INPL: mailto:scdinpl@inpl-nancy.fr LIENS AVERTISSEMENT Ce document est le frut d un long traval approuvé par le jury de soutenance et ms à dsposton de l ensemble de la communauté unverstare élarge. Il est soums à la proprété ntellectuelle de

Plus en détail

MÉTHODES DE SONDAGES UTILISÉES DANS LES PROGRAMMES D ÉVALUATIONS DES ÉLÈVES

MÉTHODES DE SONDAGES UTILISÉES DANS LES PROGRAMMES D ÉVALUATIONS DES ÉLÈVES MÉTHODES DE SONDAGES UTILISÉES DANS LES PROGRAMMES D ÉVALUATIONS DES ÉLÈVES Émle Garca, Maron Le Cam et Therry Rocher MENESR-DEPP, bureau de l évaluaton des élèves Cet artcle porte sur les méthodes de

Plus en détail

Terminal numérique TM 13 raccordé aux installations Integral 33

Terminal numérique TM 13 raccordé aux installations Integral 33 Termnal numérque TM 13 raccordé aux nstallatons Integral 33 Notce d utlsaton Vous garderez une longueur d avance. Famlarsez--vous avec votre téléphone Remarques mportantes Chaptres à lre en prorté -- Vue

Plus en détail

En vue de l'obtention du. Présentée et soutenue par Meva DODO Le 06 novembre 2008

En vue de l'obtention du. Présentée et soutenue par Meva DODO Le 06 novembre 2008 THÈSE En vue de l'obtenton du DOCTORAT DE L UNIVERSITÉ DE TOULOUSE Délvré par l'unversté Toulouse III - Paul Sabater Spécalté : Informatque Présentée et soutenue par Meva DODO Le 06 novembre 2008 Ttre

Plus en détail

Pro2030 GUIDE D UTILISATION. Français

Pro2030 GUIDE D UTILISATION. Français Pro2030 GUIDE D UTILISATION Franças Contents Garante... Introducton... 1 Artcle nº 605056 Rév C Schéma nº A605056 Novembre 2010 2010 YSI Incorporated. Le logo YSI est une marque déposée de YSI Incorporated.

Plus en détail

Editions ENI. Project 2010. Collection Référence Bureautique. Extrait

Editions ENI. Project 2010. Collection Référence Bureautique. Extrait Edtons ENI Project 2010 Collecton Référence Bureautque Extrat Défnton des tâches Défnton des tâches Project 2010 Sasr les tâches d'un projet Les tâches représentent le traval à accomplr pour attendre l'objectf

Plus en détail

MEMOIRE. Présenté au département des sciences de la matière Faculté des sciences

MEMOIRE. Présenté au département des sciences de la matière Faculté des sciences REPUBLIQUE LERIEN DEMOCRTIQUE ET POPULIRE Mnstère de l ensegnement supéreur et de la recherche scentfque Unversté El-Hadj Lakhdar-BTN- MEMOIRE Présenté au département des scences de la matère Faculté des

Plus en détail

Prêt de groupe et sanction sociale Group lending and social fine

Prêt de groupe et sanction sociale Group lending and social fine Prêt de roupe et sancton socale Group lendn and socal fne Davd Alary Résumé Dans cet artcle, nous présentons un modèle d antsélecton sur un marché concurrentel du crédt. Nous consdérons l ntroducton de

Plus en détail

Impôt sur la fortune et investissement dans les PME Professeur Didier MAILLARD

Impôt sur la fortune et investissement dans les PME Professeur Didier MAILLARD Conservatore atonal des Arts et Méters Chare de BAQUE Document de recherche n 9 Impôt sur la fortune et nvestssement dans les PME Professeur Dder MAILLARD Avertssement ovembre 2007 La chare de Banque du

Plus en détail

Calculs des convertisseurs en l'electronique de Puissance

Calculs des convertisseurs en l'electronique de Puissance Calculs des conertsseurs en l'electronque de Pussance Projet : PROGRAMMAON ate : 14 arl Auteur : herry EQUEU. EQUEU 1, rue Jules Massenet 37 OURS el 47 5 93 64 herry EQUEU Jun [V37] Fcher : ESGN.OC Calculs

Plus en détail

CREATION DE VALEUR EN ASSURANCE NON VIE : COMMENT FRANCHIR UNE NOUVELLE ETAPE?

CREATION DE VALEUR EN ASSURANCE NON VIE : COMMENT FRANCHIR UNE NOUVELLE ETAPE? CREATION DE VALEUR EN ASSURANCE NON VIE : COMMENT FRANCHIR UNE NOUVELLE ETAPE? Boulanger Frédérc Avanssur, Groupe AXA 163-167, Avenue Georges Clémenceau 92742 Nanterre Cedex France Tel: +33 1 46 14 43

Plus en détail

Paquets. Paquets nationaux 1. Paquets internationaux 11

Paquets. Paquets nationaux 1. Paquets internationaux 11 Paquets Paquets natonaux 1 Paquets nternatonaux 11 Paquets natonaux Servces & optons 1 Créaton 3 1. Dmensons, pods & épasseurs 3 2. Présentaton des paquets 4 2.1. Face avant du paquet 4 2.2. Comment obtenr

Plus en détail

REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE. MEMOIRE Présentée à

REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE. MEMOIRE Présentée à REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE MEMOIRE Présentée à L Unversté de Batna Faculté des Scences Département de Physque

Plus en détail

Mécanique des Milieux Continus

Mécanique des Milieux Continus Mécanque des Mleux Contnus Golay Frédérc SEATECH MMC Golay MMC - - Ce cours de mécanque des mleux contnus est à la base de l ensegnement de mécanque à SEATECH. Les notons abordées c, transport de champs,

Plus en détail

VIELLE Marc. CEA-IDEI Janvier 1998. 1 La nomenclature retenue 3. 2 Vue d ensemble du modèle 4

VIELLE Marc. CEA-IDEI Janvier 1998. 1 La nomenclature retenue 3. 2 Vue d ensemble du modèle 4 GEMINI-E3 XL France Un outl destné à l étude des mpacts ndustrels de poltques énergétques et envronnementales VIELLE Marc CEA-IDEI Janver 1998 I LA STRUCTURE DU MODELE GEMINI-E3 XL FRANCE 3 1 La nomenclature

Plus en détail

INTRODUCTION. Jean-Pierre MAGNAN Chef de la section des ouvrages en terre Département des sols et fondations Laboratoire central

INTRODUCTION. Jean-Pierre MAGNAN Chef de la section des ouvrages en terre Département des sols et fondations Laboratoire central Etude numérque de la consoldaton undmensonnelle en tenant compte des varatons de la perméablté et de la compressblté du sol, du fluage et de la non-saturaton Jean-Perre MAGNAN Chef de la secton des ouvrages

Plus en détail

Dynamique du point matériel

Dynamique du point matériel Chaptre III Dynaqe d pont atérel I Généraltés La cnéatqe a por objet l étde des oveents des corps en foncton d teps, sans tenr copte des cases q les provoqent La dynaqe est la scence q étde (o déterne)

Plus en détail

Des solutions globales fi ables et innovantes. www.calyon.com

Des solutions globales fi ables et innovantes. www.calyon.com Des solutons globales f ables et nnovantes www.calyon.com OPTIM Internet: un outl smple et performant Suv de vos comptes Tratement de vos opératons bancares Accès à un servce de reportng complet Une nterface

Plus en détail

GUIDE D ÉLABORATION D UN PLAN D INTERVENTION POUR LE RENOUVELLEMENT DES CONDUITES D EAU POTABLE, D ÉGOUTS ET DES CHAUSSÉES

GUIDE D ÉLABORATION D UN PLAN D INTERVENTION POUR LE RENOUVELLEMENT DES CONDUITES D EAU POTABLE, D ÉGOUTS ET DES CHAUSSÉES GUIDE D ÉLABORATION D UN PLAN D INTERVENTION POUR LE RENOUVELLEMENT DES CONDUITES D EAU POTABLE, D ÉGOUTS ET DES CHAUSSÉES Gude destné au mleu muncpal québécos NOVEMBRE 2013 Coordnaton : Martn Cormer,

Plus en détail

UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL L ASSURANCE AUTOMOBILE AU QUÉBEC : UNE PRIME SELON LE COÛT SOCIAL MARGINAL MÉMOIRE PRÉSENTÉ COMME EXIGENCE PARTIELLE

UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL L ASSURANCE AUTOMOBILE AU QUÉBEC : UNE PRIME SELON LE COÛT SOCIAL MARGINAL MÉMOIRE PRÉSENTÉ COMME EXIGENCE PARTIELLE UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL L ASSURANCE AUTOMOBILE AU QUÉBEC : UNE PRIME SELON LE COÛT SOCIAL MARGINAL MÉMOIRE PRÉSENTÉ COMME EXIGENCE PARTIELLE DE LA MAÎTRISE EN ÉCONOMIQUE PAR ERIC LÉVESQUE JANVIER

Plus en détail

Integral T 3 Compact. raccordé aux installations Integral 5. Notice d utilisation

Integral T 3 Compact. raccordé aux installations Integral 5. Notice d utilisation Integral T 3 Compact raccordé aux nstallatons Integral 5 Notce d utlsaton Remarques mportantes Remarques mportantes A quelle nstallaton pouvez-vous connecter votre téléphone Ce téléphone est conçu unquement

Plus en détail

Économétrie. Annexes : exercices et corrigés. 5 e édition. William Greene New York University

Économétrie. Annexes : exercices et corrigés. 5 e édition. William Greene New York University Économétre 5 e édton Annexes : exercces et corrgés Wllam Greene New York Unversty Édton françase drgée par Dder Schlacther, IEP Pars, unversté Pars II Traducton : Stéphane Monjon, unversté Pars I Panthéon-Sorbonne

Plus en détail

Ecole Polytechnique de Montréal C.P. 6079, succ. Centre-ville Montréal (QC), Canada H3C3A7 lucas.greze@polymtl.ca robert.pellerin@polymtl.

Ecole Polytechnique de Montréal C.P. 6079, succ. Centre-ville Montréal (QC), Canada H3C3A7 lucas.greze@polymtl.ca robert.pellerin@polymtl. CIGI 2011 Processus d accélératon de proets sous contrantes de ressources avec odes de chevaucheent LUCAS GREZE 1, ROBERT PELLERIN 1, PATRICE LECLAIRE 2 1 CHAIRE DE RECHERCHE JARISLOWSKY/SNC-LAVALIN EN

Plus en détail

BTS GPN 2EME ANNEE-MATHEMATIQUES-MATHS FINANCIERES MATHEMATIQUES FINANCIERES

BTS GPN 2EME ANNEE-MATHEMATIQUES-MATHS FINANCIERES MATHEMATIQUES FINANCIERES MATHEMATIQUES FINANCIERES I. Concepts généraux. Le référentel précse : Cette parte du module M4 «Acquérr des outls mathématques de base nécessares à l'analyse de données économques» est en relaton avec

Plus en détail

Be inspired. Numéro Vert. Via Caracciolo 20 20155 Milano tel. +39 02 365 22 990 fax +39 02 365 22 991

Be inspired. Numéro Vert. Via Caracciolo 20 20155 Milano tel. +39 02 365 22 990 fax +39 02 365 22 991 Ggaset SX353 / französsch / A31008-X353-P100-1-7719 / cover_0_hedelberg.fm / 03.12.2003 s Be nspred www.onedrect.fr www.onedrect.es www.onedrect.t www.onedrect.pt 0 800 72 4000 902 30 32 32 02 365 22 990

Plus en détail

GENESIS - Generalized System for Imputation Simulations (Système généralisé pour simuler l imputation)

GENESIS - Generalized System for Imputation Simulations (Système généralisé pour simuler l imputation) GENESS - Generalzed System for mputaton Smulatons (Système généralsé pour smuler l mputaton) GENESS est un système qu permet d exécuter des smulatons en présence d mputaton. L utlsateur fournt un ensemble

Plus en détail

Réseau RRFR pour la surveillance dynamique : application en e-maintenance.

Réseau RRFR pour la surveillance dynamique : application en e-maintenance. Réseau RRFR pour la survellance dynamue : applcaton en e-mantenance. RYAD ZEMOURI, DANIEL RACOCEANU, NOUREDDINE ZERHOUNI Laboratore Unverstare de Recherche en Producton Automatsée (LURPA) 6, avenue du

Plus en détail

LeanConcept. La solution déploiement du Lean Manufacturing. Stockage Logistique Ergonomie Environnement Aménagement Services

LeanConcept. La solution déploiement du Lean Manufacturing. Stockage Logistique Ergonomie Environnement Aménagement Services Stockage Logstque Ergonome Envronnement Aménagement Servces La soluton déploement du Lean Manufacturng SIRE 4808480004 - NAF 4669C - VA ntracommunautare FR 9480848 www.sma.fr - contact@sma.fr - Fax 05

Plus en détail

Corrigé du problème de Mathématiques générales 2010. - Partie I - 0 0 0. 0.

Corrigé du problème de Mathématiques générales 2010. - Partie I - 0 0 0. 0. Corrgé du problème de Mathématques générales 2010 - Parte I - 1(a. Sot X S A. La matrce A est un polynôme en X donc commute avec X. 1(b. On a : 0 = m A (A = m A (X n ; le polynôme m A (x n est annulateur

Plus en détail

Les méthodes numériques de la dynamique moléculaire

Les méthodes numériques de la dynamique moléculaire Les méthodes numérques de la dynamque moléculare Chrstophe Chpot Equpe de chme et & bochme théorques, Unté Mxte de Recherche CNRS/UHP 7565, Insttut Nancéen de Chme Moléculare, Unversté Henr Poncaré, B.P.

Plus en détail

Thermodynamique statistique Master Chimie Université d Aix-Marseille. Bogdan Kuchta

Thermodynamique statistique Master Chimie Université d Aix-Marseille. Bogdan Kuchta hermodynamque statstque Master Chme Unversté d Ax-Marselle Bogdan Kuchta Plan: Rappel: thermodynamque phénoménologque (dscuter l entrope, l évoluton de gaz parfat,) Premer prncpe Deuxème prncpe (transformaton

Plus en détail

P R I S E E N M A I N R A P I D E O L I V E 4 H D

P R I S E E N M A I N R A P I D E O L I V E 4 H D P R I S E E N M A I N R A P I D E O L I V E 4 H D Sommare 1 2 2.1 2.2 2.3 3 3.1 3.2 3.3 4 4.1 4.2 4.3 4.4 4.5 4.6 5 6 7 7.1 7.2 7.3 8 8.1 8.2 8.3 8.4 8.5 8.6 Contenu du carton... 4 Paramétrage... 4 Connexon

Plus en détail

Page 5 TABLE DES MATIÈRES

Page 5 TABLE DES MATIÈRES Page 5 TABLE DES MATIÈRES CHAPITRE I LES POURCENTAGES 1. LES OBJECTIFS 12 2. LES DÉFINITIONS 14 1. La varaton absolue d'une grandeur 2. La varaton moyenne d'une grandeur (par unté de temps) 3. Le coeffcent

Plus en détail

ErP : éco-conception et étiquetage énergétique. Les solutions Vaillant. Pour dépasser la performance. La satisfaction de faire le bon choix.

ErP : éco-conception et étiquetage énergétique. Les solutions Vaillant. Pour dépasser la performance. La satisfaction de faire le bon choix. ErP : éco-concepton et étquetage énergétque Les solutons Vallant Pour dépasser la performance La satsfacton de fare le bon chox. ErP : éco-concepton et étquetage énergétque Eco-concepton et Etquetage

Plus en détail

Contact SCD Nancy 1 : theses.sciences@scd.uhp-nancy.fr

Contact SCD Nancy 1 : theses.sciences@scd.uhp-nancy.fr AVERTISSEMENT Ce document est le frut d'un long traval approuvé par le jury de soutenance et ms à dsposton de l'ensemble de la communauté unverstare élarge. Il est soums à la proprété ntellectuelle de

Plus en détail

CHAPITRE DEUX : FORMALISME GEOMETRIQUE

CHAPITRE DEUX : FORMALISME GEOMETRIQUE CHPITRE DEUX FORMLISME GEOMETRIQUE. CHPITRE DEUX : FORMLISME GEOMETRIQUE verson.3, -8 I. GEOMETRIE DNS L ESPCE-TEMPS ) Prncpe de relatvté Le prncpe de relatvté peut s exprmer ans : toutes les los physques

Plus en détail

ÉLÉMENTS DE THÉORIE DE L INFORMATION POUR LES COMMUNICATIONS.

ÉLÉMENTS DE THÉORIE DE L INFORMATION POUR LES COMMUNICATIONS. ÉLÉMETS DE THÉORIE DE L IFORMATIO POUR LES COMMUICATIOS. L a théore de l nformaton est une dscplne qu s appue non seulement sur les (télé-) communcatons, mas auss sur l nformatque, la statstque, la physque

Plus en détail

Analyse des Performances et Modélisation d un Serveur Web

Analyse des Performances et Modélisation d un Serveur Web SETIT 2009 5 th Internatonal Conference: Scences of Electronc, Technologes of Informaton and Telecommuncatons March 22-26, 2009 TUNISIA Analyse des Performances et Modélsaton d un Serveur Web Fontane RAFAMANTANANTSOA*,

Plus en détail

MODÈLE D ISING À UNE ET DEUX DIMENSIONS.

MODÈLE D ISING À UNE ET DEUX DIMENSIONS. Chapter MODÈLE DISIG À UE ET DEUX DIMESIOS.. ITRODUCTIO. ous commençons, dans ce chaptre, létude dun problème de mécanque statstque de la matère condensée où leffet des nteractons est mportant. Le modèle

Plus en détail

1.0 Probabilité vs statistique...1. 1.1 Expérience aléatoire et espace échantillonnal...1. 1.2 Événement...2

1.0 Probabilité vs statistique...1. 1.1 Expérience aléatoire et espace échantillonnal...1. 1.2 Événement...2 - robabltés - haptre : Introducton à la théore des probabltés.0 robablté vs statstque.... Expérence aléatore et espace échantllonnal.... Événement.... xomes défnton de probablté..... Quelques théorèmes

Plus en détail

La Quantification du Risque Opérationnel des Institutions Bancaires

La Quantification du Risque Opérationnel des Institutions Bancaires HEC Montréal Afflée à l Unversté de Montréal La Quantfcaton du Rsque Opératonnel des Insttutons Bancares par Hela Dahen Département Fnance Thèse présentée à la Faculté des études supéreures en vue d obtenton

Plus en détail

G estionnaire d espaces

G estionnaire d espaces MANUTENTION MISE À HAUTEUR & POSITIONNEMENT ACCÈS SÉCURISÉ SERVICES G estonnare d espaces Produt Franças PRODUIT EXCLU SMAI MOTORISATION ÉLECTRIQUE ÉCO RESPONSABLE ÉCO SOLUTIONS www.sma.fr - contact@sma.fr

Plus en détail

- Acquisition de signaux en sismologie large bande. - Acquisition de signaux lents, magnétisme, MT.

- Acquisition de signaux en sismologie large bande. - Acquisition de signaux lents, magnétisme, MT. 87 DUCAPTEURAUXEANQUESDEDONNEES. TECHNQUES D'NSTRUMENTATON EN GEOPEY8QUE. J:M. CANTN Unversté Lous Pasteur (Strasbourg 1) nsttut de Physque du Globe de Strasbourg Ecole et Observatore de Physque du Globe.

Plus en détail

Parlons. retraite. au service du «bien vieillir» L Assurance retraite. en chiffres* 639 192 retraités payés pour un montant de 4,2 milliards d euros

Parlons. retraite. au service du «bien vieillir» L Assurance retraite. en chiffres* 639 192 retraités payés pour un montant de 4,2 milliards d euros Édton Pays de la Lore Parlons La lettre aux retratés du régme général de la Sécurté socale 2012 retrate L Assurance retrate en chffres* 12,88 mllons de retratés 17,58 mllons de cotsants 346 000 bénéfcares

Plus en détail

Mes Objectifs. De, par, avec Sandrine le Métayer Lumières de Philippe Férat. spectacle produit par la Cie DORE

Mes Objectifs. De, par, avec Sandrine le Métayer Lumières de Philippe Férat. spectacle produit par la Cie DORE Me Objectf De, par, avec Sandrne le Métayer Lumère de Phlppe Férat pectacle produt par la Ce DORE t j Me objectf numéro prx du Jury aux Gradn du rque (Le Hvernale/ Avgnon) p l e t t a r d, p Sandrne le

Plus en détail

Chapitre 1.5a Le champ électrique généré par plusieurs particules

Chapitre 1.5a Le champ électrique généré par plusieurs particules hapte.5a Le chap électque généé pa pluseus patcules Le chap électque généé pa pluseus chages fxes Le odule de chap électque d une chage ponctuelle est adal, popotonnel à la chage électque et neseent popotonnel

Plus en détail

Annexe A. Annexe A. Tableaux et données relatifs à la vérification par Eurocode 3 A.3

Annexe A. Annexe A. Tableaux et données relatifs à la vérification par Eurocode 3 A.3 Annexes Annexe A : Tableaux et données relatifs à la vérification par Eurocode 3... A.2 Annexe B : Format des fichiers générés et utilisés par CADBEL... A.11 Annexe C : Calcul de la résistance au flambement

Plus en détail

PREMIERS PAS en REGRESSION LINEAIRE avec SAS. Josiane Confais (UPMC-ISUP) - Monique Le Guen (CNRS-CES-MATISSE- UMR8174)

PREMIERS PAS en REGRESSION LINEAIRE avec SAS. Josiane Confais (UPMC-ISUP) - Monique Le Guen (CNRS-CES-MATISSE- UMR8174) PREMIERS PAS en REGRESSION LINEAIRE avec SAS Josane Confas (UPMC-ISUP) - Monque Le Guen (CNRS-CES-MATISSE- UMR874) e-mal : confas@ccr.jusseu.fr e-mal : monque.leguen@unv-pars.fr Résumé Ce tutorel accessble

Plus en détail

INTERNET. Initiation à

INTERNET. Initiation à Intaton à INTERNET Surfez sur Internet Envoyez des messages Téléchargez Dscutez avec Skype Découvrez Facebook Regardez des vdéos Protégez votre ordnateur Myram GRIS Table des matères Internet Introducton

Plus en détail

santé Les arrêts de travail des séniors en emploi

santé Les arrêts de travail des séniors en emploi soldarté et DOSSIERS Les arrêts de traval des sénors en emplo N 2 2007 Les sénors en emplo se dstnguent-ls de leurs cadets en termes de recours aux arrêts de traval? Les sénors ne déclarent pas plus d

Plus en détail

Pourquoi LICIEL? Avec LICIEL passez à la vitesse supérieure EPROUVE TECHNICITE CONNECTE STABILITE SUIVIE COMMUNAUTE

Pourquoi LICIEL? Avec LICIEL passez à la vitesse supérieure EPROUVE TECHNICITE CONNECTE STABILITE SUIVIE COMMUNAUTE L og c el s de D agnos t c s I mmob l er s Cont ac t eznous 32BddeS t r as bougcs3010875468 Par scedex10tel. 0253354064Fax0278084116 ma l : s er v c e. c l ent @l c el. f r Pourquo LICIEL? Implanté sur

Plus en détail

LICENCE DE SCIENCES PHYSIQUES UV 3LSPH50. Année 2004-2005 MODÉLISATION. Recherche des paramètres d'une représentation analytique J.P.

LICENCE DE SCIENCES PHYSIQUES UV 3LSPH50. Année 2004-2005 MODÉLISATION. Recherche des paramètres d'une représentation analytique J.P. LICENCE DE SCIENCES PHYSIQUES UV 3LSPH50 Année 004-005 MODÉLISATION Recherche des paramètres d'une représentaton analytque JP DUBÈS 3 MODÉLISATION Recherche des paramètres d'une représentaton analytque

Plus en détail

Une analyse économique et expérimentale de la fraude à l assurance et de l audit

Une analyse économique et expérimentale de la fraude à l assurance et de l audit Une analyse économque et expérmentale de la fraude à l assurance et de l audt Sameh Borg To cte ths verson: Sameh Borg. Une analyse économque et expérmentale de la fraude à l assurance et de l audt. Economes

Plus en détail

Mots-clés : Système multicapteurs, Réseau local, Réseaux de neurones, Supervision, Domotique. xigences système d'une nouvelle

Mots-clés : Système multicapteurs, Réseau local, Réseaux de neurones, Supervision, Domotique. xigences système d'une nouvelle Mots-clés : xgences système d'une nouvelle fonctonnalté dans l'habtat ndvduel : cas de la survellance Système multcapteurs, Réseau local, Réseaux de neurones, Supervson, Domotque. des personnes âgées et

Plus en détail

Performances de la classification par les Séparateurs à Vaste Marge (SVM): application au diagnostic vibratoire automatisé

Performances de la classification par les Séparateurs à Vaste Marge (SVM): application au diagnostic vibratoire automatisé 4th Internatonal Conference on Coputer Integrated Manufacturng CIP 2007 03-04 Noveber 2007 Perforances de la classfcaton par les Séparateurs à Vaste Marge (SVM): applcaton au dagnostc vbratore autoatsé

Plus en détail

DÉVERSEMENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYMÉTRIQUE SOUMISE À DES MOMENTS D EXTRÉMITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE

DÉVERSEMENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYMÉTRIQUE SOUMISE À DES MOMENTS D EXTRÉMITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE Revue Construction étallique Référence DÉVERSEENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYÉTRIQUE SOUISE À DES OENTS D EXTRÉITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE par Y. GALÉA 1 1. INTRODUCTION Que ce

Plus en détail

METHODE AUTOMATIQUE POUR CORRIGER LA VARIATION LINGUISTIQUE LORS DE L INTERROGATION DE DOCUMENTS XML DE STRUCTURES HETEROGENES

METHODE AUTOMATIQUE POUR CORRIGER LA VARIATION LINGUISTIQUE LORS DE L INTERROGATION DE DOCUMENTS XML DE STRUCTURES HETEROGENES METHODE AUTOMATIQUE POUR CORRIGER LA VARIATION LINGUISTIQUE LORS DE L INTERROGATION DE DOCUMENTS XML DE STRUCTURES HETEROGENES Ourda Boudghaghen(*),Mohand Boughanem(**) yugo_doudou@yahoo.fr, bougha@rt.fr

Plus en détail

L enseignement virtuel dans une économie émergente : perception des étudiants et perspectives d avenir

L enseignement virtuel dans une économie émergente : perception des étudiants et perspectives d avenir L ensegnement vrtuel dans une économe émergente : percepton des étudants et perspectves d avenr Hatem Dellag Laboratore d Econome et de Fnances applquées Faculté des scences économques et de geston de

Plus en détail

TABLE DES MATIERES CONTROLE D INTEGRITE AU SEIN DE LA RECHERCHE LOCALE DE LA POLICE LOCALE DE BRUXELLES-CAPITALE/IXELLES (DEUXIEME DISTRICT) 1

TABLE DES MATIERES CONTROLE D INTEGRITE AU SEIN DE LA RECHERCHE LOCALE DE LA POLICE LOCALE DE BRUXELLES-CAPITALE/IXELLES (DEUXIEME DISTRICT) 1 TABLE DES MATIERES CONTROLE D INTEGRITE AU SEIN DE LA RECHERCHE LOCALE DE LA POLICE LOCALE DE BRUXELLES-CAPITALE/IXELLES (DEUXIEME DISTRICT) 1 1. PROBLEMATIQUE 1 2. MISSION 1 3. ACTES D ENQUETE 2 4. ANALYSE

Plus en détail

1. INTRODUCTION. Rev. Energ. Ren. : 11 èmes Journées Internationales de Thermique (2003)103-110

1. INTRODUCTION. Rev. Energ. Ren. : 11 èmes Journées Internationales de Thermique (2003)103-110 Rev. Energ. Ren. : 11 èes Journées Internatonales de Therque (00)10-110 Sulaton Nuérque Undensonnelle du Phénoène de Transfert de Chaleur, Masse et Charge dans une Ple à Cobustble à Mebrane Echangeuse

Plus en détail

Cours de résistance des matériaux

Cours de résistance des matériaux ENSM-SE RDM - CPMI 2011-2012 1 Cycle Préparatoire Médecin-Ingénieur 2011-2012 Cours de résistance des matériau Pierre Badel Ecole des Mines Saint Etienne Première notions de mécanique des solides déformables

Plus en détail

Le Prêt Efficience Fioul

Le Prêt Efficience Fioul Le Prêt Effcence Foul EMPRUNTEUR M. Mme CO-EMPRUNTEUR M. Mlle Mme Mlle (CONJOINT, PACSÉ, CONCUBIN ) Départ. de nass. Nature de la pèce d dentté : Natonalté : CNI Passeport Ttre de séjour N : Salaré Stuaton

Plus en détail

Étranglement du crédit, prêts bancaires et politique monétaire : un modèle d intermédiation financière à projets hétérogènes

Étranglement du crédit, prêts bancaires et politique monétaire : un modèle d intermédiation financière à projets hétérogènes Étranglement du crédt, prêts bancares et poltque monétare : un modèle d ntermédaton fnancère à projets hétérogènes Mngwe Yuan et Chrstan Zmmermann Introducton et objet de l étude Par étranglement du crédt

Plus en détail

TRAVAUX PRATIQUES SPECTRO- COLORIMETRIE

TRAVAUX PRATIQUES SPECTRO- COLORIMETRIE UNIVERSITE MONTPELLIER 2 Département de Physque TRAVAUX PRATIQUES DE SPECTRO- COLORIMETRIE F. GENIET 2 INTRODUCTION Cet ensegnement de travaux pratques de seconde année se propose de revor rapdement l'aspect

Plus en détail

BUREAU D'APPLICATION DES METHODES STATISTIQUES ET INFORMATIQUES

BUREAU D'APPLICATION DES METHODES STATISTIQUES ET INFORMATIQUES BUREAU DAPPLICATION DES METHODES STATISTIQUES ET INFORMATIQUES BAMSI REPRINT 04/2003 Introducton à l analyse des données Samuel AMBAPOUR BAMSSI I BAMSI B.P. 13734 Brazzavlle BAMSI REPRINT 04/2003 Introducton

Plus en détail

Pratique de la statistique avec SPSS

Pratique de la statistique avec SPSS Pratque de la statstque avec SPSS SUPPORT Transparents ultéreurement amélorés et ms à jour sur le ste du SMCS LIENS UTILES Ste du SMCS (Support en Méthodologe et Calcul Statstque) : http://www.stat.ucl.ac.be/smcs/

Plus en détail

ACTE DE PRÊT HYPOTHÉCAIRE

ACTE DE PRÊT HYPOTHÉCAIRE - 1 - ACTE DE PRÊT HYPOTHÉCAIRE 5453F QC FR-2010/01 Taux fxe Le. Devant M e, notare soussgné pour la provnce de Québec, exerçant à. ONT COMPARU : ET : (C-après parfos appelé dans le présent Acte l «emprunteur»

Plus en détail

OPTIMALITÉ DU MÉCANISME DE RATIONNEMENT DE CRÉDIT DANS LE MODÈLE ISLAMIQUE DE FINANCEMENT

OPTIMALITÉ DU MÉCANISME DE RATIONNEMENT DE CRÉDIT DANS LE MODÈLE ISLAMIQUE DE FINANCEMENT Etudes en Econoe Islaque, Vol. 6, Nos. & (-7) Mouharra, Raab 434H (Novebre 0, Ma 03) OPTIMALITÉ DU MÉCANISME DE RATIONNEMENT DE CRÉDIT DANS LE MODÈLE ISLAMIQUE DE FINANCEMENT ALIM BELEK Résué Le ratonneent

Plus en détail