Dysfonctionnement de la politique monétaire en zone euro : jusqu à quel point?

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Dysfonctionnement de la politique monétaire en zone euro : jusqu à quel point?"

Transcription

1 Dysfonctonnement de la poltque monétare en zone euro : jusqu à quel pont? Clemente De Luca Nous étuderons dans cet artcle les canaux de transmsson de la poltque monétare de la BCE pendant la crse. Nous examnerons en partculer dans quelle mesure les dysfonctonnements du marché monétare et du marché de la dette ont pu empêcher les mesures de poltque monétare adoptées de se répercuter plenement sur les taux bancares. L étude montre que ces taux bancares auraent dû être ben nféreurs au nveau qu fut le leur pendant la crse. La BCE a beaucoup fat pour alléger les tensons et rétablr le bon fonctonnement des marchés fnancers. Cependant, malgré quelques améloratons, la stuaton est lon d être optmale. Les condtons standard d octro des prêts sont toujours relatvement restrctves, une stuaton dont pâtssent la crossance du crédt et l actvté en général. Une smulaton de modèle montre que, pendant la crse, l allégement des condtons de crédt standard à hauteur d un écart-type aurat perms d atténuer la récesson d un pont de pourcentage (pp). De nouvelles mesures dovent encore être adoptées pour reméder aux contrantes lées à l offre des banques, stmuler la demande et fare ans sortr la zone euro du marasme économque actuel. Crse fnancère et transmsson de la poltque monétare Le secteur bancare de la zone euro est l un des plers du mécansme de transmsson monétare. Par rapport aux autres économes avancées, les banques de la zone euro restent en effet, et de lon, la prncpale source de fnancement extéreur du secteur prvé (ECB, 9). Or, les tensons sur les marchés fnancers peuvent compromettre la répercusson de l évoluton des taux drecteurs sur les taux bancares, rédusant d autant l effcacté de la poltque monétare. L éclatement de la crse fnancère a perturbé dans une large mesure le fonctonnement de pluseurs marchés, notamment le marché monétare et le marché de la dette pénalsant ans le secteur bancare à pluseurs nveaux. L évoluton de la stuaton sur le marché monétare a un mpact sur les condtons de fnancement des banques et, par rcochet, sur les condtons d octro de prêts bancares en termes de volumes et de taux. Les marchés de la dette souverane mpactent également de pluseurs manères le secteur bancare. Compte tenu de l exposton des banques à la dette souverane, les tensons dans ce derner secteur se répercutent asément sur le premer (vor graphque ). Len étrot entre la dette bancare et la dette souverane (CDS) Secteur bancare, pb y =,x +,88 R =,8 Secteur souveran, pb Graphque Sources : Datastream, BNP Parbas Jun Conjoncture

2 Une nouvelle déprécaton des ttres de la dette souverane pourrat avor un mpact non néglgeable sur les blans des banques et compromettre leur solvablté. De plus, les tensons sur les marchés fnancers rsquent de rédure la valeur des garantes utlsées par les banques sur le marché des prêts nterbancares, complquant leur accès aux lqudtés. Enfn, l absence d actfs sans rsque peut modfer le prx de nombreux produts fnancers, entraînant un effet de dstorson notable sur le fonctonnement des marchés et la formaton des prx. Le modèle L objet de la présente secton est la constructon d un modèle en vue de détermner s et dans quelles condtons la crse fnancère a modfé la transmsson de la poltque monétare, en mettant notamment l accent sur la réacton des taux bancares à l évoluton de la stuaton sur les marchés monétare et de la dette souverane. Les contrantes lées à l offre, consécutves aux dysfonctonnements du marché monétare et du marché de la dette, ont entraîné un alourdssement des coûts de fnancement des banques de sorte que les taux bancares n ont pas, sute à la basse des taux drecteurs, dmnué autant qu ls l auraent fat avant la crse. Nous explquons dans l encadré la méthodologe utlsée pour évaluer les canaux de transmsson de la poltque monétare. La maîtrse de tous ces détals technques n est cependant pas ndspensable à la compréhenson du reste de l artcle. L dée est smplement de construre un modèle solde permettant une réplcaton rasonnable des données antéreures à la crse. Nous étudons ensute le comportement du modèle pendant la crse en comparant les résultats obtenus avec les données réelles. Plus l écart est grand, plus le rsque de dysfonctonnement du canal de transmsson de la poltque monétare est élevé. Le modèle rele les taux d ntérêt des socétés non fnancères (SNF) à l Eurbor mos, ce taux servant de substtut aux condtons de prêt sur le marché monétare, et au rendement des ttres de la dette à ans, ce derner servant de substtut aux condtons du marché de la dette souverane. Encadré : Evaluaton des canaux de transmsson de la poltque monétare Estmaton du modèle Pour analyser l mpact des marchés fnancers sur les canaux de transmsson de la poltque monétare nous avons eu recours au modèle suvant qu exprme les taux bancares sous forme de foncton des condtons sur le marché monétare et sur le marché de la dette souverane. Nous avons retenu un modèle VAR Bond (vectorel autorégressf) à tros varables NFCs, EUR,, sot, respectvement, les taux d ntérêt des nouveaux prêts accordés aux SNF, l Eurbor mos et le rendement des ttres de dette publque à ans. Notre hypothèse : l exstence possble d une relaton de contégraton entre ces tros varables. Les données relatves aux taux d ntérêt des prêts accordés aux SNF sont fournes par la BCE et celles relatves à l Eurbor et aux rendements des ttres de dette par Reuters. Les tests statstques classques dstnguent retards (lags) pour la spécfcaton optmale du modèle VAR qu peut s écrre ans : (.) nfc nfc nfc EUR EUR EUR A A A t bond t bond t bond où A correspond aux matrces de coeffcent X et est le vecteur des termes d erreur. Après transformaton de (.) en un modèle à correcton d erreur vectorel, on obtent : (.) nfc nfc nfc nfc,, EUR EUR EUR EUR,, bond bond bond bond t t Test de rang de contégraton (Trace) Nombre de CE (s) Valeur Trace Valeur prs pour hypot. prop. statst. crtque % Prob. Aucun, 9,9,9, Au plus,,8,, Au plus,9,88 9,,8 Tableau Source : BNP Parbas t Jun Conjoncture

3 La méthode Johansen ndque la présence d une relaton contégrée (vor tableau ), et notre spécfcaton n est pas rejetée par les données (vor tableau ). Résultats d'estmaton (m -m) Relaton de contégraton ' Var. SNF c EUR bond Coeff. -,9 -,89 -, t-stat [-,] [-,] [-,] Loadng factors ' Var. SNF EUR bond Coeff. -, t-stat [-,] Test LR, rang=, ()=, Prob(,) Tableau Source : BNPParbas La premère parte du tableau llustre la relaton à long terme entre les taux bancares d une parte et l Eurbor mos et le rendement des ttres de dette à ans d autre part (la relaton s écrt en termes bond mplctes tels que nfc eur ). Le taux d ntérêt des prêts accordés aux SNF est très sensble aux condtons du marché monétare (le coeffcent de l Eurbor mos, égal à,9, est très sgnfcatf). Nous avons retenu le taux d ntérêt de l Eurbor plutôt que le swap Eona car le premer reflète meux les tensons du marché monétare tands que le second est plus proche des taux drecteurs et s avère mons sensble aux tensons du marché. En d autres termes, les taux des swaps Eona, contrarement aux taux Eurbor, sont ben plus protégés face à l évoluton des rsques de lqudté et de crédt. Le taux swap correspond en effet au taux fxe que les banques paent pour recevor le taux au jour le jour, auquel correspondent des prmes de lqudté et de rsque néglgeables, sur la durée de ve du contrat de swap. Comme notre but est d estmer avec précson la manère dont ont évolué les taux bancares pendant la crse, nous avons opté pour le taux Eurbor. Quoque son mpact sot plus fable, le rendement de l actf sans rsque est également très sgnfcatf, confrmant l ncdence du marché de la dette sur les taux bancares. La deuxème parte du tableau ndque les «loadng factor», qu sont très sgnfcatves et assortes du sgne attendu. Supposons, par exemple, qu à l nstant t NFCs EUR Bond en rason de la basse des taux Eurbor. Un déséqulbre de la relaton à long terme ramène le modèle à l équlbre car une contrbuton factorelle négatve mplque qu à l nstant NFCs t+,. L échantllon va de début (les données relatves aux taux d ntérêt des prêts aux SNF sont dsponbles depus cette date) à jullet car les tensons sur le marché fnancer ont éclaté pour la premère fos à la m-août. Une fos que le modèle a été estmé et que sa capacté à réplquer les données passées a été évaluée, nous calculons les smulatons sur échantllon en vue de détermner s les solutons du modèle sont ou non proches des données réelles. Un mportant écart ndque que les taux d ntérêt des prêts accordés aux entreprses sont mons réactfs aux varatons des taux drecteurs, et que, par conséquent, le canal de transmsson de la poltque monétare ne fonctonne pas correctement. Pour ce fare, après avor testé la fable exogénété de Bond EUR ; comme le montre le tableau (le test LR ne rejette pas notre hypothèse), nous transformons (.) en un modèle condtonnel en ajoutant des varables contemporanes. Le modèle devent ans : (.) nfc ˆ ˆ eur ˆ bond nfc nfc t ( ) t bond eur t t t où la relaton à long terme est mantenue constante aux nveaux de valeur ndqués au tableau. La pérode d estmaton reste nchangée, allant de M à M. Le modèle reprodut assez ben les données passées. La smulaton sur échantllon est ndquée au graphque. Comme le montrent les résultats, après modfcaton des taux drecteurs par la BCE, les taux bancares n ont pas bougé autant qu ls l auraent fat avant la crse. Nous réplquons ensute les équatons (.), (.), (.) pour pluseurs pays de la zone euro, dont les résultats sont ndqués au graphque. Les résultats de la smulaton dovent néanmons être prs avec précauton. Tout d abord, une spécfcaton ncorrecte du modèle due à des varables omses, peut entraîner une nstablté au cours de la pérode de smulaton. Les varables omses peuvent être «slenceuses» au cours de la pérode d estmaton mas devenr pertnentes par la sute. De plus, d éventuelles ruptures structurelles peuvent modfer les résultats de la smulaton (Favero, ). Jun Conjoncture

4 Résultats Le modèle reprodut assez ben les données antéreures à la crse (vor graphque ). Il convent de soulgner qu avant l éclatement de la crse et, prncpalement, entre et, le modèle ndque des taux bancares encore plus élevés que ce qu ls étaent en réalté. Dans un certan sens, cela confrme l dée que les condtons du crédt dans certanes régons de la zone euro étaent probablement trop accommodantes, en partculer en Irlande et en Espagne. Avant la crse, ces deux économes ont connu des stuatons d excès du crédt, concentrées dans un seul secteur, la constructon. A ce moment-là, la zone euro ne s état pas dotée d un régulateur effcace et capable d apprécer, en l absence de pressons natonales, une sous-évaluaton éventuelle des rsques par les nsttutons de crédt, de nature à déstablser le pays concerné et, en fn de compte, l ensemble de la zone. Zone euro : Evaluaton des canaux de transmsson de la poltque monétare 8 % Graphque Observé Smulaton Taux pratqués aux SNFs (jusqu'à an) Sources : BNP Parbas, BCE Nous avons réplqué les modèles (.), (.), (.), comme ndqué à l encadré pour pluseurs pays de la zone euro (vor graphque ). Les résultats font ressortr certanes smltudes entre pays mas auss quelques dfférences. Nous observons en partculer que : ) Les modèles pays semblent ben spécfés dans la mesure où ls sont capables de réplquer assez ben les données antéreures. ) De manère générale, les taux bancares auraent dû être nféreurs dans tous les pays, dont les pays centraux comme la France et l Allemagne, où les rendements extrêmement bas des ttres de la dette souverane et la fablesse des taux Eurbor suggéraent des taux bancares ben nféreurs. Cependant, comme toujours lorsqu l s agt de smulatons, les résultats sont à prendre avec précauton (vor encadré ). ) Les données réelles et smulées commencent à dverger essentellement au second semestre 9 où les tensons et la crse sont entrées dans leur seconde phase, la crse fnancère cédant la place à une crse de la dette. ) L écart est plus mportant dans les pays pérphérques que dans les pays centraux, sgne du dysfonctonnement des canaux de transmsson de la poltque monétare dans ce premer groupe de pays qu avaent le plus grand beson d une poltque monétare accommodante. Après la fallte de Lehman Brothers en septembre 8, les marchés étaent au bord du précpce tands que les tensons et les taux d ntérêt ne cessaent de grmper. Les taux ont par la sute commencé à basser, les banques centrales ayant engagé une poltque de détente agressve. Néanmons, entre le second semestre 9 et la fn de l année (où s arrête notre échantllon), le modèle ndque que les taux d ntérêt des prêts accordés aux socétés non fnancères auraent dû être ben nféreurs. Jun Conjoncture

5 Canaux de transmsson de la poltque monétare -répartton par pays- : Itale 8 % Taux pratqués aux SNFs (jusqu'à an) Observé Smulaton Graphque - Panel A Allemagne 8 % Observé Smulaton Panel B France Portugal 8 % Panel C Observé Smulaton 8 % Observé Smulaton Panel D Espagne 8 % Observé Smulaton Panel E Source : BNP Parbas Jun Conjoncture

6 BCE : restauraton du bon fonctonnement du marché Le modèle montre que les dstorsons des marchés fnancers, prncpalement le marché monétare et le marché de la dette souverane, ont bloqué le mécansme de transmsson de la poltque monétare. La BCE a dès lors adopté un ensemble de mesures pour rétablr le bon fonctonnement des canaux de transmsson. Face à la paralyse du marché monétare et à la pénure des lqudtés pour le secteur bancare, la BCE a commencé à njecter d mportants volumes de lqudté dans le système. Elle n a pas hésté notamment à modfer son cadre opératonnel, passant des procédures d appels d offres à taux varable aux appels d offres à taux fxe ntégralement servs. La BCE a auss rallongé sensblement l échéance de ses opératons et assoupl dans une large mesure les exgences relatves aux garantes à apporter pour obtenr des lqudtés. En décembre et en févrer, la BCE a mené deux opératons spécales de refnancement à ans (LTRO), qu lu ont perms d njecter près de EUR mds. Cependant, toute médalle a son revers : ces mesures pourtant benvenues ont eu pour effet d aggraver le cercle vceux entre la dette bancare et la dette souverane, de nombreuses banques ayant utlsé leurs lqudtés non seulement pour couvrr leurs postons mas auss pour acheter des ttres de dette publque. Il n en fallat pas davantage pour ravver les tensons, une stuaton qu a même amené les marchés à s nterroger sur la vablté de la zone euro. Devant cette stuaton, la BCE a décdé, le septembre, de créer le Programme OMT (Outrght Monetary Transactons), l autorsant à racheter sur le marché secondare, dans le cadre d une strcte condtonnalté, des oblgatons souveranes sans lmte de durée n de quantté. L OMT peut avor des effets ben plus larges que la smple restauraton du canal de transmsson de la poltque monétare. C est en effet le moyen pour la BCE de conférer crédblté et effcacté aux mécansmes européens de stablté, qu ne dsposaent pas jusque-là de ressources suffsantes pour fare face aux problèmes de lqudté de grandes économes comme l Itale ou l Espagne. Cette décson a probablement marqué un tournant dans la crse de la dette de la zone euro. L élmnaton du rsque de réversblté de l euro et la réducton notable des rsques de contagon devraent en effet trer vers le bas les rendements des ttres de la dette souverane. Or les pays devant engager des réformes structurelles pour rompre le cercle vceux, fat de crossance fable, de rato de la dette élevé et de coûts d emprunts nsoutenables, ont précsément beson d une basse des taux d ntérêt. En rédusant les tensons sur les marchés fnancers, notamment dans les pays les plus en dffculté, la BCE reméde également, grâce à son programme OMT, à l mportante fragmentaton des marchés fnancers (vor graphque ). Cela ne surprendra personne, les pays dans lesquels la détéroraton des marchés de la dette a été la plus forte sont auss ceux dont les taux bancares sont les plus élevés (vor graphque ). Fragmentaton du marché (taux accordés aux SNFs) % ALL FRA ITA ESP REFI %.. Graphque Source : BCE Taux bancares et rendements des ttres de la dette souverane Taux aux SNFs, % ESP ITA POR ALL FRA Rendement des ttres d'etat 8 9 Graphque Sources : Datastream, BCE... Jun Conjoncture 8

7 Relancer le crédt Cependant, en dépt de toutes ces mesures engagées à ce jour, la dsperson des taux d ntérêt, quoque mons mportante, reste élevée (vor graphque ) et le crédt ne cesse de se contracter dans la zone euro, prncpalement le crédt aux socétés non fnancères (SNF). Une stuaton qu ne lasse pas de préoccuper la BCE. Concluson : l faut aller encore plus lon pour alléger les contrantes pesant sur la crossance du crédt. Dvergence des taux d'ntérêt - Taux d'ntérêt des nouveaux prêts accordés aux SNFs % % Dévaton standard MAX-MIN Zone euro. 9 Graphque Sources : BNP Parbas, BCE Stmuler la demande La segmentaton des marchés fnancers s explque par pluseurs facteurs. Le rsque de défaut des contrepartes et l anéme de la demande de crédt jouent à cet égard un rôle mportant. Or les rsques de défaut sont ben plus grands dans les pays pérphérques, partculèrement affectés par la crse. Comme le montrent les résultats de l enquête de la BCE sur la dstrbuton du crédt bancare (Bank Lendng Survey ou BLS), les exgences relatves au collatéral et les marges sur les prêts à rsque fgurent parm les facteurs qu contrbuent le plus au resserrement des termes et condtons du crédt accordé par les banques au secteur prvé. Des mesures adoptées par les autortés natonales et les nsttutons de l UE et vsant à relancer l actvté pourraent contrbuer à rédure les rsques de défaut des contrepartes et ncter les banques à assouplr les condtons d octro des prêts. Une approche plus souple en matère d ajustements budgétares serat auss la benvenue. Malgré un consensus général sur les avantages de l assanssement budgétare à.... moyen terme, on commence à s nterroger sur les détals et le tmng de la correcton engagée. Les mesures d ajustement adoptées ont probablement pêché par une concentraton excessve en début de pérode, en partculer pour les pays pérphérques. Devant les tensons et la panque qu s étaent emparées des marchés fnancers, les gouvernements et les nsttutons de l UE ont peut-être voulu procéder à une correcton trop brutale des déséqulbres budgétares, accentuant encore plus le ralentssement de l actvté à court terme. Un ajustement plus progressf aurat peut-être été préférable. On ne peut à cet égard que se félcter du changement récent d atttude de la Commsson européenne, qu évalue à présent l effort budgétare en termes d évoluton du défct structurel plutôt qu en termes de défct nomnal (très sensble au cycle conjoncturel). La BCE peut auss concourr à stmuler la demande. Même s les taux drecteurs sont d ores et déjà à des plus bas hstorques, la Banque centrale européenne dspose encore d une certane marge de manœuvre. Elle peut ans abasser les taux drecteurs, y comprs le taux de rémunératon des dépôts, ce qu dans le cadre de la procédure actuelle d appels d offres à taux fxe, la totalté des soumssons étant serve, devrat avor un mpact plus large sur les taux du marché qu une smple basse du taux ref. La BCE pourrat auss prendre une sorte d engagement à lasser les taux drecteurs à des nveaux bas pendant un moment (à l nstar de la «forward-gudance» de la Réserve fédérale amércane), qu aurat pour effet de fare reculer les antcpatons de taux d ntérêt ans que la valeur externe de l euro et, n fne, de stmuler la crossance. et agr sur le plan de l offre La BCE peut, par alleurs, contnuer à agr sur le plan de l offre pour rétablr la crossance du crédt. Pour Maro Dragh, Présdent de l nsttuton de Francfort, la rétcence des banques à ouvrr le robnet du crédt s explque par pluseurs facteurs : l averson pour le rsque, les dffcultés de fnancement et l nsuffsance des fonds propres. La Banque centrale européenne n a aucun moyen d acton ou presque sur les fonds propres des banques et leurs besons de recaptalsaton qu contnuent de relever, pour le moment, de la Jun Conjoncture 9

8 responsablté des autortés natonales. L ntroducton du mécansme de supervson unque et les progrès accompls vers la mse en place d une unon bancare pourraent néanmons contrbuer à restaurer la confance et à renforcer la poston fnancère des établssements de crédt, entraînant, en fn de compte, une améloraton des condtons de fnancement du secteur bancare. En revanche, la BCE n a pas lésné sur les moyens pour rédure l averson au rsque et faclter le refnancement des banques. Comme nous l avons soulgné plus haut, le rsque de réversblté de l euro a consdérablement dmnué depus l annonce du programme OMT. La basse des rendements des ttres de dette publque a pour effet de consolder le blan des banques et d amélorer leur capacté à lever des fonds sur les marchés. Le cadre non conventonnel régssant l octro de prêts, que la BCE a ms en place depus la fallte de Lehman Brothers, a apporté une bouffée d oxygène aux établssements de crédt qu ne pouvaent se fnancer sur le marché qu au moyen de taux d ntérêt élevés et donc pénalsants. L enquête BLS montre que l accès au fnancement du marché comme la poston de lqudté des banques se sont depus amélorés. La stuaton est néanmons lon d être optmale (vor graphque ) ; les condtons du crédt sont toujours auss tendues et, selon les antcpatons des banques, elles devraent le rester à terme (vor graphque 8 de l encadré ). Comme le montre un modèle emprque (vor encadré pour plus de détals) des condtons plus restrctves ont un mpact non néglgeable sur l octro de prêts et, par voe de conséquence, sur la crossance. Facteurs contrbuant au resserrement du crédt Balance d'opnon Accès au marché fnancer Evaluaton des fonds propres Poston des lqudtés - - Graphque Source : BCE Encadré : Durcssement des condtons de crédt et crossance Nous étudons dans le présent encadré dans quelle mesure le resserrement des condtons de prêt a un mpact sur la dstrbuton du crédt et la crossance. L enquête BLS (Bank Lendng Survey) menée par la BCE auprès des banques offre à cet égard des nformatons utles. Les banques partcpant à l enquête dovent répondre à deux questons spécfques, l une ayant trat aux ) normes de crédt et l autre aux ) termes et condtons du crédt, en mettant l accent sur les facteurs à l orgne de l évoluton enregstrée. La secton sur les «normes de crédt» concerne surtout la poltque de prêt des banques. Les établssements sont nvtés à répondre à des questons sur la manère dont des facteurs tels que le coût des fonds et les contrantes de blan affectent les normes de crédt. Celle sur les «termes et condtons du crédt» met davantage l accent sur les condtons spécfques convenues entre le prêteur et l emprunteur, comme les garantes exgées et les échéances, qu sont susceptbles d avor une ncdence sur l octro de prêts. Les établssements nterrogés évaluent par alleurs les facteurs détermnant la demande de crédt tels les besons de fnancement ou le recours à des sources de fnancement alternatves. Pour évaluer l mpact du resserrement des condtons du crédt sur l actvté, nous utlsons un modèle VAR comprenant les varables suvantes : le logarthme du PIB de la zone euro, le logarthme des prx (tels que mesurés par le déflateur du PIB), le taux d ntérêt des nouveaux prêts et le logarthme des prêts accordés aux SNF. Le logarthme du PIB amércan a été ajouté à ttre de varable exogène. Pour tenr compte des facteurs de l offre et de la demande ayant un mpact sur les prêts, nous avons auss nclus à ttre de varables exogènes l évaluaton par les banques des normes du crédt et l évaluaton de la demande de prêts à partr des données fournes par l enquête BLS. Ben que les séres BLS soent assez récentes (elles remontent à à pene), elles ont été largement utlsées pour évaluer l mpact des contrantes lées à l offre et à la demande sur le volume des prêts et la crossance (Cccarell M., ). Le FMI a, de son côté, essayé d dentfer mplctement les contrantes lées à l offre provenant du secteur bancare (IMF, ). Cependant, compte tenu de l dentfcaton explcte lée à la manère dont les Jun Conjoncture

9 établssements nterrogés ont répondu au questonnare BLS et de la corrélaton relatvement élevée entre les données relatves au crédt et les résultats de cette même enquête (vor graphque 8), nous avons décdé de les utlser dans notre étude. Crédt : volume des transactons et condtons du crédt mllons EUR - Crédt aux SNFs (transactons) Condtons du crédt Echelle nversée, balance - d'opnon Graphque 8 Source : BCE Les données provennent d Eurostat, de la BCE et de DataStream. Les tests classques suggèrent une formulaton du modèle sous la forme d un VAR avec retards. Le test de Johansen ndque une relaton de contégraton (les résultats n ont pas été fourns mas ls sont dsponbles sur demande) et notre spécfcaton n a pas été rejetée par les données. Résultats d'estmaton (T-T) Relaton de contégraton ' Var. Log(y) Log(P) SNF Log(L) C Coeff. -, -,9 -, t-stat [-,] [-9,] Loadng factors ' Var. log(y) log(p) SNF log(l) Coeff. -,, -,, t-stat [-,] [,] [-,] [,] Test LR, rang=, ()=, Prob(,) Varable exogènes : PIB US, Offre, Demande Tableau Source : BNPParbas Dans le tableau c-dessus, qu présente les résultats obtenus, y correspond au PIB de la zone euro, NFCs P au déflateur de l ndce des prx, au taux d ntérêt des prêts octroyés aux SNF et L au stock de prêts accordés à ces mêmes SNF. Le modèle ne rejette pas l hypothèse d une relaton à long terme entre l actvté (y), les prêts (L) et les taux d ntérêt des prêts NFCs (au tableau, la relaton à long terme est - exprmée sous forme mplcte). Enfn, les «loadng factors» sont assortes des sgnes attendus. Le modèle semble ben spécfé dans la mesure où l réplque assez ben les données antéreures. Dans ces condtons, nous avons effectué une smulaton dynamque en prenant pour hypothèse, sur la pérode allant de T à T 9, une varable des condtons de prêt standard mons restrctve d un écart-type. Comme le montre le graphque 9, depus l éclatement de la crse fnancère en août, les banques ont commencé à resserrer les condtons de dstrbuton du crédt. Choc postf sur les condtons du crédt - - Balance d'opnon Choc Observé 8 9 Graphque 9 Sources : BNP Parbas, BCE La paralyse quas-totale du marché monétare consécutve à la fallte de Lehman Brothers a entraîné une détéroraton brutale des condtons de fnancement des banques qu ont procédé à un resserrement sgnfcatf des condtons de prêt et refermé ans le robnet du crédt. L mpact sur la crossance est tout sauf néglgeable. En 8, la crossance du PIB s est replée à, % contre % envron en, pour se contracter ensute de plus de % en 9. S les condtons standard avaent été mons restrctves, dsons d un écart-type, la producton aurat été supéreure de, pont de pourcentage en 8 et de plus de pont de pourcentage l année suvante (vor graphque ). Comme toujours, les smulatons de modèles, dont les résultats peuvent être modfés par des varables omses et des ruptures structurelles, dovent être prses avec précauton. Les résultats obtenus montrent néanmons que compte tenu de l mportance du secteur bancare comme source de fnancement extéreur des SNF, les décdeurs dovent se moblser pour lutter contre les facteurs qu contrbuent à un durcssement des condtons de prêt. Jun Conjoncture

10 Impact sur la crossance d'un choc postf sur les condtons du crédt %, PIB, varaton annuelle - Observé Smulaton dynamque - Smulaton avec choc Graphque Source : BNP Parbas Une basse du taux ref pourrat rédure sensblement les coûts de fnancement des banques, essentellement celles des pays pérphérques, fortement trbutares de la lqudté BCE. Des achats fermes de ttres de dette souverane permettraent auss à n en pas douter d abasser les taux d ntérêt, une mesure qu aurat des effets bénéfques sur les condtons de fnancement des banques et, partant, sur la crossance du crédt et sur l actvté. Cette soluton reste néanmons très mprobable compte tenu des vetos poltques et des contrantes lées au rsque d aléa moral. Il convent de soulgner qu avec le programme OMT un grand pas a déjà été franch dans ce sens ; l suffrat en effet que le programme sot actvé (la Banque pourra en effet ntervenr dès que le Portugal et l Irlande seront plenement de retour sur le marché) pour que les taux d ntérêt se replent. S agssant de la lqudté, la BCE rappelat encore récemment qu elle mantendrat le cadre actuel (appel d offres à taux fxe, la totalté des soumssons étant serve) auss longtemps que nécessare. En cas de nouvelle détéroraton de la stuaton et de dffcultés de fnancement des banques, la BCE n héstera probablement pas à lancer d autres opératons LTRO, assortes d échéances plus élognées, comme ce fut le cas à la fn de. La BCE peut-elle stmuler le crédt en courtcrcutant, dans un certans sens, le secteur bancare? Cela semble peu probable. Une nterventon drecte sur le marché moyennant le rachat de ttres d entreprses n aurat qu un fable mpact sur l actvté compte tenu du rôle prédomnant du secteur bancare comme source de fnancement externe des SNFs. En revanche, la BCE pourrat encourager les banques à accorder des prêts en abassant encore leurs coûts de fnancement. La BCE a commencé à accepter les créances en garante des prêts accordés ans que d autres types d ABS (asset-backed securtes), dont des ttres garants par des prêts aux PME. Cependant, les décotes applquées aux ttres adossés à des actfs et aux nstruments non négocables restent relatvement élevées. Les exgences relatves au collatéral (types de ttres apportés en garante et réducton des décotes) dovent encore être assouples pour aboutr à une nouvelle basse des coûts de fnancement. La crse a séreusement endommagé les canaux de transmsson de la poltque monétare. Les tensons sur le marché monétare et sur celu de la dette souverane ont pénalsé le secteur bancare, prncpale source de fnancement externe des SNF, et ce, à pluseurs nveaux. Le dysfonctonnement de ces marchés a empêché la répercusson de l évoluton des taux drecteurs sur les taux bancares. La BCE a déjà beaucoup fat pour rétablr le bon fonctonnement des marchés fnancers. Cependant, malgré l apasement notable des tensons depus l annonce du programme OMT à la fn de l été, les condtons sont lon d être revenues à la normale. La contracton du crédt se poursut et les marchés sont très fragmentés. Les autortés poltques se dovent d engager des actons vsant à stmuler la demande et à supprmer les contrantes qu pèsent sur l offre de crédt. Encore faut-l que de nouvelles mesures soent prses en faveur d une plus grande ntégraton de l Unon européenne. Les autortés de l UE ont posé les premers jalons de l unon bancare mas on gnore encore à quel moment celle-c sera plenement opératonnelle. Des progrès ont été accompls vers la créaton d une Autorté de supervson unque tands que la mse en place d un Mécansme de résoluton unque est plus ncertane. Ils consttuent néanmons les deux faces d une même monnae (Mersch, ). L autorté de supervson, à savor la BCE, sera chargée d dentfer les banques devant être recaptalsées. Cependant, l opnon du supervseur sur la vablté d une banque ne peut être totalement objectve s l n exste pas de procédures clares concernant le tratement réservé aux établssements qu ne sont plus solvables. Un mouvement désordonné de Jun Conjoncture

11 fermeture des banques peut déclencher un phénomène de contagon et consttuer une menace pour la stablté fnancère. Seule la créaton d une unon bancare approprée peut renforcer la confance dans le secteur bancare, permettre la recaptalsaton des banques en dffculté, promouvor la créaton d un fonds de garante des dépôts pour évter des retrats massfs en cas de dffculté et rompre défntvement le len entre dette bancare et dette souverane. Un tel cadre permettrat de reméder dans une large mesure aux dysfonctonnements du marché et de renforcer la capacté des banques à absorber les rsques. Autre avantage : avec la mse en place d un tel dspostf, la BCE aurat mons beson d adopter d autres mesures non conventonnelles à un moment où elle semble rétcente à s engager dans un nouveau type de poltque, quel qu l sot. Bblographe Cccarell M., M. A. P. J.-L.,. Trustng the bankers: a new look at the credt channel of monetary polcy. Documents de traval de la BCE, n 8 BCE, 9. Monetary polcy and loan supply n the Euro Area. Bulletn mensuel de la BCE, Octobre BCE, 9. Recent developments n the retal bank nterest rate pass-through n the Euro Area. Bulletn mensuel de la BCE, Août Favero, C.,. Appled Macroeconometrcs. Oxford: Oxford Unversty Press. FMI,. Euro Area: A bank Credt Crunch? Rapport par pays du FMI n /, Jullet Mersch, Y.,. Europe's lls cannot be healed only by monetary nnovaton. Fnancal Tmes, avrl, p. Achevé de rédger le ma clemente.deluca@bnpparbas.com NOTE On ths pont see: p p p Jun Conjoncture

12 DIRECTION DES ETUDES ECONOMIQUES ECONOMIES OCDE Phlppe d ARVISENET +.() phlppe.darvsenet@bnpparbas.com Chef Economste Jean-Luc PROUTAT +.().8... jean-luc.proutat@bnpparbas.com Responsable Alexandra ESTIOT +.() alexandra.estot@bnpparbas.com Adjonte - Mondalsaton - Etats-Uns, Canada Hélène BAUDCHON +.().8... helene.baudchon@bnpparbas.com France, Belgque, Luxembourg Frédérque CERISIER +.()...9. frederque.cerser@bnpparbas.com Fnances publques, nsttutons européennes Clemente De LUCIA +.() clemente.deluca@bnpparbas.com Zone euro, Itale Questons monétares, modélsaton Thbault MERCIER +.()...9 thbault.mercer@bnpparbas.com Espagne, Portugal, Grèce, Irlande Carolne NEWHOUSE +.()...9. carolne.newhouse@bnpparbas.com Allemagne, Autrche - Supervson des publcatons Catherne STEPHAN +.()...89 catherne.stephan@bnpparbas.com Royaume-Un, Susse, Pays nordques Marché du traval Raymond VAN DER PUTTEN +.() raymond.vanderputten@bnpparbas.com Japon, Australe, Pays-Bas - Envronnement -Retrate Tark RHARRAB +.()...9. tark.rharrab@bnpparbas.com Statstques ECONOMIE BANCAIRE Laurent QUIGNON +.() laurent.qugnon@bnpparbas.com Responsable Jule ENJALBERT +.()...9. jule.enjalbert@bnpparbas.com Ekaterna MOLODOVA +.()...9. ekaterna.molodova@bnpparbas.com Laurent NAHMIAS +.() laurent.nahmas@bnpparbas.com ECONOMIES EMERGENTES ET RISQUE PAYS Franços FAURE +.() francos.faure@bnpparbas.com Responsable Chrstne PELTIER +.() chrstne.pelter@bnpparbas.com Adjonte - Méthodologe, Chne, Vetnam Stéphane ALBY +.() stephane.alby@bnpparbas.com Afrque francophone Sylvan BELLEFONTAINE +.() sylvan.bellefontane@bnpparbas.com Amérque latne, Turque - Méthodologe Sara CONFALONIERI +.() sara.confaloner@bnpparbas.com Amérque Latne Pascal DEVAUX +.()...9. pascal.devaux@bnpparbas.com Moyen-Orent - Scorng Anna DORBEC +.() anna.dorbec@bnpparbas.com Russe et autres pays de la CEI Hélène DROUOT +.() helene.drouot@bnpparbas.com Ase Jean-Loïc GUIEZE +.() jeanloc.gueze@bnpparbas.com Afrque anglophone et lusophone Johanna MELKA +.() johanna.melka@bnpparbas.com Ase - Flux de captaux Alexandre VINCENT +.()...9. alexandre.vncent@bnpparbas.com Europe centrale et orentale Mchel BERNARDINI +.() mchel.bernardn@bnpparbas.com Contact Méda economc-research.bnpparbas.com

13 NOS PUBLICATIONS CONJONCTURE Analyse approfonde de sujets structurels ou d actualté ECO EMERGING Analyses et prévsons sur une sélecton d'économes émergentes. PERSPECTIVES Analyses et prévsons des prncpaux pays, développés et émergents ECOWEEK L actualté économque de la semane et plus ECOFLASH Un ndcateur, un évènement économque majeur. Le détal ECOTV Tous les mos, nos économstes décryptent l actualté économque, en mages ECOTV WEEK Quel est l évènement de la semane? La réponse dans vos deux mnutes d économe Pour recevor drectement nos publcatons, vous pouvez vous abonner sur notre ste ou télécharger notre applcaton pour tablettes Pad et Androïd EcoNews Les nformatons et opnons exprmées dans ce document ont été obtenues de, ou sont fondées sur des sources d nformaton publques réputées fables, mas BNP Parbas ne garantt, expressément ou mplctement, n leur exacttude, n leur exhaustvté, n leur mse à jour. Ce document ne consttue n une offre, n une sollctaton d achat ou de vente de ttres ou autres placements. Les nformatons et opnons contenues dans ce document sont publées en vue d ader les nvestsseurs, mas ne font pas autorté en la matère et ne sauraent dspenser l nvestsseur d exercer son propre jugement ; elles sont, par alleurs, susceptbles d être modfées à tout moment sans notfcaton et ne sauraent servr de seul support à une évaluaton des nstruments mentonnés dans le présent document. Toute référence à une performance réalsée dans le passé ne consttue pas une ndcaton d une performance future. Dans toute la mesure permse par la lo, aucune socété du Groupe BNP Parbas n accepte d être tenue pour responsable (y comprs en rason d un comportement néglgent) au ttre de pertes drectes ou découlant ndrectement d une utlsaton des nformatons contenues dans ce document ou d une confance accordée à ces nformatons. Toutes les estmatons et opnons contenues dans ce document reflètent notre jugement à la date de publcaton des présentes. Sauf ndcaton contrare dans le présent document, l n est pas prévu de le mettre à jour. BNP Parbas SA et l ensemble des enttés jurdques, flales ou succursales (ensemble désgnées c-après «BNP Parbas»), sont susceptbles d agr comme teneur de marché, d agent ou encore, à ttre prncpal, d ntervenr pour acheter ou vendre des ttres éms par les émetteurs mentonnés dans ce document, ou des dérvés y afférents. BNP Parbas est susceptble, notamment, de détenr une partcpaton au captal des émetteurs ou personnes mentonnés dans ce document, de se trouver en poston d acheteur ou vendeur de ttres ou de contrats à terme, d optons ou de tous autres nstruments dérvés reposant sur l un de ces sous-jacents. Les cours, rendements et autres données smlares du présent document y fgurent au ttre d nformaton. De nombreux facteurs agssent sur les prx de marché, et l n exste aucune certtude que les transactons peuvent être réalsées à ces prx. BNP Parbas, ses drgeants et employés peuvent exercer ou avor exercé des fonctons d employé ou drgeant auprès de toute personne mentonnée dans ce document, ou ont pu ntervenr en qualté de consel auprès de cette (ces) personne(s). BNP Parbas est susceptble de sollcter, d exécuter ou d avor dans le passé fourn des servces de consel en nvestssement, de souscrpton ou tous autres servces au proft de la personne mentonnée aux présentes au cours des douze derners mos précédant la publcaton de ce document. BNP Parbas peut être parte à un contrat avec toute personne ayant un rapport avec la producton du présent document. BNP Parbas est susceptble, dans les lmtes autorsées par la lo en vgueur, d avor ag sur la fo de, ou d avor utlsé les nformatons contenues dans les présentes, ou les travaux de recherche ou d analyses sur le fondement desquels elles sont communquées, et ce préalablement à la publcaton de ce document. BNP Parbas est susceptble d obtenr une rémunératon ou de chercher à être rémunéré au ttre de servces d nvestssement fourns à l une quelconque des personnes mentonnées dans ce document dans les tros mos suvant sa publcaton. Toute personne mentonnée aux présentes est susceptble d avor reçu des extrats du présent document préalablement à sa publcaton afn de vérfer l exacttude des fats sur le fondement desquelles l a été élaboré. BNP Parbas est en France consttuée en socété anonyme. Son sège est stué au boulevard des Italens, 9 Pars. Ce document est élaboré par une socété du Groupe BNP Parbas. Il est conçu à l ntenton exclusve des destnatares qu en sont bénéfcares et ne saurat en aucune façon être reprodut (en tout ou parte) ou même transms à toute autre personne ou entté sans le consentement préalable écrt de BNP Parbas. En recevant ce document, vous acceptez d être engagé par les termes des restrctons c-dessus. Pour certans pays de l Espace économque européen : Le présent document n est destné qu à une clentèle d nvestsseurs professonnels. Il n est pas destné à des clents relevant de la geston prvée et ne dot pas leur être communqué. Le présent document a été approuvé en vue de sa publcaton au Royaume-Un par BNP Parbas Succursale de Londres. BNP Parbas Succursale de Londres est autorsée et supervsée par l Autorté de Contrôle Prudentel et autorsée et soumse à une réglementaton lmtée par la Fnancal Servces Authorty. Nous pouvons fournr sur demande les détals de l autorsaton et de la réglementaton par la Fnancal Servces Authorty. Le présent document a été approuvé pour publcaton en France par BNP Parbas SA, consttuée en France en socété anonyme et autorsée par l Autorté de Contrôle Prudentel (ACP) et réglementée par l Autorté des Marchés Fnancers (AMF). Le sège socal de BNP Parbas est stué au, boulevard des Italens, 9, Pars, France. Le présent document est dstrbué en Allemagne par BNP Parbas Succursale de Londres ou par BNP Parbas Nederlassung Francfort sur le Man, une succursale de BNP Parbas S.A. dont le sège est stué à Pars, France. BNP Parbas S.A Nederlassung Francfort sur le Man, Europa Allee, Francfort, est autorsée et supervsée par l Autorté de Contrôle Prudentel et est autorsée et soumse à une réglementaton lmtée par le Bundesanstalt für Fnanzdenstlestungsaufscht (BaFn). Etats-Uns : le présent document est dstrbué aux nvestsseurs amércans par BNP Parbas Securtes Corp., ou par une succursale ou une flale de BNP Parbas ne bénéfcant pas du statut de broker-dealer au sens de la réglementaton amércane, à des nvestsseurs nsttutonnels amércans de premer rang unquement. BNP Parbas Securtes Corp., flale de BNP Parbas, est un broker-dealer enregstré auprès de la Securtes and Exchange Commsson et est membre de la Fnancal Industry Regulatory Authorty et d autres Bourses prncpales. BNP Parbas Securtes Corp. n accepte la responsablté du contenu d un document préparé par une entté non amércane du groupe BNP Parbas que lorsqu l a été dstrbué à des nvestsseurs amércans par BNP Parbas Securtes Corp. Japon : le présent document est dstrbué à des entreprses basées au Japon par BNP Parbas Securtes (Japan) Lmted, ou par une succursale ou une entté du groupe BNP Parbas qu n est pas enregstrée comme une mason de ttres au Japon, à certanes nsttutons fnancères défnes par l artcle - alnéa du décret d applcaton de la Lo japonase sur les nstruments et marchés fnancers. BNP Parbas Securtes (Japan) Lmted, est une mason de ttres enregstrée conformément à la Lo japonase sur les nstruments et marchés fnancers et est membre de la Japan Securtes Dealers Assocaton ans que de la Fnancal Futures Assocaton du Japon. BNP Parbas Securtes (Japan) Lmted, Succursale de Tokyo, n accepte la responsablté du contenu du document préparé par une entté non japonase membre du groupe BNP Parbas que lorsqu l fat l objet d une dstrbuton par BNP Parbas Securtes (Japan) Lmted à des entreprses basées au Japon. Certans des ttres étrangers mentonnés dans le présent document ne sont pas dvulgués au sens de la Lo japonase sur les nstruments et marchés fnancers. Hong-Kong : le présent document est dstrbué à Hong Kong par BNP Parbas Hong Kong Branch, flale de BNP Parbas dont le sège socal est stué à Pars, France. BNP Parbas Hong Kong Branch exerce sous lcence bancare octroyée en vertu de la Bankng Ordnance et est réglementée par l Autorté Monétare de Hong Kong. BNP Parbas Hong Kong Branch est auss une nsttuton agréée réglementée par la Securtes and Futures Commsson pour l exercce des actvtés réglementées de types, et [Regulated Actvty Types, et ] en vertu de la Securtes and Futures Ordnance. Les nformatons contenues dans le présent document peuvent, en tout ou parte, avor déjà été publées sur le ste BNP Parbas (). Tous drots réservés. Bulletn édté par les Etudes Economques BNP PARIBAS Sège socal : boulevard des Italens 9 PARIS Tél : + () Internet : Drecteur de la publcaton : Baudoun Prot Imprmeur : Atelers J. Hver SA Dépôt légal : Jun ISSN 8-9 Copyrght BNP Parbas economc-research.bnpparbas.com

Calculer le coût amorti d une obligation sur chaque exercice et présenter les écritures dans les comptes individuels de la société Plumeria.

Calculer le coût amorti d une obligation sur chaque exercice et présenter les écritures dans les comptes individuels de la société Plumeria. 1 CAS nédt d applcaton sur les normes IAS/IFRS Coût amort sur oblgatons à taux varable ou révsable La socété Plumera présente ses comptes annuels dans le référentel IFRS. Elle détent dans son portefeulle

Plus en détail

Dirigeant de SAS : Laisser le choix du statut social

Dirigeant de SAS : Laisser le choix du statut social Drgeant de SAS : Lasser le chox du statut socal Résumé de notre proposton : Ouvrr le chox du statut socal du drgeant de SAS avec 2 solutons possbles : apprécer la stuaton socale des drgeants de SAS comme

Plus en détail

Contrats prévoyance des TNS : Clarifier les règles pour sécuriser les prestations

Contrats prévoyance des TNS : Clarifier les règles pour sécuriser les prestations Contrats prévoyance des TNS : Clarfer les règles pour sécurser les prestatons Résumé de notre proposton : A - Amélorer l nformaton des souscrpteurs B Prévor plus de souplesse dans l apprécaton des revenus

Plus en détail

Les jeunes économistes

Les jeunes économistes Chaptre1 : les ntérêts smples 1. défnton et calcul pratque : Défnton : Dans le cas de l ntérêt smple, le captal reste nvarable pendant toute la durée du prêt. L emprunteur dot verser, à la fn de chaque

Plus en détail

Plan. Gestion des stocks. Les opérations de gestions des stocks. Les opérations de gestions des stocks

Plan. Gestion des stocks. Les opérations de gestions des stocks. Les opérations de gestions des stocks Plan Geston des stocks Abdellah El Fallah Ensa de Tétouan 2011 Les opératons de gestons des stocks Les coûts assocés à la geston des stocks Le rôle des stocks Modèle de la quantté économque Geston calendare

Plus en détail

LE RÉGIME DE RETRAITE DU PERSONNEL CANADIEN DE LA CANADA-VIE (le «régime») INFORMATION IMPORTANTE CONCERNANT LE RECOURS COLLECTIF

LE RÉGIME DE RETRAITE DU PERSONNEL CANADIEN DE LA CANADA-VIE (le «régime») INFORMATION IMPORTANTE CONCERNANT LE RECOURS COLLECTIF 1 LE RÉGIME DE RETRAITE DU PERSONNEL CANADIEN DE LA CANADA-VIE (le «régme») INFORMATION IMPORTANTE CONCERNANT LE RECOURS COLLECTIF AVIS AUX RETRAITÉS ET AUX PARTICIPANTS AVEC DROITS ACQUIS DIFFÉRÉS Expédteurs

Plus en détail

EURIsCO. Cahiers de recherche. Cahier n 2008-05. L épargne des ménages au Maroc : Une analyse macroéconomique et microéconomique.

EURIsCO. Cahiers de recherche. Cahier n 2008-05. L épargne des ménages au Maroc : Une analyse macroéconomique et microéconomique. Cahers de recherche EURIsCO Caher n 2008-05 L épargne des ménages au Maroc : Une analyse macroéconomque et mcroéconomque Rapport d étude Najat El Mekkaou de Fretas (coordnateur) Eursco Unversté Pars Dauphne

Plus en détail

EH SmartView. Identifiez vos risques et vos opportunités. www.eulerhermes.be. Pilotez votre assurance-crédit. Services en ligne Euler Hermes

EH SmartView. Identifiez vos risques et vos opportunités. www.eulerhermes.be. Pilotez votre assurance-crédit. Services en ligne Euler Hermes EH SmartVew Servces en lgne Euler Hermes Identfez vos rsques et vos opportuntés Plotez votre assurance-crédt www.eulerhermes.be Les avantages d EH SmartVew L expertse Euler Hermes présentée de manère clare

Plus en détail

Remboursement d un emprunt par annuités constantes

Remboursement d un emprunt par annuités constantes Sére STG Journées de formaton Janver 2006 Remboursement d un emprunt par annutés constantes Le prncpe Utlsaton du tableur Un emprunteur s adresse à un prêteur pour obtenr une somme d argent (la dette)

Plus en détail

CREATION DE VALEUR EN ASSURANCE NON VIE : COMMENT FRANCHIR UNE NOUVELLE ETAPE?

CREATION DE VALEUR EN ASSURANCE NON VIE : COMMENT FRANCHIR UNE NOUVELLE ETAPE? CREATION DE VALEUR EN ASSURANCE NON VIE : COMMENT FRANCHIR UNE NOUVELLE ETAPE? Boulanger Frédérc Avanssur, Groupe AXA 163-167, Avenue Georges Clémenceau 92742 Nanterre Cedex France Tel: +33 1 46 14 43

Plus en détail

Impôt sur la fortune et investissement dans les PME Professeur Didier MAILLARD

Impôt sur la fortune et investissement dans les PME Professeur Didier MAILLARD Conservatore atonal des Arts et Méters Chare de BAQUE Document de recherche n 9 Impôt sur la fortune et nvestssement dans les PME Professeur Dder MAILLARD Avertssement ovembre 2007 La chare de Banque du

Plus en détail

Le Prêt Efficience Fioul

Le Prêt Efficience Fioul Le Prêt Effcence Foul EMPRUNTEUR M. Mme CO-EMPRUNTEUR M. Mlle Mme Mlle (CONJOINT, PACSÉ, CONCUBIN ) Départ. de nass. Nature de la pèce d dentté : Natonalté : CNI Passeport Ttre de séjour N : Salaré Stuaton

Plus en détail

Les prix quotidiens de clôture des échanges de quotas EUA et de crédits CER sont fournis par ICE Futures Europe

Les prix quotidiens de clôture des échanges de quotas EUA et de crédits CER sont fournis par ICE Futures Europe Méthodologe CDC Clmat Recherche puble chaque mos, en collaboraton avec Clmpact Metnext, Tendances Carbone, le bulletn mensuel d nformaton sur le marché européen du carbone (EU ETS). L obectf de cette publcaton

Plus en détail

Étranglement du crédit, prêts bancaires et politique monétaire : un modèle d intermédiation financière à projets hétérogènes

Étranglement du crédit, prêts bancaires et politique monétaire : un modèle d intermédiation financière à projets hétérogènes Étranglement du crédt, prêts bancares et poltque monétare : un modèle d ntermédaton fnancère à projets hétérogènes Mngwe Yuan et Chrstan Zmmermann Introducton et objet de l étude Par étranglement du crédt

Plus en détail

Assurance maladie et aléa de moralité ex-ante : L incidence de l hétérogénéité de la perte sanitaire

Assurance maladie et aléa de moralité ex-ante : L incidence de l hétérogénéité de la perte sanitaire Assurance malade et aléa de moralté ex-ante : L ncdence de l hétérogénété de la perte santare Davd Alary 1 et Franck Ben 2 Cet artcle examne l ncdence de l hétérogénété de la perte santare sur les contrats

Plus en détail

1 Introduction. 2 Définitions des sources de tension et de courant : Cours. Date : A2 Analyser le système Conversion statique de l énergie. 2 h.

1 Introduction. 2 Définitions des sources de tension et de courant : Cours. Date : A2 Analyser le système Conversion statique de l énergie. 2 h. A2 Analyser le système Converson statque de l énerge Date : Nom : Cours 2 h 1 Introducton Un ConVertsseur Statque d énerge (CVS) est un montage utlsant des nterrupteurs à semconducteurs permettant par

Plus en détail

ACTE DE PRÊT HYPOTHÉCAIRE

ACTE DE PRÊT HYPOTHÉCAIRE - 1 - ACTE DE PRÊT HYPOTHÉCAIRE 5453F QC FR-2010/01 Taux fxe Le. Devant M e, notare soussgné pour la provnce de Québec, exerçant à. ONT COMPARU : ET : (C-après parfos appelé dans le présent Acte l «emprunteur»

Plus en détail

Table des Matières RÉSUMÉ ANALYTIQUE... 1 I. CONTEXTE... 2 1. La dette publique du Gouvernement... 2 2. Contexte institutionnel de gestion de la

Table des Matières RÉSUMÉ ANALYTIQUE... 1 I. CONTEXTE... 2 1. La dette publique du Gouvernement... 2 2. Contexte institutionnel de gestion de la Out ld éval uat on del aper f or manceen mat èr e degest on del adet t e (empa) Maur t an a Mar s2011 LeeMPA estunemét hodol og epouréval uerl aper f or manceenmat èr edegest on del adet t eàt r aver sunensembl

Plus en détail

DES EFFETS PERVERS DU MORCELLEMENT DES STOCKS

DES EFFETS PERVERS DU MORCELLEMENT DES STOCKS DES EFFETS PERVERS DU MORCELLEMENT DES STOCKS Le cabnet Enetek nous démontre les mpacts négatfs de la multplcaton des stocks qu au leu d amélorer le taux de servce en se rapprochant du clent, le dégradent

Plus en détail

Afflux de capitaux, taux de change réel et développement financier : évidence empirique pour les pays du Maghreb

Afflux de capitaux, taux de change réel et développement financier : évidence empirique pour les pays du Maghreb Global Journal of Management and Busness Research Volume Issue Verson.0 November 20 Type: Double Blnd Peer Revewed Internatonal Research Journal Publsher: Global Journals Inc. (USA) Onlne ISSN: 2249-4588

Plus en détail

Parlons. retraite. au service du «bien vieillir» L Assurance retraite. en chiffres* 639 192 retraités payés pour un montant de 4,2 milliards d euros

Parlons. retraite. au service du «bien vieillir» L Assurance retraite. en chiffres* 639 192 retraités payés pour un montant de 4,2 milliards d euros Édton Pays de la Lore Parlons La lettre aux retratés du régme général de la Sécurté socale 2012 retrate L Assurance retrate en chffres* 12,88 mllons de retratés 17,58 mllons de cotsants 346 000 bénéfcares

Plus en détail

IDEI Report # 18. Transport. December 2010. Elasticités de la demande de transport ferroviaire: définitions et mesures

IDEI Report # 18. Transport. December 2010. Elasticités de la demande de transport ferroviaire: définitions et mesures IDEI Report # 18 Transport December 2010 Elastctés de la demande de transport ferrovare: défntons et mesures Elastctés de la demande de transport ferrovare : Défntons et mesures Marc Ivald Toulouse School

Plus en détail

Des solutions globales fi ables et innovantes. www.calyon.com

Des solutions globales fi ables et innovantes. www.calyon.com Des solutons globales f ables et nnovantes www.calyon.com OPTIM Internet: un outl smple et performant Suv de vos comptes Tratement de vos opératons bancares Accès à un servce de reportng complet Une nterface

Plus en détail

Editions ENI. Project 2010. Collection Référence Bureautique. Extrait

Editions ENI. Project 2010. Collection Référence Bureautique. Extrait Edtons ENI Project 2010 Collecton Référence Bureautque Extrat Défnton des tâches Défnton des tâches Project 2010 Sasr les tâches d'un projet Les tâches représentent le traval à accomplr pour attendre l'objectf

Plus en détail

MÉTHODES DE SONDAGES UTILISÉES DANS LES PROGRAMMES D ÉVALUATIONS DES ÉLÈVES

MÉTHODES DE SONDAGES UTILISÉES DANS LES PROGRAMMES D ÉVALUATIONS DES ÉLÈVES MÉTHODES DE SONDAGES UTILISÉES DANS LES PROGRAMMES D ÉVALUATIONS DES ÉLÈVES Émle Garca, Maron Le Cam et Therry Rocher MENESR-DEPP, bureau de l évaluaton des élèves Cet artcle porte sur les méthodes de

Plus en détail

RÉSUMÉ ANALYTIQUE... 1

RÉSUMÉ ANALYTIQUE... 1 Out ld éval uat on del aper f or manceen mat èr e degest on del adet t e (DeMPA) Républ quedu Sénégal Ma2010 LeDeMPA estunemét hodol og epouréval uerl aper f or manceenmat èr edegest on del adet t eàt

Plus en détail

INTERNET. Initiation à

INTERNET. Initiation à Intaton à INTERNET Surfez sur Internet Envoyez des messages Téléchargez Dscutez avec Skype Découvrez Facebook Regardez des vdéos Protégez votre ordnateur Myram GRIS Table des matères Internet Introducton

Plus en détail

UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL L ASSURANCE AUTOMOBILE AU QUÉBEC : UNE PRIME SELON LE COÛT SOCIAL MARGINAL MÉMOIRE PRÉSENTÉ COMME EXIGENCE PARTIELLE

UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL L ASSURANCE AUTOMOBILE AU QUÉBEC : UNE PRIME SELON LE COÛT SOCIAL MARGINAL MÉMOIRE PRÉSENTÉ COMME EXIGENCE PARTIELLE UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL L ASSURANCE AUTOMOBILE AU QUÉBEC : UNE PRIME SELON LE COÛT SOCIAL MARGINAL MÉMOIRE PRÉSENTÉ COMME EXIGENCE PARTIELLE DE LA MAÎTRISE EN ÉCONOMIQUE PAR ERIC LÉVESQUE JANVIER

Plus en détail

MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES

MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES Un Peuple - Un But Une Fo MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES DIRECTION DE LA PREVISION ET DES ETUDES ECONOMIQUES Document de traval N 03 GESTION DU RISQUE DE CREDIT ET FINANCEMENT DES ECONOMIES DE

Plus en détail

BTS GPN 2EME ANNEE-MATHEMATIQUES-MATHS FINANCIERES MATHEMATIQUES FINANCIERES

BTS GPN 2EME ANNEE-MATHEMATIQUES-MATHS FINANCIERES MATHEMATIQUES FINANCIERES MATHEMATIQUES FINANCIERES I. Concepts généraux. Le référentel précse : Cette parte du module M4 «Acquérr des outls mathématques de base nécessares à l'analyse de données économques» est en relaton avec

Plus en détail

Chapitre 3 : Incertitudes CHAPITRE 3 INCERTITUDES. Lignes directrices 2006 du GIEC pour les inventaires nationaux de gaz à effet de serre 3.

Chapitre 3 : Incertitudes CHAPITRE 3 INCERTITUDES. Lignes directrices 2006 du GIEC pour les inventaires nationaux de gaz à effet de serre 3. Chaptre 3 : Incerttudes CHAPITRE 3 INCERTITUDES Lgnes drectrces 2006 du GIEC pour les nventares natonaux de gaz à effet de serre 3.1 Volume 1 : Orentatons générales et établssement des rapports Auteurs

Plus en détail

VIELLE Marc. CEA-IDEI Janvier 1998. 1 La nomenclature retenue 3. 2 Vue d ensemble du modèle 4

VIELLE Marc. CEA-IDEI Janvier 1998. 1 La nomenclature retenue 3. 2 Vue d ensemble du modèle 4 GEMINI-E3 XL France Un outl destné à l étude des mpacts ndustrels de poltques énergétques et envronnementales VIELLE Marc CEA-IDEI Janver 1998 I LA STRUCTURE DU MODELE GEMINI-E3 XL FRANCE 3 1 La nomenclature

Plus en détail

I. Présentation générale des méthodes d estimation des projets de type «unité industrielle»

I. Présentation générale des méthodes d estimation des projets de type «unité industrielle» Evaluaton des projets et estmaton des coûts Le budget d un projet est un élément mportant dans l étude d un projet pusque les résultats économques auront un mpact sur la réalsaton ou non et sur la concepton

Plus en détail

Intégration financière et croissance économique : évidence empirique dans. la région MENA

Intégration financière et croissance économique : évidence empirique dans. la région MENA Décembre 2011 Volume 6, No.2 (pp. 115-131) Zouher Abda Revue Congolase d Econome Intégraton fnancère et crossance économque : évdence emprque dans la régon MENA Zouher ABIDA * Résumé: L objectf de cet

Plus en détail

Page 5 TABLE DES MATIÈRES

Page 5 TABLE DES MATIÈRES Page 5 TABLE DES MATIÈRES CHAPITRE I LES POURCENTAGES 1. LES OBJECTIFS 12 2. LES DÉFINITIONS 14 1. La varaton absolue d'une grandeur 2. La varaton moyenne d'une grandeur (par unté de temps) 3. Le coeffcent

Plus en détail

Exercices d Électrocinétique

Exercices d Électrocinétique ercces d Électrocnétque Intensté et densté de courant -1.1 Vtesse des porteurs de charges : On dssout une masse m = 20g de chlorure de sodum NaCl dans un bac électrolytque de longueur l = 20cm et de secton

Plus en détail

Prise en compte des politiques de transport dans le choix des fournisseurs

Prise en compte des politiques de transport dans le choix des fournisseurs INSTITUT NATIONAL POLYTECHNIQUE DE GRENOBLE N attrbué par la bblothèque THÈSE Pour obtenr le grade de DOCTEUR DE L I.N.P.G. Spécalté : Géne Industrel Préparée au Laboratore d Automatque de Grenoble Dans

Plus en détail

TABLE DES MATIERES CONTROLE D INTEGRITE AU SEIN DE LA RECHERCHE LOCALE DE LA POLICE LOCALE DE BRUXELLES-CAPITALE/IXELLES (DEUXIEME DISTRICT) 1

TABLE DES MATIERES CONTROLE D INTEGRITE AU SEIN DE LA RECHERCHE LOCALE DE LA POLICE LOCALE DE BRUXELLES-CAPITALE/IXELLES (DEUXIEME DISTRICT) 1 TABLE DES MATIERES CONTROLE D INTEGRITE AU SEIN DE LA RECHERCHE LOCALE DE LA POLICE LOCALE DE BRUXELLES-CAPITALE/IXELLES (DEUXIEME DISTRICT) 1 1. PROBLEMATIQUE 1 2. MISSION 1 3. ACTES D ENQUETE 2 4. ANALYSE

Plus en détail

Faire des régimes TNS les laboratoires de la protection sociale de demain appelle des évolutions à deux niveaux :

Faire des régimes TNS les laboratoires de la protection sociale de demain appelle des évolutions à deux niveaux : Réformer en profondeur la protecton socale des TNS pour la rendre plus effcace Résumé de notre proposton : Fare des régmes TNS les laboratores de la protecton socale de deman appelle des évolutons à deux

Plus en détail

Pour plus d'informations, veuillez nous contacter au 04.75.05.52.62. ou à contact@arclim.fr.

Pour plus d'informations, veuillez nous contacter au 04.75.05.52.62. ou à contact@arclim.fr. Régulaton Sondes & Capteurs Détente frgo électronque Supervson & GTC Humdfcaton & Déshu. Vannes & Servomoteurs Comptage eau, elec., énerge Ancens artcles Cette documentaton provent du ste www.arclm.eu

Plus en détail

TD 1. Statistiques à une variable.

TD 1. Statistiques à une variable. Danel Abécasss. Année unverstare 2010/2011 Prépa-L1 TD de bostatstques. Exercce 1. On consdère la sére suvante : TD 1. Statstques à une varable. 1. Calculer la moyenne et l écart type. 2. Calculer la médane

Plus en détail

santé Les arrêts de travail des séniors en emploi

santé Les arrêts de travail des séniors en emploi soldarté et DOSSIERS Les arrêts de traval des sénors en emplo N 2 2007 Les sénors en emplo se dstnguent-ls de leurs cadets en termes de recours aux arrêts de traval? Les sénors ne déclarent pas plus d

Plus en détail

En vue de l'obtention du. Présentée et soutenue par Meva DODO Le 06 novembre 2008

En vue de l'obtention du. Présentée et soutenue par Meva DODO Le 06 novembre 2008 THÈSE En vue de l'obtenton du DOCTORAT DE L UNIVERSITÉ DE TOULOUSE Délvré par l'unversté Toulouse III - Paul Sabater Spécalté : Informatque Présentée et soutenue par Meva DODO Le 06 novembre 2008 Ttre

Plus en détail

Les déterminants de la détention et de l usage de la carte de débit : une analyse empirique sur données individuelles françaises

Les déterminants de la détention et de l usage de la carte de débit : une analyse empirique sur données individuelles françaises Les détermnants de la détenton et de l usage de la carte de débt : une analyse emprque sur données ndvduelles françases Davd Boune Marc Bourreau Abel Franços Jun 2006 Département Scences Economques et

Plus en détail

Les déterminants de la détention et de l usage de la carte de débit : une analyse empirique sur données individuelles françaises

Les déterminants de la détention et de l usage de la carte de débit : une analyse empirique sur données individuelles françaises Les détermnants de la détenton et de l usage de la carte de débt : une analyse emprque sur données ndvduelles françases Davd Boune a, Marc Bourreau a,b et Abel Franços a,c a Télécom ParsTech, Département

Plus en détail

Paquets. Paquets nationaux 1. Paquets internationaux 11

Paquets. Paquets nationaux 1. Paquets internationaux 11 Paquets Paquets natonaux 1 Paquets nternatonaux 11 Paquets natonaux Servces & optons 1 Créaton 3 1. Dmensons, pods & épasseurs 3 2. Présentaton des paquets 4 2.1. Face avant du paquet 4 2.2. Comment obtenr

Plus en détail

ErP : éco-conception et étiquetage énergétique. Les solutions Vaillant. Pour dépasser la performance. La satisfaction de faire le bon choix.

ErP : éco-conception et étiquetage énergétique. Les solutions Vaillant. Pour dépasser la performance. La satisfaction de faire le bon choix. ErP : éco-concepton et étquetage énergétque Les solutons Vallant Pour dépasser la performance La satsfacton de fare le bon chox. ErP : éco-concepton et étquetage énergétque Eco-concepton et Etquetage

Plus en détail

Pourquoi LICIEL? Avec LICIEL passez à la vitesse supérieure EPROUVE TECHNICITE CONNECTE STABILITE SUIVIE COMMUNAUTE

Pourquoi LICIEL? Avec LICIEL passez à la vitesse supérieure EPROUVE TECHNICITE CONNECTE STABILITE SUIVIE COMMUNAUTE L og c el s de D agnos t c s I mmob l er s Cont ac t eznous 32BddeS t r as bougcs3010875468 Par scedex10tel. 0253354064Fax0278084116 ma l : s er v c e. c l ent @l c el. f r Pourquo LICIEL? Implanté sur

Plus en détail

Système solaire combiné Estimation des besoins énergétiques

Système solaire combiné Estimation des besoins énergétiques Revue des Energes Renouvelables ICRESD-07 Tlemcen (007) 109 114 Système solare combné Estmaton des besons énergétques R. Kharch 1, B. Benyoucef et M. Belhamel 1 1 Centre de Développement des Energes Renouvelables

Plus en détail

Montage émetteur commun

Montage émetteur commun tour au menu ontage émetteur commun Polarsaton d un transstor. ôle de la polarsaton La polarsaton a pour rôle de placer le pont de fonctonnement du transstor dans une zone où ses caractérstques sont lnéares.

Plus en détail

Terminal numérique TM 13 raccordé aux installations Integral 33

Terminal numérique TM 13 raccordé aux installations Integral 33 Termnal numérque TM 13 raccordé aux nstallatons Integral 33 Notce d utlsaton Vous garderez une longueur d avance. Famlarsez--vous avec votre téléphone Remarques mportantes Chaptres à lre en prorté -- Vue

Plus en détail

Prêt de groupe et sanction sociale Group lending and social fine

Prêt de groupe et sanction sociale Group lending and social fine Prêt de roupe et sancton socale Group lendn and socal fne Davd Alary Résumé Dans cet artcle, nous présentons un modèle d antsélecton sur un marché concurrentel du crédt. Nous consdérons l ntroducton de

Plus en détail

Grandeur physique, chiffres significatifs

Grandeur physique, chiffres significatifs Grandeur physque, chffres sgnfcatfs I) Donner le résultat d une mesure en correspondance avec l nstrument utlsé : S avec un nstrument, ren n est ndqué sur l ncerttude absolue X d une mesure X, on consdère

Plus en détail

22 environnement technico-professionnel

22 environnement technico-professionnel 22 envronnement technco-professonnel CYRIL SABATIÉ Drecteur du servce jurdque FNAIM Ouverture du ma IMMOBILIER, OÙ 1 Artcle paru également dans la Revue des Loyers, jullet à septembre 2007, n 879, p. 314

Plus en détail

Mesure avec une règle

Mesure avec une règle Mesure avec une règle par Matheu ROUAUD Professeur de Scences Physques en prépa, Dplômé en Physque Théorque. Lycée Alan-Fourner 8000 Bourges ecrre@ncerttudes.fr RÉSUMÉ La mesure d'une grandeur par un système

Plus en détail

master Objectif Université d Auvergne - Université Blaise Pascal Rentrée 2014 AUVERGNE

master Objectif Université d Auvergne - Université Blaise Pascal Rentrée 2014 AUVERGNE entrée 2014 Objectf master Unversté d Auvergne - Unversté Blase ascal Certans masters sont cohabltés avec d autres établssements d ensegnement supéreur mnstère de l éducaton natonale, de l ensegnement

Plus en détail

1. Les enjeux de la prévision du risque de défaut de paiement

1. Les enjeux de la prévision du risque de défaut de paiement Scorng sur données d entreprses : nstrument de dagnostc ndvduel et outl d analyse de portefeulle d une clentèle Mrelle Bardos Ancen chef de servce de l Observatore des entreprses de la Banque de France

Plus en détail

COMPARAISON DE MÉTHODES POUR LA CORRECTION

COMPARAISON DE MÉTHODES POUR LA CORRECTION COMPARAISON DE MÉTHODES POUR LA CORRECTION DE LA NON-RÉPONSE TOTALE : MÉTHODE DES SCORES ET SEGMENTATION Émle Dequdt, Benoît Busson 2 & Ncolas Sgler 3 Insee, Drecton régonale des Pays de la Lore, Servce

Plus en détail

Fiche n 7 : Vérification du débit et de la vitesse par la méthode de traçage

Fiche n 7 : Vérification du débit et de la vitesse par la méthode de traçage Fche n 7 : Vérfcaton du débt et de la vtesse par la méthode de traçage 1. PRINCIPE La méthode de traçage permet de calculer le débt d un écoulement ndépendamment des mesurages de hauteur et de vtesse.

Plus en détail

Documents de travail. «La taxe Tobin : une synthèse des travaux basés sur la théorie des jeux et l économétrie» Auteurs

Documents de travail. «La taxe Tobin : une synthèse des travaux basés sur la théorie des jeux et l économétrie» Auteurs Documents de traval «La taxe Tobn : une synthèse des travaux basés sur la théore des jeux et l économétre» Auteurs Francs Bsmans, Olver Damette Document de Traval n 2012-09 Jullet 2012 Faculté des scences

Plus en détail

STATISTIQUE AVEC EXCEL

STATISTIQUE AVEC EXCEL STATISTIQUE AVEC EXCEL Excel offre d nnombrables possbltés de recuellr des données statstques, de les classer, de les analyser et de les représenter graphquement. Ce sont prncpalement les tros éléments

Plus en détail

Driss HARRIZI. MOTS CLES : contrôle de gestion - système d'éducation et de formation système d information - établissement public.

Driss HARRIZI. MOTS CLES : contrôle de gestion - système d'éducation et de formation système d information - établissement public. Ver sunenouvel l ecul t ur emanagér al e:mét hodol og e dem seenpl aced unsyst èmedecont r ôl edegest on dansunét abl ssementpubl c Casd uneacadém er ég onal ed éducat onetde f or mat on. Aut eur s:dr

Plus en détail

Calcul de tableaux d amortissement

Calcul de tableaux d amortissement Calcul de tableaux d amortssement 1 Tableau d amortssement Un emprunt est caractérsé par : une somme empruntée notée ; un taux annuel, en %, noté ; une pérodcté qu correspond à la fréquence de remboursement,

Plus en détail

Professionnel de santé équipé de Médiclick!

Professionnel de santé équipé de Médiclick! Professonnel de santé équpé de Médclck! Dosser Médcal Partagé en Aqutane Ce gude vous présente les prncpales fonctonnaltés réservées aux professonnels de santé membres du réseau AquDMP. Sommare Connexon

Plus en détail

Une analyse économique et expérimentale de la fraude à l assurance et de l audit

Une analyse économique et expérimentale de la fraude à l assurance et de l audit Une analyse économque et expérmentale de la fraude à l assurance et de l audt Sameh Borg To cte ths verson: Sameh Borg. Une analyse économque et expérmentale de la fraude à l assurance et de l audt. Economes

Plus en détail

GATE Groupe d Analyse et de Théorie Économique DOCUMENTS DE TRAVAIL - WORKING PAPERS W.P. 08-24. Préférences temporelles et recherche d emploi

GATE Groupe d Analyse et de Théorie Économique DOCUMENTS DE TRAVAIL - WORKING PAPERS W.P. 08-24. Préférences temporelles et recherche d emploi GATE Groupe d Analyse et de Théore Économque UMR 5824 du CNRS DOCUMENTS DE TRAVAIL - WORKING PAPERS W.P. 08-24 Préférences temporelles et recherche d emplo «Applcatons économétrques sur le panel Européen

Plus en détail

L enseignement virtuel dans une économie émergente : perception des étudiants et perspectives d avenir

L enseignement virtuel dans une économie émergente : perception des étudiants et perspectives d avenir L ensegnement vrtuel dans une économe émergente : percepton des étudants et perspectves d avenr Hatem Dellag Laboratore d Econome et de Fnances applquées Faculté des scences économques et de geston de

Plus en détail

Interface OneNote 2013

Interface OneNote 2013 Interface OneNote 2013 Interface OneNote 2013 Offce 2013 - Fonctons avancées Lancer OneNote 2013 À partr de l'nterface Wndows 8, utlsez une des méthodes suvantes : - Clquez sur la vgnette OneNote 2013

Plus en détail

La Quantification du Risque Opérationnel des Institutions Bancaires

La Quantification du Risque Opérationnel des Institutions Bancaires HEC Montréal Afflée à l Unversté de Montréal La Quantfcaton du Rsque Opératonnel des Insttutons Bancares par Hela Dahen Département Fnance Thèse présentée à la Faculté des études supéreures en vue d obtenton

Plus en détail

Créer ou reprendre une entreprise, Guide de la création et de la reprise d entreprise 1er semestre 2009

Créer ou reprendre une entreprise, Guide de la création et de la reprise d entreprise 1er semestre 2009 Créer ou reprendre une entreprse, Ou, mas comment? Gude de la créaton 1 er semestre 2009 et de la reprse d entreprse Futurs entrepreneurs, venez nous rencontrer! Chambre de Commerce et d Industre de Rennes

Plus en détail

Contact SCD Nancy 1 : theses.sciences@scd.uhp-nancy.fr

Contact SCD Nancy 1 : theses.sciences@scd.uhp-nancy.fr AVERTISSEMENT Ce document est le frut d'un long traval approuvé par le jury de soutenance et ms à dsposton de l'ensemble de la communauté unverstare élarge. Il est soums à la proprété ntellectuelle de

Plus en détail

STRATEGIE NATIONALE DES BANQUES CEREALIERES DU NIGER

STRATEGIE NATIONALE DES BANQUES CEREALIERES DU NIGER REPUBLIQUE DU NIGER MINISTERE DE L'AGRICULTURE ET DE L'ELEVAGE B-P, 12091 NIAMEY NIGER Té1 : 7320-58 Drecton de Promoton des Organsatons Rurales et de la Geston de l'espace Rural (DPOR/GER) NIAMEY Té1

Plus en détail

GUIDE D ÉLABORATION D UN PLAN D INTERVENTION POUR LE RENOUVELLEMENT DES CONDUITES D EAU POTABLE, D ÉGOUTS ET DES CHAUSSÉES

GUIDE D ÉLABORATION D UN PLAN D INTERVENTION POUR LE RENOUVELLEMENT DES CONDUITES D EAU POTABLE, D ÉGOUTS ET DES CHAUSSÉES GUIDE D ÉLABORATION D UN PLAN D INTERVENTION POUR LE RENOUVELLEMENT DES CONDUITES D EAU POTABLE, D ÉGOUTS ET DES CHAUSSÉES Gude destné au mleu muncpal québécos NOVEMBRE 2013 Coordnaton : Martn Cormer,

Plus en détail

OPTIMALITÉ DU MÉCANISME DE RATIONNEMENT DE CRÉDIT DANS LE MODÈLE ISLAMIQUE DE FINANCEMENT

OPTIMALITÉ DU MÉCANISME DE RATIONNEMENT DE CRÉDIT DANS LE MODÈLE ISLAMIQUE DE FINANCEMENT Etudes en Econoe Islaque, Vol. 6, Nos. & (-7) Mouharra, Raab 434H (Novebre 0, Ma 03) OPTIMALITÉ DU MÉCANISME DE RATIONNEMENT DE CRÉDIT DANS LE MODÈLE ISLAMIQUE DE FINANCEMENT ALIM BELEK Résué Le ratonneent

Plus en détail

P R I S E E N M A I N R A P I D E O L I V E 4 H D

P R I S E E N M A I N R A P I D E O L I V E 4 H D P R I S E E N M A I N R A P I D E O L I V E 4 H D Sommare 1 2 2.1 2.2 2.3 3 3.1 3.2 3.3 4 4.1 4.2 4.3 4.4 4.5 4.6 5 6 7 7.1 7.2 7.3 8 8.1 8.2 8.3 8.4 8.5 8.6 Contenu du carton... 4 Paramétrage... 4 Connexon

Plus en détail

Integral T 3 Compact. raccordé aux installations Integral 5. Notice d utilisation

Integral T 3 Compact. raccordé aux installations Integral 5. Notice d utilisation Integral T 3 Compact raccordé aux nstallatons Integral 5 Notce d utlsaton Remarques mportantes Remarques mportantes A quelle nstallaton pouvez-vous connecter votre téléphone Ce téléphone est conçu unquement

Plus en détail

Captez les profits de la publicité sur mobile avec ces 2 valeurs. Évaluez votre couverture contre le risque dollar. Les Lettons élisent l austérité

Captez les profits de la publicité sur mobile avec ces 2 valeurs. Évaluez votre couverture contre le risque dollar. Les Lettons élisent l austérité DU 11 AU 17 NOVEMBRE 2010 NO 106 l 3 www.moneyweek.fr Captez les profts de la publcté sur moble avec ces 2 valeurs Évaluez votre couverture contre le rsque dollar Les Lettons élsent l austérté Hértage

Plus en détail

CATALOGUE EXCLUSIF TOUCH MEDIA CATALOGUE DE SITES FORMATS GLOSSAIRE. Notre sélection de supports en représentation exclusive au Maroc

CATALOGUE EXCLUSIF TOUCH MEDIA CATALOGUE DE SITES FORMATS GLOSSAIRE. Notre sélection de supports en représentation exclusive au Maroc CATALOGUE EXCLUSIF Notre sélecton de supports en représentaton exclusve au Maroc CATALOGUE DE SITES FORMATS A PROPOS DE NOUS Make ordnary, Extraordnary Phlosophe Équpe Réactvté est la rége publctare web

Plus en détail

CONDITIONS GENERALES D UTILISATION CARTAVENUE

CONDITIONS GENERALES D UTILISATION CARTAVENUE CONDITIONS GENERALES D UTILISATION CARTAVENUE 1. Autorisaton et comment nous contacter? Ces conditons (les «Conditons») régissent l utlisaton de votre carte. Une annexe consttuée de termes supplémentaires

Plus en détail

Méthodologie version 1, juillet 2006

Méthodologie version 1, juillet 2006 Méthodologe verson, ullet 2006 Tendances Carbone résente chaque mos sx groues d ndcateurs :. Synthèse du mos 2. Clmat 3. Actvté économque. Energe 5. Envronnement nsttutonnel 6. Tableau de bord Ce document

Plus en détail

Be inspired. Numéro Vert. Via Caracciolo 20 20155 Milano tel. +39 02 365 22 990 fax +39 02 365 22 991

Be inspired. Numéro Vert. Via Caracciolo 20 20155 Milano tel. +39 02 365 22 990 fax +39 02 365 22 991 Ggaset SX353 / französsch / A31008-X353-P100-1-7719 / cover_0_hedelberg.fm / 03.12.2003 s Be nspred www.onedrect.fr www.onedrect.es www.onedrect.t www.onedrect.pt 0 800 72 4000 902 30 32 32 02 365 22 990

Plus en détail

THESE. Khalid LEKOUCH

THESE. Khalid LEKOUCH N d ordre : /2012 THESE Présentée à la FACULTE DES SCIENCES D AGADIR En vue de l obtenton du GRADE DE DOCTEUR EN PHYSIQUE (Spécalté : Energétque, Thermque et Métrologe) Par Khald LEKOUCH MODELISATION ET

Plus en détail

hal-00409942, version 1-14 Aug 2009

hal-00409942, version 1-14 Aug 2009 Manuscrt auteur, publé dans "MOSIM' 008, Pars : France (008)" 7 e Conférence Francophone de MOdélsaton et SIMulaton - MOSIM 08 - du mars au avrl 008 - Pars - France «Modélsaton, Optmsaton et Smulaton des

Plus en détail

GENESIS - Generalized System for Imputation Simulations (Système généralisé pour simuler l imputation)

GENESIS - Generalized System for Imputation Simulations (Système généralisé pour simuler l imputation) GENESS - Generalzed System for mputaton Smulatons (Système généralsé pour smuler l mputaton) GENESS est un système qu permet d exécuter des smulatons en présence d mputaton. L utlsateur fournt un ensemble

Plus en détail

N 1. Avec la Smerep, simplifiez-vous la vie! Sécu étudiante i Centre 617. Complémentaires i santé. Pack Smerep. en Ile-de-France 2007/2008

N 1. Avec la Smerep, simplifiez-vous la vie! Sécu étudiante i Centre 617. Complémentaires i santé. Pack Smerep. en Ile-de-France 2007/2008 N 1 en Ile-de-France Sécu étudante Centre 617 Complémentares santé Pack Smerep Avec la Smerep, smplfez-vous la ve! 2007/2008 Ce document est édté et dffusé dans le cadre de la conventon passée entre l

Plus en détail

LA SURVIE DES ENTREPRISES DÉPEND-ELLE DU TERRITOIRE D'IMPLANTATION?

LA SURVIE DES ENTREPRISES DÉPEND-ELLE DU TERRITOIRE D'IMPLANTATION? LA SURVIE DES ENTREPRISES DÉPEND-ELLE DU TERRITOIRE D'IMPLANTATION? Anne PERRAUD (CRÉDOC) Phlppe MOATI (CRÉDOC Unversté Pars) Nadège COUVERT (ENSAE) INTRODUCTION Au cours des dernères années, de nombreux

Plus en détail

Économétrie. Annexes : exercices et corrigés. 5 e édition. William Greene New York University

Économétrie. Annexes : exercices et corrigés. 5 e édition. William Greene New York University Économétre 5 e édton Annexes : exercces et corrgés Wllam Greene New York Unversty Édton françase drgée par Dder Schlacther, IEP Pars, unversté Pars II Traducton : Stéphane Monjon, unversté Pars I Panthéon-Sorbonne

Plus en détail

LeanConcept. La solution déploiement du Lean Manufacturing. Stockage Logistique Ergonomie Environnement Aménagement Services

LeanConcept. La solution déploiement du Lean Manufacturing. Stockage Logistique Ergonomie Environnement Aménagement Services Stockage Logstque Ergonome Envronnement Aménagement Servces La soluton déploement du Lean Manufacturng SIRE 4808480004 - NAF 4669C - VA ntracommunautare FR 9480848 www.sma.fr - contact@sma.fr - Fax 05

Plus en détail

Pro2030 GUIDE D UTILISATION. Français

Pro2030 GUIDE D UTILISATION. Français Pro2030 GUIDE D UTILISATION Franças Contents Garante... Introducton... 1 Artcle nº 605056 Rév C Schéma nº A605056 Novembre 2010 2010 YSI Incorporated. Le logo YSI est une marque déposée de YSI Incorporated.

Plus en détail

Pauvreté et fécondité au Congo

Pauvreté et fécondité au Congo BUREAU D'APPLICATION DES METHODES STATISTIQUES ET INFORMATIQUES DT 14/2007 Pauvreté et fécondté au Congo Samuel AMBAPOUR Armel MOUSSANA HYLOD BAMSSII BAMSI B.P. 13734 Brazzavlle DT 14/2007 Pauvreté et

Plus en détail

17th Annual Conference on Global Economic Analysis/GTAP 2014. Commerce intra CEMAC et consommation des ménages au Cameroun : analyse par un MEGC

17th Annual Conference on Global Economic Analysis/GTAP 2014. Commerce intra CEMAC et consommation des ménages au Cameroun : analyse par un MEGC 17t Annual Conference on Global Economc Analyss/GTAP 2014 Commerce ntra CEMAC et consommaton des ménages au Cameroun : analyse par un MEGC Gankou Jean-Mare Fowagap Professeur Ttulare Hors Ecelle, Agrégé

Plus en détail

GEA I Mathématiques nancières Poly. de révision. Lionel Darondeau

GEA I Mathématiques nancières Poly. de révision. Lionel Darondeau GEA I Mathématques nancères Poly de révson Lonel Darondeau Intérêts smples et composés Voc la lste des exercces à révser, corrgés en cours : Exercce 2 Exercce 3 Exercce 5 Exercce 6 Exercce 7 Exercce 8

Plus en détail

abitat Zoom sur... www.habitat-nord79.fr L habitat adapté...page 2 Parthenay, Saint-Paul : 3 associations,1 quartier...page 8 N 10 - Avril 2013

abitat Zoom sur... www.habitat-nord79.fr L habitat adapté...page 2 Parthenay, Saint-Paul : 3 associations,1 quartier...page 8 N 10 - Avril 2013 abtat L e m a g a z n e d e s l o c a t a r e s d H a b t a t N o r d D e u x - S è v r e s N 10 - Avrl 2013 Zoom sur... L habtat adapté...page 2 Parthenay, Sant-Paul : 3 assocatons,1 quarter...page 8

Plus en détail

ÉLÉMENTS DE THÉORIE DE L INFORMATION POUR LES COMMUNICATIONS.

ÉLÉMENTS DE THÉORIE DE L INFORMATION POUR LES COMMUNICATIONS. ÉLÉMETS DE THÉORIE DE L IFORMATIO POUR LES COMMUICATIOS. L a théore de l nformaton est une dscplne qu s appue non seulement sur les (télé-) communcatons, mas auss sur l nformatque, la statstque, la physque

Plus en détail

UNE ETUDE ECONOMÉTRIQUE DU NOMBRE D ACCIDENTS

UNE ETUDE ECONOMÉTRIQUE DU NOMBRE D ACCIDENTS BRUSSELS ECONOMIC REVIEW - CAHIERS ECONOMIQUES DE BRUXELLES VOL. 49 - N 2 SUMMER 2006 UNE ETUDE ECONOMÉTRIQUE DU NOMBRE D ACCIDENTS DANS LE SECTEUR DE L ASSURANCE AUTOMOBILE* MARÍA DEL CARMEN MELGAR**

Plus en détail

Pour avoir les idées plus claires...

Pour avoir les idées plus claires... ARNET PRATIQUE Pour avor les dées plus clares...... lorsque vous développez un projet d ntérêt général. Outl produt avec le souten du rédt Mutuel accuel SOMMaRe «Je ne connas pas d entrepreneur qu n at

Plus en détail

Manuel d'installation du système

Manuel d'installation du système Manuel d'nstallaton du système Système -énerge pour le chauffage et l'eau chaude GENIA HYBRID INTRODUCTION Tale des matères Gude d nstructons Documentaton produt Documents assocés Explcaton des symoles

Plus en détail

Analyse des Performances et Modélisation d un Serveur Web

Analyse des Performances et Modélisation d un Serveur Web SETIT 2009 5 th Internatonal Conference: Scences of Electronc, Technologes of Informaton and Telecommuncatons March 22-26, 2009 TUNISIA Analyse des Performances et Modélsaton d un Serveur Web Fontane RAFAMANTANANTSOA*,

Plus en détail

Chapitre IV : Inductance propre, inductance mutuelle. Energie électromagnétique

Chapitre IV : Inductance propre, inductance mutuelle. Energie électromagnétique Spécale PSI - Cours "Electromagnétsme" 1 Inducton électromagnétque Chaptre IV : Inductance propre, nductance mutuelle. Energe électromagnétque Objectfs: Coecents d nductance propre L et mutuelle M Blan

Plus en détail

G estionnaire d espaces

G estionnaire d espaces MANUTENTION MISE À HAUTEUR & POSITIONNEMENT ACCÈS SÉCURISÉ SERVICES G estonnare d espaces Produt Franças PRODUIT EXCLU SMAI MOTORISATION ÉLECTRIQUE ÉCO RESPONSABLE ÉCO SOLUTIONS www.sma.fr - contact@sma.fr

Plus en détail