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- Anne Dumais
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1 ~ E&r, ttbulletn de Lason p6 22,dcembre 1961,pp, 7-13, EQULBRE DE L'EDUCATON LES TROS ASPECTS POSTFS DE. LA -CONFERENCE D'ADDS'ABEBA La deuxème conférence organsée par l'unesco à Adds-Abéba a eu ncontestablement au mons tros aspects postfs. Tout d'abord elle a perms d'assgner des objectfs globaux et certanes échéances au développement de l'éducaton en Afrque, ce qu n'avat pas encore été fat., Ensute cette réunon a amené les éducateurs et les économstes k effectuer une évaluaton globale des crédts nécessare) à la réalsaton de ce plan général, sur des bases statstques encore très mprécses, mas qu ont cependant suff pour.que sot détermné un ordre de grandeur. Ces prévsons de dépenses ont pu être fates à la fos pour les Etats afrcans ntéressés (snon pour chacun d'eux tout au mons dans leur ensemble) et pour les dfférentes nsttutons de coopératons technques blatérales et multlatérales, en partculer en ce qu concerne le programme général de l'unesco. Maître de Recherches O RSTOM Expert de a Commsson Nátonale Françase pour l'unesco Enfn la conférence d'adds-abéba a eu pour autre résultat mportant de permettre aux éducateurs présents de prendre plus nettement conscence non spas des relatons exstant entre 1' éducaton et le développement économque, ce qu n'est pas un fat Ïíouveau('), mas plutôt de la nécessté d'élaborer des plans précs pour l'extenson et l'organsaton de l'éducaton, plans devant d'autre part et surtout être artculés avec les plans de développement économque.. La conférence a-t-elle ans répondu au magdat qu lu avat été fxé par la Conférence Générale et selon lequel elle devat afare un nventare des besons des pays d'afrque en matère d'ensegnement et établr pour les années à venr un programme d'acton répondant à ces besons u?,. UNE. EVALUATON GLOBALE DES BESONS ET DU PROGRAMME D'ACTON 1 état certes ndspensable que le secrétarat de l'unesco pusse rapdement établr son programme d'acton en Afrque : l état non mons dffcle de fare en quelques mos cet nventare de besons encore très mal défns dans chaque pays parce qu'ls supposent des recherches approfondes. Et c'est pourquo la conférence d'adds-abéba n'a pu qu'effectuer une évaluaton globale, Mas c'état 18 son seul rôle, et l f n'état pas queston de défnr à Adds-Abéba un plan de développement de 1' éducaton pour chacun des Etats afrcans; l'élaboraton de tels plans ne sera possble précsément que lorsque dans chacun de ces pays --_-_ (1).L. KANDEL avat déjà rappelé l y a quelques années,qu'l y a plus d'un sècle, en 1841, Horace MANN, en tantque ( premer secrétare du Massachusetts Board of Educatqn, avat soulgné la relaton entre l'nstructon et le progrès économque. (cf..l. KANDEL, a prolongaton de la scolarté, UNESCO, 1951, P.26). Plus récemment, l faut évoquer Lord Beverdge, Alfred Marshall, Tausss, Nossou, Gal: Fourasté, Sauvy, etc., etc.
2 8 J,C, PAUVERT l aura été possble de consttuer des équpes de spécalstes (statstcens, économstes, socologues). Les partcpants B la conférence d'adds-abeba ne pouvaent que défnr les orentatons de ces nécessares recherches, et certanes méthodes d'analyse. C'est sur ce plan que les travaux de la conférence parassent avor été nsuffsamment poussés. L'exemple de certans plans d'éducaton (tels que celu de Ngera) ne saurat être proposé pour des pays comme la Haute-Volta, le Tchad ou le Nger, dont l'économe très peu dfférencée ne pose pas de problèmes auss complexes, ou tout au mons pose des problèmes dfférents. D'autre part, les technques d'évaluaton des besons proposées comme modèles à Adds-Abéba ne parassent pas tenr compte des problèmes régonaux, (c'est-à-dre plur-natonaux) qu, même s'ls ne se posent pas actuellement, dovent être envsagés à moyen ou long terme. 1 serat en effet prudent d'envsager les objectfs de développement des pays afrcans en tenant compte,des complémentartés économques déjà perceptbles, complémentartés qu s'observent en partculer B la faveur des mouvements de populaton et qu dovent ntervenr par exemple dans l'organsaton de certans crcuts commercaux nter-état, dans l'organsaton de certans pôles de développement et dans le marché du traval. Toute vson prospectve du développement afrcan devrat fare leur place B ces éventualtés. Enfn les objectfs globaux défns à Adds-Abéba font abstracton d'un aspect essentel du sous-développement, qu est sa relatvté. Ce n'est pas par rapport au nveau actuel de l'éducaton dans les pays les plus développés qu'l faut évaluer les objectfs de l'éducaton en Afrque en 1980 : c'est par rapport au nveau prévsble attent par l'éducaton en 'Europe, aux U.S.A. ou en U.R.S.S. également ";" Compte tenu des tendances observables depus quelques années, l est probable par exemple que l'ensegnement post prmare sera généralsé et que l'oblgaton scolare sera repoussée. 1 est donc faux de procéder à une pondératon des statstques de scolarsaton en Afrque en foncton des seules condtons régnant actuellement dans cette régon du monde(') ; s les pays afrcans font des plans B long terme pour algner le nveau de leur ensegnement sur celu qu'attegnent les pays hautement développés, c'est par rapport aux normes de l'ensegnement dans ces pays qu'l faut évaluer les efforts B fare, et non dans le cadre de la seule Afrque; ce qu consttue d'alleurs l'une des prncpales rasons de 1' accélératon qu'l faut donner aux processus éducatfs dans les pays actuellement défavorsés. On vot donc qu'en ce qu concerne l'évahaton des, besons de'l'afrque en matère d'éducaton, même la seule estmaton globale que se proposat la conférence d'adds-abéba et qu' elle a tentée, n'échappe pas à certanes crtques, qu se ramènent toutes à une concepton nsuffsamment prospectve du développement de l'afrque, et d'autre part t une concepton du développement trop lmtée au seul cadre de l'afrque. NECESSTE D'UNE ESTMATON PRECSE DES DVERSES FORMES DE L'EMPLO En deuxème leu, s la détermnaton des objectfs globaux semble ans nsuffsamment poussée (et l s'agt des objectfs globaux, assgnés à 1' acton' concertée de coopératon technque blatérale, multlatérale plus que des objectfs natonaux), les programmes d'acton défns semblent eux auss appeler quelques remarques ; en partculer les méthodes suggérées pour 'établssement de ces objectfs natonaux font une place prépondérante B la prévson de 1' emplo _ (1) Les progrès comparés de 'éducaton dans pluseurs pays sont nécessarement lés en grande parte à a durée de la scolarsaton oblgatore : et ce n'est pas en pondérant les statstques de scolarsaton (ans que cela a été fat dons le document EDAF/5/4 de l'unesco sur a stuaton de l'ensegnement en Afrque) que l'on amènera les pays ntéressés à prendre conscence de l'mmensté de l'effort qu'ls ont a fournr pour combler leur retard. Encore une fos c'est par comparason entre les dvers pays qu'est évolué leur degré respectf de développement, qu'l s'agsse de crossance du revenu natonal ou de taux de scolarsaton. Celu-cdotêtre évalué pour les mêmesgroupesd'âge. En 1970,ll mllons de jeunes franças, sot 1 sur 4, feront des études, le problème est de sovor quelle sera cette proporton en Afrque et s le nveau des études sera le même pour les mêmes groupes d'âge.
3 n POUR UN DEVELOPPEMENT EQULBRE DE L'EOUCATON 9 1 est ncontestable que 1' organsaton de l'éducaton sous toutes ses formes dans chaque pays d'afrque, devra tenr compte de besons en cadres supéreurs et moyens de dvers types. Toutefos, l'analyse de ces besons telle qu' elle a été fate en Ngéra (et le plan ASHBY-HARBSON établ pour ce pays a serv d'exemple dans les travaux d'adds-abeba) ne convent peut-être pas à des pays, ayant des potentaltés économques nettement mons dversfées et connues. De plus, l'analyse effectuée en Ngera ne porte que sur les ' cadres supéreurs, les besons en cadres moyens et en man-d'oeuvre de dvers types ne fasant l'objet que d'estmatons assez mprécses. Or l ne faut pas néglger le fat que dans de nombreux pays d'afrque le sous emplo et la sous-producton agrcole sont les obstacles essentels au développement économque, et que les besons éducatfs fondamentaux consstent dans la dffuson du progrès technque rural ; tout au mons dans 1' état actuel des connassances portant sur les ressources naturelles de ces pays('). La défnton de la nature même des cadres nécessares au progrès économque et socal de ces régons, préalablement à leur évaluaton quanttatve, reste fare, parallèlement à la défnton de la forme que dot prendre la dffuson des connassances en foncton de la structure du mleu human et sbcal consdéré, en foncton auss des potentaltés économques exstantes ou prévsbles. Qu'l s'agsse de l'alphabétsaton des adultes, ou de l'encadrement santare ayant une foncton préventve (ou encore du personnel nfrmer nécessare s cette éducaton préventve n'est pas fate), ou encore de l'encadrement du (( développement communautare B, aucune estmaton précse n'est encore fate, dans la plupart des pays d'afrque tropcale, des besons en cadres dvers, ceux-c dépendant de la forme d'acton éducatve chose. Le sdéveloppement cornmunautareu, dans tel ou tel pays demandera-t-l 5000 secrétares de commune, 5 O00 d éducateurs polyvalents,, 5000 postes de télévson, ou 5 O00 monteurs d'agrculture ou 50 O00 certfcats d'études prmares? Or la prévson de ces bes6ns ne peut se fare suvant les modèles couramment utlsés pour l'analyse des secteurs d'emplos et de leur crossance dans les pays ayant une économe déjà dfférencée(2). 1 faut remarquer ce sujet que la conférence d'adds-abéba n'a pas perms de poussercette analyse des vértables besons en cadres nécessares à l'éducaton des adultes, et cela ben que les partcpants aent adms que s la plupart des pays afrcans accordent une prorté nsuffsante à l'éducaton des adultes partculèrement en mleu ruralu (Document EDAF/REP/5 Prov. Chap, p. 5)., S de nombreuses dscussons appuyées sur de nombreux documents de traval ont perms d'évaluer la rentablté de l'éducaton, l'on s'est assez peu préoccupé, à Adds-Abéba de précser un programme d'acton en matère d'éducaton des adultes, pour la pérode de 20 années au cours de laquelle des dzanes de mllons d'ndvdus vont encore être prvés d'éducaton au détrment de leur dgnté humane et auss au détrment du développement économque de leùr pays. Même s ce pont partculer de la prévson de l'emplo devat être consdéré comme prmordal, l convendrat d'alleurs de tenr cpmpte dans son étude, beaucoup plus qu'on ne l'a fat à Adds-Abeba, des facteurs psycho-socaux et culturels qu'l mplque. Certans ont été évoqués par A. LEWS : mgratons, changements d'emplo, vellssement, etc.(3). Mas d'autres dovent auss entrer en lgne de compte, tels que les atttudes ndvduelles et collectves devant les professons et secteurs d'emplo(4). -- -_ (1) Naturellement, l est possble d'envsager l'utlsaton de l'énerge solare, les cultures sans sol, etc. Mas, dans les décennes à venr, quelle est 'éducaton à donner aux dzanes de mllons de cultvateurs de ml d'afrque? (2) On peut noter que même certanes caractérstques très générales des pays afrcans semblent avor été néglgées à Adds-Abéba. Par exemple la charge - beaucoup plus consdérable en Afrque - que font peser sur a papulaton actve les classes d'âge devant recevor une éducaton. En 1975 (échéonce prévue par le aplan d'adds-abébar), près de 50 mllons d'ndvdus (plus de 46 mllons d'élèves à tous les degrés, et plus de O00 maïtres et professeurs, et les cadres admnstratfs de l'ensegnement) seront à la charge de 80 mllons d'ndvdus actfs. 1 ndvdu actf sur 50 sera dans l'ensegnement (en France, c'est seulement 1 sur plus de 100 actfs). (3) n doc. EDAF/5/15, p. 5. (4) cf. à ce sujet certans travaux de l'oece.,
4 EXTENSON ET ORGANSATON DE L'ENSEGNEMENT ARTCULEES SUR LES PLANS DE DEVELOPPEMENT Ces remarques condusent à consdérer un trosème d'adds-abéba. et ses lmtatons. aspect essentel de la Conférence Cette réunon a certes.perms aux éducateurs et aux économstes de précser certanes des relatons exstant entre le développement économque et l'effort éducatf (par exemple la rentablté de l'éducaton: comme l'a dt M.M. S. ADSESHAH, al'éducaton est une bonne affare,). Mas les facteurs spécfquement économque de la crossance semblent avor attré beaucoup plus l'attenton des partcpants que certans aspects socaux et culturels dont l faut tenr compte dans cette même crossance, et donc dans une planfcaton. Autrement dt, on a peut-être trop néglgé à Adds-Abéba le rôle de l'éducaton entre ndvdus et entre groupes, en tant que facteur de modfcaton des atttudes modèles (ben que certans documents de traval et certanes recommandatons y fassent alluson). Dans l'étude des problèmes de prévson de l'emplo, et de crossance économque (par exemple d'accrossement du captal)(') les éléments psychologques, socologques et culturels dont les groupes natonaux de planfcaton auront à tenr compte n'ont pas été ms en évdence. Tout vértable plan d'éducaton dot fare ntervenr la volonté de rédure les coûts de producton et d'augmenter les rendements, la modfcaton des atttudes devant le traval, l'esprt d'aventure et celu d'entreprse. Malgré la partcpaton 9 la conférence d'adds-abeba de A. LEWS, tous ces éléments ont,été en concluson peu prs en consd6raton snon dans les recommandatons, tout au mons dans le plan général formulé pour les 20 années 5 venr. Or A. LEWS avat alleurs exposé longuement tout le rôle joué dans le développement économque tant par des facteurs consdérés par lu comme postf (ndvdualsme, moblté socale) que par d'autres négatfs (solatonsme, esprt de clan, etc.). 1 faut donc non seulement précser le rôle du système d'éducaton dans l'améloraton des seuls facteurs de producton (man-d'oeuvre et captal) mas auss, plus largement, défnr son rôle dans les dïïérentes modaltés de pénétraton du progrès technque, à la fos sous leurs aspects objectfs (nature et possbltés de telle ou telle technque) et sous leurs aspects subjectfs (acceptaton, partcpaton des ndvdus ou des groupes à la dfïuson).on peut regretter que les cadres de la planfcaton, tels qu'ls ont été esqussés \ à Adds-Abéba, et utlsés en partculer pour élaborer le plan global de développement de l'éducaton, n' aent pas fat une plus large place à l'ensemble de ces facteurs non-économques, dont dépendront en grande parte la réalsaton de ce plan global, mas également la forme et la réalsaton des plans natonaux(2). 11 faut ajouter que la noton même de planfcaton de l'éducaton est lon d'être unforme, et unformément admse, dans l'ensemble des pays afrcans;et que dans les possbltés et les perspectves de planfcaton, l faudrat également tenr compte de certans facteurs détermnant le prncpe même d'une planfcaton, en partculer des atttudes collectves et déologes qu, avant d'être plus ou mons détermnées par l'acton éducatve, permettront à des degrés dvers de suscter a partcpaton des populatons consdérées à l'élaboraton ou à la réalsaton des plans, et qu permettront d'accélérer cette dernère, ou la freneront. Les conceptons relatves aux plans natonaux d'éducaton et les caractérstques de ces plans seront très dverses selon que l'une des optons fondamentales des nouveaux gouvernements s'exercera OU non) en faveur du manten d'un régme économque fondé, en prncpe, sur la lberté d'entreprendre. (1) On sat par exemple le rôle que B. NURSKE attrbue aux facteurs socaux dans a consttuton du captol, dons ses nproblems of Captol formoton n underdeveloped countresn (Oxford 195'3. a Une explcaton purement économque de a crossance est mpossblea (R.W. GOLDSMTH, n Rapport du Natonal Bureau of Economc Ressearch sur #The compardtve Study of economc growth and structures, (2) est cureux de constater que les économstes présents à Adds-Abéba n'ont pos mentonné par exemple l'mportance des formes actuelles de tenure des terres porm les facteurs susceptbles de s'opposer au retour à la terre des jeunes sortant de l'école.
5 * POUR UN DEVELOPPEMENT EQULBRE DE L'EDUCATON \ l Des problèmes nsttutonnels en même temps qu'déologques se poseront, qu ont été, à pene évoqués à Adds-Abéba('). Déjà en 1943, et dans un pays cependant très développé, l avat été soulgné que ts l'angleterre veut être à la hauteur des crconstances pendant les prochanes décades, elle aura beson de moblser la force mmense de la coopératon actve du peuple enter. 1 appartent à notre époque de montrer quelles énormes forces peuvent être susctées lorsque l'enthousasme de tout un peuple se conjugue avec la technque de 1'Etat moderne f(2). CONCLUSON La deuxème conférence réune par l'unesco à Adds-Abeba, en résumé, a peut-être étudé les grandes lgnes du plan de développement de l'éducaton en Afrque dans une perspectve trop strctement économque, à l'ntéreur même de laquelle toutes les mplcatons du développement économque n'ont pas été suffsamment prses en c~nsdératon(~). Or la noton de planfcaton peut n'être pas prse de façon auss restrctve, et elle paraît beaucoup plus effcace et utlsable s elle exprme la nécessté de l'équlbre entre le développement économque et le progrès socal, ou, plus exactement de 1' équlbre entre les dvers aspects économques, socaux et culturels du développement. L'éducaton, l est devenu banal de le rappeler, est un phénomène socal global, et l serat artfcel d'en rédure la planfcaton à quelques schémas spécfquement économques, élaborés dans des pays très développés. L'analyse des processus de communcaton des connassance^(^), de formaton de l'opnon publque, des déologes natonales est lon d'avor été jusqu'c suffsamment poussée, dans les pays en voe de développement, pour que les planfcateurs pussent fare ntervenr ces phénomènes dans la défnton des moyens de réalsaton de leurs plans. Mas d'ores et déjà cependant, on peut marquer la place de ces phénomènes socaux, beaucoup plus nettement que ne 1' a fat la conférence d'adds-abéba. ' En partculer, les membres de celle-c ont été très nsuffsamment prospectfs en ce qu concerne le rôle que sont appelés à jouer, à très bref déla, dans la dffuson des connassances et des atttudes, les moyens d'nformaton. Et les relatons entre nformaton et éducaton, les problèmes que pose leur organsaton et leur coordnaton dans une vértable planfcaton de l'éducaton, ont été trop peu évoqués dans les débats, de même que la part de ces moyens dans le plan établ pour a été très sous-estmée (5% du volume total de ces crédts). 1 est vra que' d'autres moyens (natonaux, blatéraux, nternatonaux) seront ms à la dsposton de l'nformaton. Mas on rsque alors, faute de n'avor pas pr6vu la place et le rôle de ces moyens dans les plans natonaux d'éducaton, de se heurter sot à des dffcultés nsttutonnelles et admnstratves, sot à des doubles emplos de personnel et de matérel, sot à des dfférences d'orentaton entre nformaton des masses, culture populare, et ensegnement de type scolare ; sot, plus probablement, --- (1) hlas qu ne sont pas mécnnus cependant par le Secrétarat de l'unesco, comme l'ont montré : les débats du groupe de traval réun au début de jullet pour dscuter des méthodes et technques à employer pour entreprendre la plonfcoton de 'éducaton (Doc. ED/4100/ 1). (2) The Economst (London), 4 septembre 1943, cté par R.S. LYND, Socologe et planfcaton, n Cahers lnternatonoux de Socologe,, 1, 1946, p (3) Ce qu a condut a conférence à ndquer, dans le ropport fnal, que al'ntégraton économque voudrat que l'ensegnement prmare comme celu des autres nveaux suve le rythme du développement économque et que les écoles rurales,, tout partculèrement ajustent leurs effectfs au rythme selon lequel l'agrculture adopte de nouvelles technques susceptbles d'absorber l'enfant à sa sorte de 'écaled. Concepton très étrote, et beaucoup trop exclusvement écona ~ mque, de l'ensegnement prmore. (4) Dans l'optque d'une vértable planfcaton consdérée, comme a défnton des modes de mse en ropport des structures et des forces socales et ëconomques, toutes les formes de communcaton c'est-à-dre de langage (au sens large du mot) dovent être étudées et utlsées. D'où la nécessté d'une psycho-pédagoge et d'une soco-pédagoge des moyens de dffuson des connassances et du progrès technque, tenant campte de ces structures et farces socales.
6 12 J,C, PAUVERT 5 l'ensemble de ces dffcultés, que devrat prévenr une vertable planfcaton('). A cet égard, les travaux de planfcaton effectués pour l'amérque latne parassent beaucoup plus souceux de la recherche d'un vértable équlbre entre tous les aspects socaux et Bconomques de l'éducaton et du développement global. 1 eût été utle de s'en nsprer 2 Adds-Abéba, dans la preparaton de la conférence d'abord (et l faut regretter ce sujet que le déla, trop court, consacré B cette préparaton n'at pas perms la réalsaton de vértables travaux de recherches comparables à ceux qu précèdent la prochane Conférence d' Amérque latne)(2) ; dans 'élaboraton du programme ensute, et surtout; la crtque essentelle à formuler à propos de cette conférence d' Adds-Abéba est probablement que ce programme ne tent' pas suffsamment compte de tous les éléments contenus dans les dvers documents de traval et qu permettaent d'élaborer les grandes lgnes d'une planfcaton globale, orentée vers un développement équlbré (3). L'une des condtons premères de cet équlbre peut être consdérée comme étant au mons au même ttre que l'accrossement du captal et la formaton de la man-d'oeuvre, la mse en communcaton des ndvdus et des groupes sot locaux, sot soco-professonnels, sot culturels. Mse en communcaton qu a d'alleurs des mplcatons concernant l'accumulaton du captal, car elle dot permettre une ntégraton (des économes rurales de subsstance aux éconames natonales, le développement de la producton destnée È la vente (parallèlement un développement des moyens de communcaton et de transport), l'améloraton de la dvson du traval entre vlles et brousse, et entre régons. Tous ces éléments de planfcaton de l'économe dovent être consdérés(4), et donner leu à l'évaluaton des besons éducatfs auxquels ls correspondent, sot en cadres dvers, sot en moyens matérels. Un bon exemple de cette mse en communcaton des dfférentes régons, des ndvdus et des groupes et du rôle que peut et dot jouer l'éducaton pour l'assurer est consttué par les varatons consdérables du taux de scolarsaton (tant prmare que secondare) que l'on observe l'ntéreur de nombreux pays afrcans : les éltes économques poltques se forment sur la base de groupes ethnques plus scolarsés, favorsés par une présence européenne plus ancenne. Les producteurs des régons élognées du lttoral bénéfcent de facltés d'éducaton mons grandes, à la fos du fat de leur solement et de leurs ressources naturelles généralement mons mportantes. 1 y a là un problème extrêmement séreux que dovent résoudre les plans d'éducaton, mas ce n'est d'alleurs que l'un des multples. aspects du problème, plus général de mseen communcaton qu mplque un développement équlbré. D'une manère générale, toute planfcaton de l'éducaton natonale (et encore une fos celle-c dot être conçue à la fos sous toutes ses formes scolares et extra-scolares, y comprs certans moyens d'nf~rmaton(~)) dot rechercher et tenr compte d'ndcateurs de développement n'ayant pas nécessarement d'mplcatons monétares évdentes, tels que par exemple des changements nsttutonnels ou structurels, et les changements d'atttudes ndvduels ou collectfs, de statuts et d'echelles de prestge. De tels facteurs ont un rôle à jouer dans la mse en communcaton, et dans la planfcaton, à l'échelon natonal. ls ont un rôle àjouer dans les méthodes de réalsaton des plans d'éducaton en partculer (1) On peut regretter peut-être que le plan élaboré en Ngéro pour le développement de l'ensegnement secondare et surtout supéreur at été prs comme modèle d'un plan natonal d'éducoton sous toutes ses formes. Le rapport nttulé Znuestment n Educaton ne consacre que deux pages sur 140 aux tnouvelles technques d'éducotonj et que très peu de place l'ensegnement prmare et à 'éducaton des adultes sous toutes ses formes. (2) Cf. à ce sujet. Réunon preparatora de la conferenca nteramercana sobre educaton y desarrollo socal y economco, nforme fnal. Ro de Janero, 26 a 30 de octubre de 1959 (doc. HAV/RP/CEDSE/1959/1 du ). (3) Tel qu'l est préconsé par certans économstes oyant partcpé d'alleurs à la conférence, et par d'autres tels que FRANKEL, NURSKE. (4) Cf. à ce sujet KAHL, J.A., Some socal concomtants of ndustralzaton and urbanzoton, Human organsaton, 18, (5) En partculer en ce qu concerne les mass medo : mprmeres, statons de rado et de télévson, centres audo-vsuels dvers de producton d'auxlares de 'éducaton et de l'nformaton c'est-à-dre plus généralement les moyens de dffuson des connassances, snon on observe un gaspllage consdérable de crédts et de personnel spécalsé, et des dffcultés admnstratves consdérables.
7 POUR UN DEVELOPPEMENT EQULBRE DE L'EDUCATON 13 par exemple dans la formaton des maîtres. l ne faut pas oubler à ce sujet que la réalsaton du programme d'adds-abeba est soumse à l'accélératon de cette formaton : ole plan fnancer... dépend en fn de compte des moyens matérels et humans dont on dsposera pour accélérer la formaton d'un grand nombre de nouveaux maîtres pour tous les types d'ensegnement u. (1) Cela appelle une dernère observaton d'ordre généralà propos de cette conférence d'adds-abéba. S elle a eu, nous l'avons répété,le grand mérte d'attrer l'attenton des éducateurs présents sur les éléments économques et fnancers de tout programme de développement de 'éducaton, elle n'a pas été l'occason d'un vértable dalogue entre eux et des économstes; et ces éducateurs n'ont pas été amenés, comme ls l'auraent été dans une vértable confrontaton, à s'nterroger sur les prncpes d'une soco-pédagoge et d'une psychopédagoge adaptées aux nécesstés du développement accéléré, prncpes dont la défnton est un élément essentel de toute planfcaton réelle de la dffuson des connassances(2), et qu devraent s'nsprer de la psychologe socale de l'opnon publque et.de l'étude des conséquences de la presse, de la rado et du cnéma sur la formaton des atttudes collectves. C'est en résumé par la recherche d'un équlbre entre les processus de développement économque et de progrès socal que peuvent être défns des plans d'éducaton natonaux, Ce n' état pas le but de la deuxème conférence d'adds-abéba que d'établr dès mantenant de tels plans, et son objectf : 1' élaboraton d'un programme général d'acton en Afrque, pour le Secrétarat de l'unesco, a été attent, tout au mons sous la forme d'un calendrer comportant des étapes et l'évaluaton des moyens globaux à mettre en oeuvre. Mas l mporte mantenant d'ader chaque pays ntéressé à défnr son propre plan, en tenant compte des commentares que peuvent suscter les débats et peut-être certanes nsuffsances de cette deuxème conférence d'adds-abéba, dans une perspectve plus globale du développement, et surtout de son nécessare équlbre, nécessarement assocé à la noton d'éducaton permanente trop peu rappelée peut-être auss à Adds-Abéba _- (1) W. BRAND, n document UNESCO/EDAF/S/l4, page 16. (2) faudrat évoquer c les nquétudes et les recherches communes à certans membres de l'ensegnement en France même: ans les travaux du groupe de professeurs d'ecoles Normales sur 'étude des fats socaux
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