3. CHROMATOGRAPHIE - ASPECTS GENERAUX

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "3. CHROMATOGRAPHIE - ASPECTS GENERAUX"

Transcription

1 3. CHROATOGRAPHIE - ASPECTS GENERAUX OBJECTIFS comprendre les principes dne séparaion chromaographiqe connaîre les paramères principax qi décriven la séparaion e lefficacié de la séparaion savoir de manière qaniaive commen améliorer la résolion dne séparaion chromaographiqe 3.1 Inrodcion Chromaographie es n erme général, ilisé por définir des méhodes de séparaion basées sr la disribion d n solé enre dex phases, l ne éan mobile (n gaz o n liqide), l are saionnaire (n solide o n liqide). C es en 1906 qe le boanise rsse TSWETT, mi à profi por la première fois les essais enrepris dès 1903 concernan les possibiliés de séparer les consians d n mélange par les phénomènes d adsorpion. Il déposa dans ne colonne remplie de carbonae de calcim finemen plvérisé n mélange de pigmens végéax (chlorophylles e xanhophylles) dissos dans de l éher de pérole. Il consaa qe cex-ci s adsorbaien a somme de la colonne. L adjoncion conine de ce solvan pr a somme de la colonne provoqa la migraion, d ha vers le bas, de chaqe pigmen à ne viesse qi ler éai propre. Tswe donna à cee méhode de séparaion le nom de chromaographie (d grec khrôma, coler). Cependan, c es dran les années 30 qe cee echniqe se développa effecivemen. Les bases de la chromaographie sr coche mince on éé éablies en 1938 par IZAILO e SCHRAIBER pis reprises par STAHL ving ans pls ard (1958). Les ravax remarqables de ARTIN e SYNGE (1941) por lesqels ils reçren le prix Nobel, révolionnèren non selemen la chromaographie liqide (CL) mais assi celles en phase gazese e sr papier. C es en 195 qe ARTIN e JAES pblièren les premiers ravax propremen dis sr la chromaographie gazese (CG) e sr papier e don l essor dra jsq en A parir de cee année, la chromaographie en phase liqide devien n parenaire à valer égale. En effe, jsq à lors, celle-ci éai praiqée dans des colonnes relaivemen larges e à pression amosphériqe d où la lener des séparaions e l absence de déecers coplés en ligne. Bien q éan la pls ancienne de méhodes elle avai rové pe d applicaions. Acellemen, la chromaographie liqide «moderne» es devene la méhode de choix por bon nombre de problèmes analyiqes e de chimie préparaive. Comme nos le verrons, les principes des méhodes chromaographiqes son ellemen semblables q elles peven êre assez largemen décries par des héories commnes. ais, o d abord éablissons ne classificaion des principales echniqes. Bien qe l adsorpion soi le phénomène originel ayan donné naissance à la chromaographie, ARTIN e SYNGE monrèren qe, dans cerains cas, la phase saionnaire solide povai êre avanagesemen remplacée par ne phase saionnaire liqide, la chromaographie de parage pris donc le pas sr celle d adsorpion. De par le parage d solé enre dex phases liqides, ce ype de chromaographie s apparene à la séparaion par exracion à conre-coran selon Craig.

2 3. Définiions élion élan éla chromaogramme percolaion dn composé sr ne colonne solvan permean déler le composé solion receillie a bas de la colonne enregisremen des pics élés perçs par n déecer Dans os les cas, ne flide appelé phase mobile procre n be (colonne) o ne srface plane, consiés d n maéria relaivemen porex (évenellemen imprégné d n liqide), c es la phase die saionnaire. Si la phase saionnaire a éé bien choisie, les consians d mélange à séparer, appelés généralemen solés son inégalemen reens par celle-ci lorsq ils la raversen, enraînés par le flide (o solvan). Il es possible de faire ne classificaion des echniqes chromaographiqes en foncion de la nare des phénomènes mis en je dans la séparaion. - la chromaographie d échange d ions o ioniqe (CL). La phase saionnaire es n solide ayan des propriéés pariclières qe l on appelle n «échanger d ions». Ce solide compore des gropemens foncionnels fixes ionisés o ionisables. Les ions qi assren l élecroneralié de la srcre son mobiles e échangeables avec cex de la phase mobile en conac avec l échanger (greffé sr des polymères o des silices). - la chromaographie de paires d ions (CL). On forme des paires d ions enre les consians (ionisés) d mélange à séparer e n conre-ion convenable. Ces paires d ions se disriben enre la phase mobile e la phase saionnaire (le pls soven celle-ci es ne phase greffée). - la chromaographie d échange de ligands (CL). La phase saionnaire conien ne espèce fixée irréversiblemen capable de former des complexes avec les solés à séparer. - la chromaographie d exclsion (CL). (On di assi de perméaion o de filraion sr gel). La phase fixe es n solide porex don la dimension des pores es voisine des dimensions de ceraines des molécles à séparer. Celles qi son rop grosses por pénérer dans les pores son excles de la phase saionnaire e son élées d abord, celles qi pénèren son élées ensie. - la chromaographie d affinié (CL). Cee méhode s apparene à celle de l échange de ligand. Elle es die bio-spécifiqe lorsqe la phase saionnaire es consiée d n ligand présenan ne grande affinié por ceraines molécles bioacives. - Chromaographie en phase liqide (CL) - Chromaographie en phase gazese (CG) - Chromaographie en phase spercriiqe (CS) 38

3 On pe disinger : - la chromaographie d adsorpion (CG e CL) lorsqe la phase saionnaire es n solide adsorban e qe la séparaion es fondée sr les différences d adsorpion des molécles d mélange par la phase fixe. - la chromaographie de parage (CG e CL) lorsqe la séparaion es fondée sr des différences de solbilié (o d ineracion) des molécles à séparer dans la phase liqide (o greffée) qi recovre n solide. LES SYSTEES CHROATOGRAPHIQUES LES PLUS IPORTANTS Sysème Phase mobile Phase saionnaire Configraion Séparaion gaz gaz liqide colonne parage gaz solide colonne adsorpion, parage liqide liqide liqide colonne parage liqide solide colonne adsorpion, parage papier liqide celllose feille, bande (srface) coche mince liqide solide film mince (srface) parage, adsorpion adsorpion 3.3 Principes séparaions son basées sr les différences de disribion de solés enre dex phases non miscibles (lne éan solide) Comme en exracion, on défini le coefficien de disribion (o de parage) d solé enre la phase saionnaire e la phase mobile K C S /C C S concenraion dans la phase saionnaire C concenraion d solé dans la phase mobile ais ce n es pas n vrai éqilibre pisqe le renovellemen conin de la phase mobile perme ax composés de se déplacer dans la colonne selon ne viesse différene en foncion de ler affinié por les dex phases. En effe dû à des différences d affinié des divers consians d n mélange por chacne des dex phases, il résle des différences enre les viesses de migraion de ces composés, d où ne possibilié de séparaion. Sos l acion de la phase mobile, les divers consians migren d aan pls lenemen q ils on pls d affinié por la phase saionnaire. 39

4 Dans le cas de la chromaographie sr colonne on obien, à la sorie d déecer, n «signal» qe l on pe enregisrer graphiqemen : le chromaogramme. Chaqe consian es caracérisé, sr le chromaogramme, par n «pic». Les pics seron pls o moins larges e pls o moins éloignés les ns des ares; ils rendron compe de l efficacié de la séparaion. Por ne séparaion imparfaie de dex composés, dex démarches son concevables : - la première revien à éloigner les pics l n de l are par l emploi d ne phase saionnaire pls sélecive. Cee démarche es fondée sr la hermodynamiqe de la séparaion. - la seconde consise à rendre chacn des pics pls érois en modifian les paramères qi inflencen la cinéiqe des séparaions por rendre la séparaion pls efficace. Assi, les héories de la séparaion chromaographiqe peven êre classées en héories hermodynamiqes, qi raien des emps o des volmes de réenion, en en héories cinéiqes, qi s aachen a processs de ransfer de maière. héorie hermodynamiqe - arin e Synge (1941) - héorie des plaeax - "sysème saiqe en éqilibre" héorie cinéiqe - van Deemer (1956) - "rae heory" - dynamiqe 3.4 Paramères décrivan la colonne e le chromaogramme N (Plaeax héoriqes) ficivemen, on assimile la colonne chromaographiqe à ne sie de plaeax sr lesqels séabli léqilibre d solé enre les phases saionnaires e mobiles pls N es grand, pls la colonne es efficace on pe aeindre des valers de N de lordre de

5 dû à l agmenaion d volme, il y a n élargissemen des pics dans le emps 3.4. Granders de réenion 41

6 La viesse de passage de la phase mobile es consane. Chacn des solés se déplace indépendammen les ns des ares avec ne viesse qi ler es propre e qi dépend de ler comporemen vis-à-vis des dex phases, noammen de ler affinié avec la phase saionnaire. La répariion d n solé dans la colonne après n cerain «emps de passage» pe êre représenée par ne corbe d allre sensiblemen gassienne si ce «emps de passage» es sffisammen long. On défini ainsi : R S emps écolé enre l inrodcion d composé dans la colonne e le momen où il sor à sa concenraion maximale [emps de réenion br] ; emps de «séjor» d composé dans la phase saionnaire, [emps de réenion ne] (assi nommé : emps corrigé o rédi R ) ; emps qe me l élan (non reen) por arriver a bas de la colonne, ce qi correspond a emps mis por parcorir les espaces inersiiels e les volmes dis mors R S Le débi de la phase mobile éan consan, on dédi des emps définis pls has qe les volmes correspondans son : R S volme de la phase mobile nécessaire por amener la sbsance à sa concenraion maximm a bas de la colonne volme de réenion br ; on pe égalemen définir n volme de réenion ne (assi nommé : volme corrigé o rédi, R ) en enan compe d volme de la phase mobile ( ) dans la colonne ( S R - ). A ne pas confondre avec le «volme de la phase saionnaire» assi ( S ) ; volme de la phase mobile conene dans la colonne o volme mor de la colonne (inra e exrapariclaire : R - s ). Les granders de ces valers dépenden des sbsances e des colonnes ilisées iesses linéaires moyennes iesse moyenne linéaire de la phase mobile L o L longer de la colonne iesse moyenne linéaire d solé v L R 4

7 Fracion de emps dans la phase mobile Assi f v n f solé (phase mobile) n TOTAL Facer de réenion (capacié) Por s affranchir des paramères géomériqes d ne colonne e por caracériser la réenion d n composé, le facer de capacié (k ) es défini comme le rappor de la qanié d n solé (A) dans la phase saionnaire (m A ) S par rappor à la qanié dans la phase mobile (m A ). Sachan qe la masse es égale a prodi de la concenraion par le volme ( m C. ) e qe le rappor des masses es assi égal a rappor d emps de résidence d solé dans la phase saionnaire ( s ) a emps passé dans la phase mobile, on obien : (m ) (C ) k A S A S S s Km (ma) (CA) Por ne colonne donnée, le rappor S / es consan. Les variaions de k ne dépenden donc qe de celles de K m e par la sie des ineracions mises en je. D are par, sachan qe le débi (F /) de la phase mobile passan à ravers la colonne es consan on pe poser : R R + s En combinan cerains paramères irés des dex relaions précédenes on obien : R + K p S S éan le volme de la phase saionnaire (o la masse, o la srface spécifiqe d sppor selon les niés dans lesqelles K m es exprimé), cee formle éabli ne relaion enre le volme de réenion ( R ) d n composé, son coefficien de parage enre les dex phases (K m ) e les caracérisiqes des phases ( m, s ) c es-à-dire de la colonne. On remarqera assi qe le facer de capacié (k ) pe êre déerminé expérimenalemen. En effe, sachan qe : K p S R - e Kp k S s (avec : s R - ) 43

8 alors : k R R pisqe R + K p S (voir ci-desss), on pe assi écrire : k Kp S s m Le volme o le emps de réenion son ainsi liés a facer de capacié par les relaions : R (l+ k) R (l+ k) Le emps de réenion d n composé non reen éan égal a qoien de la longer de la colonne (L) par la viesse linéaire de la phase mobile ( ) on obien ( L/) : L R (l+ k) Inerpréaion De faibles valers de k indiqen des composés pe reens, élés pe de emps après le volme de phase mobile conen dans la colonne, leqel correspond à k 0. Des valers élevées de k indiqen des composés foremen reens, élés après n emps d analyse assez long : chaqe accroissemen d ne nié de facer de capacié nécessie le passage sr la colonne d n volme spplémenaire de phase élane égale à por éler ce composé Facer de sélecivié Lorsqe nos sommes en présence de plsiers composés on pe définir n facer de sélecivié : B k B α K K A k A K B >K A α 1 Expérimenalemen, (R) B m α (R) A m La valer de α pe êre déerminée selon le emps de réenion o on pe iliser α por esimer s il es possible de séparer les dex espèces en qesion. 44

9 3.5 Efficacié - Déerminaion de N e de H Déerminaion de N (por des corbes gassiens) Dans l hypohèse d ne disribion approximaivemen gassienne (à laqelle condi d aillers assi la héorie des plaeax), la formle de définiion d nombre de plaeax héoriqes :. R N 16 w. N 5.54 w R 1/ o w larger d pic à la base (segmen inercepé sr la ligne de base par les angenes d inflexion d pic) o la mi-haer d pic (1/). Elle défini l efficacié d ne colonne chromaographiqe. Il es possible de calcler N, por n solé donné, direcemen à parir d n chromaogramme. Déerminaion de H Afin de povoir comparer les colonnes chromaographiqes, on défini la haer éqivalene de plaeax héoriqes: (HEPTH): H N L o L longer de la colonne H e N caracérisen donc le foncionnemen de la colonne car ils dépenden non selemen de la nare des phases e de la géomérie de la colonne, mais égalemen de os les ares facers qi inflencen les éqilibres. Por des colonnes de même longer, celles où les éqilibres se réalisen le pls rapidemen son celles où le nombre de plaeax héoriqes es le pls élevé o - ce qi revien a même - son celles don les HEPT son les pls basses. Transformaion des niés (secs. en cm) Normalemen, la longer de la colonne (L) es en cm e la variance (σ ) en cm Par conre, le chromaogramme ara des niés en mines o secondes, e w τ a (i.e. la larger d pic es approximaivemen égale (95%) à 4 X lécar-ype en secondes τ). τ σ L/ R 45

10 3.6 Résolion Dans n cas concre, la résolion es ne mesre de la qalié d ne séparaion chromaographiqe. Celle-ci dépend à la fois de l écaremen relaif des sommes des pics (facer hermodynamiqe exprimé en emps de réenion relaif) e de la finesse des pics (facer cinéiqe exprimé en efficacié de colonne). Spposons dex sbsances A e B, don l ne, A, es pls reene qe l are, B. On observe alors sr le chromaogramme dex pics : (1) sbsance A () sbsance B ( R ) B > ( R) A ( KD ) B > K D ) σ B > σ A ( A La résolion R S es définie par la relaion : Rs Ζ wa+ wb [(. R) R w A s A+ ( ) w R B B ] o e pisqe (R) B (R) Rs w. R N 16 w A 46

11 (R) B (R) A Rs (R) B N 4 R S w B Ζ ( R) B ( ) + w ( σ + σ ) A B R A A La résolion dépend donc des dex granders : (1) la disance qi sépare les sommes des dex pics ( Ζ ) e () la larger de chacn des pics (w). Ces granders son aisémen mesrables sr le chromaogramme e R S pe êre calclé. On remarqera qe pls la valer de R S es élevée, meillere es la résolion. Qelqes exemples permeron d en réaliser l incidence praiqe. Cas 1 : R S - 1 Por ce cas, ( R ) B - ( R ) A 4σ B, ce qi signifie qe les riangles son conigs e qe les corbes de Gass, n pe pls larges qe les riangles, ne se chevachen qe de.3 % ce qi es sffisan por des séparaions rapides. Cas : R S 1.5 Por ce cas, ( R ) B - ( R ) A 6σ B, ce qi signifie qe la disance enre les bases des dex riangles es de. Les corbes de Gass correspondanes ne se chevachen, alors qe de 0.13 %. 3.7 Opimisaion de la séparaion Il es imporan de relier les facers de sélecivié e capacié à la résolion k A R m m donc, k α B k A kb k R A s 1+ k B N 4 R s N 4 N 16R ( α ) α 1 kb 1+ k B s ( ) α α k kb B 47

12 ( ) 3 16R H (1 k ) ( ) s + B R B α α 1 (kb) Toe séparaion es donc n compromis enre ne bonne résolion e n emps de séparaion raisonnable. Rs N 4. α 1 α. k B 1 + k B ( R ) B 16RS H. α α 1. ( 1 + k B ) ( k ) I II III B 3 I parie cinéiqe II parie hermodynamiqe (sélecivié) III parie hermodynamiqe (réenion) La résolion e le emps de séparaion dépenden de 3 facers: - le facer de capacié, k - la sélecivié, α - l efficacié de la colonne, N (o H) Rôle d facer de capacié (III) Le facer de capacié doi êre compris enre 1 e 10 por qe son inflence soi imporane sr la résolion Linflence d facer de capacié nes pas prépondérane 48

13 k (ma) (m ) s A m (CA) (C ) s A m s m R m m Q kb R s l+ k B + 3 ) ( ) (1 kb Q R B (kb) opimal enre 1 e 5 (~ ) rès imporan (sro en CPL) En CPL : on pe modifier la phase mobile En CPG : on pe modifier la empérare de la phase mobile 3.7. Rôle de la sélecivié (II) La sélecivié doi êre spériere à 1 rès grande inflence sr la qalié de la séparaion R S ( ( α ) α f( ) f 1 ) R B 1 α α Si α 1, on n ara jamais de séparaion efficace, même avec n grand N e ne valer opimale de k 49

14 Il fa donc agmener α, o en gardan k enre 1 e 5 modificaion de la phase mobile (y compris des modificaions de ph) modificaion de la empérare (CG, CL [échange ioniqe]) modificaion de la composiion de la phase saionnaire - plsiers colonnes - modificaions chimiqes de la phase saionnaire 50

15 3.7.3 Rôle de lefficacié de la colonne N (o H) (I) Il fa examiner le rôle de la cinéiqe des échanges à ravers H (haer éqivalen d n plaea héoriqe ; van Deemer ) Eqaion de van Deemer La héorie des plaeax néglige donc le fai qe la chromaographie es n phénomène dynamiqe réslan d passage conin de la phase mobile sr la phase saionnaire. En effe, elle ne ien pas compe d n élargissemen o a conraire d n rérécissemen des pics qe l on pe poran observer praiqemen selon le débi de la phase mobile. Plsiers versions exisen de léqaion de van Deemer: e.g. H λd p + γd g + 8 k d f (1 k ) D π + l H k D D qkd k + f + d (1+ k ) DS (1+ k ) + f(dp,d c, D ce qon pe esimer par: H A+ B+ C o H A + B + (C s + C ) Selon ces éqaions, les rois phénomènes qi conriben à lélargissemen des pics son : - exisence de chemins mliples (anisoropie décolemen) (A) - diffsion moléclaire longidinale (B) - résisance a ransfer de masse (C) Anisoropie décolemen (A) L anisorophie d écolemen d flide es soven qalifié d erme ambig de «diffsion orbillonnaire» (en anglais «eddy diffsion»). Ce phénomène ire son origine d conornemen aléaoire des paricles d sppor solide par le flide. Il enraîne ne inégalié dans la viesse de déplacemen axial des différens «files d flide» qi conorne les grains. La conribion de ce phénomène à la haer d n plaea es à première approximaion indépendane d débi de la phase mobile : A λd p d p : λ : diamère des paricles consian la phase saionnaire, paramère qi ien compe des irréglariés d remplissage de la colonne. 51

16 indépendane d débi rédcion de A por des paricles qi son peies e niformes imporan de rédire les espaces mores Diffsion moléclaire longidinale (B) La diffsion moléclaire longidinale es bien conn por oe paricle a sein d n flide en movemen o non (dispersion par diffsion de à l enropie d solé des zones de grande concenraion dans des régions de faible concenraion, selon les lois de Fick). Cee diffsion es d aan pls imporane qe la viesse de passage d flide es pls faible. L inflence de ce phénomène sr la haer d n plaea es représenée par la relaion : B γd D : Coefficien de diffsion moléclaire d solé dans la phase mobile γ : «facer de orosié» o «d obsrcion» enan compe de la sinosié d parcors d flide (obsacle à la diffsion d solé). dispersion des molécles dans ne direcion parallèle à laxe de la colonne diffsion selon le gradien de concenraion la diffsion dans le sens inverse à lécolemen es pls imporane dû a débi de la phase mobile Résisances a ransfer de masse (C) La résisance a ransfer de masse an dans la phase mobile qe dans la phase saionnaire s exercen à o momen a cors de la chromaographie : fixaion o élion. a) Dans la phase mobile, oes les molécles ne son pas enraînées à la même viesse. Celles d milie d flx progressen pls vie qe celles se rovan à l exérier, créan ainsi des condiions de parage différenes ; 5

17 b) Le conac phase mobile-phase saionnaire ne s effece pas paro de manière ideniqe e il es bien éviden qe le raje à l inérier des anfracosiés d sppor es différen de celi se prodisan à la srface : c) Lorsqe la phase saionnaire es consiée par n liqide recovran la srface d sppor inere, les molécles ne fois fixées dans la phase saionnaire son siées à des disances différenes de la phase mobile e l élion ne se fai pas paro à la même viesse. Le emps de séjor ( s ) dans la phase saionnaire es donc foncion d chemin à parcorir. Ce paramère représene léqilibre élion-réenion d solé enre les phases saionnaire e mobile. Elle es daan pls imporan qe le débi de la phase mobile es imporan. H A + B + (C s + C ) fs(k)d Cs (phase saionnaire) D S f fm(k)d p Cm (phase mobile) D m Elle es de ax processs de non-éqilibre (i.e. solé passe rop de emps dans ne des phases). Si lon agmene le emps d solé dans la colonne (en diminan le débi), on approche de pls en pls de léqilibre Résmé: por rédire w (H) Tos les phénomènes précédenes enraînen ainsi des reards por l éablissemen des éqilibres e ceci d ne manière d aan pls accenée qe le débi de la phase mobile es pls rapide. Por aéner ces facers de résisance, il y a lie de diminer les disances à parcorir dans chaqe phase en rédisan le diamère des paricles, l épaisser de la phase saionnaire e en ilisan ne colonne réglièremen remplie e bien assée. De même, en CG on pe diminer la empérare afin de rédire le coefficien de diffsion (pas rès ile en CL pisqe D es déjà rop pei). e.g. effe d diamère des paricles 53

18 Eqaion globale de van Deemer L éqaion globale. Finalemen la haer d plaea pe s exprimer par la relaion générale: H A + B (C C ) + s + m En effe, la viesse linéaire liée a débi es le principal paramère physiqe à la disposiion de l expérimenaion por modifier la cinéiqe de la chromaographie. L éqaion ci-desss correspond à celle proposée par an Deemer, Zderweg e Kinkenberg (1956) e appelée «relaion de an Deemer». représene donc la viesse linéaire moyenne de la phase mobile. Ax faibles valers de, le erme B/ prédomine (la corbe devien asympoe à ne droie de pene négaive) e expliqe la pere d efficacié vers les rès faibles viesses. Ax grandes viesses, le erme C prédomine (la corbe devien asympoe à ne droie de pene posiive) e expliqe la pere d efficacié ax rès grandes viesses). Dans la région inermédiaire, le erme A es prépondéran e H passe par n minimm (H min ). La corbe représenan l éqaion de an Deemer es donc ne hyperbole. Elle monre qe la variaion de H en foncion de passe par ne valer minimale calclée en cherchan la valer de correspondan à l annlaion de la dérivée première de cee foncion ( op ) : 54

19 () B C f + d où por qe f ( ) 0, il fa qe : B + C 0, alors la viesse opimale : op C B Dans ce cas, H devien (minimm) : Hmin A+ BC d où : N max L H min L A+ BC REARQUES - L éqaion de an Deemer bien q iniialemen appliqée à la chromaographie en phase gazese (CG) pe êre égalemen, par exension, appliqée à la chromaographie liqide (CL). Si la formle générale rese la même, la corbe représenaive es cependan différene car on n observe apparemmen pas de valer minimale por H. Celle-ci croî en effe réglièremen avec le débi ce qi es dû a fai qe dans les liqides le erme B es rès pei e q il n inervien qe por des valers de rès faibles, praiqemen jamais réalisées. - La déerminaion des paramères A, B e C es difficile à effecer (héoriqemen) mais il es oefois possible de racer expérimenalemen l éqaion précédene por ne colonne de longer L de la manière sivane (voir assi problèmes de chimie analyiqe): on effece plsiers chromaographies sccessives (a moins 3) en faisan varier le débi de la phase mobile (o la empérare). Por chaqe expérience, le racé chromaographiqe perme, comme nos le savons (N ( R /σ ) ), de calcler le nombre de plaeax N e ainsi de connaîre la valer de H (H L/N). Trois éqaions, rois inconns : les corbes relian H ax valers correspondanes de (o de T) peven alors êre consries e permere de connaîre les condiions opimales correspondan à la pls peie valer de H. 55

Thème : Electricité Fiche 5 : Dipôle RC et dipôle RL

Thème : Electricité Fiche 5 : Dipôle RC et dipôle RL Fiche ors Thème : Elecricié Fiche 5 : Dipôle e dipôle Plan de la fiche Définiions ègles 3 Méhodologie I - Définiions oran élecriqe : déplacemen de charges élecriqes q a mesre d débi de charges donne l

Plus en détail

Fonction dont la variable est borne d intégration

Fonction dont la variable est borne d intégration [hp://mp.cpgedpydelome.fr] édié le 1 jille 14 Enoncés 1 Foncion don la variable es borne d inégraion Eercice 1 [ 1987 ] [correcion] Soi f : R R ne foncion conine. Jsifier qe les foncions g : R R sivanes

Plus en détail

Les circuits électriques en régime transitoire

Les circuits électriques en régime transitoire Les circuis élecriques en régime ransioire 1 Inroducion 1.1 Définiions 1.1.1 égime saionnaire Un régime saionnaire es caracérisé par des grandeurs indépendanes du emps. Un circui en couran coninu es donc

Plus en détail

CHAPITRE I : Cinématique du point matériel

CHAPITRE I : Cinématique du point matériel I. 1 CHAPITRE I : Cinémaique du poin maériel I.1 : Inroducion La plupar des objes éudiés par les physiciens son en mouvemen : depuis les paricules élémenaires elles que les élecrons, les proons e les neurons

Plus en détail

MATHEMATIQUES FINANCIERES

MATHEMATIQUES FINANCIERES MATHEMATIQUES FINANCIERES LES ANNUITES INTRODUCTION : Exemple 1 : Une personne veu acquérir une maison pour 60000000 DH, pour cela, elle place annuellemen au CIH une de 5000000 DH. Bu : Consiuer un capial

Plus en détail

CARACTERISTIQUES STATIQUES D'UN SYSTEME

CARACTERISTIQUES STATIQUES D'UN SYSTEME CARACTERISTIQUES STATIQUES D'UN SYSTEE 1 SYSTEE STABLE, SYSTEE INSTABLE 1.1 Exemple 1: Soi un sysème composé d une cuve pour laquelle l écoulemen (perurbaion) es naurel au ravers d une vanne d ouverure

Plus en détail

Sciences Industrielles pour l Ingénieur

Sciences Industrielles pour l Ingénieur Sciences Indusrielles pour l Ingénieur Cenre d Inérê 6 : CONVERTIR l'énergie Compéences : MODELISER, RESOUDRE CONVERSION ELECTROMECANIQUE - Machine à couran coninu en régime dynamique Procédés de piloage

Plus en détail

Les solutions solides et les diagrammes d équilibre binaires. sssp1. sssp1 ssss1 ssss2 ssss3 sssp2

Les solutions solides et les diagrammes d équilibre binaires. sssp1. sssp1 ssss1 ssss2 ssss3 sssp2 Les soluions solides e les diagrammes d équilibre binaires 1. Les soluions solides a. Descripion On peu mélanger des liquides par exemple l eau e l alcool en oue proporion, on peu solubiliser un solide

Plus en détail

Le mode de fonctionnement des régimes en annuités. Secrétariat général du Conseil d orientation des retraites

Le mode de fonctionnement des régimes en annuités. Secrétariat général du Conseil d orientation des retraites CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 28 janvier 2009 9 h 30 «Les différens modes d acquisiion des drois à la reraie en répariion : descripion e analyse comparaive des echniques uilisées»

Plus en détail

TD/TP : Taux d un emprunt (méthode de Newton)

TD/TP : Taux d un emprunt (méthode de Newton) TD/TP : Taux d un emprun (méhode de Newon) 1 On s inéresse à des calculs relaifs à des remboursemens d empruns 1. On noera C 0 la somme emprunée, M la somme remboursée chaque mois (mensualié), le aux mensuel

Plus en détail

Rappels théoriques. -TP- Modulations digitales ASK - FSK. Première partie 1 INTRODUCTION

Rappels théoriques. -TP- Modulations digitales ASK - FSK. Première partie 1 INTRODUCTION 2 IUT Blois Déparemen GTR J.M. Giraul, O. Bou Maar, D. Ceron M. Richard, P. Sevesre e M. Leberre. -TP- Modulaions digiales ASK - FSK IUT Blois Déparemen du Génie des Télécommunicaions e des Réseaux. Le

Plus en détail

2. Quelle est la valeur de la prime de l option américaine correspondante? Utilisez pour cela la technique dite de remontée de l arbre.

2. Quelle est la valeur de la prime de l option américaine correspondante? Utilisez pour cela la technique dite de remontée de l arbre. 1 Examen. 1.1 Prime d une opion sur un fuure On considère une opion à 85 jours sur un fuure de nominal 18 francs, e don le prix d exercice es 175 francs. Le aux d inérê (coninu) du marché monéaire es 6%

Plus en détail

TB 352 TB 352. Entrée 1. Entrée 2

TB 352 TB 352. Entrée 1. Entrée 2 enrées série TB logiciel d applicaion 2 enrées à émission périodique famille : Inpu ype : Binary inpu, 2-fold TB 352 Environnemen Bouon-poussoir TB 352 Enrée 1 sories 230 V Inerrupeur Enrée 2 Câblage sur

Plus en détail

Documentation Technique de Référence Chapitre 8 Trames types Article 8.14-1

Documentation Technique de Référence Chapitre 8 Trames types Article 8.14-1 Documenaion Technique de Référence Chapire 8 Trames ypes Aricle 8.14-1 Trame de Rappor de conrôle de conformié des performances d une insallaion de producion Documen valide pour la période du 18 novembre

Plus en détail

Caractéristiques des signaux électriques

Caractéristiques des signaux électriques Sie Inerne : www.gecif.ne Discipline : Génie Elecrique Caracérisiques des signaux élecriques Sommaire I Définiion d un signal analogique page 1 II Caracérisiques d un signal analogique page 2 II 1 Forme

Plus en détail

Texte Ruine d une compagnie d assurance

Texte Ruine d une compagnie d assurance Page n 1. Texe Ruine d une compagnie d assurance Une nouvelle compagnie d assurance veu enrer sur le marché. Elle souhaie évaluer sa probabilié de faillie en foncion du capial iniial invesi. On suppose

Plus en détail

La rentabilité des investissements

La rentabilité des investissements La renabilié des invesissemens Inroducion Difficulé d évaluer des invesissemens TI : problème de l idenificaion des bénéfices, des coûs (absence de saisiques empiriques) problème des bénéfices Inangibles

Plus en détail

Finance 1 Université d Evry Val d Essonne. Séance 2. Philippe PRIAULET

Finance 1 Université d Evry Val d Essonne. Séance 2. Philippe PRIAULET Finance 1 Universié d Evry Val d Essonne éance 2 Philippe PRIAULET Plan du cours Les opions Définiion e Caracérisiques Terminologie, convenion e coaion Les différens payoffs Le levier implicie Exemple

Plus en détail

Intégration de Net2 avec un système d alarme intrusion

Intégration de Net2 avec un système d alarme intrusion Ne2 AN35-F Inégraion de Ne2 avec un sysème d alarme inrusion Vue d'ensemble En uilisan l'inégraion d'alarme Ne2, Ne2 surveillera si l'alarme inrusion es armée ou désarmée. Si l'alarme es armée, Ne2 permera

Plus en détail

Guide. Solution simplifiée. Solution simplifiée, c est. Votre guide pour la mise en place rapide et facile de régimes de garanties collectives

Guide. Solution simplifiée. Solution simplifiée, c est. Votre guide pour la mise en place rapide et facile de régimes de garanties collectives Solion simplifiée, c es facile rapide flexible Solion simplifiée Gide Vore gide por la mise en place rapide e facile de régimes de garanies collecives La vie es pls radiese sos le soleil. Table des maières

Plus en détail

VA(1+r) = C 1. VA = C 1 v 1

VA(1+r) = C 1. VA = C 1 v 1 Universié Libre de Bruxelles Solvay Business School La valeur acuelle André Farber Novembre 2005. Inroducion Supposons d abord que le emps soi limié à une période e que les cash flows fuurs (les flux monéaires)

Plus en détail

Recueil d'exercices de logique séquentielle

Recueil d'exercices de logique séquentielle Recueil d'exercices de logique séquenielle Les bascules: / : Bascule JK Bascule D. Expliquez commen on peu modifier une bascule JK pour obenir une bascule D. 2/ Eude d un circui D Q Q Sorie A l aide d

Plus en détail

F 2 = - T p K 0. ... F T = - T p K 0 - K 0

F 2 = - T p K 0. ... F T = - T p K 0 - K 0 Correcion de l exercice 2 de l assisana pré-quiz final du cours Gesion financière : «chéancier e aux de renabilié inerne d empruns à long erme» Quesion : rappeler la formule donnan les flux à chaque échéance

Plus en détail

Étudier si une famille est une base

Étudier si une famille est une base Base raisonnée d exercices de mathématiqes (Braise) Méthodes et techniqes des exercices Étdier si ne famille est ne base Soit E n K-espace vectoriel. Comment décider si ne famille donnée de vecters de

Plus en détail

Impact du vieillissement démographique sur l impôt prélevé sur les retraits des régimes privés de retraite

Impact du vieillissement démographique sur l impôt prélevé sur les retraits des régimes privés de retraite DOCUMENT DE TRAVAIL 2003-12 Impac du vieillissemen démographique sur l impô prélevé sur les rerais des régimes privés de reraie Séphane Girard Direcion de l analyse e du suivi des finances publiques Ce

Plus en détail

COURS GESTION FINANCIERE A COURT TERME SEANCE 3 PLANS DE TRESORERIE. François LONGIN www.longin.fr

COURS GESTION FINANCIERE A COURT TERME SEANCE 3 PLANS DE TRESORERIE. François LONGIN www.longin.fr COURS GESTION FINANCIERE A COURT TERME SEANCE 3 PLANS DE TRESORERIE SEANCE 3 PLANS DE TRESORERIE Obje de la séance 3 : dans la séance 2, nous avons monré commen le besoin de financemen éai couver par des

Plus en détail

2009-01 EFFICIENCE INFORMATIONNELLE DES 1948-2008 UNE VERIFICATION ECONOMETRIQUE MARCHES DE L OR A PARIS ET A LONDRES, DE LA FORME FAIBLE

2009-01 EFFICIENCE INFORMATIONNELLE DES 1948-2008 UNE VERIFICATION ECONOMETRIQUE MARCHES DE L OR A PARIS ET A LONDRES, DE LA FORME FAIBLE 009-01 EFFICIENCE INFORMATIONNELLE DES MARCHES DE L OR A PARIS ET A LONDRES, 1948-008 UNE VERIFICATION ECONOMETRIQUE DE LA FORME FAIBLE Thi Hong Van HOANG Efficience informaionnelle des marchés de l or

Plus en détail

Files d attente (1) F. Sur - ENSMN. Introduction. 1 Introduction. Vocabulaire Caractéristiques Notations de Kendall Loi de Little.

Files d attente (1) F. Sur - ENSMN. Introduction. 1 Introduction. Vocabulaire Caractéristiques Notations de Kendall Loi de Little. Cours de Tronc Commun Scienifique Recherche Opéraionnelle Les files d aene () Les files d aene () Frédéric Sur École des Mines de Nancy www.loria.fr/ sur/enseignemen/ro/ 5 /8 /8 Exemples de files d aene

Plus en détail

LE PARADOXE DES DEUX TRAINS

LE PARADOXE DES DEUX TRAINS LE PARADOXE DES DEUX TRAINS Énoné du paradoxe Déaillons ou d abord le problème dans les ermes où il es souen présené On dispose de deux oies de hemins de fer parallèles e infinimen longues Enre les deux

Plus en détail

EMC BACKUP AND RECOVERY FOR VSPEX FOR END USER COMPUTING WITH VMWARE HORIZON VIEW

EMC BACKUP AND RECOVERY FOR VSPEX FOR END USER COMPUTING WITH VMWARE HORIZON VIEW EMC BACKUP AND RECOVERY FOR VSPEX FOR END USER COMPUTING WITH VMWARE HORIZON VIEW Version 1.2 Gide de conception et de mise en œvre H12388.2 Copyright 2013-2014 EMC Corporation. Tos droits réservés. Pblié

Plus en détail

Chapitre 2 L investissement. . Les principales caractéristiques de l investissement

Chapitre 2 L investissement. . Les principales caractéristiques de l investissement Chapire 2 L invesissemen. Les principales caracérisiques de l invesissemen.. Définiion de l invesissemen Définiion générale : ensemble des B&S acheés par les agens économiques au cours d une période donnée

Plus en détail

CHAPITRE 13. EXERCICES 13.2 1.a) 20,32 ± 0,055 b) 97,75 ± 0,4535 c) 1953,125 ± 23,4375. 2.±0,36π cm 3

CHAPITRE 13. EXERCICES 13.2 1.a) 20,32 ± 0,055 b) 97,75 ± 0,4535 c) 1953,125 ± 23,4375. 2.±0,36π cm 3 Chapire Eercices de snhèse 6 CHAPITRE EXERCICES..a), ±,55 b) 97,75 ±,455 c) 95,5 ±,475.±,6π cm.a) 44,, erreur absolue de,5 e erreur relaive de, % b) 5,56, erreur absolue de,5 e erreur relaive de,9 % 4.a)

Plus en détail

SYSTÈME HYBRIDE SOLAIRE THERMODYNAMIQUE POUR L EAU CHAUDE SANITAIRE

SYSTÈME HYBRIDE SOLAIRE THERMODYNAMIQUE POUR L EAU CHAUDE SANITAIRE SYSTÈME HYBRIDE SOLAIRE THERMODYNAMIQUE POUR L EAU CHAUDE SANITAIRE Le seul ballon hybride solaire-hermodynamique cerifié NF Elecricié Performance Ballon hermodynamique 223 lires inox 316L Plaque évaporarice

Plus en détail

Oscillations forcées en régime sinusoïdal.

Oscillations forcées en régime sinusoïdal. Conrôle des prérequis : Oscillaions forcées en régime sinusoïdal. - a- Rappeler l expression de la période en foncion de la pulsaion b- Donner l expression de la période propre d un circui RLC série -

Plus en détail

Cours d électrocinétique :

Cours d électrocinétique : Universié de Franche-Comé UFR des Sciences e Techniques STARTER 005-006 Cours d élecrocinéique : Régimes coninu e ransioire Elecrocinéique en régimes coninu e ransioire 1. INTRODUCTION 5 1.1. DÉFINITIONS

Plus en détail

THÈSE. Pour l obtention du grade de Docteur de l Université de Paris I Panthéon-Sorbonne Discipline : Sciences Économiques

THÈSE. Pour l obtention du grade de Docteur de l Université de Paris I Panthéon-Sorbonne Discipline : Sciences Économiques Universié de Paris I Panhéon Sorbonne U.F.R. de Sciences Économiques Année 2011 Numéro aribué par la bibliohèque 2 0 1 1 P A 0 1 0 0 5 7 THÈSE Pour l obenion du grade de Doceur de l Universié de Paris

Plus en détail

Filtrage optimal. par Mohamed NAJIM Professeur à l École nationale supérieure d électronique et de radioélectricité de Bordeaux (ENSERB)

Filtrage optimal. par Mohamed NAJIM Professeur à l École nationale supérieure d électronique et de radioélectricité de Bordeaux (ENSERB) Filrage opimal par Mohamed NAJIM Professeur à l École naionale supérieure d élecronique e de radioélecricié de Bordeaux (ENSERB) Filre adapé Définiions Filre adapé dans le cas de brui blanc 3 3 Cas d un

Plus en détail

EMC BACKUP AND RECOVERY OPTIONS FOR VSPEX VIRTUALIZED ORACLE 11GR2

EMC BACKUP AND RECOVERY OPTIONS FOR VSPEX VIRTUALIZED ORACLE 11GR2 EMC BACKUP AND RECOVERY OPTIONS FOR VSPEX VIRTUALIZED ORACLE 11GR2 Version 1.3 Gide de conception et de mise en œvre H12347.3 Copyright 2013-2014 EMC Corporation. Tos droits réservés. Pblié en Mai, 2014

Plus en détail

Ned s Expat L assurance des Néerlandais en France

Ned s Expat L assurance des Néerlandais en France [ LA MOBILITÉ ] PARTICULIERS Ned s Expa L assurance des Néerlandais en France 2015 Découvrez en vidéo pourquoi les expariés en France choisissen APRIL Inernaional pour leur assurance sané : Suivez-nous

Plus en détail

Evaluation des Options avec Prime de Risque Variable

Evaluation des Options avec Prime de Risque Variable Evaluaion des Opions avec Prime de Risque Variable Lahouel NOUREDDINE Correspondance : LEGI-Ecole Polyechnique de Tunisie, BP : 743,078 La Marsa, Tunisie, Insiu Supérieur de Finance e de Fiscalié de Sousse.

Plus en détail

Université Technique de Sofia, Filière Francophone d Informatique Notes de cours de Réseaux Informatiques, G. Naydenov Maitre de conférence, PhD

Université Technique de Sofia, Filière Francophone d Informatique Notes de cours de Réseaux Informatiques, G. Naydenov Maitre de conférence, PhD LA COUCHE PHYSIQUE 1 FONCTIONS GENERALES Cee couche es chargée de la conversion enre bis informaiques e signaux physiques Foncions principales de la couche physique : définiion des caracérisiques de la

Plus en détail

JE LÈGUE À L ŒUVRE DES VOCATIONS POUR FORMER NOS FUTURS PRÊTRES NOS RÉPONSES À VOS QUESTIONS SUR LES LEGS, DONATIONS, ASSURANCES VIE

JE LÈGUE À L ŒUVRE DES VOCATIONS POUR FORMER NOS FUTURS PRÊTRES NOS RÉPONSES À VOS QUESTIONS SUR LES LEGS, DONATIONS, ASSURANCES VIE Diocèses de Paris, Nanterre, Créteil et Saint-Denis JE LÈGUE À L ŒUVRE DES VOCATIONS POUR FORMER NOS FUTURS PRÊTRES NOS RÉPONSES À VOS QUESTIONS SUR LES LEGS, DONATIONS, ASSURANCES VIE FAITES DE VOS BIENS

Plus en détail

GUIDE DES INDICES BOURSIERS

GUIDE DES INDICES BOURSIERS GUIDE DES INDICES BOURSIERS SOMMAIRE LA GAMME D INDICES.2 LA GESTION DES INDICES : LE COMITE DES INDICES BOURSIERS.4 METHODOLOGIE ET CALCUL DE L INDICE TUNINDEX ET DES INDICES SECTORIELS..5 I. COMPOSITION

Plus en détail

VRM Video Recording Manager

VRM Video Recording Manager Vidéo VRM Video Recording Manager VRM Video Recording Manager www.boschsecrity.fr Stockage réparti et éqilibrage de la configrable Basclement sr n enregistrer de secors iscsi en cas de défaillance, por

Plus en détail

Sommaire de la séquence 12

Sommaire de la séquence 12 Sommaire de la séquence 12 Séance 1........................................................................................................ Je prends un bon dépar.......................................................................................

Plus en détail

Même si les conditions de travail sont variées suivant les bassins de navigation et les entreprises, force est

Même si les conditions de travail sont variées suivant les bassins de navigation et les entreprises, force est N 32 / Décembre 2011 EUROPE & INTERNATIONAL Informaions CNBA Ediorial Miex faire respecer nos drois Même si les condiions de ravail son variées sivan les bassins de navigaion e les enreprises, force es

Plus en détail

Coaching - accompagnement personnalisé (Ref : MEF29) Accompagner les agents et les cadres dans le développement de leur potentiel OBJECTIFS

Coaching - accompagnement personnalisé (Ref : MEF29) Accompagner les agents et les cadres dans le développement de leur potentiel OBJECTIFS Coaching - accompagnemen personnalisé (Ref : MEF29) Accompagner les agens e les cadres dans le développemen de leur poeniel OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION Le coaching es une démarche s'inscrivan dans

Plus en détail

BAREME DEPANNAGE ! SPECIAL SYNDIC DE COPROPRIETES !!! !!!!! DEPANNAGE TRAVAUX RENOV & CONSEIL HABITAT & COMMERCE INTERVENTION PARIS & BANLIEUE

BAREME DEPANNAGE ! SPECIAL SYNDIC DE COPROPRIETES !!! !!!!! DEPANNAGE TRAVAUX RENOV & CONSEIL HABITAT & COMMERCE INTERVENTION PARIS & BANLIEUE SPECIAL SYNDIC DE COPROPRIETES BAREME DEPANNAGE TRAVAUX RENOV & CONSEIL VOTRE ARTISAN DE PROXIMITE 205 HABITAT & COMMERCE INTERVENTION PARIS & BANLIEUE DEPANNAGE ELECTRICITE PLOMBERIE ELECTRICITE TYPE

Plus en détail

OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION

OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION Formaion assurance-vie e récupéraion: Quand e Commen récupérer? (Ref : 3087) La maîrise de la récupéraion des conras d'assurances-vie requalifiés en donaion OBJECTIFS Appréhender la naure d un conra d

Plus en détail

Risque associé au contrat d assurance-vie pour la compagnie d assurance. par Christophe BERTHELOT, Mireille BOSSY et Nathalie PISTRE

Risque associé au contrat d assurance-vie pour la compagnie d assurance. par Christophe BERTHELOT, Mireille BOSSY et Nathalie PISTRE Ce aricle es disponible en ligne à l adresse : hp://www.cairn.info/aricle.php?id_revue=ecop&id_numpublie=ecop_149&id_article=ecop_149_0073 Risque associé au conra d assurance-vie pour la compagnie d assurance

Plus en détail

PRÉSENTATION DU CONTRAT

PRÉSENTATION DU CONTRAT PRÉSENTATION DU CONTRAT 2 L ASSURANCE VIE UN FANTASTIQUE OUTIL DE GESTION PATRIMONIALE Le fait qe l assrance vie soit, depis plsiers décennies, le placement préféré des Français n est certes pas le frit

Plus en détail

AMPLIFICATEUR OPERATIONNEL EN REGIME NON LINEAIRE

AMPLIFICATEUR OPERATIONNEL EN REGIME NON LINEAIRE AMPLIFICATEUR OPERATIONNEL EN REGIME NON LINEAIRE Dans e hapire l'amplifiaeur différeniel inégré sera oujours onsidéré omme parfai, mais la ension de sorie ne pourra prendre que deux valeurs : V sa e V

Plus en détail

Votre expert en flux documentaires et logistiques. Catalogue des formations

Votre expert en flux documentaires et logistiques. Catalogue des formations Votre expert en flx docmentaires et logistiqes Cataloge des formations Qelles qe soient les entreprises, les salariés pevent sivre, a cors de ler vie professionnelle, des actions de formation professionnelle

Plus en détail

Ecole des HEC Université de Lausanne FINANCE EMPIRIQUE. Eric Jondeau

Ecole des HEC Université de Lausanne FINANCE EMPIRIQUE. Eric Jondeau Ecole des HEC Universié de Lausanne FINANCE EMPIRIQUE Eric Jondeau FINANCE EMPIRIQUE La prévisibilié des rendemens Eric Jondeau L hypohèse d efficience des marchés Moivaion L idée de base de l hypohèse

Plus en détail

TRANSLATION ET VECTEURS

TRANSLATION ET VECTEURS TRNSLTION ET VETEURS 1 sr 17 ctivité conseillée ctivités de grope La Translation (Partie1) http//www.maths-et-tiqes.fr/telech/trans_gr1.pdf La Translation (Partie2) http//www.maths-et-tiqes.fr/telech/trans_gr2.pdf

Plus en détail

Exemples de résolutions d équations différentielles

Exemples de résolutions d équations différentielles Exemples de résoluions d équaions différenielles Table des maières 1 Définiions 1 Sans second membre 1.1 Exemple.................................................. 1 3 Avec second membre 3.1 Exemple..................................................

Plus en détail

EVALUATION DE LA FPL PAR LES APPRENANTS: CAS DU MASTER IDS

EVALUATION DE LA FPL PAR LES APPRENANTS: CAS DU MASTER IDS EVALUATION DE LA FPL PAR LES APPRENANTS: CAS DU MASTER IDS CEDRIC TAPSOBA Diplômé IDS Inern/ CARE Regional Program Coordinaor and Gender Specialiy Service from USAID zzz WA-WASH Program Tel: 70 77 73 03/

Plus en détail

Microphones d appels Cloud avec message pré-enregistrés intégré

Microphones d appels Cloud avec message pré-enregistrés intégré Microphones d appels Clod avec message pré-enregistrés intégré Clearly better sond Modèles PM4-SA et PM8-SA Description générale Les microphones d appels nmériqes Clod de la gamme PM-SA ont été développés

Plus en détail

Article. «Les effets à long terme des fonds de pension» Pascal Belan, Philippe Michel et Bertrand Wigniolle

Article. «Les effets à long terme des fonds de pension» Pascal Belan, Philippe Michel et Bertrand Wigniolle Aricle «Les effes à long erme des fonds de pension» Pascal Belan, Philippe Michel e Berrand Wigniolle L'Acualié économique, vol 79, n 4, 003, p 457-480 Pour cier ce aricle, uiliser l'informaion suivane

Plus en détail

Annuités. I Définition : II Capitalisation : ( Valeur acquise par une suite d annuités constantes ) V n = a t

Annuités. I Définition : II Capitalisation : ( Valeur acquise par une suite d annuités constantes ) V n = a t Annuiés I Définiion : On appelle annuiés des sommes payables à inervalles de emps déerminés e fixes. Les annuiés peuven servir à : - consiuer un capial ( annuiés de placemen ) - rembourser une dee ( annuiés

Plus en détail

NUMERISATION ET TRANSMISSION DE L INFORMATION

NUMERISATION ET TRANSMISSION DE L INFORMATION , Chapire rminale S NUMERISATION ET TRANSMISSION DE L INFORMATION I TRANSMISSION DE L'INFORMATION ) Signal e informaion ) Chaîne de ransmission de l informaion La chaîne de ransmission d informaions es

Plus en détail

MIDI F-35. Canal MIDI 1 Mélodie Canal MIDI 2 Basse Canal MIDI 10 Batterie MIDI IN. Réception du canal MIDI = 1 Reproduit la mélodie.

MIDI F-35. Canal MIDI 1 Mélodie Canal MIDI 2 Basse Canal MIDI 10 Batterie MIDI IN. Réception du canal MIDI = 1 Reproduit la mélodie. / VARIATION/ ACCOMP PLAY/PAUSE REW TUNE/MIDI 3- LESSON 1 2 3 MIDI Qu es-ce que MIDI? MIDI es l acronyme de Musical Insrumen Digial Inerface, une norme inernaionale pour l échange de données musicales enre

Plus en détail

Réalisez des simulations virtuelles avec des outils de test complets pour améliorer vos produits

Réalisez des simulations virtuelles avec des outils de test complets pour améliorer vos produits SOLIDWORKS Simlation Réalisez des simlations virtelles avec des otils de test complets por améliorer vos prodits SOLUTIONS DE SIMULATION SOLIDWORKS Les soltions de simlation SOLIDWORKS permettent à tot

Plus en détail

Mémoire présenté et soutenu en vue de l obtention

Mémoire présenté et soutenu en vue de l obtention République du Cameroun Paix - Travail - Parie Universié de Yaoundé I Faculé des sciences Déparemen de Mahémaiques Maser de saisique Appliquée Republic of Cameroon Peace Wor Faherland The Universiy of Yaoundé

Plus en détail

pour toute la famille

pour toute la famille La gamme santé solidaire por tote la famille CHEZ NOUS PAS DE PROFIT SUR VOTRE SANTÉ Nos sommes ne vraie mtelle à bt non lcratif. À tot moment, nos vos en donnons les preves : pas de sélection à l entrée

Plus en détail

FONCTIONS EXPONENTIELLES - FONCTIONS LOGARITHMES. lim e x = 0 et. x y

FONCTIONS EXPONENTIELLES - FONCTIONS LOGARITHMES. lim e x = 0 et. x y FONCTIONS EPONENTIELLES - FONCTIONS LOGARITHMES. D la foncion ponnill (d bas ) à la foncion logarihm népérin.. Théorèm La foncion ponnill (d bas ) s conin, sricmn croissan sr : = = + + Coninié La foncion

Plus en détail

Risques professionnels et qualité de vie au travail dans les crèches : les pratiques de prévention

Risques professionnels et qualité de vie au travail dans les crèches : les pratiques de prévention Petite enfance Risqes professionnels et qalité de vie a travail dans les crèches : les pratiqes de prévention Rédaction : Emmanelle PARADIS, Chef de projet «Prévention des risqes professionnels», por CIDES

Plus en détail

Document de travail FRANCE ET ALLEMAGNE : UNE HISTOIRE DU DÉSAJUSTEMENT EUROPEEN. Mathilde Le Moigne OFCE et ENS ULM

Document de travail FRANCE ET ALLEMAGNE : UNE HISTOIRE DU DÉSAJUSTEMENT EUROPEEN. Mathilde Le Moigne OFCE et ENS ULM Documen de ravail 2015 17 FRANCE ET ALLEMAGNE : UNE HISTOIRE DU DÉSAJUSTEMENT EUROPEEN Mahilde Le Moigne OFCE e ENS ULM Xavier Rago Présiden OFCE e chercheur CNRS Juin 2015 France e Allemagne : Une hisoire

Plus en détail

Pour 2014, le rythme de la reprise économique qui semble s annoncer,

Pour 2014, le rythme de la reprise économique qui semble s annoncer, En France, l invesissemen des enreprises reparira--il en 2014? Jean-François Eudeline Yaëlle Gorin Gabriel Sklénard Adrien Zakharchouk Déparemen de la conjoncure Pour 2014, le ryhme de la reprise économique

Plus en détail

Mathématiques financières. Peter Tankov

Mathématiques financières. Peter Tankov Mahémaiques financières Peer ankov Maser ISIFAR Ediion 13-14 Preface Objecifs du cours L obje de ce cours es la modélisaion financière en emps coninu. L objecif es d un coé de comprendre les bases de

Plus en détail

EMC BACKUP AND RECOVERY OPTIONS FOR VSPEX PRIVATE CLOUDS

EMC BACKUP AND RECOVERY OPTIONS FOR VSPEX PRIVATE CLOUDS EMC BACKUP AND RECOVERY OPTIONS FOR VSPEX PRIVATE CLOUDS Version 1.3 Gide de conception et de mise en œvre H12387.3 Copyright 2013-2014 EMC Corporation. Tos droits réservés. Pblié en Mai, 2014 EMC estime

Plus en détail

Relation entre la Volatilité Implicite et la Volatilité Réalisée.

Relation entre la Volatilité Implicite et la Volatilité Réalisée. Relaion enre la Volailié Implicie e la Volailié Réalisée. Le cas des séries avec la coinégraion fracionnaire. Rappor de Recherche Présené par : Mario Vázquez Velasco Direceur de Recherche : Benoî Perron

Plus en détail

Montages à plusieurs transistors

Montages à plusieurs transistors etor a men! ontages à plsiers transistors mplificaters à plsiers étages Dans de nombrex amplificaters, on cerce à obtenir n grand gain, ne impédance d entrée élevée (afin de ne pas pertrber la sorce d

Plus en détail

La DGFiP AU SERVICE DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DES USAGERS. Un nouveau service pour faciliter les paiements

La DGFiP AU SERVICE DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DES USAGERS. Un nouveau service pour faciliter les paiements La DGFiP AU SERVICE DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DES USAGERS TIPI Titres Payables par Internet Un novea service por faciliter les paiements Un moyen de paiement adapté à la vie qotidienne TIPI :

Plus en détail

CHELEM Commerce International

CHELEM Commerce International CHELEM Commerce Inernaional Méhodes de consrucion de la base de données du CEPII Alix de SAINT VAULRY Novembre 2013 1 Conenu de la base de données Flux croisés de commerce inernaional (exporaeur, imporaeur,

Plus en détail

Plan de formation pour l Ordonnance sur la formation professionnelle initiale réalisateur publicitaire

Plan de formation pour l Ordonnance sur la formation professionnelle initiale réalisateur publicitaire 79614 Plan de formation por l Ordonnance sr la formation professionnelle initiale réalisater pblicitaire Partie A Compétences opérationnelles Partie B Grille horaire Partie C Procédre de qalification Partie

Plus en détail

DE L'ÉVALUATION DU RISQUE DE CRÉDIT

DE L'ÉVALUATION DU RISQUE DE CRÉDIT DE L'ÉALUAION DU RISQUE DE CRÉDI François-Éric Racico * Déparemen des sciences adminisraives Universié du Québec, Ouaouais Raymond héore Déparemen Sraégie des Affaires Universié du Québec, Monréal RePAd

Plus en détail

Programmation, organisation et optimisation de son processus Achat (Ref : M64) Découvrez le programme

Programmation, organisation et optimisation de son processus Achat (Ref : M64) Découvrez le programme Programmaion, organisaion e opimisaion de son processus Acha (Ref : M64) OBJECTIFS LES PLUS DE LA FORMATION Appréhender la foncion achas e son environnemen Opimiser son processus achas Développer un acha

Plus en détail

Un modèle de projection pour des contrats de retraite dans le cadre de l ORSA

Un modèle de projection pour des contrats de retraite dans le cadre de l ORSA Un modèle de proecion pour des conras de reraie dans le cadre de l ORSA - François Bonnin (Hiram Finance) - Floren Combes (MNRA) - Frédéric lanche (Universié Lyon 1, Laboraoire SAF) - Monassar Tammar (rim

Plus en détail

Accompagner les familles d aujourd hui

Accompagner les familles d aujourd hui Mtalité Française et petite enfance Accompagner les familles d ajord hi ACCOMPAGNER LES FAMILLES D AUJOURD HUI L engagement de la Mtalité Française en matière de petite enfance La Mtalité Française est

Plus en détail

Système isolateur de ligne de haut-parleurs

Système isolateur de ligne de haut-parleurs Systèmes de commnications Système isolater de ligne de hat-parlers Système isolater de ligne de hat-parlers www.boschsecrity.fr Fornit des bocles de hat-parler redondantes por les systèmes de sonorisation

Plus en détail

MINISTÈRE DE L'ÉCOLOGIE, DE L'ÉNERGIE DU DÉVELOPPEMENT DURABLE ET DE L'AMÉNAGEMENT DU TERRITOIRE

MINISTÈRE DE L'ÉCOLOGIE, DE L'ÉNERGIE DU DÉVELOPPEMENT DURABLE ET DE L'AMÉNAGEMENT DU TERRITOIRE MINISTÈRE DE L'ÉCOLOGIE, DE L'ÉNERGIE DU DÉVELOPPEMENT DURABLE ET DE L'AMÉNAGEMENT DU TERRITOIRE MINISTÈRE DE L'INTÉRIEUR, DE L'OUTRE-MER ET DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES Connaître Rédire Aménager Informer

Plus en détail

Le mécanisme du multiplicateur (dit "multiplicateur keynésien") revisité

Le mécanisme du multiplicateur (dit multiplicateur keynésien) revisité Le mécanisme du muliplicaeur (di "muliplicaeur kenésien") revisié Gabriel Galand (Ocobre 202) Résumé Le muliplicaeur kenésien remone à Kenes lui-même mais il es encore uilisé de nos jours, au moins par

Plus en détail

TRANSMISSION DE LA POLITIQUE MONETAIRE AU SECTEUR REEL AU SENEGAL

TRANSMISSION DE LA POLITIQUE MONETAIRE AU SECTEUR REEL AU SENEGAL REPUBLIQUE DU SENEGAL ------------------ MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES ------------------ AGENCE NATIONALE DE LA STATISTIQUE ET DE LA DEMOGRAPHIE Direcion des Saisiques Economiques e de la Compabilié

Plus en détail

N d ordre Année 2008 THESE. présentée. devant l UNIVERSITE CLAUDE BERNARD - LYON 1. pour l obtention. du DIPLOME DE DOCTORAT. (arrêté du 7 août 2006)

N d ordre Année 2008 THESE. présentée. devant l UNIVERSITE CLAUDE BERNARD - LYON 1. pour l obtention. du DIPLOME DE DOCTORAT. (arrêté du 7 août 2006) N d ordre Année 28 HESE présenée devan l UNIVERSIE CLAUDE BERNARD - LYON pour l obenion du DILOME DE DOCORA (arrêé du 7 aoû 26) présenée e souenue publiquemen le par M. Mohamed HOUKARI IRE : Mesure du

Plus en détail

Exercices de révision

Exercices de révision Exercices de révisio Exercice U ivesisseur souscri à l émissio d u bille de résorerie do les caracérisiques so les suivaes : - Nomial : 5 M - Taux facial : 3,2% - Durée de vie : 9 mois L ivesisseur doi

Plus en détail

MESURE DE LA PERFORMANCE GLOBALE DES AGENCES BANCAIRES : UNE APPLICATION DE LA MÉTHODE DEA

MESURE DE LA PERFORMANCE GLOBALE DES AGENCES BANCAIRES : UNE APPLICATION DE LA MÉTHODE DEA MESURE DE LA PERFORMANCE GLOBALE DES AGENCES BANCAIRES : UNE APPLICATION DE LA MÉTHODE DEA Ade Hbrecht, Fabienne Gerra To cite this version: Ade Hbrecht, Fabienne Gerra. MESURE DE LA PERFORMANCE GLOBALE

Plus en détail

Pouvoir de marché et transmission asymétrique des prix sur les marchés de produits vivriers au Bénin

Pouvoir de marché et transmission asymétrique des prix sur les marchés de produits vivriers au Bénin C N R S U N I V E R S I T E D A U V E R G N E F A C U L T E D E S S C I E N C E S E C O N O M I Q U E S E T D E G E S T I O N CENTRE D ETUDES ET DE RECHERCHES SUR LE DEVELOPPEMENT INTER NATIONAL Pouvoir

Plus en détail

No 1996 13 Décembre. La coordination interne et externe des politiques économiques : une analyse dynamique. Fabrice Capoën Pierre Villa

No 1996 13 Décembre. La coordination interne et externe des politiques économiques : une analyse dynamique. Fabrice Capoën Pierre Villa No 996 3 Décembre La coordinaion inerne e exerne des poliiques économiques : une analyse dynamique Fabrice Capoën Pierre Villa CEPII, documen de ravail n 96-3 SOMMAIRE Résumé...5 Summary...7. La problémaique...9

Plus en détail

L e mobilier, le matériel et le linge au r estaurant

L e mobilier, le matériel et le linge au r estaurant Technologie (baccalaréat Professionnel) L e mobilier, le matériel et le linge a r estarant 1 : L e m o b i l i e r 1. 1 - L e m o b i l i e r d e s t i n é à l a c l i e n t è l e 1.1.1 - Dimensions et

Plus en détail

AVEC LA DOUANE PRODUIRE EN FRANCE. # produireenfrance. Présentation des entreprises participant aux tables rondes. Octobre 2014 - Bercy

AVEC LA DOUANE PRODUIRE EN FRANCE. # produireenfrance. Présentation des entreprises participant aux tables rondes. Octobre 2014 - Bercy 16 Octobre 2014 - Bercy PRODUIRE EN FRANCE AVEC LA DOUANE Présentation des entreprises participant ax tables rondes # prodireenfrance Live tweet sr le compte officiel de la doane @doane_france la doane

Plus en détail

SURVOL DE LA LITTÉRATURE SUR LES MODÈLES DE TAUX DE CHANGE D ÉQUILIBRE: ASPECTS THÉORIQUES ET DISCUSSIONS COMPARATIVES

SURVOL DE LA LITTÉRATURE SUR LES MODÈLES DE TAUX DE CHANGE D ÉQUILIBRE: ASPECTS THÉORIQUES ET DISCUSSIONS COMPARATIVES Ankara Üniversiesi SBF Dergisi, Cil 66, No. 4, 2011, s. 125-152 SURVOL DE LA LITTÉRATURE SUR LES MODÈLES DE TAUX DE CHANGE D ÉQUILIBRE: ASPECTS THÉORIQUES ET DISCUSSIONS COMPARATIVES Dr. Akın Usupbeyli

Plus en détail

par Jacques RICHALET Directeur société ADERSA

par Jacques RICHALET Directeur société ADERSA Commande prédictive par Jacqes RICHALET Directer société ADERSA 1. Les qatre principes de la commande prédictive... R 7 423 2 1.1 Modèle interne... 2 1.2 Trajectoire de référence... 3 1.3 Strctration de

Plus en détail

Les qualifications INSTALLATEURS ÉNERGIES RENOUVELABLES. Forage géothermique. Solaire thermique. Aérothermie et géothermie

Les qualifications INSTALLATEURS ÉNERGIES RENOUVELABLES. Forage géothermique. Solaire thermique. Aérothermie et géothermie INSTALLATEURS ÉNERGIES RENOUVELABLES Les qalifications Edition jillet 2014 Solaire thermiqe Forage géothermiqe Solaire photovoltaïqe Bois énergie Aérothermie et géothermie Les énergies renovelables : des

Plus en détail

mettez le casque et savourez votre calme! Réduction active des bruits de fond (ANC):

mettez le casque et savourez votre calme! Réduction active des bruits de fond (ANC): & pls03/ 2014 Une conversation de vive voix en dit pls qe mille corriers électroniqes Page 3 Série Jabra Evolve Pages 4 5 Micros-casqes UC Pages 6 7 freevoice SondPro 355 Page 8 Jabra PRO925/935 Page 9

Plus en détail

CHAPITRE 4 RÉPONSES AUX CHOCS D INFLATION : LES PAYS DU G7 DIFFÈRENT-ILS LES UNS DES AUTRES?

CHAPITRE 4 RÉPONSES AUX CHOCS D INFLATION : LES PAYS DU G7 DIFFÈRENT-ILS LES UNS DES AUTRES? CHAPITRE RÉPONSES AUX CHOCS D INFLATION : LES PAYS DU G7 DIFFÈRENT-ILS LES UNS DES AUTRES? Les réponses de la poliique monéaire aux chocs d inflaion mondiaux on varié d un pays à l aure Le degré d exposiion

Plus en détail

La Communauté d Agglomération agit pour le Développement Durable. Petit guide des éco-gestes au bureau

La Communauté d Agglomération agit pour le Développement Durable. Petit guide des éco-gestes au bureau gide_eco:gide eco-gest 07/12/2010 10:40 Page 1 La Commnaté d Agglomération agit por le Développement Drable Petit gide des éco-gestes a brea gide_eco:gide eco-gest 07/12/2010 10:40 Page 2 Épisement des

Plus en détail

MODÈLE BAYÉSIEN DE TARIFICATION DE L ASSURANCE DES FLOTTES DE VÉHICULES

MODÈLE BAYÉSIEN DE TARIFICATION DE L ASSURANCE DES FLOTTES DE VÉHICULES Cahier de recherche 03-06 Sepembre 003 MODÈLE BAYÉSEN DE TARFCATON DE L ASSURANCE DES FLOTTES DE VÉHCULES Jean-François Angers, Universié de Monréal Denise Desardins, Universié de Monréal Georges Dionne,

Plus en détail

Une assurance chômage pour la zone euro

Une assurance chômage pour la zone euro n 132 Juin 2014 Une assurance chômage pour la zone euro La muualisaion au niveau de la zone euro d'une composane de l'assurance chômage permerai de doer la zone euro d'un insrumen de solidarié nouveau,

Plus en détail

Les Comptes Nationaux Trimestriels

Les Comptes Nationaux Trimestriels REPUBLIQUE DU CAMEROUN Paix - Travail Parie ---------- INSTITUT NATIONAL DE LA STATISTIQUE ---------- REPUBLIC OF CAMEROON Peace - Work Faherland ---------- NATIONAL INSTITUTE OF STATISTICS ----------

Plus en détail