Les effets des fluctuations du prix du pétrole sur les marchés boursiers dans les pays du Golfe.

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Les effets des fluctuations du prix du pétrole sur les marchés boursiers dans les pays du Golfe."

Transcription

1 Les effets des fluctuatons du prx du pétrole sur les marchés boursers dans les pays du Golfe. Mohamed El Hed AROURI $ et Chrstophe RAULT # Résumé. Ce traval utlse les technques récentes de contegraton en panel et la méthode d'estmaton SUR pour tester l'exstence d'une relaton de long terme entre le prx du pétrole et le cours des actons dans les pays du Consel de Coopératon du Golfe (CCG). Ces pays étant des acteurs majeurs du marché mondal de l'énerge, leurs marchés boursers devraent être sensbles aux chocs affectant le prx du pétrole. En utlsant une base de données mensuelle couvrant la pérode allant de janver 1996 à décembre 2007, notre étude met en évdence, d une part l'exstence d'une relaton de contégraton entre le prx du pétrole et le cours des actons dans les pays du CCG, d autre part, les estmatons SUR ndquent que les augmentatons du prx du pétrole ont un mpact postf sur les rentabltés boursères, sauf en Arabe Saoudte. Mots clés : Marchés boursers des pays du GC, prx du pétrole, analyse en contégraton sur données de panel. Classfcaton JEL: G12, F3, Q43. Abstract. The am of ths paper s to nvestgate the exstence of long-run relatonshps between ol prces and stock markets n Gulf Corporaton Countres (GCC) usng recent bootstrap panel contegraton technques and Seemngly Unrelated regresson (SUR) methods. Snce GCC countres are major world energy market players, ther stock markets are lkely to be susceptble to ol prce shocks. Usng a monthly dataset coverng the perod January 1996 to December 2007, our nvestgaton shows that there s evdence for contegraton of ol prces and stock markets n GCC countres, whle the SUR results ndcate that ol prce ncreases have a postve mpact on stock prces, except n Saud Araba. Key words: GCC stock markets, ol prces, panel contegraton analyss. JEL classfcatons: G12, F3, Q43. $ Laboratore d Économe d Orléans, CNRS-UMR 6221 (rue de Blos, B.P. 6739, Orléans Cedex 2), et EDHEC Busness School. Emal: mohamed.arour@unv-orleans.fr. # Laboratore d Économe d Orléans, CNRS-UMR 6221 (rue de Blos, B.P. 6739, Orléans Cedex 2), et BEM Bordeaux Management School. Courrel : chrault@hotmal.com. Ste nternet : (auteur correspondant). Nous remercons un rapporteur anonyme pour ses remarques constructves sur une premère verson de ce texte, ans que les partcpants de la 16 ème Conférence Annuelle de l'erf "Economc Research Forum" nttulée "Chocs, Vulnérablté et Thérape", qu s'est tenue au Care, du 7 au 9 novembre 2009, et plus partculèrement Dr. Rma Turk Arss, Dr. Faka El-Refae, et Dr. Osman Sulman. Nous demeurons seuls responsables des éventuelles erreurs et nsuffsances de ce traval. Ce traval a bénéfcé d'un fnancement de l'erf. Le contenu et les recommandatons ssues de ce traval ne reflètent pas nécessarement les vues de l'erf. 1

2 1. Introducton Dans les dernères décennes, de nombreux travaux de recherche ont été consacrés à l étude des lens entre les prx du pétrole et l'actvté économque. Pour l essentel, ces travaux ont établ que les chocs des prx du pétrole ont des effets sgnfcatfs sur les varables macroéconomques dans la plupart des pays développés et émergents [Cunado et Perez Garca de (2005), Balaz et Londarev (2006), Gronwald (2008), Cologn et Manera (2008), Klan (2008) et Lardc et Mgnon (2006, 2008)]. Toutefos, relatvement peu d'attenton a été accordée à la relaton entre les prx du pétrole et les marchés boursers. En partculer, très peu d'études ont porté sur les marchés boursers dans les pays émergents. Ces études ont prncpalement examné l'nteracton à court terme entre les chocs des prx du pétrole et les rentabltés boursères. En théore, la valeur d une acton est égale à la somme des flux futurs actualsés. Ces flux actualsés sont affectés par des facteurs économques qu peuvent être nfluencés par le prx du pétrole. Ans, les fluctuatons du prx du pétrole peuvent avor des effets sgnfcatfs sur les cours des actons. La plupart des travaux antéreurs ont étudé cette relaton dans le cadre d'un modèle macroéconomque pour des pays mportateurs de pétrole. En utlsant des données mensuelles et des tests récents de racne untare et de contégraton en panel, ce paper teste l'exstence d'une relaton de long terme entre le prx du pétrole et le cours des actons dans les pays du Consel de Coopératon du Golfe (CCG). Étuder les effets de prx du pétrole sur les marchés boursers du CCG est ntéressant pour pluseurs rasons. Tout d'abord, les pays du CCG sont des acteurs prncpaux du marché mondal du pétrole, leurs marchés boursers sont donc susceptbles d'être sensbles aux varatons des prx du pétrole. Deuxèmement, les marchés du CCG dffèrent des marchés souvent couverts par les études emprques antéreures par le fat qu ls sont relatvement peu ntégrés dans le marché fnancer mondal et sont extrêmement sensbles aux événements poltques régonaux. Enfn, les marchés du CCG sont très prometteurs pour la dversfcaton nternatonale de portefeulle. Ans, étuder l'nfluence des chocs des prx du pétrole sur les rentabltés des actfs fnancers dans les pays du CCG permet tant aux nvestsseurs qu aux autortés de comprendre l évoluton des marchés boursers en foncton de l évoluton des prx du pétrole. Le paper ponner de Jones et Kaul (1996) étude la réacton à court terme de quatre marchés boursers développés (Canada, Royaume-Un, Japon et États-Uns) aux chocs des prx du pétrole. Les auteurs montrent que le prx du pétrole joue un rôle mportant dans la formaton des rentabltés des actfs fnancers aux États-Uns et au Canada. Pour les autres pays, l mpact du pétrole état mons évdent. En utlsant un modèle VAR, Huang et al. (1996) établssent un len sgnfcatf entre le prx du pétrole et les rentabltés boursères de certanes frmes pétrolères amércanes. Cependant, les auteurs ne trouvent pas de relaton sgnfcatve entre le prx du pétrole et des ndces de marché amércans tel que le S&P 500. En revanche, Sadorsky (1999) applque un modèle VAR avec des effets GARCH à des données plus récentes et montre que le marché amércan réagt sgnfcatvement aux fluctuatons du prx du pétrole. Alou et Jammaz (2009) montrent l exstence d une certane non lnéarté dans la relaton entre le prx du pétrole et les prx des actfs fnancers en France, au Japon et au Royaume-Un. Qu plus est, en combnant une analyse en ondelettes et des modèles à changement de régme de type markoven (MS-VAR), Jammaz et Alou (2010) établssent que la réacton des marchés boursers de ces tros pays aux chocs du prx du pétrole est plutôt asymétrque. Odusam (2009) confrme ces conclusons pour les États-Uns et montre que les chocs nattendus du prx du pétrole ont des effets non lnéares et asymétrques sur les rentabltés boursères. Klan et Park (2009) mettent en évdence que la réponse des marchés boursers aux prx du pétrole peut varer sensblement selon que l'augmentaton du prx du pétrole provent d un choc sur la demande ou d un choc sur l'offre du pétrole. Enfn, en utlsant la technque de contégraton, Mller et Ratt (2009) montrent l'exstence de dfférents régmes dans la relaton à long terme entre le pétrole et le marché bourser dans les pays de l'ocde au cours des quatre dernères décennes. Certanes études récentes se sont ntéressées au cas des marchés boursers émergents européens, asatques et latno-amércans. Les résultats de ces études montrent un len à court terme sgnfcatf entre les varatons du prx du pétrole et les rentabltés des marchés boursers émergents. En utlsant un modèle VAR, Papapetrou (2001) établt l exstence d une relaton sgnfcatve entre les varatons du prx du pétrole et les marchés boursers en Grèce. Basher et Sadorsky (2006) utlsent un modèle 2

3 multfactorel d évaluaton des actfs fnancers et arrvent à la même concluson pour d autres marchés boursers émergents. Toutefos, très peu d'attenton a été accordée aux plus petts marchés émergents, en partculer dans les pays du CCG, où la créaton des marchés boursers est relatvement récente. En utlsant un modèle VAR, Hamoudeh et Elesa (2004) montrent qu'l exste une causalté bdrectonnelle entre le marché bourser saouden et le prx du pétrole. Les résultats suggèrent également que les autres marchés du CCG ne sont pas drectement affectés par le prx du pétrole. Zarour (2006) utlse également un modèle VAR pour étuder la relaton entre les varatons du prx du pétrole et les marchés boursers du CCG et montre que seuls les marchés saouden et omanas ont un pouvor prédctf de l'augmentaton du prx du pétrole. Plus récemment, Hamoudeh et Cho (2006) examnent la relaton à long terme entre les marchés boursers du CCG en tenant compte des effets de tros facteurs globaux de rsque : le prx du pétrole, un marché amércan (S&P 500) et le taux de bons du Trésor amércan. Ils mettent en évdence que le taux de bons du Trésor amércan a un effet drect sur ces marchés, tands que les prx du pétrole et le S&P 500 ont seulement des effets fables et ndrects. En revanche, Onour (2008) utlsent des données plus récentes et montre qu à long terme le prx du pétrole affecte sgnfcatvement le cours des actons dans les pays du CCG. 1 Comme on peut le constater, les résultats des quelques études consacrés aux effets du pétrole sur les marchés boursers dans les pays du CCG sont hétérogènes. Ces résultats nous parassent nattendus car les économes des pays du CCG sont fortement sensbles au prx du pétrole. Le but de cet artcle est d'approfondr la lttérature exstante sur le sujet en examnant les lens à long terme entre le prx du pétrole et le cours des actons dans quatre pays du GCC (Bahreïn, Koweït, Oman, et Arabe saoudte), en moblsant les développements récents de l'économétre des panels non-statonnares et la méthode d'estmaton SUR ("Seemngly Unrelated Regresson"). Plus précsément, nous employons le test de racne en panel développé par Smth et al. (2004), basé sur des technques de "wld" bootstrap, ans que le test de contégraton de la seconde génératon proposé par Westerlund et Edgerton (2007), qu tous deux, permettent de tenr compte des éventuelles nterdépendances entre les pays consdérés. A notre connassance, une telle analyse n'a jamas été menée pour étuder les lens entre le prx du pétrole et le cours des actons dans les pays du GCC. La mse en œuvre de ces nouvelles méthodes sur un panel de données fnancères est préférable aux technques de séres temporelles standard pour reméder au problème aujourd'hu ben connu de la fable pussance des tests de racne untare et de contégraton usuels en petts échantllons (comme ce serat le cas c avec un peu plus de cent observatons). L'ajout de la dmenson ndvduelle à la dmenson temporelle usuelle présente en effet un ntérêt mportant pour l'analyse des séres non statonnares pusqu elle permet d'accrotre la pussance de ces tests [Baltag et Kao (2000)]. Par alleurs, et pusque l'nfluence du prx du pétrole sur le cours des actons requert d'être examnée pour chaque pays ndvduellement, une estmaton pays par pays est également nécessare. Dans cette optque, l'approche par la méthode SUR fournt des résultats spécfques pour chaque pays, ce qu complète ans l'analyse en panel. La sute de cet artcle s'organse comme sut. La secton 2 décrt brèvement les marchés des pays du GCC et le rôle du pétrole. La secton 3 présente la base de données et expose les résultats de l'analyse économétrque obtenus avec des tests de racne untare et de contégraton en panel de la seconde génératon et avec la méthode d'estmaton SUR. La secton 4 présente les prncpales mplcatons de nos résultats et la secton 5 fournt des éléments de concluson. 2. Les marches du CCG et le pétrole Le Tableau 1 présente les ndcateurs fnancers clés des marchés boursers dans les pays du CCG. Le CCG a été créé en 1981 et comprend sx pays: Bahreïn, Oman, Koweït, Qatar, Arabe Saoudte et les Emrats Arabes Uns (EAU). Les pays du CCG ont pluseurs smlartés économques. Ensemble, ls représentent envron 20% de la producton mondale de pétrole, ls contrôlent 36% des exportatons mondales de pétrole et ls ont 47% des réserves mondales prouvées. Les exportatons de pétrole détermnent en grande parte les recettes budgétares, les dépenses gouvernementales, les résultats des entreprses et la demande globale. Les contrbutons du pétrole au PIB varent de 22% (Bahreïn) à 1 Vor auss Smpson et al. (2004) et Poghosyan et Hesse (2009) qu étudent la relaton entre le pétrole et les marches boursers pour de nombreux pays dont certans pays du CCG. Globalement, leurs résultats sont hétérogènes. 3

4 44% (Arabe Saoudte). En outre, les pays du CCG sont des mportateurs de produts manufacturés de pays développés et émergents. Ans, les fluctuatons des prx du pétrole peuvent nfluer ndrectement sur les marchés du CCG par leur nfluence sur les prx des mportatons et l'augmentaton des prx du pétrole est souvent révélatrce de tensons nflatonnstes dans les économes du CCG. Ans, l étude de l effet global du prx du pétrole sur les prx des actfs fnancers dans les pays du CCG reste essentellement une queston emprque. L'Arabe saoudte est en tête de la régon en termes de captalsaton boursère. Cependant, en pourcentage du PIB, le Qatar est le leader. La captalsaton boursère dépasse le PIB de tous les pays, sauf Oman. Le Koweït a le plus grand nombre de socétés cotées, suv d'oman. Dans l'ensemble, les marchés boursers du CCG sont lmtés par pluseurs fablesses structurelles et réglementares: un nombre relatvement restrent de socétés cotées, une fable dversfcaton sectorelle, une fable lqudté et pluseurs autres lacunes. Cependant, au cours des dernères années, les marchés boursers des pays du CCG ont fat l objet de nombreuses réformes afn de les modernser et les lbéralser. 2 Tableau 1- Marchés boursers du CCG en 2006 Pays Nbre de socétés cotées* Captalsaton (mllards de $) Turnover (mllards de $) Captalsaton en % du PIB Contrbuton du pétrole au PIB Bahreïn Koweït Oman Qatar EAU Arabe S Sources: Arab Monetary Fund et Emergng Markets Database. Enfn, ben que les pays du CCG aent pluseurs caractérstques économques et poltques en commun, ls dépendent du pétrole à des degrés dfférents, de même, les efforts vsant à dversfer et lbéralser l'économe dffèrent d un pays à l autre. Le Bahreïn, par exemple, est mons dépendant du pétrole que l'arabe Saoudte ou le Koweït. D'alleurs, l est mportant de soulgner l exstence de pluseurs autres dfférences nsttutonnelles entre les pays du CCG. Par exemple, contrarement à d'autres marchés boursers du CCG, le marché saouden est fortement domné par des entreprses publques qu ne sont pas très actves sur le marché bourser. Le marché saouden est auss domné par des nsttutons fnancères très dépendantes des pays mportateurs du pétrole. En outre, le degré de transparence et la lqudté changent sensblement d un pays du CCG à l autre. Ans, la comparason des marchés boursers du CCG consttue un sujet ntéressant afn de comprendre les effets de ces dfférences nsttutonnelles sur la relaton entre le pétrole et les actfs fnancers. 3. Etude emprque 3.1. Données L'objectf de cet artcle est d'examner l'exstence d'une relaton à long terme entre les prx du pétrole et les marchés boursers dans les pays du CCG. Nous utlsons des données mensuelles fournes par le Fonds Monétare Arabe (FMA) sur la pérode Janver Décembre Il faut noter que les marchés boursers aux Emrats Arabes Uns et au Qatar ont été créés récemment et n ont pas partcpé à la base de données du FMA quand elle a commencé en Ans, les données que nous utlsons ne comporte que quatre des sx marchés boursers du CCG: Bahreïn, Koweït, Oman et l'arabe Saoudte 2 Pour plus de détals sur les marches boursers des pays du CCG, le lecteur pourra se référer à Assaf (2003), Creane et al. (2004), Neame (2005), Al-Khazal et al. (2006), Bley et Chen (2006), Hammoudeh et Cho (2007), Naceur et Ghazouan (2007), Hammoudeh et L (2008), Arour et Fouquau (2009) et Hammoudeh et al. (2009). 4

5 Pour le pétrole, nous utlsons le prx au comptant mensuel de l'opep. Ce prx est pondéré par le volume des exportatons et est obtenu à partr de l'energy Informaton Admnstraton (EIA). Tous les prx sont exprmés en dollars amércans. Les statstques descrptves des séres étudées sont présentées dans le Tableau 2. Le Panel A montre que l Arabe Saoudte présente la melleure rentablté boursère mensuelle suve par le Koweït et Oman. Le marché bourser omanas présente le nveau de rsque le plus élevé suv par l'arabe Saoudte et le Koweït. En moyenne, la rentablté du pétrole est plus élevée que les rentabltés des marchés boursers du CCG. Le coeffcent d asymétre (Skewness) est souvent négatf et la statstque du test de Jarque-Bera (JB) rejette fortement l'hypothèse de normalté, à l'excepton du Koweït et du pétrole. L hypothèse d absence d effets ARCH est rejetée pour toutes les séres, sauf pour Oman et l'arabe Saoudte, alors que l hypothèse d absence d autocorrélatons sérelles est rejetée pour le Koweït. Tableau 2: Statstques descrptves Panel A: Statstques descrptves Pétrole Bahreïn Koweït Oman Arabe S. Moyenne Ecart-type Skewness Kurtoss Jarque-Bera *** *** *** Q(6) ** ARCH(6) ** *** Panel B: Corrélatons avec le pétrole Bahreïn Koweït Oman Arabe S. OIL Notes:*, ** et *** ndque le rejet de l hypothèse nulle respectvement à 10%, 5% et 1%. Q(6) et ARCH(6) sont respectvement le test de Ljung-Box d auto-corrélaton d ordre 6 et le test d effet ARCH d ordre 6. Le Panel B reporte les corrélatons entre les varatons du prx du pétrole et les rentabltés boursères des marchés des pays du CCG. Ces corrélatons sont fables, mas postves en moyenne. Elles varent de 0,03 (Koweït) à 0,07 (Bahreïn) Tests de racne untare en panel La lttérature concernant les tests de racne untare et de contégraton en panel a connu d'mportants développements ces dernères années et dstnguent entre les tests de la premère génératon reposant sur l'hypothèse d'ndépendance nter-ndvduelle des ndvdus du panel (à l'excepton des effets temporels communs), et les tests de la seconde génératon, ntégrant dverses formes possbles de dépendances nter-ndvduelles. Il est aujourd hu ben connu que les données de panel permettent de travaller avec des échantllons de pette talle dans la dmenson temporelle, en consdérant un nombre mportants d observatons dans la dmenson ndvduelle, ce qu dmnue de fat la probablté d être confronté à des ruptures structurelles et permet en outre de reméder au problème classque de la fable pussance des tests en pett échantllon. Pour tester l'exstence d nterdépendance entre les pays du Golfe, nous avons ms en œuvre le test de Pesaran (2004) et avons calculé le statstque CD. Son hypothèse nulle est l'absence d nterdépendance entre les pays et sous H 0 la statstque de test est asymptotquement dstrbuée suvant une lo normale. Nos résultats 3 ndquent que l'hypothèse nulle est toujours rejetée quelque sot le nombre de retards nclus dans la régresson auxlare augmentée de Dckey-Fuller (jusqu'à cnq retards), au nveau de sgnfcatvté de cnq pourcents. Cec confrme que 3 Ces résultats, non reportés c en rason d une longueur d artcle lmtée, sont dsponbles sur smple demande. 5

6 les pays du CCG sont, comme attendu, très nterdépendants, ce qu peut refléter l'exstence de règlementatons semblables dans pluseurs domanes (au nveau économque, fnancer, commercal, tourstque, légslatf, et admnstratf), une coopératon économque, fscale et poltque mportante, ans qu une ntégraton fnancère sans cesse plus poussée. Pour détermner l ordre d ntégraton de nos séres (prx du pétrole, et cours des actons), dans notre panel de pays du CCG, nous utlsons les tests de racne untare de la seconde génératon proposés par Smth et al. (2004), basés sur une méthode de Seve bootstrap, qu tennent compte à la fos de la talle de l échantllon et de la possble nterdépendance entre les pays, en générant des valeurs crtques spécfques aux caractérstques du panel étudé. Ces tests sont notés c respectvement t, LM, max, et mn. Chacun de ces tests suppose, sous l hypothèse nulle, l exstence d une racne untare pour tous les pays du panel et des racnes autorégressves hétérogènes nféreures à l unté pour chaque pays sous l hypothèse alternatve. Ans, en cas de rejet de l hypothèse nulle, on peut en dédure qu un pays du panel au mons ne possède pas de racne untare et est donc statonnare 4. Les résultats reportés dans le Tableau 3, suggèrent que l hypothèse nulle de racne untare ne peut pas être rejetée aux nveaux de sgnfcatvté usuels pour nos deux séres consdérées et cela pour les quatre tests 5. Nous pouvons donc conclure que toutes nos séres sont ntégrées d ordre un dans notre panel comportant 4 pays du CCG. Tableau 3 Résultats des tests en panel de Smth et al. (2004) pour les séres de prx du pétrole et d ndces boursers * Test Statstque (a) P-value Bootstrap * Prx du pétrole Statstque (b) P-value Bootstrap * Statstque (a) Indces boursers P-value Bootstrap * Statstque (b) P-value Bootstrap * t LM max mn Notes: a- Modèle ncluant une constante. b- Modèle ncluant une constante et un trend lnéare. * Le rejet de l hypothèse nulle de non-statonnarté (pour une sére donnée) pour l ensemble des pays du panel, ndque la statonnarté de cette sére pour au mons l un des pays du panel. Les p-values bootstrap sont, dans chacun des cas, basées sur 5000 smulatons Tests de contegraton en panel Les séres de prx du pétrole et de cours des actons étant ntégrées d ordre 1, nous mplémentons le test de contégraton en panel (de la seconde génératon) développé par Westerlund et Edgerton (2007), afn de tester l exstence d une relaton de long terme entre le prx du pétrole le cours des actons des pays du CCG (en accord avec l équaton (1): Lstock t Lol t t, où 1,...,N désgne le pays, et t t 1,...,T la pérode, Lstock la sére d ndces boursers en logarthme, et Lol le prx du pétrole en logarthme). A la dfférence des tests de contégraton en panel proposés par Pedron (1999, 2004), et généralsés par Banerjee et Carron--Slvestre (2006), ou 4 Le test t est une verson bootstrap du test de panel mantenant ben connu (de la premère génératon) développé par Im, Pesaran and Shn (IPS, 2003). Les tros autres tests sont smplement des versons modfées du test d IPS. Pour davantage de détals sur la constructon de ces tests, nous renvoyons le lecteur ntéressé à Smth et al. (2004). 5 Les tests effectués sur les séres en dfférence premère confrment l hypothèse de statonnarté. En outre, afn d étuder la robustesse de nos résultats, nous avons également ms en œuvre les tests de racne untare de Ba et Ng (2004), de Smth et al.(2004), de Moon et Perron (2004), de Cho (2006), et de Pesaran (2007), qu confrment tous la non-statonnarté stochastque de nos deux séres en accord avec les résultats obtenus avec le test de Smth et al. (2004). Ces résultats sont dsponbles sur smple demande. 6

7 celu de Gengenbach et al (2006), ce test présente l avantage de consdérer sous l hypothèse nulle l exstence d une relaton de contégraton pour l ensemble des pays composant le panel. Ans, en cas de non rejet de cette l hypothèse, on peut en conclure à l exstence d une relaton de long terme pour l ensemble des pays du CCG, ce qu est crucal pour en dédure une estmaton des paramètres de l équaton (1). En revanche, l utlsaton des autres tests mentonnés précédemment, poserat c le problème qu un seul pays pourrat être la cause du rejet de l hypothèse nulle d absence d exstence d une relaton de contégraton pour tous les pays du panel, ce qu n mplquerat pas nécessarement que la relaton (1) serat valde pour l ensemble des pays du CCG. Qu plus est, cette méthodologe ne serat pas alors nformatve, pusqu elle ne fournrat aucune nformaton, en cas de rejet de l hypothèse nulle, concernant le (ou les) pays à l orgne de ce rejet. Le test développé par Westerlund et Edgerton (2007) est une extenson du test du multplcateur de Lagrange aujourd hu ben connu de McCoskey et Kao (1998), et permet de prendre en compte les éventuelles corrélatons pouvant exster entre les pays du panel consdéré. En outre, utlsant une méthode de Seve bootstrap, l présente l avantage de rédure de manère très mportante les dstorsons de talle par rapport l utlsaton de la dstrbuton asymptotque (la lo normale), en générant des valeurs crtques spécfques aux caractérstques du panel de pays. Il est donc beaucoup plus fable que les tests de contégraton en panel de la premère génératon, qu reposent pour la plupart, sur l utlsaton de valeurs crtques ssues de la lo normale. Les résultats de ce test reportés dans le tableau 4 pour un modèle comportant une constante mettent clarement en évdence l exstence d une relaton de contégraton entre le prx du pétrole et le cours des actons pour notre panel de 4 pays du CCG. Ce résultat est cependant basé sur l utlsaton des p- values asymptotques qu reposent sur l hypothèse d absence de dépendance nter-ndvduelle entre les pays du CCG, hypothèse qu n est pas vérfée c pour les pays du CCG pour lesquels l exste de fortes dépendances économques (cf nfra). C est la rason pour laquelle l est préférable de s en référer aux p-values bootstrap qu tennent compte à la fos de la talle fne de l échantllon, et de la possble dépendance entre les pays. Dans ce cas, les conclusons des tests sont plus mmédates, et s l on retent un nveau de sgnfcatvté de 10%, on en conclue à l exstence d une relaton de long terme entre le prx du pétrole et le cours des actons pour notre panel de 4 pays du CCG 6. Ce résultat mplque en partculer, que dans le long terme, le prx du pétrole et le cours des actons évoluent de manère smlare dans les pays du CCG. Les forces qu agssent sur les marchés du CCG sont en parte celles qu nfluent sur le prx du pétrole, essentellement les nterventons de l'opep, la crossance économque mondale, ans que les tensons socopoltques natonales, régonales et nternatonales. Tableau 4 Résultats des tests de contegraton en panel de Westerlund and Edgerton (2007) entre le prx du pétrole et les Indces boursers (selon la spécfcaton de l équaton 1) # Stat-LM p-value Asymptotque p-value Bootstrap Modèle ncluant une constante Notes: Le bootstrap est basé sur 2000 smulatons. a - L hypothèse nulle du test est l exstence d une relaton de long terme entre le prx du pétrole et les marchés boursers (cf. équaton 1) pour tous les pays du CCG. Les coeffcents estmés de l équaton (1) sont reportés dans le tableau 5. 6 Il est à noter que nous avons également consdéré le cas de contégraton en présence de ruptures structurelles en utlsant le test du Multplcateur de Lagrange (LM) proposé par Westerlund (2006) qu teste l hypothèse nulle de contégraton pour tous les pays consdérés smultanément, et qu tent compte de l nterdépendance entre les pays consdéré en smulant les valeurs crtques par une méthode de bootstrap. Nos Résultats, non reportés c afn de préserver de l espace, confrment l exstence d une relaton de contégraton entre le prx du pétrole et le cours des actons pour les pays du CCG, au nveau de sgnfcatvté de cnq pourcents, tout en ne détectant aucune rupture structurelle. 7

8 Tableau 5 Coeffcents estmés pour le panel de pays du CCG (Relaton moyenne) Coeffcents t-statstque Probablté dans équaton (1) Note: Panel cylndré, 575 observatons au total. Nos estmatons en panel montrent, comme prévu, que le coeffcent est sgnfcatvement postf. L élastcté du marché bourser au prx du pétrole est nféreure à 1, mas l effet d un choc sur le prx du pétrole est non néglgeable : une hausse de 10% du prx du pétrole entraîne en moyenne une apprécaton de 6.29% des marchés boursers des pays du CCG Estmaton SUR Comme l exste une relaton de contégraton pour chacun des pays du GCC dans notre panel, nous estmons à présent l équaton: Lstock t Lolt t, =1,,N; t=1,,t (2), par la méthode SUR développée par Zellner (1962) qu permet de prendre en compte les nterdépendances exstants entre les pays. Cette manère de procéder nous permet d obtenr une estmaton des coeffcents ndvduels β dans un cadre de panel et d étuder par conséquent l nfluence du prx du pétrole sur le cours des actons de chaque pays prs séparément. Les résultats de ces estmatons SUR sont reportés dans le tableau 6. Bahreïn Koweït Oman Tableau 6 Estmaton SUR pour le panel de pays du GCC Pays Coeffcents, t-statstque Probablté dans l équaton. (2) Arabe Saoudte Note: Panel cylndré, 575 observatons au total. Au nveau pays, la relaton entre la varaton du prx du pétrole et la rentablté boursère est postve pour tous les pays du CCG, à l'excepton de l'arabe saoudte. Pluseurs dfférences économques et nsttutonnelles entre le marché saouden et les autres marchés du CCG pourraent explquer ce résultat. En effet, le marché bourser saouden est très concentré et est largement domné par le secteur fnancer. Ce derner est très lé aux marchés fnancers des pays occdentaux mportateurs du pétrole. Ce manque de dversfcaton peut explquer la corrélaton négatve qu a été observée dans les dernères années entre les prx du pétrole et l'ndce du marché bourser saouden. En outre, l'arabe Saoudte est le plus grand marché du CCG, mas son économe est trop dépendante des pays mportateurs de pétrole et souffre plus que les autres pays du CCG de l'nflaton mportée et des pressons économques. Enfn, l est mportant de mentonner que contrarement aux autres marchés 8

9 boursers du CCG, le marché saouden est domné par des entreprses publques peu actves sur le marché. Ce qu rend le marché peu lqude et peut compromettre les opératons d arbtrage et de spéculaton et donc le fonctonnement normal du marché bourser saouden. Pour fnr, nous mettons en œuvre des tests de Wald, qu consttuent un moyen de mettre en évdence des comportements communs pour des sous-groupes de pays, et de tester l hypothèse d homogénété des entre les pays. Par exemple, l on peut chercher à regrouper les pays, selon leur coeffcent estmé (pett ou grand). Les résultats de ces tests sont reportés dans le tableau 7. Tableau 7 Test d homogénété des β entre les pays Panel/ groupe de pays statstque Probablté du Ch-deux =1 pour tous les pays du GCC = pour tous les pays du GCC =1 pour tous les pays du GCC À l excepton de l Arabe Saoudte = pour tous les pays du GCC À l excepton de l Arabe Saoudte 1 = 5 et 2 = Ben que l hypothèse nulle d homogénété (et de coeffcent untare) dans la relaton de contégraton sot toujours rejetée pour l ensemble du panel de pays du GCC, cette hypothèse est vérfée pour certans sous-groupes de pays. Par exemple, l on observe que l hypothèse nulle d homogénété des, c est à dre la smlarté dans les réponses des marches boursers des pays du GCC, n est pas rejetée pour le Bahreïn, le Koweït et Oman consdérés smultanément. Néanmons, malgré l exstence de fortes smlartés et de lens économques forts entre nos 4 pays du GCC, leurs marchés boursers ont des sensbltés dfférentes aux varatons du prx du pétrole. Enfn, nos résultats suggèrent que les marchés du CCG ont un potentel dversfant mportant et consttuent des bons canddats à la dversfcaton nternatonale de portefeulle. 4- Implcatons de nos résultats En théore, les fluctuatons du prx du pétrole affectent les cours des actons par leurs effets sur les prévsons des bénéfces futurs des entreprses ans que sur le taux d'actualsaton. Dans la dernère décenne, tant les chercheurs que les pratcens ont tenté de trouver un cadre pratque qu dentfe comment les prx du pétrole affectent les cours des actons. Toutefos, ls ne se sont pas parvenus à un consensus général. En utlsant des nouvelles technques économétrques robustes, nos résultats montrent l'exstence de fortes relatons à long terme entre le prx du pétrole et quatre marchés boursers du CCG et que la hausse du prx du pétrole a un effet postf sur le cours des actons dans la plupart des pays du CCG. Nos résultats ont des mplcatons mportantes tant pour les chercheurs que pour les acteurs du marché. Tout d'abord, nos résultats suggèrent qu une voe ntéressante de dversfcaton nternatonale de portefeulle conssterat à nvestr smultanément dans les actons des pays mportateurs de pétrole (comme la plupart des pays développés) et des pays exportateurs de pétrole (comme les pays du CCG). En effet, nos résultats montrent que les actons de la plupart des pays du CCG ont des sensbltés postves à l'évoluton du prx du pétrole. Ces actons peuvent être ncluses dans un portefeulle d'actons de pays mportateurs de pétrole, généralement avec des sensbltés négatves à l'évoluton du prx du pétrole. Une telle stratége devrat condure à un rsque plus fable, étant donné que le portefeulle consttué est fablement affecté par les chocs des prx du pétrole. Deuxèmement, l'exstence d'une relaton stable à long terme entre les prx du pétrole et les cours boursers dans les pays du CCG suggère, du pont de vue des nvestssements, que le marché du 9

10 pétrole et les marchés boursers du CCG sont plutôt ntégrés. Cec mplque que les gans attendus d une stratége d nvestssement en actons des pays du CCG et en pétrole sont décrossants. Ans, les nvestsseurs des pays du CCG devraent chercher à l'étranger pour de nouvelles opportuntés d'nvestssement en vue de consttuer des portefeulles effcents. Toutefos, les nvestsseurs des pays développés et des autres pays émergents peuvent nvestr une parte de leur rchesse dans les pays du CCG afn de rédure les effets de la hausse des prx du pétrole sur leur rentablté. Trosèmement, la relaton sgnfcatve entre le prx du pétrole et les cours des actons mplque un certan degré de prévsblté sur les marchés boursers du CCG. Sur la base de l antcpaton de l évoluton du marché pétroler (antcpatons des évolutons de l offre, de la demande et des condtons du marché du pétrole), on peut prévor la varaton future du prx du pétrole et ans ses effets sur les prx des actfs fnancers dans les marchés du CCG. Ans, des stratéges effcaces de spéculaton et d'arbtrage peuvent être élaborés à la lumère de nos résultats emprques. Enfn, nos résultats montrent que les varatons du prx du pétrole affectent de manère sgnfcatve les marchés boursers dans les pays du CCG. Les marchés boursers sont le baromètre de l'actvté économque et reflètent fortement le sentment des consommateurs et des nvestsseurs. Ans, les pays du CCG, en tant qu acteurs prncpaux de l'opep, dovent accorder une attenton partculère à la façon dont leurs décsons au sen de l OPEP affectent le prx du pétrole et ans leurs propres économes et marchés boursers. 5- Concluson L objet de ce traval état de tester l exstence d une relaton de long terme entre le prx du pétrole et le cours des actons dans les pays du GCC en moblsant des tests de racne untare et de contégraton en panel de la seconde génératon (tenant compte des éventuelles nterdépendances exstants entre les pays du GCC), et la méthode d estmaton SUR, ce qu à notre connassance n avat jamas été réalsé auparavant dans ce contexte. Ces pays étant des acteurs majeurs du marché mondal de l'énerge, leurs marchés boursers devraent être sensbles aux chocs affectant le prx du pétrole. En utlsant une base de données mensuelle, couvrant la pérode de janver 1996 à décembre 2007, notre étude met en évdence l'exstence d'une relaton de contégraton entre le prx du pétrole et le cours des actons dans les pays du CCG. Nos résultats sont d'ntérêt majeur pour les chercheurs, les régulateurs et les acteurs du marché. En partculer, la plupart des pays du CCG en tant que membres de l'opep devraent être vglants aux effets des décsons prses sur le prx du pétrole et donc sur leurs propres économes et marchés boursers. Pour les nvestsseurs, la relaton sgnfcatve entre les prx du pétrole et des marchés boursers mplque un certan degré de prévsblté sur les marchés boursers du CCG. Nos résultats suggèrent pluseurs pstes de recherche future. Premèrement, l est rasonnable de penser que le len à long terme entre le pétrole et les marchés boursers dans les pays du CCG peut varer d'un secteur économque à l autre. Une analyse sectorelle de ce len serat donc ntéressante. Deuxèmement, les méthodes économétrques utlsées dans cet artcle peuvent être utlsées pour examner les effets d autres produts énergétques, comme le gaz naturel, sur l évoluton des marchés boursers. Enfn, d'autres travaux recherches pourraent examner les lens de causalté lnéares et non lnéares entre les prx des produts énergétques, les poltques monétares et les marchés boursers dans les pays mportateurs et exportateurs de pétrole. 10

11 Références bblographques Al-Khazal, O., Darat, A.F. et Saad, M., 2006, Intra-regonal ntegraton of the GCC stock markets: The role of market lberalzaton, Appled Fnancal Economcs 16, Alou, C. et Jammaz, R., 2009, The effects of crude ol shocks on stock market shfts behavour: A regme swtchng approach. Energy Economcs 31, AROURI M (2006), " La prme de rsque dans un cadre nternatonal: le rsque de change estl apprécé?", Fnance, 27(1), AROURI M, FOUQUAU J (2009), "On the Short-Term Influence of Ol Prce Changes on Stock Markets n GCC Countres: Lnear and Nonlnear Analyses ", Economcs Bulletn, vol.29(2), Assaf, A., 2003, Transmsson of stock prce movements: The case of GCC stock markets, Revew of Mddle East Economcs and Fnance 1, Ba, J., et Ng, S., A PANIC Attack on Unt Roots and Contegraton, Econometrca, 72 (4), Balaz, P., et Londarev, A., Ol and ts poston n the process of globalzaton of the world economy. Poltcka Ekonome 54 (4), Baltag, B. H., et Kao, C., 2000, Nonstatonary Panels, Contegraton n Panels and. Dynamc Panels: A Survey, Advances n Econometrcs, 15, Banerjee, A. et Carron--Slvestre, J Contegraton n Panel Data wth Breaks and Cross-secton Dependence, European Central Bank, Workng Paper 591, February. Bashar, Z., Wld ol prces, but brave stock markets! The case of Gulf Cooperaton Councl (GCC) stock markets, Mddle East Economc Assocaton Conference, Duba. Basher, S. A. et P. Sadorsky, Ol Prce Rsk and Emergng Stock Markets, Global Fnance Journal, 17, Bley, J. et Chen, K.H., 2006, Gulf Cooperaton Councl (GCC) stock markets: The dawn of a new era, Global Fnance Journal 17, Cho, I., Combnaton Unt Root Tests for Cross-sectonally Correlated Panels, n Corbae, D., Durlauf, S. and Hansen, B. (eds), Econometrc Theory and Practce: Fronters of Analyss and Cologn, A. et M. Manera, Ol prces, nflaton and nterest rates n a structural contegrated VAR model for the G-7 countres. Energy Economcs, 30, Creane, S., Goyal, R., Mobarak, A.M. et Sab, R., Fnancal sector development n the Mddle East and North Afrca, Workng Paper n 04/102, IMF, Washngton, DC. Cunado, J., et Perez de Garca, F., Ol prces, economc actvty and nflaton: evdence for some Asan countres. The Quarterly Revew of Economcs and Fnance 45 (1), Fasano, U., et Iqbal, Z., 2003, GCC Countres: from ol dependence to dversfcaton, Internatonal Monetary Fund, Washngton D.C. Gengenbach C., Palm F.C. et Urban J-P. (2006). Contegraton Testng n Panels wth Common Factors. Oxford Bulletn of Economcs and Statstcs, 68, Gronwald, M., Large ol shocks and the US economy: Infrequent ncdents wth large effects, Energy Journal, 29, Hammoudeh, S. et Alesa, E., Dynamc relatonshp among GCC stock markets and NYMEX ol futures, Contemporary Economc Polcy, Vol. 22, pp Hammoudeh, S. et Cho, K., 2007, Characterstcs of permanent and transtory returns n ol senstve emergng stock markets: The case of GCC countres, Internatonal Fnancal Markets, Insttutons and Money 17, Hammoudeh, S. et K. Cho, 2006, Behavor of GCC Stock Markets and Impacts of US Ol and Fnancal Markets, Research n Internatonal Busness and Fnance, Vol. 20 no. 1, Hammoudeh, S. et L, H., 2008, Sudden changes n volatlty n emergng markets: The case of Gulf Arab stock markets, Internatonal Revew of Fnancal Analyss 17,

12 Hammoudeh, S., Yuan, Y. and McAleer, M., Shocks and volatlty spllovers among equty sectors of the Gulf Arab stock markets, Quarterly Revew of Economcs and Fnance 49, Huang, R. D., Masuls, R. W., et H. R. Stoll, Energy shocks and fnancal markets, Journal of Futures Markets, 16, Im, K., Pesaran, M. et Shn, Y., Testng for Unt Roots n Heterogeneous Panels, Journal of Econometrcs, 115 (1), Im, K.-S.; Lee, J. et Teslau, M., Panel LM unt-root tests wth level shfts. Oxford Bulletn of Economcs and Statstcs, 67 (3), Jammaz, R. et Alou, C., 2010, Wavelet decomposton and regme shfts: Assessng the effects of crude ol shocks on stock market returns. Energy Polcy 38, Jones, C.M. et Kaul, G., Ol and the Stock Markets, Journal of Fnance, vol. 51, n 2, pp Klan, L. et Park, C., 2009, The mpact of ol prce shocks on the US stock market. Internatonal Economc Revew 50, Klan, L., Exogenous Ol Supply Shocks: How Bg Are They and How Much Do They Matter for the US Economy?, Revew of Economcs and Statstcs, 90, Lardc, S. et Mgnon, V., 2006, The mpact of ol prces on GDP n European countres: An emprcal nvestgaton based on asymmetrc contegraton, Energy Polcy, vol. 34(18), Lardc, S. et Mgnon, V., 2008, Ol prces and economc actvty: An asymmetrc contegraton approach, Energy Economcs, vol. 30(3), McCoskey, S. et Kao, C., A Resdual-Based Test of the Null of Contegraton n Panel Data, Econometrc Revews, 17 (1), Mller J.I. et Ratt R.A. 2009, Crude ol and stock markets: Stablty, nstablty, and bubbles. Energy Economcs 31, Moon, H. et Perron, B., Testng for a Unt Root n Panels wth Dynamc Factors, Journal of Econometrcs, 122 (1), Naceur, S.B. et Ghazouan, S., Stock markets, banks, and economc growth: emprcal evdence from MENA regon, Research n Internatonal Busness and Fnance, Vol. 21, pp Neame, S., Fnancal market ntegraton and macroeconomc volatlty n the MENA regon: an emprcal nvestgaton, Revew of Mddle East Economcs and Fnance, Vol. 3, pp Odusam B.O., 2009, Crude ol shocks and stock market returns. Appled Fnancal Economcs, 19, Onour, I.A., 2008, What drves the short-term GCC stock market returns? Emprcal evdence from fat-taled dstrbutons, Afro-Asan Journal of Fnance and Accountng 1, Papapetrou, E., Ol Prce Shocks, Stock Market, Economc Actvty and Employment n Greece, Energy Economcs, 23, Pedron, P., 1999, Crtcal Values for Contegratng Tests n Heterogeneous Panels wth Multple Regressors, Oxford Bulletn of Economcs and Statstcs, 61 (1), Pedron, P., 2004, Panel Contegraton; Asymptotc and Fnte Sample Propertes of Pooled Tme Seres Tests wth an Applcaton to the Purchasng Power Party Hypothess, Econometrc Theory, 20 (3), Pesaran, M., General Dagnostc Tests for Cross Secton Dependence n Panels, Cambrdge Workng Papers n Economcs, No 435, Unversty of Cambrdge. Pesaran, M., 2007, A Smple Panel Unt Root Test n the Presence of Cross Secton Dependence, Journal of Appled Econometrcs, 22 (2), Poghosyan, T. et Hesse, H., 2009, Ol prces and bank proftablty: Evdence from major olexportng countres n the Mddle East and North Afrca, IMF Workng Paper No. 09/220. Sadorsky, P., Ol Prce Shocks and Stock Market Actvty, Energy Economcs, vol. 2, pp

13 Sephton, P.S., Response Surface Estmates of the KPSS Statonarty Test', Economcs Letters 47, Smpson, J., Husan, T. et Evans, J., 2004, The mportance of the relatonshp between OPEC ol prces and GCC bankng stock returns, Unversty of Wollongong n Duba Workng Paper No. 21/2004. Smth, V., Leybourne, S. et Km, T.-H., More Powerful Panel Unt Root Tests wth an Applcaton to the Mean Reverson n Real Exchange Rates, Journal of Appled Econometrcs 19, Westerlund, J. et Edgerton, D., 2007, A Panel Bootstrap Contegraton Test, Economcs Letters, 97, , Westerlund, J., 2006, Testng for Panel Contegraton wth Multple Structural Breaks, Oxford Bulletn of Economcs and Statstcs, 68, Westerlund, J., Testng for Panel Contegraton wth Multple Structural Breaks, Oxford Bulletn of Economcs and Statstcs, 68, Zarour, B.A., 2006, Wld ol prces, but brave stock markets! The case of GCC stock markets, Operatonal Research: An Internatonal Journal 6, Zellner, A., An effcent method of estmatng seemngly unrelated regressons and tests of aggregaton bas, Journal of the Amercan Statstcal Assocaton, 57,

Intégration financière et croissance économique : évidence empirique dans. la région MENA

Intégration financière et croissance économique : évidence empirique dans. la région MENA Décembre 2011 Volume 6, No.2 (pp. 115-131) Zouher Abda Revue Congolase d Econome Intégraton fnancère et crossance économque : évdence emprque dans la régon MENA Zouher ABIDA * Résumé: L objectf de cet

Plus en détail

CREATION DE VALEUR EN ASSURANCE NON VIE : COMMENT FRANCHIR UNE NOUVELLE ETAPE?

CREATION DE VALEUR EN ASSURANCE NON VIE : COMMENT FRANCHIR UNE NOUVELLE ETAPE? CREATION DE VALEUR EN ASSURANCE NON VIE : COMMENT FRANCHIR UNE NOUVELLE ETAPE? Boulanger Frédérc Avanssur, Groupe AXA 163-167, Avenue Georges Clémenceau 92742 Nanterre Cedex France Tel: +33 1 46 14 43

Plus en détail

Afflux de capitaux, taux de change réel et développement financier : évidence empirique pour les pays du Maghreb

Afflux de capitaux, taux de change réel et développement financier : évidence empirique pour les pays du Maghreb Global Journal of Management and Busness Research Volume Issue Verson.0 November 20 Type: Double Blnd Peer Revewed Internatonal Research Journal Publsher: Global Journals Inc. (USA) Onlne ISSN: 2249-4588

Plus en détail

Assurance maladie et aléa de moralité ex-ante : L incidence de l hétérogénéité de la perte sanitaire

Assurance maladie et aléa de moralité ex-ante : L incidence de l hétérogénéité de la perte sanitaire Assurance malade et aléa de moralté ex-ante : L ncdence de l hétérogénété de la perte santare Davd Alary 1 et Franck Ben 2 Cet artcle examne l ncdence de l hétérogénété de la perte santare sur les contrats

Plus en détail

EH SmartView. Identifiez vos risques et vos opportunités. www.eulerhermes.be. Pilotez votre assurance-crédit. Services en ligne Euler Hermes

EH SmartView. Identifiez vos risques et vos opportunités. www.eulerhermes.be. Pilotez votre assurance-crédit. Services en ligne Euler Hermes EH SmartVew Servces en lgne Euler Hermes Identfez vos rsques et vos opportuntés Plotez votre assurance-crédt www.eulerhermes.be Les avantages d EH SmartVew L expertse Euler Hermes présentée de manère clare

Plus en détail

Contrats prévoyance des TNS : Clarifier les règles pour sécuriser les prestations

Contrats prévoyance des TNS : Clarifier les règles pour sécuriser les prestations Contrats prévoyance des TNS : Clarfer les règles pour sécurser les prestatons Résumé de notre proposton : A - Amélorer l nformaton des souscrpteurs B Prévor plus de souplesse dans l apprécaton des revenus

Plus en détail

Les prix quotidiens de clôture des échanges de quotas EUA et de crédits CER sont fournis par ICE Futures Europe

Les prix quotidiens de clôture des échanges de quotas EUA et de crédits CER sont fournis par ICE Futures Europe Méthodologe CDC Clmat Recherche puble chaque mos, en collaboraton avec Clmpact Metnext, Tendances Carbone, le bulletn mensuel d nformaton sur le marché européen du carbone (EU ETS). L obectf de cette publcaton

Plus en détail

Calculer le coût amorti d une obligation sur chaque exercice et présenter les écritures dans les comptes individuels de la société Plumeria.

Calculer le coût amorti d une obligation sur chaque exercice et présenter les écritures dans les comptes individuels de la société Plumeria. 1 CAS nédt d applcaton sur les normes IAS/IFRS Coût amort sur oblgatons à taux varable ou révsable La socété Plumera présente ses comptes annuels dans le référentel IFRS. Elle détent dans son portefeulle

Plus en détail

Impôt sur la fortune et investissement dans les PME Professeur Didier MAILLARD

Impôt sur la fortune et investissement dans les PME Professeur Didier MAILLARD Conservatore atonal des Arts et Méters Chare de BAQUE Document de recherche n 9 Impôt sur la fortune et nvestssement dans les PME Professeur Dder MAILLARD Avertssement ovembre 2007 La chare de Banque du

Plus en détail

LE RÉGIME DE RETRAITE DU PERSONNEL CANADIEN DE LA CANADA-VIE (le «régime») INFORMATION IMPORTANTE CONCERNANT LE RECOURS COLLECTIF

LE RÉGIME DE RETRAITE DU PERSONNEL CANADIEN DE LA CANADA-VIE (le «régime») INFORMATION IMPORTANTE CONCERNANT LE RECOURS COLLECTIF 1 LE RÉGIME DE RETRAITE DU PERSONNEL CANADIEN DE LA CANADA-VIE (le «régme») INFORMATION IMPORTANTE CONCERNANT LE RECOURS COLLECTIF AVIS AUX RETRAITÉS ET AUX PARTICIPANTS AVEC DROITS ACQUIS DIFFÉRÉS Expédteurs

Plus en détail

Les jeunes économistes

Les jeunes économistes Chaptre1 : les ntérêts smples 1. défnton et calcul pratque : Défnton : Dans le cas de l ntérêt smple, le captal reste nvarable pendant toute la durée du prêt. L emprunteur dot verser, à la fn de chaque

Plus en détail

Documents de travail. «La taxe Tobin : une synthèse des travaux basés sur la théorie des jeux et l économétrie» Auteurs

Documents de travail. «La taxe Tobin : une synthèse des travaux basés sur la théorie des jeux et l économétrie» Auteurs Documents de traval «La taxe Tobn : une synthèse des travaux basés sur la théore des jeux et l économétre» Auteurs Francs Bsmans, Olver Damette Document de Traval n 2012-09 Jullet 2012 Faculté des scences

Plus en détail

Dirigeant de SAS : Laisser le choix du statut social

Dirigeant de SAS : Laisser le choix du statut social Drgeant de SAS : Lasser le chox du statut socal Résumé de notre proposton : Ouvrr le chox du statut socal du drgeant de SAS avec 2 solutons possbles : apprécer la stuaton socale des drgeants de SAS comme

Plus en détail

Plan. Gestion des stocks. Les opérations de gestions des stocks. Les opérations de gestions des stocks

Plan. Gestion des stocks. Les opérations de gestions des stocks. Les opérations de gestions des stocks Plan Geston des stocks Abdellah El Fallah Ensa de Tétouan 2011 Les opératons de gestons des stocks Les coûts assocés à la geston des stocks Le rôle des stocks Modèle de la quantté économque Geston calendare

Plus en détail

Remboursement d un emprunt par annuités constantes

Remboursement d un emprunt par annuités constantes Sére STG Journées de formaton Janver 2006 Remboursement d un emprunt par annutés constantes Le prncpe Utlsaton du tableur Un emprunteur s adresse à un prêteur pour obtenr une somme d argent (la dette)

Plus en détail

EURIsCO. Cahiers de recherche. Cahier n 2008-05. L épargne des ménages au Maroc : Une analyse macroéconomique et microéconomique.

EURIsCO. Cahiers de recherche. Cahier n 2008-05. L épargne des ménages au Maroc : Une analyse macroéconomique et microéconomique. Cahers de recherche EURIsCO Caher n 2008-05 L épargne des ménages au Maroc : Une analyse macroéconomque et mcroéconomque Rapport d étude Najat El Mekkaou de Fretas (coordnateur) Eursco Unversté Pars Dauphne

Plus en détail

I. Présentation générale des méthodes d estimation des projets de type «unité industrielle»

I. Présentation générale des méthodes d estimation des projets de type «unité industrielle» Evaluaton des projets et estmaton des coûts Le budget d un projet est un élément mportant dans l étude d un projet pusque les résultats économques auront un mpact sur la réalsaton ou non et sur la concepton

Plus en détail

MÉTHODES DE SONDAGES UTILISÉES DANS LES PROGRAMMES D ÉVALUATIONS DES ÉLÈVES

MÉTHODES DE SONDAGES UTILISÉES DANS LES PROGRAMMES D ÉVALUATIONS DES ÉLÈVES MÉTHODES DE SONDAGES UTILISÉES DANS LES PROGRAMMES D ÉVALUATIONS DES ÉLÈVES Émle Garca, Maron Le Cam et Therry Rocher MENESR-DEPP, bureau de l évaluaton des élèves Cet artcle porte sur les méthodes de

Plus en détail

UNE ETUDE ECONOMÉTRIQUE DU NOMBRE D ACCIDENTS

UNE ETUDE ECONOMÉTRIQUE DU NOMBRE D ACCIDENTS BRUSSELS ECONOMIC REVIEW - CAHIERS ECONOMIQUES DE BRUXELLES VOL. 49 - N 2 SUMMER 2006 UNE ETUDE ECONOMÉTRIQUE DU NOMBRE D ACCIDENTS DANS LE SECTEUR DE L ASSURANCE AUTOMOBILE* MARÍA DEL CARMEN MELGAR**

Plus en détail

Les déterminants de la détention et de l usage de la carte de débit : une analyse empirique sur données individuelles françaises

Les déterminants de la détention et de l usage de la carte de débit : une analyse empirique sur données individuelles françaises Les détermnants de la détenton et de l usage de la carte de débt : une analyse emprque sur données ndvduelles françases Davd Boune Marc Bourreau Abel Franços Jun 2006 Département Scences Economques et

Plus en détail

MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES

MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES Un Peuple - Un But Une Fo MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES DIRECTION DE LA PREVISION ET DES ETUDES ECONOMIQUES Document de traval N 03 GESTION DU RISQUE DE CREDIT ET FINANCEMENT DES ECONOMIES DE

Plus en détail

Les déterminants de la détention et de l usage de la carte de débit : une analyse empirique sur données individuelles françaises

Les déterminants de la détention et de l usage de la carte de débit : une analyse empirique sur données individuelles françaises Les détermnants de la détenton et de l usage de la carte de débt : une analyse emprque sur données ndvduelles françases Davd Boune a, Marc Bourreau a,b et Abel Franços a,c a Télécom ParsTech, Département

Plus en détail

Montage émetteur commun

Montage émetteur commun tour au menu ontage émetteur commun Polarsaton d un transstor. ôle de la polarsaton La polarsaton a pour rôle de placer le pont de fonctonnement du transstor dans une zone où ses caractérstques sont lnéares.

Plus en détail

IDEI Report # 18. Transport. December 2010. Elasticités de la demande de transport ferroviaire: définitions et mesures

IDEI Report # 18. Transport. December 2010. Elasticités de la demande de transport ferroviaire: définitions et mesures IDEI Report # 18 Transport December 2010 Elastctés de la demande de transport ferrovare: défntons et mesures Elastctés de la demande de transport ferrovare : Défntons et mesures Marc Ivald Toulouse School

Plus en détail

BTS GPN 2EME ANNEE-MATHEMATIQUES-MATHS FINANCIERES MATHEMATIQUES FINANCIERES

BTS GPN 2EME ANNEE-MATHEMATIQUES-MATHS FINANCIERES MATHEMATIQUES FINANCIERES MATHEMATIQUES FINANCIERES I. Concepts généraux. Le référentel précse : Cette parte du module M4 «Acquérr des outls mathématques de base nécessares à l'analyse de données économques» est en relaton avec

Plus en détail

GATE Groupe d Analyse et de Théorie Économique DOCUMENTS DE TRAVAIL - WORKING PAPERS W.P. 08-24. Préférences temporelles et recherche d emploi

GATE Groupe d Analyse et de Théorie Économique DOCUMENTS DE TRAVAIL - WORKING PAPERS W.P. 08-24. Préférences temporelles et recherche d emploi GATE Groupe d Analyse et de Théore Économque UMR 5824 du CNRS DOCUMENTS DE TRAVAIL - WORKING PAPERS W.P. 08-24 Préférences temporelles et recherche d emplo «Applcatons économétrques sur le panel Européen

Plus en détail

1 Introduction. 2 Définitions des sources de tension et de courant : Cours. Date : A2 Analyser le système Conversion statique de l énergie. 2 h.

1 Introduction. 2 Définitions des sources de tension et de courant : Cours. Date : A2 Analyser le système Conversion statique de l énergie. 2 h. A2 Analyser le système Converson statque de l énerge Date : Nom : Cours 2 h 1 Introducton Un ConVertsseur Statque d énerge (CVS) est un montage utlsant des nterrupteurs à semconducteurs permettant par

Plus en détail

Système solaire combiné Estimation des besoins énergétiques

Système solaire combiné Estimation des besoins énergétiques Revue des Energes Renouvelables ICRESD-07 Tlemcen (007) 109 114 Système solare combné Estmaton des besons énergétques R. Kharch 1, B. Benyoucef et M. Belhamel 1 1 Centre de Développement des Energes Renouvelables

Plus en détail

L enseignement virtuel dans une économie émergente : perception des étudiants et perspectives d avenir

L enseignement virtuel dans une économie émergente : perception des étudiants et perspectives d avenir L ensegnement vrtuel dans une économe émergente : percepton des étudants et perspectves d avenr Hatem Dellag Laboratore d Econome et de Fnances applquées Faculté des scences économques et de geston de

Plus en détail

Mesure avec une règle

Mesure avec une règle Mesure avec une règle par Matheu ROUAUD Professeur de Scences Physques en prépa, Dplômé en Physque Théorque. Lycée Alan-Fourner 8000 Bourges ecrre@ncerttudes.fr RÉSUMÉ La mesure d'une grandeur par un système

Plus en détail

VIELLE Marc. CEA-IDEI Janvier 1998. 1 La nomenclature retenue 3. 2 Vue d ensemble du modèle 4

VIELLE Marc. CEA-IDEI Janvier 1998. 1 La nomenclature retenue 3. 2 Vue d ensemble du modèle 4 GEMINI-E3 XL France Un outl destné à l étude des mpacts ndustrels de poltques énergétques et envronnementales VIELLE Marc CEA-IDEI Janver 1998 I LA STRUCTURE DU MODELE GEMINI-E3 XL FRANCE 3 1 La nomenclature

Plus en détail

Étranglement du crédit, prêts bancaires et politique monétaire : un modèle d intermédiation financière à projets hétérogènes

Étranglement du crédit, prêts bancaires et politique monétaire : un modèle d intermédiation financière à projets hétérogènes Étranglement du crédt, prêts bancares et poltque monétare : un modèle d ntermédaton fnancère à projets hétérogènes Mngwe Yuan et Chrstan Zmmermann Introducton et objet de l étude Par étranglement du crédt

Plus en détail

La Quantification du Risque Opérationnel des Institutions Bancaires

La Quantification du Risque Opérationnel des Institutions Bancaires HEC Montréal Afflée à l Unversté de Montréal La Quantfcaton du Rsque Opératonnel des Insttutons Bancares par Hela Dahen Département Fnance Thèse présentée à la Faculté des études supéreures en vue d obtenton

Plus en détail

1. Les enjeux de la prévision du risque de défaut de paiement

1. Les enjeux de la prévision du risque de défaut de paiement Scorng sur données d entreprses : nstrument de dagnostc ndvduel et outl d analyse de portefeulle d une clentèle Mrelle Bardos Ancen chef de servce de l Observatore des entreprses de la Banque de France

Plus en détail

santé Les arrêts de travail des séniors en emploi

santé Les arrêts de travail des séniors en emploi soldarté et DOSSIERS Les arrêts de traval des sénors en emplo N 2 2007 Les sénors en emplo se dstnguent-ls de leurs cadets en termes de recours aux arrêts de traval? Les sénors ne déclarent pas plus d

Plus en détail

Chapitre 3 : Incertitudes CHAPITRE 3 INCERTITUDES. Lignes directrices 2006 du GIEC pour les inventaires nationaux de gaz à effet de serre 3.

Chapitre 3 : Incertitudes CHAPITRE 3 INCERTITUDES. Lignes directrices 2006 du GIEC pour les inventaires nationaux de gaz à effet de serre 3. Chaptre 3 : Incerttudes CHAPITRE 3 INCERTITUDES Lgnes drectrces 2006 du GIEC pour les nventares natonaux de gaz à effet de serre 3.1 Volume 1 : Orentatons générales et établssement des rapports Auteurs

Plus en détail

GENESIS - Generalized System for Imputation Simulations (Système généralisé pour simuler l imputation)

GENESIS - Generalized System for Imputation Simulations (Système généralisé pour simuler l imputation) GENESS - Generalzed System for mputaton Smulatons (Système généralsé pour smuler l mputaton) GENESS est un système qu permet d exécuter des smulatons en présence d mputaton. L utlsateur fournt un ensemble

Plus en détail

Editions ENI. Project 2010. Collection Référence Bureautique. Extrait

Editions ENI. Project 2010. Collection Référence Bureautique. Extrait Edtons ENI Project 2010 Collecton Référence Bureautque Extrat Défnton des tâches Défnton des tâches Project 2010 Sasr les tâches d'un projet Les tâches représentent le traval à accomplr pour attendre l'objectf

Plus en détail

COMPARAISON DE MÉTHODES POUR LA CORRECTION

COMPARAISON DE MÉTHODES POUR LA CORRECTION COMPARAISON DE MÉTHODES POUR LA CORRECTION DE LA NON-RÉPONSE TOTALE : MÉTHODE DES SCORES ET SEGMENTATION Émle Dequdt, Benoît Busson 2 & Ncolas Sgler 3 Insee, Drecton régonale des Pays de la Lore, Servce

Plus en détail

LA SURVIE DES ENTREPRISES DÉPEND-ELLE DU TERRITOIRE D'IMPLANTATION?

LA SURVIE DES ENTREPRISES DÉPEND-ELLE DU TERRITOIRE D'IMPLANTATION? LA SURVIE DES ENTREPRISES DÉPEND-ELLE DU TERRITOIRE D'IMPLANTATION? Anne PERRAUD (CRÉDOC) Phlppe MOATI (CRÉDOC Unversté Pars) Nadège COUVERT (ENSAE) INTRODUCTION Au cours des dernères années, de nombreux

Plus en détail

Fiche n 7 : Vérification du débit et de la vitesse par la méthode de traçage

Fiche n 7 : Vérification du débit et de la vitesse par la méthode de traçage Fche n 7 : Vérfcaton du débt et de la vtesse par la méthode de traçage 1. PRINCIPE La méthode de traçage permet de calculer le débt d un écoulement ndépendamment des mesurages de hauteur et de vtesse.

Plus en détail

Prêt de groupe et sanction sociale Group lending and social fine

Prêt de groupe et sanction sociale Group lending and social fine Prêt de roupe et sancton socale Group lendn and socal fne Davd Alary Résumé Dans cet artcle, nous présentons un modèle d antsélecton sur un marché concurrentel du crédt. Nous consdérons l ntroducton de

Plus en détail

TD 1. Statistiques à une variable.

TD 1. Statistiques à une variable. Danel Abécasss. Année unverstare 2010/2011 Prépa-L1 TD de bostatstques. Exercce 1. On consdère la sére suvante : TD 1. Statstques à une varable. 1. Calculer la moyenne et l écart type. 2. Calculer la médane

Plus en détail

UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL L ASSURANCE AUTOMOBILE AU QUÉBEC : UNE PRIME SELON LE COÛT SOCIAL MARGINAL MÉMOIRE PRÉSENTÉ COMME EXIGENCE PARTIELLE

UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL L ASSURANCE AUTOMOBILE AU QUÉBEC : UNE PRIME SELON LE COÛT SOCIAL MARGINAL MÉMOIRE PRÉSENTÉ COMME EXIGENCE PARTIELLE UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL L ASSURANCE AUTOMOBILE AU QUÉBEC : UNE PRIME SELON LE COÛT SOCIAL MARGINAL MÉMOIRE PRÉSENTÉ COMME EXIGENCE PARTIELLE DE LA MAÎTRISE EN ÉCONOMIQUE PAR ERIC LÉVESQUE JANVIER

Plus en détail

TABLE DES MATIERES CONTROLE D INTEGRITE AU SEIN DE LA RECHERCHE LOCALE DE LA POLICE LOCALE DE BRUXELLES-CAPITALE/IXELLES (DEUXIEME DISTRICT) 1

TABLE DES MATIERES CONTROLE D INTEGRITE AU SEIN DE LA RECHERCHE LOCALE DE LA POLICE LOCALE DE BRUXELLES-CAPITALE/IXELLES (DEUXIEME DISTRICT) 1 TABLE DES MATIERES CONTROLE D INTEGRITE AU SEIN DE LA RECHERCHE LOCALE DE LA POLICE LOCALE DE BRUXELLES-CAPITALE/IXELLES (DEUXIEME DISTRICT) 1 1. PROBLEMATIQUE 1 2. MISSION 1 3. ACTES D ENQUETE 2 4. ANALYSE

Plus en détail

Prise en compte des politiques de transport dans le choix des fournisseurs

Prise en compte des politiques de transport dans le choix des fournisseurs INSTITUT NATIONAL POLYTECHNIQUE DE GRENOBLE N attrbué par la bblothèque THÈSE Pour obtenr le grade de DOCTEUR DE L I.N.P.G. Spécalté : Géne Industrel Préparée au Laboratore d Automatque de Grenoble Dans

Plus en détail

Page 5 TABLE DES MATIÈRES

Page 5 TABLE DES MATIÈRES Page 5 TABLE DES MATIÈRES CHAPITRE I LES POURCENTAGES 1. LES OBJECTIFS 12 2. LES DÉFINITIONS 14 1. La varaton absolue d'une grandeur 2. La varaton moyenne d'une grandeur (par unté de temps) 3. Le coeffcent

Plus en détail

17th Annual Conference on Global Economic Analysis/GTAP 2014. Commerce intra CEMAC et consommation des ménages au Cameroun : analyse par un MEGC

17th Annual Conference on Global Economic Analysis/GTAP 2014. Commerce intra CEMAC et consommation des ménages au Cameroun : analyse par un MEGC 17t Annual Conference on Global Economc Analyss/GTAP 2014 Commerce ntra CEMAC et consommaton des ménages au Cameroun : analyse par un MEGC Gankou Jean-Mare Fowagap Professeur Ttulare Hors Ecelle, Agrégé

Plus en détail

DES EFFETS PERVERS DU MORCELLEMENT DES STOCKS

DES EFFETS PERVERS DU MORCELLEMENT DES STOCKS DES EFFETS PERVERS DU MORCELLEMENT DES STOCKS Le cabnet Enetek nous démontre les mpacts négatfs de la multplcaton des stocks qu au leu d amélorer le taux de servce en se rapprochant du clent, le dégradent

Plus en détail

Exercices d Électrocinétique

Exercices d Électrocinétique ercces d Électrocnétque Intensté et densté de courant -1.1 Vtesse des porteurs de charges : On dssout une masse m = 20g de chlorure de sodum NaCl dans un bac électrolytque de longueur l = 20cm et de secton

Plus en détail

Le Prêt Efficience Fioul

Le Prêt Efficience Fioul Le Prêt Effcence Foul EMPRUNTEUR M. Mme CO-EMPRUNTEUR M. Mlle Mme Mlle (CONJOINT, PACSÉ, CONCUBIN ) Départ. de nass. Nature de la pèce d dentté : Natonalté : CNI Passeport Ttre de séjour N : Salaré Stuaton

Plus en détail

Réseau RRFR pour la surveillance dynamique : application en e-maintenance.

Réseau RRFR pour la surveillance dynamique : application en e-maintenance. Réseau RRFR pour la survellance dynamue : applcaton en e-mantenance. RYAD ZEMOURI, DANIEL RACOCEANU, NOUREDDINE ZERHOUNI Laboratore Unverstare de Recherche en Producton Automatsée (LURPA) 6, avenue du

Plus en détail

GUIDE D ÉLABORATION D UN PLAN D INTERVENTION POUR LE RENOUVELLEMENT DES CONDUITES D EAU POTABLE, D ÉGOUTS ET DES CHAUSSÉES

GUIDE D ÉLABORATION D UN PLAN D INTERVENTION POUR LE RENOUVELLEMENT DES CONDUITES D EAU POTABLE, D ÉGOUTS ET DES CHAUSSÉES GUIDE D ÉLABORATION D UN PLAN D INTERVENTION POUR LE RENOUVELLEMENT DES CONDUITES D EAU POTABLE, D ÉGOUTS ET DES CHAUSSÉES Gude destné au mleu muncpal québécos NOVEMBRE 2013 Coordnaton : Martn Cormer,

Plus en détail

Méthodologie version 1, juillet 2006

Méthodologie version 1, juillet 2006 Méthodologe verson, ullet 2006 Tendances Carbone résente chaque mos sx groues d ndcateurs :. Synthèse du mos 2. Clmat 3. Actvté économque. Energe 5. Envronnement nsttutonnel 6. Tableau de bord Ce document

Plus en détail

ÉLÉMENTS DE THÉORIE DE L INFORMATION POUR LES COMMUNICATIONS.

ÉLÉMENTS DE THÉORIE DE L INFORMATION POUR LES COMMUNICATIONS. ÉLÉMETS DE THÉORIE DE L IFORMATIO POUR LES COMMUICATIOS. L a théore de l nformaton est une dscplne qu s appue non seulement sur les (télé-) communcatons, mas auss sur l nformatque, la statstque, la physque

Plus en détail

RÉSUMÉ ANALYTIQUE... 1

RÉSUMÉ ANALYTIQUE... 1 Out ld éval uat on del aper f or manceen mat èr e degest on del adet t e (DeMPA) Républ quedu Sénégal Ma2010 LeDeMPA estunemét hodol og epouréval uerl aper f or manceenmat èr edegest on del adet t eàt

Plus en détail

CHAPITRE 14 : RAISONNEMENT DES SYSTÈMES DE COMMANDE

CHAPITRE 14 : RAISONNEMENT DES SYSTÈMES DE COMMANDE HAITRE 4 : RAISONNEMENT DES SYSTÈMES DE OMMANDE RAISONNEMENT DES SYSTÈMES DE OMMANDE... 2 INTRODUTION... 22 RAELS... 22 alcul de la valeur ntale de la répone à un échelon... 22 alcul du gan tatque... 22

Plus en détail

Terminal numérique TM 13 raccordé aux installations Integral 33

Terminal numérique TM 13 raccordé aux installations Integral 33 Termnal numérque TM 13 raccordé aux nstallatons Integral 33 Notce d utlsaton Vous garderez une longueur d avance. Famlarsez--vous avec votre téléphone Remarques mportantes Chaptres à lre en prorté -- Vue

Plus en détail

Chapitre IV : Inductance propre, inductance mutuelle. Energie électromagnétique

Chapitre IV : Inductance propre, inductance mutuelle. Energie électromagnétique Spécale PSI - Cours "Electromagnétsme" 1 Inducton électromagnétque Chaptre IV : Inductance propre, nductance mutuelle. Energe électromagnétque Objectfs: Coecents d nductance propre L et mutuelle M Blan

Plus en détail

hal-00409942, version 1-14 Aug 2009

hal-00409942, version 1-14 Aug 2009 Manuscrt auteur, publé dans "MOSIM' 008, Pars : France (008)" 7 e Conférence Francophone de MOdélsaton et SIMulaton - MOSIM 08 - du mars au avrl 008 - Pars - France «Modélsaton, Optmsaton et Smulaton des

Plus en détail

Pauvreté et fécondité au Congo

Pauvreté et fécondité au Congo BUREAU D'APPLICATION DES METHODES STATISTIQUES ET INFORMATIQUES DT 14/2007 Pauvreté et fécondté au Congo Samuel AMBAPOUR Armel MOUSSANA HYLOD BAMSSII BAMSI B.P. 13734 Brazzavlle DT 14/2007 Pauvreté et

Plus en détail

1.0 Probabilité vs statistique...1. 1.1 Expérience aléatoire et espace échantillonnal...1. 1.2 Événement...2

1.0 Probabilité vs statistique...1. 1.1 Expérience aléatoire et espace échantillonnal...1. 1.2 Événement...2 - robabltés - haptre : Introducton à la théore des probabltés.0 robablté vs statstque.... Expérence aléatore et espace échantllonnal.... Événement.... xomes défnton de probablté..... Quelques théorèmes

Plus en détail

Parlons. retraite. au service du «bien vieillir» L Assurance retraite. en chiffres* 639 192 retraités payés pour un montant de 4,2 milliards d euros

Parlons. retraite. au service du «bien vieillir» L Assurance retraite. en chiffres* 639 192 retraités payés pour un montant de 4,2 milliards d euros Édton Pays de la Lore Parlons La lettre aux retratés du régme général de la Sécurté socale 2012 retrate L Assurance retrate en chffres* 12,88 mllons de retratés 17,58 mllons de cotsants 346 000 bénéfcares

Plus en détail

Pourquoi LICIEL? Avec LICIEL passez à la vitesse supérieure EPROUVE TECHNICITE CONNECTE STABILITE SUIVIE COMMUNAUTE

Pourquoi LICIEL? Avec LICIEL passez à la vitesse supérieure EPROUVE TECHNICITE CONNECTE STABILITE SUIVIE COMMUNAUTE L og c el s de D agnos t c s I mmob l er s Cont ac t eznous 32BddeS t r as bougcs3010875468 Par scedex10tel. 0253354064Fax0278084116 ma l : s er v c e. c l ent @l c el. f r Pourquo LICIEL? Implanté sur

Plus en détail

Économétrie. Annexes : exercices et corrigés. 5 e édition. William Greene New York University

Économétrie. Annexes : exercices et corrigés. 5 e édition. William Greene New York University Économétre 5 e édton Annexes : exercces et corrgés Wllam Greene New York Unversty Édton françase drgée par Dder Schlacther, IEP Pars, unversté Pars II Traducton : Stéphane Monjon, unversté Pars I Panthéon-Sorbonne

Plus en détail

THESE. Khalid LEKOUCH

THESE. Khalid LEKOUCH N d ordre : /2012 THESE Présentée à la FACULTE DES SCIENCES D AGADIR En vue de l obtenton du GRADE DE DOCTEUR EN PHYSIQUE (Spécalté : Energétque, Thermque et Métrologe) Par Khald LEKOUCH MODELISATION ET

Plus en détail

OPTIMALITÉ DU MÉCANISME DE RATIONNEMENT DE CRÉDIT DANS LE MODÈLE ISLAMIQUE DE FINANCEMENT

OPTIMALITÉ DU MÉCANISME DE RATIONNEMENT DE CRÉDIT DANS LE MODÈLE ISLAMIQUE DE FINANCEMENT Etudes en Econoe Islaque, Vol. 6, Nos. & (-7) Mouharra, Raab 434H (Novebre 0, Ma 03) OPTIMALITÉ DU MÉCANISME DE RATIONNEMENT DE CRÉDIT DANS LE MODÈLE ISLAMIQUE DE FINANCEMENT ALIM BELEK Résué Le ratonneent

Plus en détail

Pratique de la statistique avec SPSS

Pratique de la statistique avec SPSS Pratque de la statstque avec SPSS SUPPORT Transparents ultéreurement amélorés et ms à jour sur le ste du SMCS LIENS UTILES Ste du SMCS (Support en Méthodologe et Calcul Statstque) : http://www.stat.ucl.ac.be/smcs/

Plus en détail

Stéganographie Adaptative par Oracle (ASO)

Stéganographie Adaptative par Oracle (ASO) Stéganographe Adaptatve par Oracle ASO Sarra Kouder, Marc Chaumont, Wllam Puech To cte ths verson: Sarra Kouder, Marc Chaumont, Wllam Puech. Stéganographe Adaptatve par Oracle ASO. CORESA 12: COmpresson

Plus en détail

Paquets. Paquets nationaux 1. Paquets internationaux 11

Paquets. Paquets nationaux 1. Paquets internationaux 11 Paquets Paquets natonaux 1 Paquets nternatonaux 11 Paquets natonaux Servces & optons 1 Créaton 3 1. Dmensons, pods & épasseurs 3 2. Présentaton des paquets 4 2.1. Face avant du paquet 4 2.2. Comment obtenr

Plus en détail

P R I S E E N M A I N R A P I D E O L I V E 4 H D

P R I S E E N M A I N R A P I D E O L I V E 4 H D P R I S E E N M A I N R A P I D E O L I V E 4 H D Sommare 1 2 2.1 2.2 2.3 3 3.1 3.2 3.3 4 4.1 4.2 4.3 4.4 4.5 4.6 5 6 7 7.1 7.2 7.3 8 8.1 8.2 8.3 8.4 8.5 8.6 Contenu du carton... 4 Paramétrage... 4 Connexon

Plus en détail

Une analyse économique et expérimentale de la fraude à l assurance et de l audit

Une analyse économique et expérimentale de la fraude à l assurance et de l audit Une analyse économque et expérmentale de la fraude à l assurance et de l audt Sameh Borg To cte ths verson: Sameh Borg. Une analyse économque et expérmentale de la fraude à l assurance et de l audt. Economes

Plus en détail

En vue de l'obtention du. Présentée et soutenue par Meva DODO Le 06 novembre 2008

En vue de l'obtention du. Présentée et soutenue par Meva DODO Le 06 novembre 2008 THÈSE En vue de l'obtenton du DOCTORAT DE L UNIVERSITÉ DE TOULOUSE Délvré par l'unversté Toulouse III - Paul Sabater Spécalté : Informatque Présentée et soutenue par Meva DODO Le 06 novembre 2008 Ttre

Plus en détail

Q x2 = 1 2. est dans l ensemble plus grand des rationnels Q. Continuons ainsi, l équation x 2 = 1 2

Q x2 = 1 2. est dans l ensemble plus grand des rationnels Q. Continuons ainsi, l équation x 2 = 1 2 Exo7 Nombres complexes Vdéo parte. Les nombres complexes, défntons et opératons Vdéo parte. Racnes carrées, équaton du second degré Vdéo parte 3. Argument et trgonométre Vdéo parte 4. Nombres complexes

Plus en détail

Table des Matières RÉSUMÉ ANALYTIQUE... 1 I. CONTEXTE... 2 1. La dette publique du Gouvernement... 2 2. Contexte institutionnel de gestion de la

Table des Matières RÉSUMÉ ANALYTIQUE... 1 I. CONTEXTE... 2 1. La dette publique du Gouvernement... 2 2. Contexte institutionnel de gestion de la Out ld éval uat on del aper f or manceen mat èr e degest on del adet t e (empa) Maur t an a Mar s2011 LeeMPA estunemét hodol og epouréval uerl aper f or manceenmat èr edegest on del adet t eàt r aver sunensembl

Plus en détail

Corrections adiabatiques et nonadiabatiques dans les systèmes diatomiques par calculs ab-initio

Corrections adiabatiques et nonadiabatiques dans les systèmes diatomiques par calculs ab-initio Correctons adabatques et nonadabatques dans les systèmes datomques par calculs ab-nto Compte rendu du traval réalsé dans le cadre d un stage de quatre mos au sen du Groupe de Spectroscope Moléculare et

Plus en détail

APPROXIMATION PAR RÉSEAUX À FONCTIONS RADIALES DE BASE APPLICATION À LA DÉTERMINATION DU PRIX D ACHAT D UNE

APPROXIMATION PAR RÉSEAUX À FONCTIONS RADIALES DE BASE APPLICATION À LA DÉTERMINATION DU PRIX D ACHAT D UNE APPROXIMATION PAR RÉSEAUX À FONCTIONS RADIALES DE BASE APPLICATION À LA DÉTERMINATION DU PRIX D ACHAT D UNE OPTION. A. Lendasse, J. Lee 2, E. de Bodt 3, V. Wertz, M. Verleysen 2 Unversté catholque de Louvan,

Plus en détail

Analyse des Performances et Modélisation d un Serveur Web

Analyse des Performances et Modélisation d un Serveur Web SETIT 2009 5 th Internatonal Conference: Scences of Electronc, Technologes of Informaton and Telecommuncatons March 22-26, 2009 TUNISIA Analyse des Performances et Modélsaton d un Serveur Web Fontane RAFAMANTANANTSOA*,

Plus en détail

REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE. MEMOIRE Présentée à

REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE. MEMOIRE Présentée à REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE MEMOIRE Présentée à L Unversté de Batna Faculté des Scences Département de Physque

Plus en détail

Professionnel de santé équipé de Médiclick!

Professionnel de santé équipé de Médiclick! Professonnel de santé équpé de Médclck! Dosser Médcal Partagé en Aqutane Ce gude vous présente les prncpales fonctonnaltés réservées aux professonnels de santé membres du réseau AquDMP. Sommare Connexon

Plus en détail

Grandeur physique, chiffres significatifs

Grandeur physique, chiffres significatifs Grandeur physque, chffres sgnfcatfs I) Donner le résultat d une mesure en correspondance avec l nstrument utlsé : S avec un nstrument, ren n est ndqué sur l ncerttude absolue X d une mesure X, on consdère

Plus en détail

DOIT-ON UTILISER LA STANDARDISATION DIRECTE OU INDIRECTE DANS L ANALYSE DE

DOIT-ON UTILISER LA STANDARDISATION DIRECTE OU INDIRECTE DANS L ANALYSE DE DOIT-ON UTILISE LA STANDADISATION DIECTE OU INDIECTE DANS L ANALYSE DE LA MOTALITÉ À L ÉCHELLE DES PETITES UNITÉS GÉOGAPHIQUES? DIECTION PLANIFICATION, ECHECHE ET INNOVATION UNITÉ ÉTUDES ET ANALYSES DE

Plus en détail

Faire des régimes TNS les laboratoires de la protection sociale de demain appelle des évolutions à deux niveaux :

Faire des régimes TNS les laboratoires de la protection sociale de demain appelle des évolutions à deux niveaux : Réformer en profondeur la protecton socale des TNS pour la rendre plus effcace Résumé de notre proposton : Fare des régmes TNS les laboratores de la protecton socale de deman appelle des évolutons à deux

Plus en détail

Créer ou reprendre une entreprise, Guide de la création et de la reprise d entreprise 1er semestre 2009

Créer ou reprendre une entreprise, Guide de la création et de la reprise d entreprise 1er semestre 2009 Créer ou reprendre une entreprse, Ou, mas comment? Gude de la créaton 1 er semestre 2009 et de la reprse d entreprse Futurs entrepreneurs, venez nous rencontrer! Chambre de Commerce et d Industre de Rennes

Plus en détail

ErP : éco-conception et étiquetage énergétique. Les solutions Vaillant. Pour dépasser la performance. La satisfaction de faire le bon choix.

ErP : éco-conception et étiquetage énergétique. Les solutions Vaillant. Pour dépasser la performance. La satisfaction de faire le bon choix. ErP : éco-concepton et étquetage énergétque Les solutons Vallant Pour dépasser la performance La satsfacton de fare le bon chox. ErP : éco-concepton et étquetage énergétque Eco-concepton et Etquetage

Plus en détail

BUREAU D'APPLICATION DES METHODES STATISTIQUES ET INFORMATIQUES

BUREAU D'APPLICATION DES METHODES STATISTIQUES ET INFORMATIQUES BUREAU DAPPLICATION DES METHODES STATISTIQUES ET INFORMATIQUES BAMSI REPRINT 04/2003 Introducton à l analyse des données Samuel AMBAPOUR BAMSSI I BAMSI B.P. 13734 Brazzavlle BAMSI REPRINT 04/2003 Introducton

Plus en détail

STATISTIQUE AVEC EXCEL

STATISTIQUE AVEC EXCEL STATISTIQUE AVEC EXCEL Excel offre d nnombrables possbltés de recuellr des données statstques, de les classer, de les analyser et de les représenter graphquement. Ce sont prncpalement les tros éléments

Plus en détail

INTRODUCTION. Jean-Pierre MAGNAN Chef de la section des ouvrages en terre Département des sols et fondations Laboratoire central

INTRODUCTION. Jean-Pierre MAGNAN Chef de la section des ouvrages en terre Département des sols et fondations Laboratoire central Etude numérque de la consoldaton undmensonnelle en tenant compte des varatons de la perméablté et de la compressblté du sol, du fluage et de la non-saturaton Jean-Perre MAGNAN Chef de la secton des ouvrages

Plus en détail

METHODE AUTOMATIQUE POUR CORRIGER LA VARIATION LINGUISTIQUE LORS DE L INTERROGATION DE DOCUMENTS XML DE STRUCTURES HETEROGENES

METHODE AUTOMATIQUE POUR CORRIGER LA VARIATION LINGUISTIQUE LORS DE L INTERROGATION DE DOCUMENTS XML DE STRUCTURES HETEROGENES METHODE AUTOMATIQUE POUR CORRIGER LA VARIATION LINGUISTIQUE LORS DE L INTERROGATION DE DOCUMENTS XML DE STRUCTURES HETEROGENES Ourda Boudghaghen(*),Mohand Boughanem(**) yugo_doudou@yahoo.fr, bougha@rt.fr

Plus en détail

Integral T 3 Compact. raccordé aux installations Integral 5. Notice d utilisation

Integral T 3 Compact. raccordé aux installations Integral 5. Notice d utilisation Integral T 3 Compact raccordé aux nstallatons Integral 5 Notce d utlsaton Remarques mportantes Remarques mportantes A quelle nstallaton pouvez-vous connecter votre téléphone Ce téléphone est conçu unquement

Plus en détail

Pro2030 GUIDE D UTILISATION. Français

Pro2030 GUIDE D UTILISATION. Français Pro2030 GUIDE D UTILISATION Franças Contents Garante... Introducton... 1 Artcle nº 605056 Rév C Schéma nº A605056 Novembre 2010 2010 YSI Incorporated. Le logo YSI est une marque déposée de YSI Incorporated.

Plus en détail

Pour plus d'informations, veuillez nous contacter au 04.75.05.52.62. ou à contact@arclim.fr.

Pour plus d'informations, veuillez nous contacter au 04.75.05.52.62. ou à contact@arclim.fr. Régulaton Sondes & Capteurs Détente frgo électronque Supervson & GTC Humdfcaton & Déshu. Vannes & Servomoteurs Comptage eau, elec., énerge Ancens artcles Cette documentaton provent du ste www.arclm.eu

Plus en détail

Contact SCD Nancy 1 : theses.sciences@scd.uhp-nancy.fr

Contact SCD Nancy 1 : theses.sciences@scd.uhp-nancy.fr AVERTISSEMENT Ce document est le frut d'un long traval approuvé par le jury de soutenance et ms à dsposton de l'ensemble de la communauté unverstare élarge. Il est soums à la proprété ntellectuelle de

Plus en détail

Version provisoire Ne pas citer sans l accord des auteurs

Version provisoire Ne pas citer sans l accord des auteurs Verson provsore Ne pas cter sans l accord des auteurs Les détermnants du beson d ade non satsfat des personnes âgées vvant à domcle : un modèle probt bvaré avec sélecton d échantllon Bérengère Davn 1,2,

Plus en détail

INTERNET. Initiation à

INTERNET. Initiation à Intaton à INTERNET Surfez sur Internet Envoyez des messages Téléchargez Dscutez avec Skype Découvrez Facebook Regardez des vdéos Protégez votre ordnateur Myram GRIS Table des matères Internet Introducton

Plus en détail

Des solutions globales fi ables et innovantes. www.calyon.com

Des solutions globales fi ables et innovantes. www.calyon.com Des solutons globales f ables et nnovantes www.calyon.com OPTIM Internet: un outl smple et performant Suv de vos comptes Tratement de vos opératons bancares Accès à un servce de reportng complet Une nterface

Plus en détail

En vue de l'obtention du. Présentée et soutenue par Elayeb Bilel Le 26 juin 2009

En vue de l'obtention du. Présentée et soutenue par Elayeb Bilel Le 26 juin 2009 THÈSE En vue de l'obtenton du DOCTORAT DE L UNIVERSITÉ DE TOULOUSE Délvré par Insttut Natonal Polytechnque de Toulouse (INPT) Dscplne ou spécalté : Informatque Présentée et soutenue par Elayeb Blel Le

Plus en détail

Interface OneNote 2013

Interface OneNote 2013 Interface OneNote 2013 Interface OneNote 2013 Offce 2013 - Fonctons avancées Lancer OneNote 2013 À partr de l'nterface Wndows 8, utlsez une des méthodes suvantes : - Clquez sur la vgnette OneNote 2013

Plus en détail

ACTE DE PRÊT HYPOTHÉCAIRE

ACTE DE PRÊT HYPOTHÉCAIRE - 1 - ACTE DE PRÊT HYPOTHÉCAIRE 5453F QC FR-2010/01 Taux fxe Le. Devant M e, notare soussgné pour la provnce de Québec, exerçant à. ONT COMPARU : ET : (C-après parfos appelé dans le présent Acte l «emprunteur»

Plus en détail

22 environnement technico-professionnel

22 environnement technico-professionnel 22 envronnement technco-professonnel CYRIL SABATIÉ Drecteur du servce jurdque FNAIM Ouverture du ma IMMOBILIER, OÙ 1 Artcle paru également dans la Revue des Loyers, jullet à septembre 2007, n 879, p. 314

Plus en détail