Etude comparative des effets environnementaux et sanitaires des diverses sources d'énergie

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Etude comparative des effets environnementaux et sanitaires des diverses sources d'énergie"

Transcription

1 Etude comparatve des effets envronnementaux et santares des dverses sources d'énerge Aperçu des conclusons d'un document de synthèse présenté à Helsnk par S. Haddad et R. Dones La comparason des effets envronnementaux et santares des dfférents systèmes de producton d'électrcté a été tentée pour la premère fos dans les années 70. A l'époque, l fallat prendre des décsons fondamentales quant au melleur moyen de répondre à une demande d'électrcté en crossance rapde. Ceux qu prrent l'ntatve de ces premères études comparatves cherchaent essentellement à établr une classfcaton undmensonnelle des rsques que les mpacts négatfs des dfférentes optons alors dsponbles présentaent pour l'ensemble de la populaton. Les premers travaux ont porté sur des centrales solées, car ce qu nquétat le plus le publc, c'état de devor vvre à proxmté de telle ou telle centrale nucléare. Le champ de ces études comparatves s'est élarg depus lors grâce à la mse au pont de méthodologes approprées. En effet, l est apparu très tôt que, pour comparer ratonnellement dfférentes optons de producton de l'électrcté, l fallat étuder tous les éléments du cycle de chaque système. L'étape suvante de ce genre d'études dot nclure le stade de la constructon et celu du démantèlement des nstallatons. De fat, l'analyse du problème a révélé que, pour nombre d'nstallatons, ce sont ces deux stades qu comportent le plus de rsques. L'ncluson du stade de la constructon a encore agrand le domane des comparasons qu englobe désormas les effets assocés à la producton des matéraux utlsés pour la fabrcaton des équpements. Dans cette perspectve élarge, la comparason des mpacts santares et envronnementaux rejont les consdératons macro-économques telles que l'nvestssement M. Haddad et M. Dones sont membres de la Dvson de la sûreté nucléare de l'aiea. Cet artcle se fonde sur le document de synthèse n 3 préparé par un groupe d'experts nternatonaux sous la présdence de M. J. Chadwck (Royaume-Un) pour le Colloque nternatonal d'experts de haut nveau sur l'électrcté et l'envronnement réun en ma 99 à Helsnk. Le texte ntégral de ce document sera reprodut dans le compte rendu du colloque que publera l'aiea. ou l'emplo et s'approche de la noton «d'évaluaton technologque». Avec la deuxème génératon d'études comparatves, le prncpal changement résde dans l'mportance accordée au contexte décsonnel du processus d'évaluaton comparatve du rsque. Le classement objectf des dfférents systèmes de producton d'électrcté est généralement vu comme un moyen de détermner les mértes respectfs des dvers systèmes. L'ntérêt se porte actuellement sur l'ntégraton des effets santares et envronnementaux dans dvers scénaros de la producton d'électrcté où sont ncluses dfférentes sources d'énerge, et sur la comparason de ces scénaros, compte tenu de contextes soco-économques détermnés, à l'échelon tant local que régonal ou natonal. A noter que les études comparatves fates jusqu'à ce jour ont porté beaucoup mons sur les mpacts envronnementaux que sur les effets santares. Evaluaton comparatve des rsques pour la santé Une étude crtque approfonde des premères évaluatons comparatves des rsques a été fate en 980 par le Health and Safety Executve (HSE) du Royaume-Un. Cette étude a ben ms en lumère les nconvénents qu'l y avat à ntégrer les dverses dmensons du rsque dans un seul ndcateur, ans que les ncerttudes dues à la quantfcaton de certans rsques qu peuvent ne pas se prêter à cette opératon, et notamment les ncerttudes que comporte la quantfcaton des rapports doseeffet, y comprs les effets dfférés et à long terme de l'exposton à des produts chmques. Le rapport du HSE montre que les rsques non nucléares sont souvent mons ben comprs que les rsques nucléares du même ordre, et recommande de se pencher davantage sur a) le sens des lmtes supéreures et nféreures des prétendus effets chronques du soufre; b) les effets à long terme des déchets non nucléares; 4 AIEA BULLETIN, 3/99

2 c) les accdents graves possbles assocés à certanes nstallatons non nucléares; d) la dstncton entre le rsque moyen nhérent à un système et le rsque assocé aux changements margnaux. L'étude de A.F. Frtzsche (989) est l'un des travaux les plus récents et les plus exhaustfs sur l'évaluaton comparatve des rsques nhérents à dfférentes sources d'énerge. Les conséquences du rsque sont fondées grosso modo sur les ouvrages et artcles parus dans le monde sur le sujet, lesquels sont passés en revue dans un esprt crtque. Les conclusons trées de cette étude font une nette dstncton entre les dverses dmensons du rsque, plus spécalement celles qu sont assocées aux condtons normales d'explotaton et aux accdents, et sont jugées représentatves des grandes centrales électrques modernes que l'on peut actuellement construre en Europe {vor les graphques). On peut classer les dvers systèmes énergétques selon les rsques qu'ls présentent pour la santé, mas l faut consdérer et nterpréter avec prudence les valeurs absolues, et leur accorder une mportance relatve, à cause des varatons des caractérstques technques et des technologes. Compte tenu de ces réserves, on peut, en se fondant sur les conclusons de l'étude de Frtzsche (d'où les accdents graves sont exclus), résumer comme sut l'mpact des dvers rsques pour la santé: Rsques professonnels mmédats. Pour le cycle au charbon, le rsque professonnel est nettement supéreur au rsque que présentent les cycles du pétrole et du gaz; l est du même ordre de grandeur que les rsques assocés aux systèmes utlsant les énerges renouvelables et de 8 à 0 fos supéreur aux rsques correspondants qu'mplquent les réacteurs à eau légère. Les progrès technques futurs de l'explotaton des sources renouvelables, solares et éolennes, peuvent aboutr à une réducton sensble du rsque professonnel mmédat assocé aux systèmes qu les exploteront (jusqu'à quatre fos). La producton hydroélectrque comporte des rsques professonnels mmédats relatvement mportants. Rsques professonnels dfférés. Les décès dfférés sont généralement assocés à l'extracton du charbon et de l'uranum et ls sont du même ordre dans les deux cas. S'l s'agt de mnes souterranes, l'extracton du charbon est néanmons plus meurtrère, semble-t-l, que celle de l'uranum, par unté normalsée d'électrcté produte. Rsques mmédats pour le publc. Ces rsques sont, pour la plupart, dus aux accdents de transport et sont foncton, dans une large mesure, des dstances parcourues et du mode de transport utlsé. Le rsque à ce ttre de l'opton nucléare est entre 0 et 00 fos mondre que le rsque nhérent aux autres optons, surtout parce que les quanttés de matères à transporter, par unté d'électrcté produte, sont relatvement fables. Vu sous cet angle, le cycle Rsque de mortalté dû à la producton d'électrcté Rsque de mortalté professonnelle Rsque dffère (malade) 0 0, 0,0 0,0 ^rrttttz^va WMW////////,V/, 9 9 Rsque mmédat (accdents) 0, 0 ^ Pétrole ^ ^» * ^ W/Â^W/Z/MM^^ Bos Hélothermque Photovoltaïque Eolenne '//////, Hydraulque *ÛÊÈL«^ M ^ % ^LWR; / HTR 0,0 0.0 Deces par GW(e) a Rsque de mortalté pour le publc Rsque dffère (malade) 0 0, 0,0 FBR""---^ V frm*.. \ ""^^T^ ** ^_ y//////mva^ Rsque mmédat (accdents) ,00 0, , Deces par GW(e) a Notes: Les évaluatons tennent compte de tous les stades du cycle du combustble, mas excluent les accdents graves. LWR = réacteur à eau légère; HTR = réacteur à haute température; FBR = réacteur surgénérateur rapde. Source: D'après A.F. Frtzsche, "The Health Rsks of Energy Producton*, Rsk Analyss 9. n 4 (989). au charbon présente plus de rsques mmédats pour le publc à cause des volumes consdérables qu'l faut transporter. Rsques dfférés pour le publc. Les estmatons de cette catégore de rsques pour toutes les sources d'énerge sont très sujettes à cauton. Il convent donc d'nterpréter les résultats avec la plus grande prudence. On constate néanmons que les rsques dfférés pour le publc pour le nucléare et le gaz naturel sont du même ordre de grandeur, et au mons 0 fos mondres que les rsques assocés au charbon et au pétrole. Notons par alleurs que ces rsques dfférés sont relatvement mportants en ce qu concerne certanes sources d'énerge renouvelables, mas on s'attend que l'évoluton de la technque permettra de les rédure très sensblement. Ces graphques rendent compte des dfférences dues à la varété des sources de données, des nstallatons, des opératons et des fréquences d'accdents: les barres hachurées correspondent à des données ben fondées, les barres en blanc à des données sujettes à cauton et les bseaux ndquent l'étalement des données. AIEA BULLETIN, 3/99 5

3 Au Japon, l'énerge nucléare et l'énerge hydraulque sont les deux prncpales sources utlsées pour la producton d'électrcté. Sur notre photo, la centrale hydroélectrque de Tedorgawa Dach. (Photo: JAERI) Evaluaton comparatve des rsques pour l'envronnement Les effets sur l'envronnement des dfférents cycles ne peuvent se prêter au même tratement comparatf que les effets sur la santé. La multtude des organsmes cbles, le fat que les untés à consdérer sont des écosystèmes détermnés et non des ndvdus, des populatons ou des espèces spécfques, ans que la nécessté de dstnguer entre les effets des dfférentes substances sur les fonctons et la structure des écosystèmes font que les comparasons numérques drectes sont pratquement mpossbles. Jusqu'à présent, on ne s'est ms d'accord sur aucune caractérstque fonctonnelle ou structurelle qu. s elle état modfée, donnerat leu à des varatons quanttatves utlsables aux fns de comparasons sgnfcatves. C'est pourquo d'autres moyens de comparason sont proposés. Evaluaton hérarchsée. Cette méthode permet de fare des comparasons générales. Il ne s'agt pas de donner une mesure globale des effets, mas plutôt de présenter qualtatvement sous forme de matrce les mpacts envronnementaux des dfférentes perturbatons causées par les dfférentes étapes des cycles du combustble. Dans une certane mesure, c'est là une caractérstque ntéressante de ce genre de représentaton, car les dfférences qu seraent dssmulées par un chffre unque apparassent au contrare clarement. 6 AIEA BULLETIN, 3/99

4 Quanttés émses et ndces de la qualté du mleu ambant. On peut utlser les quanttés émses et les effluents pour évaluer les mpacts potentels de dvers combustbles et technologes (vor les graphques). Ce regroupement met en évdence certanes observatons ntéressantes, comme le fat que les émssons atmosphérques exprmées en masse totale par unté d'énerge sont presque dentques quel que sot le combustble fossle (charbon, pétrole et gaz), ou le fat que les émssons de SO x sont relatvement élevées dans le cas du cycle du gaz naturel (elles ont leu prncpalement au stade de l'extracton) par rapport à celles des autres sources d'énerge, à l'excepton du charbon (où elles ont leu prncpalement au stade de la converson). Les émssons totales de C0 2 par GWe/an pour la totalté du cycle des combustbles fossles sont envron 00 fos supéreures à celles qu provennent de n'mporte quel autre cycle. Dans le groupe des combustbles fossles, les émssons totales de C0 2 par GWe/an (pour l'ensemble du cycle) sont envron deux fos plus élevées pour les cycles au charbon que pour les cycles du pétrole ou du gaz. L'approche de la charge cble ou crtque. Cette approche consste à comparer les charges (ou teneurs) cbles ou crtques, affectées à certans secteurs d'une régon, aux dépôts (ou concentratons) réels. Le dépassement de la quantté cble (ou crtque) par dépôt, par exemple, peut être consdéré comme mesure quanttatve de l'mpact. Cette approche peut encore être affnée. Le résultat de dverses stratéges de réducton (par exemple, l'applcaton de toutes les technologes possbles à une centrale) peut être comparé en termes de dépassement (et la réducton globale ans que le coût total peuvent être précsés). On peut alors comparer le résultat avec des cartes de dépassement obtenues par smulaton d'autres stratéges (ou sans stratége) (vor le tableau). Comparasons ntégrées des effets sur l'envronnement. L'absence de méthodologes éprouvées pour comparer les effets sur l'envronnement des cycles des dvers combustbles ne sgnfe pas qu'l est mpossble de fare des comparasons utles. Il est d'alleurs probable qu'une méthodologe fable se développera à mesure que les données se multpleront. Les progrès des évaluatons du dépassement de la quantté crtque et l'étude des relatons doseréponse pour ces dépassements permettront d'avancer sur la voe des comparasons quanttatves. Pour le moment, on peut fare des comparasons qualtatves avec les quanttés émses ou l'ndce combné de ces quanttés. Les dfférences entre les émssons dans l'atmosphère dues à l'utlsaton de combustbles fossles ou à l'explotaton de l'énerge solare ou autres sources sont évdentes. Les dfférences entre combustbles d'une même catégore le sont tout autant. Les valeurs de dépassement permettent à leur tour de hérarchser les mpacts et, à grande échelle, cet exercce fat de même Comparason des quanttés émses et des effluents Emssons et résdus de dfférentes sources Charbon Pétrole Gaz naturel Tourbe Schstes btumneux Sables asphaltques Nucléare Géothermque Bomasse Hydauhque Partcules Déchets soldes Emssons au stade de la Cha bon Pétole Gaz naturel Tourbe Schstes btumneux Sables asphaltques Nucléare Géothermque Bomasse Hydaulque Patcules Déchets soldes NC. t converson NO * II SO, SO Sol Sol CO, et Notes: Ces graphques ne sont pas strctement à l'échelle. Les émssons d'anhydrde carbonque pour la tourbe, le schste btumneux et les sables asphaltques n'ont pas été été évaluées. En termes de masse, les déchets soldes du cycle de converson nucléare sont de tros à quatre ordres de grandeur nféreurs à ceux du cycle au charbon. Source: D'après «The envronmental Impacts of Producton and Use of Energy*, Parte IV, Programme des Natons Unes pour l'envronnement, Rapport ERS-4-85, Narob (985). clarement apparaître les prncpaux mpacts des dverses technologes. Par exemple, les émssons de C0 2 révèlent très nettement les effets potentels à l'échelle mondale de l'utlsaton des combustbles fossles par rapport à d'autres technologes, ans que les mpacts potentels pour l'atmosphère au nveau régonal. Cela permet aux planfcateurs de se concentrer sur les aspects les plus préoccupants. Le rsque d'accdents graves Tous les systèmes énergétques, à tous les stades de leur cycle du combustble, comportent un rsque d'accdent grave (généralement défn comme présentant un rsque mportant hors du ste pour les personnes, les bens et l'envronnement). Les accdents peuvent être dus à des défallances structurelles ou mécanques, au dérèglement d'une opératon, aux erreurs humanes ou à des événements extéreurs tels que les phénomènes naturels (sésmes et cyclones). S on se reporte aux chffres normalsés par unté d'électrcté produte, l apparaît que l'opton hydroélectrque a causé plus de décès mmédats, dans le cadre d'accdents graves, que toute autre source d'énerge. S l'on veut comparer les accdents graves assocés aux dfférents systèmes énergétques, l faut tenr compte de certanes consdératons précses: Ces graphques comparent les émssons des dverses sources d'énerge. Les données sont fondées sur les résultats d'une étude écologque comparatve réalsée par le PNUE (Programme des Natons Unes pour l'envronnement). AIEA BULLETIN, 3/99 7

5 Emssons de soufre en Europe en l'an 2000 avec applcaton des mesures de réducton maxmale des émssons par le secteur de l'électrcté Pays Sans réducton Soufre élmné % Coût Albane Allemagne, Rép. féd. d' * Autrche Belgque Bulgare Danemark Espagne Fnlande France Grèce Hongre Irlande Itale Luxembourg Norvège Pays-Bas Pologne Portugal Rép. dém. allemande * Roumane Royaume-Un Suède Susse Tchécoslovaque Turque URSS Yougoslave Total Notes: Les émssons sont exprmées en mllers de tonnes et les coûts en mllons de dollars des Etats-Uns (985). Source: MJ. Chadwck. Stockholm Envronment Insttute (990). * Estmatons étables avant l'unfcaton de l'allemagne en octobre 990. Deux mportantes consdératons méthodologques s'mposent: premèrement, l convent de présenter et comparer les rsques ndépendamment des rsques résultant des opératons normales; deuxèmement, l faut évter de comparer drectement les données fondées sur les nformatons hstorques (effectves) avec les données fondées sur des prévsons probablstes d'événements vrasemblables dans le futur. La comparason ne peut être fate unquement sur la base des conséquences des accdents prs solément. La probablté de survenue dot également être prse en compte; par conséquent, l est pertnent d'estmer la fréquence des accdents. A cette fn, l faut dsposer de rensegnements fables sur les accdents smlares passés et sur leurs effets et/ou sur l'applcaton de méthodes probablstes prévoyant la probablté de leur survenue future. Il est dffcle d'évaluer et de comparer la fréquence et les dommages pour l'envronnement et la santé des accdents graves, car l n'y a pas de collecte systématque et centralsée de ces données au nveau natonal ou nternatonal. Cela est vra en partculer des systèmes énergétques non nucléares. Les données sur les ncdents et les accdents pour le cycle du combustble nucléare sont plus faclement et plus systématquement dsponbles que pour les autres systèmes énergétques. Il n'y a pratquement pas de données sur les effets santares dfférés des accdents graves mputables aux systèmes énergétques non nucléares en partculer. Les données dspo- 8 AIEA BULLETIN, 3/99

6 nbles concernent toujours les décès mmédats et parfos les blessures mmédates. Cela rend une comparason complète dffcle, pusqu'l peut y avor sous-estmaton de l'mpact total. Les effets ultmes à long terme sur l'envronnement, en partculer ceux qu résultent d'accdents graves, sont dffcles à précser. L'exposton des écosystèmes à des émssons accdentelles se produsant une seule fos ou étant peu fréquente, l peut être dffcle de détermner s l'effet est rréversble ou s une récupératon est possble. Conclusons générales Les évaluatons comparatves des rsques nhérents aux dfférents systèmes énergétques utlsés pour la producton d'électrcté montrent que, dans les condtons normales d'explotaton, les systèmes explotant l'énerge nucléare ou les sources d'énerge renouvelables se stuent plutôt vers le bas de l'échelle des rsques santares, tands que les systèmes énergétques au charbon ou au pétrole apparassent à l'autre extrémté. La gravté du rsque peut varer pratquement de un à dx. Cela dt, lorsque tous les cycles du combustble sont dotés des derners perfectonnements technques, ls peuvent produre l'électrcté moyennant des rsques santares et envronnementaux relatvement fables. Le C0 2 éms par les combustbles fossles fat excepton. Auss vent-l en tête des préoccupatons écologques. L'évaluaton comparatve des rsques est appelée à jouer un rôle de plus en plus mportant dans la planfcaton énergétque, car elle apporte aux décdeurs une nformaton d'mportance crtque quant au chox et au dosage des modes de producton d'électrcté. Il va fallor, sans plus attendre, établr une base de données exhaustve et coordonnée au nveau nternatonal sur les effets santares et envronnementaux des dverses sources d'énerge. Taux de mortalté normalsé pour les accdents graves ( ) Opton énergétque Nombre d'événements Décès/ Evénement Total des décès Energe produte (GW-a) Charbon Catastrophe mnère 'étrole Chavrement Incende de raffnere Pendant le transport Gaz naturel Incende/Exploson Hydroélectrcté Nucléare ND = Non dsponble ND Décès/ Energe produte (Décès/GW-a) Notes: L'estmaton de la quantté totale d'énerge produte à partr de combustbles fossles a été multplée par 0,35, ce qu donne son équvalent en énerge électrque produte et permet, par conséquent, de fare la comparason avec l'électrcté d'orgne hydraulque et nucléare. Les décès sgnalés sont les décès mmédats; les décès dfférés, notamment pour l'accdent de Tchernobyl, ne sont pas nclus Source: D'après A.F. Frtzsche, «The Health Rsks of Energy Producton-, Rsk Analyss 9, n 4 (989) ,34 0,02 0,08 0,7,4 0,03 Les évaluatons approxmatves ndqueraent que le rsque santare pour l'être human assocé aux accdents graves dans les systèmes utlsant l'énerge nucléare, le pétrole et le gaz naturel est du même ordre de grandeur, et nféreur de deux ordres de grandeur au rsque nhérent à l'opton hydroélectrque. Avant de conclure, l faut néanmons tenr compte de pluseurs facteurs mportants: les accdents non sgnalés survenus dans les cycles des combustbles fossles et la rareté relatve des accdents de centrales nucléares font que les résultats sont peu sgnfcatfs du pont de vue statstque. Les récents décès dus au cancer après l'accdent de Tchernobyl et les effets tardfs des accdents non nucléares n'ont pas été consdérés. AIEA BULLETIN, 3/99 9

Contrats prévoyance des TNS : Clarifier les règles pour sécuriser les prestations

Contrats prévoyance des TNS : Clarifier les règles pour sécuriser les prestations Contrats prévoyance des TNS : Clarfer les règles pour sécurser les prestatons Résumé de notre proposton : A - Amélorer l nformaton des souscrpteurs B Prévor plus de souplesse dans l apprécaton des revenus

Plus en détail

Plan. Gestion des stocks. Les opérations de gestions des stocks. Les opérations de gestions des stocks

Plan. Gestion des stocks. Les opérations de gestions des stocks. Les opérations de gestions des stocks Plan Geston des stocks Abdellah El Fallah Ensa de Tétouan 2011 Les opératons de gestons des stocks Les coûts assocés à la geston des stocks Le rôle des stocks Modèle de la quantté économque Geston calendare

Plus en détail

Système solaire combiné Estimation des besoins énergétiques

Système solaire combiné Estimation des besoins énergétiques Revue des Energes Renouvelables ICRESD-07 Tlemcen (007) 109 114 Système solare combné Estmaton des besons énergétques R. Kharch 1, B. Benyoucef et M. Belhamel 1 1 Centre de Développement des Energes Renouvelables

Plus en détail

Les prix quotidiens de clôture des échanges de quotas EUA et de crédits CER sont fournis par ICE Futures Europe

Les prix quotidiens de clôture des échanges de quotas EUA et de crédits CER sont fournis par ICE Futures Europe Méthodologe CDC Clmat Recherche puble chaque mos, en collaboraton avec Clmpact Metnext, Tendances Carbone, le bulletn mensuel d nformaton sur le marché européen du carbone (EU ETS). L obectf de cette publcaton

Plus en détail

Editions ENI. Project 2010. Collection Référence Bureautique. Extrait

Editions ENI. Project 2010. Collection Référence Bureautique. Extrait Edtons ENI Project 2010 Collecton Référence Bureautque Extrat Défnton des tâches Défnton des tâches Project 2010 Sasr les tâches d'un projet Les tâches représentent le traval à accomplr pour attendre l'objectf

Plus en détail

Les jeunes économistes

Les jeunes économistes Chaptre1 : les ntérêts smples 1. défnton et calcul pratque : Défnton : Dans le cas de l ntérêt smple, le captal reste nvarable pendant toute la durée du prêt. L emprunteur dot verser, à la fn de chaque

Plus en détail

EH SmartView. Identifiez vos risques et vos opportunités. www.eulerhermes.be. Pilotez votre assurance-crédit. Services en ligne Euler Hermes

EH SmartView. Identifiez vos risques et vos opportunités. www.eulerhermes.be. Pilotez votre assurance-crédit. Services en ligne Euler Hermes EH SmartVew Servces en lgne Euler Hermes Identfez vos rsques et vos opportuntés Plotez votre assurance-crédt www.eulerhermes.be Les avantages d EH SmartVew L expertse Euler Hermes présentée de manère clare

Plus en détail

I. Présentation générale des méthodes d estimation des projets de type «unité industrielle»

I. Présentation générale des méthodes d estimation des projets de type «unité industrielle» Evaluaton des projets et estmaton des coûts Le budget d un projet est un élément mportant dans l étude d un projet pusque les résultats économques auront un mpact sur la réalsaton ou non et sur la concepton

Plus en détail

Remboursement d un emprunt par annuités constantes

Remboursement d un emprunt par annuités constantes Sére STG Journées de formaton Janver 2006 Remboursement d un emprunt par annutés constantes Le prncpe Utlsaton du tableur Un emprunteur s adresse à un prêteur pour obtenr une somme d argent (la dette)

Plus en détail

Mesure avec une règle

Mesure avec une règle Mesure avec une règle par Matheu ROUAUD Professeur de Scences Physques en prépa, Dplômé en Physque Théorque. Lycée Alan-Fourner 8000 Bourges ecrre@ncerttudes.fr RÉSUMÉ La mesure d'une grandeur par un système

Plus en détail

Calculer le coût amorti d une obligation sur chaque exercice et présenter les écritures dans les comptes individuels de la société Plumeria.

Calculer le coût amorti d une obligation sur chaque exercice et présenter les écritures dans les comptes individuels de la société Plumeria. 1 CAS nédt d applcaton sur les normes IAS/IFRS Coût amort sur oblgatons à taux varable ou révsable La socété Plumera présente ses comptes annuels dans le référentel IFRS. Elle détent dans son portefeulle

Plus en détail

VIELLE Marc. CEA-IDEI Janvier 1998. 1 La nomenclature retenue 3. 2 Vue d ensemble du modèle 4

VIELLE Marc. CEA-IDEI Janvier 1998. 1 La nomenclature retenue 3. 2 Vue d ensemble du modèle 4 GEMINI-E3 XL France Un outl destné à l étude des mpacts ndustrels de poltques énergétques et envronnementales VIELLE Marc CEA-IDEI Janver 1998 I LA STRUCTURE DU MODELE GEMINI-E3 XL FRANCE 3 1 La nomenclature

Plus en détail

Fiche n 7 : Vérification du débit et de la vitesse par la méthode de traçage

Fiche n 7 : Vérification du débit et de la vitesse par la méthode de traçage Fche n 7 : Vérfcaton du débt et de la vtesse par la méthode de traçage 1. PRINCIPE La méthode de traçage permet de calculer le débt d un écoulement ndépendamment des mesurages de hauteur et de vtesse.

Plus en détail

Montage émetteur commun

Montage émetteur commun tour au menu ontage émetteur commun Polarsaton d un transstor. ôle de la polarsaton La polarsaton a pour rôle de placer le pont de fonctonnement du transstor dans une zone où ses caractérstques sont lnéares.

Plus en détail

BTS GPN 2EME ANNEE-MATHEMATIQUES-MATHS FINANCIERES MATHEMATIQUES FINANCIERES

BTS GPN 2EME ANNEE-MATHEMATIQUES-MATHS FINANCIERES MATHEMATIQUES FINANCIERES MATHEMATIQUES FINANCIERES I. Concepts généraux. Le référentel précse : Cette parte du module M4 «Acquérr des outls mathématques de base nécessares à l'analyse de données économques» est en relaton avec

Plus en détail

COMPARAISON DE MÉTHODES POUR LA CORRECTION

COMPARAISON DE MÉTHODES POUR LA CORRECTION COMPARAISON DE MÉTHODES POUR LA CORRECTION DE LA NON-RÉPONSE TOTALE : MÉTHODE DES SCORES ET SEGMENTATION Émle Dequdt, Benoît Busson 2 & Ncolas Sgler 3 Insee, Drecton régonale des Pays de la Lore, Servce

Plus en détail

Impôt sur la fortune et investissement dans les PME Professeur Didier MAILLARD

Impôt sur la fortune et investissement dans les PME Professeur Didier MAILLARD Conservatore atonal des Arts et Méters Chare de BAQUE Document de recherche n 9 Impôt sur la fortune et nvestssement dans les PME Professeur Dder MAILLARD Avertssement ovembre 2007 La chare de Banque du

Plus en détail

Dirigeant de SAS : Laisser le choix du statut social

Dirigeant de SAS : Laisser le choix du statut social Drgeant de SAS : Lasser le chox du statut socal Résumé de notre proposton : Ouvrr le chox du statut socal du drgeant de SAS avec 2 solutons possbles : apprécer la stuaton socale des drgeants de SAS comme

Plus en détail

santé Les arrêts de travail des séniors en emploi

santé Les arrêts de travail des séniors en emploi soldarté et DOSSIERS Les arrêts de traval des sénors en emplo N 2 2007 Les sénors en emplo se dstnguent-ls de leurs cadets en termes de recours aux arrêts de traval? Les sénors ne déclarent pas plus d

Plus en détail

Chapitre 3 : Incertitudes CHAPITRE 3 INCERTITUDES. Lignes directrices 2006 du GIEC pour les inventaires nationaux de gaz à effet de serre 3.

Chapitre 3 : Incertitudes CHAPITRE 3 INCERTITUDES. Lignes directrices 2006 du GIEC pour les inventaires nationaux de gaz à effet de serre 3. Chaptre 3 : Incerttudes CHAPITRE 3 INCERTITUDES Lgnes drectrces 2006 du GIEC pour les nventares natonaux de gaz à effet de serre 3.1 Volume 1 : Orentatons générales et établssement des rapports Auteurs

Plus en détail

MÉTHODES DE SONDAGES UTILISÉES DANS LES PROGRAMMES D ÉVALUATIONS DES ÉLÈVES

MÉTHODES DE SONDAGES UTILISÉES DANS LES PROGRAMMES D ÉVALUATIONS DES ÉLÈVES MÉTHODES DE SONDAGES UTILISÉES DANS LES PROGRAMMES D ÉVALUATIONS DES ÉLÈVES Émle Garca, Maron Le Cam et Therry Rocher MENESR-DEPP, bureau de l évaluaton des élèves Cet artcle porte sur les méthodes de

Plus en détail

Pourquoi LICIEL? Avec LICIEL passez à la vitesse supérieure EPROUVE TECHNICITE CONNECTE STABILITE SUIVIE COMMUNAUTE

Pourquoi LICIEL? Avec LICIEL passez à la vitesse supérieure EPROUVE TECHNICITE CONNECTE STABILITE SUIVIE COMMUNAUTE L og c el s de D agnos t c s I mmob l er s Cont ac t eznous 32BddeS t r as bougcs3010875468 Par scedex10tel. 0253354064Fax0278084116 ma l : s er v c e. c l ent @l c el. f r Pourquo LICIEL? Implanté sur

Plus en détail

L enseignement virtuel dans une économie émergente : perception des étudiants et perspectives d avenir

L enseignement virtuel dans une économie émergente : perception des étudiants et perspectives d avenir L ensegnement vrtuel dans une économe émergente : percepton des étudants et perspectves d avenr Hatem Dellag Laboratore d Econome et de Fnances applquées Faculté des scences économques et de geston de

Plus en détail

La Quantification du Risque Opérationnel des Institutions Bancaires

La Quantification du Risque Opérationnel des Institutions Bancaires HEC Montréal Afflée à l Unversté de Montréal La Quantfcaton du Rsque Opératonnel des Insttutons Bancares par Hela Dahen Département Fnance Thèse présentée à la Faculté des études supéreures en vue d obtenton

Plus en détail

UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL L ASSURANCE AUTOMOBILE AU QUÉBEC : UNE PRIME SELON LE COÛT SOCIAL MARGINAL MÉMOIRE PRÉSENTÉ COMME EXIGENCE PARTIELLE

UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL L ASSURANCE AUTOMOBILE AU QUÉBEC : UNE PRIME SELON LE COÛT SOCIAL MARGINAL MÉMOIRE PRÉSENTÉ COMME EXIGENCE PARTIELLE UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL L ASSURANCE AUTOMOBILE AU QUÉBEC : UNE PRIME SELON LE COÛT SOCIAL MARGINAL MÉMOIRE PRÉSENTÉ COMME EXIGENCE PARTIELLE DE LA MAÎTRISE EN ÉCONOMIQUE PAR ERIC LÉVESQUE JANVIER

Plus en détail

ErP : éco-conception et étiquetage énergétique. Les solutions Vaillant. Pour dépasser la performance. La satisfaction de faire le bon choix.

ErP : éco-conception et étiquetage énergétique. Les solutions Vaillant. Pour dépasser la performance. La satisfaction de faire le bon choix. ErP : éco-concepton et étquetage énergétque Les solutons Vallant Pour dépasser la performance La satsfacton de fare le bon chox. ErP : éco-concepton et étquetage énergétque Eco-concepton et Etquetage

Plus en détail

EURIsCO. Cahiers de recherche. Cahier n 2008-05. L épargne des ménages au Maroc : Une analyse macroéconomique et microéconomique.

EURIsCO. Cahiers de recherche. Cahier n 2008-05. L épargne des ménages au Maroc : Une analyse macroéconomique et microéconomique. Cahers de recherche EURIsCO Caher n 2008-05 L épargne des ménages au Maroc : Une analyse macroéconomque et mcroéconomque Rapport d étude Najat El Mekkaou de Fretas (coordnateur) Eursco Unversté Pars Dauphne

Plus en détail

Faire des régimes TNS les laboratoires de la protection sociale de demain appelle des évolutions à deux niveaux :

Faire des régimes TNS les laboratoires de la protection sociale de demain appelle des évolutions à deux niveaux : Réformer en profondeur la protecton socale des TNS pour la rendre plus effcace Résumé de notre proposton : Fare des régmes TNS les laboratores de la protecton socale de deman appelle des évolutons à deux

Plus en détail

STATISTIQUE AVEC EXCEL

STATISTIQUE AVEC EXCEL STATISTIQUE AVEC EXCEL Excel offre d nnombrables possbltés de recuellr des données statstques, de les classer, de les analyser et de les représenter graphquement. Ce sont prncpalement les tros éléments

Plus en détail

LE RÉGIME DE RETRAITE DU PERSONNEL CANADIEN DE LA CANADA-VIE (le «régime») INFORMATION IMPORTANTE CONCERNANT LE RECOURS COLLECTIF

LE RÉGIME DE RETRAITE DU PERSONNEL CANADIEN DE LA CANADA-VIE (le «régime») INFORMATION IMPORTANTE CONCERNANT LE RECOURS COLLECTIF 1 LE RÉGIME DE RETRAITE DU PERSONNEL CANADIEN DE LA CANADA-VIE (le «régme») INFORMATION IMPORTANTE CONCERNANT LE RECOURS COLLECTIF AVIS AUX RETRAITÉS ET AUX PARTICIPANTS AVEC DROITS ACQUIS DIFFÉRÉS Expédteurs

Plus en détail

Réseau RRFR pour la surveillance dynamique : application en e-maintenance.

Réseau RRFR pour la surveillance dynamique : application en e-maintenance. Réseau RRFR pour la survellance dynamue : applcaton en e-mantenance. RYAD ZEMOURI, DANIEL RACOCEANU, NOUREDDINE ZERHOUNI Laboratore Unverstare de Recherche en Producton Automatsée (LURPA) 6, avenue du

Plus en détail

Assurance maladie et aléa de moralité ex-ante : L incidence de l hétérogénéité de la perte sanitaire

Assurance maladie et aléa de moralité ex-ante : L incidence de l hétérogénéité de la perte sanitaire Assurance malade et aléa de moralté ex-ante : L ncdence de l hétérogénété de la perte santare Davd Alary 1 et Franck Ben 2 Cet artcle examne l ncdence de l hétérogénété de la perte santare sur les contrats

Plus en détail

CREATION DE VALEUR EN ASSURANCE NON VIE : COMMENT FRANCHIR UNE NOUVELLE ETAPE?

CREATION DE VALEUR EN ASSURANCE NON VIE : COMMENT FRANCHIR UNE NOUVELLE ETAPE? CREATION DE VALEUR EN ASSURANCE NON VIE : COMMENT FRANCHIR UNE NOUVELLE ETAPE? Boulanger Frédérc Avanssur, Groupe AXA 163-167, Avenue Georges Clémenceau 92742 Nanterre Cedex France Tel: +33 1 46 14 43

Plus en détail

GUIDE D ÉLABORATION D UN PLAN D INTERVENTION POUR LE RENOUVELLEMENT DES CONDUITES D EAU POTABLE, D ÉGOUTS ET DES CHAUSSÉES

GUIDE D ÉLABORATION D UN PLAN D INTERVENTION POUR LE RENOUVELLEMENT DES CONDUITES D EAU POTABLE, D ÉGOUTS ET DES CHAUSSÉES GUIDE D ÉLABORATION D UN PLAN D INTERVENTION POUR LE RENOUVELLEMENT DES CONDUITES D EAU POTABLE, D ÉGOUTS ET DES CHAUSSÉES Gude destné au mleu muncpal québécos NOVEMBRE 2013 Coordnaton : Martn Cormer,

Plus en détail

1. Les enjeux de la prévision du risque de défaut de paiement

1. Les enjeux de la prévision du risque de défaut de paiement Scorng sur données d entreprses : nstrument de dagnostc ndvduel et outl d analyse de portefeulle d une clentèle Mrelle Bardos Ancen chef de servce de l Observatore des entreprses de la Banque de France

Plus en détail

Méthodologie version 1, juillet 2006

Méthodologie version 1, juillet 2006 Méthodologe verson, ullet 2006 Tendances Carbone résente chaque mos sx groues d ndcateurs :. Synthèse du mos 2. Clmat 3. Actvté économque. Energe 5. Envronnement nsttutonnel 6. Tableau de bord Ce document

Plus en détail

Grandeur physique, chiffres significatifs

Grandeur physique, chiffres significatifs Grandeur physque, chffres sgnfcatfs I) Donner le résultat d une mesure en correspondance avec l nstrument utlsé : S avec un nstrument, ren n est ndqué sur l ncerttude absolue X d une mesure X, on consdère

Plus en détail

Terminal numérique TM 13 raccordé aux installations Integral 33

Terminal numérique TM 13 raccordé aux installations Integral 33 Termnal numérque TM 13 raccordé aux nstallatons Integral 33 Notce d utlsaton Vous garderez une longueur d avance. Famlarsez--vous avec votre téléphone Remarques mportantes Chaptres à lre en prorté -- Vue

Plus en détail

1.0 Probabilité vs statistique...1. 1.1 Expérience aléatoire et espace échantillonnal...1. 1.2 Événement...2

1.0 Probabilité vs statistique...1. 1.1 Expérience aléatoire et espace échantillonnal...1. 1.2 Événement...2 - robabltés - haptre : Introducton à la théore des probabltés.0 robablté vs statstque.... Expérence aléatore et espace échantllonnal.... Événement.... xomes défnton de probablté..... Quelques théorèmes

Plus en détail

Integral T 3 Compact. raccordé aux installations Integral 5. Notice d utilisation

Integral T 3 Compact. raccordé aux installations Integral 5. Notice d utilisation Integral T 3 Compact raccordé aux nstallatons Integral 5 Notce d utlsaton Remarques mportantes Remarques mportantes A quelle nstallaton pouvez-vous connecter votre téléphone Ce téléphone est conçu unquement

Plus en détail

GENESIS - Generalized System for Imputation Simulations (Système généralisé pour simuler l imputation)

GENESIS - Generalized System for Imputation Simulations (Système généralisé pour simuler l imputation) GENESS - Generalzed System for mputaton Smulatons (Système généralsé pour smuler l mputaton) GENESS est un système qu permet d exécuter des smulatons en présence d mputaton. L utlsateur fournt un ensemble

Plus en détail

Prise en compte des politiques de transport dans le choix des fournisseurs

Prise en compte des politiques de transport dans le choix des fournisseurs INSTITUT NATIONAL POLYTECHNIQUE DE GRENOBLE N attrbué par la bblothèque THÈSE Pour obtenr le grade de DOCTEUR DE L I.N.P.G. Spécalté : Géne Industrel Préparée au Laboratore d Automatque de Grenoble Dans

Plus en détail

UNE ETUDE ECONOMÉTRIQUE DU NOMBRE D ACCIDENTS

UNE ETUDE ECONOMÉTRIQUE DU NOMBRE D ACCIDENTS BRUSSELS ECONOMIC REVIEW - CAHIERS ECONOMIQUES DE BRUXELLES VOL. 49 - N 2 SUMMER 2006 UNE ETUDE ECONOMÉTRIQUE DU NOMBRE D ACCIDENTS DANS LE SECTEUR DE L ASSURANCE AUTOMOBILE* MARÍA DEL CARMEN MELGAR**

Plus en détail

Afflux de capitaux, taux de change réel et développement financier : évidence empirique pour les pays du Maghreb

Afflux de capitaux, taux de change réel et développement financier : évidence empirique pour les pays du Maghreb Global Journal of Management and Busness Research Volume Issue Verson.0 November 20 Type: Double Blnd Peer Revewed Internatonal Research Journal Publsher: Global Journals Inc. (USA) Onlne ISSN: 2249-4588

Plus en détail

Interface OneNote 2013

Interface OneNote 2013 Interface OneNote 2013 Interface OneNote 2013 Offce 2013 - Fonctons avancées Lancer OneNote 2013 À partr de l'nterface Wndows 8, utlsez une des méthodes suvantes : - Clquez sur la vgnette OneNote 2013

Plus en détail

Le Prêt Efficience Fioul

Le Prêt Efficience Fioul Le Prêt Effcence Foul EMPRUNTEUR M. Mme CO-EMPRUNTEUR M. Mlle Mme Mlle (CONJOINT, PACSÉ, CONCUBIN ) Départ. de nass. Nature de la pèce d dentté : Natonalté : CNI Passeport Ttre de séjour N : Salaré Stuaton

Plus en détail

Généralités sur les fonctions 1ES

Généralités sur les fonctions 1ES Généraltés sur les fonctons ES GENERALITES SUR LES FNCTINS I. RAPPELS a. Vocabulare Défnton Une foncton est un procédé qu permet d assocer à un nombre x appartenant à un ensemble D un nombre y n note :

Plus en détail

ÉLÉMENTS DE THÉORIE DE L INFORMATION POUR LES COMMUNICATIONS.

ÉLÉMENTS DE THÉORIE DE L INFORMATION POUR LES COMMUNICATIONS. ÉLÉMETS DE THÉORIE DE L IFORMATIO POUR LES COMMUICATIOS. L a théore de l nformaton est une dscplne qu s appue non seulement sur les (télé-) communcatons, mas auss sur l nformatque, la statstque, la physque

Plus en détail

P R I S E E N M A I N R A P I D E O L I V E 4 H D

P R I S E E N M A I N R A P I D E O L I V E 4 H D P R I S E E N M A I N R A P I D E O L I V E 4 H D Sommare 1 2 2.1 2.2 2.3 3 3.1 3.2 3.3 4 4.1 4.2 4.3 4.4 4.5 4.6 5 6 7 7.1 7.2 7.3 8 8.1 8.2 8.3 8.4 8.5 8.6 Contenu du carton... 4 Paramétrage... 4 Connexon

Plus en détail

Intégration financière et croissance économique : évidence empirique dans. la région MENA

Intégration financière et croissance économique : évidence empirique dans. la région MENA Décembre 2011 Volume 6, No.2 (pp. 115-131) Zouher Abda Revue Congolase d Econome Intégraton fnancère et crossance économque : évdence emprque dans la régon MENA Zouher ABIDA * Résumé: L objectf de cet

Plus en détail

Paquets. Paquets nationaux 1. Paquets internationaux 11

Paquets. Paquets nationaux 1. Paquets internationaux 11 Paquets Paquets natonaux 1 Paquets nternatonaux 11 Paquets natonaux Servces & optons 1 Créaton 3 1. Dmensons, pods & épasseurs 3 2. Présentaton des paquets 4 2.1. Face avant du paquet 4 2.2. Comment obtenr

Plus en détail

IDEI Report # 18. Transport. December 2010. Elasticités de la demande de transport ferroviaire: définitions et mesures

IDEI Report # 18. Transport. December 2010. Elasticités de la demande de transport ferroviaire: définitions et mesures IDEI Report # 18 Transport December 2010 Elastctés de la demande de transport ferrovare: défntons et mesures Elastctés de la demande de transport ferrovare : Défntons et mesures Marc Ivald Toulouse School

Plus en détail

Page 5 TABLE DES MATIÈRES

Page 5 TABLE DES MATIÈRES Page 5 TABLE DES MATIÈRES CHAPITRE I LES POURCENTAGES 1. LES OBJECTIFS 12 2. LES DÉFINITIONS 14 1. La varaton absolue d'une grandeur 2. La varaton moyenne d'une grandeur (par unté de temps) 3. Le coeffcent

Plus en détail

22 environnement technico-professionnel

22 environnement technico-professionnel 22 envronnement technco-professonnel CYRIL SABATIÉ Drecteur du servce jurdque FNAIM Ouverture du ma IMMOBILIER, OÙ 1 Artcle paru également dans la Revue des Loyers, jullet à septembre 2007, n 879, p. 314

Plus en détail

DES EFFETS PERVERS DU MORCELLEMENT DES STOCKS

DES EFFETS PERVERS DU MORCELLEMENT DES STOCKS DES EFFETS PERVERS DU MORCELLEMENT DES STOCKS Le cabnet Enetek nous démontre les mpacts négatfs de la multplcaton des stocks qu au leu d amélorer le taux de servce en se rapprochant du clent, le dégradent

Plus en détail

GATE Groupe d Analyse et de Théorie Économique DOCUMENTS DE TRAVAIL - WORKING PAPERS W.P. 08-24. Préférences temporelles et recherche d emploi

GATE Groupe d Analyse et de Théorie Économique DOCUMENTS DE TRAVAIL - WORKING PAPERS W.P. 08-24. Préférences temporelles et recherche d emploi GATE Groupe d Analyse et de Théore Économque UMR 5824 du CNRS DOCUMENTS DE TRAVAIL - WORKING PAPERS W.P. 08-24 Préférences temporelles et recherche d emplo «Applcatons économétrques sur le panel Européen

Plus en détail

Corrections adiabatiques et nonadiabatiques dans les systèmes diatomiques par calculs ab-initio

Corrections adiabatiques et nonadiabatiques dans les systèmes diatomiques par calculs ab-initio Correctons adabatques et nonadabatques dans les systèmes datomques par calculs ab-nto Compte rendu du traval réalsé dans le cadre d un stage de quatre mos au sen du Groupe de Spectroscope Moléculare et

Plus en détail

TABLE DES MATIERES CONTROLE D INTEGRITE AU SEIN DE LA RECHERCHE LOCALE DE LA POLICE LOCALE DE BRUXELLES-CAPITALE/IXELLES (DEUXIEME DISTRICT) 1

TABLE DES MATIERES CONTROLE D INTEGRITE AU SEIN DE LA RECHERCHE LOCALE DE LA POLICE LOCALE DE BRUXELLES-CAPITALE/IXELLES (DEUXIEME DISTRICT) 1 TABLE DES MATIERES CONTROLE D INTEGRITE AU SEIN DE LA RECHERCHE LOCALE DE LA POLICE LOCALE DE BRUXELLES-CAPITALE/IXELLES (DEUXIEME DISTRICT) 1 1. PROBLEMATIQUE 1 2. MISSION 1 3. ACTES D ENQUETE 2 4. ANALYSE

Plus en détail

En vue de l'obtention du. Présentée et soutenue par Elayeb Bilel Le 26 juin 2009

En vue de l'obtention du. Présentée et soutenue par Elayeb Bilel Le 26 juin 2009 THÈSE En vue de l'obtenton du DOCTORAT DE L UNIVERSITÉ DE TOULOUSE Délvré par Insttut Natonal Polytechnque de Toulouse (INPT) Dscplne ou spécalté : Informatque Présentée et soutenue par Elayeb Blel Le

Plus en détail

Coefficient de partage

Coefficient de partage Coeffcet de partage E chme aque, la sythèse d'u composé se fat e pluseurs étapes : la réacto propremet dte (utlsat par exemple u motage à reflux quad la réacto dot être actvée thermquemet), les extractos

Plus en détail

RAPPORT DE STAGE. Approcher la frontière d'une sous-partie de l'espace ainsi que la distance à cette frontière. Sujet : Master II : SIAD

RAPPORT DE STAGE. Approcher la frontière d'une sous-partie de l'espace ainsi que la distance à cette frontière. Sujet : Master II : SIAD UFR SCIENCES ET TECHNOLOGIES DEPARTEMENT DE MATHEMATIQUES ET INFORMATIQUE 63 177 AUBIERE CEDEX Année 2008-2009 Master II : SIAD RAPPORT DE STAGE Sujet : Approcher la frontère d'une sous-parte de l'espace

Plus en détail

Les déterminants de la détention et de l usage de la carte de débit : une analyse empirique sur données individuelles françaises

Les déterminants de la détention et de l usage de la carte de débit : une analyse empirique sur données individuelles françaises Les détermnants de la détenton et de l usage de la carte de débt : une analyse emprque sur données ndvduelles françases Davd Boune Marc Bourreau Abel Franços Jun 2006 Département Scences Economques et

Plus en détail

hal-00409942, version 1-14 Aug 2009

hal-00409942, version 1-14 Aug 2009 Manuscrt auteur, publé dans "MOSIM' 008, Pars : France (008)" 7 e Conférence Francophone de MOdélsaton et SIMulaton - MOSIM 08 - du mars au avrl 008 - Pars - France «Modélsaton, Optmsaton et Smulaton des

Plus en détail

Les déterminants de la détention et de l usage de la carte de débit : une analyse empirique sur données individuelles françaises

Les déterminants de la détention et de l usage de la carte de débit : une analyse empirique sur données individuelles françaises Les détermnants de la détenton et de l usage de la carte de débt : une analyse emprque sur données ndvduelles françases Davd Boune a, Marc Bourreau a,b et Abel Franços a,c a Télécom ParsTech, Département

Plus en détail

Be inspired. Numéro Vert. Via Caracciolo 20 20155 Milano tel. +39 02 365 22 990 fax +39 02 365 22 991

Be inspired. Numéro Vert. Via Caracciolo 20 20155 Milano tel. +39 02 365 22 990 fax +39 02 365 22 991 Ggaset SX353 / französsch / A31008-X353-P100-1-7719 / cover_0_hedelberg.fm / 03.12.2003 s Be nspred www.onedrect.fr www.onedrect.es www.onedrect.t www.onedrect.pt 0 800 72 4000 902 30 32 32 02 365 22 990

Plus en détail

RÉSUMÉ ANALYTIQUE... 1

RÉSUMÉ ANALYTIQUE... 1 Out ld éval uat on del aper f or manceen mat èr e degest on del adet t e (DeMPA) Républ quedu Sénégal Ma2010 LeDeMPA estunemét hodol og epouréval uerl aper f or manceenmat èr edegest on del adet t eàt

Plus en détail

LeanConcept. La solution déploiement du Lean Manufacturing. Stockage Logistique Ergonomie Environnement Aménagement Services

LeanConcept. La solution déploiement du Lean Manufacturing. Stockage Logistique Ergonomie Environnement Aménagement Services Stockage Logstque Ergonome Envronnement Aménagement Servces La soluton déploement du Lean Manufacturng SIRE 4808480004 - NAF 4669C - VA ntracommunautare FR 9480848 www.sma.fr - contact@sma.fr - Fax 05

Plus en détail

Table des Matières RÉSUMÉ ANALYTIQUE... 1 I. CONTEXTE... 2 1. La dette publique du Gouvernement... 2 2. Contexte institutionnel de gestion de la

Table des Matières RÉSUMÉ ANALYTIQUE... 1 I. CONTEXTE... 2 1. La dette publique du Gouvernement... 2 2. Contexte institutionnel de gestion de la Out ld éval uat on del aper f or manceen mat èr e degest on del adet t e (empa) Maur t an a Mar s2011 LeeMPA estunemét hodol og epouréval uerl aper f or manceenmat èr edegest on del adet t eàt r aver sunensembl

Plus en détail

METHODE AUTOMATIQUE POUR CORRIGER LA VARIATION LINGUISTIQUE LORS DE L INTERROGATION DE DOCUMENTS XML DE STRUCTURES HETEROGENES

METHODE AUTOMATIQUE POUR CORRIGER LA VARIATION LINGUISTIQUE LORS DE L INTERROGATION DE DOCUMENTS XML DE STRUCTURES HETEROGENES METHODE AUTOMATIQUE POUR CORRIGER LA VARIATION LINGUISTIQUE LORS DE L INTERROGATION DE DOCUMENTS XML DE STRUCTURES HETEROGENES Ourda Boudghaghen(*),Mohand Boughanem(**) yugo_doudou@yahoo.fr, bougha@rt.fr

Plus en détail

CHAPITRE 14 : RAISONNEMENT DES SYSTÈMES DE COMMANDE

CHAPITRE 14 : RAISONNEMENT DES SYSTÈMES DE COMMANDE HAITRE 4 : RAISONNEMENT DES SYSTÈMES DE OMMANDE RAISONNEMENT DES SYSTÈMES DE OMMANDE... 2 INTRODUTION... 22 RAELS... 22 alcul de la valeur ntale de la répone à un échelon... 22 alcul du gan tatque... 22

Plus en détail

1 Introduction. 2 Définitions des sources de tension et de courant : Cours. Date : A2 Analyser le système Conversion statique de l énergie. 2 h.

1 Introduction. 2 Définitions des sources de tension et de courant : Cours. Date : A2 Analyser le système Conversion statique de l énergie. 2 h. A2 Analyser le système Converson statque de l énerge Date : Nom : Cours 2 h 1 Introducton Un ConVertsseur Statque d énerge (CVS) est un montage utlsant des nterrupteurs à semconducteurs permettant par

Plus en détail

TABLEAU DE BORD DE L ÉVOLUTION DES EFFECTIFS D ÉLÈVES DE L ENSEIGNEMENT PRIMAIRE PUBLIC À UN NIVEAU LOCAL. Choisir une commune

TABLEAU DE BORD DE L ÉVOLUTION DES EFFECTIFS D ÉLÈVES DE L ENSEIGNEMENT PRIMAIRE PUBLIC À UN NIVEAU LOCAL. Choisir une commune Servce de la recherche en éducaton / DIP, Genève - Prévsons localsées d effectfs de l ensegnement prmare TABLEAU DE BORD DE L ÉVOLUTION DES EFFECTIFS D ÉLÈVES DE L ENSEIGNEMENT PRIMAIRE PUBLIC À UN NIVEAU

Plus en détail

LA SURVIE DES ENTREPRISES DÉPEND-ELLE DU TERRITOIRE D'IMPLANTATION?

LA SURVIE DES ENTREPRISES DÉPEND-ELLE DU TERRITOIRE D'IMPLANTATION? LA SURVIE DES ENTREPRISES DÉPEND-ELLE DU TERRITOIRE D'IMPLANTATION? Anne PERRAUD (CRÉDOC) Phlppe MOATI (CRÉDOC Unversté Pars) Nadège COUVERT (ENSAE) INTRODUCTION Au cours des dernères années, de nombreux

Plus en détail

CATALOGUE EXCLUSIF TOUCH MEDIA CATALOGUE DE SITES FORMATS GLOSSAIRE. Notre sélection de supports en représentation exclusive au Maroc

CATALOGUE EXCLUSIF TOUCH MEDIA CATALOGUE DE SITES FORMATS GLOSSAIRE. Notre sélection de supports en représentation exclusive au Maroc CATALOGUE EXCLUSIF Notre sélecton de supports en représentaton exclusve au Maroc CATALOGUE DE SITES FORMATS A PROPOS DE NOUS Make ordnary, Extraordnary Phlosophe Équpe Réactvté est la rége publctare web

Plus en détail

ACTE DE PRÊT HYPOTHÉCAIRE

ACTE DE PRÊT HYPOTHÉCAIRE - 1 - ACTE DE PRÊT HYPOTHÉCAIRE 5453F QC FR-2010/01 Taux fxe Le. Devant M e, notare soussgné pour la provnce de Québec, exerçant à. ONT COMPARU : ET : (C-après parfos appelé dans le présent Acte l «emprunteur»

Plus en détail

Exercices d Électrocinétique

Exercices d Électrocinétique ercces d Électrocnétque Intensté et densté de courant -1.1 Vtesse des porteurs de charges : On dssout une masse m = 20g de chlorure de sodum NaCl dans un bac électrolytque de longueur l = 20cm et de secton

Plus en détail

En vue de l'obtention du. Présentée et soutenue par Meva DODO Le 06 novembre 2008

En vue de l'obtention du. Présentée et soutenue par Meva DODO Le 06 novembre 2008 THÈSE En vue de l'obtenton du DOCTORAT DE L UNIVERSITÉ DE TOULOUSE Délvré par l'unversté Toulouse III - Paul Sabater Spécalté : Informatque Présentée et soutenue par Meva DODO Le 06 novembre 2008 Ttre

Plus en détail

BUREAU D'APPLICATION DES METHODES STATISTIQUES ET INFORMATIQUES

BUREAU D'APPLICATION DES METHODES STATISTIQUES ET INFORMATIQUES BUREAU DAPPLICATION DES METHODES STATISTIQUES ET INFORMATIQUES BAMSI REPRINT 04/2003 Introducton à l analyse des données Samuel AMBAPOUR BAMSSI I BAMSI B.P. 13734 Brazzavlle BAMSI REPRINT 04/2003 Introducton

Plus en détail

S.A.S. HEMATITE, représentée par son Président la S.A.S. OFIREIM 26 avenue des Champs Elysées 75008 PARIS

S.A.S. HEMATITE, représentée par son Président la S.A.S. OFIREIM 26 avenue des Champs Elysées 75008 PARIS TRBUNAL DE GRANDE NSTANCE DE PARS 18 chambre 2ème secton N RG : 09/11087 N MNUTE : 1 contradctore Assgnaton du : 02 Jullet 2009 JUGEMENT rendu le 13 Janver 2011 Expédtons exécutores délvrées le : 13 JAN.

Plus en détail

Mes Objectifs. De, par, avec Sandrine le Métayer Lumières de Philippe Férat. spectacle produit par la Cie DORE

Mes Objectifs. De, par, avec Sandrine le Métayer Lumières de Philippe Férat. spectacle produit par la Cie DORE Me Objectf De, par, avec Sandrne le Métayer Lumère de Phlppe Férat pectacle produt par la Ce DORE t j Me objectf numéro prx du Jury aux Gradn du rque (Le Hvernale/ Avgnon) p l e t t a r d, p Sandrne le

Plus en détail

INTERNET. Initiation à

INTERNET. Initiation à Intaton à INTERNET Surfez sur Internet Envoyez des messages Téléchargez Dscutez avec Skype Découvrez Facebook Regardez des vdéos Protégez votre ordnateur Myram GRIS Table des matères Internet Introducton

Plus en détail

TD 1. Statistiques à une variable.

TD 1. Statistiques à une variable. Danel Abécasss. Année unverstare 2010/2011 Prépa-L1 TD de bostatstques. Exercce 1. On consdère la sére suvante : TD 1. Statstques à une varable. 1. Calculer la moyenne et l écart type. 2. Calculer la médane

Plus en détail

- Acquisition de signaux en sismologie large bande. - Acquisition de signaux lents, magnétisme, MT.

- Acquisition de signaux en sismologie large bande. - Acquisition de signaux lents, magnétisme, MT. 87 DUCAPTEURAUXEANQUESDEDONNEES. TECHNQUES D'NSTRUMENTATON EN GEOPEY8QUE. J:M. CANTN Unversté Lous Pasteur (Strasbourg 1) nsttut de Physque du Globe de Strasbourg Ecole et Observatore de Physque du Globe.

Plus en détail

Pour avoir les idées plus claires...

Pour avoir les idées plus claires... ARNET PRATIQUE Pour avor les dées plus clares...... lorsque vous développez un projet d ntérêt général. Outl produt avec le souten du rédt Mutuel accuel SOMMaRe «Je ne connas pas d entrepreneur qu n at

Plus en détail

STRATEGIE NATIONALE DES BANQUES CEREALIERES DU NIGER

STRATEGIE NATIONALE DES BANQUES CEREALIERES DU NIGER REPUBLIQUE DU NIGER MINISTERE DE L'AGRICULTURE ET DE L'ELEVAGE B-P, 12091 NIAMEY NIGER Té1 : 7320-58 Drecton de Promoton des Organsatons Rurales et de la Geston de l'espace Rural (DPOR/GER) NIAMEY Té1

Plus en détail

Parlons. retraite. au service du «bien vieillir» L Assurance retraite. en chiffres* 639 192 retraités payés pour un montant de 4,2 milliards d euros

Parlons. retraite. au service du «bien vieillir» L Assurance retraite. en chiffres* 639 192 retraités payés pour un montant de 4,2 milliards d euros Édton Pays de la Lore Parlons La lettre aux retratés du régme général de la Sécurté socale 2012 retrate L Assurance retrate en chffres* 12,88 mllons de retratés 17,58 mllons de cotsants 346 000 bénéfcares

Plus en détail

Stéganographie Adaptative par Oracle (ASO)

Stéganographie Adaptative par Oracle (ASO) Stéganographe Adaptatve par Oracle ASO Sarra Kouder, Marc Chaumont, Wllam Puech To cte ths verson: Sarra Kouder, Marc Chaumont, Wllam Puech. Stéganographe Adaptatve par Oracle ASO. CORESA 12: COmpresson

Plus en détail

L ABC du traitement cognitivo-comportemental de l insomnie primaire

L ABC du traitement cognitivo-comportemental de l insomnie primaire F É D É R A T I O N D E S M É D E C I N S O M N I P R A T I C I E N S D U Q U É B E C L ABC du tratement cogntvo-comportemental de l nsomne prmare par Anne Vallères, Bernard Guay et Charles Morn M me Tousgnant

Plus en détail

Pro2030 GUIDE D UTILISATION. Français

Pro2030 GUIDE D UTILISATION. Français Pro2030 GUIDE D UTILISATION Franças Contents Garante... Introducton... 1 Artcle nº 605056 Rév C Schéma nº A605056 Novembre 2010 2010 YSI Incorporated. Le logo YSI est une marque déposée de YSI Incorporated.

Plus en détail

Calculs des convertisseurs en l'electronique de Puissance

Calculs des convertisseurs en l'electronique de Puissance Calculs des conertsseurs en l'electronque de Pussance Projet : PROGRAMMAON ate : 14 arl Auteur : herry EQUEU. EQUEU 1, rue Jules Massenet 37 OURS el 47 5 93 64 herry EQUEU Jun [V37] Fcher : ESGN.OC Calculs

Plus en détail

Pratique de la statistique avec SPSS

Pratique de la statistique avec SPSS Pratque de la statstque avec SPSS SUPPORT Transparents ultéreurement amélorés et ms à jour sur le ste du SMCS LIENS UTILES Ste du SMCS (Support en Méthodologe et Calcul Statstque) : http://www.stat.ucl.ac.be/smcs/

Plus en détail

Mots-clés : Système multicapteurs, Réseau local, Réseaux de neurones, Supervision, Domotique. xigences système d'une nouvelle

Mots-clés : Système multicapteurs, Réseau local, Réseaux de neurones, Supervision, Domotique. xigences système d'une nouvelle Mots-clés : xgences système d'une nouvelle fonctonnalté dans l'habtat ndvduel : cas de la survellance Système multcapteurs, Réseau local, Réseaux de neurones, Supervson, Domotque. des personnes âgées et

Plus en détail

LICENCE DE SCIENCES PHYSIQUES UV 3LSPH50. Année 2004-2005 MODÉLISATION. Recherche des paramètres d'une représentation analytique J.P.

LICENCE DE SCIENCES PHYSIQUES UV 3LSPH50. Année 2004-2005 MODÉLISATION. Recherche des paramètres d'une représentation analytique J.P. LICENCE DE SCIENCES PHYSIQUES UV 3LSPH50 Année 004-005 MODÉLISATION Recherche des paramètres d'une représentaton analytque JP DUBÈS 3 MODÉLISATION Recherche des paramètres d'une représentaton analytque

Plus en détail

MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES

MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES Un Peuple - Un But Une Fo MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES DIRECTION DE LA PREVISION ET DES ETUDES ECONOMIQUES Document de traval N 03 GESTION DU RISQUE DE CREDIT ET FINANCEMENT DES ECONOMIES DE

Plus en détail

Pauvreté et fécondité au Congo

Pauvreté et fécondité au Congo BUREAU D'APPLICATION DES METHODES STATISTIQUES ET INFORMATIQUES DT 14/2007 Pauvreté et fécondté au Congo Samuel AMBAPOUR Armel MOUSSANA HYLOD BAMSSII BAMSI B.P. 13734 Brazzavlle DT 14/2007 Pauvreté et

Plus en détail

Corrigé du problème de Mathématiques générales 2010. - Partie I - 0 0 0. 0.

Corrigé du problème de Mathématiques générales 2010. - Partie I - 0 0 0. 0. Corrgé du problème de Mathématques générales 2010 - Parte I - 1(a. Sot X S A. La matrce A est un polynôme en X donc commute avec X. 1(b. On a : 0 = m A (A = m A (X n ; le polynôme m A (x n est annulateur

Plus en détail

AVERTISSEMENT. Contact SCD INPL: mailto:scdinpl@inpl-nancy.fr LIENS

AVERTISSEMENT. Contact SCD INPL: mailto:scdinpl@inpl-nancy.fr LIENS AVERTISSEMENT Ce document est le frut d un long traval approuvé par le jury de soutenance et ms à dsposton de l ensemble de la communauté unverstare élarge. Il est soums à la proprété ntellectuelle de

Plus en détail

Professionnel de santé équipé de Médiclick!

Professionnel de santé équipé de Médiclick! Professonnel de santé équpé de Médclck! Dosser Médcal Partagé en Aqutane Ce gude vous présente les prncpales fonctonnaltés réservées aux professonnels de santé membres du réseau AquDMP. Sommare Connexon

Plus en détail

Version provisoire Ne pas citer sans l accord des auteurs

Version provisoire Ne pas citer sans l accord des auteurs Verson provsore Ne pas cter sans l accord des auteurs Les détermnants du beson d ade non satsfat des personnes âgées vvant à domcle : un modèle probt bvaré avec sélecton d échantllon Bérengère Davn 1,2,

Plus en détail

Le guide pratique pour y parvenir

Le guide pratique pour y parvenir Le gude pratque pour y parvenr 1 2 3 4 Il n est pas facle d arrêter de fumer. Il s agt de renoncer à une habtude quotdenne soldement nstallée, de changer de comportement Celaprenddu tempset sefat généralement

Plus en détail