GDR d'économie et finance internationale quantitative "ouverture économique et développement" Tunis Juin 2000

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1 1 GDR d'économie e finance inernaionale quaniaive "ouverure économique e développemen" Tunis Juin 2000 Ineracion enre IDE, capial humain e croissance dans les pays émergens M. Ben Abdallah* e R.Meddeb** TEAM Paris I * benmoha@univ-paris1.fr ** meddeb@cybercable.fr Nous remercions le Professeur G. Lafay (CGP) e A.Kuame pour les criiques e commenaires apporés à ce papier.

2 2 Résumé : Nore réflexion dans ce papier concerne la relaion enre les IDE, le capial humain e la croissance dans les pays en cours d'indusrialisaion. Ces pays hôes muliplien les poliiques inciaives d'invesissemens, afin de bénéficier le plus possibles des reombées posiives des "spillovers". L objecif de nore ravail es d évaluer le bien-fondé de cee poliique d aracion des IDE. Cependan, l'invesissemen direc éranger ne peu expliquer à lui ou seul la fore progression économique qu'enregisren les pays émergens, noammen les pays nouvellemen indusrialisés de la première e seconde généraion d'asie du Sud Es (les pays du "Miracle asiaique"). Nous nous sommes demandé si le capial humain, combiné à l'invesissemen direc éranger, n'éai pas la cause de l'amélioraion de la producivié globale des faceurs. Nos résulas nous amènen à conclure que l'ide joue un rôle de caalyseur de la croissance e donc du développemen des pays émergens. Touefois, il ne joue un effe posiif sur la croissance de ces pays que si ces derniers possèden e amélioren au cours du emps leur sock de capial humain. Seule une combinaison des deux perme aux pays d'accueil de récoler les fruis des localisaions des enreprises mulinaionales. Nore réflexion nous a donc permis de déerminer un seuil minimum de capial humain pour lequel l'ide a un impac posiif sur la croissance. Une caracérisique majeure de nore ravail es qu il a poré sur un échanillon rès imporan de plus de 61 pays, élémen novaeur par rappor à la liéraure empirique exisane. Mos clés : IDE, PGF, capial humain, croissance économique, pays émergen, économérie de panel. Absrac : Our reflecion in his paper concerns he relaionship beween FDI, human capial and growh in emerging counries. These hos counries muliply incenive policies o benefi from spillovers effecs". The objecive of our work is o evaluae he foundaions of his policy. However, direc invesmen alone can no explain he whole economic progression recorded in emerging counries. We ask if he human capial, combined o FDI, was no he cause of oal facor produciviy growh. We conclude ha FDI plays a role of caalys of growh in emerging counries. Neverheless, i can play a posiive effec on he growh of hese counries only if hese enhance heir human capial sock. Our reflecion has herefore allowed us o deermine a minimum of human capial for he FDI o have a posiive impac on growh. A major feaure of our work is ha i has focused on a very large sample of more of 61 counries. Keywords : FDI, TFP, human capial, economic growh, emerging counries, panel economeric. JEL classificaion: F32; F41.

3 3 1) Inroducion Au cours des années 1980, les flux e les socks d invesissemens inernaionaux on connu une progression sans précéden. Le rôle des firmes mulinaionales dans l économie mondiale s en es rouvé significaivemen accru : les enreprises mulinaionales représenen aujourd hui 25% du PIB mondial, don 9% produi à l éranger par leurs filiales. Elles conrôlen plus du iers du commerce mondial e jouen un rôle déerminan dans l affecaion géographique du capial producif, à ravers leurs décisions de localisaion. Le vif inérê que l'on pore aujourd'hui aux invesissemens direcs érangers (IDE) provien de ce qu ils suscien de nombreuses polémiques auour des conséquences dans le pays de la maison mère e du pays hôe. Nore réflexion concerne ici la relaion enre les IDE, le capial humain e la croissance dans les pays en cours d'indusrialisaion. Ces pays hôes muliplien les poliiques inciaives d'invesissemens, afin de bénéficier le plus possibles des reombées posiives des "spillovers". L'IDE n'es pas seulemen une source complémenaire de capial à l'aide aux pays en développemen qui se ari, mais égalemen le moyen de ransfer de echnologies nouvelles, d'acifs incorporels els que des compéences en maière d'organisaion e de gesion e de réseaux de commercialisaion. L objecif de nore ravail es d évaluer le bien-fondé de cee poliique d aracion des IDE. Cependan, l'invesissemen direc éranger ne peu expliquer à lui ou seul la fore progression économique qu'enregisren les pays émergens, noammen les pays nouvellemen indusrialisés de la première e seconde généraion d'asie du Sud Es (les pays du "Miracle asiaique"). Nous nous sommes demandé si le capial humain, combiné à l'invesissemen direc éranger, n'éai pas la cause de l'amélioraion de la producivié globale des faceurs. Nos premiers résulas nous amènen à conclure que l'ide joue un rôle de caalyseur de la croissance e donc du développemen des pays émergens. Touefois, il ne joue un effe posiif sur la croissance de ces pays que si ces derniers possèden e amélioren au cours du emps leur sock de capial humain. Seule une combinaison des deux perme aux pays d'accueil de récoler les fruis des localisaions des enreprises mulinaionales. Nore réflexion nous a donc permis de déerminer un seuil minimum de capial humain pour lequel l'ide a un impac posiif sur la croissance. Une caracérisique majeure de nore ravail es qu il a poré sur un échanillon rès imporan de plus de 61 pays, élémen novaeur par rappor à la liéraure empirique exisane. 2) Evoluion e imporance des IDE dans les pays en cours d'indusrialisaion Depuis la fin des années soixane, selon le rappor Pearson, les IDE son devenus le principal veceur des appors de capiaux dans les pays en développemen 1. Même si les invesissemens direcs érangers se réparissen depuis quelque emps dans une aire géographique plus large, ils n'en resen pas moins concenrés dans un nombre relaivemen resrein de pays en développemen, où le monan cumulaif de ces invesissemens marque une croissance subsanielle. En effe, c'es dans les pays émergens 1 Leser B.Pearson e collaboraeurs: Vers une acion commune pour le développemen du iers monde, rappor de la Commission d'éude du développemen inernaional (Paris, Denoël, 1969).

4 4 que l'on enregisre des augmenaions imporanes des flux e des socks d'invesissemens érangers 2. Le passage remarquable opéré par nombre de pays en développemen d'un développemen auocenré à des sraégies plus exraveries e vers l'économie de marché dans un conexe de mondialisaion, explique ce engouemen des gouvernemens locaux pour l'ide. Ce changemen de sraégie de développemen a permis une accenuaion de la concurrence mondiale pour les compéences, la echnologie e le capial. 3 L'abandon par les PED de poliiques qui endaien inenionnellemen ou non à limier les IDE a permis le boum des IDE dans ces pays à parir de la moiié des années Ainsi les gouvernemens locaux on adopé des aiudes plus accommodanes vis-à-vis des IDE e des législaions visan à accroîre l'enrée des flux d'ide nécessaires pour se développer e devenir compéiifs sur les marchés mondiaux. Ces gouvernemens rivalisen enre eux afin d'airer le plus grand nombre d'invesissemens des enreprises mulinaionales, e noammen les invesissemens de long erme dans la producion de biens e services modernes, don l'imporance es cruciale dans le conexe acuel de mondialisaion. L'évoluion récene pore noammen sur l'ouverure de ceraines indusries à l'ide e l'assouplissemen des règles sur la propriéé, le mode d'enrée e le financemen. Graphique n 1 Flux d'ide enran par région, (Millions de dollars) Pays indusrialisés Pays en développemen Monde source: CNUCED 1999 Des flux en coninuelle croissance dans les pays en développemen Malgré une conjoncure se caracérisan par un ensemble complexe d évoluions défavorables, les pays en développemen demeuren pour la sepième année consécuive de grands récepeurs d IDE (mais dans une moindre mesure que les pays développés). Comme l illusre le graphique n 2, les pays développés dominen sans conexe la scène mondiale puisqu ils oalisen plus des 2/3 du sock d IDE en provenance de l éranger e 90% du sock à l éranger, mais cee prépondérance end à s effrier au profi des pays en 2 CNUCED: "World Invesmen Repor 1999: Foreign direc invesmen and he challenge for developmen" (Genève, 1999) 3 OCDE (1996) "Quelles poliiques face à l'inégraion de l'économie mondiale", Cenre de développemen, programme de recherche pour Paris

5 5 développemen. En effe, en 1997 les PED compen pour le iers des socks d IDE dans le monde, alors qu en débu de décennie, ils ne dépassaien pas le cinquième. Graphique n 2 Sock d'ide par région (millions de dollars) Pays indusrialisés Pays en voie de développemen Monde Source : World Invesmen Repor 1998, (UNCTAD). De plus, comme l indique dans le graphique n 1, en erme de flux enrans cee année 1997 enregisre un record depuis 1990, passan de 17% à 37% du oal mondial en 1997 ce qui représene une augmenaion de l ordre de 115 milliards de dollars (de 34 M$ en 1990 à 149M$ en 1997). Malgré les crises financières (l Asie, la Russie e le Brésil) qui on secoué les pays en développemen, aucune région n a enregisré de repli du volume des enrées d IDE. Graphique n 3 Flux d'ide enran dans les PED, (Millions de dollars) Afrique Amérique Laine Asie Source : données issues du World Invesmen Repor 1998 (UNCTAD) L évoluion des flux d invesissemens direcs érangers n es cependan pas la même suivan les pays. Par exemple, l Asie du Sud Es, malgré des niveaux records d IDE, commence à accuser un ralenissemen.

6 6 Les pays en développemen se livren donc une course aux invesissemens direcs érangers afin de bénéficier des reombées posiives des spillovers à ravers le ransfer echnologique indui par la localisaion des enreprises mulinaionales. 3) Les reombées des IDE sur les économies des pays émergens La echnologie es la clé du développemen économique. La diffusion echnologique e du savoir-faire des sociéés mères au profi de leurs enreprises affiliées à l éranger consiue donc l un des principaux mécanismes de ransfers de echnologie à l échelon inernaionale. Le ransfer de echnologie es la vene, en l occurrence par une mulinaionale, d une echnique e des moyens de l uiliser (surou la formaion de la main d œuvre). Si cee vene se fai à une filiale, il s agi de ransfer inerne. Si elle se fai à une enreprise érangère au groupe, il s agi d un ransfer exerne. Quoi qu il en soi, l imporan es d évaluer les incidences des exernaliés de ces ransfers de echnologie e de savoir-faire sur la maind œuvre locale des pays en cours d indusrialisaion e par conséquen sur le aux de croissance de la producivié globale des faceurs. C es d auan plus difficile comme l a écri Blomsröm (1989) 4 que dans le déba acuel concernan la disséminaion inernaionale de la echnologie, les effes exernes ou «spillovers» en anglais des invesissemens direcs érangers semblen êre le canal privilégié de ransfer par rappor aux arrangemens formels de ransfers de echnologie. Disinguer l une ou l aure voie de ransmission inernaionale de la echnologie moderne e avancée devien un obsacle difficile à surmoner. Les enreprises mulinaionales concenren une bonne parie des echnologies les plus avancées au monde e c es égalemen au sein de ces enreprises que s effecue la majeure parie du ransfer de echnologie. Ainsi pour de nombreux pays en développemen n ayan pas un avanage echnologique, l implanaion de echnologies érangères es un subsiu ou un complémen au développemen d une acivié de recherche naionale. En effe, en deux décennies, la spécialisaion des nouveaux pays indusrialisés asiaiques a évolué de seceurs à conenu élevé en main d œuvre vers des seceurs plus inensifs en capial e echnologie. Ce mécanisme semble êre le résula des exernaliés gérées par les IDE de pays plus avancés echniquemen, comme le Japon ou les Eas-Unis (Ozawa 1994). L appor de echnologie japonaise se subsiue au manque de recherche e développemen de ces pays. Aussi, le ransfer de echnologie es--il considéré aujourd'hui comme une des raisons principales qui explique le changemen d aiude de nombreux pays en développemen ou en ransiion vis-à-vis de l IDE. La echnologie s enend ici comme un «ensemble de connaissances relaives à cerains ypes d événemens e d aciviés associés à la producion e à la ransformaion de maériaux» (Rosenberg 1982) *. Le progrès echnique désigne donc une augmenaion de la capacié des hommes à maîriser la naure, sous la forme d une plus grande producivié ou de nouveaux produis. La echnologie peu êre assimilée à de l informaion, c es-à-dire des ensembles de données aisémen ransposables : le coû (marginal) de reproducion es largemen inférieur au coû (fixe) de producion. Une même echnique peu êre uilisée simulanémen par un nombre quelconque d agens (cee propriéé a pour nom la «non-rivalié» dans la héorie des biens publics). Cela explique la capacié singulière de ce faceur à engendrer des exernaliés. 4 Blomsröm, M. (1989), «Foreign Invesmen and Spillovers : a case sudy of echnology ransfer o Mexico»,London ; Rouledge. * Les nouvelles héories de croissance

7 7 3.1) Commen les IDE peuven-ils ransférer la echnologie? Cee diffusion peu êre délibérée, par exemple lorsque la filiale cède une licence à une enreprise locale. A ire d exemple, on ciera le cas d une mulinaionale qui renforce le capial echnologique des enreprises raian avec elle pour leur permere de saisfaire aux spécificaions echnologiques qu elle leur impose. La diffusion echnologique peu aussi prendre la forme de reombées echnologiques e l on parle de reombées echnologiques horizonales lorsque, par exemple, la filiale a une echnologie nouvelle qui es ulérieuremen copiée ou assimilée par les enreprises concurrenes. Il exise au conraire des reombées vericales, lorsque la filiale ransfère, à ire graui, une echnologie aux enreprises qui fournissen des inrans ou des services en aval (disribuion ou vene au déail par exemple). Le capial echnologique des enreprises locales peu donc s améliorer lorsque des enreprises mulinaionales prennen pied sur le marché. Ces dernières possédan un avanage comparaif en erme de echnologies nouvelles e de nouveaux modes d organisaions e de disribuions, fournissen une assisance echnique à leurs fournisseurs e cliens locaux, e formen des ravailleurs e des cadres qui seron peu êre ulérieuremen recrués par les enreprises locales. Ces exernaliés von alors améliorer le aux de croissance de la producivié globale des faceurs (PGF) de ces pays. Les filiales locales peuven elles-mêmes faire de la recherche e développemen pour adoper les nouvelles echnologies mises au poin par la sociéé mère aux condiions locales. Il es manifese que l IDE favorise plus les conacs avec les érangers e la découvere de nouvelles façons de procéder que ne le fai le commerce. Pour auan, le ransfer de echnologie rese rès difficile à mesurer. Il y a dans la liéraure économique plusieurs éudes empiriques enan de monrer la relaion enre les IDE, la diffusion echnologique e la croissance économique des pays hôes. Ces éudes indiquen que dans les cinq premières années de leur commercialisaion, les nouvelles echnologies se diffusen à l éranger esseniellemen par le biais des filiales des mulinaionales e non pas à ravers les exporaions. Dans la plupar des cas, il s avère que les echnologies ransférées aux filiales son en moyenne plus récene que celles que son cédées à des iers par le jeu de licences ou dans le cadre de coenreprises(omc 1996) 5. Les éudes empiriques menées par Blomsrom 6, Kokko e d aures encore son en accord avec le fai que l IDE es un veceur imporan, peu êre même le plus imporan pour le ransfer de echnologie vers les pays en développemen. Ces ravaux s accorden aussi sur le fai que l imporance du ransfer echnologique auquel l IDE donne lieu, varie en foncion des caracérisiques du seceur indusriel e du pays d accueil : une concurrence plus fore, une formaion plus imporane de capial fixe, un niveau d insrucion plus élevé e des condiions moins resricives imposées aux filiales son auan d élémens qui favorisen les ransfers de echnologie. Ces ravaux conredisen la hèse en vigueur dans les années soixane-dix, dans les pays en 5 O.M.C (1996) "Rappor annuel 1996, Volume I e II, Dossier spécial: le commerce e l'invesissemen éranger direc"(genève) 6 Blomsröm, M e Persson, H. (1983), «Foreign invesmen and spillover effeciency in an underdeveloped economy : Evidence from he Mexican manufacuring indusry», World Developmen, N 11, p

8 8 développemen, selon laquelle la echnologie ransférée es inappropriée à leurs besoins e à l environnemen local. 3.2) Invesissemen direc e augmenaion de la connaissance dans le pays d accueil : Le rôle de la connaissance dans la croissance économique souenue es mainenan connue dans la héorie de la croissance endogène. L accumulaion de connaissances sous forme de «echnologie» [Romer (1990)] ou de «capial humain» [Lucas (1988)] : Le niveau de connaissance es inégré à la main d œuvre e non au capial physique] es généralemen associée au concep de progrès echnique que l on peu définir comme éan «l accroissemen de la connaissance que les hommes on, des lois de la naure appliqué à la producion». Ce progrès echnique peu prendre plusieurs formes selon qu il accroî la producivié des faceurs, e perme l émergence de nouveaux produis l amélioraion de cerains produis (Demurger 1997) 7 ou de la producivié d inrans inermédiaires. Dans l approche d Arrow, la connaissance es raiée, dans la héorie de la croissance endogène soi comme un bien public accumulable don l acquisiion passe par l apprenissage e perme l augmenaion de la producivié de ravail e par conséquen l exension des possibiliés de producion d une économie: la connaissance ne reçoi aucune rémunéraion, ce qui écare la possibilié que les firmes fassen des invesissemens en R&D. Pour Romer, l accumulaion des connaissances fai l obje d une acivié spécifique e rémunérée, résulan d un comporemen de maximisaion du profi des enreprises en concurrence monopolisique, produisan des biens différenciés imparfaiemen subsiuables. Grâce à la rene des monopoles, elles von financer des aciviés de R&D qui permeron une acivié volonaire d accumulaion des connaissances. Du fai de leur naure non rivale e pariellemen non exclusive, les connaissances echnologiques e managériales incorporées dans l IDE d une firme érangère peuven générer des effes exernes à l inérieur des fronières naionales. Ainsi, la naure cumulaive de l'ide lui perme d êre une source d exernalié ineremporelle se rouvan au cœur de la croissance économique. Chaque amélioraion ou innovaion conribue à l augmenaion du sock de connaissances disponibles pour les généraions fuures. «La connaissance peu êre ransmise au rese de l économie via la formaion du ravail, l éablissemen de liens enre les enreprises locales e érangères ou un processus d apprenissage par observaion, «learning by waching». Findlay (1978) 8 souligne que la présence d enreprises érangères, plus efficaces sur le errioire naional peu favoriser par un effe de «conagion», l accroissemen du aux de progrès echnique du pays d accueil. L augmenaion de la connaissance dans le pays hôe es d'auan plus imporane que les aciviés des enreprises érangères disposan d une echnologie supérieure se développen dans l'économie. Elle s'accenue lorsque les conacs personnels éablis enre ceux qui on déjà une connaissance de l innovaion e ceux qui pourraien la copier, es assez grande. 7 Demurger S.(1997), «Ouverure e croissance : le cas de la République de Chine». Thèse de docora de sciences économiques de l'universié de Paris I-Panhéon Sorbonne. 8 Findlay, R.(1978), «Relaive backwardness, direc foreign invesmen, and he ransfer of echnology : a simple dynamic model», Quaerly journal of Economic, Vol.92(1), p1-16., «Some aspecs of echnology ransfer and direc foreign invesmen»american Economic Review, Vol.68(2), p

9 9 L IDE es donc, par l augmenaion du sock de connaissances dans le pays hôe, suscepible de consiuer un moeur fondamenal de croissance de la PGF par la diffusion des echniques inernaionales qu il favorise e les exernaliés inernes qu il engendre. 3.3) Invesissemen direc éranger e producivié : Les enreprises érangères peuven, à ravers la concurrence direce qu elles fon naîre sur le marché local e l effe d enraînemen sur les enreprises domesiques, accroîren le niveau de producivié dans le seceur où elles son implanées. Caves (1974) a esé l impac de la présence érangère sur la valeur ajouée par ravailleur dans le seceur manufacuré domesique en Ausralie. Il monre que la disparié enre valeur ajouée érangère e domesique disparaî quand la présence érangère dans le seceur augmene, ce qui es cohéren avec l exisence des exernaliés posiives sur la producivié générée par les IDE, d où la possibilié d une accéléraion de la croissance e de la convergence du niveau de producivié vers celui des pays développés. Globman (1979) 9, en uilisan des données en cross secion du seceur manufacuré canadien, n'a rouvé qu'un effe faible, voire nul, des IDE sur la producivié globale des faceurs si la «proxy» de la présence érangère dans le seceur es inférieure à un niveau de 5%. Quan à Blomsröm (1991), il esime que la croissance de la producivié des enreprises locales au Mexique éai supérieure dans les seceurs où la paricipaion des invesisseurs érangers éai la plus acive. Il disingue alors deux effes exernes générés par les IDE sur la producivié du pays d accueil : exernaliés inra secorielles e exernaliés iner secorielles (Blomsrom1991). Les exernaliés inra-secorielles : Elles concernen l impac des IDE sur l efficacié des produceurs locaux e elles son difficiles à évaluer. L enrée de firmes érangères, en simulan la concurrence à l inérieur du seceur, provoque des gains d efficacié. Les firmes naionales son inciées à adoper des méhodes de producion ou de gesion plus efficaces e à accomplir des effors de R&D afin de mainenir leur avanage compéiif. Au Royaume-Uni, l adopion de ceraines praiques japonaises (ravail en équipe, cercles de qualié ) a permis aux firmes locales d améliorer leur compéiivié. De nombreuses éudes éablissen une corrélaion posiive enre le niveau de producivié des seceurs e le degré de pénéraion érangère. Remarque: un effe exerne inra indusriel négaif peu êre généré par les IDE du fai de la concurrence, les firmes les moins compéiives risquen d êre évincées du marché (Meddeb 1996) Cié dans OCDE (98) Invesissemen direc éranger e développemen économique :l expérience de six économies émergenes 10 Meddeb R (1996) «Impac des IDE sur le Marché du Travail en Asie de l Es». Présené au colloque inernaional du GDR Economie Inernaionale e Finance Quaniaive : «commerce inernaional e emploi» Juin 1996 (Clermon Ferrand).

10 10 Les exernaliés inersecorielles : Elles concernen les effes d enraînemen sur les fournisseurs e les sous raians locaux (par leurs cahiers des charges, délais de livraison, qualié ).Les filiales érangères peuven êre alors des simulans de la compéiivié des fournisseurs. Donc l IDE conribue de surcroî à l amélioraion de la producivié marginale du capial e au progrès echnique du fai du niveau plus avancé de la echnologie e de l experise en ermes de gesion e de managemen qu il incorpore. Dans plusieurs cas empiriquemen éudiés, les exernaliés provenan des IDE son rès bénéfiques pour les pays hôes : la echnologie e la producivié des firmes locales peuven s améliorer lorsque les firmes érangères enren sur le marché domesique. Des éudes du seceur manufacuré de pays comme l'ausralie, le Canada, le Mexique e le Venezuela (Aiken e Harrison, 1991) 11 on monré que la présence des IDE a un impac posiif sur la producivié des firmes locales e on donc conclu que les effes exernes son foremen significaifs noammen sur la croissance. Il exise en revanche des cas où les effes exernes son non significaifs comme l on éabli Haddad e Harrison (1993) 12 dans le cas des économies du Maroc e du Venezuela. Pour ces derniers, les caracérisiques srucurelles des pays e indusries hôes peuven influencer les incidences des effes d'enraînemens e des effes exernes. 4) Les obsacles limian les effes exernes des IDE 4.1) le faible niveau de capial humain Le niveau de capial humain joue ici un rôle primordial. En effe, la doaion en capial humain de niveaux différens joue un rôle de caalyseur dans les reombées des IDE des enreprises mulinaionales sur le aux de croissance de la producivié globale des faceurs. La relaion enre le capial humain e l'invesissemen direc éranger es double. Le capial humain es un faceur de localisaion des IDE des enreprises mulinaionales (Lucas 1988 ; Meddeb e Drine ) e joue égalemen un rôle dans les reombées des ransfers de echnologies sur la croissance des pays hôes. L exisence d apiudes echnologiques e d un sock de capial humain condiionne l assimilaion du savoir-faire développé ailleurs. Les pays hôes doiven disposer d un sock minimal de capial humain e de savoir-faire qui leur perme l assimilaion de echnologies érangères. 11 Aiken, B e A.Harrison (1991), «Are here Spillovers from Foreign Direc Invesmen? Evidence from Panel Daa for Venezuela», mimeo, MIT and he World Bank, November. 12 Haddad.M e Harrison.A (1993) "Are here spillovers from direc foreign invesmen?" in Journal of developmen Economic, N 42, P Les aueurs on monré que les pays qui on un niveau de capial humain imporan influencen la localisaion des IDE. Meddeb.R e Drine.I (2000) "Aracivié des IDE e régime de change dans les pays émergens", papier présené au GDR d'économie e finance inernaionale 23 e 24 juin Tunis 2000.

11 11 Sans une poliique d'amélioraion de la qualificaion de la main d œuvre, les pays du Sud Es Asiaique n auraien pas éé en mesure de bénéficier des ransfers de echnologies des enreprises mulinaionales érangères. Pour les pays à reard echnologique, l accumulaion de capial humain e le développemen des aciviés d apprenissage (R&D e aures) es indispensable pour qu ils puissen bénéficier au mieux des reombées posiives des flux d'ide sur la croissance. L accumulaion de capial humain e l apprenissage son aujourd hui au cœur de ou processus de ransfer echnologique. L accumulaion de capial humain pour les pays émergens consiue non seulemen un vériable aou pour ces pays, mais aussi un préalable nécessaire à des ransfers echnologiques via les IDE. 4.2) l écar echnologique Le volume e la naure de la echnologie ransférée son en grande parie influencés par le niveau de compéiivié du pays d accueil. Canwell (1989) 14 souligne que «les exernaliés son les plus suscepibles d apparaîre dans les régions ayan un avanage echnologique dans le passé, c es-à-dire qui on une base echnologique endogène qui ne demande qu à êre simulée. L impac es donc d auan plus grand que les firmes locales son capables d assimiler les nouvelles echnologies». En effe, Canwell a examiné les réponses des firmes domesiques à la présence des EMN américaines dans le marché européen enre 1955 e Il a consaé que l impac posiif le plus imporan sur la echnologie locale es observé dans les firmes qui on une grande radiion echnologique. Il conclu donc que les effes exernes son plus imporans dans l indusrie où l écar echnologique es faible. Dans les pays à faible capacié innovarice, la dominaion des firmes érangères peu inhiber l apprenissage local e décourager les enreprises locales à développer leurs propres aciviés de R&D. Ceci ne signifie pas que les pays moins avancés ne puissen pas bénéficier de ransfers echnologiques. Des IDE "rop echnologiques", déconnecés du seceur producif local, peuven n êre que faiblemen bénéfiques pour la croissance. Findlay(1978) suggère que pour qu il y ai un rarapage echnologique enre un pays echnologiquemen en reard e un pays indusrialisé via l IDE, la disance echnologique enre ces deux pays ne doi pas êre "rop grande". Dans les rares éudes empiriques qui on éé faies, Blomsrom e Wolff on monré dans le cas du Mexique (70-75) que les effes exernes son une foncion croissane de l écar echnologique : la présence assez élevée des IDE appore à une peie augmenaion de la producivié des indusries à faible echnologie, mais aucun effe sur la producivié des firmes à haue echnologie. Leur inerpréaion de ce résula héoriquemen inaendu es que la concurrence des firmes érangères peu obliger les indusries locales à uiliser des echnologies avancées, mais qu il n y a pas d effes d exernaliés e d enraînemens sur les firmes à haue echnologie. Haddad e Harisson on monré en revanche que l imporance de l écar echnologique freine les effes exernes. 4.3) Le régime commercial 14 Canwell J (1989), "Technological Innovaion and Mulinaional Corporaions" (Oxford).

12 12 Les régimes commerciaux peuven influencer les reombées des invesissemens direcs érangers. En effe, les disorsions commerciales (drois de douanes élevés, quoas, ec.) peuven êre à l origine de flux d IDE desinés à les conourner. Ainsi, l IDE airé vers des marchés proégés revê généralemen la forme d uniés de producion indépendanes, axées sur le marché inérieur e qui ne son pas compéiives quand il s agi de produire pour l exporaion 15. Les EMN auron alors endance à ne ransférer que les echnologies nécessaires à la producion, du fai de l absence de concurrence sur le marché. Le cas de l indusrie de l auomobile brésilienne à l époque de la subsiuion aux imporaions en es un exemple marquan. Baghwai (1978) affirme en effe que l ampleur des flux d IDE e leur efficacié dans la promoion de la croissance économique sera, à long erme, plus grande dans les pays poursuivan une sraégie de promoion des exporaions que dans les pays ayan adopé un régime commercial inroveri. Balasubramanyan (1992) 16 a vérifié, à ravers une éude empirique, l hypohèse de Bhagwai selon laquelle le régime commercial peu êre un obsacle limian les reombées posiives des exernaliés générées par les IDE. Nous nous proposons de monrer que le capial humain a une influence significaive sur l'impac des invesissemens direcs érangers sur la croissance dans les pays hôes. 5) Vérificaion empirique : présenaion du modèle économérique Nore ravail empirique compore deux paries. La première consise en l esimaion du aux de croissance de la producivié globale des faceurs pour les 61 pays de nore échanillon. La seconde es consacrée à l évaluaion économérique de l ineracion enre le capial humain e l IDE sur la croissance de la PGF. 5.1) La mesure du aux de croissance de la PGF Y Elle es basée sur la méhode de la compabilié de la croissance Barro (1999) 17, La PGF es idenifiée au progrès echnique dans la foncion Cobb Douglas : = A K α L β A es l indice de niveau de la echnologie à la dae, appelé PGF. Y es la valeur ajouée K e L son respecivemen le capial e le ravail. α e β représenen respecivemen la par de la rémunéraion du capial e celle du ravail dans le revenu oal, sous l hypohèse de concurrence pure e parfaie. On aura donc : g PGF Y = Y K α K β L L 15 OCDE (1998) Invesissemen direc éranger e développemen économique l expérience de six économies émergenes 16 Balasubramanyan (1992): «Foreign direc invesmen and growh in E.P and I.S counry» Economic journal. 17 Barro(1999) Noes on growh accouning, Journal of Economic Growh, vol 4 N 2, June.

13 13 Sous les hypohèses de rendemens consans e de la CPP, la seule connaissance du aux de salaire ainsi que le niveau de Y, K e L suffi pour obenir une esimaion compable du aux de croissance de la PGF. Vu la difficulé dans l obenion des aux de salaire pour les 61 pays de l échanillon, nous avons donc opé pour l uilisaion de l ouil économérique pour esimer le aux de croissance de la PGF. Nous avons uilisé la spécificaion généralemen reenue : Ln( Y ) = Ln( A0 ) + λ. + αln( K ) + βln( L ) Cee équaion nous a permis dans un premier emps d obenir des esimaions des élasiciés α e β Elle nous a égalemen permis dans un deuxième emps, de eser l hypohèse de rendemens consans à l aide du es de Suden. Si cee hypohèse es validée, on calcule donc le aux de croissance de la PGF comme sui : g pgf = y y k α k où y es le PIB par êe e k es le sock du capial physique par êe. Une éape inermédiaire consise à esimer le sock de capial physique de chaque pays. Pour cela on a uilisé la méhode d invenaire permanen. Le sock de capial physique uilisé provien de la base de donnée de Vikram Nehru 18 e Ashok Dhareshawar ; cee base s arrêan en 1990, nous avons alors esimé le sock de capial physique pour la période manquane de 1990 à 1997, en calculan un aux de dépréciaion du capial pour chaque année e chaque pays en uilisan la méhode d invenaire permanen. K = I + ( 1 δ ) K 1 où I : le flux d invesissemen domesique à l année, issu de la base World Developmen Indicaors 1999, Banque Mondiale. δ représene le aux de dépréciaion du capial. Composiion de l'échanillon Nore échanillon es composé de pays émergens e de pays indusrialisés. Le choix s'es fai en foncion des sources de données saisiques. Pour du Panel, il fallai absolumen calibrer nos données pour chaque pays e chaque variable. Dans cerains cas, la couverure de la base de données pour les variables considérées éan incomplèe il a fallu exclure de l'échanillon des pays don des observaions éaien manquanes. 61 pays on ainsi pu êre sélecionnés, consiuan, à nore connaissance, l échanillon représenaif le plus imporan éudié à ce jour. Tableau n 1:Echanillon de pays 18 Nehru V, Swanson E e Dubey A (1995) "A new daabase on human capial sock in developing and indusrial counries: sources, mehodology, and resuls". In Journal of Developmen Economics, Vol 46, p

14 14 Afrique Asie Océanie Amérique du Amérique Europe Nord Laine Algérie Malaisie Ausralie Eas Unis Argenine France Maroc Indonésie Nvlle Zélande Canada Paraguay Royaume Uni Tunisie Thaïlande Papouasie Bolivie Ialie Cameroun Philippines Nouvelle Colombie Espagne Mali Singapour Guinée Mexique Porugal Ghana Inde Cosa Rica Pays Bas Côe d'ivoire Japon Brésil Norvège Egype Bangladesh Chili Danemark Kenya Chine Equaeur Finlande Sénégal Turquie Rep.Dominiq. Suisse Maurice Israël Salvador Auriche Jordanie Guaemala Grèce Corée du Sud Jamaïque Islande Pakisan Panama Irlande Sri Lanka Pérou Venezuela Trinidad Tobago Les sources des données IDE : les données des flux d'invesissemens direcs érangers enrans (en dollars couran) proviennen de la base CD : manuel de saisiques de la CNUCED PIB : le PIB en dollars couran provien de la base CD du World Developmen Indicaors 1999 de la Banque Mondiale. KH: La définiion d une variable de capial humain perinene es un problème délica, an parce qu il es difficile d obenir un indicaeur de sock ou de qualié de capial que parce que les esimaions effecuées son souven sujees à des erreurs de mesure. Les indicaeurs de capial humain généralemen reenus dans la liéraure empirique son le aux de scolarisaion e le nombre moyen d années de scolarisaion de la populaion. Nous avons uilisé les données des aux de scolarisaion au niveau secondaire fournis par la base saisique de l'unesco 19 (2000), du World Developmen Indicaors, e d'annuaires saisiques de différens pays pour compléer le manque d'observaion. PGF : Nous avons calculé la producivié globale des faceurs, à parir des données de sock de capial physique provenan de la base de données de Vikram Nehru 20 e Ashok Dhareshawar ; Nous avons par la suie esimé le sock de capial physique pour la période manquane de 1990 à 1997,en calculan un aux de dépréciaion du capial. 19 Une caracérisique de nore base de données par rappor à celle de Barro e Lee (radiionnellemen uilisée) es qu elle fourni des données annuelles sur ous les pays, y compris ceux d Asie du Sud Es. 20 Nehru V, Swanson E e Dubey A (1995) "A new daabase on human capial sock in developing and indusrial counries: sources, mehodology, and resuls". In Journal of Developmen Economics, Vol 46, p

15 15 La populaion acive provien des annuaires saisiques du Bureau Inernaional du Travail OUV :désigne le aux d'ouverure qui es un indicaeur de régime commercial, calculé à parir de la somme des exporaions e imporaions du pays considéré rapporé au PIB en parié des pourvoirs d'acha. Exporaions : proviennen de la base saisique de la Banque Mondiale Imporaions : proviennen de la base saisique de la Banque Mondiale La période : Du fai du manque de séries emporelles complèes pour oues nos variables nous nous sommes limiés à vérifier nore idée sur la période Elle nous semble perinene, car le boum des invesissemens direcs érangers s'es fai dans les pays émergens à parir du milieu des années La méhodologie adopée : Compe enu de la problémaique présenée dans les paries précédenes, nos esimaions poreron sur l approximaion suivane de l équaion de croissance de la PGF : g ipgf= αi+ β1khi+ β2idei+ β3sabpoli+ β4ouvi+ avec u i = c + c i + ε c : effe spécifique emporel 21 c i : effe fixe pays i u i La base de données uilisée dans l analyse saisique comprend 61 pays pour la période 84-97,ce qui nous perme d appréhender dans cee parie la quesion de la croissance de la PGF e des IDE à l aide de l ouil d économérie des panels. Disposan 14 années pour 61 pays considérés, nore modèle économérique compore à la fois un effe fixe pays e un effe fixe emporel. 22 Nous avons classé les pays, ainsi que oues les variables saisiques, en foncion de la doaion moyenne en capial humain de chaque pays, puis nous avons esimé nore équaion en ajouan à chaque fois un pays supplémenaire, en paran du pays le moins doé en capial humain à celui don le aux de scolarisaion es le plus élevé(voir ableau n 1 en annexe p.22 e le graphique n 4 p.17, Régression 4). Un problème crucial qui se pose lorsque l on uilise l ouil des données de panel, es celui de la spécificaion. En effe, les résulas divergen foremen selon les méhodes uilisées. Pour 21 Touefois la prise en compe d un effe fixe emporel n a pas de grande influence sur nos résulas. En effe, nous avons refai nos esimaions sans enir compe d effes fixes emporels, les résulas obenus on faiblemen changé. 22 Nous avons esé l hypohèse d absence d effe spécifique e le es se révélé êre posiif.

16 16 nore propos, nous avons uilisé le es d Hausman, afin de discriminer enre le modèle à effes fixes e le modèles à effes aléaoires. Ce es nous a permis de conclure dans la majorié des régressions que nous avons effecué que le choix du «Wihin» s imposai. RESULTATS L équaion de croissance de la PGF révèle rois résulas qu il nous paraî imporan de souligner. Tableau n 2: Résulas économériques REGRESSION 1 REGRESSION 2 REGRESSION 3 IDE ** (1.19) KH (-0.89) OUV ** (1.33) STBPOL (0.52) 0.055* (4.01) * (-0.065) * (4.15) (-0.31) (-0.93) * (-2.54) (0.834) ** (-1.46) R² 4.8% 21% 18% Nbre d'observaions Noes: Les valeurs indiquées enre parenhèses son les T de Suden. Les écars ypes esimés son corrigés du biais d'hééroscédasicié à l'aide de la commande robuse de TSP. * indique sue la variable es significaive au es de Suden. Régression 1 : pore sur l'échanillon au comple Régression 2:pore sur les 30 premiers pays don le signe de l'ide es posiif, Régression 3: pore sur les 31aures pays don le signe de l'ide es négaif. Les coefficiens de déerminaion son apparemmen faibles dans les rois modèles consécuifs, ce qui n es pas surprenan puisque la faible valeur du coefficien de déerminaion (R²) es un résula aendu en économérie des données de panel, lorsque l on régresse des aux de croissance. Nore premier résula pore sur la conribuion de l IDE à la croissance de la PGF. En effe le coefficien associé à l IDE éai significaif (au seuil de 0.80%), ce qui souligne l imporance de la poliique d ouverure en ermes de capial éranger e d afflux de echnologie e le rôle moeur de l IDE dans le processus de croissance des pays en développemen. Si l'on prend l'échanillon enier, l'ide e le aux d'ouverure jouen dans le sens aendu. Ce qui n'es pas le cas du capial humain, son signe éan inverse; ce phénomène a déjà éé consaé par Knigh, Loayza e Villanueva (1993) Islam (1995) Caselli, Esquivel,

17 17 Lefor(1996) 23. Un signe négaif s'explique par la diversié des pays de l'échanillon ayan un niveau de développemen différen, ainsi que par le choix de l'indicaeur de capial humain qui n'évalue pas la qualié de l'enseignemen du pays, mais qui es pluô un indicaeur de sock. Le coefficien de la variable capial humain es négaif, ce don nous concluons que le capial humain dans les pays considérés dans nore échanillon ne conribue pas à la croissance économique, éan donné que dans la majorié des pays considérés, le capial humain es généralemen uilisé dans les aciviés de recherche de rene. Le deuxième résula qui ressor de l analyse, indique que l impac des IDE sur la croissance de la PGF des pays en développemen es une foncion croissane du niveau de capial humain dans l économie(régression 4 voir annexe). Un pays disposan d un niveau faible de capial humain enregisrera un impac négaif des IDE sur la croissance de la PGF. De ce résula, il ressor une implicaion en erme de poliique économique : les pays en développemen à faible niveau de capial humain doiven mener une poliique d accumulaion de capial humain avan d ouvrir leurs fronières aux flux des IDE. Graphique n 4 0,004 INTERRACTIVITE ENTRE IDE ET KH SUR LA CROISSANCE DE LA PGF 0,002 Niveau du capial humain ,002-0,004-0,006-0,008-0,01-0,012 Impac des IDE sur la croissance de la PGF Nore roisième résula pore sur la déerminaion d un niveau minimum de capial humain moyen à parir duquel les reombées des IDE sur le pays hôe seron posiives. La valeur de ce 23 Knigh.M, Loayza.N e Vilanueva.D (1993) "Tesing he neoclassical heory of economic growh: a panel daa approach" IMF Saff Paper, 40(3). Islam.N (1995) "Growh empirics: a panel daa approach", Quaerly Journal of Economics, 110 (4) P Caselli.F, Esquivel.G e Lefor.F (1996) "Reopening he convergence debae : a new look a cross-counry growh empirics" Journal of Economic Growh, 1(3), P

18 18 minimum rouvée es de l ordre 41% 24 (Voir Annexe). En menan une poliique d aracion d IDE, un pays ayan un niveau de capial humain inférieur à ce seuil risque de perdre en erme de croissance économique Les résulas obenus vérifien nore idée selon laquelle les pays les mieux doés en capial humain son ceux don l'invesissemen direc éranger a un impac posiif sur le aux de croissance de la producivié globale des faceurs. Ainsi, les pays qui bénéficien le plus des exernaliés posiives des IDE son ceux qui enregisren des aux de scolarisaion moyens dépassan les 41%. Si nous observons dans le déail nos résulas, on remarque que ce son les pays indusrialisés de la riade qui son les mieux classés, suivi de rès près par : l'ausralie e la Nouvelle Zélande, les nouveaux pays indusrialisés d'asie du sud Es: Malaisie, Indonésie, Thaïlande, Singapore, Chine, e Corée du sud, les NPI d'amérique laine: Mexique, Chili, Brésil, e Argenine, les NPI d'afrique du Nord: Maroc, Tunisie e Algérie. Ces résulas son conformes à la disribuion géographique des invesissemens direcs érangers dans le monde comme nous l'avons vu dans la secion 2. Ainsi comme l'indique la régression n 2, oues les variables jouen dans le sens aendu e son significaives. Ce qui s'explique par le fai que ce son les pays de la riade e les pays émergens les plus avancés qui enregisren des niveaux de capial humain rès élevés par rappor à l'aure parie de l'échanillon 25. 6) Conclusion La plupar des pays coninuen à libéraliser leurs poliiques relaives aux IDE que ce soi au niveau naional ou inernaional, cela se radui par la muliplicaion d'accords bilaéraux (accord UE-MERCOSUR de juin 1999) ou la créaion de nouveaux marchés régionaux (accords U.E. e Pays sud médierranéens) e de nouvelles zones d'invesissemens. Rubrique Nombre de pays ayan apporé des modificaions à leur régime d'invesissemen Nombre de modificaions don : Plus favorables à l'ide Moins favorables à l'ide Source: CNUCED, WIR 98. Cependan, la concurrence que se livren les pays en développemen dans la recherche des IDE ne doi pas leur faire oublier que l'ide à lui ou seul n'a pas de réel effe posiif sur leur économie: le ransfer de echnologies peu même avoir l'effe inverse à l effe aendu. 24 Rappelan que nore indicaeur de capial humain es le aux de scolarisaion au niveau secondaire, issu de la base saisique de l UNESCO. 25 Si l'on prend les 31 premiers pays( Régression n 3) nos résulas se dégraden encore plus. Seul le aux d'ouverure joue dans le bon sens. Les deux aures variables jouen en sens inverse. Ce qui s'explique par le fai que ce son les pays les moins doés en capial humain ne peuven bénéficier des spillovers posiifs des IDE sur la PGF.

19 19 En effe, comme nous l'avons vérifié, pour qu'un pays hôe des enreprises mulinaionales puissen bénéficier des exernaliés posiives, il lui fau auparavan accumuler un niveau minimum de capial humain pour que l'invesissemen direc éranger puisse avoir un effe posiif dans le aux de croissance de la producivié globale des faceurs. Ainsi, en permean le ransfer de echnologies nouvelles, des exernaliés, le capial humain joue le rôle de caalyseur enre les IDE e la croissance des pays hôes. Nore appor dans ce papier es d avoir monré la relaion posiive qui exise enre le capial humain e l impac des IDE e d avoir éudié cee relaion sur un échanillon de plus de 61 pays, ravail qui à nore connaissance n a jamais éé fai. Il fau noer néanmoins que ces résulas concernen un cas ciblé d ouverure exérieure (IDE) e qu il es indispensable de les évaluer dans le cadre général de l ouverure économique. Bibliographie Aiken, B & A.Harrison (1991), «Are here Spillovers from Foreign Direc Invesmen? Evidence from Panel Daa for Venezuela», mimeo, MIT and he World Bank, November. Barro(1999) Noes on growh accouning, Journal of Economic Growh, vol 4 N 2, June Ben Abdallah M,(1999) «IDE, exernaliés e croissance économique», Soumis à la Revue d Economie du Développemen. Blomsröm, M & Persson, H. (1983), «Foreign invesmen and spillover effeciency in an underdeveloped economy : Evidence from he Mexican manufacuring indusry», World Developmen, N 11, p Blomsröm, M. (1989), Foreign Invesmen and Spillovers : a case sudy of echnology ransfer o Mexico,London ; Rouledge. Canwell J(1989), Technological Innovaion and Mulinaional Corporaions (Oxford). Caselli.F, Esquivel.G & Lefor.F (1996) "Reopening he convergence debae : a new look a cross-counry growh empirics" Journal of Economic Growh, 1(3), P CNUCED: "World Invesmen Repor 1999: "Foreign direc invesmen and he challenge for developmen" (Genève, 1999) 1998: Trend and deerminans"(genève 1998) Démurger S.(1997), «ouverure e croissance : le cas de la république de Chine». Thèse de docora de sciences économiques de l'universié de Paris I Panhéon Sorbonne. Findlay, R.(1978), «Relaive backwardness, direc foreign invesmen, and he ransfer of echnology : a simple dynamic model», Quaerly journal of Economic, Vol.92(1), p1-16., «Some aspecs of echnology ransfer and direc foreign invesmen» American Economic Review, Vol.68(2), p Haddad.M & Harrison.A (1993) "Are here spillovers from direc foreign invesmen?" in Journal of developmen Economic, N 42, P Islam.N (1995) "Growh empirics: a panel daa approach", Quaerly Journal of Economics, 110 (4) P Knigh.M, Loayza.N & Vilanueva.D (1993) "Tesing he neoclassical heory of economic

20 20 growh: a panel daa approach" IMF Saff Paper, 40(3). Leser B.Pearson e collaboraeurs: Vers une acion commune pour le développemen du iers monde, rappor de la commission d'éude du développemen inernaional (Paris, Denoël, 1969). Meddeb.R & Drine.I (2000) "Aracivié des IDE e régime de change dans les pays émergens", papier présené au GDR d'économie e finance inernaionale 23 e 24 juin Tunis Meddeb R (1996) «Impac des IDE sur le Marché du Travail en Asie de l Es». Présené au colloque inernaional du GDR Economie Inernaionale e Finance Quaniaive : «commerce inernaional e emploi» Juin 1996 (Clermon Ferrand). Nehru V, Swanson E e Dubey A (1995) "A new daabse on human capial sock in developing and indusrial counries: sources, mehodology, and resuls". In Journal of Developmen Economics, Vol 46, p OCDE (1996) "Quelles poliiques face à l'inégraion de l'économie mondiale", Cenre de développemen, programme de recherche pour Paris O.M.C (1996) "Rappor annuel 1996, Volume I e II, Dossier spécial: le commerce e l'invesissemen éranger direc"(genève) OCDE (98) "Invesissemen direc éranger e développemen économique :l expérience de six économies émergenes" Rober.E & Lucas J-R (1988) «why doesn capial flow from rich o poor counries?» American Economic Review, n 2, Vol 80. ANNEXE Tableau n 1 : Régression déerminan le niveau minimum de capial humain Capial humain en moyenne IDE T Saisi que 14, , , , , , , , , , , ,

21 38, , , , , , , , , , , , , , , , ,

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